Ay: Kasım 2021

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cette voisine …..! (part 2)e lui ouvre.Elle est là, cheveux lâche, regard lubrique, bottes noire et en manteau de fourrure qu’elle entrouvre dès que je la regarde pour me montré que son collier de perle est bien présent entre ses deux seins pointu, libres de tout mouvement.Elle entre.Je la tire vers moi et lui passe directement une de mes mains sur chacune de ses fesses et presse un peu fort.Elle : OOOOUUUCCCHHHHH !!Moi : tu as froid !Elle : Non, je suis chaude !Et elle quitte son manteau et me laisse découvrir, des bas et porte jarretelles violet sans culotte ni soutien.Elle : Ça te plait, tu ne t’attendais pas à ça.Moi : Tu es une salope et j’adore ça..tu me cherche et tu ma trouvé !Elle : Non je suis pas une salope, je suis ta salope, ta chienne, ta pute , me déçoit pas et tu serra comblé !Moi : Wouah dis-je !Elle : Je vais faire de ta queue mon menu, mon entrée, mon plat, et mon dessert sera un bon arrosage comme je les aime.Je m’assied sur mon canapé et mon “”sarrouel”” est tout tendu, elle le voit.Elle : Alors tu es tendu ?Moi : Viens ici ma salope, je vais te la mettre en bouche comme une chienne et te léché comme le chien que je suis !Elle : MMMMHHHHHH , j’aime qu’on m’insulte.Moi : Alors tu vas être servie car j’adore ça, on est fait pour s’entendre.Elle vient sur moi et me mets un de ses deux seins tendu d’excitation dans sa bouche, je le suce, le mordille et le lèche sensuellement.Elle commence déjà à partir dans le monde du plaisir et roucoule comme une vrai cochonne.Elle prends aussi les devants en me caressant le torse et le dos et en glissant sa main dans mon “”sarouel””.Je dis : Montre moi ce que tu as fais à la banane tout à l’heure.Elle sourit et descend à genoux devant moi en écartant ses cheveux tout en me souriant.Elle déplace mon “”sarouel”” et me prends en main, je suis dur et ma sève à déjà humidifier le bout de mon gland déjà violet.Elle commence des vas et viens et lèche la larme de sève sur mon gland saillant.Elle : Tu as bon goût et ta queue est belle, bien dure, je vais me régaler !..MMMMMHHHH…Moi : Quand tu vas la gouté, tu pourra plus t’en passer, tu vas me sucé jour et nuit car j’adore ça, comme la putain que tu es ! Je vais t’arrosé de mon foutre chaud dans ta gorge et sur tes seins, sur tes fesses et tes cheveux, tu vas en boire des litres, tiens toi prête.Elle : MMMMMHHHHH, et elle m’emboucha comme une chienne en chaleur en me fixant dans les yeux !Évidemment, je succombé à son offrande et me taisais pour la laissé dans sa concentration.Elle passé sa langue agilement sur ma queue entière, roula des pelles à mon gland suintant de bave tout en me titillant le frein, mais elle savait se servir de ses mains avec de lents va et viens comme je les aime en me malaxant également doucement les bourses.Je l’entendais !Elle : ARRGGFF…MMHHHH…MMPPPFFFMoi : je commençais à l’insulté bakırköy escort pour l’excité comme une folle et qu’elle soit définitivement accroc.Moi : Suce bien avec ta langue de belle cochonne..masses mes bourses que tu vas vidé… pompe moi avec tes belles lèvres.. je veux voir ta joue être déformé par ma queue…et ma lave viendra tapé l’intérieur de ta bouche.Elle : MMMHHH..AAARRGGFFF…Je savourais.Puis elle enleva la queue de sa bouche!Elle : Elle est bonne, chaude , dure, t’avais raison, j’ai déjà du mal à m’en passé et ça ne fait que deux secondes que je l’ais quitté.Moi : Et oui…tout fier que j’étais.Elle : Je veux que ton foutre fouette mon palais pour la première fois.Moi : Suce moi et si tu es doué, alors là tu serra rassasier…mais ça se mérite !Elle : Relâche toi, je veux te faire jouir comme ça , j’y tiens..inonde moi..la gorge !Moi : T’inquiète, tu es doué et je vais pas tenir longtemps !Elle : Je ferai tout ce que tu veux, dorénavant, elle est trop bonne, et ça me tarde de la sentir me limé.Moi : Tu l’auras, tu la mérité !..mais arrête de parler et fais moi venir dans ton palais que je vais noyé de mon sperme chaud.Elle : MMMMHHH..AARRGGGGFF..Elle continua son offrande et je me régalais…quel immense plaisir..Et enfin, je venais, mais ne lui dis rien puisqu’elle voulait tout en bouche !Elle sentit ma queue s’arcbouter, palpité avant de sentir ma semence cumulé de toutes ses excitations qu’elle avait provoqué.Elle gémit d’être malmené de la sorte et sa bouche se faisait inondé de mon foutre, je voyais dans ses yeux qu’elle était aux anges !Elle me nettoyait avec sa langue experte et avait bien entendu tout avalé.Elle : Tu à bon goût en plus, j’en reviens pas, je suis amoureuse de ton sperme..quel mec ! quel goût !Moi : Je te l’avais dit, j’en rajouté des tonnes évidemment, et je m’en amusé..Mais, J’étais vidé et il fallait que je me reprenne pour me retrouvé en forme assez vite.Moi : Madame est rassasié..c’était bon !Elle : Excellent ! Maintenant que je t’ai nettoyé, je vais te faire rebander comme un cerf car je vais pas pouvoir me passé trop longtemps de ta grosse queue.Moi : Monte sur le canapé, je vais te léché, tu vas craqué car je sais bien me servir de ma langue, moi aussi.Elle monta et s’installa, curieuse, offerte et ouverte.Je commençais à la caresser de mes doigts et effectivement, elle était trempé de mouille, inondé, un fleuve jusque sur le haut de ses bas.Elle était belle, là, complice et jouissive.Je prenais son clitoris entre mes doigts et lui enfoncé deux autres doigts dans sa chatte..elle craqué, ça y est !Elle : C’est bon, je jouis déjà, je suis à point, je vais t’inonder le canapé..j’en peux plus.Moi : Qu’est-ce que ça va être quand je vais te limé !Elle : J’ose pas y pensé, une si belle queue dure,longue et si….AAAHHHHHHH..Et beşiktaş escort là, j’avais lançai ma langue dans son sexe tout en léchant son clitoris et madame n’avait pas eu le temps de finir sa phrase.Je la léché comme un fou et pointai ma langue dans son vagin en l’écartant bien avec mes doigts..elle en pouvait plus.Quelle belle femme, la voir jouir et ne pas se retenir, elle pouvait chanté a sa guise, mon appartement était bien isolé et puis il était pas tard, et deux amants ont bien le droit de se faire du bien..non.!!.Je continuais et accentuais mes coups de langues, léchages en règle..elle “”défaillissait””, craqué..beuglé et gémissait !Elle m’inondais la bouche de ses effluves de plaisir, et elle aussi avait bon goût..la salope.Il me tardai une seule chose maintenant, c’était la chevauché…Et elle dis : j’en peu plus, arrête , fait une pause..Mais j’arrêtais d’aucune façon et voulais la faire jouir comme jamais pour qu’elle ne se passe plus de moi!Je rentrai deux beaux doigts dans sa chatte, les recourber pour trouvé son point g, qui m’attendais !Je l’ai eu, je l’ai..je le malaxer…et là..et là..Elle : AAAHHHHH..je jouis..mon salaud…je suis ta pute..tu me fais jouir comme une garce…une pute..AAAHHHH…AAAAHHJe continuais de remué mes deux doigts sur son point g qui la faisait partir de façon monumentale..complètement (mais je n’avais encore rien vu)Et dans le même temps, j’en profité qu’elle soit complètement prise de cet orgasme et je lui glissé un doigt sur la fente de son petit trou et avant qu’elle puisse dire quoi que ce soit, je l’enfonçais..Moi : Tiens belle salope, jouis de la chatte et du cul en même temps..tu es ma pute..ma chienne..tu vas jouir, jour et nuit..dès que tu me verra t’inondera ta culotte, si tu en à une…et ta cyprine viendra luire sur tes cuisses jusque sur tes talons de salope.Elle : Salaud, tu m’a bien eu..et en plus, j’osai pas te dire que j’adore ça…AAAAHHHHH salaud..AAAHHHH..putain..Moi : Oui putain…jouis..et je faisais toujours des vas et viens dans son petit trou avec l’autre main je joué avec son point g.Elle haletait…bavait…transpirait..elle roulé des yeux (toujours quand elle jouit)..Je ralentissais la cadence car je voyais qu’elle avait eu sa dose et que la soirée était encore longue..Elle : AAAHHHHH….j’en peu plus..quel pied…je vais te bouffé..toi…ta queue..je veux te chevauché et vite.Pendant ce temps là, bien entendu ma queue avait repris de la vigueur et tout cela m’avait bien excité à nouveau.Elle venait se “lové” contre moi..elle respirait fort…et n’avait plus de voix.Elle : Dès que je me reprend, je vais te faire jouir comme le salaud que tu es !Moi : Viens sur moi.Elle : Oh oui…je la veux en moi..enfin..Je m’assied sur le canapé et elle se plaçait face à moi, seins pendants, tel une offrande, beylikdüzü escort cheveux mêlés et son fameux collier de perle qu’elle mettait dans sa bouche, lui roulant une pelle, droit dans les yeux(j’adore / elle sait que j’aime ça)..Puis ce mets accroupi au dessus de moi, toujours avec ses bottes (quelle pute)..Elle prend ma queue bandé, la branle un peu, ce la mets bien droite sous elle et s’embroche comme une grosse salope assoiffé de bite dure.Elle s’installait et posait chacune de ses mains sur mes pectoraux dur de désir.Je la prends par le haut de ses épaules et appuie pour qu’elle s’empale au maximum….ma queue glissait dans sa chatte un peu serrée et je sentis son vagin gobé ma queue et tapé au fond d’elle.Sa réaction ne se fit pas attendre…Elle : AAARRRRFFF…MMMMPPPFFF…Salaud , je savais qu’elle était bonne, quand tu me limerai avec….jusque dans mon profond.Moi : Et oui je t’avais prévenu…J’en pouvait déjà plus, elle était serré et je crois que ça faisait un moment qu’elle ne s’était pas faite prendre comme ça.Elle : On dirai que ta bite est faite pour ma chatte car elle me rempli de toute part comme jamais ma chatte l’a était…AAARRFFFElle commençait à se déhancher et j’essayais aussi d’imprimer du rythme..Ses seins ballotait et mon excitation était à son paroxysme..J’en pouvais plus non plus, mais je voulais faire durer le plaisir.Je presser et claqué ses fesses avec mes mains…et elle chanter…jouissait à nouveau..elle en pouvait plus..déjà..Elle : Tu me rempli, salaud…je suis ta garce, je vais encore jouir..ta queue est dure et me martèle…AAARRRGGGFFF…OOOOOUUUUUCCCHHH….MMMPPFPFPF….PPPPPFFFFFF…MMMHHHAAAAHHHHH…!!J’augmentai la cadence de mon bassin, et je voyais le jus de sa chatte coulait toujours sur moi..Moi : pute, garce, salope, chienne, t’aime ma queue dure, t’aime aussi que je te lèche avec un doigt au cul et que je te titille le clitoris..que je t’enfonce des doigts dans ta chatte et frotte ton clitoris…sans parler de ma queue qui te rempli comme ma pute que tu es…tu vas être ma soumise pour longtemps encore.Elle : Oh oui, c’est ça que je veux ! veux…AAARRRHHHFFF..AAARRGGGFFF…HHHHUUUMUMU…MMMMMFFFFFFElle jouissait à nouveau…j’en revenais pas du trésor de sexe que j’avais trouvé.Elle continuait ses mouvement énergiques au dessus de moi, elle se besognait toute seule et non sans mal, j’accélérais le mouvement pour qu’elle me sente encore plus au fond d’elle et encore plus que le vas et viens précédent.Moi: je vais jouir, ton vagin me serre et me compresse..je vais partir…je veux t’arrosai !Elle : OOOOUUUUUUIIIIII vas- y..!!Elle descendit de moi, me prit tout de suite en bouche tout en me branlant frénétiquement d’une main et de l’autre me masser le torse comme pour me montrai que je lui appartenait.Et j’éjaculais de longs jets de foutre sur son visage…elle me souriait et se lécher les babines pour tout récupérer..et me nettoyait..Elle était heureuse et ça se voyait !Et moi, que dire..j’étais évidemment satisfait!Mais cette soirée…Je crois… N’était pas tout à fait terminé…Elle s’annonçait torride…Et le reste aussi !J’attends vos commentaires.

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La masseuse de ma femmeMa femme avait l’habitude de se faire masser. Cela la détendait me disait-elle. Cela se passait dans la journée, pendant que j’étais au travail. Je ne savais pas du tout à quoi pouvait ressembler sa masseuse. Je fantasmais pas mal en l’imaginant mignonne, disponible pour tout, sexy en un mot. Aussi quand elle m’a dit que ça me ferait du bien également si je me faisais masser, j’ai accepté tout de suite et rendez-vous fut pris pour moi pour le samedi après-midi suivant, jour où je ne travaillais pas.Le jour dit arriva et j’étais excité comme un jeune collégien qui va voir une paire de nichons ou un magazine porno pour la première fois ! Ma femme me présente « sa » masseuse, Ginette et elle voit sur mon visage une certaine déception. Il faut dire que Ginette n’est pas particulièrement la personne que j’imaginais. Elle a une bonne cinquantaine, elle est grande de taille et proportionnée en conséquence, un peu massive. Elle a une paire de seins qui me font penser qu’elle doit avoir une profondeur de bonnets E ou F, bref ce n’est pas la personne sexy à laquelle je pensais. Cela dit, on s’installe dans chambre d’amis et Ginette commence à me masser. Et là, je découvre la qualité de ses mains. Elles sont douces et fermes et elle masse merveilleusement bien. Elle démarre par les bras et la poitrine et me demande de me tourner pour s’occuper de mes jambes et de mes fesses. Elles s’attaque aussi à mon bassin et mon aine ce qui déclenche chez moi une érection qui s’épanouit quand elle me demande de me retourner à nouveau. Pas moyen de la cacher et je suis gêné de bander devant Ginette. Elle fait mine de ne pas voir et continue son massage en passant très près de mes couilles et de ma rondelle. Je bande un max !!!Elle décide de passer au massage de mes pieds et pour que ce soit plus pratique pour elle, elle me cale le pied sur son ventre mais, je le note, très près de sa chatte. Mon orteil s’agite et j’arrive à le caler sur son clito que je devine très gros. Hélas, l’heure de massage est terminé et on se quitte en nous donnant rendez-vous la semaine suivante. Je suis sur ma fin, je me rhabille et pour me soulager, je vais me branler dans les chiottes. Ma femme me demande comment je trouve la masseuse et elle me dit : « Je t’ai senti un peu déçu halkalı escort en la voyant, alors si tu veux arrêter, ça ne sera pas grave ». Je réponds en maugréant : « Non, dis lui de revenir samedi prochain ».Le samedi suivant, ma femme me dit qu’elle profitera que je me fais masser pour aller voir une amie. « Ça ne te dérange pas de rester seul avec Ginette ? » me demande-t-elle. Je lui réponds : « Non », simplement. J’ouvre la porte de notre appartement à Ginette et nous allons nous installer dans notre chambre cette fois, sur notre grand lit. Elle me dit, en s’étonnant de ne pas voir ma femme : « Madame n’est pas là ? ». « Non, elle est allée chez une amie, nous sommes seuls », je lui réponds avec un sourire entendu auquel elle reste de marbre.La séance de massage commence et on en arrive au massage de mes pieds. Elle pratique comme la dernière fois et positionne mon pied sur sa chatte. Comme la dernière fois, je commence à agiter mon orteil sur son clito à travers le tissus de sa robe et de sa culotte. Elle se laisse aller et se débrouille pour que mon orteil lui masse la chatte de haut en bas. Je bande et comme je suis sur le ventre, ma bite est comprimée par le matelas qui heureusement est assez moelleux. Je n’en plus et je me tourne vers elle, la bite qui pointe vers le plafond et qui déforme mon caleçon.Je lui dis : « Ginette, je crois que vous utilisez mon gros orteil pour vous branler le clito ». Elle rougit, baisse les yeux. En fait, elle est surprise par mon langage, moi qui suis plutôt coincé de prime abord. Elle me répond: « Oh non ! Monsieur, je n’oserais jamais ». Moi, avec un sourire : « On va vérifier ! ». Et déjà, je lui ai soulevé la robe et ma main est sur sa culotte qui est effectivement trempée. Un de mes doigts s’insinue sous le tissus et se plante dans sa connasse qui est remplie de mouille. Je remonte sur son clito : il est entièrement décalotté et sort de son capuchon. Il est énorme, de la longueur d’une bonne phalange. Ginette est confondue !!!Je la bascule sur le lit où elle s’affale, ses grosses cuisses en l’air. Je lui enlève rapidement sa culotte et sa chatte apparaît dans toute sa grandeur. Elle est sans poils et ses grandes lèvres şişli escort sortent largement de sa vulve. Sa chatte est entr’ouverte naturellement et du liquide s’en échappe. Je ne résiste pas d’y mettre ma langue pendant que ma bite sort de mon caleçon tellement je bande. Mes lèvres vont sur son clito que j’aspire carrément et emplit une bonne partie de ma bouche. Ginette commence à gémir de plaisir. Elle a ouvert les boutons de son corsage, un de ses seins est déjà sorti de son soutien-gorge et elle le malaxe avec force, en se pinçant les tétons.Tout en me branlant, j’introduis un doigt dans le con de Ginette. Il se sent tellement à l’aise dedans que j’y introduis un deuxième, puis un troisième. Je les fais coulisser dans sa chatte ouverte pendant qu’avec mon pouce je branle son clito. Je comprends alors que sa connasse est tellement large que je vais pouvoir y introduire la main et la fister. Je présente alors ma main les cinq doigts joints à l’entrée de sa chatte et je l’interroge du regard pour lui demander si je peux l’introduire. D’un singe de tête, elle me fait oui mais ajoute : « Allez y doucement ». Je lui réponds : « Bien sûr » et je pousse ma main dans son con.Sa chatte est tellement remplie de mouille que je n’ai aucun mal pour me retrouver sans son antre, ma main étant plutôt fine. Je lui masse son point G, je sens les contractions des parois de son vagin et elle est aux anges. Elle ne gémit plus, elle crie carrément son plaisir. Je me branle d’une main et de l’entendre crier en jouissant, je manque de me finir tellement c’est bon. Et c’est le moment où j’entends s’ouvrir la porte de notre appartement, c’est ma femme qui revient. Trop tard !!! Pas moyen de nous remettre, Ginette et moi comme si de rien n’était, la tuile, quoi !!!Ma femme ne tarde pas à se retrouver dans notre chambre. J’ai toujours ma main dans la chatte de Ginette qui ne s’est rendue compte de rien. Elle est toute surprise de voir ma femme et ne sait pas comment se cacher. Bizarrement, ma femme ne se met pas à hurler et avec un demi sourire elle dit : « Ah ! Je vous y prends mes cochons !!! ». Avec précaution, j’ai retiré ma main du con de Ginette et je me tourne vers ma femme, la bite en l’air parfaitement bandée, le gland luisant, sarıyer escort prêt à lâcher mon foutre. Je lui fais face et je lui murmure à l’oreille : « Viens nous rejoindre, on va s’amuser ». Je suis étonné de l’entendre me répondre : « D’accord ! ». Elle commence se met à poil et viens nous rejoindre dans le lit.Pour la remercier en quelque sorte, je profite de ma bite bien bandée pour la lui mettre dans le con. Sa chatte est remplie de mouille et au moment d’y planter ma bite, je remarque quelques filets de liquide blanchâtre. Je lui dis : « Ça n’est possible, tu ne viens pas de baiser !!! ». Elle me répond avec un sourire penaud : « Et pourtant, oui ! ». Du coup, je comprends mieux son ouverture d’esprit en nous voyant Ginette et moi. Après ce petit dialogue, je redouble d’ardeur pour bourrer le con de ma femme tout en lui massant son clito, beaucoup moins gros que celui de Ginette mais tout aussi rouge étant donné son exercice de baise qu’elle vient de pratiquer.Ginette ayant compris la situation et que nous sommes partis dans une mini partouze, s’est approchée de moi et elle me masse les fesses ses mains s’égarant vers ma rondelle, ma bite et mes couilles. Je sens qu’elle accentue son massage sur mon trou du cul et soudain elle y fait pénétrer délicatement son index qu’elle insinue profondément me massant du coup la prostate. Je manque encore de lâcher mon foutre mais je me retiens et je me retire de la chatte de ma femme. En même temps que je dis à Ginette de s’étendre sur le dos, ses gros seins à l’air, je vois que ma femme sort son gode du tiroir de la table de nuit et qu’elle se démonte la chatte à grand coup de fausse bite.Je me place alors sur Ginette à hauteur de ses nichons et place ma bite, enduite de la mouille de ma femme et du sperme de son amant, entre ses deux mamelles. Elle les tient serrées l’une contre l’autre et moi je baise ses deux seins somme si c’était deux belles fesses, petites mais bien fermes. Ça glisse merveilleusement bien et la chaleur des seins de Ginette ne tarde pas à me faire répandre mon jus de couilles épais et abondant. Ma femme a arrêté de se branler quand elle a vu mon foutre jaillir entre les seins blancs de la masseuse. Elle s’en empare en l’étalant sur les seins de Ginette qu’elle malaxe du même coup en y prenant plaisir visiblement.Ginette est en retard pour son rendez-vous suivant, elle s’habille rapidement et s’en va. Je reste avec ma femme et pour parfaire sa jouissance je me place entre ses cuisses pour lui lécher la chatte et lui bouffer son clito. Elle ne tarde pas à jouir en enserrant ma tête entre ses cuisses. Notre week-end a bien commencé.

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Séjour à l’höpitalChers amis, il me revient en mémoire, une aventure qui m’est arrivée il y a déjà quelques années. Je viens, ici, vous la narrer. Au début, je parle de moi au masculin. Je vous laisse découvrir la suite.Il y a un certain temps, à la demande de mon médecin traitant, je fus invité à aller passer un bilan de santé. Je pris donc rendez-vous avec l’hôpital le plus proche de chez moi. Ne me sentant pas malade, je me rendis au rendez-vous comme si de rien était.A mon arrivée, je fus accueilli par une dame, d’un certain âge, aimable comme une porte de prison. Elle m’indiqua le chemin pour me rendre au scanner. Arrivé dans la salle d’attente, je me trouvais en présence d’autres personnes. Je m’installai et pris un magazine pour tuer le temps. Enfin, mon tour arriva. Une infirmière vint me chercher et me conduisit vers une pièce où elle me demanda de me déshabiller. Je m’exécutais non sans une certaine inquiétude car sous mon apparence masculine, je portais une jolie parure de lingerie. Je fis ce que je pus pour la dissimuler sur la chaise. Quelques instants plus tard, elle vint me chercher et m’emmena vers la salle. Elle me demanda de m’allonger sur le brancard, fit quelques manipulations avant que de m’introduire dans le scanner. Une fois radiographié sous toutes les coutures, elle revint vers moi et me dit, ne bougez pas le médecin arrive. Quelques minutes passèrent et il arriva. Monsieur me dit-il, j’ai deux nouvelles à vous annoncer. Une mauvaise et une bonne. La mauvaise. Je suis dans l’obligation de vous hospitaliser en urgence, vous êtes en train de nous faire une embolie. La bonne. J’ai une chambre de disponible dans mon service, vous rentrez immédiatement. Vous vous rhabillez et vous attendez une infirmière va venir pour vous prendre en charge. Effectivement, quelques instants plus tard, une ravissante infirmière entra et me demanda de la suivre dans les méandres des couloirs. Nous arrivâmes dans une chambre et elle me désigna un lit où j’allais passer les jours à venir. L’infirmière me laissa seule, mais pas suffisamment longtemps pour que j’ai pu faire disparaitre mes dessous. Elle entra, sans prévenir et me trouva en train de défaire les attaches de mes bas. Elle se figea l’espace d’un instant qui me sembla durer des heures. Je ne savais plus où me mettre ni que faire. Elle s’approcha de moi et me dit « ne vous inquiétez pas pour moi, j’en ai vu d’autres ». Cela eut pour effet de me mettre quelque peu en confiance. Elle ajouta, non sans malice, « si vous désirez rester dans vos atours, je n’en prendrai nul ombrage et ferai en sorte d’intervenir à chacun de vos besoins, ainsi, cela restera entre nous ». Je devins rouge comme une pivoine. Je la remerciais d’un petit sourire et finis de me déshabiller avant que de me mettre au lit. A peine étais je couché que le médecin fit son entrée pour m’expliquer que j’étais là pour plusieurs jours et donc, il me fallait appeler chez moi pour que l’on m’apporte quelques affaires. Le médecin partit, l’infirmière revint et m’annonça que pour les soins, il me fallait être glabre et que donc, elle allait être obligée de me raser. Ne pouvant faire autrement, j’acquiesçais. Elle revint quelques minutes plus tard avec sur un chariot, le parfait nécessaire de rasage. Elle me débarrassa du drap et se mit à m’enduire de mousse. D’une main sûre, elle prit le rasoir et entama mon épilation. Tout se passa très bien jusqu’au moment où elle étala de la mousse sur mon entre-jambes. Le froid de la mousse à cet endroit eut pour effet de me donner une petite érection. Mon sexe se redressa sous les yeux de l’infirmière qui ne fit aucun commentaire mais me regarda d’un air coquin. Sur le moment, je ne compris pas pourquoi. Le temps que j’allais passer dans cette chambre me le révéla par la suite. Alors que pour le reste de mon corps, le rasage avait été plutôt rapide, l’infirmière prit un malin plaisir à faire durer l’opération. Au bout d’un certain temps, je me retrouvais sans le moindre poil. Je pensais qu’elle en avait fini mais elle me demanda de me mettre sur le ventre. Ne voulant imaginer où elle voulait en venir, je m’exécutais. Elle alla chercher un traversin qu’elle plaça sous mon ventre avant que de me demander d’écarter les jambes. Je me pliais, sans rien dire, à ses exigences. Mes petites fesses, ainsi exposées, elle me demanda d’en écarter les globes et enduisit ma raie culière d’une couche de mousse à raser en me disant qu’une femme digne de ce nom ne devait avoir aucune pilosité à cet endroit de son anatomie. Je lui obéis. Tout en étalant la mousse, elle fit glisser un doigt à l’entrée de mon cul. Cette intrusion me surprit. Je me raidis sous l’effet de la surprise. Elle eut alors cette question qui, sur le moment, me stupéfia. « Puisque nous sommes entre nous et que je vous ai vu en lingerie de femme, j’en déduis que vous aimez vous travestir et donc par la même occasion, istanbul escort vous devez avoir l’habitude de vous faire prendre votre cul par de belles queues » ? Je restais sans voix devant une telle audace. Péniblement, je m’entendis répondre que oui. J’en prends bonne note, ajouta-t-elle alors. Totalement débarrassé de tous mes poils superflus, elle me conseilla d’aller me rincer en prenant une douche. Au moment de sortir elle ajouta, « vous pouvez remettre votre lingerie » et me fit un clin d’œil. Je ne savais pas où cela allait me mener mais je m’exécutai. L’eau tiède qui coulait de la pomme de douche eut sur moi un effet dévastateur. Ce que j’appelais mon sexe se mit à durcir et à se redresser. Pour me soulager, j’entrepris de me caresser. Je fus surpris par le retour de l’infirmière au moment où je commençais à jouir. Ma semence se répandit sur la faïence du bac. « Je vois que vous ne perdez pas de temps » me dit-elle. Elle me tendit une serviette et je m’essuyai sous son regard malicieux. Sec, je renfilai ma lingerie. Elle m’aida à fixer les bas à mes jarretelles et mit en place les agrafes de mon soutien gorge. Je venais juste de rentrer sous les draps, que mon amie fit son entrée dans la chambre, m’apportant quelques affaires. L’infirmière s’éclipsa pour nous laisser en toute intimité. Je mis, ce laps de temps à profit, pour avouer à mon amie, la situation dans laquelle je me trouvais. Celle-ci me répondit “A force de jouer avec le feu, tu es pris à ton propre piège. Il va falloir que tu assumes”. M’ayant déposé un sac contenant quelques affaires, mon amie repartie, me laissant seul avec mes pensées. Je profitai d’un moment de tranquillité pour inspecter le contenu du sac. Quelle ne fut pas ma stupéfaction quand je découvris au milieu de mes vêtements, quelques uns de mes jouets sexuels. Sur ces entrefaites, l’infirmière revint avec mon plateau repas. En voulant faire de la place, je fis tomber mon sac qui se renversa sous les yeux de l’infirmière. Elle me regarda et me dit « il semblerait que vous ayez des affaires assez étranges dans votre sac », en ramassant une paire de menottes. Je ne sus que répondre et devint rouge de honte. Que cela ne tienne, ajouta-t-elle, j’aime, moi aussi, ce genre de jeux. Elle sortit. Je mangeai mon repas. Elle revint pour débarrasser mais avant, pris mon poignet et le dirigea sans aucune autre explication vers le dessous de sa blouse. Je restai interloqué. J’eus la surprise de découvrir qu’elle ne portait pas de culotte et que son clitoris était orné d’un piercing. Tout en se penchant, elle me permit de découvrir un profond décolleté. Je ne savais plus que dire ni que faire. Elle sortit en me promettant de revenir très vite. Je me plongeai dans la lecture d’un bouquin, me demandant ce que cette première soirée pourrait bien m’apporter. Je commençai à piquer du nez quand j’entendis la porte s’ouvrir puis se refermer. Pour notre tranquillité, elle tira le verrou. Nous étions, à présent seuls au monde, dans cette chambre. D’autorité, elle fouilla mon sac et en sortit les menottes. En un laps de temps, je me retrouvai attacher à mon lit. Elle dégrafa sa blouse, et la fit tomber à ses pieds. Elle m’apparut dans le plus simple appareil. D’autorité, elle prit mon sexe entre ses lèvres et entreprit de me sucer pour me mettre en forme. Quand elle estima que j’étais fin prêt, elle monta sur le lit, s’installa sur moi et dirigea ma queue vers sa chatte. Elle me chevaucha longuement, en alternant la vitesse à laquelle elle s’empalait. Il est évident que devant une telle furie, je ne résistai pas très longtemps à son traitement et je finis par inonder son bas ventre de mon sperme. Elle changea de position et vint placer son sexe au niveau de ma bouche. D’un ton autoritaire, elle m’ordonna de la nettoyer de ma langue. Ne pouvant faire autrement, je m’exécutai. Je fus contraint de passer ma langue partout et de récupérer l’intégralité de ma jouissance. Se faisant, je déclenchai en elle un orgasme fulgurant. Sa cyprine se mêlant à mon propre sperme se retrouva au fond de ma bouche. Ne sachant à quoi m’en tenir, concernant ce qu’elle me réservait pour la suite, j’avalais ce breuvage sans rechigner. Ne s’estimant pas satisfaite, elle changea à nouveau de position et vint se placer en tête bèche. Je compris très vite. Elle m’intima de lui faire une feuille de rose tandis qu’elle me suçait à nouveau. Mon sexe apprécia cette caresse buccale et se redressa. Elle modifia une nouvelle fois sa position et décida de planter mon dard au plus profond de son cul. Il pénétra sans difficulté. A nouveau, elle prit les commandes des opérations. Tandis qu’elle montait et descendait le long de ma hampe, j’avais sous les yeux une belle paire de seins, eux aussi piercés, qui dansaient au rythme de son bon plaisir. Au moment où j’allais à nouveau lâcher avcılar escort mon jus, elle se retira et me laissa seul, inonder mon bas ventre, qu’elle prit un malin plaisir à nettoyer de sa langue. Lorsque je fus propre, elle renfila sa blouse, me détacha, se dirigea vers la porte qu’elle déverrouilla et sortit sans prononcer le moindre mot. Je fus cueilli par le sommeil alors que je me demandai ce qu’allait bien pouvoir me réserver la suite de mon séjour. Après une nuit réparatrice, la journée se déroula normalement, au rythme du traitement et des repas, mon infirmière ne réapparaissant pas. C’est au moment du repas du soir, qu’elle revint. Sa première question dès que nous fûmes tous les deux fut de savoir si j’avais apprécié le traitement qu’elle m’avait infligé la nuit précédente. Je n’eus pas besoin de lui répondre. Elle comprit à mon seul regard que cela m’avait plu. Elle sortit en me disant qu’elle comptait bien remettre ça. Je passai la soirée à regarder des vidéos sur mon ordinateur. Au moment d’éteindre ma lumière, la porte s’ouvrit et elle entra. Comme la veille, elle tira le verrou. Ce fut le signal d’une nouvelle nuit de libations. Par chance, à aucun moment, il n’y eut d’appel d’un autre malade. A nouveau, je fus menotté et me retrouvai donc dans l’impossibilité de caresser ce corps de braise. Ne pouvant faire autrement, je réagissais à la moindre de ses sollicitations, qui furent nombreuses. Elle semblait insatiable. Au petit matin, elle me libéra et disparut sans mots dire. Une nouvelle journée passa. A la nuit tombée, elle fit sa réapparition en me disant tout de go qu’elle me réservait une surprise. J’attendai avec impatience et fébrilité. Aux alentours de 23h, elle entra dans la chambre. A son habitude, elle verrouilla la porte et me dit « Ce soir, je ne suis pas de service. Je suis venue tout spécialement pour vous » Effectivement, elle ne portait pas sa blouse mais un tailleur qui affinait sa silhouette. Très vite, je distinguais une forme bizarre. Je n’osais imaginer de quoi il s’agissait bien qu’ayant une certaine idée. Elle commença par effectuer un strip-tease de façon lascive mais savamment étudiée pour m’exciter. La veste atterrit sur mon lit. Vint le tour du chemisier qu’elle dégrafa lentement, dévoilant tour à tour une épaule. Ce dernier rejoignit la veste. Je découvris alors les bretelles d’un soutien-gorge en cuir noir. Avec méticulosité, elle fit descendre la jupe sur ses chevilles. Le reste de son corps m’apparut alors, simplement harnaché dans un serre taille et un porte-jarretelle de cuir, assortis. Des bas coutures y étaient fixés. C’est alors que je découvris qu’elle portait une paire de bottes à hauts talons d’un rouge vif. Mais ce qui me fit frissonner le plus, fut le gode qu’elle portait à la taille et qui dépassait de son tanga. A cet instant, elle ouvrit son sac et en sorti une paire de bas et une perruque blonde. Elle me les jeta au visage. Un instant hésitant, elle me demanda de les mettre en place. Je m’exécutai. En quelques secondes, je devins une poupée soumise à ses désirs pervers. Elle me fit mettre à quatre pattes. Sorti de nulle part, un tube de gel fit son apparition entre ses mains. Elle tartina ma rosette avant que de s’agenouiller derrière moi. Elle présenta le gland du gode à l’entrée de mon cul. Sans effort, elle le fit pénétrer entre mes reins. D’une voix que je ne lui connaissais pas, et tout en me limant, elle me demanda si j’appréciai son traitement. J’eus l’idée saugrenue de lui demander si cela était nécessaire et faisait partie de l’ordonnance qu’avait fait le médecin à mon entrée. Cela la fit beaucoup rire. Toute la nuit durant, elle me pilonna, transformant mon cul en véritable chatte de salope. Je fus pris dans toutes les positions. Au petit matin, je mouillais comme une vraie femelle. Quand dans la journée, le médecin passa pour sa visite de suivi, il me trouva une petite mine et me dit qu’il ne pouvait me laisser sortir avec cette mine de papier mâché. Ce soir là, pas de visite de ma démoniaque infirmière. Mon petit cul put, ainsi, bénéficier d’un répit bienvenu. Le cinquième jour se déroula tranquillement. En fin d’après-midi, mon infirmière fit son apparition et m’annonça tout de go que pour la nuit à venir, elle me réservait quelques surprises. D’un pochon, elle sortit des dvd qu’elle déposa sur ma table de nuit en me disant de les regarder avec attention. Les broîtiers étant neutre, j’attendis d’être seul dans la chambre pour les ouvrir. Comme par hasard, aucune indication sur les disques. Je m’empressai de le charger dans mon lecteur pour découvrir de quoi il était question. Je découvris que c’était des séances de féminisation. J’allais de découverte en découverte. Chaque petit film allant plus loin que le précédent. J’étais tellement subjugué par ce que je voyais sur mon écran, que j’eus du mal à m’interrompre pour şirinevler escort prendre mon diner. Quand l’infirmière chargée des repas vint récupérer mon plateau, j’étais tellement excité que le mat central du chapiteau était bien érigé. Elle fit celle qui n’a rien vu et sortit. Je replongeai dans le visionnage. Dans la soirée, mon infirmière déposa un sac et me demanda de me parer des atours qui s’y trouvaient. Je me levai et découvris une tenue que je n’osai imaginer faite pour moi. La première chose que j’en sortis fut un bustier de dentelle noire. S’en suivit, une petite culotte assortie, un chemisier de satin blanc, une jupe bleue marine, des bas blancs et pour finir une paire d’escarpins avec des talons de dix centimètres. Je ne savais quelle attitude adoptée. C’est à cet instant que ma tourmenteuse fit son entrée. Elle m’aida à me vêtir, mais avant entreprit de me maquiller. Petit à petit, l’homme que j’étais, laissa place à une jeune femme. Comme par hasard, tout cela m’allait parfaitement. Même les talons étaient à ma pointure. Elle acheva ma métamorphose en plaçant sur ma tête une perruque brune coupée au carré. Elle m’accompagna jusqu’au lavabo où je découvris une autre personne. Trouvant son œuvre à son goût, elle me laissa seule en me demandant d’attendre quelques minutes, qu’elle allait venir me chercher. Je m’assis sur le lit et attendis. Elle revint enfin et me dit, je t’attends dans cinq minutes dans la salle de garde des infirmières. Au bout de quelques instants, je me levai, sortai de ma chambre et me dirigeai vers la pièce indiquée, quelque peu intriguée et inquiète. Comme convenu, je frappai à la porte. Sa voix me répondit et j’entrai dans une pièce plongée dans la plus complète obscurité. Elle me prit la main et me guida jusqu’à ce que j’estimai être un fauteuil. Ne bouge pas ! Je l’entendais aller et venir mais sans pouvoir savoir où elle se situait. Elle s’approcha de moi, des bracelets de cuir se refermèrent sur mes poignets et mes chevilles. Ne comprenant pas où elle voulait en venir, j’entendis alors un tintement de chaînes. En quelques instants je me retrouvai prisonnière de ce fauteuil. Elle souleva alors, les cheveux de la perruque et plaça à mon cou, un collier. Un dernier accessoire finit par trouver sa place. Il s’agissait d’un masque aveuglant. Dans mon esprit, mes idées se carambolaient plus folles les unes que les autres. Quand elle estima que la mise en scène était terminée, je l’entendis ouvrir la porte. A partir de cet instant, je devins le jouet de plusieurs personnes, hommes et femmes. Toute la nuit, je fus contrainte de sucer des queues, de manger des chattes et de lécher des culs. Ma bouche et mon cul furent explorés à de nombreuses reprises. A un moment, je fus libérée mais cet instant fut bref. Une voix m’intima de m’agenouiller sur le fauteuil. Ne pouvant faire autrement, j’obtempérai sans discuter. Vint alors le moment de la punition pour je ne sais quelle faute que j’aurais pu commettre. Pour commencer des mains me fessèrent. Je sentais mes globes rougir sous les claques. Dans le même temps, une vague de chaleur irradiait mon corps qui se tendait vers ce tourment. Mon infirmière finit par dire qu’il était temps de passer à des choses plus corsées. Je ne savais plus où j’étais ni depuis combien de temps, cela se passait mais j’y prenais du plaisir. On retira mon chemisier et on remonta ma jupe. Des ongles vinrent titiller mes tétons. Un martinet s’abattit sur mon postérieur qui n’en demandait pas temps. Puis vint la cravache. Tous ces gens savaient se servir de ces instruments. Je n’osai imaginer qu’ils pussent être tous médecins ou infirmiers. Ma nuit de sévices ne s’acheva qu’au petit matin. Mon infirmière me rendit ma liberté, mais trop épuisée, je m’écroulai sur le lit de la chambre de garde. Rapidement, elle vint se coucher à mes côtés et tout en m’embrassant doucement, me félicita pour ma docilité. Nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre. En début d’après-midi, je réintégrai ma chambre. Le médecin arriva peu après et m’annonça qu’il m’autorisait à quitter l’hôpital. Je préparai, mon sac et me dirigeai alors vers l’accueil pour régler les dernières formalités. Sur le parking, une voiture m’attendait, portière ouverte. Je reconnus mon infirmière. Elle m’invita à monter et se proposa pour me ramener chez moi. J’acceptai, non sans un certain à-priori, me demandant si je ne commettais pas une nouvelle erreur. Je fis passer mon sac sur la banquette arrière. Je fermis la portière et elle démarra. Sur le chemin du retour, nous fîmes un détour par chez elle. Elle m’invita à la suivre ce que je fis. Arrivés à son appartement, elle se jeta à mon cou, m’embrassa à pleine bouche et m’entraîna directement vers sa chambre à coucher. La suite, je vous laisse l’imaginer. Tout ce que je peux vous dire, c’est que je ne suis plus jamais rentré chez moi, si ce n’est pour y récupérer quelques affaires.Grâce à ses connaissances dans le milieu médical, je pus obtenir sans trop de difficultés des produits de tous ordres. Petit à petit, je me suis féminisée sous l’effet des hormones.Depuis, j’ai refait ma vie avec elle. Je suis devenue sa petite femme. Nous nous aimons comme au premier jour.

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Devina in troubleDevina’s in trouble.I woke up with a start and leaped out of bed.”Oh god I thought, my Wife is due back tomorrow, and I better clear upthis mess before I go to work today.”The mess was actually quite a lot of womens clothes spread across thebedroom floor. You see I am a cross dresser, in private I loved to dressin Womens clothes, slutty tarty clothes, I loved to be dressed as aslutty whore. But my biggest fetish was to wear Macs and raincoats, allsorts, any kind, but especially PVC Macs.Before I was married I used to dress and occasionally go out dressed asDevina (my girlie name) and had even met a few men. After I had gotmarried I stopped the going out and meeting as it was just toocomplicated, however I do keep some clothes hidden and dress when I can.I just go online and talk to Dom men, I loved the humiliation of beingused and abused by them, even if it was just on-line.Anyway for the past few days my wife had been away on a business trip, soI had taken full advantage of the, “free” time. I had been dressed everynight in high heels, stockings, Basque and knickers, a very short PVCskirt and various Macs. I had also had the time to put on full make-upand wigs too.Last night I was wearing one of my wifes Macs and having a fewconversations with online Masters and a few drinks too. Late at night oneordered me to cum on her Mac and then send him a pic of it. Of course,like a stupid slut I did. He even made me upload the pic onto my profilepage on the web site we were chatting on. I must remember to go anddelete that soon.Anyway I now had to get up, put away and hide all my, “clothes, make-upand wigs; and fold and hang up all my wifes clothes that I had worn andthen of course take her cum stained Mac to be cleaned.I rushed around with my head pounding from the bottle of wine I had drunklast night and tided up the mess as best I could. I then tried to spongethe worst of the cum stains off her Mac, without much success. I wasrunning so late I just had to drop the Mac into a plastic bag and rush tomy local dry cleaners, I ran into the shop and quickly explained that theMac in the bag need an express clean but I was in a rush. I left them mybusiness card and home number and ran out of the shop. They promised tocall when it was ready.The following morning I got a call from the guy who runs the Dry-cleanersto say my express clean was ready to be picked up. I was thankful it wasready before he wife got home later that afternoon. I headed straightround to pick it up.When I arrived in the shop it was busy, the guy at the counter asked meto wait for the boss. At the time I didnt think too much about this. Inabout 5 mins the guy who runs the shop came out of the back office. Hewas a fat balding guy, quite well built but gone to seed for sure. Anywayhe came over to me and said.”Hello Mr Jones could you come through to the office as we have a slightproblem.”I followed him though, wondering what the hell they had done to my WifesMac and how I would explain this to her.I followed down a few corridors and into what was his office. He shut thedoor behind me and asked me to come over to his computer screen. This allseemed very strange.”Why?” I asked.”I have something I need to show you.”I walked behind his desk and nearly fell over in shock. Up on his screenwas a web page, Devinas web page, showing me wearing the Mac covered incum.”What, what is that?” I stammered.”Oh I think you know Devina,” he sneered at me.I regained a bit of composure and replied, “I am sorry, what the hell isthis.””You see David or is it Devina, or both,” he laughed, “you left a pieceof paper in the Mac pocket, you asked us to clean for you. You left theshop so quickly my assistant could not check the pockets before you left.He passed the paper on to me and being the inquistative type I checked itout..”As we shared a computer at home I kept the web address I used, when Iwent on-line as Devina, on a piece of paper which I always kept hidden.Also stupidly I had the password on there for various sites too. Oh God Igroaned inwardly.Still I tried to bluff him out.”That is not me,” I said.”I think it is, look that is exactly the same Mac as this one,” he saidproducing my wife’s Mac from a cupboard, and the stains we had to cleanlook exactly the same as those on that picture. He then brought up manyother pics of me dressed in various Macs.”I also know that is not your wife, I would recognise her as she comesinto the shop and I know she does not dress in such a tarty slutty waylike you have in these pictures.””No,” I replied. “But that still does not mean it is me in those pics.””I think it does David, same Mac, same stains and look at the profile. Asissy, slutty cross dressing TV tart. I think that is you David,” helaughed.”Look he said,” in a much kinder tone, “all I want is a bit of fun, andlooking at your profile on these web sites so do you,” he laughed.I was now very much regretting putting some of the comments on theseprofiles now, however true they may be, about being a sissy slut, lovingto suck real men”s cocks, wanting to be used and humiliated by Dom men.Oh god…”All I want you to do is this, take your, “David,” clothes off and go antput Devinas Mac on, then walk around the room a few times for me.””What if I don’t?” I replied aggressively.”Well, I have you name, address, work place, mobile, home and worknumbers and also your Wifes name, would you like all those added to yourprofiles too? I have the passwords remember, you have no choice Devina,”he said as he handed me the Mac and pointed to a small side room.”You can change in there.”He gave me the Mac. I walked through the door, realising I had no choiceand hope all he wanted was a little fun.I took my clothes off and laid them on a chair in the small room. I thenput on the Mac, mmmm it did feel good and I could not hide my excitement.Oh god how even more embarrassing. I buttoned the Mac up, tied the belt,pushed the collar up and slipped my hands deep into the pockets. It was amid length coat, just above my knees. Cream in colour made from shinnypolyester, so it rustled as I walked. For some reason I checked how Ilooked in the mirror, picked up my mobile phone and slipped it into theMac pocket, took a deep breath and opened the door.I walked out into his room, to a flash of light and an kadıköy escort electric wurr of 3or 4 camera shots.”Walk David walk,” he shouted as he continued to take photos of me.”Please stop taking photos,” I pleaded.He just laughed.”Right,” he said, “Get your sissy cock out, I want to see what made sucha mess on that nice Mac.””What,” I exclaimed.”Do as you are told David.”I undid the belt, unbuttoned the Mac and let it fall open.My cock was very hard and erect.He just laughed and laughed as he fired off another 6 or 7 shots.”I think someone is excited,” he mocked.”Right, enough,” he ordered. Do the Mac up and go and stand in the cornerDavid. I buttoned the Mac up and retied the belt and humiliated I walkedto the corner.In what seemed forever but was probably only 5 mins he ordered me to lookround.He had turned around his desktop computer screen and I could not believewhat was on there. He had uploaded all the pics he had just taken up tomy various Web site profiles. It was obviously me David Jones dressed ina womens Mac, showing my erect cock. Oh Christ how bloody humiliating.All the other pics on my profile did not show my face clearly and I wasalways wearing a wig and lots of make-up too. Oh god, what could I do.Laughing he then should me my profile biography. Were he had revealed myreal name, work place, wifes name, and all my phone numbers.”No no no,” I cried, “you said you wouldnt do that.””Calm down David,” he smiled. “If you do one more thing for me I willremove them all and change your password back too.””What?” I pleaded, “what?””Well to be honest you dressed as David does not really turn me on, so goback into your little room and change into the clothes on the chair andfollow the instructions left for you..”What did he mean? And what choice did I have?”Ok,” I mumbled.”Ok what David?” he snapped.”Ok Master.””Good boy, you are learning.”I walked back into the little side room and yet again was shocked withwhat I found. All my male clothes were gone, replaced by a pair of blackstiletto heels (at least 5in high) a pair of fishnet stockings, a red PVCBasque and a red PVC knickers. Also on the chair was an auburn wig, in abob style, very similar to the one I wore in the web site pics, somebreast forms and lots of make-up. Attached to the mirror were theinstructions.You have 30mins Devina/David. Shave your legs and body, put on theclothes including your Mac if you wish, apply the make-up and wig andreturn to Masters office. Knock on the door and wait. Any more than30mins and the pictures will remain on that web site forever.Oh god I mumbled what a mess I was in. It was only then I realised thatthe room had another door, obviously how the clothes got into the room.Could I escape? The door was probably locked, if not somebody outside, Ihad no mens clothes anyway and he still had all the pics, oh god I willhave to do as he says and hope I can get out before my wife returns.I shaved, got dressed, slipped in the breast forms (they were a largesize) applied the make-up (in my usual style – lots of it and very tarty,luckily I was in practice) and then the wig, put on the shoes and thenthe Mac. I looked in the mirror, god I looked like a slut and that got meall excited again. I had 2 mins left. I buttoned and belted the Mac up,took a deep breath and knocked on Masters door.”Enter Devina,” he called.I stepped out to another barrage of light and camera noise. Many morephotos were taken.”Right Devina,” he ordered, “walk around the office on your heels, undothe Mac, hands in pockets, smile, pout,,” these instructions went on forages as he took what seemed like 100″s of photo”s of me.”Corner again please you little slut,” he ordered, “and hands out ofpockets Devina.”I stood with my hands behind my back, humiliated and wondering what wouldhappen next. Hopefully he would soon let me go.I sensed someone walking up behind me. Suddenly both my arms were held ina vice like grip and I felt the cold steel of handcuffs lock around eacharm.”Oh no, what now,” I cried. I felt a slap across my legs.”Do not speak until you are spoken to slut,” said a deeper voice that Idid not recognise.Next I felt the collar being attached around my neck, and being locked inplace.Then a pair of big rough hands entered the pockets of my Mac. My mobilephone was taken out.”Here it is boss,” replied the rough man.”Well done Steve,” Master said.I was then pushed by this man into the middle of the room. He undid mybelt and then the buttons on my Mac to reveal me dressed in just myBasque, stockings, knickers, high heels (and my Mac). Another round ofphotos followed.Then he pushed me to my knees.”Oh god no,” I cried.I felt a slap across my face, then another.”Shut up you sissy faggot,” Steve ordered.He then moved round in front of me and stood within centimetres of me andunbuttoned his fly.His huge hard cock escaped from his trousers and slapped me round theface.”Beg for it whore,” he demanded.I said nothing, and immediately got 3 more slaps.”Beg whore.””Please my I have you cock Sir,” I mumbled.He slapped me again.”Louder and sound as if you mean it, cos we all know that a sissy faggotwhore like you love to have real mans cock.”I could hear Master laughing in the background.Just as I started to speak I saw the video camera had started to shot…Oh god no.”Please can I suck you lovely big hard cock,” I asked, totallyhumiliated.Only if you tell me what you are and your real name,” he replied.Taking my lead from what he had called me earlier I replied, “My name isDavid Jones, I am a sissy faggot whore who loves to suck real mens cocksSir.””Good,” he laughed.And then forced his huge cock deep into my mouth. I nearly gagged a fewtimes but he did not stop.Finally I got into a rhythm, and my red painted lips moved around hishuge shaft and started to make their way up and down his massive rockhard cock.Finally he grabbed my head in his massive hands and started to move myhead faster and faster up and down his shaft. Moaning and moaning as hedid this, I sensed he was enjoying it. Finally after much savage facefucking his legs started to tense and I knew what was coming next.”Oh yes you sissy faggot oh yes, I am going to cum all over you littleslut.”He then shot 2 or 3 loads into my mouth, quickly removed his hugethrobbing dick and üsküdar escort sprayed another load or 2 onto my face.”Swallow it all you slut,” he ordered. I could feel the hot salty cumdrip down my throat and the cum on my face started to drip onto my Mac.Finally I managed to swallow all the cum be had deposited in my mouth, hethen shoved his now flaccid cock back into my mouth with the instruction.”Clean it all whore,” I did as I was told. He then fed me the rest of thecum from my face. I was exhausted. They left me kneeling on the floorwith my hands still cuffed behind my back as both men went over to thecomputer screen and the cameras.”Oh god what are they doing know?” I wondered.”Master, please let me go know, you have had your fun with me,” Ipleaded.The both turned and laughed.”But Master my wife is due home soon,” I begged.At this last plea, Steve walked over to me and slapped my face. He theninserted a huge red ball gag into my mouth.”Shut up slut, we are working.”After a while, the men turned round to me.Right Devina, a little bit more fun then we will be finished with you,”Master told me.Thank God I thought.I looked up to notice the desk top was now clear. Steve walked toward me,slipped a dog lead out of his pocket and attached it to my collar; hethen yanked me up to my feet and pulled my PVC knickers down. He put themin my Mac pocket as he dragged me over to the desk, where he pushed medown onto the desk top.I was gagged, collared, hands cuffed behind my back and in real trouble.We walked in front of the table I was laying on and showed me a 4 footlong leg spreader; he was totally enjoying my fear and humiliation.”Do you know what we are going to do with this?” he asked.I shook my head as best I could.He laughed, “Oh I bet you do you little sissy slag.””You are going to have you legs spread apart, so you are totally helplessand then various men are going to fuck you senseless you little whore,”he continued.”We have read you web profiles and we know it is what you want so donttry to pretend it isnt,” he continued.I tried to shake my head rapidly side to side, pleading with them not todo this to me.I then felt one leg then the other being locked into the spreader and wasnow totally, totally helpless. Oh what a mess I was in.Master was now behind me. He slid his fingers inside my sissy clitt andannounced that he was, “lubricating my sissy fanny.”He then walked in front of me, wearing no clothes, just a leather maskand a huge erect cock… “Oh my god,” I mumbled through my gag.”As you can imagine my sissy whore, we are recording this for posterity,maybe to post on u-tube or various web sites or to send to your wife,” helaughed.”Oh also I have invited my many on-line friends to watch via the web camover there, so enjoy,” he exclaimed.Standing back behind me he then announced, “Welcome to my little webcast, today I have the pleasure of using and abusing a little tranny slutcalled Devina. Actually her real name is David Jones but she wont wantyou to know that,” he laughed.I was totally shocked, could not believe he could be so cruel andhumiliating.”Anyway on her web profiles she tells us that she love to be used, abusedand humiliated by real men, well today her dream is coming true,” hefinished the introduction…”Relax sissy whore or this will hurt. The first time is always thehardest,” he laughed as he forced his huge hard cock inside me, deep intomy sissy clit. I was in tears; it felt like my little sissy clit wasbeing torn in two as he started to thrust himself back and forth insideme.But he didnt stop. He continued to pump deep into my sissy clit. I wasmoaning and and screaming in pain into the ball gag, but no one elsecould hear or even less care. I was begging him to stop, but he stillcontinued. The pain became so great I thought I would pass out. He stillcontinued to pump me deep into my sissy clit.He continued for what seemed like hours but was probably not; Masterfucking my sissy clit. Finally however I realised I was thrusting myselfback into him and moaning with pleasure not pain.”Thats it you whore, join in and fuck me. My you are a quick learner,” heshouted as I could fell his balls bashing against my Mac.”Look,” he shouted, “the little whore loves it.” I was moaning for more.I couldnt believe what had happening to me.Almost on queue I felt a sudden jerkiness in Masters movements followedby a sudden explosion and then a hot stream on cum shooting up my sissyclit. He kept going for another 5 mins though until he had exhausted allhis sack of cum.”Wow that should be a big hit in cyber world,” he laughed.I was left exhausted on the table, the cum starting to slip down my legsand into my stockings.Master came round to the front of the table, removed my ball gag andforced his cum stained cock into my mouth with the instructions, “Cleanit whore.”I did as I was told. When it was clean he replaced the ball gag.Both Steve and Master left the room, and I was left with cum slowlytrickling down my stockinged legs.I was exhausted and very uncomfortable, cuffed, gagged and legs spreadapart. I was desperate for them to come back and release me from thishell as they had promised. My wife was due back in only a few hours.Finally they returned to room. Master spoke to me, “In future you willrefer to me as Master David and Steve over here as Master Steve. Is thatunderstood?”In future I was thinking.”Well slut?”I nodded.”Now you little sissy faggot, it is my turn to have you,” sneered MasterSteve.He didnt even bother with the lube; he just forced his hard cock deepinto my sissy clit and started to pound away at my already sore andabused sissy hole.As he started to take me, I started to join in with him too, I could notexplain why; just what seemed natural to me.As he continued to fuck my sissy hole Master David started to speak.”Now Devina, you have made such a good little sissy whore, and the webpictures and webcast have got such a good response we have had a smallchange of plan.”I looked up in horror… Master Steve kept pumping away at my sissy clit.Master David opened his laptop and showed me a web site called DevinaSlut. On here appeared to be all the pictures they had taken of me, thevideo of me being fucked and of course all the personal information theyhad got from me.I tuzla escort had now stopped fucking Master Steve, although he was still poundingaway deep into my Sissy Clit. Suddenly I could feel his legs tense, hisarms pulling in my Mac to force his hard cock deeper into my sissy hole.Then again the explosion of cum into my sissy hole, wave after wave, toomuch to stay in there, so as he withdrew his cock more and more cumstarted to drip down my leg.”You are such a sissy slut,” Master Steve exclaimed.”Now Devina, back to you new life,” chucked Master David, “but beforethat we need to finish you old life as David Jones don”t we.”I was shaking my head, screaming, “No No No,” into the firmly placed ballgag.”I have here your phone, I have set it up to send a message to everybodyin your address book,” he laughed.It read – Hello friends, just to tell you that I am no longer DavidJones, secret cross dresser, but I am now Devina John, slut, tart andwhore, who belongs to Master David. If you wish to keep up with my newlife please go to www.devinaslut.co.uk.I had tears pouring out of my eyes; I was trying everything to escape allthe shackles I was in, but to no avail.”Let me send this message to all,” laughed Master David. I watched himpress the button, and the message start to be sent to everybody I used toknow, oh my god, I was in tears and complete shock as my life lay inruins.”We will leave you for a while so you can get used to your new lifeDevina,” he called as they left the room. “Enjoy your web site.”They left the video running…I while later the door opened and into the room came Master David.”Now I hope you have come to understand your new life, you will work forme here in the laundry during the day, and work as a whore for me in theevenings. We will also be making lots more of Devina”s adventures on toDVDs and videos. So you see my little Sissy Slut who will have what youasked for on all the web room profiles you wrote,” he told me.He took out my ball gag.”What do you say slut?” he asked.”You complete bastard,” I spat at him.He took his belt off and whipped my ass over 10 times.”Every time you cross me you will be punished and the punishments willonly get worse you tart, now what do you say,” he asked again.”Thank you Master,” I mumbled.Sorry cant hear you,” he shouted, and then whipped me again, this timeover 20 times. The agony and pain was unbelievable.”Again slut, what do you say?””Thank you master,” I replied.”Better,” he said.He left the room, to be replaced by 6 very large men and Master Steve.”Hello whore,” he said, “we promised a few friends they could fuck asissy faggot today.””Enjoy boys,” he laughed as he left the room, after setting the video andweb cam running.I was still lying on the table, wearing my basque, stockings, high heelsand my Mac. My arms were cuffed behind my back and my legs kept spread bythe leg spreader.One of the men moved in front of me and took his now hard cock out of hisjeans and forced it into my mouth.”Suck that whore,” he ordered as the others cheered.Then while I was sucking on his hard cock another went behind me handforced his cock into my now very sore sissy clit.I was used and abused for hours, each of them fucking my sissy hole anddepositing loads of cum, they each had their cocks sucked too, until theyhas all forced cum down my throat and all over my face. Finally they allstood over me and wanked over me until they all came over my Mac.They all cheered again and left me alone. I was such a state, covered incum from head to toe, cum all over my Mac, and my whole body aching andso very sore.Master David and Master Steve reappeared. I got another 5 lashes fromMaster David, “we only cleaned that Mac yesterday you filthy tart,” helaughed.My legs were released, my hands uncuffed. I was forced to my feet. Mybody was so sore from all the abuse that I collapsed onto the floor.”Get up you whore, you will need to get used to this,” he ordered.I just about got to my feet.”Take that Mac off, it will need cleaning again,” shouted Master David. Islipped it off.”Put it on the floor and lick it clean,” he ordered.I got to my knees and started to lick up all the cum that was on the Mac.Both men laughed as they took more photos of me.”Stop,” Master David ordered.Master Steve walked behind me and recuffed my hands behind my back.”Now get on with it you tart,” he said.Master Steve put his large foot onto my head and forced it down into allthe cum that was floating on my Mac, “Get licking whore,” he laughed.Again many photos were taken.After half an hour of licking cum off my Mac I was ordered to my feet andun-cuffed.”Right Devina you have 10 minute, go and have a shower.”I stumbled out of the room, into the small side room where I wasdirected. I spotted a small shower cubicle in the corner. I had 10 minsof quite hot water trying to relax my body and try to understand mypredicament.”Out you get slut,” ordered Master Steve.I got out and dried and stood before him naked.Firstly he grabbed my cock and put it into a tube and then locked it.”You won”t be needing that again,” he laughed, as I realised he had justlocked me into a chastity device.Before I could think, he had placed some sticky liquid around my breastsand then forced the extra large breast forms onto them.”That should hold then in place,” he chuckled.Then he did the same with the Wig.I now had an auburn Wig attached to my head, which could not be removed,large breasts and my cock in a chastity belt. After all that hadhappened, nothing seemed to surprise me anymore.Put on that underwear and your make-up he ordered.He had left a pair of red high heels, black seemed stockings, black PVCknickers and a black /burgundy PVC Basque. I put all these on then re-applied my make-up.He walked back into the room caring a white uniform., “This is what thegirls wear in the laundry,” he said as he threw me the white uniform.It was a short white uniform with button down the front, two sidepockets. He also gave me a thick red PVC belt wear around it.The uniform was at least one size too small for me, and had the top 2buttons removed, so I was wearing a short white uniform which nearlycovered my stocking tops, with a thick red PVC belt and my new breastforms on show as the top buttons were missing.”Hurry up you faggot,” called Master Steve, “you need to go to work inthe laundry, this Mac needs cleaning before tonight, otherwise you willget very cold walking those streets,” he laughed as he threw my cumstained Mac at me.I looked in the mirror; I really did look a complete slutty tart, mindyou after today I guess that was what I was now…

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brother and sister get wastedThis is a work of fiction. It contains intimate relations between a adolescent brother and sister. If this offends you turn away now.Hi my name is Josh. Im 17 and live with my mom and sister. Im about 5’6″ red hair athletic chest and a 6 1/2″ dick. My moms name is Ashley. Shes 37 5’3″ dark red hair and 36 DD breasts. My sisters name is Amy. Shes 15 4’11” black hair (dyed) and 34AA breasts.This all started on a nice spring night in April around 6. I was at home playing Call of Duty. Mom was out with her friends and Amy was on a date with her boyfriend Travis. I decided to take a break and make myself a rum and coke. Mom didnt care if we drank just as long as we dont get messed up. As I walk back into the living room Amy busts in the door tears streaming down her face.”Hey, hey , whats wrong?” I ask concerned.”Travis broke up with me.” She said through sobs.”Do I need to go kick has ass?” I said”No, I dont want him hurt, if you kick his ass he wont take me back.” She said”Well I cant say he will take you back but I can go talk to him.” I said holding back my rage.”Really? You would do that for me?” She asked”Sure, where is he?” I ask.”He should be at the skatepark” She said wiping tears from her eyes.”Alright be back soon.” I said grabbing my keys.As I drive to the skatepark I talk to myself about how im gonna talk to him. I dont know him all him all that well. When I pulled up I saw him sitting in a bench making out with a girl in my class. Im doing my best not to jump out of the car and go beat his ass to a pulp. As I regain mental strength I notice my door opening and quickly close it. I start up the engine and drive home. As I walk in the door Amy jumps up off the couch.”So what did he say?” She asked.”I hate to tell you this but bakırköy escort when I pulled up to the skatepark he was making out with another girl. Im sorry.” I saidI saw all the hope drain out of her face and her eyes start to water. She put her face in her hands and ran to her room and slammed the door. I walk in her room and sit next to her.”He…. said….. he….. loved…… me.” She said crying.”I know, and Im sorry this happened.” I said rubbing her back trying to calm her down.”Whats wrong with me?” She asked”Amy nothing is wrong with you. He doesnt know what he just lost, your a great girl and a awsome sister.” I said kissing her on the back of her head.”C’mon I’ll make you a drink.”As we go into the kitchen I grab two glasses, ice and a shaker. I was making my own recipie called a Fucked Up MotherFucker. Its a 1/2 oz of 151 rum 1/2 oz of vodka 1oz of triple sec 1/2 oz of scotch a splash of everclear and coke.”Mom doesnt want us wasted.” Amy said still crying.”I called mom she wont be home till noon tomorrow.” I said”Alright.” She said calming down a bit.”Now be careful its strong.” I said.As we drink she calms down. We sit on the couch still sipping our drinks and waching tv.”Do you think I’ll ever find someone?” Amy asked.”Of course s*s, you’re a great, beautiful girl and anyone will be lucky to have you in there life.” I reply.”Thanks Josh, I love you.” She said.”I love you too Amy.” I said.”I think Im getting pretty drunk.” She said.”Yeah you probably are, you hardly drink.” I reply.As we watch tv I flip through the channels and come across a live Avenged SevenFold concert in the middle of the song Bat Country. Im not a huge A7X (shorter name) fan but Amy is.”Oh I love this song.” She starts singing along. “Mental beşiktaş escort fiction follow me, show me what its like to be set free.””Can we see what else is on?” I asked.”Yeah I’ve seen this before.”She said.”Damn Im getting fucked up.” I said.”Yeah me too, lets look up some fucked up shit online.”She said”I guess we can do that. You ever see a dog fuck a chick?” I ask”Thats a little much I was thinking normal porn or something.” She said”Thats not fucked up.” I said.”It is cause were related.” She said.”Um yeah I guess.” I said as we stumble to the computer.I turn on the computer and go to my favorite site xnxx.com (lol).”What do you wanna look up?” I asked”I dont know, how about some lesbian stuff.” She said”Alright.” I said.We browse through a few pages untill I just clicked one. It was a video of twin sister using a double dildo. About half way through the video the sister on the left starts screaming “Im cumming” and her cum sprayed all over her sister.”Holy shit. I never came that hard.” She said”So you’re not a virgin?” I asked.”Hell no. I lost it last year at Sams house.” She said”Sams?””Yeah, Sam and me were cleaning out her garage and found a 5 inch rubber dildo. We started laughing and all of the sudden we were making out. And one thing led to another and we started feeling eachother up and then started stripping. And we ended up fucking eachother.” She said”Wow! I had no idea my sister was into chicks.” I said”Well Im really not but it was amazing.” She said.”Well everyones into something, what are you into?” I asked”Well if Im watching porn I watch lesbian or orgy videos.” She saidAs we talked about what turns us on I started to get hard.”Huh looks like you got something going on down there.” Amy said”Well it happens beylikdüzü escort when you watch porn with a hot girl” I said”Even if the hot girl is your sister?” She replied.”I really dont care.”I said as I pulled her in and kissed her right on the lips.As I broke the kiss she kissed me back and I felt her tongue enter my mouth. I then felt a hand on my throbbing cock and I gave out a low moan. As our kiss continued I put my hand down her pants and felt her wetness through her panties and she let out a load moan.”Wow s*s your so wet.” I said”Your so hard, I want you NOW” She said her eyes filled with lust.”I dont know Amy.” I said.”Please Josh, I need this.” She pleaded.”Amy I think you’re too wasted you dont know what your saying.” I said”I know what I want, and I want you NOW!!” She said pulling off my pants.As my pants fell my cock sprang up and stood at attention. Then I felt Amys mouth engulf my dick. The warmth and wetness were too much and I didnt last 30 seconds. As I came in her mouth she swallowed it all and kept sucking. I dont know why I came so quick but I was still harder than a diamond in a ice storm.”Oh fuck s*s that feels so good.” I said”Lets go to my room.” She said.”Alright.” I said walking to her room with my pants off.When we got into her room she stripped off her clothes and layed on her bed with her legs spread and rubbing her pussy.”Fuck me big b*o!!” She begged.With the alcohol fogging my judgement I walked up and put my cock in her pussy. As I felt her wetness glide over my dick she let out a long moan. I started to fuck her gently not wanting it to end.”Oh fuck s*s your so tight.” I said picking up speed.”Yes, fuck me fuck me, fuck Im CUMMING.” She yelled as she squirted all over my cock and the bed.”Oh fuck, its too tight Im gonna cum. AHHHHHHHH”I yelled as I shot 4 shots of cum deep into her pussy.”Fuck I can feel you filling me up Im cumming again.” She yelled.I felt her pussy clamp down on my dick and we both pass out in orgasmic bliss.That’s it for now. Please leave a comment and tell me how you feel about this story.

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The Slave and the Sissy Part OneShe had always been very rough with him, the big woman, but this morning was exceptional, and different. She had come home late from her usual soiree with other local mistresses and had whipped him mercilessly for no apparent reason; she had woken him during the early hours several times, tormented him and had her arse licked while she applied her dildo or had him lick her till she grunted out yet another orgasm, before serving him with cane or whip. Now morning was here she face sat him; her huge and sweaty arse engulfing his face; why was she so insatiable? He could not remember the last time she had wanted it first thing, and she had kept his cock caged all night. The smell of her huge arse and moist pussy drove him mad; he so wanted to come. The sweaty bed linen made his arse sting where she had applied cane and whip, adding to the eroticism of his submissive nature. At last she groaned in ecstasy; he awaited another caning, but she simply applied his leash and dragged him, naked to the door.Being walked naked through the sun-baked streets on a leash was nothing new to him- he had suffered this humiliation many times- but he was usually told where he was going, and this as all so abrupt. The big woman was also very stern this morning, whipping him at every opportunity, should he stumble or not move fast enough. Where was he being taken? He could only surmise as he was whipped through the familiar whitewashed kocaeli escort streets and squares of the old town in the blazing morning sunshine. His cock bulged with anticipation, as the palatial marble fortress home of Madam Ella came into sight; the big woman whipped him for good measure when she noted his realisation of his destination, making bystanders push themselves flat against nearby walls, lest they should taste the whip by accident. He love to service mistress Ella; she was one of the mistress’s he had been farmed out to on prior occasions, but he was usually made quite aware of a booking, and he was sure he was due to be with an African goddess of a dominatrix in a couple of days hence.Ella was an exquisite and very rich dominatrix, who owned quite a large slavery empire. The massive marble building held many complexes and courtyards, harem girls and slaves were trained, marketed and sold by her. He knew he would never be sold to her by the big woman, as his bookings were a great source of income to her, so why was he being brought here and why was she being so mean? As the lash bit into his back once more, sending the beads of sweat into a spray, he was brought back from his dreaming as they entered the huge building. Two huge eunuchs escorted the pair through two courtyards, and he looked up as they passed through the second, to where he had been taken before. There he saw the beautiful Ella peering down with a wicked smile from kocaeli escort bayan her luxurious quarters above, as the two approached the stairs which would take them to her. The glorious Ella had descended one flight to meet us, as was her want. My cock bulged and yearned for release as she led the way back up to her lair, careful to allow me a full view of her beautifully sumptuous arse, thighs and long legs; clad in tight black silky leggings and golden heeled slippers, short whip in hand, her feminine scent making my cock ache as it swelled to bursting in the cruel cage.I was made to kneel in a corner, prompted by a final lash from the big woman. Ella sneered wickedly at me; I loved being on my knees to her, and hoped I’d be allowed to please that arse with my tongue. The fat woman spoke to her.“It’s a deal then; you’ll cancel the entire debt? I take it you’ll honour the appointments made?” Ella moved elegantly toward me smiling contentedly, with a collar in her hand as the big woman spoke, before replying.“Oh yes, and you shall have the income from his bookings for the next year, so that you may find a replacement. Poker can be such a cruel game!” I gulped in disbelief as Ella stepped right up to me, toying with my hair as she allowed me to sniff at her womanhood; the distinct scent of her arousal was all too apparent, my manhood dribbling pre-cum in its confinement. I had been won at cards!Ella removed my worn and beaten collar; she izmit escort buckled the new one about my neck, pulling it tight. I was hers now. The big woman thanked her for her generosity and tossed the key to my cage to Ella, then walked out without giving me a further glance. Ella looked down at me, let me take in the divine scent of her pussy, then turned and bent over slightly, pushing her delicious rounded cheeks into my face.“You have a nice sniff of your new mistress. Would you like to taste her too?” I was in heaven as she giggled and wiggled her sweet bottom in my face, the tart tang of her hot anus blending sweetly with the perfume of her aroused womanhood.“Yes Mistress!” I blurted out as my nose slipped into the silk clad cleft of her buttocks. She walked slowly away leaving me on my knees, toward a huge bed with four marble pillars; it seemed to take her an eternity to get there, allowing me a view of each sway of her beautiful arse. She turned and cracked the air with her short whip in typically dominant fashion, making my cock pulse. Smiling at me, she pulled the cord which held her leggings; they dropped to the floor revealing her sumptuous thighs and shaven pussy. She then sat slowly on the end of the bed, drew her legs slowly up, and displayed her most inviting anus and pussy. My heart pounded as she smiled at me from between her graceful legs, teasing me with the view for what seemed a further eternity.“Come here and serve your new Mistress!” I had never heard such a welcome command; I did not know it yet, but this was to be the first ecstasy of many I would experience in my new life. I hurried to my mistress and knelt with my head between her legs…

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high school innocencethis short story is not based on factual situations… or is it,let your imagination run riot ;]first day in his new high school, paul always the dopey and slow-witted fits into his oversised new uniform and trudges into the entrance hall to sign in. looking around he notices the multitude of hot guys but is too shy to bother with all that yet. paul looks around for his friend he met him on the open evening they seemed to get on great he promised to meet up with him on his first day. so at break paul heads to the machines buys a twix and sits down in the common room, in the corner like always shy and introverted. Finally he sees luke looking sexy just like on open day his 16 year old body more athletic then your average guy of his age. his blonde messy hair always seeming to fall in front of tuzla escort his face covering his sky blue eyes. pauls heart started to race and he felt his innocent untouched cock stiffy and start to get all sticky. he covers his hard on with his school bag saying hi to luke. luke sits next to the shy young guy and starts to speak.so you made it eh whats with the blushing anyone would think you want to feed me some of that ” chocolate”. ummm no i was just waiting for you in here and well its warm so im ju…luke stops him with a cheeky grin maybe i wanna suck some caramel outta your twix;] with a cheeky wink he moves closed to paul and taking half of the twix slowly inserts it between his pink lips sucking off the chocolate and staring into pauls eyes. All this time paul never notices the common room has emptied pendik escort as the students have gone to class. He panicks oh shit i gotta get to class we are late luke.as he goes to stand up luke pushes him back down walks to the door and locks it. walking towards paul quivering and blushing red just manages to utter a meek” what are you doing ” with that luke presses his soft wet lips against paul sticking his tounge deep into his mouth his tounge exploring ever inch of the inside of this innocent shy boys mouth. luke removing his tounge says i better welcome you properly with that he undoes pauls belt and reveals his fat swollen uncut cock dripping wet the scent of his pre cum filling lukes nose he starts to suck on pauls pink slick mushroom head harder filling his mouth more and more inch by inch aydınlı escort his mouth filled with this innocent boys cock the slurping sound of his mouth moving with his head bobbing up and down. not to mention the moans of this previously untouched teen. suddenly paul blurts out luke stop im going to cum, as he says this luke not removing the cock starts to suck harder all the while staring up into pauls shy eyes until he feels jets of salty thick spunk hitting the back of his throat and sliding down he swallows it all licking his lips and cleaning pauls cock with his tounge. as paul goes to say something luke presses a finger against his friends lip saying, we are not done yet my friend i promise youll love this next part afterall i gotta break you in properly. just pull your pants down more and bend over it wont hurt a bit ;]this is my first attempt i wasnt satisfied with it but try to go easy with me lol if you enjoyed this in any way or would be interested in the second part please let me know or if you have any CONSTRUCTIVE advice :]

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Aunt ChristineI was coming home in the summer of 1958 from a night out with my buddies. I was 16 and horny as a toad! I was a virgin and had a constant hard on. My parents were on vacation and my Aunt Christine was staying at the house to make sure that I didn’t get into trouble. She was a surprising choice because she supposedly had a checkered past. She liked her booze and her men. We lived in a duplex so we always used the back door. As I walked past the living room window, movement caught my eye. I stopped, looked through the window, and saw people wrestling on the couch. After a closer look, it wasn’t people and they weren’t wrestling. It was my Aunt and a man. My Aunt Christine was laying on the couch in a bra and half slip, while a man was on top of her with his head between her legs. I focused in and saw it was Stanley, an usher in the movies and he was performing oral sex bursa escort on my Aunt. His limp cock was in his hand and my Aunt had a look of frustration on her face. A closer look gave me a good shot of her hairy pussy. She also had big tits. My cock went to instant boner. Apparently, they had been drinking and Stanley couldn’t get it up. I decided i would go inside, play dumb, and maybe get a better look at my Aunt’s cunt. I used my house key to open the back door and tiptoed in the kitchen. I peeked through the door and saw that no fucking was going on. I then decided to take a chance and entered the room. Both my aunt and Stanley jumped up off the couch and looked at me very suprisingly. I saw that Stanley had a big dick, but it was as soft as putty. My aunt covered her pussy and I saw nothing which pissed me off! I said that i was sorry that i interupted and headed upstairs bursa escort bayan for my bedroom. After about 10 minutes, I heard Stanley say goodbye and heard the front door close and my aunt locking it. I then decide to go downstairs and see if i could fuck auntie. Hell, she was frustrated and probably drunk. My hard 10 incher might make her forget about the i****t. I stripped to my boxer shorts and went downstairs. My aunt was sitting on the couch, smoking a cigarette and drinking some Seagram Seven. She looked at me and asked how I was doing? Her eyes stared at my now erect prick, pushing thru the boxers. I said i was fine and could I have a drink. I couldn’t take my eyes off her body. Her breasts pushed at the bra and the half slip rose to her thighs. She poured me a drink and brushed my cock when she handed it to me. You have some package there she said. I thanked escort bursa her and told her how good she looked. I meant it, too. We chugged our drinks and I poured her another. This time, I brushed her tit when I gave it to her. She smiled at the cheap feel so I proceeded to take my shorts off. My cock was so big and hard it could cut through glass! She smiled and asked if she could have a taste? I said yes and she started to suck my cock. I started to play with her boobs and she reached back and unhooked the bra, exposing her beautiful huge tits. I sat down next to her and while she blew me I played with her pussy under the half slip. She was very wet and moaned as I fingerd her deeper and deeper. Then she stod up and removed the slip and said she wanted my hard cock in her wet cunt. She laid on her back and spread her legs showing her clit and juicy pussy lips. I kissed her bush and then buried my cock in her cunt. I fucked her hard and deep. I came, shot a load, and continued to fuck. You can do that when you’re 16. We fucked all night but thats another story. Aunt Christine became my favorite aunt that night.

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Beautiful BBW Black Woman In Need of a Powerful WeBeautiful BBW Black Woman In Need of a Powerful Well-Endowed Lover!Yes I said it. I want him BIG, POWERFUL, WELL-ENDOWED and with enough stamina to pile drive me from one end of the country to the other! If I am giving a man my pussy then he better cherish the gift and treat it well. In my opinion, good treatment is a soaking wet pussy dried up from over-use and exhaustion! And my legs should have a noticeable limp afterwards!I am sorry for you men who can’t deliver like I need you to and I need you to be honest with yourself and not contact me wasting my time with little, limp dicks!You see I am a woman with a lot to offer and I need and want to feel a man’s weight on my bursa escort body. The immense pleasure I get from him pounding me. The slight pain I can feel from his size. My body is in sex starvation mode and it needs and want to enjoy some good sex from a confident and proud stallion of a lover! I want to have it slow, fast, light and intense. I want to be on my knees with my ass way up the air presenting my gift to him. Then I want to ride him like the true stallion he is letting my hips shimmy and rotate and buck back and forth and slam up and down feeling him in the greatest depths I can feel him. I want him behind me on our sides holding my leg up high so he can use my pussy. I want to feel him with all his mighty hardness bursa escort bayan playing the poking game trying to sneak it in. Hell yeah I want him on top pile driving me. I want any and all positions we can manage to twist ourselves into for the sake of feeling that cock inside. I should always tremble at the sight and feel of his cock.I like it in the ass too. I like feeling that cock gently pushing in to open me up. The small movements helping me to relax and then when I am open and juicy he can fuck my ass hard. Will I suck your dick? Oh yes! I will tongue dance all over that cock! Sucking it, blowing it, stroking it and oh yes I will swallow those balls whole until I can’t breath because I want that cock to feel escort bursa pleasure. That little whole, I will let my tongue drive in deep to lick and tease it and suck that damn sperm right out like it will save my dying life.So guys if you think this sounds so good! You want to tame a big black and beautiful woman with a hot and hungry pussy, come to me. Slap me on my ass and make me call you daddy! Teach me how to serve your cock so you leave with empty balls and a cock that will tingle for days from pleasure. Write me if you think you have what it takes!She dared to place such a bold ad in hopes of meeting the right kind of guys to quench her thirst. She meant what she wrote. She didn’t want shy, limp dick, small men! She didn’t want to waste time. She was going for a sexual thrill, a sexual adventure. We can only wonder how many guys liked what they read, liked what they say and had the balls to deliver what she needed. We will see!

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Ma tante Mado, Aliou et moi.A la fac j’avais un copain originaire d’Afrique. Un beau grand garçon à la peau ébène. Aliou, 20 ans, originaire du Sénégal qui faisait ses études en France. Nous étions très complices, au point d’avoir des « copines » mutuelles…J’avais invité Aliou, pour un week-end chez ma tante Mado, ma tante bien aimée… Aliou était au courant de mes relations avec Mado, car je ne pouvais rien cacher à un ami… Mes récits avec Mado l’avaient « émoustillé ». De son coté Mado était curieuse et impatiente de connaitre mon ami noir. Donc ce samedi là, assis avec Aliou dans le canapé, nous attendions ma chère tante.- Hello les garçons !!! Entendîmes nous soudain et Tantine fit son apparition au salon, juchée sur des escarpins à haut talons, ses jambes gainées d’un voile blanc à résilles, avec couture, une courte jupe, un chemisier de soie laissant apparaître un décolleté pigeonnant, dissimulant à grand peine ses gros nibards.J’observais Aliou dont le regard ne semblait pas pouvoir se détourner de la femme qui se tenait devant, sûre de sa féminité, et de la séduction torride qui émanait de sa personne, campée devant deux jeunes, un sourire aux lèvres, que nous interprétâmes comme une invitation.- Bonsoir, tu es Aliou, je présume ? poursuivit Tantine.- Euh oui, Madame…- Yves m’a dit que tu étais un petit polisson ?Aliou me jeta un coup d’œil et benoîtement, je lui souris.- Alors, je vous plais les garçons ? demanda Tantine en s’asseyant sur le fauteuil en face du canapé où nous étions.La coquine prit soin de nous gratifier d’un gracieux mouvement de ses jambes dont le résultat nous permis d’observer qu’elle portait des bas soutenus par des jarretelles.- Yves, tu nous sers l’apéro ?- Bien sur, Tantine… Mais sans alcool pour Aliou, il est musulman.-Ok ok.Elle caressait doucement sa cuisse faisant crisser ses bas. Nous trinquâmes à notre rencontre et Tantine, une fois son verre reposé, entra dans le vif du sujet sans autres tergiversations.Cette entrée en matière consistait à croiser et décroiser les cuisses le plus lentement anadolu yakası escort possibles en nous regardant par dessous, avec son petit sourire enjôleur qui en disait long sur ses intentions libertines.- Alors, les garçons, le spectacle vous plait ? La gorge nouée par l’émotion, et l’excitation croissante, nous nous contentions de hocher la tête, les yeux exorbités devant ces jeux de jambes de plus en plus impudiques, puisque maintenant sa jupe était remontée et que pouvions admirer les cuisses striées par les jarretelles.- Dites, je vous fais bander au moins ?- Euh oui répondit Aliou…Pour ma part, j’opinais vigoureusement du chef en continuant de mater Tantine dans son exhibition laquelle maintenant passait sa main entre ses cuisses par dessus la fine culotte.- Alors ? Relança Tantine…- Euh quoi ?- Eh bien qu’attendez-vous ? Montrez moi comme vous bandez.. Sortez vos queues, les garçons…Fascinés par la dimension érotique de la situation, nous entreprîmes de concert de défaire notre braguette pour en extirper notre engin.- Déshabillez-vous ordonna soudain Tantine, alors que nous regardions sa main se glisser dans sa culotte… Mettez-vous tous les deux à poils. Je vous veux nus devant moi…Aliou, subjugué par Mado, obéit aussitôt. D’un sourcil relevé, Tantine me décida à faire de même. C’est bientôt, deux jeunes hommes nus devant elle que Tantine put voir, queues bandées.- Elles sont belles vos bites, les garçons. Allez, branlez-vous devant moi. Montrez-moi comment vous vous paluchez, mes petits cochons. Je veux vous voir vous masturber devant moi…Nous nous livrâmes ainsi, à la demande irrésistible de Tantine, cuisses maintenant écartées devant nous, au maniement de notre queue, occupation au demeurant familière, et pour ne pas dire quotidienne, mais il faut bien l »avouer, c’était une première pour nous de le faire dans de telles conditions.C’est alors que Tantine nous dévoila impudiquement son sexe humide d’excitation. Elle s’engagea alors dans une masturbation lente, ataşehir escort méthodique, jouant de ses doigts, tantôt sur le clitoris, tantôt en s’enfonçant délicieusement le majeur dans les plis de sa chatte, tout en ne quittant pas des yeux nos mains qui maintenant s’agitaient de manière quasi automatique sur notre gourdin tendu.- Humm, Vous êtes superbes comme ça les garçons, branlez-vous bien devant Tantine.. C’est bon, vous me faites mouiller mes petits cochons. Ohh vous savez ce qui m’exciterait encore plus ?- Euhh … non… Tantine…- Branlez-vous ensemble…- Ben, c’est ce qu’on fait Tata… – Vous avez bien compris ce que je voulais dire. Yves, prend la queue de Aliou et branle ton copain et toi Yves fais pareil…Nous nous regardâmes, Aliou et moi, quelque peu surpris par cette invitation, mais nous avions probablement déjà dépassé nos limites, plongés dans l’érotisme torride diffusé par cette garce de Mado.C’est ainsi qu’avançant la main, je pris la hampe, chaude et dure de mon copain et lui fit de même. Nous nous branlâmes ainsi, timidement d’abord puis ensuite plus franchement sous le regard excité de MadoCette palpation réciproque se poursuivit quelques minutes et je fis le mouvement que chacun semblait attendre, Tantine la première, à savoir me pencher pour poser mes lèvres sur le gros gland turgescent de Aliou. Je commençais ainsi la première pipe de ma vie alors que Tantine, à moitié nue, se levait de son fauteuil et venait présenter, ventre en avant et cuisses écartées, sa chatte humide sur la bouche disponible de Aliou qui se laissait sucer, dévorant en même temps l’abricot.- Mes petits cochons vous m’excitez. Vas-y mon neveu suces lui sa belle bite à ton copain qui me bouffe en même temps. Hoo oui… j’adore… continue toi, gémissais Mado en caressant les cheveux de mon ami, manges-moi, dévores moi dégustes moi la cramouille…Nous communiquions dans le même délire érotique et ce fut bientôt au tour d’Aliou de me rendre la politesse, ce qu’il accepta sans hésiter, gobant ümraniye escort ma queue bandée. Tantine vint alors prêter main et bouche fortes à Aliou et ce fut un ballet de langues fureteuses et de lèvres aspirantes qui dansèrent sur ma bite, et un peu plus loin du côté pile.- Petits vicieux dit soudain Tantine, il est temps de me foutre ? Venez me mettre vos bites.A ce moment, Aliou était allongé sur le tapis de telle sorte que Tantine vint s’empaler sur son gros manche rigide, offrant sa croupe à mon désir.Je me penchais alors vers le divin cul de Tantine, lui léchant la raie, désireux de préparer ma vicieuse tante à la double pénétration à laquelle elle nous invitait.- Allez viens mon petit neveu, viens sodomiser ta tante…- Hoo oui Tantine… Quelle cochonne tu fais !- Trêve de discours, mets moi ta queue petit coquin… J’en ai trop envie…Putain Aliou t’as vraiment une grosse bite ! Une bite de cheval ! Quel calibre !Je me positionnais alors devant les grosses fesses tendues de Mado, qui se les écartait des deux mains, exhibant son œillet luisant de salive et de mouille…- Alors Yves qu’est ce que tu attends pour enculer ta tante ? Vas-y mets moi ta queue…Mon gland força alors la rondelle de ma tante et c’est toute la hampe qui fut aspirée dans le tunnel de Tata, maintenant doublement queutée.Je sentais le gros engin d’Aliou qui reprenait du service dans la chatte de Tantine et nous accordâmes nos allées et venues, alternant nos coups de boutoirs. Le trio s’enfonça dans la luxure…- Ohh oui j’aime, disais Tantine, me faire sandwicher comme çà.- C’est bon salope, rétorquai-je… poursuivant le pistonnage culier de Tantine dont les déhanchements avalaient nos bites au plus profond de ses sensations.- Aaaah bourrez-moi bien mes chéris !- Tu m’avais bien dit que c’était une grosse salope ta tante, mais c’est la vérité.- Ah ! Je danse sur vos queues ! Aliou bouffe moi les tétines ! Vas-y tètes moi ! C’est boooon mes salauds !Confrontés à un tel régime, Aliou et moi ne tardâmes pas à sentir monter notre sève. Tantine le sentit aussi.- Oui… Oui !!? Mes petits vicieux, jutez moi dans les deux trous, j’adore çà…Une telle invitation ne se refusant pas, nous nous répandîmes dans les entrailles de Tantine, quasiment en même temps, cette coïncidence déclenchant à son tour l’orgasme vertigineux de Tantine, haletante, qui exprima vivement son plaisir.

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