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je suis baisé au saharaQuand j’arrivai au Sahara, au sud du Maroc, ce n’était pas pour faire du tourisme mais pour trouver des mecs.J’étais devenu une véritable folle de la bite, mais plutôt de la grosse, de l’énorme zob.Les marocains pourtant bien montés ne me suffisaient plus, il me fallait plus gros et c’est pourquoi j’étais venu au Sahara car j’avais lu que c’est dans cette région où les mecs sont le mieux montés au monde.J’avais un peu d’argent de côté ce qui me permettrait de tenir au moins deux semaines, donc deux semaines de baise effrénée avant de rentrer à Rabat.Après avoir dégotté un petit hôtel je me rendis à la plage de Laayoune. A peine arrivé, je vis un beau black se baignant nu.Il avait une superbe queue comme je n’en avais jamais vu, longue et grosse.Je m’approchai de lui et lui dis: ‘Ta queue est magnifique et excitante’.- Je ne suis pas homo, ma queue est réservée aux femmes.- Laisse-moi te sucer, il n’y a personne dans ce coin, ça ne t’engage à rien, personne ne le saura.En lui parlant, je vis que sa queue gonflait, elle devenait monstrueuse, vraiment mes informations étaient vraies.Je baissai mon maillot et tortillai du cul devant lui tout en lui disant ‘Tu sais je la veux vraiment dans ma bouche et dans mon cul- Dans ton cul, tu n’arriveras même pas à faire entrer le début de la tête.- Laisse-moi faire, on verra bien.- Fais comme tu veux mais je te préviens c’est tant pis pour toi, si tu m’excites trop il faudra que tu la prennes dans ton cul blanc, sinon je vais te l’enfoncer de force.- D’accord.- Méfie-toi, je ne bande pas encore complètement, quand ma queue est dressée elle fait 28 centimètres de long et 7 centimètres de diamètre.- Tant que ça !- Eh oui Pédé, ça c’est le zob de Lamine, tu rigoles moins maintenant.- C’est vrai mais je veux quand même essayer.- D’accord mais je t’ai prévenu.- Oui.- Alors vas-y pédé, commence à sucer’.Je commençai à caresser le gigantesque zob noir qui se mit à grossir et à grandir encore pour atteindre ses dimensions surréalistes.La bite était 2 fois plus large et 3 fois plus longue qu’une bite de bonne taille, je pense qu’elle faisait plus de 28 centimètres de long mais ce n’est pas ça qui m’effrayait quand même, c’est la grosseur.A ce moment je me demandai s’il ne valait pas mieux tout arrêter car je n’étais vraiment pas sur de pouvoir m’empaler sur un tel morceau.En même temps j’avais tellement envie de me faire défoncer par un tel engin que je me dis que je devais tenter le tout pour le tout quitte à me faire déchirer le trou.J’att**** la queue de Lamine et enfournai son gland dans ma bouche.Le bout durci était gros comme un champignon, je passai ma langue autour.Cet attouchement eut pour effet de faire encore gonfler la pine qui était dans ma main, c’était tellement énorme que je n’en faisais pas le tour.La bite de mon amant avait un bon goût salé, j’aimais ce gland rose et cette peau noire que je faisais passer dessus dessous.Ce n’était pas la première fois que je suçai des grosses hampes et je m’étais fait une spécialité de pipes profondes.J’enfonçai progressivement ce fantastique membre dans ma gorge bien au fond tout en ouvrant grand ma bouche pour aller chercher le plus loin possible.La monstrueuse tête buta contre mes amygdales, j’eus un haut le coeur et ne fus pas loin de vomir.Je sortis le sexe d’entre mes lèvres et le lubrifiai de salive puis j’avalai à nouveau le phallus raide.Mon homme était vraiment excité par ce que je lui faisais, il me dit ‘Jamais une femme ne m’a fait ça, tu suces divinement bien’.Je me mis à lui lécher les couilles tout en le branlant, se cambrant pour s’offrir encore plus à ma douce caresse mon mec murmura ‘Hummm c’est bon continue salope’.Je caressai ses couilles bien mouillées de salive et le suçai encore à fond. Chaque fois que sa bite rentrait à fond, il me disait ‘C’est trop bon, tu vas me faire jouir je vais pas tenir longtemps comme ça’.N’écoutant pas ce que Lamine me disait je continuais ma lente fellation, pompant le gland de mes lèvres crispées.Au bout de quelques instants je sentis l’immense pénis tressauter sur ma langue, j’enfonçai la verge tuméfiée au plus profond de ma bouche et dans un râle langoureux mon amant éjacula.Je reçus un flot de sperme crémeux au fond de la gorge que j’avalai avec délice puis je sortis le monumental zob de ma bouche tout en cajolant le gland qui continue à se vider en moi par saccades.Quand je libérai enfin mon homme, celui-ci me dit ‘Tu es vraiment une salope, tu suces comme une pute.- je suis content que ça t’ait plu.- Oui ça m’a plu mais maintenant ce que je veux voir c’est si ton trou du cul est aussi bon que ta bouche.- Tu vas voir il est encore meilleur, tous ceux qui m’ont déjà baisé disent que je baise mieux que la meilleure des putes.- C’est ce que nous allons voir.- Bien sur mais étant donné ton calibre, la seule chose que je te demande c’est de me laisser faire.- Pas de problème du moment qu’à la fin tu sois bien enculé.- c’est aussi ce que je veux, j’ai envie de jouir par ta bite.- Alors vas-y, prépare ton petit cul blanc à recevoir ma grosse bite noire’.Je fis mettre mon mec à plat ventre, je me mis à cheval sur sa queue et frottai mon cul à sa bite.Aussitôt je sentis sa bite bander sous mes fesses et devenir raide.Je me mis à faire des ondulations et le monstrueux phallus retrouva ses phénoménales dimensions.Lamine, profitant du fait que je me sois levé, m’enfonça deux de ses doigts dans le trou du cul.Cette soudaine intromission me fit pousser un petit cri de douleur qui fit rigoler mon amant.J’avais compris qu’avec mon homme ce ne se ferait pas dans la douceur, et pour lui la seule chose qui comptait c’était de m’enfoncer sa bite dans l’anus et de tirer son coup.Lamine m’enfonça un troisième doigt et fis tourner sa main pour m’élargir la pastille.Je commençai à être en feu et je ne pus m’empêcher de pousser un lourd soupir de bien-être.Mon amant jugeant que le prémisses avaient assez duré m’écarta les fesses, il positionna son gland turgescent à l’entré de ma grotte et me dit ‘Allez salope empale-toi sur mon gros boudin’.Lentement je commençai à peser sur le puissant bout durci, je sentis ma fente s’ouvrir.Quand la colossale tête de son sexe écarta mes chairs et commença à me pénétrer, j’eus l’impression qu’on m’ouvrait le cul en deux et je poussai un hurlement de douleur et me redressai pour soulager le mal qui se propageait dans tout mon corps.Mon homme me dit ‘Alors sale pute, tu vas te l’enfoncer dans ton joli cul blanc ou il faut que je le fasse’.Je redescendis et petit à petit, en serrant les dents pour ne pas crier je sentis cet énorme gland rentrer dans mon cul.Quand enfin l’imposant bout durci fut en moi, j’avais l’impression qu’un fer porté au rouge était planté au fond de mes entrailles et je pleurais à chaudes larmes.Mon mec jugeant que ce n’était pas suffisant commença à s’activer faisant entrer sa queue de plus en plus dans mon trou.J’ai le cul complètement défoncé, mais mettant canlı bahis şirketleri mes mains en dessous je me rendis compte que sa queue n’était pas rentrée à fond.Lamine poussa encore et je me retrouvai assis sur ses couilles.Jamais de ma vie je ne m’étais senti aussi rempli, je sentais au fond de moi cette virilité considérable palpiter.La souffrance qui me tenaillait était telle que je ne pouvais m’arrêter de pleurer, mon amant en riant me dit ‘C’est bien petite pédale, tu as réussi à prendre toute ma bite dans ton joli petit trou du cul, tu as mal mais c’est normal, tu vas voir quand je vais bien t’enculer, après ton joli petit trou de salope blanche va s’ouvrir et tu vas bien aimer la grosse bite de Lamine.- Je le sais mais putain tu me fais mal, tu me déchires- T’inquiète pas, ton trou va s’ouvrir, je vais le casser’.Nous restâmes un moment immobile, je sentais mon anneau céder peu à peu, et la douleur commença à laisser place au plaisir.Mon homme me dit ‘Il me semble putain que ma queue est un peu moins serrée, ta rondelle commence un peu à s’ouvrir, vas-y décontracte-toi et laisse-toi faire, je vais bien te baiser comme tu le mérites petite pute’.Tout en gardant sa queue dans mon cul, mon mec me retourna.Il me mit les jambes en l’air et commença à me baiser en de longs mouvements de va et vient m’arrachant à chaque passage des couinements de douleur.Au bout de quelques instants de ce traitement mon anus céda complètement et la gigantesque pine put coulisser en moi sans gène aucune.Je sentis le désir m’envahir et dis à Lamine ‘Défonce-moi, elle est bonne ta grosse queue, mets-moi ta queue, je veux ta queue’.Mon amant se mit à me baiser superbement bien, c’était trop bon de sentir ce superbe phallus me ramoner, m’ouvrant un peu plus le cul chaque fois qu’il plongeait jusqu’à la gardeLe plaisir que je sentais monter était si fort que j’avais l’impression de jouir du cul.En réalité vu les dimensions de ce qui me forait les reins, sa pénétration était tellement profonde que mes pertes anales lubrifiaient mon cul et souillaient sa bite.Jamais je n’avais joui du cul comme cette fois-ci.Mon homme sortait et entrait sa hampe ce qui me laissait entrevoir mon anus ouvert.Je savais que mon anus était un véritable trou béant, un vrai cul avaleur de bites de toutes sortes mais une grosse noire comme celle-là, c’était la première fois.Sous les assauts répétés de mon mec, le désir ne fut pas long à prendre possession de mon être, le pénis coulissait maintenant sans aucune gène dans mon étroit tunnel et chaque poussée me faisait gémir, je me cambrais pour offrir encore plus mon cul à cette merveilleuse verge qui me ramonait, le plaisir montait en moi par vagues successives, j’avais rejeté la tête en arrière, les yeux clos je ronronnais de bonheur chaque fois que le membre turgescent se plantait au plus profond de moi, mon amant me tringlait de toute la longueur de son sexe le faisant sortir presque entièrement de mon trou pour replonger jusqu’à la garde la seconde suivante, je commençais à rouler des hanches en cadence.Je ne savais plus depuis combien de temps il me besognait mais le bonheur qu’il me donnait était tel que je voulais qu’il me bourre indéfiniment, j’avais perdu le sens des réalités, seul comptait pour moi ce magnifique zob qui me forait les reins, j’avais les fesses en fusion et l’anus complètement dilaté et je me mis à râler sous ses puissants coups de bite qui m’ouvraient chaque fois plus le fondement suppliant celui qui me fessait de me défoncer encore plus, mais sourd à mes râles il continuait à me limer avec une régularité de métronome.Soudain une boule de chaleur se forma au creux de mon estomac et remonta vers ma figure, le plaisir m’envahissait totalement je me mis à hurler toutes les phases de la jouissance par lesquelles je passais.Un spasme foudroyant me balaya, je me cambrais au maximum pour m’offrir totalement à mon amant, un hurlement de jouissance pulsa de ma gorge ‘Ahhhhhhhhh’ et je perdis connaissance.Quand je revins à moi, Lamine était toujours en train de me sodomiser en de lents va et vient, son ventre musclé claquant contre mon fessier en feu, tout mon être brûlait littéralement.Mon amant ressortit sa grosse pine merdeuse de mon fion explosé, je lui dis: ‘Donne-moi ta queue, je veux te la sucer’.Il me fourra son pieu dans la bouche, sa bite avait le goût de mon cul, elle était souillée de mon ramonage anal mais contrairement à d’habitude je n’éprouvai aucun dégoût à sucer un sexe sale.Je nettoyai l’énorme zob avec ma langue et mes lèvres puis progressivement je l’enfonçai dans ma gorge et l’avalai du plus profond que je pouvais.Je me mis à tailler une pipe à mon homme avec passion et amour.Je suis littéralement folle de cette bite et je dis à mon mec ‘Je veux que tu deviennes mon homme, Lamine, je t’appartiens pour toujours, je suis à toi.- Mais non salope tu n’es pas à moi, tu es une véritable chienne qui ne veut que de la bite, le jour où tu vas trouver une autre bite noire aussi grosse que la mienne, tu m’oublieras.- Tu as raison.- Allez donne-moi encore ton joli petit trou du cul’.Nous nous sommes mis en 69, il me mit un doigt dans le cul pendant que je le suçai vigoureusement.J’avais la bouche grande ouverte ne pouvant que garder son gland tout en passant ma langue sur son frein puis je pris cette partie sensible du gland entre mes lèvres. En le pompant par à-coups, je lui dis ‘ Je t’en prie, viens dans ma bouche, décharge, vide tes couilles.- Non petite pute, c’est dans ton trou du cul explosé que je veux vider mes couilles.- Oh oui je suis en feu, baise-moi encore fort- Oui salope je vais te baiser très fort’ Lamine me mit sur le dos, il prit mes jambes et les replia vers ma tête de sorte à ce que mon oeillet ressorte, puis d’un violent coup de reins il s’enfonça entièrement en moi me faisant gémir et prenant appui sur mes mollets il se mit à me pilonner l’arrière-train avec des ‘HAN’ de bûcheron.Je voyais entre mes cuisses son phallus entrer et sortir de moi à toute vitesse, ses vigoureux coups de boutoir me faisaient avancer sur la couche chaque fois que son pénis érigé se fichait au plus profond de mon cul, je me tordais comme un damné sous celui qui me chevauchait, j’avais l’anus complètement éclaté et le plaisir se remit à s’insinuer en moi sourdement, ma tête ballottait de droite à gauche sous les virils assauts que mon amant m’assenait, je ne vivais plus que pour et par le sexe raide qui me forait les reins, je me mordais les lèvres pour ne pas hurler tant le traitement que je subissais était bon, me cambrant le plus possible, j’avais relevé mon fessier venant à la rencontre de la magnifique bite qui m’arrangeait le trou, de ma bouche ne sortait plus qu’un ‘Ahhhhhhhhhh’ continu.Je ne savais plus depuis combien de temps mon homme me bourrait mais je voulais qu’il continue, jamais au cours d’une enculade je n’avais joui autant, mon corps était parcouru de soubresauts sous les va et vient effrénés, canlı kaçak iddaa des gouttes de sueur marbraient le front de mon mec et les grimaces qu’il faisait chaque fois qu’il m’enfessait montraient le pied qu’il prenait, sa respiration devenait saccadée et ses mouvements plus désordonnés, j’avais atteint le paroxysme de la jouissance.S’enfonçant au plus profond de mon rectum, Lamine explosa en feulant, son foutre crémeux m’inondant le fondement m’électrisa, un orgasme dévastateur déferla en moi, mon corps s’arqua sous mon amant, je tendis ma croupe vers la source qui continuait de couler entre mes fesses, mes jambes battirent l’air et un strident hurlement de bonheur jaillit de ma gorge puis je retombai lourdement sur le sol yeux clos, cuisses écartées, flottant dans l’univers cotonneux de la jouissance, Lamine se retira de moi.Quand après plusieurs minutes, je refis surface, je trouvai mon homme étendu à mes côtés, il me sourit et me dit ‘Tu es vraiment la reine des putes.- Merci, c’est vrai ce fut super bon, j’ai pris un pied du tonnerre.- je l’ai vu et entendu, ça n’avait pas l’air de te déplaire.- Bien au contraire, c’est plutôt que j’en redemanderai.- Mais tu vas en avoir encore.- J’y compte bien car j’ai très envie.- T’inquiète pas, je vais t’en donner de la bite noire mais dis-moi qui es-tu ?- Je ne comprends pas.- Je n’ai jamais vu un pédé comme toi, quand on te baise on croit baiser une pute.- Quand je me fais baiser je suis comme une pute, j’adore la bite.- Ca je le sais- C’est pour ça que je suis venu ici car ce que je veux c’est des grosses bites et il est dit que c’est vous quiavez les plus grosses bites du monde.- C’est ce qu’on dit.- Voilà je suis folle de la bite, donc je suis venu ici en vacances pour me faire baiser jusqu’à ce que j’ai le culcomplètement éclaté.- Pour ça tu peux être tranquille, ton trou du cul est déjà complètement éclaté.- je le sais mais je veux que ce soit comme ça tous les jours pendant lesquels je vais rester ici.- Et tu comptes rester combien de temps ?- deux semaines.- Ouah !!- Et oui.- Et des partouzes ça te branche ?- Bien sur surtout si les autres sont aussi bien montés que toi.- Il y en a qui sont encore mieux montés que moi- Super.- On se fait une autre petit baise et après si tu veux on ira passer la nuit chez des copains.- D’accord, j’ai encore très envie de sentir ta superbe bite me ramoner le cul et d’accord aussi pour ce soir- OK je vais me baigner et je reviens.- Je vais en faire autant’.Quand nous revîmes, Lamine était à genoux à côté de moi sa verge à demi flaccide, je pris le sexe dans mes mains et le décalottant je me mis à le branler lentement, l’effet ne fut pas long à se produire, le pénis s’érigea en de lentes saccades et finit par pointer fièrement vers le plafond, je forçai mon homme à se coucher et me mettant sur le ventre en travers de son corps, j’entrepris de lécher le phallus qui avait retrouvé ses fabuleuses dimensions.Ma langue courrait le long de la tige turgescente, descendant parfois vers les bourses gonflées de sève pour les gober, les poils follets de ses testicules étaient humide du bain que Lamine venait de prendre, mes attouchements buccaux avait fait grossir la hampe, une goutte de sperme translucide perlait au bout de son méat, dans le creux de mes reins commençait à s’insinuer un désir langoureux, j’abandonnai un instant l’objet de ma dévotion, le priape était luisant de salive, mon mec posa sa main sur ma nuque et appuyant légèrement dessus me montra ce qu’il voulait, j’ouvris tout grand la bouche et entamai une lente fellation.Au bout de quelques instants de ce traitement, mon amant commença à donner quelques coups de reins chaque fois que ma tête remontait le long de sa pine dressée, je continuai à la titiller tout en enroulant ma langue autour de sa colonne de chair et en la mordillant.Soudain, Lamine stoppa ma pipe et se leva, il prit mes jambes et les posa sur ses épaules, il écarta mes fesses brûlantes et guida sa bite entre elles contre mon antre béante, quand je sentis son gland contre mon sphincter affamé, je lui dis ‘Vas y défonce moi’.Il pesa sur ma corolle toujours ouverte par notre étreinte précédente et entra en moi comme dans du beurre me faisant gémir, puis prenant appui sur ses avant-bras, il commença à me marteler en de lents va et vient qui ne tardèrent pas à me faire perdre pied.Je fermai les yeux et me laissai sombrer dans le désir sous les assauts répétés de mon homme, le sexe coulissait en moi sans aucune gène, chaque poussée m’ouvrait un peu plus le cul, j’avais du mal à respirer tant le plaisir qui affluait en moi était grand, j’avais rejeté la tête en arrière et tendais ma croupe vers ce fabuleux pénis qui me cassait la pastille chaque fois qu’il plongeait en moi jusqu’à la garde.Mes gémissements s’étaient depuis longtemps mués en profonds râles de bonheur, mon fessier se soulevait au rythme des coups de boutoirs que mon mec m’assenait, le cul complètement éclaté je remuais la tête de gauche à droite et griffai la serviette de plage, chaque fois que la pine roide se fichait au tréfonds de mon fondement je poussais de petits cris de plaisir, je voulais que mon homme entre chaque fois plus profondément en moi, repliant encore plus mes jambes de telle sorte que mes genoux touchent presque ma tête, faisant ressortir plus mon anneau et accentuant l’angle de pénétration, Lamine se coucha sur moi et se mit à me posséder de toute la longueur de son impressionnant pénis, sous ses coups de bite, je ne tardais plus à atteindre le point de non-retour, hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.Un spasme foudroyant traversa mon être, je me cambrais sous mon amant et un hurlement de jouissance pulsa de mes lèvres, puis je retombai lourdement sur le sol perdant connaissance.Quand je repris conscience, Lamine était toujours en train de me besogner avec une régularité de métronome, voyant que j’étais revenu à moi, il se retira de mon cul et me fit mettre à quatre pattes puis me pénétra d’un violent coup de reins et me prenant aux hanches, se remit à me sodomiser me faisant aller et venir sur toute la longueur de son phallus.Le désir ne fut pas long à reprendre possession de mon corps enfiévré, mon mec toujours d’un calme olympien m’éclatait de plus en plus la pastille, j’avais l’impression qu’il était en moi depuis une éternité, j’étais secoué de frissons de désir, j’avais l’impression que de la lave en fusion coulait de mon tunnel enflammé, lâchant mes hanches Lamine me prit par les épaules et se mit à me pilonner l’arrière-train à une vitesse folle, son ventre musclé claquait contre mes miches en feu à me faire mal, la bouche grande ouverte je hurlais sans discontinuer sous les puissantes poussées de mon amant, tout mon corps tremblait tant j’étais excité chaque fois que mon homme m’enfilait jusqu’à la garde, j’étais obligé de me cramponner pour ne pas tomber sous les violents assauts que mon doux tourmenteur me faisait canlı kaçak bahis subir, je n’étais plus que jouissance, chaque fois que la monstrueuse pine plongeait au tréfonds de mes entrailles, je me sentais partir un peu plus, je suppliais Lamine de décharger car seule sa semence pouvait éteindre l’incendie qui couvait en moi, mais lui sourd à mes cris continuait à me défoncer la raie avec une régularité de métronome, le traitement que mon mec m’affligeait me faisait monter au septième ciel, je tendais ma croupe vers ce pénis qui me cassait si bien le cul pour accentuer la pénétration, des vagues de plaisir prenaient naissance dans mon bas ventre et remontaient vers mon visage pour éclater en mille étoiles, jamais je n’avais autant joui au cours d’une enculade, je voulais qu’il me démolisse complètement le fion, qu’il me déchire pour qu’il puisse entrer entier en moi, sous les virils coups de queue je tombai en avant de telle sorte que je reposai sur les avant-bras le cul en l’air entièrement écartelé, Lamine m’ayant agrippé aux cuisses me ramonait avec des ‘HANS’ de bûcheron, j’avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.Un orgasme fulgurant me transperça, la tête rejetée en arrière je hurlai mon bonheur tout en tendant mon derrière vers la merveilleuse verge plantée au plus profond de mon cul, mes cuisses se dérobèrent sous moi et je m’affalai à plat ventre sur le sol, flottant dans l’univers cotonneux du plaisir physique, je sentis l’immense verge sortir de mon canal et mon amant s’allongeant à mes côtés se mit à me caresser, quand je rouvris les yeux mon anus palpitait toujours, la première chose que je vis fut le sexe toujours dressé de mon homme, ça là que je m’aperçus qu’il n’avait pas encore joui, s’étendant sur le dos Lamine me dit ‘vienst’asseoir sur moi en me présentant ton dos’.Je m’exécutai, il guida son membre en moi et me prenant sous les cuisses me fit monter et descendre sur sa pine érigée.Le désir ne fut pas long à reprendre possession de mon être, j’étais comme un fétu de paille entre les bras de mon homme, ma tête ballottait de droite à gauche au rythme de l’enculade que je subissais et je me remis à râler tout en enserrant la taille de mon mec de mes pieds, je posais mes mains sur ses jambes pour imprimer une cadence plus soutenue, le membre coulissait en moi merveilleusement, en dehors de mes râles entrecoupés de petits cris on entendait les bruits de succion que faisaient mon cul chaque fois que la verge turgescente s’enfonçait jusqu’à la garde.Soudain Lamine me prit par la taille et m’immobilisa contre son pubis, puis il se mit à donner de violents coups de reins qui malgré qu’il me tienne me faisaient sauter chaque fois qu’il m’enfessait totalement, tel un pantin désarticulé, mon corps ballottait sous les furieux assauts que m’affligeait mon amant survolté, mes râles s’étaient mués en cris de jouissance, j’avais le cul en feu, tout mon être ravagé réclamait sa pitance, je voulais son sperme, tout en ondulant des hanches je le suppliais de m’inonder de sa crémeuse liqueur, mais lui sourd à mes cris continuait à me piner de toute la longueur de sa formidable bite, je planais littéralement le plaisir que je recevais était fabuleux, j’avais atteint la plénitude rectale, seule pour moi comptait l’extraordinaire phallus qui me forait les reins, j’avais rejeté la tête en arrière et je hurlai sans discontinuer, je sentais monter en moi les prémices d’un orgasme dévastateur, tout en moi appelait le mâle, je vivais plus que pour et par le zob qui me défonçait un peu plus à chaque fois qu’il m’enfilait.Je bramais des obscénités pour exciter encore plus celui qui me prenait tant ce que je ressentais était grand, perdant toute notion des réalités je me mis à délirer.Soudain une vague déferlante me balaya, je battis l’air de mes bras et jambes ouvrant tout grand la bouche pour chercher l’air qui me manquait, la jouissance explosa dans tout mon corps torturé, un strident hurlement pulsa de ma gorge, mon corps se tendis comme un arc et je tombai à terre sombrant dans l’inconscience.Quand je recouvrais mes esprits, Lamine assis à côté de moi me regardait en fumant, son sexe était toujours en érection, il n’avait toujours pas éjaculé, il me sourit et me dit ‘Alors c’est bon ?- Oh oui, je ai pris un pied géant mais toi mon pauvre quand vas-tu jouir ?- Tout à l’heure, j’ai encore envie de te voir jouir, tu es magnifique quand on voit le plaisir sur ta gueule de salope.- Oui mais moi je voudrais que tu éjacules dans mon cul.- Je vais t’inonder le cul cette fois-ci, ma pute, allez mets-toi le cul en l’air, fais reposer ta figure sur la serviette, lesjambes bien écartées et ton cul bien tendu’.J’obéis, Lamine se positionna derrière moi en m’encula lentement me faisant gémir, puis posant ses mains sur mes hanches il commença de lents va et viens qui ne tardèrent pas à me faire remonter au septième ciel.Sous les longs coups de boutoirs de mon homme je me sentis partir encore fois dans la jouissance, le ventre musclé de mon mec claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal, je devais me cramponner pour ne pas tomber tant ses assauts étaient violents, je tendais mon cul au maximum vers le membre qui me ramonait le prose pour accentuer la pénétration.Depuis longtemps ne sortait plus de ma gorge que des hurlements tant ses viriles poussées me faisait du bien, je ne savais plus depuis combien de temps ce magnifique phallus me bourrait l’arrière-train, mais je voulais qu’il continue indéfiniment, les coups de reins de Lamine étaient si violents qu’à chaque fois qu’il se fichait au creux de mes reins, j’avançai sur la serviette, s’il continuait comme ça il allait me déchirer mais c’était si bon que je voulais qu’il continue, j’étais dans un brouillard où seul comptait ce formidable pénis qui me pilonnait le postérieur, perdant complètement pied je me mis à hurler toutes les phases du bonheur par lesquelles je passais.Soudain se plaquant contre mon fessier Lamine éjacula en râlant, ses épais jets de semence crémeuse m’inondèrent le fondement me déclenchant un spasme foudroyant, un orgasme d’une puissance incroyable pris possession de mon corps enfiévré, je tendis mon cul en fusion encore plus vers la pine qui se déversait au tréfonds de mon tunnel surchauffé, les yeux clos je hurlais de plaisir, puis mes jambes cédèrent et je m’écroulais à plat ventre essayant de retrouver ma respiration.Quand je rouvris les yeux, Lamine me regardait en souriant assis sur l’autre serviette, son sexe, souillé de notre étreinte, reposait enfin apaisé et gluant sur sa cuisse droite, levant la tête vers mon homme je lui dis ‘Qu’est ce que tu m’as mis, jamais je n’ai ressenti un tel plaisir, j’ai cru devenir fou.- J’en suis heureux, car si on ne ressent pas de plaisir en faisant l’amour autant regarder la télé.- Tu as raison mais là c’était divin, tu m’as déjà fait bien jouir mais ça n’avait rien à voir avec tout à l’heure.- Je te l’avais promis.- On peut dire que tu as été au-delà de toutes mes espérances.- Tu sais, quand on a un joli petit cul blanc comme le tien entre les mains, on fait tout pour bien l’enculer.- Crois-moi, tu as réussi, tu es vraiment un baiseur fantastique.- Merci ma salope.

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un bandeau sur les yeux, tu te laisse guider par lTu es assis sur une chaise au milieu, je suis derrière toi , je te bande les yeux ! Ma main frôle ta nuque , descend le long de ton cou , sur tes épaules ! Tu sens mes mains descendre le long de tes seins, mon souffle dans ton cou. Je remonte mes mains lentement , mes lèvres se dépose sur ta nuque , doucement comme les ailes d’un papillon , je bécote , ta nuque , ton cou , je remonte a ton lobe d’oreille ! Je mordille le creux de ton cou , je sens ton souffle s’accélérer.Je me déplace , je suis maintenant devant toi. Tu na pas l’autorisation de me toucher encore , c’est moi qui joues ! Je me penche , dépose mes lèvres sur ton front , doucement je descend vers ta joue , le coin de tes lèvres , tes mains on envie de me toucher. Non tu ne peux pas ! Je mets mes lèvres chaudes sur les tiennes , tout doucement nos lèvres s’ouvrent…le bout de nos langues s’entrecroisent .Timidement au début , avec de plus en plus de passion par la suite ! Un baiser remplie de passion et de sensualité. A bout de souffle je me recule , je te regarde sourire aux lèvres ! Tu ne peux pas me voir , tu ne peux me toucher !Lentement je déboutonne ton chemisier, ma bouche dévale entre tes seins, je les bécote a tour de rôle, je les mordilles et mes mains te caresses ! Tu essaie de me toucher , non pas encore !je te demande de te mettre debout ! J’enlève ton chemisier, mes mains caresses ton dos , reviennent vers ton ventre. Je détache tes pantalons , je suis a genoux devant toi ! Ma bouche ma langue , suis le mouvement , je descend ton pantalon et ma bouche suis. Je bécote tes cuisses , je mordille l’intérieur , je te sens frissonner et j’adore ! Tu es maintenant nue devant moi , les yeux bandés. Mes mains vollent sur ton corps , tes épaules , ton dos , tes fesses hummm ! Mon sexe est dure , et toi très humides.Je te dit de te rassoire , tu es fébriles, tu désires tellement caresser mon illegal bahis corps ! NON , c’est pas encore le moment . tu sens mes main sur tes genou, mes mains te font écarter les jambes. Tu sens tête a l’intérieur de tes jambes, tu sens ma langue se diriger vers ton sexe tout humide. Ma langue es rendu a coté de ta chatte. Tu sens ma bouche se poser sur ton clito, je l’embrasse, le lèche, le sucotte. En même temps que mes main caresse tes cuisses. Mes main se dirige vers ton sexe tout humide d’excitation. tu sens mes doigt écartiller ta chatte et ma langue faisant un mouvement de haut en bas sur ta chatte si délicieuse. Un moment donner tu sens ma langue te pénétrer et commencer un doux va et Vien. Je te sens faire un mouvement du bassin pour que ma langue te pénètre plus profondémentAprès un moment a t’avoir déguster, je me relevé. Tu te demande pourquoi j’arête. mais tu sens mes main se poser sur tes seins pour les caresser , les serrer de mes main. Un moment donné tu sens quelque chose sur le bout de ta bouche, tu sors la langue pour y goûter et tu devine ce que ces, tu ouvre la bouche, tu sens que j’entre mon sexe délicatement dans ta bouche. Tu resserre ta bouche dessus tu sens un mouvement de va et viens. De tes main libre tu te caresse, laissant sortir des hummm en même temps que tu as mon sexe dans ta bouche. Mais je sens que tu veut autre chose. Tu la veut en toi. En même temps que tu me suce, j’enlève ton bandeau pour que tu puisse me voir et voir ce que tu as en bouche. Tu me regarde dans les yeux en me suçant. J’adore ton regard qui en dit long. Tu arrête d’un coup de me sucer, tu te lève et te met a quatre patte en me tournant le dos, tu me regarde et me demande de te prendre a quatre patte. Je me pose donc derrière toi, tu sens mon sexe a l’entrer de ta chatte. Je caresse ta chatte de ma queue bien dur, ensuite tu la sens entrer tout doucement dans ta chatte toute humide de plaisir. Je te illegal bahis siteleri pénètre jusqu’a je sois bien au fond de toi. Je cesse de bouger un instant mes main sont sur tes hanche. Je commence un va et viens lentement, accélérant doucement.Mes main sur tes hanches, tes jolie seins se faisant un plaisir de bouger au rythme de mes va et viens. Un moment donné, tu ne peux t’empêcher de glisser une main entre tes jambes. Tes doigt caressant ton clitos, tu ne peu t’empêcher de laisser sortir de petit crie de plaisir. Cela dure un bon moment.J’arête doucement mes va viens, jusqu a être immobile, mon sexe toujours en toi. Je me penche par dessus toi, ma main attrapant un de tes seins, en le serrant doucement dans ma main, en même temps t’embrassant dans le cou, te chuchotant : ¨je t’adore, tu es trop sexy, et excitante, j’ai encore envie de toi, je voudrais que l’on n’arrête jamais, j’aime tes seins, te chatte toute humide, ton jolie cul, tes alléchantes jambes, ta bouche et tes lèvres chaudes, tes gémissements. ¨.Je retire ensuite mon sexe encore bien dure de ta chatte toute humide. Tu te demande bien pourquoi j’arrête, je me déplace devant toi, tu vois que jai envie que tu me suce de nouveau, tu pose ta bouche sur le bout de mon sexe, tu l’embrasse, tu sort ensuite ta langue pour la lécher, tu la lèche dans toute sa longueur tout en me fixant d’un regard de tigresse. Apres l’avoir bien lécher tu la prend en bouche juste le gland pour ensuite la prendre au plus profond de ta bouche que tu le peux. Tu me lèche un mon moments tout en te caressant le clito d’une main.Au bout d’un moment, je t’arrête je me retire de ta bouche chaude et gourmande. Je t’aide a te relever te tenant par la main je t’amène vers le canapé. Je m’assoie, je te demande de venir t’asseoir par dessus moi. Tu t’exécute donc, tu embarque par dessus moi, mon tenant mon sexe bien droit, quand tu t’assoies sur moi, mon sexe bien canlı bahis siteleri dur entre en toi tout doucement jusqu a je sois bien au fond de ta chatte chaude.On reste un moment sans bouger , tu approche ta bouche de la mienne, nos lèvres se touche, se goûte, elle s’ouvre, permettant a nos langue de se goûter davantage. On s’embrasse avec désire et intensité. Mes mains caressant tes jambes, remonte doucement, allant caresser tes très jolie fesses, les serrant fermement dans mes mains. Continuant ensuite mon ascension, continuant de remonter le long de tes hanches, se dirigeant vers tes seins. Mes mains les caresse avec délicatesse, les serrant tendrement.Tout en continuant de te caresser tes seins, nos bouche se quitte, ma tête descendant plus bas ma langue léchant le creux de ton cou, jusqu a entre tes seins, ma bouche se dirigeant vers un de tes sein, titillant ton mamelon du bout de ma langue, le mordillant tendrement, le prenant a pleine bouche. Je quitte se sein pour aller faire de même avec l’autre. ensuite je quitte tes seins de ma bouche remontant vers la tiennes nos bouche se retrouve de nouveau coller de nouveau.Mes mains commencent a descendre le long de tes hanches, allant caresser tes cuisses, si douce, remontant allant caresser tes fesses. Je les serres entre mes main, je te fait commencer un va et viens doucement. Pour que l’on puisse continuer de s’embrasser. Tu sent mon sexe entrer et sortir de ta chatte toute chaude. Tu arrête de m’embrasser tu commence par toi même un va et viens plus rapide, tu gémi d’excitation, après un moment tu sens venir un orgasme, tu arrête soudainement de bouger tu me serre très fort te laissant aller a un long gémissement de jouissance. Je te chuchote a l’oreille de te mettre a genou devant moi pour que je puisse éjaculer sur tes seins. Tu le fait donc, je me lève, tu prend mon sexe de ta main tu commence un va et viens, tu sens que je vais venir, tu approche tes seins, mon sperme en sort, éclaboussant tes seins . je t’aide a te relever nous nous embrassons avec désirs. Après s’être embrasser nous nous dirigeons vers la salle de bain pour prendre une douche ensemble. Ceci es peut être une autre histoire….

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Chap. VI – “Premier Mec — Fin d’un granD’autres histoires vécues a lire : http://bisoumidomi.unblog.fr— Chap VI —Après l’affaire « Sandrine » , Sonia et moi ce fut un rêve, un régal. Notre complicité était sans pareille, nous allions au-devant des désir de l’autre de façon innée ou presque. Si la découverte de la bisexualité de Sonia avait été une sacrée surprise, la soirée qui s’en était suivie est certainement une des plus mémorables qui soit et encore aujourd’hui tout est gravé dans ma mémoire jusqu’à d’infimes détails.Nous étions assez inséparables avec Sandrine au point qu’il ne se passait pas une semaine sans que nous nous retrouvions tous les trois réunis. Invariablement cela se terminait au lit, enfin au lit pas forcément car nous avions une certaine propension à faire l’amour là où nous nous trouvions ce qui donna parfois de curieux résultats. Ce trio était basé sur le sexe mais aussi sur l’amitié/amour que se portaient les deux coquines et ma mon amour pour Sonia et la sincère amitié que j’avais conçu pour Sandrine qui restera sans doute la seule femme pour laquelle j’avais une amitié comparable à celle qui peut exister entre hommes. Sandrine était devenue un « pote » on parlait cul ensemble comme le font deux hommes, on chahutait chose que je n’ai jamais reproduit avec d’autres femmes.N’allez pas croire que nos relations étaient uniquement centrées sur le sexe, si c’est une part importante et incontournable que j’ai voulu narrer au fil de ces pages, ce n’était pas notre seule préoccupation quand même. Rapidement après cette première soirée a trois et compte tenu du plaisir que nous y avions pris, Sonia mais aussi Sandrine qui faisait partie de la famille, avaient une idée en tête les parties a plusieurs dont j’avais avoué maintenant avoir une certaine habitude.. en fait l’habitude, surtout des trios mais il m’était arrivé d’emmener une amie. Sonia éprouvait une forte curiosité mais se posait quelques questions sur ma réaction, si je la voyais dans les bras d’un autre homme. Autant elle comprenait que j’acceptais de la voir dans les bras de Sandrine, mais elle redoutait de me donner le spectacle d’une femme qui s’abandonne dans les bras d’un autre. Pour moi, dans ma tête je ne voyais pas de problème à jouer de cette façon. Il n’y avait pas de sentiments donc cela ne me posait aucun problème. Je lui disait que elle, ne concevait aucun doute envers moi alors que je faisais l’amour a Sandrine, que moi j’étais dans le même état d’esprit.Sandrine n’avait aucun problème existentiel avec l’idée de participer à ce que l’on peut nommer une partouze. Elle ne voyait là que le moyen de prendre du plaisir. Cela me gênais vis à vis de son statut de femme mariée, de l’entrainer dans ce genre de choses. J’en parlais longuement avec elle, et je fini par en conclure que son mariage ne la satisfaisait pas, qu’un jour ou l’autre elle se séparerait de son mari c’était a peu près inéluctable. Elle ne crut pas à cette éventualité, elle aimait son mari véritablement, s’effaçant devant les impératifs de sa carrière au détriment de ses besoins propres et de sa vie à elle. C’était l’explication de son attachement à Sonia et maintenant à notre couple, elle trouvait avec nous ce qu’elle aurait aimé trouver auprès de son mari.En fait elle n’eurent pas à me convaincre, mais je voulais être sur que Sonia et Sandrine avait la vision de ce qu’allait impliquer ces nouvelles aventures. Sandrine toujours impatiente aurait aimé être de la première expérience, mais Sonia voulait que cette première fois se passe entre deux couples et non notre trio et un couple. C’était à la limite plus conventionnel si j’ose dire. Sandrine bouda quelques minutes mais nous fit jurer qu’on lui raconterais tout, ce qui de toute façon était évident. Sonia insistais aussi pour que la première rencontre ai lieu chez nous. J’étais assez amusé par les petites réticences de Sonia, elle qui pourtant n’était pas timide peu s’en faut..Je repris contact avec M & M , hé oui c’était leur surnom clin d’œil sur les initiale de leurs prénoms Michelle & Marc, ces derniers furent enchantés d’avoir de mes nouvelles après plusieurs mois. Je leur expliquait ma nouvelle situation, que j’avais rencontré la femme de ma vie, et qu’elle avait vu d’un œil intéressé la possibilité de nous amuser à plusieurs. Marc en plaisantant me demanda si maintenant j’avais envie de m’amuser avec un homme, ce à quoi je répondis qu’a priori c’était pas prévu avant la prochaine aire glaciaire. Il était décidé que le prochain week-end nous le passerions ensemble.Sonia fut fébrile toute la semaine, impatiente mais aussi inquiète. Elle avait une appréhension que je ne comprenais pas. Je finis par lui faire avouer que c’était de faire l’amour avec un autre homme devant moi qui l’angoissait. Peur de trop prendre de plaisir et que j’en soit jaloux, peur de faire mauvaise impression, de passer pour une salope devant l’autre femme. Des préventions incroyables compte tenu de ce que nous avions vécu avec Sandrine. Mais pour Sonia, avec Sandrine ce n’était pas pareil, comme si Sandrine et elle c’était la même chose. On faisait les pires folies avec elle, dans la bonne humeur et avec naturel comme si le sexe a trois était une chose normale, mais la perspective de se retrouver avec un autre homme pour faire en fin de compte les mêmes folies lui causait un peu d’angoisse. Oh ce n’était pas énorme comme malaise mais il était là, un peu de trac en fin de compte.Quand arriva la fin de semaine, Sonia avait tout prévu, nous avions trouvé plus sympa de commencer par faire connaissance pendant un bon repas, mon petit ange avait mis les petits plats dans les grands et une fois tout réglé elle c’était mise à se pomponner et à se mettre en valeur. Et même si bien sur j’étais amoureux donc aveugle, je dois admettre que c’est sans doute la plus belle de toutes les compagnes que j’ai eu, et ce soir là.. Mon dieu qu’elle était belle, je retombais amoureux une deuxième fois.Michelle et Marc arrivèrent, je faisais les présentations, Sonia était un peu tendue ne sachant pas vraiment quelle attitude avoir serrer la main ou faire la bise elle ne savait que faire.Michelle détendit la situation en lui faisant la bise d’entrée de jeu et en disant en me montrant du doigt..« Lui je le connais trop bien, je sais ce que tu endure avec lui .. Il te fait grimper au rideau à chaque fois.. Hein? C’est çà ma pauvre chérie»Sonia éclata de rire et dit« Ah oui vous.. enfin …tu le connais bien je vois çà..Mais je le garde maintenant !! »« Ah au moins sur terre il y a deux mecs heureux.. toi et moi » dit Marc« Regarde les femmes magnifiques que l’on à… » puis s’adressant a Sonia« Tu est vraiment superbe, il m’avait dit plein de bien de toi mais il a toujours eu très bon goût.. la preuve il aime beaucoup ma femme … comme moi.. »Le ton était donné, Sonia me jeta un petit regard en coin et un sourire qui en disait long. Elle était souriante et se détendait tout irait bien.. Michelle aussi était superbe, elle n’avait plus ses cheveux bouclés mais une coupe courte un peu garçonne et une teinture très rousse, un chemisier blanc diaphane qui ne cachait rien de ses seins, une jupe en skaï très ouverte également. Je remarquais qu’elle portait un collier de cuir fin autour du cou, très seyant et très coquin.Nous avions attaqué l’apéritif et les conversations allaient bon train. On évoquait le plaisir que nous prenions à nous amuser en groupe. J’évoquais la soirée surprise de ma rencontre avec l’amie de Sonia il y avait une quinzaine de jours.. naturellement j’avais demandé a Sonia si elle voulais bien qu’on évoque cette soirée torride.Michelle et Marc étaient aux anges. Je savais qu’ils avaient apprécié notre rencontre et qu’ils cherchaient un couple complice. Cette fois ils étaient presque certain d’avoir trouvé la perle rare, nous. Michelle et Marc étaient simples et ne cherchaient pas de choses compliquées. Bonne humeur, bonne chaire et jeux sexuels sans complication pas question d’être super beaux, super performants mais il faut aimer, partager, donner du plaisir. Quoi d’autre? Voilà une vraie relation qui marche. Ils sentaient que avec Sonia et moi ca marcherait. Je taquinais Marc qui ne quittait pas Sonia des yeux.. « C’est pas de ma faute, elle est trop belle non? » disait il a l’attention de Michelle.« Bien sur qu’elle est belle et moi elle me plait beaucoup, je crois que tu aimes les femmes Sonia? » demanda Michelle.« Oui oui j’aime les femmes mais aussi les hommes, et le tien est assez craquant je trouve » répondit Sonia en souriant à Marc.« Alors tu veux bien que je t’embrasse » dit Michelle en se levant et s’avançant vers SoniaSonia se leva et prenant les mains de Michelle elle se rapprochèrent lentement, souriantes toutes les deux.. Leur lèvres se frôlèrent, puis elle s’entrouvrirent, pour se souder en un long, très long baiser. Leurs mains désunies maintenant se posaient sur leur fesses, les caressant doucement. Marc et moi étions sous le charme. Elles étaient belles nos femmes.Le baiser cessa. Elle s’assirent, les yeux brillants.« Ouahh » dit Michelle « tu embrasse super bien.. c’était vraiment chaud ça m’a tout excitée »« Merci » répondit Sonia « Mais tu est aussi très douée, j’ai adoré, moi aussi j’ai chaud »Elles avaient chaud mais Marc et moi on était chauds bouillants même..« Hé les garçons vous ne vous embrassez pas? » dit Sonia la mine réjouie et faisant un clin d’œil à Michelle.Cela m’aurais étonné que Sonia ne lance pas se genre de défi, car elle m’avait sondé tous les jours ou presque pour savoir si je n’aimerais pas qu’il se passe quelque chose avec un homme.. Je savais maintenant ce qu’elle espérait. Moi je n’étais pas du tout convaincu ni prêt à çà. Je ne l’imaginais même pas. Marc lui était partant.« C’est bête, nous on ose bien » insistait Sonia.J’étais piégé, roulé, reculer ou faire la mauvaise tête risquais de foutre en l’air la soirée même si j’en avais pas envie au fond de moi ce n’était pas si terrible.. au fond.. Je finis par dire oui..« Viens là ma beauté, ma petite chérie » dit Marc goguenard. Je riais jaune, mais je riais quand même.Sonia et Michelle s’étaient levées et approchée de nous deux.. Le pire c’est que j’avais du mal à rester sérieux, ne pas éclater de rire. Même Marc prenais çà a la rigolade. Nos bouches s’approchaient, finirent par se toucher, j’ouvrais mes lèvres et la langue de Marc repoussa la mienne dans un baiser enflammé, mécaniquement il n’y a aucune différence entre un baiser d’homme ou de femme, mais dans la tête c’est deux mondes.. Nous nous roulions une sacré gamelle.. Ce n’était pas si désagréable mais je n’y prenais pas de plaisir. Par contre quand je sentis la main de Marc entre mes cuisses caressant ma queue, là cela me fit de l’effet et je bandais instantanément. Je lui rendais la pareille, pas de raison.. Et là je fut troublé car alors que je sentais sa queue qui était gonflée également sous ma main. Je me rendis compte que çà me plaisait. Le baiser non mais les caresses oui.Notre baiser cessa sous les applaudissement de nos deux belles qui chacune nous prodiguèrent un baiser de remerciement.« Ils sont trop choux nos petits hommes, ils font tout ce qu’on leur demande » dit Michelle.« Mais c’est parce que vous êtes des cochonnes toutes les deux.. vous êtes mêmes deux belles salopes mesdames » dis-je.En en cœur elle répondirent d’un air lascif « Oui on est des salopes mais on aime çà »La soirée était sur les rails.. Le courant passait super bien entre nous tous, je savais déjà que avec moi ca ne posais pas de problème et Sonia avait été adoptée alors que plusieurs amies que j’avais entrainé avec les M&M ça n’avais pas été aussi spontané et relax.L’apéritif dura un moment pendant lequel on parla de tout, voilà ce que c’est que les partouzes, on est libre de s’amuser mais on ne se saute pas dessus.C’est épicurien, hédoniste. Contrairement aux idées reçues ce n’est pas vulgaire, cela peut l’être sans doute avec des gens mal choisis, mal assortis. Tout ce qui se passe est fait dans le plus grand respect de l’autre. C’est un grand moment de plaisir.Durant tout le repas les discussions roulèrent sur divers sujets et bien sur le sexe, les parties a plusieurs. Sonia curieuse posait plein de questions et elle était de plus ne plus a l’aise et rassurée. Marc la dévorait des yeux mais il n’avais pas encore eu le moindre geste familier. Alors que Michelle me caressait la main, ou me taquinait et que les filles n’hésitaient pas a s’embrasser.Marc se pencha vers moi et me dit doucement« Bon sang qu’est ce qu’elle est belle »puis« J’ai hâte d’en voir un peu plus » avec un clin d’œilIl ajouta ensuite« Dis donc, tu à l’air chaud pour qu’on s’amuse entre mec.. tu changes mon vieux!! »Je lui dit que peut être ça se ferait, mais que pour embrasser franchement c’était pas mon truc.. JE lui demandais si lui il aimait embrasser un mec. Marc était partagé, il aimais plutôt mais ce n’était pas indispensable non plus.. Une nouvelle qui me soulageait dans l’éventualité ou l’on se lancerait. Mais je pressentait que ça allait arriver.. ce soir peut être ou plus tard mais maintenant cela me semblait inéluctable. Et soyons clairs, Sonia m’avait fourni le prétexte pour que je franchisse le pas. Ce que je n’aurais peut être pas fait sans son envie de me voir, avec un homme.Le repas était excellent, nous avions évoqué aussi et raconté par le menu notre aventure avec Sandrine. Nous avions aussi annoncé que cette dernière avait très envie de s’encanailler avec nous dans des aventures multiples. Michelle et Marc étaient ravis et on commençait déjà à faire le compte des week-end possibles.Au moment du café, j’avais demandé discrètement a Sonia d’être très sensuelle avec Marc qui étrangement semblait un peu coincé avec elle. JE vis qu’elle glissait quelque chose à l’oreille de Michelle puis après avoir servi le café à tout le monde, elle s’assit directement sur les genoux de Marc. Michelle s’était approchée de moi et me caressait le cou en regardant la scène entre Sonia et Marc. Ma belle Sonia était bien installée sur Marc qui semblait un peu surpris. Elle passa sa main dans les cheveux de Marc puis doucement lui prit la main et la glissa doucement dans son décolleté en lui disant.« Tu est sur que je te plais? Ou tu est timide? Moi je croyais que vous étiez des bêtes de sexe et tu à l’air tout impressionné. » puis elle prit son visage et lui posa un énorme baiser sur les lèvres.Michelle avait glissé sa main dans ma chemise et me caressait les tétons tandis que ma main remontait le long de ses cuisses. Marc caressait les seins de Sonia, son décolleté étant plus que profond elle avait maintenant les deux seins exposés. La voir ainsi me faisait de l’effet. J’étais déjà très tendu avec les mains de Michelle sur mes tétons c’était impossible de résister.« Elle est géniale ta copine » me glissa Michelle à l’oreille.Sonia était à l’aise et souriait en me regardant, ses mains étaient en train de défaire la ceinture de Marc qui faisait tout pour lui faciliter la tâche.De mon côté j’avais glissé mes doigts dans la culotte de Michelle et je sentais la moiteur de sa chatte. Tandis qu’elle avait ouvert mon pantalon et sorti mon sexe tout gonflé.Il était impossible de rester sur les chaises dans la salle à manger, a moitié déshabillés je donnais je signal pour que nous passions au salon.Le temps de faire les 3m qui nous séparaient des canapés, les filles avaient laissé tomber robes, jupes et chemisiers. Marc et moi avions déjà tout tombé, même les chaussettes. Et lui comme moi on était en pleine forme. Michelle et Sonia s’étaient installées côte à côte sur le canapé, elles étaient enlacées et nous regardaient. Sonia avait glissé quelque chose à l’oreille de Michelle qui avait ostensiblement acquiescé en hochant la tête. Sans qu’elles aient dit un mot je sentais le coup venir. C’est Michelle qui prit la parole :« Les hommes, vous avez fait un gros baiser tout à l’heure c’est un début, maintenant ma nouvelle copine et moi on aimerait en voir plus… »Et me regardant plus précisément« En plus elle m’a dit que de temps en temps tu te faisait prendre par elle…Tu aimerais peut être autre chose que du plastique non? »« Petit cachotier » me dit Marc en me plaçant une belle claque sur les fesses.. Puis« Écoutes c’est comme tu veux, on en a déjà parlé si tu en a envie pu que tu veux juste essayer c’est le moment… Mais personne ne t’en voudra si ca le fait pas. Même les deux cochonnes là te consoleront. »puis il ajouta..« J’aurais préféré m’amuser avec Sonia.. mais toi ça faisait un moment que j’avais envie aussi.. alors.. »« Mais je m’occuperais de toi après » dit Sonia « Pour le moment, on va profiter du spectacle et on se fera du bien toutes les deux » renchérit Sonia.Cette fois.. je n’y couperais pas. Au fond de moi même j’admets que l’idée avait fait son chemin et il ne manquais que l’élément déclencheur. Maintenant, restait à savoir si j’allais aimer ou détester, c’était quand même pas évident. Heureusement Marc avait de la pratique avec d’autres amis bisex.« Au moins j’aurais pas besoin de te faire bander, une autre s’en est chargée.. » dis-je pour masquer mon appréhension.Ce fut un grand moment de solitude.. Je ne savais pas quoi faire par quoi entamer les hostilités.On était debout en face du canapé, à poil, la queue dressée. Marc me sauva la mise en prenant ma queue dans sa main. Le contact me fit frissonner. Il avait pris mon sexe dans sa paume. Il resserra ses doigts et avançant sa main vers mon ventre il me décalotta a fond. Je poussais un gémissement. Et fermais les yeux. La caresse était agréable, très agréable. Je compris à cet instant qu’un homme saurait bien mieux qu’une femme ce qui me fait grimper aux rideaux. Et là en me décalottant de cette façon il avait réussit à me donner envie d’aller plus loin. Les filles nous mataient, elles se caressaient mutuellement les seins.Je goutais avec délice la caresse de Marc, ma queue palpitait dans sa main. Il jouait le jeu allant et venant avec une extrême lenteur et prenant soin d’aller loin en arrière. Tous les hommes savent à quel point c’est bon une fois bien décalotté d’aller un poil plus loin. Je ne voulais pas en rester là et copiant sa caresse je prenais son sexe dans ma main. Il eut un frisson au moment où je le touchais et ou comme lui je commençais à le branler doucement. Il gémit également quand pour la première fois je le décalottais à fond et il murmura « C’est bon… ».Ce que jamais je n’aurais imaginé seulement quelques mois avant était en train de se produire. Je me laissais caresser par un homme et je le caressais. Et j’y prenais plaisir. Dans ma tête même je voyais ce que j’avais envie de faire mais j’étais encore un peu trop mal à l’aise avec la situation. JE sentais confusément que sous le regard de nos deux femmes les verrous allaient sauter. C’était une question de minutes.Nous ne pouvions pas rester debout toute la soirée.. Marc sciemment ou pas s’assit sur le fauteuil, ce qui m’obligea à me baisser pour pouvoir continuer à le caresser et qu’il reste lui aussi en contact avec moi. Ce faisant je m’étais approché de lui.Les filles n’avaient plus de culottes et se caressaient la chatte sans vergogne. Les cuisses bien ouvertes, je devinais plus que je ne voyais qu’elles étaient déjà bien humides. Mais elles ne voulaient pas perdre une miette du spectacle.« Allez c’est super excitant, suce le maintenant mon chéri » C’était Sonia qui venait de faire cette proposition, que Michelle appuya bien évidemment.C’était un autre défi… Se caresser la queue mutuellement, c’est pas bien dur.. même si c’était nouveau.. Mais me retrouver a genoux, avec une queue dans la bouche c’était autre chose. Assez surpris je me sentais soulagé par cette demande. En fait je devais en avoir envie et je n’osais pas. Je m’agenouillais, Marc avait lâché comme à regret mon sexe gonflé. Mes mains sur ses cuisses que je caressais légèrement je remontais vers son sexe. Je n’avais pas eu souvent cette vision aussi près et sous cet angle d’une queue. Je bougeais lentement, observant le sexe que j’allais dans quelques secondes prendre dans ma bouche. Marc bandait bien, son gland était gonflé, lentement avec mes doigts en anneau à la base de sa queue je décalottais le gland, étirant le frein et faisant gémir Marc qui avança son bassin vers moi. « Oui continues… ».. Maintenant j’en avait bien l’intention. JE sentais l’engin palpiter sous mes doigts, par petits sauts. Je sortais ma langue et la passais, le long de la tige, remontant lentement vers le gland. Quand elle heurta l’arrière ou se trouve les petits capteurs les plus sensibles, regardez deux petits excroissances plus claires comme de tous petits boutons. Marc poussa un gémissement et murmura « Putain c’est bon çà »Moi je goutais , j’avais un peu peur, de l’odeur, de la saveur que pouvais avoir la queue d’un autre. Au fond rien de transcendant, pas plus que si on lèche le doigt d’une autre personne.. du moins pour le moment.. un peu de salinité due sans doute à la sueur légère qui est omniprésente.. La texture douce, ce qui est incroyable c’est la palpitation incessante d’une verge ainsi sollicitée. Du coin de l’œil je vis les filles qui s’embrassaient a bouche que veux tu les doigts bien occupés à pénétrer doucement leur chattes ouvertes. Je léchais le gland de Marc, avec mes doigts toujours serrés à la base de sa queue je remontais le long de la tige, modulant la pression. Et je vis alors se former une petite perle translucide au bout de sa queue. Perle qui grossit au fur a mesure que mon pouce appuyé sous la verge la faisait remonter dans le canal. Je savais exactement la sensation qu’il éprouvait. Je l’avais tant de fois ressentie. Marc appréciait et je le regardais durant cette opération, il me regardait également. Je voyais dans ses yeux qu’il prenait du plaisir dans cette situation. Il avait posé ses mains sur ma tête. Maintenant une grosse perle transparente et épiasse avait pris naissance au sommet du gland. Elle commençait à vouloir couler le long de sa queue. Du bout de la langue je la récupérais. Je ne savais pas a quoi m’attendre, c’était épais, chaud, salé mais absolument pas désagréable.« Salaud » dit Marc en m’appuyant légèrement sur la tête « Vas y suces moi »J’arrondis les lèvres et lentement je gobais le gland, ma langue le cajolais tournait autour, puis je me mit à engloutir sa queue, mais lentement en l’humidifiant le plus possible, j’avais déjà eu la désagréable surprise avec quelques femmes de me faire sucer par des bouches trop sèches c’est même parfois douloureux.Je m’appliquais, je mouillais sa queue, je n’avais aucune idée de jusqu’où je pourrais la prendre. J’étais surpris de la facilité avec laquelle je faisais cette fellation, comme si j’avais toujours su le faire. Je descendais toujours, j’avais avalé plus de la moitié de la longueur je sentais cette queue qui tressautais dans ma bouche. Marc avançait son bassin pour que je l’avale plus loin encore. J’aimais cette sensation, j’avais une incroyable impression de contrôle, de puissance sur lui. J(étais à la commande et il subissait en fait ma loi. C’est moi qui dispensais le plaisir. C’était bien plus sensible qu’avec une femme. Sans doute j’arrivais plus facilement a m’identifier et je savais précisément quelles sensations je faisais naître. J’étais moi même extrêmement excité. Ma queue dure frottait contre mon ventre, et je sentais que mon gland devait être humide. J’avais maintenant sa queue entière dans ma bouche, son gland était dans ma gorge, et il palpitait. Marc gémissait chaque fois que je tentais d’aller plus loin. D’une main je serrais sa queue dans l’anneau de mon pouce et mon index, augmentant la pression je faisais gonfler le membre, saillir les veines. Mon autre main était maintenant autour de ses couilles que je malaxais lentement faisant rouler ses burnes l’une contre l’autre. Je relâchais sa queue pour la reprendre a fond. Je le pompais comme j’aimais qu’on me le fasse. Sa tige luisante de salive était vraiment un objet de désir. Je suçais avec plaisir ce sexe brulant, palpitant, qui réagissait à chacune de mes caresses.« Putain c’est bon …. tu me suces comme une salope… » dit Marc en me prenant la tête pour accélérer le mouvement.Les filles se caressaient en me regardant pomper la queue de Marc. Elles semblaient excitées elles aussi et poussaient de petits gémissements, mais elle restaient scotchées sur le spectacle. Marc était aux anges, moi j’adorais sucer cette queue et je pensais bien que d’autres seraient aussi agréables. Bizarrement toute la préventions que j’avais eu c’était envolée.. Je me rendais compte que les caresses entre hommes étaient aussi du pur plaisir. Il fallait juste s’affranchir du blocage psychologique. J’avais fait voler cette barrière en éclat.. et dans ma tête ça tournait à 100 à l’heure.. J’étais partagé entre l’envie de continuer à sucer Marc jusqu’à la conclusion logique, et voir si au moment où il jouirais comment j’allais gérer ces nouvelles sensations, j’avais un avantage c’est que je savais quel goût à le sperme pour avoir gouté le mien très souvent dans des chattes offertes, sur des lèvres qui venaient de me faire jouir, sur les doigts qui venaient de me masturber.. Donc je savais a quoi m’attendre.. Je n’avais jamais senti la soudaineté de l’assaut, les giclées et toute cette dynamique au moment de l’orgasme donc je ne savais pas ce qui pouvais se passer.Je n’eus pas en fin de compte à avoir de dilemme pour choisir. Marc lui aurais bien aimé que j’aille au bout.. Mais les filles en avait décidé autrement.Toutes les deux très excitées, le rouge au joues ainsi qu’au creux des seins elle réclamèrent ma mise à mort.. Elles avaient envie de me voir pris par Marc. Ce non choix me satisfaisait, j’ai un côté parfois très soumis et j’aime que l’on me guide ou m’impose certaines güvenilir bahis choses.. Nous aurons l’occasion d’en reparler plus tard.Elles étaient maintenant à genoux toutes les deux près de nous. Sonia se laissait caresser par Michelle qui avait ses doigts dans le minou de ma belle. Je me plaçais a genoux, cambré, j’avais l’habitude puisque Sonia aimait à me prendre avec un god. Je sentais Marc derrière moi. Je bandais de plus en plus. Michelle vint même m’att****r la queue, en remontant vers mon gland elle se mouilla les doigts dans la liqueur qui s’en écoulait comme souvent quand je suis dans cet état. JE sentait la queue de Marc contre mon anus, il se frottait c’était dingue les sensations, j’aimais çà avec un god alors là avec une queue, chaude, souple, vivante c’était super. Sonia écarta Marc, pour venir me passer sa langue et m’humidifier me préparer, je sentis la point de sa langue qui forçait ma rondelle. Puis Marc revint à la charge, cette fois, je sentis nettement son gland qui poussait sur mon anus. Je me décontractais et Marc fut si surpris que sa queue entra de moitié avec facilité. Bon sang que c’était meilleur que cette queue en latex. Les sensations étaient décuplées, je sentais palpiter son engin, je le sentais s’enfoncer en moi.« La salope il m’avale toute la queue » dit Marc« Baise, moi encule moi bien » dis je vraiment à bout.Je n’avais qu’une envie le sentir aller et venir en moi. Il commença à me besogner, plus fort. Je suivais les mouvements, m’empalant moi même sur cette queue qui vibrait dans mon cul. Je mouillais du gland, je sentais couler ma queue qui se frottait a mon ventre tellement je bandais. Sonia était maintenant plaquée dans le dos de Marc se frottant contre lui accompagnant ses mouvements. Alors que Michelle était passée sous moi, léchant mes couilles et ma queue, en profitant pour agacer celles de Marc également.« Tu est grand ouvert mon salaud » me dit Marc.En effet aucune sensation de gêne sa queue coulissait en moi avec aisance. Je sentais toutes les aspérités, tous les tressaillements de son sexe. A ce moment je mesurais ce que peut ressentir une femme qui se fait prendre. Et c’est jouissif croyez moi.. Et j’aime qu’on me prenne, j’adore çà. Jamais je n’aurais pensé que cela pouvait être aussi bon. Dans ces moments, notre part de féminité ressort avec force. Je n’ai pas honte de le dire dans ces moments où je suis passif je me sent et m’assume très femelle. J’aime qu’on me traite de salope, de putain de chienne et je suis tout cela. J’aime être baisé. Mais ce soir là j’avais encore à connaître la sensation ultime.. quand Marc allait jouir.. Depuis que j’écris ses lignes certains doivent se dirent mais jamais il n’utilise de capote? Non.. jamais dans ma vie j’ai utilisé cette chose que 2 ou 3 fois pour le fun ou pour essayer.. C’était une autre époque, on ne pensais pas comme maintenant à tout ce qui peut arriver.. j’ai vécu dangereusement? Sans aucun doute, j’ai eu de la chance oh oui certainement compte tenu du nombre d’aventures, de partenaires souvent multiples homme ou femmes voir… enfin on verra çà plus tard.Mais Marc commençait a donner des signes de la jouissance proche.« Je vais pas tarder à partir » grogna Marc et il commençais à se retirer sans doute pour jouir sur mon cul. D’une main je l’attrapais à la cuisse pour lui signifier de rester en moi.. en disant« Non gicle moi dans le cul.. bourre moi »Michelle appela Sonia« Viens Sonia viens voir .. c’est dingue il est en train de se vider goutte à goutte»En effet je sentais a chaque coup de rein de Marc , ma queue laissait échapper une quantité de plus en plus importante de cette liqueur transparente qui précède l’orgasme. Puis petit a petit c’était devenu laiteux, puis plus épais mon sperme montait et coulais sur la poitrine de Michelle Par moment je lui mangeais le minou qui était trempé, mais tout a mon plaisir c’était vraiment par petites touches.. Marc eut une idée de génie, il me redressa en passant son bras autour de mon cou, et m’obligea a me redresser.. J’étais a genoux, lui derrière moi également a genoux me prenant le cul. Michelle et Sonia se mirent a genoux devant moi, Michelle avait la poitrine luisante de ce que j’avais laissé couler sur ses seins et son cou. Marc était sur le point de jouir, quand il passa son autre bras autour de mes reins et pris ma queue dans sa main.. Il soufflait et dans un dernier coup de rein il poussa un cri. Je sentis alors sa queue gonfler dans mon cul, puis distinctement je sentais le sperme brulant se déverser dans mon ventre, la palpitation de son sexe, la chaleur de ce qu’il déversait en moi.. Sa main d’un coup sec me décalottant a mort.. Et je me mis a gicler moi aussi de longues giclées que recevaient Sonia et Michelle, sur le ventre, puis sur le visage quand elles s’approchèrent de ma queue pour finir par la lécher et en extraire la moindre goutte. Marc se retira me laissant ouvert au point que je sentais son sperme maintenant s’écouler entre mes fesses et couler le long de ma cuisse. Emporté par la fougue il me prit par le cou et me fit un gros baiser avant de rire en disant « Tu vois c’était pas désagréable.. »« Non c’était génial tu veux dire.. »Marc et moi étions encore sous le coup de notre jouissance.. il me donna un coup de coude.. en me désignant les filles.. toujours a genoux. Elle était couvertes de sperme, et se l’étalait mutuellement sur tout le corps en se roulant des pelles et en se branlant mutuellement.. C’était superbe.. elle eurent chacune un violent orgasme presque en même temps. C’était vraiment beau de vois ces deux superbes femmes dans cet état. J’ai toujours été sensible à l’image, à certains détails. Les corps luisants de sueur, les coulées brillantes de foutre, les bouches mi-closes qui soupirent, le bruit humide des doigts fouillant les sexes. Et les cris de jouissance, les baisers langoureux après le plaisir.. Inutile de dire.. que j’avais encore la queue en l’air.. « Bordel tu fais comment!! » me dit Marc.. alors que je résistais à l’envie de me branler sur nos deux belles. « Bon sans regarde moi j’ai le popaul qui regarde le plancher et toi tu as la queue en l’air.. c’est pas juste!! »Marc était un peu jaloux du fait que même après un orgasme je ne reviens pas au repos avant au minimum 15 minutes et bien sur si on me sollicite durant ce laps de temps je repart pour un tour. Nous avions tous pris du plaisir même si les filles avaient privilégié le spectacle, elles semblaient avoir apprécié. Un peu de calme ferait du bien et on ouvrit une seconde bouteille de champagne. Pas questions de se rhabiller il est certain que l’on va encore avoir envie de s’amuser, il n’est pas très tard. On profite de ce moment pour reformer les couples, c’est aussi important. Sonia est venue se blottir contre moi dans un fauteuil tandis que Michelle et Marc sont installés dans le canapé. Elles n’ont même pas pris la peine d’essuyer les traces de sperme sur elle. Et c’est assez troublant de bavarder ainsi avec sur le corps de nos belles les traces visibles de notre plaisir.Sonia est vraiment heureuse d’avoir osé l’amour a plusieurs et trouve l’expérience extrêmement agréable. Elles ont adoré me voir faire l’amour avec Marc, elles ont trouvé que j’étais très très féminin par moment dans ma façon de me comporter. Tous semblent surpris de la facilité avec laquelle j’ai basculé dans la bisexualité. Depuis ce jour j’assume parfaitement. Et même aujourd’hui faire l’amour avec un ou une partenaire me procure autant de plaisir. La nature du plaisir est différente, selon que l’on soit actif ou passif, selon que l’on donne ou reçoive le plaisir, sa nature, son essence même est totalement différente. Il est plus ou moins cérébral. Quand je fais l’amour à une femme c’est très physique, je satisfais mon corps, mon sexe. Quand je fais l’amour à une homme c’est physique certes, mais aussi extrêmement cérébral car dans cette configuration je satisfais aussi mon mental qui à certain moment à envie d’agir au féminin. C’est sans doute la dualité parfaite. Mon rêve ce serait de pouvoir changer de sexe a volonté. Être homme à un moment, femme à un autre ce serais idéal. Si on pouvais exaucer ce souhait une fois seulement ce serais génial.. Hélas c’est un rêve. Je suis persuadé que ma bisexualité m’a fourni des atouts encore plus grand auprès des femmes. C’est tout simplement le fait de savoir quelles sont les sensations que procure certaines actions qui me donne cet avantage. Par exemple combien d’hommes regrettent que madame refuse la sodomie, alors qu’ils n’ont pas idée de combien ca peut être désagréable si c’est mal fait. Moi je le sais, il m’est arrivé qu’on me fasse un mal de chien lors d’une sodomie et je comprend la femme qui s’y refuse après une expérience ratée.La sodomie peut être quelque chose de totalement délicieux si elle est pratiquée avec douceur et doigté. Peu importe au fond la taille, tant qu’elle reste raisonnable, pour cette pratique. Ce qui importe c’est la préparation et la patience. Le maitre mot « Décontraction » la moindre crispation ou appréhension et on fait mal, on se fait mal. Second incontournable la lubrification, pour les deux partenaires c’est vrai il faut lubrifier.. Si on n’utilise pas de gel, la salive, un petit passage dans un sexe mouillé permet de palier à la sécheresse. Et surtout lentement. Laisser sa/son partenaire se décontracter. Par reflex les muscles vont tenter d ’empêcher la pénétration et plus la poussée et la vitesse seront importante plus le réflexe des muscle sera violent. Avec un peu de pratique on peut accompagner la pénétration en forçant l’anus a s’ouvrir en poussant légèrement. Une fois le muscle franchi pensez toujours a ne pas aller trop vite pour qu’il n’y ai pas de phénomène d’échauffement. On pallie à cela en lubrifiant abondamment. Vous seriez étonné de la capacité d’un anus à accepter certaines choses.. Mais on en parlera plus tard.Nous étions donc en train de bavarder de notre premier « round »Je digérais ma première expérience bi. Marc était étonné de la facilité avec laquelle il m’avait pris. On expliqua que Sonia aimait me prendre avec un god et que la pénétration pour moi n’était pas un problème.Par contre je leur disais que j’avais eu envie de pousser ma fellation jusqu’au bout car j’avais envie de connaître ces sensations.Nous avions la chance Marc et moi d’avoir des femmes que la pipe menée a son terme ne dérangeaient pas et même qui adoraient nous vider les couilles dans leurs bouches, mais ce n’est pas toujours le cas loin s’en faut..A mon tour j’avais très envie de savoir ce qu’elles ressentaient..Sonia particulièrement aimait me faire jouir au fond de sa gorge et c’était extrêmement agréable. Michelle aussi aimait çà mais n’arrivait pas à prendre les queues aussi loin dans sa bouche et appréciait que notre calibre ne soit pas trop gros.Marc lui avait beaucoup apprécié la pipe, il avait du mal a croire que c’était la première fois, pour lui c’était aussi bien que les filles.. Il avoua qu’il aurait bien aimé que j’aille au bout.. je lui promettais de lui en faire une a fond pendant ce week-end . Mais je posais mes conditions.. on faisait un double 69 en parallèle.. les garçons d’un côté les filles de l’autre.. et un classement celui qui jouissais le premier était dernier et ainsi de suite. Ce fut adopté avec des applaudissements.J’étais vraiment heureux que cette soirée se passa aussi bien. Je m’inquiétais auprès de Sonia pour savoir ce qu’elle pensais de tout çà et elle était emballée. Elle trouvait Michelle et Marc adorables, pas de prise de tête, le naturel était présent. Elle craignait un peu un truc du style baise non stop et au revoir.. Alors que nous passions une soirée entre amis disons normale avec des intermèdes coquins. Elle avait vu que Michelle avait commencé à un peu caresser Marc et qu’il commençait à donner des signes d’excitation évidents..« Je me suis occupée de notre invitée, maintenant au tour de notre invité » dit Sonia et elle alla s’installer à côté de Marc« Tu me le prête un peu » dit-elle à Michelle.Marc avait un grand sourire réjoui et hochais la tête..Michelle en riant et se levant pour me rejoindre.. dit« Je m’en moque je te pique le tiens.. lui il a toujours la queue en l’air je suis gagnante »Sonia se laissa glisser sur le canapé de manière à pouvoir happer la queue de Marc qu’elle engloutit d’un seul trait comme elle aimait à le faire. Marc poussa un gros soupir qui en disait long sur ce qu’il pensait de la bouche de Sonia. D’une main il lui caressait les fesses, puis la chatte quand elle ouvrit les cuisses pour le laisser investir son minou.De mon côté je glissais ma main entre les cuisses de Michelle qui aussi les ouvrait largement. Je sentis que sa chatte était trempée, même les grandes lèvres étaient glissantes, humides.« Dis donc tu est drôlement mouillée ma douce » dis je en lui caressant la joue de l’autre main.« C’est vous qui nous avez excitées comme çà… C’était super quand tu a jouis sur nous deux.. On à joui mais on a encore envie et ta chérie est comme moi.. En tout cas elle est adorable et cochonne » me répondis Michelle en m’enjambant et en guidant ma queue vers sa chatte.« Ouhh c’est bon allez baise moi bien » ajouta ma belle amie en se laissant empaler par mon engin .Elle était brulante, ruisselante. Elle venait a peine de s’empaler que je sentais déjà son humidité couler sur mes couilles. Elle frottait ses tétons durcis sur mon visage, tant et si bien que je les happais, les suçais tour a tour alors qu’elle rejetait sa tête en arrière les yeux mi-clos. Sonia était en levrette pendant ce temps et Marc la prenais avec fougue lui tirant moult gémissements et petits cris de bonheur. Une idée me vint. Je l’expliquais à Michelle au creux de l’oreille. Elle alla se placer en 69 avec Sonia.. qui ondulais sous les coups de reins de Marc. Une fois installée, Michelle pouvait lécher le clito de Sonia, et je pouvais prendre Michelle tout en prenant la bouche de Sonia. J’adore qu’une partenaire gémisse alors que je l’embrasse cette sensation est très stimulante pour moi surtout si son plaisir est du à un autre que moi. Et Sonia paru extrêmement réceptive à notre combinaison. Nous étions vraiment entrain de nous donner du plaisir à 4. A un moment Marc vint même me prendre les tétons alors que Sonia léchait le clitoris de Michelle.C’était un moment de pur plaisir, rien d’autre n’existait. Michelle ruisselait littéralement. Ma queue se couvrait d’une crème épaisse, bien que je n’ai pas encore joui en elle. C’était son plaisir qui ruisselait ainsi. C’est encore une chose qui m’excite au plus haut point, plus une femme est humide, plus j’aime jouer avec son sexe. Sonia également mouillait beaucoup et a cet instant c’était Michelle qui recevait tout son nectar en lui léchant le clito. Sonia était sur le point de jouir, sous les coups de boutoir de Marc et sous la langue de Michelle, elle rendait les armes.. se laissant aller au plaisir. Elle était superbe, bouche entrouverte, soupirante les lèvres humides.. les yeux mis clos qui commençait à papilloter et à se retourner.. ses mains me tenait les avants bras elle me serrait convulsivement. Ce fut soudain et d’une rare v******e.. Totalement cambrée.. elle se mit à jouir en hurlant et en convulsant. Sa salive coulait le au coin de sa bouche, on aurait cru qu’elle souffrait.. mais elle jouissait.. Et à un moment elle m’a regardé les yeux grands ouverts.. j’ai pu y lire tout le plaisir qu’elle ressentait à ce moment.. Presque aussitôt Michelle serra ses jambes autour de moi , stimulée par l’orgasme de Sonia qui lui avait largement salé la bouche, Michelle partit elle aussi dans un orgasme rageur et bruyant, plus nerveux, moins profond que Sonia peut être mais tout aussi bon à ce qu’il semblait..Ni Marc ni moi n’avions joui.. Les filles étaient écroulées encore en position de 69 mais totalement anesthésiées par leur jouissance.La conclusion s’imposait d’elle même.. Marc s’allongea sur le dos je vint en 69 sur lui .. et comme nous venions de prendre nos femmes nous eûmes le plaisir de retrouver le goût de leurs chattes sur nos sexes.. Je suçais goulument la queue de Marc.. j’avais envie de le sentir jouir.. de prendre dans ma bouche toutes les giclées de sperme qu’il allait me donner.. Je retardais mon plaisir.. pourtant il me suçait comme un fou aspirant mon gland avec art. Nous étions en sueur, moi qui suis velu mes poils étaient collés par la sueur sur mon torse, mes bras, je sentais couler cette sueur le long de mon dos et de mon torse.. Marc aussi était trempé et c’était excitant nos peaux humides se frottant. Sa queue qui tressaillait, bientôt elle s’agita violemment.. je serrais la base de son sexe et je tirais lentement.. les tremblement de son membre se firent plus amples et soudain je reçus la première giclée alors que j’avais sa queue presque au fond de la gorge.. Marc de cambra et m’enfonça encore plus sa queue dans la gorge alors que partais la seconde giclée.. Je crus que j’allais étouffer.. c’était chaud, brulant presque, épais mais délicieux à la fois fade et légèrement salé. Je réussis a déglutir avalant le jus bouillonnant. Puis d’autres giclées suivirent.. que j’aspirais et avalais avec un plaisir non dissimulé.. il y en avait un peu trop et une coulée descendit le long de son membre.. Tout a ma fellation la bouche pleine de sperme je sentais Marc tressaillir en lâchant les dernières gouttes quand je sentis une main qui me relevait la tête.. Michelle , ses petits yeux espiègles. Elle dit « Partage avec moi » Je compris sans autre palabres. Elle posa sa bouche contre la mienne et nous avons alors partagé le sperme qui restait dans ma bouche. Marc était hs.. et avait cessé de me pomper.. Tout le monde avait pris son pied mais pas moi.. j’avais la queue tendue a m’en faire mal.. Et je sentais que comme il m’arrive parfois quand je retiens trop longtemps la jouissance j’allais avoir du mal à partir heureusement c’est peu fréquent et uniquement quand je fais un long effort pour ne pas jouir.. Je bloque .. Sonia savait ce qui se passait et savais comment y remédier. Pour me libérer il lui fallait me masturber avec force, très rapidement. Ce qu’elle se lança a faire immédiatement. Je me tendais, me tordais sur le sol, la queue cramoisie, les veines gorgées de sang. Mes couilles me faisait mal et semblaient peser 2kg chacune.. Sonia avait remarqué que si elle me parlait crument dans ce moment ma libération arrivait plus facilement elle me traitait de salope, de pute… Moment étrange ou le plaisir et la douleur véritable sont intimement liés.. Mais cette fois cela tardait.. j’avais des fourmis dans les mains, mes lèvres aussi me picotaient.. il semble que ce soit les mêmes symptômes qu’une crise cardiaque.. Sonia avait mal à la main.. Michelle vint spontanément l’aider.. prenant le relais.. Je n’en pouvais plus, vraiment.. Sonia me prit les tétons dans ses doigts et me les tritura fortement ,pinçant écrasant les bouts tendres. Un éclair blanc, éblouissement, je me libère enfin.. je gicle, les jets montent haut me retombe sur le torse, sur le visage, d’autres s’éparpillent sur les filles, au sol sur les meubles.. je suis en transe, j’ai perdu la notion d’espace et de temps.. je ne suis plus qu’une queue qui s’épanche dans le cosmos.. je suis réduit à l’état de sexe pensant.. ne pensant qu’a une chose jouir.. C’est fort, douloureux.. on a envie que ca dure, que ca s’arrête.. Enfin le plaisir reflue au bout de quelques minutes durant lesquelles je suis sonné..Je restais sur la moquette totalement anéanti. Sonia et Michelle un instant se demandèrent si j’allais bien. Elles me cajolaient comme un bébé, me caressant les joues et le front.« Vous m’avez tué les filles » dis je.« Toi aussi tu m’a vidé complètement » me dit Marc puis aux filles« Si vous voulez améliorer votre technique pour faire des pipes, demandez lui de vous faire un cour.. »Pour sa première expérience avec un autre couple, Sonia avait assuré et elle avait vraiment aimé. A la suite de cette soirée, il y en eu un grand nombre d’autres, il arrivait plus que souvent que nous ayons ce genre de soirée 2 a 3 fois par semaine, avec Michelle et Marc très souvent mais aussi avec d’autres amies et amis que nous rencontrions le plus souvent grâce au minitel toujours puis une fois constitué un cercle d’amis suffisant par le truchement de ceux que nous avions rencontrés.. Souvent la soirée avait lieu avec un autre couple, mais notre couple à nous incluait le plus souvent Sandrine. C’était assez amusant d’ailleurs de prendre contact avec des gens et de leur avouer que tout compte fait notre couple était plutôt un ménage à trois. Ceci était un atout de taille, plus d’une fois ceci suffit à décider des couples intéressants mais parfois un peu timides ou avec quelques réticences. Nous étions une bénédiction pour les couples dont madame avait envie de relations au féminin mais qui n’osait pas trop.C’est avec Sonia et Sandrine que j’ai commencé à fréquenter des boites échangistes. Ces boites ne sont pas la meilleure façon de découvrir l’échangisme ou du moins le mélangisme. Mais une fois qu’on a gouté aux plaisirs à plusieurs ce sont des lieux très intéressants. Se lancer d’emblée dans une boite échangiste pour essayer les relations multiples c’est le fiasco assuré ou presque. La clientèle de ces boites est pour la plus grande majorité des couples déjà pratiquants et qui cherchent l’aventure immédiate et pas le jeu de la découverte. Il vaut mieux dans ce cas rencontrer des initiés pour éviter les pertes de temps.Ayant déjà une certaine habitude nous nous sommes facilement intégrés aux jeux dans ces boites. Et finalement nous avons rapidement apprécié les boites disposant d’un espace commun. Il faut expliquer un peu.La plupart des boites échangistes proposent les services des boites de nuit, dans, bar etc.. Ces espaces classiques sont là pour la rencontre. Ensuite viennent les espaces dédiés à la consommation sur place, soit salons plus ou moins privatifs ou à thèmes selon la classe de la boite. Mais il y a aussi souvent un espace qui est dédié à l’exhibe et à la partouze générale. C’est le plus souvent ces espaces qui nous branchaient. Sonia et aussi Sandrine adoraient ces espaces ou tout le monde, du moins ceux qui appréciaient partageaient caresses et plus. Certains broîtes réservaient à la demande ces espaces pour ceux/celles qui voulaient se mettre en avant et s’offrir à la clientèle de la boite. Sonia elle raffolait de cet exercice, être le centre d’attention de la soirée était pour elle un aphrodisiaque puissant. Elle s’abandonnait à tous ceux hommes et femmes qui avaient envie d’elle et parfois il y avait foule. Moi si au début j’avais une petite réticence quand il y avait beaucoup d’hommes autour d’elle, après quelques soirées j’appréciais aussi de la voir succomber de plaisir sous les assaut de 7, 8 voir une douzaine de mâles en rut et souvent de leur épouses..Au départ je restais en retrait, observant les assauts. Puis rapidement j’étais entrainé dans la sarabande orgiaque qui naissait. Allant de l’une à l’autre, parfois tombant sur un autre homme aimant les hommes, mais c’était plus rare surtout au vu et su de tout le monde. Beaucoup d’hommes sont bi, mais peu acceptent de le montrer sauf en petit comité. Moi cela ne me gêne pas voir j’aime un peu provoquer et m’exhiber dans ces moments.. On verra plus loin que ce n’étais là que des amuses gueules et que plus tard j’allais pousser beaucoup plus loin dans le genre.Chose amusante, après ses soirées en général le week-end et bien sur pas tous les week end non plus. Notre trio, car Sandrine était plus ou moins toujours là se trouvait dans un état d’excitation tel que toute la semaine qui passait, après une soirée en boite, était hyper chaude au point que souvent nous étions trois au lit la plupart du temps sauf quand le mari de Sandrine était à la maison ce qui était assez rare il faut l’avouer.Ce phénomène de sur excitation et de besoin insatiable de sexe je l’ai toujours constaté. Si on sent que en duo le désir baisse , une petite soirée a 4 ou 3 et c’est reparti. Comme si on capitalisait, on se ressourçait en partouzant pour retrouver un désir accru avec sa partenaire. Je reste intimement persuadé que si les couples pratiquaient plus l’amour en groupe, il y aurait beaucoup moins de mésententes au lit et sans aucun doute moins de couples qui se défont.Nous avions pris l’habitude de jouer avec nos désirs, les envies de chacun. Souvent nous aimions faire l’amour dans des lieux insolites, là ou l’on pouvait nous découvrir, voir nous observer. On aimais par exemple faire l’amour dans les toilettes des restaurants, dans les parkings le soir. En ville la nuit sous des portes cochères. Je ne compte pas le nombre de fois ou j’ai pris Sonia ou Sandrine dans une moindre mesure car si elle participait souvent elle n’était pas non plus tout le temps avec nous, dans un coin de porte a 3 heure du matin. Dans des parcs, sur des bancs publics. Il nous est arrivé de nous faire pincer même par la police.. En général ca se passe pas trop mal .. c’était une autre époque et ce genre de « délits » faisais plutôt sourire les gaillards.. maintenant ca se terminerait sans doute en garde a vue « o tempora o mores ». Je préfère avoir eu mes 20 ans à cette époque que de nos jours.. Et puis il y avait les trucs marrants.. comme une fois ce brave homme d’une quarantaine d’année qui nous observais dans un parc, alors que Sonia me faisais une pipe mémorable, je m’apperçu qu’un monsieur très convenable a priori était un peu plus loin dans l’ombre et observais la scène avec beaucoup d’attention. Je le dis à Sonia et tous deux nous lui firent signe de s’approcher. Un peu surpris il allait s’éclipser mais je l’appelais carrément le plus sympathiquement possible en l’invitant à nous rejoindre. Et ainsi türkçe bahis Sonia put déguster deux queue au lieu d’une.. Ce brave homme pris un pied que sans doute il n’arrivait pas a prendre à la maison.. et reparti dans l’ombre comme il était venu. Il y eut aussi les trucs pas marrants.. mais qui après nous faisait rire.. comme le seau d’eau jeté d’une fenêtre par une vieille chouette insomniaque qui avait repéré notre couple dans l’ombre de sa porte.. Et Sonia et moi fûmes trempés et injuriés de belle manière.. Le plus désagréable était la douche car la température n’était pas énorme.Et j’ai eu aussi des idées.. saugrenues.. comme la fois ou j’ai eu cette envie de me faire prendre par Sonia avec un god mais dehors .. une fille c’est pas compliqué.. on ne met pas de culotte.. on lève la jupe et hop.. un mec on est plus handicapé.. le pantalon a part faire un trou c’est pas top.. le baisser c’est pas facile à remonter si on se fait surprendre.. Mais j’avais cette envie.. et on a réussi a conclure.. J’étais tellement excité qu’il n’a pas fallut longtemps pour que je jouisse.. et bien sur tout est parti sur le pantalon.. je vous dis pas les tâches..Ah les tâches.. tout un poème.. La pipe ça va.. en général.. tout est mangé et avalé.. mais parfois ca déborde et ca tombe toujours là ou il ne faut pas.. la tâche est visible.. et c’est pas facile a masquer.. ou alors on rempli une petite chatte ou un petit qui en profite ensuite à la première occasion pour tout laisser partir si on n’y prend pas garde.. re tâche sur la jupe le pantalon .. car en général .. pas de culotte.. bien sur. Et puis il y à les inondations, avec Sonia j’ai commencé à découvrir le plaisir, car c’est un plaisir d’inonder ou de se laisser inonder par sa partenaire. En un mot plus terre à terre se pisser dessus.. Beurk ferez vous mais essayez et vous y reviendrez. Cela fait partie de ces plaisirs interdits.. Mais oh combien agréables et bénins. Pourquoi prendre autant de plaisir à ces jeux? Au fond je ne sais pas peut être une réminiscence de la petite enfance.. qui sait? Mais en fait c’est à mon avis plus cérébral, la sensation de l’urine chaude qui vous asperge est excessivement sensuelle. Viens ensuite si on pousse plus loin les sensation olfactives et gustatives si on ose.. Je conviens que selon les fois on peut avoir des moments moins agréables. Quand on manque d’habitude à ce jeu, on ne choisit pas forcément le bon moment. Il faut bien comprendre que selon ce que l’on a mangé et bu l’urine à une odeur et un goût plus ou moins prononcé plus ou moins fort. Il faut préférer les moments qui suivent une plus ou moins importante libation. Éviter aussi les fortes chaleur quand la transpiration draine le maximum d’eau du corps, dans ce cas l’urine est concentrée et ce n’est pas franchement toujours agréable. Mais de toute façon c’est un petit risque qu’il faut accepter. Par contre le plaisir est au rendez vous..Avec Sonia la première expérience humide est arrivée à la fin d’une après-midi passée à faire l’amour à nous dépenser copieusement. Nous prenions une douche commune comme très souvent ce qui avait pour effet de nous remettre en forme pour un dernier round coquin en général. Sonia ressenti soudain une envie pressante et voulu sortir de la douche je la retint.. Et lui demandais de se laisser aller sous la douche.. au début prise par son envie elle refusa puis comme je la retenais elle dit en riant « je vais te pisser dessus » C’est sans même réfléchir que je m’agenouillais, alors qu’elle lançait son ventre vers mon visage en tenant ses lèvres écartées, alors avec un soupir de soulagement elle se laissa aller, un jet puissant vint s’écraser sur ma poitrine. C’était très excitant de la voir se soulager ainsi, sous cet angle particulier , je ne pu m’empêcher de baisser la tête, de prendre le jet en plein visage, c’était chaud, a peine odorant, j’ouvrais la bouche et recueillais le jet dans ma bouche, je ne savais a quoi m’attendre et au final rien de dégoutant, douceâtre chaud, enfin tiède mais rien de rebutant. L’action de prendre cette urine dans ma bouche était excitante.. C’est plus une posture intellectuelle qu’une attirance physique. Mais se dire je suis en train de boire l’urine de ma compagne et l’action prend une autre dimension.. Là elle était dictée par la curiosité, ma perversité naturelle peut être.. Mais le jeu était excitant. Surtout sous la douche ou toute trace est effacée rapidement. Sonia s’amusait comme une petite folle a m’asperger.. Mais la source se tarit.. Et je vis qu’elle était troublée.. d’une petite voix timide elle me dit « Fais le maintenant ». Je compris qu’elle avait envie de jouer à son tour.. J’avoue que je ne m’attendais pas à cette réciprocité. Le seul souci c’est que comme toujours ma queue était plutôt raide et l’excitation qui naissait dans ces jeux humides n’arrangeait rien. Mais je finis par lancer un premier jet qui lui éclaboussa la poitrine, puis je remontais le long du cou, Sonia me regardait intensément et ouvrit la bouche. Le jet doré s’écrasa sur sa langue, elle gouta et revint placer sa bouche devant le jet dru que je n’arrivais pas à contenir. Une deuxième fois elle empli sa bouche et sans me quitter des yeux avala carrément l’ondée avant de venir me prendre dans sa bouche alors que je continuais à me vider la vessie. Elle avalais rejetais ce qui s’écoulait tout en commençant une pipe dont elle avait le secret. Je finis par inonder a nouveau sa bouche mais cette fois de sperme bouillonnant. Après cette première folie nous avons assez souvent usé de ces jeux. A deux ou plus, en extérieur assez souvent mais aussi en intérieur.. ce qui occasionnait parfois des séances de nettoyage homériques.Fous direz vous? Non.. curieux, pervers sans aucun doute mais pas fou. J’aime ce genre de chose pour la simple raison que j’ai essayé et que j’ai tiré un certain plaisir de ces jeux hors norme peut on dire mais si bénins à côté d’autres .. Je n’ai jamais rien fait que je n’aimais pas, du moins j’ai essayé et décidé ensuite si j’aimais, si j’en tirais un frisson ou une satisfaction.Sonia et moi nous entendions à merveille, Sandrine était aussi dans la plupart de nos mauvais coups. En fait nous formions une sorte de ménage a trois, même si nous adorions nous retrouver à deux pour vivre notre amour. Nous étions vraiment amoureux, et nos escapades érotiques loin de nous séparer nous rapprochaient. Nous avions confiance l’un dans l’autre, et moi qui à toujours été d’un naturel volage, je n’ai jamais trahi la confiance de Sonia, jamais, pas une seule fois. Notre façon de vivre nous permettait de vivre nos fantasmes, Sonia et moi avions la latitude de changer de partenaires sans mensonge, sans faux semblants. Ce n’était que jeux sans sentiments, avec les amis que nous voyions souvent il y avait bien sur une réelle amitié et une complicité. Avec les partenaires occasionnels c’était la complicité dans la recherche du plaisir. Je ne nie pas que parfois sentant qu’il pouvait y avoir plus entre moi et une partenaire, je prenais mes distances pour ne pas tomber dans le piège, le risque est toujours présent mais tout a fait maitrisable.Une soirée mémorable, fut sans aucun doute l’anniversaire de Monique, une jeune femme que nous avions rencontré avec son ami Jacky dans une boite parisienne. Nous avions vraiment sympathisé et nous nous fréquentions assez régulièrement soit pour aller en boite soit plus simplement passer une soirée à 4 ou 5 selon que Sandrine était avec nous. Lui était photographe de presse, elle travaillait dans une agence de presse également. Monique avait 25 ans, et Jacky pas loin de 60. Couple atypique mais extrêmement joueur, en tant que photographe Jacky réalisait des clichés de Monique en pleine éxhib dans tous les coins de Paris au petit matin ou la nuit. Et ce fameux week-end nous étions réunis pour l’anniversaire de Monique, dans l’appartement à deux pas de la tour Eiffel nous étions une joyeuse bande Monique et Jacky, Sylvie et Franck un autre couple d’ami de nos hôtes, Virginie et Thierry ainsi que Sandrine, Sonia et moi. Tous bien sur étions échangistes, nous avions eu l’occasion de croiser Sylvie et Franck en boite mais nous ne connaissions pas Virginie et Thierry, de même que les deux charmantes filles Ève et Lily que Jacky avait cru devoir inviter en plus.. la peur de manquer sans doute..Le Week End était placé sous le signe de la bonne humeur et de la sensualité. Les filles avaient toutes fait assaut d’élégance coquine et plus que dans une réunion d’amis on avait plutôt l’impression de se retrouver au salon de l’érotisme.. Entre décolletés qui ne cachaient rien, transparences révélatrices et résilles indiscrètes nous les hommes paraissions emmitouflés alors que nos gracieuses compagnes se dévoilaient aux yeux gourmands de tous les convives. Ajoutons que par chance l’assistance dans sa totalité était bisexuelle, vous avez une petite idée des possibilités offertes. Toutes les femmes étaient charmantes et plutôt jolies, pas de super top modèles dans la bande mais de beaux brins de filles. Monique notre hôtesses était brune avec de très long cheveux qui lui caressaient les reins, une petite poitrine ferme aux tétons durs et foncés, un abricot rebondi et imberbe promettait des moments agréables.. Et je savais pour avoir déjà tenu Monique dans mes bras que lui faire l’amour était une expérience assez torride car la belle était volcanique et expansive appréciait la sodomie et les doubles pénétrations, adorait que je lui mange la chatte mais c’était le cas de toutes celles que je côtoyais. Jacky ne paraissait pas approcher de la soixantaine, assez athlétique, pas très grand il était un peu comme moi toujours prêt a en découdre et bien pourvu largement plus imposant que moi par exemple.. J’aimais beaucoup qu’il s’intéresse a moi et qu’il me prenne, et de son côté il adorait ma bouche, disant que je suçais bien mieux que Monique ce qui était vrai car elle n’était pas très douée pour cet exercice qui pourtant ne lui répugnais pas. Sylvie était une belle plante, bien en chair, d’un blond roux assez peu commun elle avait une poitrine de rêve avec des aréoles roses grandes comme des sous tasses, de petits tétons très sensibles, sa peau laiteuse était d’un douceur de soie, sa chatte très large soulignée d’un petit buisson blond peu fourni, était accueillante et toujours humide, on pouvait la toucher a tous les moments elle était moite au minimum et dans les moments intenses elle était inondée. Nous avions rencontré Sylvie et son mari en compagnie de nos hôtes dans une boite le courant était tout de suite passé et nous avions craqué pour elle Sonia et moi. Franck très sympa était plutôt un contemplatif, adorant regarder sa femme se faire prendre et se joignant aux groupes presque juste pour prendre son pied au dernier moment.. Son sexe était amusant, long très long mais très fin il était amateur de masturbation et avec homme et femme. Franck était aussi sec et maigre que Sylvie était rondelette. Virginie était une fille magnifique, très typée puisque métisse, une peau cuivrée, de grand yeux noirs, une coupe courte à la garçonne, ses seins paraissait plutôt menu mais la transparence de sa tenue laissait apparaître des tétons d’une longueur et d’une grosseur peu commune d’un brun si foncé qu’il paraissaient noirs, sa croupe semblait très africaine cambrée, rebondie Virginie mettait le feu aux mecs en les regardant, un seul coup d’oeil et elle semblait promettre le paradis.. et elle tenait ses promesses.. Thierry petit, rondouillard et toujours amusé et amusant contrastait avec sa compagne. On ne pouvait pas deviner quel amant il était, Sonia je suis sur s’en souviens encore. Un des rares types que j’ai connu avec lequel on faisait des concours de broutage de minou et une queue dont il savait et aimait se servir.. Ajoutez y un goût prononcé pour la sodo quand il était avec un ami.. et vous avez fait le tour succin du personnage.Venait donc s’ajouter à notre troupe les deux filles. Ève une rousse aux longs cheveux, des très beaux yeux verts foncés, une poitrine superbe mais pas très naturelle, de longues jambes encore allongées par des talons d’une hauteur indécente, une démarche tellement suggestive que l’on se posait invariablement la question.. est ce une pro.. de plus Ève était facilement vulgaire et aimait la vulgarité. Lily petite au longs cheveux bruns, demi asiatique enjouée, avait peu d’atouts, petite poitrine, petites fesses, un physique de gamine, mais un tempérament bouillant. Une fille impossible à satisfaire ou presque je m’en rendis compte durant le WE.Comme toujours ces parties démarraient bon-enfant, gentiment par l’apéro, puis un repas.. au fur et à mesure les quelques barrières des convenances tombaient et avant le dessert on se retrouvait plus ou moins à poil. Chacun racontant une histoire, une anecdote, en général excitante alors on posait la main sur la cuisse de sa voisine qui répondait à nos caresses en général avec empressement. Souvent en fait on attendait le dessert avec impatience car c’est à ce moment que l’on se lâchait.. et que les choses sérieuses commençaient.. Oh n’allez pas croire qu’entre apéro et dessert il n’y avait pas quelques orgasmes ou ou moins des gémissement très sonores qui faisait rire tout le monde et surtout appelait la remarque « Mais vous êtes si pressés!! Y’a des hôtels pour çà » ou encore « Mange ta soupe tu pourra baiser ma femme après. »En tout cas, c’était vraiment des moments inoubliables.. Quand on à jamais eu ce genre d’expériences on ne peut imaginer le plaisir que l’on ressent, ce sentiment de liberté et peut être un peu de toute puissance.. Qui n’a jamais rêvé sur un signe faire approcher une belle femme pour lui caresser un sein, prendre sa bouche ou son sexe et devant tout le monde. Un parfum de décadence romaine peut être, mais plus surement des moments acceptés par tous, sans tabou, entre gens assez intelligent pour comprendre que le plaisir se partage qu’il n’est pas souhaitable de vivre replié sur soi même que personne n’appartient à personne et que l’amour vrai ce n’est pas avoir l’exclusivité des caresses de l’autre.. La fidélité ce n’est pas se réserver que pour les caresses de l’autre, c’est aimer, avoir ce sentiment unique pour une personne sans vouloir posséder que pour soi son corps ou être l’unique objet de ses caresses.. Aimer c’est vouloir que l’autre puissent jouir de tous les plaisirs dont il à envie. Aimer c’est aussi voir l’autre recevoir du plaisir non pas par l’être aimé mais par d’autres mains. Je crois que je ressentait tout l’amour que j’avais pour Sonia quand elle prenait du plaisir sous mes yeux, pas forcément avec moi. Ce qui m’émeut c’est de voir sur un visage le plaisir , le vrai, quand on s’abandonne totalement. Cela peut être difficile a comprendre, mais si vous aviez senti la main de celle que vous aimez se serrer sur la votre alors qu’une autre personne lui donne du plaisir vous comprendriez.. Ou bien ce regard les yeux mi-clos qu’elle vous lance alors qu’elle est au sommet du plaisir et que dire du baiser que vous déposez sur ces lèvres alors que les râles de la jouissance monte de sa gorge.. Ces instants restent gravés, ces instants sont des pépites d’or, des diamants bruts qui restent dans nos mémoires bien longtemps après. C’est sans doute la force de toutes ces sensations qui me permet de retrouver aussi vif tous ces souvenirs.. La mémoire est extraordinaire.. Je retrouve les visions, les sensations, le gout et les odeurs de ces moments.. Oui les odeurs.. et le goût.. C’est étrange mais si vrai. Chaque peau, chaque sexe à sa saveur, son odeur en rien comparable à une autre et ces détails vous marquent. Enfin moi c’est imprégné dans mon être indissociable de l’une ou l’autre de mes compagnes, du moins de certaines, celles qui ont vraiment marqué ma vie. Les amies de rencontre laissent des souvenirs mais l’empreinte est moins forte. Sans doute que plus on a vécu des moments forts avec un autre être plus ils vous marquent.. la marque est profonde, c’est parfois une blessure, une plaie béante qui ne se referme jamais.Pour le moment je n’ai évoqué que des moments agréables, des choses un peu futiles. Mais parfois le souvenir fait mal, très mal. Je sais que j’arrive a des souvenirs qui me feront mal, souffrir, sans doute beaucoup un peu comme si je rouvrais à loisir de vieilles blessures pour me rappeler que je suis vivant et que tout cela n’est pas un rêve.Revenons à cette fameuse soirée d’anniversaire.. Comme toujours dans ce genre de soirée.. on craque un peu plus sur l’une ou l’autre des participantes.. Cette fois j’avais craqué pour Lily, ses yeux en amandes son physique de gamine semblait me faire de l’effet. Durant tout l’apéro nous avions été un peu loin l’un de l’autre mais, nous avions pu bavarder et nous rapprocher un peu. L’attirance semblait réciproque, curieuse et intelligente elle aimait rire et comme j’adore plaisanter sur tout elle appréciait. Elle faisait partie de ces personnes qui ne savent pas parler sans toucher leur interlocuteur, c’est donc avec plaisir que je sentais sa petite main se poser sur la mienne, ou sur ma cuisse. Je ne me gênais pas non plus pour placer quelques attouchements sur ses bras et surtout ses cuisses , elle portait, un haut noir totalement transparent qui mettait en valeur ses petits seins aux tétons dressés, une micro jupe en skaï noir, des bas blancs qui contrastaient avec sa peau assez cuivrée et sous sa jupe pas la moindre trace de culotte juste une belle chatte gonflée et imberbe. Monique me dit même s’approchant de moi et mettant sa main entre mes cuisses.. « Dis donc je crois que Lily te fait de l’effet » je lui déposais un bisous sur le nez en disant « Mais toi aussi ma chérie tu me fait toujours de l’effet tu sais bien ». L’apéritif fut parfait, et a part comme je le faisais avec Lily quelques petites caresses volées tout le monde se tenait tranquille. Sonia et Sandrine piaffait d’impatience et avait une folle envie de gouter à Virginie la belle métisse, moi aussi mais j’avais surtout envie de Lily.. et c’était réciproque, la belle faisait tout pour rester en ma compagnie. Au moment de passer à table elle alla dire quelques mots à Monique qui en passant derrière moi me souffla « Je ne te sépare pas de ta conquête mon nounours (c’était le petit nom qu’elle me donnait) »Et de fait je me trouvais à côté de Lily à table, Sonia était en face de moi à entre Jacky et Virginie ce qui ne lui déplaisait pas du tout loin de là. J’avoue que a part cela je n’ai plus en mémoire le plan de table. Mais je me souviens bien de la présence de Lily à mes côtés.. Je ne sais plus qui était à ma gauche, un homme je crois mais ceci n’est pas important. Je ne vous narrerais pas non plus le menu.. je ne me souviens que du dessert et vous comprendrez pourquoi plus loin.Bonne humeur et amitié voilà ce qu’il reste dans ma tête de ces réunions entre amis très proches.. ceci bien sur en mettant a part les galipettes à répétitions qui étaient plus ou moins le but .. Je dis plus ou moins car en y repensant il y eu des réunions je ne dirais pas sages mais durant lesquelles c’était le plaisir d’être ensembles, libre de faire ce que l’on voulait. Et cette liberté incluait de faire l’amour ou pas avec plusieurs partenaires, d’être à l’aise , se câliner tout simplement.Mais cette fois là .. c’était beaucoup plus chaud. Déjà je ne saurais dire pourquoi j’avais flashé sur cette Lily sans doute que son exotisme m’attirait, mais elle avait un côté femme enfant que j’aimais particulièrement, ses yeux m’avaient conquis dés le premier regard. Elle avait une grâce naturelle évidente. Le plus étonnant était qu’elle aussi était attirée par moi, et je l’avais senti tout de suite. Pendant le repas elle était sans cesse collée contre moi, un peu comme une chatte qui se frotte contre vous. Elle avait de délicates attentions, ses lèvres venait souvent effleurer mon oreille, ou elle prenait ma main et me baisait le bout des doigts, et même me léchais le bout des doigts avec des regards édifiants… Je savais que pour l’instant elle me léchait les doigts mais que bientôt.. on passerait a d’autres petits bouts de moi.. Elle avait un parfum enivrant, prononcé, fleuri mais profond et entêtant le genre de parfum qui laisser un sillage derrière celle qui le porte. Dans l’assistance on sentait naitre au fil du repas une tension agréable, petit a petit les désirs s’aiguisaient et des indices fugaces indiquait ce qui se passerais après. Sonia me souriait en posant sa tête sur l’épaule de Virginie et en lui prenant la main. Celle ci lâcha à haute voix à mon attention. « Ta copine ne me quitte pas et elle a les mains douces… ». Les tenues étaient de plus en plus débraillées.. On voyait pointer des bouts de seins, des mains qui les frôlaient. La température était montée d’un cran.Ma main était posée sur la cuisse de Lily et elle me caressait le cou du bout des doigts. Dans mon pantalon ma queue était déjà tendue depuis un moment et Lily y posa sa main me serrant doucement la tige, elle me regardait et avec des yeux pétillants elle dit« Ouah tu est déjà tout dur.. Pourtant je t’ai rien fait.. »« Mais tu me fais bander ma douce.. » répondis-je.Sonia qui nous observais de l’autre côté de la table se pencha en avant vers Lily et lui dit« Je te le prête mais il faudra me le rendre.. Et tu ne sera pas déçue c’est un sacré bon coup »« Surtout laisse le te manger le minou » renchérit Monique qui avait tout entendu.On décida d’aller prendre le dessert dans le salon, les canapés et les fauteuils seraient plus indiqués pour ce qui allait arriver on le sentait bien..Le champagne fusa, nous avions un beau morceau de gâteau, un magnifique fraisier, nous portions un toast à notre hôtesse Monique à ses 25 ans tout neufs. Elle déballait ses cadeaux, et déjà certains hôtes déballaient un autre genre de cadeau. Monique sur l’une des tables du salon commençait à essayer justement l’un de ces cadeaux sous les encouragement de tous… il faut dire que le god était de belle taille, et que c’était plus par jeu que pour le prendre véritablement qu’accroupie sur la table la jupe troussée elle le frottait contre sa chatte.Un peu plus loin Sandrine et Sonia étaient enlacées avec Virginie dans un trio de fille qui était l’attraction dans ce coin. Ève avait entrepris de sucer deux des garçons.Et moi j’avais enlacé Lily sur le canapé, sa micro jupe lui servait de ceinture.. Et contrairement à mon habitude je l’embrassais comme j’embrasse seulement mes vraies amantes. Mais avec cette fille je craquais..Elle était souple comme une liane et elle se collait à moi. Fiévreuse, le souffle court, elle répondais violemment à mes assauts. Sa main s’affairait a me retirer mon pantalon, tandis quelle frottait les pointes de ses petits seins contre ma poitrine, il faut dire qu’elle m’avait littéralement arraché ma chemise. Elle avait au moins dix mains.. Ses yeux étaient noirs comme du charbon, plein de vivacité, un regard de braise.Tout son être aspirait à une chose que je la prenne.Et elle me le disait la voix rauque, sa respiration était saccadée« Vite prend moi, prend moi défonce moi je te veux je te veux »Elle se renversa soudain sur les cousins, cambrée les pieds sous ses fesses, elle guidait ma queue vers sa chatte. D’un coup sec je m’enfonçait en elle, ce fut à la fois douloureux et divin. Douloureux car elle était étroite, mais divin tant son sexe était brulant, et doux une fois que je fus en elle..« Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!! » râlait elle..Les yeux mi clos, agrippée a mes épaules. Je plantais mon sexe dans cette chatte de gamine.. Elle était d’une souplesse incroyable Ses hanches ondulaient elle se pressait contre moi s’écartait se cambrant, tendue comme un arc avant de revenir contre moi et de manger ma bouche.Mes mains malaxaient ses petites fesses, qui était musclées en diable.La fougue qu’elle mettait dans cette étreinte était incroyable. Et je répondais également à cette fougue. Autour de nous c’était il faut bien l’avouer l’orgie. On n’entendait plus que les gémissements amoureux, les râles de plaisirs et ces petits bruits humides qui semblent anodins, mais qui sont tellement excitants.J’apercevais, Sonia et Virginie embarquées dans un 69 qui semblait exquis, Jacky était prés de nous prenant Monique a quatre patte à côté du canapé ou Lily et moi nous ébattions. Si prés que Monique nous caressait tous deux. Elle souriait et gémissait. Le sexe de Lily était agité de spasmes, je la prenais fort, brutalement presque car je sentais que plus je donnais de grand coups dans ce sexe plus elle réagissait. J’avais glissé ma main entre nos deux ventres, et du pouce je caressais son clitoris durci, petite bille de chair vibrante. Chaque fois que mon pouce je caressais de bas en haut Lily poussai un râle et enfonçait ses ongles dans ma peau. Ses yeux papillotaient, ils se retournaient laissant voir que le blanc.« Fort , baise moi fort, défonce moi chéri » Ahanait Lily, je redoublais mes coups elle était ballottée,comme un fétu de paille, elle pesait sans doute a peine 45kg je la soulevais avec facilité. J’ »tais a genoux sur le canapé, elle empalée sur ma queue, je sentais mon sexe trempé, ses sucs nous mouillaient tous les deux. Elle m’enlaçait, je sentais venir le moment ou j’allais jouir, et elle aussi était vraiment au bord de l’orgasme. Ce fut d’une v******e inouïe, elle se mit a hurler, se pliant en deux, les reins cassés contre mes bras à sa taille tout son buste rejeté en arrière. Elle tremblait, son sexe m’écrasais la queue ni plus ni moins. Je ne pouvais pas tenir plus longtemps et vraiment au paroxysme je poussait à mon tour un cri qui fit de nous le centre d’intérêt alors que je giclais dans sa chatte brulante, et je me vidais littéralement, j’avais eu envie d’elle toute la soirée.. C’était vraiment d’un güvenilir bahis siteleri force assez peu commune. Agités tous les deux de spasmes, de frisson de plaisir nous finîmes par nous laisser tomber sur le canapé. Nous avons alors échangé un baiser dont je me souviens encore, il dura longtemps. Tout le monde nous regardait, nous eûmes même droit a des applaudissements. Lily rouvrit les yeux et se frottant contre moi me susurra à l’oreille.« C’était vraiment génial.. tu m’a fait jouir comme peu de fois on m’a fait jouir »Monique qui avait elle aussi pris son pied s’approcha et nous dit« C’était super de vous voir, je crois que c’est vous qui m’avez fait prendre mon pied »Jacky a son tour vin plus près et posant sa main sur mes fesses me dit« J’ai failli laisser tomber Monique pour venir t’enfiler.. ça me faisait envie »Voyant le regard de Lily.. il ajouta..« Oui oui il est comme çà à voile et à vapeur.. Mais tu as vu c’est un sacré baiseur »Lily me sourit, et dit« J’espère bien voir çà se soir… »« Moi aussi, tu sais avec Jacky quand on est réunis ça fini toujours par arriver, tu m’aidera pour le mettre en forme, ce serais amusant de le sucer tous les deux non? » ajoutais-je« Maintenant? » dit elle« Non attends un peu.. » je lui posais un bisou sur la bouche et j’allais voir Sonia qui venait de terminer son 69 avec Virginie..Je l’embrassais langoureusement, goutant sur ses lèvres humides, les effluves du sexe de la belle métisse.« humm tu sent bon ma chérie… j’ai l’impression que c’était pas mal non » à cet instant je sentit une pression dans mon dos, c’était Virginie qui du bout de son orteil m’interpellais.. JE me retournais, elle était alanguie sur le sofa, la chatte et l’intérieur des cuisses luisants, son sexe baillait rose, trempé une vision de rêve.« Ta femme est géniale, elle m’a mangé comme jamais on l’avait fait… mais elle dit que tu est encore meilleur qu’elle, tu viendra me montrer dis oui s’il te plait » Sonia vint se coller contre mon dos et dit à Virginie « Promis ma chérie il va t’envoyer au ciel je lui rappellerais »…Puis revenant a moi elle me dit « Ça avait l’air bien avec la petite .. Lily c’est çà.. tu t’est bien amusé je crois » Ce n’était pas un reproche, juste pour savoir, tout en parlant Sonia me tripotait la queue, et naturellement je me retrouvais au garde a vous… Elle fit signe a Lily d’approcher.. et sans rien dire elle eurent un sourire.. Et Sonia me poussa sur le dos, j’avais la tête contre les jambes de Virginie.. qui récupérait. Lily et Sonia se mirent à me sucer en tandem. Se passant et repassant ma queue gonflée, elles profitaient des moments ou leurs lèvres étaient proches pour échanger des baisers enflammés. Thierry, Ève et Sandrine jouait un trio enflammé, Thierry enfilait avec ardeur le petit cul de Ève tandis que Sandrine toujours le museau dans une chatte léchait celle qui lui était offerte avec application. Franck sur un fauteuil se laissait lui aussi déguster par Monique tandis que Jacky s’occupait de la petite chatte de Sylvie.. enfin pas si petite que çà car la belle Sylvie était plus que plantureuse et possédait une chatte bien grassouillette et large.Tandis que les filles me suçait javais doucement commencé à caresser les jambes puis les cuisses de Virginie, qui doucement s’était approchée de moi. Trois femmes pour moi c’était Byzance.. J’avais envie de manger ce con luisant dont j’avais déjà eu un aperçu du goût sur les lèvres de ma Sonia. Finalement Virginie vint placer sa chatte au dessus de mon visage. Sa peau foncée de métisse contrastait avec le rose nacré et emperlé de liqueur de son sexe, ses lèvres noires rehaussait le tout. Son clito était dur et saillant sous son capuchon je le tétais tirant à la belle des soupirs profonds.. tandis qu’instantanément son minou se mettait à palpiter. Ma langue lapait le suc qui s’en écoulait, transparent il se faisait au fil de mes coups de langue de plus en plus épais et laiteux, crémeux..Sonia et Lily me travaillaient avec art et fougue, je bandais comme un carme, ma queue gonflée, les veines saillantes était dure et noueuse comme un pied de vigne. Au bout d’un moment, Sonia très excitée décida de s’empaler sur ma queue dressée, voulant profiter de tous les plaisirs elle guida mon gland vers son anus qui s’ouvrit avec facilité. Je glissais dans son cul avec un plaisir que je ne pouvais cacher, et Lily se mit a manger le minou de Sonia que je sentais couler sur me couilles.Avec une lenteur calculée, pour ne pas me faire jouir trop vite, Sonia se mit à monter et descendre sur ma queue, tandis que Lily la lapais avec de grands bruits humides..La chatte de Virginie ruisselait dans ma bouche maintenant, elle se tortillait se cambrait, criait quand j’aspirais son bouton durci, elle était agitée de spasmes se cramponnant à mes avant bras qui enserrait ses cuisses pour tenter de maintenir son sexe sur ma bouche. Son sexe s’ouvrait et se fermait dégouttant chaque fois un peu plus de son jus laiteux, j’en était barbouillé, du nez au menton. Sonia se mit à jouir sous les coups de langue de Lily et également par le ramonage intense qu’elle s’imposait.. J’étais moi également au seuil de l’orgasme. Je sentais mes couilles se contracter Sonia après un puissant orgasme et une bordée de cris, se laissa glisser rompue par ce plaisir.. laissant ma queue tendue à l’extrême.. Sans hésitation, Lily repris mon sexe dans sa bouche , sans se soucier de l’endroit ou il se trouvait précédemment. Virginie explosa littéralement dans ma bouche, m’inondant le visage, sa jouissance était si forte qu’elle se relâchait totalement, en femme fontaine qu’elle était elle se laissait aller entièrement a son plaisir en long jets, elle ruisselait sur ma bouche, dans ma bouche mouillant totalement le canapé… Cette soudaine humidité me galvanisa et je ne put me retenir de jouir à mon tout dans la bouche de Lily qui me pompai avec art, je poussais a mon tour des cris qui exprimaient mon plaisir, je fais partie de ces quelques hommes qui s’expriment véritablement et ne retiennent pas leur souffle au moment de jouir.. moi je crie, je hurle je dis au passages quelques insanités également. C’est pour moi indissociable du plaisir.. Et cette fois je gueulais vraiment tout en lâchant de grosses giclées dans la bouche de cette belle gamine aux yeux bridés.. Lily prenais un plaisir pervers, à ralentir l’écoulement de mon sperme en serrant ma queue violemment et en me laissant couler au rythme qu’elle choisissais.. C’est terriblement éprouvant quand on gicle et que le sperme s’accumule bloqué à la base de la verge et qu’on le laisse s’épancher lentement.. Mais c’est également un vrai délice.. enfin pour moi..La soirée se prolongeait, nous avions du prendre un peu de repos, tout le monde avait donné et bien une coupe de champagne nous rafraichissait Sonia et Lily étaient lovées contre moi, tout le monde était à poil et on riait bien se moquant de l’un ou l’autre, qui avait été bruyant, avait fais une drôle de trombine des trucs de gosses presque mais c’est tellement agréable. Virginie étaient gênée de inondation qu’elle avait provoquée. Elle n’avait pas eu le temps de prévenir, de me prévenir qu’elle était de ces femmes qui sont de vraies fontaines.. et se lâchent totalement dans certains moments forts.. Elle n’arrêtais pas de dire que jamais on ne l’avais mangé aussi bien, que jamais on ne lui avait procuré un tel orgasme juste en lui léchant la chatte.. Sonia riait et elle qui profitait de mes « talents » journellement n’était pas peu fière.. Sylvie qui avait déjà profité de ma langue par le passé me rappela que ce soir elle n’avait pas eu droit à un coup de langue.. Je le lui promis.. Mais j’avoue que j’avais une envie qui me tenaillait à cet instant, envie d’un homme, un ou plusieurs.. Et sans honte je le disais tout haut« Bon moi, je me suis pas mal amusé avec les filles, mais de les voir sucer des queues.. ca m’a donné envie.. de faire pareil.. hein les gars pas vous? »Lily me donna un coup de coude.. et me glissa à l’oreille« Je t’aide avec Jacky comme on à dit? »Je me levais, suivi de notre belle aux yeux en amande, et arrivé devant le fauteuil ou se trouvait Jacky je m’agenouillais devant lui, posant les mains sur ses cuisses.. je les laissais remonter vers sa queue pas tout a fait endormie.. Mes doigts se refermèrent sur ce sexe épais, le décalottant doucement, mon ami ferma les yeux, et avec un petit soupir se laissa aller en arrière. Lily s’installa près de moi et tandis que le tenais la queue bien fermement, elle arrondit ses lèvres et goba le gland.. Elle mouillait abondamment la tige qui durcissait a vue d’œil et elle laissa ressortir l’engin de sa bouche me laissant la place. C’est avec un plaisir non dissimulé que je léchais déjà le gland luisant de salive, puis doucement je posais mes lèvres sur le somment et laissais ma bouche s’ouvrir pour l’avaler lentement, centimètre par centimètre. Je sentais les muscles de Jacky se tendre, sa queue gonflait encore plus, ma langue s’attardait sous le gland, léchant le frein cajolant cette chair palpitante et brulante. Bon sans quelle queue, épaisse je l’enfournais plus loin encore maintenant je sentais le gland contre ma glotte, je poussais encore enfonçant cette queue dans ma gorge. Si Jacky avait des frissons, moi aussi et déjà je bandais aussi fort que lui. Remontant je laissais maintenant à ma complice le soin de reprendre en bouche la queue rougeoyante de Jacky. Elle le fit avec plaisir elle s’amusait comme une folle, et le lui léchais l’oreille, la joue, la commissure des ses lèvres tendues sur l’engin. Quand elle relâcha la queue nos deux langues s’amusèrent a se poursuivre autour du gland palpitant. Avant que nous échangions un baiser au dessus de cette queue que nous partagions. Jacky soupirait comme un fou, il posait ses mains sur nos têtes, nous cajolant et nous invitant à ne pas le délaisser..« Vous me rendez dingue tous les deux… » dit il d’une voix rauque.Toute l’assistance nous observais, à ce moment nous faisions le spectacle. Monique derrière le dossier du fauteuil, avait mis ses mains sur la poitrine de Jacky agaçant ses tétons, les triturant les pinçant lui tirant de petits râles de plaisirs qui s’ajoutaient à ceux que nos deux bouches déclenchaient.Je sentis soudain une caresse entre mes fesses, une main s’y promenait, suivi d’une bouche et d’un langue qui se mit à humidifier mon anus.. Ce ne pouvait être que 2 personnes.. et c’était Sandrine, qui me connaissait bien et qui savait ce que j’attendais maintenant que Jacky était dans une forme éblouissante.. Je ne peux nier que j’avais une envie folle qu’il m’encule, me fouille avec cette queue et se répande à l’intérieur de moi. Sandrine d’ailleurs glissait deux doigts dans mon cul. Lily me caressais le dos en me susurrant à l’oreille« Tu va te faire prendre, j’ai envie de te voir, tu aimerait que je te mette mes doigts aussi? » J’acquiesçais tout en suçant la queue de Jacky de plus belle. Lily rejoignit la main de Sandrine et se joignit à elle, pour me caresser l’anus..Sandrine voulut lui laisser la place mais je leur fit comprendre que toutes les deux pouvaient jouer avec moi.. Et je senti les doigts de Lily rejoindre ceux de Sandrine, leurs petits doigts me fouillaient me travaillaient la rondelle.. Soudain l’une d’elle atteignit le point sensible, instantanément je sentit ma queue commencer à couler alors que les doigts massaient cet endroit, difficile de faire comprendre les sensations, on sent parfaitement le contact contre cette boule qu’est la prostate, le massage déclenche des vagues de sensations et surtout chez moi au moins l’écoulement très important de cette liqueur transparente que les anglo-saxons nomment « precumm », selon les individus c’est plus ou moins important et selon aussi les hommes on arrive à l’orgasme par cette caresse presque exclusivement.. ou pas.. Pour ma part.. j’atteins selon l’excitation l’orgasme rien que par pénétration. Sans avoir besoin d’être masturbé par exemple.A cet instant j’avais envie que les filles m’enfilent encore plus.. je me tortillais laissant mon anus se dilater le plus possible.. J’entendis Sandrine murmurer quelque chose à Lily, qui presque aussitôt approcha son visage du mien et me dit« Tu est une grosse salope, tu aime çà hein? »« Oui j’aime çà défonce moi Lily » dis jeAussitôt elle agita plus fort ses doigts, ma queue suintait, dégouttant lentement la liqueur. A ce moment Jacky releva ma tête m’arrêtant dans ma fellation, et me regardant dans les yeux avec un sourire me dit « Moi je vais te faire crier ma salope, tu va aimer, donne moi ton cul ,Viens Grimpe sur moi.. empales toi »J’étais conscient que tout le monde nous regardait depuis un moment, j’assurais l’animation mais j’étais justement très excité par la situation. Sur les fauteuils et canapés je ne voyais que des corps nus des cuisses écartelées, des chattes luisantes, des sexe dressés et leurs yeux qui nous dévoraient Jacky et moi. Je me levais, puis tournant le dos je prenais sa queue, la guidait contre mon anus, et je me laissais descendre sur son gros braquemart. Ah je savais par expérience que Jacky était bien monté, mais jamais je ne l’avais pris aussi facilement. Je m’assis presque naturellement, alors que sa queue me pénétrait. Mon sexe dur, le gland totalement décalotté pointait face a ce public d’un soir. Je me cambrais, quand sa queue atteint mon point sensible et aussitôt un long filet translucide et épais coula au bout de mon gland s’étirant en un long filament que la loi de la gravité faisait descendre. Cette vision fit frémir l’assistance et je perçus des murmures , vis des regards.. Mais j’étais maintenant ailleurs.. Je sentait le membre me fouiller, je montais et descendais lascivement, il paraît que je peut être très « femme » quand je me fais prendre ainsi. Et si je ne me sent pas femme, c’est vrai que j’apprécie sans doute que l’on désire mon corps mes caresses comme moi je désire celles des femmes.. Et je suis vraiment bien dans ma peau.. envie de me donner de faire et prendre du plaisir. La queue de Jacky épaisse me ramonait littéralement. Les allez-retours contre ma prostate accéléraient l’écoulement pourtant déjà plus qu’abondant , maintenant plusieurs longs filaments dont la plupart tombaient au sol pendaient au bout de ma queue ou s’écoulaient le longe de la tige totalement tétanisée. Comme toujours quand c’est extrême le plaisir et une certaine douleur son intimement liés. C’était le cas.. a ce moment, Jacky aussi était tendu a mort, je sentais parfaitement sa queue palpiter en moi et il était à deux doigts de jouir.Lily et Sandrine étaient devant moi à quelques dizaines de centimètres, assises par terre au pied du fauteuil, en face j’apercevais ma Sonia sur le canapé qui se caressait en me regardant me faire baiser par mon ami. Et nos autres comparses étaient aussi au cinéma n’en perdant pas une miette mais d’échauffants aussi. Thierry était en super forme aussi, Virginie avait sa main sur sa queue et le branlais lentement.Est-ce un regard que je lui lançais ou une envie trop forte, mais il se leva et s’approchant de nous, il vint proposer sa queue à ma bouche, je ne pouvais mieux espérer. Enculé, une bite dans la bouche j’étais en transe. Surtout que Thierry avait tellement été chauffé par Virginie qu’il explosa dans ma bouche en moins de 2 a 3 minutes me remplissant la bouche d’un jus épais , qui venais en grosses giclées s’écraser dans ma gorge.. C’était fort, la dose énorme et j’avais un peu de mal à avaler assez vite.. mais c’était trop bon. Le sperme coulait sur mes lèvres, et mes joues. Thierry venait de se vider et fourbu se laissait tomber sur le canapé à côté de Sonia, quand je vis une autre queue à quelques centimètres de ma bouche. Franck avait craqué, je savais qu’il aimait avant tout la masturbation et j’empoignais sa queue dans ma main et le branlais, léchant son gland, l’aspirant de temps en temps..Jacky était sur le point de jouir je sentais qu’il se retenais, ralentissant mes mouvements.. Moi j’étais largement ouvert, parfois je remontais un peu trop et je sentais la queue de Jacky échapper à mon anus mais elle y rentrait avec une facilité .. déconcertante.. je devais être bien ouvert.A cet instant j’eus un spasme au moment ou le gland gonflé titilla ma prostate, un spasme et je laissais échapper deux ou trois giclées de sperme qui finirent sur les gnous de Lily toujours prés de l’action.. Mais je n’étais pour autant pas libéré je n’avais pas joui vraiment juste sans doute laissé partir le trop plein.. Mes couilles totalement remontées me faisait un mal fou. Ma queue tendue frottait contre mon ventre maintenant que j’étais un peu plié pour branler et sucer Franck.. Il poussa un cri et m’aspergea le visage de son foutre, j’en avais partout dans les yeux, la bouche le nez.. il tremblait de tout ses membres et du se laisser tomber par terre assis pour éviter de vraiment tomber.Et je senti alors Jacky empoigner mes hanches et m’enfiler a mort.. jamais il n’avait été aussi loin en moi et c’était divin.. il gueulait la bouche contre mon dos, il se vidait je sentais nettement les giclées chaudes dans mon anus qui je le sentais s’ouvrait et se fermait spasmodiquement. Une averse qui dura longtemps, c’est du moins la sensation que j’en ai eu.. Mais moi je ne jouissais pas, j’étais a deux doigts de l’explosion mais ayant joui la bite de Jacky ne me stimulait plus suffisamment. Sandrine me connaissait aussi bien que Sonia elle comprit ma détresse, et laissant Lily empoigner ma queue alors que je tombais a genoux, Sandrine glissa sa main entre mes fesses et enfonçant ses doigts dans mon cul, trouva rapidement l’endroit idoine et se mit a me masser furieusement l’intérieur.. avec je ne le sut qu’après 4 doigts seule le pouce était resté dehors.. Mais j’étais hors de moi, en sueur.. Lily m’astiquais furieusement pendant que ma petite Sandrine me défonçait littéralement l’anus. Je finis par jouir comme un fou, giclant sur le corps de Lily qui rapidement fut dégoulinante de sperme.. Ce moment est un peu flou car j’ai eu a ce moment un orgasme très fort, pas les plus intense d’autres le surpasseront. Mais déjà là j’étais anéanti et c’est sous les bravos de toute notre petite bande que je me laissais aller dans les bras de Sonia venue à mon secours après avoir pris son pied en me regardant jouir.. La soirée ne s’arrêta pas là mais pour moi ce fut le point culminant.Voilà une soiré d’anniversaire dans mon petit monde de pervers.. Bien sur allez vous dire ca baise a couilles rabattues… où est la convivialité? Je ne vais pas vous narrer nos discussions, nos petites attentions pour l’une ou l’autre. Les fous rire.. Car souvent on faisait l’autocritique de nos galipettes..et tout cela finissait par un gros dodo, souvent on dormait avec celle que nous lutinions quand le sommeil nous emportait.. J’eus beaucoup de chance quand je m’éveillais j’avais trois belles avec moi Sonia, Lily et Sandrine.. croyez moi se réveiller entouré de trois femmes nues et belles c’est un vrai plaisir.. l’homme est par nature polygame.. mais la société en décide autrement.. hélas.C’est un bon aperçu de ma vie avec Sonia, nous nous entendions très bien, il est vrai que c’était plus un ménage a trois qu’une vie de couple.. Sandrine était si souvent présente, je n’en concevais aucune gêne. Mais parfois j’adorais son absence, être deux nous rafraichissait un peu.Mais, un jour qui est resté gravé dans ma mémoire il se passa une chose que pas un homme ne peut oublier. Du moins je ne sais pas comment on peut.. Moi 30 ans après j’entends les mots, je revois les expression de son visage.. Ça me fait toujours le même effet.Ce samedi, nous étions en couple, Sandrine n’était pas là déjà empêtrée avec son couple qui commençait à battre de l’aile. Mari toujours absent obnubilé par sa carrière. Son envie d’un bébé qu’elle n’arrivait pas a obtenir de son mari .. Bref la pauvre galérait. Certes notre situation avec elle était étrange mais c’était notre quotidien.Sonia avait depuis quelques jours une mine peu enjouée, quelque chose la tracassait ou n’allait pas comme elle le désirait. Après 2 ans de vie en commun.. il est facile de savoir si l’autre ne vas pas bien. Je redoutais un ennui sérieux car elle qui habituellement ne cachait rien et s’ouvrait de tout dés que je lui demandais, elle restait fermée et silencieuse. Nerveuse, irritable en diable. J’avais décidé de ne pas brusquer les choses je la sentais mal dans sa peau.. et je lui faisait confiance quand elle aurait besoin de moi elle me raconterait tout.Et ce matin là nous paressions un peu au lit, j’avais tenté de faire l’amour au réveil comme il m’arrivait fréquemment de le faire.. Mais mes avances étaient restées lettre morte.. c’était pour le moins anormal..Je revois encore son visage se tourner vers moi, ses yeux se poser sur moi, je vis instantanément qu’elle était au bord des larmes. Elle me dit alors« Chéri, il faut que je te dise quelque chose de grave, surtout ne te fâche pas »« Mais non pourquoi je me fâcherais? » dis je de plus en plus inquiet.Ma première idée fut de me dire.. elle va me quitter et j’avais déjà une boule au fond de la gorge.« Mais dit moi »« J’ai pas eu mes règles, je viens de faire le test, je suis enceinte » dit elle de grosses larmes coulant sur ses joues..Je m’attendais à tout sauf a çà.. instantanément la boule disparut remplacée par un emballement de mon cœur.. en un instant je voyais notre vie future, un bébé, moi papa une superbe femme que j’aime, un enfant je fus surpris du bonheur qui m’envahissait. Je n’avais jusqu’à cet instant jamais vraiment pensé que ca pourrait arriver.. Du moins je ne mesurais pas ce que pouvais vraiment inspirer une telle annonce.. Maintenant je savais, j’étais aux anges.. un sourire me vint illuminant sans doute mon visage et en réponse à mon expression sans doute béate je vis le visage fermé de Sonia elle me regardait comme si j’étais un demeuré qui ne comprenais rien..« C’est génial ma douce, pourquoi tu avais peur que je sois en colère? » lui dis-je« Attends tu a bien compris, je suis enceinte, un bébé tu crois que c’est bien, que c’est une bonne nouvelle? Avec notre vie, on peut pas avoir un bébé »Douche froide, glacée.. incompréhension.. le petit garçon avec son beau ballon qui éclate.. L’instant de bonheur total qui m’avait envahi se transforme en hiver glacé, mon cœur se serre, je ne comprend pas.. Elle devrait être heureuse, on devrait sauter de joie et elle pleure le visage tordu par les larmes un rictus moqueur comme si moi l’idiot je n’avais toujours pas compris.« Mais.. » tentais je« Non on peut pas avoir un bébé et puis je ne veux pas je ne saurais pas m’en occuper.. plus tard peut être mais maintenant non ce n’est pas possible. »« Attends calme toi on va en parler »« Non, non, non je ne veux pas de bébé tu comprend? »Jamais je n’avais vu Sonia sous ce jour, elle était si douce, toujours enjouée. J’avais en face de moi une autre que je ne connaissait pas. Une étrangère, dure et égoïste.Je pense qu’a cet instant le ressort c’est irrémédiablement brisé. Nous étions en désaccord. En un bref instant je venais de comprendre que pour moi cette nouvelle était sans doute la plus belle annonce le plus beau cadeau que m’ait fait la vie. Pour elle c’était la cata, la remise en cause de notre façon de vivre, le bouleversement de notre train train égoïste. Moi j’étais prêt a abandonner nos folies pour faire de la place à un petit bout de chou. Je poussais les murs, de mon cœur en chassait toutes les galipettes, les sorties, les perversions et j’accueillais la pureté d’un petit a venir, le fruit d’un amour véritable. Jamais Sonia à la folie, j’aurais tout donné pour elle. Quand elle avait annoncé son état j’avais visualisé en un instant, son gros ventre la plénitude de la grossesse, l’accouchement, lui tenir la main dans ce moment douloureux mais si beau.J’avais l’impression qu’elle venait de me poignarder par ce non catégorique et froid.Même si je n’ai à l’époque jamais voulu me l’avouer notre amour est mort ce samedi matin quand elle m’a asséné « non non non je ne veux pas de bébé »Certes après elle m’a convaincu, du moins j’ai fini par accepter ses arguments. J’ai accepté avec dans l’idée que plus tard elle aurait envie d’un bébé. Là en effet c’était un accident. Elle se retrancha derrière notre vie de débauche pour dire, ce n’est peut être pas de toi.. c’était vrai on ne savait pas trop quand il avait été conçu. Mais nous ne partouzions pas en permanence non plus.Je finis par accepter l’avortement la mort dans l’âme et aujourd’hui encore j’ai un peu la sensation de n’avoir pas su être convaincant, d’avoir laissé cette décision s’imposer..Aujourd’hui je paye peut être pour cette faute, j’ai mal ca fait encore mal, ce matin là j’ai perdu mon enfant et celle que j’aimais.Nous avons continué encore pas loin de 6 mois, mais une chose c’était brisée, et nous nous sommes éloignés l’un de l’autre, entre nous il y avait cet enfant qui ne verrait jamais le jour, il a grandi en un mur infranchissable.Peut être aussi déçu je n’ai pas su ou pas voulu recoller ce qui s’était brisé, pourtant même si parfois je me moque gentiment d’un ami qui 10 ans à attendu espérant que celle qui l’avait abandonné reviendrait.. espoir déçu bien sur. Hé bien j’admets que moi aussi j’ai eu longtemps espoir qu’un jour… Elle serait revenu vers moi j’aurais ouvert les bras et j’aurais tout pardonné…Bizarrement je l’ai revue il y a peu croisée par hasard, j’ai eu la surprise de sentir mon cœur battre plus fort.. D’autres sont passées, des malheurs sont arrivés.. mais je me demande même si Sonia ma Sonia ne pourrais pas mettre encore aujourd’hui du baume sur mes blessures.. Je t’aimais Sonia.. non… je t’aimes toujours admet le pauvre idiot…Et toi mon ami tu te reconnaitras bien sache que j’écris et je pleure sur cet amour et cet enfant perduJe me suis éloignée d’elle, elle s’est encore rapprochée de son amie. Elle aimait les femmes et elle fit le choix d’une femme, celle qui partageait nos nuits, nos jeux pour en faire sa compagne.

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Chap. XVI “Dressage de Viviane 2”

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Chap. XVI “Dressage de Viviane 2″Chap XVIIpetit rappel : ces histoires sont vécues même si parfois cela parait sur réalisteViviane semblait avoir trouvé en moi le complice idéal pour assouvir ses désirs, au passage j’assouvissais aussi les miens, du moins je découvrais et j’assouvissais des penchants que je n’avais pas totalement soupçonné. Avec Patricia je m’étais découverts des envies masochistes assez poussées que j’assumais parfaitement. Me livrer aux mains d’une femme experte qui me faisait subir des sévices même parfois un peu extrêmes ( je pensais alors qu’ils étaient extrêmes.. je compris plus tard que c’était bénin) était pour moi un plaisir assumé. Par contre j’avais plus de mal à assumer le fait que de devenir le maître, l’exécuteur était un peu plus difficile pour moi. Non pas que je n’appréciais pas, bien au contraire je sentais confusément que j’aimais trop cette relation. Mais j’avais du mal à accepter que je frappais une femme, chose que je n’aurais jamais envisagé sans doute si je n’avais pas rencontré Viviane. Mais j’étais amoureux fou d’elle. Nos jeux prenaient de plus en plus de place dans notre vie, Viviane avait toujours au creux du ventre cette envie de subir, c’était une seconde nature. Elle trouvait tous les prétextes possibles pour prendre des coups, pour souffrir. Elle réclamait sa dose quand par hasard elle ne l’avait pas eue. Je me rendis bien vite compte que sans cette drogue qu’était la v******e elle ne prenait pas de plaisir, du moins elle n’atteignait pas les sommets qu’elle recherchait.La douleur était une composante incontournable du plaisir pour Viviane, bien sur nous faisions l’amour disons normalement sans accessoires ou liens d’aucune sorte. Mais je savais que si je voulais qu’elle prenne son pied à un moment ou un autre je devrais la cogner, donner quelques gifles, lui torde les tétons ou l’étrangler. Et moi je savais que quand je serais en train de lui faire subir ces sévices mon plaisir allait enfler. Petit à petit nous ne savions plus à qui ces jeux violents étaient nécessaires.. Pire il m’arrivait de ne même pas avoir besoin de lui faire l’amour, la travailler, la pousser dans ses retranchements suffisait assez fréquemment à me faire connaître le plaisir. Je ne compte plus les fois où j’arrivais à l’éjaculation sans même la moindre caresse.. Petit à petit mes désirs évoluaient et c’est au travers de la souffrance et de l’humiliation de Viviane que je prenais mon plaisir car elle atteignait elle aussi des sommets de l’extase. Viviane était plus physique que cérébrale, si la mise en scène, l’humiliation, la sensation d’être un objet contribuais à son plaisir, c’était bel et bien la douleur qui lui procurait les frissons et les orgasmes. Viviane, me fit connaître un monde que j’avais commencé à entrevoir avec Patricia mais là j’allais me plonger, m’immerger dans cette autre vie. J’allais faire des rencontres, découvrir jusqu’où l’on peut aller, jusqu’où l’homme peut être capable d’aller chercher une forme déviante du plaisir. J’avais un temps espéré que Viviane si elle aimait être soumise aurait aimé aussi me soumettre mais il n’en était rien.. Si elle acceptais de pratiquer certaines choses, comme la sodomie ou le fist jamais elle ne consenti à me fouetter par exemple. Elle n’appréciait guère non plus de me voir soumis, mais là elle n’avait pas le choix dans certaines soirées et c’était mon désir qu’elle assiste à mes tourments. Plus le temps passait et plus j’entrais dans les délires de Viviane, plus j’allais au devant de ses désirs, parfois même allant au delà. Au début de notre relation j’avais joué le jeu, je prenais plaisir à la voir souffrir.. Puis petit a petit j’avais besoin de sentir sa souffrance, sentir qu’elle acceptais tout ce que je lui demandais, j’avais l’impression de la pousser au delà de ses limites alors que c’était elle qui insidieusement me poussait à toujours plus de cruauté. J’aimais particulièrement la fouetter, de toutes les activités SM c’est une de mes préférées sans doute, car une femme liée, recevant le fouet, les contorsions de son corps, les marques qui naissent sur la peau, simples traces roses, virant au rouge puis au grenat pour finir dans un entrelac de petites plaies d’où sourdent quelques gouttes de sang c’est pour moi une vision idylique. C’est souvent lors de séances de flagellation qu’il m’arrivait souvent de jouir sans avoir besoin de la moindre caresse. C’est hypnotique, d’autant plus quand on à déjà été à la place de la victime. Je sais, je sent comme elle la mrosure du fouet, les sensations qui irradient dans tout le corps, l’attente , attendre le prochain coup, se tendre dans l’espérance de la douleur. Viviane jouissait de l’attente, de la description des sévices que j’allais lui infliger. Je l’ai vue un nombre incalculable de fois agitée de tremblements, parfois avoir des orgasmes dans l’attente des coups. Souvent elle me suppliait de la frapper, encore et encore quand elle était aux portes du plaisir elle demandait des coups quand elle jouissait il fallait la frapper le plus fort possible, sa capacité à supporter la douleur quand elle avait un orgasme était incroyable.. décuplé est un faible pronostic. Quand Viviane était en plein orgasme je pouvais lui faire ce que je voulais, la mutiler , la couper la bruler elle acceptais tout et jouissait encore plus.. LE retour sur terre était le plus souvent difficile à supporter car la douleur qu’elle pouvait accepter dans l’orgasme elle avait beaucoup de mal à la supporter dans le reflux du plaisir et souvent c’était une réaction violente à la limite de la crise de nerf ou également des pertes de connaissance. Ajoutons que pour dépasser ses limites Viviane usait et abusait d’alcool et de drogues douces ou dures. J’ai vécu toute cette période avec une épée de damoclés au dessus de la tête.. Allions nous allez trop loin vers des choses irréversibles, allait elle tenir le coup.. Certaines syncopes on duré plus que de raison. Il est vrai que nous étions dingues et que nous jouions avec la vie,sa vie. La situation devint de plus en plus difficile quand Viviane fut submergée par son désir d’auto destruction.. Elle réclamait explicitement une mise a mort réelle mise en scène, une souffrance de plus en plus forte dont le point culminant serait sa mise à mort la plus horrible possible, la plus douloureuses possible. Il arrivait fréquemment que nous fréquentions des boites spécialisées, des clubs privés, mais également certaines séances étaient totalement improvisées et parfois disons sur le domaine public. Elle me fit également rencontrer des amis qu’elle avait connu avec son précédent « maitre/amant » En particulier un couple d’âge mûr, Peter le mari était très soumis et maso,également bisexuel, elle Flora était surtout dominatrice en particulier avec les femmes, mais également les hommes qui aimaient vraiment souffrir et elle était gâtée avec son mari. Ils étaient ont peut le dire de vieux routiers du sado-maso et aimaient les soirées à 4 ou plus. Viviane me présenta également Marina une belle femme, la quarantaine qui était elle une professionnelle du SM du moins elle en avait fait son fond de commerce.. Prostituée? Si on veut oui mais elle exerçait uniquement dans le SM ce qui n’implique pas forcément de rapports classiques. Ses proies favorites étaient les hommes masochistes. Les femmes c’était pour elle une affaire privée. Avant que je ne rencontre Viviane, quand la pression devenait trop forte c’était avec Marina qu’elle assouvissait ses désirs et je me rendis vite compte que Marina était non seulement experte mais poussait ses sujets au bout de leur ressources, pour avoir vécu entre ses mains des heures à la fois douces et terribles qui me font encore aujourd’hui bander et frissonner. La première soirée très hard est rapidement arrivée, en compagnie de maitresse Flora et de Peter. Soirée à quatre, pas encore une soirée avec une douzaine de personne cela viendrait plus tard. J’avais déjà fais connaissance avec eux, sans qu’il ne ce soit rien passé, soirée au restaurant plein de discussions autour du SM mais rien de concret. Ce soir là nous étions invités chez Flora et Peter, viticulteurs ils habitaient une superbe maison dans un petit village, hauts murs, grande propriété discrète ce qui permettait de tenir des réunions et de pratiquer en plein air parfois. Également qui dit viticulture dit cave, le cadre parfait pour le SM, cave aménagée avec tout le confort pour maitres et esclaves. Viviane était magnifiquement apprêtée, ses longs cheveux nattés soigneusement, un maquillage parfait mettait en valeur ses yeux gris limpides, autour de son cou elle portait un collier de cuir clouté qui lui serrait la gorge, le fait de glisser un doigt sous le collier la faisant suffoquer. La laisse pendait au mousqueton du collier. Elle portait une longue robe noire, largement fendue sur chaque hanche, décolletée jusqu’au nombril et le dos nu. Dessous elle ne portait que son porte jarretelle et ses bas, plus une paire de pinces reliées à une chainette, les pinces écrasait ses tétons et la chainette se balançait entre ses seins, visible dans l’échancrure de son décolleté. Avant de partir, je lui avait enfilé un plug de 4cm dans l’anus et une paire de boules de même taille dans la chatte. Les quelques km de trajets avait largement suffit à la chauffer suffisamment pour qu’elle soit aussi en chaleur qu’une chienne. J’avais avant de descendre de voiture vérifié tout cela, et son clitoris était saillant, son entrecuisse chauffé à blanc était déjà moite et les lèvres de sa chatte ourlées d’écume. Viviane était prête à tout accepter, on avait parlé le long du chemin et elle m’avait dit ce qu’elle attendait de la soirée, son désir était au plus fort, elle voulait subir tout ce qu’elle pourrait supporter et même plus. Nous avions comme toujours notre mot qui mettait fin à toute choses « Rouge ».Au moment ou nous passions la porte, Viviane savait qu’elle devenait uniquement mon esclave et non ma compagne. A partir du moment ou nous entrions chez nos hôtes le jeu commençait. Et il commençait également pour Peter qui lui était le soumis de Flora. La soirée en fait c’était ma rencontre avec Maitresse Flora et nous étions chacun accompagnés de nos esclaves.Flora avait une cinquantaine d’années, on remarquait de suite chez elle sa chevelure rousse flamboyante, qui n’était pas naturelle mais qui lui allait comme un gant. Ses yeux bleus marine semblaient ne jamais ciller, son regard avait une dureté naturelle en parfait accord avec le rôle qu’elle aimait tenir. Sa plastique pour son âge était plus que flatteuse, un peu forte, une poitrine généreuse et des hanches larges faisait d’elle une parfaite dominatrice. Ajoutons que le maquillage outrancier qu’elle affectionnait en faisait presque une image d’Epinal. Sa tenue était en adéquation avec la soirée qui nous attendait. Un bustier de cuir extrêmement serré à la taille faisait pigeonner ses seins lourds, on apercevait même la naissance des aréoles foncées. Une longue jupe de cuir fendue jusqu’à la taille laissait voir des jambes bien faites perchées sur des bottines aux talons d’une hauteur vertigineuse. De longs gants de satin noir lui donnait une élégance raffinée. Elle avait un sourire carnassier en observant la chienne que je tenais en laisse. Elle avait déjà plusieurs fois gouté à mon esclave. En fait j’étais il faut bien le dire plus ou moins en apprentissage. Je l’avoue j’étais excité et cela se voyait, ma queue était tendue et la bosse qu’elle faisait naitre n’était plus invisible. Je suis comme çà, mon esprit va plus vite, s’emballe je vis parfois à l’avance les moments a venir. Je pressentais que les heures a venir seraient exceptionnelles… et elles le furent.Une fois à l’intérieur, Flora s’installa dans un large fauteuil de cuir fauve, m’invitant à m’installer dans celui qui lui faisait pendant de l’autre côté de la cheminée. J’indiquais à Viviane sa place, à genoux à côté du fauteuil. Elle obéis instantanément, et elle croisa ses mains sur sa nuque comme elle devait. Peter le mari et esclave de Flora fit alors son entrée. Il faut quelques explications. Peter effectivement est soumis et esclave de Flora, mais c’est uniquement dans le cadre de nos jeux sexuels. Dans la vie de tous les jours c’est un entrepreneur, responsable et loin de la vision qu’on à d’un soumis ou un esclave. Il est difficile pour qui ne connais pas ce milieu de faire le distinguo. Il arrive certes que la soumission déborde du cadre sexuel. Dans ce cas j’aurais tendance a trouver cette ambiance malsaine. Viviane dans la vie courante n’étais pas soumise, mais notre problème est que peu à peu les jeux sexuels ne s’arrêtaient plus la mettant dans un état de soumission permanent et dans une recherche de sensations de tous les instants.Peter fit donc son entrée, sa tenue était sans équivoque, cagoule de cuir noir, torse nu, une chainette et des poids accrochés aux anneaux qui perçaient ses tétons très gros pour un homme. Il portait un string en cuir qui masquait tout juste son pénis. Peter était glabre mais pour le moins dodu, la soixantaine il était doté d’un « durillon de comptoir » , une bedaine sans doute un cadeau de la bonne chaire et de la bière. Entravé, un collier autour du cou, il déposa un plateau avec deux coupes de champagne, avant de s’agenouiller auprès de sa maîtresse. Flora et moi avions engagé la conversation de la façon la plus mondaine qui soit sans nous préoccuper de nos soumises et soumis respectifs. J’avais un peu de mal à dissimuler non pas mon émotion mais mon excitation. Flora en était parfaitement consciente et rapidement m’indiqua que je serais mieux si j’étais à l’aise. Elle ordonna à Viviane de me mettre à l’aise. Ce qu’elle fit dégrafant mon ceinturon et ouvrant mon pantalon. Ma queue était gonflée et dure, je bandais déjà comme un malade. « Tu est en forme » me dit Flora en voyant ma queue dressée« Comment ne pas l’être? « Répondis-je« C’est vrai, regarde ta petite salope elle a envie de te manger la queue. »En effet Viviane ne quittait pas ma verge tendue du regard. Je savais pourquoi. Je fis signe à Viviane d’approcher encore elle comprit immédiatement. Elle engloutit ma queue et descendit lentement m’avalant a fond dans sa gorge. Je posais mes mains sur sa tête la pressant contre mon bas ventre. « Regardez elle adore étouffer comme çà. » Dis jeViviane s ‘étouffait sur ma queue. Je maintenais la pression pour qu’elle ne puisse pas s’échapper. Les contractions de sa gorge massaient mon gland, je donnais de petits a coups pour pénétrer plus loin. Viviane commençait à baver, son nez coulait les yeux baignés de larmes. Flora avait écarté les cuisses et ses doigts caressaient sa fente que je devinais déjà très humide.Elle se leva et approchant de nous elle posa ses doigts sur mes lèvres. Ils étaient bien humides et odorants. Je léchais le bout de ses doigts. Elle vint appuyer sur la tête de Viviane qui émettaient des gargouillis de plus en plus prononcés. Elle m’inondait les bas ventre de salive, son nez faisait des bulles. Elle étouffait vraiment, suffoquait, n’arrivait plus à reprendre son souffle.« Elle va te faire jouir j’en suis sure » dit Flora en me regardant.« Je crois oui dis-je dans un souffle »En effet dans mon état d’excitation, le massage de mon gland par les contractions de sa gorge m’avait amené pas loin de l’explosion. Tandis que je maintenais la tête de Viviane, Flora ouvrit ma chemise. Elle avait l’expérience des hommes, en tout cas de ceux qui aiment les choses à la marge. Flora passa doucement ses doigts sur mes tétons tendus. Je suis hypersensible des bouts de seins, autant voir plus que certaines femmes. Les doigts de Flora s’emparaient de mes tétons, instantanément je sentis ma queue durcir encore plus, mon anus se resserrer. Elle me regardait avec une mine de chatte gourmande, se délectant de mes mimiques. Ses ongles maintenant s’incrustaient dans la chair tendre de mes pointes. On passait de l’agacement à la douleur. Flora avait senti qu’elle pouvait me maltraiter. Les ongles vrillaient mes pointes, je sentait la chair céder sous leur emprise. J’avais vraiment mal au point de crier. Viviane était étouffée et agitée de spasmes. Si ce jeu continuais plus longtemps elle ne le supporterait peut être pas. Je sentis un peu de chaleur le long des mon torse. Flora avait tellement bien œuvré que mes tétons étaient en sang. C’est quand je sentis et vis les traces rouges du sang sur ma poitrine que je me libérais.. C était un orgasme violent, un soulagement.. Ma queue tendue me faisait mal et je giclais dans la gorge de Viviane.Elle s’étouffait sur ma queue j’avais heureusement relâché mon étreinte quand j’ai jouis car Viviane était au bord de la perte de connaissance. Flora semblait satisfaite d’elle. Elle se pencha vers moi et me souffla dans l’oreille «  Il faut qu’on se trouve illegal bahis un petit moment tous les deux… j’aimerais bien t’avoir comme soumis.. je suis sûre que tu aimerais çà »Viviane reprenait ses esprits doucement, elle était haletante, mon sperme avait empli sa bouche et maculé ses joues, ses yeux étaient noyés de larmes son maquillage était parti en longues traces noires sur ses joues et sous ses yeux. Mais dans ses prunelles je voyais danser cette flamme annonciatrice des pires extravagances. Et avec Flora aux commandes c’était sans doute une soirée d’enfer que nous allions connaître.Peter avait assisté à toute la scène sans broncher.. Du moins pas sans rester indifférent. Je glissais ma main dans son cache sexe, sa queue était dure et serrée, je l’extirpais de sa prison. Son gland était décalotté, gonflé et humide il portait un anneau de belle taille qui entrait par le méat et perçait le dessous du gland. Je descendais le long de la tige et empoignais ses couilles et les serrais fortement. Il se mit à geindre, je serrais plus fort il se mit a grogner et à se tasser sur lui même. Son gland oscillais et je voyais qu’il se formait une jolie perle. « Ah mais tu aimes aussi les hommes?? »dit Flora« Je ne déteste pas les queues soumises et a faire éclater des couilles » répondis-je en accentuant la pression sur celles de Peter avant de les lâcher. Flora prit l’anneau entre ses doigts étirant la queue de Peter avant d’assener un coup de poing aux couilles gonflées. Il poussa un cri rauque et presque instantanément un long fil se mit à couler de son gland.« Il aime çà en tout cas.. »dis-je « Je suis sure que toi aussi… »lâcha Flora en me regardant avec intensité. Pour toute réponse je me plaçais devant elle écartait légèrement les cuisses. Elle sourit devant ma queue encore dressée et luisante. Mes couilles étaient dures. Un petit regard en coin et elle lança son poing dans mes valseuses. Le coup me coupa la respiration, j’eus l’impression que mes couilles était rentrées dans mon ventre, la douleur irradiait mais je sentais monter le jus dans ma tige. Flora comprit que ce ne serait pas juste une ondée limitée mais bien plus car mon gland lâcha un filet de sperme continu. Elle me frappa à nouveau cette fois déclenchant une éjaculation copieuse. Je manquais de tomber tant mes jambes tremblaient. Flora experte me donna un troisième coup moins fort mais tout aussi salutaire qui me vida les couilles cette fois. C’était la première fois que j’avais un orgasme de cette manière et je dois dire ce ne fut pas le dernier.« Debout petite pute » dit Flora à l’attention de Viviane. « Allez venez on va s’amuser »Flora nous guida vers la salle des tortures. Cave voutée, mais ambiance chaleureuse, pas d’humidité suintante le long des murs. Brillamment éclairée la salle était parfaitement équipé et ressemblait trait pour trait mais en plus cossu à celle de Pat. J’avais digéré mon orgasme à coup de poings, même si franchement ma queue et mes couilles surtout me faisait mal. Flora était surprise qu’après çà j’avais toujours la queue en l’air. Certes pas autant qu’a certaines occasions mais je n’avais pas débandé et ce n’est pas l’activité que nous étions prêt à déployer en ce lieu qui arrangerait les choses.Flora trainait presque Viviane par les cheveux, elle la malmenait vraiment. J’observais avec délice mon esclave dans les mains de cette maitresse experte. Il faut bien avouer que j’étais alors un novice. Elle gifla violemment Viviane avant de lui ordonner d’ouvrir grand la bouche et de lui cracher sur la langue. Sa main se serrait sur la gorge de Viviane qui tremblait de tous ses membres. Bien plus que quand j’étais à la manœuvre. Flora me demanda de l’aider à attacher Viviane. Bracelets aux poignets et aux chevilles, puis elle assura les mousquetons au chaines venant du plafond et celles fixées au sol. Flora manœuvra un petit treuil et Viviane fut écartelée, les membres tendus.. Offerte à toutes nos envies.Puis elle installa Peter sur une croix de saint André, pieds et poings liés sur le grand X. Elle avait ôté le cache sexe de ce dernier.. qui maintenant offrait à la vue et à nos mains sa queue et ses couilles. Elle lui plaçait un anneau qui enserrait son paquet et sa queue .. puis elle posa des anneaux en fait un montage mécanique en deux parties très lourd qui enserrait et allongeait son scrotum Ses couilles étaient hyper tendues lestées par cette appareil qui les éloignais. Elle prit ensuite une paire de pinces à un ratelier fixé au mur. Elle me donna l’une des extrémités et nous placions les pinces sur ses tétons, Peter grimaça et poussa un gémissement. Puis nous suspendîmes des poids importants à ses pinces.. Les tétons de Peter étaient gros et longs ils se courbèrent et s’allongèrent sous le poids. Cette fois il gémit longuement. Je savais combien ca faisait mal.. mais je voyais aussi commet sa queue était agitée de soubresauts. Flora lui plaça même une claque sur la tige. Pourquoi le nier.. à cet instant j’enviais un peu Peter.Viviane était totalement offerte, et se sentir ainsi entravée avait commencé à alimenter son désir. Je commençais à bien connaître mon esclave, elle jouissait d’une capacité à fantasmer la suite des événements que rien que la placer dans une posture, l’entraver ou bien lui décrire ce qu’elle va subir là met dans un état de transe. Plusieurs fois même elle atteignait l’orgasme sans que rien de vraiment physique ne lui ai été imposé.En fait Flora avait envie de me montrer ce qu’il fallait pour commencer à pousser Viviane dans ses retranchements, atteindre les limites.. Elle avoua pourtant que jamais Viviane n’avait utilisé le safe word pour arrêter une séance. Elle me souffla à l’oreille «  Il faut faire très attention avec elle, tu pourrais aller trop loin sans qu’elle dise un mot. Méfies toi, tu sais bien que celui qui dirige en fait c’est le ou la soumise, pas toi. Ta petite salope est tout a fait capable de te faire faire des folies. Promet moi de faire attention. JE l’aime beaucoup et vous êtes vraiment bien ensembles.» Sur le coup le pris le conseil à la légère, je mesure maintenant toute la portée des conseils de FloraNous étions deux à tourner autour de Viviane, sa respiration était rapide et saccadée on voyait sa poitrine se soulever de façon accélérée. Je passais mon pouce sur ses lèvres. Avec un regard de biche aux abois elle se mit à téter le bout de mon pouce. Flora lui attrapa les cheveux et tira sa tête en arrière au moment ou je la giflais violemment. Elle poussa un cri et je profitais de cet instant pour cracher ma salive dans sa bouche. Instantanément elle se tut, me regarda avec cet air abandonné mais teinté de défi.. l’air de me dire .. ose faire plus.Je passais ma main entre les cuisses de Viviane, ses lèvres pendantes étaient trempées, Flora me passa une paire de pinces que je plaçais sur les petites lèvres. Quand la première se ferma sur la crête de chair humide, Viviane poussa un long grognement, puis un vrai cri quand la deuxième se referma sur sa chair. Levant les yeux je vis son regard qui se vrilla dans le mien.. Sans rien dire, elle annonçait la couleur.. je devais continuer.. elle était dans le trip.. il fallait maintenant que je ne flanche pas.. Je tirais la chaine reliant les pinces vers le haut.. entrainant les lèvres qui se distendaient.. Avant de lâcher brusquement la chaine, le poids aidant la tension imposée aux petites lèvres de sa chatte fut brutale et forte. Elle ouvrit la bouche pour crier mais rien ne sortais.. qu’un petit souffle de douleur. Je crachais à nouveau dans sa bouche, avant de gifler ses seins. Ils commençaient à rougir. Flora s’accroupit et plaçà un poids à la chainette. Les lévres de son con étaient maintenant horriblement distendues. Les petites lèvres de Viviane étaient longues et souples, leur bord étaient assez foncé ce qui donnait un contraste avec le rose du reste de sa chair. Là elle était totalement tirées vers le bas la peau fine semblait prête a craquer. Ce qui n’empêchais nullement Viviane de distiller une mouille épaisse qui devenait au fil des minutes plus laiteuse.Flora alla chercher 2 cravaches au bout assez large. Elle m’en confia une et se posta à droite de Viviane, je me plaçais à sa gauche. Un premier coup tomba sur l’intérieur de sa cuisse, je répliquais par un coup au même endroit sur l’autre cuisse. Il faut savoir une chose c’est que les coups dans ce contexte doivent être équilibrés, jamais s’acharner sur un seul endroit un seul côté là c’est vraiment une horreur, j’ai subis parfois ce genre de chose et là on ne tiens pas 10mn alors que si on est frappé intelligemment on peut tenir longtemps on peut compter en heures.. Bien sur la force des coups entre en ligne de compte. La plupart du temps ils sont moins fort au début et on monte crescendo. Au moment de l’orgasme le corps sécrète tellement d’endorphines qu’on peut supporter l’insupportable vous le verrez à plusieurs reprise plus tard. Flora et moi nous partagions le corps de Viviane qui se tordait de douleur dans ses chaines.. Cette vision m’excitait énormément et ma queue gonflais un peu plus à chaque coup. Je vis que Flora n’était pas insensible et avait souvent la main entre ses cuisses. Moi je ne me touchais pas de peur d’éjaculer mal à propos. Peter qui ne perdait rien de la scène avait aussi la queue dressée.Les coups tombaient sur Viviane, l’intérieur de ses cuisses était rouge vermillon. Les cravaches laissaient une empreinte visible à chaque fois. Viviane agitée de tremblement, de spasmes criait de toutes ses forces les poids qui distendaient ses lèvres avait un mouvement de balancier qui était certes douloureux mais également les lèvres ainsi agitées massaient également son clitoris. Sa tête allait de droite à gauche, comme pour dire non.. Mais elle adorait le traitement en fait.Elle criait mais entrecoupait ses plaintes de « oui encore » ou de « plus fort ».Flora cessa, puis elle passa sa main entre les cuisses de Viviane. Elle ressortit des doigts luisants de liqueur. « Tu mouilles!! petite pute!! ah tu aimes çà te faire cogner!! Tu va en prendre encore tu va voir!! Allez suces!! lèche mes doigts goutte ta chatte!! » hurlais Flora.Viviane suçait les doigts avec avidité. J’avais entrepris de mon côté de prendre ses seins dans mes mains de les presser remontant vers les tétons que je pris entre mes doigts. Je serrais et tournait les pointes arrachant à Viviane un véritable hurlement. Elle adorait se faire travailler les tétons mais elle souffrait énormément à chaque fois. Son regard me transperça. Elle quémandais un peu plus encore.. A nouveau je tordais les pointes dans l’autre sens. Elle se cabra, lançant son ventre dans une danse heurtée. Viviane était presque parvenue à jouir sous mes doigts. Flora me fit un petit signe et nous nous replacions chacun d’un côté de Viviane. Cette fois nos cravaches tombèrent sur les fesses et le dos de mon esclave. Rapidement elle fut couverte de belles marques rouges. Son corps ondulait sous les coups.. sa peau se couvrait d’une fine sueur qui faisait luire son corps. Entre les coups elle restait agitée de tremblements. Parfois nous la faisions attendre et son tremblement augmentait jusqu’à une quasi tétanie qui l’amenait le plus souvent au bord de l’orgasme. En fait Viviane ne cessait de tenter d’avoir ce premier orgasme. Flora et moi guettions les signes pour justement lui refuser.. Ensuite nous allions la travailler plus précisément en lui ordonnant de se retenir de ne pas jouir.En fait j’avais presque le même problème qu’elle car ma queue tendue laissait couler quasi en continu un fil épais. Flora l’avais vu et s’approcha de moi Elle prit soin de ne pas toucher mon sexe mais du bout du doigt elle recueilli la liqueur qui s’écoulait.. Elle approcha son doigt de la bouche de Viviane qui s’ouvrit avide de recueillir cette preuve de mon plaisir. Viviane adorait lécher cet avant goût de mon sperme, souvent elle allait elle même le chercher. En effet dés que je suis fort excité je mouilles énormément du gland.Flora s’approcha de moi et à l’oreille me dit «  Il faut vraiment que je t’ai pour moi.. je sent que je vais m’amuser avec toi… »C’était clair Flora avait envie de me dominer. Je dois dire que si elle avait décidé de m’attacher aux côtés de Viviane j’aurais accepté. Mais nous étions là pour nous occuper de nos esclaves. Comme Viviane était maintenant visiblement tellement sous pression qu’elle risquait de jouir à chaque instant.. Nous décidions de nous occuper de Peter.Flora tourna un instant autour de Peter, puis d’une main elle souleva les poids qui tendaient la chaine des pinces à tétons. Puis regardant Peter dans les yeux elle sourit. Celui ci savait ce qui allait arriver Il secouait la tête comme pour dire non.. Flora hocha la tête et lâcha les poids.. La gravité fit son office en tombant les poids tendirent la chaine a fond et les pinces se serrèrent plus encore sur les tétons martyrisés. Il poussa un grand cri, sa queue se dressa presque contre son ventre avant de reprendre la position à l’horizontale. L’anneau qui perçait son gland était couvert de mouille qui pendait comme moi au bout du sexe gonflé. Ses couilles étaient lourdes gonflées et la verge noueuse les veines ressortaient bien étranglé qu’il était par les anneaux. Oh je connais cette sensation et j’adore les anneaux qui enserre la queue.. Je bande déjà très dur avec les anneaux c’est une folie.« Surtout tu ne jouis pas!! esclave!! » ordonnait Flora.Elle s’empara des couilles gonflées de Peter et se mit à les presser fortement. Il grogna ses genoux fléchirent . Son sexe oscillait comme si il allait gicler. J’avais une envie folle de le prendre dans ma main et de le finir.. J’aime voir gicler une queue, et celle là avec son anneau au gland me fascinait.. J’avais envie de la sentir dans ma bouche et même très envie de sentir la queue de Peter me défoncer la rondelle.Flora tordait les couilles avec force, Peter s’affaissait sur ses jambes. Flora me tendit alors un god de belle taille en latex noir. Pas besoin de me faire un dessin. J’allais le lubrifier quand Flora me fit signe que non.. Elle mima simplement une introduction violente. Comme Peter avait les genoux ployés son anus était assez visible. Je posais le gland du god sur son oeillet et je poussais d’un coup sec. L’engin entra de plus de la moitié alors que Peter poussait un soupir. Je vis alors un long filament laiteux couler de son gland.. Ma queue se tendit encore un peu plus et moi aussi je senti couler une grosse larme au bout de mon sexe. Flora passa derrière Peter et installa une tige sur laquelle se fixa la god que je venais d’enfiler.. dans ce cul. Ainsi Peter serait empalé et nous pourrions retourner vers Viviane.Peter est empalé et il remue doucement son cul. J’observe sa queue qui coule de plus en plus.. Je doute qu’il tiennent longtemps avant de partir. Viviane était toujours en proie à des tressaillements, de petits soubresauts. Ses yeux grand ouverts paraissaient un peu fous. Ce regard me hante ses yeux me disait le plaisir qu’elle prenait à être ainsi offerte, le désir qu’elle avait d’être frappée, torturée même. J’ai du mal à expliquer à montrer ce qu’était ce regard mais quand on est face à un tel appel on ne peut pas résister. Viviane m’a toujours envouté avec son regard me faisant faire les pires folies.. Je lisait dans ses yeux la gratitude qu’elle avait quand j’accédais à ses désirs malsains.Flora lui assène deux claques magistrales sur les seins. Puis elle va chercher deux bougies de grosse taille qui brulent depuis que nous sommes arrivés dans la pièce. Elle font 8 ou 9 cm de diam et autour de la mèche c’est créé un puis qui contient de la cire fondue et brulante. Je frémis ma queue se dresse. J’ai déjà vu dans des films mais jamais testé. Flora montre la bougie a Viviane, passe devant son visage, puis elle promène la flamme prés des seins, dessous elle pousse le vice jusqu’à laisser la flamme lécher le téton tendu . Viviane pousse de petits cris rauques. Je fais la même chose de l’autre côté. Manquant de pratique je laisse la flamme un peu trop longtemps immobile et le cri de Viviane est éloquent. Je viens de lui bruler le bout du sein cruellement, une cloque apparaît même rapidement. Je suis hésitant prêt à arrêter les frais « C’est rien dit Flora. ».. Elle gifle Viviane dont la tête dodeline. Puis elle incline la bougie au dessus du sein.. La cire se met a ruisseler sur le haut du sein, dessine des rigoles suivant les courbes.. Viviane pousse des cris puissants. Je fais de même de l’autre côté. Viviane se débat dans les chaines. La cire ruisselle sur sa peau en longue coulées qui glissent en se solidifiant sur son ventre. Avec application nous vidons toute la cire.. les tétons sont vite englués dans une gangue de cire.. presque toute sa poitrine est couverte de cire.. Viviane à les larmes qui illegal bahis siteleri coulent le long de ses joues. Je caresse sa bouche de mes doigts, puis je profite d’un soupir pour investir sa bouche. Elle lèche mes doigts, les mouille. Je pousse mon exploration plus loin enfonçant 3 doigts dans sa bouche, sa langue s’agite, je parviens dans sa gorge.. Elle à un haut le cœur et je sort mes doigts.. Flora me tend un martinet elle en tient un autre dans sa main. Elle commence à frapper les seins de Viviane qui tressautent sous le coup, en fait les lanières couvre la surface des deux seins. Et nous alternons les coups.. jusqu’à ce que la cire finisse par avoir disparue. Ses seins sont striés de marques roses qui virent au rouge sombre.Viviane pousse des cris qui me vrillent les tympans.. Elle se débat dans les chaines.. Elle se tend se cambre, lance son ventre en avant.. Soudain elle pousse un vrai hurlement.. les pinces qui mordaient les lèvres de sa chatte viennent de ripper.. en fait une seule a ripé.. et tous les poids sont supportés par la petite lèvre droite de sa chatte. Là c’est violent.. elle à vraiment très très mal. Je m’agenouille pour enlever la pince .. la chatte de Viviane est ruisselante, pleine de crème son clito est saillant luisant rouge vif. Flora est passée derrière Viviane et de sa main ganté elle pousse 2 doigts dans l’anus de Viviane qui se cambre cette fois de plaisir. Flora me fait signe de prendre le vibro sur la petite table. C’est un vibro secteur une manche avec un interrupteur et une tête ovoïde un peu plus petite qu’une boule de pétanque. Je le pose sur la chatte de Viviane qui se met à se frotter dessus, en fait elle cherche et m’appelle à la pénétrer. Il n’est pas question de lui donner satisfaction. Viviane le sait et tente d’arriver au plaisir. Flora lui fouille le cul avec 4 doigts maintenant et je promène le vibro sur sa chatte qui ruisselle maintenant plus que jamais. Elle gémit lance son ventre en avant. Son clito est totalement décalotté saillant comme une petite queue. Je fais attention de ne pas poser le vibro contre lui car Viviane aurait de grandes chances de jouir sur le champ. Moi je suis aussi limite qu’elle et je pense que Flora également, accroupie de l’autre côté de mon esclave ses genoux écartés me laissent voir sa chatte, elle est trempé, les lèvres baillent et me laisse voir l’antre rose tout inondé de rosée. De mon côté j’ai la queue tendue à mort, le gland totalement décalotté est gorgé de sang, les veines sont de plus en plus saillantes, mes couilles sont lourdes mais remontent petit à petit à la base de la tige. Je regrette de ne pas avoir mis d’anneaux car maintenant ma queue serait étranglée prête à exploser et j’adore cette sensation et surtout voir ma queue dans cet état extrême. J’ai mal je ne le cache pas mais c’est une délicieuse douleur. Flora cesse de défoncer l’anus de Viviane car celle ci est au bord de l’orgasme. J’arrête également. C’est un vrai apprentissage en fait Flora me guide pour que à l’avenir je puisse tirer le maximum de plaisir du corps de Viviane. D’ailleurs elle m’avait raconté déjà que Flora arrivait à la mener à des sommets, Viviane disait elle arrive à me rendre folle.Et je commençait à comprendre. J’avais souvent été bien trop vite, il est indispensable que les tourments durent, que l’on refuse la jouissance à l’esclave le plus souvent possible pour que la pression monte. Viviane semblait avoir perdu la notion de ce qui l’entourait, son regard était embrumé, sa respiration hachée, saccadée, son corps était en permanence tremblant et secoué de spasmes. Elle semblait avoir perdu le tonus dans ses jambes et se laissait pendre par les poignets. Sa chatte ruisselait l’intérieur de ses cuisses était strié de fins ruisseaux de liqueur. Entre les lèvres une mousse onctueuse était née. Quelques gouttes de mouille avait taché le sol et de longs filaments glaireux pendait de son con en ébullition. Son corps luisait comme s’il avait été enduit d’huile, mais ce n’était là qu’une fine sueur. Entre ses seins et les aisselles de grosses gouttes de sueur faisait de longes marques brillantes. Son front était emperlé également ainsi que sa lèvre supérieure. Qui ne cessait de vibrer.Je devais me retenir pour ne pas la prendre là tout de suite. Flora le sentit et s’approcha de moi pour me murmurer à l’oreille.«  Je suis sure que tu à envie de la baiser là maintenant »Je hochais la tête.« Attends, prend ton temps, tu va voir on va la faire danser un peu plus encore… » dit Flora avec un sourire carnassier.J’avais envie de toucher cette maitresse .. Ma main glissa le long de sa cuisse, et remontant j’arrivais à son con trempé. Elle lança son ventre en avant.. Mes doigts se perdaient dans les profondeurs brulantes de sa vulve.Elle posa ses lèvres sur les miennes et dans un murmure me dit«  Pas tout de suite… mais j’ai envie aussi.. » Et elle se sépara de moi avec un sourire. Je jetais un œil à Peter qui était toujours empalé sur le god, sa queue était gonflée prête a exploser aussi. Il matait et se défonçait le cul lentement.Flora avait ouvert un petit meuble et sorti un panier rempli de papiers à première vue. Je compris seulement quand il fut posé sur la petite table. En fait il était repli d’aiguilles médicales. Flora me jeta un coup d’œil amusé. Je ne pensais pas que cela irait si loin. « Tu va pas….. » commençais je.. « Oh si mon chéri!! Je vais.. et tu va voir que ta femelle adore… » dit elle.Dans le même temps Viviane hochais la tête pour signifier son acceptation. Elle n’arrivait plus à parler.« Tu vois elle dit oui.. mais quand je vais approcher elle va secouer la tête pour dire non.. elle va crier même.. supplier pas çà.. C’est normal.. Mais elle ne prononcera pas le safe word.. tu va voir. »Elle rit une première aiguille, fine d’au moins 5cm de long. Elle s’approcha de Viviane et posa la pointe de l’aiguille sur le sein, la promenant, griffant la peau avec l’acier froid. Viviane semblait terrorisée, regardant l’aiguille se promener sur sa poitrine. Ses mains avait agrippé les chaines de ses poignets. Ses articulations étaient blanchies tellement elle serrait. Les yeux de Viviane étaient braquées sur ce petit morceau d’acier qui dessinait des arabesques sur son sein droit. Flora arrêta de promener l’aiguille, puis regardant Viviane dans les yeux elle posa la pointe au dessus de l’aréole et poussa doucement. La peau se déforma un instant puis l’aiguille pénétra Flora poussai lentement et l’acier pénétrait la chair. Viviane haletait regardait l’aiguille pénétrer son sein. Sa gorge émettait une plainte continue. Enfin Flora lâcha l’aiguille qui était totalement entrée seul le plastique dépassait incongru de la peau.La poitrine de Viviane se soulevait au rythme saccadé de sa respiration. Je remarquais qu’une goutte de sang était nichée dans l’aiguille au débouché dans le plastique.Voir en live cette aiguille entrer dans le sein de Viviane m’avait excité à mort. C’était à moi d’officier.Je déballais l’aiguille, la débarrassais de son capuchon de plastique. Viviane ne me quittait pas des yeux. Cette fois ce n’étais pas l’aiguille qu’elle regardait mais mon visage. Son sourire m’engageait à continuer à la torturer, elle prenais plaisir à ces instants. Son bassin était agité elle mimait une pénétration, son pubis allait et venait comme si elle était empalée sur ma queue. Sa gorge laissait passer de petits râles. Elle rejetait sa tête en arrière comme si elle allait jouir. Elle frissonna quand ma main gauche se referma sur son sein. De la droite j’approchais l’aiguille. Taquinais de la pointe son téton. Elle crut un instant que j’allais lui percer le téton elle se tendit et fit non de la tête.. Les yeux disaient oui.. mais sa tête demandais grâce. Je posais la pointe au dessus de l’aréole. Et je me mis à pousser sa peau se déroba un instant puis céda. Ses yeux me scrutaient, ils était intenses me demandait de ne pas faillir, elle voulait que mes mains la fasse souffrir. C’est dur de pousser une aiguille dans un sein, plus dur que je ne le pensais. Mais aussi plus intense en sensations.. Je sentais comme un léger crissement alors que l’aiguille entrait dans la chair, sa respiration accélérait, elle s’agitait sa gorge râlait doucement. Enfin j’arrivais au plastique, l’acier était en elle. Ma queue n’arrêtais pas de tressauter comme si j’allais gicler.. Mon gland suintait comme jamais. J’avoue que le fait d’avoir fait pénétrer cette aiguille dans son sein m’a excité prodigieusement. Flora s’approche de Viviane, passe ses mains sur les seins rougis et martyrisés. Elle me glisse à l’oreille. « Vas y je te laisse faire occupe toi de ses tétons.. passe au travers elle adore.. »Je sentis ma queue se dresser à l’énoncé de ce conseil. Je n’étais plus moi. Honnêtement tout cela j’avais l’impression de le regarder de l’extérieur. Jamais je n’aurais pensé que je prendrais autant d plaisir à ces agissements extrêmes. Et pourtant.. je bandais comme un âne à l’idée de transpercer les tétons de celle que j’aimais. Et je savais qu’elle n’attendait que çà. Flora restait près de moi, pour m’assister ou m’arrêter si je m’y prenais mal. Elle m’avait conseillé de parler de dire à Viviane ce que j’allais lui faire.« Tu vois cette aiguille.. salope ? Je vais te percer les tétons avec.. » dis je en montrant l’aiguille nue à Viviane. Elle faisait non de la tête, sa bouche ouverte aspirait l’air comme un poisson jeté sur la rive. Je prenais son téton droit entre mon pouce et mon index. Je serrais le bourgeon charnu. Viviane gémit profondément. J’étirais le petit bout de chair, je posais l’aiguille bien droite contre sa peau. Viviane tremblait, ses yeux allant des miens à son bout de sein tendu. Je poussais lentement, la chair céda et l’aiguille pénétra profondément.  C’était plus douloureux, elle cria puis haletante regarda l’aiguille «  Oh non… j’ai mal!! non!!! »Encore une poussée et l’aiguille commença à étirer la peau sous le téton. C était hypnotisant voir la peau se tendre de plus en plus, puis d’un coup je sentis la résistance cesser.. Viviane poussa un cri et grimaça quand l’aiguille transperça le bout. Une petite goutte de sang perlait sur le haut de son téton. Viviane me regardait avec un regard ou se mêlait la douleur la satisfaction et l’admiration. Elle avait une grosse larme qui coulait au coin de son œil.« C’est bien petite pute… tu en veux encore? » demandais je.« Ouiiii encore » dit Viviane dans un souffle.Je pinçait son autre téton et je piquais l’aiguille. Cette fois ma main plus assurée transperça la chair tendre du téton d’un seul mouvement. Viviane se cambra, lançant son ventre en avant. Elle toucha ma queue tendue. Cela me fit l’effet d’une décharge électrique. Flora gloussa.. et susurra « Ouh.. tu est bouillant.. j’ai cru que tu allais partir… »Je lui jetais un regard en biais… Elle avait raison j’étais au bord de l’orgasme. J’étais dans un état un peu second.. ma queue était agitée de spasmes de plus en plus violents et rapprochés.. Je sentais monter la sève.Flora m’engagea à poursuivre.. Viviane était haletante, son ventre dansais elle s’agitait provoquant un frottement des lèvres de sa chatte qui ruisselait de plus en plus. De longs filaments laiteux pendaient entre ses cuisses et son nectar glissait le long de ses cuisses. Je pris une aiguille et je perçais cette fois le téton à l’horizontale. Elle poussa un long cri quand l’aiguille rencontra celle qui le perçait verticalement. Ce cri fit monter le plaisir dans ma queue.. Je sentis que je coulais un peu plus.. un coup d’œil je vis un long fil blanchâtre qui pendait de mon nœud.. « Retiens toi ne jouis pas tout de suite » me murmura Flora.Facile à dire.. les cris, les contorsions de Viviane, les aiguilles qui la perçaient tout concourrais à mon excitation. Viviane était méconnaissable, son visage grimaçait de douleur elel semblait près de la perte de connaissance.. Mais elle réclamais encore « Perce moi encore… maitre.. perce moi »Je pris encore une aiguille et prestement je perçais l’autre téton.. Cette fois j’eus du ma a passer au travers.. Forcé de sortir l’aiguille et de percer à coté. De la première tentative naquis un perle de sang qui se mit à couler sur le globe du sein. Voir ce sang aurais du me mettre mal à l’aise.. au contraire.. j’étais heureux et excité.. Viviane avait la même réaction.. voir son sang la mettais en transe. Flora me donna alors deux aiguilles plus longues et plus grosses. Et me montra comment les enfiler. Cette fois c’était plus étrange encore. Longue d’une douzaine de cm l’aiguille allait pénétrer le mamelon de façon frontale. Viviane est dans un état incroyable, ses yeux papillotent et ses pupilles se retournent par instants.Son sexe ruisselle vraiment, le sol est constellé de tâches humides. Je prend l’aiguille et pose la pointe sur le mamelon droit. Viviane elle même pousse pour faire pénétrer l’aiguille Elle me regarde et donne des accoups qui font entrer l’acier dans sa chair. Je pousse a mon tour et cm par cm elle entre plonge au centre du tétons. Viviane halète, crie, ses yeux sont révulsés.. un filet de bave au coin des lèvres donne la mesure de son état. Ma queue saute de plus en plus. L’aiguille est entrée presque totalement et dépasse incongrue au bout de son sein.Je passe ma main sur sa joue, elle me regarde et dit simplement « Enfile l’autre… »Je pique l’aiguille dans le téton gauche. Elle entre lentement. Viviane est de plus en plus évanescente. La douleur est intense. Flora lui libère une main. Instantanément Viviane la met entre ses cuisses et se caresse. Tandis que j’enfonce la dernière aiguille a fond..Flora me tends un martinet. Détache l’autre poignet de Viviane qui s’effondre à genoux, se branlant comme une folle. Elle laisse aller son buste en arrière, rejetant la tête. Flora me fait comprendre que je dois frapper.. ses seins. Je m’exécutes totalement hors de moi.. je me regarde frapper les seins de Viviane qui tressautent, elle hurle demande que je frappes plus fort. Je cognes comme un sourd les aiguilles sont bougées, enfoncées, retirés .. Rapidement de chaque orifice une fine rigole de sang se met à sourdre. Je frappes pourtant, les seins de Viviane sont écarlate maintenant. Flora me retire le martinet des mains et me dit « Prend là!! »Je me jette sur Viviane. Elle me sent écarte les cuisses.. je n’ai pas besoin de chercher ma queue la pénètre sans effort.. Je suis dans un antre bouillonnant. Elle ruisselle, son con est agité de convulsions je donne des grands coups de reins. Mes mains se plaquent sur les seins de Viviane qui crie et se débat. J’appuie sur les aiguilles, je me pique même mais je malaxe ses seins… un moment. Puis tout en donnant des coups de reins je retire les aiguilles une a une.. C’est incroyable.. le sang qui coule m’excite les longues aiguilles sont dures à oter.. Viviane tremble et s’agite.. Elle est maintenant tendue, arc boutée sur les épaules elle jouis comme une damnée. Je sent d’un coup une pression sur mon anus.. C’est Flora qui glisse ses doigts dans mon cul.. C’est le signal pour moi.. je gicle à gros bouillons dans la chatte de Viviane. Un éblouissement.. un éclair.. je me retrouve affalé sur Viviane, mes mains sont rougies de sang, je lui barbouille le visage de sons sang qui coule toujours des blessures de ses seins. Elle à les yeux toujours révulsés et son sexe palpite follement enserrant ma queue. Je lèche ses seins, je goute son sang, ce goût cuivré est je le découvre enivrant. C’est dantesque. Viviane jouis toujours secouée de spasmes, se tétanise pour retomber sur le sol. Moi je me vide jets après jets en elle. Nous finissons par retomber inertes sur le sol. Mon visage est contre celui de Viviane.. elle ouvre lentement les yeux.. me regarde avec une lueur de feu qui danse dans ses prunelles. «  Merci oh merci c’était bon bon bon.. » susurre t-elle.Je reprend lentement mes esprits. Viviane aussi .. Toujours dans le jeu elle s’agenouille, le buste bien droit, assise sur ses talons les genoux écartés, les mains posées sur les genoux paumes vers le haut. La pose de l’esclave qui attend le bon vouloir de son maitre. C’est impressionnant. Elle à les seins écarlates a cause des coups mais aussi a cause du sang qui à coulé des blessures infligées par les aiguilles. En fait peu de sang à coulé mais avec mes mains je l’ai étalé sur elle. J’ai aussi toujours son goût sur mes lèvres et j’aime çà. Ce constat est inquiétant, cela me fait peur.. Je sent confusément que nous avons fait un pas en avant, tomber un tabou et que cela ouvre des possibilités que je ne sais pas si je vais apprécier.Flora n’avait pas jouis encore. Elle s’installa sur un grand fauteuil, cuisses écartées et commençait à se branler enfonçant un god noir qui vite fut ceinturé d’un ruban d’écume laiteuse qui marquait la profondeur à laquelle il pénétrait. canlı bahis siteleri Peter était très proche et il s’empalait comme un beau diable sur son god.. Sa queue ruisselait littéralement de longs fils laiteux pendaient depuis l’anneau qui perçait son gland. Approchant d’elle j’avais encore la queue tendue. Je lui pris le god des mains et je la prit assez violemment, enfilant ma queue jusqu’à la garde . Elle poussa un cri et agrippa mes épaules. Sa chatte était large, elle était douce et pleine d’une mouille grasse et épaisse. Rapidement ma queue était couverte de yaourt. Flora se frottais le clito avec force. Je m’emparais de ses bouts de seins tendus et les pinçais fortement, je jouais avec ses seins tandis qu’elle avait renversé la tête. Je ressortais ma queue et profitais de sa positon dans le fauteuil pour l’appuyer sur son anus. Un coup de rein et j’encule Flora qui apprécie. Je suis plus serré c’est bien meilleur. Sa chatte est béante.. j’y glisse mes doigts trois pour commencer.. Je sens ma queue au travers de la fine paroi qui sépare son sexe de son rectum. Flora ne parle pas, elle gémis, grogne, mes doigts la fouille profondément Maintenant 4 doigts sont engloutis.. Elle ruisselle vraiment.. chaque poussée fait jaillir un petit jet d’urine. Flora ne se retient plus. Ma main s’enfonce dans la cavité vaginale sans aucun effort. Ma queue laboure son cul tendit que ma main lui dilate la chatte. Sous mes doigts je sent le col de l’utérus je joue avec du bout des doigts.. Mon index taquine l’entrée de ce temple. Je sent qu’il palpite, s’entrouvre tandis qu’elle est de plus en plus agitée. Je pousse légèrement mon doigt entre légèrement ce qui tire un grondement à Flora.. « Oui oui enfile pousse!!! » me dit elle sa voix est cassée par l’excitation.. Je pousse un peu mon doigt entre sans doute pas très loin.. mais c’est incroyable.. son orgasme se déclenche instantanément. Elle hurle cette fois, ma mains est comme mâchée par son sexe.. C’est violent, puissant.. Tellement excité par cette réaction.. je gicle a mon tour.. c’est assez bref.. mais très fort.. Un instant j’ai un éblouissement. Ma main qui est dans sa chatte se ferme.. et je la retire assez vivement.. dilatant le sexe au maximum.. Rugissement de plaisir de Flora et dans un nouvel orgasme elle m’inonde, elle se vide la vessie en un seul jet ou presque qui s’écrase sur ma poitrine , sur mon visage puis passe au dessus de moi avant de retomber en pluie sur Viviane qui se trouve a 2 m derrière nous. Le pauvre Peter est complétement hors de lui. Il se donne a fond sur le god, sa queue est presque bleue tellement il est serré et bande. Il fait des efforts désespérés pour enfin jouir. Mais il n’y arrive pas. Flora est évanescente et tente de récupérer. Je fais signe a Viviane de venir et lui ordonne de sucer Peter. Elle ouvre la bouche largement et avale le gland annelé. Je prends dans ma main les couilles de Peter et les presse. Il pousse un cri de douleur quand j’insiste. Mais je sent qu’il apprécie. Viviane pompe la queue avec ardeur. Je la stoppe un instant et je prend la queue dans ma bouche. J’avais envie de sentir ce gland et cet anneau qui le perce sur ma langue. Et j’aime beaucoup la sensation. Peter mouille abondamment, en fait c’est son sperme qui s’écoule en un filet continu. Je le sors de ma bouche et presse la queue en remontant vers le gland, ramenant un gros grumeau de sperme que Viviane prend du bout de la langue. Flora est venue nous rejoindre. Elle s’occupe des tétons de Peter. Viviane et moi nous faisons un duo de langue sur sa queue. C’est un régal. Je sent soudain la queue de Peter se dresser et tressauter. Ses couilles ne peuvent remonter et ca lui fait mal.. elles se contractent. Et il pousse un cri en s’empalant à fond sur le god. Viviane reçoit l’ondée dans sa bouche grande ouverte. Je suis a quelques centimètres, je vois les grosses giclées épaisses tomber sur la langue de Viviane qui garde tout dans sa bouche. Flora est venue murmurer quelque chose à l’oreille de Viviane. Je n’ai pas compris. Viviane à la bouche pleine de sperme, elle se relève. Se place face à Peter et crache violemment tout le sperme sur le visage de Peter. Qui se pâme à nouveau. Lâchant même quelques petites giclées qui arrosent le ventre de Viviane.La fatigue se fait un peu sentir, mais Flora n’a pas dit son dernier mot. Elle libère Peter qui commence à avoir des sérieuses crampes ca fait pas loin de 2h qu’il est accroché là.Elle att**** Viviane par son collier et approche son visage de sa chatte en lui ordonnant de la lécher.Puis elle me confie le martinet et me demande de fouetter cette chienne. Viviane se met à laper la grosse chatte ouverte de Flora. De mon côté avec le martinet je fouailles sont dos, ses reins ses fesses qui se marquent rapidement car je n’ai plus la retenue que j’avais toujours eu quand je donnais des coups. Cette soirée m’avait un peu décoincé et maintenant j’agissais conformément aux espérances de Viviane. Flora semblait apprécier les coups de langue de Viviane. La chatte de flora était large et charnue. Les petites lèvres à peine marquées, cernaient un cratère rose, béant. On pouvait voir dans cette chatte le col de l’utérus agité de spasmes, et son méat très dilaté qui palpitait au haut de cette vulve. Soudain Flora ordonna.. « Ouvre ta bouche petite pute!! » Elle laissa gicler un long et puissant jet d’urine pile dans la bouche de Viviane.. « Avales!! bois!!! » Flora se vidait dans la bouche de Viviane. A ce moment j’aurais bien pris sa place.. je continuais à frapper Viviane qui commençait a trembler.. je voyais sa main s’agiter entre ses cuisses.. La salope se branlait. Je prenais alors le collier et la fit choir sur le dos. Sa main ne s’arrêtait pas.. sa chatte moussait pleine de crème. Son clitoris saillant était l’objet de toutes les attentions de ses doigts. Je levais le martinet et frappais entre les cuisses qu’elle gardait écartées. Le premier coup la fit bondir et hurler de douleur. Les autres également mais c’était des rugissement de plaisir et de douleur. Elle était au bord de l’explosion. Quelques coups plus tard.. Viviane se tétanisait, jouissant violemment et expulsant à son tour le contenu de sa vessie. Viviane est encore agité de spasmes.. Ma queue est raide et je m’agenouille prés d’elle en me branlant comme un fou.. J’ai envie de gicler dans sa bouche alors qu’elle est ruisselante.. En peu de temps l’orgasme monte.. je glisse ma queue dans sa bouche et la pénètre jusqu’à la glotte.. ou je finis par gicler abondamment.. Viviane étouffe.. recrache le sperme qui coule le long de ses joues.. Je me laisse tomber sur Viviane.. qui est essoufflée.. totalement dans les vaps.. moi aussi en fait.. la tête me tourne.. Après que nous ayons repris nos esprits.. Flora calme le jeu.. On boit un dernier verre salutaire.. Nos esclaves ont quitté ce rôle mais sont comme nous restés nus. Viviane est enchantée.. pourtant elle a le corps marqué. Les lanières ont tracé un lacis de marques roses et rouges parfois boursouflées. Les coups sur les seins ont laissé de grandes marques violettes de ci de là quelques plaies ouvertes Mais les aiguilles n’ont pas laissé de marques visibles a moins d’être le nez dessus. Par contre les coups sur la chatte que je lui ai donné.. ont laissé des traces visibles. Les petites lèvres sont tuméfiées et rouges sang. Le clito a pris une lanière de plein fouet et il est gonflé et tuméfie. Viviane plaisante disant que pour le reste de la semaine elle pensera forcément à moi quand elle se branlera.Flora, me fait encore une avance.. disant qu’elle aimerait m’avoir à elle pour un soir.. Viviane en accepte l’idée.. mais ne semble pas enthousiaste.Flora nous guide à notre chambre, et nous précise que nous ne sommes pas forcés d’être sages. Elle n’en , à pas l’intention car Peter à été un peu oublié durant notre séance. J’avoue que j’aurais été tenté mais Viviane avait assez dégusté. Une fois la porte fermée je trouvais Viviane devant la glace de l’armoire à contempler les marques qui couvrait tout son corps.Elle avait une mine réjouie.«  Merci c’était génial!!! » dit elle en se pendant à mon cou. Je posais mes mains sur elle lui tirant une grimace.. « Tu à vu dans quel état tu est ma chérie? » dis je« Oui j’adore ca prouve que je suis a toi tu fais ce que tu veux de moi.. et tu m’a fait jouir comme une folle.. et regarde toutes les marques de ton amour » dit elle en tournant sur elle même.Que répondre à çà? Et puis comment ne pas avouer que j’ai pris un plaisir plus qu’intense à la torturer appelons çà par son vrai nom. J’ai pris mon pied à enfoncer des aiguilles dans ses seins.. j’ai pris mon pied à voir couler son sang, à le lécher.. C’est comme si j’avais fait un cauchemar mais c’est vrai.. et en plus évoquer cela me fait bander. Et voir Viviane devant moi nue, marquée par les coups me donne envie de recommencer. Elle me regarde.. et dit «  Tu m’aime comme çà… j’ai senti que tu aimais ce que tu me faisais.. Et moi j’ai adoré.. On pourra faire mieux encore.. Tu sais il y a eu des moments ou je n’arrêtais plus de jouir.. »Elle était devant la glace se mirant je m’approchais d’elle me pressais contre sa peau brulante des coups passés. Je mis ma tête sur son épaule et la contemplait un instant.« Oui tu est magnifique chérie, je t’aime comme çà.. tu m’excite d’ailleurs » dis je« Je le sent.. tu est tout dur contre mes fesses.. » dit elle.Elle avait le poing fermé, elle le monta à hauteur de mon visage et ouvrit la main. Dedans une poignée d’aiguilles….« Je les ai chipées en passant… on les utilise? » Elle me regardait intensément.. Ses hanches se balançaient frottant mon sexe contre ses fesses.Je hochais la tête. J’avais envie de voir de sentir encore une fois le métal percer sa chair.. C’était obsessionnel presque. Ce jeu est un de mes préférés.. J’en ai usé et abusé parfois.. C’était mes premiers pas dans un SM dur.. et encore ces quelques aiguilles c’était une broutille.Une idée me vint.. cruelle.. perverse.. « TU va les utiliser.. Moi je veux te regarder.. Tu va te percer toute seule.. moi je vais me branler en te regardant.. Attends viens ici.. » Je m’assis sur le lit, allongeait ma jambe droite.« Viens frotte ta chatte sur ma jambe pendant que tu te perce ..salope »Viviane avait les yeux qui brillaient.. Docilement elle se mit à genoux, posa son sexe contre ma jambe et commença à se frotter à petit coups de reins. Moi la main sur ma queue gonflée.. je m’astiquais doucement.Je tendis la main pour récupérer les aiguilles, ainsi Viviane aurait les mains libres. Il y en avait une douzaine. Je vis les lèvres de Viviane qui tremblaient, signe de son état d’excitation. Parfois une grimace quand elle faisait aller et venir son sexe car ses petites lèvres étaient tuméfiées et elle souffrait. Mais elle mouillait aussi car je sentais une humidité grasse sur mon tibia.Viviane prit une première aiguille.. Elle dessina des arabesques sur son sein droit a part les marques laissées par le fouet.. on ne voyait plus les piqures.Viviane d’un geste vif planta l’aiguille au dessus de son mamelon mais la retira aussitôt.. laissant perler une goutte de sang vermeil… Elle pressa son sein pour faire couler la goutte le long de son sein.« Tu aimes mon sang? Moi j’aime quand il coule pour toi.. » dit elle d’une voix rauqueJe me penchais en avant et léchait la fine coulée rouge. Viviane avait planté à nouveau l’aiguille mais cette fois elle l’enfonçait jusqu’à la garde. Les 4cm d’acier étaient entrés dans son sein. Viviane prit une nouvelle aiguille. Le lent mouvement de son sexe contre ma jambe portait ses fruits.. Viviane par instant frissonnait. Ma main allait et venait sur ma queue, lentement je serrais fort ma tige et remontant je faisait jaillir les gouttes translucides qui perlaient sur mon gland. Une grosse goutte commençait à couler le long du gland, le long de ma queue. Sur mes doigts. L’aiguille était posée sur le téton droit. Viviane pris une inspiration et avec lenteur entrepris de percer le téton. La peau résista un instant, se creusant autour de la pointe acérée. Puis elle céda. Viviane se mordait la lèvre inférieure pour ne pas crier. Elle continua à pousser plus fort.. Je voyais la peau se tendre sous le téton avant de céder et de laisser passer le métal. Viviane avait poussé un gémissement quand l’aiguille avait transpercé le petit bout de chair tendre. Elle prit une nouvelle aiguilles dans ma main et avec force et rapidité se transperça le téton gauche de haut en bas. Elle poussa un petit cri tandis que je sentais sa chatte de plus en plus humide sur ma jambe. C’était irréel. Voir cette magnifique créature que j’aime s’infliger des souffrances pour arriver au plaisir.. C’était incroyable. Je n’étais plus dans le monde réel.. C’était autre chose on était hors du monde.. Dans ma tête se bousculais des idées plus ou moins perverses plus ou moins horribles.. J’inventais des tortures.. je voulais la faire souffrir lui donner ce plaisir qu’elle recherchait avec avidité. Ce n’était pas une vue de l’esprit.. Viviane aimait souffrir, aimait la douleur et par dessus tout aimait souffrir pour moi et par moi. Maintenant elle tremblait de tous ses membres.. chez elle ce tremblement s’accentuait jusqu’à la délivrance. Elle émettait une plainte continue du fond de sa gorge, ce son modulé par les gémissement que lui tirait la douleur était comme un chant de sirène. A la fois cela m’excitait comme un malade mais également une peur sournoise s’emparait de moi. Je sentais que tout pouvait arriver.. même le pire. Je tentais de freiner mes pulsions mais c’était difficile déjà à ce moment. Viviane continuait à se percer les seins. Ses tétons étaient maintenant une pelote d’aiguilles. La dernière aiguille placée une pulsion brutale me fit tendre la main vers les aiguilles, je m’emparais d’un des talon en plastique et je tirais pour faire aller et venir l’aiguille. Je faisait coulisser le métal dans sa chair.Les mains de Viviane se posèrent sur mes cuisses.. ongles en avant.. elle se cramponnait. La tête rejetée en arrière elle souffrait, acceptait la douleur que je lui infligeait. Son bassin lançait son sexe au contact de ma jambe.. Maintenant je sentais sa liqueur couler le long de ma peau. Elle mouillait tellement. J’avais les doigts trempés de ma propre liqueur qui s’écoulait lentement de mon gland violacé. Voir Viviane se tordre, onduler les seins martyrisés me mettait dans un état dingue. « Maitre.. faites moi saigner… je vous en prie » dit Viviane.Je compris qu’elle voulait que j’ôte les aiguilles comme je l’avais fait peut de temps auparavant. D’une main je commençais à retirer les aiguilles.. lentement et en les faisant coulisser plusieurs fois avant de les retirer. Cette fois le sang coulais plus abondamment.. Quand j’ôtais une aiguille.. une grosse goutte vermeil naissait sur sa peau.. puis elle dévalait le long de son sein.J’avais le plus grand mal à ne pas gicler.. Mon gland coulais mes couilles me faisaient mal. Tendu à l’extrême je faisais des efforts pour ne pas jouir. Le jeu continuais.. chaque aiguille laissait un petit ruisseau de sang s’échapper. Viviane haletais je sentais l’humidité ruisseler sur ma jambe. Ses yeux papillotais et se révulsais par instant. Comme moi Viviane était au bord de l’orgasme. Les aiguilles étaient retirées.. Elle et moi étions sur la limite.. mais nous n’avions pas encore jouis.. Je n’osais plus toucher ma queue.. Je pris deux aiguilles que je plaçais à hauteur de ses tétons. Je lui dit « Viens!! » Elle comprit sans autre explication. Elle s’empala sur les deux aiguilles. A cet instant ma queue tressauta et gicla sur sa poitrine, son visage, de longues giclées qui me tirèrent un cri tandis que tétanisée elle jouissait sur ma jambe donnant de grand coups de bassin. Viviane s’étaient emparée de mes mains et les pressaient contre sa poitrine.. comme pour enfoncer plus loin les aiguilles dans ses tétons.Je basculais sur le dos. Viviane vint s’allonger sur moi. Se pressant contre moi.. ses seins écrasés entre nos deux corps les aiguilles plantées dans ses tétons. Je sentais sur ma peau les embouts en plastique qui bougeaient sans cesse. Viviane était en sueur et tout son corps était sensible. Au point que le lendemain rien que le tissu léger d’une robe presque transparente lui faisait souffrir le martyr.Ce soir là j’étais devenu le vrai maître qu’elle désirait. Elle savait que je pouvais la punir avec v******e, la faire souffrir. C’est ce que désirait Viviane et elle me le dit clairement, si je n’avais pas été à la hauteur de ses espérances notre histoire se serait arrêtée bien que les sentiments qu’elle avait pour moi étaient sincères. Mais l’amour, les sentiments ne suffisait pas. Il fallait que je soit assez fort.. assez fou pour entrer dans ses délires.. dans ses désirs. Elle me dit également qu’elle sentait que je prenais vraiment plaisir à faire d’elle une chose.. un objet.. un quartier de viande c’était son expression favorite.. et j’avais en horreur cette façon de se décrire.Je me rendis compte qu’après que nous commencions une descente aux enfers.

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Ma derniere aventure en date….04Effectivement, cette situation totalement inattendue, éveilla en moi une excitation inconnue jusqu’alors. Je me sentais prisonnière, d’abord de ces hommes, et surtout prisonnière de cette envie d’explorer le monde de la jouissance. Comment m’en défaire ???Cette main qui vint se poser sur mon sein droit, me rappela la présence du deuxième bonhomme. J’avais oublié sa présence à celui là tellement concentré sur ses doigts explorateurs de l’humidité de mon entrejambe.-Fais attention…… On peut nous voir !-T’inquiète ! Avec cette pluie qui tombe en ce moment, il y a pas grand monde dans les rues ou devrai – je dire qu’il n’y a personne ! En me malaxant ferment le sein il rajout, j’ai l’impression que cette petite chienne en chaleur, en redemandera une fois qu’elle aura vu le plaisir que nous lui administrera ! Hummmmm…. Elle est plus que bandante !Après 5mn ou 10 ou 15, j’en sais rien, car j’étais dans mes réflexions, la voiture s’arrête, j’entends le bruit d’un moteur d’une porte. J’en conclus que nous sommes enfin arrivé, à la demeure réserver à me faire vivre les jouis le ces messieurs.La voiture redémarre, franchi le portail de la demeure, c’est une maison qui se trouve sur un terrain d’au moins 2mille m². Une belle maison. C’est vrai que le maître de maison n’a pas eu la galanterie de me faire le tour de la propriété, mais c’est ce que j’ai réussi à apercevoir lorsqu’on m’a retiré mon bandeau (bien plus tard !!).La voiture s’arrête enfin, les portent s’ouvrent et on me fait descendre.-Garde ton bandeau ! me dit – on quand j’ai fais le geste de vouloir me l’enlever.La pluie avait cessez de tomber. escorté par les deux hommes, nous rentrons dans la maison. A peine le pas de la porte franchi, qu’on me délesta de mon manteau, puis nous reprîmes notre marche, vers le salon.-Salut à vous messieurs ! Voilà le cadeau que cette belle île de Djerba renferme ! Délicieuse non ? Cria mon ami.-Hummm ! Tourne toi un peu pour que l’on puisse t’admirer dit une voix que je ne connaissais pas.Je m’exécutais, mais avec une peur au ventre, car si je compte bien…. 3….. + 1….. 4 mecs !-On est combien ? Ose – je demandé.-Tu la sixième ! Me répondit mon Boutty.-Que voulez vous boire ? Dit une autre voix que je ne connaissais pas.-Un Whisky pour moi ! Répondit canlı bahis şirketleri Philippe.-De même pour moi, mais un bien serré ! Répondit mon ami.-Et pour cette dame ? me demande – t – on.-Euh… Euh… Rien pour le moment !Le temps qu’on leurs verse leurs boissons, je sens des corps qui me tournent autour. M’auscultent, comme s’ils soupesaient de la viande chez un bouché.Tout un tas de compliments furent exprimés sur ma plastique.-Allons, ne perdant pas de temps ! Dit mon ami.Il me tira par le bras, me mis au milieu du salon et me dit :-Montre à mes amis que tu aime tu faire prendre, montre leurs qui tu es toute mouillée rien qu’à l’idée de les faire joui ! Penche toi en avant et montre leurs que tu es dégoulinante, que ta chatte n’attend que leurs zob pour te faire grimper aux rideaux !Hypnotisé, que j’étais je me suis exécuté sans brancher. J’avais honte de moi d’être traité ainsi. Je me penche un peu.-Penches toi plus salope ! Et écarte tes fesses ! M’ordonne-t-on.-Reste comme ça ! ME dit – on lorsque je pris la position voulue.-25 !-50 !-150 !-210 !-…-210 une fois ! 210 deux fois !…….. 210 adjugé ! Bravo Patrick, c’est à toi de commencer.Commencer quoi me suis – je posé comme question.La réponse ne tarda pas à venir. Patrick, s’avança et me planta sa queue dans la bouche en m’ordonnant de le sucer. Ce que je fis de peur que quelque chose de fâcheux ne m’arrive.-Oh que c’est bon ! Elle sait s’y prendre les gars ! Vous….. Vous conseil d’essayer !Après lui avoir astiqué du mieux que je pu cette grosse queue qui emplissait ma bouche, Patrick me fis pivoter sur moi-même, s’accrocha à mes hanches, frotta sa bite sur les lèvres humides de mon minou, et d’un coup me planta son zob bien au fond le mon chatte.Je ne pu étouffer un cri de douleur et de surprise lors de cette pénétration.Patrick me donna des coups si profonds, que je sentais ces ouilles frappés les lèvres (humides) de ma chatte.Cela fut rapide, en quelques allées et venues, alors que je commençais à avoir ses frissons dans mon bas ventre, il s’est retirer et à libérer ton son jus sur mon dos.Tous les assistants étaient pliés de rire.-Hé Patrick ! C’était rapide ! On te connait plus résistant !!-Attendez de gouter à cette chatte et vous verrez qu’on ne résiste pas bien longtemps !Ils canlı kaçak iddaa étaient tous partis en fou rire. Moi je me sentais…… Bizarre. Je souriais à leurs blagues débiles, des blagues de macho. Les yeux dans le noir, des tas de questions se bousculaient dans ma petite tête. Quesque j’ai bien pu faire de si mauvais pour me retrouver ici ? Et c’est quoi cette histoire de vente aux enchères ? Et c’est quoi ce groupe que fréquente mon ami ? Quel sera mon devenir avec tous ces mecs ? Vais – je les satisfaire ? Pourrai – je les combler ?….. Et où est mon ami ??-Boutty….. Ya Boutty ! Hija hné (viens ici NDLR) !En moi de deux seconde, une main se pose sur mon épaule :-Oui Douda, que se passe t – il ?-J’ai quelques questions ? (en arabe dans le texte !! NDLR)-Je t’écoute !-Tu m’as vendu aux enchères?-Non, c’est pour alimenter la caisse de nos soirées ! Celui qui offre le plus aura le privilège de baiser tout seul, la fille que nous ramenons !-Vous en ramenez beaucoup de filles ?-Une à deux par mois….. Des fois plus !!!-Et maintenant ???-Ben tu vas avoir droit aux autres zobs !-Tu leurs dis, pas de pénétration sans capote !-Il va sans dire……….. petite salope !J’ai failli avaler de travers quand j’ai entendu ses mots ! Jamais il n’a osé me dire une chose pareille.-Et tu sais ce qu’elle te dit la salope ? lui répondis-je après réflexion……… N’oublis pas d’immortaliser ses moments…… Puis je me tus en ravalant ma colère.Il me fit un smack et parti (je suppose) rejoindre ses amis (je vous rappel, pour celui qui ne suit pas, que j’ai toujours le bandeau sur les yeux !)%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%J’étais là debout comme une conne à siroter une vodka – orange que l’un de ses messieurs m’avait bien gentiment donné. Et après quelques secondes, j’ai senti que les hommes se mettaient debout et se rapprochaient de moi. Une main me pris le verre alors qu’une autre main pesait sur mon épaule et on m’ordonna de me mettre genoux à terre.C’est alors que je senti toutes ses queues qui n’attendaient que ma bouche pour les revigorer.-Hummmm c’est vrai qu’elle suce bien cette coquine !Je passais d’une queue à une autre, et à chacune j’essayais de lui appliquer le meilleur massage que j’ai en réserve.J’entendais les voix au dessus de ma tête qui jugeaient mon action que je prodigué canlı kaçak bahis et quelques vannes de gros macho o tout simplement des soupirs de bienêtre (c’est le son de voix que j’aime le plus).Je ne sais pas au bout de combien de minutes, qu’on me prit par les aisselles (ouf commençais à avoir mal à la mâchoire) pour me conduire vers une chambre et on me poussa sur le lit qui s’y trouvait.Me retrouvant à quatre pates, un des messieurs commença à me lécher la moule. C’est une caresse qui ne fit que raviver la flamme de mon puits d’amour, alors qu’un second me colla son zob sur les lèvres, et je n’ai eu d’autre solution que de l’ingurgiter est lui appliquer une bonne fellation.-Regarde – moi ce cul…… Regardez comme elle suce, cette salope…. Va s’y Patrick, fais la jouir, fais la mordre les draps ! Entendis-je tout autour de moi.Je sentais une chaleur qui montait de mon arrière train (c’est un terme qu’on utilise pour les animaux… et chienne je suis !) pour venir exploser dans ma tête.Je ne savais plus où donner de la tête ! Une deuxième queue se présente à petite mon bouche qui délaisse la première bite pour l’engloutir profondément et joyeusement je dois dire !Patrick (je suppose que c’est lui qui me bourrait la chatte) se retire pour laisser la place à un autre membre qui combla assez rapidement l’espace délaissé par la queue de Patrick.Mon baiseur, s’accrocha fermement à mes hanches et à chaque que de queue qu’il m’infligea je criais mon plaisir qui était étouffé par la bite que j’avais entre les lèvres.Puis je sentais qu’on me claquait les fesses, une fois, deux…… trois…. Après la dixième j’ai arrêté de compter. Je sentais que mes fesses devenaient toutes chaudes.Je voulais crier d’arrêter mais aucun son ne sortait de ma bouche. On me bascula sur ma droite, mes lèvres laissaient échapper la queue qui comblait l’espace vide de ma bouche. On me releva les jambes et c’est avec grande douceur que je senti un membre bien raide pénétrer ma chatte toute chaude et dégoulinante de jus d’amour.Après les premières introductions en douceur, celui qui prit possession de ma cave à bite, accéléra la cadence. A chaque coup de queue, je sentais mille feus envahir ma grotte. C’était une succession de jouissance que j’étais entrain de vivre et de déguster !Je crois que toutes les bites me sont passés dessus, j’ai été tourné et retourné à mainte reprise, que j’en ai perdu le compte. Car il ne m’importait plus de faire l’inventaire de mes amants.Je me suis surtout concentré sur ma jouissance, mon plaisir et l’instant présent.

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Selam herkese bez azeri beycandan katiliorum sizleri hikayenizi seyr ediyorm neyse hikayiy e kecelim.Ben 17 yashindaydim amca kizi da 16 yashinda nasil olsa bizde kaliridi ara sira ben onun kloduna bakmak icn minlerce tum sheyler yapardim amma goremeyince hayal edib 31 cekerdim.bir gun yine evde yalnizdim bana ne haber neden teksin dedi .bende evde yalniz kalmaq istedim sen nereye boyle xnaim kizz olmushsuzn artiq dedeim ee yani sen beni en sandin lan bel kocaman kiz oldum bak gouslerimde iri artiq .bende guzel bana hava atiysan dimi dedeim yox oyle bir shey amma canim bir shyeler ister dedi ne yani oynamaqmi , gulmekmi eylenmekmi dedei hayir hic birsi yoxbana bilqisayardan bir shey oyretrmisin tamam dedim oo zaman acalim bilgisayari benn tam olaraq onu bilqisaya oyretince bilmediyi bir ozel yere girdiyinde parno vidolari isledi ben hemen kecirdim.olmaz bursa escort onlara bakmak sen kucuksun hale dedeim ya yaa ben gormedim merak etdim onlar ne ? bende dedeim tamam oo zaman bax amma ben cikarim neyse bende bakmayim oo zana onda yoxxx dedim kiz sen bak isteyrsin oki tamam oo zaman izleyilim bax bir az bakmishdi gulumsundu abi dedi bana oo ne oylee ilginc shey dedei dedeim sen hic yashamatinmi dei hayir peki sen dediem evet bir kezz nasil olur kizlar agrimiyrmu dedei dedeim zevqalir kizlar yox yaaa dedei canim agriyo dedi bana oyla shey olsa tabii>:PP neyse sen ishine bax hadi dedeim oan bana sordu abi sana bir soru daxabenim canimi acitmadan yapa bilirmisin :evet yani burda ne var ki sen isde ben yapiyim tamam oo zaman yapp dedi aaaaaa. bu aradan kizin adi zeynep 16 yashinda iri gozlu hemde irir gotlu kizzz amina halee eyni tukler gelirdi. ben iyince bursa escort bayan sikimi cixkardim o ne oyle abi bu nasil da boyle iri kac sm dedi 22 vardi nerdese bende deim goruotmusun bunu tamam al agzian yala iyice tamamda bunasil agzima alicam ben dediem kolay cnaim soyusn sen hele tamam tanqa ile ic chamishr kaldi onda onu yatagima yatirimiyice opmeye bashladim abi ben kendimi tutamiyorum bana na oluyur hic guzelim bana bax hadi sende beni op bu zmaan bu boshal di ne oldu dediem abi benden kanmi akan ne olee dedeim kis sen boshaldin hadi bana soyle boyle zevgaldinmi hayir dedi bana soxacasun dimi abi yaragi hadi sonuna kadaq kocaman sikini icmde hiss etmek isterim olmaz sne kisiz ne olsun al da canimikurtar yeter ki bniii sondur ami iyice kizmishdi dilimle yalarkaen abiiii hadiiiiii allll kizligimi ohhhhh of hadi cnaim seni seviyiorum ben abi escort bursa sen oldur beni sok bana abi yalvariyorum men tamam sen acele etme kizim kafam aminda idi gotunu iyice yumshaltdim yaragimi dayandim gotune kafasini sokmushdum iyiceee ah abiiiii oldum hadi sok dibine kadarde cildirtma benii al kizligimi ben ordanda zevk almaq istiyorum hadi all tamam ben de sikimi gotundencixacaqdim ki boshaldim hadi oo ne gotumden akiyor deim dole dole mi af agzima boshalsaydin yutardim onu bende dedeim olur bu zamankini agzian boshalaram oki nyese amini etkrar yaladiqdan sonra bu da menim yaragi agzian dayandi abi sok hadi ne olur sok bana shahashqlarinida sokaciqsun diyi mi hadi artiq abiiiiiii goriyim snei sok mende acele etmeden yaliyordum amini artiq zamani gelmizshdi kizin almaq zorundaydim ami o kadar dardi ki iyice girmedi tukurledim ve sonda bashardim icinedeydim arqi inildemelerrr ah men gitib geldikce kanlarda akiyordu beni sen mutlu etdin sonunda abiii diyerek boshalidii ben de oo zaman boshaldim icne veee oo gunden beri her gun gunde iki kez azindan sikishiyoruqqGönderen: 123456

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Selam ben tolga size hatay?dan yazıyorum ben şu an 24 yaşındayım. Hikayemin geçtiği dönemde 14 yaşındaydım. Babam bir tekstil fabrikasının terzihane bölümünde çalışan 40 yaşında sıkça içki içen dünyayı umursamayan adamın biriydi. Annem de aynı fabrikanın paketleme bölümünde çalışan 32 yaşında kocasıyla aile baskısıyla evlenmiş bu yüzden gözü dışarıda olan dolgun göğüsleri ve yuvarlak çıkık kalçalarıyla harika bir fiziğe sahip olan bir kadındır. Annemin işveli tavırları çevresindeki bir çok erkeğin bakışlarını üzerine çeker beğenilmek ise annemin hoşuna giderdi fakat babamın annemi sıklıkla dövmesi annemde bir korku yarattığı için isteklerini dışarı çıkaramazdı. Bir keresinde annem iç çamaşırı bölümünde çalıştığı için elinde siyah bir iç çamaşırını paketlerken bölüm sorumlusu anneme bunu üzerinizde görmeyi çok isterdim dediğinde annemin gülerek teşekkür etmesinden cesaret alan adam ortamın kuytuluğundan yararlanarak annemin kalçalarına bir şaplak attı ve eli annemin kalçalarındayken bu kalçalarda çok güzel durur dedi. Annem kenara çekilerek teşekkür ederim ama lütfen bir daha bunu tekrarlamayın dedi ve işine devam etti adam özür dilerim kendimi alamadım ama insan kendine engel olamıyor kalçalarınız gerçekten çok güzel dedi ve tekrar annemin kalçalarına tekrar vurdu elini annemin kalçalarının üzerinde biraz gezdirdi ve annem tam bir şey diyecekken sanki kontrole gelmiş gibi aferin yıldız hanım kolay gelsin dedi ve arkasını dönüp gitti. Adam bunu alışkanlık haline getirmişti. Kimseye çaktırmadan geliyor gidiyor annemin kalçalarını avuçlayıp duruyordu. Annem rahatsız oluyordu ama tatsızlık çıkarırsa babamın duyacağını kendisini döveceğini biliyordu. Annemin ses çıkarmaması ise adama cesaret veriyordu. Adam işi ilerletmişti artık annemin yanına geliyor kısa süreli okşuyor sıktırıyor gidiyordu. Babamın şimdiye kadar annemin güzelliklerini hiç dile getirmemesi içip içip eve gelmesi ve bağırarak annemi becermesi bu oyunu annem için de zevkli kılmıştı ama babamdan annem kadar fabrikadaki herkesin korkması adamın da ileri gitmesine engel oluyordu. Fakat adam fırsatları sonuna kadar zorluyordu fabrika çok büyük olmadığı için paketlemede 4 kişilerdi bina içinde sigara içmek yasak olduğu için diğerlerinin sigara içmeye çıktığı bir anda annem atölyede tek başınayken adam geldi ve bakın yıldız hanım size daha pratiğini göstereyim dedi annemin arkasına geçti ellerini annemin kollarının altından geçirdi ve çamaşırı katlarken usulca önünü annemin arkasına sürtünmeye başladı annem lütfen şimdi biri gelecek dedi adam lütfen yıldız hanım bana iki dakika verin dedi vealetini annemin kalçalarını arasına sokmaya çalışıyordu aslında annemin de hoşuna gitmeye başlamıştı. Annem sesini çıkarmayınca adam ellerini geri çekti ve annemin kasıklarına koyup annem in arkasına sürtünüyordu istediğini yaptı ve aletini annemin kalçalarının arasına soktu ve aşağı yukarı sürtünüyordu annem yeter artık dediğinde adam çok az daha dedi ve annemin kalçalarını sıkmasını istedi annem birinin geleceği korkusuylabir an önce bıraksın diye her istediğini yapıyordu adam ellerini annemin göğüslerine attı okşayıp sıktırmaya başlamıştı annem sevilmeye hasret olduğu için boşalmaya başlamıştı adam da boşalmak üzereydi gitgide hızlanmıştı ki ayak seslerinden çalışanların yaklaştığını anlayınca şüphe çekmemek için işini yarım bıraktı atölyenin diğer kapısından kimseye yakalanmadan dışarı çıktı. Adam artık her fırsatta dilediği gibi anneme sürtünüyor okşuyor mıncıklıyordu. Günler böyle geçiyordu adam zannedersem arkadaşlarına anlatmış olacak ki anneme yanaşmaya korkan kapıdaki güvenlik görevlileri herkes gibi annemi de giriş çıkışlarda güvenlik odasına alıyorlar çantalarını ve detektörle üstlerini arıyorlardı ama sonraları mesafe olması gerekmesine rağmen detektörü annemin göğüslerine kalçalarına sürtüyorlardı ama dışarıda sıra olduğu için daha ileri gidemiyorlardı. Annem ve babam kapıda buluştukları için servise geç kalmışlardı ve sıkış tepiş olan serviste ayakta kalmışlardı oturanların çoğu bayanlara yer verdiği için ayaktakilerin hemen hepsi erkekti annem ve babam minibüsün ortasında yüzleri birbirlerine dönük konuşarak gidiyorlardı. Kapıdaki güvenlikçilerden bir tanesinin vardiyası bittiği için herkesten sonra o da minibüse bindi annemin arkasında bir yerlerde duruyordu elini birden annemin kalçalarının üzerine koydu annem rahatsız oldu ama babamın sorun çıkartacağından korktuğu için tepki veremiyordu.Babama çaktırmadan eliyle engel olmaya çalışırken durumu fark eden birkaç kişi arkadaşlarını yalnız bırakmamış annemin kalçalarını okşamaya başlamıştı bir sürü el annemin bursa escort kalçaları üzerinde geziniyordu annem birine engel olsa birine olamıyordu. Sonra güvenlikçi olan babamı yeni görmüş gibi oo rıza ağabey nasılsın ya diyerek babamla konuşmaya başladı yününü babama dönmesiyle annemi önüne almıştı şimdi annem babam ile tanımadığı bir adamın arasında kalmıştı. Adam ilk başta hafifçe değdirirken aletini iyice annemin kalçalarına dayayıp sürtünmeye başladı annem dayanamadı ve rahatsızlığını babam belli etmeye çalıştı ama babamın konuştuğu adamın her akşam birlikte içki içtiği arkadaşı olduğunu aralarındaki akşam şöyle içeriz böyle sıçarız gibi sözlerinden umutsuz vaka olduğunu anladı ve çaresiz durumu kabullendi adam aletini annemin kalçalarının arasına sokmaya çalışıyordu.Sonunda amacına ulaştı ve aletini kumaş pantolonu ve annemin bol eteği sayesinde annemin kalçalarını arasına sokmuştu. Bütün gücüyle dayanıyor sonra kendini geri çekip tekrar dayanıyordu. Bir taraftan babamla konuşuyor bir taraftan anneme sürtünüyor bir taraftan da bir eliyle tutacaktan tutarken diğer elini aşağı sarkıtıp annemin baldırlarını kalçalarının yanlarını okşuyordu. Durum böyle devam ederken inecekleri yere gelmişlerdi annem ve babam inerken adam babama akşam buluşacaklarını söyledi anneme de iyi akşamlar yenge deme pişkinliğinden de geri durmadı. Eve doğru yürürlerken annem babama bu adamı hiç gözünün tutmadığını söylediğinde babam annem sus ulan salak karı o benim en güvendiğim tek arkadaşım hatta izin ayarladım önümüzdeki hafta köye gitmem gerek sizi ona emanet edeceğim tamam mı dediğinde anneme çaresiz tamam demek düştü. O gün öyle geçti ertesi gün annem biraz rahatsızlanmıştı izin aldı ve erkenden çıktı. Nizamiyedeki annemi görünce gülerek güvenlik odasına aldı. Akşam otobüsteki adam oradaydı. Annemin çantasını aradıktan sonra detektörü eline aldı camdan dışarı baktı mesainin yarısı olduğu için gelen giden olmadığını görünce aklına bir şeytanlık geldi ve detektörü annemin üzerinde gezdirirken çaktırmadan bir düğmeye bastı ve detektör sinyal vermeye başlayınca kolpadan lanet makine yine bozuldu mecbur elle arayacağım dediğinde annem asla olmaz dediğinde siz bilirsiniz ama rıza abinin hatırına aratmak istemezseniz aramayacağım için akşam rıza abiye sorun çıkarttığınızı söylemem gerek siz bilirsiniz dediğinde annem çaresiz tamam dedi adam annemin ellerini duvara dayadı ayaklarına içten vurarak bacaklarını ayırmasını sağladı. Annem bacaklarını ayırınca adam aramaya aşağıdan başladı. Annemin bacaklarını arama bahanesiyle okşadıktan sonra birden annemin kalçalarını pardösünün üzerinden avuçladı annem sesini yükselterek sen ne yaptığını sanıyorsun be der demez adam annemin saçlarını başörtüsünün altından saçlarını çekerek sakın bir daha işime karışma yoksa sorun çıkardığını rıza abiye anlatırımbana ne kadar güvendiğini bilmezsiniz sadece üzerinizde elbise kaçırıp kaçırmadığınızı kontrol ediyorum şimdi tekrar ellerini duvara daya dedi annem dediğini yapınca ellerini tekrar annemin kalçalarını üzerine koydu ve sıktırmaya okşamaya başladı. Sonra pardösünün eteğini yukarı kaldırıp etek üzerinden okşamaya başladı. Bir elini kalçalarının ortasına koydu ve bir parmağını annemin kalçalarının arasına soktu ve aşağı yukarı yaparak annemin kalçalarının arasını okşuyordu. Bir süre sonra da annemi ters çevirip sırtını duvara yasladı. Ve annemin pardösüsünün düğmelerini çözdü annemin göğüslerini gömlek üzerinden okşadıktan sonra birden iki yana çekerek annemin gömleğini düğmelerini kopartarak açtı annem adamın karşısında sutyenle duruyordu. Adam annemin koca göğüslerini avuçlarının arasına alarak sıktırmaya başladı sonra eğilip annemin göğüslerini emmek istedi ama annem izin vermeyince adam ellerini aşağı indirdi veannemin eteğinin içine soktu annemin eteğini beline topladı annemin kalçalarından tutup birden kendine çekince adam aletini annemin önüne dayadı annem kurtulmak için geri çekilince adam da ileri gitti ve annemi duvara dayayıp annemin ellerini tuttu ve başının üzerinde tuttu ve annemin önüne sürtünmeye başladı annem kurtulmaya çalışıyor ama biri duyar diye bağırmaya cesaret edemiyordu. Adamın iyice gözü dönmüştü annemin ellerini bırakıp annemin külotunu aşağı çekmeye çalışıyordu ki birden kapı açıldı ve fabrika müdürü içeri girdi ne yazık ki gelen araba sesini duymamışlar fabrika müdürü dışarı çıkarken kapıda kimseyi görmeyince içeri girmeye karar vermiş. Neyse içeri girdi ve annemle adama bağırmaya başladı ve ikisinin birden işine son verdiğini söyledi ama annem yalvar yakar durumu anlattı ve eğer duyarsa kocam beni öldürür diyerek ağlamaya başladı müdür bursa escort bayan insaflı çıktı tamama kızım ağlama dedi ve adamın işine son verirken annemi yarın odasına beklediğini söyledi ve annemi eve kadar bırakıp gitti. Ertesi gün annem müdürün odasına gitti ve anlatmaya başladı. çevresindeki herkesin annemi rahatsız ettiğini ama annemin babamın yüzünden sesini çıkartamadığını falan anlattı. Müdür tamam kızım sen merak etme bundan sonra burada idari kısımda çalışacaksın getir götür işlerine, temizliğe falan bakarsın dedi. Annem kabul ettikten sonra anneme yeni çalışma elbiselerini verdi temizlikçi elbisesi olmasına rağmen siyah, dar ve dizlerin biraz üstünde biten bir etek ve beyaz gömlekten ibaretti. Annem teşekkür ederim ama kocam bunları giydiğimi görürse beni keser dedi müdür o zaman üzerini burada değiştirirsin deyince annem fabrikada da görür deyince müdür personel şefini arayıp babamın işine son verdi annem ne olduğunu anlamamıştı bile her şey akışına gidiyordu. Günler böyle geçerken babam neden işten çıkarıldığını bile anlamamış, gece gündüz içki içiyordu galiba bazı şeyler sarpa sarmış, kaş yapalım derken gözden olmuşlardı ama dönüş yoktu. Birkaç gün böyle devam ettikten sonra bir gün annem işe biraz geç kalmış o yüzden aceleyle giyinmiş gömleğinin üst düğmelerini kapatmayı unutmuştu annem müdüre çay götürdüğünde bardağı koymak için eğildiğinde müdür fark etmiş ve annemin yakasından göğüslerine bakıyordu. Annem hala farkında değildi müdür anneme hep eğileceği işler veriyor annemin göğüslerini izliyordu annemden masasını silmesini istedi annem masanın diğer tarafından sildikten sonra müdürün tarafına geçti müdür koltuğunu geri çekerek annemin masayı silmesine yol verdi müdür önünde eğilen annemin kalçalarına bakıyordu. Anneme seni taciz edenler haklılar galiba çok güzel bir kadınsın dedi annem teşekkür ettikten sonra müdür lütfen kızma dedi ve koltuğu biraz ileri iterek annemin kalçalarına yumuşakça dokunmuştu annem müdür bey ne yapıyorsunuz dediğinde müdür tekrar özür dilerim ama beni bu yaştan sonra ereksi yon ettirdin söz ileri gitmeyeceğim bunca fedakarlıktan sonra bana bu zevki çok görme dedi. Annemi koca korkusundan sonra işsiz kalma korkusu sarmıştı. Annem sessiz kalınca müdür iyice annemin kalçalarını okşamaya başlamıştı. aslında koskoca fabrika müdürü tarafından beğenilmek hoşuna gitmişti. Müdür ellerini aşağı indirdi annemin bacaklarını okşadıktan sonra elini yuları çıkardı ve annemin eteğinin içine soktu annemin kalçalarını eteğin altından külotun üzerinden okşamaya başladı fakat ya daha fazla dayanamadı ya da annemi ürkütmek istemedi kısa süre sonra teşekkür ederek annemi bıraktı. O gün öyle geçti ertesi gün babam köye annem ise işe gitti. Müdür işe gelir gelmez annemi yanın çağırdı annem odasına gittiğinde annemin yanına çağırınca annem masanın diğer tarafına müdürün yanına geçti. Müdür anneme akşam evde karımla kavga ettim ben çok istesem de artık kendine dokundurmuyor bile izin ver sana güveneyim çok güzelsin izin ver sana dokunayım söz istemediğin hiçbir şey yapmayacağım dedi. Annem müdüre karşı çıkamıyordu. Eğer müdürse her şeyi yapabilir fikri vardı. Annem sesini çıkarmayınca müdür ellerini annemin bacaklarının üstüne koydu okşayarak göğüslerine kadar çıktı ve annemi göğüslerini gömlek üzerinden okşuyor sıktırıyordu. Müdür coşmuş annemin göğüslerini iyice sıktırmaya başlamıştı annem müdür bey canımı acıtmaya başladınız dediğinde müdür anneme arkasını dönmesini söyledi annem dediğini yaptığında müdür ellerini yine annemin bacaklarına koydu ve okşayarak yukarı çıkmaya başladı kalçalara vardığında ilk başta nazikçe okşarken annemin kalçalarını sıktırmaya avuçlamaya ve şaplak atmaya başladı annem tekrar canının acımaya başladığını söylediğinde müdür lütfen biraz daha dedi ve birkaç dakika daha okşadıktan sonra tamam gidebilirsin dedi annem odadan çıkarken müdür anneme kaç beden etek giydiğini sordu. Annem söylediğinde tamam çıkabilirsin dedi öğle arasında müdür anneme pantolon almış. öğleden sonra müdür annemi yine odasına çağırıp bundan sonra bunu giyeceksin dedi annem poşeti açtığında parlak siyah streç tarzı pantolonu gördü sağ olun ama ben bunu giyemem dedi. Müdür neden artık kocanın görmesi gibi bir derdin de yok deyince annem kocam zaten köyde de mahalledekiler el alem falan deyince müdür ya sen gelirken pardösü giymiyor musun dediğinde annem evet deyince müdür tamam o zaman konuşma bitmiştir ayrıca bu bir emirdir deyince annem kabul etti. Ertesi gün müdür işe bayağı stresli geldi ve hemen annemde çay istedi annem çayı götürdüğünde anneme bu gün çok önemli bir toplantım var çok gerginim rahatlamam escort bursa gerek gel buraya dedi ilk defa rica etmemiş emir vermişti müdür rahatlamam deyince annem asla olmaz deyince müdür yanlış anladın mabedin senin hemen gel buraya dedi. Annem yavaş adımlarla müdürün yanına gittiğinde müdür ayağa kalktı ve annemin başörtüsünü çıkarmadan saçlarını çekip dudaklarını öpmeye başladı annem ne istekli ne de karşı çıkmak için hiçbir tepki göstermiyordu. Müdür bir eliyle annemin kafasını tutarken diğer eliyle annemin kalçalarını okşayıp sıktırmaya başladı. Sonra birden annemi ters çevirip ellerini masaya dayamasını sağladı. Kendi eğildi ve annemin kalçalarını okşamaya başladı sonra ellerini annemin bacak arasına atıp annemin önünü avuçlamaya başladı annem bir ara irkildi ama müdür şist sakin ol dedi ve okşamaya devam etti. Biraz okşadıktan sonra ayağa kalktı eliyle masanın üzerinde ne varsa savurdu annemin omuzlarından tuttu ve öne iterek göğüslerini masaya dayadı ellerini annemin koltuk altlarından geçirerek omuzlarından tutup geri çekince aletini annemin arkasına dayadı. Sonra adam kendi pantolonunu çözdü ve çıplak aletini sürtmeye başladı. Adam aletini annemin bacaklarını arasına soktu ve sanki beceriyor gibi ileri geri yaparak sürtünüyordu. Bir taraftan sürtünüyor diğer taraftan baldırlarını kalçalarını yanlarını okşuyordu. Bir süre sonra annem ters çevirdi annemin sırtını duvara dayadı annemin bir bacağını beline doladı. Ve annemin kalçalarını avuçlayarak aletini aşağıdan yukarı annemin önüne sürtmeye başladı sonra bir elini annemin göğsüne çıkardı şimdi hem sürtünüyor hem bir eliyle kalçalarını sıktırırken diğer eliyle de göğsünü sıktırıyordu.Bir süre sonra adam daha fazla dayanamamış olacak ki geri çekilmesiyle yere boşalması bir oldu. Müdür annemden kimse görmeden bir bez alıp yerleri silmesini istedi. Annem dediğini yapmak için dizlerinin üzerinde eğilince yani domalınca yukarı kalkan kalçaları daha bir davetkar duruyordu. Müdür annemin arkasına eğildi ve önce kalçalarını okşadıktan sonra aletini annemin kalçalarına sürtmeye başladı annem domalmış vaziyetteyken müdür arkadan dayanırken annemin gömleğinin altından elini soktu ve annemin göğüslerini sutyen üzerinden sıktırmaya başladı. Bir süre sonra annemin kollarını tutup yana çekince annemi yüzüstü yere yatırdı annemin bacaklarına oturdu ve annemin kalçalarını okşamaya başladı elini annemin bacak arasına soktu ve annemin önünü sıktırmaya başladı annem sırılsıklam olmuştu müdür bunu fark edince anneme seninde hoşuna gitmesine sevindim dedi annem hiç ses çıkarmıyordu. Müdür annemin pantolonunu aşağı çekmeye başlayınca annem lütfen müdür bey deyince müdür anneme sesini çıkarma seninde hoşuna gidiyor dediannem kocamdan başkasıyla yapmadım yapmam da dedi müdür o zaman kocana ait olan yine onun olsun dedi ve annemin pantolonunu dizlerine kadar indirdi annemin kalçaları siyah dar külotunun içinde müdürün önünde bütün ihtişamıyla duruyordu müdür elini annemin kalçalarına atıp külot üzerinden okşamaya başladı elini tekrar bacak arasına soktu ve dört parmağıyla annemin önüne baskı yaparken baş parmağıyla da annemin arka deliğine baskı yapıyordu.Kısa bir zaman sonra müdür tekrar pantolonunu çözdü ve annemin üzerine yatarak çıplak aletini annemin kalçalarına annemin külotu üzerinden sürtünmeye başladı. Kısa süre sonra müdür daha fazla dayanamamış olacak ki bir elini annemin sırtına koyarak hareket etmesini engellerken diğer eliyle annemin külotunu aşağı çekmeye çalışıyordu annem lütfen yapmayın diyerek ağlasa da adamın umurunda değildi. Annemin külotunu dizlerine kadar indirdi sonra annemin üzerine yattı ve bir elinin yardımıyla aletini annemin deliğine ayarladı ve bir hamlede bütün aletini annemin içine soktu annem lütfen yapmayın diyerek bağırırken istemeden o da zevk almaya başlamış olacak ki yavaş yavaş inlemeye başlamıştı müdür bundan cesaret alarak annemi sırt üstü çevirdi bulusunu sıyırdı ve annemin göğüslerini sutyen üzerinden okşamaya başladı sonra tekrar annemin üzerine yatarak aletini annemin içine yerleştirdi hızlı bir şekilde gidip geliyordu. Gidip gelirken elleriyle de annemin kalçalarını sıktırıyordu. Müdür giderek hızlandı annem tahmin etti ve hayır kesinlikle içime olmaz dese de müdür kendine hakim olamadı ve bütün menilerini annemin içine boşalttı ve annemin üzerine yığılıp kaldı. Müdür soluk soluğa anneme teşekkür ederken annem ağlıyordu müdür neden ağladığını sorduğunda annem kocamdan başkasına daha önce hiç yaptırmadım dedi müdür daha iyi ya ayyaş kocanın yerini müdürün aldı daha ne istiyorsun. 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Evet arkadaslar sizleri bu hikayemi anlatmadan önce kisaca kendimden bahsetmek istiyorum, ben 184 cm boyunda esmer bi delikanliyim yasim 24 dogma büyüme berlinliyim. Simdi size hikayemi anlatmak istiyorum, benim bi babaannem var kendisi 10 yildir dul dedem vefatindan sonrada hic evlenmedi 1,60 boyunda 80-85 kilo o arada bisey yani tombul etine dolgun esmer ve türbanli ve 50 yaslari civarinda. Simdi hikayeme dönüyorum ben birgün kendisini ziyarete gittim ve yalniz oturdugundan kafama göre yolum düserse ugruyordum, aklimda onunla hicbir kötü düsünce yoktu, tabi bu siteyi takip ettigimden kafamda söyle bi hayaal ediyodum ama ciddi bi gelisme yoktu. Neyse ben yine ankara escort yaz aylarindan birisinde ona ugramistim evi 1 oda 1 mutfak 1`de banyosu vardi, o gün mutfakda yemek pisiyordu üzerinde bol etek bol gömlek türü biseyler vardi bende tam arkasi bana dönük sekilde onu izliyordum sohbet ediyorduk o ayakda ben oturuyordum. Yasli oldugndan cabuk yoruluyordu ve bana omuzlarini ovmasini söyledi bende kalktim hic itiraz etmeden o corbayi karisitiriyor bende omuzlarini ovuyordum. Aklimda hic kötülük yokken ben önüm birden kabarmaya basladi hazir masajda yapiyordum sihbet falan derkene benim ufaklik hafif hafif temas ediyordu tabi babaannem hic orali bile olmuyordu ben masaj escort ankara yapmakdan parmaklarim kopmustu ama müthis zevk aliyordum o yastik gibi göte dayamakdan. Neyse ileri geri derken ben iyice zevke geldim babaannemde ustubunu hic bozmadan corbayi karistirmaya devam ediyordu. Aklima seytanlik geldi ve babaanneme bi teklif yaptim ona dedimki söyle sirtina güzel bi masaj yapiyim o da vallaha ogul hicde fena olmaz bayadir agriyio duruyo zaten. Neyse ben iceri odaya gectim oda hemen arkamdan geldi yere yorganini serdim halinin üstünde yüzü agrimasin diye. Gömleyinin üstünden yavas yavas oksarkene gömlegini cikarmasini söyledim oda hic itiraz etmedi hemen cikarmisti, ankara escort bayan simdi ellerimi iyice kremledim sirtini oksuya oksuya masaj yapiyordum sütyenini altinda elimi gezdiriyordum o ara bi göz attim kadin resmen gözlerini kapatmis zevk aliyordu, bende üstüne oturdum öyle masaja devam etmek istedim, tabi sikimi tam kalcalarini arasina yerlestirdim ve ileri geri hareket ediyordum ben iyice zevke gelmistim altimda kari inlemeye basladi bile iste neolduysa o an oldu ben sikim cikardim etegini yukari cektim donunu assagyia siyrdim kilodunu zorluyodum babaannem hadi oglum sok artik yillardir hasretim bu yarraga diye inliyodu türbani hala kafasindaydi ben kilodum indirmisdim ve onu sirt üstü yatirdim simdi o islak amina yavas yavas sokuyodum benim 16ligi, bakire siker gibi zevk aliyodum, müthis biseydi en az o gün 3-4kere bosaldim, babaannem kilolu olmasina ragmen cok zevk aldim. Gönderen: berlin65

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Merhaba ben izmirden tuncay. Ablam benden iki yaş büyüktür ve vücududa tam 90 60 90 dır. Tam bilmiyorum ama heralde tüm arkadaşlarımda benim gibi ablamı sikmeyi istiyordur.

Bir gün artık ablamınn o koca götüne dayanamamış nasıl dayayabilirim diye düşünüyordum. Ben odamdayken annemlerde arkadaşlarına gitmişler. Bende bundan faydalanıp ablamı odama çağırdım ve hadi top oynayalım dedim oda beni bakırköy escort kıramadı ve tamam dedi.

Ben ona ben senden topu almaya çalışcam ama sen bana kaptırmıcan dedim oda kabul etti ve topu saklamaya başladı bende arkasına geçtim ve göte çaktırmadan dayamaya başladım ve aletim taş gibi kalktı ve iyice göt deliğine girmeye başladı ama o hala tam anlamamıştı ben etiler escort daha fazla dayanamayıp ileri geri gitmeye başladım baktım bu bişey demiyo iyice açıldım.

Sonra ablam bana biraz dinlenelim dedi ve ikimizde benim yatağa uzandık. Ben ablamın koca memelerine omzumu dayadım bişey demedi. Sonra bana hiç sex yaptınmı diye sordu bende hayır ya sen dedim oda hiç yapmadığını şişli escort söledi ve ben daha fazla dayanamadım.

Elimi direk amına attım ve dudağına sarıldım öpüşmeye başladık onun elide benim sikimdeydi. Sonra onu soymaya başladım koca göğüslerini emmeye başladım ve sıra geldi koca götüne eşortmanını indirdim ve pembeli tangasını yana sıyırıp göte dayamaya başladım

çok yumuşak götü vardı hemen boşalıverdim sonra amını yalamaya başladım ablam deli gibi azmıştı ve kızlığımı boz artık diye bağırmaya başladı ve amına aniden salladım 18liği ve amı kanamaya başladı sonra banyoya gittik orda beş dakika saksodan sonra göte iki ama bir porsiyon yollayıp işi bitirdik.?

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Merabalar.İsmimi vermek istemiyorum kendimi biraz tanıtayım ben 17 yaşında 1.75 boylarında çok hafif balık etli bir erkeğim.Lisede okuyorum ve okul otobüs şöförüyle olan ilişkimi anlatıcam sizlere.Ben genelde kızlardan hoşlanan biriyimdir fakat her porno izleyişimde keşke bi erkek yarrağı yesem diye iç çekerdim genelde 31 çektikten sonra boşalınca kendi dölümü yutarım veya evdeki bazı uygun eşyalarla kendi götümü siktiririm ama buna rağmen deliğim yeterince açık değil fazla acı verdiği için tam açamadım ama tam bi yarrak hastasıyım diyebilirim eğer fırsatım olsa hemen bir erkeğe verebilirim gizli tutulması şartıyla tabi.Herneyse bi gün okuldan okul otobüsüyle dönüyoduk ben eve gidince duş alıcaktım sabırsızlıkla 31 çekmeyi planlıyodum eve ulaştığımızda ben en arkada oturduğum için inmeyi bekliyodum herkes inmişti ben de bağcığımı bağlayacaktım şöför ender abi veda ediyodu çocuklarla ben de bağcığımı bağlayınca ender abiyle biraz konuşayım dedim abi nasılsın nasıl gidiyo falan diye sordum iyi nolsun dedi biraz sohbet ettik bana acelen yok galiba dedi bende aslında var eve gidip biraz porno izliyip attırcam dedim güldü dediki manitan yokmu onunla yap falan diye bende dedimki nerde o günler abi ya bu okulda herkes bi utangaç dedim o da al benden de o kadar dedi sikicek birileri lazım falan dedi bulsam birini şimdi bile sikerim o derece dedi bende bi an heyecanlandım acaba söylesem mi diye çünkü adam ayırt etmiyorum direk yarrağını yiyebilirdim ender abinin ender abi de genelde vücudumla alay eder beni tahrik ederdi göğüslerim etli ve iriydi çünkü o günler aklıma gelince oturdum dedimki abi aramızda kalıcaksa ben seni tatmin ederim dedim nerdeyse hiç mi hiç şaşırmadı valla bana uyar dedi peki nerde yaparız abi dedim burdada olur benim evdee de olur dedi ben burda olsun dedim tamam dedi ve arabayı bi ara sokağa parketti ve arabanın perdelerini iyice kapattık ben heyecandan titremeye başlamıştım ender abi de farketmişti perdeleri kapattıktan sonra arabanın en arkasına 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yeterince doymadım dedim o da dediki sende neymişsin böyle keranedeki kızlar halt etmiş yeni orospum sensin diyodu garip ama bu sözler beni daha da azdırmıştı elbiselerimizi giyerken popomla sikini sürttüm biraz o da bana şaplak attı ve dedim ki abi bi ara senin evede geliyim müsayitsen dedim çok sevindi ve yarın geliyosun dedi ben de mutlu olmuştum eve gidip banyoda ender abinin yarrağını düşünerek 31 çektim hiç bu kadar zevk almamıştım.Gece düşüne düşüne durdum sabırsızlıkla sabahı bekledim.Sabah alarmı duyunca uyanıp elbiselerimi giydim ve servise bindim.Ender abi kaş göz yapmıştı anlamıştım okul bitince çıktım tekrar servise bindim ve herkes dağılınca yine arkada bağcığımla uğraştım millet tamamen gözden kaybolunca ender abinin yanına geldim abi gidiyoruz bugün dimi evine dedim evet gel otur şöyle dedi fakat şimdi götüremem seni adresi vericem öyle gel ben de tamam dedim adresi aldım indim arabadan eve gittim yemek yedim biraz heyecandan sikimin inmesine engel olamıyodum evdeyken 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kadar hızlı sikiyodu ki acıyla karışık kadın gibi inlemeye başlamıştım her ahh çekişimde onlar da gülümseyip hırlıyolardı resmen ender abi popoma şaplaklar atmaya başladı hızla vuruyordu ne kadar acısa da o şaplaklar beni azdırıp duruyodu sonra ender abi daha da hızlanmaya başladı anlamıştım boşalıcağını içime öyle bi patladı ki zaten daha önce ağzıma da boşaldığı için ne kadar dolgun ve sert boşaldığını biliyodum içimdeki o gıdıklanmayı sizlere anlatamam sanki hortumla deliğime su fışkırtıyolardı o kadar güzel hissetmiştim ki anlatamam.Ender abi boşalınca arkama biri daha ge
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