Le Pouvoir

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Bonjour, l’histoire que vous allez lire est noire, violente, malsaine. Elle est basée sur l’agression sexuelle et le viol. Donc si vous n’aimez pas le genre, ou si vous êtes sensible, veuillez ne pas lire ce qui suis, je peux vous le garantir, vous n’aimerez vraiment pas. Pour les autres, j’espère qu’elle vous plaira. Bonne lecture.

Lorsque Sylvie entre, je sais alors que le pouvoir qui m’a été transmis est réel. Je n’ai, au début, pas cru à cette possibilité de squatter un cerveau humain, sans aucune restriction. Les quelques petites expériences que j’ai tenté m’ont laissé sur ma faim.

Pourtant elle est là, ma nièce, 20 ans, un joli minois, plus une adolescente mais pas encore vraiment une femme, c’est très jolie blonde. Elle est entrée, me regardant sans parler, mon insertion dans son cerveau ne lui laisse que la possibilité de m’obéir, totalement, à tout ce que je lui ordonne. Je peux ensuite lui remplacer la période qu’elle va vivre, par n’importe quel souvenir, qu’elle croira bien réel, sans pouvoir se rappeler la moindre intervention de ma part, à partir du moment où je l’ai soumise.

Je peux squatter son cerveau et ordonner absolument tout, déconnecter une partie de ses muscles, lui enlever les sensations ou les ressentir moi même. Je peux ainsi me voir à travers les yeux de Sylvie rien qu’en me connectant à son cerveau. Ce qui est déstabilisant au départ, se révèle source de plaisirs pervers intenses.

Pas très grande, pas maigre sans être grosse, elle m’a souvent fait fantasmer, bien que je préfère les filles plus mûres. J’ai décidé de tester mon pouvoir sur elle, pour être sur que si il y a un problème, elle est majeure et je peux trouver une explication à sa présence chez moi. Je verrais ensuite pour d’autres plaisirs plus extrêmes.

Suivant mes pensées, elle enlève son blouson, fait passer son sweat par dessus ses épaules, son regard toujours braqué sur moi comme interloquée par ce qu’elle fait sans pouvoir résister. Elle n’a pas de gros seins, je préfère, son soutien-gorge rejoint le sweat à terre, ma main se porte sur ses mignons petits seins que je titille de ma main, en la regardant.

Elle est terrifiée, ne pouvant bouger, sentant mes mains sur ses seins, elle a envie de fuir, de hurler, sans pouvoir rien faire… J’accentue sa sensation de peur, j’aime la ressentir. Elle pleure, doucement, elle tremble, ça me fait bander encore plus fort.

Il est temps de passer aux choses sérieuses, j’ouvre ma braguette, je sors mon sexe déjà bien dur à l’idée de ce qui l’attend. Ma nièce se baisse docile, sa main empoigne ma bite, sa bouche se referme sur mon gland.

Je vois à travers ses yeux mon sexe approcher de sa bouche, y pénétrer, c’est extraordinaire, je sens à la fois mon sexe reposer sur sa langue et a travers Sylvie, je sens le sexe reposer sur la langue, ce qui est, j’avoue une drôle de sensation, n’ayant jamais moi même sucer de bite, j’ai l’impression de sucer mon propre sexe. Je ressens en même temps la honte et le dégoût que cela lui procure de n’être qu’un objet sans volonté, devant me sucer contre son gré…

Je ne peux retenir un gémissement en sentant ses douces lèvres commencer à me sucer, c’est a la fois pervers et troublant, de la sentir à ma merci, docile et soumise mais aussi révulsée et pleurante. Je me laissais sucer quelques minutes avant de gicler dans sa bouche. Je l’oblige à tout avaler, ce que Sylvie fait pour la première fois. Je lui ordonne ensuite de se relever, de monter dans la chambre, ce qu’elle fait sans aucune résistance, mais en frissonnant.

Elle enlève son jean et son slip, gardant ses chaussettes, je trouve cette tenue très excitante. Ma nièce, qui est une vraie blonde, je le sais, s’épile le sexe, j’adore. Je l’oblige à m’embrasser avec la langue, je lui caresse la chatte. Je lui ordonne de ne pas éprouver de désir, son vagin reste aride, j’ai envie de lui faire mal, de la faire hurler, de la défoncer. Elle est à moi, je vais user de mon pouvoir sur elle.

Elle n’est plus vierge, je sais qu’elle a des copains, je la fait donc se mettre penchée sur le lit, me présentant ses fesses et son sexe épilé. J’adore les vulves imberbes, même si de temps en temps un peu de poils ne me gêne pas. La vue sur son adorable petit sexe tout rose est génial, je vais la prendre, je n’en peux plus. Je ne mets pas de préservatif, je veux jouer avec le feu, prendre le risque de l’engrosser. Avant, avec les progrès de L’ADN, j’aurais bien du mal à expliquer le fait qu’elle soit enceinte de moi, si il y a un problème et je ne connais rien de sa contraception. Mais avec mon pouvoir, je peux au choix, rendre cela normal pour ma famille, ou leurs faire croire que c’est un accident de capote avec son copain. Cela va mettre du piment à notre rapport, surtout pour elle, car je distille cette peur dans son cerveau. Je n’ajoute bien attendu aucun lubrifiant, mon pouvoir me permet de lui ordonner sa lubrification intime. Si j’en ai envie, hors, comme je vous l’ai dis, je n’en ai aucune envie.

J’éprouve un plaisir indescriptible à poser mon gland contre l’entrée de son sexe, le sentir s’entrouvrir pendant que je pousse bursa escort mes hanches.

Je sens pour la première fois, à travers elle, la sensation d’une femme qui se fait pénétrer du vagin, qui s’ouvre et laisse entrer le sexe, Sylvie pleure, encore plus, intérieurement humiliée, détruite, violée…

J’enfonce mon sexe au maximum, sentant son vagin totalement sec serrer au maximum ma bite, je commence à la limer doucement profilant de son corps et savourant ce plaisir pervers.

J’empoigne ses petits seins par dessous, pendant que je la baise. Je pince les tétons jusqu’à lui faire émettre un gémissement de douleur. Ne pouvant me retenir je m’enfonce d’un coup, à fond, écrasant son corps sur le lit. Je me mets alors à la défoncer comme un sauvage, me coupant de ce qu’elle ressent, pour ne pas ressentir moi-même sa douleur. Elle râle tant elle mal, tout le long de notre accouplement. J’ai tellement fantasmé sur elle, que j’éjacule, en moins de dix minutes, au fond de son utérus fertile. J’ai rarement eus une jouissance aussi intense.

Je ressorts de son sexe qui reste ouvert quelques instants suite a ma pénétration, et commence a se refermer doucement, tandis que ma semence abondante s’en écoule. J’embrasse ses fesses, son anus, glisse deux doigts dans sa chatte. Je lui ordonne de s’allonger sur le ventre, fesses relever, offerte. Je lui ordonne d’écarter son cul, malgré mon éjaculation précédente, je bande encore plus dur rien qu’à l’idée de lui dépuceler le trou-du-cul. Ce la première que je sodomise, ma femme ou mes anciennes copine m’ont toujours refuser ce plaisir, trop gros qu’elles m’ont dit, ou encore que la sodomie les dégoûtent ou leurs fait peur… Là, je n’ai aucune gêne à avoir, elle ne peut me refuser ce plaisir.

Je me laisse tomber sur elle. Ma nièce me supplie de ne pas l’enculer, sanglotante. Je n’en ai cure. Je l’empale d’un coup, la faisant hurler. Je me mets à la défoncer immédiatement, sans laisser le temps à son trou-du-cul de s’habituer à ma présence. Cette fois, je dure plus longtemps, je la sodomise une bonne demi-heure. Prenant le maximum de plaisir dans ses entrailles magnifiquement serrées. Je me vide en criant mon plaisir.

Une fois ressortit de son trou-du-cul, je me fais sucer, à la fois pour me faire nettoyer la bite, que pour profiter une dernière fois de ma nièce. Enfin, pour aujourd’hui. Cette fois, c’est dans sa bouche que je me vide, l’humiliant encore plus en l’obligeant à tout avaler. Une fois fini, je me relève, puis me dirige vers la salle de bain, je lui ordonne de se rhabiller. Une fois ma douche prise, je me rhabille et ressort. Quand je descends, je la trouve dans l’entrée habillée comme a son arrivée. Je pends sa tête et l’embrasse sans tendresse, profitant de sa bouche avant de la renvoyer chez elle, non sans lui avoir implanté un souvenir de piscine. Prit d’un peu de pité, je lui ordonne également d’aller à la pharmacie, prendre un pilule du lendemain.

Le soir même, je passe prendre l’apéro chez Yvan, mon beau frère, Sylvie est présente, elle me fait la bise, on discute un peu comme d’habitude, elle est allée a la piscine et à passe une super après midi. Mais elle s’est aussi prit la honte de sa vie, en tombant sur les fesses, se faisant mal à l’arrière-train. Ce qui explique pourquoi elle boite un peu en marchant. J’ai du mal a refréner une érection pendant que je la revoie sur le lit, penchée et nue, pendant que je jouis dans sa jeune chatte bien serrée. Je la revois aussi à plat ventre, se faisant enculer tout en me suppliant. C’est trop, j’ai de nouveau envie d’elle, mais il y a son père et sa mère…

Une idée bien dégueulasse me traverse soudain. Je vais faire un deuxième test, pour voir l’étendue de mon pouvoir. Là, je vais frapper un grand coup. J’instille dans le cerveau de mon beau-frère et de ma nièce, de ne rien entendre. J’ordonne à ma sœur de me suivre. Lydie à trente-huit ans, elle est blonde, mince, un adorable petit cul, de gros seins. On va dans sa chambre. Je lui ordonne juste de ne pas se défendre.

Ma sœur me regarde, se demandant ce que je veux lui dire ici, dans sa chambre. Ma première claque la surprend, comme la deuxième. Je me jette sur elle, Lydie ne se débat pas. Je lui arrache ses vêtements, je la met nue. Je la viole. D’abord le vagin. C’est plus large que Sylvie, mais aussi que mon épouse qui à pourtant juste deux ans de moins. Après je me rappelle que cela fait presque un an que je n’ai pas touché mon épouse. Ma sœur hurle, supplie tout le long du viol. Elle hurle encore plus quand je me vide dans son sexe, elle ne prend pas de contraception. Ses hurlements augmentent encore en octave, quand je la retourne et l’encule. Mon beau-frère l’a déjà sodomisée, mais pas souvent, car elle est quand même serrée de cet orifice là. Une fois vidé dans son trou-du-cul, je fais comme pour sa fille, je l’oblige à me nettoyer la bite en me suçant. Mais contrairement à Sylvie, c’est sur le visage de Lydie que j’éjacule.

J’envoie un nouvel ordre à mon beau-frère et ma nièce. J’ordonne à ma sœur:

– Te nettoie pas et t’habilles pas. On retourne au salon.

Ma görükle escort sœur se relève, c’est nue et en pleurant qu’elle m’emboîte le pas. Quand j’entre dans le salon, Yvan et Sylvie regarde la télé. Ma nièce baisse les yeux en voyant sa mère, je vois qu’elle se retient de pleurer. Mon beau-frère sourit :

– Tu lui a bien mit le compte à cette salope. Mais ne t’en fais pas Lydie, ce soir c’est mon tour. Et je vais te dérouiller ta gueule de chienne, juste pour le plaisir. Allez, sers la bouffe.

Ma sœur obéit immédiatement.

Finalement je reste manger chez eux, le temps de recharger, mon test n’est pas finis. Le repas est bon. Ma sœur ne moufte pas, mais elle pleure tout du long. Une heure après, on en est au café. J’ai rechargé, je bande de nouveau. J’envoie un ordre au beau-frère.

– Lydie va faire la vaisselle, ton frère et moi, on a à faire.

Ma sœur ne dit rien, elle se lève, débarrasse et va faire la vaisselle. Quelques secondes après que sa mère soit partie, Sylvie se lève. D’une petite voix, elle demande :

– Papa, je peux aller dans ma chambre?

Yvan me regarde.

– Je ne sais pas, elle à l’âge, tu ne crois pas?

Je souris, décidément, mon pouvoir est encore plus puissant que je ne l’imagine.

– Je crois qu’il est plus que temps en effet. On a attendu deux ans de trop! Il aurait fallut le faire à dix-huit ans… C’est ta fille, à toi l’honneur.

Yvan ne se le fait pas dire deux fois. Il se lève d’un bond, il attrape sa fille par les cheveux, elle crie, mais ne se débat pas… Il lui soulève la jupe, descend son petit string. Il me dit :

– Honneur aux invités beau-frère! Elle n’est plus vierge de la chatte, mais pour le cul…

Inutile de vous dire, que Sylvie pense être encore vierge de l’anus, quand elle me voit sortir mon sexe.

Bon quand je lui enfonce mon sexe dans le cul, je peux vous dire qu’elle hurle la petite pute. Sans pitié, je la maintiens aux hanche et la bourre de coups de reins puissant, coulissant dans son anus que je dépucelle pour la deuxième fois. Son père en profite pour lui enlever son haut, son soutiff. Il se met à lui malaxer brutalement les seins. Puis il sort son engin. Il est bien moins monté que moi. Mais il l’étouffe quand même quand il lui viole la bouche. Voir son propre père se faire sucer par sa propre fille, ça me rends fous. J’explose aussitôt dans les reins de Sylvie.

Yvan fait rapidement le tour de Sylvie quand je me suis retiré. D’un seul coup, il s’enfonce dans le vagin, se moquant de ma semence qui dégouline de l’anus que je viens de violer. Il la baise méchamment lui aussi, sourd à ses cris. Mais le premier viol incestueux de Yvan ne dure pas longtemps, au bout de tout juste cinq minutes, il se met à gémir.

– Je vais te remplir la chatte sale putain!

– Pas ça! Je ne prends pas la pilule! Je ne prends pas la pilule!

Cela n’a pas l’air de gêner Yvan plus que cela, il se vide en elle en criant. Il ne se retire du corps convulsant de sa fille que pour remonter son sexe. Il encule alors Sylvie à son tour.

Une fois finis, on monte dans la chambre de ma nièce. On se la prend en doublette. Là elle hurle comme jamais. Je lui défonce le cul, tandis que son père lui défonce le vagin. Quand enfin on jouis, je suis vraiment épuisé. Je ne pourrais plus baiser de la soirée. Je décide de rentre chez moi, non sans avoir remplit les cerveaux de Yvan, Lydie et Sylvie d’ordre que je trouve bien marrant.

Ma sœur va désormais être battue par son mari. Ma nièce et sa mère vont faire les putes, chaque nuit, pour vingt euros la pipe et quarante la baise ou la sodo. Ma nièce va arrêter ses études, ma sœur démissionner de son taf, pour qu’elles se consacrent à leurs nouveaux métier. Qu’elles détestent. Je leurs interdis de prendre le moindre contraceptif, ma nièce à seulement l’autorisation de mettre des capotes avec ses clients, pendant quelques temps. Ma sœur doit tomber enceinte de clients, et ma nièce de son père. Il violera sa propre fille tout les matins, quand elle rentre du taf, et la soir, avant qu’elle n’y parte. Autant de fois qu’il peut. Il pourra la sodomiser bien entendu, mais pas plus d’une fois sur cinq. Jusque à ce qu’elle tombe enceinte de lui. Après il la prendra comme il veut. Ma sœur gagne mille cinq cents euros par mois. Mon beau-frère peut garder deux-mille-cinq, et doit me donner le reste. Moi de toutes façon je ne bosse plus, enfin je suis censé bosser, mais un petit ordre dans la tête de mon chef fait que mon salaire va tomber sans que je m’y rende. Mes collègues n’y trouveront eux aussi rien d’anormal, grâce à mon aide. Normalement, je bosse pour la mairie de la ville.

Je suis rentré chez moi en sifflant. Ma fille n’est pas là, elle est dort chez sa meilleure amie. Ma femme dort déjà. Mais bon, aujourd’hui je ne suis pas frustré de ne pas la baiser, j’ai eus ma dose de cul. C’est heureux et des plans bien pervers plein la tête que je m’endors.

Mon troisième test eu lieu avec une jeune femme comme je les aime. Armelle, dix-huit ans, la meilleure amie de ma fille que bien sur je n’ai jamais touchée, bursa escort bayan elle. Enfin pas encore tout du moins. On est deux jours après ma petite séance avec Sylvie et Lydie. J’ai eus besoin de la veille pour récupérer, je n’ai jamais autant baisé de ma vie. J’en ai profité pour passer voir Armelle dans la boutique pour homme dans laquelle elle bosse. J’ai également vu son patron.

Armelle à les cheveux châtain. Comme Mélodie, ma fille, elle s’habille vraiment très sexy, voir trop. Elle a des seins moyens, mais un cul de dingue à la chute de reins somptueuse. Je fantasme sur elle depuis quelques mois. Là je vais enfin pouvoir me la faire. Je la fais donc venir dans ma chambre.

Je vois les yeux d’une Armelle effrayée, qui me suivent sans pouvoir se soustraire, qui se demande ce que je peux bien lui vouloir. Moi le père de sa meilleure amie, moi qu’elle connaît depuis toujours. Pauvre conne, ce n’est plus une gamine, elle sait très bien ce qu’un homme et une femme font, seuls, dans une chambre. Je ressens tout cela en étant connecté à son cerveau.

Je prends un vrai plaisir à enfin la déshabiller, la regardant, l’embrassant sur la bouche, laissant mes mains se promener sur son corps ferme de jeune femme de dix-huit ans. J’ai le temps, je le prends, il n’est que midi, ma femme bosse jusque à dix-sept heures, ma fille est à l’université jusque à dix-heures. Je la met toute nue, elle se rend soudain compte de ce qu’il va se passer. Je sens qu’elle ne veut vraiment pas, pourtant Armelle ne peut que m’obéir. Elle a des seins bien ronds, avec des aréoles roses foncés, des petits tétons. Un mince filet de poils châtains coure sur son bas-ventre. Je trouve cela bien plus excitant qu’un sexe poilu ou entièrement rasé.

Je me met nu aussi le sexe dressé par ce joli corps à ma merci. La jeune fille me regarde pendant que je caresse ses petits tétons. Je la fais se mettre à genoux, je promène ensuite mon sexe sur son visage, je lui ordonne d’ouvrir la bouche. Elle se met à pleurer de honte, de dégoût, pendant que j’enfonce mon gros gland dans sa bouche, m’en servant comme d’un orifice.

Je me connecte de nouveau à elle, je sens le sexe énorme dans sa petite bouche, les hauts-le-cœurs de Armelle, mais surtout la terreur qu’elle ressent… Se faire violer est son plus grand cauchemar, et moi, le père de sa meilleure amie, je suis en train de lui faire vivre ce calvaire. Je suis surpris, je ressent le fait qu’elle n’a jamais sucée de sexe d’homme, ça la dégoûte trop. Le fait que je lui enfonce donc mon pieu dans sa bouche, en rajoute à son malheur.

Elle tète plus qu’elle ne suce, mais je savoure la perversion de mon sexe dépucelant sa bouche de salope. Je me retire, m’assois sur le lit, la fait se mettre entre mes jambes, l’oblige à me reprendre en bouche, contre son gré. Pendant que je lime sa bouche, mes mains se promènent sur son corps, explorant ses cuisses, douce, ses fesses, fermes. Je sais que je vais souvent avoir l’occasion de jouer avec elle, pourtant je décide de profiter au maximum de ce jeune corps disponible, de le visiter entièrement.

Je ne met pas longtemps à jouir, lui tenant la tête j’envoie de grosses rasades de sperme directement dans sa gorge, la faisant tousser. L’empêchant de me mordre grâce à mon pouvoir, je ne retire mon sexe qu’une fois qu’elle a bien tout avalée. Elle vient de boire mon sperme pour la première fois de sa vie, mais sûrement pas la dernière.

Je la relève en la tirant par les cheveux, elle gémit de douleur. Je la met sur le lit cuisses écartées en grand, je commence par l’embrasser de partout. Ma langue explore son sexe, se glisse a l’entrée de son vagin tout sec. Elle n’est plus vierge, mais moi qui l’ai toujours prise pour une salope, je vois qu’elle est très serrée, elle n’a pas dut avoir beaucoup de rapports, ou alors avec des petites bites. Je décide d’ouvrir le haut de ses lèvres, pour dégager son clitoris, qui à ma grande surprise est tout petit, presque minuscule. Elle ne doit pas se masturber souvent, c’est ce que je ressens. Je prend le minuscule clito entre mes dents, le mordillant pendant que mon doigt cherche le passage de ses fesses. Son dernier orifice vierge…

Une douleur fulgurante traverse le corps de la belle Armelle, elle hurle, sortant de son silence, lorsque je mord son clitoris, je ne savais pas cet endroit si sensible…

Je ne vais pas la baiser, pas de suite tout du moins. Je vais l’enculer pour commencer. J’ai peur que la grosseur de mon sexe et l’étroitesse de son vagin pose problème si je la viole alors qu’elle est aride. Je peux lui ordonner de mouiller, mon pouvoir n’a aucune limites, mais je n’en ai pas envie. Si je la prends maintenant, cela va peut-être occasionné une grosse déchirure, ce qui peut être catastrophique.

Pour son petit cul c’est différent. Même sans une bonne lubrification, je peux la sodomiser sans la déchirer. Puis même si elle a très mal sur le coup, je peux isoler son centre de la douleur pour les jours suivants, afin qu’elle ne sente pas la douleur de son petit cul défoncé. Si la sodomie n’est pas régulière, son petit cul se refermera et les traces disparaîtront très vite. Enfin, c’est si je décide de lui faire oublier mon viol, mais je n’ai pas encore décidé de la suite pour elle, je verrais à la fin. Puis ma bite sera lubrifiée par le sang de son dépucelage anal, son sexe, par mon sperme coulant de son anus.

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Le Club – Partie 05

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La baie vitrée s’ouvrait sur un coucher de soleil irradiant sa lumière flamboyante sur une plage de sable fin qui semblait ne pas avoir de fin. Cependant ce spectacle idyllique était le dernier des soucis de la pauvre Madeleine. En ce moment — même, elle se retrouvait à quatre pattes sur la moquette de cette luxueuse chambre d’hôtel, le poids du juge pesant sur son dos, son sexe figé dans son vagin. Elle haletait sous les coups de boutoirs du vieillard qui, depuis qu’ils étaient arrivés au Mexique, ne cessait de la trousser dans tous les endroits au gré de ses envies en profitant de l’anonymat dont il bénéficiait à l’étranger. Elle hurla quand elle sentit la chaleur du sperme dans son ventre. Depuis une semaine, il lui avait confisqué ses pilules et elle devait désormais vivre avec la hantise de se retrouver enceinte de son tourmenteur. Même rassasié, le vieillard ne la libéra pas. Il resta de longs instants toujours pesant sur son dos avant de se relever avec cette expression d’extase sur le visage qui lui donnait l’envie de vomir. Il la regarda quelques instants.

– Il fait chaud, dit — il. Tu es en sueur. Tu as besoin d’une bonne douche.

Elle comprit l’ordre implicite et se dirigea vers la salle de bain en sachant très bien comment tout cela allait se terminer. Bientôt, le juge allait se glisser derrière elle sous la douche et la sodomiserait sans pitié. Elle retint ses larmes en maudissant ce maudit viagra qui permettait à ce vieillard d’être aussi actif qu’un jeune de 20 ans.

Le juge laissa Madeleine partir vers la douche et se dirigea vers le bar pour se servir un verre. Il allait attendre un peu avant de la rejoindre. L’idée qu’elle allait passer de longues minutes sous l’eau chaude terrorisée constituait le début de sa jouissance. Il sortit dégusta son verre en regardant le soleil couchant et en pensant à l’autre raison qui l’avait conduit à choisir le Mexique comme lieu de villégiature.

Leo Campo, avocat au barreau de Mexico, arriva dans la petite pièce où l’attendait sa cliente, Théodora Lupa. Détenue depuis presque une semaine, elle apparaissait totalement épuisée. Il fallait dire que cette étrangère de 40 ans était bien plus habituée à fréquenter les soirées mondaines que les cellules humides des prisons mexicaines.

– Alors? demanda — t — elle avec une impatience fiévreuse.

– Je suis désolé, s’excusa l’avocat, mais ma demande de libération a été rejetée et votre cas ne sera pas examiné avant au moins 10 jours.

– 10 jours, s’affola — t — elle.

Cela tournait au délire. Elle qui était marchand d’art s’était avec les années spécialisée dans la vente de pièces d’origine aztèques à de riches collectionneurs de sa région et elle devait reconnaître qu’elle avait dû souvent accepter de travailler avec des trafiquants. Possédant des origines mexicaines par son grand — père et même la double nationalité qu’elle avait acquise pour justifier ses voyages fréquents, elle avait ainsi réussi à se former un réseau parallèle aux canaux officiels et totalement illégal mais qui lui permettait d’obtenir des pièces rares et de financer son train de vie depuis son divorce. Sa dernière affaire avait tourné au fiasco le plus total. Elle apparaissait pourtant comme la plus juteuse des opérations qu’elle devait mener. Un riche collectionneur désirait une pièce très rare. Elle était tellement rare et il la désirait tellement ardemment qu’il était prêt à payer une somme qui lui avait donné le tournis. Il avait même versé un acompte qui à lui seul valait autant que la somme qu’elle avait touché pour ses deux affaires précédentes. Cependant, il voulait aussi que cela se fasse vite et elle avait dû se déplacer à Mexico pour récupérer la pièce et c’était là que les choses avaient tourné au vinaigre. Elle avait été arrêtée par la police locale lors de l’achat de cette pièce et se retrouvait désormais emprisonnée pour un vol d’objet rare.

La prison était horrible. Les femmes qu’elle côtoyait étaient toutes des brutes et elle avait déjà échappé à deux tentatives de meurtre alors que son avocat avait obtenu pour elle un régime de faveur qui faisait qu’elle était isolée des autres la plupart du temps. Visiblement, le fait d’être une européenne faisait d’elle une cible privilégiée. Tant qu’elle conserverait son régime de faveur, elle réussirait à survivre mais qu’arriverait — il le jour où elle se retrouverait mêlée aux autres détenues?

– Qu’en est — il du cœur de l’affaire, demanda — t — il sitôt le contrecoup de sa déception passé.

– Pas fameux, lui répondit Léo. Les preuves sont lourdes. Ils ont l’enregistrement de la transaction et le témoignage de l’homme qui vous a vendu le talisman. C’est une pièce d’une valeur historique unique selon les experts et notre pays s’est lancé dans une politique de guerre sans pitié contre les pillards de sites archéologiques. Le plus grave est qu’ils vont se servir de votre double nationalité pour affirmer que vous êtes mexicaine et ainsi contrer toute tentative de votre pays d’origine de vous rapatrier.

Théodora noua ses mains sur la table, tout allait de mal en pis.

– Qu’est — ce que je risque exactement?

– Par votre vendeur, ils pensent prouver que vos trafics durent depuis des années et ils veulent une condamnation exemplaire. Cela pourrait bien aller de 20 à 30 ans.

– 30 ans?!? Mais c’est pire qu’un meurtre!!! C’est de la folie.

– Je vous l’ai dit, une nouvelle loi a été votée pour punir sans pitié les trafiquants de pièces archéologiques et vous risquez d’en être la victime.

– Mon dieu mais je bursa escort ne tiendrais même pas 30 jours dans cette prison.

Leo Campo soupira.

– Je comprends et je ne sais pas combien de temps je pourrais faire durer votre régime de faveur.

Il réfléchit une seconde puis regarda derrière comme s’il craignait qu’on écoutât leur conversation. Finalement il se pencha vers elle.

– Il y a peut être une solution, murmura — t — il, mais normalement je ne devrais pas vous en parler car c’est totalement illégal.

– Une solution, s’emballa Théodora en se penchant vers lui.

– Oui, reprit Leo en lui indiquant de rester discrète. C’est très compliqué et risqué mais ça peut marcher. Il faudrait que vous avouiez un crime commis dans votre pays et qu’un juge demande alors votre extradition.

Théodora afficha une mine interdite, elle ne comprenait rien du tout.

– Mon pays ne veut pas se fâcher avec le votre et s’il s’acharne sur vous c’est à cause de votre nationalité mexicaine mais s’il avait la certitude que la juridiction de votre pays vous recherchait pour un crime au moins aussi grave que celui pour lequel il veut vous juger, il ne s’opposerait pas à ce que vous soyez jugée chez vous pour les deux crimes. Ensuite, un excellent avocat pourrait enterrer les deux affaires.

– Un crime pour lequel je risquerais 30 ans mais je devrais avouer un meurtre au moins.

– Pas forcément une escroquerie serait suffisante si elle est de grande échelle. Ce n’est pas une question de peine mais d’ampleur du crime. Le plus difficile n’est pas tant de trouver un crime que de trouver un juge suffisamment naïf et motivé pour demander votre extradition… A moins qu’il vous connaisse.

– Je ne comprends pas.

– Comme vous devez l’avoir compris j’ai étudié ce cas car je pressentais que vous seriez en grande difficulté. J’ai découvert que par une chance immense un juge très puissant de votre région d’origine était en vacances dans notre pays, il se nomme de Saint Servier. Le connaissez — vous?

– De Saint Servier? répéta Théodora.

Oui elle connaissait ce gros coincé et pour tout dire, elle le méprisait. Il était l’un des grands pontes du parti conservateur alors qu’elle-même militait depuis longtemps pour le parti de centre gauche, son principal opposant. Elle avait même été élue alors que lui — même se retrouvait nommé comme le pire président que la région avait connu, selon son avis personnel. Elle s’était ouvertement opposée à lui à l’époque et ne manquait jamais de lui faire ressentir son mépris à chaque fois qu’ils se croisaient. Sachant cela, pourquoi est — ce qu’il accepterait de l’aider?

– Je le connais mais il ne m’aidera jamais, avoua — t –elle.

– Pourtant, il a accepté de venir vous rendre visite dans deux jours, affirma Leo.

Elle lui jeta un regard accusateur. Il avait pris la décision de contacter de Saint Servier sans son autorisation.

– Si vous ne voulez pas de son aide, vous n’aurez qu’à lui dire, décréta Léo qui n’avait cure de ses atermoiements.

Ce fut en rentrant dans sa cellule que Théodora apprit que son régime de faveur prendrait fin dès le lendemain et elle fut forcée de rejoindre une cellule déjà occupée par 5 autres femmes qui la dévisagèrent dès qu’elles la virent. Une d’entre elle, une grosse matrone à moitié édentée s’approcha d’elle sitôt les gardes éloignés.

– T’as une belle peau toute claire, la complimenta — t — elle en passant sa main sur sa joue.

Par réflexe, Théodora repoussa cette main crasseuse et le visage de la femme devint sombre.

– La blanche s’prend pour une reine, grogna — t — elle. Elle croit qu’on va lui servir le thé.

Les autres femmes éclatèrent de rire et Théodora ne sut pas quoi répondre. Soudain la femme sortit un objet et la brandit vers elle. Théodora ne dut qu’à un nouveau réflexe de ne pas avoir la gorge tranchée par un couteau de fortune mais il se planta dans son poignet qu’elle avait placé en protection. Elle hurla de douleur alors que la matrone se jetait sur elle en tentant d’arracher son arme de sa blessure. Les gardes arrivèrent en courant et ouvrirent la cellule. Elle fut conduite à l’infirmerie immédiatement et elle y passa la journée qui précéda sa rencontre avec de Saint Servier.

Le juge de Saint Servier lui apparut étrangement différent. Ce vieillard presque sénile semblait presque plus jeune et plus alerte mais Théodora mit cela sur le compte de sa captivité. Fréquenter trop longtemps la lie de la société devait faire apparaître toute personne normalement constituée meilleur qu’il n’était en réalité.

Immédiatement, il remarqua son large bandage au bras et sourit.

– Ma pauvre Théodora, je suis navré de votre situation. Les malotrues qui pourrissent dans ces prisons ne doivent pas être tendre.

Décidemment, il n’avait pas perdu son sens des euphémismes.

– Maître Campo vous a expliqué la situation? demanda — t — elle pressée d’en finir.

– Oui et il a été très précis. C’est un avocat très intelligent pour inventer une telle idée mais il doit être un peu fou aussi ; proposer une telle chose à un homme comme moi surtout en pensant à nos relations jusqu’à présent.

– Vous n’allez pas m’aider.

– Je n’ai jamais dit ça. Je pourrais le faire, il se trouve même que j’ai une bien meilleure solution encore, j’instruis actuellement l’affaire Blenon. Vous la connaissez, je crois. Vous étiez naguère une grande amie d’Amandine Blenon mais vous ne lui parlez plus depuis que son mari s’est ruiné dans cette affaire.

Ce görükle escort n’était pas aussi simple. Se compromettre avec une femme liée avec un escroc aurait ruiné sa carrière politique et c’était sur les conseils de son président de parti qu’elle avait pris ses distances avec Amandine.

– Bref, il reste que c’est une affaire très obscure et je suis toujours à la recherche de témoins me permettant de l’éclairer un peu. Il me suffirait de justifier que soyez une pour obtenir votre extradition. Vous seriez même protégée de toute poursuite le temps de l’instruction et elle risque de durer des années voire même nous conduire jusqu’au délai de prescription de cette sombre affaire de trafic.

Le cœur de Théodora cessa de battre tant tout cela lui semblait trop beau. Elle pouvait retrouver sa liberté.

– Cependant, reprit le juge, si je fais cela pour vous, il faudra bien sûr en payer le prix.

– Tout ce que vous voulez, s’emporta — t — elle bien trop heureuse d’échapper à la mort que lui promettait cette maudite prison mexicaine. Je vous donnerais toutes les informations sur mon parti, je serais un transfuge, je pourrais même rester dans le parti et vous renseigner sur leurs stratégies.

Elle était prête à trahir ses meilleurs amis pour sauver sa vie mais le juge se contenta d’un sourire ironique.

– Comme si cela m’intéressait, ma chère. Cela fait des années que je manipule votre parti pour lui faire croire qu’il constitue une opposition réelle contre nous alors qu’ils ne sont que des fantoches sans consistance qui ne m’ont jamais fait peur.

– Mais alors que voulez vous? Je ne suis pas assez riche pour vous acheter, je le sais.

– Mais vous, tout simplement ma chère. C’est vous que je veux. Je vous veux à ma botte, totalement docile à mes moindres désirs.

Pendant une seconde, elle crut qu’il plaisantait ou pire qu’il ne faisait cela que pour la torturer mais il restait parfaitement calme et elle comprit qu’il était totalement sérieux.

– Vous ne pouvez pas croire que je vais accepter cela. Je suis tout de même Théodora Lupa et …

– Et tes jours sont comptés, ma belle, la coupa de Saint Servier. Avec tes habitudes de la haute, tu vas faire un malheur dans cette prison. J’ai vu que tu avais déjà goûté aux plaisirs de la vie en communauté et crois — moi cela ne va pas s’arranger. Je sais par mon métier comment cela se passe dans les prisons de notre pays alors je n’imagine même pas comment cela se passe dans celle — ci. Pauvre folle, si cela ne tenait qu’à moi, tu pourrais bien y pourrir d’ailleurs mais il se trouve que j’ai promis à un ami de t’asservir pour lui. Il possède déjà ton ancienne amie Amandine et il aimerait reconstituer la paire mais si tu refuses, je réussirais bien à trouver une autre bourgeoise prétentieuse pour le contenter.

Il se leva alors et se dirigea vers la porte de sortie d’un pas décidé. Il tapa pour qu’on lui ouvrît et elle vit tous ses espoirs de survie disparaître avec lui. Le désespoir s’empara d’elle et ce fut lui qui lui dicta les paroles qui sortirent de sa bouche.

– Ne partez pas! Je vous donnerez tout ce vous voulez mais ne partez pas!

De Saint Servier se retourna en souriant. Il fit signe au garde qu’il n’en avait pas fini et il revint vers elle.

– Alors nous allons enfin pouvoir nous entendre.

Elle lui céda sur tout. Il lui fit signer de nombreux documents. Dans certains, elle reconnaissait une fausse participation dans les escroqueries de Blenon et acceptait d’être extradée dans son pays. Dans d’autres par contre, elle vendait pour une bouchée de pain la totalité de ses biens à un certain David Angel qu’elle ne connaissait même pas. Le pire fut celui où elle renonçait à sa nationalité d’origine pour ne garder que la mexicaine. Elle allait se retrouver immigrée dans son propre pays et il lui fallut un certain temps pour comprendre le but de la manœuvre. Ainsi de Saint Servier devenait son seul rempart contre un retour express au Mexique. En tant que mexicaine, elle n’avait plus les mêmes droits et s’il lui retirait son statut de témoin dans l’affaire Blenon, elle ne resterait que quelques jours chez elle avant de se retrouver exactement à l’endroit où elle se trouvait en ce moment. Elle se retrouvait prisonnière de son ancien ennemi politique.

Cependant, sur le coup, elle ne vit que le fait qu’il tint sa promesse. Elle retrouva son régime de faveur et surtout ne resta dans sa prison que quelques jours. De Saint Servier était un homme bien plus efficace qu’elle l’aurait cru et la justice mexicaine se plia à sa volonté en un temps record et elle fut mise dans un avion sous escorte policière. Le plus horrible fut qu’elle croisa de Saint Servier qui empruntait le même vol qu’elle. Il était accompagné par une jeune fille blonde d’une vingtaine d’année à l’air absent et elle comprit qu’elle n’était pas la première à tomber en ses griffes.

Le vol lui parut affreusement long tant son esprit fut hanté par l’image de cette fille qui suivait docilement de Saint Servier. Quand l’avion se posa, les policiers mexicains la remirent entre les mains de leurs homologues locaux et elle fut conduite au palais de justice où elle fut détenue pendant une journée. Le lendemain, elle revit de Saint Servier qui avait réendossé son rôle de juge.

– Comme je vous l’ai précisé lors de notre rencontre précédente, madame Lupa, mentit — il, vous êtes désormais témoin protégé et je vous interrogerais en temps voulu. Je lève votre mandat de dépôt, vous êtes libre.

Son avocat, un bursa escort bayan commis d’office puisque désormais, elle n’avait plus les moyens de se payer un ténor du barreau, la raccompagna jusqu’à son appartement qui appartenait désormais à un inconnu. Elle rentra et, épuisée, s’endormit toute habillée.

Elle fut réveillée des heures plus tard par quelqu’un qui tambourinait à sa porte. Elle regarda par la porte et vit la masse imposante d’un géant noir. Elle reconnut le chauffeur africain de de Saint Servier. Son sang se glaça dans ses veines et verrouilla la porte. L’homme continua à s’acharner sur la porte puis soudainement il commença à s’énerver et frappa violement. La porte sauta. Un second coup encore plus violent et la serrure céda. Propulsée en arrière, Théodora cria, elle n’aurait jamais cru que cet homme fut aussi fort.

– Partez ou j’appelle la police, hurla — t — elle.

Mais l’homme ne dit rien et ne partit pas. Il s’approcha d’elle et entoura ses puissantes mains autour de son cou. Elle lutta pour résister et voulut hurler encore pour appeler à l’aide mais déjà l’air lui manquer et elle sombra dans l’inconscience persuadée de vivre ses derniers instants.

Elle se réveilla cependant mais elle n’était plus chez elle mais dans le living d’un immense appartement qu’elle ne connaissait pas. Il lui fallut quelques instants pour retrouver totalement ses esprits et ce fut à ce moment qu’elle la vit. Il s’agissait sans conteste de la jeune fille qu’elle avait vu en présence de de Saint Servier. Elle était agenouillée en face d’elle totalement nue, les yeux baissés. Cette vision la terrassa tellement qu’elle ne remarqua même pas l’homme qui était assis à côté de la pauvre jeune femme.

– Notre invitée est enfin réveillée, Madeleine, fit de Saint Servier.

Entendre la voix du juge la tira définitivement de son état de semi — conscience. Il était assis sur un sofa rouge juste à côté de la jeune fille, sa main passant entre ses cheveux. Théodora eut immédiatement l’image d’un maître caressant son chien et elle fut prise d’un haut le cœur.

– Mon chauffeur m’a expliqué votre comportement ma chère et j’en suis déçu. Surtout que votre nouveau propriétaire va devoir appeler un serrurier pour réparer votre porte. C’est impardonnable.

– Qu’attendiez — vous? Que je vous obéisse?

– Mais vous n’avez pas le choix. Avez — vous déjà oublié vos amies de la prison de Mexico?

Il se leva alors et la jeune femme qu’il avait appelé Madeleine trembla de tout son corps. Il s’approcha d’elle, encore faiblarde, elle n’eut pas la force de se relever et il l’agrippa par le bras.

– Si c’est le cas, je peux vous offrir un stage dans une de nos prisons les plus sélects, histoire de vous donner une petite piqure de rappel et si ça ne suffit pas, je vous offrirais un voyage gratuit pour Mexico land. J’ai parié avec des amis que vous n’y survivriez pas plus de deux jours et je déteste perdre un pari.

Son bras devint bleu sous l’effet de sa poigne et elle ne put réprimer un sanglot. Elle n’avait jamais réalisé la dureté de cet homme qu’elle avait toujours considéré comme un second couteau de la politique.

Il défit le pan de la robe de chambre qu’il portait et lui présenta son membre puissant.

– Suce, paquita! ordonna — t — il.

Vaincue, elle enfourna ce sexe de vieillard dans sa bouche.

Le juge avait enfin vaincu la résistance de salope orgueilleuse. Il lui en avait fallu du temps et des efforts pour ça mais au moins c’était fait et désormais Angel aurait ce qu’il désirait et il pourrait profiter de la petite Blenon comme prévu. A ce moment cependant, il ne pensait qu’à la bouche de cette bourgeoise qui était en train de s’activer sur son sexe. Et il devait avouer qu’elle avait du talent. Bien que son excitation n’avait pas été extrême au début, il se sentait désormais totalement envahi par la désir. Théodora savait se servir de sa langue et usait aussi de sa main dans l’espoir de le conduire rapidement à l’orgasme mais il était bien trop rodé à ce petit jeu pour se laisser prendre. Une fois bien échauffé, il la repoussa violemment contre le sofa, elle cria sous le coup de la surprise mais ne montra aucun signe de résistance. Il sourit, satisfait de sa docilité nouvelle. Visiblement, elle avait compris qu’il n’était pas dans son intérêt de le défier. Il se baissa pour se mettre à sa hauteur et plongea son regard dans le sien pour y lire les signes de sa soumission. En même temps, ses mains se posèrent sur son chemisier et, sans ménagement, il le déchira, dévoilant sa poitrine. Par réflexe, elle voulut cacher ses seins désormais dévoilés mais il écarta ses bras. Il se plaqua alors contre elle. Frottant sa poitrine contre la sienne. Leurs visages entrèrent en contact et elle voulut s’écarter de nouveau mais il la força à lui faire face et à l’embrasser. Il insinua sa langue dans sa bouche, recherchant avidement une langue qui tentait de fuir la sienne. Petit à petit il l’obligea à s’allonger sur le dos et ses mains descendirent vers son pantalon et commencèrent à dézipper sa braguette. Quand il entreprit de lui retirer son pantalon, elle souleva son fessier presque par réflexe pour lui faciliter la tâche. Une fois débarrassé de ce pantalon, il se retrouva installé entre ses cuisse et observa un instant son entrejambe que seule une petite culotte de soie blanche protégeait encore de ses assauts. D’un geste rapide, il l’arracha et plongea sa tête vers son clitoris qu’il commença à titiller. Il voulait faire la faire jouir et avec son talent habituel combiné au corps réactif de cette femme, il y arriva à une vitesse qui le surprit presque. En relevant la tête, la, bouche nimbée de son fluide, il lit sur son visage la honte qu’elle ressentait suite à l’orgasme qu’il venait de lui offrir. Elle était prête pour l’estocade.

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La Pionne

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College

Pionne

Nous nous demandons souvent comment la vie de quelqu’un peut basculer dans l’enfer? A quel moment le virage de la vie fut trop raide?

Je vais vous raconter mon virage…

Je m’appelle Marion. Au début de cette histoire, j’avais 22 ans, j’avais une belle vie, classique mais belle. J’étais une petite brune de 1m65, mignonne avec la particularité d’avoir des seins en forme de poire qui plaisaient énormément à mon chéri Julien.

Enfin, jusqu’à ce mercredi après-midi de juin où il m’annonce, après 3 ans de couple et d’amour, qu’il me quitte pour Sophie. Je m’effondre, mon monde est détruit. L’homme de ma vie me quitte pour une autre. Si bien que je passe l’été à déprimer au point de lâcher mes études d’infirmière.

Pendant le moi de juillet, je suis tellement abattue que je ne veux plus rien faire. Je souhaite à ce moment que ma vie s’arrête tout simplement. Mais mes parents ne l’entendent pas de la sorte. Ils me demandent, enfin ils exigent que je trouve un travail et que je me reprenne en main. Mais avec seulement un bac en poche, à 22 ans et aucune qualification, ce n’est pas évident…

Alors, mise au pied du mur, j’épluche quand même quelques annonces et je tombe sur une proposition de poste d’assistante d’éducation dans un lycée près de chez moi. Courrier avec CV (très court) et lettre de motivation envoyés, je reçois un appel quelques jours plus tard pour un entretien.

L’établissement est situé au milieu d’une cité réputée pour ses dérives mais le lycée a une bonne réputation. L’entretien se passe à merveille et je ressors avec le poste. Rendez-vous deux semaines plus tard pour la rentrée de septembre.

Le 2 septembre, je suis en route pour le lycée mais mon esprit revient toujours à ma rupture, c’est horrible. Je suis l’une des premières à arriver sur place et je rencontre les CPE. Il y a Madame T., une grande femme imposante, suivie de Madame S., une femme à l’allure très stricte, et Monsieur P., un homme banal et sans charme.

Les autres collègues arrivent au fur et à mesure. Je me présente timidement jusqu’à l’arrivée d’un homme, grand, brun, la peau mat et un regard pénétrant. Il s’approche de moi :

— Salut, tu es la nouvelle je suppose, moi c’est Antoine.

Je me noie dans son regard, je suis absorbée par ses yeux.

— Je… heuu… je suis Marion.

La journée est lancée. Comme il y a beaucoup de travail pour préparer la rentrée : des documents à photocopier, des dossiers à faire pour les profs, etc… elle passe hyper rapidement. Le lendemain même histoire, tout va très vite et je découvre un peu mieux mes collègues. J’en viens presque à oublier ma rupture.

Nous sommes une équipe de 12 surveillants , 4 garçons et 8 filles, tous de différents profils sociaux et d’âge compris entre 22 et 31 ans. J’apprends qu’Antoine a 26 ans, qu’il est ici depuis 4 ans et si j’ai bien compris c’est non seulement un peu le comique du groupe, mais surtout l’un des éléments moteur.

Il y a Mélissa aussi qui fait partie du binôme moteur, une femme de 31 ans, très froide et très pro, mais avec un côté « robot de travail ».

Je me fais très discrète dans le groupe comme je suis la petite nouvelle, mais l’ambiance est plutôt joviale et sympathique.

Le 4 septembre mon réveil sonne, il est 6H30. C’est le grand jour, mon travail de pionne va enfin vraiment commencer avec la rentrée scolaire. Le temps est beau et les températures encore hautes ce qui me pousse à opter pour une petite robe d’été avec des sandales type spartiate. Je me trouve belle dans le miroir, ça me redonne un peu de bonne humeur. Arrivée au lycée, je dis bonjour à mes collègues qui me regardent avec un air surpris. Je ne comprends pas vraiment leur réaction. Antoine rentre dans la salle de la vie scolaire bursa escort et marque un temps d’arrêt en me voyant :

— Waouh Marion, tu n’as pas peur d’être comme ça ici?

— Pourquoi? Dis-je, étant surprise par sa remarque.

— Tu comprendras vite par toi-même.

Encore étonnée de cette réponse énigmatique, l’entrée des CPE dans la salle coupe mes pensées.

— Bonjour à tous, aujourd’hui c’est le top départ pour une nouvelle année, nous comptons sur vous pour donner le meilleur de vous-même.

Tout le monde est silencieux et écoute attentivement le discours.

— Marion, tu es la nouvelle donc tu vas t’occuper de la grille avec Sandra qui va te guider.

Sandra est une femme de 28 ans plutôt réservée et physiquement lambda. Les CPE donnent le top départ et tout le monde rejoint son poste . Pour ma part, je suis Sandra comme son ombre jusqu’à la grille.

— Bon Marion, notre mission ici est d’accueillir les élèves ainsi que les parents à l’entrée du lycée, mais également de s’assurer qu’il n’y ait pas de débordements.

L’établissement est entouré par des tours d’immeubles, c’est plutôt très impressionnant. Les premiers élèves arrivent et les premiers regards se posent sur l’inconnue que je suis. Sandra se tourne vers moi et me dit :

— Tu sais, tu es nouvelle, les élèves vont vouloir te tester, tu vas devoir être ferme.

La majorité des élèves sont originaires de la cité et étudient en section bac professionnel, pour les autres ce sont principalement des élèves de bonne famille en bac S ou L.

La matinée passe extrêmement vite et l’heure du déjeuner arrive. Je suis de surveillance au réfectoire avec Antoine, chose qui m’enchante intérieurement. C’est lui qui me donne les instructions.

— Bon, ici c’est plutôt simple, il faut juste être présent et éviter les débordements, rien de plus.

— Ok, je devrais m’en sortir.

Antoine me regarde de haut en bas :

— Tu t’habilles souvent comme ça? Ça te va très bien, mais je ne suis pas certain que tu passes inaperçue auprès de nos jeunes!

En finissant ça phrase il part en rigolant. Je ne sais pas comment le prendre, est-ce un compliment ou non? La surveillance se passe bien jusqu’au moment où un groupe d’élèves en bac pro arrive au réfectoire. Ils sont très bruyants et plutôt agités. Pendant le repas, des jets de nourriture partent sur certains élèves placés à d’autres tables. Je prends mon courage à deux mains et m’avance dans la direction des nouveaux arrivants pour leur demander de se calmer. Mon cœur bat plus fort.

— Messieurs, s’il vous plaît, un peu de tenue vous n’êtes pas des animaux!

Un des élèves me regarde de haut en bas, son regard me déstabilise.

— Ok ça marche! si tu le dis…

Je fais demi-tour et j’entends clairement un « pute » partir derrière moi. Je n’ose me retourner quand un « salope » retentit et fait rire certaines tables. Je passe au rouge écarlate et je ne sais quoi faire. Antoine s’aperçoit de mon mal-être et intervient auprès de la table. Je suis maintenant trop loin et, avec le bruit ambiant, je n’arrive pas à entendre la conversation mais la table l’écoute attentivement. Quelques secondes plus tard, Antoine revient vers moi .

— Voilà c’est réglé, ils ne t’embêteront plus.

Je reste admirative devant cet homme, il est tellement charismatique que j’en fonds.

La journée se termine sans autre incident. Je décide pour le reste de la semaine de changer de tenue et de mettre des pantalons. La semaine passe très vite, le boulot est prenant et j’ai encore du mal à trouver mes marques. Antoine est toujours très chaleureux avec moi et je dois avouer que je commence fortement à avoir une attirance pour lui.

J’en apprends beaucoup sur lui au fil de görükle escort nos conversations pendant nos rondes dans l’établissement. Il m’explique qu’il est originaire du quartier, qu’il avait été lycéen ici, que ses parents sont d’origine arabe musulmane mais qu’ils ont voulu lui donner un prénom français pour qu’il ne soit pas jugé par la société. Il fait du sport, du rugby pour être précise. Il m’a d’ailleurs invitée à venir le voir jouer un jour.

Enfin bref, je pense de moins en moins à Julien, je crois que je commence à tomber amoureuse!

Ça fait maintenant deux semaines que je suis au lycée. Nous sommes mardi et je suis en « tournée couloir » avec Antoine, nous discutons tranquillement quand d’un seul coup il s’arrête et me regarde.

— Je te plais Marion?

Je sens mon visage virer au rouge.

— Euuuh… Je… Pourquoi cette question?

— Je te vois très souvent me fixer et je dois t’avouer que tu ne me laisses pas indifférent non plus.

Je reste immobile devant ses propos, je ne sais que faire. Il s’approche de moi, prend ma tête entre ses mains et pose ses lèvres sur les miennes. Je crois que mon cœur va éclater, je lui rends son baiser tendrement. Puis nos bouches se décollent et il reprend sa marche, l’air de rien. Pour ma part je reste figée sur place comme si me trouvais dans un autre monde. Antoine se retourne :

— Tu viens, nous avons du boulot.

Je le suis, mais j’ai du mal à reprendre mes esprits. Pourtant la journée se termine le plus naturellement possible.

Le lendemain j’arrive au boulot avec une petite appréhension, le baiser d’hier était-il sincère ou juste une pulsion masculine? Je me pose dix mille questions lorsque je me retrouve face à lui dans le couloir.

— Salut Antoine, je voulais te dire pour hier…

Il m’attrape par le bras droit, me tire dans un angle du couloir et m’embrasse de nouveau fougueusement. Je sens mon cœur accélérer, je suis transportée dans un autre monde. Il s’arrête et me regarde droit dans les yeux :

— Tu voulais me dire quoi?

— Euuuh… Non, rien d’important.

— D’accord, alors embrasse-moi encore, jeune femme.

Je ne peux que répondre à cette demande par un baiser tendre.

— Bon, allons bosser et restons discrets pour le moment.

Je passe la journée l’esprit sur un petit nuage. A la moindre occasion il m’embrasse. Pendant trois jours nous répétons les mêmes scènes.

Puis nous sommes vendredi. J’arrive au lycée, guillerette et impatiente de voir Antoine. Je veux sentir ses lèvres sur les miennes. Je le vois et je m’approche de lui. Mais, il me regarde drôlement, et juste avant que je l’embrasse, il me stoppe.

— Salut Marion, écoute, je ne veux pas te vexer, mais si tu veux que nous allions plus loin toi et moi il va falloir que tu fasses un effort.

Je suis surprise de ses propos.

— Comment ça?

Il marque un temps d’arrêt et me regarde de haut en bas.

— Écoute, ce qui m’a plu chez toi le premier jour c’est ton côté féminin, mais là tu es tout le temps en pantalon et pour moi ce n’est plus possible. Il faut que tu changes ça si tu veux aller plus loin avec moi.

Vraiment estomaquée, je cherche mes mots :

— Je… Je… Oui d’accord, pas de soucis, je vais faire ce qu’il faut.

— Très bien, je compte sur toi.

Il m’embrasse sur le front et il part. Ce jour-là, je n’ai droit à aucun baiser.

Le week-end passe et je me retrouve devant mon miroir avant le départ au travail. Les températures de septembre sont encore élevées alors j’opte pour une robe bustier avec des ballerines. Sur le chemin du lycée, l’appréhension m’accompagne. J’ai peur de décevoir Antoine une fois de plus. J’arrive dans la salle de la vie scolaire, mais je ne vois Antoine. bursa escort bayan Il n’y a que mes autres collègues. Je discute avec eux quand mon téléphone vibre. Je regarde et je vois qu’il s’agit d’un SMS d’Antoine :

« Monte au 3ème étage, je t’attends. »

Je quitte la salle discrètement pour le rejoindre. Une fois au 3ème étage je ne le trouve pas. Alors je lui envoie un SMS :

« Je suis au 3ème, tu es où Antoine? »

Dix secondes plus tard, je reçois :

« Dans la salle 309, viens! »

Je m’approche de la salle et toque à la porte doucement au cas où il y ait d’autres personnes. J’ouvre doucement et passe la tête par la porte. Je vois Antoine assis sur une table.

— Ah bah enfin! Me dit-il.

— Entre et montre-moi comme tu es belle.

Rassurée, j’entre.

— Ah bah voilà c’est beaucoup mieux comme ça!

Il s’approche de moi et m’embrasse enfin. Je suis au paradis, mon cœur battant follement.

— Bon, tourne sur toi-même pour me montrer tout.

Je tourne sur moi-même sans réfléchir, comme une automate.

— J’aime beaucoup cette robe Marion, je te remercie d’avoir pris en compte mon besoin.

Il s’approche à nouveau de moi et m’embrasse. Sauf que cette fois-ci je sens sa main se poser sur mon postérieur et commencer à le malaxer. Je reçois comme une décharge qui me traverse le corps. Personne ne m’a touché depuis ma rupture. Il passe sa main sous la robe pour mieux toucher mes fesses et s’arrête d’un coup.

— Une culotte… sérieusement? Tu t’es crue au 19ème siècle?

— Je… Je ne savais pas que tu allais faire ça… Donc je n’ai pas prévu.

— Et alors! Tu aurais dû justement!

Je ne sais pas quoi répondre. Il me regarde dans les yeux.

— Bon écoute, c’est pas grave. Je comprends que tu ne veuilles pas aller plus loin avec moi et…

Je le coupe dans sa phrase :

— Non, non, excuse-moi, je ferai attention maintenant! Promis!

— Bon d’accord, je te fais confiance Marion, mais du coup peut-être que tu pourrais te faire pardonner tu ne crois pas?

Il prend ma main et la pose sur son entre jambe.

— Je… Tu veux dire… Ici maintenant?

— Oui pour commencer la journée de boulot sur de bonnes bases. Et puis ne t’inquiète pas, personne ne va venir ici.

Il tient ma main et tout en me regardant dans les yeux, il caresse son sexe que je sens durcir. Je suis un peu perdue, cela va si vite!

Il lâche ma main et sans un mot appuie doucement sur mes épaules pour me mettre à genoux. Mon visage est à la hauteur de sa braguette déformée. Je ne sais pas si j’ai honte ou si je suis excitée. Il avance encore vers moi. Alors je descends sa fermeture éclair et glisse ma main dans son pantalon. Avec quelques difficultés je sors un beau sexe circoncis plutôt bien proportionné. Je le caresse puis le branle un peu maladroitement. Il continue à durcir et se tend vers mon visage. Je le prends en bouche, le goût est bon. je le suce délicatement jusqu’au moment où Antoine prend les choses en mains.

— Bon, nous allons nous endormir là! Allez go… Accélère!

Et il pose ses mains derrière mon crâne et il commence des va-et-vient dans ma bouche. J’ai complètement perdu le contrôle de ma fellation. Après quelques minutes, il se crispe et je sens son sperme emplir ma bouche. Surprise, une partie ressort et coule sur le haut de ma poitrine découverte par le décolleté.

— Ahhhhhhh… bah voilà, ça fait du bien. Merci ma belle, allons travailler maintenant.

Il range son sexe, remonte sa braguette et sort de la pièce. Et moi, je suis encore à genoux, surprise de ce qui vient de se passer. Je prends un mouchoir et essuie le sperme sur moi avant de sortir aussi.

La journée passe normalement. Le soir, dans mon lit, je repense à cette fellation et je me dis que c’était fou. Toutefois j’ai beaucoup aimé. Avant de m’endormir, je reçois un SMS d’Antoine :

« Demain, ne me déçois pas ma belle! »

Je ne réponds pas, mais je m’endors avec son visage dans mon esprit.

A suivre…

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La déchéance de Juliette Ch. 02

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Lesbian

Traduction d’un texte de TheDarkCloud

*****

Juliette fut très mal à l’aise lorsqu’elle arriva à l’hôtel vêtu à partir de la taille d’un simple soutien-gorge. Elle dut inventer une histoire embarrassante pour le gardien bourru (mais amusé) et la réceptionniste hautaine. Elle dit qu’elle était avec l’homme de la chambre 207 mais qu’on lui avait volé son haut. Pouvait-elle rejoindre son ami pour se rhabiller ?

Elle fut convaincante mais la réceptionniste appela quand même la chambre avant de lui permettre de monter.

Heureusement l’hôtel était calme. Elle ne rencontra personne dans les couloirs. Elle était gênée et avait peur d’être reconnue.

Elle prit l’escalier, ne voulant pas risquer l’ascenseur, et quelques minutes plus tard, elle se trouva devant la porte de la chambre, son cœur battant la chamade.

Elle se dit qu’elle pouvait encore battre en retraite mais lorsque cette porte serait ouverte, elle ne pourrait plus reculer. Elle pensa à sa carrière, à tout ce qu’elle avait fait pour réussir. Pour la préserver, elle allait souffrir et être humiliée durant toute la nuit.

Mais elle se motiva. Elle aurait sa revanche. Quand elle connaîtrait l’homme dans la chambre, elle pourrait découvrir l’organisateur du chantage. Et là, elle ferait de leur vie un enfer.

Pour le moment, elle prit une grande inspiration, elle se donna du courage et elle frappa à la porte de la chambre d’hôtel.

Elle attendit assez longtemps, se sentant dans une position inconfortable debout dans cette tenue au milieu du couloir. Elle entendit la porte de l’ascenseur s’ouvrir avec un « ping ». Puis elle entendit des voix sans savoir si elles s’éloignaient ou se rapprochaient.

Mais la porte de la chambre s’ouvrit. Un homme s’encadra dans la porte, empêchant Juliette d’entrer dans la pièce et ainsi réduire son embarras.

– Ah commissaire PORTIER, je suis tellement content de vous rencontrer. Je vous admire, de loin, depuis longtemps.

Juliette pouvait difficilement cacher son dégoût, non seulement du chantage, mais de cet homme de type maghrébin. Pourrait-elle faire quoi que ce soit avec lui ?

Elle avança, espérant qu’il recule pour la laisser entrer. Mais il ne bougea pas si bien qu’elle tapa contre lui.

– Allez ! Laisse-moi entrer ! Quelqu’un pourrait me voir.

– Ça me fait plaisir de vous voir aussi pressée d’entrer dans ma chambre. Mais je voudrais être sûr que vous allez faire ce que je dis. Enlevez votre soutien-gorge, libérez vos seins, laissez-moi voir vos gros nichons et je vous laisserai entrer.

Juliette était exaspérée. Elle détestait être commandée. De l’être par cet homme lui tourna l’estomac. Surtout qu’il souriait, sa bouche basanée révélant un ensemble de dents blanches en dessous d’une moustache.

– Oh très bien !

Elle consentit, désespérée.

Elle passa ses mains dans son dos et détacha son soutien-gorge, consciente de l’humiliation subie. Certains paieraient cher pour cela. Elle tira les bretelles, laissa tomber son soutif avant de couvrir ses seins avec ses mains. Mais l’homme lui dit non avec ses doigts et lui demanda de mettre ses bras sur le côté. Elle le fit à contrecœur, consciente que quelqu’un pourrait apparaître dans le couloir à tout moment.

Le type attrapa ses seins avec ses grosses mains et les malaxa durement. Puis il dit :

– Très bien, Vous devenez une chienne plus agréable. Maintenant, pour pouvoir entrer, vous allez vous mettre à genoux et embrasser mes chaussures.

– Quoi ? NON ! je ne veux pas !

Mais même si elle refusait, elle savait qu’elle devrait obéir pour qu’il la laisse entrer. Alors elle se mit à genoux, les seins nus au milieu du couloir. A ce moment, arriva dans le couloir un jeune couple manifestement ivre. Ils s’arrêtèrent et regardèrent cette rousse à moitié déshabillée puis se mirent à rire. Juliette entendit la jeune fille dire :

– Ça doit être une pute !

La policière rougit de honte et continua à embrasser les chaussures en cuir de son tourmenteur. Finalement celui-ci recula, la laissant entrer dans la chambre. L’entendre fermer et verrouiller la porte derrière elle la remplit bursa escort d’effroi.

– Venez donc ici. Et prenez un verre.

L’homme lui tendit un verre de champagne. Juliette, après tout ce qu’elle avait enduré ce soir, sentit qu’elle en avait besoin. Elle avala tout d’un seul coup. Elle tendit le verre à son hôte et essaya de reprendre le contrôle de la situation.

– Vous savez qui je suis. Et croyez-moi, je saurais qui vous êtes, pour qui vous travaillez. Alors arrêtons cela avant que ça n’aille plus loin. Laissez-moi partir et j’oublierai à jamais ce qui est arrivé.

Mouloud eut un grand sourire et secoua la tête tristement. Puis il lui parla comme à un enfant buté.

– Je ne pense pas commissaire. Vous connaissez les conséquences si vous ne faites pas ce que l’on vous demande. Vous avez obéi jusqu’à présent, la suite va être facile. Et puis je vous assure que votre corps va apprécier. J’ai l’habitude des femmes de caractère et vous êtes si attrayante, cela va être très amusant pour nous deux.

Juliette fulminait. Elle accepta un deuxième verre de champagne qu’elle descendit d’une traite encore.

– Vous voulez m’humilier encore plus. Vous voulez que je m’étale sur le lit, jambes écartées pour que vous puissiez prendre du plaisir. C’est cela ? Très bien !

Que ce soit la boisson (qui avait été droguée par Mouloud) qui commençait à faire effet ou qu’elle fut résignée à son sort n’avait pas d’importance. Elle fit ce qu’elle avait dit. Elle déboutonna rapidement son pantalon d’uniforme et le jeta sur le sol. Rapidement, ses chaussettes blanches et sa culotte suivirent le même chemin.

Nue, elle se laissa tomber sur le dos sur le lit de la chambre. Puis elle écarta les jambes, avec un air de défi.

– Allez Salaud ! Qu’est-ce que tu attends ? Tu veux me baiser, alors viens.

Mouloud sourit et enleva sa veste.

– Oh ma chère, si vous saviez comme vous êtes sexy quand vous êtes en colère. Oui je veux te baiser mais ce n’est pas ce que je prévoyais pour l’instant. Je veux te voir, chère commissaire, à genoux devant moi. C’est ta bouche qui doit m’honorer en premier.

Durant ses paroles, il enleva sa chemise, révélant un torse musclé et poilu. Puis il déboutonna son pantalon.

Juliette ferma les yeux, se demandant pourquoi elle devait faire cela. Mais elle était trop engagée, elle ne pouvait plus reculer. Elle descendit du lit et s’agenouilla devant l’homme dégoûtant.

Elle se prépara, en essayant de saliver sur sa langue, à goûter sa première bite depuis plus de cinq ans. Elle comprit qu’elle devait enlever le caleçon elle-même. Elle le fit avec un regard dégoûté sur le visage qui ne s’améliora pas lorsqu’elle vit le membre durci devant ses yeux.

– Allez Commissaire PORTIER, j’ai attendu longtemps et payé beaucoup pour ce moment. Sucez-moi ! Sucez votre maître !

« Son maître ? » pensa Juliette. Mais elle n’eut pas le temps réfléchir alors qu’il enfonçait sa bite raide dans sa bouche. Elle entoura le membre de ses lèvres, et lentement, elle le travailla sans enthousiasme avec sa langue. Ce fut une erreur. Ennuyé, Mouloud plongea sa bite profondément dans sa gorge ce qui étouffa la policière. Puis dans un mélange de bile et de salive, il continua à cogner la bouche sans l’aide de la femme.

Puis il sortit la verge de la bouche afin de la faire rebondir sur les lèvres et le menton, souillant le visage de Juliette. Il utilisa son membre comme une brosse à dents sur toute la surface dentaire et il prit un grand plaisir à pousser sa bite à l’intérieur contre les joues. Il essuya sa queue dans les cheveux en désordre et la fit glisser sur la face de la policière humiliée.

Juliette, agenouillée, lui permit tout, pensant à sa réputation à garder.

L’homme la souleva afin de la jeter sur le lit, les jambes grandes ouvertes. Il approcha son visage de la chatte de la femme, écarta les petites lèvres avant de plonger deux doigts dans le trou afin de le sonder.

– Quel est le problème Commissaire ? Vous ne mouillez pas ! Dois-je vous exciter ? Voulez-vous des stupéfiants ? Il me semble que ça vous stimule normalement.

Juliette görükle escort grimaça et se mordit la langue, déterminée à ne pas lui donner la satisfaction d’une réponse. Mais ses doigts rugueux continuaient à triturer ses parois vaginales si bien qu’elle ne put s’empêcher de se tortiller à ce contact tout en laissant échapper un gémissement. Elle se détesta de se voir réagir ainsi mais c’était instinctif et elle ne pouvait se contrôler. Quand il enfonça ses doigts plus profondément, elle se sentit mouiller. Les phalanges de Mouloud glissèrent de plus en plus facilement. Il se moqua :

– Voilà qui est mieux. Maintenant voyons voir si ma bite veut bien entrer.

Il n’avait pas mis de préservatifs et elle ne prenait aucune contraception. Mais elle n’eut pas le courage de se plaindre, sachant que cela ne servait à rien.

L’homme prit ses jambes au niveau des chevilles, il glissa facilement son membre en elle, puis il commença à la baiser.

Juliette sentit un mélange d’émotions montées en elle. D’une part, elle se sentait humiliée d’être utilisée de cette manière, de n’être pas plus qu’un objet au service de cet homme. Mais son corps n’avait pas connu cela depuis longtemps. Il y avait belle lurette qu’elle n’avait eu un petit ami. Elle se consacrait seulement à son travail.

Son corps réagissait à l’action de MOULOUD. Il se déplaçait pour être en rythme avec les coups de butoirs du maghrébin. Ses mamelons s’étaient raidis et sa chatte de venait de plus en plus humide à chaque pénétration.

Ne pouvant lutter contre l’embrasement de son corps, elle décida d’essayer de reprendre l’ascendant :

– Viens salaud ! C’est tout ce que tu peux faire ? Il m’en faut plus pour me satisfaire…..

Mouloud sourit cruellement et martela plus puissamment le bassin de sa partenaire. Il tendit ses mains pour saisir et peloter rudement les seins charnus, les griffant tout en grinçant des dents sous l’effort fourni pour baiser cette chienne.

– Tu parles trop Salope de flic. J’ai un bien meilleur usage de cette bouche.

Il se retira de la chatte, et grimpa sur le lit, de façon à avoir son aine près du visage de Juliette. Puis il poussa une nouvelle fois sa bite dans la bouche de la policière, lui faisant lécher et sucer son propre jus.

– Tu en veux plus Salope ?

La réponse de la femme ne fut que grognements et gémissements. L’homme retira sa verge gluante de la bouche haletante. Juliette se laissa retourner facilement. Son persécuteur la pénétra brutalement en levrette. Il se pencha pour attraper les cheveux roux complètement ébouriffés et s’en servit comme des rênes. Avec enthousiasme il martela le sexe de la policière tout en giflant son cul.

Elle ne pouvait rien faire. Mais l’excitation sexuelle de son corps lui fit perdre toutes inhibitions et défenses. Elle sentit un frisson courir le long de sa colonne vertébrale lorsqu’un doigt commença à sonder son petit trou du cul serré.

Tout d’un coup, cette femme dure et intransigeante dans sa vie professionnelle, supplia en gémissant pour que l’homme ne lui prenne pas son cul encore vierge. Elle s’y était toujours opposée même plus jeune, pendant ses années d’étude.

Mais elle ne put trouver les mots pour le convaincre. Il était trop occupé à la baiser et à enfoncer le plus profondément possible son doigt dans son cul. Soudainement, il éjecta sa bite de la chatte et le conduisit dans le petit trou serré. Et il la sodomisa violemment avec de grands va-et-vient. Il tint son emprise sur les cheveux roux tout en accélérant le rythme.

Aussi rapidement, il se retira et fourra sa bite dans la bouche ouverte de sa victime.

– Et voilà ! Regardez donc cette fière commissaire de police sucer ma bite qui sort de son cul. Allez Salope, suce bien !

Juliette prit tout le membre, trop fatiguée pour se plaindre. Elle sentit la queue exploser, pulvérisant du sperme collant dans toute sa bouche. Mouloud finit d’éjaculer sur son visage, laissant des traînées de foutre épais sur les joues et le nez. Avec ses doigts il les récupéra afin de nourrir la bouche encore ouverte.

Puis il se dirigea vers la salle de bursa escort bayan bain.

Le stress et la tension de la journée, combinés aux efforts physiques et aux grands verres de champagne eurent raison de Juliette qui se tourna et s’endormit presque immédiatement. Ainsi, elle échappa à l’horreur de ce qu’elle avait subi.

Elle se réveilla quelques heures plus tard, trouvant la chambre déserte. Tous les signes de présence de son violeur avaient disparu. Tous ses vêtements (et même la chemise qu’elle avait jeté à la poubelle) étaient soigneusement pliés et disposés sur la petite table de la chambre.

Alors que les souvenirs de la nuit remontaient, elle s’habilla rapidement et elle s’enfuit de cette chambre de luxure.

Elle voulait enquêter sur ce Mouloud et sur l’homme qui l’avait fait chanter. Vu sa position, elle ne pouvait permettre que ça se reproduise. Elle se jura de faire souffrir ces hommes.

Le matin, bien que fatiguée, elle voulut arriver au travail sans retard. Elle ne voulait pas montrer à ses tourmenteurs qu’ils avaient gagnés et qu’elle était affectée par cette nuit.

Elle se doucha longuement, afin de laver les souillures de son corps et de son esprit. Elle s’habilla avec son costume le plus professionnel. Elle se sentit de nouveau puissante alors qu’elle rejoignait, le visage fermé, le commissariat.

Elle pénétra dans son bureau, fermant la porte derrière elle. Elle était soulagée de retrouver la sécurité de cette pièce.

Mais ce soulagement fut de courte durée car elle aperçut une autre enveloppe kraft posée sur son sous-main. Elle resta figée un moment, puis elle déchira férocement le pli, laissant tomber deux vidéos et une note imprimée.

Presque à bout de souffle, elle commença à lire :

« COMME PROMIS ? VOUS TROUVEREZ LA VIDEO ORIGINALE DE VOS EBATS AVEC MONSIEUR DAVID.

SUR LA SECONDE, VOUS POURREZ VOIR UN FILM TRES TRES CHAUD. NOUS AVONS TRAVAILLE TOUTE LA NUIT DESSUS. IL S’AGIT DES EVENEMENTS DE LA CHAMBRE 207. JE SUIS CERTAIN QUE VOUS ALLEZ ENQUÊTER SUR MOULOUD AFIN DE SAVOIR QUI IL EST REELLEMENT.

CE N’EST PAS UTILE. SON NOM EST MOULOUD BEN ARFI, IL A 33 ANS ET VIENT DU MAROC. JE SUIS CONTENT QUE VOUS VOUS SOYEZ SI BIEN ENTENDUS.

J’OUBLIAI DE VOUS DIRE QU’IL A DEJA ETE CONDAMNE POUR TRAFIC DE DROGUE. IL A ETE LIBERE IL Y A 8 MOIS. SA BANDE EST SOUPCONNEE D’AVOIR ORGANISE LA NUIT DERNIERE UN GO FAST ENTRE BARCELONE ET PARIS.

HEUREUSEMENT QUE MOULOUD AVAIT UN ALIBI N’EST-CE PAS ? »

Juliette s’effondra dans son fauteuil en cuir. Elle relut la note, l’incrédulité et l’horreur s’affichant sur son visage. C’était un cauchemar.

Elle vit que le dos de la note était écrit aussi, alors elle lut la dernière partie :

« ALORS MA CHERE ? COMMENT PENSEZ VOUS QUE REAGIRAIENT VOS EMPLOYEURS AINSI QUE VOS COLLEGUES EN VOUS VOYANT PASSER LA NUIT AVEC UN TRAFICANT DE DROGUE DEJA CONDAMNE PENDANT QUE SA BANDE IMPORTE LA PLUS GROSSE QUANTITE DE DROGUE DE CES DERNIERES ANNES ?

JE PENSE QUE VOUS SUBIRIEZ UNE ENQUÊTE APPROFONDIE AVANT D’ÊTRE ARRÊTEE.

ALORS SOYEZ A LA CABINE TELEPHONIQUE DE L’AUTRE NUIT DANS VINGT MINUTES OU J’ENVERRAI CES PREUVES A QUI DE DROIT »

Dans un état second, Juliette expliqua à ses collègues qu’elle ne se sentait pas bien et comme un zombie, elle se dirigea vers sa voiture pour rejoindre la cabine. Elle attendit deux minutes avant que le téléphone sonne.

La voix de la nuit dernière parla, ne la laissant pas commenter :

– Très bien Commissaire, il semble que vous apprenez à obéir. Maintenant, si vous voulez que notre petit secret reste entre nous, vous allez devoir effectuer le premier jour de travail honnête de votre vie.

– De quoi parlez-vous espèce de tordu ?

– Quelle insulte Commissaire ! Mais peu importe ! Dans quelques minutes, une limousine noire va arriver pour vous prendre. Vous allez travailler une journée dans un bordel spécialement sélectionné pour vous. Si vous faites ce que l’on vous demande, si vous obéissez toute la journée, personne ne saura pour MOULOUD. Dans le cas contraire, je vous laisse deviner les gros titres des journaux de demain. A vous le choix Commissaire !

La ligne fut coupée. Juliette se tourna à droite et vit une longue voiture noire venir se garer le long du trottoir. Elle hésita une seconde et, à contrecœur se dirigea vers le véhicule. Elle ouvrit la porte et s’engouffra dedans.

A suivre…

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Du mauvais coté

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Amateur

1

Le super panard. Je traîne interminablement au lit. Le ciel est bleu et lumineux au dessus de la ville quasi déserte, en ce début juin 1940, alors que la guerre fait rage au loin.

Dans la rue, je note un mouvement furtif sous un porche.

Elle est raccagnée dans un angle, à l’entrée d’un passage couvert.

-Salut. Dis je

-Bonjour. Répond elle en tremblant.

Petite, mince, visage fin et cheveux châtains mi longs. Elle blêmit devant ma médaille de police. Comme j’ai écarté ma veste pour qu’elle voit mon automatique, elle n’esquisse même pas une tentative de fuite.

-Ouvre ton sac.

Le tutoiement est délibéré. Elle doit sentir que je tiens la foudre dans ma main.

Un pain à moitié rassi, un pot de cornichon et une sorte de tranche de pâtée dont mon chien ne voudrait pas.

-Le pillage est puni de mort.

Elle le sait, bien sur. Elle se met à pleurer et parle en vrac, d’un petit frère et de sa mère malade qui n’a pas pu partir. Elle me supplie.

La cage d’escalier est chaude et sèche. Je lui enlève sa robe d’été. Elle porte en dessous une culotte blanche toute simple et rien d’autre.

Elle est à genoux, la bouche arrondie, prête à avaler ma bite. Je lui glisse mon membre et elle est prise de hauts le coeur. Heureusement, elle n’a pas mangé depuis deux jours, et c’est sans conséquences. Elle pleure sans discontinuer.

Je la relève, et la tourne face au mur.

Elle supplie de plus belle quand je baisse sa culotte.

-Tu préfères douze balles dans la peau? Lui dis je.

Elle baisse la tête, vaincue.

Bon dieu, je sens la résistance de son hymen au coeur de son sexe vierge. Elle pleure encore plus.

-Il y a un moyen.

Elle se détend un instant lorsque je quitte sa petite vulve fraiche. Mais c’est un cri de pure douleur qui s’échappe de ses lèvres quand je lui poinçonne le cul. Elle gémit de détresse, ensuite, alors que son orifice secret s’accommode peu à peu de l’intrus, heureusement lubrifié de sa bave. Lorsque je ressors, un filet de foutre coule doucement sur sa cuisse.

Je remonte mon pantalon, que j’avais descendu à mi cuisse.

-Tu es une voleuse, Sarah Bronski. Et à présent, une petite salope. Ma bursa escort petite salope. Compris?

Elle me regarde sans comprendre. Je lui jette sa robe, qu’elle enfile prestement. Je la conduis jusqu’à ma voiture, garée non loin. J’ouvre le coffre et glisse un pain et un bocal de pâté dans son pauvre sac.

-Les allemands sont à quelques jours d’ici, après, tout retournera à la normale. En attendant, si tu as de nouveau faim, j’habite là, au deuxième gauche. Mais tu paieras avec ton corps.

Elle ne sait si elle doit me remercier ou me maudire, mais elle file.

Je regarde ma ville. J’ai l’impression d’être le roi de Paris. Les rues sont vides, tout le monde s’est enfui. Pas moi. La police doit veiller à l’ordre, que le vainqueur trouve une capitale bien rangée.

Le lendemain soir, on frappe à ma porte. Je suis couvert du sang d’un gars. Il faut vraiment que je perfectionne ma technique d’égorgement.

Un coup d’oeil au judas. Dans la pénombre de la cage d’escalier, je reconnais les boucles qui se parent de reflets fauves dans le soleil rasant.

J’ouvre, elle sursaute, je sens l’abattoir et la sueur.

-Entre

Elle se glisse dans l’entrée et je ferme derrière elle.

Je la guide jusqu’à la pièce principale; un canapé fatigué et une petite table pour mes repas de célibataires.

Elle est déjà en train de retirer sa robe, la même que l’autre jour. J’allume la lampe à pétrole sur la table. La lumière dorée inonde son dos pâle. Elle se tourne vers moi. Sa culotte est d’un rose passé tirant sur le gris, à présent. Je m’approche, elle sent le propre. Je passe ma main dans son dos et me colle à elle. Elle émet une sorte de petit cri de surprise et je crois, de peur.

Ma main glisse sur sa cuisse, entraînant sa culotte et dévoilant son petit buisson. Je prends mon temps. Je la pousse sans violence mais fermement vers l’arrière. Elle refait son petit cri en tombant sur le canapé.

Je délace mes bretelles et mon pantalon tombe au sol. Je bande déjà très dur. J’enjambe l’habit et présente ma bite devant son visage.

-Suce.

J’ai eu chaud, aujourd’hui, et sa grimace me confirme que mon gland y a gagné un parfum épicé. Mais le spectacle görükle escort de ses lèvres allant et venant le long du mât est un régal. Je suis à un doigt de lui lâcher la purée dans la gorge. Je la repousse.

Elle est autour de mes jambes, son sexe tout neuf exposé. Je me mets à genou et place mon chibre à l’entrée de sa chatte. Elle pleure quand je la déflore, avec un petit cri quand je déchire son hymen. Je la pilonne un bon moment, avant de sortir d’éclabousser son ventre plat. Je ricane, son nombril est plein de sperme et ressemble à une petite tache plus blanche que le reste. Je lui donne un torchon pour s’essuyer.

Peu après, elle quitte l’appartement avec un poulet.

Je m’assieds et réfléchis. La canonnade gronde au loin, tandis que la glorieuse armée française se fait tailler en pointe. Ils seront bientôt là. Il va falloir être un peu plus imaginatif pour durer.

Elle revient le lendemain.

-Merci de ne pas être venu dans ma matrice. Dit elle.

Je ne réponds pas, je suis peu soucieux de fabriquer une mère fille, mais c’était surtout pour l’humilier. elle a dû se renseigner sur la reproduction humaine.

Cette fois-ci, je la mets à genou sur le tapis pour la pipe. Pris d’une impulsion, je lui bloque la tête avec les mains avant de me servir de sa bouche comme d’un sexe. Lorsque je touche le fond de sa gorge, elle a un hoquet et se débat. Mais ma prise est ferme et je finis par lui inonder la gorge. Elle a une toux qui lui fait couler du foutre par la narine droite, comme de la morve. Je ris et elle pleure.

Elle repart, le sac lesté d’un salami. Chère petite polack. J’ai localisé le trou à rat où elle se cache. C’est dans une petite rue borgne pas loin, et effectivement, il y a un petit frère, et une mère alitée. Ma vieille maman disait toujours que c’est mal de profiter du malheur des gens. C’est surement mal, mais c’est aussi beaucoup plus facile.

Je me promène dans la ville et je raccompagne un soir un gamin au nez morveux jusqu’à une loge de concierge. La concierge est un blonde bien en chair, dans la trentaine.

-Votre fils était dehors. Il avait des denrées pillées dans ses poches.

Elle ouvre des yeux affolés. bursa escort bayan Elle sait ce que ça veut dire.

-Pitié, monsieur l’agent, Bernard est si jeune.

Je fais partir le petit vers le fond de l’appartement.

-On peut peut être s’arranger.

-Je n’ai pas d’argent, le père du petiot est sur le front.

-Vous êtes une femme.

Son regard me montre qu’elle a compris. Elle met le verrou sur la porte du fond.

Elle ouvre sa blouse et relève sa combinaison. Elle a un sacré placard, bizarrement sombre. Elle pose son cul sur le bord de la table, les jambes écartées. Je lui relève les cuisses et entre sans fioriture. Elle souffle quand je tape dans le fond, mais sinon, j’ai l’impression de limer un oreiller. Je la retourne et elle crie “non” quand ma bite s’introduit entre ses fesses.

Son petit trou est bien fermé, et je dois m’employer pour le forcer. Le conduit serre délicieusement ma mentule. Elle s’est mise une main devant la bouche pour étouffer ses cris., surement pour ne pas alarmer Bernard.

Je regarde les toits de Paris depuis le toit de mon immeuble. La nuit résonne de lourds grondements. Le pas de pieds bottés retentit dans les rues vides.

L’officier allemand s’approche de moi et me demande qui je suis.

-Inspecteur Delbard, bonjour.

Le gars a l’air surpris de rencontrer quelqu’un qui parle sa langue. Mais il me sourit. Il a l’air crevé et sale. Je lui tends un panier avec du vin blanc frais et un peu de pain et de saucisson. Il prend ma carte de policier et sort un petit carnet pour noter mon nom. Je lui tend ma carte de visite.

Le coup de fil est arrivé moins d’une semaine plus tard. Je gagne les locaux de la préfecture et un fonctionnaire chauve m’informe de mon détachement auprès des nouveaux maitres de la ville.

Je vais au 27 boulevard Lannes. Il s’avère que mon officier est un ponte de la SD, leur police secrète, et qu’il a apprécié mon geste spontané. Il m’invite à m’asseoir dans un fauteuil confortable et me tend un cigare. Il me propose d’intégrer la gestapo française, qui commence à naître. Je mets les formes pour refuser, d’abord parce que ces malotrus sont d’anciens truands de la race des vrais nuisibles et que je suis un policier décoré pour avoir abattu un anarchiste qui venait de tuer un banquier.

Je pénètre tranquillement dans le bureau de communication de la police. Cet honorable service a pour but de faciliter les échanges avec l’occupant. Ce n’est que le début.

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Initiations

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Big Tits

1

La soirée battait son plein. Le piège allait se refermer. J’avais invité une trentaine de personnes dans ma maison de campagne. Officiellement, il s’agissait de fêter mes 36 ans. Mais tout ce qui m’intéressait était Elise, une femme de 41 ans, très sexy. Le genre dont je devinais que, derrière son image de gentille femme mariée, sommeillait une ravissante petite salope. C’est son mari qui m’avait contacté après avoir lu certaines nouvelles publiées sur le net. Après quelques échanges de mails, nous avions décidé ensemble de la meilleure manière de transformer son épouse en parfaite petite salope.

Elise était conforme à la description que son mari m’en avait faite : 1m60, 60 kilos, de beaux yeux verts, cheveux courts, un fessier accueillant moulé dans une robe très sage ne pouvait cacher une belle poitrine. Dès l’instant où je la vis, je me dis que ce serait un régal de la soumettre à mes caprices… Mais plus encore, au moment où je lui fis la bise, je sentis que j’avais bien à faire à une femme épanouie, dont seules quelques barrières morales l’empêchaient encore d’apprécier une sexualité plus marquée. Son mari avait raison. Elle avait passé une bonne partie de la soirée en sa compagnie, il était temps de passer à la seconde phase de notre plan. Me faufilant entre les invités, j’apportais deux coupes de champagne à Karl et Elise. Tout en parlant pour essayer de couvrir la musique, j’observais Elise boire son verre sans imaginer une seconde que j’y avais glissé un puissant désinhibiteur. La musique, la chaleur… Ca allait rapidement faire effet. Cette mixture ne pouvait transformer une nonne en pute, mais si Elise avait bien le potentiel que nous pensions, alors cela suffirait amplement. Après un second verre du même cocktail, il était évident que Elise n’allait pas tarder à en ressentir les effets. C’est à ce moment qu’un complice vint renverser son verre sur la chemise de Karl. Il me laissait son épouse le temps de se nettoyer dans la salle de bains.

Elise se rendit à peine compte de la disparition de son mari. En souriant, j’invitais ma proie à danser. Elle ne songea même pas à refuser, preuve que le produit faisait déjà son effet. Au moment où elle fit un pas vers le centre de la salle, je la vis bursa escort légèrement tituber et je posai ma main autour de sa taille afin de la soutenir. Elle me sourit pour me remercier. Je la serrai un peu plus contre moi sans qu’elle réagisse.

Je m’approchais de son oreille pour lui parler.

– Tout va bien?

Elle ne répondit pas, se contentant de sourire. Je fis un signe à mon complice. Il était temps de passer aux choses sérieuses. Je jetais un regard aux invités. Personne ne s’apercevrait de notre disparition. Je commençais déjà à bander.

Mon complice, Mohammed, referma la porte de la chambre. Nous y étions. Karl m’avait devancé. Tout avait été convenu à l’avance. Il ne devait pas prononcer un mot, l’appareil photo entre les mains.

Elise était maintenant allongée sur le dos, au milieu du lit, les yeux mi-clos, complètement détendue, à notre merci. Je m’allongeai près d’elle, lui immobilisai les poignets au dessus de la tête. De ma main droite, je commençai doucement à déboutonner son chemisier.

Un bouton.

Un autre.

Sa grosse poitrine semblait tendue à l’extrême. Elise poussa un léger gémissement au moment où j’ouvrais un troisième bouton.

Encore un autre.

En regardant son mari, j’écartais les pans de son chemisier. Karl bandait dans son pantalon. Il était comme hypnotisé. Comme convenu, il restait immobile. Je laissai glisser ma main sur les seins d’Elise dont la respiration s’accélérait.

D’elle-même, elle écartait légèrement les jambes, emprisonnée dans sa jupe. Je mouillai deux doigts et les passait sous son soutien gorge à la recherche de ses tétons. Je le sentais s’ériger sous ma caresse tandis qu’elle poussait un nouveau soupir.

Je fis un signe à Mohammed. Il m’aida à remonter sa jupe. Nous pouvions tous voir son slip blanc. J’étais complètement allongé à coté d’elle, mon visage près du sien, lui maintenant les poignets au dessus de sa tête.

– Alors, comment tu te sens Elise?

Elle ne répondit pas, se contentant de sourire. Je passais ma main sous sa culotte.

– Elle se rase, confirmai-je à Mohammed.

Je regardai son visage tout en passant deux doigts le long de sa fente. Le sourire de son visage disparut.

Mes görükle escort doigt allaient et venaient le long de son sexe, s’amusant à glisser près de son clitoris, tout en prenant bien soin de ne pas la pénétrer. Une caresse toute juste insistante dont Karl ne manquait rien. La respiration d’Elise se faisait de plus en plus marquée.

– Alors ma petite salope, tu aimes ce que je te fais?

Elle ne répondit pas, mais fit un « oui » de la tête.

– Tu veux que j’enfonce mes doigts dans ta chatte?

Je fixais son visage. Elle était partagée entre plusieurs sensations. S’abandonner complètement, chercher à qui appartenait cette voix. Karl fixait la bosse que faisaient mes doigts sous la culotte blanche.

J’approchais mon visage du sien tout en insistant un peu plus. Mes deux doigts restaient à l’entrée de son sexe, glissant sur une mouille abondante.

– Embrasse-moi.

Elle tourna son visage vers le mien, la bouche entrouverte. Je relâchais ses poignets. Comme je m’y attendais, elle resta dans la même position, sans qu’il soit besoin de la tenir.

Elle posa ses lèvres sur les miennes. J’enfonçais mes deux doigts dans sa chatte, lui arrachant un soupir de satisfaction. J’en profitais pour glisser ma langue dans sa bouche. Sa respiration trahissait tout le plaisir qu’elle prenait. Nos langues se caressaient. Elle ouvrait grand la bouche pour que je puisse m’amuser avec elle. Je voulais que Karl voit à quel point sa femme s’abandonnait rapidement. Mon baiser se fit plus sensuel, tout en la branlant.

– Tu aimes te faire branler?

Je faisais aller et venir mes doigts de plus en plus fort. On pouvait entendre les clapotis de mouille dans toute la pièce. Je continuais à l’embraser, puis reculai légèrement mon visage. Elle restait là, la bouche ouverte, gémissant comme une chienne.

J’adressai un signe à Mohammed qui prit l’appareil photo des mains de Karl et commença à mitrailler.

– Tu aimes ça? insistais-je en continuant de m’enfoncer en elle.

– Oui… fit elle dans un souffle.

Je glissai un troisième doigt dans sa chatte trempée. Mohammed posa l’appareil et lui retira son slip. Karl me voyait maintenant branler sa femme en plein cadre. bursa escort bayan La salope se tortillait sur le lit, son visage éclatant d’un sourire ravi.

– Qu’est-ce que tu voudrais maintenant…?

Je connaissais la réponse à la façon dont elle serrait les cuisses autour de ma main. Nouvelles photos.

Je glissai deux doigts dans la bouche d’Elise qui se mit à les sucer avidement. Elle était prête. Je fis signe à Mohammed qui se déboutonna et me tendit l’appareil photo.

Il s’agenouilla près d’Elise.

– Viens branler ta femme, fis à Karl. Elle va gouter une bonne queue.

Fixant sa femme, il approcha à son tour et entreprit de lui caresser la chatte. Elise gémissait de plus en plus. Mohammed approcha son gland du visage d’Elise.

Le moment était intense. Il posa le gland sur les lèvres entrouvertes et d’elle-même, elle tourna la tête pour gober le sexe tendu. Mohammed lui saisit la nuque, histoire de l’aider (la position n’était pas des plus confortables pour elle) et commença à coulisser entre ses lèvres. De mon côté, j’écartais le soutien-gorge et commençais à téter les seins d’Elise, lui procurant une nouvelle sensation électrique.

-Prends bien son visage, fis à Karl. Qu’on voit bien la queue qui lui rentre dans la bouche.

Tandis que Mohammed en profitait pleinement, Karl prit quelques photos supplémentaires.

– Putain, elle me suce bien cette salope.

Mohammed s’enfonça un peu plus dans sa bouche, ce qui lui provoqua un haut le cœur.

– N’oublie pas ce que nous avons convenu. Ne jouis pas en elle.

Il acquiesça. C’était un plaisir que je me réservais… pour plus tard. Et je voulais qu’elle soit pleinement consciente lorsque cet instant-là arriverait. Au moment de jouir, il se retira et éjacula sur le sol. Elle gémissait de plus en plus fort. Elle n’allait pas tarder à jouir. Mohammed prit le relais de Karl, enfonça à son tour trois doigts dans la chatte baveuse. Un nouveau rythme, plus brutal.

C’était comme çà que je voulais qu’elle jouisse. Je positionnais l’appareil en mode vidéo, demandai à Karl de reculer et filmait Elise en train de jouir sous les doigts d’un inconnu arabe.

J’en avais assez. Lorsque Elise reviendrait à elle, elle serait rhabillée, ne se souviendrait de rien… J’adressai un sourire à Karl. La première partie s’était parfaitement déroulée. Elise avait été à la hauteur de ce que nous espérions.

Elle avait un magnifique potentiel.

Et j’étais bien décidé à l’exploiter…

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Chantage à L’opticienne 03

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Bdsm

Ma femme, c’est Stéphanie. Je la connais depuis notre adolescence. Elle habitait le même quartier que moi dans la banlieue de Grenoble. Elle est belle, elle est très belle. Brune aux yeux verts. J’adore! En plus une forte poitrine splendide, bien en hauteur. Un cul à faire rêver les hommes. Toujours bien maquillée, habillée. Le clone de Caroline, mon assistante, mais encore plus belle, plus désirable.

Elle connait tout de moi. Depuis très jeune, le sexe était devenu un jeu. Je connaissais ses fantasmes, elle connaissait les miens. Une grande sexualité avec une grande liberté. Très tôt nous avions connu les clubs échangistes, mais nous préférerions assez rapidement recevoir à la maison…c’était comment dire? Plus chaleureux. De plus comme mon cabinet marchait plutôt pas trop mal, elle était régulièrement récompensée, cadeaux, vêtements, voyages, resto… elle prenait la carte de crédit de la société. Non vraiment bien. Une femme heureuse. A la maison, dans l’intimité de notre grand appartement elle se baladait toujours avec ses lunettes sur le nez, avec une de mes chemises trop grande pour elle, ouverte ou pas suivant le moment, sans rien dessous, de temps en temps accompagnée d’une culotte en dentelle et des chaussures à talons. Prête à me faire plaisir à tout moment. Je lui ai parlé d’Autilia, je luis dis tout, et des autres hier soir au diner, elle souriait pensant déjà comment me faire plaisir. J’ai vraiment de la chance de l’avoir avec moi.

Moi de bon matin, je suis déjà devant mon ordinateur à travailler. Juste vêtu d’un tee shirt, je n’aime pas être tout nu dans l’appartement. Caroline pouvait m’appeler à tout moment. Mais elle savait bien que je n’arrivais qu’à l’agence qu’en début d’après-midi. Les avantages du patron!

A 7h55, on sonna à la porte, Stéphanie en tenue, ouvrit la porte.

– Bonjour.

– Bonjour répondit Autilia. Regardant Stéphanie en petite tenue chemise et culotte…

– Vous êtes Conchita, c’est cela?

– Non, Madame, Autilia

– C’est dommage, je préfère Conchita. Mais ne restez pas devant la porte. Entrez.

– Merci Madame.

– Alors comme cela vous volez des lunettes dans la boutique de mon mari, Conchita?

– Non Autilia, Madame. C’est un malentendu. J’avais besoin d’argent. Je vis seule avec ma fille et j’avais besoin de cet argent. C’était pour moi une façon facile d’en faire en toute discrétion lorsque j’étais seul dans le magasin.

– Et donc mon mari, très gentil avec vous au lieu d’appeler la police, vous a demandé de faire les ménages chez nous?

– C’est cela même, Madame.

– Et il vous a précisé qu’il y aura des choses à faire en plus du ménage?

– Oui, mais je n’ai pas très bien compris ce qu’il voulait dire.

– Ah bon! Chérie? …Conchita n’a pas très bien compris ce que tu voulais dire par en plus des ménages.

– J’arrive, répondis-je.

Vêtu de mon seul teeshirt, mon sexe à l’air, j’arrivais devant les deux femmes. Autilia apercevant mon sexe baissa les yeux rouges de honte.

– Autilia, vous n’allez pas me casser les couilles de bon matin! Ecoutez bien ce que je vais vous dire. Soit vous faites ce que l’on vous demande ma femme et moi. Soit j’appelle la police et avec la vidéo vous serez dans la merde noire. Alors vous avez 2 solutions! oui ou non?

– Je ne sais pas, souffla discrètement Autilia…

– Oui ou non?

– Elle sortit un petit oui de la bouche.

– He ben voilà! répondis-je en retournant au bureau.

– Conchita, je vais vous faire visiter la maison, les horaires de 8 à 19h du Lundi au samedi puis vous partirez à la boutique pour continuer le ménage. Il y aura beaucoup de repassage, bien nettoyer partout, je suis très stricte sur la propreté. Bien retournez au salon, mettez-vous en tenue. Vous pouvez commencer.

Stéphanie, rentrant dans mon bureau avec un grand clin d’œil, et un grand sourire puis compta silencieusement les doigts de sa main, jusqu’à 20 avec son joli sourire. Puis retourna voir Autilia.

Autilia commença à prendre le linge qui était sur le canapé pour commencer le repassage. Elle était habillée comme à la boutique, chaussures plates, blouse et pantalon.

– Conchita, cette quoi cette tenue? questionna Stéphanie

– Pardon Madame?

– cette quoi cette tenue? répéta Stéphanie

– Mais c’est ma tenue pour faire le ménage, Madame.

– Ah oui, ah non, ça ne va pas le faire. Va falloir changer tout cela.

– Comment Madame? questionna Autilia intriguée.

– La tenue ici, pour vous dans l’appartement c’est chaussures talons haut, soutien-gorge et culotte!

– Comment?

bursa escort Mais t’a rien compris Conchita! Tu n’as pas compris les ordres de mon mari? Allez mets-toi en tenu tout de suite.!!

Stéphanie revint dans mon bureau, en riant silencieusement. Elle mimait Autilia offusquée, en faisant des grands gestes. Elle cria à Autilia

– Conchita, il doit y avoir dans le salon une paire de chaussures à hauts talons à côté de la cheminée. Je pense que nous devons avoir la même taille. Mettez-les s’il vous plait. Et dites-moi quand vous serez prête je vous laisse 2 minutes!

Stéphanie, se rapprocha de moi toujours avec les mêmes mimiques et des grands gestes de la main. Du style oh là là!! Puis elle retourna au salon. Elle découvrit Autilia.

– He bien voila! déjà en tenue! C’est bien Conchita! Regardons cela de plus près. Je vous donnerais un peu d’argent pour acheter des sous-vêtements. Le coton ça ne va pas le faire.

Puis elle tapa sur ses fesses!

– Un bon gros cul de portugaise ça! c’est bien! Fidèle à la réputation.

Puis elle malaxa un bonnet de son soutien-gorge!

– Et des gros nichons aussi. Mon marie adore! Bon tu vas m’écouter maintenant Conchita de mes deux il y a des règles à respecter. Tu resteras dans cette tenue toute la journée. Tous les jours. C’est ton uniforme? Capicé? Tu feras le ménage tout la journée et dès que quelqu’un t’appellera, soit moi soit mon mari et surtout lui en priorité, tu arrêteras ton travail pour venir immédiatement. Si mon mari t’appelle tu sors obligatoirement tes nichons de ton soutien-gorge il adore cela. C’est son truc les nichons. Tu feras ce qu’il te demandera sans rien dire. Bien obéissante.

– Madame, je ne sais pas si je vais pouvoir faire cela, je ne l’ai jamais fait. Je suis honnête, je vais a l’église, je suis veuve, j’élève ma fille comme je peux. S’il vous plait, Madame, répéta Autilia en pleurant.

– Mais on s’en fout! Tu n’avais qu’à pas voler les montures. Tu t’es mis dans la merde alors tu te d’emmerdes! Dernière chance, tu acceptes ou pas?

Quelques secondes passèrent. Autilia toujours en pleurs acquiesça du visage tout doucement.

– A la bonheur! répondit mon épouse. Bienvenue à la maison!

– Je pourrais avoir un café s’il vous plait? criais-je du bout de l’appartement

– Venez avec moi dans la cuisine, je vous montre comment fonctionne la cafetière. Ne vous inquiétez pas cela va bien se passer. Voilà vous mettez la capsule et vous appuyez sur le bouton et vous attendez.

Et pendant que le café commençait à couler…Stéphanie scruta Autilia

– J’adore votre cul Conchita! Il est beau et bien foutu. Vous vous êtes déjà fait enculer?

Autilia attendit quelques secondes avant de répondre et fit un signe de la tête en signalant que non.

– Voilà le café est prêt, vous prenez deux sucrettes dans le tiroir, vous touillez, puis vous l’apportez a Monsieur.

– Bien Madame, répondit Autilia, apeurée.

– Conchita, vous n’oubliez rien? Vos nichons! Vos nichons doivent sortir de votre soutien-gorge pour aller voir Monsieur. Il adore cela! Ah la la!

Autilia, reposa le café et sortit ses gros seins de son soutien-gorge.

– Mieux que cela! Tirez bien dessus, voilà. Comme cela! C’est bien! Frappez à la porte avant d’entrer même si elle est ouverte.

Je travaillais encore sur mon ordinateur quand on frappa à la porte. Autilia était là, en sous-vêtements nichons dehors et café à la main droite.

– Oui?

– Votre café, Monsieur

– Ah merci Autilia, rentrez!

Pendant ce temps je vis Stéphanie dans le couloir qui à l’insu d’Autilia, me faisait des grands gestes en imitant la nouvelle bonne et me précisant avec ses mains qu’elle avait de gros seins puis souleva ses pouces , signe de victoire.

– J’espère qu’il est assez chaud.

– Je vais le gouter Autilia, restez avec moi.

– Monsieur, puis je vous posez une question s’il vous plait?

– Bien sur, je vous en prie…

– Combien de temps devrais-je rester ici à votre service.

– Autant de temps qu’il te faudra pour me rembourser. La somme est importante.

Stéphanie rentra dans le bureau pour revenir cherche son téléphone. Elle se plaça derrière Autilia en profita pour malaxer la poitrine de notre domestique

– Et comment ils vont les nichons de Conchita? Ils te plaisent mon chéri? Tu vas voir, tu vas te plaire ici, on va faire de grandes choses ensemble. Moi je pars en rendez-vous. Tu t’occupes bien de mon mari? D’accord? Tu feras tout ce qu’il te demande? Hein? Je veux qu’il soit heureux. Dès qu’il claque des doigts görükle escort tu accoures? Ok?

– D’accord répondit timidement Autilia.

– Bon je vous laisse, m’informa Stéphanie, j’ai du boulot moi!

– Il est très bon votre café Autilia!

– Merci Monsieur!

– Vous faites combien de tour de poitrine?

– Ma poitrine? Vous, vous me demandez la taille de ma poitrine?…Euh…..95D, Monsieur…c’est de famille, ma grand-mère, ma mère, moi, ma fille. Nous avons toute une grosse poitrine…

– Au fait, quel age a ta fille?

– 23 ans Monsieur

– Elle fait quoi dans la vie?

– Elle est au chomage Monsieur.

– Et elle cherche?

– Oui mais elle ne trouve pas. Il y a beaucoup de pistions et les offres sont rares à Grenoble.

– A ton avis cela lui plairait de travailler a la boutique?

– Oh certainement Monsieur, répondit Autilia, retrouvant le sourire.

– Je vais y réfléchir..

– Merci Monsieur.

– Tu avales quand tu suces?

– Par…Pardon Monsieur, non, s’il vous plait…?

– J’ai horreur de me répéter : Tu avales quand tu suces?

– Mais Monsieur…Non, Je… Je. Je n’aime pas tellement cela…

– Sucer ou avaler?

– Les deux Monsieur!

– Ah merde! Mais tu fais quoi alors?

– Je…Je…Je caresse…

– Tu branles quoi!

– …oui…oui. Mais cela fait longtemps maintenant que je ne l’ai pas fait!

– Approche-toi et montre-moi comment tu branles une bite!

Elle s’approcha de moi, les seins en dehors de son soutien-gorge et de côté elle se pencha, commençant sa caresse avec sa main gauche.

– Mouais, bof! pas terrible Autilia…

– Je suis désolée Monsieur…

– Enlève ton soutien-gorge

Elle se releva dégrafant son soutien-gorge et libérant ainsi deux gros seins bien laiteux aux larges têtons

– Voilà Monsieur

– Mets-toi devant moi et fais-moi la même chose avec tes seins.

– Bien Monsieur.

– Et elle en est ou Conchita? cria Stéphanie rentrant dans le bureau habillée en tailleur.

– Mais pourquoi l’appelles-tu Conchita? lui dis-je en souriant

– Sais pas. cela me plait, cela fait plus salope, je trouve

– Alors Conchita, on branle mon marie avec ses gros nichons de portugaise? tu vas faire jouir mon mec j’espère.? Vas-y ma salope accélère la cadence.

– Tu sais, Stéphanie, elle n’aime ni sucer, ni avaler…alors question de me faire plaisir…

– Mais ce n’est pas vrai? Mais ça ne va pas du tout! Tu ne suces pas les bites ma salope?

– Non Madame, je n’aime pas cela, répondit Autilia.

– Mais cela ne va pas du tout. Mais je pensais que les portugaises étaient poilues et qu’elles suçaient! Comme quoi il y a des certitudes. Attendez 2 minutes. Allo? Sophie? Désolé mais je suis obligé d’annuler notre rdv, j’ai une urgence à la maison. Grave? Oui quand même un peu… On se rappelle? D’accord! Bisous! Bon ça c’est fait! Maintenant, je me déshabille vite faite pour ton apprentissage.

Stéphanie laissa tomber son tailleur de marque, balança la veste puis la jupe par terre, ouvrit son chemisier et laisser apparaitre un soutien-gorge en balconnets gris avec la culotte assortie.

– Bon, j’enlève mon soutien-gorge cela fera duo de salopes en chaleur, pour te rincer l’œil mon amour! Bien arrête de la branler avec tes nichons, il est assez dur comme cela. Je vais me placer derrière toi debout et je te prends les cheveux. Cela t’aidera. Ouvre ta bouche doucement, comme si tu suçais ton pouce. Doucement, laisse rentrer sa bite dans ta bouche, voilà, comme cela. Puis tu essaies de rentrer de plus en plus sa bite dans ta bouche, voilà en cadence. Je vais appuyez sur ta tête pout te donner la cadence. Plus vite. Voilà, plus profond. Vas-y ma salope! Continue! Pense que tu vas éviter la prison grâce à nous! Allez encore plus loin dans ta gorge, vas-y.

Autilia eue un haut le cœur et se laissa vomir sur le parquet!

– He ben ma salope heureusement que tu es là pour faire le ménage! T’as mangé du bacaloa ce matin? Allez on continue. Si tu veux vomir, tu vomis rien à foutre. On continue la pipe salope!

Et Stéphanie obligea Autilia en agrippant ses cheveux à soutenir le rythme en suçant ma bite de plus en plus profondément de de plus en plus vite, son nez touchant mon bas ventre. Les seins de Stéphanie suivant le rythme passant de haut en bas et de droite à gauche.

– Allez on accélère ma salope, sans les mains, ça va mon amour? ta nouvelle salope te plaît? questionna Stéphanie essoufflée, pas faciles les portugaises! mais tu vas voir, on va la former pour être bursa escort bayan la reine des putes! Allleeezzz! On continue! Je veux entendre ta salive!

Autilia était de plus en plus rouge, et moi commençant à avoir des signes d’éjaculations. Stéphanie en profitant pour lui malaxer un sein avec l’autre main.

– Attention ma salope, c’est pour bientôt! Et tu vas tout avaler! Tu verras un peu salé mais ça passe. Attention! Tu avales tout! C’est pour bientôt…

Mon éjaculation arrivant, Stéphanie bloqua radicalement la tête d’Autilia ne lui laissant aucune chance de bouger. Elle ne bougeait plus son nez touchant ma vessie! J’éjaculais entièrement dans a sa bouche! Une longue et grosse ejac.

– Avale! avale salope! encore! Encore! Jusqu’au bout! Encore! Voila! Plus une goutte! Bravo! Bravo!

Autilia retomba par terre, suffoquant, reprenant son souffle avec Stéphanie au-dessus debout les seins ballant et les mains sur ses jambes fière du devoir accompli!

– C’était bien mon amour? Une bonne ejac? Content de tes 2 salopes?

– Parfaitement Mesdames, très fier. Merci beaucoup.

– Allez vient Conchita, on va laisser Monsieur travailler. Avec cette pipe je suis en sueur! Merci! Cela t’a plus au moins?

– Je Je ne sais pas. C’est trop violent pour moi. Je n’aime pas trop.

– T’inquiètes la prochaine fois tu feras cela en douceur. Mon mari adore les pipes! Alors tu as plutôt intérêt de t’habituer. D’accord?

– Je ne sais pas, d’accord, je ne sais pas.

– Bon allez, je vais allez sous la douche.

– D’accord, Madame, moi je vais commencer le repassage.

– Ah non ma salope! après l’effort le réconfort! Tu vas prendre une douche avec moi!

– Mais…

– Y a pas de mais, direction la cabine.

Stéphanie enleva sa culotte ainsi qu’Autilia. Stéphanie rentra la première dans la cabine suivit d’Autilia.

– Salope, prends moi le gant, le gel douche et lave moi le corps délicatement. C’est cela n’hésite pas à en mettre partout, il faut que cela sente bon. Ma chatte n’oublie pas ma chatte.

Vingt minutes après elle se retrouvèrent dans notre chambre, en parure de bains.

– C’est très bien Conchita, bravo. Maintenant mon lait après douche tu m’en mets sur tout le corps.

Stéphanie s’allongea sur le dos toute nue sur le lit.

– Conchita, enlève ton peignoir. Et mets-moi du gel sur le corps. Voilà, n’utilise pas tes mains que tes gros nichons pour l’étaler encore plus délicatement. Voilà. Comme cela. Etale bien avec tes nichons, partout de haut en bas de gauche à droite. Voilà. Pas mal du tout. Maintenant, regarde je vais écarter mes jambes! Tu vois ma chatte? Tu vas la sucer et la lécher!

– Non Madame, s’il vous plait! Je n’ai jamais fait cela avec une femme. Ce n’est pas bien!

– Ta gueule la Portos! Tu vas me lécher la chatte sinon ….

Coincée une fois de plus, Autilia changea sa position afin de de placer son visage devant le sexe de ma femme.

– Et c’est partit ma salope! La langue : l’important c’est la langue! imagine une bite à la place de ta langue! He bien tu l’enfonces! Alors vas-y allez! oui, oui! MMmmmm! J’adore! Tu te débrouilles pas mal du tout ma salope! Dis-moi des choses cochonnes! J’adore cela!

– Heu! je ne sais pas! je n’en connais pas!

– Mais si, dis-moi par exemple! cela vous plait de vous faire lécher par une salope de portugaise? Ma langue de pute vous convient? Madame, j’ai envie de vous lécher votre gros cul! Allez répète!

– cela vous plait de vous faire lécher par une salope de portugaise? Ma langue de pute vous convient? Madame, j’ai envie de vous lécher votre gros cul

– Oui! Oui! j’adore : J’adore, tu vas me faire jouir salope! Continue! Je jooouuuiiiiieeeee! AAAhhhhhh!! Que c’était bon! putain que c’était bon

– Merci Madame!

– Bravo ma salope! bravo! un bon début! Commencez le repassage.

Stéphanie rentra dans mon bureau heureuse et épuisée

– Ca va Chéri? je viens de me faire lécher la chatte. Elle se débrouille très bien!

– Mais aussi pour la pipe c’est un bon début.

– Cela me donne une idée, chérie, aurais tu le numéro de téléphone de Martine et de sa fille?

– Oui bien sûr que vas-tu en faire?

– Leur téléphoner. Une petite idée pour ce week end. Il va pleuvoir Samedi et Dimanche et comme on va se faire chier autant s’amuser…Conchita!

Autilia rentra dans le bureau en sous-vêtements et les seins en dehors de son soutien-gorge.

– Conchita! Ce week end vous vous débrouillez comme vous voulez, mais vous passerez le samedi et dimanche ici à la maison à titre exceptionnel. Vous dormirez ici, également. J’ai prévu une petite fête. Vous serez payé en conséquence.

– Mais que comptes-tu faire exactement?

– Tu me connais? un week end pour toi mon amour! Pour ton plaisir. Qui n’a jamais rêvé d’avoir un harem? Rien que pour toi…

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Hot Sex in Madrid Ch. 02

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Before going any further, I recommend you read ‘Hot Sex in Madrid’ if you have not already, before reading this sequel. It sets the scene for what happened next.

After telling you all the florid details of the raucous sex that took place on that searing hot night in Madrid, it seemed inappropriate to then go on to describe what happened between Anne and myself afterwards. What happened between us was so utterly different from the torrid, animalistic fucking of the earlier part of the night. My experience with Ann was so intimate and personal. I was hesitant to divulge the details of that particular episode.

However, several of you have now asked me to continue recounting the event s of that memorable night of explorative sex, and I have decided to share the story of this totally unexpected turn of events with you. I cannot understand why I am so, almost bashful about telling this tale, but perhaps in the telling it will become clearer to me and perhaps to you too.

*

Anne’s soft moan and the feeling of her responsive nipple springing to life, was totally unexpected. I froze, staring up towards the dimly lit ceiling. The sounds of the city drifted languidly through the open window, the heat carrying scents and sounds as it settled on our damp bodies. To be honest I was confused, was she actually reacting to me, or was Juan touching her from the other side?

Suddenly wide awake and senses alert, I felt a slight pressure as her hand tapped gently on my right thigh. Her head turned towards me and as if drawn by a magnet, my head turned to face her. My expression must have been amusing because her face suddenly crumpled into a grin and a long finger came up to “sush” her lips. She rolled her eyes towards the slumbering silhouette of Juan beside her and again pressed her finger to her mouth and gave a quick conspiratorial wink. All of a sudden we were allies, linked not by the shared events of the evening, but by a swift silent pact to keep this between ourselves, whatever ‘this’ was.

As we lay looking at each other in silence, she lifted her finger from her lips with a tiny pursing movement, amounting to a kiss. Her gaze drifted down to my breasts, and very slowly brought that glistening fingertip towards my large brown areola. It seemed to take an age, and in that tiny moment I realised that I was longing for her touch, my own nipples now hugely erect and straining for contact. I couldn’t help gasping as her finger encircled first one nipple then the other. I was acutely aware of Juan and Paco on either side of us, but my very essence was now focused on that gentle straying hand and longing for more. Instinctively sensing my need she spread her hand wide and smoothed it around the whole orb of my heavy breast, taking its weight and squeezing gently. I was transported by the flood of excitement which that soft touch stimulated. Not the grabbing, escort şişli pawing of Juan’s rough hands, but the lightness of her pressure relaxed and excited me at the same time. My body wanted to turn towards her, I was fascinated and desperate to see how it felt to lick and kiss her soft mouth. I was incredulous that I could be feeling so completely turned on by the soft touch of a woman, my curiosity burned almost as much as my newly inflamed pussy. My imagination flew into what else I could explore with my own ravenous mouth, and I was lost.

At that very moment Paco gave a snort and turned to face outwards. I seized the opportunity and motioned her to get up slowly with me. We edged to the bottom of the bed and stifling a giggle, crept out of the bedroom and through to the stuffy living room. The heavy smell of Juan’s strong ‘Gitana’ cigarettes lingered in the air, a ghostly reminder of his presence next door.

I inched the creaky door shut, sighing with relief to feel we were in a space where we could be ourselves. The rough machismo of the Spanish men suddenly felt oppressive and somehow sordid. I longed for her soft light touch, and as we stood looking at each other’s nakedness, sensing a complicit understanding borne of two people coming from the same origin. I relaxed and gazed unashamedly at her beautiful body. Although I have always enjoyed the female form, this appraisal was something entirely new for me, and I suspected for her too. I feasted my eyes on her long lean limbs, so shapely and light. Her small firm breasts stood proudly displaying those succulent cherries, floating up and down with each deep breath.

As she moved towards me I noticed the gentle sway of slim hips, pivoting around a gold triangle of soft pubic hair. For a fleeting moment I felt self conscious as she reached her arms out and glided her hands over my hips and round to my bottom. As our bodies came closer together, our breasts were the first point of contact. Both of us shuddered at the touch and I pressed her into my softness, my large tits squashing against her smooth skin. Our mouths found each other and kissed. The softness astounded me. Lips and tongues explored and caressed, passionate but with a sensitivity which I had never experienced before. I was ravenous for more of these sensations.

I led her over to the couch and laid her down, a cushion under her head and her long legs spread languorously along the length of the rough red seat. I wanted to be all over her body at once, but we were so silent and connected that it seemed inappropriate to rush. I realised that not one word had been spoken, despite the irony that we finally had someone who spoke the same language to communicate with. The channels of communication were wide open and flowing freely without the need for words. My pussy was also flowing freely, lubricating my jutting istanbul eskort clitoris, and clamouring for attention.

I slowly stroked her sweet tits and finally drew her buds into my mouth, thrilling over how deliciously soft and smooth her skin was. Her body flowed and moved, her hands sliding through my tousled hair and over my shoulders as I bent down to suck her breast. Her movements became more urgent and I knew what she needed now. My hand smoothed along the long line of her waist and slipped between her firm thighs. My fingers found glorious wet lips, her whole pussy soft, hot and creamy slick. Knowing how wonderful it feels to have your cunt lapped by an eager lover, I could barely wait to taste her juice and bury myself in that downy pelt.

I shifted her hips round to enable her legs to spread over my shoulders. Taking her tight butt cheeks in my hands, I raised her up, exposing her glistening cunt for me to explore. I nibbled at her labia, my whole mouth and chin smearing in her flowing juices. She tasted vaguely of almonds as well as an oyster flavour which I recognised from my own juices, a sweet musky smell. My tongue lapped and ran around the contours of her cunt lips. It felt like licking soft ice cream, delving into silky folds. I then slid upwards to find an incredible shaft of clit. I could feel its base about 2cm from the tip. My tongue eased along its length and finally sucked gently on the engorged head. Anne couldn’t help letting out a stifled groan as I sucked and kissed her. I was amazed just how similar to sucking a cock this was, but the main delight was yet to come.

I knew from my own experience that I couldn’t bear my clit to be left at this point, so I lubricated my thumb with her juice and massaged her knob while my rigid tongue poked hungrily into her tight vagina. It was such an incredible sensation for me to be filling the hole, instead of being filled by cock. I rode my tongue in and out fucking her as if with a miniature penis. She had become frantic and was writhing about, the cushion now over her mouth trying to drown the gasps and groans escaping from her. Intent on taking her over the edge I withdrew my tongue. I pushed two fingers up her and continued fucking her cunt while I flicked at her clit with my remorseless tongue until she went completely rigid, her legs clasped round my head. I could hear a long low muffled cry from beneath the cushion as I felt her pussy convulsing and streams of slippery creamy cum flowed around my fingers and over my face.

Her body gradually relaxed and she drew my head to rest on her taut belly. Her hands stroked my hair and I heard a whispered “Oh my God.”

“Hmmm…” I responded, not quite ready for words yet. I glowed in the richness of tenderness and passion. I felt magnanimous and complete, but there was also a note of disbelief running through my mind. How escort mecidiyeköy had all of this happened?

As I lay basking in the glow, she gently moved my head aside and stood up. The street light gave her an alabaster glow as she spread a throw on the rather suspect floor. We lay down together, her head resting on my chest. Now that we had the liberty and luxury of time, she started to explore me.

There are rare occasions whilst having sex with a man, when the love making is long, slow and tender. There is usually the very obvious point of focus, namely penetration and copulation, driving the proceedings. As Anne caressed, teased and soothed the generous curves of thighs, belly, hips and breasts there was no urgency, no need to move on to do anything but enjoy the sensations.

After a while we both drifted off to sleep, only to be woken an hour or so later by a cool draft coming from heavy rain fall outside. There were no other covers available, so we ‘spooned’ together to warm each other. Her hands once again roved over the swell of my hips and slid down between my thighs. My genitals pulsed as her thin fingers found my ruby button and toyed with it exquisitely. My buttocks pressed into her groin as she fondled the hot wet folds of my swelling cunt. Groaning, I turned on to my back, hungry for her mouth. Firmly she pressed my thighs apart and slid down to press her lips into my cavernous cunt. Her tongue was incredibly soft as she lapped up my cream. I arched up my hips to thrust my clit into her mouth.

She played me as if I was a musical instrument, she ran up and down my frets, playing two, three chords together with lithe fingers, lips and tongue; she was masterful. I had never known such delightful felatio. Slowly she slid a long finger towards my arse and circled round before slipping the length softly deep inside. The sensations of her tongue rubbing my engorged knob, one finger sliding into my cunt and the final digit fucking my arse sent me toppling over the edge into a wild orgasm making me feel as if I actually left my body and shot out into the thunderous night.

I had imagined that sexual satisfaction could not be achieved without the ultimate action of cock in cunt. There I lay, so sated that I couldn’t move, the sweet instrument of my rapture now stroking my belly and purring in complete fulfilment. I felt as though I had been blind. My god, a whole new realm opened up and I thrilled at the discovery of endless exciting possibilities.

We lay replete, as the rain eased and the room gradually lightened with the impending dawn. Words came quietly between us, little threads of normal communication, whispered thoughts. Sleep overtook us eventually and we slept intertwined until a very surprised Juan lumbered noisily into the room to make the morning coffee.

He told me later, that he was incredibly frustrated that he had been just through the wall and had missed ‘the action’. I say he missed the point. It had been our secret, not a show for the boys. However, I reasoned, now that I had opened Pandora’s Box it might be fun to have them squirm as they watched, but that as they say, is a different story.

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A Conversation with Melvyn

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Big Ass

(This more like ‘Sex in the Office’ story, but it was a conversation!)

Hi.

My name is Melvyn and I was wandering if you could help me. I’m 24 yo and I’ve never been with an older woman. Now I want one. Problem is, I’m not sure how to go at her. She’s 57 and has a boyfriend, but I’m pretty sure she’s sex deprived. How should I get the ball rolling?

Hi Melvyn.

Is this lady aware of your interest? How close are the two of you? Do you discuss things – or is the lady just someone you fancy from afar?
Sarah.

Thanks Sarah.

I’m not sure if she’s aware. I haven’t said anything to her. We are pretty close – we discuss our family problems with each other. So where do I take it from here? Also. I’ve accidentally touched her before. Like on her lower back or her thigh and she didn’t really say anything. But I think I heard her take a deep breath when I did this. Also I love your stories on Literotica. I’m sure you hear that a lot but I appreciate the detail you put in.

Melvyn.

Well Melvyn,

It looks as though you might be in with a chance. Next time you give her a quick kiss, hold on a bit longer and give her bottom a quick squeeze. Flatter her by telling her what a great body she has. If you can bring up the subject of sex, and turn the discussion round to suggesting that she reads some of my stories on Literotica to read how other people look for advice. Suggest she sends me a feedback. Then I can tell her that she has an admirer, and find out how she feels about letting you touch her.

If you can, let her feel your erection pressing against her during a hug, that usually starts things off. If she’s game, she won’t be able to resist putting her hand over it. Encouraging. But don’t push it to hard. Let it be light-hearted. Tell me how you get on.

Sarah.

Sarah,

Thanks for getting back to me. I’m so nervous I feel like I’m in high school again. It won’t be hard to press my erection into her because we work together and my cock is usually hard all day. I hope I can summon the courage. I’m sorry to keep bugging you but I have a couple questions. One. Do all older women really crave younger sex partners. And two, if they do, why is that. Again sorry to keep bugging you but like I said, I’ve never really considered older women till now.

Melvyn.

Hi Melvyn.

Well, not ALL women crave younger men, I suppose, but many do because they realise they’re not young any more, and a younger guy makes them feel wanted again, and attractive, as they used to when they were in their youth! It’s a great feeling to know that you are wanted sexually by a young man. Particularly where the sex at home is not especially good. Let her know how you feel – just hint and keep it light hearted. And how attractive she is, etc.

Sarah

Ok Sarah.

So, big news!! This morning she was bent over picking something up and my cock was immediately hard. So I decided to squeeze by her and pressed my hard cock into her ass between her cheeks. I paused for a moment, said excuse me and went on my way. So far nothing else has happened, but she seems to be very happy today. So is this a good thing? I really wanna just take her in the back and rip her clothes off.

Melvyn

Sounds ok to me Melvyn.

As long as you’re not going to be accused of sexual harassment – you need to get into some sexy chat with her. Ask her about her sex life – if she’s into erotica – tell her what a very attractive figure she has. Try to touch her bottom etc…

Sarah

Hi Sarah,

Don’t think I have to worry about sexual harassment lol. But I have some more juicy details. She wore a skirt today. It’s a long skirt but still sexy. Anyway I took your advice and told her how nice she looked in it and complimented her on hair. Anyway, then, when she was in taksim escort the back, I went back to see if she needed help and she was on a step ladder. I walked up and touched her bare leg. She stepped down and my hand slid up to find her bare bottom!! No underwear!!! She let me feel her up for a minute and then we parted ways. My Dick is still hard and that was over two hours ago. Hopefully more to follow.

Melvyn

Well Melvyn,

You’re there. You only have to find the opportunity and place and I guess you’ll be welcome to fuck her. Having felt her wet hairy pussy, the next step is to have her feel your cock. Can you fix that?? Can’t wait for the next instalment!

Sarah (What’s her name, by the way?)

OMG Sarah,

My cock has been constantly hard since yesterday. I have masturbated like seven times. Anyway. Her name is Celia. She is about 5’8″ and 160 lbs. Tan with the ass of someone 30 years her junior. Her pussy was sopping wet yesterday and running down her leg. She’s not here at work today though. But cum Monday I should have more to tell you.

Melvyn.

Mmmm Melvyn,

So Celia is a dribbler?? Juices running down her thigh? Mmmm. Tasty! Very horny lady. And seven ejaculations from you! Wow! All that sperm going to waste!! Can’t wait to hear what happens on Monday.

Sarah

Hi Sarah.

I will be on my way to work shortly. I hope to be fucking Celia before lunch time. I will let you know how it goes.

Melvyn.

(The next email was from Celia herself.)

Hi Sarah,

My name is Celia. Melvyn wanted me to email you and let you know a few things. First thank you for guiding him the last week or two. I wasn’t so sure about this when it all started happening because he is the same age as my son, but I’m very happy that it did happen.

Anyway this morning I knew he would come into work early so I got here shortly after he did. He was in the back in his office so I went in to say good-morning. I started to walk out and he grabbed my hand. He apologized for acting the way he did last week, and I assured him that that wasn’t necessary. He then stood up and hugged me and I felt his erection pushing into my stomach. It felt very large so I just grabbed it.

I kept thinking to myself, this guy is my sons age but that also kept turning me on and I became very wet. He started kissing my neck and my collar bone and I knew I needed his cock. He picked me up by my ass and set me on his desk and removed my dress. I was too busy undoing his belt and removing his slacks to even realize I was sitting there completely naked. When I finally got his cock in my hand, oh my goodness, it so magnificent. It was at least 9″ long and I couldn’t even get even get my fingers around it. I told him I didn’t think it would fit but I would love to suck on it. I love sucking cock.

I started licking the underside up to his huge head. I finally started working it in and out of my mouth and working my hand in as well. It wasn’t no time ’til he was saying he was gonna cum – I just kept sucking. The first spurt went right down my throat and I almost gagged but I finished him off. God he tasted so good. I’m fingering myself again right now just thinking about it.

After he came, he was a gentlemen and started returning the favor. He started licking my already wet pussy. He was working his tongue in and out of my pussy and twirling his tongue around my clit. He started licking my ass and drove me wild. I started cumming and my orgasm was earth shattering. I started begging him for his dick. He stood up and spread my legs apart. Melvyn is a bug guy with very strong arms. He came in between my legs and felt the head touch my lips. He started working the head in and when he entered me I came again.

He started slowly working istanbul eskort his way into me and after a few minutes he was all the way in. My pussy was stretched to the max. He started picking up pace and soon he had a good rhythm going. I felt another orgasm building up and I loudly moaned for him to fuck me harder. He then put my ankles on his shoulders and grabbed my ass, lifting me up and impaled me on his cock. He was fucking me ferociously. I was screaming and cumming, I felt my juices running in between us. Sarah it was the best lay I ever had. He layed me back on the desk and kept fucking me. A few minutes later he was filling my pussy full of cum.

Afterwards we kissed passionately and cleaned ourselves up and he told me he wanted me to email you what had happened and he wanted me to go into detail so maybe you could read and have your own orgasm. I hope you enjoyed the details of our first encounter. We have discussed it and there will be many more. If you want to email me back just send it to Melvyn with Celia in the subject line and he will let me read it. I would give you mine but I don’t want my boyfriend to find out. He’s a good man but nowhere near a good lover. We hope to hear from you soon.

With Love, Celia.

OMG Melvyn and Celia!

Although I don’t usually advise on adultery, yours is such a wonderful email and experience, I can’t say anything except ‘Wonderful!’ After all, you both know what you’re doing! I’m so glad it worked for you Melvyn. And Celia as well. So Melvyn got his dearest wish – to fuck an older woman, and you in particular Celia. He’s been lusting after you for ages – so you must have something special, apart from a great bottom Melvyn mentioned! And it didn’t need much advice from me, once Celia had encouraged Melvyn’s touches. And that wonderful sensation of feeling your juices running down your thigh on the ladder last week must have been a mind bending experience for Melvyn! That was the clincher for Melvyn. He masturbated all week-end remembering the feel and the taste on his fingers.

And what a fantastic orgasm – or three! I loved your descriptions Celia. Yes, they certainly got me leaking badly! But isn’t fucking in the office in danger of being discovered by others?? Maybe that adds to the excitement. A daily fuck … or maybe more if you can arrange it. Tell me more Celia!

And I do hope your boyfriend still has his sex, even though it pales in comparison to Melvyn’s 9″ cock! OMG Melvyn – what a marvellous weapon. You never told me you had a giant cock! So masturbating as well as fucking now, but with new fantasies to get you horny? Same with Celia. Do you masturbate frequently Celia?
Sarah xx

Hi Sarah,

This is Melvyn. Yesterday was one of the most amazing days of my life. Celia was amazing. And my thoughts about an older woman’s pussy were definitely wrong. It was as tight as an 18 yo and so wet. I didn’t think my cock was gonna fit at first but it did. Her naked body was gorgeous. From her beautiful tits with those dark brown nipples to her gorgeous shaved pussy. It was perfect. We stayed after work together and fucked two more times. She rode my cock till I exploded inside her then she licked and sucked all the juices from my spent cock and balls. You were an awesome coach. Now if I can just get her to let me fuck her ass!!

Melvyn xxx

Hey! Melvyn!

Don’t be greedy. One hole at a time! It’ll cum! Wow! a whole new life for you Melvyn – and Celia as well.

Sarah

But Sarah!

I want that tight little ass. I loved probing it with my tongue yesterday. I want to feel her asshole stretch over my cock. Im not greedy. I’m just a young horny fucker.

Melvyn.

Hi again Sarah,

This is Celia. I’m glad you liked the email of Melvyn’s and my encounter yesterday. My pussy is beşiktaş escort so sore today. His cock is the biggest I’ve ever seen. The girth of it was almost breathtaking!! We had another great fuck session yesterday afternoon. Sliding up and down on his cock and gripping his huge shoulders.

God I’m getting wet right now. And my favorite part is sucking and licking the cum off that huge fucker he calls a dick. And yes my boyfriend still fucks me but his cock is pretty much pathetic. It might be 5 inches long and not even 2 around. He’s a great man but I don’t think I can stop fucking Melvyn. He is such a stud. He wants to fuck my ass but I don’t know if it will fit. I’m afraid it might hurt me. What do you think

Celia.

Hi Celia.

What a difference a week makes! Getting fucked stupid didn’t enter your mind last week at this time! Let’s hope you don’t get interrupted by the staff! Sore pussy? Well, yes, Melvyn did mention that you were surprisingly tight! But if your partner only has a small dick, perhaps not surprising.

As for anal … well, it’s up to you Celia. If you really want to try, fill it with plenty of vaseline first and just let Melvyn ease it in slowly to stretch the sphincter. But make him promise first, if it gets painful, to ease off straight away – you don’t want to split your bum – very painful!!

I’ve never fancied anal myself, but I do like Heather to finger fuck me there – and tongue fuck of course. But with her long index finger in my bum and her thumb in my vagina, fucking both at the same time, while chewing my clit and labia … mmmm … sure to make me explode to heaven. We get together every week for ‘coffee’ and glorious sex.

Sarah xxx

Hi Sarah,

This is Celia again. Since Melvyn and I started having sex I have wanted to keep trying new things. We have been watching porn with double penetration scenes and I really wanna try it. Id really like to have anal sex with an actual cock. I asked my boyfriend to fuck me in the ass since he has a smaller cock but he wouldn’t, he wont even put a finger in. So how do we get it to where I’ve got two cocks in me? What do we say to another guy to get him to do it? Id really like to have another young guy. Am I a bad person for this? I feel like such a slut sometimes. But I can’t stop fucking Melvyn. Its too good. Just message me back with Celia in the subject line

Well Celia

You’re on your own I’m afraid. I’ve never had a double penetration, nor would I know how to start propositioning guys! You’re certainly not a bad person – just experimental! You could try a courgette in your bum while Melvyn is fucking you!

Sarah

Wow Sarah,

You are one hot lady. I want to thank you again for helping him out. Otherwise, I might have missed out on the best sex of my life. Here’s me.

xoxo Celia

OMG Celia

Now I know what Melvyn meant when he said you had a great bum! And such a delicious pussy. Mmm how I’d like to get my tongue and fingers in there! So glad I could be of help.

Sarah xx

Sarah,

Its Celia. Thank you for the compliments. I have never been with a woman. But I’m open to try. What’s it like? I can’t even describe what it feels like when he has me impaled on his cock. I’ve turned into such a slut for his huge cock. I’d do anything he asked me to do as long as he keeps giving it to me. I LOVE IT!!

xoxo Celia

Hi Celia.

Mmmmm. I’d love to feel you cum in my mouth and hear your moans. I’m just so happy that you and Melvyn have found great sex together – and when you reach the 60s, it’s even greater!!

Sarah

Hi Sarah.

Mmmmm. I would to feel your tongue sucking and licking my pussy till I explode all over that gorgeous face of yours. I wanna lick your clit while Melvyn thrusts his fat cock in and out of your pussy with his big balls slapping your ass. I want you to squirt cum all over my face and in my mouth. Omg I’m so horny right now. I think I’m gonna go in Melvyn’s office and fuck him right now.

Xoxo Celia.

(Two happy people! And Celia in the prime of life. Good for her!)

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Dylan’s Desires

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Babes

After a long week at work, I decided to kick back at a strip club. I decided to go to Centerfold’s which is a little out of my way, but the quality of women they have working there makes it worth the hour drive. Ever since my divorce, I have frequented the club every couple of months. I recognized a few of the dancers, but there was one that I hadn’t seen before and I found absolutely stunning. She was a brunette that I guessed was about 25 years old with a long, tight body. Her legs went on for days and were accentuated by the high heels she wore. She had a tight stomach and breasts that I could guess were about 34c. She had the most beautiful face with big brown eyes. The moment I saw her, I went to the stage she was dancing on. Naturally, there were many horny men gathered around, but I found out her name was Dylan and spent most of the next few hours flirting with her when I could, although most of the time she was off giving private dances to the other men.

After a few hours and several beers, I was ready to head home, but not before I treated myself to a private dance from Dylan. When she was free, I approached her and took her up on her earlier offer of a private dance. Dylan led me back to the private dance area and I took my place in the oversized chair. When the music started up again, she started working her long, slender body over mine, rubbing up close against me. I have had a lot of lap dances, but nothing compared to the one Dylan was giving me. While leaning back to whisper in my ear how much she wanted me and how much she wanted to get me off, her beautiful ass rubbed against my fully erect cock. After the second song, Dylan had me almost ready to explode. We kept going and every time I came close to orgasm, Dylan would slow down and flash me a knowing smile. After the fourth dance, I told her that I would need to go to the ATM to get more cash.

Dylan snuggled up next to me in the oversized chair and whispered in my ear, “I promise when you pay for one more dance, I’ll make sure you cum even if it takes more than one.” She had a mischievous look on her face that I just loved.

“I’ll be right back,” I said as I started to stand up but was held back by Dylan.

“Wait a second, Steve,” she said as she smirked. “You look like a fun guy who is up for a challenge. Please hear me out before you say no. I like knowing that I can get men to do things they never would think they could for me. Have you ever sucked cock before?”

“No,” I quickly answered. “And it’s something that bebek escort I have no desire to do.”

“That’s just what I wanted to hear because I want the first cock you suck to be for my enjoyment.”

I couldn’t believe what I was hearing and couldn’t believe that I hadn’t stood up to leave. The seductive look on Dylan’s face and her hands roaming over my body kept me there. I kept listening to her.

“A lot of men leave here so horny after us girls work them up and don’t give them release. I know that there have been a few guys that wait out there and proposition the men coming out of here. In the alley, it is secluded enough that you can blow a guy and not have anyone watch you. It would turn me on so much knowing that you gave a guy a blowjob for $20 just to have another dance with me.”

Dylan rubbed my chest, then down to my cock and purred in my ear. “Will you suck your first cock for me?”

“Yes,” surprisingly came out of my mouth. Then I realized what I had just said, but the look of delight on Dylan’s face made me realize how much I wanted to please her.

“Oh, you’ve made me so happy. You’re going to suck cock for money for me.” Dylan stood up and took my hand. Then she led me to the door. “And just to make sure you’ve earned the $20 you come back with, give me your wallet so you can’t use the ATM.” I instinctively gave her my wallet and then she told the doorman to make sure I get back in.

Before I could completely register what was happening, I was standing outside without my wallet having agreed to suck a stranger’s cock for money for the most beautiful and seductive woman I had ever met. And if I go through with it, she will rub herself on me until I get off. I tried to reason with myself that I could just leave and replace everything in my wallet as if I lost it, then never come back here. But the thought of never coming back, meant I’d never see Dylan again. Would that be worse than actually asking a man for money to suck his cock and going through with it? I looked around and thought that nobody knows who I am here so if I suck one cock, none of my friends will ever know and I will please the most intoxicating woman I have ever met. I mustered up the courage to do it.

I waited a little while and then saw a man walk out alone. I went up to him and made a little small talk as he was walking to his car. Then I asked him if he would give me $20 to give him a blowjob. He told me to get lost and I started questioning what I’ve istanbul eskort agreed to. I did the same with another solo man and got the same result. I decided to give it one more try and if it didn’t work, I’d leave. An older man I saw in the club came out. I went up to him and told him that I really need $20 and would be willing to give him a blowjob for it. Surprisingly to me, he agreed.

While we walked to the alley, he assured me that he’d done this before and has a spot where he knew we wouldn’t be disturbed. He led me to that spot and then placed a hand on my shoulder guiding me down to me knees in front of him. I thought about standing up and running out of there as the older man loosened his belt then slipped his slacks and underpants to his knees. I looked at his cock and imagined Dylan’s voice urging me to suck his cock for her.

I reached up, fondled his balls and started stroking his cock for him. As it started to grow, I moved my mouth to his cock and let it touch my lips for the first time. I kept imagining Dylan’s voice coaxing me to go further as I closed my eyes and took his cock into my mouth. I felt the stranger’s cock continue to grow inside my mouth as I thought about how I like to have my cock sucked. I slowly worked his cock deep into my mouth, my tongue working on his shaft as I felt his hand on the back of my head. He slowly moved his hips, fucking my mouth as I did my best to please him. I tried to keep my thoughts on how sucking this man off would please Dylan when the man held my head tightly and I felt his cock tense up and erupt down my throat. I was strangely pleased with myself that I had not only sucked cock for Dylan but also swallowed this stranger’s cum for her.

I continued to lick the man’s cock clean until he withdrew it from my mouth. He pulled up his slacks and fastened his belt. I was still trying to absorb what I had just done. The stranger took a $20 out of his pocket and handed it to me while I was still on my knees. He looked down on me and said, “I’ll tell Dylan that you were a good cocksucker.” Then he turned around and left.

I then realized that she sent him out to be sucked by me and this made me what her even more. I waited a few minutes, tried to straighten myself up, then returned to the club. The doorman let me in and I was wondering if he knew what Dylan was up to. Stepping inside, I saw Dylan was in the private area grinding on another man. She was in the most public chair in the private area and I took a seat at a table kağıthane escort that had a direct view. A waitress came up to me and asked me if I were Steve. I said that I was and the waitress said that Dylan had reserved this table for us, she gave me my wallet back and handed me a shot of Jack saying Dylan had bought it for me.

While the man she was dancing for was in heaven, Dylan looked over at me. I took the $20 out of my pocket and placed it on the table. Dylan had the biggest grin on her face as she ground harder and harder on the gentleman. I then took the shot and toasted her as I could tell she was bringing him to orgasm. I had a moment to think about what I had just done. I had actually sucked another man’s cock. But the look in her eyes when she saw me back made it worth it. As she led the gentleman away from the private area, they walked past me and Dylan said she would be right back.

When she returned, she was beaming. “Do you know what a big turn on it is for me to know that you would get down on your knees and suck another man’s cock for me?”

“Yes,” I said. “That’s why I did it. I never thought I’d do anything like that, but for you it was worth it.”

“That is so sweet. We are going to have an awful lot of fun together.” Then, Dylan took the empty shot glass in her hand. Her other hand reached up with a used condom. She was careful not to let anyone else see as she drained the contents into the shot glass. “I didn’t get to see you drink cum before, so I had that man fill one up for me. You watched me get him off, now you can drink his cum. Then I’ll get you off.”

I couldn’t believe how nasty Dylan was, but it also turned me on. I figured that I had already swallowed one man’s cum, so I took the shot glass and downed the other man’s cum. When I looked to see her reaction, she was already out of her chair on her way to giving me a big hug. She felt so nice rubbing up against me, and then she took my hand and led me to the private area.

I gave her the $20 I earned from sucking another man’s and she proceeded to start grinding on me. I was in heaven with such a beautiful woman rubbing her body on mine. She started grinding on my cock faster and faster and I lost it. I whispered in her ear that I was going to cum and she went harder and harder.

“It’s been a very fun night thanks to you. I do hope to see you again very soon, cocksucker,” she said as she ground onto me even harder.

My cock exploded, filling my pants with cum and Dylan leapt off me. She slapped my face hard and yelled “You pervert!” The bouncers came over and lifted me up off the chair. With everyone looking there was an obvious stain on my light pants as they escorted me out. I looked back and saw Dylan wave with her mischievous grin. I wanted her more than ever.

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