Mon voisin, M. C*** (2)

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Mon voisin, M. C*** (2)Après cette séance de pompage intensif, durant laquelle M. C*** s’était montré beaucoup plus à l’aise que je ne l’aurais pensé, mon voisin bailla à s’en décrocher la mâchoire. Les yeux rouges, il semblait maintenant sur le point de s’effondrer de sommeil et je lui proposais d’aller se coucher dans ma chambre. Après un court moment d’hésitation (« t’es sûr que ta mère va pas rentrer ? »), il accepta et s’étendit sur mon lit puis s’endormit rapidement. C’était l’été et il faisait chaud ; il s’était donc étendu sur mes draps, sans se couvrir. Il était maintenant complètement nu et je pouvais contempler son torse bien dessiné ainsi que le bout de ses tétons, qui continuaient à pointer. Ses bras puissants me faisaient littéralement craquer, tout comme son visage carré. Seul son ventre légèrement rebondi et les valises qu’il avait sous les yeux me gênaient un peu car je savais qu’ils étaient la conséquence de son alcoolisme.Après de longues minutes de contemplation, je décidais de retourner dans la salle de bain pour y mettre un peu d’ordre. Bien alcoolisé (et mal guidé par ma main !), M. C*** avait uriné à côté de la cuvette et ses vêtements, mouillés eux aussi, avaient besoin d’être lavés. Je décidai donc de faire une machine puis de passer le tout au sèche-linge pour que ses habits soient prêts à son réveil. Ces petites taches ménagères effectuées, je décidai de me coucher dans le canapé du salon pour me reposer. L’émotion était toutefois trop forte et je ne dormis que d’un œil, les ronflements de M. C*** n’aidant pas !Le lendemain matin, je me réveillai tôt. Après être passé aux toilettes et avoir pris une douche bien chaude, je décidai de préparer un bon petit déjeuner pour M. C***. Mes talents culinaires étant limités, je me contentais d’ouvrir un paquet de brioche, de faire du pain grillé, de préparer du café et d’ouvrir une bouteille de jus d’orange. A 9h, je me présentai avec un plateau plein de nourriture dans ma chambre, où une forte odeur de mâle alcoolisé régnait désormais. Anxieux, je déposai le plateau sur ma table de nuit et m’approchai doucement de M. C***. Puis, je lui passai délicatement la main sur le visage. Ce geste eut pour effet de faire sursauter mon voisin, qui sembla mettre une fraction de secondes à se rappeler où il était et à me reconnaître.- Bonjour !, dis-je, inquiet.- Bonjour, p’tit pédé, finit par me répondre M. C***, avec un regard lubrique.- J’espère que vous avez bien dormi… Est-ce que vous avez faim ?, m’enquis-je.- J’ai plutôt envie de pisser, dit-il en laissant apparaître une belle canlı bahis şirketleri demi-molle. Tu m’accompagnes ? demanda-t-il en se levant.Comme hypnotisé par la situation, je suivis M. C*** jusqu’à la salle de bain. Une fois devant la cuvette, il me demanda, non sans malice dans la voix :- Tu m’aides, p’tit pédé ?Mi amusé, mi gêné, je repris la bite de mon voisin en main et la dirigeai vers la cuvette, en faisant plus attention, cette fois, à bien viser ! Un puissant jet doré se mit alors à couler durant plusieurs minutes, signe que la soirée de la veille avait été particulièrement arrosée. Mais à mesure que le flot de pisse s’épuisait je sentais la queue que j’avais en main gonfler…Quand il eut terminé sa petite affaire, M. C*** m’attrapa par la gorge et m’embrassa goulûment. Incapable de réagir, je laissai mon voisin fouiller ma bouche de sa langue experte. Était-ce la pression qu’il exerçait sur mon cou ou le plaisir d’être dévoré par l’homme sur lequel je fantasmais depuis deux ans au moins ? Je ne saurais le dire, mais ce qui est certain c’est que j’étais comme enivré par la situation et que des frissons d’excitation parcouraient tout mon corps. Dans mon caleçon, je sentais mon chibre grossir et du liquide séminal perler de mon méat. Instinctivement, je commençai à caresser d’une main le torse poilu de M. C*** tandis que l’autre alla malaxer doucement ses couilles et sa verge. Après quelques minutes de ces douces caresses, mon voisin éloigna mon visage du sien et, les yeux pétillants, déclara :- Maintenant, je vais goûter à ta petite chatte de pédé ! Tu sens bon. J’espère que tu t’es bien nettoyé, ce matin ? – Oui, répondis-je avec d’autant plus d’appréhension que j’étais encore vierge et que le chibre de M. C*** me paraissait gigantesque, avec ses 20 cm de hauteur et ses 5 ou 6 cm d’épaisseur.Nous retournâmes donc dans ma chambre, où mon voisin m’intima l’ordre de me mettre à quatre pattes sur le lit, la tête posée contre un coussin. A genoux par terre, il me mit une bonne claque sur le derrière et me gratifia d’un « t’es une bonne pédale obéissante ! ». Puis, il passa sa main sur mon dos et embrassa la fesse qu’il n’avait pas frappée. Il enfonça ensuite son visage barbu entre mes deux collines imberbes tout en se branlant doucement. Sa langue commença alors à caresser mon petit trou, qui était complètement serré. Je la sentis s’activer tout autour de mon intimité, ce qui eut pour effet de me faire gémir. Le plaisir montant et le rythme de ma respiration s’intensifiant, j’eus la surprise de sentir mes sphincters canlı kaçak iddaa se détendre progressivement. Sentant cela, M. C*** commença à pénétrer mon petit trou avec sa langue. Ce faisant, ma respiration devint encore plus rapide, et ma bite, qui s’était ratatinée à cause de la peur de me faire transpercer par M. C***, se mit à gonfler peu à peu entre mes cuisses.Après quelques minutes, mon voisin cracha sur mon cul et s’humecta un doigt. Il le plaça alors à l’entrée de mon intimité, qu’il massa délicatement durant de longues secondes. Puis, il porta son doigt à ma bouche pour que je le suce à mon tour. Quand je me fus exécuté, il cracha à nouveau sur ma raie et pénétra d’un coup mon petit trou, ce qui me fit tressaillir. La sensation n’était pas du tout agréable et je débandais d’un coup, ce qui ne semblait pas du tout être le cas de M. C*** ! Peut-être conscient de l’effet qu’il me faisait, mon voisin me claqua à nouveau les fesses tout en faisant de petits mouvements à gauche et à droite pour ouvrir ma cavité. Puis, il se retira et se dirigea vers le plateau repas que j’avais préparé pour lui un peu auparavant. A ma grande surprise, il saisit la plaque de beurre que j’avais sortie, en coupa un morceau et revins se positionner derrière mon cul ! – Détends-toi, tu vas voir que tu vas aimer avoir ma bite dans ta petite chatte de pédé, me déclara-t-il.Il me badigeonna alors délicatement le trou avec le beurre et remit son doigt bien gras à l’intérieur. Sans être agréable, la sensation me parut moins douloureuse qu’au premier passage, car mon anus s’était un peu détendu. Mon voisin dut le remarquer puisqu’il décida bientôt de me mettre un deuxième doigt. Tandis que je grimaçais et suppliai M. C*** d’y aller doucement, celui-ci semblait prendre son pied à jouer avec mon intimité. Au bout d’un long moment, mon cul commença vraiment à se détendre et mon voisin reprit du beurre, pour graisser sa queue, cette fois.- On va passer aux choses sérieuses, maintenant ! me dit-il.- Allez-y doucement, demandais-je à nouveau, ce qui me valut une bifle à laquelle je ne m’attendais pas !- C’est moi qui donne les ordres, ici ! eus-je droit pour seule réponse.M. C*** décalotta ensuite son gland soyeux, le graissa et le présenta à l’entrée de mon cul, qu’il pénétra progressivement. A mesure que son pieu viril entrait en moi, une violente douleur se propageait dans mon bas-ventre et des larmes se mirent à couler sur mon visage. Pourtant, je n’avais aucune envie que mon voisin s’arrête et pas un moment je ne songeais à lui demander de se retirer de canlı kaçak bahis mes entrailles. Être possédé par lui m’avait mis dans un état second et, à ma grande surprise, mon cul sembla épouser progressivement ses dimensions. C’était heureux, d’ailleurs, car une fois M. C*** entré entièrement en moi, il m’empoigna les hanches et commença à me limer, d’abord lentement puis de plus en plus rapidement. Soumis à ce va-et-vient, je recommençai à gémir de plaisir et à bander.- Tu aimes, p’tit pédé ?, demanda mon voisin.- Ouiiiiiiiiiiiiiiii ! répondis-je, de manière un peu caricaturale mais non simulée.Satisfait de ma réponse, M. C*** me releva tout en continuant à me pilonner. Cette position était moins fatigante pour moi mais elle permit surtout à mon amant de me serrer à nouveau la gorge en passant un bras autour de mon cou et de me titiller les tétons. Les mains libres, je pus quant à moi m’astiquer le jonc, comme j’en mourrais d’envie depuis plusieurs minutes. Pendant qu’il me limait, je sentais les couilles de M. C*** taper contre les miennes et son torse dégoulinant de sueur se plaquer contre mon dos. De temps en temps, il me léchait l’oreille droite ou y glissait un juron (« putain, t’es une bonne petite chienne ! »), ce qui me faisait gémir encore plus bruyamment. A l’intérieur de moi, le plaisir était intense car le chibre de mon voisin tapait contre ma prostate, ce qui avait pour conséquence de me faire mouiller comme jamais je ne l’avais fait auparavant. Pour la première fois de ma vie, je n’étais plus moi-même, j’appartenais à un mâle. Mieux, je n’étais plus que le prolongement de ce mâle, une cavité chaude et étroite dont la seule vocation était de lui procurer du plaisir. Tout à coup, M. C*** m’empoigna les hanches et me souleva tout en se relevant. Réduit au rang de marionnette durant de longues minutes, il m’agita, moi et mon cul, sur son pieu avant de me reposer à quatre pattes sur le lit.Soumis à autant de stimulations, je sentis le plaisir monter rapidement et je finis par éjaculer abondamment sur mon matelas. Trois longs jets de sperme sortirent en effet de ma queue tandis qu’un râle de plaisir s’échappait de ma bouche.Excité par mon propre plaisir, M. C*** se retira rapidement de mon cul, monta sur le lit et m’obligea à prendre sa bite en bouche. La main droite accrochée à mes cheveux bouclés, il me baisa littéralement la gorge pendant plusieurs minutes avant de décharger à son tour sa crème épaisse. Surpris, j’avalai son cadeau avec délectation puis continuai à le pomper pour nettoyer la moindre goutte de sa semence.Ceci étant fait, nous nous écrasâmes de fatigue sur le lit. Après une bonne dizaine de minutes à nous reposer sans rien dire, M. C*** se tourna enfin vers moi et déclara :- Maintenant, j’ai la dalle ! Voyons voir ce que tu m’as préparé, p’tit pédé !

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