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femme mûre arabe marocaine : khadija 41 ans,LU sur le net : Voici l’histoire de khadija N., 41 ans responsable des imports-exports dans une firme internationale du Maroc.”Je voyageai beaucoup depuis ma nomination au service des imports-exports de ma boîte. Ma famille en souffrait surtout mon mari qui ne me voyait que 4 mois sur 12, mais je n’avait pas le choix, étant payé grâce ment. A mon arrivée, je fus convoquée au bureau notre directrice générale (une suissesse de 56 ans). Je retrouvai Hamed dans le bureau. Hamed était un employé hors du commun. Il était d’une grande beauté et avait un franc succès auprès des femmes de la firme. Le bruit courait qu’il en avait sauté une bonne part. J’eus droit à ses avances mais lui interdis, à contre coeur, de ne plus m’importuner. Une amie et collègue de travail à qui je me suis confiée sur la question me traitèrent d’idiote n’arrivant pas à croire que j’ai décliqué les avances d’Hamed alors qu’elle brûlait d’envie de se faire sauter par lui. Je reconnais que j’éprouvais un profond désir pour ce coureur de jupon, mais je craignais de mettre la vie de mon couple en danger. Hamed était l’amant de mes fantasmes. Il m’arrivait, pendant que je faisais l’amour avec mon mari, de l’imaginer en moi. J’en jouissais comme une folle (et mon pauvre mari qui croyait être le meilleur des amants). Bref, je fus étonnée de le voir en pleine conversation avec madame Francine R. Il semblait avoir une complicité entre les deux. La directrice m’annonça que pour ma prochaine mission, je serai accompagnée d’Hamed. Je restai hébétée à la nouvelle. Ma réaction surprit madame Francine qui me demanda sans détour si je voyais un inconvénient à effectuer ce voyage avec mon collègue. Je balbutiai que tout était bien, qu’il n’y avait pas de problème. Mon coeur battait canlı bahis şirketleri la chamade et j’eus du mal à me concentrer sur les instructions de ma supérieure. Le voyage était prévu pour le lendemain au matin. Hamed me regardait, un sourire ironique sur les lèvres. mon compte était bon. Nous sortions de chez la directrice et je me précipitai dans mon bureau, ignorant les appels d’Hamed.Ce fut l’heure de la descente. Un à un, tous les employés désertèrent l’immeuble. Je devrai rester pour préparer les dossiers du voyage. Après une heure de travail, je sortis dans le hall me dégourdir les jambes. Je marchai pieds nus sur l’épaisse moquette quand je vis Hamed rentrer dans le bureau de madame Francine. J’étais intriguée car je voyais mal ce qu’ils pouvaient faire en dehors des heures du travail. Je voulus en avoir le coeur et me dirigeai avec précaution vers le bureau managérial. J’entendis la directrice dans une étrange conversation avec Hamed. Elle lui disait qu’il lui manquait depuis la dernière fois. J’arrivai à temps pour les voir s’embrasser avec ardeur. Madame et le Hamed étaient donc amants ! Le jeune homme la couvrait de chauds baisers et la parcourait de caresses. La patronne semblait ravie et le suppliait de continuer. L’autre la déshabilla entièrement, malaxant ses fesses et les seins pendant qu’elle lui massait la bite en travers du pantalon. Madame fit surgir une énorme queue et la fourra dans la bouche après s’être agenouillée devant mon collègue. Hamed était monté comme un cheval! Il accompagnait les sucions de madame en lui maintenant la tête et s’agitait lentement dans la bouche. Je ne pouvais pas réaliser qu’il puisse éprouver pareil plaisir avec une dama qui pouvait être sa mère. Lui n’avait que 30 ans, et madame Francine 54. Il la canlı kaçak iddaa releva et la fit assoire sur le bureau, écarta grand ses cuisses et plongea dans sa chatte d’un seul coup. Madame cria de plaisir. Les vas et viens commençaient, aussi puissants que réguliers. Je ressentais une douce chaleur dans le bas ventre. Cette scène m’excitait aussi. Je me mettrai bien à la place de ma patronne à recevoir la grosse queue d’Hamed. Hamed, je comprends pourquoi il avait tant de succès dans l’entreprise. La directrice râlait à chaque coup de boutoir porté dans son ventre. Elle était ravie, la tête reversée, les yeux révulsés. Je relevai ma jupe et commençai à me masser la chatte. Elle était dégoulinante de mouille. Je ne quittais pas le couple adultère des yeux. Mon plaisir montait aussi. J’astiquais à toute vitesse mon clitoris et jouis sur le coup. Je glissai sur la moquette terrassée de plaisir.Hamed se retira de la chatte de Francine et la place en levrette. Il s’enduit abondement la queue de salive et la plaça plus haut sur la raie des fesses. Il mit un certain temps à la pénétrer et je compris qu’il essayait de la sodomiser. La directrice était une véritable cochonne. La bite s’enfonça profondément en son anus. Il l’enculait bien et elle en pleurait de plaisir. C’était beau de voir Hamed s’agiter aisément dans le cul de ma patronne. Il la maintenait ferment. La sodomie dura près de 5 minutes et Hamed ne semblait plus se contenir. Il accéléra et dans un cri explosa dans les fesses de madame Francine. Elle s’écroula ivre de plaisir son bureau accompagnant Hamed dans sa chute. Le cinéma était fini. Je retournai donc pour me réfugier dans mon bureau quand je tombai nez à nez sur Nasir un jeune gardien de 25 ans. Il devrait se trouver là depuis un moment et absorbée canlı kaçak bahis par la scène insolite, je ne l’avais pas remarqué. Il me saisit comme une malpropre qu’on expédiait d’une salle pour m’emmener au fond du couloir. Je fuis tellement surprise par son attitude que je restai bouche cousue. arrivée dans le pénombre, le jeune m’expliqua qu’il m’avait surpris entrain d’épier la patronne et qu’il allait lui en parler. Je risquais vraiment mon emploi et le priai de ne rien dire car je savais que la directrice était sa marraine. Il me rassurait mais exigea de me sauter. Je faillis lui foutre une bonne baffe, mais me retins. Mon avenir dans l’entreprise se jouait. Sitôt, il me poussa dans une pièce encombrée de fournitures de bureau et me serra dans ses bras. Passé le dégoût (il avait l’âge de mon fils), je l’enlaçai à mon tour cherchant sa langue qui me fouillait la bouche. Il embrassait vraiment bien le jeune Nasir. Il me lécha dans le cou, ma malaxa les gros seins. Je baissai sa braguette pour en sortir sa queue qui formait une bosse impressionnante sous le tissu de son uniforme. Elle était grosse et longue, parsemée de veines. Je m’agenouillai devant lui pour prendre la bite dans ma bouche. Elle était bien grosse! Je suçai ce jeune employé comme une pute. Il me flattait de mots tendres et me tenait la tête d’une main ferme. Nasir me dit qu’il voulait me baiser. Je lui répondis moi aussi et me penchai les mains en appui contre le mur, lui offrant mes grosses fesses. Il les caressa un moment et sans m’y attendre m’enfuis d’un coup sa grosse queue dans le ventre. Je criai mon bonheur, remplie par cette queue qui commençait à se mouvoir en moi. Oh qu’il me baisait bien ce jeune Nasir. Il me pilonnait la chatte, me tenant fermement. Je jouissais sans arrêt, le suppliais d’aller plus profondément en moi. Jamais mon mari ne m’avait procuré un plaisir aussi puissant. Je perdais la tête et me retrouvai à 4 pattes. Mon amant ne m’avait pas lâché. Nous étions en sueur, soudés l’un à l’autre par cette queue qui me ravageait.

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Anne 1Paul imagine Anne depuis de longues semaines et voudrait bien la rencontrer mais il a peur… Peur de quoi s’intérroge-t-il? Il a la frousse de s’apercevoir qu,elle n’est pas aussi jolie que dans ses fantasmes les plus fous ou bien une peur panique de briser à tout jamais cette magie tissées aux fils des semaines. A bien y pensé il a peur de ses réactions… Saura-t-il tenir promesse à Nicky?Paul enfile un jeans et un polo tout en réfléchissant comment douce Anne réagira en le voyant ….. lui sautera-t-elle au cou, mieux encore elle trouvera un moyen bien à elle de le séduire à nouveau. Traversant l’appartement d’un pas décidé; il ferme la porte d’un grand cou sec sans même penser à la barrer. A grande enjambée il dévale l’escalier pour ensuite immédiatement s’accrocher les pieds dans la plate-bande de fleurs.Il saisit quelques lys pour l’offrir à Anne.Marchant d’un pas alerte il se dirige vers ce petit bistro où ils se sont donnés rendez-vous. A l’entrée de la porte une femme sort précipitement et fonce sur lui. Il la regarde et lui souri. Anne le regarde et lui rends la pareille. Dès canlı bahis şirketleri que leurs yeux se rencontent ils savent tout les deux que cela n’est pas un hasard alors sans un mot il marchent enlacé l’un à l’autre jusqu’à l’appartement de Paul.Quelle ne fut pas sa surprise losque ses pieds touchèrent le seuil de sa porte. Assis au beau milieux du salon Nicky est là toute sanglotante parmi le désorde qui y règne. Paul se dis: “merde j’ai oublié de verrouiller la porte”. Anne s’avance doucement vers Nicky et la serre dans ses bras. Paul se place derrière Nicky et lui caresse les cheveux du bouts des doigts. Anne lève doucement la tête de Nicky et lui donne de doux baisers sur ses joues toutes rempli de larme. La jeune compagne de Paul souri à Anne et se retourne vers son compagnon et dit ” fais l’amour à Anne moi je ne veux que regarder”. Anne et Paul sursautent en l’entendant mais se regardent avec soulagement puisqu’ils ont une si grande soif l’un de l’autre.Anne tire Paul vers elle et se moule à lui avec une rage jusqu’alors insoupçonnée. Paul sent son souffle haletant sur canlı kaçak iddaa sa nuque. Il s’autorise à relever sa robe jusqu’a ses cuisses. Quelle jolies jambes! Paul masse les cuisses entre ses mains et les écartent avec une infinie douceur. Les lèvres sont aussi roses et tendres que son teint. Il se penche vers celles-ci et les embrassent sans se lasser tant elles sont douces. Lorsqu’il se releve il voit dans ses yeux tout la douceur sensuelle dont Anne est habitée. Ces yeux bleus aux paupières à demie closes le font fondre. Anne le déshabille lentement en embrassant chaque parcelle de peau puisqu,elle veut faire durer le plaisir. Le pénis de Paul se tends si fort dans son slip qu’elle le libére à l’aide de ses dents Elle masse ses fesses en même temps qu’elle happe son pénis à grands coups de langue. Il n’aurait suffit qu’un geste pour le faire jouir mais cet état d’excitation presque insupportable fait sourire Anne et elle se retire rapidement. Voyant Nicky se caressée elle l’invite à se joindre à eux.Elle se jete par-terre et rejoint Paul et Anne moitié rampant moitié à quatre canlı kaçak bahis pattes. De longues mèches de cheveux courent le long de ses seins comme des serpents. Anne commence à la caresser avec audace et curiosité. Sous l’effet des caresses Nicky cambre les reins et Anne glisse sa langue jusqu’à son pubis. Tantôt tout autour du clitoris, puis tout autour des lèvres et à l’entour de son sexe. Paul ébloui par ce spectacle enivrant glisse son membre dans le sexe d’Anne d’un seul coup de rein tout en lui pétrissant les seins. C’était un tel bonheur que les trois amants échapèrent de petits cris de plaisir. Il était aussi habile qu’Anne avait rêver. Anne sent son pénis dur la transpercer, il revient en sens inverse semant sur son passage un déferlement de plaisir magique. Anne sent Paul jouir dans son corps avec un plaisir rare. La chatte de Nicky a un goût de miel. Anne connaît l’une des plus délicieuse émotions de sa vie. La jolie Anne se retient pour de pas gémir de plaisir puisque Nicky jouis de sa langue. Maintenant Anne se met à gémir et à haleter. Les contractions de l’orgasme se propage de l’intérieur vers l’extérieur de son corps. Anne s’effondre sur le corps de la magnifique blonde tout en l’embrassant sur la bouche avec douceur. Paul se blottit contre elles et tout trois s’endorment rapidement à cause de la fureur sexuelle partagées.

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AGNES 55 ans, je me découvre nymphomane

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AGNES 55 ans, je me découvre nymphomaneLU SUR LE NET Je m’appelle Agnès, j’ai 55 ans et je tiens un magasin de tabac-presse à Lyon. Avec mon mari nous habitons dans un appartement situé en haut de mon bureau de tabac. Mon mari, Georges, a 62 ans. Il y a 12 ans il s’est mis à boire et depuis il est devenu impuissant. En retraite, il passe ses journées à jouer aux cartes avec ses amis et à boire. Je ne l’intéresse plus et il me dégoûte de plus en plus. Pourtant je souffre de cette situation car j’aime beaucoup séduire. Malgré mon âge, je suis très bien conservée. J’ai un corps mince et ferme, dont je prends beaucoup de soins en fréquentant un club de gym et des séances d’U.V. pour rester toujours bronzée, et j’ai surtout une poitrine opulente que j’aime mettre en valeur. Etant en contact avec le public toute la journée je ne cesse pas de séduire. Les regards avides des hommes qui louchent sur mon décolleté très échancré m’émoustillent et me rassurent. Je dois avouer que je suis surtout attirée par les jeunes hommes d’une vingtaine d’années. Quand j’en vois un mignon, je fais tout pour l’allumer et ça m’excite beaucoup de voir le désir dans ses yeux (et parfois dans la bosse de sa braguette !). Mon arme principale pour séduire ce sont mes gros seins que je découvre au maximum par une robe décolletée ou un corsage dont le haut est négligemment déboutonné. Je porte souvent des bas noirs et un soutien gorge à balconnet en dentelle noir. Il y a parfois des petits jeunes qui reviennent quatre ou cinq fois dans la journée et à chaque fois ils partent plus excités qu’avant. Je mouille rien qu’en les imaginant en train de se branler en pensant à moi et à mon corps. Pourtant je dois avouer que jusqu’à l’été dernier je n’avais jamais trompé mon mari. Au mois de juillet de l’année dernière j’ai goûté pour la première fois aux délices de l’adultère et, croyez-moi, je ne suis pas prête à m’arrêter. Mes aventures extraconjugales m’ont fait découvrir à moi-même sous un jour différent : aujourd’hui, je dois reconnaître que je ne me suis vraiment épanouie qu’à 55 ans mais, comme on dit, vaut mieux tard que jamais ! Depuis, mes tabous sont cassés et je suis devenue, sous mes apparences respectables de femmes mûres, mariée et honnête commerçante, une affamée de sexe. Jusqu’à l’année dernière j’étais une simple allumeuse qui n’avait jamais osé aller plus loin, maintenant je suis une vraie salope qui adore sucer son jeune amant et se faire jouir dessus, une salope perverse qui s’est découvert, à 55 ans, un goût insolite pour les jeux d’urine. S’il m’arrive encore d’avoir parfois d’insupportables crises de culpabilité je dois avouer qu’en lisant votre revue et surtout en vous écrivant sans retenue je me sens libérée de tout sentiment de culpabilité et de toute contrainte morale et capable d’assumer mes désirs : je raffole de sucer une belle queue, je ne pense plus qu’à ça, je prends mon pied avec ça et j’en suis heureuse. Et voilà l’aventure qui m’est arrivée l’été dernier et qui a pratiquement tout déclenché dans ma tête et dans ma vie.Ce jour là il faisait très chaud à Lyon. Je portais mon tailleur beige qui est assez échancré et j’avais pour tout sous-vêtement un slip et des bas noirs. Ce tailleur est mon seul vêtement avec lequel je ne porte jamais de soutien gorge car je trouve ça peu élégant. Il est entré peu après l’ouverture du magasin et m’a acheté un paquet de cigarettes Il était jeune, autour de 24 ans, brun, assez petit, il avait de petits yeux qui lui donnaient un air vicieux mais un visage très mignon. Dès l’instant où il est entré au magasin son regard, audacieux et timide à la fois, s’est posé sur ma poitrine opulente qui déformait le haut de ma veste. J’étais ravie et amusée. Pour lui rendre la monnaie je me suis penchée au maximum sur le tiroir caisse lui offrant ainsi une vue très plongeante sur mes seins. Il est revenu 20 minutes après sous prétexte qu’il avait oublié d’acheter un briquet et puis, toute la matinée je l’ai vu passer et repasser devant le magasin ; prétextant regarder les articles qui se trouvaient dans la vitrine, il me regardait discrètement. Il est repassé l’après-midi pour acheter encore des cigarettes et je me suis encore sentie déshabillée par son regard insistant et timide chargé à la fois de désir et d’une sorte de résignation. Son regard m’intriguait de plus en plus, on aurait dit qu’il me suppliait, qu’il m’implorait du regard et cette sensation ne me laissait pas indifférent. J’avais envie de le provoquer encore plus. Ce manège dura une dizaine de jours, il passait me voir plusieurs fois par jour sous des prétextes différents et, toujours timide, il ne me disait pas un mot, par contre j’avais l’impression que son regard me parlait, me conjurait me saoulait en m’avouant son envie. Il commençait à me plaire et au bout de quelques jours j’ai commencé à penser à lui les soirs dans mon bain. Je l’imaginais en train de se masturber devant moi en fixant mes seins avec son regard enfiévré. Je l’imaginais avec illegal bahis un beau et gros sexe érigé qu’il frottait contre mes seins et mon sexe et je finissais chaque soir par me masturber dans mon bain en repassant ses images dans ma tête. Un jour il est arrivé quelques minutes avant midi et après avoir acheté des cigarettes s’est dirigé vers le présentoir des journaux, et s’est mis à feuilleter des revues érotiques qui se trouvaient sur le rayon tout en haut. Moi j’attendais avec impatience qu’il finisse de choisir sa revue pour pouvoir fermer la boutique et aller manger mais le jeune homme n’était pas pressé. Je le voyais de profil et à chaque fois qu’il se levait sur la pointe des pieds pour prendre une revue sur le rayon du haut je pouvais deviner son sexe bandé à travers le tissu mince de son pantalon, il devait faire un peu exprès pour me montrer qu’il bandait. Je distinguais tout le contour de son sexe qui longeait en haut de sa cuisse. Son sexe me paraissait gros et long. Regarder des revues de femmes nues à deux pas de moi devait drôlement l’exciter. C’était peut-être sa façon à lui de me parler de me faire part de ses désirs. Une façon de communiquer bien maladroite qui ne manquait pourtant pas de m’amuser car j’avais le sentiment d’avoir un grand pouvoir sur ce garçon, pouvoir de le mener par le bout du nez et de le dominer totalement. La situation avait quelque chose de piquant, de pervers qui m’attirait. Tout ça me donnait l’envie de l’allumer, de le provoquer encore. Discrètement, j’ai défait deux boutons du haut de ma veste. Je ne portais pas de soutien gorge et il suffisait que je bouge un peu pour qu’on puisse voir mes seins dans l’échancrure de ma veste. Je bombais le torse et je lui lançais sur un ton impatient : “Monsieur, il est midi dix, je vais fermer” Il s’est présenté devant la caisse avec une revue de femmes aux gros seins et deux numéros de Lettres Magazine. Je me suis baissée pour prendre un sac en plastique pour ses revues et je suis resté un moment comme ça, feignant chercher le sac. Mes seins pendaient et ballottaient à chacun de mes mouvements et à travers le haut de ma veste déboutonnée il pouvait tout voir. Lorsque je me suis redressée il était rouge d’émotion et son regard, m’implorant plus que jamais, a croisé le mien. Sous le poids de son regard, si vif et si chargé d’émotion, j’ai senti une bouffée de chaleur envahir mon corps, je crois que j’ai rougi, je me suis sentie toute mouillée et j’ai serré fort mes cuisses. Il est parti, j’ai fermé le magasin et je suis allée dans le restaurant d’en face manger comme d’habitude avec Paulette qui tient une mercerie pas loin de chez moi. Au retour, vers 13 heures 30, il m’attendait devant mon bureau de tabac. D’une voix tremblante il m’a demandé d’emblée s’il pouvait m’offrir un café. Sûre de mon pouvoir sur lui et attendrie de le voir obligé de faire tant d’efforts pour m’aborder si maladroitement, je lui ai répondu que j’allais me faire un café et je l’ai invité à entrer et le prendre avec moi. Après tout je n’ouvrais le magasin qu’à 15 heures et j’avais bien une heure et demie devant moi pour faire marcher avec ce petit gamin. J’avais envie de le provoquer encore et de voir ses yeux débordant de désir m’implorer et me supplier. On est entré. J’ai refermé la porte à clé et j’ai passé devant lui pour le diriger vers l’arrière boutique qui me servait également de cuisine. J’ai mis en route la cafetière et on a commencé à discuter. Il m’a dit qu’il était étudiant et qu’il vivait dans le quartier. Il avait 23 ans, 32 ans moins que moi ! En me parlant son regard descendait sans cesse de mon visage vers ma poitrine et fixait la raie entre mes deux globes de chair. Il m’inspirait de plus en plus confiance. Il devait être quelqu’un de très seul. Tout en continuant à le questionner sur un ton faussement maternel je suis allée servir le café. J’avais le dos tourné vers lui lorsque je l’ai senti derrière moi, avant même de pouvoir me retourner il s’est collé à moi, je sentais nettement sa virilité arrogante qui cherchait à se caler dans la raie de mes fesses et ses mains ont empoigné mes seins à travers ma veste. Il se serrait contre mon dos et ses mains pelotaient énergiquement mes gros seins qu’elles avaient du mal à contenir. Je sentais son souffle, puis ses lèvres et sa langue sur ma nuque. Pour la première fois depuis des années je sentais mon corps se presser contre celui d’un homme. Il me parlait sans cesse, il me disait qu’il me trouve sexy et sensuelle, qu’il a toujours rêvé d’une femme comme moi, qu’il n’arrête pas de penser à moi depuis qu’il m’a vue. Le jeune homme timide s’était transformé en un mâle en rut. Tout cela s’est passé en quelques secondes et dans ma tête l’idée de le repousser a vite cédé la place à une sensation de chaleur et de bien être. Une forte envie me serrait le ventre et mon cœur battait la chamade. J’ai commencé à onduler des hanches de plus en plus vite pour mieux sentir son sexe dur se frotter contre mes fesses. illegal bahis siteleri Il y avait quelque chose dans la situation qui m’excitait énormément et que je ne sais pas expliquer. Peut-être était-ce sa personnalité timide ou son âge ou le fait que je trompais pour la première fois mon mari mais toujours est-il que j’avais tout le corps en feu. J’ai retroussé ma jupe et alors que ma main droite s’activait dans ma culotte, j’ai passé la main gauche derrière moi et j’ai empoigné sa queue. Quelle délicieuse sensation que de sentir ainsi entre les doigts l’effet que peut faire une femme de mon âge à un jeune homme de 23 ans. Quant à lui, il avait déboutonné ma veste et, tenant mes seins des deux mains les malaxaient vigoureusement. Je me suis retournée et prenant sa tête entre mes mains je l’ai embrassé à pleine bouche. Un baiser fou et enflammé : je frottais mes lèvres contre les siennes, je les mordais, je léchais ses lèvres et son visage, je fouillais sa bouche avec ma langue. Il répondait avec fougue à mon baiser, sa langue glissait frénétiquement sur ma peau, il léchait mon cou, mes épaules, mon visage puis nos langues et nos salives se mêlaient dans un baiser fougueux. Je mouillais abondamment et je me frottais contre sa cuisse. Il s’agitait comme un fou sur ma poitrine, il suçait mes seins, les pelotait, y frottait son visage. Je n’y tenais plus, je me suis baissée et j’ai ouvert sa braguette, son sexe a jaillit, fièrement érigé en courbant vers le haut, il était gros et long. C’est difficile à expliquer mais dans l’état d’excitation où je me trouvais c’était comme si je découvrais pour la première fois un sexe d’homme. C’était moins l’idée d’avoir ce sexe en moi que celle de le toucher, de le humer, de le sucer et de le découvrir qui m’excitait. Je le branlais lentement pour bien sentir sa chaleur et sa douceur. Sa queue palpitait sous le mouvement de mes doigts. Comme une jeune fille qui touche pour la première fois un sexe d’homme j’étais curieuse de connaître les secrets cette belle colonne de chair. Je n’avais pas assez de la toucher je la mettais en contact avec ma peau, je la frottais contre mon cou, mes épaules, mon bras, mes seins et mon visage. Je l’embrassais amoureusement en la prenant entre mes lèvres et je la léchais sur toute sa longueur, puis je la frottais encore et encore contre mon corps, contre chaque centimètre de ma peau. Il gémissait fort et se baissait sans cesse pour palper mes seins. Je n’avais jamais connu un tel plaisir et un tel degré d’excitation. Tout était cérébral, tout était dans la situation. L’idée de lui procurer du plaisir, de l’entendre et sentir jouir me tournait la tête comme si j’étais ivre. Je ne pensais qu’à ça, qu’à le faire jouir. Il s’est baissé et s’est mis à se branler entre mes seins. Sa queue allait et venait entre mes deux globes de chair que je maintenais des deux mains. Ses mouvements étaient hâtifs, on aurait dit qu’il voulait tout essayer tout goûter avant que ça finisse. Il a frotter sa queue contre mes seins, avec son gland violacé et luisant il écrasait mes tétons. Ensuite je prenais sa queue dans ma bouche et je la suçais énergiquement. Je voulais qu’il jouisse dans ma bouche mais d’un seul coup il a sorti sa queue et s’est mis à se branler vigoureusement sur mes seins. Une grimace a déformé son visage et il a crié. Il a éjaculé abondamment sur ma poitrine, j’ai reçu quelques gouttes sur le visage. Mes yeux ne quittaient pas sa queue qui s’agitait follement et lorsque son sperme chaud s’est écrasé sur ma peau j’ai eu un orgasme. Des ondes de plaisir m’ont secoué de la tête aux pieds, un feu d’artifice, des frissons interminables, et une sensation de chaleur a traversé tout mon dos de la nuque jusqu’aux reins. Un plaisir cérébral que je n’avais jamais connu. Un agréable sentiment de bien être m’enveloppait. Il a étalé son sperme sur ma poitrine. Le spectacle de mes seins barbouillés de son foutre crémeux et visqueux devait lui plaire car il les a ainsi massés un long moment. Mes seins et ses doigts dégoulinaient de sperme, il m’en a mis partout, sur le ventre, sur les hanches, sur le cou. Il a léché les quelques gouttes de sperme sur mon menton et mes joues puis m’a embrassé à plein bouche pour me les passer. J’ai avalé le mélange de salive et de sperme qui m’emplissait la bouche. Ensuite il m’a fait lécher et sucer ses doigts pleins de foutre. Je m’y suis appliquée comme si chacun de ses doigts était une bite. Le goût de son foutre et la sensation formidable de me sentir toute barbouillée de sperme m’excitaient encore. Décidément ce garçon était fait pour moi, pour m’exciter. Je me suis nettoyé juste le visage et j’ai remis ma veste. Je voulais garder son foutre sur moi, je voulais être sale, souillée, barbouillée et ça me plaisait. Jean-Luc (c’était son nom) est parti et j’ai ouvert le magasin. Toute l’après-midi l’image de sa queue se frottant à moi m’obsédait. Chaque cellule de ma peau avait gardé le souvenir du passage de sa queue, de sa canlı bahis siteleri langue et de ses mains et en redemandait. Je ne me reconnaissais plus. Comment ce jeune homme de 23 ans avait pu me faire un tel effet et me bouleverser à ce point ? L’odeur de son foutre séché sur mes seins qui me remplissait les narines me rappelait instamment que je n’avais pas rêvé. A 19 heures j’ai fermé le magasin et je suis remontée chez moi. Après avoir dîné avec mon mari je l’ai abandonné comme d’habitude devant sa télé pour aller prendre une douche. Dans la salle de bain je me suis regardée nue dans la glace, je me trouvais belle et rajeunie. J’étais bien. Je me suis caressé les seins, j’en ai pris un dans ma main et je l’ai remonté, puis baissant la tête je l’ai léché sur toute la surface. Le goût du sperme de Jean-Luc s’est ravivé dans ma bouche. Je léchais le foutre séché sur mes seins et l’envie de sa queue devenait de plus en plus forte. Je voulais qu’elle m’arrose encore de foutre, qu’elle me salisse le corps. J’ai ressenti une envie de faire pipi et soudain une idée bizarre et excitante m’a traversé la tête. Et si j’arrosais mon corps avec mon urine ! Rien qu’en y pensant mon cœur s’est mis à battre très fort. L’idée était salace et perverse et elle m’excitait. Je me suis couchée sur le dos au fond de la baignoire, j’ai relevé très haut mes jambes et je me suis mise à pisser en m’arrosant partout même sur la figure. Je dégoulinais d’urine. Ca coulait sur mon corps, c’était chaud et son odeur m’enivrait. En même temps je me touchais et j’ai joui très fort. C’était merveilleux.Le lendemain et les jours suivants j’ai revu Jean-Luc. On se retrouvait entre midi et 15 heures et on faisait l’amour comme des bêtes. Le reste de la journée je ne pensais qu’à une chose : retrouver Jean-Luc, prendre sa queue dans ma main, la toucher, la sucer et la faire gicler. Lui, de son côté il était obsédé par ma poitrine et il me disait attendre impatiemment tous les jours le moment de les peloter, de les lécher et téter. Aujourd’hui ça fait un peu plus d’un an qu’on se connaît et on se retrouve toujours avec la même fougue. Nous sommes devenus très proches, maintenant il connaît mon goût secret pour les jeux de pipi et ça l’excite terriblement. Il sait que j’aime l’amour mouillé et que plus c’est sale plus je perds la tête et je m’excite. Un jour quand il est arrivé, il a sorti sa queue, m’a serrée contre lui et s’est mis à pisser. Il a du faire des efforts car il bandait déjà et ça ne venait pas facilement. Son pantalon et ma jupe étaient tout mouillés et son urine chaude coulait merveilleusement sur mon ventre et mes cuisses. Ensuite je me suis déchaînée sur sa bite, je l’ai branlé et sucé comme une dingue et il a joui sur mes seins. Je me rappelle que ce jour là je ne me suis pas nettoyée, j’ai juste changé mes vêtements trempés et lavé le sol de la cuisine et l’après-midi j’ai repris mon travail toute trempée de pipi et de foutre de Jean-Luc. Le soir je me suis encore branlée au fond de ma baignoire en m’arrosant de pipi. Un autre soir alors que mon mari dormait et moi je lisais un numéro de QQ Magazine dans la cuisine, j’ai été prise d’une forte envie de pisser. Et toute excitée que j’étais par la lecture de votre revue, je me suis laissée aller. J’ai pissé comme ça assise sur ma chaise. L’urine coulait sur le siège puis sur le carrelage et formait une grosse flaque par terre. J’y ai trempé mes doigts et je les ai portés à mes seins puis à ma bouche pour les sucer comme une bite. Ensuite, tremblante d’excitation, je me suis déshabillée et je me suis roulée toute nue sur le carrelage dans la flaque de pipi. Je me suis branlée couchée par terre, toute trempée d’urine et j’ai joui alors que l’odeur d’urine me remontait les narines.Et enfin, je n’oublierais pas le jour où Jean-Luc, connaissant bien mes fantasmes, a littéralement couvert mon buste de crème chantilly et s’est mis ensuite à se frotter à moi et me lécher. Il en a mis aussi sur sa queue que j’ai léchée avec gourmandise. Nous étions tous les deux barbouillés de crème chantilly et nous n’arrêtions pas de nous caresser pour bien l’étaler, de nous lécher partout et de nous amuser en nous frottant l’un à l’autre. C’était très excitant. A la fin je me suis régalée en avalant un mélange de son sperme et de crème chantilly. C’était délicieux.Pour terminer ma lettre je vous avoue que depuis quelques jours j’ai un fantasme qui me travaille de plus en plus et dont je n’ai pas encore parlé à Jean-Luc. Je m’imagine en train de branler et sucer trois hommes à la fois. Je m’imagine à moitié dénudée et assise par terre entourée de trois hommes qui frotte leurs grosses queues sur mon corps. Alors qu’un des hommes me caresse la nuque et le dos avec sa queue, je prends les queues des deux autres dans les mains et je les frotte l’une contre l’autre avant de les sucer comme une hystérique. Je finis par faire jouir deux des hommes sur ma figure et mes seins. J’étale bien leur foutre et ma poitrine et mon visage se trouvent ainsi couverts de sperme chaud et gluant (rien que d’y penser j’ai le ventre serré et je mouille). Le troisième éjacule dans ma bouche. Je garde son sperme un instant dans la bouche pour bien le délecter puis je l’avale. Quel délice !

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dans les jardins publicsFlâner dans les jardins publicsfleur de sexe* * * Aux moindres rayons de soleil printanier, dès que la température était assez douce, je dis à ma femme : « allez, habille-toi sexy, jupette, bas à coutures, escarpins… on va aller se balader au jardin des plantes ».Je savais qu’il y avait toujours des vicelards en quête de zyeutages de cuisses, d’escarpins, de dessous ou de petites culottes dévoilées soit par inadvertance, soit faussement volontairement. J’en avais même vu certains se masturber derrière des taillis en reluquant des jeunes mères de famille faussement ingénues qui montraient leurs cuisses ou leur culotte en lisant négligemment sur les bancs publics ou assises à même l’herbe genoux remontés ou encore en s’agenouillant ou s’accroupissant auprès de leurs bambins, tout en jetant un petit regard dérobé au voyeur embusqué qui se rinçait l’œil des cuisses écartées…généreusement.Ma femme choisit à mon grand plaisir des bas très fins beige foncé… mais, sublime raffinement sexy, à coutures avec des escarpins à talon relativement haut… vernis noirs. Le tout recouvert d’une simple et sage ( ? ? ?) tailleur style femme d’affaires avec une jupe gris beige mais bien ajustée (bien plaquée à ses fesses). Je sais c’est ce qui rend les mecs fous.Une fois arrivés dans ce jardin public, je savais que ce n’était pas une émeute que nous allions provoquer mais bien plutôt un essaim de mateurs « à l’affût » de l’affaire du jour. En effet, à peine avions-nous franchi les grilles que le résultat ne se fit pas attendre. Lorsque nous déboulons dans l’allée centrale, moi avec ma femme à mon bras se déhanchant légèrement sur ses escarpins –il fallait éviter de laisser s’enfoncer les talons dans la terre meuble et le gravier-, tous les mecs esseulés n’eurent plus d’yeux que pour elle (ses jambes et sa jupette étaient devenues le point de mire numéro un du jardin) et se mirent en gravitation –plus ou moins discrète- autour de nous. Leurs pensées devaient être du genre : « tiens, voilà du beau linge ! peut-être une nouvelle proie… ? voyons voir… » et les mecs s’empressèrent de rappliquer pour ne rien manquer d’un spectacle éventuel, mieux, d’une « occase » !Ma femme s’en rendit bien compte mais ne dit pas un mot (peut-être était-elle flattée ? doutait-elle encore de son pouvoir de séduction ?). En tout cas, moi, je savais que les types n’avaient pas souvent l’occasion d’avoir à partir à un safari-images d’un tel niveau et que ma femme ainsi apprêtée en femme bcbg mais avec des bas à couture et des escarpins à talons hauts allait forcément déclencher une mini curée. Ceux que nous croisions, après nous avoir quelque peu incrédulement dévisagé à l’aller faisaient un rapide demi-tour après notre passage… surtout à la vue des admirables coutures des bas fins, des escarpins vernis noirs qui font fantasmer les mecs… et ne nous lâchaient plus, l’œil rivé sur les chevilles de ma femme l’endroit érotogène d’images où les coutures des bas rejoignent l’escarpin. Rien que de me rendre compte de ces regards appuyés et d’imaginer la furia qui s’emparait de leurs bites dans les pantalons me procurait un plaisir et une émotion intenses, au point que j’en bandais moi-même et que mon excitation fébrile m’envahissait.Pour mieux donner le change et bien « ferrer » ces vicelards de tous âges, je proposais à ma femme de nous asseoir sur un banc, tout en dégustant une crêpe. Les types s’interrogeaient –je le devinais à leur attitude. Devaient-ils passer comme si de rien n’était ? Pouvaient-ils s’asseoir sur un banc proche ? Devaient-ils mater avec insistance ou à la dérobée ? Venir la draguer ? Ma femme devait percevoir aussi pas mal de tout cela en mangeant sa crêpe car elle jetait de petits regards furtifs à droite et à gauche, tout en croisant et décroisant ses cuisses, laissant battre la chamade à un de ses deux magnifiques escarpins suspendu dans le vide.Les techniques des -plus ou moins vieux- mateurs étaient très diverses pour se régaler des aperçus tentateurs, bas, escarpins, jupette remontée sur cuisses croisées et décroisées, décolleté plongeant. Un vieux s’était installé sur un banc en face assez loin certes mais, du coup, se délectait sans retenue : il devait avoir une sacrée vue perçante. Trois types « discutaient » debout dans l’allée et régulièrement lorgnaient les visées que ma femme leur donnait en pâture… à petites doses. Ma femme n’avait pas pu ne pas remarquer le manège de ce binoclard boutonneux entre deux âges qui passait et repassait devant nous très très lentement à un rythme de promeneur avec son imper plaqué par ses pognes dans les poches… pognes qui devaient activer sa bandaison à l’intérieur de son futal. En effet, cette coquine changeait de position entre chaque passage du reluqueur, croisant de plus en plus haut ses cuisses, dévoilant le liseré des bas sur le côté quand il approchait d’elle, faisant semblant de serrer les genoux pieds joints – ou plutôt escarpins joints- ce qui laissait un angle de vision fugace mais fabuleux sur ses cuisses, le haut de ses bas, un peu de chair au-dessus et le mystère de la culotte « apercevable ».Pour tous, elle frottaient de temps en temps ses genoux l’un contre l’autre et les gars debout dans l’allée devaient percevoir comme moi le très érotique crissement du nylon des bas. Dans tous ces mouvements aussi sexy que –faussement- discrets, sa jupette ajustée n’en finissait pas de remonter insensiblement. Le promeneur binoclard voyait maintenant nettement la chair blanche sur le côté de la cuisse au-dessus du bas. A un autre moment, lors d’un passage nonchalant d’un autre reluqueur, au contraire elle avait resserré ses genoux, dévoilant du coup généreusement ses deux belles cuisses gainées par ses bas, la jupette remontée haut… permettant à l’œil exercé et rapide de capter un instant le « v » de la victoire, l’image de rêve : la vue sur la culotte au bout des cuisses. Et cela la faisait sourire… coquine va !Une fois la crêpe finie, ma femme essuya quelques miettes et traces blanches de sucre sur la jupe de son bel ensemble chic. Evidemment, en faisant ces gestes apparemment anodins, elle offrit quelques prises de vue aux mateurs enchantés de l’aubaine et plus ou moins discrets.Ce petit jeu dura une bonne vingtaine de minutes et m’affolait de plus en plus. L’essaim de reluqueurs se chiffrait à la bonne demi-douzaine. Il y en avait bien un binoclard qui était venu tenter une mini-drague mais à part quelques banalités et minauderies, canlı bahis şirketleri rien. J’avais envie d’aller plus loin.Vu que sur notre banc nous n’étions pas tous seuls et que la situation ne se prêtait pas à une aventure poussée, je me risquais :« Si on allait se promener un peu par là ? » dis-je en me levant et lui montrant une butte boisée où, après un petit pont sur un étang, un petit chemin serpentait en montant entre des massifs d’arbustes assez épais. Ma femme emboîta mon pas immédiatement et, là, me prit de court :« oui, allons par là, ça sera mieux, il y aura moins de monde… tu vas voir tu vas te régaler… t’as vu ? il y a plein de types qui me matent… et l’autre binoclard, il m’a dit que j’avais de belles jambes puis il a bredouillé un peu en me reluquant de près… ».Heureusement surpris et enchanté à cette idée, prenant ma femme par le bras d’une manière la plus naturelle, je l’entraînais vers le petit pont de pierre qui donnait accès à ce talus excentré et boisé. Jetant rapidement un coup d’œil en arrière, je vis bien que les mateurs suivaient à distance.C’était gagné ! Arrivés sur le pont, nous marquâmes un premier temps d’arrêt et ma femme s’accouda, penchée en avant, faisant mine de scruter le petit plan d’eau et d’être intéressée par les prouesses des cygnes et des canards. Du coup, sa jupe se tendit contre ses fesses offrant une belle vue de son cul moulé par le tissu seyant et surtout sur les coutures de ses bas, prolongeant de manière hyper érotique la finesse des talons des escarpins. Lentement, quelques uns des mateurs passèrent un par un dans notre dos, sans que ma femme ne se détourne un seul instant, et purent admirer à loisir ce paysage magnifique. Je croisai deux ou trois regards envieux et appuyés et j’esquissai un léger sourire pour bien leur faire comprendre que cela ne faisait que commencer. En même temps, en bas au-dessous de nous, deux autres types « flânaient » près de l’étang en levant les yeux à chaque fois qu’ils passaient et repassaient sous le pont. Ils devaient avoir une belle vue en contre-plongée sur les jambes et les bas de ma femme qui -quelle coquine !- de temps en temps, prenant appui bras tendu sur le montant du pont, se reculait un peu pour prendre une pause encore plus verticale, laissant la jupe s’égayer autour du haut de ses cuisses, dévoilant ainsi encore plus sa chair blanche au-dessus des bas et probablement sa culotte… les mecs d’en bas devaient s’affoler.C’était plus que probable car elle me dit soudain :« t’as vu ? les deux vieux en bas, ils se rincent l’œil en matant sous ma jupe, regarde-les ces vieux cochons… tu aimes qu’ils me matent ? »Je bredouillais un « ouais, ouais, bien sûr, j’adore ça »« Je vais leur en montrer un peu plus, tu vas voir ! »Et à nouveau, elle se détacha du bord du pont, écarta même un peu plus ses escarpins pour leur donner encore un meilleur angle de vision de sa culotte sous sa jupe. L’un des deux vieux mateurs s’était positionné juste en dessous d’elle et se massait consciencieusement la queue par-dessus son pantalon, alors que l’autre, légèrement décalé sur le côté un peu plus planqué sous le pont, avait lui carrément sorti sa bite et se branlait lentement en passant sa langue sur ses lèvres. Ma coquine de femme avait bien repéré leur manège et elle en rajoutait, prenant quelques poses cambrées ou laissant virevolter sa jupette en jouant avec ses escarpins. Le mec en bas bandait de plus en plus fort et maintenant fixait ostensiblement ma femme en lui montrant bien sa bite bien droite qu’il continuait d’astiquer la bouche entrouverte d’extase. Alors, elle se passa la main entre les cuisses, remontant sa jupe, et ses doigts appuyèrent sur sa chatte moulée par le nylon de la culotte. Du coup, le vieux s’enhardit aussi et sortit sa queue de son futal pour se masturber un peu. Sentant le coup, un troisième larron se pointa sous le pont et vint aussi reluquer ce spectacle fabuleux, en se branlant à son tour. C’était super ! ces trois types qui se branlaient, bite au vent, à peine à deux ou trois mètres de nous en contre-bas et ma femme qui leur exhibait ses escarpins, ses bas, ses cuisses, sa culotte et même les affolait en se caressant. J’étais aux anges et j’eus même envie d’aller voir l’effet produit :« Reste là, je descends, j’ai envie de voir comment c’est d’en bas ».Prestement, je rejoignis les trois vicelards et je réussis même à faire quelques clichés fabuleux au cœur de l’action. Passé un petit moment de réprobation (les mecs crurent un instant que j’allais casser leur plaisir), les trois types reprirent de plus belle leur branlée quand ils comprirent que tout était possible, d’autant plus que ma femme, me voyant en bas, en rajouta encore en écartant un peu sa culotte, bien campée sur ses escarpins sexy, et dévoilant entièrement sa chatte à nos yeux (car j’étais dans le camp des mateurs maintenant, j’étais leur complice) et ils m’adressèrent quelques compliments sur les bas, la culotte, la beauté de ma femme ! « putain, qu’est-ce qu’elle est belle ! ouah, qu’elle m’excite !»« elle va nous faire décharger si elle continue. »« ces bas, ouah ! on lui voit la moule et sa culotte ! ahh ! c’est beau !»Ce qu’elle n’avait pas prévu –et moi non plus- c’est que, profitant de l’aubaine un autre manant s’était en silence approché d’elle sur le pont. Prestement il se plaqua contre elle et se mit à la palucher en règle, frottant sa queue contre la jupe et son beau fessier offert. Ma femme, sans toutefois se dérober totalement, eut un petit geste visant à écarter le gars… ou du moins, à le maintenir à distance, plutôt parce que je n’étais plus auprès d’elle pour contrôler des dérapages éventuels et parce que l’endroit était à découvert, que par ce que lui montrait et lui faisait sentir le nouveau venu de son excitation manifeste.Rapidement, je remontai sur le pont et, sans faire fuir son nouveau frotteur ni les trois types du bas ni deux ou trois autres mateurs moins hardis qui s’étaient rapprochés, j’entraînais ma femme vers le petit chemin qui montait en serpentant dans le talus boisé et plus discret. De temps en temps le manant ventru tentait une approche et venait essayer de palucher un peu ma femme, qui ne se laissait pas vraiment faire mais ne le décourageait pas totalement dans ses tentatives, relevant un peu sa jupe pour lui montrer ses bas de plus près.D’ailleurs, comme pour rassurer la meute à nos trousses, ma femme fit quelques haltes dans la montée pour bien leur montrer ses canlı kaçak iddaa bas à coutures, sa culotte et ses fesses, comme pour mieux les inciter à poursuivre leur ascencion vers elle et ses atours. Un moment, elle s’accroupit, écarta le compas de ses cuisses et leur montra bien ses bas et sa chatte. Plus loin elle laissa sa jupe se soulever sur ses fesses cambrant son cul…Elle leur offrit plein d’angles de vision les plus érotiques les uns que les autres.En effet, une fois arrivée en haut, elle s’accouda à une rembarde et prit successivement une multitude de positions les plus sexy les unes que les autres, jouant avec ses bas, ses escarpins, ses longues jambes, sa culotte, sa jupe relevée et même sa veste totalement ouverte dévoilant ses seins.L’invitation était plus que lancée et peu à peu tous les types rappliquaient, ceux qui étaient de l’épisode du pont et aussi d’autres. D’abord, elle s’installa sur un banc et les asticota en croisant et recroisant ses jambes. Un des gars s’enhardit et vint l’attaquer sur le banc. Au vu et au su de tous les autres, elle se laissa butiner par le mec enchanté et même un peu fier. Elle plongea sa menotte dans sa braguette et alla flatter la queue du mec qui n’en pouvait mais. Devant les autres, elle se laissa un peu dépoiler et elle plongea même sur la queue du type enchanté et se mit à le sucer. L’essaim se reforma peu à peu et elle fut vite encerclée. Alors, elle se leva au milieu de ce groupe de vicelards. Bien vite une dizaine de pognes des manants s’affaira sur ma femme la paluchant de tous côtés, les queues ressortirent des braguettes et les mecs s’astiquèrent à nouveau. Ma femme contempla toutes ces bites et commença à se saisir de celles qui étaient à la portée de ses menottes.Ce fut un signal de folie !« Ah ! ouais, branle-nous, oui »« Oh ! oui, oh !oui, c’est bon, caresse ma queue »« Hmmm ! ces bas que c’est doux ! »« Tu mouilles hein ? elle est trempe ta chatte cochonne ! »« Putain que tu m’excites là ! »« Tiens ma queue, branle-moi moi aussi, je bande, ouf ! »« vas-y, vas-y, vas-y, branle bien nos queues oui ! »Je devenais dingue avec tous ces commentaires.Encerclée de bites, ma femme avait du mal à répartir ses aumônes dispensées par ses doigts doux aux glands de plus en plus envahissant. C’était même une belle bousculade pour être masturbé par elle, pour palucher seins, culotte et bas ou tenter de l’embrasser.Alors, elle s’accroupit au milieu du cercle et entreprit de commencer à sucer ces bites qui maintenant tournoyaient autour de son visage. Les ventres gros et dénudés se pressaient autour d’elle, l’étouffant presque, et propulsaient les queues en direction de son visage pour se faire sucer.Elle pompa tous les dards de tous les types, non sans arrêter d’activer ses deux menottes sur d’autres tiges qui se relayaient. De temps en temps, des mecs s’accroupissaient aussi pour l’empoigner par les seins, pour mieux doigter sa chatte profondément par en dessous, palucher ses cuisses et ses bas. Elle était belle ainsi, accroupie, jupe relevée à la taille, ses genoux légèrement écartés pour favoriser sa stabilité, dévoilant bien ses cuisses gainées par ses bas, ses escarpins assurant un bel équilibre, une ou deux bites en bouche, une autre queue dans chaque main, des pognes sur chaque miche et d’autres bites momentanément délaissées qui s’astiquaient dans ses cheveux.Au bout d’une demi-heure de pipes et de paluchage en règle, probablement un peu fatiguée par la position accroupie et aussi un peu relachée par les mecs qui se sentaient prêt à partir, ma femme se releva. Le cercle se détendit un instant, les types marquant une pause y allèrent de leurs commentaires élogieux et salaces, tout en contemplant ma femme fabuleusement belle comme une pute bcbg de jardin public, sa jupe retroussée, ses longues cuisses, ses jambes gainées de bas et ses escarpins exposés. Tous l’admiraient, tout en maintenant doucement (certains devaient pas être loin de gicler) leur bandaison en forme. « Que t’es belle ! là, ouaouh ! »« Ah ! ouais, tu suces comme une reine ! »« Ouf ! putain que c’est bon une belle femme comme toi ! »« Ah ! ouais que t’es sex ! »« J’ai jamais rien vu d’aussi beau ! »Un des gars s’appuyant alors contre la balustrade l’attira vers lui et la fit venir sucer à nouveau sa pine tendue, elle buste aplati et jambes tendues. Du coup ses fesses s’offrirent aux autres et rapido un des mecs l’enfila en levrette debout. Là encore ce fut une belle bousculade mais peu à peu les mecs s’organisèrent et vinrent à tour de rôle la bourrer ainsi, escarpins écartés, jambes tendues, cul en arrière fesses à l’air car sa culotte avait été enlevée et jupe retroussée à la taille !C’était un vrai essaim autour d’elle. Les gars se passaient sa chatte tendue et offerte aux queues car, aussi bien tous voulaient la prendre et se sentir en elle et tous se préservaient pour ne pas éjaculer trop tôt et profitaient.Le spectacle était fabuleux : ces sept ou huit mecs, des gros, des moches, des vieux, un jeune vicelard boutonneux, un très vieux binoclard… à moitié à poil dans ce « square » isolé de ce jardin public butinaient ma femme en bas, escarpins et porte-jarretelles, jupe troussée à la taille, seins à l’air bien dégagés par-dessus son balconnet et toujours avec une bite à sucer et deux autres qui se laissaient branler en attendant leur tour dans la file qui s’activait sans arrêt. Tous la pinaient, certains lentement et en douceur, d’autres plus brutalement, la traitant de « pute » et de « salope », la saisissant fermement, violemment pour certains, par les hanches, écartant bien ses fesses offertes, caressant ses bas, le replat de son cul. D’autres accompagnaient le baiseur du moment en l’attrapant par les hanches pour mieux la visser sur la pine active, appuyant sur son dos, agaçant ses tétons agités, caressant ses joues quand elle suçait. Une vraie usine à sexe en plein air, l’extase pour moi, qui applaudissais en silence, me régalais de voir le défilé de queues, de la voir répondre aux coups de boutoir répétés et profond, de contempler sa bouche déformée par les glands sucés et les tiges avalées…« Viens là » dit un gaillard d’un certain âge. Appuyé à la balustrade, il fit en effet se relever ma femme qui venait de bien le sucer. Il la fit s’empaler à califourchon sur sa grosse queue, qui s’enfonça d’autant mieux qu’il avait saisi ma femme par les cuisses et l’avait attirée contre lui, ses escarpins décollés du sol pour qu’elle vienne encore mieux canlı kaçak bahis s’enfiler sur sa verge. Cela dut faire un ‘tilt’ chez elle car elle enserra ses épaules et son cou, tout en s’empalant sur le gros dard et lui roula une galoche appuyée.Evidemment, ce changement dans l’action suscita d’autres convoitises. Sa chatte pilonnée par le dard était visible de tous, lèvres trempes et bien limées, ses cuisses généreusement ouvertes avec ses seules jarretelles comme habit et ses escarpins battant l’air et surtout son beau cul blanc, bien écarté par les gros doigts de son baiseur qui la tenait plaquée contre sa queue, attirait le regard, les pognes des autres. Ils caressaient ses fesses pour accompagner le ramonage vertical, ils semblaient vérifier la fermeté des muscles actifs, certains encourageaient même avec leurs doigts les couilles de son baiseur. Toujours quelques pognes s’attardaient sur ses bas ou venaient soupeser ses seins. Un doigt inquisiteur et délicat s’immisça dans son conduit étroit, une langue dardée vint fouiller son trou du cul en l’humidifiant davantage. Elle était prête… et elle le savait. Le groupe s’affairait autour de son cul.Quand enfin un premier gland se présenta à l’entrée de son cul, elle suspendit un instant ses montées et descentes frénétiques sur la vaillante pine, qui la ramonait. La saisissant par les hanches le gars enfonça très lentement sa pine entre les fesses écartelées.« Vas-y, encule-la cette salope, ouais »« Fourre-la dans le cul oui »« Chopez-la à deux, elle aime ça deux bites cette chienne ! allez ! »Et sous mes yeux ébahis et enchantés, une nouvelle sarabande s’organisa.« On va tous l’enculer cette pute ! »« Ouais, ouais, on va tous se la faire en sandwich »« Elle en veut des queues, elle va en avoir »« Allez, passez nous-la un peu les gars »Et ma femme fut ballottée de queue en queue, les gars se relayaient soit dans sa chatte, soit dans son cul, la faisant valser sur leurs bites dures qui entraient et sortaient en cadence et à tour de rôle. C’était un essaim et ma femme était prise en permanence par deux pines qui s’activaient en elle : les gars la limaient profond, avec force, avec douceur, en la traitant de pute, de salope, de cochonne… elle ne manquait pas aussi de branler des tiges tendues qui passaient à la portée de ses mains libres. Elle gémissait, s’agitait en tous sens très excitée par toutes ces bites qui la prenaient.« Han, han ! on va la faire jouir cette chienne »« Ouais, on va la faire gueuler, tiens ! » dit un gars en la pilonnant bien fort comme un soudard affamé (ce qui était un peu le cas !).Et elle, gémissait de plus en plus fort.« Tu la sens hein ma queue cochonne ? »« Putain qu’elle est bonne, elle les prend nos queues oui ! »« Allez ! tiens, tiens, humchhh !» et le gars y allait à grands coups de boutoir dans son cul tendu et offert.« Allez, passez-nous la un peu cette salope »Les « injures » pleuvaient, les mecs limaient de plus en plus fort en la traitant de « pute » :« T’aimes ça hein salope ? te faire mettre par des inconnus ? »« Putain qu’elle est bonne les mecs ! »Tous les types sans exception baisèrent ma femme dans la chatte et dans le cul se relayant à un rythme effréné. Mieux, sans qu’elle s’en rende compte, moi-même je me mêlais au groupe et je l’enculais un moment pendant qu’une autre tige ramonait sa chatte et qu’elle suçait un autre mec grimpé sur la balustrade, tandis que ses deux mains branlaient deux queues à sa portée. Je connus enfin la merveilleuse sensation double de limer ma femme par le cul et de bien percevoir la présence d’une autre bite dans sa chatte.Surexcité par sa dernière bourrée frénétique, un des types se retirant brusquement d’un de ses trous, la repoussant au milieu, se mit à beugler :« Putain, j’en peux plus, je vais décharger, je vais l’arroser cette pute ! »Aussitôt, un cercle très resserré se forma autour d’elle, les mecs approchant leurs bites exacerbées, les glands rougis et luisants :« Allez les gars, on va la couvrir de foutre cette chienne »« Tiens, branle-nous un peu salope pour nous finir » « Suce ma queue, que je te crache dessus »Heureusement que nous étions seuls ou presque (deux ou trois types arrivés trop tard pour pouvoir la baiser s’étaient approchés en astiquant leurs tiges) car ça devenait vraiment hard.Le foutre commença à gicler de toutes parts. D’entrée elle en prit plein la gueule d’un binoclard qui se branlait à dix centimètres de son visage et par celui qu’elle avait sucé pour le finir. Le sperme s’écoula aux commissures de ses lèvres et finit de s’écraser à la base de son nez, pendant que l’autre décorait ses joues et maculait son front. Les branlés crachèrent sur ses bas, ses seins, ses cuisses ouvertes. Un vieux la retourna et offrant son cul à la vision de tous déchargea puissamment sur ses fesses, imité par deux ou trois autres types qui vinrent essuyer leurs glands dégoulinants sur les bas nylon. Un autre type l’empoignant par les cheveux se fit sucer trois secondes et remplit sa bouche menaçant de l’étouffer. Elle ruisselait de foutre. Les glands giclaient, chaque type y allant avec deux ou trois bordées plus ou moins maîtrisées. Elle en avait partout !Un des derniers arrivés, un vieux vicelard très moche et bedonnant, la chopa trente secondes par les hanches, la prit en levrette sauvagement et, hurlant son plaisir, lui remplit la chatte illico : « putain les mecs, ahhh ! je lui décharge dedans ! con qu’elle est bonne sa chatte, quel cul ! ahhh !» et il la passa à un de ses complices, qui l’imita en se vidant aussi rapidement en elle comme un soudard, les yeux hagards.Je me régalais de voir ces visages de types jouissant sur et dans ma femme, de voir leur plaisir alors qu’ils se pâmaient en astiquant leurs queues et déchargeant sur et dans elle. Alors qu’un des mecs s’essuyait la bite dans sa jupe roulée à la taille, un autre vint finir de décharger dans un de ses escarpins qu’il avait en partie déchaussé et qu’il remit aussitôt à son pied, rempli de foutre.Un dernier type s’approcha d’elle, la saisit par le menton, présenta sa queue face à elle : « tiens, regarde, prends ça » et il se mit à lui éjaculer en pleine figure ; elle en prit jusque dans les cheveux et dans les yeux, sa bouche fut à nouveau décorée et ses joues zébrées de foutre.Rassasiés, les gars se réajustèrent et s’éclipsèrent un à un.Je saisis ma femme par le bras, elle remit un semblant d’ordre dans sa tenue et, à travers les allées du jardin, nous repartîmes. Le foutre ornait tous ses vêtements, dégoulinait sur ses jambes. Les types que nous croisèrent se retournèrent sur notre passage et manquèrent de s’étrangler à ce spectacle, probablement très déçus de ne pas avoir pu participer à la fête !Une autre fois peut-être ?

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VU SUR LE NET:Julie, pute de l’école (Chapitre 13 : La vengeance de JulieJulie était perdue. Elle était obligée de continuer à vivre comme avant. Toujours obligée d’obéir au proviseur. Toujours obligée d’être humiliée en cours par ses profs, ses camarades et ses anciennes amies. Julie se trouvait dans la même situation qu’avant. Une semaine avait passé depuis l’enregistrement du prof de sport.Mais c’était pour la bonne cause. En effet, l’ami journaliste de son père avait découvert qu’il y a vingt ans de cela, une histoire similaire à la sienne avait éclaté: une lycéenne avait été mise enceinte par un membre de l’établissement. Or, à l’époque des faits, le proviseur se trouvait justement dans l’établissement. Julie eut une idée.« Papa j’irai voir la fille seule. Elle … Je pense que si on a vécu le même calvaire, elle préfèrera se confier à une femme.- J’ai pas confiance. Tu sais il a dû se donner un mal de chien pour la retrouver. À l’époque, les médias n’avaient pas trop parlé de l’affaire. Ils s’étaient plus concentrés sur le rôle de l’établissement que sur les acteurs et on ne sait même pas si c’était ton proviseur.- Oui mais elle a dû subir des choses comme celles que j’ai subies, moi. Sinon pourquoi personne n’a porté plainte ?- La honte comme toi. D’avoir été détruite de l’intérieur. On ne peut pas tous avoir la chance de rendre les coups. Mais écoute tu iras voir la fille seule si ça peut te faire plaisir. J’apellerai demain pour dire que tu es malade, d’accord?»Le lendemain, Julie se rendit au domicile de la femme. Elle n’habitait pas loin. Elle n’avait jamais déménagé, peut-être par peur. Julie sonna à l’interphone d’un petit appartement dans un HLM.« Qui est-ce ?- Vous êtes Sally Sparow ?- Oui. C’est pourquoi ?- Je m’appelle Julie Jouannot. J’aimerais vous parler de ce qu’il vous est arrivé il y a vingt ans. Je suis dans le même cas que vous: des hommes de mon lycée m’ont violée et j’ai vraiment besoin de parler à quelqu’un. »Sally ouvrit la porte à Julie et l’invita à entrer. Sally avait la quarantaine, les cheveux blonds et bouclés qui descendaient vers une poitrine généreuse cachée par un pyjama rose bonbon.« À l’époque, j’avais honte de moi. Ils avaient réussi à m’avoir à leur botte en utilisant la pression. Je me souviendrai du visage de ces connards toute ma vie.- Comment s’appelaient-ils illegal bahis ?- Ils étaient deux. Monsieur Kokran, professeur de biologie et Monsieur Delfosse, professeur de français.- Monsieur Delfosse est mon proviseur … C’est l’un des hommes qui m’abuse. »Julie éclata en sanglots puis elle demanda à Sally de lui dire comment cela s’était passé pour elle.« Je sortais avec le fils de Monsieur Kokran. Un joli minois, brun, les yeux verts. Putain, il était bien foutu et bien monté. Puis un soir, son fils est sorti et son salaud de père a commencé à me toucher et m’a dit que, si je disais quoi que ce soit, il y aurait des retombées au lycée. Ensuite, il a commencé à me violer aux récréations. Puis un ami à lui, ton proviseur, l’a rejoint.Ils m’ont fait des choses horribles. Il m’ont fait signer un contrat qui spécifiait que je deviendrais leur esclave sexuelle. En moins de deux semaines, j’étais devenue la pute du lycée.Mes amies m’ont lâchée et M.Kokran, ce pervers, faisait participer mes camarades à ses jeux sexuels qu’il organisait pendant ses cours. Les garçons éprouvaient un malin plaisir à me pénétrer en rigolant de mon malaise et les filles riaient de ma douleur et me traitaient de pute à chaque que je criais ma détresse.Je me souviendrai toujours d’un samedi chez mes bourreaux. Dans la cave, j’étais attachée à des cordes qui me tenaient à quinze centimètres au-dessus du sol. Ils ont commencé à filmer la scène. Ils m’ont fouettée jusqu’au sang puis ils m’ont détachée et m’ont forcée à leur quémander la queue comme une chienne … Je m’en souviendrai toujours … Leurs bites au fond de ma gorge, les va et vient dans mes orifices… Quand je suis tombée enceinte, ils ont fait un pacte: je ne portais pas plainte et eux rompaient le contrat et j’étais libre. »Devant cela, Julie, qui avait les larmes aux yeux, vit à quoi aller ressembler sa vie si elle se taisait. En sortant elle fit promettre à Sally de témoigner en cas de procès.En sortant de l’appartement de Sally, Julie reçut un message de son père.« Retrouve-moi dans dix minutes sur le parking du lycée. Nous allons régler le cas de ton prof de sport.À tout à l’heure, ma puce.»L’appartement de Sally se trouvant assez loin du lycée, Julie décida de se rendre de suite au rendez-vous de son père. À son arrivée, celui-ci la prit chaleureusement illegal bahis siteleri dans ses bras et lui exposa son plan.« J’ai appris de source sûre qu’à cette heure-ci, ton prof de sport est seul dans la salle de gym. Donc voici le plan: tu te rends dans la salle de gym, tu te fais remarquer par ton prof et, à ce moment, je rentre et je le fais chanter avec ce que j’ai trouvé. Fais-moi confiance: ce soir, l’un de tes bourreaux tombera.»Julie hocha la tête et se dirigea vers la salle de gym, son père sur ses talons. En arrivant dans la salle, la jeune femme prit une démarche faussement timide et se dirigea vers son professeur de sport. Celui-ci se retourna et la vit arriver.- Tiens, tiens, la salope! Tu t’es reposée pour me venir me voir?- Euh… Non, Monsieur… Je… J’ai perdu mon téléphone.- Ah bon? Moi, je n’ai rien trouvé mais qu’importe. Maintenant que tu es là, je vais en profiter. À poil!- Je ne crois pas, non.»Le professeur de sport leva la tête vers l’entrée de la salle de gym et aperçut le père de Julie arrivant en trombe dans la salle, prêt à en découdre.- Monsieur Jouannot… Qu’est-ce que vous faites là?- Ce que je fais là? Je viens réparer les torts que vous et vos collègues avez causés à ma fille.- Votre fille a commis une grosse erreur en vous prévenant.- Vous vous trompez, au contraire. Vous et vos copains allez tomber. J’ai un enregistrement de votre dernier cours de sport. De plus… Jolie petite famille que vous avez là.»Sur ces derniers mots, le père de Julie sortit une photo du professeur et de sa famille de son porte-feuille. Le professeur devint livide.- Où avez-vous eu cette photo?- Peu importe où je l’ai eu. Ce qui compte est l’arrangement que nous allons conclure. Si vous ne voulez pas que je révèle à votre femme ce que vous faites avec ma fille, vous allez gentiment faire ce que je vous dis.»Le professeur hocha la tête en signe de soumission.«Très bien. Premièrement, vous n’organiserez plus de jeux sexuels durant vos cours.Deuxièmement, vous avez intérêt à respecter ma fille et à la traiter comme si elle était la vôtre.Troisièmement, si je viens à apprendre que vous avez enfreint l’une des deux règles que j’ai établies, je révèle tout votre petit jeu à votre femme et c’en sera fini de votre petite vie tranquille de prof de sport. Est-ce que canlı bahis siteleri c’est compris?- Oui, Monsieur Jouannot. Je ferai comme vous voudrez mais, par pitié, ne dites rien à ma femme.- Je suis un homme de parole. Et j’ose espérer que c’est également votre cas. En attendant, tu veux t’amuser un petit peu avec lui, Julie?»M. Jouannot se pencha à l’oreille de sa fille et lui murmura quelques mots. Julie eut un large sourire.« Je serai à l’entrée, ma chérie. Je vous laisse entre les mains de ma fille, monsieur le professeur. Vous connaissez la règle: si vous ne lui obéissez pas, je dirai tout à votre femme.»Le père de Julie s’éclipsa, laissant sa fille seule face à son ancien tortionnaire.- À poil, “Monsieur”.Le professeur s’exécuta sans broncher. Quant à Julie, rien que le fait de donner cet ordre lui procurait une joie extrême qu’elle n’avait plus connu depuis un bon bout de temps.- Et maintenant, à genoux et baissez la tête.Le professeur s’exécuta et Julie retira ses vêtements comme l’avait si prétentieusement voulu son professeur quelques minutes auparavant. La jeune femme releva la tête du vieillard et la colla sur son sexe.- Léchez.Le prof de sport obéit sans discuter. Julie le laissa lécher sa chatte quelques minutes durant puis elle le laissa retomber lourdement au sol. La jeune lycéenne se positionna dos à son prof puis elle lui releva la tête et l’attira vers son anus, le forçant à le lécher.Julie laissa durer le plaisir durant quelques longues et agréables minutes puis elle relâcha la tête de son professeur et redressa celui-ci sur ses jambes. Pour conclure, la jeune femme décocha un coup de pied dans les parties du vieillard en y mettant toute la haine et le dégoût qu’elle éprouvait pour lui. Le professeur tomba au sol en criant de douleur.Julie se rhabilla ensuite sans remettre sa petite culotte en ignorant les plaintes de l’instituteur. Avant de s’en aller, la jeune lycéenne laissa tomber sa petite culotte sur le visage de son professeur.- Branlez-vous dedans et, une fois que vous aurez joui, vous la rapporterez chez moi encore couverte de sperme et la nettoierez avec votre langue devant moi. Je vous donne une heure pour le faire. Si vous ne le faites pas, mon père racontera tout à votre femme.Julie tourna les talons et retrouva son père à l’entrée de la salle de gym. L’agréable moment de domination qu’elle avait passé avec son prof de sport lui redonnait confiance et elle était à présent prête à affronter autant de perversions qu’il le faudrait.Mais, pour cela, elle allait devoir retourner à sa condition de pute du lycée…

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Baise Black Ebony en FamilleJ’adore les baises en famille : sortir avec la fille et baiser la mère, sortir avec la mère et baiser avec la fille, sortir avec la fille et baiser avec la soeur ou la cousine etc, c’est un de mes plus gros plaisirs.3 familles,La 1ere : la mère, la fille, la cousine et la voisine : 4 pures femmes.1ere photo : je sortais avec la fille (photo vélo chambre), relation normale, sexualité normale, la mère était joli mais sans plus, (photo chatte poilue), il y avait aussi sa cousine (photo bien noire) elle était beaucoup plus noire de peau car origine sénégalaise mali, et enfin sa voisine (à 4 pattes photo cul)J’eu le plaisir d’en baiser 3, bon la fille je sortais avec donc c’est normal me direz vous,la mère : entendais sa fille se faire baiser dans l’appartement et je pense que cela l’excitait car elle était célibataire, sa fille criait fort, par moment je me disais chut j’avais honte la mère à côté en train de défoncer la fille mais d’un autre je prenais un réel plaisir, cela voulait dire que c”était bon, je l’enculais bien, je dormais souvent la bas, un jour ou la mere à envoyé sa fille faire une course nous étions seuls dans l’appartement et la mère me questionna, comment tu trouves ma fille, comment ça se passe etc, je trouvais ses questions bizarre puis elle me demanda et moi ? aimerais tu me faire crier aussi ? je fis mine de ne pas comprendre, elle baissa sa robe, je ne puis résister illegal bahis plus longtemps, elle se doigtait devant moi, je lui demanda si sa ne la dérangeait pas que je prenne une photo je la trouve excitante, ce fut un pur moment, je l’ai prise dans les toilettes et dans son lit une bonne chatte. ce fut notre petit secret.Un soir alcoolisé, nous étions 3 : la fille; la voisine et moi, on buvait puis nous sommes sortis dehors dans le quartier et sa voisine me demanda comment je trouvais son cul, elle arretait pas, je l’ai pris en photo sans trop qu’elle s’appercoive elle pensait que je filmais elle était tellement bouré et s’exibé mais nous ne firent rien ensemble que l’étape voyeurisme en même temps je n’avais pas interet la fille était bourré mais avec nous, le lendemain elle avait déssoulé et je vis qu’elle n’était pas chaude, c’était juste un délire d’un soir.Et enfin elle me présenta sa cousine, j’ai une préférence pour les femmes bien noires, je trouve qu’elles ont moins d’imperfections dans la peau et sont plus cochonnes, je l’ai défoncé chez elle ni vu ni connu mais un jour j’eu le malheur de la défoncer chez la fille et là sa mère s’en appercu, je fis chasser de chez eux sans pré avis dommage2ème familleLa mère (de dos devant son canapé en photo)la fille avec qui je sortais (sur son lit)sa grande soeur (en mode Maitresse SM)Sa tante (le gros cul devant le canapé noir)Je baisais la fille durant notre relation, illegal bahis siteleri la mère, j’aurais kiffé mais jamais rien ne se passa elle n’étais pas chaude, la grande soeur était une maitresse SM elle m’y a initié, une grosse salope personne ne le savait dans sa famille, elle était très autoritaire, je lui mettais des coups de cravaches quand nous étions seuls chez elle, nous nous sommes rapprochés comme ça et un jour on s’est embrassé viollement et elle a sorti les accessoires, un vrai délire,et enfin la tante : elle passait de temps en temps à la maison je lui ai bien ramoné le cul jamais aucune savait que je baisais l’autre à part la tante, la grande soeur et la mère savait que je baisais la fille ma meuf quoi.3ème familleLa mère (ejaculation faciale)La plus jeune fille (robe noire)La soeur de la mère (robe rouge)J’ai rencontré la mère sur un site de rencontre, elle voulait profiter se faire plaisir, n’avait plus aucune sexualité, nous faisions gaffe de bien baiser que quand il n’y avait personne chez elle : sa fille dormait des fois chez elle des fois chez son copain, j’étais invité à aller la voir que quand elle était sur d’être seule, nous nous vimes plusieurs fois : je la défoncais bien : grosse bite dans le cul, éjaculation faciale qu’est ce qu’elle aimait ca elle était pas forcément super belle mais bien bonne et assez bien entrenue, un soir elle n’avait pas laissé la clé dans la canlı bahis siteleri porte et sa fille avait la clé, comme nous étions seuls on baisait de partout, nous étions dans le salon elle me sucait j’étais assis sur le canapé, sa fille rentra sans que nous nous en appercions au début, je criais “oh oui suces moi salope c”est bon t’est une vraie chienne une grosse chienne, suce encore, encore hummmmmmmmmmm”d’un coup je la vis en face de moi elle devait voir le gros fessier de sa mère devant elle comme je m’étais tu la mère se retourna pour voir ce que je regardais, et la mère vu sa fille choquer elle disa ce n’est pas ce que tu crois lol, sa fille parta dans sa chambre, la mère m’invita à partir pour aller parler à sa fille me rappela le soir et me dit c’est arrangé elle lui as fait comprendre qu’elle aussi avait le droit de se faire plaisir quand même,je la vis encore plusieurs fois, la fille ce fut la seule fois que je la vis une vraie bonasse ja la préférais à sa mère mais elle avait déjà un copain j’ai pu prendre cette photo sur son ordi qu’elle laissait des journées entières à la maison elle était vraiment très sexyEnfin pour finir un jour ou j’étais tout seul chez la mère en train de l’attendre, j’eu une visite on sonna je croyais que c’était elle non c’était sa soeur, je ‘linvita à rentrer elle me demandait comment je m’appelais et ce que je faisais là avec mon nom elle sut qui j’étais sa soeur lui avait raconté nos aventures, elle était plus belle et un peu plus jeunes que sa soeur, on a cédé à la tentation et on s’est baisé, je partis aussitot après sans attendre la soeur peutêtre aurions nous pu baiser à 3 je ne sais pas un bon plan cette famille

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salope beuretteJe m appelle samira. Je suis une blonde aux yeux verts, kabyle et ayant residee dans un village d environ 2000 habitants en algerie il ya quelques annees de cela, j avais dans le temps 39 ans et sans enfants, mon mari qui travaillait dans un milieu professionnels tres dur et qui parfois exigeait de lui qu il s absente ou qu il arrive tard la nuit ou qu il parte tres tot le matin et qu a l epoque il avait 47 ans. Ilme faisait l amour du mieux qu il pouvait avec sa petite zigounette de 8 cm environ en erection et au repos il faisait a peine 2 a 3 cm.c est toujours une horreur pour une femme aussi chaude telle que moi mais vue la culture, je m y contenter mais avec de grande envie entre mes cuisses ! et je simulais tres souvent en pensant a un gros calibre et ce jusqu au jour de ma rencontre avec “khadidja” une algeroise,une autre blonde comme moi aux yeux bleue. C etait dans une fete de marriage dun ami commun de mon mari dans une ville lointaine, a peine rencontre qu on avait tres vite sympathise, nous etions les seules blondes de cette fete, toutes deux assises dans un coin a discuter de nos vies, des difficultes de la vie de tout et de rien jusqu au moment ou je lui pose la question avec qui elle etait mariee et me regarda au fond des yeux comme si je savais et elle lacha d un coup avec un beau sourir sur les levres :”avec un noir africain musulman” et je lachait a mon tour un grand :” QUOI !?” sans avoir le moindre controle sur ce que je disait et ma machoire resta ouverte comme pour recevoir son grand et raide -gourdin- et en me regardant elle savait a quoi je pensait et tout de suite elle repliqua que s etait magnifique et qu il la comblait qu elle n avait jamais reve avoir un homme comme lui car selon elle, il etait parfait et ajoutait comme pour me rendre jalouse:etre mariee a un noir c est ne plus avoir aucun fantasme car quand il me prend, il me ramene toujours au 7 eme ciel,car m avait elle confiee que lui, il avait grand et gros dans le panthalon et qu une fois “entre mes blanches cuisses, il ne veut plus ressortir” disait elle a chaque fois. Ils adorent tous les blondes, repetait-elle, je n en pouvait plus tellement j etais excite au vue de mon grand manque pauvre de moi !et ma petite culotte etait toute mouillee et je voulais qu elle me raconte plus, j en mourrais d envie d en entendre plus et mon petit ventre devenait un volcon..mais elle avait prefere se taire et me posa la question a laquelle je ne m attendais pas du tout effrontee qu elle etait : “Et toi c est comment ta vie conjugale avec ton blanc de mari ?” je ne savais pas quoi lui repondre tellement j etais bouleversee ! Et je voulais pas me faire passer pour une insatisfaite et tout en mentant,je lachais que s etait parfois bien parfois banale, une a deux relationspar semaine parfois en deux semaines mais la realite etait pire tellement mon mari etait epuise par son travail et ses responsabilites… elle me dit que ca n avait rien a y voir, que c etait genetique que les noirs etaient plus puissants sexuellement et meme dans d autres domains, quand il demarre a faire l amour ils ne s arretaient pas pour reprendre le souffle c etait d une meme lancee ! ils tirent et tirent et lime, lime et ne s arrête que lorsque tu es toi meme essouflee et que tu demande une petite pose tellement il t a fait criee qu ils s arretent enfin mais ils reprennent tres vite a te labourer le minou a te faire crier de plaisir. A chacune de ses parole j etais encore plus excite et mouillait plus et l imagination allait droit vers le gros mandrin que cachaient les black au fond de leur panthalon, elle me montra meme le pied d une table basse pour me dire tu vois il l a comme ce pied la et je fantasmais en m imaginant prise avecun tel pieu!je m imaginais avec un tel penis entre mes cuisses. Je lui avait dit que donc c etait pas une legende que c est bien une realite ? et elle relanca que “ la realite et bien plus forte que l imagination, la realite est suffoquente et etourdissante “ disait elle. J etais toute bouleversee…je suis restee silencieuse devant ses descriptions et ses narrations car mes pensees allaient ailleurs jusqu au moment de la fin de la soireenous quitter et de la fete, la nuit tombait et qu on allait partir, elle sortie la premiere et son mari l attendait a l exterieur quand arriva mon tour de sortir, je trouva mon mari m attendant a l exterieur, en faisantquelques pas vers notre voiture qui etait stationee a une centaine de metres de la en marchant je senti une main qui s agrippa a la mienne, je m arreta sec ainsi que mon mari et je me retournait et mon mari fait exactement pareil, etonne ! je vie khadidja sous son voile et son mari a quelques pas de la, elle me dit qu elle voudrai bien prendre mon numero de telephone si je voulais bien le lui donner, je me retourna vers mon mari qui acquiessa de la tete. Son mari lui tendit un stylo et une petite feuille, je griffonais le numero de telephone de notre maison et elle m embrassa de nouveau pour me dire au revoir, et me dit:” lui c est mon mari ..”et son mari s approcha, je remarqua tres vite le gros gourdin entre ses jambes a chacun de ses pas son gourdin allait d un cote puis de l autres quand il fit un autre pas, elle me le presenta, il me tendit sa main, je regarda mon mari qui m autorisa a lui donner ma main et je fit pareil, je presenta mon mari a khadidja , elle lui tendit sa main et n avait pas besoin de l accord de son mari pour dire bonjour au mien, elle etait vraiment trop libre cette femme la pensais-je. Mon mari et le sien discuterent quelques temps et echangerent leurs numeros de telephones probablement pour les affaires et on s etaient separes. On s etait appelle parfois en souvenir de cette soiree la mais pas plus et on ne s etaient plus jamais revu. Sauf que depuis, les paroles de khadidja entrerent dans ma tete et que je vie ce gros gourdin entre les jambes de son mari aller d un cote puis de l autre a chacun de ses pas, j en etais toute bouleversee et j y pensait tout les matins jusqu au jour ou j entendi un jour abdou le noir (un marchant ambulant malien) dans la ruelle güvenilir bahis du village crier a la vente de ses vetements neuf ramenes de la ville et ses mains magiques qui repparaient tout, du tamis ou outils de bois. Ma curiosite me brulait et j entrouvrit la porte pour le voir et je vie exactement ce que le mari de khadidja avait entre ses jambes. A l instant meme qu il me regarda a travers la porte entrebaillee qu il vit dans mes yeux la chaleur qui couvait dans mon petit ventre et il comprit vite ce que je voulais. Il etait tres excite al idee de me tirer, une belle blonde au yeux vert se disait il surement. Je me suis souvenu des commentaires de khadidja qui disait :” ils aiment tous les blondes ” et il mit sa main directement sur son sex pour le grater et je vis exactement un monstre qui commencait a ce raidir, il se pencha sur son carosse pour enfiler sa djellaba qu il mettait parfois. Ainsi vetu, il cachait son beau sex en erection, il repassa la semaine d après en criant un peu plus pour me faire sortir de derriere ma porte entrebaillee, cette fois, il caressa son gourdin jusqu au genoux pour me montrer sa grandeur, je mouillais totalement ma culotte et la semaine d après, il revint ce fut pareil, je le voulais entre mes jambes tellement il le caressait et je voyais trop bien ses formes montrueuses. Rien que d y pensait a abdou, je mouillais ma petite culotte, meme lors de nos ebas au lit, mon mari me dit que je mouillais trop…ce qu il ne savais pas c est que durant quil me faisait l amour toute mes pensees allait vers le gros penis d abdou que j imaginait entre mes cuisses blanches enfoncant son pieu pour me faire crier et me prendre par derriere en me serrant tout contre lui par mes hanches et enfoncant son gros engin au fond de mon ventre avide de sex. Quelques semaines plutard, au cours d une journee d ete, vers midi ou plus personne n est dans les ruelles et que tout le monde etait entrain de faire la sieste, j entendit toujours au meme moment comme chaque semaine, la cariole d abdou et le grincement d une de ses roué, il s arreta sec aupres de notre mur pour se reposer et s arbiter du soleil de midi, mon volcan s etait mis en ebullition dans mon petit ventre et je me suis directement dirigee involontairement vers la porte que j ouvrit entrebaillee. Il etait la a m attendre et entrain de toucher ses grosses parties intime. Moi, je le scrutais derriere la porte entrebaillee. Il s etait tres vite appercue dema presence et me dit ce que je voulais. je lui repopndit toute tremblante :”combien coute ce sous-vetement” je pointais mon doigt droit vers une robe de nuit rose et me dit que pour moi c etait gratuit, je lui repondit que je devais payer que rien n est gratuit et me dit alors :”tu pourra payer d une autre facon..” je lui retorque aussitot que je serai ravie etprete a le faire mais qu il devrai venir le samedi vers 3h du matin de par le haut notre grande parcelle de terrain et d enjamber les fils de fer pose pour delimiter nos biens (essentiellement constitue de terre et d oliviers) et qu il devrai etre dans la petite maisonette construite de terre et de roseaux ( qui nous servait pour abriter le foin et autre aliments du betail ainsi que parfois les animaux domestiques) et ce au lieu et au temps que je lui avait indiquer et de m y attendre. je lui precisait que par ce chemin plus personne ne passe. car, il y a juste acote le cimetiere du village. Le vendredi, j entendit la cariole d abdou mais je n en ressorti pas. Tout les vendredi mon mari ne travaille pas et reste a la maison ou va rejoinder ses amis au café pour un tour de dominos… et revient vers 20h pour diner et aller s endormir car la 1er journee (samedi) de la semaine est trop chargee, vers 02 du matin, je le reveille et après avoir preparer le café, il le bus son et son petit dejeuner et sorti pour prendre sa voiture rejoindre son enterprise..des que je vis les farres de la voiture tourner au fond d un virage, j enjambais le balcon de ma chambre vers notre jardin sans faire de bruit pour ne pas reveiller la famille…je courru vers la maisonette, je levais la vieille porte de mes mains et l ouvrit. A peine a l interieur que je sentis les grosses chaudes mains d abdou sur mes epaules. il me retourna et je ne vis que la blacheur de ses dents scintillaient dans l obscurite de la nuit.il fit descendre ses mains sur mes hanches me poussa un peu derriere pour me planquer contre le mur et colla ses grosse levres contre les miennes, s etaient comme des vantouses, je senti sa force des l instant ou il posa ses grosses mains sur mon corps. il me prit par la taille et me souleva legerement et colla tout son corp contre le mien d**** dans une seule robe d ete. Des le moment ou il se colla a moi je senti son gros et grand penis tout raide entre mes cuisse qui fouiller pour trouver son chemin. Son sex remontait tout le long de mes cuisses pour toucher mon pubis, remonter mon petit ventre et arriver au niveau de mon nombrille. il frappais contre mon pubis et a travers le tissue deja il titillait mon clitoris tres grossi par l excitation, les frissons et les caresses mais surtout, il me bouffait les levres par de torrides baisers et le tout devinrent excitation qui engendrait de la cyprine qui me mouillait en grande quantite, jamais de ma vie je n ai ete aussi bien preparee et excite. Abdou me mordais le cou et je lui disait de faire attention de ne pas me faire de trace sinon mon mari s appercevrai tres vite au fil du temps, le trouble s emparait de mon corps et je senti le desire se multiplier par quatre et j entrouvrit mes cuisses pour laisser passer ce monstre trouver son refuge, son nid. Mes seins et ma chatte reclamaient ses mains et son gros penis. Abdou passa ses deux mains derriere mon corps me caressa par mes fesses et mes cuisses, il etait divin ! et me souleva par mes fesses, me caressa longuement et mis mes seins au niveau des ses grosses levres avec lesquelles, il me suca les bouts endurcit, j etais deja au septieme ciel.abdou etait un vrai homme, viril et tres fort.Mon pauvre mari etait insignifiant devant Abdou. Il souleva ma türkçe bahis robe ecarta vite mon petit slip de cote et entreprena d enfoncer son gros penis dans ma chatte en ebullition, je senti son gros glandfrapper contre les levres de mon vagin et mon clitoris, le gland etait tres gros, aussi gros que la poignee d un jeune homme, je senti sa force a chaqu un de ses gros coups de reins, il cherchait son chemin. il passa une de ses main par derrire mes fesses et ecarta les grosses levres pour se frayer un chemin. moi je tremblait de desire et me suis abondonnee dans ses bras et attendait qu il le fasse glisser dans mon petit ventre en feu et d un coup le penis d abdou ecarta enfin les grosses levres et coulissait sur les petite levres, il etait a mi-chemin, il n etait pas loin de la grande porte d entrée trop petite pour son mandrin. Il le fit glisser plusieurs fois entre les petites levres pour l enduire de ma cyprine abandante, il etait vraiment trop gros son gland, il me camdra legerement et d un coup de rein je senti le gros monstre s introduire en moi, il ecarta ma sex a son maximum et gemissait de desire d une vraie femelle… enfin!!!! j ai un gros …, mon mari ne m avait jamais fait gemir ainsi. Abdou etait tres doux et me dis :” tu es vierge ?” dans le c*** ou il m avait mise, je lui repondit que j etais mariee mais sans enfant, il m embrassa sur les levres et sur le cou et me dit, ton mari a une petite hein ?!! et je lui dis: oui !!! et il dis alors: cette nuit je vais te baiser et tu sauras ce que c est qu un vrai homme, tu decouvrira ce qu est un vrai zob.. avec un arabe casse, il me dit :” hebit enikek emnhar al-awal win cheftak, raki chaba bizaf ! nhab tramtik, ou nmout ala hetchounek zreg !!!” et ajouta :”tu sera ma pute a moi” et je lui ai dit toute tremblante de desire :” arghigh, ahhetchouniw yergha, yehma, avghigh aytheqoudh dhegaouas amezouarou ikwalagh” (hebit tnikni menhar leouel ouin cheftek : je voulais que tu me nike le premier jour ou je t avais vu).Plus il s enfoncait plus j etais au ange, je senti mon sex totalement ecarte, mon sex moulait et palpitait autour du gros penis d abdou qui commencait a faire des vas et vient et moi je suffoquais de desire et d envie extreme. j avais depasse toutes les limites du desire pour atteindre le 7 eme ciel. monsexe etait secoue plusieurs fois ainsi que mon corps, je ne savais plus si s etait des orgasmes ou juste un desire extreme mais dans tout les cas , il me baisait trop bien et je n ai jamais pense un seul instant qu un tel desire pouvait existait, j ai cru que l acte avec mon miserable mari etait le TOP.il etait insignificant devant tant d art sexuel d abdou et tant de vagues immense et intences de desires que mon mari ne pouvait meme pas me faire subir le centieme d une seule des vagues d abdou, mon maitre. j aimais follement abdou des cette instant mon coeur avait flanche pour lui, il etait devenu mon idole, mon amour, mon maitre….abdou me tira dans toutes les poses : il me posa sur le foin et entra entre mes cuisses qu il souleva et son sex ne rentra pas entierement mais je le touchait de mes deux mains pour sentir lorsqu il s engloutissait tout au fond de ma chatte toute trompee, il me pris en me tenant par mes fesses et me faisaitdescendre sur son manche puis enfin, il me colla contre le mur la face au mur et me l introduisit par derriere,c est cette pose que j aime toujours et d ailleurs toutes les femmes adore se faire baiser dans cette pose (begouri et en kabyle arrety) mais avec abdou s etait tout autre chose, j ai sentie sa bite arriver jusqu au fond de mon ventre et ainsi baisee,il a pu l introduire totalement et frappait au fond de mon petit ventre, ma chatte coulait de cyprine et lui il donnait des coups de reins tres puissants et allait tres vite et il m affolait par des gemissements criardes, j entendais les clapotis de son penis dans le miens.mon vagin etait totalement ouvert, et tres glissant, on pourrait introduire un train ainsi huile…je ne pourrai pas dire combien de fois abdou m avait fait jouir mais je pourrai seulement dire que jamais mon miserable mari avec son miserable sex de 8cm ne pourrai me faire jouir le millionieme de ce que abdou m avait fait…lorsque il jouit enfin , il l introduisit totalement en moi et je ressenti le jet de son sperme chaud mais encore plus je ressenti les vibrations de son sex se tendre de haut vers le bas et de bas vers le haut. son penis voulais me soulevert a chacun de ses jet de sperme et tout ceci en a peine 30 a 40 mn car deja le soleil se levait. j ouvrit la porte la premiere pour partir, il me prit par le bras et me dit :quand est ce que tu voudrai que je reviennes : “demain a la meme heure, viens un peu plus tot”, il m embrassa en m entourant de ses bras et je courru vers mon balcon et en douceur je rentre dans ma chambre, remis mon chemisier et m endormit ainsi sans me laver du sperme d abdou, je voulais le garder en souvenir de lui.le matin je me levais a la meme heure et je senti mes cuisse pleine de sperme d abdou mais j etais tres fiere d avoir son sperme sur mes belles jambes de blanche, j etaistres heureuse, s etait ma vraie nuit de noce, mon vagin etait tellement ouvert, il etait rassasie du penis d abdou. vers 17 h mon mari rentra comme a son habitude et la nuit, il se levera pour aller au travail et moi retrouver mon maitre pour me tirer toute la nuit avec son gros manche ainsi toute les nuits jusqu au jeudi ou il me fit une confidence qui l baisait aussi une autre femme dans le village, au debut je ne voulais pas savoir mais quelques instant plutard, je demandais qui s etait et abdou tout gentillement me dit que s etait fahima, une belle jeune femme que ses parents avait mariee a un vieux retraite de france qui n avait plus que quelques annees a vivre et elle revenait chez ses parents avec une pension en devise ce qu ils ne savaient pas c est que abdou faisait le travail sense etre fait par le vieux de son mari. Abdou me confia qu elle adorait son gros zeb :”theb zebi kthar min koulchi”et qu elle lui demandait aussi de la tirer parderriere et lui avait fait confidence que güvenilir bahis siteleri son mari ne la touchait qu une fois par mois et parfois une fois tout les deux mois mais qu elle voulait baiser 3 a 5 fois par jours. Abdou rentrait par la fenetre de la chambre qui donnait sur le jardin. Mon amant me baisa pendant tout le mois et un jour mon mari m apprit que c etait temps qu il aille faire des achats pour l enterprise dans une ville de l ouest du pays et ceci voulait dire qu il allait partir pour deux jours. Mon mari quitta la maison a 3 h du matin et abdou rentra a 3h 15 mn pour me baiser dans mon lit en lui disant de ne pas trop faire de bruit, jai du dechanter tres vite car impossible pour un caulosse comme lui de ne pas faire de bruit avec ses coups de reins, je posais quelques paillasse par terre et il continua de me baiser toute la nuit dans toutes les positions et je dormit dans ses bras son sex au fond de mon ventre, il ne se degonfla pas comme la bite de mon mari qui une fois jouit, devenait a peine de la taille de la moitie d un pouce ( a peine 2 cm) le matin abdou resta dans ma chambre et s allongeait derriere mon lit ou personne ne pouvait le voir meme si j ouvrit la porte. et parfois je l ouvrit. une fois le temps de la sieste venu, je venais faire ma sieste mais au fait je courait vers les bras d abdou et son gros manche sur lequel je sautait avec mes grosse fesses, abdou etait un grand expert de la baise, il me retourna d un coup et se retrouva entre mes belles cuisses blanches et lui tout noir, il allait et venait au fond de mon ventre et me rendait folle,je ne voulais pas qu il s arrete. je lui demandais de l enfoncer et de le laisser au fond de mon vagin, je le senti se tendre, grossir et bouger, il etait chaud et dur meme tres dur, il moullait mon vagin , il etait l exacte mesure pour ma chaude chatte et il me pillona un bon bout de temps puis on jouit ensemble et on resta ainsi coller l un contre l autre. Abdou etait devenu un vrai amant, ce n etait plus un fantasme, il etait la entre mes cuisses et je l accrocher totalement a moi pour qu il ne quitte plus ma chatte trop chaude d un beau penis commele sien. J avais dis a abdou que mon mari allait rentrer vers 1h du matin ou a 2h ou meme parfois vers 3h ou 4h et je lui ai dit aussi de commencer a me baiser vers minuit. On resta a regarder la tv et une fois minuit, je fais descendre ma main pour toucher le gros manche, il etait un peu degonfle mais des que je mis ma petite main sur lui sous le drap, il commenca a se redresser et a s endurcire, c etait un vrai zob d un vrai homme et une fois raide, abdou se leva et vint entre mes cuisses pour s enfoncer au fond de moi et me pilloner a fond puis meretourner et me prendre par derriere, il se defoncait sur mes fesses et me fit jouir plusieurs fois et alla tres fort au point de me faire pleurer de plaisir tellement mes gemissements etaient ettouffes quand j ai senti qu il allait jouir, je lui avait demande de venire au lit et me prendre entre les cuisses, il continua et lui chuchottais dans son Oreil que j etais sa femme et sa vraie pute, que je pouvais venire avec lui s il le voulais., qu il etait mon vrai mari, mon vrai homme celui qui me donnait vraiment du vrai bonheur que toute femme veut. je l excitait plus par mes propos et je senti son penis grossir encore plus et vibrer et sentie qu il allait decharger, moi aussi j etais au septieme ciel rien que d avoir cette vraie queue au fond de son vagin pouvait me faire jouir plus d une fois, je jouit quelque seconde après lui, je le rettenait avec mes jambes totalement entourees autour de sa petite taille et de sa maigreur plein de muscles, je voulais sentir sa grosse queue au fond de mon ventre avant qu il ne s en aille. J entendit alors au bas le renronement du moteur de la voiture de mon mari monter les virages, je dis a abdou que mon mari arrivait. je lui dit de ne pas paniquer, de sortir par le balcon de remonter le terrain vers le chemin du cimetiere ou personne ne passé et de rester labas quelques temps sous un arbre puis de partir après. Il sorti et referma derriere lui, moi je refile ma culotte, resta ainsi dans la meme position en renflantlegerement et en recouvrant mon corps d un drap et toute nue en attendant mon mari, qui ne m avait jamais satisfaite. Il rentra dans la chambre sans faire de bruit, enleva sa veste puis tout ses habits, alluma la petite lampe et rentra sous le draps pour m entourer de ses bras. il s appercue que j etais toute nue sous le drap, j ouvrit mes yeux et me retourna pour l embrasser, il m enlassa et entreprit de me caresser partout et m embrasser encore et encore, il entreprit de me toucher partout et alla droit vers ma chatte fouiller a l interieur, il la trouva toute mouiller, et me dit que j avais trop envie ? je lui repondit que d une ca faisait 2 jours qu il n etait plus la et de deux, qu il ne me touchait pas beaucoup alors j ai fait un reve ou on faisait l amour et tu viens de me reveiller toute mouiller, il aquiessa et vient sur moi, m ouvrit les jambes et tenta vite de faire descendre mon slip ainsi que le siens, il chercha la raie de ma chatte, fait glisser de sa main son minisculesex insignifiant que je ne sentait pas du tout, quand il le glissa a l interieur, il se rendit tres vite compte que mon vagin etait trop ecarte trop large pour sa bite( peut etre se doutait il de quelques choses mais je ne laissait rien paraitre), je poussais un petit gemissement pour lui faire croir qu il me faisait quelques chose mais au fait, ca n etait pas possible qu il y est encore des homme qui ont de telles bites ?! abdou serai champion du monde…je fait semblant de gemir a chacun de ses coups …et il me dit :” aujourd hui, tu as une grande envie, ton vagin degouline de plaisir “ je lui ai dis qu il s etait laisser faire quand il avait senti ton penis “ mon pauvre mari donnait ses coup de reins dans le sperme d abdou et croyait que c etait mon plaisir qui lui faisait cela. je voulais me venger de toutes les fois ou il me tirait et une fois qu il jouit, il me laisait sur ma faim sans chercher a me faire jouir avec sa main. Et jouit enfin et ajouta son sperme au sperme d abdou, si un enfants allait naitre, je ne saurai s il serai d abdou ou de mon mari, mais la couleur de la peau nous le dirai. Mais je n eut pas d enfants car je prenait de pillules.

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Soumission au sexe masculin. Deuxième essai

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Soumission au sexe masculin. Deuxième essaiBon ben finalement, ça se fera ce soir.Une amie doit venir demain pour bosser. Du coup, on doit décaler. Et evidemment, ça m’laisse moins de temps pour m’y préparer, mais aussi pour stresser.Rendez vous a 18h45. J’m’empresse de rentrer chez moi vers 10 et d’préparer la salle de bain. Même si j’le connais pas, et que j’le reverrai sans doute jamais, faut que ça soit clean, alors on enlève tout ce qui pourrait gêner, les vêtements par terre, les serviettes en trop, le rasoir au sol sur la douche, tout ça quoi. Puis au même moment, j’reçois un sms de lui, il est juste en bas.J’flippe encore un peu plus. Evidemment. J’met de la musique avant de partir sur mon pc, du Crystal Castle. Ça fera ambiance. C’est la musique idéal pour ce genre de truc. Ou pour le sexe tout court d’ailleurs. Puis j’descends le chercher. J’flippe un peu plus encore. Il m’attends près des poubelles de la cité, j’arrive dos à lui, j’suis à 30 mètres. Puis instinctivement, j’recule, et j’fais demi tour. C’est lache. Super lache. Et là, d’un coup, j’tombe sur un pote de classe qui sort juste derrière moi. S’ensuit une petite causette sans importance ou j’sais pas quoi répondre, j’sais d’ailleurs même plus ce que je lui ai dit. ‘ T’as bien bosser aujourd’hui ? Moi j’ai eu trop d’mal hier soir après la soirée ». Il repart assez vite et j’continue mon chemin vers l’entrée de mon appartement.Mais quand même, c’est lache, et c’est sale. On laisse pas des gens comme ça. On les invite pas pour leur poser un lapin. J’aimerai pas que ça m’arrive. Alors j’veux pas que ça lui arrive. Alors j’fais demi tour.J’ai cru que j’allais mourir de stresse, mais bon, voilà ,j’me présente et on se sert la main. Il avait l’air de préféré que j’lui fasse la bise. En même temps, il est gay quoi. Aucune parole jusqu’à mon appartement. J’essaye de lui poser quand même quelques questions.. s’il a déjà fait ça avant.. si c’était bien.. s’il est déjà tombé sur des gens stressé comme ça.. si parfois ça s’est mal passé.. Un moment de malaise. Et ça a continué arrivé chez moi.J’avais de toute façon établit les règles d’entrer. Il arrive, salle de bain, on fait notre affaire, et il repart. J’ai aucune envie qu’il voit ou j’habite, mon chez moi, qu’il m’examine et qu’il me juge sur quoi que ce soit. Alors j’lui lance qu’on peut y aller, que j’suis géné, j’le répète souvent. En même temps, je l’étais, et j’aime bien faire part de ce que j’pense à l’instant. De toute façon, ça s’voyait déjà sur moi a 10km. On se déshabille tout les deux, il a un corps plutot banal, et j’espère qu’il va pas reculer fasse au mien. Quoi que, au moins je ne l’aurais pas fait et j’aurais éviter de stresser. T’façon, je m’inquiète carrement pour rien, j’ai un corps aussi tout a fait banal, ni gros, ni maigrichon. On passe du coup sous la douche, j’essaye de regler.. et voilà que s’ensuit des caresses de sa part. J’ai vraiment du mal à apprécier ça. Il se colle à moi et essaye de m’embrasser, ce que je fais a moitié, vraiment, j’apprécie pas non plus. J’commence à sentir son odeur, une odeur de canlı bahis şirketleri mec, et de tabac. Et vraiment, tu t’étonneras si j’te dit que j’apprécie pas non plus ?Alors il m’embrasse, se colle toujours a moi, colle son sexe contre moi, ça me gêne. J’essaye quand même d’y mettre du mien, je le caresse, le touche sur les fesses, l’embrasse dans le cou. J’aime bien le cou. Pouvoir embrasser, lecher.. mordre, mordre profondemment, faire du mal. Ça m’plait. Evidemment , j’vais pas jusque la. Et je m’arrête bien vite. Je glisse mes mains vers son sexe. Là aussi, j’ai du mal à voir un autre sexe male. Ça m’excite vraiment pas comme ça. Je le caresse, il à l’air d’aimer ça. Et puis après quelques minutes, j’décide d’y aller, parce que c’est quand même ça que je recherche . Je me glisse à genou, face à lui, et commencer à lui lecher les couilles. Ce mot est vulgaire. Mais j’en connais pas d’autres tu m’excuseras. Alors je lui lèche, aspire instinctivement. Il à l’air de beaucoup apprécier. C’est presque mon cas. Il est quand même carrement poilu. Tu t’dois te dire que j’suis super compliqué là non ? J’dois juste être 100% hétéro. J’le fais, mais j’me force aussi un peu. Puis j’lui demande s’il veut que je le suce. Il m’autorise, mais j’lui propose une capote avant. Il avait l’air chaud pour le faire sans. Mais c’est mal ! Il n’y arrive pas du premier coup, il m’avoue que c’est jamais lui qui met la capote généralement. Ouais, c’est un gay plutot passif qui rencontre un hétéro plutot passif. La bonne blague. Il n’y arrive donc pas du premier coup, et j’dois le relêcher un coup entre les jambes pour que ça marche. J’le sais que ça marche, j’le sens respirer plus rapidement. Et ça, ça m’plait. J’attends pas longtemps, c’est un peu le but de ce rendez vous, alors j’me lance, bouche grande ouverte, et glisser son sexe épais entre mes lèvres. Novice que je suis, je commence des mouvements un peu bancals. Assez profond mais assez mal rythmé. Il commence alors à mettre mes mains sur mes cheveux, pour me pousser, et me guider. Je commence a prendre le rythme, et ça m’excite vachement. A genou face a lui, comme une soumise. C’est le mot, et c’est exactement ce que je recherchai. Alors je le suce, lentement , j’accelère, je repasse a des mouvements lents.. parfois il me prends la tête, pousse son sexe jusque dans ma gorge, me surprenant, me faisant faire des remontés. Mais ça m’excite d’être utilisé comme ça. Et j’continue, je vais de plus en plus vite, il me caresse les cheveux et j’continue à le sucer. Et quand je ne l’ai plus en bouche, j’ouvre grande ma langue pour la lecher de dessous, comme une petite chienne en chaleur. Je remonte alors, et je lui demande s’il peut essayer de «  m’enculer ». Je redeviens stressé, et l’excitation fuit un peu. Je crois avoir été trop serré.. ses doigts me font mal.. il me propose de me lecher l’entre jambe après m’avoir dit avec de belles fesses. J’accepte le compliment et lui autorise, même si ça ne me dit vraiment rien d’avoir sa langue entre mes deux fesses. Les sensations sont d’ailleurs étranges. canlı kaçak iddaa Après ça, son sexe n’arrive pas à passer. J’suis pas assez exciter. Il n’a pas l’air de l’être totalement non plus. Il m’avoue que de toute façon, normalement, c’est lui qui s’fait enculer. Alors soit. Pourquoi pas. De toute façon j’étais plus très excité pour ça. Et j’avais mal. J’devrais me toucher d’avantage. Mais bon, le faire seul sans que personne en profite, c’est pas non plus très drole. Alors je lui propose de le resucer, comme une bonne soumise que je veux être. Et j’ai pas de mal à y retourner, et il n’a pas de mal non plus à pousser d’avantage son sexe au fond de ma gorge. J’aime ça, être pris comme ça, que ma bouche serve à ça, qu’il prenne du plaisir, que je sois rabaissé et qu’il continue ses mouvements de bassin au fond de ma bouche. Il n’y a finalement que ça qui m’a excité dans ce rendez vous. Mais bordel , quel excitation. Il me fait remonter , il essaye de me branler, mais ça aussi, ne fonctionne pas. Et de toute façon, j’en ai pas envie, j’ai plus envie, et je suis fatigué. Je ne lui dit pas directement, et il essaye de m’embrasser, il me regarde, et n’arrête pas ça. J’ai vraiment plus envie, alors je détourne les yeux. J’me laisse faire, j’veux pas être méchant, je l’ai invité pour ça, mais ça ne m’excite plus. Plus du tout et j’ai envie qu’il s’en aille. Je lui propose d’arrêter, Mais il a envie de se finir. Que je le branle par dessus la capote. Alors je m’execute, rapidement. En esperant bien le faire. Parce que j’veux bien faire cela. Tout comme sucer. Il aime ça. J’suis assez satisfait, et il arrive très vite à « gicler » comme il m’a dit. La douche est déjà froide, et j’ai juste clairement plus envie de le regarder. J’commence a lui reposer des questions pour casser le blanc. Si c’était bien, s’il l’avait deja fait beaucoup de fois.. etc.. et je m’excuse d’être embarassé, de ne pas le regarder, etc. Il me dit que c’est pas grave, et que ça prouve bien que j’suis hétéro. D’un coté, ça me rassure. Je sais pas pourquoi. Mais l’idée de coucher avec un mec s’est litteralement envolé après qu’il m’est dit ça.On continue de discuter des fois ou il l’a fait. J’lui pose pas mal de questions, j’suis curieux j’crois. J’ai envie de savoir à quoi il pense quand il fait ça, pourquoi il le fait, si c’est normal, si ça a marché avec tout le monde, comment, pourquoi, avec qui, si il y a eu des trucs chelou parfois.. Ce mec est completement different de moi. Et j’aime bien connaître les gens différents, ça m’sort de mon quotidien.Il me dit qu’il aime bien les kawaii dans mon genre. Il regrette qu’il n’y en ai plus là ou il traine. Un kawaii ? C’est genre un mec qui lit des mangas et qui aime le Japon. Comme moi apparemment. Bon, c’est un peu le cas, enfin ce fut le cas, mais c’est très vite mettre dans des cases. D’ailleurs il le fait très rapidement. Il me dit qu’il aime les mécheux, les skatteurs, mais pas trop les wesh. Ok. Pourquoi pas. Puis gentillement, je lui demande de partir, j’sais plus comment j’ai annoncé ça.. mais bon. Lui parler n’est canlı kaçak bahis pas déplaisant, mais j’arrive toujours pas à le regarder. Et j’repense encore a son regard quand il essayait de m’exciter après la seconde fois que je le suçait, un espèce de regard de gay pervers. T’peux être en mesure de te demander ce que c’est un regard de gay pervers. J’sais pas.. un gars qui veut te sauter dessus ? Mais t’peux comprendre ça que si t’es un mec. J’pense ? Bref, ça me dévisageait, ça m’faisait flipper. Mais vraiment.Du coup, il commence à se rhabiller après que je lui ai filé une serviette, j’en fais pas de même, je veux repasser sous la douche, je me sens terriblement sale, je veux qu’il parte, je suis fatigué et je suis sale. Je lui dit d’ailleurs. Assez gentillement. Avec l’age, j’deviens de plus en plus franc. Peut être même trop parfois. Mais au moins, je tourne pas autour du pot. J’lui avoue même presque l’avoir laissé tomber devant l’immeuble, et que j’sais pas si je serais chaud pour le revoir. Il comprends, et vraiment bien. Il est gay et comprends être passé par là. Sauf que lui à du prendre du plaisir de bout en bout avec ce genre de scene. Ce fut pas mon cas. Il m’dit qu’au moins, j’aurais essayé, et que ça m’passera une fois que je serais casé, que j’aurais une femme et des enfants.J’pense qu’il à tort. Ce genre d’envie, quand tu l’as, ça disparaît pas comme ça. Si t’es attiré par les mecs, ou les sexe de mec. C’est comme ça. Et même « casé » ça va pas faire de toi un homme fidèle qui n’y pensera plus jamais. Il n’y a qu’a voir les hommes de 50-60 ans qui recherche du sex gay discret et qui sont mariés dans les annonces. Ils sont complexés de ne pas avoir essayer avant. C’est tout. Ça s’perd pas ça. De toute façon, je n’veux pas de femme, ni d’enfants. Quoi qu’en y repensant, les idées peuvent changer. Il n’y qu’a voir en ce moment, la domination me reprenant et m’excitant. Alors que j’me voyait comme total soumis depuis quelques temps maintenant. Mais bon. J’lui fais pas part de tout ça. Il est sympas, mais j’me sens pas débattre avec lui. Bref, on se parle encore un peu pendant qu’il se r habit et me dit ne plus trop faire de choses comme ça maintenant. Des rencontres sur le net. A cause d’une mauvaise rencontre.Il m’dit avoir rencontré un mec un jour, qui l’a invité à une soirée, un mec avec ses potes. Ils se sont bien amusés, rigolé, bu.. puis ils lui ont racketter de l’argent avant d’en venir aux mains. Et il s’en est finis à l’hosto. Flippant non ? Ça fait réaliser des trucs quand même.J’reste dans ma serviette, sec. Et j’lui ouvre la porte, lui demandant s’il allait bien retrouver le chemin. Il m’dit que si jamais j’étais chaud un autre jour, j’avais qu’à redemander. J’lui avoue que c’est vraiment pas sur. Et voilà, il repars.Maintenant j’veux prendre une douche, mais on a utilisé trop d’eau. Elle est froide. Alors j’dois attendre. Mais j’me sens vraiment sale. De la bouche, et du « cul ». Une langue inconnue.. ça m’dit vraiment rien. Par contre, j’espère qu’il à apprécier la mienne.J’en retire que les mecs ne m’attirent clairement pas. J’le savait déjà. Mais ça s’confirme, même sexuellement finalement. J’y arrive pas, mais vraiment pas. Par contre, être a genou, langue bien pendu, regard de « chienne en chaleur » face à un sexe contre mon visage. J’y retourne quand tu veux.

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Yaşım 30. Çok geç gittiğim Askerden ünversiteyi bitirmek için çıkan aftan yararlanmak için 10 gün izin almıştım. Eve de heyecanla geldim saat gece 12 civarıydı evde herkes mutlu olmuştu. O gece yorgunluktan uyuyakaldım. Sabah eşime okulu bitirmek için izin aldığımı bu nedenle ders çalışmam gerektiğini anlattım, eşimde elinden geleni yapacağını ama o gece hastanede nöbetçi olduğu için diğer arkadaşınında izinliolduğunda izin alamayacağını ama kardeşinin de nasıl olsa üniveristeye hazırlık için ders çalışması gerektiğinden beraber ders çalışabileceğimizi söyledi. Neyse ben önce gündüz şöyle bir defterleri karıştırıp bir ön çalışma yaptıktan sonra gerisini de akşam çalışırım deyip defteri kitabı bir yana bıraktım.Akşam içmek için gidip bira aldım. Akşam üstü benim güzel baldızım hatice dersaneden çıkıp eve geldi. Evimiz sobalı olduğu için yemek yedikten sonra aynı masada ders çalışmaya başladık, arada sırada sohbet ediyorduk. Bazen hatice bana matematik sorusu sorar cevabını anlayıncada dersine dönerdi. Vakit epeyice ilerleyince baldızım, abi ben bahçeşehir escort yatacağım canın sıkılırsa beni uyandır dedi. Bende dur şimdi uyuma bişeyler içelim kaynatalım deyince kabul etti.Oturduk ikişer votkalı bira içtik. Baldızım kafayı bulmuştu. Bana sarhoş olduğunu onu giydirip yatırmamı isteyince bana dediğini yapmak kaldı. Önce üstündekileri çıkarıp geceliğini giydirdim. Aydı odadaki kanepeyi hazırlayıp yatırdım. Küçüklüğünden beriyanımızda kaldığında sebep hiçbir abeslik yada uyanma hissetmemiştim. Bende bir bira daha içip uyumayı düşünüyordum. Bende üzerimi değiştirip bira içerken kanepenin kenarında oturup tv. seyrediyordum. Baktım başım dönüyor kanepenin içine bende girdim. tv.nin sesini kıstım. işte ne olduysa o zaman oldu. birden baldızıma değen vücudum bana başka şeyleri de hissttirdi. Bana dönük olan kalçalarına pijamamın içinde doğru sikimi sürtmeye başladım. Baldızım içkinin de etkisiyle hiç oralı bile değildi. bende cesaretlenip sikimi çıkarttım ve geceliğinin altından külotuna sürtmeye devam esenyurt escort ettim bu da yetmemeye başlamıtı. külotunu hahifçe götünü açık bırakacak şekilde sıyırdım. Artık o güzel götü açıktaydı ve benimde sikim kalçalarının arasında göt deliğinin kenarlarında sürtünüyordu. Öyle harika bir duyguyduki götünden sikmeyi kafama koymuştum. O güne kadar kimseyi götten sikmemiştim. Götüne sikimi hafif hafif abandıkça sikimden kaygan sıvılar geliyor ve sikimin ucu götüne giriyordu. Bir yandan bir elimle götüne daha çok girmek için kalçalarını aralıyor diğer elimlede göğüslerini yavaşça okşuyordum. Tabiki bir yandan da korkuyordum kendine gelecek diye çünki sikimi tamamen götüne soksam diğer tarafından çıkacak gibiydi. Bunun üzerine banyoya gidim krem aldım ve önce sikimi tamamen kremledim, sonrada göt deliğini tamaman kremle doldurdum. Bizimkinden hiç ses seda çıkmıyordu. parmağımı soktum. hemen giriverdi ve tepki gene yoktu. Artık benimde dayanacak halim kalmamıştı. Sikimi tekrar götüne yasladım ve kaygan götüne sokuverdim kadıköy escort sikimi fazla sokmuş olmalıyımki hatice uyandı. Birden bana döndü enişte bende rüya gördüğümü sanmıştım napıyorsun deyince, alkolden olduğunu söyledim. tam arkamı dönüp odadan çıkacaktımki bana başladığın işi bitir, bak bunuda üniversite gibi yarım yapma dedi. Şaşırmıştım. Ben tepki bekliyorken onay alınca tekrar kaldığım işe devam ettim. Bu sefer yüz üstü yatırdım. Kocaman sikimide tekrar götüne sokmaya başladım kremlerin etkisiyle dibine kadar bastırınca baldızım derin bir ohhh çekti biraz gidip geldikten sonra bütün halimle abanıp götüne boşaldım. Rahatlamıştım. Baldızımın yanına uzandım.Ben boşalmıştım ama bakire baldızım ateşlenmişti. Ben ne olacam böle deyince işimin bitmediğini anladım. Amına yöneldim ve yalamaya başladım. O ne güzel bir amcıktı öle. Kıllarını bile traşlamamış harika bir küçük kıllı amcık. Yaladıkça çıldırıyor ne olur enişte biraz da bura ya sok diyordu. Bende yalamaktan vaz geçip sikimi sürtmeye başladım. Kzıım bakiesin falan demeye kalmadı sikimi tuttuğu gibi amına sokmaya başladı. Bende yardımcı oldum amından da siktim. Sabaha kadar kaç sefer amını kaç sefer götünü siktiğimi hatırlamıyorum ama bir gece sonra eşime de bir şeyler kalsın dedim. Üniversite bitmedi ama ne zaman hatice bize gelse ve eşimde nöbette ise sikmeye devam ediyorum

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Babes

merhabalar ben doğan ist den abim ben ve yengem beraber yaşıyorruz.

bir hafta sonu abim iş için sehir dışına gitti evde yengem ve ben vardık saat baya gec olmustu yengem duş için banyoya girdi ben kapının delinden onu gözetliyip 31 çekmeye başlamıştım yengem bir sure sonra cıktı ondan sonra ben duşa girdim yengemi hayal ederek 31 cekmeye başladım ve kırkılerin içinde yengemin iç camaşirlarını buldum onları koklararak devam ettim duştan cıktımda otele gelen escort yengem kendi odasında yatmıştı ama ben uyuyamıyordum saat 02 olmuştu telefon caldı ben duymamazlıktan geldim uyurgibi yapmıştım yengem uyanıp odaya geldi sapık aramıştı sanırım telefonun bir sure dinleyip kapattı ve benim yattım odada tv yi actıp ızlemeye başladı cıne 5 de reklamlar vardı ben yengemi izliyordum uyur numarası yapıp yengem ümraniye escort elini amına goturup okşamaya başladı.

benim uzeride sadece kilotum vardı ve alet kalkmaya başlamıştı yengem bir ara bana bakıp devam etti ve aletimin kalktını varketti beni uyuyor zannetip yanıma gelip kilodumun yanından cıkan aletime bakıyordu ve 5 dk sonra kalkıp kendi odasına gitti.

bende yenge diye seslendi donup birşey yokmuş gibi beylikdüzü escort yanıma geldi ne istiyorsun dedi bende senin istedini dedim yengem benim yatagıma yattı dudaklarında opmeye başladım ve yengemin eteginin içine soktum elimmi yengem cıldırıyordu.

tertemiz amaın yalamaya başladım agzım boşaldı daha sonra benimkini azına aldı şehvetli bir şekilde azına boşaldım yime onu yalamaya başladım artık içine girmek istiyordum ama izin vermemişti 1aylık hamileyim dedi ozaman arkandan dedim magsurum vardedi den biraz diretince izin verdi onuden amını acarak yavaş yavaş girdim yengem cıldırıyordu boşalacam zaman içine boşalıyımmı diye sordum oda hadi ikimiz berader dedi ve volkan gibi içine boşaldım 2 aydan beri herzaman yengemle şikişiyorum.

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