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Le super panard. Je traîne interminablement au lit. Le ciel est bleu et lumineux au dessus de la ville quasi déserte, en ce début juin 1940, alors que la guerre fait rage au loin.
Dans la rue, je note un mouvement furtif sous un porche.
Elle est raccagnée dans un angle, à l’entrée d’un passage couvert.
-Salut. Dis je
-Bonjour. Répond elle en tremblant.
Petite, mince, visage fin et cheveux châtains mi longs. Elle blêmit devant ma médaille de police. Comme j’ai écarté ma veste pour qu’elle voit mon automatique, elle n’esquisse même pas une tentative de fuite.
-Ouvre ton sac.
Le tutoiement est délibéré. Elle doit sentir que je tiens la foudre dans ma main.
Un pain à moitié rassi, un pot de cornichon et une sorte de tranche de pâtée dont mon chien ne voudrait pas.
-Le pillage est puni de mort.
Elle le sait, bien sur. Elle se met à pleurer et parle en vrac, d’un petit frère et de sa mère malade qui n’a pas pu partir. Elle me supplie.
La cage d’escalier est chaude et sèche. Je lui enlève sa robe d’été. Elle porte en dessous une culotte blanche toute simple et rien d’autre.
Elle est à genoux, la bouche arrondie, prête à avaler ma bite. Je lui glisse mon membre et elle est prise de hauts le coeur. Heureusement, elle n’a pas mangé depuis deux jours, et c’est sans conséquences. Elle pleure sans discontinuer.
Je la relève, et la tourne face au mur.
Elle supplie de plus belle quand je baisse sa culotte.
-Tu préfères douze balles dans la peau? Lui dis je.
Elle baisse la tête, vaincue.
Bon dieu, je sens la résistance de son hymen au coeur de son sexe vierge. Elle pleure encore plus.
-Il y a un moyen.
Elle se détend un instant lorsque je quitte sa petite vulve fraiche. Mais c’est un cri de pure douleur qui s’échappe de ses lèvres quand je lui poinçonne le cul. Elle gémit de détresse, ensuite, alors que son orifice secret s’accommode peu à peu de l’intrus, heureusement lubrifié de sa bave. Lorsque je ressors, un filet de foutre coule doucement sur sa cuisse.
Je remonte mon pantalon, que j’avais descendu à mi cuisse.
-Tu es une voleuse, Sarah Bronski. Et à présent, une petite salope. Ma bursa escort petite salope. Compris?
Elle me regarde sans comprendre. Je lui jette sa robe, qu’elle enfile prestement. Je la conduis jusqu’à ma voiture, garée non loin. J’ouvre le coffre et glisse un pain et un bocal de pâté dans son pauvre sac.
-Les allemands sont à quelques jours d’ici, après, tout retournera à la normale. En attendant, si tu as de nouveau faim, j’habite là, au deuxième gauche. Mais tu paieras avec ton corps.
Elle ne sait si elle doit me remercier ou me maudire, mais elle file.
Je regarde ma ville. J’ai l’impression d’être le roi de Paris. Les rues sont vides, tout le monde s’est enfui. Pas moi. La police doit veiller à l’ordre, que le vainqueur trouve une capitale bien rangée.
Le lendemain soir, on frappe à ma porte. Je suis couvert du sang d’un gars. Il faut vraiment que je perfectionne ma technique d’égorgement.
Un coup d’oeil au judas. Dans la pénombre de la cage d’escalier, je reconnais les boucles qui se parent de reflets fauves dans le soleil rasant.
J’ouvre, elle sursaute, je sens l’abattoir et la sueur.
-Entre
Elle se glisse dans l’entrée et je ferme derrière elle.
Je la guide jusqu’à la pièce principale; un canapé fatigué et une petite table pour mes repas de célibataires.
Elle est déjà en train de retirer sa robe, la même que l’autre jour. J’allume la lampe à pétrole sur la table. La lumière dorée inonde son dos pâle. Elle se tourne vers moi. Sa culotte est d’un rose passé tirant sur le gris, à présent. Je m’approche, elle sent le propre. Je passe ma main dans son dos et me colle à elle. Elle émet une sorte de petit cri de surprise et je crois, de peur.
Ma main glisse sur sa cuisse, entraînant sa culotte et dévoilant son petit buisson. Je prends mon temps. Je la pousse sans violence mais fermement vers l’arrière. Elle refait son petit cri en tombant sur le canapé.
Je délace mes bretelles et mon pantalon tombe au sol. Je bande déjà très dur. J’enjambe l’habit et présente ma bite devant son visage.
-Suce.
J’ai eu chaud, aujourd’hui, et sa grimace me confirme que mon gland y a gagné un parfum épicé. Mais le spectacle görükle escort de ses lèvres allant et venant le long du mât est un régal. Je suis à un doigt de lui lâcher la purée dans la gorge. Je la repousse.
Elle est autour de mes jambes, son sexe tout neuf exposé. Je me mets à genou et place mon chibre à l’entrée de sa chatte. Elle pleure quand je la déflore, avec un petit cri quand je déchire son hymen. Je la pilonne un bon moment, avant de sortir d’éclabousser son ventre plat. Je ricane, son nombril est plein de sperme et ressemble à une petite tache plus blanche que le reste. Je lui donne un torchon pour s’essuyer.
Peu après, elle quitte l’appartement avec un poulet.
Je m’assieds et réfléchis. La canonnade gronde au loin, tandis que la glorieuse armée française se fait tailler en pointe. Ils seront bientôt là. Il va falloir être un peu plus imaginatif pour durer.
Elle revient le lendemain.
-Merci de ne pas être venu dans ma matrice. Dit elle.
Je ne réponds pas, je suis peu soucieux de fabriquer une mère fille, mais c’était surtout pour l’humilier. elle a dû se renseigner sur la reproduction humaine.
Cette fois-ci, je la mets à genou sur le tapis pour la pipe. Pris d’une impulsion, je lui bloque la tête avec les mains avant de me servir de sa bouche comme d’un sexe. Lorsque je touche le fond de sa gorge, elle a un hoquet et se débat. Mais ma prise est ferme et je finis par lui inonder la gorge. Elle a une toux qui lui fait couler du foutre par la narine droite, comme de la morve. Je ris et elle pleure.
Elle repart, le sac lesté d’un salami. Chère petite polack. J’ai localisé le trou à rat où elle se cache. C’est dans une petite rue borgne pas loin, et effectivement, il y a un petit frère, et une mère alitée. Ma vieille maman disait toujours que c’est mal de profiter du malheur des gens. C’est surement mal, mais c’est aussi beaucoup plus facile.
Je me promène dans la ville et je raccompagne un soir un gamin au nez morveux jusqu’à une loge de concierge. La concierge est un blonde bien en chair, dans la trentaine.
-Votre fils était dehors. Il avait des denrées pillées dans ses poches.
Elle ouvre des yeux affolés. bursa escort bayan Elle sait ce que ça veut dire.
-Pitié, monsieur l’agent, Bernard est si jeune.
Je fais partir le petit vers le fond de l’appartement.
-On peut peut être s’arranger.
-Je n’ai pas d’argent, le père du petiot est sur le front.
-Vous êtes une femme.
Son regard me montre qu’elle a compris. Elle met le verrou sur la porte du fond.
Elle ouvre sa blouse et relève sa combinaison. Elle a un sacré placard, bizarrement sombre. Elle pose son cul sur le bord de la table, les jambes écartées. Je lui relève les cuisses et entre sans fioriture. Elle souffle quand je tape dans le fond, mais sinon, j’ai l’impression de limer un oreiller. Je la retourne et elle crie “non” quand ma bite s’introduit entre ses fesses.
Son petit trou est bien fermé, et je dois m’employer pour le forcer. Le conduit serre délicieusement ma mentule. Elle s’est mise une main devant la bouche pour étouffer ses cris., surement pour ne pas alarmer Bernard.
Je regarde les toits de Paris depuis le toit de mon immeuble. La nuit résonne de lourds grondements. Le pas de pieds bottés retentit dans les rues vides.
L’officier allemand s’approche de moi et me demande qui je suis.
-Inspecteur Delbard, bonjour.
Le gars a l’air surpris de rencontrer quelqu’un qui parle sa langue. Mais il me sourit. Il a l’air crevé et sale. Je lui tends un panier avec du vin blanc frais et un peu de pain et de saucisson. Il prend ma carte de policier et sort un petit carnet pour noter mon nom. Je lui tend ma carte de visite.
Le coup de fil est arrivé moins d’une semaine plus tard. Je gagne les locaux de la préfecture et un fonctionnaire chauve m’informe de mon détachement auprès des nouveaux maitres de la ville.
Je vais au 27 boulevard Lannes. Il s’avère que mon officier est un ponte de la SD, leur police secrète, et qu’il a apprécié mon geste spontané. Il m’invite à m’asseoir dans un fauteuil confortable et me tend un cigare. Il me propose d’intégrer la gestapo française, qui commence à naître. Je mets les formes pour refuser, d’abord parce que ces malotrus sont d’anciens truands de la race des vrais nuisibles et que je suis un policier décoré pour avoir abattu un anarchiste qui venait de tuer un banquier.
Je pénètre tranquillement dans le bureau de communication de la police. Cet honorable service a pour but de faciliter les échanges avec l’occupant. Ce n’est que le début.
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