La dette infernale Pt. 04

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Amateur

6 Premier client

La route du retour fut un véritable calvaire pour Lucille…. Toutes ces images qui défilaient dans sa tête … Ces hommes qui ne la connaissaient pas et s’étaient servi d’elle sans le moindre scrupule… Elle qui il y a peu encore était une employée bosseuse et respectable et qui aujourd’hui n’était plus qu’un objet un vulgaire morceau de viande jeté en pâture à ces porcs…. Qui plus est n’étaient pas dans la confidence mais ne s’étaient même pas offusqué de la voir traitée ainsi ou de savoir quel était le noir dessein de son chef pour elle….

Ces pensées eurent raison de la force qu’elle montrait jusqu’à présent et elle éclata en larmes pour le reste du trajet.

Arrivée devant chez elle, Lucille reprend ses esprits mais ces images la torturent toujours… Ces flashs dans sa tête mêlés à l’odeur de semence qui émane de son corps lui donnent la nausée et elle se retient de peu de vomir…. Mais elle se reprend mascara coulant sur ses joues yeux rougis par les larmes et sort de la voiture.

Mince se dit-elle …. Son ordinateur est resté au travail dans la précipitation… Tant pis demain elle ira tôt bosser pour rattraper ça…. De toute façon plus rien n’a d’importance pour le moment….

Arrivée sur son perron, elle constate avec étonnement que la porte est entrouverte, elle entre donc, pose son sac à main dans l’entrée et marche en direction du salon.

Arrivée, elle constate que Marc s’y trouve, verre de Whisky et cigare à la main la fixant depuis un fauteuil, en jean et chemise.

– Ah tu es là rejoins moi et met toi à l’aise Lucille! (un sourire se dessine sur son visage)

Mécaniquement, Lucille enlève sa veste de tailleur et la pose sur une chaise puis avance vers lui commençant à défaire les boutons du haut de son chemisier… 1 puis deux le regard vide.

– Que fais-tu ma belle? Je ne t’ai rien demandé …

– Mais je croyais que?

– Ne crois rien va te chercher un thé et assieds toi

Machinalement, Lucille fait volte-face et sans même penser à remettre ses boutons part à la cuisine et reviens avec un thé. Elle s’assoit sur un pouf face à Marc le regardant droit dans les yeux comme pour surveiller un prédateur.

– Raconte-moi ta réunion alors ….

Lucille dans les moindres détails lui expose les faits de la réunion. Marc écoute attentivement ne perdant pas une miette, Profitant de cette accalmie pour sortir un mouchoir, l’imbiber légèrement d’eau chaude et le passer sur le visage de Lucille pour en enlever les traces de ses pleurs et le mascara.

Au début, Lucille a un mouvement de recul puis sous la douceur des gestes poursuit son histoire et se détend.

Marc n’en perd pas une miette jusqu’à la fin du récit.

– Ca alors tu m’épates! je ne pensais pas que tu y arriverais et surtout que tu arriverais à les corrompre si vite!

– Comment ça? Vous les connaissez?

– Oui ce sont des bourgeois et rentiers très traditionnalistes! Je dois tout te raconter … Je suis un ami de ton patron Mr Luzac et c’est moi qui était l’absent du jour! Pour ne pas te perturber je ne suis pas venu et j’ai bien fait! Depuis quelques temps nous pensions à utiliser des charmes féminins pour décrocher des contrats mais nous pensions que ça les rebuterait … Mais apparemment ton côté candide d’apparence les a charmé et je t’en félicite!

– C’est pour ça que vous connaissiez tous ces détails?…

– Oui me belle mais estime toi heureuse tu ne tarderas surement pas à rembourser ce qu’Alex nous doit!

A ces mots Lucille baisse la tête en signe de soumission.

– Et maintenant que dois-je faire?

– Je suis un homme de parole tu sais je t’avais promis une récompense et je compte bien m’y tenir … Tu as ton premier client cet après-midi mais je te donne ma parole que tu n’auras rien à faire! je serai là pour m’en assurer ….

– mon premier client? …

– Oui il ne te sera pas vraiment inconnu ne t’inquiète pas… tu t’habilles comme tu veux mais mets un maillot de bain, le bikini blanc que je t’ai préparé dans ta chambre et rejoins moi à la voiture. Après on ira fêter notre partenariat au restaurant et nous rentrerons nous coucher! c’est une aubaine pour toi une superbe occasion de rembourser une partie de ta dette.

Un petit sourire crispé s’affiche sur le visage de Lucille qui ne sachant pas réellement à quoi s’attendre ne répond pas et finit son thé.

Puis elle se lève et se rend dans sa chambre pendant que calmement Marc se rend à sa voiture. En arrivant, elle découvre un petit bikini comme toute très classe, mais quelque chose lui saute aux yeux, il a vraiment l’air trop petit…. Le prenant, elle se rend compte que le bas est au moins une taille trop petite, de même que les bonnets du haut…. Elle l’enfile tout de même le bas forme deus triangles, le derrière rentrant légèrement tant il est serré et le devant cache juste ses lèvres…. Les deux parties sont jointes par des nœuds rosette. Enfin que dire des deux petits triangles du haut eux aussi noués dans le cou et le dos, qui cachent environ la moitié eskişehir escort de ses seins et les serrent tellement qu’un effet pushup est désormais visible…. Avec cet ensemble, elle a l’air d’une bimbo qui n’a de cesse que d’aguicher….

Elle enfile aussitôt son jean, un débardeur et une petite veste et rejoint Marc qui l’attend de pied ferme.

– On va à l’hotel thermal à la sortie de la ville notre client nous y attend pour un cocktail au bar des bains. Donc comme je t’ai dit, je te présente, mais il te connait déjà je pense et après tout dépend de toi, moi je suis le contact seulement!

Lucille fait oui de la tête sans broncher de plus en plus, tout se mêle dans sa tête…. Mais pour une fois, elle semble pouvoir contrôler une entrevue….

Arrivés à l’hôtel, ils descendent, et Marc confie la clef de sa voiture au voiturier, puis ils entrent dans le hall, Lucille est ébahie par le Luxe de cet endroit, que des gens qui sentent l’argent à plein nez … Qui vat ‘elle bien pouvoir rencontrer dans ce lieu?

– Je vais me changer je te commande un cocktail rejoins moi au bar central!

Changée, Lucille sort et découvre une grande pièce thermale avec trois bassins et des salles de Hammam et Sauna. La piscine la plus grande, comme Marc l’a indiqué possède un bar aquatique avec des tabourets à demi immergés. Lucille se dirige vers le bassin du bar et sent comme elle l’avant pressenti tous les regards posés sur elle, sur sa tenue, mais aussi sur les marques laissées par la ceinture dans son dos…. seuls les deux hommes, ce qu’elle reconnait être Marc et un Homme noir légèrement enveloppés lui tournent le dos. Fort heureusement, se dit-elle, les bassins de nage sont pleins, mais celui du bar est relativement vide…. Seules les deux hommes et le barman s’y trouvent.

Lucille entre dans l’eau et salue les deux hommes avant de s’assoir au bar.

– Prend ma place à côté de Monsieur Lucille moi je vais aller nager!

A ces mots, Marc se lève et Lucille s’assoie, eau au-dessus du bassin et lance un petit sourire plutôt gêné à l’homme noir.

– Ah oui Lucille avant de partir une dernière chose …. Surtout ne bouge pas!

A ces mots, comme figée, Lucille se pétrifie et Marc défait d’un geste habile les deux nœuds du bas du maillot puis le tire d’un coup sec.

– Que faites-vous?

– Tu es sous l’eau, à moins de venir te coller personne verra … je le garde avec moi en garantie!

Lucille se retient mais ne dit rien et cache son malaise sous l’œil hilare de son « client » noir qui d’un ton moqueur balance

– C’est bien mieux ainsi!

Marc tout sourire repart, bas du maillot de Lucille en mains, laissant les deux à leurs affaires.

Lucille toute gênée reprend place face au comptoir puis sachant que dorénavant elle n’a d’autre choix, entame la conversation.

– Enchantée Lucille, et vous êtes?

– Diaby Etienne Diaby on s’est déjà parlé il me semble non?

Tout ne fait qu’un tour dans la tête de Lucille ce Mr Diaby,…. Celui du mail étonnement égaré…

– Heuuu oui effectivement ravie de vous rencontrer en chair et en os!

L’homme d’un petit air moqueur répond

– Et moi donc! (la toisant de haut en bas insistant sur le bas) Je dois donc négocier avec la fameuse Lucille qui m’a fait perdre quelques milliers d’euros…. Pas sûr que j’ai vraiment envie de confier ma nouvelle flotte à vos services ….

– Cette erreur était je vous l’accorde inadmissible, mais nous offrons et de loin les meilleurs services je vous l’assure! et d’ailleurs l’offre que nous vous avions fait par la suite a dû compenser les pertes

Si Lucille n’avait pas été dans cette tenue et cette position de faiblesse, son discours aurait été des plus convaincants et son ton très professionnel ajoutait à l’ironie de la situation.

– Mademoiselle en moyenne mes avions cloués au sol me coûtaient 21 mille euros par jour chacun… 3 avions, trois semaines de retard sur le traitement de mon mail… je vous la fait simple …. Au bas mot nous sommes sur un manque à gagner au bas mot de 1,3 millions… Nous sommes loin du compte et je dirai même que je ne compte pas la dégradation de notre image!

Lucille prend quelques gorgées de son cocktail et poursuit

– De combien de nouveaux avions disposez-vous?

– 5 avions de ligne

Lucille a bien étudié les dossiers et les tarifs pour être prête en négociation

– 5 avions, nous serions sur un coup d’entretien sur l’année, service inclus de 500 mille euros ce qui inclus les techniciens, les assurances et les livraisons de pièces!

L’homme à ces mots passe une main sur l’intérieur de la cuisse de Lucille et caresse et palpe délicatement

– moi écoutez l’offre et le sérieux de la concurrence m’attire plus … A moins d’un bonus de signature! A ce que j’ai cru comprendre et voir, cela est plus ou moins prévu non?

Docilement, Lucille ne bouge pas et se laisse faire par l’homme qui s’approche de plus en plus de son entre jambes sous l’eau.

Intérieurement, Lucille gaziantep escort réfléchit, cela lui coûte, mais 10% de cette somme …. Cela rembourserait la moitié des dettes d’Alex…. Elle se devait de le faire pour sauver son homme et éponger la dette…. Et bon en attendant tant d’hommes profitaient de ses charmes… il fallait que cela cesse et vite!

– A la signature seulement alors …

– Bien entendu ma belle, je suis disponible demain encore! Après je signerai ailleurs si tu ne t’es pas présentée!

– Je viendrai demain sans faute monsieur!

– Demain, pourquoi pas maintenant et demain?

– Ce n’était pas l’accord ….

– Je suis le client il me semble … enfin tant pis si tu ne veux pas de cette nouvelle flotte!

Lucille baisse la tête à ces mots ce qui laisse Mr Diaby comprendre qu’il sort vainqueur de ce duel!

Rejoins-moi dans ma suite la 205 au fond du couloir! en maillot de bain ne perds pas de temps à te rhabiller ça ne servira à rien …

L’homme noir se lève sort de l’eau et laisse Lucille qui vainement cherche Marc et son bas de maillot dans l’eau. Quand elle l’aperçoit, ce dernier ne répond pas à ses signes, mais au contraire lui fait signe de le rejoindre….

Lucille le regarde incrédule… il est avec 2 autres hommes dans le jacuzzi, il n’est pas sérieux?!

Marc impatient lui jette un regard noir qui fait remonter en Lucille le souvenir des coups de ceinturon…. Elle sort le plus discrètement de l’eau. Fort heureusement, il ne lui reste que 10-20 mètres à parcourir hors de l’eau. Ce qu’elle fait puis arrive face à marc assis plaisantant avec les hommes.

– Regardez là… quand je vous dis qu’elle aime s’exhiber!!!

Les hommes se moquent mais leur regard est fixé sur le bas du corps nu de Lucille.

Marc lui jette son maillot

-Allez remet moi ça…. Tu me fais honte à toujours l’enlever! Vaque à tes occupations on se rejoint ici quand tu auras fini!

Lucille s’empresse d’enfiler son bas et le renouer et se dirige vers la sortie après s’être essuyée.

Elle prend ensuite l’ascenseur jusqu’au deuxième et frappe à la 205.

– oui?

– C’est Lucille Mr!

– Ah c’est toi!

La porte s’ouvre presque immédiatement et l’homme dont elle remarque dorénavant la taille se présente face à elle en caleçon. Lucille n’est pas petite du haut de ses 1.60 mètres, elle est dans la moyenne, mais cet homme, lui semble comment dire…. être un colosse il doit bien mesurer 1m95-2 mètre et très carré même si il a un peu de ventre ses épaules sont larges et ses bras immenses! Lucille a un moment de blocage mais finit par avancer dans l’entrée.

L’homme la toise du regard puis la stoppe.

– Attends un peu… Laisse ton maillot dehors, il ne te servira à rien ici!

A ces mots, la porte toujours grande ouverte, il la plaque face au mur et habilement tire sur chacun des nœuds de sa culotte la laissant tomber à ses pieds puis vient le tour de son haut qu’il retire de la même façon.

D’un coup de pied, il les repousse dans le couloir sous le regard incrédule de Lucille qui n’en croit pas ses yeux.

– Voilà tu es fin prête pour notre entrevue!

A ces mots, Lucille toujours face au mur, il lui malaxe les seins sans douceur comme pour tâter des fruits avant de les acheter… encore que l’on serait plus doux avec des fruits. Lucille ressent de la douleur mais ne bronche pas. Elle est effarée de voir la taille de ces mains dans lesquelles chacun des seins disparait intégralement.

– Aujourd’hui je vais t’apprendre ce qu’il coûte de faire des erreurs…. Et demain on négociera!

Lucille qui n’a d’autre choix acquiesce d’un signe de tête.

– Bien va sur le lit! sur le ventre! j’arrive!

Lucille entre donc nue et s’allonge sur le lit pendant que l’homme verrouille la porte.

L’homme entre à son tour lui jette un masque de nuit .

– Tiens mets ça sur tes yeux!

Lucille l’enfile, l’homme sort des menottes et lui attache les mains dans le dos, puis il place deux gros oreillers sous le bas ventre de Lucille pour surélever son bassin et de deux menottes à la chaîne plus longues, attache ses chevilles aux pieds du lit. Cela rend la position très inconfortable et pire encore, Lucille ne peut plus ni bouger, ni voir ce qui se passe.

– 1 Heure aujourd’hui 1 Heure demain si tu es obéissante, le contrat est pour toi! sinon, adieux le contrat…. D’ailleurs oublie pas de ma l’apporter demain!

Lucille hoche de la tête et repose sa joue contre le matelas son cœur battant à 200 à l’heure sous l’effet du stress … Elle qui pensait réellement avoir sa récompense… Pas de rapport sexuel… Marc s’était bien moqué de lui!

Tout à coup ses pensées se stoppèrent sentant de grosses mains calleuses caresser et malaxer ses fesses.

– Tu as vraiment un bon cul pour une petite blonde! il me donne un tas d’idées pour demain! bien blanc et bombé et des bonnes cuisses un régal!

A ces mots elle sent la deuxième main s’abattre violemment sur son postérieur lui giresun escort arrachant un cri de douleur. Elle sent sa peau la bruler. Avant qu’elle n’ait pu s’en remettre, un revers s’abat sur se deuxième fesses lui faisant atrocement mal. L’homme rit doucement et la caresse de nouveau.

– Il est assez gros pour bien remuer sous les fessées mais pas trop le rendant très agréable à la vue et au toucher!

Lucille entend les pas du colosse contourner le lit et le matelas s’affaisser. Une odeur se fait sentir et se rapproche de son visage. L’homme a sorti son sexe elle en est sure… Cela n’y manque pas, elle sent son gland se présenter contre ses lèvres. Mécaniquement elle ouvre la bouche pour accepter le pénis de son futur client qui ne se fait pas prier pour s’y enfoncer.

Bien sur sa bouche est assez grande, mais de peu pour permettre à ce gland monstrueux de s’y introduire… Même le sexe de Marc en bouche ne lui faisait pas cet effet elle sent sa mâchoire distendue quand l’homme commence les vas et viens à l’intérieur.

Les larmes de Lucille dues à la douleur des fessées sont bientôt rejointes par les traits de bave de cette dernière incapable d’avaler sa salive tant sa bouche est écartelés… elle ressent la même douleur à sa mâchoire, à ses commissures que lorsque chez le dentiste, elle avait eu cet sorte d’objet pour empêcher le patient de refermer sa bouche… cette sensation était horrible!

Après quelques minutes de vas et viens, Lucille sent Mr Diaby retirer enfin son énorme engin et le matelas reprendre sa forme d’origine. Lucille reprend son souffle et ses esprits avant de sentir un souffle chaud entre ses cuisses.

Lucille n’était pas coutumière du fait…. Tous les préliminaires la révulsaient et elle ne s’y prêtait que très rarement avec Alex… Non pas qu’il ne veuille pas, mais pour elle, le contact entre une bouche et un sexe était sale…

Toujours est-il qu’elle sentit une langue passer dans sa fente, les deux mains calleuses posées sur ses fesses, les pousses écartant ses lèvres. La langue allait et venait habilement jusqu’à atteindre le clitoris de lucille. A ce moment, la pression de la langue ainsi que ses petits mouvements se firent plus insistants?

La sensation que ressentit lucille après tant de souffrances fut incomparable.

Bien sûr l’acte la révulsait toujours autant, le contexte peut-être encore plus, mais son corps semblait penser autrement et son ventre se noua, sa respiration se fit plus profonde.

Bientôt cette sensation de contraction se déploya dans tout le corps, et, contre toute attente et toute envie, Lucille se mit à gémir et de plus en plus fort.

Tout est maintenant hors de contrôle pour Lucille qui ne peut empêcher son corps de se contracter de plus en plus. Bien sûr elle tente en vain de retenir ses gémissements mais rien n’y fait… son corps meurtri semble apprécier ce moment de douceur intime.

C’est alors que tout son corps se crispe et qu’un orgasme foudroie Lucille qui retombe la tête dans le matelas au moment où la langue cesse son exploration.

– Tu es prête maintenant ma belle!

Lucille sent le gland presser contre son vagin, jamais elle n’aurait pu imaginer que tel engin pourrait rentrer en elle mais pourtant, sous l’effet lubrificateur de la salive et forcément de sa mouille dû à l’orgasme, centimètre par centimètre, celui-ci entre en elle entièrement.

L’homme commence alors de puissants vas et viens dans une Lucille épuisée par son précédent orgasme et incapable de bouger.

La douleur se fait ressentir, mais le plaisir aussi le tout mêlé à de la honte de faire la fille de joie pour un contrat et la colère de sa réaction, de sa situation… tout se mélange dans sa tête la brisant de plus en plus chaque jour depuis cette fameuse rencontre avec Marc…. Elle est à deux doigts de lâcher mentalement, mais cela ferait trop plaisir à ses harceleurs…

Lucille encaisse donc les coups de boutoir du colosse noir essayant de se vider la tête.

Par moments, elle sent un gros doigt forcer l’entrée de son œillet anal, entrer de plus en plus et ressortir, ce qui ajoute à la douleur. Mais elle ne dit rien, incapable de quelque réaction que ce soit.

Le colosse s’allonge de tout son long sur son dos, malaxe ses seins et continue à la labourer comme un bourrin …

Soudain dans un râle roque il jouit et se vide en elle, puis reste quelques minutes allongé sur son dos, l’enfonçant dans le matelas rendant sa respiration très difficile.

Il se relève, lui tapote ses fesses rougies et la détache.

– Va te doucher et rejoins ton patron! ton heure est passée!

Lucille se lève et file titubante à la salle de bain. Elle est plus éreintée que jamais, mais y parvient et tente tant bien que mal, sous la douche de faire sortir le sperm de Mr Diaby.

– Allez c’est fini sors j’ai d’autres chats à fouetter!

Lucille se sèche et sort du la salle de bain. Il l’attrape violemment, et la met à la porte la jetant dans le couloir.

Après avoir heurté le mur d’en face de son don, Lucille s’écroule de fatigue, recroquevillée sur elle-même en position fœtale, son maillot dans la main et s’assoupie.

Quand elle revient à elle, elle se rend compte que des gens ont pu la voir nue dans le couloir…. Elle se relève, enfile son maillot et se dirige vers le rez-de-chaussée pour rejoindre Marc.

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Initiations Ch. 03

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Brothersister

3

Je m’assis sur le lit, observant les miroirs dans la chambre. Elise suivit mon regard et rougit. Elle restait debout devant moi, la tête légèrement baissée. Elle savait ce qui allait se passer et ne pouvait rien faire contre…

– Enfile quelque chose de plus sexy, lui intimais-je.

Elise resta interdite. Je me levai et vint me placer juste devant elle.

– Mettons les choses au point tout de suite. Là, dans cette chambre, tu obéis au moindre de mes désirs. Au doigt et à l’œil. Comme une bonne petite chienne bien dressée… (elle rougit. De honte? de colère?) Si je te dis, mets toi à quatre pattes sur le lit et écarte toi le cul, dans la seconde, je veux voir ton cul tendu vers moi, et tes mains qui écartent tes fesses… Tu comprends?

Elise gardait la tête baissée. Il se passa une seconde avant qu’elle hoche la tête en signe d’assentiment.

– Je n’ai pas entendu…

– Oui, murmura t-elle.

Je passais mes mains sous son pull, m’amusant à caresser son énorme poitrine.

– Oui, qui?

Elle me regarda sans comprendre. A ce moment précis, je lui pinçai les tétons. Pas trop fort. Jusqu’elle comprenne. Elle ne cherchait même pas à se dérober.

– Oui, monsieur.

Mon sourire victorieux lui fit baisser les yeux.

– Dis moi petite salope, tu as sûrement une tenue que tu mets pour exciter ton mari?

– Oui monsieur.

– Eh bien qu’est-ce que tu attends…? Déshabille-toi…

Je me laissai retomber sur le lit en la regardant. Elise s’écarta vers l’armoire et, me tournant le dos, ota son pull. Elle déboutonna son pantalon et le retira. Elle portait une culotte blanche et un soutien gorge assorti. Elle ouvrit un tiroir et en sortit une tenue noire.

– Pas la peine pour le soutif, fis-je, j’ai envie de voir tes grosses loches qui se balancent pendant que je te défoncerai la chatte…

Elise baissa un peu plus la tête. Pendant qu’elle se changeait, je m’amusai à la mater sous toutes les coutures. Lorsqu’elle me fit face, elle portait une culotte noire transparente et des bas auto-fixant.

– Voilà, tu ressembles déjà plus à une pute comme çà. Enfile ça, fis en lui jetant un petit masque noir qui allait lui couvrir les yeux. Et dépêche! A moins que tu ne veuilles que ton mari ne nous trouve ici.

Elise me regarda d’un air mauvais et enfila le masque. Elle ne voyait pus rien. Je sortis rapidement mon appareil téléphonique et enclenchai silencieusement la caméra. Je posai le elazığ escort téléphone à l’endroit que Karl m’avait indiqué. Il ne louperait rien de la séance.

Je me levai et commençai à mordiller les tétons d’Elise. Sa respiration se fit immédiatement plus lourde.

– Tu sais pourquoi tu vas adorer que je te baise? Parce que tu as une excuse… Tu aimes ton mari, tu es fidèle… Mais là, ce n’est pas de ta faute… Tu n’as pas le choix… Tu vas pouvoir jouir comme une trainée sans te sentir coupable…

Je baissai sa culotte.

– Mets les mains dans le dos. Et écarte les jambes.

Elise ne s’exécuta pas. Je la pris par les cheveux et la giflai. Je la senti partir en arrière, mais je la ramenai contre moi.

– Une pute ne fait pas répéter. Elle obéit. C’est compris?

– Oui… murmura t’elle.

Nouvelle gifle.

– Oui, monsieur, reprit-elle d’elle-même.

– Bien. Tu sais quoi? Je vais te laisser une chance. Si tu ne jouis pas dans les 10 minutes, alors je m’en vais et te donnerai la vidéo et l’original… Tu n’entendras plus jamais parler de moi…

Je la sentis se reprendre.

– Et si je jouis? fit-elle dans un souffle

– D’abord, tu devras demander l’autorisation pour prendre ton pied… Si tu jouis, ça prouvera simplement que tu es une grosse chienne en chaleur, prête à tout pour de la queue…

J’aimais l’insulter. A voir sa poitrine se soulever, je savais qu’elle vivait un moment intense.

– Ecarte tes jambes… (elle s’exécuta) Hum cette chatte rasée de près…

Je mis deux doigts devant sa bouche.

– Mouille les bien…

Elise entrouvrit la bouche et accueillit mes deux doigts en enroulant sa langue. Elle les massait doucement.

– Mouille les plus…

Elise continuait de lécher mes doigts. Je les retirai de sa bouche et écartant ses lèvres rasées, m’amusais à promener mes doigts humides sur sa chatte. Exactement le même traitement qu’elle avait reçu, droguée. Immédiatement, elle respira plus lourdement. Je fis passer ma langue dans son coup, descendant jusqu’à son téton que je mis à mordiller.

Je sentais de la mouille s’écouler de ses lèvres.

– Allons, ne me dis pas que tu vas déjà jouir…?

– N..Non, répondit-elle.

Je la giflai de la main gauche. Au même moment j’enfonçais mes doigts dans sa chatte rasée. Elle étouffa un cri de surprise. Tout en la maintenant contre moi, je la branlais bien à fond.

Ma erzincan escort langue courait autour de ses tétons.

Elle aimait ça.

– Je sais que tu es une bonne petite salope… lui murmurais-je à l’oreille. Combien de temps tu vas tenir?

– Je… Je ne sais… pas… (j’arrêtai de la branler) Monsieur, ajouta t’elle immédiatement.

– C’est mieux. Embrasse-moi…

Elle approcha de moi, et entrouvrit la bouche. Je vis sa langue sortir, à la recherche de la mienne. Ses mains voulurent m’enlacer, mais je la rappelai immédiatement à l’ordre.

– Mains dans le dos!

Elle s’exécuta.

– J’aime beaucoup comment tu joues avec ta langue.

Mes mouvements dans sa chatte étaient de plus en plus profonds. J’avais l’impression que j’aurais pu y entrer ma main. Un doigt supplémentaire était suffisant pour le moment. Elise avait du mal à se tenir debout.

Je mordillai son téton un peu plus fort, passant de ses seins à sa bouche tout en la tenant fortement par les cheveux.

-M …Monsieur… fit-elle.

Je savais ce qu’elle allait dire.

Je ne répondis pas, continuant à la branler, m’assurant du coin de l’œil que la caméra du téléphone ne ratait pas une miette du spectacle.

-Monsieur, fit-elle de nouveau, plus insistante.

– Tu as quelque chose à me demander?

Elle haletait. Mes doigts étaient recouverts de mouille.

– Oui… Je voudrais… ah…Je voudrais jouir…

– Ce n’est pas comme çà qu’une chienne demande… Il faut supplier son maître…

Je serrai son clito entre mes doigts, lui arrachant un petit cri avant de replonger dans sa chatte béante…

– S’il vous plait, Monsieur… Je… je vous en supplie…

– Je ne sais pas, fis-je sadiquement. La promesse d’une bonne pipe m’aiderait à te dire oui.

De ma main libre, j’enfonçai plusieurs doigts ans sa bouche. Elle ne pouvait plus parler, mais faisait oui de la tête. Je retirai mes doigts.

– Je vous su… je vous sucerai. (comme je ne disais rien) Je vous…sucerai… bien à fond… Je m’appliquerai…

– C’est bon ma pute. Jouis… Vas-y!

Je la serrai contre moi et la pénétrai de mes doigts le plus violemment possible. Elle me saisit, mais je la laissai faire. Ses soupirs se firent très forts, et elle se mit à crier alors que je la défonçai avec mes doigts tout en l’insultant.

– C’est bon, petite chiennasse… t’es une vraie pute en chaleur. Tu erzurum escort fous ta mouille partout…

Au moment où je la sentis redescendre, je calmais mes mouvements sans arrêter complètement.

– Maintenant, tu vas abaisser mon pantalon…

Elle savait ce qui allait suivre. Je continuai de la branler doucement pour la maintenir dans un réel état d’excitation. Ses doigts s’activèrent sur ma ceinture. Elle fit sauter mes boutons rapidement. Je savais qu’elle sentait mon erection. Cela l’excita davantage. Elle tira sur le pantalon et le caleçon.

– Une pute suce à genoux…

Elle se laissa tomber sur les genoux tandis que, pantalon baissé, je m’agenouillais sur le bord du lit.

Je pris ma queue dans ma main droite et m’enfonçai dans sa bouche. Je sentis sa langue chaude s’enrouler autour de ma bite. D’elle-même , elle tenait d’enfoncer le membre le plus loin possible tout en me branlant.

Je lui pinçai les tétons.

– Mains dans le dos!

Elle s’exécuta, continuant ses mouvements de haut en bas. Je pris ma queue et la maintint quelques instants hors de sa bouche. La regarder, à genoux, bouche ouverte, attendant que je lui baise la bouche était un vrai régal.

-Lèche mes couilles!

Elle passa sa langue sur mon sexe rasé tandis que je me branlais doucement en la regardant. J’avais beaucoup de projets pour elle…

Je lui saisis la nuque et m’enfonçais de nouveau dans sa bouche.

– Je veux sentir ta langue!

Elle m’obéit immédiatement. Je me branlais dans sa bouche. Je voulais qu’elle se sente utilisée, soumise.

– Tu es une vraie grosse pute!!! Avale!

Je me mis à jouir dans sa bouche. De longues giclées que je lui envoyais directement au fond de la gorge. Je l’écoutais avaler difficilement. Je la repoussai : elle était à genoux, la bouche tuméfiée par la pipe qu’elle venait de me prodiguer!

– Mets-toi à quatre pattes sur le lit…

J’allais passer à la suite du plan… Je saisis mon téléphone et composai un numéro. Elise releva la tête. Je lui giflai le cul.

– Baisse la tête! (elle s’exécuta) Mohammed? Vien nous rejoindre… La pute est prête.

Je rabaissais le clapet du téléphone. Elise voulut se redresser mais je la plaquais contre le lit :

– Écoute-moi bien : tu m’appartiens pendant 90 minutes! Si tu refuses, je me tire, mais tous tes proches te verront sucer une queue et tromper ton mec… c’est ce que tu veux?

Elise ne répondait pas. Elle écoutait le bruit de la porte d’entrée qui claque.

– Tu n’as pas le choix… fis-je en passant ma main dans sa chatte. Tu es trempée… je m’en doutais!

Elise écoutait les pas qui approchaient.

– Entre Mohammed…

“a suivre”

les commentaires sont les bienvenus…

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Anal

Alles begann mit dem Ansatz etwas Gutes für meinen Körper und Seele zu tun. Ich, das heißt Carola, 18 Jahre alt, zierliche 165 groß, blondes gelocktes Haar bis zu den Schulterblättern, grünen Augen und ein Körper voller Sommersprossen, stand gerade mitten in der Vorbereitung meiner letzte Abi-Prüfungen und hatte eine mehr oder weniger komplizierte Beziehung zu beendet. Die letzten Wochen haben mich folglich viel Kraft und Zeit gekostet, sodass ich mich nicht nur ausgelaugt gefühlt habe, sondern mein Körper auch danach aussah. Ich fühlte mich schlaff, lustlos und ein wenig aufgedunsen. Alles Attribute, welche ich auf keinen Fall mit mir oder gar meinem jungen Körper in Verbindung bringen wollte. Ich erinnerte mich nur zu gern an meinen sportlichen und vor kraft strotzenden Körper, welcher mit leichtem Sixpack und einem Po zum „Nüsse knacken” jedem Kerl den Kopf verdrehte. Um diesen Umstand wieder zu erreichen oder zumindest auf ein für mich normales Niveau zu bringen beschloss ich den Weg zur Schule, immerhin knapp 5km, täglich mit dem Fahrrad zurückzulegen und am Abend meine ältere Schwester Hanna (22 Jahre alt) zum Tanztraining zu begleiten.

Anfänglich viel mir der ungewohnt viele Sport recht schwer und ich merkte, dass ich meinem zierlichen Körper doch einiges abverlangte. Jedoch zeigten sich recht schnell erste Erfolge und auch meine geistige Fitness nahm spürbar zu. Ich fühlte mich Tag für Tag fitter und begehrenswerter und fing langsam aber sicher wieder an meinen Körper sexy und aufreizend zu finden. Auch kurze Rückschläge, wie auftretender Muskelkater oder der berühmte Kampf gegen den inneren Schweinehund, konnten mein Bestreben nicht brechen. Aufgrund der ungewohnten körperlichen Belastung, besonders im Schritt und am Po, stieg ich jedoch von meinen sonst bevorzugten Hotpants (scheuerte einfach zu sehr auf Dauer) auf eine bis dato eher ungenutzte Form, den Stringtanga, um. Hier lies ich mich durch meine ältere Schwester beraten und in einem Anflug ardahan escort von weiblichem Shoppingwahn kauften wir mir einen bunten Straus an unterschiedlichsten Tangas. Nach kurzer Eingewöhnung genoss ich die Vorteile die so ein knapper Tanga mit sich brachte zunehmend. Besonders die minimalistisch geschnittenen Modelle, sprich wo eigentlich nur ein dicker Faden meine Rosette und ein zierliches Dreieck meine Scham bedeckten, ließen mich das Radeln noch mehr genießen. Nichts scheuerte mehr und durch den straff und eng anliegenden Stoff kam es auch zu der ein oder anderen Reibung in meinem Schritt und meiner bis dato unbekannt empfindlichen Rosette.

Da mein Körper nun die gewünschte Sportlichkeit wiedererlangt hatte und es ohnehin sehr warm war, wurde mein Outfit entsprechend luftig. Die anfänglich getragenen Jeans und Pullis blieben im Schrank und getragen wurde nun meist ein enges Top oder Bluse kombiniert mit einem Mini oder einer frechen Jeans-Hotpants. Zusätzlich beschloss ich aufgrund meiner kleinen, festen Brüste selten einen BH unter den Tops zu tragen. Besonders am Morgen, wenn die Luft noch etwas kühler war, genoss ich den Fahrtwind, welcher sich unter meinem luftigen Rock sammelte und direkt in meinem Schoss zu Verwirbelungen sorgte. Dieses angenehme Gefühl umschloss meinen gesamten Körper und ich spürte wie mein gesamter Körper den Luftzug durch meinen Schoß genoss. Ich bekam eine Gänsehaut, welche durch ein wohliges Kribbeln im Bauch begleitet wurde. Zusätzlich richteten sich meine zarten knospen an meinen leider recht kleinen aber sehr harten Brüsten merklich auf und erzeugten ein Gefühl und unerträglicher Spannung. Zu gern hätte ich sie sofort mit meinen Fingern berührt, sie gestreichelt und langsam aber sicher massiert. Wäre dann wahrscheinlich in ein leichtes Drücken und Zupfen, bis hin zu einem ordentlichen Zwirbeln meiner kleinen Freunde übergegangen. Man kann sich vorstellen, dass meine Gedanken für erhebliche Feuchtigkeitsbildung artvin escort in meinem Schoß und Ablenkung in meinem Kopf führten. Ich strampelte somit, von meinem nach Berührung schreienden Körper getrieben, wie eine Besessene die Straße herunter und beachtete in meinem Rausch kaum noch die Umwelt um mich herum. Durch ein lautes Krachen wurde ich schlagartig aus meinem erotischen Tagtraum mit Fahrtwindunterstützung herausgerissen. Wie in Zeitlupe sah ich mich von meinem Sattel in Richtung Bordstein fliegen. Erst kurz nach der wirklich sehr schmerzvollen Landung beschleunigte sich das Leben um mich herum und ich spürte ein ordentliches Brennen am Oberschenkel, Knie und meinen Unterarmen. Vom Schmerz abgelenkt, hatte ich noch gar nicht verinnerlicht was da gerade passiert ist. Erst durch ein zärtliches Streicheln auf meiner Schulter nahm ich von meinem Unfallpartner und der Gesamtsituation Kenntnis.

„Hey Kleine, alles klar bei dir?” Ich ortete die helle Frauenstimme und drehte mich langsam zu ihr hin. „Da hab ich dich wohl ganz schön erwischt. Ich war gerade abgelenkt, als du mir wie eine Wahnsinnige gegen mein Rad gedonnert bist! Wie ich sehe ist dir und deinem Fahrrad jedoch deutlich mehr passiert als mir.” Ich schaute an mir runter, erkannte die blutigen Schrammen. Dann schaute ich weiter zu meinem Fahrrad…oder das was es einmal war und anschließend zu der bislang noch fremden Frau hinüber. Es handelte sich um eine durch ordentliche, weibliche Proportionen geprägte Frau mittleren Alters. Sie hatte ein freundliches Lächeln, welches mit ihren braunen Augen und schwarzen Haaren optimal harmonierte. Ihr sportlicher Körper war durch ein luftiges Sommerkleid bedeckt, sodass ich leicht die großen Brüste und das pralle aber dennoch sehr sportliche Becken erkennen konnte. „Ich bin Jasmin” sprach sie und hielt mir ihre Hand hin… „komm ich helf dir hoch”. Nachdem ich wieder auf den Beinen war und meine Kleidung ein wenig zu Recht bodrum escort gerückt hatte, bemerkte ich, dass meine Nippel trotz der anhaltenden Schmerzen immer noch steinhart den Stoff meines Tops ausbeulten. Auch Jasmin schien dieser Umstand nicht verborgen zu bleiben, denn mit einem frechen Grinsen im Gesicht, lachte sie mir ein „na Kleine, deinem Körper scheinen die Schmerzen ja nix auszumachen…ganz im Gegenteil, er erfreut sich scheinbar sogar dran!” Ich wurde schlagartig knallrot im Gesicht und konnte mir selbst nicht erklären, warum mein Körper dermaßen unangebracht reagierte.

Jasmin ging gar nicht auf meine roten backen ein und plapperte drauf los… „Du siehst ja vollkommen demoliert aus. Wenn du magst kannst du dich bei mir ein wenig frisch machen. Ich wohn hier nur ein paar Straßen um die Ecke.” Da sie mir sehr symphytisch war und meine Wunden doch ein wenig Reinigung vertragen konnten, beschloss ich mit ihr zu gehen. Auf dem Weg zu ihrem Haus erklärte sie mir, dass sie 36 war, als Sekretärin in einem großen Betrieb arbeitet und eine Tochter in meinem Alter alleine großzog. Noch während sie mir einen Schwung aus ihrem Leben erzählte betrachtete ich sie genauer. Sie war für ihr Alter in absoluter Topform. Durch das eng anliegende Kleid konnte ich kein Gramm Fett, sondern nur durchtrainiertes Fleisch erkennen. Besonders ihr großer Busen faszinierte mich sehr. Er schien wie an Fäden gehalten, dem ordentlichen Gewicht zu trotzen. Wenn der Weg etwas enger wurde, ging sie ein paar Meter voraus und präsentierte mir so, eher unaufdringlich, ihren knackigen und wohlgeformten Po. Auch wenn dieser sicherlich knapp 2 Nummern größer war als meiner schien er sehr fest und durchtrainiert zu sein. Da ich bisher eigentlich kein großes Interesse an fremden Frauen hatte wunderte ich mich immer noch über mein großes Interesse an ihrem Körper. Ich ertappte mich selbst dabei, dass ich mich fragte was sie wohl unter diesem Kleid tragen würde…ob sie auch auf minimalistische Tangas, raffinierte Pants oder gar wilde Bodys stehen würde….ob sie eher Push-up Bh`s trägt oder evtl. mehr auf Sporttops steht…sogar die Überlegung ob sie wie ich eher halterlose Strümpfe oder gar verruchte Strapse bevorzugt kam mir in meinen Kopf.

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Blonde

Warning: This is a spanking/humiliation/lezdom fetish story. All characters are at least 18 years or older. If you’re new to this story, it’s about a hardworking woman and her co-workers being mistreated by their young boss, who was only given the job because her daddy is the CEO. I hope you enjoy!

Chapter 9

Now, out of Trish’s office and back in my sad reality where I didn’t have one of her precious titties in my mouth, I attempted to move on with my day without absolutely blowing the fuck up at Mary. She and I could hardly even look at each other, and we definitely weren’t on speaking terms after she so rudely interrupted my nipple sucking session with our boss.

Even worse, that tall brunette bitch just had the interject herself in my new hobby. I never liked sharing Trish with those sluts in my office, but now having to share her breasts with a woman, who truly didn’t care for her the way I did, had me red with anger.

Of course I was embarrassed about some of the other things that happened as well. Trish had straight up played with our pussies and even rubbed our ass holes a little.

We each sat on one of her dainty knees like we were little children fighting over a new toy. However, none of that really mattered to me, because this was war! What Mary and I were fighting over went beyond the humiliating acts that our wonderful boss did to us.

For the next several hours, Trish was out of the office, enjoying her extended lunch with one of her rich friends. This left Mary and me practically alone in the office. Oh, yeah… Sally was there too… like she mattered at all…

Mary and I weren’t speaking to each other, but there was obvious tension in the room. Her face was red with embarrassment, while my face was red with fury.

In the grand scheme of things, I fully recognized that a mature person would have kept her mouth shut until cooler heads prevailed. From the outside, this was an understandable competition. Mary and I both wanted to be Trish’s assistant. Of course, there was going to be some tension between us.

Unfortunately, a mature person was not what I chose to be. This was a battle for my precious Trish, and I was willing to use guerilla warfare to get my prize. However, until I could figure out exactly what guerilla warfare meant, I decided to attack her with pettiness instead.

The three of us somehow ended up in the break room at the same time later in the day. After successfully holding myself back from making any comments about my work-rival, the fire burning inside finally pushed me past my limits of maturity.

I could no longer keep my mouth shut!

While Sally was making herself a cup of coffee, mixing sugar and cream in it just the way she liked, I practically shouted, “I hope you don’t enjoy that coffee too much, Sally. If you do, Mary might walk over there and drink out of the same cup.”

While Sally stood there confused, Mary slammed both of her hands on the table before glaring over at me. “Do you think you’re the only one that matters around here?!” she growled, leaving our annoying bystander completely wide-eyed. “You don’t even like coffee! You were just hiding it from me because you thought it gave you an advantage!”

Sally looked back and forth between the both of us. “What? The coffee machine has always been here… I’ve seen both of you use it…”

“I do like coffee, you jealous bitch!” I shot back, getting right in Mary’s face. We glared into each other’s eyes as I continued, “You’re the one who doesn’t like coffee! You just decided to take a sip because you saw how much I enjoyed it!”

Still confused, Sally quietly expressed, “You two seriously just started drinking coffee? I swear I’ve seen both of you drinking coffee like every day…”

“Jealous?!” Mary persisted in the midst of our vicious battle. “Why would I be jealous?! Neither of us actually like coffee! We’re just doing this to gain an advantage!”

“That’s where you’re wrong!” I shot back proudly. In an attempt to clarify how different we were, I further explained, “Unlike you, I actually do like coffee. As a matter of fact… I think I’m in love with coffee!”

Taking a sip from her drink, the annoying brat, Sally, interjected herself by smiling and saying, “I love coffee too!”

“No, you don’t!” I shouted, turning my glare towards the smaller brunette. “You don’t know the first goddamn thing about coffee!”

Somehow, Mary joined my side in the berating of the goody two shoes. Though we were at each other’s throats, we could always agree that Sally was just an annoying bitch that wasn’t on our level.

“This isn’t actually about coffee, you little dummy,” Mary said, forcing Sally to step back out of intimidation. “We’re basically talking about something that happened with Trish, but I’m not going to explain it to you because, one, you’re not mature enough to understand what we’re talking about, and two, you’re a complete non-factor in the promotion, so you really don’t matter to us anyway.”

As harsh as it was, adana escort I had to back Mary up on her arguments. It was all true; Sally wasn’t a factor in this promotion. Despite how sad the goody-two-shoes looked, I doubled down on Mary’s arguments and added, “Sorry, sweetie, but we’re like way ahead of you in this race.”

Her eyes started to water as she grew defensive. “No, it’s a three woman race! I might get the promotion…”

“Uh, no, you’re not,” I replied before Mary and I both laughed at her. “Hate to break it to you, sweetie, but there’s a clear top two, and it’s Mary and me… most likely with me in first place…”

Once again, Mary turned her attention towards me, dismissing our little co-worker. In truth, Sally actually walked off due to our rudeness, but we didn’t notice. We were in the midst of our own heated battle, so we were hardly aware of anything going on around us.

“There you go again!” my co-worker yelled at me, showing her disdain for me with her eyes. “You always have a little comment, making yourself look better than me! You were even trying to suck her tits better than I was!”

“So what?! You don’t have to stick your nose in my business if you don’t like it! And yes, I do suck titties better than you do!”

“You are really starting to piss me off, Rebecca! I thought I was competitive! I can’t believe the lengths you’re going to just to get that position!”

“I don’t see you taking a different approach!” I yelled back, filled with jealousy over sharing Trish’s breasts with her. “You’re trying pretty damn hard to stop me from getting that promotion to be Trish’s pet!”

Mary paused for a moment and blinked several times before coming back with an enraged response. “Trish’s pet?! You mean her assistant?!”

“Yeah… that’s what I meant!” I argued.

Honestly, I didn’t know why I said Trish’s pet in the moment. It just sort of rolled off the tongue naturally… And besides, calling myself her pet sounded pretty nice in my head…

Pulling her own hair, Mary showed her deep frustration for me by letting out a groan. “I swear, I don’t even know who you are anymore! I’m starting to think this has nothing to do with money! You don’t even talk about that rental property anymore!”

Suddenly, I raised my eyebrows in confusion as I stared at my competitive rival. “Rental property? What are you talking about?”

“Have you forgotten why you wanted that extra money to begin with?!”

“Oh, right! The rental property!” I reacted, excited at the prospect of fulfilling one of my financial dreams. I suppose I had forgotten about that in the midst of the battle. However, I couldn’t let Mary know that, so I yelled back, “I’m almost ready to buy one… and I can’t let you get in my way!”

Slapping her forehead in annoyance, the tall brunette just stared at me and shook her head. “I have no idea what your priorities are anymore, you crazy bitch.” Then, before I could come up with a response, she looked around and asked, “Where did Sally go?”

I wanted to tell Mary not to call me a bitch anymore, even though I had just called her bitch, but she brought up a good question that derailed our whole battle. Noticing the little brunette was gone for the first time, I became worried that she went to go tattle on us again. I hated when she stitched on us, but what scared me more about that was that it meant Trish had returned and I was too busy arguing with Mary to properly greet her!

“Did Trish come back?” I asked, showing concern on my face.

As I peeked around the corner, hoping to catch a glimpse of our cute boss, Mary asked, “Why? So you can go suck on her titties again?”

I noticed her office door was closed, but Sally was nowhere in sight. Fearing she was already inside, bad-mouthing me to Trish, I ran towards the door while shouting back at Mary, “And so what if I am going to suck on her tits again?!”

“If you’re going to suck on her nipple, then I’ll suck on her other one!” my rival argued as she chased me towards the door. “She has two nipples and you only have one mouth!”

“God, I fucking hate you, you jealous bitch!”

“I don’t think I’m the jealous one around here, bitch!”

Unfortunately, when we came barging into the office unannounced, just like we had gotten in trouble for in the past… I realized my worst fear. Sure enough, Sally’s bitch ass had beaten us there… but to my complete shock, she was already naked… and over the knees of our boss.

With our jaws on the floor, Mary and I were frozen in place, staring as Trish prepped Sally’s ass for a spanking. Confused about what she could have done to get in trouble so quickly, I asked, “Umm… what’s going on…?”

“Hairy, Baldy… what you two doing in here?” the little blonde asked, rubbing her precious hand against our co-worker’s bottom.

Mary and I gave each other a quick look before glancing back at what was in front of us. “Um… I wanted to speak to you about something… but…”

“Well, you’ll like… have to wait,” Trish interrupted, ankara escort shutting both of us down. “I need to give Stubbly a spanking first, and then I can talk to you two about, like… whatever.”

Still confused, Mary took a step forward and asked, “Um… what did… Stubbly… do to earn a spanking?”

With a little chuckle, Trish, still rubbing Sally’s ass, explained, “Stubbly actually came in here and, like… tattled on herself.”

“She did what?!”

While we noticed a slight smile on our little bitch co-worker’s face, Trish further explained, “Stubbly tattled on herself for like… doing a bad job today. I was shocked that she wasn’t telling on you two for something. But you know what? I’m like impressed with her honesty to tell on herself. That’s like… a lot of accountability.”

“So she gets a spanking because she snitched on herself?!”

“Like… yeah…”

Still hiding a smile like the little snake that she was, Sally used a sorrowful voice to express, “I’m sorry I’m not as good as Hairy and Baldy! They’re probably, like… way better than me! But I messed up a lot today and I want to learn my lesson so I can be a better employee!”

To my dismay, Trish rubbed that bitch’s ass even harder, just like she would do me before an extremely harsh spanking. “Don’t worry, Stubbly,” she said in a cheerful voice, making me grow green with envy. “You’re still going to receive a spanking, but I’m like totally impressed with your honesty. You’re like definitely being considered for my top bitch now.”

Enraged, I began stripping my clothes off as I ran towards them. “I’ve been a bad girl too!” I said as I ripped off my underwear. Attempting to get over my boss’s lap with Sally, I further exclaimed, “I need a spanking too!”

While Sally and I jostled for position, we began arguing like little children over the lap of our mommy. However, instead of blaming each other like kids would normally do, we were both trying to take responsibility for our actions to prove we were the one more deserving of punishment.

“Stop! She’s going to spank me first!”

“No! What I did was far worse! I came barging into her office again!”

Unfortunately, our boss, who was normally a good decision maker, made the wrong choice by pushing me off her lap. “Stubbly already convinced me that she needs a really hard spanking. You’re just going to have to like… wait your turn.”

Though I was back on my feet, I tried again to get over Trish’s lap. In my most pathetic voice, I whined, “No, I need a spanking now! Make her wait!”

“Stop!” Sally whined like a little bitch while she tried to push me away with her weak arms. “I was here first! Miss Trish, please make her go away!”

Knocking her hands away, I tried once again to fit myself on Trish’s lap. However, my boss decided to push me off once again, leaving me stomping my feet in a tantrum.

“It’s like I said,” the blonde started with a giggle. “Stubbly already convinced me that she needs a solo spanking. You’re just going to have to like… wait.”

Normally, I found her little chuckles and mannerisms cute, but now I was absolutely furious that I wasn’t getting my way. Clutching both of my fists, I stood there and demanded in my most spoiled voice, “Miss Trish… I need a spanking right now!!!”

I swear, the room went completely silent as all three sets of eyes stared at me for having the audacity to yell like that. Honestly, I should have been embarrassed for my behavior in that moment, but I was just so passionate about out doing Sally, I couldn’t control my actions.

Finally, Trish broke the awkward silence by blowing a bubble with the gum in her mouth. After it popped, she just chewed on it again nonchalantly before asking, “So you’re sure you need a spanking like right this instant?”

“Right this instant!” I repeated, a bit surprised that my outburst was about to give me the result I wanted.

“Well, like… okay…” the little blonde started, bringing a big smile to my face. Then, for some reason, she pointed behind me, causing me to pause. “Hey, Baldy… since I’m busy spanking Stubbly, would you mind like… spanking Hairy?”

“Wait, what?!” I reacted, glancing back at Mary, who had already gotten herself naked like the slut that she was. Turning back towards Trish, I exclaimed, “Why would she spank me?!”

“You said you needed a spanking like right now, didn’t you?”

“Yes…”

“Well… like… since I already explained that I’m spanking Stubbly first, the only way to like fulfill your wish is to have someone else do it,” Trish started in an uncaring voice. She then looked past me once again, gaining Mary’s attention. “Would you mind like giving Hairy the spanking that she keeps begging for?”

As I turned back, I noticed an evil look in my tall co-worker’s eyes. “With pleasure, Miss Trish,” she said before grabbing me by my long brown hair.

I attempting to get away from her while whining in pain. However, before I knew it, Mary had taken a seat on Trish’s adıyaman escort desk and pulled me right over her lap.

Unfortunately, as hard as I tried to push myself away, it surprisingly turned out that the tall and thick brunette was even stronger than the small and spoiled blonde. Mary pulled my hair extremely hard and kept me at bay over her knees. Then, just as I was about to have another whiny outburst, I felt one of the most painful sensations in my life as her hand slammed against my poor butt cheeks.

With my eyes closed and my mouth wide open, I let out the loudest moan in my life. There was nothing pleasurable about this spanking, however. And as she continued to pound my ass with her unrelenting hand, I wailed even louder, crying desperately for her to stop.

Despite the unbearable pain, I managed to open my eyes a few times to look over at Sally, who was getting the spanking that I deserved. She should be the one getting spanked by Mary! I screamed in my head as I felt my bottom being slammed by my co-worker’s strong palm. This is just torture!

The spanking I received from Mary was worlds apart from what I was used to with my boss. She hardly did any of the teasing, only stopping once to rub my red behind while she called me a pathetic bitch. Other than that, it was just a non-stop beatdown on my tushy, leaving me crying out in pain like a pathetic bitch.

With every smack that landed on my poor cheeks, I swear, I could feel the ripples going throughout my entire body. My hanging titties bounced so hard after each one of her slaps to my ass, I was afraid they were going to hit me in the face!

Meanwhile, Sally had the nerve to act as if the spanking she was receiving was anywhere near the torture I was going through. She whined like a child from each of Trish’s smacks. I’m sure if I had reacted the same in the past, but watching it from over Mary’s lap was incredibly annoying!

I was in such despair that I almost fell off Mary’s knees a few times. However, unlike the way Trish would grab me by the crotch to pull me back over her lap, the tall brunette just squeezed my ass extremely hard as she forced my body back into place. I was then immediately reprimanded and made fun of for not being able to take the pain.

“Are you about to cry?” she asked in a mocking tone, almost laughing at me. After noticing that I was whimpering too hard to even respond, she continued my humiliation, saying, “Good! I hope you cry! I’ve been wanting to do this to you for a long time!”

I don’t know what the fuck she meant by that, but it really pissed me off! Despite being in too much pain to respond, I thought in my head, No one deserves to spank me except Miss Trish!

Eventually, as shameful as it was, I did begin to cry. I wasn’t sure if it was because of the jealousy I had over Sally and Trish, or just a result of the sheer power Mary possessed with her smacks. I suppose that was the moment my co-worker felt bad enough to stop the spanking, and instead, just rub my poor ass as I lay over her knees, sobbing.

Unfortunately, I realized that I would have almost rather endured more spankings, so I could have been distracted from watching Trish play with Sally. Seeing her choose to punish another woman instead of me was the closest thing I had ever felt to being cucked. It was truly one of the lowest points in my life.

When Trish finally finished spanking Sally, she forced her to stand in front of her. She then instructed Mary and I to do the same. Once my co-worker allowed me up to my feet, I practically ran over to Trish, almost bumping Sally out of the way.

Mary then joined us, but I continued to be a brat by stepping in front of her. However, as the three of us jostled for position, Trish immediately shut me down, yelling, “Stop it, Hairy!

As I stood there quietly, I couldn’t help but feel all three of them staring at me. I actually wanted to smile, but Trish put a stop to any hope I had, saying, “I know what you’re doing, Hairy…”

With my eyes wide, and my hands behind my back, I asked in my most innocent voice, “What do you mean, Miss Trish?”

“You’re acting like a child,” she expressed, causing my heart to stop. “Little kids misbehave just to like… get attention… That’s what you’re doing right now…”

“No, it’s not, Miss Trish!” I argued, though deep down inside, I knew she was exactly right. “I just…”

Before I could get out another word, Mary and Sally both cut me off, agreeing with my boss. “That’s exactly what you’re doing!”

There was no point in arguing, because I knew Trish would just shut me down again if I attempted to argue with her. Even worse, I knew that disagreeing with her would only further my chances the falling out of her favor.

Plenty of damage had already been done, with Mary and Sally both making their moves. Somehow, I was the only one who was in any real trouble.

It had become a disappointing day, to say the least. However, things only got worse as I was forced to stand there and watch Trish rub both my co-workers between the legs like she did Mary and me earlier. Our boss even did that thing where she forced her fingers between their cheeks and rubbed their ass holes. I was completely fuming because I should have been the one getting my anus rubbed!

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Véronique Ch. 02

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En quittant sa soirée d’anniversaire, j’avais laissé une lettre dans le sac à main de Véronique. Lorsqu’elle l’avait découverte le lendemain matin, après un réveil difficile, cela l’avait fait paniquer complètement! Elle ne savait plus quoi faire, ne sachant si il fallait en parler à son mari (qui ne s’était rendu compte de rien, ayant eu l’impression de passer une très agréable soirée, même si il ne souvenait pas de grand’chose!), à d’autres personnes ou bien se taire. Elle se souvenait mal de ce qui s’était passé, mais ses mâchoires et son fondement douloureux, ainsi que ses muqueuses irritées parlaient suffisamment. Elle ne comprenait pas en particulier comme elle avait pu se laisser sodomiser, elle qui avait toujours refusé cette pénétration à son mari. Ce qui l’inquiétait plus encore était qu’elle n’était pas capable de se souvenir si elle y avait pris du plaisir ou pas, et avec qui!

Pour entretenir son inquiétude et éviter des confidences à ses amies, je lui envoyai une semaine plus tard sur son mail quelques photos choisies de la soirée, la montrant plutôt consentante dans mes bras, en train de se faire caresser les seins, la robe remontée jusqu’à la poitrine, ainsi que d’autres images la montrant en train de me faire une fellation dans sa propre chambre. J’imaginais assez bien l’horreur dans les yeux de Véronique découvrant ses images! Je savais qu’elle ne dirait rien, ayant menacé de divulguer ces photos au cas où elle essayerait de parler.

Dans les semaines qui suivaient, je continuai de lui envoyer des photos d’autres moments de la soirée : baisée sur la table du salon par Igor, à califourchon sur moi dans son propre lit, avec une expression de plaisir non simulée sur son visage, et enfin sodomisée par Igor en levrette! J’essayai de m’imaginer ce qui pouvait trotter dans sa tête en découvrant ses images! Est-ce qu’elle osait même ouvrir mes mails (je pense que oui, elle avait trop peur que ces images soient diffusées pour ne pas savoir ce qu’il y avait dedans!)? Je ne reçu en tout cas aucune réponse de sa part!

Un mois plus tard, Igor croisa inopinément Véronique dans un supermarché : la belle se figea en apercevant le géant ukrainien, terrorisé par cette apparition! Igor, surpris également, profita immédiatement de sa position de maître-chanteur : l’air de rien, il vint engager la conversation dans le rayon. Véronique, complètement crispée, répondait mécaniquement à ses questions futiles, ayant l’impression que tout le monde savait ce qui s’était passé. Igor prit congé rapidement, ce qui soulagea Véronique immédiatement. Elle pensait que son cauchemar était terminé, mais Igor n’était pas décidé à en rester là. Il se dirigea vers le rayon des sous-vêtements, et choisissant quelques modèles raffinés, les embarqua et se remit à la recherche de Véronique dans les rayons. Il la retrouva en train de choisir des tomates au rayon primeur.

S’approchant par derrière, ayant vérifié qu’il n’était pas observé par d’autres clients, il lui prit brutalement une fesse à pleine main : Véronique poussa un cri vite étouffé quand elle réalisa qui venait de la peloter! Igor n’avait pas lâché le globe ferme qu’il malaxait, et glissant les sous-vêtements dans son caddie, il lui chuchota à l’oreille qu’il serait dans son intérêt d’aller rapidement les essayer pour vérifier que la taille était correcte! Puis, la plantant là, il s’éloigna en direction des cabines d’essayage.

Véronique était atterrée, fixant les soutiens-gorge et strings dans son caddie, son cerveau paniqué essayant de trouver une solution raisonnable! Mais les images reçues sur sa messagerie repassaient devant ses yeux, et les menaces que j’avais fait sonnaient à ses oreilles : elle se savait prise au piège, et commença à se diriger lentement vers le rayon vêtement. En arrivant devant les cabines d’essayage, elle chercha des yeux Igor : celui-ci était en face des cabines, au rayon hommes, en train de choisir un pantalon à sa taille. Leurs regards se croisèrent, et Véronique baissa les yeux, désabusée. Elle se dirigea vers la cabine d’essayage le plus éloignée avec ses sous-vêtements, et tira le rideau sur elle. Igor, qui avait noté la position de la cabine, attendit quelques minutes pour laisser monter la panique et le doute dans le crâne de Véronique, puis se dirigea également vers les cabines. Ayant noté qu’aucune autre cabine n’était occupée, il tira sans prévenir le rideau de la cabine de Véronique, surprenant la belle, en string, en train d’essayer de mettre un des soutiens-gorge choisi par Igor! Dans un réflexe naturel, elle essaya de cacher sa poitrine avec ses mains, laissant tomber le soutien-gorge à terre. Igor, tout émoustillé par la scène, entra sans vergogne dans la cabine, et tira le rideau derrière lui.

Véronique, terrorisé, ne savait que faire face à ce monstre qui occupait toute la cabine! Ramassant le soutien-gorge tombé à terre, Igor le redonna à Véronique, lui demandant de le mettre. Celle-ci le saisit du bout des doigts, essayant toujours de cacher ses seins. Elle engloba ses seins dans la dentelle, mais van escort était tellement paniquée qu’elle était incapable de fermer les bretelles dans son dos. L’ukrainien saisit alors le fermoir et le fixa délicatement. Véronique s’était mis dos à lui pour cacher sa poitrine, mais Igor, après avoir attaché le soutien-gorge, fit glisser ses mains sous ses bras pour lui prendre les seins à pleine paume! Véronique essayait de ne pas réagir à ces attouchements appuyés, pendant que l’ukrainien lui massait la poitrine, titillant les tétons qui commencèrent à se dresser sous les caresses, bien malgré elle! Igor plaquait Véronique contre lui, profitant du contact de ses fesses contre son sexe emprisonné dans son pantalon.

Puis, faisant pivoter la jeune femme, et approchant ses lèvres de son oreille, il lui chuchota de se mettre à genoux et de le dégrafer pour libérer son sexe : Véronique eut un mouvement de recul à cette requête, mais après quelques instants à fixer l’entrejambe de l’ukrainien, à contre cœur, elle finit par se mettre à genoux devant lui, et commença à détacher sa ceinture de ses mains tremblantes. Elle pouvait voir la bosse significative formée par le sexe d’Igor, et avait les plus grandes difficultés à enlever les boutons de la braguette de l’ukrainien. Quand elle y parvint enfin, elle descendit le pantalon jusqu’à ses genoux, puis, encore plus tremblante, saisit le caleçon du géant lentement et le descendit également, ce qui eut pour effet de faire jaillir son sexe dressé presque contre son visage. Véronique eut un nouveau mouvement de recul, choqué par la taille monstrueuse de l’engin, reconnaissant l’objet qu’elle avait pu découvrir sur les photos que j’avais envoyé et qui était sans doute la raison de son fondement douloureux.

Elle resta ainsi sans bouger, fixant le dard palpitant de l’ukrainien : celui-ci lui mit la main sur la tête, et la força à approcher ses lèvres de son gland. Véronique résistait mollement, se sachant prisonnière des images volées qui pouvaient complètement briser sa vie. Quand ses lèvres vinrent toucher l’extrémité du braquemart géant, Igor lui lâcha la tête : complètement résignée, elle ouvrit la bouche d’elle même, et commença à essayer de prendre le sexe d’Igor dans sa bouche. Elle ne souvenait pas d’avoir fait une fellation à un sexe aussi imposant, et elle essayait d’écarter au maximum ses mâchoires pour permettre à ce pieu de chair de pénétrer sans la blesser. Elle commença à lui caresser le gland de sa langue, essayant de le lubrifier au maximum pour faciliter la pénétration. Puis elle le prit dans sa bouche, et se mit à faire des aller et retours, enserrant son gland de ses lèvres, le relâchant complètement pour le reprendre dans sa bouche tiède, ce qui provoquait des décharges de plaisir dans les reins d’Igor. Continuant ce manège, Véronique essayait de prendre plus profondément le sexe d’Igor dans sa bouche, espérant ainsi accélérer l’éjaculation du géant et terminer plus rapidement ce cauchemar. Mais le sexe du géant était si gros qu’elle n’arrivait pas à prendre plus de la moitié de la longueur dans sa bouche : le gland d’Igor venait buter contre sa gorge, et elle devait s’arrêter pour ne pas vomir. Elle continua néanmoins à aller et venir sur sa verge, tout en massant les bourses de l’ukrainien pour en finir le plus vite possible. Mais celui-ci avait de la réserve, et pouvait tenir un long moment : il savait d’autant plus apprécier cette fellation qu’il ne forçait même pas Véronique, elle faisait tout d’elle-même, essayant de lui donner du plaisir pour arrêter ce viol à moitié consenti!

Véronique commençait à avoir mal à ses mâchoires distendues par le sexe turgescent du colosse, et ne voyait pas venir la fin de son calvaire. Igor, qui voulait aller un peu plus loin, attrapa Véronique par les cheveux, et d’une poussée lente mais ferme, enfonça son sexe plus profondément dans la gorge de Véronique. Celle-ci essayait de résister, les deux mains sur les cuisses d’Igor pour se repousser, mais ne pouvait pas grand’chose contre la force brute de l’ukrainien qui réussit à amener son gland au contact de sa glotte, lui arrachant un haut-le-cœur. Mais il ne s’arrêta pas pour autant de pousser, forçant la défense de sa gorge, pénétrant encore plus profondément! Véronique avait les larmes aux yeux, essayant de forcer son corps à accepter cette pénétration contre nature, sentant son estomac prêt à se retourner. Des remontées de bile lui brûlaient la gorge, mais l’ukrainien poussait toujours, enfonçant toujours plus loin son sexe dans sa gorge, l’empêchant complètement de respirer. Véronique commençait à suffoquer, mais le colosse n’en tenait aucun compte et finit par complètement engouffrer son sexe monstrueux dans sa bouche, venant faire buter son pubis contre son nez. Il resta ainsi quelques instants, pendant que la belle se débattait pour essayer de respirer, à la limite de la perte de conscience, puis il se retira brutalement complètement, lui arrachant un gémissement et un haut-le cœur qui la fit vomir sur le sol de la cabine.

Igor yalova escort n’avait pas lâché sa chevelure, et après lui avoir permis de reprendre son souffle, il lui releva la tête et se renfonça à nouveau dans sa bouche, commençant à effectuer des va-et-vient dans sa gorge, s’en servant comme d’une chatte, allant au plus profond puis se retirant presque complètement, prenant son pied à cette gorge profonde forcée pendant qu’Véronique essayait de concentrer son esprit sur la recherche d’air entre chaque poussée de l’ukrainien. Des flots de bile inondaient le sol à chaque fois que le dard de l’ukrainien se retirait, mais celui-ci n’en tenait aucun compte, replongeant aussitôt au plus profonde de sa bouche, distendant les mâchoires de Véronique, violant sans vergogne cette gorge tendre. Igor sentait une vague de plaisir monter de ses reins, et il poussait encore plus fort, pilonnant Véronique qui souffrait, les yeux révulsés, et il finit par lâcher dans une dernière poussée un long et brûlant jet de sperme au fond de sa gorge, dans un râle de plaisir. Il se maintint ainsi quelques instants, son sexe complètement enfoncé dans la gorge de Véronique, dont le cou distendu demandait grâce, et profitant de cet orgasme volé dans une cabine d’essayage. Puis il se retira rapidement, se rhabilla, puis, relevant la belle Véronique, encore complètement suffocante et choquée de ce viol, il lui arracha le string et le soutien-gorge. Il vit alors un éclair de terreur dans ses yeux. Mais l’ukrainien se saisit de tous les sous-vêtements qui étaient dans la cabine, y compris ceux de Véronique, et sortit comme si de rien n’était.

Véronique, complètement bouleversée par cette agression, essayait de rassembler ses esprits : elle avait la gorge douloureuse, luttait contre une nouvelle envie de vomir dans cette cabine dont le sol était maculé de vomi, de bile mélangés au sperme de l’ukrainien, le goût du sperme dans sa gorge la révulsait car elle avait du en avaler une grande quantité et elle n’avait plus de sous-vêtements! Rassemblant ses affaires, elle se rhabilla lentement, remit de l’ordre dans ses cheveux pour essayer de masquer ce qui venait de se passer, et se nettoya le visage avec un kleenex pour enlever les traces de sperme et de vomi. Se sentant salie au plus profond d’elle-même, elle sortit discrètement de la cabine, et abandonnant là son caddie, se dirigea vers la sortie dans un état second.

Perturbée par ce qui venait de lui arriver, elle mit plusieurs minutes à retrouver son monospace sur le parking. Alors qu’elle déverrouillait et ouvrait la porte conducteur, elle entendit une voix rocailleuse derrière elle : « est-ce que je peux me joindre a vous? ». Se retournant d’un bloc, elle se retrouva à nouveau face à Igor tout souriant. Toute tremblante, et incapable de répondre, elle vit le géant ouvrir la porte arrière, et s’installer sur la banquette arrière. Elle hésita plusieurs instants, puis, pâle et fébrile, monta finalement à la place du conducteur.

-allons faire une petite ballade, proposa l’ukrainien, tout sourire sur le siège arrière.

-Mais où voulez-vous aller? murmura Véronique paniquée

-N’importe où, allons par exemple vers le cinéma multiplex.

Avec difficulté, Véronique réussit à démarrer, puis sortit du parking. Elle était tellement bouleversée qu’elle tapa un trottoir, puis faillit renverser une mamie qui traversait.

-Relax, lui dit Igor, on se détend! ce n’est pas le moment d’avoir un accident.

-Ce n’est pas très facile d’être relaxé après ce que vous m’avez fait subir, répondit Véronique entre ses dents.

-Il faudra t’y habituer, ma belle, il y a des chances que ce ne soit pas la dernière fois. Je vais te faire aimer ça …

Horrifiée par ce qu’elle venait d’entendre, Véronique n’osait plus répondre, et gardait les yeux rivés sur la route. Igor, se rapprochant de son siège, se mit à lui caresser les hanches, puis remonta vers sa poitrine. Véronique se tortillait pour échapper à ses mains, mais elle conduisait, ce qui lui laissait peu de degrés de liberté. Glissant une main sous son chemisier, Igor venait de saisir un de ses seins, et roulait le téton entre ses doigts

-Oh, madame n’a pas mis de soutien-gorge, petite cochonne!

-Vous m’avez pris tous mes sous-vêtements tout à l’heure!!

Son autre main descendait vers son entrejambe : glissant ses doigts sous l’élastique de sa jupe, il progressait lentement vers sa foufoune, forçant ses cuisses serrées.

-Ecarte un peu les cuisses que je puisse voir si tu mouilles!

-Jamais, rugit Véronique.

-Comme tu voudras, répondit l’ukrainien, et il lui pinça violemment le téton.

Véronique poussa un hurlement, rapidement suivi d’un autre car Igor venait à nouveau de pincer cruellement son téton.

-Tu vois qu’il faudrait mieux que tu écartes les cuisses docilement!

Et il lui écrasa à nouveau le téton entre ses doigts puissants. Submergée par la douleur, Véronique finit par desserrer les cuisses, et Igor en profita immédiatement pour lui çorlu escort caresser la chatte, excitant son clitoris, flattant ses grandes lèvres tout en continuant de lui peloter le sein de l’autre main. Véronique avait les plus grandes difficultés à conduire dans ces conditions! Allant un peu plus loin, Igor commença à forcer ses lèvres, enfonçant un doigt dans son vagin, lui tirant un cri de douleur car elle n’était pas du tout lubrifiée. Mais Igor continuait à la doigter, poussant toujours plus loin dans sa cavité d’amour, qui finit par s’humidifier sous les sollicitations. Véronique sentit l’évolution de ses muqueuses, qu’elle n’avait pas du tout désirée, mais c’était une réaction naturelle de son corps à ce stimuli qu’elle ne pouvait contrôler! Igor la doigtait de plus en plus profondément et intensément, se retirant pour lui titiller le clitoris puis revenant plonger ses doigts dans son sexe luisant. La belle ne savait plus ce qui lui arrivait, et était partagé entre l’horreur de la situation et les sensations qu’elle ressentait dans son bas-ventre.

La voiture finit par arriver sur le parking du cinéma, et Igor retira ses mains pour lui indiquer où aller se garer. Il était 19h30 en ce mois de décembre, et la zone choisie par l’ukrainien était relativement sombre. Véronique se rangea sur un emplacement, coupa le contact, et attendit, angoissée, les mains sur le volant. Igor avait changé de place à l’arrière, et s’était installé sur le siège central.

-Viens me rejoindre à l’arrière, lui intima-t-il.

Les yeux écarquillés, Véronique fixa le géant dans le rétroviseur, puis elle finit par enlever sa ceinture de sécurité pour descendre du véhicule. Elle ouvrit la porte arrière et vient s’asseoir sur le siège à côté d’Igor.

-branle-moi, ordonna Igor.

Répriment son dégoût, elle ouvrit à nouveau la braguette du géant, et en sortit son sexe encore flasque. Elle se mit à le masturber lentement, sentant la chair vibrer sous ses doigts, prendre du volume et de la rigidité, jusqu’à finalement atteindre à nouveau la taille d’une matraque d’un beau diamètre. Elle n’osait pas regarder le sexe d’Igor, conservant les yeux baissés.

-Suce moi, maintenant! Tu aimes ça …

Baissant la tête lentement, elle vint prendre le gland énorme entre ses lèvres, et commença à lui faire une nouvelle fellation, espérant de tout cœur que personne ne viendrait s’approcher de la voiture et découvrir ce qui s’y passait. Elle essayait d’enduire le sexe de l’ukrainien de salive pour faciliter la pénétration dans sa bouche, et continuait à l’engloutir du mieux qu’elle pouvait. Igor ne disait rien, laissant faire la belle Véronique, préparant la suite.

-Maintenant, viens te mettre à califourchon sur moi.

Véronique arrêta instantanément sa pipe, horrifiée par l’ordre qu’elle venait de recevoir. L’ukrainien ne la laissa pas réfléchir, et l’attrapant par les cheveux, il l’amena vers lui, la forçant à se tourner pour enjamber son corps : Véronique était maintenant à califourchon sur ses genoux, de dos, sa jupe flottante étalée sur les cuisses de l’ukrainien. Elle commençait à paniquer, et essayait malgré le risque de se débattre : Igor lui saisit alors les poignets, et lui vrillant les bras, il les rassembla dans son dos, les maintenant d’une seule main.

-Maintenant, recule et mets toi à genoux sur la banquette

Il accompagna son ordre d’une torsion des poignets qui força Véronique à reculer pour essayer de réduire la douleur : elle se trouvait donc maintenant à genoux à la verticale du sexe dressé d’Igor, les bras tordus dans le dos. Igor, de sa main libre, vint lui doigter la chatte, s’enfonçant au plus profond de son intimité, lui arrachant des cris de douleur. Il vrillait ses doigts dans son sexe, labourant les muqueuses fragiles de ses ongles, puis, se retirant, il se mit à lui masser l’anus de ses doigts humides : les yeux de Véronique s’écarquillèrent, et elle rua pour essayer d’échapper à cet attouchement, mais ce mouvement lui tordit encore plus les bras et elle dut s’avouer vaincue! L’ukrainien forçait maintenant la barrière de ses sphincters, insinuant ses doigts dans son cul, de plus en plus profondément, et Véronique étouffait ses cris de douleur en se mordant les lèvres.

Au bout de quelques instants de ce manège, Igor retira ses doigts, puis, en exerçant une clé de bras sur les poignets de Véronique, fit descendre lentement son bassin vers son sexe : Véronique luttait pour essayer de résister, mais la douleur dans ses bras était trop intense, et elle dut suivre le mouvement imposé par Igor. Celui-ci amena son gland contre l’anus de Véronique, ce qui la fit à nouveau ruer dans un mouvement désespéré pour échapper à ce viol, mais le géant avait anticipé sa réaction, et la maintenait fermement. Véronique réussit juste à se faire encore plus mal aux épaules, et se relâcha de suite pour limiter la douleur : Igor attendait ce moment, et donnant un brusque coup de rein, enfonça son dard dans ce cul excitant! La belle poussa un cri suraigu, mais Igor la bâillonna de sa main libre, et lui tordant encore plus les bras, enfonça encore plus profondément son sexe dans ce fourreau étroit et tendre! Véronique était maintenant presque complètement empalée sur le braquemart du géant, le souffle coupé par ce barreau de chair planté dans son fondement.

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Amateur

Traduction d’un texte de Krystal0690.

*****

Je ne veux rien de plus au monde que de revenir dans ma petite cellule obscure pour rester seule avec mon dégoût. Mais M. Ambrose veut me parler.

Je ne lui ai parlé qu’une seule fois, lorsque j’ai signé l’accord pour venir dans ce ranch afin de sauver mon mariage. Non ce n’est pas vrai, je dois dire la vérité. Je veux surtout retrouver mon mode de vie. D’une certaine façon, les deux choses sont différentes pour moi. Il m’avait averti du traitement que je subirai, mais j’étais persuadée que je n’avais pas le choix.

J’ai remis mon tee-shirt et ma culotte. Il m’ordonne de m’asseoir sur le sol, les jambes croisées, devant lui. Il reste sur sa chaise, en hauteur. Sa position de dominateur est claire.

– Votre collègue a bien réussi. Malgré sa peur, elle a voulu se sacrifier pour une personne qu’elle connaît à peine. Auriez-vous pu faire de même?

J’aurais pu prétendre avoir eu la même idée, mais comme je suis sur le chemin de la vérité, je réponds :

– Non Monsieur, ça ne m’a même pas traversé l’esprit. J’avais prévu de continuer de la fouetter jusqu’à ce que vous trouviez que ça suffisait.

– Vous auriez continué à infliger de la douleur à quelqu’un qui vous supplie d’arrêter?

– J’ai fait mon choix, car j’ai pensé que vous la renverriez, Monsieur.

– Pourquoi avez-vous pensé cela?

– Vous avez dit que sa punition n’était pas suffisante pour vous, Monsieur.

Il sourit.

– Je n’ai jamais dit que sa punition n’était pas suffisante. Je vous ai seulement demandé si vous trouviez que c’était suffisant. Ce choix était le vôtre, comme l’ont été tous vos choix dans votre vie.

Alors je réfléchis. C’est moi qui avais donné le ton pour nos punitions. J’avais mélangé toutes nos fautes de chacune. J’ai voulu une punition collective. Ma bouche est sèche et je me déteste presque autant que je déteste ce bâtard assis sur sa chaise>.

– Puis-je partir maintenant Monsieur Ambrose? S’il vous plaît Monsieur? Demandé-je en essayant de cacher mon mépris.

– Non, vous n’avez pas fini. En tant que mari de substitution, je suis très excité par le spectacle que vous m’avez donné. J’ai besoin d’être soulagé. Donc, malgré votre haine envers moi et le désir de quitter cette pièce, je veux que vous suciez ma bite.

Mon visage devient tout rouge et je dois lutter pour garder mon sang-froid. Je suis hors de moi. Sucer ce vieux bâtard est la dernière chose sur terre que je veux faire. Mais je sais que je ne peux pas refuser. Je commence alors à pleurer.

– La, la, les larmes sont inutiles, Numéro 5. Mettez ma bite dans votre bouche jusqu’à ce que je jouisse et avalez tout, ou alors quittez ce ranch. Vous avez le choix.

Il me faut toute ma concentration pour ne pas marquer ma colère.

– Monsieur, puis-je au moins savoir quelle leçon je dois tirer de ça?

– Ah, enfin tu réalises que tu es là pour apprendre!

Il se tait pendant quelques secondes avant de dire :

– Bon, si tu me suces assez bien, je te le dirais!

Je retire mon tee-shirt, mais je garde ma culotte. Au moins je sais que ce vieux salaud n’est pas gay comme je l’avais soupçonné. Après avoir baissé son pantalon, j’engouffre son membre dans ma bouche et j’utilise ma langue pour le masser. Mes mains caressent ses couilles. Je trouve très désagréable ce que je suis en train de faire, car cet homme me révolte. Mais je me dis que je suis une pute à vingt dollars et que je fais ce que fait une pute.

Bientôt il éjacule dans ma bouche. C’est dégueulasse, mais comme ordonné j’avale le tout.

– C’était pas si mal. Vous avez aimé ça?

– Monsieur, voulez-vous la réponse qu’un homme préfère entendre, ou la vérité?

– Je veux les deux bien sûr!

– C’était génial. J’espère que vous avez autant apprécié que moi, Monsieur. En vérité, je suis dégoûtée, mais je l’ai trabzon escort fait.

– Pourquoi l’avez-vous fait?

– Parce que je n’avais pas d’autres choix, Monsieur!

– Encore une fois, vous avez bien eu le choix. Vous pouvez partir et vivre avec les conséquences de ce départ, mais vous avez décidé que d’avaler mon foutre était la meilleure option. Le fait que vous trouviez cela désagréable est hors de propos. Vous aviez l’obligation de satisfaire sexuellement votre mari, mais vous avez choisi de ne pas le faire. Et maintenant, vous en subissez les conséquences.

– Alors mon mari James veut que je sois sa pute, monsieur?

Pour la première fois, cet homme se met à rire longuement. Quand il s’arrête il me dit :

– Numéro 5, James, votre mari, est un homme très riche, l’un des plus riches du pays. Lui et ses pairs considèrent tout le monde comme leurs putes. Ils aiment s’entourer de putes. Les politiciens, les lobbyistes, et les artistes sont parmi leurs favoris du moment.

Une cloche sonne. Il est 19 heures et il est temps pour moi d’aller au travail avec les autres femmes d’hommes riches. Maintenant nous ne sommes que des putes. M. Ambrose me congédie d’un geste de la main. Il se lève de sa chaise et se dirige vers la porte. Je vais pour sortir par une autre porte quand il s’arrête et me dit :

– Numéro 5, réfléchissez à ce que je vous ai dit! Vous n’êtes pas loin de la réponse. Grattez la surface et regardez ce que vous trouvez.

Puis il franchit la porte.

Nous sommes réunies dans la salle d’attente. Mais nous ne sommes plus que trois. Numéro 3 et numéro 8 ne sont pas là. Numéro 7 s’approche de moi et dit :

– C’est de votre faute. Vous les avez battues si durement qu’elles ne peuvent pas travailler ce soir. Nous devons prendre leur part. Ce qui fait un client supplémentaire pour chacune d’entre nous.

J’essaie de me défendre.

– C’est un lavage de cerveau qu’ils nous font. Comment pouvais-je savoir?

Debout à ma droite, Numéro 6 dit :

– Nous le savons depuis le premier jour, espèce de pute stupide. Fonda l’a bien dit avant d’être balancée dehors. N’avez-vous pas entendu?

– C’est seulement que je ne me doutais pas du niveau que ça prendrait. Je suis désolé, mais il faut que l’on se serre les coudes.

– Nous ne voulons pas de vous, salope. Restez loin de nous! Déclare Numéro 7 avec un ton de colère.

Alors que nous nous regardons dans un silence glacial, huit hommes d’origine hispanique entrent dans la pièce. Ce ne sont pas les mêmes que la nuit précédente. Nous n’aurions du n’avoir que deux hommes à baiser cette nuit. Mais avec deux femmes hors service, nous devons en servir plus. Deux d’entre nous allait avoir un client supplémentaire.

Je voulais me porter volontaire pour être l’une de celle qui prendrait un homme en plus, mais étant donné que je ne parle pas espagnol, je n’ai pas moyen de communiquer avec eux. Donc ils font leur propre choix et ils choisissent les blondes disponibles.

Donc je me retrouve avec deux hommes à côté de moi tandis que les deux autres femmes ont été choisies par trois hommes chacune. Elles me lancent un regard noir chargé de mépris, un regard que j’ai l’habitude de voir chez ce genre de femmes. Nous nous lancions souvent ce genre de regards dans les réceptions pour des affronts personnels.

Dans l’étable, j’enlève mes vêtements et je m’allonge sur le matelas. Que je sache que ce n’est qu’un jeu pour nous dompter n’a pas d’importance. Mon esprit est déjà brisé, comme ceux des chevaux sauvages à notre ranch.

La bite d’un homme entre dans ma chatte et il commence à me baiser. Je laisse mes pensées dériver ailleurs.

Je pense à mon marin ou peut-être mon ex-mari, James. Il avait bien trente ans de plus que moi et nous nous étions rencontrés dans une réception alors que je venais d’avoir dix-neuf tunceli escort ans. J’avais facilement attiré son attention. Jeune et attrayante, j’étais prête à flirter avec un homme marié et riche. Je n’étais pas attirée par lui physiquement. James avait sûrement été beau, mais des années de travail acharné et des mariages manqués l’avaient abîmé. Ce qui m’avait attiré chez lui c’était son argent et le pouvoir, les deux plus gros aphrodisiaques connus aux femmes.

Je savais que je l’avais pris dans mes rets quand il m’a appelé tard un soir et qu’il m’a supplié de me voir :

– Lauren, je suis prêt à virer Nina si vous le voulez. J’ai besoin de vous.

Nina était une horrible vieille bique. Je l’avais souvent vu à des réceptions. Elle avait plus de trente ans que moi et je savais qu’elle ne voulait plus que James la touche. Elle prenait rarement la peine de parler avec lui et de ce que j’avais compris, leur relation s’était refroidie pour devenir glaciale.

– Est-ce que la procédure de divorce va être longue?

– Non, il faudra peu de temps. Nous avons signé un accord lors de notre mariage si bien que le partage des biens est déjà déterminé. Mes avocats avaient voulu cet accord pour que mes entreprises ne soient pas affectées par un divorce. Je suis sûr que vous comprenez comment les avocats insistent pour que tout soit fait avec précaution.

En moins de trois mois, James était un homme libre. Et je me mis à planifier notre mariage que je prévoyais grandiose. Au début j’avais peur de la vengeance de Nina son ex-femme. Mais rien n’arriva. Elle disparut des réceptions et fêtes locales. Certaines personnes m’ont dit qu’elle était partie vivre dans un autre pays. Pour moi ça n’avait pas d’importance aussi longtemps qu’elle restait loin de nous.

Je me souviens comment James parlait de quelques membres du congrès et de gouverneurs d’état. Ils l’aidaient à améliorer la croissance de ses entreprises contre un soutien politique. Je sais que James avait utilisé le terme de « putes » pour beaucoup d’entre eux, mais je croyais que ce n’était que des paroles. Mais il m’a affirmé un jour qu’il avait dit à un membre du Congrès que s’il voulait sortir sa queue de son pantalon et se faire sucer, l’homme n’aurait plus qu’à se mettre à genoux et avaler sa bite avec un sourire, étant donné comment il avait contribué à sa carrière.

Revenons à la réalité, l’homme hispanique grogne son plaisir et arrête de me baiser. L’autre homme qui le regardait le remplace. Je commence mes calculs alors qu’il m’embroche. Si je baise deux hommes par jour pendant les quatre prochaines semaines, je me serais prostituée plus de cinquante fois. Je fais un calcul approximatif des relations sexuelles que j’ai eues avec James pendant nos années de mariage et je tombe approximativement sur le même nombre. Je suis en train d’apprendre une leçon et je me demande ce que je vais en retirer.

L’autre homme ayant fini, je retourne dans l’autre salle où je vois Smith qui attend :

– Les deux autres « chattes » vont être occupées un peu plus longtemps. De toute façon je crois qu’elles n’aimeraient pas que vous les attendiez. Je dois vous parler, allons dans ma chambre.

Je la suis dans un autre bâtiment et nous entrons dans une chambre confortable avec un grand lit, une télévision et d’autres meubles modernes. Smith est une femme solide, avec des cheveux blonds et courts avec des bouclettes qu’elle cache habituellement sous une casquette. Elle est bronzée comme un habitant du désert. Elle porte un short qui laisse exposer ses puissantes jambes bronzées, des bottes et une chemise style veste sans manches. La façon dont elle me regarde me met mal à l’aise.

– Asseyez-vous sur le lit!

Elle claque un billet de vingt dollars sur la table de chevet et ajoute :

– A chaque session, je trouve toujours une stagiaire pour uşak escort mon plaisir. Vous êtes à moi.

Je commence à me dire que j’ai traversé trop d’épreuves aujourd’hui, mais je pense qu’elle s’en fout. Alors j’essaie autre chose :

– A quoi peuvent me servir vingt dollars ici? Il n’y a même pas de machines à sous.

– Eh bien c’est le prix. Je pourrais vous donner un carton rouge. Voyons voir où vous iriez avec ça!

– Non, je ferai tout ce que vous voulez. Je suis une pute. Je sais où est ma place. Mais je préférerais avoir des informations plutôt que vingt dollars.

Elle réfléchit et dit :

– Je ne vois pas à quoi ça vous servira, mais pourquoi pas!

Elle enlève son short et ses sous-vêtements, puis elle s’allonge sur le dos sur le lit!

– Au travail, pute!

Je retire ma chemise et ma culotte. Je n’ai jamais fait de cunnilingus sur une autre femme et Smith n’aurais pas été mon choix si j’avais voulu essayer. Ses poils pubiens sont plus sombres que ses cheveux blanchis au soleil, mais ils sont eux aussi bouclés. Une odeur de poisson sort de sa chatte, mais je commence à titiller son clitoris. Immédiatement elle gémit de plaisir. Elle fait courir sa main dans mes cheveux.

– Tu as vraiment du talent pour bouffer une chatte, chérie. Tu vas beaucoup pratiquer dans le mois à venir.

Putain, en plus elle parle beaucoup. C’est la cerise sur le gâteau.

– Mmmmm, j’aime ça. Je t’ai choisi, car j’aime les cheveux châtains épais et les yeux brun foncé. Je déteste les bimbos blondes que l’on a l’habitude de voir ici. Tout est naturel chez toi et c’est assez rare ici.

Je lève la tête et je reprends mon souffle en lui demandant :

– Vous voulez parler des femmes trophées?

– Ouais, toutes ces femmes qui se sont fait refaire quelque chose pour paraître plus belle en société. Tu n’es pas comme ça.

– Merci! Répondis-je avant de replonger dans sa chatte.

– Ouais. Et tu as de belles jambes aussi. J’aime quand elles sont longues, fines et bronzées comme les tiennes. Je suis sûre qu’une fois que tu connaîtras ta place, tu seras vraiment bonne à baiser.

Je relève une nouvelle fois la tête.

– Vous avez vu beaucoup de femmes comme nous passer par ici.

– Ouais, ça dure depuis des années. C’est d’un bon rendement. Pour le monde extérieur nous n’existons pas. J’ai vu des centaines de princesses snobs passer par ici.

Je reviens sur son clitoris et je pousse ma langue dans sa grotte. Elle jouit en tenant ma tête enfoncée dans sa chatte. J’ai du mal à respirer, mais je ne bouge pas. Quand elle se remet de son orgasme, elle me tire vers elle et me dit :

– Fais-moi goûter!

Elle pose ses lèvres sur les miennes et je sens sa langue s’insérer dans ma bouche. Je réponds à son baiser. Puis nous nous allongeons sur le lit et je dis alors :

– J’ai fait ce que je devais faire, alors puis-je obtenir pour vingt dollars de vraies réponses.

– Ok!

– Qu’est-il arrivé à la troisième femme de mon mari, celle juste avant moi?

Ses yeux grandirent.

– Tu veux vraiment le savoir? Elle est venue ici il y a sept ans environ. Et elle a renoncé au bout de deux semaines. Ton mari est un vrai salaud, il l’a envoyé dans un bordel dans un trou perdu. Ce sont les maris qui décident quoi faire de vous. Certains vont laisser leur femme être libre donc certaines peuvent arriver à trouver un autre mari convenable, mais d’autres n’ont pas le choix que de vendre leur cul dans un bordel ou dans la rue.

– Il a envoyé Nina dans un bordel?

– Elle n’avait aucune autre compétence. c’était la meilleure chose pour elle.

– Pourquoi cet endroit existe?

– Beaucoup d’hommes paient pour que cet endroit existe et ne soit pas inquiété par les autorités. Un certain nombre de femmes ne tiennent pas le coup, mais la plupart y arrivent.

Après ces mots elle me dit que les vingt dollars sont dépensés et que j’aurais bien d’autres occasions de lui poser plus de questions.

– Prends tes vêtements et retourne dans ta cellule, demain risque d’être difficile!

Je me demande alors comment ça pourrait être pire qu’aujourd’hui?

A suivre…

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Quand J’oublie Mes Affaires de Gym

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Amateur

Ce soir, je sortais danser avec les filles de mon groupe de gym. Pendant que je me préparais, je pensais à leurs corps parfaits, stéréotype de la gymnaste fine et élancée. Moi-même, je n’étais pas mal foutue, mais à côté d’elles, gracieuses et qui semblaient flotter plutôt que marcher, je me sentais souvent lourdaude. En me regardant dans le miroir, je me suis dit que je pouvais faire mieux. J’avais mis une robe légère à fleur, assez ample et m’arrivant aux genoux et m’étais maquillée discrètement les yeux. La femme que je voyais dans le gymnase me paraissait jolie mais dans le style petite fille sage. J’ai 24 ans mais on me considère souvent comme plus jeune. Ce soir, je n’avais pas envie d’être mignonne. Ce soir, j’avais envie d’être celle que l’on désire. J’enlevais donc cette robe et me retrouvais en sous-vêtements. Comme souvent quand je sors, j’avais mis de la belle lingerie.

Même si personne ne la voit, cela me donne une bonne dose de confiance en moi. Aujourd’hui, un magnifique soutien-gorge en dentelle rouge mettait bien ma poitrine en valeur. J’ai quand même une belle paire de seins. Sans être énormes, ceux-ci étaient bien fermes et d’une taille qui attire les regards s’ils sont mis en valeur. Un string, également en dentelle rouge complète le tableau. Je décidais d’ajouter des bas maintenus par un porte-jarretelle. J’allais également chercher une robe noire, moulante et assez courte. J’avais cette robe depuis un moment dans ma penderie mais ne l’avais jamais portée en public, la trouvant trop osée. Mais ce soir, c’est ce que je recherchais. Je me regardai à nouveau dans le miroir et me trouvai enfin sexy avec ce beau décolleté qui faisait ressortir mes atouts. S’il y a bien une chose que je peux mettre en avant à côté de mes amies qui, elles, sont toutes menues, c’est bien ma poitrine. J’apportai la touche finale avec des escarpins noirs à talons hauts et un rouge à lèvre de la même couleur que mes sous-vêtements.

Je me dirigeais enfin vers ma voiture pour rejoindre les filles de mon équipe de gym. La gym! En pensant à cela, j’ai eu un flash. J’avais oublié mon sac après le dernier entrainement. Outre mon matériel de gymnaste, il contenait également mon portefeuille dont j’allais avoir besoin ce soir. Ce n’est pas très grave, le gymnase est presque sur ma route et je pouvais faire ce petit détour pour récupérer mes affaires. En descendant de ma voiture, je me rendis compte des regards que posaient sur moi les hommes que je croisais. Je n’étais plus invisible, loin de là. C’est avec un boost de confiance que je me dirigeais vers les vestiaires du gymnase. En approchant de la porte, j’entendais des cris et des rires à l’intérieur. L’équipe de rugby venait de finir un match et manifestement, le coup de sifflet final les avait laissés victorieux. En temps normal, j’aurais hésité mais ce soir-là, je toquais à la porte avec assurance.

Un homme, grand, musclé, carrure typique d’un rugbyman entrouvrit la porte non sans me regarder des pieds à la tête avec un regard brillant. Je lui expliquai que j’avais oublié mon sac dans ce vestiaire et lui demandai s’ils ne l’avaient pas vu. Il me répondit que si, ouvrit la porte plus largement en me désignant mes affaires, posées sous un banc tout au fond de la pièce et me fis signe d’entrer. J’avançai d’un premier pas peu assuré avant de reprendre contenance et de me diriger vers mon sac. Parmi les hommes présents, beaucoup étaient torse-nu, ou en boxer. Je remarquais que certains étaient également encore sous la douche. Légèrement troublée, je détournai le regard et attrapai mon sac. En faisant demi-tour, je vis que la porte avait été refermée et que trois hommes s’étaient levés et se trouvaient entre moi et celle-ci. Le silence s’était fait et de nombreuses paires d’yeux étaient braquées sur moi. J’avançai pour sortir, approchant de la ligne d’hommes me séparant de la porte. Voyant qu’ils ne bougeaient pas, je m’apprêtai à me faufiler entre eux quand une voix retentit dans mon dos :

– Attends ne pars pas si vite!

Je me retournais pour voir le capitaine de l’équipe que je connaissais de vue et que j’avais toujours trouvé un peu brute bien qu’indéniablement séduisant. C’était l’un des plus grands joueurs de l’équipe. Il posa le verre de bière qu’il tenait sur la table présente au centre du vestiaire

– Tu sais, ce soir on a gagné un match décisif pour le championnat, dit-il en continuant d’avancer vers moi.

– Euh … Félicitation! Je suis désolée, on m’attend, je dois y aller, répondis-je en faisant mine de partir

Il continua en m’ignorant :

– Pour féliciter l’équipe, je voulais leur offrir un truc, j’avais pensé payer ma tournée, mais je crois que j’ai mieux.

– Ah oui?

– Et si tu nous montrais tes seins?

Sans m’en rendre compte, j’avais reculé pendant qu’il avançait et me cognai contre l’un des hommes. Je m’excusai, ris nerveusement et répondis :

– Ahah très drôle, mais je suis vraiment pressée, je n’ai pas trop le temps de continuer à discuter.

Alors que je commençais à me retourner, l’homme derrière urfa escort moi m’attrapa les bras au niveau des coudes et me maintint fermement en place. Le capitaine était arrivé si près de moi que je pouvais sentir son souffle aux effluves de bière sur mon visage.

– Tu viens au milieu d’un vestiaire rempli d’hommes à moitié nus en pleine excitation d’après match dans ta tenue d’allumeuse et tu espères partir comme ça? On voit bien que tu veux attirer les regards des mâles alors sois contente, tu en as une vingtaine rien que pour toi!

Voyant que je ne pourrais pas m’en sortir comme ça, je murmurai :

– Si je vous montre mes seins, vous me laissez partir?

– Si la vue est satisfaisante, oui.

L’homme derrière moi relâcha son étreinte et résignée, j’approchai mes mains de mon décolleté et le descendis sous ma poitrine. J’entendis alors des sifflements admiratifs et des commentaires graveleux. Je restais comme ça quelques secondes, me montrant à tous les hommes présents. Voyant que cela ne suffirait pas, je saisis le tissu de mon soutien-gorge et le descendis également. Les exclamations reprirent de plus belle et j’entendis même quelques applaudissements. Le capitaine s’approcha et pris mes seins dans ses mains, sans aucune douceur. Je tentai de m’éloigner mais l’homme derrière moi m’avais à nouveau saisie et immobilisée.

– Eh les gars, quelle belle paire de loches! Et c’est encore plus sympa au toucher!

– Vous m’aviez dit que je pourrais partir!

– Et passer à côté de nichons comme ça? Impossible!

Il reprit son exploration de ma poitrine en soupesant mes seins l’un après l’autre, triturant mes tétons et malaxant les globes de chair. Je voyais le reste de l’équipe qui ne manquait pas une miette du spectacle et certains boxers me semblaient devenus trop étroits. Désespérée, je tentais de me débattre et me mis à hurler. Une gifle monumentale du capitaine me stoppa nette de stupéfaction.

Légèrement sonnée, je l’entendis me dire :

– Maintenant tu fermes ta gueule et tu restes sage si tu veux pas t’en prendre d’autres.

Je m’affaissais, résignée. Je sentis alors la poigne autour de mes bras disparaitre et plusieurs paires de mains commencer à toucher mon corps. Mon dos, mes cheveux, mes fesses, mes cuisses, mon ventre… Et toujours le capitaine qui jouait avec mes seins et les avait maintenant pris entre ses lèvres. A force d’être tripotée, ma robe remontait de plus en plus et ne cachait à présent plus que mon ventre. Le capitaine recula et voyant le string et les bas s’exclama.

– Les gars, elle est encore plus chaude que ce qu’on croyait, si ça c’est pas un appel!

Joignant le geste à la parole, il approcha la main de mon entrejambe et commença à me caresser à travers la fine de dentelle de mon string. Malgré moi, mon corps répondit à ce traitement et il leva bientôt la main pour montrer ses doigts brillant à l’équipe hilare. Certains des gars avaient sorti leur sexe et commençait à se caresser en profitant du spectacle. Le capitaine exerça alors une pression sur mes épaules et, n’ayant pas la force d’y résister, je me retrouvais à genoux devant lui, la tête à hauteur de la bosse impressionnante de son boxer. Il sortit sa queue et, la présentant devant mes lèvres me dit « Maintenant, tu vas me sucer ».

N’opposant pas de résistance, j’ouvris les lèvres et le laissai prendre possession de ma bouche, passive. Il commença ses vas et vient et je sentais sa verge durcir encore et forcer sur mes mâchoires. Sans que je ne m’y attende, il ressorti son sexe et me frappa le visage avec.

– Si je voulais faire tout le boulot, j’aurais pris une poupée gonflable! Suce mieux que ça et mets-y du cœur, je veux voir ton rouge à lèvre de salope décorer mon ventre.

Je m’approchais alors et repris sa bite dans ma bouche. Ne voulant pas subir de nouveau tourments, je m’appliquais, le léchais en montant et descendant de plus en plus loin sur son sexe érigé. J’approchais de son ventre mais n’arrivais pas à l’atteindre. Je forçais plus encore et sentis sa verge dans ma gorge. J’avais réussi! Ne pouvant plus respirer, je voulus me dégager mais sa main se posa dans mes cheveux et maintint ma tête ainsi. Je sentais sa queue tressaillir dans ma bouche et d’un coup, il se déversa au fond de ma gorge. Dégoutée, je fus obligée d’avaler pour ne pas m’étouffer.

– Oh oui avale tout, je sais que t’as pas envie d’en manquer la moindre goutte, c’est toujours comme ça les suceuses avec une bouche à bite comme la tienne, dit-il en finissant de se vider.

Il maintint encore ma tête un moment, le temps que je sente sa bite ramollir et me permettre progressivement de respirer à nouveau. Il s’éloigna légèrement, me laissant pantelante puis s’accroupi à ma hauteur et me saisit le menton pour me forcer à le regarder dans les yeux.

– Tu vois ces gars? dit-il en désignant les trois hommes qui se tenaient toujours derrière moi, le sexe à la main. Ce sont les meilleurs joueurs de la soirée, il mérite un traitement d’exception tu ne crois pas? sivas escort Tu va leur prodiguer les mêmes soins qu’à moi. Et attention, ne perd pas une goutte de leur nectar, tu devras lécher tout ce que tu laisses s’échapper.

Les trois types en question s’approchèrent. L’un d’entre eux pris possession de ma bouche et les deux autres saisirent chacun une de mes mains et les placèrent sur leurs queues bien tendues. Je repris ma fellation tout en branlant les deux autres. De temps en temps, ils échangeaient leurs places pour se relayer au fond de ma gorge. Tour à tour, ils éjaculèrent dans ma bouche. Si je parvins à avaler complètement le sperme des deux premiers, le troisième déversa un tel torrent que j’en laissais échapper et la semence coula autour de ma bouche et sur mes seins. Un regard au capitaine et je sus que je n’avais pas le choix. Je commençai par laper le liquide autour de mes lèvres puis récupérai ce qui avait coulé sur mes seins avec mon doigt avant de le lécher. Je dû réitérer ce manège plusieurs fois avant qu’il n’en reste plus une goutte et que le capitaine semble satisfait.

Je regardais alors autour de moi. Les quatre hommes étaient devant moi en train de savourer leur orgasme. Je vis une ouverture en remarquant que plus personne ne se trouvait entre moi et la porte. Aussi vite que me le permettaient mes talons aiguilles, je me levai et bondis vers la porte. J’appuyais sur la poignée. Le verrou avait été fermé. Merde! J’approchai la main pour l’ouvrir mais, trop lente, je sentis une main bloquer la porte et un corps me plaquer contre elle. Le capitaine, contre qui il était inutile de lutter étant donnée la différence de carrure, saisis ensuite mes poignets et les bloqua d’une seule main au-dessus de ma tête. J’étais complètement bloquée et en plus je ne voyais plus se qui se passait autour de moi.

Le capitaine héla l’un des autres joueurs :

– Elle a besoin d’une bonne leçon, amène-moi le matériel.

Je pris peur. Mais qu’allaient-ils bien pouvoir me faire de plus que ce qu’ils m’avaient déjà fait? Et, la tête toujours plaquée contre la porte, je vis se présenter devant mes yeux un god d’une taille absolument monstrueuse.

– Je crois qu’on n’a pas suffisamment vu tes talents de suceuse. Remontre-nous ce que tu sais faire de ta bouche.

Le gars qui tenait le gode le força contre mes lèvres que je maintins fermées. La voix du capitaine s’éleva à nouveau :

– C’est à toi de choisir ce que tu préfères, ce qu’il a dans sa main droite ou dans la gauche.

Je vis alors la deuxième main du type qui tenait une ceinture et je sus ce qui se passerait si je n’obtempérais pas. Préférant l’humiliation à la douleur, j’ouvris alors la bouche. Il commença par frotter le bout du gode sur ma langue puis l’enfonça légèrement dans ma bouche. Il se mis alors à imprimer une cadence de vas et viens de plus en plus profonds en prenant plaisir à ressortir complètement afin de laisser des filets de bave s’écouler de ma bouche, m’humiliant plus encore si c’était possible. J’entendais en même temps les rires et les commentaires que provoquait la scène pour les autres membres de l’équipe. En même temps, le capitaine avait passé sa main entre mes jambes et, décalant mon string, il caressait maintenant mon clitoris, sur un rythme de plus en plus soutenu. Malgré moi, ce traitement faisait monter l’excitation en moi et je commençai à gémir et même à accompagner ses mouvements. De temps en temps, il enfonçait deux doigts dans mon vagin, qui me pénétraient très facilement au vu de mon excitation, et les ressortait aussi vite, me laissant frustrée. Au bout d’un moment de ce manège, il enleva ses mains de mon corps, me laissant, à mon corps défendant, au bord de l’orgasme. Il saisit le gode que l’autre gars faisait toujours aller et venir dans ma bouche. Il était maintenant trempé de salive.

– Je crois qu’elle est prête maintenant.

Prête? Prête pour quoi? Il retira le gode de ma bouche et le descendit entre mes jambes. Il le frotta sur mon clitoris, comme pour le couvrir au maximum de mes sécrétions. Il le présenta alors à l’entrée de mon vagin et força légèrement pour le faire pénétrer de quelques centimètres. Mes hanches pivotèrent malgré moi pour accélérer cette pénétration. Il l’enfonça alors d’un coup, m’arrachant un « Oh! », d’abord de surprise puis de satisfaction qui fit beaucoup rire l’équipe. Il resta ainsi quelques instants puis ressortit intégralement le gode. M’attendant à ce qu’il l’enfonce à nouveau, je tendais mes fesses vers lui. Mais il présenta le gode devant mon anus et, avant que je ne puisse réagir, força, le rentrant légèrement grâce au lubrifiant naturel dont il était couvert. Je hurlai de douleur.

– Non s’il vous plait, pas ça, tout sauf ça, je ferai tout ce que vous voulez.

Je le sentis hésiter puis il retira le gode. Soulagée, je respirais à nouveau. Mais mon répit fut de courte durée. Je sentis le capitaine enlever mon string, sans résistance de ma part. Il le présenta alors devant mes lèvres et l’enfonça dans ma bouche.

tekirdağ escort Comme ça on ne t’entendra pas gueuler comme une truie.

Il saisit à nouveau le gode et le présenta une seconde fois devant mon petit trou et recommença à forcer. Je hurlais mais mes cris étaient étouffés par le bâillon improvisé. Je sentais le gode pénétrer millimètre par millimètre avec l’impression de sentir mes entrailles se déchirer. A chaque instant j’étais sure qu’il ne pourrait pas aller plus loin mais je le sentais inexorablement poursuivre sa course. Jetant un coup d’œil, je vis avec désespoir qu’il n’en était qu’à la moitié. La douleur me faisait tourner de l’œil, et je vécu la suite de cette torture comme si je n’étais plus dans mon corps.

Au bout d’un moment qui me sembla infini, j’entendis à nouveau la voix du capitaine qui me sortit de ma torpeur :

– Alors tu vois, c’était pas si terrible! Mais maintenant tu sais ce qui t’attends si tu n’es pas sage. Vas-tu être une petite salope obéissante après ça?

Je hochais vivement la tête, prête à tout pour faire cesser cette douleur atroce. Il retira le string de ma bouche en disant qu’il n’avait pas bien compris :

– Oui, je serai sage et obéissante.

– Oui, qui?

– Oui, Monsieur, je serai sage et obéissante, dis-je en espérant que c’était ce qu’il attendait

– C’est mieux. Je vais te laisser comme ça, profiter encore un peu pour être sûr que tu te souviennes, dit-il en faisant bouger légèrement le gode au fond de mon anus.

La douleur revint encore plus vivement et je me mordais les joues pour ne pas hurler.

Au bout d’un moment, il retira le gode qui s’extirpa avec un « plop » sonore qui provoqua l’hilarité générale. Il le présenta devant ma bouche et je le nettoyais mécaniquement, léchant sans aucune résistance mes sécrétions anales et vaginale. En même temps, je le sentis m’attacher les mains dans le dos avec la ceinture. Quand j’eus fini, il me tira pour m’éloigner du mur et retira ma robe et mon soutien-gorge, si bien que je me retrouvai uniquement vêtue de mes bas, mon porte-jarretelle et mes escarpins. Il me poussa vers la table et me poussa à plat ventre sur celle-ci. Il me fit mettre à quatre pattes et attacha mes pieds à deux pieds de la table, jambes bien écartées. Les mains toujours attachées dans le dos, je ne pouvais que plaquer ma tête contre la table, relevant mon cul d’une manière offrant une très belle vue aux hommes assis de ce côté. Je vis l’un des gars sortir de mon sac mon matériel de gymnastique rythmique.

– Eh capitaine, il y a plein de choses intéressantes là-dedans.

Dit-il en sortant tour à tour, mon ruban, mes massues et mon ballon. Le capitaine attrapa le ruban et sans hésitation, enfonça la tige dans mon anus. Après ce qu’il venait de subir, je la sentais à peine passer mais l’humiliation d’imaginer ce ruban sortir de mon cul me désespérait. Il saisit ensuite une massue et la plaça entre mes jambes, le côté fin pointant vers mon vagin.

– Allez vas-y, empale-toi là-dessus.

J’obéis en descendant doucement. Une fois que l’objet fus bien fiché en moi, la consigne suivante ne tarda pas :

– Forte tes seins sur la table. Oui comme ça, encore plus! Et montre-nous tes talents avec un ruban.

Je fis ce qu’il me disait et agitait mon cul en cercle pour faire voler le ruban tout en frottant mes seins sur la table. Je me sentais complètement ridicule mais en regardant les hommes qui m’entouraient et ne pouvaient s’empêcher de caresser leurs sexes qu’ils avaient tous sortis, je savais que le spectacle faisait son effet. Et moi-même, stimulée de toute part avec mes tétons frottant sur le plastique froid de la table, ma massue profondément enfoncée dans mon intimité et voyant les regards de ses hommes sur moi, je sentais monter une excitation que je n’avais jamais connue. Le capitaine vint se placer au bout de la table où se trouvait ma tête et instinctivement, je pris sa queue entre mes lèvres. Je la sentis durcir à nouveau entre dans ma bouche en même temps que je sentais l’orgasme monter en moi. Continuant à sucer comme une possédée, j’explosais dans une jouissance totalement incontrôlable.

Voyant cela, le capitaine se retira, détacha mes mains, mes jambes, retirant la massue et le ruban. J’allais enfin être libre! Je me relevais pour pouvoir partir quand je sentis une pression sur mes épaules. Sans pouvoir résister, je fus à nouveau allongée, cette fois-ci sur le dos en travers de la table, les jambes dépassant d’un côté, la tête de l’autre. Les trois gars de toute a l’heure me tenaient, l’un au niveau des épaules, les deux autres avaient saisi chacun une cheville qu’ils maintenaient près de ma tête. Le capitaine s’est présenté entre mes jambes.

– Je vais enfin te baiser! Ta petite chatte à l’air tellement accueillante, trempée comme elle est.

Et d’un coup, il enfonça sa queue tout au fond de moi. Il commença de lents mouvements, savourant chaque instant. De l’autre côté, l’un des gars avait saisi ma tête, à l’envers, et enfonçait sa verge dans ma bouche. Cette position libérait complètement ma gorge et il put s’insérer en entier facilement. Les deux autres avaient lâché mes jambes et placé mes mains sur leurs queues pour que je les branle tout en jouant avec mes seins, sans aucune douceur, me procurant autant de plaisir que de douleur.

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Ass

Traduction d’une histoire de Cathartico.

Ce récit est une FICTION contenant chantage, contraintes et humiliations. Ne continuez pas à lire si vous n’aimez pas.

*******

En quittant le bureau des stagiaires je suis nerveuse. J’ai à peine survécu au test du rouge à lèvres et je ne veux pas savoir ce qui m’attend ensuite. De plus, je dois m’assurer que Matt ne fasse rien de stupide et ne nous cause pas d’ennuis ;

En me rendant à mon bureau, je croise mes collègues qui arrivent au travail. En chemin je remarque que plusieurs d’entre eux me regardent d’un air curieux en passant. Je sais qu’ils voient mes bijoux sur les poignets et mes bracelets de cheville scintillants. Je crois que j’ai même vu quelques sourires cachés.

Émotionnellement, je suis complètement harassée. d’une part je voudrais ramper dans un trou et m’y cacher. D’un autre côté, je veux qu’ils m’admirent. Je veux que mes subordonnés me respectent en tant que dirigeante d’entreprise, mais en même temps je veux me sentir jolie et attirante.

Quand enfin je regagne mon bureau, je m’assois sur mon siège et j’essaie de me calmer, ce qui s’avère difficile. Embrasser des chaussures sales dans un bureau ouvert est la chose la plus avilissante que j’ai jamais endurée. Si bien que ma chatte dégouline et mon esprit est si brumeux qu’il m’est impossible de me mettre au travail. Je ne peux pas me concentrer. Pourtant il faut que j’assiste à une réunion importante.

Assise dans la salle de réunion, mon état ne s’améliore pas. Je suis complètement distraite et je passe la plupart du temps à penser à ce qui va m’arriver dans ce défi du rouge à lèvres. Les membres de mon équipe me surprennent plusieurs fois à rêvasser. Ça me gêne de ne pas pouvoir répondre à leurs questions avec autant d’éloquence que d’habitude. Pourtant j’essaie, mais je n’y arrive pas.

Mon manque de concentration est particulièrement gênant, car cette réunion est cruciale pour mon prochain voyage d’affaires. Le projet de changement le plus important de l’entreprise arrive sur la fin et je dois présenter un projet pour la phase suivante. Ce projet a consommé une grande partie du budget alloué à mon service et il est essentiel à la prospérité de la société. Dont ça doit être un succès.

J’entends Damon chuchoter à Eric :

– Je parie qu’elle pense à de nouvelles tenues et bijoux. Elle fait une liste dans sa tête au lieu de suivre les présentations.

Eric répond en faisant allusion à mes bijoux scintillants. Il ne peut réprimer un petit rire :

– Notre patronne si sévère a trouvé sa vraie vocation hé hé hé ! Qui aurait pensé qu’elle soit si intéressée par tous ces accessoires.

Pour montrer que je suis toujours la directrice, je me racle la gorge bruyamment pour calmer mes deux subordonnés et je leur jette un regard méchant. Cependant mes yeux doivent avoir l’air plus vitreux que fâchés, car les deux gars me font un sourire lubrique en réponse. Bon sang, leur conversation me fait tellement mouiller que j’ai peur qu’une tache sombre n’apparaisse sur ma jupe.

Leurs commentaires désobligeants me poussent également plus loin dans mes pensées de soumission. Je ne veux pas critiquer la présentation de mon équipe, mais je veux me mettre à genoux, ramper sous la table et sucer toutes les bites présentes. Pour la première fois, je ne veux pas me sentir comme leur supérieure qui leur assigne des tâches. Au lieu de ça, je veux les servir et leur plaire comme une salope de bureau.

Même si je sais que mes subordonnés se sont rendu compte de mon manque d’attention inhabituel, leur dernière question m’a surprise. Je n’avais pas écouté. En bégayant je cherche une réponse, mais je n’en trouve pas. Le visage tout rouge, je m’excuse et je demande à celui qui a posé la question de venir dans mon bureau plus tard pour discuter du problème.

En sortant de la salle de réunion, je pousse un grand soupir de soulagement, même s’il n’y avait pas grand-chose à soulager. J’avais à peine réuni quelques informations. Ma prestation avait été horrible. Ça ne doit plus se reproduire. A la prochaine réunion je dois être mieux préparée et plus attentive. Je ne peux pas prendre le risque que O’BANNON ou ORTEGA soit au courant de mon inattention.

Merde, il faut que j’aie la tête claire et les pensées rapides. En allant vers les escaliers, je tombe sur Justin. Un dossier dans les mains il est visiblement en route vers la salle du photocopieur pour faire des copies.

– Mademoiselle ADDAMS ! Appelle-t-il quand je le croise.

Pendant un moment, je me demande si je dois simplement continuer à marcher et l’ignorer. Mais ça ne fera que le mettre en colère. Après le jeu dans le bureau des stagiaires, je me dis qu’il vaut mieux que je joue le jeu. Alors je me retourne et je lui souris.

– J’ai des questions concernant un travail ! Me dit-il.

Bien sûr, c’est une couverture et nous le savons tous les deux. Alors je joue le jeu et je lui explique le contenu du dossier jusqu’à ce que le reste des participants à la réunion ait disparu rize escort dans leurs bureaux. Quand nous sommes seuls dans le couloir, Justin attrape mon bras et me tire rudement dans la salle de photocopie. Là il me dit :

– Il est temps pour moi d’avoir une autre marque de rouge à lèvres, Miss BRATZ. Et cette fois-ci ça sera sur ma bite ! Mais d’abord, amusons-nous avec ces chaînes.

Je remarque que Justin est devenu plus agressif. Il a vu comment Daniel et Matt me traitaient. Mais comme j’ai pu le remarquer hier, il est moins dans l’humiliation que dans le traitement rude et brutal de mon corps. Il vit pleinement ses fantasmes.

L’étudiant en commerce est un lèche-bottes qui fait des courbettes à tous les autres employés, mais pas à moi. Au contraire, il me traite comme un vulgaire morceau de viande qu’il peut brutaliser comme il le veut. Cette différence de traitement est encore plus dégradante pour moi.

La salle de photocopie est aussi utilisée comme salle de stockage pour divers équipements de bureau et appareils qui ne sont pas utilisés pour le moment. Me tirant par le bras, Justin me conduit au milieu de la pièce.

– Allez poupée, sors-moi ces gros nichons ! Ordonne-t-il simplement.

Résignée à mon sort, j’ouvre ma veste de costume en cuir bordeaux et je la laisse glisser au sol. Secouant mes épaules, mes gros seins rebondissent dans le satin noir.

C’est incroyable, un seul ordre et je me change en mode soumise immédiatement. Et je fais un strip-tease sexy.

Même si au fond de moi ça me gêne, je continue. Balançant doucement mes hanches, j’ouvre les boutons du chemisier en satin en commençant par le haut. A chaque bouton la chair de ma poitrine serrée apparaît. Et je me retrouve devant le jeune stagiaire seulement vêtue de mon corset en satin noir, d’une jupe en cuir bordeaux, de bas noirs, de talons hauts rouges et des bijoux scintillants.

– Sors ton rouge à lèvres et prépare-toi pour ton défi Miss BRATZ. Me dit-il d’une voix autoritaire.

Daniel m’a ordonné d’exécuter tout ordre concernant le défi à tout moment et n’importe où au travail. Je ne peux donc vraiment pas discuter. Au moins, Justin m’a traînée dans une pièce qui est rarement utilisée par mes collègues. Ce sont les stagiaires qui y viennent. Justin saisit mon sac, sort le rouge à lèvres et me le tend. Alors que je commence à l’appliquer, il m’arrête.

– Je n’ai pas dit où n’est-ce pas ? Maquille ta chatte pour moi salope ! Ricane-t-il.

Je gémis en réponse. Je n’aime pas le tour que prennent les évènements. Pourtant j’obéis et je recouvre d’une épaisse couche de rouge vif les lèvres de ma chatte. C’est vraiment obscène, mais Justin adore.

Satisfait de mon maquillage, il attrape mon bras et me conduit près d’un tableau à feuilles mobiles couché et appuyé contre le mur pour le ranger. Il le saisit et le pose au milieu de la pièce, puis il m’ordonne de le chevaucher.

Ensuite il tire mes bras derrière mon dos et il accroche les attaches ensemble, mes poignets à mes chevilles. Enchaînée ainsi mes jambes se soulèvent du sol et mon corps descend sur le côté du tableau. C’est à ce moment que je réalise ce que fait Justin.

– Ooooohhhh ! Qu’est-ce que vous faites ?

Je laisse échapper un petit cri lorsque le métal s’enfonce dans ma chatte sensible.

Tout mon poids ne repose que sur mon entrejambe. Ma chatte et mes fesses sont pressées contre le bord métallique. La seule chose que je peux faire pour protéger mes parties intimes est de me soulever sur la pointe des pieds. Mais les bras attachés à mes jambes, je ne peux pas descendre du tableau.

– C’est un appareil de torture appelé « Spanish Donkey ». Tu vas apprendre à aimer salope ! Tu restes dessus jusqu’à ce qu’il prenne la marque de ton rouge à lèvres. Me dit le jeune salaud.

Satisfait de son travail, Justin se retourne et commence à faire des photocopies. Il accomplit sa tâche sans même faire attention à moi. Je reste sur la pointe des pieds au milieu de la pièce, le visage brûlant de honte. Tout ce que je peux faire c’est d’attendre, complètement impuissante. Les minutes s’écoulent. Le temps me parait très long.

La sueur s’accumule sur mon front alors que je me balance sur la pointe des pieds. Je sens de la fatigue dans mes jambes. C’est inévitable, après environ cinq minutes, elles commencent à trembler dangereusement.

Je n’en peux plus ! Mes mollets sont trop fatigués. Aussi lentement que possible, je me baisse sur la tranche du tableau. Ma chatte sensible se pose sur le bord métallique dur et froid.

– Aie ! Grogné-je quand j’ai l’impression d’être fendue en deux.

– Ne te plains pas et sois contente qu’il s’agisse que d’un bord plat et non pointé comme le véritable appareil. C’est facile en comparaison ! Dit Justin pour me faire taire.

Honnêtement cette comparaison ne me remonte pas le moral. La façon dont le bord métallique presse contre ma chatte est assez inconfortable. Je n’ai pas envie de connaître le vrai appareil de torture.

Luttant sakarya escort pour endurer ce bord dur qui entaille ma chatte, je réussis à le tolérer pendant près d’une minute avant de devoir me relever. Avec mes muscles tremblants d’une manière exaspérante, le temps pendant lequel je peux rester sur la pointe des pieds est considérablement plus court qu’auparavant. Mes mollets cèdent d’eux-mêmes. Avec toute la force qu’il me reste, je me baisse doucement en essayant de disposer mon poids autrement.

– Arggghhh ! Gémis-je quand le bord du tableau coupe mes fesses en deux et appuie sur mon cul.

Ce n’est pas mieux ! Il me faut beaucoup plus de temps cette fois pour rassembler assez de force pour me relever. Pourtant je réussis. La sueur coule sur mon visage.

Le temps où j’arrive à rester sur mes orteils est de plus en plus court. La fatigue s’installe et je suis de plus en plus souvent posée sur le bord métallique. Bientôt je ne peux pas faire autre chose que chevaucher ce maudit tableau. Ma chatte et mon cul me font mal alors que je me tortille encore et encore sur l’appareil. Mes mouvements deviennent de plus en plus effrénés jusqu’à ce que je bouge de haut en bas sur le tableau comme si je chevauchais un âne. Même la bague scintillante de mon nombril rebondit en rythme contre mon corset.

En haut ! En bas ! En haut ! en bas !

– Ohhhh… Aiiieee… Ohhhh… Aieeee !

Je gémis et grimace en rythme alors que mes gros seins rebondissent à l’unisson avec la bague de mon nombril. Même si je fais de mon mieux pour étouffer mes gémissements, ils deviennent de plus en plus forts. Je ne peux plus me contrôler.

La peut m’envahit. Le bruit est si fort que quelqu’un dans le couloir peut l’entendre. A chaque seconde je m’attends à ce que la porte s’ouvre et qu’ORTEGA entre dans la pièce. Je ne pourrai pas me cacher.

– Alors poupée ? As-tu oublié où tu es ? Tu n’es pas censée faire autant de bruit, stupide animal de bureau. Me réprimande Justin.

Il avance vers moi, ôte sa cravate de son cou et la fourre directement dans ma bouche. Encore une chose qu’il a apprise de Daniel.

– Mmmmppphhhhh… Mmmmppphhh…

Mes gémissements sont étouffés. Même si le jeune stagiaire imite mon homme, je suis reconnaissante, car la cravate étouffe le bruit, donc réduit les chances que je sois découverte.

En haut ! En bas ! En haut ! en bas !

Je suis obligée de continuer à chevaucher le tableau de feuilles mobiles pendant les prochaines minutes. Je rebondis si fort que le cœur en strass « Missy » se soulève de haut en bas et cogne ma peau douce et bronzée au-dessus de mon nombril. Ça doit être vraiment comique.

Justin me laisse comme ça une bonne vingtaine de minutes pendant qu’il finit de photocopier le dossier complet. De temps en temps en temps, il me regarde et rigole de me voir essayer de me relever. La douleur se mélange à la honte d’avoir à accomplir cette tâche infernale pour ce salaud de lèche-bottes alors qu’il me prête à peine attention.

CRIIIIIIIII

Soudain la porte s’ouvre avec un grincement.

Non ! Ça ne peut pas arriver ! Pas après que mes cris ont été étouffés ! Pas après tout ce que j’ai vécu ! Je crois que je vais m’évanouir et m’effondrer. Je suppose que j’aurai glissé du tableau si je n’avais pas été enchaînée.

Mais la porte s’ouvre et se referme aussitôt. Avant que je m’en rende compte, deux autres personnes se trouvent dans la salle de photocopie.

– Nous vous cherchions partout !

Il s’agit de Matt et Taylor. Je pousse alors un soupir de soulagement. Je n’ai jamais été aussi contente de voir leurs visages. Ici et tout de suite je les aurais embrassés si j’avais pu me sortir de cette position infernale.

Puis je réfléchis. Je ne devrais pas être contente que Matt soit là ! Surtout sans Daniel ! De plus, attachée comme je suis, il peut faire ce qu’il veut de moi et en profiter.

– Oh je vois, tu prends l’animal de compagnie avec toi lorsque tu travailles. Dit Matt à Justin en m’ignorant.

– Je parie qu’elle t’a supplié de la laisser monter sur ce tableau. La salope n’en a jamais assez hein ? Et elles disent que c’est nous qui pensons tout le temps avec nos bites ! Ajoute-t-il pour recommencer à se moquer de moi

– Qu’est-ce que vous en pensez les gars ? Voyons à quel point elle aime ça ! Je parie que je peux la faire mouiller sur le tableau. S’exclame Justin pour garder l’initiative.

N’attendant pas la réponse des gars il s’approche de moi et saisit mes gros nichons. Il commence à tripoter ma chair molle et la pétrit fermement. Quand il commence à me pincer les mamelons en rythme avec mes mouvements, je commence à me tortiller en gémissant.

Bon sang, ce salaud joue avec mon corps comme avec un violon. Je sens des vagues de plaisir déferler dans mon corps et se mélanger avec la douleur dans mes reins.

La façon dont Justin me manipule si facilement est embarrassante. J’ai très mal sur cet appareil. Pourtant mon corps samsun escort devient excité par son simple toucher.

Maintenant Justin tient fermement mes mamelons en place sans bouger. De cette façon c’est moi qui agite mes seins en sautant sur le tableau. J’ai l’impression que mes seins sont enfilés sur une brochette. La traction sur mes tétons tendres est à peine tolérable. Et ça conduit mon excitation à de nouveaux sommets malgré la douleur dans ma chatte et mon cul.

Lorsque mon corps est levé, Justin se penche soudainement et gifle mon clitoris. Une décharge explose dans ma chatte et traverse mon corps. Mes jambes tremblent si fort que je redescends instantanément sur le tableau ? Je sais que je dégouline de mon jus.

Ce jeune lèche-bottes a su m’amener à l’orgasme malgré la torture du tableau de feuilles mobiles. Il a réussi en si peu de temps que j’en suis ébahie. Ses camarades stagiaires sont encore plus impressionnés et sifflent d’admiration avant que Justin ne détache mes chaînes et me libère du dispositif infernal. Il me montre alors le tableau et me dit :

– Je te l’ai dit poupée que tu allais aimer ! Regarde le gâchis que tu as fait !

Je remarque alors que le tableau est collant de mon jus. Quelques traces de rouge à lèvres sont encore visibles, mais elles ont été recouvertes par mon jus de chatte. C’est trop pervers !

– Tu es trop stupide pour laisser une trace de rouge à lèvres décente Miss BRATZ ! Me réprimande Justin.

Bon sang, j’avais complètement oublié le défi. D’une certaine manière il avait raison. J’étais tellement excitée que je n’avais pas été en mesure de réaliser son défi correctement. Daniel va être déçu.

– Nettoie ça idiote ! Je ne peux pas laisser sale notre matériel de bureau ! Dit cet enfoiré en retirant sa cravate de ma bouche.

Saisissant mes cheveux châtains, il pousse mon visage sur le tableau. Je lèche mon jus sucré sur le métal tout en pensant que Justin m’avait si facilement fait jouir et juter sur le dispositif infernal. Et comme s’il devinait que ma chatte est toujours excitée, il pousse deux doigts dedans et commence à me baiser avec pendant que je suis penchée.

– Ohhhhh…. Ohhhhh…

Je me retrouve vite à gémir les dents serrées. Juste au moment où je suis au bord de l’orgasme, il s’arrête et donne deux grosses claque sur mes fesses, enterrant ainsi mon excitation.

– il ne faut pas que tu oublies le défi, petit animal de bureau. Je devrais te remettre sur le tableau pour que tu recommences. Dit-il avec un petit rire.

Puis il m’attrape une nouvelle fois par les cheveux et s’exclame :

– Il est temps de laisser une marque de rouge à lèvres sur moi.

En me tirant par les cheveux, il me conduit au fond de la pièce. Une table est placée contre le mur. Il fait demi-tour et me pousse pour que je m’allonge sur le dos sur la table. Puis il la contourne et tire mes épaules pour que ma tête pende du bord.

Je réalise enfin ce qu’il fait. Il veut baiser ma bouche. Dans cette position malaisée, je n’offre presque aucune résistance. Avec ma tête en arrière, ma gorge s’ouvre d’elle-même. Quelle position odieuse !

Justin aggrave encore les choses quand il prend ma jambe droite, la soulève du sol et la plie au genou. Puis tenant ma jambe sur la table, il attrape mon bras droit et le tire pour le placer à côté. Et enfin il utilise mes bracelets de poignets et de chevilles pour les accrocher ensemble.

Après avoir fait de même avec ma jambe et mon bras gauche, je me retrouve allongée sur la table, la tête pendante au bord et ma chatte grand ouverte. Tous mes orifices sont complètement exposés.

Debout devant mon visage, Justin prend mon rouge à lèvres et barbouille ma bouche jusqu’à ce qu’il soit satisfait. Puis il baisse son pantalon. Me regarder chevaucher le tableau l’a tellement excité que sa bite est déjà bien raide. Il saisit ma tête et tire mon corps dans la bonne position. Il me bouge comme une poupée gonflable jusqu’à ce que son membre soit contre mes lèvres. Je suis complètement impuissante. Tout ce que je peux faire c’est de regarder sa grosse bite bien dure planer au-dessus de mon visage. Il m’explique alors :

– Je n’arrêterai pas tant que tu n’auras pas laissé ta marque de rouge à lèvres sur mon entrejambe, salope. Tu as compris ?

Je hoche la tête pour signifier mon accord. Ma position est vraiment dégradante. Pourtant je veux lui montrer que je ne suis pas stupide et que je peux supporter ça. Je suis trop fière pour ne pas lui montrer que je ne suis pas idiote et que je peux réaliser le défi.

Avec un grognement, le jeune stagiaire pénètre ma bouche. Je ferme rapidement mes lèvres peintes autour son sexe dur. Ma langue joue avec son gland, mais il pousse sa bite plus profondément. Je me concentre sur mon réflexe nauséeux et je baisse ma tête plus bas pour ouvrir ma gorge. Je sens son bâton de chair presser contre ma luette.

Puis la bite de Justin glisse profondément dans ma gorge. Il me faut quelques instants pour réaliser que je ne peux plus respirer. Néanmoins ce salaud garde sa queue dans ma gorge jusqu’à ce que ma vision se trouble. Je manque d’air.

Je commence à lutter et je m’agite dans mes entraves. Toutefois, je ne peux presque pas bouger. Je dois vraiment avoir l’air ridicule de me débattre dans mes liens.

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Ma Femme a un Nouveau Travail 03

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Aiden Starr

Ma journée de travail me paraissait durer une éternité.

A mon retour à la maison le soir, toujours pas de Jessica. C’est alors que je reçus un texto sur mon portable. Le numéro de téléphone était celui de Jessica.

Il indiquait une adresse et une heure. J’avais juste le temps de m’y rendre, cela se trouvait à l’autre bout de la ville.

J’arrivais dans un vieux quartier industriel délabré. Les quelques passants que je croisais avaient tous un air menaçant.

J’arrivais enfin sur le lieu indiqué par l’adresse. Il s’agissait d’un vieil entrepôt abandonné.

Je descendis de la voiture tremblant. Je me doutais bien que ce genre d’endroit malfamé est souvent le repaire de trafiquants, mais je voulais retrouver Jessica.

La porte de l’entrepôt était entrouverte, un homme se tenait derrière. Lorsque je vins à son niveau il m’attrapa par la nuque. Il me guida dans l’entrepôt sans le moindre mot.

On arriva dans une grande salle sombre. En son centre, un ring de boxe.

Je devinais au fond une présence humaine.

“Vous êtes en retard l’ami!” puis-je entendre.

L’homme qui me tenait par la nuque m’emmena en direction de cette voix.

De plus près j’y voyais plus clair. Il s’agissait du chinois qui était assis dans un fauteuil. A ses côtés se tenait le boss de Jessica.

En baissant mon regard je me rendis compte qu’elle était là, entre ses cuisses entrain de lui prodiguer une fellation dynamique!

Je m’assieds sur un fauteuil également. Le chinois me demanda

“Alors tu ne dis pas bonjour à ta femme? Elle est si charmante!”

Je ne savais que dire, pétrifié de peur. Je lançais un misérable “Bonjour”, faisant rire les deux hommes.

“Que le spectacle commence!”

Les projecteurs s’allumèrent soudain sur le ring.

Il y avait plusieurs cameramen placés tout autour, des micros également.

A l’autre bout de la salle un rideau s’ouvrit, filmé par des caméras.

Une femme et un homme entrèrent, ils tenaient en laisse un gros chien blanc. Il s’agissait probablement d’un couple, ils se tenaient par la main.

Ils montèrent sur le ring. Monsieur s’installa dans un confortable fauteuil. Madame, qui tenait son chien en laisse, s’assied sur les cuisses de son mari.

Puis les projecteurs se braquèrent à nouveau sur le rideau. Ce dernier s’ouvrit sur une femme plantureuse dénudée, corps huilé.

Une mersin escort laisse de chienne de deux mètres tout au plus attachée à son cou.

Je me rendais vite compte avec horreur qu’il s’agissait de Brigitte! Un homme prit en main la laisse et la traina jusque sur le ring.

La belle quadra tentait vainement de résister en tirant sur sa laisse, dans ces mouvements on pouvait voir élégamment ses gros seins remuer.

D’ailleurs une caméra semblait filmer en gros plan ses attributs mammaires.

On pouvait l’entendre supplier l’homme qui la trainé, sans le moindre effet sur ce dernier puisqu’il la fit rapidement monter sur le ring.

Il lui attacha la laisse à un anneau au sol, au centre du ring.

La femme du couple se leva pour donner son chien en laisse à Brigitte. Une fois donné, elle se rassit en baissant sa jupe sur les genoux de son époux. Ce dernier avait lui sortit son sexe, de fait elle s’empala sur le dard de son cher et tendre époux.

Quant à Brigitte, résignée, elle se mit à branler l’animal.

Très vite le couple lui ordonna de se faire sauter par le chien!

Docile et obéissante, elle se mit à quatre pattes, bomba ses fesses devant le chien. Ce dernier lui humait le cul.

Le couple pendant ce temps-là copulait de plus en plus activement. Madame, assise sur son mari est pénétrée, montait et descendait, ses bras en appuis sur les cuisses de son homme.

Tous deux admiraient la déchéance de Brigitte à leurs pieds.

La serveuse au gros buste se faisait promptement violée par leur chien!

Les caméras ne rataient pas une miette de la scène. Moi non plus par ailleurs.

Les pénétrations saccadées de l’animal étaient suffisamment fortes pour faire balancer l’opulente poitrine de Brigitte.

Madame qui se faisait prendre par son mari se leva et se déshabilla. Elle était plate comme une planche à pain, très mince sans la moindre forme féminine, loin très loin de son esclave sexuelle offerte à son chien.

Elle ordonna à Brigitte de lui lécher les pieds.

Tout en se faisait toujours bourrée par l’animal, elle s’exécuta.

La sadique maîtresse se faisait lécher ses pieds nus et n’hésitait pas à donner de petits coups dans la paire de seins de Brigitte.

La maîtresse se rassit à nouveau sur son mari et s’empalait désormais très activement sur son sexe.

Il muğla escort la saisit par les hanches pour la guider plus fortement. Il avait penché la tête pour qu’il puisse lui aussi admirer Brigitte lécher les pieds de sa femme tout en se faisant prendre comme une chienne par son animal de compagnie.

Le chien s’excita soudainement, rendant le couple pervers encore plus exalté.

Le chien était en train de remplir la chatoune accueillante de Brigitte.

Cette dernière poussait de ravissants petits cris de détresse étouffée alors qu’elle suçait les orteils de sa maîtresse.

Le mari jouit également dans sa femme.

Une fois l’ambiance quelque peu retombée, ils se rhabillèrent, récupérèrent leur chien et laissèrent Brigitte nue sur le ring.

Avant de quitter les lieux, l’asiatique prit la parole.

« Coupez! Parfaite superbe partie! Quel beau couple sadique vous ne trouvez pas? Me ferez-vous l’honneur de venir à notre repas ce soir? »

Lança-t-il en se frottant les mains d’un air pervers.

Le couple leur répondit par l’affirmative.

« Au suivant » reprit l’asiatique.

Ce fut le tour d’un jeune noir, non accompagné, si ce n’est d’un grand rodvailer noir.

Tout comme le premier viol, Brigitte fut violée par le chien. Alors que son apetissant derrière était offert au chien, le noir avait sorti son long et épais sexe, qu’il présenta sous le nez de la serveuse.

Il dût forcer la bouche de Brigitte qui le suça avec un complet dégout.

Elle était à quatre pattes, un chien la sautant derrière, le noir assis dans son confortable fauteuil devant.

Ce dernier se pencha pour malaxer l’opulente poitrine de son esclave sexuelle.

Les nibards de Brigitte servaient de jouets à son maître.

L’asiatique se pencha vers moi pour me murmurer à l’oreille

« Tu vois ce jeune homme? Son père est un grand caïd. Il a baigné dans le fric depuis son enfance, il vient à tous mes tournages pour se distraire. Surtout quand il s’agit de femmes blanches. »

Le chien et son maître jouirent très rapidement en Brigitte.

En quittant la scène, l’asiatique interpella le noir

« Repas de ce soir, vous venez? »

Le noir répondit, tout comme le couple précédent par l’affirmative.

Arriva sur scène ensuite une femme nue munie d’un gode ceinture. Elle suintait le sadisme.

Elle se nevşehir escort précipita derrière Brigitte pour sauter sa victime.

La malheureuse Brigitte tentait d’échapper au viol, d’autant plus que la femme semblait plus intéressée par son anus qu’autre chose.

On assistait à une sorte de lutte entre cette femme sadique et une Brigitte qui faisait son possible pour lui échapper malgré une laisse de chien assez courte au cou qui la reliait au sol l’empêchant de fuir.

Mais la plantureuse quadra était déjà épuisée par les multiples perversions subits, elle s’avoua vite vaincue.

La sadique était excitée par ce cul qui allait bientôt s’offrir à elle, embroché par son gode ceinture.

Brigitte cessa toute résistance, à quatre pattes.

Brigitte fut ainsi sodomisée devant les caméras.

Sa violeuse prenait soin de s’enfoncer au maximum dans la serveuse sous les supplices de cette dernière.

Pendant qu’elle la baisait, elle se pencha sur Brigitte pour lui lécher le haut de son dos, sa nuque et ses joues.

« Tu es délicieuse salope » lança-t-elle à sa proie

Brigitte fut baisée et léchée de longues minutes par cette vipère bien calée dans son cul.

Cette dernière avait passé ses doigts sous son gode ceinture afin de se donner encore davantage de plaisir.

Cette femme sadique fut très rapidement prise d’un puissant orgasme, son sexe ruisselé.

Elle se retira du trou de Brigitte, retira son gode ceinture et attrapa Brigitte part les cheveux.

Toujours sous l’œil bienveillant des caméras, Brigitte lécha le sexe détrempé de sa maîtresse, elle était complétement dégoutée et humiliée, au contraire de la sadique femme, toujours aussi hystérique.

Le calvaire de Brigitte semblait s’arrêter là. Au moment de repartir, la femme sadique remercia toute l’assistance et fut elle aussi invitée à dîner au restaurant comme tous les autres acteurs.

Elle glissa un regard pleins de vices à Brigitte en ajoutant ; « A ce soir poupée ».

Tout s’arrêta là, on me renvoya chez moi, ma femme fut dénudée et commença à distraire son boss et son ami asiatique.

Plusieurs hommes attrapèrent Brigitte et la ramenèrent dans les loges, visiblement très intéressés pour lui passer dessus.

« Vous êtes invité ce soir très cher! » me lança le boss de Jessica.

Pétrifiée mais au fond excitée par ce que je venais de voir, j’acceptai cette invitation.

Je quittais la salle sous bonne escorte, en me retournant une dernière fois, je voyais ma tendre Jessica se faire sauter par son boss.

… suite prochainement

Zuwed

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Du Bonheur à L’horreur 10

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Babes

Seuls à l’arrière de la voiture de police nous nous demandions vraiment ce qu’il se passait et je commençais vraiment à avoir très peur. Julien à mes côtés avait l’air dans le même état que moi. Pourquoi ce flic nous avait arrêté? Le voyage jusqu’au commissariat passa très vite et nous fûmes emmené à l’intérieur. Je devais faire peine à voir avec ma robe déchirée seulement maintenue fermée par la ceinture de mon mari.

Igor nous fit entrer dans une salle d’interrogatoire toujours sans un mot et nous intima de nous assoir devant un bureau. Igor était un véritable colosse, il devait mesurer un bon 2m et était très large. Crâne rasé il avait un regard froid et terrifiant tel un agent du KGB. Il s’assit tranquillement en face de nous et posa son regard glaçant sur nous les bras croisés.

– Je ne vais pas y aller par 4 chemins, vous êtes dans une belle merde.

– Je ne comprends pas inspecteur?

– Déjà tu vas la fermer petit con. Ta femme a agressé violement le maire d’une ville au Sénégal. Et toi tu l’as aidé à s’échapper c’est très grave.

Cette accusation me frappa et me noua l’estomac, d’un coup je ne savais pas quoi répondre, le cauchemar ne cessera donc jamais.

– Je vois que madame ne me contredit même pas. Elle a plutôt raison car j’ai toutes les vidéos surveillance et on la voit clairement frapper le maire.

– Cet homme abusait de moi monsieur le commissaire.

– Hahaha ce n’est pas ce que montre les vidéos. Tu as surtout l’air de prendre ton pied petite salope.

Julien à mes côtés était abasourdi et tremblait de peur devant cet homme. Il essaya tant bien que mal de sauver les meubles.

– Quesque on risque?

– Alors vous allez passer la nuit ici déjà puis on étudiera avec les autorités locales comment procéder.

– Non ne me renvoyait pas là-bas s’il vous plait. Cet homme va me tuer.

– Ce n’est pas de mon ressort petite. Il fallait y réfléchir à deux fois avant de faire ce que tu as fait.

Je pleurais en pensant au sort qui m’attendait si je retournais là-bas. Julien lui aussi avait les larmes aux yeux et semblait sans solution.

– Bon aller assez perdu de temps on va passer à la fouille. Debout! Je vais chercher Vladimir.

Pendant que Igor sortait de la pièce, je me levais péniblement avec Julien, stressant de cette fouille à venir. L’attente ne fut pas longue et Igor revint avec le fameux Vladimir, un homme grand lui aussi rasé avec une cicatrice sur la joue il était tout aussi menaçant que son chef. Les deux policiers s’approchèrent de nous et sans aucune délicatesse, nous mirent les mains dans le dos et nous menottèrent.

– Vous n’avez pas le droit de faire ça. Laissez-moi appeler notre avocat.

– Hahah ferme la petite merde si tu ne veux pas que je te démolisse. Tu n’as aucun droit ici et je te conseille de ne plus jamais l’ouvrir tu n’imagines pas les charges contre vous.

Julien baissa les yeux, vaincu. Igor me plaqua, ventre contre le bureau, pendant que Julien subissait le même traitement de la part de Vladimir. Ma robe fut vite relevée.

– Oulah mais c’est qu’elle n’a pas de culotte la chienne. Regarde-moi ce petit cul bronzé Vladimir.

– Putain c’est toujours toi qui fouilles les beaux petits lots

– Hahah t’inquiète fouille vite fait l’autre fiotte et rejoins-moi je pense que celle-là a besoin d’une fouille approfondie.

Igor appuya sur mon dos pour bien que je me cambre ce qui fit l’effet de relevé bien mon postérieur. Il écarta mes deux jambes, je ne me débattais même pas sachant que c’était totalement inutile. Je sentis vite un doigt se présenter à l’entrée de ma chatte ce qui me fit frissonner. Quand il me pénétra je ne pus retenir un petit gémissement.

– Elle est déjà mouillée la petite ça va me faciliter la tâche. Mais qu’est ce qu’elle est serré, on a du travail Vlad dépêche-toi avec lui et viens m’aider.

– Lui aussi est serré au moins on sait qu’il n’est pas de la gâchette malgré son physique hahah

Je pouvais voir Valdimir rentrer un doigt dans l’anus de mon chéri qui pleurait en silence. Igor avait rentré un deuxième doigt en moi et les faisait tourner en cercle me faisant mouiller abondamment.

– Bon c’est trop serré je vais devoir élargir cette pute avec d’autre moyen

– Moi aussi il fait de la résistance le bougre.

J’entendis deux zips de braguettes et les pantalons qui tombent au sol puis un sexe de grosse taille se présenta à l’entrée de mon antre. Son pieu s’enfonça d’un coup en moi ce qui me fit hurler de surprise, il était vraiment gros. Un cri de Julien m’indiquait qu’il se faisait sodomiser par Vladimir, moi j’étais trop concentré sur les coups de boutoir violents que m’infligeait Igor. C’était vraiment trop bon, son sexe me remplissait et malgré ce qu’on pourrait appeler un viol j’atteignis vite un premier orgasme.

– Elle aime ça la petite. Je la défonce et elle adore ça. Allez viens Vladimir il va falloir m’aider.

– Ça marche

Je tournais la tête vers mon amour pour voir Vladimir sortir son sexe diyarbakır escort de l’anus béant de Julien prendre sa matraque pour lui enfoncer dans le cul. Mon mari hurla de douleur.

– Mais il va fermer sa gueule celui-là.

Vladimir enleva une de ses chaussettes et lui enfonça dans la bouche de force. Pendant que Igor me besognait toujours sans ménagement décuplant mon plaisir, son acolyte fit le tour de la table et présenta son sexe devant mes yeux. Elle était grosse, veinée et couverte de matières fécales de mon Julien.

– Nettoie moi ça ma belle.

Il tira mes cheveux ce qui me fit ouvrir la bouche et s’enfonça d’un coup au fond de ma gorge. J’étais prise des deux côtés de la table comme une vulgaire trainée et j’adorais ça. Le sexe de Vlad avait un gout horrible mais je le suçais avec délectation encouragée par l’excitation de la levrette que me procurait Igor.

– Tu suce vraiment bien salope.

– Bon c’est bon ta queue est nettoyée vient m’aider à l’élargir

Toujours planté en moi Igor me souleva de la table pour s’y allonger, je me retrouvais donc allongée sur lui un peu en lévitation, Vladimir se positionna devant moi et plaça lui aussi son sexe à l’entrée de mon vagin. Je n’avais jamais pris deux sexes dans le même orifice et il dû s’y prendre à plusieurs fois pour rentrer lentement son gros chibre dans mon vagin déjà occupé. Une fois entré je me sentais remplie comme jamais j’avais l’impression que mon sexe allait exploser sous les yeux médusés de mon mari toujours avec une matraque dans l’anus.

Les deux policiers commencèrent à aller et venir simultanément en moi et une sensation de jouissance encore jamais ressentie m’envahit et je ne pus retenir des râles de plaisirs à chaque pénétration.

– Tu aimes ca sale pute?

– On te défonce bien avoue?

– Ouuiiii! Plus fort! Plus fort!

Je ne me contrôlais plus, je voulais qu’ils me défoncent encore plus vite et plus loin. Ils accélérèrent le mouvement et le rythme était maintenant vraiment intense et un orgasme inédit me submergea.

– Bon je pense qu’elle est assez large pour bien la fouiller maintenant haha

Repue je les laissais me remettre en position initiale et j’avais du mal à tenir sur mes jambes. Igor ne perdit pas de temps et après avoir réécarté mes jambes introduisit directement 4 doigts à l’intérieur sans difficulté.

– C’est bon elle est prête à être fister la petite. Attache l’autre au pied de la table il faut qu’il voit ça de plus près.

Vladimir menotta Julien au pied de ma table, il me faisait pitié, pendant qu’Igor introduit le dernier doigt de sa main à l’intérieur de mon vagin. Je sentais maintenant son poing tout entier aller et venir en moi c’était divin et mon plaisir repartit en fanfare. Vladimir quant a lui avait enlevé la chaussette de la bouche de mon chéri et se faisait sucer tranquillement.

Julien paraissait soumis et je comprenais qu’il n’était vraiment pas le male alpha qui me fallait et que ça ne marchera jamais entre nous sexuellement. Je l’aimais mais ce n’était plus suffisant…

Les va et vient du poing d’Igor en moi me faisait jouir tellement fort que j’accompagnais ses mouvements avec mon bassin pour le sentir au plus profond de moi jusqu’à obtenir un énième orgasme dévastateur.

– C’est bien ma jolie tu ne nous as rien caché dans cet orifice. Tu ne nous a rien caché dans l’autre trou?

– Non monsieur

– Bon je te fais confiance vous allez pouvoir aller en cellule.

– Vous pourriez vérifier quand même?

– Tu entends ca Vladimir? C’est elle qui demande, ce n’est pas beau ça?

– C’est bien la première fois que ça arrive.

Vladimir sortit son sexe de la bouche de Julien qui se mit en boule écœuré et dégouté par la situation, il baissa la tête, abattu.

Igor me mit à genoux et les deux hommes m’entourèrent le sexe dressé.

– Il va falloir que tu nous humidifie les engins car ça va faire mal sinon.

Je pris un énorme sexe dans chaque main et les masturbais doucement. Je les pris en bouche en alternance, les enfonçant à chaque fois au plus profond de ma gorge. Les deux hommes étaient aux anges et ne cachaient pas leurs plaisirs.

– Vas-y suce nous bien salope

– Tu es vraiment la plus grosse pute qu’on ait jamais fouillée.

Tout en me disant cela ils me relevèrent brusquement. Vladimir s’allongea sur la table et me souleva pour que je m’empale sur sa queue. Son sexe rentrait facilement dans ma chatte maintenant, heureusement qu’Igor présenta vite son sexe à l’entrée de mon anus et d’une poussée m’encula. C’était trop bon j’étais vraiment devenue fan de la double pénétration surtout avec de si gros calibres. Les deux me besognerent en rythme et j’en profiter pour embrasser à pleine bouche Vladimir j’étais surexcitée.

– Elle est prête Vlad

Le signal était lancé et Vlad retira son sexe de ma chatte avec sa main et plaça à l’entrée de mon anus pour rejoindre son patron. Ce fut rude pour que les deux sexes puissent edirne escort rentrer mais avec plusieurs tentatives plus douloureuses les unes que les autres les deux calibres entrèrent bien au fond de mon anus. Au fur et à mesure les deux prirent un rythme constant et la douleur intense se transforma en plaisir.

– Oh oui, oh oui, mon dieu c’est trop bon. Dechirez moi!!

Ils me besognerent comme des morts de faim pendant de longues minutes ce qui me fit jouir encore une fois. Les deux policiers finirent par s’arrêter et Igor me replaqua contre le bureau. Il fit de même qu’avec ma chatte et entra 3 puis 4 doigts dans mon anus en faisant des mouvements circulaires l’élargissant au maximum. Vladimir pendant ce temps pris littéralement mon crane, enfonça sa verge dans ma bouche et baisa complètement ma bouche sans douceur.

Igor finit par entrer le 5 -ème doit et poussa entièrement sa main dans mon anus resserrant le poing. Ça y est j’étais bien fistée. Il fit de nombreux va et vient, je mouillais tellement que je sentais mon fluide glisser le long de mes jambes. Vladimir finit par déverser ton son sperme au fond de ma gorge dans un râle de plaisir. Le fist fucking était tellement intense que je ne pus même pas avaler et tout le sperme se déversa sur mon menton et mon cou.

– Bon je pense que tu as eu ta dose poupée. Viens me remercier maintenant.

Il retira son poing dans un gros blop sonore. Je tombais au sol et rampais difficilement jusque lui. Difficilement je me mis sur mes genoux et pris le sexe de mon tourmenteur en bouche pour une ultime fellation qui ne dura pas longtemps. En effet Igor éjacula dans ma gorge lui aussi et je le dégustais avec délectation. Apres cela je m’écroulais sur le sol, vaincue mais rassasiée.

– Bon cette fouille fut concluante les amoureux, il faut croire que vous n”avez rien dissimulé. Nous allons vous emmener à vos cellules et on discutera de vos condamnations demain matin.

Sans un regard pour mon faiblard de mari, nous fumes emmener à travers le commissariat jusqu’à nos cellules voisines. Il n’y avait rien même pas un lit, juste un seau pour nos besoins. J’étais complétement éreinté et je m’endormis a même le sol sans un mot pour Julien, juste vêtue de ma robe déchirée sachant que mon avenir allait se jouer demain matin.

Je l’avais définitivement perdue, j’avais subi encore une fois l’humiliation de voir ma femme se faire prendre par d’autres hommes et la voir prendre énormément de plaisir. Je la regardais dans la cellule d’en face, elle s’était endormit sans même un regard pour moi. En une semaine notre relation avait volé en éclats et je ne voyais vraiment pas comment notre couple pourrait survivre à ça. Pourtant je l’aimais de tout mon cœur ma belle latine et c’était d’autant plus dur de se rendre compte que je n’étais pas l’homme qu’il lui fallait.

Je ne dormis pas une minute de la nuit réfléchissant à comment nous sortir de ce pétrin mais aussi ce qui allait advenir de nous deux. C’est Vladimir qui vint me chercher pour me dire de l’accompagner seul.

Il me conduisit jusqu’à une pièce et m’ordonna d’y entrer. Je fus totalement surpris de voir Carlos mon patron qui m’attendait assis devant un bureau.

– Bonjour Julien, assied toi je t’en prie.

– Carlos qu’est ce que tu fais la? Comment as-tu su que nous étions enfermés ici?

– Assieds-toi je vais tout t’expliquer.

Je m’installais donc devant mon patron qui avait l’air grave mais j’étais content de voir un visage familier.

– Comment vas-tu Julien?

– Très mal, on est bloqué ici et Adèle est accusée d’avoir agresse une personne importante au Sénégal.

– Oui je sais

– Ah bon?

– Laisse-moi t’expliquer mais promet moi de ne pas m’interrompre s’il te plait.

– D’accord je t’écoutes

– Alors voila il y a un mois j’ai remarqué une photo d’Adèle sur ton bureau au travail et je suis tout de suite tombé sous le charme de cette bombe. Elle était magnifique et je ne vous savais pas très expérimenté il fallait que je tente quelque chose.

– Quoi qu’est-ce que tu racontes?

– Julien tu m’as promis de te taire.

– …

– Tu ne le sais peut-être pas mais je suis parti de rien moi et mes 3 meilleurs amis nous nous sommes soutenus et avons gravit les échelons de la société chacun dans notre domaine. Jean le curé de la ville, Moussa le patron de l’hôtel au Sénégal et Igor le commissaire de la ville. C’est pour ça que je t’ai conseillé cet hôtel au Sénégal pour ton voyage de noces et que les prix étaient si abordables. Certes j’ai créé un plan parfait pour soumettre ta femme mais cela ne pouvait marcher que si elle était réceptive et soumise. Je dois avouer qu’Adèle a répondu à toutes mes espérances et bine plus, assez timide pour se laisser approcher mais surtout avide de sexe et de toutes perversités.

J’étais estomaqué, complétement abasourdi par ce que j’apprenais. Carlos pris une télécommande et alluma la télé derrière lui et je pus découvrir la vidéo de edirne escort bayan la première soirée chez Carlos. Sans un mot il zappa et des vidéos chez Moussa apparurent puis chez le curé.

– Tu vois toutes vos aventures ont été filmés

– Qu’est ce que tu attends de nous?

– Alors voilà, la plateforme que nous sommes en train de créer n’a rien q voir avec un site de streaming classique, je veux crée une vraie plateforme porno et Adèle sera la première star. Toi tu continueras le développement bien sûr.

– Je refuse de participer a ça et je ne veux pas qu’Adèle continue ces perversions.

– Ne t’inquiète pas Adèle a assez donné elle travaillera avec nous pour nous dénicher des nouveaux talents maintenant qu’elle est professeure de lycée. Toi tu seras augmenté évidemment.

– Non impossible on ne peut pas faire ça. On va s’en aller ma femme et moi loin d’ici.

– Mais enfin Julien, Adèle n’est pas faite pour toi, il faudrait être bête pour ne pas s’en rendre compte. Et puis si je lui propose ça ou repartir au Sénégal chez l’autre fou elle n’hésitera pas une seconde mais je veux que tu accepte mon offre Julien. Je tiens à toi tu es un excellent développeur.

– Je ne peux pas Carlos je sais que nous pouvons remonter la pente avec Adèle.

– Ecoute je te laisse la journée pour réfléchir et je reviens ce soir.

Vladimir me ramena en cellule, j’étais sonné et me sentais trahi et manipulé. C’était horrible. Adèle dormait toujours dans sa cellule, les révélations de Carlos étaient vraies elle adorait le sexe mais je savais que je pouvais encore la ramener dans le droit chemin.

C’est Igor qui me fit sortir de ma réflexion, il entrait avec un énorme black habillé comme un SDF, l’odeur me prit au nez alors qu’il était à une bonne vingtaine de mètre de moi. Il y avait un chien avec lui, un berger allemand qui suivait son maitre sans broncher. Igor ouvrit la porte de la cellule d’Adèle toujours allongée et fit entrer le SDF et son chien.

– Tu vas partager ta cellule gros tas. Il y a plus d’autre place pour un déchet comme toi.

– Mettez-le avec moi plutôt.

– Haha non je sens que Adèle est de meilleure compagnie

Il me fit un clin d’œil puis ressortit de la pièce. Le SDF paraissait lui aussi surpris de partager sa cellule avec une si belle créature. Il la regardait les yeux exorbités.

– Ne t’approche pas d’elle connard.

Il m’ignora totalement et s’approcha de ma femme en poussant des grognements inhumains. Son chien lui le suivait sagement. C’est surement l’odeur infecte qui réveilla ma femme qui poussa un cri strident en découvrant cet homme dégueulasse avec son sourire sans dent qui la regardait avec appétit. Elle se précipita à l’autre bout de la cellule.

Le SDF se caressait sans pudeur l’entrejambe au-dessus de son pantalon. Il fit tomber son pantalon exhibant un énorme sexe noir couvert de poils sales, l’odeur était encore plus atroce. Je savais que ça ne servirait à rien d’appeler à l’aide car Igor et Vladimir ne serait d’aucune aide. Ma femme se calmait aussi sachant aussi que personne ne viendrait nous aider, elle fixait maintenant l’homme qui s’approchait, pas a pas le sexe dressé.

Arrivé a la hauteur de ma femme tremblante, il tira d’un coup sec sur le seul vêtement que portait Adèle et elle se retrouva nue. Il retourna fermement Adèle contre les barreaux qui séparaient nos deux cellules. Sachant ce qui allait se passer elle se cambra tel un automate les yeux fermés. L’homme n’en revînt toujours pas, plaça son sexe a l’entrée de la chatte de ma chérie et l’embrocha d’un coup. Adèle gémit de plus en plus fort à mesure que le clochard la pénétrait. Il la prenait sans délicatesse faisant aller et venir ses trente centimètres de chair dans la chatte distendue de ma princesse qui maintenant hurlait de plaisir. Comment pouvait elle prendre du plaisir à se faire baiser par cet homme.

L’homme éjacula rapidement au fond du vagin de ma chérie. Il n’était clairement pas rassasié, il retourna ma femme qui était son nouveau jouet et l’embrassa a pleine bouche. Je voyais leurs langues s’entremêlés dans un baiser des plus gras. Le Sdf s’assit sur le sol et obligea ma femme à se mettre à quatre pattes pour le prendre en bouche. Elle s’activa alors sur ce sexe qui devait être dans un état d’hygiène des plus déplorables mais pourtant elle allait et venait avec envie sur sa hampe pendant que l’homme lui caressait les cheveux. Du sperme commençait à ressortir de sa chatte ce qui attira le chien qui se mit à lécher à grands coups de langue ma chérie.

Elle voulut se retourner pour arrêter cette perversion mais le clochard noir la maintint sur son sexe et appuya fermement sur son crane pour enfoncer son sexe au plus profond de la gorge de ma chérie. Le chien avait nettoyé l’intégralité du sperme enfonçant sa langue au maximum dans la petite chatte de ma belle. N’y tenant plus le chien se cambra sur ma femme, posa ses deux pattes sur le dos bronzé d’Adèle et avant qu’elle n’ait le temps de réagir enfonça son sexe gonflé en elle. Totalement surprise par cette intrusion elle subissait les mouvements ultra rapides du chien et semblait recevoir des décharges de plaisir. En effet la vitesse et le sexe particulier du chien lui transmirent un orgasme intense et cela la motiva encore plus à sucer avidement son amant.

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