Sortie Scolaire 01

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Amateur

SORTIE SCOLAIRE, PARTIE UNE

Cette histoire me fut relatée bien des années plus tard par un ancien élève, à la suite d’une soirée bien arrosée, en fut-il l’acteur, le témoin, en eut-il connaissance, je ne saurai répondre pas plus que je ne puis démêler le vrai de l’idéalisé, je me suis borné à le transcrire en bon français, du moins est-ce ainsi que je l’espère, son récit, en l’édulcorant quelque peu, en l’enrichissant parfois, j’ ai cependant pris la liberté de changer tous les noms des protagonistes et de transférer l’histoire en d’autres lieux similaires de façon à rendre toute identification impossible.

En début d’exploitation des zones, des secteurs étaient déterminés selon la qualité des sols, les grèves moins riches en silice, donc peu exploitables étaient repoussées, puis délaissées formant des îlots parsemant en bandes irrégulières les étangs. C’est dans un de ces lagons peu profonds qu’Hélène avait trouvé refuge étrennant en toute discrétion le minimum offert par son mari, maillot au slip brésilien qu’elle n’osait pas encore afficher en public. Ce coin lui souriait d’autant plus que nageuse peu experte, elle pouvait en toute discrétion y réviser ses tables, personne ne fréquentant ce coin un peu retiré. Se croyant seule, elle barbotait allégrement, se souciant peu des bretelles de son bikini qui glissaient révélant l’opulence de sa poitrine ferme ou de l’exiguïté de la culotte laissant échapper quelques mèches folâtres de sa toison de feu.

Elle ignorait que masqués par les fourrés, de l’îlot trois paires de yeux concupiscents se régalaient à la vue de ses formes appétissantes. Il s’agissait des trois petits voyous qui la veille, lors de leur installation ne s’étaient pas gênés pour détailler et commenter les formes appétissantes des trois accompagnatrices, et plus particulièrement les siennes qui avaient du leur paraître particulièrement voluptueuse. La voyant quitter le camp chastement vêtue d’une courte robe d’éponge, Franck, celui qui lui avait fugitivement peloté les fesses lors de leur installation, s’était douté que, si elle cherchait à s’isoler c’était par crainte d’exhiber tout de go sa plastique aux yeux de tous, il devinait que pour une raison quelconque, pudeur, manque d’habitude, déficit du halage, elle devait se rassurer avant d’affronter la foule des baigneurs. Coup de chance, elle avait quitté sa courte robe à quelques mètres d’eux, et maintenant, allongé derrière les buissons, le paréo bien cachée au fond de son havresac, en compagnie de deux de ses complices il la mangeait des yeux.

C’est qu’elle était très alléchante la belle bourgeoise, ses fesses dont il avait déjà furtivement testé la fermeté s’épanouissaient au dessus de longues cuisses fuselées en deux hémisphères charnus, denses, bien dessinés au creux desquels se perdaient la languette fripée du slip, kütahya escort la poitrine opulente, haut plantée tressaillait lascivement à chacun de ses gestes, le hasard de ses mouvements leur avait même permis d’apercevoir l’aréole plus foncée qui cerclait un large téton dardé, quelques mèches rousses s’échappaient par l’entrejambe succinct du maillot. Ils la contemplaient ainsi depuis quelques minutes, quand sur un geste de leur chef, qui guettait une circonstance favorable, ils se décidèrent enfin à agir.

Franck avait entendu, au loin le claquement de pagaies qui semblaient se diriger vers eux, discernant immédiatement l’opportunité favorable, il avait résolu de se lancer. Surgissant comme des diables de leur boite, ils se ruèrent sur elle, et alors que statufiée par la surprise, elle restait abasourdie, sans même qu’elle pousse un cri, ils la dépouillèrent en deux mouvements de ses effets, se réfugiant aussi vite derrière le rideau des maigres buissons, la laissant effarée et nue au milieu des flots. De la rive, Franck la héla hilare :

– Si tu ne veux pas qu’on te voie à poils.. Viens donc me demander ton cache vertu … mais grouille toi.. y’a du peuple qui se pointe!

Et, hagarde, à son tour elle perçut le claquement des rames sur l’eau, ils arrivaient, en un éclair elle comprit, où elle courait s’abriter sur l’îlot tout proche, ou dans une minute au plus tard, les arrivants croiraient découvrir une nudiste dans cette maudite anse isolée. Tout de suite elle entrevit le visage scandalisé de ses enfants et des autres accompagnateurs au récit croustillant que ne manqueraient pas de faire ces intrus. Pourrait-elle seulement se disculper…. Evoquer une raison évidente de sa présence, entièrement nue dans ces lieux … Qu’en déduiraient les gens …. Et frissonnante d’anxiété, sans plus tergiverser, elle se précipita à son tour à l’ombre des maigres taillis.

En rampant, elle se glissa à plat ventre sur une bande à l’herbe rase entre deux boqueteaux, et de là, oubliant momentanément les loubards qui l’avaient dépouillée elle guettât les arrivants, avec appréhension, elle vit trois canots chargés de mouflets en bas âge s’immobiliser, les moniteurs les tirèrent alors vers une petite plage sur l’îlet face au sien et commencèrent à débarquer des paniers de victuailles, elle comprit alors avec effroi qu’ils allaient goûter sur place, et qu’elle en avait donc pour de longs moments d’attente.

Un frôlement l’alerta, et se tournant sur le coté, elle vit arriver les trois marlous rampant sur le ventre, elle allait hurler, lorsque le plus avancé, le doigt en travers des lèvres lui rappela qu’au moindre cri elle ameuterait les gamins pique-niquant face à eux, ce qui serait le meilleur moyen d’étaler sa mésaventure, à cette idée l’appel mourut sur ses lèvres, et anéantie, manisa escort elle dut se résoudre à les laisser impunément se vautrer à ses cotés. Dressant la tête elle jeta un coup d’œil en face, ces maudits gosses étaient toujours là, la paralysant. Elle sentait la chaleur des deux corps qui la pressaient entre eux, ils ne disaient rien, se contentant, pour l’instant, et elle savait qu’ils ne s’arrêteraient pas là, de se frotter contre ses flancs.

Et soudain, elle sut que ça y était, la main du plus hardi remontait lentement le long de sa jambe, déjà elle suivait le pli du fessier, elle se raidit, que pouvait -elle faire d’autre?

Son agresseur ne s’en inquiéta pas, lentement, il empauma les deux globes, les malaxant, les parcourant en de lentes et langoureuses caresse, avant de revenir se perdre dans l’entrejambe qu’elle défendait toujours avec énergie, cependant un autre danger se précisait maintenant. L’autre gaillard avait réussi à glisser la main entre sol et chair et brusquement, en un seul élan, il avait saisi son sein, s’emparant immédiatement du téton qu’il commença à rouler entre deux doigts. Elle frissonna longuement, il lui faisait mal, et pourtant elle sentait son mamelon darder sous la rude caresse, se pouvait-il? …

Troublée par cette réaction inattendue, elle perdit brusquement de sa concentration, inconsciemment elle se polarisa sur ses mamelles, oubliant l’autre antagoniste qui menaçait son intimité. Sentant son fléchissement, il se laissa oublier quelques instants, les fesses d’Hélène se décrispèrent, insensiblement ses muscles se détendirent, c’était l’instant qu’il guettait. Imparablement il enfonça le poing entre les cuisses légèrement disjointes, il s’enfonça facilement jusqu’à la charnière intime de la belle, imposant déjà deux doigts fureteurs à l’entrée de sa féminité. Il lui laissa quelques secondes de répit, le temps de s’accoutumer à cette présence non désirée, et déjà sollicitée par les tiraillements de ses mamelons, elle se polarisait à nouveau sur sa poitrine malmenée. Et inexorablement il la fora index et majeur joints, pénétrant jusqu’à la garde la tiède moiteur de son con poisseux, elle se cabra sous la brutale intrusion au cœur même de sa féminité, abasourdie par la facilité avec laquelle les deux doigts joints s’étaient infiltrés. Déjà ils remuaient, la pistonnant avec ampleur, dilatant son pistil qui secrétait incongrûment son nectar. Eperdue, elle sentait maintenant sa gaine s’adapter à l’intrus, ses reins solliciter s’accorder au rythme auquel son ventre était soumis, ses fesses s’écarter pour livrer à son suborneur une entière liberté de manœuvre. Elle en oubliait sa poitrine toujours malmenée par l’autre sbire, elle se surprit à gémir sourdement, avouant ainsi son profond émoi. Profitant de cette aubaine il se dressa souplement, la prenant mardin escort au ventre il l’agenouilla au sol, et la couvrit lestement se guidant habilement de la main pour la pourfendre d’un coup. Egarée elle se laissa retomber sur le ventre tandis que déjà il la pilonnait d’amples coups de bite, allant et venant au plus profond de son tunnel d’amour, de la croupe elle épousait ses puissants empalements, savourant avec ivresse cette impression de plénitude qui la remplissait toute. Stupéfait d’un tel accueil, il ne put résister bien longtemps à cette fournaise dans laquelle prenait son pied et c’est avec un grognement retenu qu’il se vida avec abondance ventre rivé à sa croupe, obligé de la bâillonner pour étouffer les cris qui auraient fusés de sa gorge.

Son émoi était tel, que c’est à peine si elle se rendit compte qu’elle changeait de chevaucheurs, elle ne prêta aucune attention aux deux lascars qui en quelques secondes, chauffés à blanc par le spectacle auquel ils venaient d’assister, se déversent à leurs tours dans son ventre anesthésié. Franck qui s’était glissé à sa tête, histoire de veiller à ce qu’elle n’ameuta point les populations lorsque ses deux complices se déverseraient dans son antre, lui susurra alors :

– Si tu veux récupérer tes frusques ….. Viens nous rejoindre au cœur de l’île!…. A bientôt ….

Et, silencieusement, ils la quittèrent en rampant, s’enfonçant dans les fourrés, elle restait là, allongée sur le ventre, flancs palpitant cherchant à reprendre ses esprits. Le sperme gouttant larmes après larme de son sexe encore béant, elle tardait à reprendre son souffle, subitement elle repensa aux pique-niqueurs de l’îlet en face, elle se dressa sur ses coudes, observant la scène qui se déroulait sous ses yeux : les jeunes, assis en rond dégustaient leurs sandwichs tout en Jacassant, au train où ils allaient, force lui fut de constater qu’ils en avaient encore pour un sacré bout de temps.

Elle devait se décider, il avait été clair ce petit con : ou elle allait les rejoindre pour quémander, ou elle retournait à poil au camp, avec tous les risques que cela sous-entendait. Si encore elle ne se sentait pas si molle, si amorphe, elle n’arrivait même pas à se révolter après ce qu’ils lui avaient fait subir, elle se sentait si alanguie, pas honteuse, pas salie, seulement et c’était le plus étrange, si lourde, si béate, c’était comme si cette brusque agression avait comblé un manque, un vide soudainement révélé. C’était presque comme si ce jeune voyou avait juste remplacé son mari, avait rouvert une voie trop peu souvent empruntée par son époux.

Lasse elle roula sur le ventre, prenant alors conscience que, suintant de sa chatte, une traînée visqueuse maculait sa cuisse, cette constatation la replongea brusquement dans la réalité, elle se secoua, d’une lente caresse des doigts elle étala le sperme sur sa cuisse, et consciente de l’inanité de ses efforts pour se nettoyer, se dissimulant aux regards des jeunes gosses, comme engourdie, elle se prit la route des buissons qui la mènerait au lieu du sacrifice.

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Nedjma – Chapitre 06

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Solo Male

C’est le plus beau des réveils! La petite bouche de Françoise s’active autour de mon chibre qui devient dur rapidement…

« – Bonjour, Dom! Il est 8h00… (Elle reprend ma queue dans sa bouche et continue de me sucer lentement)

– Wow… j’adore! Salut, Françoise!

– (Elle me regarde) Mmmmm… Mmmmm…

– Je sais, ta bonne éducation… tu ne parles pas la bouche pleine!

– (Elle ne peut s’empêcher d’éclater de rire) Hahahaha! Idiot, va! (Elle se hisse jusqu’à mon visage et m’embrasse goulûment)

– Tu as bien dormi?

– Oui… (Elle sourit, pose sa tête sur ma poitrine et regarde ma queue qu’elle branle doucement) Tu en auras pour longtemps, Dom?

– Aucune idée! J’essayerai d’abréger et de revenir le plus rapidement possible…

– S’il te plait, oui… (Sa tête redescend et je retrouve la chaleur de sa bouche et de sa langue qui s’enroule autour de ma verge)

– Françoise… viens dans l’autre sens… donne-moi ta petite chatte!»

Elle s’allonge en sens inverse, le long de mon corps. Son bas ventre à hauteur de mon visage, elle écarte les cuisses et sa fente s’entrouvre… son odeur épicée m’emplit les narines tandis que j’y plaque ma bouche et commence à la lécher… ma queue bien dure revient glisser entre ses lèvres, et nous nous appliquons à nous donner le maximum de plaisir, n’arrêtant nos caresses buccales que lorsque l’autre a joui.

Je m’habille rapidement pour foncer chez-moi et tout préparer avant l’arrivée de Sophie… Je n’ai eu aucune nouvelle d’elle, mais je sais qu’elle viendra! Par peur de voir ma vidéo tomber entre les mains de son mari? Oh, pas seulement! Aussi et surtout parce que c’est une salope! Nedjma a raison! Je lui ai juste dis que je parlerais de son augmentation avec Françoise… je ne l’ai pas fait, et bien qu’elle n’ait rien obtenu encore, elle me taille une pipe! Vous appelez ça comment, vous? Une salope! On est bien d’accord!

9h20

Je suis enfin chez-moi. J’ai acheté quelques légumes qui ont attiré mon regard chez l’épicier en bas de ma rue… si tout se passe comme prévu, j’aurai baisé Sophie avant midi et Nedjma aura eu sa vengeance! Admettons que je m’amuse encore un peu avec elle quelques heures de plus, je devrais pouvoir retrouver Françoise vers 16h00…

10h10

J’entends des pas dans l’escalier menant à mon appartement… j’habite un petit F2 au dernier étage d’une vieille bâtisse classée au patrimoine historique, comme les ¾ du centre-ville d’ailleurs! Mon quartier s’étale aux pieds d’une forteresse construite par Vauban… on y trouve quelques monuments d’époque romaine et 2 couvents! Mais aujourd’hui, je vais casser cette ambiance traditionnelle et calme de ma rue en transformant mon appartement en lupanar!

Je jette un coup d’œil par la fenêtre et reconnais Sophie… je vous l’avais bien dit! Elle est venue! Elle ne m’a pas vu et grimpe les dernières marches. Elle sonne, j’ouvre ma porte.

« – Entre! Oh la… ne tire pas cette tronche, Sophie…

– Pourquoi? Je devrais me réjouir peut-être?

– Parfaitement! Tu vas passer un bon samedi, alors de quoi tu te plains? Après tout c’est de ta faute! Tu m’aurais laissé aller jusqu’au bout l’autre jour, tu n’en serais pas là!

– Mais bien sûr… qui me dit que tu ne m’aurais pas fait chanter de toute façon?

– Faire chanter… Tssss… les grands mots, tout de suite… je veux juste te donner une petite leçon, Soph’! Tu m’as allumé à fond et planté comme une merde une fois que j’étais bien chaud! Je te filerai les fichiers originaux quand tu repartiras et je te laisserai tranquille, ne t’en fais pas!

– Et si tu as fait des copies, comment je le saurai?

– Bien sûr que je vais garder une copie! Mais pour mon usage perso, c’est tout!

– C’est-à-dire?

– Pour me branler si tu veux tout savoir!

– Mais tu ne diffuseras jamais rien?

– Tu me prends pour qui? Tu crois être Miss Monde pour que je veuille profiter de toi au-delà d’aujourd’hui, Sophie? Je crois que je vais te donner ces putains de fichiers et tu vas te casser tout de suite!

– Tu me le promets, Dom? Tu veux juste qu’on couche une fois ensemble et tu me laisseras tranquille?

– Je te dis que tu peux partir… tu me fais même pas bander, Sophie!

– Pourtant l’autre jour… (C’est la 2ème fois que je lui dis qu’elle est libre mais elle fait mine de n’avoir rien entendu… je vous le disais, elle est là pour baiser!) J’ai acheté ce que tu m’as demandé de porter… tout est dans le sac là… (Elle tend un grand sac plastique qu’elle tient en plus de son sac à main)

– Cool… alors vas-y! Change-toi!

– Là, maintenant? Devant toi?

– Ben oui… tu ne vas jouer les pudiques? »

Elle s’exécute et sort du sac un chemisier rouge très transparent, des bas et un string en dentelle assortis au chemisier, ainsi qu’une paire de talons aiguilles… Elle se déchausse, déboutonne son jean puis le retire…

« – Oh… tu n’as kuşadası escort pas mis de culotte…

– Non, je savais que j’aurais à l’enlever…

– Comme quoi tu acceptes très bien ce qui va se passer… tu achètes ce que je te demande, tu viens sans culotte… je t’en prie, continue! »

Tandis qu’elle pose son jean sur la chaise près d’elle, je me lève et viens me coller à elle… je pelote son cul flasque et plat…

« – Pas terrible tout ça… t’as le cul d’une tristesse ma pauvre Sophie! (Je gifle ses fesses) Regarde moi ça… ça rebondit même pas! Heureusement que t’as d’autres atouts! »

Ma remarque la fait rougir, elle est vexée… je lâche ses fesses et passe devant lui fourrer une main entre les cuisses… elle se laisse faire, écartant même les cuisses pour me faciliter l’accès et poursuit son effeuillage en retirant son pull… j’enfonce un doigt dans sa vulve et le remue doucement…

« – Tu mouilles ma cochonne… »

Elle ne dit rien… le pull enlevé, elle fait glisser les bretelles de son soutif le long de ses épaules puis amène l’attache sur le devant pour la défaire. Ses gros nichons jaillissent hors des bonnets et remuent lourdement sous le mouvement de ses mains occupées avec l’agrafe. Autant elle a le cul triste, autant elle a le nichon joyeux et super bandant! Je me jette sur elle pour prendre dans ma bouche ses belles pointes brunes et les sucer…

« – Bon sang… quelle paire! Sllurrp… suck suck… sllurrp… Mmmff… Sophie… détends-toi… je ferai tout ce que je peux pour cette augmentation… je veux juste recevoir ce que tu m’as promis avant! Simple sécurité… Mmmmff… Sllurrpp…”

Je la tète un bon moment puis la laisse passer ce qu’elle a amené… elle enfile les bas, le string, puis le chemisier sans soutif en dessous… quand elle a chaussé les talons aiguilles, je la fais s’asseoir au centre du salon.

« – Je vais t’attacher les mains maintenant…

– Quoi??? Mais…

– Chut… juste pour pimenter un peu le tout… »

Je vais dans ma chambre, jouxtant le salon, prendre les liens que j’avais préparés avant son arrivée puis reviens lui attacher les mains dans le dos… ses protestations sont de pure façade… quand je m’absente pour récupérer les liens, elle ne bouge pas et je la retrouve sagement assise sur sa chaise! Toujours dans son dos, je me saisis d’une étoffe noire que j’ai dans la poche… je la roule et d’un coup, je lui bâillonne la bouche avec! Elle tente de protester mais ses mots sont déjà étouffés par l’étoffe. Elle donne aussi de grands coups de pieds dans le vide mais je la préviens que si elle continue, je lui attacherai les pieds! Elle se calme mais je lis la colère dans ses yeux… Qu’est-ce que ça sera quand j’introduirai le dernier élément prévue au scénario de cette journée!

Quand on parle du loup… on frappe à la porte! Je n’ai rien vu passer derrière la fenêtre du salon, ni entendu aucun bruit dans l’escalier tellement je suis concentré sur l’instant… Sophie sursaute mais après avoir jeter un coup d’œil à la pendule, je lui dis que tout va bien et qu’il n’y a pas à s’inquiéter… il est 10h30… le sourire aux lèvres, je vais ouvrir…

« – Ah te voilà! Pile à l’heure! Entre, ma belle! Tout est prêt!

– Je veux voir ça!

– (Je me décale sur le côté, dévoilant le dos de Sophie, mains attachées et fulminant sur sa chaise) Du calme, Sophie! Oui, t’as bien entendu! C’est Nedjma qui vient d’arriver! Elle va passer un moment avec nous… viens, ma douce! »

A présent c’est de la haine pure que je peux lire dans les yeux de Sophie! Elle grogne mais aucun de ses mots n’est compréhensible. Elle se tord dans tous les sens dans l’espoir de se libérer de ses liens, mais je l’ai trop bien attachée!

Nedjma referme la porte derrière elle puis s’approche de la chaise…

« – Bonjour, Sophie! Heureuse de me voir? (Les mains sur ses épaules, Nedjma dépose un baiser sur le haut du crâne de Sophie puis vient se planter devant elle) Oh, pas vraiment on dirait! Moi en tout cas, je le suis! Surtout de te trouver dans cette posture… et cette tenue! Alors comme ça on suce mon Dom pour 300 €? Oui, il m’a tout dit! Et c’est moi que tu traites de pute? »

J’aide Nedjma à retirer sa veste et découvre en souriant son énorme poitrine moulée outrageusement par son chemisier…

« – Hihihihi! J’ai enlevé mon soutien-gorge dans le petit couloir à l’entrée… je savais que ça te ferait plaisir, mon chéri! »

Nous nous embrassons à pleine bouche, longuement, mes mains malaxant ses seins énormes et frottant les gros tétons pointant généreusement sous le tissu soyeux…

Sophie ouvre de grands yeux et nous regarde, Nedjma et moi, hébétée et au bord de la crise cardiaque, nous galocher amoureusement devant elle…

« – Surprise? Dom et moi on est ensemble depuis qu’il a commencé à l’association! Pas vrai, mon chéri?

– Absolument! Je t’ai kocaeli escort fait croire qu’elle m’avait fait une pipe pour me remercier de sa promotion, mais je couchais déjà avec elle bien avant, Sophie!

– Moi je ne donne pas mon cul pour 300 euros, madame! »

Nedjma s’approche de Sophie, caresse son visage, une joue puis l’autre… elle tourne autour de sa chaise en l’effleurant du bout des doigts… quand elle revient face à elle, elle la gifle d’un coup! Puis elle l’embrasse tendrement par-dessus le bâillon avant de se redresser pour lui donner une nouvelle paire de baffes! Surpris par son comportement, j’essaye de la calmer…

« – Oh la, Nedjma…

– Je devais le faire, mon chéri… maintenant ça va mieux… ne t’inquiète pas s’il te plait… fais-moi confiance… je connais ce genre de salopes! »

Nedjma pose une main sur la poitrine de Sophie nue sous le chemisier… la main glisse entre 2 boutons et je vois ses ongles longs venir se planter profondément dans la chair tendre du sein qu’elle a empoigné et se met à pétrir avec force… Sophie gémit de douleur…

« – Aujourd’hui, tu es à moi! Et à Dom, bien sûr! Tu devras nous obéir! Et nous verrons bien qui de nous deux est une pute! Jolie poitrine en tout cas… Dom adore les grosses poitrines, tu sais… »

Elle a déboutonné un peu plus le chemisier rouge transparent… à présent, elle peut palper les 2 gros nichons de Sophie… elle prend un des mamelons entre ses doigts et le fait rouler délicatement… brusquement, son visage se crispe et elle pince le téton violemment! Les yeux rougis, Sophie gémit de plus belle en se tortillant de douleur sur sa chaise…

« – Oh… Madame a le téton sensible, on dirait… (Lance Nedjma en se tournant vers moi) De l’autre côté aussi? »

Elle lui crache au visage puis tord brutalement l’autre mamelon! Sophie explose et tente de se lever. J’ai juste le temps de me précipiter derrière elle et de la plaquer sur sa chaise en la maintenant fermement de mes 2 mains sur ses épaules!

Je me sens vraiment mal à l’aise! Je ne voyais pas les choses comme ça… je me demande à quoi je m’attendais en fait! Attacher Sophie et la rendre totalement vulnérable et soumise au moindre caprice de Nedjma, c’était carrément une idée à la con! Je sais pourtant combien les femmes peuvent être garces entre elles! En même temps, je n’ose pas trop aller contre Nedjma… après tout, c’est moi qui lui ai fourré cette idée de vengeance dans le crâne! Merde! Les plans sado-maso, c’est franchement pas mon délire! Sophie est au bord des larmes… et une femme qui chiale, ce n’est pas du tout le genre de truc qui m’éclate!

« – Tranquille, Nedjma! Vas-y doucement, ma douce…

– Je suis sûre qu’elle aime ça! N’aie pas peur, Dom! (Et elle fourre une main sous le string de Sophie) Ha! Elle mouille, la garce! Tu vois, je te l’avais dit, mon chéri! Elle prend son pied! »

Je vais quand même prendre le relais avant que Nedjma ne se déchaîne un peu plus! Et là ou elle a décidé de dispenser la douleur, je vais tempérer en offrant du plaisir…

Je m’agenouille devant Sophie et j’essuie le filet de salive qui coule sur son visage… cette offense nettoyée, je pose délicatement mes 2 mains sur ses gros seins… mes paumes se referment sur leur volume généreux et les palpent avec une douceur extrême… je peux voir sous le tissu transparent, la chair de ses seins meurtrie par les ongles de Nedjma… je tire sur le côté les 2 pans du chemisier et caresse à nouveau les 2 seins d’une rondeur parfaite… je regarde Sophie…

« – T’as vraiment des seins magnifiques… tu ne trouves pas qu’elle a de beaux seins, Nedjma?

– C’est vrai! Dommage qu’elle soit si conne! Profite bien d’elle en tout cas, mon chéri! Je veux que tu prennes tout le plaisir qu’elle t’a refusé! »

Peu à peu, Sophie retrouve son calme avec moi… j’embrasse en l’effleurant des lèvres son ventre rond, descends sur la peau douce de son entrecuisses que je baise avec une égale légèreté… je respire profondément l’odeur épicée qui exhale de sa vulve toute proche puis remonte baiser sa fente par-dessus le string dont je tire le triangle de dentelle fine sur le côté… je veux vérifier par moi-même qu’elle mouille vraiment… ma langue darde, glisse entre les 2 petites lèvres et lèche son vagin vigoureusement… je peux alors sentir la cyprine couler dans ma bouche et saturer mes papilles de sa saveur unique…

« – J’adore le goût de ta grosse chatte, Sophie… »

Je suce longuement son clito avant de replonger dans sa fente humide… puis je reviens baiser son ventre, remontant sur ses nichons qui prennent un volume incroyable vus du dessous… j’embrasse le sein droit, le gauche… je lèche les larges aréoles brunes puis prends dans ma bouche les mamelons durcis par les caresses vengeresses de Nedjma… je les suce lentement, les enroule sous ma langue, les tète encore… je les sens gonfler konya escort dans ma bouche… plus bas, mes doigts ont remplacé ma langue dans sa vulve et je la doigte profondément pendant que je suce goulûment ses gros nichons… Sophie ne tente plus de se débattre mais se soumet totalement… sa respiration s’est accélérée et son corps s’est avachi sur la chaise… les cuisses largement écartées, elle jouit en secouant la tête et gémit comme jamais …

« – Nedjma, viens derrière elle… viens lui caresser les seins pour moi… mais doucement! D’accord?

– Hihihihi! Compris, mon Dom… »

Nedjma se colle à Sophie… debout derrière elle, elle prend en coupe ses seins lourds et les pétrit avec la délicatesse demandée, au début en tout cas! Je tète les gros nichons entre les doigts de Nedjma, je lèche et suce les mamelons durs qu’elle pince doucement… Nedjma ne peut retenir plus longtemps la colère qu’elle a envers Sophie, et dès que ma bouche quitte les délicieuses mamelles, elle recommence à lui vriller les tétons en les tordant dans tous les sens! Je la laisse faire puisque Sophie aime ça! De mon côté, je fais glisser le string que porte Sophie jusqu’à ses chevilles… je contemple un instant sa chatte bien poilue et ses petites lèvres qui sont comme 2 crêtes de coq épaisses d’un rouge foncé… sa fente et son entrecuisses brillent du plaisir qu’elle prend…

« – Tu mouilles de plus en plus, ma cochonne! T’avais raison, Nedjma! Madame l’assistante de gestion prend son pied! (Elle me fusille du regard)

– Bien sûr qu’elle aime ça, Dom! Tu crois vraiment qu’elle serait venue aussi facilement si elle n’avait pas envie de se faire baiser, cette pute?

– Mmmmrrrrrrmmm! (Grogne Sophie sous son bâillon)

– C’est pas cool de s’entendre traiter de pute, hein Soph’? Alors mets-toi à la place de Nedjma et imagine ce qu’elle a pu ressentir quand tu as dit ça d’elle! »

Nedjma se penche par-dessus l’épaule de Sophie et nous nous roulons une bonne pelle toute en miaulements de chats en rut et suçage de langues! Nedjma a une main sur le sein droit de Sophie et en pince sauvagement le téton pendant que je pelote amoureusement le nichon gauche… j’approche mon visage du con poilu de Sophie et colle ma bouche à sa fente dont la mouille trahit la jouissance qu’elle aurait certainement préféré cacher! Je dégage le clito de la touffe de poils abondante qui le recouvre et lui donne de rapides coups de langue avant de l’aspirer et de le sucer longuement… quand il bande bien, je plonge au plus profond du vagin et le laboure de ma langue qui va et vient, tourne, lèche, suce et titille chaque centimètre… elle voudrait taire son plaisir mais il devient trop fort… elle gémit de plus en plus… Nedjma fait rouler ses bons gros nichons sous ses petites mains tout en continuant d’en torturer les pointes! D’une voix douce qui contraste avec la vigueur de sa caresse, elle m’encourage…

« – Vas-y Dom… lèche-la bien cette salope! Fais-la mouiller… Fais-la jouir, mon chéri! Elle n’attend que ça! C’est bon, hein Sophie? Mon Dom me rend folle chaque fois qu’il me bouffe la chatte! Alors tu dois vraiment prendre ton pied! »

Sophie gémit et je la lèche de plus belle… très vite elle atteint l’orgasme et un flot de cyprine coule dans ma gorge … Sophie se dandine de plaisir sur sa chaise et je finis de boire son plaisir à grands coups de langue dans sa chatte…

Je bande comme un fou! Les mains de Nedjma pelotant ces gros nibards et Sophie totalement soumise… ça me file une gaule d’enfer! Je vais à la cuisine et reviens avec un concombre! C’est ça que j’ai acheté chez l’épicier en bas de ma rue! Dès que j’ai vu les concombres sur l’étale, ça a fait boom dans ma tête! Je le tends à Nedjma en lui demandant de l’enfoncer dans le vagin gluant de Sophie… pendant ce temps là, j’ai bien l’intention de me faire sucer! Mais je commence par galocher Nedjma et la déshabille… je fais tomber sa jupe à terre pendant qu’elle se débarrasse de son chemisier et de son soutif… et tout en continuant de la galocher, je lui bouffe les seins en lui fourrant le concombre entre les cuisses…

« – Nedjma… ça te dit d’essayer?

– Tout ce que tu veux, mon chéri… montre à cette salope comme tu me fais jouir… »

Je fais lever Sophie et l’entraîne dans ma chambre où je la fais s’asseoir à nouveau, face à mon lit, les mains toujours attachées dans le dos… Nedjma et moi reprenons notre baiser fougueux et je reviens frotter le concombre contre sa fente entre ses cuisses…

D’abord debout, nous finissons par nous allonger sur le lit, Nedjma ouvrant largement ses cuisses devant Sophie qui ne peut que profiter du spectacle!

Allongé tout contre elle, je suce goulûment les énormes mamelles de Nedjma tout en introduisant lentement le concombre dans sa grosse chatte… je tète ses tétons bruyamment et ma salive coule sur ses seins… sa fente s’ouvre en grand pour recevoir le légume que j’enfonce de plus en plus profondément… elle gémit et mouille abondamment… Sophie nous mate et se frotte les cuisses subrepticement… mais j’ai l’œil et je vois bien son petit jeu! Elle se masturbe discrètement tandis que je gode Nedjma sous ses yeux pleins de désir…

(à suivre…)

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Le Stage en Entreprise

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Big Tits

Je m’appelle Karine, 19 ans, étudiante. Je devais faire un stage en entreprise et, ayant un peu la flemme de chercher, je m’étais dit que j’allais demander à mes parents de le faire dans leur société.

J’en discutais donc le soir même au diner. Ma mère, Caroline, 45 ans, DRH dans cette entreprise parut sceptique pour ne pas dire totalement hostile à cette idée ce qui me surpris. Mon père, Antoine, 50 ans, directeur commercial, parut tres ennuyé que je fasse cette requête ce qui me surpris encore plus. J’insistais et le ton monta rapidement. Ils semblaient vraiment opposés à ce stage sans que je ne parvienne à en comprendre la raison!

Le lendemain matin, j’attendais que mon père finisse de se préparer, il avait proposé de me déposer au Lycée. La sonnette de l’entrée retentit et j’allais ouvrir la porte de notre pavillon. Nous habitons dans une ville chic de la région parisienne. Deux femmes se tiennent devant l’entrée. Je suis immédiatement frappée par leurs regards durs et autoritaires . Elles sont vétues de mini jupes en cuir noires sur des collants noirs et montés sur des escarpins vernis. Des talons claquent derriere moi. Ma mère vient voir qui a sonné.

Et bien ma chérie, qui est ce qui…

c’est mots se bloquent dans sa gorge, je la voit distinctement blèmir sous son maquillage.

Les deux filles entrent d’emblée dans la maison et referme la porte. Elles font la bise à ma mère qui se laisse faire sans vraiment de réactions.

Je ne comprends pas l’attitude de maman.

Une des fille se tourne vers moi souriante.

Salut, je m’appelle Marine, je suis une collègue de ta mère.

Et moi c’est Audrey! Me lance l’autre fille.

Je me présente, subjuguée par Audrey et Marine. Je les trouve impressionnante. Plus jeunes que mes parents, elles sont très belles toutes les deux , grandes, elles dégagent un telle magnétisme que j’en suis émue.

Marine se tourne vers ma mère.

Comme on était dans le coin , on c’est dit avec Audrey que vous pourriez nous emmener au boulot?

Ma mère acquiese d’un hochement de tête sans dire un mot.

Audrey n’arrete pas de kahramanmaraş escort me regarder, elle lance à Caroline.

Tu nous avais caché que ta fille était aussi jolie.

Je rougis violemment sous le compliment.

Mon père arrive a ce moment prècis dans le salon.Il semble très surpris de voir Audrey et Marine.

Elles font la bise à mon père.

Tu nous offres un café avant de partir? Propose Audrey à ma mère.

Caroline hoche la tête et va préparer des cafés dans la cuisine. Je m’assoie dans le canapé et Audrey et Marine s’installe chacune a coté de moi me coincant entre toutes les deux. Il y a de la place sur le canapé mais elles se serrent contre moi. Je sens leurs jambes se coller aux mienne et cela me met dans un état que je n’ose décrire. Mes mains sont moitent. Audrey me susurre à l’oreille :

T’es vraiment canon ma chérie…

Je rougis encore plus fort. Mon père est sortie pour faire chauffer la voiture a t’il dit.

Marine se lève et se dirige vers la cuisine suivi d’Audrey.

J’attends sagement leurs retours. Essayant de reprendre mon souffle , me demandant ce qui m’arrive.

Le temps passe et elles ne reviennent pas. Il ne faut pas deux heures pour faire des expressos!

Soudainement intriguée par tout ça, je me lève à mon tour et me dirige tout doucement vers la cuisine. Je découvre une scéne qui me laisse sans voix. Caroline, ma mère, jupe troussée, dévoillant ses jambes gainées de bas couleur chair, en équilibre sur ses talons aiguilles crèmes, se fait branler par Marine qui a introduit son index et son majeur dans la fente de maman. Elle les fait coulisser rapidement dans la chatte de ma mère qui halète et secoue la tête dans tous les sens en gémissant. Audrey, elle, filme la scéne avec son téléphone portable.

T’aime ca salope!! Ca te rappelle le boulot!

Divers sentiments m’envahissent alors. De la honte, de la colère de voire ma maman se faire traiter de salope mais aussi de l’excitation car visiblement Caroline prend son pied a etre traité ainsi par Marine. Audrey retroussa sa jupe en kastamonu escort cuir et ordonna à Caroline de se mettre a genoux devant elle. Ma mère obeit et se prosterna devant la jeune femme.

Suce moi la chatte salope!

Marine empoigna les cheveux de ma mère et la poussa en avant. Audrey écarta son string, ma mère sortit timidement sa langue et commença à lécher la fente dégoulinante de mouille d’Audrey.

Maintenant , je suis complèment excité par ce que je vois. Ma mère est en train de bouffer la chatte de sa collègue de travaille, je me demande même si en fait Audrey et Marine ne sont pas les subordonnées de maman. Ma main part bien malgé moi vers ma chatte. Je me caresse a travers mon jean. J’entends les insultes des filles sur ma mère.

Quelle chienne, elle sait y faire

On la bien dressée faut dire

Caroline donne des coups de langue sur la fente d’Audrey qui gémit pendant que Marine donne des claques sur les fesses de maman qui commence a devenir rouge.

Je n’en peux plus. Je baisse mon jean et m’introduit deux doigts dans ma fente commençant à me masturber comme une folle, agitant mes doigts. Dans la cuisine, Marine branle ma mère pendant que celle ci continue de lécher la fente d’Audrey.

Soudain, Marine m’apperçut et poussa un cri!

Audrey, t’as la petite salope qui nous matte!

Je voulus fuir, mais Marine me rattrappa et m’entraina dans la cuisine a cote de maman qui c’est relevée, rouge de honte.

Eh bien Karine, ca t’excite de voir ta maman me lécher la chatte? Demanda Audrey goguenard.

Elle va lécher la chatte de sa chienne de mère!! hurla Marine, hystérique.

Cris de prostestation de maman!!

Mais rien n’y fait, je suis positionnée a quatres pattes devant maman qui hurle qu’elle ne veut pas. Marine lui enfonce un torchon dans la bouche l’etouffant a moitié. Audrey me pousse en avant et ma bouche se pose sur le pubis de Caroline qui gémit dans son baillon.

Audrey se met derriere moi, baisse mon jean d’un coup sec et me carresse la vulve. Marine, elle, souleve le haut de ma mère kayseri escort et dégage ses seins de son soutient-gorges. Elle suce les pointes en donnant de petits coups de langue. Je leche la fente de maman avalant sa mouille. Je gémis sous les caresses habiles d’Audrey. Elle me branle avec ses doigts maintenant les agitant violemment dans ma chatte. J’entends ma mère gémir sous mes coups de langue.

Un hurlement nous fait sursauter!

Mon père vient d’entrer dans la cuisine decouvrant l’ignoble spectacle.

Audrey et Marine ne lui laisse pas le temps de réagir. Elles se jettent sur lui et l’immobilise par terre en s’asseyant dessus. Mon père tente de se relever en vain. Nos deux tortionnaires lesbiennes nous ordonnent de nous caresser mutuellement. Horrifiées, nous hésitons maman et moi mais nous obeissons contraintes mais aussi excitées reconnaissons le . Ma main caresse la vulve de maman et maman fait pareil pour moi. Nous agitons nos doigts. Très vite nous gemissons toutes les deux en haletants ce qui fait rire Audrey et Marine. Audrey filme avec son portbale. Marine a relevé mon père et lui a ordonné de baisser son pantalon, elle lui sort son sexe et le masturbe pendant que ma mère et moi nous gémissons de plus en plus fort. Antoine se branle de lui même maintenant, agitant ses doigts autour de sa bite.

Maman eut la première un orgasme qui la laissa pantelante, je suivi juste après en pousant un hurlement.

Audrey et Marine nous mirent à genoux devant papa nous ordonnant d’ouvrir nos bouches. Papa se masturba un instant agitant son sexe en grognant et il cria quand des jets de spermes jaillirent allant s’ecraser sur nos visages. Maman en a dans les cheveux, sur le menton et j’en reçoit une petite quantité sur les les lèvres.

Nous sommes revenus dans le salon. Papa nous attends dans notre Mercedes pour m’accompagner au Lycée avec un peu de retard. Maman m’a fait un mot d’excuse. Audrey apperçoit soudain posé sur la table du salon le formulaire de demande de stage en entreprise.

Tu dois faire un stage? Me demande t’elle.

Oui, je voulais le faire chez maman mais elle ne veut pas.

Je commence à comprendre pourquoi du reste….

Audrey et Marine se regardèrent.

Oh mais il hors de questions que tu fassent ton stage ailleurs , n’est ce pas Caroline. Je sens qu’il va être très enrichissant ce stage. Tu vas voir!!

Je croise le regard de maman, elle est effondrée….

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Le chantage de Summer

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Amateur

Ceci est une histoire avec chantage et contrainte. Je remercie l’auteur original Wilcox010 de m’avoir permis de la traduire.

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Todd SPILLERS surfe sur internet comme le font la plupart des étudiants. Il est sur le site « Femmes en manque de sexe ». Il vient juste de fêter son 19ème anniversaire et il a eu un nouvel ordinateur pour cadeau.

Ses parents ont beaucoup déménagé car son père est un militaire de métier. Quand ils arrivent à Atlanta, Todd doit redoubler son année afin de rattraper le niveau pour pouvoir accéder à l’université. Il a donc un an de plus que la plupart des élèves de sa classe. De plus, sa stature physique lui a permis d’intégrer facilement l’équipe de football américain de la Smith High School.

Todd n’a pas de voiture comme ses principaux amis. En effet, ses parents lui ont promis une auto que s’il obtenait une bourse.

Il passe le contrôle d’âge du site et commence à surfer. Il trouve rapidement la section qui regroupe les annonces des femmes de sa région. Il parcoure les profils de celles qui ont une photo. Il continue jusqu’au bas de la liste où il remarque une annonce disant « Professeur d’anglais cherche sa muse ». Il clique sur le profil mais aucune photo n’apparait. Il voit sur ce profil que les photos sont seulement envoyées en privé et qu’il ne peut pas y avoir accès. Alors, il envoie un petit message à l’enseignante, lui indiquant qu’il est un bon candidat pour le poste de muse car il sait ce qu’elle veut et ce dont elle a besoin. Il signe son message d’un laconique « Maître T. ». Puis il se déconnecte afin de continuer à étudier pour les épreuves du lendemain.

Summer WAYNE s’ennuie ce jeudi soir alors elle navigue sur internet. Elle est mariée depuis 20 ans et a deux enfants. Mais son mari est en voyage d’affaire et ses deux fils jumeaux sont à l’université dans la capitale de l’état. Et sa meilleure amie Lisa est allée diner avec son époux.

Summer est professeur d’anglais au Lycée Smith High School depuis 10 ans. Elle a commencé à enseigner tard car elle et son mari ont voulu fonder une famille tout de suite après le mariage. Summer et James, son mari, se sont installés dans un style de vie d’une famille respectable de classe moyenne. Ils ont une belle maison, deux voitures, deux enfants et une vie romantique.

Parfois, elle se demande si elle n’a pas raté sa jeunesse mais elle se dit toujours qu’elle est une femme qui a la chance d’avoir une belle vie.

Summer est sur le point de se déconnecter lorsqu’elle remarque une notification lui indiquant qu’elle a un mail sur son site « secret ». Un petit peu nerveuse, elle pense attendre le lendemain pour l’ouvrir mais la tentation est trop grande. Elle voit que l’auteur est un peu trop jeune pour elle mais elle se sent flattée qu’un jeune trouve son profil assez intéressant pour lui écrire. Alors elle décide de lui répondre : « Je vous remercie pour votre message. J’aime votre profil. Mais je me demande pourquoi vous avez de l’intérêt pour un femme plus âgée que vous. Je joins une photo pour que vous vous fassiez une idée. Elle signe avec le pseudo Prof101.

La photo avait été prise un soir de week-end par son mari James alors qu’elle sortait de la voiture. Il aimait que Summer montre ses jambes sexy ainsi que sa petite culotte. Bien sûr, elle a caché son visage car elle doit être très prudente étant donné sa profession. Elle ne peut risquer que son image soit partagée sur internet.

Immédiatement après l’avoir envoyée, elle a un petit pincement dans l’estomac. Jamais elle n’a envoyé de photos d’elle sur internet. Mais elle se dit que son visage est flouté et que personne ne peut la reconnaitre. Elle se lève du bureau et décide d’aller prendre un bain.

Todd ne peut pas aller dormir. Son cerveau est en ébullition à cause des matières qu’il vient d’étudier et du site sur lequel il a surfé plus tôt. Alors il décide d’aller jeter un nouveau coup d’œil sur ce site. Donc il se connecte, et aussitôt il est étonné de trouver une réponse à son message signé Prof101. Il clique sur l’icône de courrier, lit le message et regarde la photo sexy d’une femme sortant d’une voiture. Ses jambes sont très longues et bronzées. Et il peut voir sa culotte jaune vif. Il pense tout de suite à une exhibitionniste. Il étudie la photo et essaie de deviner l’âge de la femme. D’après lui, elle a entre 38 et 42 ans.

Todd tape une réponse : « Cher prof101, je viens de trouver votre message ainsi que la photo très jolie. Toutefois je souhaiterai vous connaître un peu mieux avant de continuer à communiquer. Afin de voir si vous correspondez à ce que je cherche et si vous êtes assez bien hatay escort pour moi, pouvez-vous m’envoyer une autre photo un peu plus détaillée de ce corps très sexy. Maître T. »

Summer se détend dans sa baignoire. Elle se remet en mémoire ce week-end si spécial avec son mari. Elle se rappelle le regard du portier la voyant sortir de la voiture. Elle avait rougi de son embarras. Mais un pari était un pari et elle se doutait que le week-end avec son mari allait être amusant et divertissant.

Elle avait parié facilement car elle avait un full alors que son mari n’avait eu aucune bonne carte de la partie. Alors quand il annonça « Tapis », elle savait qu’elle couvrait totalement son pari et qu’il ne pouvait que perdre à son jeu favori : le poker.

Pourtant, il dit :

-Et si nous rendions cela un peu plus intéressant?

Summer lui répondit qu’elle ne voyait pas comment étant donné qu’il n’avait rien d’autre à parier. James lui proposa de faire l’effort d”accepter un week-end entier sa belle-mère si elle gagnait. Mais si elle perdait, elle devrait s’habiller comme il le voudrait et faire ce qu’il voudrait un week-end entier. Elle accepta rapidement pensant qu’il bluffait.

Elle étala devant elle son full aux dames par les dix. Mais elle se sentit inquiète quand elle regarda son mari dans les yeux. Puis elle le vit poser ses quatre rois. Elle fut estomaquée. Voilà ce qui a conduit à la première des nombreuses photos du week-end spécial ainsi qu’à son premier trio.

Ils entrèrent dans le bar juste à côté de l’hôtel. James lui avait demandé de porter une tenue très sexy qui lui donnait l’air un peu pute. Il lui avait fait mettre un soutien-gorge rouge qui ne couvrait pas ses mamelons ainsi qu’un string assorti. Elle avait des bas noirs, un petit gilet blanc et une mini-jupe très courte. Une paire de hauts talons noirs complétait son habillement.

Elle devait aller s’asseoir sur un tabouret au bar et commander une boisson. Et elle devait s’arranger pour que sa jupe soit assez remontée afin que chaque personne la regardant puisse voir le haut de ses bas.

Tandis que sa consommation arrivait, son téléphone l’avertit d’un texto. C’était son mari James qui lui disait combien elle était sexy et qu’il était très fier d’elle. Summer sourit et prit une gorgée de son gin tonic. Elle était nerveuse car, de toute sa vie, elle ne s’était jamais assise dans un bar toute seule.

Puis elle fut surprise par un mouvement derrière elle. Elle remarqua que deux hommes s’asseyaient sur les tabourets adjacents. Comme elle faisait face au bar, ils avaient une belle vue sur ses jambes. Elle pouvait sentir leurs regards.

Nerveusement, elle croisa les jambes et tira sur l’ourlet de sa jupe, maudissant son mari. Assise, elle n’avait aucun moyen de couvrir entièrement le haut de ses bas.

Elle sursauta quand elle sentit une main toucher son bras. C’était l’homme à côté d’elle qui lui demandait d’attraper une serviette. Elle essaya d’en saisir une mais son cul décolla légèrement du tabouret, faisant ainsi monter sa jupe un peu plus haut. L’homme la remercia et se présenta ainsi que son ami. Il s’appelait Bill et était avocat et son ami se prénommait Mike.

A ce moment, le téléphone annonça l’arrivée d’un nouveau texto de son mari. Elle l’ignora, perdue dans ses pensées, essayant d’ignorer sa jupe, ses jambes trop visibles ainsi que les hommes à côté. Son téléphone bipa à nouveau et Bill lui indiqua que quelqu’un cherchait à la joindre. Summer prit son appareil et lut le message : « Summer, tu n’es pas autorisée à tirer l’ourlet de ta jupe. Pour cette transgression, tu dois maintenant te tourner vers les deux hommes et décroiser tes jambes afin qu’ils puissent voir ta petite culotte. »

Elle savait qu’elle devait obéir parce qu’elle avait promis et qu’elle ne voulait pas que le week-end commence mal. Alors elle se tourna lentement vers Bill l’avocat et lui dit que c’était juste une amie qui l’informait qu’elle ne pourrait la voir aujourd’hui. Tout en parlant elle décroisa ses jambes.

Elle se pencha vers Bill et lui demanda d’où ils venaient avec son ami et pourquoi ils étaient là. Bill répondit qu’ils étaient venus pour le match de dimanche car ils étaient fan de l’équipe locale. Summer le vit regarder vers le bas, entre ses jambes. Et comme elle ne les croisa pas de nouveau, il lui sourit et lui demanda s’il pouvait lui offrir une boisson.

Lorsque celle-ci arriva, Bill la tendit à Summer et s’excusa pour aller aux toilettes. Quand il fut parti, Mike s’assit à sa place pour entamer une conversation avec elle. Il avait une vue directe sur le haut de ses bas et sa culotte.

Quand Bill ığdır escort tourna au coin des toilettes, il avança vers James. Ils se serrèrent chaudement la main. James demanda à Bill ce qu’il pensait de Summer. L’avocat lui répondit qu’il était heureux de la rencontrer et que tous leurs échanges de mails n’auraient pu décrire avec précision comment elle était sexy et belle. James dit à l’avocat qu’il devait continuer et essayer de l’exciter sexuellement. Il lui donna un petit sac en velours ainsi qu’une lettre. Il lui demanda de glisser le tout dans le sac de sa femme sans qu’elle s’en aperçoive.

Quand Bill revint au bar, il vit que Mike et Summer parlaient ensemble. Il s’approcha silencieusement et réussit à mettre le petit sac et la lettre dans le sac à main de la femme. Puis il reprit son siège, et en s’asseyant il posa sa main gauche sur la jambe de nouveau croisée de Summer. Il savait qu’elle avait encore enfreint une règle de James mais il ne dit rien.

Le téléphone bourdonna à nouveau. C’était un message de James qui lui demandait d’aller aux toilettes, ouvrir son sac à main et lire la lettre. Summer s’excusa auprès des deux hommes. Quand elle descendit sans aide de son tabouret, Bill et Mike eurent une vue directe sur son string rouge.

La lettre de James demandait à sa femme de prendre l’œuf dans le sac en velours et de le mettre dans sa chatte qu’il pensait déjà très humide. Summer fit glisser son string le long de ses jambes. Elle remarqua une légère tâche d’humidité sur le mince tissu. Cette moiteur trouvée sur sa culotte provenait du jus qu’elle trouva sur les lèvres de sa chatte. Elle commença à enfoncer l’œuf noir qui glissa avec facilité dans son vagin.

La lettre de James lui indiqua qu’il était dans le bar et qu’il la voyait mais qu’elle ne pouvait pas le voir. Il lui dit aussi qu’il n’était pas content qu’elle ait croisé ses jambes et qu’il allait devoir la punir pour cela.

Le texte demanda aussi à Summer de déboutonner tous les boutons de son chandail sauf les deux en dessous de ses seins. De cette façon, quiconque la regardera aura une vue directe sur son décolleté. Et si elle voit quelqu’un le regarder, elle devra se pencher en avant pour faciliter la vue sur sa poitrine.

Summer retourna à son tabouret au bar. Elle constata qu’il était maintenant entre Bill et Mike. Elle se rappela les instructions de son mari et elle ne tira pas sur sa jupe en s’asseyant, dévoilant ainsi le haut de ses bas.

A ce moment, l’œuf dans son sexe vibra, lui tirant comme un gémissement de douleur. Bill sut immédiatement de quoi il s’agissait, mais il réagit comme s’il craignait qu’elle se fût blessée. Il posa sa main droite sur sa cuisse en lui demandant si tout allait bien. La femme le sentit ainsi que le ralentissement de l’œuf à une vibration plus agréable. La main de Bill remonta le long de sa cuisse et toucha la peau crémeuse juste au-dessus du bas. Summer posa sa main sur celle de l’homme pour la repousser au loin. Immédiatement l’œuf se remit à vibrer plus puissamment dans sa chatte. Elle comprit que James la regardait et qu’il n’était pas content qu’elle ait repoussé la main de Bill.

Celui-ci se pencha pour lui chuchoter dans l’oreille qu’elle avait des jambes très sexy, de beaux yeux et de jolis seins. Ayant oublié de se pencher en avant, elle sentit l’œuf accélérer encore plus. Les vibrations la rapprochaient de l’orgasme mais elle pensa qu’elle ne pouvait quand même pas jouir sur le tabouret d’un bar.

Bill remit sa main sur sa cuisse. Alors elle s’inclina légèrement, son chandail s’ouvrit, laissant à l’homme une vue dégagée sur ses seins et ses mamelons durcis.

En même temps, elle sentit les mains de Mike caresser son dos et descendre vers son cul. Elle ne bougea pas, craignant la puissance de l’œuf vibrant mais celui-ci ralentit, revenant à une sensation plus facile à gérer.

Tandis que Mike passait sa main sous son chandail, elle sentit la main de Bill remonter le long de sa cuisse jusqu’à sa culotte. La main de Mike s’introduit dans sa jupe et joua avec la ficelle de son string. Son téléphone bipa à nouveau. Le message de son mari lui disait de s’excuser et de le rejoindre aux toilettes.

Il lui fallut un petit moment pour obtenir des deux hommes qu’ils retirent leurs mains baladeuses. Ils ne le firent qu’à la condition d’un baiser pour chacun. Ces baisers furent longs et profonds, les mains continuant à la tripoter.

Quand elle put enfin se libérer, elle courut presque à la rencontre de James à la porte des toilettes. Elle était si bouleversée et si excitée qu’elle s’inquiétait de perdre le contrôle.

Son mari lui demanda si elle était prête à retourner ısparta escort à l’hôtel. Elle dit tout de suite :

-OUI!

Mais il lui dit de retourner au bar, de dire à Bill et Mike qu’elle partait mais qu’ils pouvaient venir dans leur chambre passer la nuit. Summer fut stupéfaite et dit à son mari :

-Comment peux-tu me demander cela?

James répondit :

-Tu as fait un pari et tu as perdu. Je ne te demande pas de le faire mais je te l’ordonne.

La réaction de Summer à ce moment-là fut de répondre à son mari :

-Oui Monsieur.

Elle retourna au bar et murmura aux deux hommes ce que James voulait. Ils s’empressèrent de payer la note.

Dans l’ascenseur, Summer ne put savoir quelle main appartenait à quel homme. Elle avait un doigt dans sa chatte, un autre dans le cul et un troisième titillait son clitoris. Quand ils atteignirent le 24ème étage, elle était une totale épave, la jupe retroussée autour de la taille, le chandail complétement ouvert et du rouge à lèvres étalé autour de sa bouche. Elle sut qu’elle se souviendrait de cette nuit.

Alors que Summer pense à ce week-end dans sa baignoire, sa main droite se dirige lentement sous l’eau vers son sexe. Elle cherche son clitoris et frissonne lorsque son doigt trouve la cible. Avec sa main gauche, elle écarte les lèvres de sa chatte pour un meilleur accès. Tandis que l’index de sa main droite titille son clito, elle presse ses genoux contre les parois de la baignoire et sa main gauche remonte sur ses seins. Elle commence à pincer ses mamelons dures et érigés. Elle se concentre surtout sur le téton droit qui est le plus sensible. Elle sent l’orgasme monter. Alors elle frotte durement son clitoris et donne une torsion à son mamelon, la faisant ainsi jouir intensément.

Summer reste couchée dans l’eau de son bain jusqu’à ce qu’elle refroidisse. Puis, se levant, elle se regarde dans le miroir. Des bulles de savon s’accrochent à ses poils pubiens. Elle commence à se sécher et essuie les bulles sur son sexe. Elle frissonne en se rappelant l’orgasme qu’elle vient d’avoir.

Summer met son peignoir en soie et enveloppe ses cheveux mouillés dans une serviette. Elle finit de retirer son maquillage et se dirige vers la chambre quand elle aperçoit sur son ordinateur l’arrivée d’un message. Elle clique sur l’icône et l’email du site « secret » apparait. Elle le lit et pense : « Comment peut-il croire que peut-être je ne serais pas à son goût? »

Était-ce l’orgasme ou le verre de vin qu’elle venait de boire mais elle répond au message : « Maître T, C’est moi qui décide ce qui est le mieux pour moi et je n’apprécie pas la manière dont vous m’écrivez. Je crois que nous ne sommes pas compatibles. Afin que vous sachiez ce que vous allez manquer, je vais me décrire. Je suis une femme de 40 ans, 1m75, les cheveux bruns, les yeux noisette et 90C en poitrine. Je joins une image de moi afin que vous puissiez vous masturber en pensant à ce que vous venez de perdre ». Elle signe « Prof101 toujours à la recherche de sa muse ».

Ensuite, Summer accède au répertoire caché de son mari James qui contient toutes les photos du week-end. Elle avait découvert ce répertoire accidentellement. Elle sélectionne une image où on voit son reflet de dos dans un miroir. Mais alors qu’elle veut double-cliquer pour la joindre au message, elle éternue et, sans le savoir, envoie une photo où on la voit assise nue sur le meuble de la salle de bain. Sans s’être rendue compte de son erreur, elle envoie le message et éteint l’ordinateur.

Todd est surpris de recevoir une notification de courrier car il est très tard, surtout pour une femme sur un site de sexe. Il clique sur l’icône et est stupéfait de trouver la photo envoyée par Mme WAYNE, son professeur d’anglais, celle qui lui rend la vie difficile et l’oblige à rester étudier en classe pour rattraper son retard afin d’obtenir sa bourse. Cette photo la montre, complétement nue, assise sur un meuble de salle de bain, les jambes écartées, son sexe exposé en train de se baiser avec un gode noir de 20 centimètres environ. Sur son visage qui fixe l’objectif de l’appareil photo, Todd peut voir l’extase et le plaisir. Il lit le message et se dit : « Quelle salope ».

Todd réfléchit aux différentes options qui se présentent maintenant. Il devrait effacer cette photo et ne pas en faire cas. Mais une autre idée lui traverse l’esprit. Pourquoi ne pourrait-il pas profiter de la situation? Il pourrait avoir de meilleures notes, ne plus rester tard en classe et apprendre les bonnes manières à cette salope.

Todd télécharge l’image sur son ordinateur, le copie sur son smartphone et imprime deux copies.

En entrant dans son lit, il pense : demain tu es à moi petite prof ». Il regarde la photo et se masturbe jusqu’à ce qu’il éjacule. Il s’essuie, éteint la lumière et s’endort avec un sourire mauvais.

A suivre…

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Voulez vous que je continue cette histoire?????

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La dette infernale Pt. 04

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Amateur

6 Premier client

La route du retour fut un véritable calvaire pour Lucille…. Toutes ces images qui défilaient dans sa tête … Ces hommes qui ne la connaissaient pas et s’étaient servi d’elle sans le moindre scrupule… Elle qui il y a peu encore était une employée bosseuse et respectable et qui aujourd’hui n’était plus qu’un objet un vulgaire morceau de viande jeté en pâture à ces porcs…. Qui plus est n’étaient pas dans la confidence mais ne s’étaient même pas offusqué de la voir traitée ainsi ou de savoir quel était le noir dessein de son chef pour elle….

Ces pensées eurent raison de la force qu’elle montrait jusqu’à présent et elle éclata en larmes pour le reste du trajet.

Arrivée devant chez elle, Lucille reprend ses esprits mais ces images la torturent toujours… Ces flashs dans sa tête mêlés à l’odeur de semence qui émane de son corps lui donnent la nausée et elle se retient de peu de vomir…. Mais elle se reprend mascara coulant sur ses joues yeux rougis par les larmes et sort de la voiture.

Mince se dit-elle …. Son ordinateur est resté au travail dans la précipitation… Tant pis demain elle ira tôt bosser pour rattraper ça…. De toute façon plus rien n’a d’importance pour le moment….

Arrivée sur son perron, elle constate avec étonnement que la porte est entrouverte, elle entre donc, pose son sac à main dans l’entrée et marche en direction du salon.

Arrivée, elle constate que Marc s’y trouve, verre de Whisky et cigare à la main la fixant depuis un fauteuil, en jean et chemise.

– Ah tu es là rejoins moi et met toi à l’aise Lucille! (un sourire se dessine sur son visage)

Mécaniquement, Lucille enlève sa veste de tailleur et la pose sur une chaise puis avance vers lui commençant à défaire les boutons du haut de son chemisier… 1 puis deux le regard vide.

– Que fais-tu ma belle? Je ne t’ai rien demandé …

– Mais je croyais que?

– Ne crois rien va te chercher un thé et assieds toi

Machinalement, Lucille fait volte-face et sans même penser à remettre ses boutons part à la cuisine et reviens avec un thé. Elle s’assoit sur un pouf face à Marc le regardant droit dans les yeux comme pour surveiller un prédateur.

– Raconte-moi ta réunion alors ….

Lucille dans les moindres détails lui expose les faits de la réunion. Marc écoute attentivement ne perdant pas une miette, Profitant de cette accalmie pour sortir un mouchoir, l’imbiber légèrement d’eau chaude et le passer sur le visage de Lucille pour en enlever les traces de ses pleurs et le mascara.

Au début, Lucille a un mouvement de recul puis sous la douceur des gestes poursuit son histoire et se détend.

Marc n’en perd pas une miette jusqu’à la fin du récit.

– Ca alors tu m’épates! je ne pensais pas que tu y arriverais et surtout que tu arriverais à les corrompre si vite!

– Comment ça? Vous les connaissez?

– Oui ce sont des bourgeois et rentiers très traditionnalistes! Je dois tout te raconter … Je suis un ami de ton patron Mr Luzac et c’est moi qui était l’absent du jour! Pour ne pas te perturber je ne suis pas venu et j’ai bien fait! Depuis quelques temps nous pensions à utiliser des charmes féminins pour décrocher des contrats mais nous pensions que ça les rebuterait … Mais apparemment ton côté candide d’apparence les a charmé et je t’en félicite!

– C’est pour ça que vous connaissiez tous ces détails?…

– Oui me belle mais estime toi heureuse tu ne tarderas surement pas à rembourser ce qu’Alex nous doit!

A ces mots Lucille baisse la tête en signe de soumission.

– Et maintenant que dois-je faire?

– Je suis un homme de parole tu sais je t’avais promis une récompense et je compte bien m’y tenir … Tu as ton premier client cet après-midi mais je te donne ma parole que tu n’auras rien à faire! je serai là pour m’en assurer ….

– mon premier client? …

– Oui il ne te sera pas vraiment inconnu ne t’inquiète pas… tu t’habilles comme tu veux mais mets un maillot de bain, le bikini blanc que je t’ai préparé dans ta chambre et rejoins moi à la voiture. Après on ira fêter notre partenariat au restaurant et nous rentrerons nous coucher! c’est une aubaine pour toi une superbe occasion de rembourser une partie de ta dette.

Un petit sourire crispé s’affiche sur le visage de Lucille qui ne sachant pas réellement à quoi s’attendre ne répond pas et finit son thé.

Puis elle se lève et se rend dans sa chambre pendant que calmement Marc se rend à sa voiture. En arrivant, elle découvre un petit bikini comme toute très classe, mais quelque chose lui saute aux yeux, il a vraiment l’air trop petit…. Le prenant, elle se rend compte que le bas est au moins une taille trop petite, de même que les bonnets du haut…. Elle l’enfile tout de même le bas forme deus triangles, le derrière rentrant légèrement tant il est serré et le devant cache juste ses lèvres…. Les deux parties sont jointes par des nœuds rosette. Enfin que dire des deux petits triangles du haut eux aussi noués dans le cou et le dos, qui cachent environ la moitié eskişehir escort de ses seins et les serrent tellement qu’un effet pushup est désormais visible…. Avec cet ensemble, elle a l’air d’une bimbo qui n’a de cesse que d’aguicher….

Elle enfile aussitôt son jean, un débardeur et une petite veste et rejoint Marc qui l’attend de pied ferme.

– On va à l’hotel thermal à la sortie de la ville notre client nous y attend pour un cocktail au bar des bains. Donc comme je t’ai dit, je te présente, mais il te connait déjà je pense et après tout dépend de toi, moi je suis le contact seulement!

Lucille fait oui de la tête sans broncher de plus en plus, tout se mêle dans sa tête…. Mais pour une fois, elle semble pouvoir contrôler une entrevue….

Arrivés à l’hôtel, ils descendent, et Marc confie la clef de sa voiture au voiturier, puis ils entrent dans le hall, Lucille est ébahie par le Luxe de cet endroit, que des gens qui sentent l’argent à plein nez … Qui vat ‘elle bien pouvoir rencontrer dans ce lieu?

– Je vais me changer je te commande un cocktail rejoins moi au bar central!

Changée, Lucille sort et découvre une grande pièce thermale avec trois bassins et des salles de Hammam et Sauna. La piscine la plus grande, comme Marc l’a indiqué possède un bar aquatique avec des tabourets à demi immergés. Lucille se dirige vers le bassin du bar et sent comme elle l’avant pressenti tous les regards posés sur elle, sur sa tenue, mais aussi sur les marques laissées par la ceinture dans son dos…. seuls les deux hommes, ce qu’elle reconnait être Marc et un Homme noir légèrement enveloppés lui tournent le dos. Fort heureusement, se dit-elle, les bassins de nage sont pleins, mais celui du bar est relativement vide…. Seules les deux hommes et le barman s’y trouvent.

Lucille entre dans l’eau et salue les deux hommes avant de s’assoir au bar.

– Prend ma place à côté de Monsieur Lucille moi je vais aller nager!

A ces mots, Marc se lève et Lucille s’assoie, eau au-dessus du bassin et lance un petit sourire plutôt gêné à l’homme noir.

– Ah oui Lucille avant de partir une dernière chose …. Surtout ne bouge pas!

A ces mots, comme figée, Lucille se pétrifie et Marc défait d’un geste habile les deux nœuds du bas du maillot puis le tire d’un coup sec.

– Que faites-vous?

– Tu es sous l’eau, à moins de venir te coller personne verra … je le garde avec moi en garantie!

Lucille se retient mais ne dit rien et cache son malaise sous l’œil hilare de son « client » noir qui d’un ton moqueur balance

– C’est bien mieux ainsi!

Marc tout sourire repart, bas du maillot de Lucille en mains, laissant les deux à leurs affaires.

Lucille toute gênée reprend place face au comptoir puis sachant que dorénavant elle n’a d’autre choix, entame la conversation.

– Enchantée Lucille, et vous êtes?

– Diaby Etienne Diaby on s’est déjà parlé il me semble non?

Tout ne fait qu’un tour dans la tête de Lucille ce Mr Diaby,…. Celui du mail étonnement égaré…

– Heuuu oui effectivement ravie de vous rencontrer en chair et en os!

L’homme d’un petit air moqueur répond

– Et moi donc! (la toisant de haut en bas insistant sur le bas) Je dois donc négocier avec la fameuse Lucille qui m’a fait perdre quelques milliers d’euros…. Pas sûr que j’ai vraiment envie de confier ma nouvelle flotte à vos services ….

– Cette erreur était je vous l’accorde inadmissible, mais nous offrons et de loin les meilleurs services je vous l’assure! et d’ailleurs l’offre que nous vous avions fait par la suite a dû compenser les pertes

Si Lucille n’avait pas été dans cette tenue et cette position de faiblesse, son discours aurait été des plus convaincants et son ton très professionnel ajoutait à l’ironie de la situation.

– Mademoiselle en moyenne mes avions cloués au sol me coûtaient 21 mille euros par jour chacun… 3 avions, trois semaines de retard sur le traitement de mon mail… je vous la fait simple …. Au bas mot nous sommes sur un manque à gagner au bas mot de 1,3 millions… Nous sommes loin du compte et je dirai même que je ne compte pas la dégradation de notre image!

Lucille prend quelques gorgées de son cocktail et poursuit

– De combien de nouveaux avions disposez-vous?

– 5 avions de ligne

Lucille a bien étudié les dossiers et les tarifs pour être prête en négociation

– 5 avions, nous serions sur un coup d’entretien sur l’année, service inclus de 500 mille euros ce qui inclus les techniciens, les assurances et les livraisons de pièces!

L’homme à ces mots passe une main sur l’intérieur de la cuisse de Lucille et caresse et palpe délicatement

– moi écoutez l’offre et le sérieux de la concurrence m’attire plus … A moins d’un bonus de signature! A ce que j’ai cru comprendre et voir, cela est plus ou moins prévu non?

Docilement, Lucille ne bouge pas et se laisse faire par l’homme qui s’approche de plus en plus de son entre jambes sous l’eau.

Intérieurement, Lucille gaziantep escort réfléchit, cela lui coûte, mais 10% de cette somme …. Cela rembourserait la moitié des dettes d’Alex…. Elle se devait de le faire pour sauver son homme et éponger la dette…. Et bon en attendant tant d’hommes profitaient de ses charmes… il fallait que cela cesse et vite!

– A la signature seulement alors …

– Bien entendu ma belle, je suis disponible demain encore! Après je signerai ailleurs si tu ne t’es pas présentée!

– Je viendrai demain sans faute monsieur!

– Demain, pourquoi pas maintenant et demain?

– Ce n’était pas l’accord ….

– Je suis le client il me semble … enfin tant pis si tu ne veux pas de cette nouvelle flotte!

Lucille baisse la tête à ces mots ce qui laisse Mr Diaby comprendre qu’il sort vainqueur de ce duel!

Rejoins-moi dans ma suite la 205 au fond du couloir! en maillot de bain ne perds pas de temps à te rhabiller ça ne servira à rien …

L’homme noir se lève sort de l’eau et laisse Lucille qui vainement cherche Marc et son bas de maillot dans l’eau. Quand elle l’aperçoit, ce dernier ne répond pas à ses signes, mais au contraire lui fait signe de le rejoindre….

Lucille le regarde incrédule… il est avec 2 autres hommes dans le jacuzzi, il n’est pas sérieux?!

Marc impatient lui jette un regard noir qui fait remonter en Lucille le souvenir des coups de ceinturon…. Elle sort le plus discrètement de l’eau. Fort heureusement, il ne lui reste que 10-20 mètres à parcourir hors de l’eau. Ce qu’elle fait puis arrive face à marc assis plaisantant avec les hommes.

– Regardez là… quand je vous dis qu’elle aime s’exhiber!!!

Les hommes se moquent mais leur regard est fixé sur le bas du corps nu de Lucille.

Marc lui jette son maillot

-Allez remet moi ça…. Tu me fais honte à toujours l’enlever! Vaque à tes occupations on se rejoint ici quand tu auras fini!

Lucille s’empresse d’enfiler son bas et le renouer et se dirige vers la sortie après s’être essuyée.

Elle prend ensuite l’ascenseur jusqu’au deuxième et frappe à la 205.

– oui?

– C’est Lucille Mr!

– Ah c’est toi!

La porte s’ouvre presque immédiatement et l’homme dont elle remarque dorénavant la taille se présente face à elle en caleçon. Lucille n’est pas petite du haut de ses 1.60 mètres, elle est dans la moyenne, mais cet homme, lui semble comment dire…. être un colosse il doit bien mesurer 1m95-2 mètre et très carré même si il a un peu de ventre ses épaules sont larges et ses bras immenses! Lucille a un moment de blocage mais finit par avancer dans l’entrée.

L’homme la toise du regard puis la stoppe.

– Attends un peu… Laisse ton maillot dehors, il ne te servira à rien ici!

A ces mots, la porte toujours grande ouverte, il la plaque face au mur et habilement tire sur chacun des nœuds de sa culotte la laissant tomber à ses pieds puis vient le tour de son haut qu’il retire de la même façon.

D’un coup de pied, il les repousse dans le couloir sous le regard incrédule de Lucille qui n’en croit pas ses yeux.

– Voilà tu es fin prête pour notre entrevue!

A ces mots, Lucille toujours face au mur, il lui malaxe les seins sans douceur comme pour tâter des fruits avant de les acheter… encore que l’on serait plus doux avec des fruits. Lucille ressent de la douleur mais ne bronche pas. Elle est effarée de voir la taille de ces mains dans lesquelles chacun des seins disparait intégralement.

– Aujourd’hui je vais t’apprendre ce qu’il coûte de faire des erreurs…. Et demain on négociera!

Lucille qui n’a d’autre choix acquiesce d’un signe de tête.

– Bien va sur le lit! sur le ventre! j’arrive!

Lucille entre donc nue et s’allonge sur le lit pendant que l’homme verrouille la porte.

L’homme entre à son tour lui jette un masque de nuit .

– Tiens mets ça sur tes yeux!

Lucille l’enfile, l’homme sort des menottes et lui attache les mains dans le dos, puis il place deux gros oreillers sous le bas ventre de Lucille pour surélever son bassin et de deux menottes à la chaîne plus longues, attache ses chevilles aux pieds du lit. Cela rend la position très inconfortable et pire encore, Lucille ne peut plus ni bouger, ni voir ce qui se passe.

– 1 Heure aujourd’hui 1 Heure demain si tu es obéissante, le contrat est pour toi! sinon, adieux le contrat…. D’ailleurs oublie pas de ma l’apporter demain!

Lucille hoche de la tête et repose sa joue contre le matelas son cœur battant à 200 à l’heure sous l’effet du stress … Elle qui pensait réellement avoir sa récompense… Pas de rapport sexuel… Marc s’était bien moqué de lui!

Tout à coup ses pensées se stoppèrent sentant de grosses mains calleuses caresser et malaxer ses fesses.

– Tu as vraiment un bon cul pour une petite blonde! il me donne un tas d’idées pour demain! bien blanc et bombé et des bonnes cuisses un régal!

A ces mots elle sent la deuxième main s’abattre violemment sur son postérieur lui giresun escort arrachant un cri de douleur. Elle sent sa peau la bruler. Avant qu’elle n’ait pu s’en remettre, un revers s’abat sur se deuxième fesses lui faisant atrocement mal. L’homme rit doucement et la caresse de nouveau.

– Il est assez gros pour bien remuer sous les fessées mais pas trop le rendant très agréable à la vue et au toucher!

Lucille entend les pas du colosse contourner le lit et le matelas s’affaisser. Une odeur se fait sentir et se rapproche de son visage. L’homme a sorti son sexe elle en est sure… Cela n’y manque pas, elle sent son gland se présenter contre ses lèvres. Mécaniquement elle ouvre la bouche pour accepter le pénis de son futur client qui ne se fait pas prier pour s’y enfoncer.

Bien sur sa bouche est assez grande, mais de peu pour permettre à ce gland monstrueux de s’y introduire… Même le sexe de Marc en bouche ne lui faisait pas cet effet elle sent sa mâchoire distendue quand l’homme commence les vas et viens à l’intérieur.

Les larmes de Lucille dues à la douleur des fessées sont bientôt rejointes par les traits de bave de cette dernière incapable d’avaler sa salive tant sa bouche est écartelés… elle ressent la même douleur à sa mâchoire, à ses commissures que lorsque chez le dentiste, elle avait eu cet sorte d’objet pour empêcher le patient de refermer sa bouche… cette sensation était horrible!

Après quelques minutes de vas et viens, Lucille sent Mr Diaby retirer enfin son énorme engin et le matelas reprendre sa forme d’origine. Lucille reprend son souffle et ses esprits avant de sentir un souffle chaud entre ses cuisses.

Lucille n’était pas coutumière du fait…. Tous les préliminaires la révulsaient et elle ne s’y prêtait que très rarement avec Alex… Non pas qu’il ne veuille pas, mais pour elle, le contact entre une bouche et un sexe était sale…

Toujours est-il qu’elle sentit une langue passer dans sa fente, les deux mains calleuses posées sur ses fesses, les pousses écartant ses lèvres. La langue allait et venait habilement jusqu’à atteindre le clitoris de lucille. A ce moment, la pression de la langue ainsi que ses petits mouvements se firent plus insistants?

La sensation que ressentit lucille après tant de souffrances fut incomparable.

Bien sûr l’acte la révulsait toujours autant, le contexte peut-être encore plus, mais son corps semblait penser autrement et son ventre se noua, sa respiration se fit plus profonde.

Bientôt cette sensation de contraction se déploya dans tout le corps, et, contre toute attente et toute envie, Lucille se mit à gémir et de plus en plus fort.

Tout est maintenant hors de contrôle pour Lucille qui ne peut empêcher son corps de se contracter de plus en plus. Bien sûr elle tente en vain de retenir ses gémissements mais rien n’y fait… son corps meurtri semble apprécier ce moment de douceur intime.

C’est alors que tout son corps se crispe et qu’un orgasme foudroie Lucille qui retombe la tête dans le matelas au moment où la langue cesse son exploration.

– Tu es prête maintenant ma belle!

Lucille sent le gland presser contre son vagin, jamais elle n’aurait pu imaginer que tel engin pourrait rentrer en elle mais pourtant, sous l’effet lubrificateur de la salive et forcément de sa mouille dû à l’orgasme, centimètre par centimètre, celui-ci entre en elle entièrement.

L’homme commence alors de puissants vas et viens dans une Lucille épuisée par son précédent orgasme et incapable de bouger.

La douleur se fait ressentir, mais le plaisir aussi le tout mêlé à de la honte de faire la fille de joie pour un contrat et la colère de sa réaction, de sa situation… tout se mélange dans sa tête la brisant de plus en plus chaque jour depuis cette fameuse rencontre avec Marc…. Elle est à deux doigts de lâcher mentalement, mais cela ferait trop plaisir à ses harceleurs…

Lucille encaisse donc les coups de boutoir du colosse noir essayant de se vider la tête.

Par moments, elle sent un gros doigt forcer l’entrée de son œillet anal, entrer de plus en plus et ressortir, ce qui ajoute à la douleur. Mais elle ne dit rien, incapable de quelque réaction que ce soit.

Le colosse s’allonge de tout son long sur son dos, malaxe ses seins et continue à la labourer comme un bourrin …

Soudain dans un râle roque il jouit et se vide en elle, puis reste quelques minutes allongé sur son dos, l’enfonçant dans le matelas rendant sa respiration très difficile.

Il se relève, lui tapote ses fesses rougies et la détache.

– Va te doucher et rejoins ton patron! ton heure est passée!

Lucille se lève et file titubante à la salle de bain. Elle est plus éreintée que jamais, mais y parvient et tente tant bien que mal, sous la douche de faire sortir le sperm de Mr Diaby.

– Allez c’est fini sors j’ai d’autres chats à fouetter!

Lucille se sèche et sort du la salle de bain. Il l’attrape violemment, et la met à la porte la jetant dans le couloir.

Après avoir heurté le mur d’en face de son don, Lucille s’écroule de fatigue, recroquevillée sur elle-même en position fœtale, son maillot dans la main et s’assoupie.

Quand elle revient à elle, elle se rend compte que des gens ont pu la voir nue dans le couloir…. Elle se relève, enfile son maillot et se dirige vers le rez-de-chaussée pour rejoindre Marc.

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3

Je m’assis sur le lit, observant les miroirs dans la chambre. Elise suivit mon regard et rougit. Elle restait debout devant moi, la tête légèrement baissée. Elle savait ce qui allait se passer et ne pouvait rien faire contre…

– Enfile quelque chose de plus sexy, lui intimais-je.

Elise resta interdite. Je me levai et vint me placer juste devant elle.

– Mettons les choses au point tout de suite. Là, dans cette chambre, tu obéis au moindre de mes désirs. Au doigt et à l’œil. Comme une bonne petite chienne bien dressée… (elle rougit. De honte? de colère?) Si je te dis, mets toi à quatre pattes sur le lit et écarte toi le cul, dans la seconde, je veux voir ton cul tendu vers moi, et tes mains qui écartent tes fesses… Tu comprends?

Elise gardait la tête baissée. Il se passa une seconde avant qu’elle hoche la tête en signe d’assentiment.

– Je n’ai pas entendu…

– Oui, murmura t-elle.

Je passais mes mains sous son pull, m’amusant à caresser son énorme poitrine.

– Oui, qui?

Elle me regarda sans comprendre. A ce moment précis, je lui pinçai les tétons. Pas trop fort. Jusqu’elle comprenne. Elle ne cherchait même pas à se dérober.

– Oui, monsieur.

Mon sourire victorieux lui fit baisser les yeux.

– Dis moi petite salope, tu as sûrement une tenue que tu mets pour exciter ton mari?

– Oui monsieur.

– Eh bien qu’est-ce que tu attends…? Déshabille-toi…

Je me laissai retomber sur le lit en la regardant. Elise s’écarta vers l’armoire et, me tournant le dos, ota son pull. Elle déboutonna son pantalon et le retira. Elle portait une culotte blanche et un soutien gorge assorti. Elle ouvrit un tiroir et en sortit une tenue noire.

– Pas la peine pour le soutif, fis-je, j’ai envie de voir tes grosses loches qui se balancent pendant que je te défoncerai la chatte…

Elise baissa un peu plus la tête. Pendant qu’elle se changeait, je m’amusai à la mater sous toutes les coutures. Lorsqu’elle me fit face, elle portait une culotte noire transparente et des bas auto-fixant.

– Voilà, tu ressembles déjà plus à une pute comme çà. Enfile ça, fis en lui jetant un petit masque noir qui allait lui couvrir les yeux. Et dépêche! A moins que tu ne veuilles que ton mari ne nous trouve ici.

Elise me regarda d’un air mauvais et enfila le masque. Elle ne voyait pus rien. Je sortis rapidement mon appareil téléphonique et enclenchai silencieusement la caméra. Je posai le elazığ escort téléphone à l’endroit que Karl m’avait indiqué. Il ne louperait rien de la séance.

Je me levai et commençai à mordiller les tétons d’Elise. Sa respiration se fit immédiatement plus lourde.

– Tu sais pourquoi tu vas adorer que je te baise? Parce que tu as une excuse… Tu aimes ton mari, tu es fidèle… Mais là, ce n’est pas de ta faute… Tu n’as pas le choix… Tu vas pouvoir jouir comme une trainée sans te sentir coupable…

Je baissai sa culotte.

– Mets les mains dans le dos. Et écarte les jambes.

Elise ne s’exécuta pas. Je la pris par les cheveux et la giflai. Je la senti partir en arrière, mais je la ramenai contre moi.

– Une pute ne fait pas répéter. Elle obéit. C’est compris?

– Oui… murmura t’elle.

Nouvelle gifle.

– Oui, monsieur, reprit-elle d’elle-même.

– Bien. Tu sais quoi? Je vais te laisser une chance. Si tu ne jouis pas dans les 10 minutes, alors je m’en vais et te donnerai la vidéo et l’original… Tu n’entendras plus jamais parler de moi…

Je la sentis se reprendre.

– Et si je jouis? fit-elle dans un souffle

– D’abord, tu devras demander l’autorisation pour prendre ton pied… Si tu jouis, ça prouvera simplement que tu es une grosse chienne en chaleur, prête à tout pour de la queue…

J’aimais l’insulter. A voir sa poitrine se soulever, je savais qu’elle vivait un moment intense.

– Ecarte tes jambes… (elle s’exécuta) Hum cette chatte rasée de près…

Je mis deux doigts devant sa bouche.

– Mouille les bien…

Elise entrouvrit la bouche et accueillit mes deux doigts en enroulant sa langue. Elle les massait doucement.

– Mouille les plus…

Elise continuait de lécher mes doigts. Je les retirai de sa bouche et écartant ses lèvres rasées, m’amusais à promener mes doigts humides sur sa chatte. Exactement le même traitement qu’elle avait reçu, droguée. Immédiatement, elle respira plus lourdement. Je fis passer ma langue dans son coup, descendant jusqu’à son téton que je mis à mordiller.

Je sentais de la mouille s’écouler de ses lèvres.

– Allons, ne me dis pas que tu vas déjà jouir…?

– N..Non, répondit-elle.

Je la giflai de la main gauche. Au même moment j’enfonçais mes doigts dans sa chatte rasée. Elle étouffa un cri de surprise. Tout en la maintenant contre moi, je la branlais bien à fond.

Ma erzincan escort langue courait autour de ses tétons.

Elle aimait ça.

– Je sais que tu es une bonne petite salope… lui murmurais-je à l’oreille. Combien de temps tu vas tenir?

– Je… Je ne sais… pas… (j’arrêtai de la branler) Monsieur, ajouta t’elle immédiatement.

– C’est mieux. Embrasse-moi…

Elle approcha de moi, et entrouvrit la bouche. Je vis sa langue sortir, à la recherche de la mienne. Ses mains voulurent m’enlacer, mais je la rappelai immédiatement à l’ordre.

– Mains dans le dos!

Elle s’exécuta.

– J’aime beaucoup comment tu joues avec ta langue.

Mes mouvements dans sa chatte étaient de plus en plus profonds. J’avais l’impression que j’aurais pu y entrer ma main. Un doigt supplémentaire était suffisant pour le moment. Elise avait du mal à se tenir debout.

Je mordillai son téton un peu plus fort, passant de ses seins à sa bouche tout en la tenant fortement par les cheveux.

-M …Monsieur… fit-elle.

Je savais ce qu’elle allait dire.

Je ne répondis pas, continuant à la branler, m’assurant du coin de l’œil que la caméra du téléphone ne ratait pas une miette du spectacle.

-Monsieur, fit-elle de nouveau, plus insistante.

– Tu as quelque chose à me demander?

Elle haletait. Mes doigts étaient recouverts de mouille.

– Oui… Je voudrais… ah…Je voudrais jouir…

– Ce n’est pas comme çà qu’une chienne demande… Il faut supplier son maître…

Je serrai son clito entre mes doigts, lui arrachant un petit cri avant de replonger dans sa chatte béante…

– S’il vous plait, Monsieur… Je… je vous en supplie…

– Je ne sais pas, fis-je sadiquement. La promesse d’une bonne pipe m’aiderait à te dire oui.

De ma main libre, j’enfonçai plusieurs doigts ans sa bouche. Elle ne pouvait plus parler, mais faisait oui de la tête. Je retirai mes doigts.

– Je vous su… je vous sucerai. (comme je ne disais rien) Je vous…sucerai… bien à fond… Je m’appliquerai…

– C’est bon ma pute. Jouis… Vas-y!

Je la serrai contre moi et la pénétrai de mes doigts le plus violemment possible. Elle me saisit, mais je la laissai faire. Ses soupirs se firent très forts, et elle se mit à crier alors que je la défonçai avec mes doigts tout en l’insultant.

– C’est bon, petite chiennasse… t’es une vraie pute en chaleur. Tu erzurum escort fous ta mouille partout…

Au moment où je la sentis redescendre, je calmais mes mouvements sans arrêter complètement.

– Maintenant, tu vas abaisser mon pantalon…

Elle savait ce qui allait suivre. Je continuai de la branler doucement pour la maintenir dans un réel état d’excitation. Ses doigts s’activèrent sur ma ceinture. Elle fit sauter mes boutons rapidement. Je savais qu’elle sentait mon erection. Cela l’excita davantage. Elle tira sur le pantalon et le caleçon.

– Une pute suce à genoux…

Elle se laissa tomber sur les genoux tandis que, pantalon baissé, je m’agenouillais sur le bord du lit.

Je pris ma queue dans ma main droite et m’enfonçai dans sa bouche. Je sentis sa langue chaude s’enrouler autour de ma bite. D’elle-même , elle tenait d’enfoncer le membre le plus loin possible tout en me branlant.

Je lui pinçai les tétons.

– Mains dans le dos!

Elle s’exécuta, continuant ses mouvements de haut en bas. Je pris ma queue et la maintint quelques instants hors de sa bouche. La regarder, à genoux, bouche ouverte, attendant que je lui baise la bouche était un vrai régal.

-Lèche mes couilles!

Elle passa sa langue sur mon sexe rasé tandis que je me branlais doucement en la regardant. J’avais beaucoup de projets pour elle…

Je lui saisis la nuque et m’enfonçais de nouveau dans sa bouche.

– Je veux sentir ta langue!

Elle m’obéit immédiatement. Je me branlais dans sa bouche. Je voulais qu’elle se sente utilisée, soumise.

– Tu es une vraie grosse pute!!! Avale!

Je me mis à jouir dans sa bouche. De longues giclées que je lui envoyais directement au fond de la gorge. Je l’écoutais avaler difficilement. Je la repoussai : elle était à genoux, la bouche tuméfiée par la pipe qu’elle venait de me prodiguer!

– Mets-toi à quatre pattes sur le lit…

J’allais passer à la suite du plan… Je saisis mon téléphone et composai un numéro. Elise releva la tête. Je lui giflai le cul.

– Baisse la tête! (elle s’exécuta) Mohammed? Vien nous rejoindre… La pute est prête.

Je rabaissais le clapet du téléphone. Elise voulut se redresser mais je la plaquais contre le lit :

– Écoute-moi bien : tu m’appartiens pendant 90 minutes! Si tu refuses, je me tire, mais tous tes proches te verront sucer une queue et tromper ton mec… c’est ce que tu veux?

Elise ne répondait pas. Elle écoutait le bruit de la porte d’entrée qui claque.

– Tu n’as pas le choix… fis-je en passant ma main dans sa chatte. Tu es trempée… je m’en doutais!

Elise écoutait les pas qui approchaient.

– Entre Mohammed…

“a suivre”

les commentaires sont les bienvenus…

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Alles begann mit dem Ansatz etwas Gutes für meinen Körper und Seele zu tun. Ich, das heißt Carola, 18 Jahre alt, zierliche 165 groß, blondes gelocktes Haar bis zu den Schulterblättern, grünen Augen und ein Körper voller Sommersprossen, stand gerade mitten in der Vorbereitung meiner letzte Abi-Prüfungen und hatte eine mehr oder weniger komplizierte Beziehung zu beendet. Die letzten Wochen haben mich folglich viel Kraft und Zeit gekostet, sodass ich mich nicht nur ausgelaugt gefühlt habe, sondern mein Körper auch danach aussah. Ich fühlte mich schlaff, lustlos und ein wenig aufgedunsen. Alles Attribute, welche ich auf keinen Fall mit mir oder gar meinem jungen Körper in Verbindung bringen wollte. Ich erinnerte mich nur zu gern an meinen sportlichen und vor kraft strotzenden Körper, welcher mit leichtem Sixpack und einem Po zum „Nüsse knacken” jedem Kerl den Kopf verdrehte. Um diesen Umstand wieder zu erreichen oder zumindest auf ein für mich normales Niveau zu bringen beschloss ich den Weg zur Schule, immerhin knapp 5km, täglich mit dem Fahrrad zurückzulegen und am Abend meine ältere Schwester Hanna (22 Jahre alt) zum Tanztraining zu begleiten.

Anfänglich viel mir der ungewohnt viele Sport recht schwer und ich merkte, dass ich meinem zierlichen Körper doch einiges abverlangte. Jedoch zeigten sich recht schnell erste Erfolge und auch meine geistige Fitness nahm spürbar zu. Ich fühlte mich Tag für Tag fitter und begehrenswerter und fing langsam aber sicher wieder an meinen Körper sexy und aufreizend zu finden. Auch kurze Rückschläge, wie auftretender Muskelkater oder der berühmte Kampf gegen den inneren Schweinehund, konnten mein Bestreben nicht brechen. Aufgrund der ungewohnten körperlichen Belastung, besonders im Schritt und am Po, stieg ich jedoch von meinen sonst bevorzugten Hotpants (scheuerte einfach zu sehr auf Dauer) auf eine bis dato eher ungenutzte Form, den Stringtanga, um. Hier lies ich mich durch meine ältere Schwester beraten und in einem Anflug ardahan escort von weiblichem Shoppingwahn kauften wir mir einen bunten Straus an unterschiedlichsten Tangas. Nach kurzer Eingewöhnung genoss ich die Vorteile die so ein knapper Tanga mit sich brachte zunehmend. Besonders die minimalistisch geschnittenen Modelle, sprich wo eigentlich nur ein dicker Faden meine Rosette und ein zierliches Dreieck meine Scham bedeckten, ließen mich das Radeln noch mehr genießen. Nichts scheuerte mehr und durch den straff und eng anliegenden Stoff kam es auch zu der ein oder anderen Reibung in meinem Schritt und meiner bis dato unbekannt empfindlichen Rosette.

Da mein Körper nun die gewünschte Sportlichkeit wiedererlangt hatte und es ohnehin sehr warm war, wurde mein Outfit entsprechend luftig. Die anfänglich getragenen Jeans und Pullis blieben im Schrank und getragen wurde nun meist ein enges Top oder Bluse kombiniert mit einem Mini oder einer frechen Jeans-Hotpants. Zusätzlich beschloss ich aufgrund meiner kleinen, festen Brüste selten einen BH unter den Tops zu tragen. Besonders am Morgen, wenn die Luft noch etwas kühler war, genoss ich den Fahrtwind, welcher sich unter meinem luftigen Rock sammelte und direkt in meinem Schoss zu Verwirbelungen sorgte. Dieses angenehme Gefühl umschloss meinen gesamten Körper und ich spürte wie mein gesamter Körper den Luftzug durch meinen Schoß genoss. Ich bekam eine Gänsehaut, welche durch ein wohliges Kribbeln im Bauch begleitet wurde. Zusätzlich richteten sich meine zarten knospen an meinen leider recht kleinen aber sehr harten Brüsten merklich auf und erzeugten ein Gefühl und unerträglicher Spannung. Zu gern hätte ich sie sofort mit meinen Fingern berührt, sie gestreichelt und langsam aber sicher massiert. Wäre dann wahrscheinlich in ein leichtes Drücken und Zupfen, bis hin zu einem ordentlichen Zwirbeln meiner kleinen Freunde übergegangen. Man kann sich vorstellen, dass meine Gedanken für erhebliche Feuchtigkeitsbildung artvin escort in meinem Schoß und Ablenkung in meinem Kopf führten. Ich strampelte somit, von meinem nach Berührung schreienden Körper getrieben, wie eine Besessene die Straße herunter und beachtete in meinem Rausch kaum noch die Umwelt um mich herum. Durch ein lautes Krachen wurde ich schlagartig aus meinem erotischen Tagtraum mit Fahrtwindunterstützung herausgerissen. Wie in Zeitlupe sah ich mich von meinem Sattel in Richtung Bordstein fliegen. Erst kurz nach der wirklich sehr schmerzvollen Landung beschleunigte sich das Leben um mich herum und ich spürte ein ordentliches Brennen am Oberschenkel, Knie und meinen Unterarmen. Vom Schmerz abgelenkt, hatte ich noch gar nicht verinnerlicht was da gerade passiert ist. Erst durch ein zärtliches Streicheln auf meiner Schulter nahm ich von meinem Unfallpartner und der Gesamtsituation Kenntnis.

„Hey Kleine, alles klar bei dir?” Ich ortete die helle Frauenstimme und drehte mich langsam zu ihr hin. „Da hab ich dich wohl ganz schön erwischt. Ich war gerade abgelenkt, als du mir wie eine Wahnsinnige gegen mein Rad gedonnert bist! Wie ich sehe ist dir und deinem Fahrrad jedoch deutlich mehr passiert als mir.” Ich schaute an mir runter, erkannte die blutigen Schrammen. Dann schaute ich weiter zu meinem Fahrrad…oder das was es einmal war und anschließend zu der bislang noch fremden Frau hinüber. Es handelte sich um eine durch ordentliche, weibliche Proportionen geprägte Frau mittleren Alters. Sie hatte ein freundliches Lächeln, welches mit ihren braunen Augen und schwarzen Haaren optimal harmonierte. Ihr sportlicher Körper war durch ein luftiges Sommerkleid bedeckt, sodass ich leicht die großen Brüste und das pralle aber dennoch sehr sportliche Becken erkennen konnte. „Ich bin Jasmin” sprach sie und hielt mir ihre Hand hin… „komm ich helf dir hoch”. Nachdem ich wieder auf den Beinen war und meine Kleidung ein wenig zu Recht bodrum escort gerückt hatte, bemerkte ich, dass meine Nippel trotz der anhaltenden Schmerzen immer noch steinhart den Stoff meines Tops ausbeulten. Auch Jasmin schien dieser Umstand nicht verborgen zu bleiben, denn mit einem frechen Grinsen im Gesicht, lachte sie mir ein „na Kleine, deinem Körper scheinen die Schmerzen ja nix auszumachen…ganz im Gegenteil, er erfreut sich scheinbar sogar dran!” Ich wurde schlagartig knallrot im Gesicht und konnte mir selbst nicht erklären, warum mein Körper dermaßen unangebracht reagierte.

Jasmin ging gar nicht auf meine roten backen ein und plapperte drauf los… „Du siehst ja vollkommen demoliert aus. Wenn du magst kannst du dich bei mir ein wenig frisch machen. Ich wohn hier nur ein paar Straßen um die Ecke.” Da sie mir sehr symphytisch war und meine Wunden doch ein wenig Reinigung vertragen konnten, beschloss ich mit ihr zu gehen. Auf dem Weg zu ihrem Haus erklärte sie mir, dass sie 36 war, als Sekretärin in einem großen Betrieb arbeitet und eine Tochter in meinem Alter alleine großzog. Noch während sie mir einen Schwung aus ihrem Leben erzählte betrachtete ich sie genauer. Sie war für ihr Alter in absoluter Topform. Durch das eng anliegende Kleid konnte ich kein Gramm Fett, sondern nur durchtrainiertes Fleisch erkennen. Besonders ihr großer Busen faszinierte mich sehr. Er schien wie an Fäden gehalten, dem ordentlichen Gewicht zu trotzen. Wenn der Weg etwas enger wurde, ging sie ein paar Meter voraus und präsentierte mir so, eher unaufdringlich, ihren knackigen und wohlgeformten Po. Auch wenn dieser sicherlich knapp 2 Nummern größer war als meiner schien er sehr fest und durchtrainiert zu sein. Da ich bisher eigentlich kein großes Interesse an fremden Frauen hatte wunderte ich mich immer noch über mein großes Interesse an ihrem Körper. Ich ertappte mich selbst dabei, dass ich mich fragte was sie wohl unter diesem Kleid tragen würde…ob sie auch auf minimalistische Tangas, raffinierte Pants oder gar wilde Bodys stehen würde….ob sie eher Push-up Bh`s trägt oder evtl. mehr auf Sporttops steht…sogar die Überlegung ob sie wie ich eher halterlose Strümpfe oder gar verruchte Strapse bevorzugt kam mir in meinen Kopf.

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Blonde

Warning: This is a spanking/humiliation/lezdom fetish story. All characters are at least 18 years or older. If you’re new to this story, it’s about a hardworking woman and her co-workers being mistreated by their young boss, who was only given the job because her daddy is the CEO. I hope you enjoy!

Chapter 9

Now, out of Trish’s office and back in my sad reality where I didn’t have one of her precious titties in my mouth, I attempted to move on with my day without absolutely blowing the fuck up at Mary. She and I could hardly even look at each other, and we definitely weren’t on speaking terms after she so rudely interrupted my nipple sucking session with our boss.

Even worse, that tall brunette bitch just had the interject herself in my new hobby. I never liked sharing Trish with those sluts in my office, but now having to share her breasts with a woman, who truly didn’t care for her the way I did, had me red with anger.

Of course I was embarrassed about some of the other things that happened as well. Trish had straight up played with our pussies and even rubbed our ass holes a little.

We each sat on one of her dainty knees like we were little children fighting over a new toy. However, none of that really mattered to me, because this was war! What Mary and I were fighting over went beyond the humiliating acts that our wonderful boss did to us.

For the next several hours, Trish was out of the office, enjoying her extended lunch with one of her rich friends. This left Mary and me practically alone in the office. Oh, yeah… Sally was there too… like she mattered at all…

Mary and I weren’t speaking to each other, but there was obvious tension in the room. Her face was red with embarrassment, while my face was red with fury.

In the grand scheme of things, I fully recognized that a mature person would have kept her mouth shut until cooler heads prevailed. From the outside, this was an understandable competition. Mary and I both wanted to be Trish’s assistant. Of course, there was going to be some tension between us.

Unfortunately, a mature person was not what I chose to be. This was a battle for my precious Trish, and I was willing to use guerilla warfare to get my prize. However, until I could figure out exactly what guerilla warfare meant, I decided to attack her with pettiness instead.

The three of us somehow ended up in the break room at the same time later in the day. After successfully holding myself back from making any comments about my work-rival, the fire burning inside finally pushed me past my limits of maturity.

I could no longer keep my mouth shut!

While Sally was making herself a cup of coffee, mixing sugar and cream in it just the way she liked, I practically shouted, “I hope you don’t enjoy that coffee too much, Sally. If you do, Mary might walk over there and drink out of the same cup.”

While Sally stood there confused, Mary slammed both of her hands on the table before glaring over at me. “Do you think you’re the only one that matters around here?!” she growled, leaving our annoying bystander completely wide-eyed. “You don’t even like coffee! You were just hiding it from me because you thought it gave you an advantage!”

Sally looked back and forth between the both of us. “What? The coffee machine has always been here… I’ve seen both of you use it…”

“I do like coffee, you jealous bitch!” I shot back, getting right in Mary’s face. We glared into each other’s eyes as I continued, “You’re the one who doesn’t like coffee! You just decided to take a sip because you saw how much I enjoyed it!”

Still confused, Sally quietly expressed, “You two seriously just started drinking coffee? I swear I’ve seen both of you drinking coffee like every day…”

“Jealous?!” Mary persisted in the midst of our vicious battle. “Why would I be jealous?! Neither of us actually like coffee! We’re just doing this to gain an advantage!”

“That’s where you’re wrong!” I shot back proudly. In an attempt to clarify how different we were, I further explained, “Unlike you, I actually do like coffee. As a matter of fact… I think I’m in love with coffee!”

Taking a sip from her drink, the annoying brat, Sally, interjected herself by smiling and saying, “I love coffee too!”

“No, you don’t!” I shouted, turning my glare towards the smaller brunette. “You don’t know the first goddamn thing about coffee!”

Somehow, Mary joined my side in the berating of the goody two shoes. Though we were at each other’s throats, we could always agree that Sally was just an annoying bitch that wasn’t on our level.

“This isn’t actually about coffee, you little dummy,” Mary said, forcing Sally to step back out of intimidation. “We’re basically talking about something that happened with Trish, but I’m not going to explain it to you because, one, you’re not mature enough to understand what we’re talking about, and two, you’re a complete non-factor in the promotion, so you really don’t matter to us anyway.”

As harsh as it was, adana escort I had to back Mary up on her arguments. It was all true; Sally wasn’t a factor in this promotion. Despite how sad the goody-two-shoes looked, I doubled down on Mary’s arguments and added, “Sorry, sweetie, but we’re like way ahead of you in this race.”

Her eyes started to water as she grew defensive. “No, it’s a three woman race! I might get the promotion…”

“Uh, no, you’re not,” I replied before Mary and I both laughed at her. “Hate to break it to you, sweetie, but there’s a clear top two, and it’s Mary and me… most likely with me in first place…”

Once again, Mary turned her attention towards me, dismissing our little co-worker. In truth, Sally actually walked off due to our rudeness, but we didn’t notice. We were in the midst of our own heated battle, so we were hardly aware of anything going on around us.

“There you go again!” my co-worker yelled at me, showing her disdain for me with her eyes. “You always have a little comment, making yourself look better than me! You were even trying to suck her tits better than I was!”

“So what?! You don’t have to stick your nose in my business if you don’t like it! And yes, I do suck titties better than you do!”

“You are really starting to piss me off, Rebecca! I thought I was competitive! I can’t believe the lengths you’re going to just to get that position!”

“I don’t see you taking a different approach!” I yelled back, filled with jealousy over sharing Trish’s breasts with her. “You’re trying pretty damn hard to stop me from getting that promotion to be Trish’s pet!”

Mary paused for a moment and blinked several times before coming back with an enraged response. “Trish’s pet?! You mean her assistant?!”

“Yeah… that’s what I meant!” I argued.

Honestly, I didn’t know why I said Trish’s pet in the moment. It just sort of rolled off the tongue naturally… And besides, calling myself her pet sounded pretty nice in my head…

Pulling her own hair, Mary showed her deep frustration for me by letting out a groan. “I swear, I don’t even know who you are anymore! I’m starting to think this has nothing to do with money! You don’t even talk about that rental property anymore!”

Suddenly, I raised my eyebrows in confusion as I stared at my competitive rival. “Rental property? What are you talking about?”

“Have you forgotten why you wanted that extra money to begin with?!”

“Oh, right! The rental property!” I reacted, excited at the prospect of fulfilling one of my financial dreams. I suppose I had forgotten about that in the midst of the battle. However, I couldn’t let Mary know that, so I yelled back, “I’m almost ready to buy one… and I can’t let you get in my way!”

Slapping her forehead in annoyance, the tall brunette just stared at me and shook her head. “I have no idea what your priorities are anymore, you crazy bitch.” Then, before I could come up with a response, she looked around and asked, “Where did Sally go?”

I wanted to tell Mary not to call me a bitch anymore, even though I had just called her bitch, but she brought up a good question that derailed our whole battle. Noticing the little brunette was gone for the first time, I became worried that she went to go tattle on us again. I hated when she stitched on us, but what scared me more about that was that it meant Trish had returned and I was too busy arguing with Mary to properly greet her!

“Did Trish come back?” I asked, showing concern on my face.

As I peeked around the corner, hoping to catch a glimpse of our cute boss, Mary asked, “Why? So you can go suck on her titties again?”

I noticed her office door was closed, but Sally was nowhere in sight. Fearing she was already inside, bad-mouthing me to Trish, I ran towards the door while shouting back at Mary, “And so what if I am going to suck on her tits again?!”

“If you’re going to suck on her nipple, then I’ll suck on her other one!” my rival argued as she chased me towards the door. “She has two nipples and you only have one mouth!”

“God, I fucking hate you, you jealous bitch!”

“I don’t think I’m the jealous one around here, bitch!”

Unfortunately, when we came barging into the office unannounced, just like we had gotten in trouble for in the past… I realized my worst fear. Sure enough, Sally’s bitch ass had beaten us there… but to my complete shock, she was already naked… and over the knees of our boss.

With our jaws on the floor, Mary and I were frozen in place, staring as Trish prepped Sally’s ass for a spanking. Confused about what she could have done to get in trouble so quickly, I asked, “Umm… what’s going on…?”

“Hairy, Baldy… what you two doing in here?” the little blonde asked, rubbing her precious hand against our co-worker’s bottom.

Mary and I gave each other a quick look before glancing back at what was in front of us. “Um… I wanted to speak to you about something… but…”

“Well, you’ll like… have to wait,” Trish interrupted, ankara escort shutting both of us down. “I need to give Stubbly a spanking first, and then I can talk to you two about, like… whatever.”

Still confused, Mary took a step forward and asked, “Um… what did… Stubbly… do to earn a spanking?”

With a little chuckle, Trish, still rubbing Sally’s ass, explained, “Stubbly actually came in here and, like… tattled on herself.”

“She did what?!”

While we noticed a slight smile on our little bitch co-worker’s face, Trish further explained, “Stubbly tattled on herself for like… doing a bad job today. I was shocked that she wasn’t telling on you two for something. But you know what? I’m like impressed with her honesty to tell on herself. That’s like… a lot of accountability.”

“So she gets a spanking because she snitched on herself?!”

“Like… yeah…”

Still hiding a smile like the little snake that she was, Sally used a sorrowful voice to express, “I’m sorry I’m not as good as Hairy and Baldy! They’re probably, like… way better than me! But I messed up a lot today and I want to learn my lesson so I can be a better employee!”

To my dismay, Trish rubbed that bitch’s ass even harder, just like she would do me before an extremely harsh spanking. “Don’t worry, Stubbly,” she said in a cheerful voice, making me grow green with envy. “You’re still going to receive a spanking, but I’m like totally impressed with your honesty. You’re like definitely being considered for my top bitch now.”

Enraged, I began stripping my clothes off as I ran towards them. “I’ve been a bad girl too!” I said as I ripped off my underwear. Attempting to get over my boss’s lap with Sally, I further exclaimed, “I need a spanking too!”

While Sally and I jostled for position, we began arguing like little children over the lap of our mommy. However, instead of blaming each other like kids would normally do, we were both trying to take responsibility for our actions to prove we were the one more deserving of punishment.

“Stop! She’s going to spank me first!”

“No! What I did was far worse! I came barging into her office again!”

Unfortunately, our boss, who was normally a good decision maker, made the wrong choice by pushing me off her lap. “Stubbly already convinced me that she needs a really hard spanking. You’re just going to have to like… wait your turn.”

Though I was back on my feet, I tried again to get over Trish’s lap. In my most pathetic voice, I whined, “No, I need a spanking now! Make her wait!”

“Stop!” Sally whined like a little bitch while she tried to push me away with her weak arms. “I was here first! Miss Trish, please make her go away!”

Knocking her hands away, I tried once again to fit myself on Trish’s lap. However, my boss decided to push me off once again, leaving me stomping my feet in a tantrum.

“It’s like I said,” the blonde started with a giggle. “Stubbly already convinced me that she needs a solo spanking. You’re just going to have to like… wait.”

Normally, I found her little chuckles and mannerisms cute, but now I was absolutely furious that I wasn’t getting my way. Clutching both of my fists, I stood there and demanded in my most spoiled voice, “Miss Trish… I need a spanking right now!!!”

I swear, the room went completely silent as all three sets of eyes stared at me for having the audacity to yell like that. Honestly, I should have been embarrassed for my behavior in that moment, but I was just so passionate about out doing Sally, I couldn’t control my actions.

Finally, Trish broke the awkward silence by blowing a bubble with the gum in her mouth. After it popped, she just chewed on it again nonchalantly before asking, “So you’re sure you need a spanking like right this instant?”

“Right this instant!” I repeated, a bit surprised that my outburst was about to give me the result I wanted.

“Well, like… okay…” the little blonde started, bringing a big smile to my face. Then, for some reason, she pointed behind me, causing me to pause. “Hey, Baldy… since I’m busy spanking Stubbly, would you mind like… spanking Hairy?”

“Wait, what?!” I reacted, glancing back at Mary, who had already gotten herself naked like the slut that she was. Turning back towards Trish, I exclaimed, “Why would she spank me?!”

“You said you needed a spanking like right now, didn’t you?”

“Yes…”

“Well… like… since I already explained that I’m spanking Stubbly first, the only way to like fulfill your wish is to have someone else do it,” Trish started in an uncaring voice. She then looked past me once again, gaining Mary’s attention. “Would you mind like giving Hairy the spanking that she keeps begging for?”

As I turned back, I noticed an evil look in my tall co-worker’s eyes. “With pleasure, Miss Trish,” she said before grabbing me by my long brown hair.

I attempting to get away from her while whining in pain. However, before I knew it, Mary had taken a seat on Trish’s adıyaman escort desk and pulled me right over her lap.

Unfortunately, as hard as I tried to push myself away, it surprisingly turned out that the tall and thick brunette was even stronger than the small and spoiled blonde. Mary pulled my hair extremely hard and kept me at bay over her knees. Then, just as I was about to have another whiny outburst, I felt one of the most painful sensations in my life as her hand slammed against my poor butt cheeks.

With my eyes closed and my mouth wide open, I let out the loudest moan in my life. There was nothing pleasurable about this spanking, however. And as she continued to pound my ass with her unrelenting hand, I wailed even louder, crying desperately for her to stop.

Despite the unbearable pain, I managed to open my eyes a few times to look over at Sally, who was getting the spanking that I deserved. She should be the one getting spanked by Mary! I screamed in my head as I felt my bottom being slammed by my co-worker’s strong palm. This is just torture!

The spanking I received from Mary was worlds apart from what I was used to with my boss. She hardly did any of the teasing, only stopping once to rub my red behind while she called me a pathetic bitch. Other than that, it was just a non-stop beatdown on my tushy, leaving me crying out in pain like a pathetic bitch.

With every smack that landed on my poor cheeks, I swear, I could feel the ripples going throughout my entire body. My hanging titties bounced so hard after each one of her slaps to my ass, I was afraid they were going to hit me in the face!

Meanwhile, Sally had the nerve to act as if the spanking she was receiving was anywhere near the torture I was going through. She whined like a child from each of Trish’s smacks. I’m sure if I had reacted the same in the past, but watching it from over Mary’s lap was incredibly annoying!

I was in such despair that I almost fell off Mary’s knees a few times. However, unlike the way Trish would grab me by the crotch to pull me back over her lap, the tall brunette just squeezed my ass extremely hard as she forced my body back into place. I was then immediately reprimanded and made fun of for not being able to take the pain.

“Are you about to cry?” she asked in a mocking tone, almost laughing at me. After noticing that I was whimpering too hard to even respond, she continued my humiliation, saying, “Good! I hope you cry! I’ve been wanting to do this to you for a long time!”

I don’t know what the fuck she meant by that, but it really pissed me off! Despite being in too much pain to respond, I thought in my head, No one deserves to spank me except Miss Trish!

Eventually, as shameful as it was, I did begin to cry. I wasn’t sure if it was because of the jealousy I had over Sally and Trish, or just a result of the sheer power Mary possessed with her smacks. I suppose that was the moment my co-worker felt bad enough to stop the spanking, and instead, just rub my poor ass as I lay over her knees, sobbing.

Unfortunately, I realized that I would have almost rather endured more spankings, so I could have been distracted from watching Trish play with Sally. Seeing her choose to punish another woman instead of me was the closest thing I had ever felt to being cucked. It was truly one of the lowest points in my life.

When Trish finally finished spanking Sally, she forced her to stand in front of her. She then instructed Mary and I to do the same. Once my co-worker allowed me up to my feet, I practically ran over to Trish, almost bumping Sally out of the way.

Mary then joined us, but I continued to be a brat by stepping in front of her. However, as the three of us jostled for position, Trish immediately shut me down, yelling, “Stop it, Hairy!

As I stood there quietly, I couldn’t help but feel all three of them staring at me. I actually wanted to smile, but Trish put a stop to any hope I had, saying, “I know what you’re doing, Hairy…”

With my eyes wide, and my hands behind my back, I asked in my most innocent voice, “What do you mean, Miss Trish?”

“You’re acting like a child,” she expressed, causing my heart to stop. “Little kids misbehave just to like… get attention… That’s what you’re doing right now…”

“No, it’s not, Miss Trish!” I argued, though deep down inside, I knew she was exactly right. “I just…”

Before I could get out another word, Mary and Sally both cut me off, agreeing with my boss. “That’s exactly what you’re doing!”

There was no point in arguing, because I knew Trish would just shut me down again if I attempted to argue with her. Even worse, I knew that disagreeing with her would only further my chances the falling out of her favor.

Plenty of damage had already been done, with Mary and Sally both making their moves. Somehow, I was the only one who was in any real trouble.

It had become a disappointing day, to say the least. However, things only got worse as I was forced to stand there and watch Trish rub both my co-workers between the legs like she did Mary and me earlier. Our boss even did that thing where she forced her fingers between their cheeks and rubbed their ass holes. I was completely fuming because I should have been the one getting my anus rubbed!

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Véronique Ch. 02

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Animated

En quittant sa soirée d’anniversaire, j’avais laissé une lettre dans le sac à main de Véronique. Lorsqu’elle l’avait découverte le lendemain matin, après un réveil difficile, cela l’avait fait paniquer complètement! Elle ne savait plus quoi faire, ne sachant si il fallait en parler à son mari (qui ne s’était rendu compte de rien, ayant eu l’impression de passer une très agréable soirée, même si il ne souvenait pas de grand’chose!), à d’autres personnes ou bien se taire. Elle se souvenait mal de ce qui s’était passé, mais ses mâchoires et son fondement douloureux, ainsi que ses muqueuses irritées parlaient suffisamment. Elle ne comprenait pas en particulier comme elle avait pu se laisser sodomiser, elle qui avait toujours refusé cette pénétration à son mari. Ce qui l’inquiétait plus encore était qu’elle n’était pas capable de se souvenir si elle y avait pris du plaisir ou pas, et avec qui!

Pour entretenir son inquiétude et éviter des confidences à ses amies, je lui envoyai une semaine plus tard sur son mail quelques photos choisies de la soirée, la montrant plutôt consentante dans mes bras, en train de se faire caresser les seins, la robe remontée jusqu’à la poitrine, ainsi que d’autres images la montrant en train de me faire une fellation dans sa propre chambre. J’imaginais assez bien l’horreur dans les yeux de Véronique découvrant ses images! Je savais qu’elle ne dirait rien, ayant menacé de divulguer ces photos au cas où elle essayerait de parler.

Dans les semaines qui suivaient, je continuai de lui envoyer des photos d’autres moments de la soirée : baisée sur la table du salon par Igor, à califourchon sur moi dans son propre lit, avec une expression de plaisir non simulée sur son visage, et enfin sodomisée par Igor en levrette! J’essayai de m’imaginer ce qui pouvait trotter dans sa tête en découvrant ses images! Est-ce qu’elle osait même ouvrir mes mails (je pense que oui, elle avait trop peur que ces images soient diffusées pour ne pas savoir ce qu’il y avait dedans!)? Je ne reçu en tout cas aucune réponse de sa part!

Un mois plus tard, Igor croisa inopinément Véronique dans un supermarché : la belle se figea en apercevant le géant ukrainien, terrorisé par cette apparition! Igor, surpris également, profita immédiatement de sa position de maître-chanteur : l’air de rien, il vint engager la conversation dans le rayon. Véronique, complètement crispée, répondait mécaniquement à ses questions futiles, ayant l’impression que tout le monde savait ce qui s’était passé. Igor prit congé rapidement, ce qui soulagea Véronique immédiatement. Elle pensait que son cauchemar était terminé, mais Igor n’était pas décidé à en rester là. Il se dirigea vers le rayon des sous-vêtements, et choisissant quelques modèles raffinés, les embarqua et se remit à la recherche de Véronique dans les rayons. Il la retrouva en train de choisir des tomates au rayon primeur.

S’approchant par derrière, ayant vérifié qu’il n’était pas observé par d’autres clients, il lui prit brutalement une fesse à pleine main : Véronique poussa un cri vite étouffé quand elle réalisa qui venait de la peloter! Igor n’avait pas lâché le globe ferme qu’il malaxait, et glissant les sous-vêtements dans son caddie, il lui chuchota à l’oreille qu’il serait dans son intérêt d’aller rapidement les essayer pour vérifier que la taille était correcte! Puis, la plantant là, il s’éloigna en direction des cabines d’essayage.

Véronique était atterrée, fixant les soutiens-gorge et strings dans son caddie, son cerveau paniqué essayant de trouver une solution raisonnable! Mais les images reçues sur sa messagerie repassaient devant ses yeux, et les menaces que j’avais fait sonnaient à ses oreilles : elle se savait prise au piège, et commença à se diriger lentement vers le rayon vêtement. En arrivant devant les cabines d’essayage, elle chercha des yeux Igor : celui-ci était en face des cabines, au rayon hommes, en train de choisir un pantalon à sa taille. Leurs regards se croisèrent, et Véronique baissa les yeux, désabusée. Elle se dirigea vers la cabine d’essayage le plus éloignée avec ses sous-vêtements, et tira le rideau sur elle. Igor, qui avait noté la position de la cabine, attendit quelques minutes pour laisser monter la panique et le doute dans le crâne de Véronique, puis se dirigea également vers les cabines. Ayant noté qu’aucune autre cabine n’était occupée, il tira sans prévenir le rideau de la cabine de Véronique, surprenant la belle, en string, en train d’essayer de mettre un des soutiens-gorge choisi par Igor! Dans un réflexe naturel, elle essaya de cacher sa poitrine avec ses mains, laissant tomber le soutien-gorge à terre. Igor, tout émoustillé par la scène, entra sans vergogne dans la cabine, et tira le rideau derrière lui.

Véronique, terrorisé, ne savait que faire face à ce monstre qui occupait toute la cabine! Ramassant le soutien-gorge tombé à terre, Igor le redonna à Véronique, lui demandant de le mettre. Celle-ci le saisit du bout des doigts, essayant toujours de cacher ses seins. Elle engloba ses seins dans la dentelle, mais van escort était tellement paniquée qu’elle était incapable de fermer les bretelles dans son dos. L’ukrainien saisit alors le fermoir et le fixa délicatement. Véronique s’était mis dos à lui pour cacher sa poitrine, mais Igor, après avoir attaché le soutien-gorge, fit glisser ses mains sous ses bras pour lui prendre les seins à pleine paume! Véronique essayait de ne pas réagir à ces attouchements appuyés, pendant que l’ukrainien lui massait la poitrine, titillant les tétons qui commencèrent à se dresser sous les caresses, bien malgré elle! Igor plaquait Véronique contre lui, profitant du contact de ses fesses contre son sexe emprisonné dans son pantalon.

Puis, faisant pivoter la jeune femme, et approchant ses lèvres de son oreille, il lui chuchota de se mettre à genoux et de le dégrafer pour libérer son sexe : Véronique eut un mouvement de recul à cette requête, mais après quelques instants à fixer l’entrejambe de l’ukrainien, à contre cœur, elle finit par se mettre à genoux devant lui, et commença à détacher sa ceinture de ses mains tremblantes. Elle pouvait voir la bosse significative formée par le sexe d’Igor, et avait les plus grandes difficultés à enlever les boutons de la braguette de l’ukrainien. Quand elle y parvint enfin, elle descendit le pantalon jusqu’à ses genoux, puis, encore plus tremblante, saisit le caleçon du géant lentement et le descendit également, ce qui eut pour effet de faire jaillir son sexe dressé presque contre son visage. Véronique eut un nouveau mouvement de recul, choqué par la taille monstrueuse de l’engin, reconnaissant l’objet qu’elle avait pu découvrir sur les photos que j’avais envoyé et qui était sans doute la raison de son fondement douloureux.

Elle resta ainsi sans bouger, fixant le dard palpitant de l’ukrainien : celui-ci lui mit la main sur la tête, et la força à approcher ses lèvres de son gland. Véronique résistait mollement, se sachant prisonnière des images volées qui pouvaient complètement briser sa vie. Quand ses lèvres vinrent toucher l’extrémité du braquemart géant, Igor lui lâcha la tête : complètement résignée, elle ouvrit la bouche d’elle même, et commença à essayer de prendre le sexe d’Igor dans sa bouche. Elle ne souvenait pas d’avoir fait une fellation à un sexe aussi imposant, et elle essayait d’écarter au maximum ses mâchoires pour permettre à ce pieu de chair de pénétrer sans la blesser. Elle commença à lui caresser le gland de sa langue, essayant de le lubrifier au maximum pour faciliter la pénétration. Puis elle le prit dans sa bouche, et se mit à faire des aller et retours, enserrant son gland de ses lèvres, le relâchant complètement pour le reprendre dans sa bouche tiède, ce qui provoquait des décharges de plaisir dans les reins d’Igor. Continuant ce manège, Véronique essayait de prendre plus profondément le sexe d’Igor dans sa bouche, espérant ainsi accélérer l’éjaculation du géant et terminer plus rapidement ce cauchemar. Mais le sexe du géant était si gros qu’elle n’arrivait pas à prendre plus de la moitié de la longueur dans sa bouche : le gland d’Igor venait buter contre sa gorge, et elle devait s’arrêter pour ne pas vomir. Elle continua néanmoins à aller et venir sur sa verge, tout en massant les bourses de l’ukrainien pour en finir le plus vite possible. Mais celui-ci avait de la réserve, et pouvait tenir un long moment : il savait d’autant plus apprécier cette fellation qu’il ne forçait même pas Véronique, elle faisait tout d’elle-même, essayant de lui donner du plaisir pour arrêter ce viol à moitié consenti!

Véronique commençait à avoir mal à ses mâchoires distendues par le sexe turgescent du colosse, et ne voyait pas venir la fin de son calvaire. Igor, qui voulait aller un peu plus loin, attrapa Véronique par les cheveux, et d’une poussée lente mais ferme, enfonça son sexe plus profondément dans la gorge de Véronique. Celle-ci essayait de résister, les deux mains sur les cuisses d’Igor pour se repousser, mais ne pouvait pas grand’chose contre la force brute de l’ukrainien qui réussit à amener son gland au contact de sa glotte, lui arrachant un haut-le-cœur. Mais il ne s’arrêta pas pour autant de pousser, forçant la défense de sa gorge, pénétrant encore plus profondément! Véronique avait les larmes aux yeux, essayant de forcer son corps à accepter cette pénétration contre nature, sentant son estomac prêt à se retourner. Des remontées de bile lui brûlaient la gorge, mais l’ukrainien poussait toujours, enfonçant toujours plus loin son sexe dans sa gorge, l’empêchant complètement de respirer. Véronique commençait à suffoquer, mais le colosse n’en tenait aucun compte et finit par complètement engouffrer son sexe monstrueux dans sa bouche, venant faire buter son pubis contre son nez. Il resta ainsi quelques instants, pendant que la belle se débattait pour essayer de respirer, à la limite de la perte de conscience, puis il se retira brutalement complètement, lui arrachant un gémissement et un haut-le cœur qui la fit vomir sur le sol de la cabine.

Igor yalova escort n’avait pas lâché sa chevelure, et après lui avoir permis de reprendre son souffle, il lui releva la tête et se renfonça à nouveau dans sa bouche, commençant à effectuer des va-et-vient dans sa gorge, s’en servant comme d’une chatte, allant au plus profond puis se retirant presque complètement, prenant son pied à cette gorge profonde forcée pendant qu’Véronique essayait de concentrer son esprit sur la recherche d’air entre chaque poussée de l’ukrainien. Des flots de bile inondaient le sol à chaque fois que le dard de l’ukrainien se retirait, mais celui-ci n’en tenait aucun compte, replongeant aussitôt au plus profonde de sa bouche, distendant les mâchoires de Véronique, violant sans vergogne cette gorge tendre. Igor sentait une vague de plaisir monter de ses reins, et il poussait encore plus fort, pilonnant Véronique qui souffrait, les yeux révulsés, et il finit par lâcher dans une dernière poussée un long et brûlant jet de sperme au fond de sa gorge, dans un râle de plaisir. Il se maintint ainsi quelques instants, son sexe complètement enfoncé dans la gorge de Véronique, dont le cou distendu demandait grâce, et profitant de cet orgasme volé dans une cabine d’essayage. Puis il se retira rapidement, se rhabilla, puis, relevant la belle Véronique, encore complètement suffocante et choquée de ce viol, il lui arracha le string et le soutien-gorge. Il vit alors un éclair de terreur dans ses yeux. Mais l’ukrainien se saisit de tous les sous-vêtements qui étaient dans la cabine, y compris ceux de Véronique, et sortit comme si de rien n’était.

Véronique, complètement bouleversée par cette agression, essayait de rassembler ses esprits : elle avait la gorge douloureuse, luttait contre une nouvelle envie de vomir dans cette cabine dont le sol était maculé de vomi, de bile mélangés au sperme de l’ukrainien, le goût du sperme dans sa gorge la révulsait car elle avait du en avaler une grande quantité et elle n’avait plus de sous-vêtements! Rassemblant ses affaires, elle se rhabilla lentement, remit de l’ordre dans ses cheveux pour essayer de masquer ce qui venait de se passer, et se nettoya le visage avec un kleenex pour enlever les traces de sperme et de vomi. Se sentant salie au plus profond d’elle-même, elle sortit discrètement de la cabine, et abandonnant là son caddie, se dirigea vers la sortie dans un état second.

Perturbée par ce qui venait de lui arriver, elle mit plusieurs minutes à retrouver son monospace sur le parking. Alors qu’elle déverrouillait et ouvrait la porte conducteur, elle entendit une voix rocailleuse derrière elle : « est-ce que je peux me joindre a vous? ». Se retournant d’un bloc, elle se retrouva à nouveau face à Igor tout souriant. Toute tremblante, et incapable de répondre, elle vit le géant ouvrir la porte arrière, et s’installer sur la banquette arrière. Elle hésita plusieurs instants, puis, pâle et fébrile, monta finalement à la place du conducteur.

-allons faire une petite ballade, proposa l’ukrainien, tout sourire sur le siège arrière.

-Mais où voulez-vous aller? murmura Véronique paniquée

-N’importe où, allons par exemple vers le cinéma multiplex.

Avec difficulté, Véronique réussit à démarrer, puis sortit du parking. Elle était tellement bouleversée qu’elle tapa un trottoir, puis faillit renverser une mamie qui traversait.

-Relax, lui dit Igor, on se détend! ce n’est pas le moment d’avoir un accident.

-Ce n’est pas très facile d’être relaxé après ce que vous m’avez fait subir, répondit Véronique entre ses dents.

-Il faudra t’y habituer, ma belle, il y a des chances que ce ne soit pas la dernière fois. Je vais te faire aimer ça …

Horrifiée par ce qu’elle venait d’entendre, Véronique n’osait plus répondre, et gardait les yeux rivés sur la route. Igor, se rapprochant de son siège, se mit à lui caresser les hanches, puis remonta vers sa poitrine. Véronique se tortillait pour échapper à ses mains, mais elle conduisait, ce qui lui laissait peu de degrés de liberté. Glissant une main sous son chemisier, Igor venait de saisir un de ses seins, et roulait le téton entre ses doigts

-Oh, madame n’a pas mis de soutien-gorge, petite cochonne!

-Vous m’avez pris tous mes sous-vêtements tout à l’heure!!

Son autre main descendait vers son entrejambe : glissant ses doigts sous l’élastique de sa jupe, il progressait lentement vers sa foufoune, forçant ses cuisses serrées.

-Ecarte un peu les cuisses que je puisse voir si tu mouilles!

-Jamais, rugit Véronique.

-Comme tu voudras, répondit l’ukrainien, et il lui pinça violemment le téton.

Véronique poussa un hurlement, rapidement suivi d’un autre car Igor venait à nouveau de pincer cruellement son téton.

-Tu vois qu’il faudrait mieux que tu écartes les cuisses docilement!

Et il lui écrasa à nouveau le téton entre ses doigts puissants. Submergée par la douleur, Véronique finit par desserrer les cuisses, et Igor en profita immédiatement pour lui çorlu escort caresser la chatte, excitant son clitoris, flattant ses grandes lèvres tout en continuant de lui peloter le sein de l’autre main. Véronique avait les plus grandes difficultés à conduire dans ces conditions! Allant un peu plus loin, Igor commença à forcer ses lèvres, enfonçant un doigt dans son vagin, lui tirant un cri de douleur car elle n’était pas du tout lubrifiée. Mais Igor continuait à la doigter, poussant toujours plus loin dans sa cavité d’amour, qui finit par s’humidifier sous les sollicitations. Véronique sentit l’évolution de ses muqueuses, qu’elle n’avait pas du tout désirée, mais c’était une réaction naturelle de son corps à ce stimuli qu’elle ne pouvait contrôler! Igor la doigtait de plus en plus profondément et intensément, se retirant pour lui titiller le clitoris puis revenant plonger ses doigts dans son sexe luisant. La belle ne savait plus ce qui lui arrivait, et était partagé entre l’horreur de la situation et les sensations qu’elle ressentait dans son bas-ventre.

La voiture finit par arriver sur le parking du cinéma, et Igor retira ses mains pour lui indiquer où aller se garer. Il était 19h30 en ce mois de décembre, et la zone choisie par l’ukrainien était relativement sombre. Véronique se rangea sur un emplacement, coupa le contact, et attendit, angoissée, les mains sur le volant. Igor avait changé de place à l’arrière, et s’était installé sur le siège central.

-Viens me rejoindre à l’arrière, lui intima-t-il.

Les yeux écarquillés, Véronique fixa le géant dans le rétroviseur, puis elle finit par enlever sa ceinture de sécurité pour descendre du véhicule. Elle ouvrit la porte arrière et vient s’asseoir sur le siège à côté d’Igor.

-branle-moi, ordonna Igor.

Répriment son dégoût, elle ouvrit à nouveau la braguette du géant, et en sortit son sexe encore flasque. Elle se mit à le masturber lentement, sentant la chair vibrer sous ses doigts, prendre du volume et de la rigidité, jusqu’à finalement atteindre à nouveau la taille d’une matraque d’un beau diamètre. Elle n’osait pas regarder le sexe d’Igor, conservant les yeux baissés.

-Suce moi, maintenant! Tu aimes ça …

Baissant la tête lentement, elle vint prendre le gland énorme entre ses lèvres, et commença à lui faire une nouvelle fellation, espérant de tout cœur que personne ne viendrait s’approcher de la voiture et découvrir ce qui s’y passait. Elle essayait d’enduire le sexe de l’ukrainien de salive pour faciliter la pénétration dans sa bouche, et continuait à l’engloutir du mieux qu’elle pouvait. Igor ne disait rien, laissant faire la belle Véronique, préparant la suite.

-Maintenant, viens te mettre à califourchon sur moi.

Véronique arrêta instantanément sa pipe, horrifiée par l’ordre qu’elle venait de recevoir. L’ukrainien ne la laissa pas réfléchir, et l’attrapant par les cheveux, il l’amena vers lui, la forçant à se tourner pour enjamber son corps : Véronique était maintenant à califourchon sur ses genoux, de dos, sa jupe flottante étalée sur les cuisses de l’ukrainien. Elle commençait à paniquer, et essayait malgré le risque de se débattre : Igor lui saisit alors les poignets, et lui vrillant les bras, il les rassembla dans son dos, les maintenant d’une seule main.

-Maintenant, recule et mets toi à genoux sur la banquette

Il accompagna son ordre d’une torsion des poignets qui força Véronique à reculer pour essayer de réduire la douleur : elle se trouvait donc maintenant à genoux à la verticale du sexe dressé d’Igor, les bras tordus dans le dos. Igor, de sa main libre, vint lui doigter la chatte, s’enfonçant au plus profond de son intimité, lui arrachant des cris de douleur. Il vrillait ses doigts dans son sexe, labourant les muqueuses fragiles de ses ongles, puis, se retirant, il se mit à lui masser l’anus de ses doigts humides : les yeux de Véronique s’écarquillèrent, et elle rua pour essayer d’échapper à cet attouchement, mais ce mouvement lui tordit encore plus les bras et elle dut s’avouer vaincue! L’ukrainien forçait maintenant la barrière de ses sphincters, insinuant ses doigts dans son cul, de plus en plus profondément, et Véronique étouffait ses cris de douleur en se mordant les lèvres.

Au bout de quelques instants de ce manège, Igor retira ses doigts, puis, en exerçant une clé de bras sur les poignets de Véronique, fit descendre lentement son bassin vers son sexe : Véronique luttait pour essayer de résister, mais la douleur dans ses bras était trop intense, et elle dut suivre le mouvement imposé par Igor. Celui-ci amena son gland contre l’anus de Véronique, ce qui la fit à nouveau ruer dans un mouvement désespéré pour échapper à ce viol, mais le géant avait anticipé sa réaction, et la maintenait fermement. Véronique réussit juste à se faire encore plus mal aux épaules, et se relâcha de suite pour limiter la douleur : Igor attendait ce moment, et donnant un brusque coup de rein, enfonça son dard dans ce cul excitant! La belle poussa un cri suraigu, mais Igor la bâillonna de sa main libre, et lui tordant encore plus les bras, enfonça encore plus profondément son sexe dans ce fourreau étroit et tendre! Véronique était maintenant presque complètement empalée sur le braquemart du géant, le souffle coupé par ce barreau de chair planté dans son fondement.

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Amateur

Traduction d’un texte de Krystal0690.

*****

Je ne veux rien de plus au monde que de revenir dans ma petite cellule obscure pour rester seule avec mon dégoût. Mais M. Ambrose veut me parler.

Je ne lui ai parlé qu’une seule fois, lorsque j’ai signé l’accord pour venir dans ce ranch afin de sauver mon mariage. Non ce n’est pas vrai, je dois dire la vérité. Je veux surtout retrouver mon mode de vie. D’une certaine façon, les deux choses sont différentes pour moi. Il m’avait averti du traitement que je subirai, mais j’étais persuadée que je n’avais pas le choix.

J’ai remis mon tee-shirt et ma culotte. Il m’ordonne de m’asseoir sur le sol, les jambes croisées, devant lui. Il reste sur sa chaise, en hauteur. Sa position de dominateur est claire.

– Votre collègue a bien réussi. Malgré sa peur, elle a voulu se sacrifier pour une personne qu’elle connaît à peine. Auriez-vous pu faire de même?

J’aurais pu prétendre avoir eu la même idée, mais comme je suis sur le chemin de la vérité, je réponds :

– Non Monsieur, ça ne m’a même pas traversé l’esprit. J’avais prévu de continuer de la fouetter jusqu’à ce que vous trouviez que ça suffisait.

– Vous auriez continué à infliger de la douleur à quelqu’un qui vous supplie d’arrêter?

– J’ai fait mon choix, car j’ai pensé que vous la renverriez, Monsieur.

– Pourquoi avez-vous pensé cela?

– Vous avez dit que sa punition n’était pas suffisante pour vous, Monsieur.

Il sourit.

– Je n’ai jamais dit que sa punition n’était pas suffisante. Je vous ai seulement demandé si vous trouviez que c’était suffisant. Ce choix était le vôtre, comme l’ont été tous vos choix dans votre vie.

Alors je réfléchis. C’est moi qui avais donné le ton pour nos punitions. J’avais mélangé toutes nos fautes de chacune. J’ai voulu une punition collective. Ma bouche est sèche et je me déteste presque autant que je déteste ce bâtard assis sur sa chaise>.

– Puis-je partir maintenant Monsieur Ambrose? S’il vous plaît Monsieur? Demandé-je en essayant de cacher mon mépris.

– Non, vous n’avez pas fini. En tant que mari de substitution, je suis très excité par le spectacle que vous m’avez donné. J’ai besoin d’être soulagé. Donc, malgré votre haine envers moi et le désir de quitter cette pièce, je veux que vous suciez ma bite.

Mon visage devient tout rouge et je dois lutter pour garder mon sang-froid. Je suis hors de moi. Sucer ce vieux bâtard est la dernière chose sur terre que je veux faire. Mais je sais que je ne peux pas refuser. Je commence alors à pleurer.

– La, la, les larmes sont inutiles, Numéro 5. Mettez ma bite dans votre bouche jusqu’à ce que je jouisse et avalez tout, ou alors quittez ce ranch. Vous avez le choix.

Il me faut toute ma concentration pour ne pas marquer ma colère.

– Monsieur, puis-je au moins savoir quelle leçon je dois tirer de ça?

– Ah, enfin tu réalises que tu es là pour apprendre!

Il se tait pendant quelques secondes avant de dire :

– Bon, si tu me suces assez bien, je te le dirais!

Je retire mon tee-shirt, mais je garde ma culotte. Au moins je sais que ce vieux salaud n’est pas gay comme je l’avais soupçonné. Après avoir baissé son pantalon, j’engouffre son membre dans ma bouche et j’utilise ma langue pour le masser. Mes mains caressent ses couilles. Je trouve très désagréable ce que je suis en train de faire, car cet homme me révolte. Mais je me dis que je suis une pute à vingt dollars et que je fais ce que fait une pute.

Bientôt il éjacule dans ma bouche. C’est dégueulasse, mais comme ordonné j’avale le tout.

– C’était pas si mal. Vous avez aimé ça?

– Monsieur, voulez-vous la réponse qu’un homme préfère entendre, ou la vérité?

– Je veux les deux bien sûr!

– C’était génial. J’espère que vous avez autant apprécié que moi, Monsieur. En vérité, je suis dégoûtée, mais je l’ai trabzon escort fait.

– Pourquoi l’avez-vous fait?

– Parce que je n’avais pas d’autres choix, Monsieur!

– Encore une fois, vous avez bien eu le choix. Vous pouvez partir et vivre avec les conséquences de ce départ, mais vous avez décidé que d’avaler mon foutre était la meilleure option. Le fait que vous trouviez cela désagréable est hors de propos. Vous aviez l’obligation de satisfaire sexuellement votre mari, mais vous avez choisi de ne pas le faire. Et maintenant, vous en subissez les conséquences.

– Alors mon mari James veut que je sois sa pute, monsieur?

Pour la première fois, cet homme se met à rire longuement. Quand il s’arrête il me dit :

– Numéro 5, James, votre mari, est un homme très riche, l’un des plus riches du pays. Lui et ses pairs considèrent tout le monde comme leurs putes. Ils aiment s’entourer de putes. Les politiciens, les lobbyistes, et les artistes sont parmi leurs favoris du moment.

Une cloche sonne. Il est 19 heures et il est temps pour moi d’aller au travail avec les autres femmes d’hommes riches. Maintenant nous ne sommes que des putes. M. Ambrose me congédie d’un geste de la main. Il se lève de sa chaise et se dirige vers la porte. Je vais pour sortir par une autre porte quand il s’arrête et me dit :

– Numéro 5, réfléchissez à ce que je vous ai dit! Vous n’êtes pas loin de la réponse. Grattez la surface et regardez ce que vous trouvez.

Puis il franchit la porte.

Nous sommes réunies dans la salle d’attente. Mais nous ne sommes plus que trois. Numéro 3 et numéro 8 ne sont pas là. Numéro 7 s’approche de moi et dit :

– C’est de votre faute. Vous les avez battues si durement qu’elles ne peuvent pas travailler ce soir. Nous devons prendre leur part. Ce qui fait un client supplémentaire pour chacune d’entre nous.

J’essaie de me défendre.

– C’est un lavage de cerveau qu’ils nous font. Comment pouvais-je savoir?

Debout à ma droite, Numéro 6 dit :

– Nous le savons depuis le premier jour, espèce de pute stupide. Fonda l’a bien dit avant d’être balancée dehors. N’avez-vous pas entendu?

– C’est seulement que je ne me doutais pas du niveau que ça prendrait. Je suis désolé, mais il faut que l’on se serre les coudes.

– Nous ne voulons pas de vous, salope. Restez loin de nous! Déclare Numéro 7 avec un ton de colère.

Alors que nous nous regardons dans un silence glacial, huit hommes d’origine hispanique entrent dans la pièce. Ce ne sont pas les mêmes que la nuit précédente. Nous n’aurions du n’avoir que deux hommes à baiser cette nuit. Mais avec deux femmes hors service, nous devons en servir plus. Deux d’entre nous allait avoir un client supplémentaire.

Je voulais me porter volontaire pour être l’une de celle qui prendrait un homme en plus, mais étant donné que je ne parle pas espagnol, je n’ai pas moyen de communiquer avec eux. Donc ils font leur propre choix et ils choisissent les blondes disponibles.

Donc je me retrouve avec deux hommes à côté de moi tandis que les deux autres femmes ont été choisies par trois hommes chacune. Elles me lancent un regard noir chargé de mépris, un regard que j’ai l’habitude de voir chez ce genre de femmes. Nous nous lancions souvent ce genre de regards dans les réceptions pour des affronts personnels.

Dans l’étable, j’enlève mes vêtements et je m’allonge sur le matelas. Que je sache que ce n’est qu’un jeu pour nous dompter n’a pas d’importance. Mon esprit est déjà brisé, comme ceux des chevaux sauvages à notre ranch.

La bite d’un homme entre dans ma chatte et il commence à me baiser. Je laisse mes pensées dériver ailleurs.

Je pense à mon marin ou peut-être mon ex-mari, James. Il avait bien trente ans de plus que moi et nous nous étions rencontrés dans une réception alors que je venais d’avoir dix-neuf tunceli escort ans. J’avais facilement attiré son attention. Jeune et attrayante, j’étais prête à flirter avec un homme marié et riche. Je n’étais pas attirée par lui physiquement. James avait sûrement été beau, mais des années de travail acharné et des mariages manqués l’avaient abîmé. Ce qui m’avait attiré chez lui c’était son argent et le pouvoir, les deux plus gros aphrodisiaques connus aux femmes.

Je savais que je l’avais pris dans mes rets quand il m’a appelé tard un soir et qu’il m’a supplié de me voir :

– Lauren, je suis prêt à virer Nina si vous le voulez. J’ai besoin de vous.

Nina était une horrible vieille bique. Je l’avais souvent vu à des réceptions. Elle avait plus de trente ans que moi et je savais qu’elle ne voulait plus que James la touche. Elle prenait rarement la peine de parler avec lui et de ce que j’avais compris, leur relation s’était refroidie pour devenir glaciale.

– Est-ce que la procédure de divorce va être longue?

– Non, il faudra peu de temps. Nous avons signé un accord lors de notre mariage si bien que le partage des biens est déjà déterminé. Mes avocats avaient voulu cet accord pour que mes entreprises ne soient pas affectées par un divorce. Je suis sûr que vous comprenez comment les avocats insistent pour que tout soit fait avec précaution.

En moins de trois mois, James était un homme libre. Et je me mis à planifier notre mariage que je prévoyais grandiose. Au début j’avais peur de la vengeance de Nina son ex-femme. Mais rien n’arriva. Elle disparut des réceptions et fêtes locales. Certaines personnes m’ont dit qu’elle était partie vivre dans un autre pays. Pour moi ça n’avait pas d’importance aussi longtemps qu’elle restait loin de nous.

Je me souviens comment James parlait de quelques membres du congrès et de gouverneurs d’état. Ils l’aidaient à améliorer la croissance de ses entreprises contre un soutien politique. Je sais que James avait utilisé le terme de « putes » pour beaucoup d’entre eux, mais je croyais que ce n’était que des paroles. Mais il m’a affirmé un jour qu’il avait dit à un membre du Congrès que s’il voulait sortir sa queue de son pantalon et se faire sucer, l’homme n’aurait plus qu’à se mettre à genoux et avaler sa bite avec un sourire, étant donné comment il avait contribué à sa carrière.

Revenons à la réalité, l’homme hispanique grogne son plaisir et arrête de me baiser. L’autre homme qui le regardait le remplace. Je commence mes calculs alors qu’il m’embroche. Si je baise deux hommes par jour pendant les quatre prochaines semaines, je me serais prostituée plus de cinquante fois. Je fais un calcul approximatif des relations sexuelles que j’ai eues avec James pendant nos années de mariage et je tombe approximativement sur le même nombre. Je suis en train d’apprendre une leçon et je me demande ce que je vais en retirer.

L’autre homme ayant fini, je retourne dans l’autre salle où je vois Smith qui attend :

– Les deux autres « chattes » vont être occupées un peu plus longtemps. De toute façon je crois qu’elles n’aimeraient pas que vous les attendiez. Je dois vous parler, allons dans ma chambre.

Je la suis dans un autre bâtiment et nous entrons dans une chambre confortable avec un grand lit, une télévision et d’autres meubles modernes. Smith est une femme solide, avec des cheveux blonds et courts avec des bouclettes qu’elle cache habituellement sous une casquette. Elle est bronzée comme un habitant du désert. Elle porte un short qui laisse exposer ses puissantes jambes bronzées, des bottes et une chemise style veste sans manches. La façon dont elle me regarde me met mal à l’aise.

– Asseyez-vous sur le lit!

Elle claque un billet de vingt dollars sur la table de chevet et ajoute :

– A chaque session, je trouve toujours une stagiaire pour uşak escort mon plaisir. Vous êtes à moi.

Je commence à me dire que j’ai traversé trop d’épreuves aujourd’hui, mais je pense qu’elle s’en fout. Alors j’essaie autre chose :

– A quoi peuvent me servir vingt dollars ici? Il n’y a même pas de machines à sous.

– Eh bien c’est le prix. Je pourrais vous donner un carton rouge. Voyons voir où vous iriez avec ça!

– Non, je ferai tout ce que vous voulez. Je suis une pute. Je sais où est ma place. Mais je préférerais avoir des informations plutôt que vingt dollars.

Elle réfléchit et dit :

– Je ne vois pas à quoi ça vous servira, mais pourquoi pas!

Elle enlève son short et ses sous-vêtements, puis elle s’allonge sur le dos sur le lit!

– Au travail, pute!

Je retire ma chemise et ma culotte. Je n’ai jamais fait de cunnilingus sur une autre femme et Smith n’aurais pas été mon choix si j’avais voulu essayer. Ses poils pubiens sont plus sombres que ses cheveux blanchis au soleil, mais ils sont eux aussi bouclés. Une odeur de poisson sort de sa chatte, mais je commence à titiller son clitoris. Immédiatement elle gémit de plaisir. Elle fait courir sa main dans mes cheveux.

– Tu as vraiment du talent pour bouffer une chatte, chérie. Tu vas beaucoup pratiquer dans le mois à venir.

Putain, en plus elle parle beaucoup. C’est la cerise sur le gâteau.

– Mmmmm, j’aime ça. Je t’ai choisi, car j’aime les cheveux châtains épais et les yeux brun foncé. Je déteste les bimbos blondes que l’on a l’habitude de voir ici. Tout est naturel chez toi et c’est assez rare ici.

Je lève la tête et je reprends mon souffle en lui demandant :

– Vous voulez parler des femmes trophées?

– Ouais, toutes ces femmes qui se sont fait refaire quelque chose pour paraître plus belle en société. Tu n’es pas comme ça.

– Merci! Répondis-je avant de replonger dans sa chatte.

– Ouais. Et tu as de belles jambes aussi. J’aime quand elles sont longues, fines et bronzées comme les tiennes. Je suis sûre qu’une fois que tu connaîtras ta place, tu seras vraiment bonne à baiser.

Je relève une nouvelle fois la tête.

– Vous avez vu beaucoup de femmes comme nous passer par ici.

– Ouais, ça dure depuis des années. C’est d’un bon rendement. Pour le monde extérieur nous n’existons pas. J’ai vu des centaines de princesses snobs passer par ici.

Je reviens sur son clitoris et je pousse ma langue dans sa grotte. Elle jouit en tenant ma tête enfoncée dans sa chatte. J’ai du mal à respirer, mais je ne bouge pas. Quand elle se remet de son orgasme, elle me tire vers elle et me dit :

– Fais-moi goûter!

Elle pose ses lèvres sur les miennes et je sens sa langue s’insérer dans ma bouche. Je réponds à son baiser. Puis nous nous allongeons sur le lit et je dis alors :

– J’ai fait ce que je devais faire, alors puis-je obtenir pour vingt dollars de vraies réponses.

– Ok!

– Qu’est-il arrivé à la troisième femme de mon mari, celle juste avant moi?

Ses yeux grandirent.

– Tu veux vraiment le savoir? Elle est venue ici il y a sept ans environ. Et elle a renoncé au bout de deux semaines. Ton mari est un vrai salaud, il l’a envoyé dans un bordel dans un trou perdu. Ce sont les maris qui décident quoi faire de vous. Certains vont laisser leur femme être libre donc certaines peuvent arriver à trouver un autre mari convenable, mais d’autres n’ont pas le choix que de vendre leur cul dans un bordel ou dans la rue.

– Il a envoyé Nina dans un bordel?

– Elle n’avait aucune autre compétence. c’était la meilleure chose pour elle.

– Pourquoi cet endroit existe?

– Beaucoup d’hommes paient pour que cet endroit existe et ne soit pas inquiété par les autorités. Un certain nombre de femmes ne tiennent pas le coup, mais la plupart y arrivent.

Après ces mots elle me dit que les vingt dollars sont dépensés et que j’aurais bien d’autres occasions de lui poser plus de questions.

– Prends tes vêtements et retourne dans ta cellule, demain risque d’être difficile!

Je me demande alors comment ça pourrait être pire qu’aujourd’hui?

A suivre…

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