La dilatation de Nina

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Blonde

La dilatation de NinaNina adore se faire enculer.Grande amatrice de pornos, un jour elle a voulu essayer. J’ai bien compris en lui ramonant le fondement que c’était son truc. Faut dire aussi que je préfère vachement quand c’est bien étroit. Depuis ce jour-là, je lui achète des plugs de plus en plus gros et je la dilate. Au début elle choisissait des plugs pour leur couleur, ou leur texture, et je les lui mettais pour une après-midi ou une soirée. La première fois qu’elle a passé une nuit avec son plug préféré, il est sorti sans prévenir, laissant dans le lit une belle tache brune. Depuis, c’est surtout le diamètre qui importe. On est vite passé aux plugs multi-niveaux, qui s’insèrent par étapes. Le premier niveau prépare agréablement l’anus. Le second lui permet de se dilater, et le troisième est souvent plus délicat à faire entrer. Mais une fois en place, il y reste. Combien de nuits elle a passé avec ce plug dans le cul, je ne saurais canlı bahis şirketleri les compter. Mais le lendemain matin, quel plaisir de le lui enlever ! Souvent elle essaie d’abord seule. Elle se met accroupie et pousse pour excréter l’objet. La plupart du temps elle y arrive d’ailleurs, et son plug n’est alors pas le seul à sortir. Ca l’amuse de le faire devant moi. Par contre, s’il ne sort pas, c’est à moi de tirer dessus. Après une nuit, son cul est plutôt sec et je dois le lubrifier. Mais il finit toujours par sortir, laissant son anus bien ouvert. Je sais qu’il est un peu douloureux à ce moment, sinon j’y mettrais bien la main. Mais ce serait aller trop viteDepuis quelques mois, elle s’est bien élargie. Quand je mets les doigts dans son trou, je peux facilement en entrer quatre dès le début de la séance. Et ma main s’enfonce après dix minutes à peine. Je ne parviens pas encore à refermer le poing à l’intérieur canlı kaçak iddaa mais la nouvelle série de plugs que nous venons de recevoir devrait me le permettre.Notamment un plug en forme de cône qui fait 8cm de diamètre, avec un long cou pour pourvoir l’enfoncer assez loin. Celui-là, elle apprend à se le mettre en s’asseyant dessus. Je la retient par les épaules pendant qu’elle descend petit à petit. Pas question de remonter. A la fin, on entend un gros ‘plop’ et elle pousse généralement un cri de douleur mêlé de plaisir. Il faut attendre quelques minutes pour qu’elle puisse se relever et marcher. On a fait quelques sorties en plug, en robe et sans culotte évidemment. Petite balade en forêt généralement. Voilà trois nuits, elle l’a gardé pour la première fois. J’ai même l’impression que son ventre était plus rond vu le volume pris par l’engin.On a mis un essuie dans le lit s’il sortait par mégarde mais vu la taille, peu de canlı kaçak bahis chance. Nina n’a pas bien dormi. Elle a mouillé l’essuie mais d’excitation surtout. Le lendemain, elle avait les traits tirés, le plug bien en place et on est allés ensemble dans la salle de bains. Elle s’est mise à quatre pattes et a commencé à pousser pendant que je lui massais le ventre. Doucement je suis descendu vers sa chatte bien ouverte. Le clito bien en érection, elle a commencé à avoir des contractions dues à l’excitation. Elle a vidé sa vessie par petits jets, en arrosant le carrelage et les murs de sa liqueur salée. Pour l’aider j’ai passé un peu de lubrifiant sur les bords de son anus, puis à l’intérieur le long des parois entre le plug et sa peau tendue.Ca a suffi. Elle a expulsé l’objet à un mètre, lui laissant un trou béant de 3 à 4 centimètres dans lequel j’ai engouffré ma queue. J’avais de la place, et je me suis amusé. Après avoir éjaculé, j’ai attendu que ma vessie puisse se vider au même endroit.Et je me suis vidé. C’est fou la pression qu’on peut avoir. Elle a adoré. Elle a ensuite tout déversé dans un pot de chambre. Et elle s’est rendormie. Je regarde déjà pour le plug suivant.

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La plage

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Female Ejaculation

La plagePar un beau dimanche d’été, tu décides de partir très tôt et d’aller à la plage. L’endroit, situé dans Charlevoix, t’a été suggéré par une amie. La journée s’annonce magnifique, il fait déjà très chaud et les routes sont désertes. Malgré la bonne distance qui sépare la plage Cap-Aux-Oies de Québec, tu arrives rapidement sur place. Cependant, il y a un léger détail que ton amie avait omis de te mentionner, c’est une plage de nudiste. Peu importe, tu débarques ton sac de plage et tu commences à marcher vers un endroit un peu plus isolé près de la forêt. À cette heure, la plage est complètement déserte. Tu retires ta robe soleil, tu portes déjà ton bikini en dessous. Tu étends ta serviette et tu commences à lire les premières lignes du livre que tu as apporté.Une heure passe et il commence à faire très chaud. Tu vois un couple dans la quarantaine s’installer à l’autre bout de la plage. Tu les observes. Tu peux distinguer quelques détails de leurs corps malgré la distance. Ils semblent en forme pour leur âge. Il se déshabille complètement. La femme est gratifiée d’une bonne paire de seins. L’homme güvenilir bahis est mince et musclé. Ils s’étendent sur la plage. L’homme est déjà en érection et la femme semble faire un mouvement sur son membre dressé. Cette scène ajoutée au soleil et à la lecture érotique te donne encore plus chaud.Comme l’endroit est encore pratiquement désert, tu décides de te mettre à l’aise. Tu retires le haut de ton bikini. Tu exposes ta généreuse poitrine. Tu sens la légère brise et le soleil caresser tes mamelons qui durcissent légèrement. Tu te couches sur le dos et tu reprends ta lecture en jetant un coup d’oeil de temps en temps vers le couple. Tu te sens de plus plus excité, cochonne même. Tu diriges une de tes mains vers ton sexe. D’abord, tu caresses par-dessus le tissu de ton bikini. Rapidement, tu écartes ce bout de linge gênant pour appliquer directement tes doigts sur ton clitoris. Quels plaisirs! Depuis ton réveil, tu avais envie de te caresser. Avec toutes ces stimulations, tu ne pourrais plus retenir. Pendant ce temps, je me suis perdu en vélo de montagne dans un sentier près de la plage. türkçe bahis Ne sachant plus vraiment où je suis, j’aperçois une ouverture. Je dépose mon vélo et je me dirige vers l’eau en me frayant un chemin à travers les arbres. Le vent couvre le bruit de mes pas dans la forêt. Arrivé à proximité de la plage, je t’aperçois étendu sur ta serviette, les seins nus et ton livre à la main. Je t’observe pendant un moment. Tu continues à te caresser en lisant ce recueil inspirant. Ta main libre fait l’aller-retour entre ta chatte et tes seins. Quel spectacle! Je sens ma queue durcir rapidement dans mes leggings de vélo. Lorsque je fais une tentative pour me rapprocher pour mieux voir, je fais craquer une branche. Je sors rapidement des bois pour que tu puisses me voir, pour ne pas t’effrayer. La gêne que tu ressens initialement se transforme rapidement en excitation. Tu as remarqué mon sexe rigide et coincé dans mes leggings. Nous discutons un peu comme si nous voulions rendre la situation la plus naturelle et la plus normale possible. Quelle chaleur! Je retire mon chandail et tu m’invites à m’asseoir güvenilir bahis siteleri près de toi. Je te demande ce que tu lis. Tu me réponds que c’est un recueil de récits érotiques. Cette réponse ne fait que m’exciter davantage. Tu vois bien que ma queue est complément bandé et que je ne peux détacher mes yeux de ta jolie poitrine. Tu m’invites à me mettre à l’aise. Je retire mes leggings. Ma queue se libère. Elle est droite et dressée vers le ciel. Presque aussitôt, tu enlèves le bas et ton bikini et tu écartes bien tes jambes. Ta chatte est luisante au soleil. Tu me regardes en te masturbant pendant que je prends tes seins. J’effleure à peine mon membre de façon ponctuelle pour ne pas jouir trop vite. Après un moment, tu m’enjambes et tu insères ma queue au fond de ta chatte ruisselante. Tu fais des mouvements de bassins lents en frottant bien ton clitoris sur le bas de mon ventre dur et musclé. Lorsque tu sens ma sève montée, tu te retires pour te placer à quatre pattes devant moi. Tu me supplies de te pénétrer comme tu le mérites. Je m’exécute en glissant ma queue jusqu’au fond de ta chatte d’un seul trait. Je te forge pendant de longues minutes jusqu’à ce que tu jouisses. Je me retire, tu te retrouves et je projette plusieurs jets de mon liquide sur tes seins….Quel délice! Tu vas m’aider à retrouver mon chemin?!

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La reine Margo – 6

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Ballgag

La reine Margo – 6La forêt secrète(Deuxième partie)La serre Au bout d’un moment, la serre apparue presque a l’extrémité de la forêt. En fait, il y en avait deux, deux serres rondes relier par un court passage, celle de droite légèrement plus grande que l’autre. Un assemblage magnifique et complexe de carreau en verre et de montant de métal forgé ressemblant étrangement a deux énormes seins un peut aplatit sur un torse, comme les miens lorsque que je suis sur le dos. Un ouvrage magnifique et très ancien et qui semblait toujours abandonné, presque enseveli sous les branches des grands chênes et des saules appuyés dessus. Mais je l’avais fait restaurer et c’était devenue mon endroit préférer du château, mon refuge quand je souhaitais être seul ou avec quelqu’un en toute intimité, et ce, depuis de nombreuses années. Plus aucun moustique ne nous tournait autour comme d’habitude.J’ouvris l’une des deux portes en arche et on entra dans celle de droite, la serre principal. Une chaleur humide et étouffante nous frappa de plein fouet ainsi que l’odeur forte des plantes en pot. De grands rayons de soleil perçaient les branches des arbres et faisaient que les serres baignaient dans une douce lumière verte très apaisante. La sorcière s’exclama en regardant la multitude d’étagères en cercles et de tables regorgeant de peau en grès remplie de plantes luxuriante de toute sorte en humant fortement ; lavande, citronnelle, aurore, pas étonnant qu’il y ait peu de moustiques dans les environs, elle les éloigne. Tu devrais en planter tout autour du bassin. Quand on repartira, l’on se frottera le corps avec de la citronnelle, mélanger a la boue, on aura la paix.-C’est bon a savoir. Je te frotte, tu me frottes ? C’est un jeux qui me plaît ça.-Oh, la dame a des envies ?-Oui, envie de fraîcheur et de me laver, pour commencer. Pas besoin d’attendre d’être revenue à l’étang.-C’est toi qui fait pousser tout ça, qui s’en occupes ?-Moi et Marie, l’une de mes demoiselles de compagnie. Elle a un don pour les plantes, plus que moi.-De compagnie au lit la demoiselle ?-Oui, ma préférer.-Comme ces difficile d’être reine, fit-elle moqueuse en examinant les plantes, les humant, les touchant. C’était trop drôle de la voir couverte de boue passée d’une étagère à l’autre en se pâmant sur les plantes. Elle me faisait penser à une gamine dans une boutique de confiserie.-J’ai une serre aussi, mais pas si… magnifique.La chaleur et l’humidité étaient tel que mon corps ruisselait déjà de sueur se mélangeant à la boue. Ça me chatouillait en coulant entre les seins jusqu’à mon nombril, dans le dos et sur les hanches. Je pris un long bâton avec un crochet a l’extrémité et ouvrit toutes les fenêtres du toi. Une légère brise rafraîchissante entra aussitôt. Je pris le tunnel menant à l’autre serre, qui servait à ranger du matériel. C’est la que j’avais fait installé un lit de camp, une petit poêle au charbon pour l’automne et le printemps et une bassine en fer blanc. Je fis de même pour les fenêtres du toit. Une fois celle-ci ouvertes je poser le bâton pour prendre un lourd tuyau de métal suspendu a un crochet, relier par un tuyau de cuivre a une grosse citerne en bois installé sur un échafaudage derrière la serre. La citerne servait à recueillir de l’eau de pluie pour pouvoir remplir des seaux et arroser les plantes. Elle en contenait suffisamment pour pouvoir fournir de l’eau pendant presque deux semaines en cas de sécheresses. Je tins le tuyau en l’air en grimpant dans la bassine et en criant à la sorcière, toujours dans l’autre serre occupée à admirer les plantes, d’approcher. Elle vin me rejoindre en traversant le petit couloir avec une démarche royale. Elle aussi ruisselait de sueur à présent qui se mélangeait à la boue qui s’écoulait le long de ses longues jambes que j’avais si hâte de caresser. Elle stoppa devant moi en fixant le tuyau que je tenais à bout de bras comme un bourreau tient sa hache avant de décapiter un malheureux. A cause de la boue recouvrant son visage, ses yeux si bleus semblaient plus brillants, plus éclatants et hypnotiques. Mais, étrangement, son sourire s’évanouit et elle parut apeurée.-C’est pour m’assommer ?Je ne pus m’empêcher de rire avant de répondre :-Oh oui, une petite vengeance pour mon sexe endolori. Grimpe avec moi sorcière, ça ne fera pas trop mal.Elle rit de bon cœur à son tour comme soulager en me montrant ses dents si blanches. Une fois face a moi dans la bassine, seins contre seins, comme nous étions très a l’étroit elle dut m’enlacer en souriant et me fixant dans les yeux. Elle était grande et moi petite, alors elle me dépassait d’une bonne tête et ses seins reposait presque sur les miens, mais ses mains, elles, au bout de ses longs bras, me pressait les fesses. A la voir, les yeux petits et luisants, je vis bien qu’elle appréciait autant que moi cette accolade.-Tu a de long bras toi Mara, prend le tuyau et baisse le.-J’aime mieux tenir se joli cul de reine bien rebondit. Dit-elle en me tapotant les fesses tout en ondulant des épaules pour que nos poitrines bien glissantes de boue se frottent. -Comme tout le monde, mais prend le tuyau, c’est un ordre.-Oui ma reine, dit-elle malicieuse en agrippant le tuyau.Je la pris aussitôt dans mes bras avec grand plaisir en la serrant fort, posant mon menton sur son épaule en caressant ses fesses à mon tour. Mais a la voir comme ça, tenant ce gros tuyau a bout de bras je comprit pourquoi tout à l’heure elle avait paru quelque peut effrayer. J’eus moi aussi l’impression qu’elle allait me fendre le crâne. Ça me donna de délicieux frissons.-Et maintenant ma reine ?-Abaisse le.Dès qu’elle le fit, un gros jet d’eau fraîche nous tomba dessus, nous donnant l’impression de nous retrouver sous une cascade. Quel bonheur ! Elle le dirigea sur ma tête, puis la sienne et entre nous et en moins de deux nous étions propres et la bassine débordait évacuant l’eau sale pour se remplir d’eau claire. C’était si agréable après la chaleur étouffante de la serre que je la laisser faire un instant avant de dire :-Ça suffit Mara, donne le tuyau et reste-la.Elle obéit, sans dire un mot en ramenant ses longs cheveux blancs derrière sa tête. Je le remis sur son crochet en sortant de la bassine pour ensuite prendre un savon parfumer canlı bahis şirketleri au pétale de rose et une grosse éponge sur une tablette. Je tremper l’éponge dans la bassine en admirant ses longues jambes superbes redevenues blanche comme du marbre, appliquer du savon sur l’éponge et entreprit de lui laver les épaules, la gorge puis les seins avec vigueur. Ses petits mamelons aux grosses tétines doublèrent de volume, voir ça me donna l’eau a la bouche et je ne pus m’empêcher de lui téter un moment tout en lui lavant le pubis puis le sexe jusqu’a la raie et le haut des cuisses. Elle soupira en posant ses mains sur ma tête tandis que je suçais et mordillais ses mamelons qui enflèrent encore plus tout en les agaçant du bout de la langue. Puis je me redresser en souriant, pour rincer l’éponge et recommencer a la savonner tout partout. Elle fut apparemment ravie de ce traitement royal, car j’y mettais du cœur à frotter son grand corps maigre et magnifique qui ruisselait maintenant d’eau savonneuse.-Encore une chose que je n’aurais pu imaginer en venant ici, dit-elle alanguie en remontant sa chevelure pour l’attacher en chignon, me faire laver par la belle reine Margo en personne. Que c’est agréable prend ton temps !-Je te gâte peut être un peut trop jolie sorcière, dis-je en passant derrière elle pour laver sa nuque gracile, son long dos osseux puis ses fesses avec vigueur en les écartant pour bien lui frotter l’anus ce qui lui arracha de petits soupirs avant de lui glisser l’éponge savonneuse entre les cuisses qu’elle écarta.-Trop me gâter ? Non, pas du tout. Bon Dieu que c’est bon !-Tu ma jeter un mauvais sort je te rappelle. Dis-je en frottant vigoureusement son sexe.-Je… je le retire, ouf… Elle ne put s’empêcher de se masturber de la main droite en se caressant les seins de la gauche. Je cesser de lui frotter le sexe pour remettre du savon sur l’éponge en revenant devant elle. Elle se titillait le mamelon droit en faisant des ronds sur son pubis recouvert d’une belle toison grisonnante en me fixant, les yeux vitreux. Visiblement, elle salivait juste à l’idée de caresser mes rondeurs tout autant que moi je rêvais de poser les mains sur elle. Mais on aime bien se laisser désirer nous les femmes, alors… je prenais mon temps avant de l’amener sur la couchette étroite. -Et si je voulais que tu me redonnes mes 20 ans, je devrais faire quoi Mara ? Pose le pied sur le rebord que je lave cette trop longue jambe gauche, vicieuse.Elle le fit en écartant les cuisses sans cesser de se branler lentement en répondant :-Tes 20 ans, hum. Attends que je réfléchisse.-Prend ton temps, on a toute la journée.Le sourire aux lèvres je laver pour commencer sa grande cuisse muscler en insistant bien a l’intérieur en effleurant son sexe juste pour l’agacer. Je savonnais, puis rinçait l’éponge et continuait lavant le genou, le mollet et son grand pied. Elle faisait des pressions et des cercles sur son pubis de plus en plus rapidement, ou se passait les doigts sur la fente se contentant d’effleurer son mignon clitoris rose durci, ce qui me mit l’eau à la bouche. Ses grandes lèvres brunes étaient ouvertes maintenant, Mara était prête à se faire pénétrer, mais il n’y avait pas de mâles ici pour accomplir cette tâche, juste des doigts et une langue. A voir l’expression de son visage déjà rougie, je compris qu’elle s’amenait au plaisir tout doucement et, sous l’éclairage verdâtre de la serre, c’était beau à voir, surtout a son âge.-Bien, dit-elle la voix un peut plus rauque, pour ravoir tes 20 ans, attend que je me souvienne. Ah oui !-L’autre pied sur le rebord. T’as pas honte de te masturber ainsi devant moi sorcière ?Elle ne fit que sourire en admirant ma poitrine qui ballottait et se frappait mollement on posant son pied droit sur le rebord de la bassine. Cela sembla l’exciter encore plus, car elle alla même jusqu’à entrer un doigt dans le vagin pour le faire aller et venir. La voir faire me fit mouiller moi aussi, je sentais ma vulve gonflée et toujours sensible à cause du coup de pied. Je résister a l’envie de me masturber également et entreprit de laver son autre jambe en disant :-Tu me regardes comme si tu me désirais. J’espère que tu n’es pas ce genre de femme très vicieuse qui aime lécher la noune des autres, sorcière ?-Moi, pas du tout, fit-elle en jouant le jeu.-J’espère bien, sinon, c’est le bûcher qui t’attend.-Par cette chaleur ? Ce serait terrible reine Margo.Je ne pus m’empêcher de rire en fixant son doigt toujours dans son vagin, me voyant y glisser la langue et goûter son sexe, ce qui me fit saliver. Je me redresser en me frottant les reins un peut douloureux.-Bon, et alors, mes 20 ans Mara ?-Bien, tu sais, dit-elle les yeux luisant, nous les sorcières on est comme ces lampes magiques des pays d’orient, on doit nous frotter très fort en faisant un veut.Je ne pus m’empêcher de rire à nouveau avec elle et je dis :-Tien don ! Et frotter ou, n’importe ou ?-Oh non, ici.Elle lâcha ses seins pour montrer son sexe tandis qu’elle en extirpait son doigt pour se le sucer un moment. Je la toiser en me mordillant une lèvre, résistant de plus en plus difficilement a l’envie de l’amener sur la couchette pour le baiser avec fougue. J’en avais des bouffées de chaleur.-Ah bon, et ça fonctionne vraiment ?-Si tu frottes assez fort pour que je soupire, que je révulse les yeux, que je vienne la face toute rouge et que mes rougeurs s’étendent jusqu’à mes seins et que mon corps soit pris de spasme, alors, ça veut dire que oui, que ton veux seras exaucer.-Hum, hum ! Les hommes doivent souvent te demander d’exaucer leur veux. Dis-je amuser en savonnant bien l’éponge.Elle se contenta de sourire a nouveau, en remettant le pied dans la bassine jambe écarter en recommençant a se masturber. Je me placer devant elle, lui prit le sein gauche comme point d’appui et entreprit de lui frotter le sexe avec force. Elle ouvrit la bouche pour aspirer fortement pour ensuite gémir.-Comme ça ?-Plus doucement pour commencer, dit-elle en s’appuyant sur mon épaule en grimaçant déjà beaucoup plus.Je ralentis mon mouvement de vas et vient en sentant mon propre sexe dégoûter, glissant l’éponge jusqu’entre ses fesses pour la ramener sur son vagin et recommencer.-Et la ?-Hum ! Oui, canlı kaçak iddaa c’est beaucoup mieux. Oh, oui !Je pris soin en frottant de laisser mon pouce agacer son clitoris au passage. La pauvre, elle en grimaça de plus belle en gémissant beaucoup plus fort.-Ce ne serait pas plutôt juste un truc de vilaine sorcière ça, pour avoir un orgasme par hasard ?-Pas du tout et… oh… ouf…-D’accord, répondis-je amuser en frottant plus fort et juste un peut plus vite en sachant très bien ce qu’elle ressentait en ce moment, mais si je ne me réveille pas jeune et belle au matin, la reine risque de se fâcher et de demander a la cuisinière du ragoût de sorcière aux fines herbes.-Ou…. je…. je prends le risque… Ahhh… oh oui… Ça y est presque Margo. Fit-elle plaignarde semblant souffrir le martyre.La v’là a rougir jusqu’au sein en s’agrippant le pubis pour se masturber plus violemment pencher vers moi, ses longs doigts s’agrippant a mon épaule comme des serres de corbeau. Voir une aussi belle femme, surtout de son âge, le visage déformer par le plaisir, devenue presque laid, c’était très excitant, magnifique. Je stopper mon mouvement de vas et vient avec l’éponge pour lui rentrer carrément le pouce dans le vagin, mais tout doucement, la trouvant très mouiller et dilater, pour la pénétrer d’abord lentement, puis de plus en plus rapidement. Le bruit de ma main frappant son sexe se répercutait dans la serre se mélangeant à ses gémissements de plaisir. Sa jolie bouche s’arrondit, puis elle se mordilla les lèvres et ses yeux se révulsèrent. Elle était si mouillée maintenant qu’elle en dégoûtait tout autant que moi. Ça me coulait le long des cuisses en me chatouillant.Entre femmes, on sait très bien se qui nous fait plaisir et sans sortir mon pouce du vagin, je glisser mon majeur sur son anus glissant de savon et le pousser tout doucement a l’intérieur sentant son petit trou bien serrer se dilater. Mon doigt entra complètement et elle se raidit puis sembla manquer de souffle, surtout quand je presser mon pouce contre mon majeur dans le rectum, le sentant très bien. Tout en la pénétrant de la sorte je me demandais si elle s’était déjà fait prendre par deux hommes à la fois ; cul et con. C’était incroyable comme sensation, sentir deux belle bite dure aller et venir en se frôlant, ouf ! Cela me faisait jouir presque a chaque fois et les hommes eux, rien ne leurs faisait plus plaisir de prendre une femme a deux, couilles contre couilles.Soudain, elle lâcha un long soupir en refermant ses cuisses sur ma main comme un piège à loups. Elle était en plein orgasme, genoux fléchit, le corps parcouru de spasme. Elle rougit jusqu’au sein en se plaignant faiblement, cherchant son air. Je sentais son vagin et son anus comprimer mon pouce et mon majeur que je ne pouvais plus remuer tellement ses cuisses puissantes enserraient ma main et l’éponge. Je rester comme ça à attendre qu’elle finisse de jouir tandis qu’une nuée de corbeaux survolait la forêt. Puis, elle se détendit peut a peut et écarta les cuisses pour me regarder les yeux vitreux.-Bon Dieu de merde Margo, tu sais faire jouir une femme.-J’ai un peut d’expérience en la matière, je l’avoue.-Oufffff…. le doigt dans le cul, c’est… fort agréable.-Ne vient pas me dire que c’était une première, a t’ont âge ?-Non, mais il y avait si longtemps.Je lui souris en retirant mes doigts lentement, ce qui lui arracha encore quelques soupirs pour lui repasser un coup d’éponge sur le sexe tout en disant :-Bon, a mon tour de jouer a la lampe magique. Tu feras un vœu, qui sait ? Tu as dit que j’étais également une sorcière et….Oups ! La v’là qui se masturbe encore très fort en refermant les cuisses pour jouir à nouveau en un temps record. Cette fois ce fut si violent que sont cul en sursauta tandis qu’elle criait presque de plaisir plier en deux en se pinçant un mamelon. En attendant patiemment que la tempête se calme, la main encore coincer, j’approchai ma bouche de son oreille pour dire :-Si j’ai bien compris le principe de la lampe orientale, j’ai donc droit a deux vœux maintenant.J’eus droit à une jolie grimace de sorcière. Elle était trop mignonne à voir se trémousser comme ça en plein orgasme comme si elle n’avait qu’une forte envie de pisser. Au bout d’un long moment, elle se reprit à nouveau, essoufflée. Je pus enfin retirer ma main encore une fois. Elle se redressa en expirant fortement puis descendit de la bassine encore sous le choc de ses deux orgasmes consécutif.Je lui prit la main droite et y poser l’éponge puis le savon dans la gauche et je grimper dans la bassine en disant :-N’oublie pas le remède pour ma noune, guérisseuse.-Alors on va commencer par là. Tourne-toi et penche-toi, vicieuse.Je le fis en écartant les pieds tout en posant les mains sur mes genoux tandis que mes gros seins claquaient contre mes cuisses. Ses toujours très excitant d’offrir son cul et son con a quelqu’un. Quelle femme n’aime pas un bon coup de langue, surtout dans cette position ? Elle me lava les fesses et le sexe ce qui me procura déjà de bonnes sensations et rinça à l’eau claire. Elle laissa l’éponge dans la bassine et le savon puis me tapa les fesses avant de me les peloter en disant :-C’est donc a ça que ça ressemble des fesses de reine.-Comme si tu ne les avais pas encore vues ! Répondis-je en agitant le cul tellement ses caresses me plaisaient.-Hum ! Elles sont douces et fort jolies et se sexe, déjà gonfler et luisant. Il te fait encore mal ?Elle l’effleurait du bout du doigt m’arrachant de petites plaintes.-Oh oui ! Terriblement !-Hum, hum ! Bon, je vais devoir m’en occuper.Soudain, je sentis le bout humide de sa langue pointue me glisser dans la raie tandis que ses mains m’écartaient les fesses. Un long frisson me parcourut l’échine en devinant ce qui allait suivre. Et comme prévu, elle s’arrêta sur mon petit trou qu’elle agaça, ouf ! Ça, c’était bon, vraiment trop délicieux. J’adore me faire lécher et pénétrer cet endroit si intime par une langue ou un doigt bien glissant. Ma sœur aussi d’ailleurs, elle et moi on pouvait se faire cela à nous rendre folles toutes les deux depuis l’enfance. Sa langue se raidit et me pénétra le plus possible et s’agita. Doux Seigneur, me v’là à me tortiller de plaisir en canlı kaçak bahis entendant mes gémissements se répercuter dans les deux serres. Je sentais le bout de son nez et ses lèvres me chatouiller la craque de fesses. C’était délicieusement cochon. Mais malheureusement rien n’est éternel, et la langue se retira au bout d’un moment. Je lâcher un long souffle en sentant mon anus pulser tout seul.Mara souffla dessus, j’en frémis des pieds à la tête, puis elle me mordilla et me croqua les fesses en glissant tout doucement un doigt dans le cul jusque dans mon rectum. Je me raidis en soupirant de plaisir, c’est si sensible dans ce coin-là. Elle le fit aller et venir lentement en le tournant, en me léchant la vulve de bas en haut en évitant mon clitoris ou me mordillant et me suçant les grandes lèvres. Bon Dieu que c’était bon, j’en manquais d’air. Je ne pus m’empêcher de glisser une main entre mes gros seins pour me masturber doucement et agacer mon petit bouton bander dur. Ça langue se faufila le plus loin possible dans mon vagin et elle l’agita, ça aussi ça me coupa le souffle, je faillis crier de plaisir en me masturbant de plus en plus violemment jusqu’à ce qu’un orgasme puissant me traverse le bas ventre. Mes orteils se recroquevillèrent sous l’eau, mes genoux fléchirent, je me mis à me lamenter de plaisir en me caressant les mamelons de l’autre main. Sa langue toujours en moi et son doigt dans mon cul me rendait presque folle. L’orgasme s’évanouit trop vite, me laissant essouffler, le cœur battant. Je recommencer a me masturber désireuse de jouir une deuxième fois moi aussi.-Continu Mara. Ton remède est fantastique.Elle se remit à me manger le sexe avec fougue, mais en y glissant un doigt en plus, puis deux. Une bouffée de chaleur me monta au visage. C’était trop bon, et déjà, je sentis poindre un autre orgasme. J’accentuai les pressions sur mon pubis en effleurant mon clitoris et ce fut à nouveau l’explosion. Elle me pénétrait avec force tandis que je criais mon plaisir en jouissant le corps parcouru de spasme et de délicieux frissons.Quand je finis par me calmer, elle retira sa langue et ses doigts et me lava le con et le cul en disant :-Te voilà guérit on dirait bien ?-Déjà ?-Mais je te conseille un autre traitement, ce soir peut être.-Oui, je crois que j’en aurais bien besoin Mara. On organise toujours une fête pour la visite annuelle de ma sœur dans le grand salon, viens y faire un tour, tu ne t’ennuieras pas. Ouf…. ça fait du bien.-Je suis bien d’accord, reine Margo. Mais pour la fête, je n’ai pas de belle robe à porter.-Tant mieux, personne n’en portera.Elle rit et me tapa les fesses en rajoutant :-Bon, dans ce cas, je serai heureuse d’y participer. C’est entre filles ou il y aura des hommes aussi ?-Des hommes aussi, mais c’est les filles qui mène la danse habituellement, alors tu auras le choix. Mais c’est ma bonne, Marie, qui organise les fêtes et elle nous réserve toujours d’agréables surprises.-C’est toujours meilleur quand c’est les femmes qui dirige. Bon, si on allait visiter ta cité reine Margo.-Pas tout de suite, séchons-nous et étendons-nous sur la couchette avant de repartir. Histoire de se reposer, un peut. Il y a des serviettes là-bas sur une tablette.Se reposer mon œil ! A peine étions-nous étendus l’une contre l’autre, qu’on perdit la tête. Elle me désirait tout autant que je la désirais. Nous v’là donc à s’embrasser à grand coup de langue en se frottant et se caressant tout partout comme si le temps nous manquait, comme s’il fallait faire vite.L’on se retrouva rapidement en 69 a gémir toutes les deux, moi en dessous genoux en l’air a lécher son sexe le nez dans sa raie. Côté langue elle savait y faire et moi aussi, et je ne parle pas de nos doigts, alors ce fut fantastique jusqu’à ce que le vieux lit de camp ne rendre l’âme. Les montants de bois cassèrent net et on se ramassa brutalement par terre en criant pour ensuite rire comme des folles. Épuisé par nos ébats et surtout le combat dans la boue, on finit par s’endormir à même le sol, sur la toile, dans les bras l’une de l’autre dans la chaleur moite de la serre.Quand j’entrouvris les yeux, sortant difficilement d’un sommeil sans rêves, je vis qu’elle me regardait étrangement avec ses yeux si clairs à quelques pouces des miens. En fait, elle semblait furieuse, son visage était déformé par un rictus de haine. Je me rendis compte qu’elle murmurait quelque chose d’incompréhensible. Puis, elle sourit tout à coup en disant :-Enfin, tu te réveilles paresseuse.-J’ai dormi longtemps ?-Très longtemps en me serrant comme un enfant s’accroche a ça mère et je ne vais pas m’en plaindre.-Tu me jetais un sort ?-Un envoûtement pour que tu tombes amoureuse de moi. Mais, je crois que ton cœur bat trop fort pour ton beau chevalier.-Et pas le tient ?-Non, moi je préfère les femmes, ne t’inquiète pas. Dit-elle avant de me donner un long baiser puis de se lever.-Et la citronnelle ? Demandai-je en me levant a mon tour pour ensuite frotter mes reins douloureux.-Ah, la citronnelle.Nous voilà de retour à l’entrée de la serre à nous frotter les mains avec des feuilles de citronnelle avant de nous en enduire le corps au grand complet. Quelle délicieuse corvée que de se caresser l’une et l’autre tout partout ! On me frottant les seins, des gouttes de lait perlèrent de mes mamelons droits.-Avant de partir, dit Mara tout sourire, il me faudrait du lait royal, je me sent un peut faible.-Le gauche ou le droit ? Demandai-je en bombant le torse. Les deux en son plein.-Mon dieu, les deux, les deux, répondit-elle ravit en me prenant les seins pour me les téter goulûment l’un et l’autre un bon moment. Je lui caresser la tête en me demandant si elle était vraiment amoureuse de moi. Si oui, c’était flatteur, mais pour moi, elle n’était qu’une amante de plus.Une fois rassasier, elle s’essuya la bouche avec le bras avant de me remercier et on reprit la route avec mes seins dégouttant toujours de laits, mais cette fois on contourna l’étang pour retourner au banc et se rhabiller sans avoir été importuné par les moustiques, enfin, beaucoup moins. Puis on descendit à la ville. En marchant sous le soleil écrasant, toujours pieds nus sur l’étroit chemin de terre qui menait aux portes de la citée, elle me prit par le bras en disant :-Ton corsage est tout mouillé par tes montés de lait, désoler, je me sens coupable.-Et depuis quand une vilaine sorcière se sentirait-elle coupable de quoi que ce soit ?Je n’eut droit qu’a un magnifique sourire énigmatique.

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Hardcore

A Cuckolds Dream or Nightmare?We arrived at the front door to the house, hand in hand, both of us nervous yet excited. I could tell from the look in my beautiful wife’s eyes that she was scared, not in a physical harm might befall her kind of way, but a will she truly enjoy this kind.My wife Diane is, to me, the most beautiful woman. She is 5’5”, 150lbs, curvy hips, long dark wavy hair, blue eyes, porcelain white milky smooth skin, and lucious plump D cups. She is the perfect example of a wife and mother, and for a woman who was a virgin when we met she is a demon in bed. Over the years she grew wanton and her skills orally and sexually grew as well.I suppose that’s how, in part, we found ourselves here tonight. I had been chatting one night online and stumbled across a man, a real man I should add, who opened my eyes to the world of cuckolding. I had seen some cuckold porn in the past, and will admit it was always a bit of a turn on. This man, he wished to be called Sir, began by discussing fantasies with me, and leading me down the path with small tasks: taste my own semen, imagine how it would taste inside her, take some pics of her, etcOne night I convinced my wife to watch some porn with me. I feigned ignorance of the content when I clicked on “cuckold”. My wife has always been turned on by MMF so the start seemed good to her, and then the plot line changed. Yet she didn’t tell me to turn it off.I slid down, between her beautiful thighs, and spread them. Her pussy, trimmed, was already glistening. I began to lick and taste her sweetness as she described how the wife was now sucking the other mans cock while her husband watched. I could tell it was turning her on as she pushed herself down onto my tongue even more.We repeated this a few times over the course of several weeks. Then one night, I told her how beautiful she would look with another mans cock in her mouth. She blushed, and giggled. I told her again, and she said maybe, maybe, if I found the right man for her.I waited a few days and brought it up again, telling her I had found someone. At first she seemed shocked, but as I described Sir, she began to be more and more interested. I told her I had already arranged a babysitter and that we were going over on Saturday night. Her eyes got wide, surprised, shocked, a bit angry, but also turned on. As the week went on she began to probe for more and more information: What was Sir like, what would we wear, what was he expecting, etc. I could sense the excitement building with each passing day.On this day I had sent my wife for a spa day, a full treatment: massage, manicure and pedicure, Brazilian wax, fresh hair do. She was dressed in a low cut black dress with a short hem line that Sir had picked out and I had ordered. It hugged her hips perfectly, accentuating her curves, and displayed her voluptuous breasts wonderfully. She wore red 6” heels and red lipstick. Standing on Sir’s front step she looked absolutely magnificent.I kissed her one more time, gently, and then knocked on the door. It felt like an eternity, holding her hand, before it opened. There stood Sir, in his late forties or early fifties, distinguishes, handsome, in black dress shoes, black dress pants, a white dress shirt. His hair was salt and pepper, his body fit. He looked like a man who knows he is attractive but not pushy about it. “Tom and his wife Diane. Welcome, come in.”We stepped in the entrance, and the door shut behind us, with a click of the deadbolt. I could feel her shiver, could see the goosebumps. But I could see in her eyes, it wasn’t fear, not fear of harm at least. It was excitement, fear of the unknown, like at the top of a roller coaster before the fall.“Diane, I suspect that little Tom here has explained my expectations for this evening?” Sir said.“Um…no Sir, Tom did not. Only that I was to go to the spa and wear this lovely dress you selected…without underwear”, she added sheepishly.“Hmmmm, and why was this Tom?” Sir said to me sternly. “Sir, I thought that the surprise of the evening would be more stimulating. And judging by the goosebumps on my lovely wife’s skin I believe it is.”“Very well, I will allow this this time.” Sir turned to Diane. “Diane, you do look quite lovely. However you are missing, as is your little husband, an important piece of attire.” With that Sir gestured to a bench further in the hallway. On it sat two leather collars, attached to dog leashes. One collar had a pink bow through the loop, while the other had a blue bow. “As I instructed Tom, he will attach the collar first to himself, then you, and will hand me the leashes. You will be led around the house in this manner. Is this understood?” Diane looked, swallows, and nodded her head in understanding.I walked over and picked up the collars with the blue bow. It was not as thin as a dog collar, but not big enough to cover my, or Diane’s whole neck. I placed it on and cinched it tight.I then walked back to Diane and faced her, placing the collar around her neck. She looked into my eyes, and I could see the mix of fear, anticipation, and excitement within them. She looked so beautiful I leaned forward to kiss her without thinking and felt a yank on the collar and leash, not harsh, but enough to stop me. “Hmmmm, Diane, it would appear little Tom here has forgotten the rules. Diane, do you know what rule by chance I’m speaking of?” Sir stood beside her now, our leashes in his hands. “Um…Tom may not kiss me, Sir?” She replied hesitantly. We hadn’t discussed this, but she had seen enough cuckold porn with me by this time to guess. “Correct, you are a very smart woman. And beautiful. I can see why little Tom here wanted to marry illegal bahis you.” With that Sir led us, gently, into the living room of his home. We walked, still holding hands, as he gently tugged us along.The living room had two couches facing each other with a fire place on the wall between them. The fire was on, and the light soft, which only enhanced the glow of my wife’s milky white smooth skin. Sir led us to the middle of the room and had us stand facing one another. I could smell her beautiful floral perfume.We stood there for what felt like a long time, Sir circling us, inspecting his new…what…toys? Property?He stood behind Diane, ran his fingers up and down her arms, making her shiver in excitement. She looked at me, a slight grin, and mouthed “I love you.” “Little Tom, do you recall what you are to do now?” Sir barked, making both my wife and I jump a little. Sir leaned in behind my wife, to her left ear, his right hand on her right shoulder, and I could hear him whisper, “Diane, you have nothing to fear from me.”I could sense, even though she still seemed rigid, that she believed him. “Yes Sir…” I began, “I am to present Diane to you. I am to undress her, fold her clothing, and lay it on the couch.”“Begin then”. I walked behind Diane and began to unzip the dress from the back. I began to slide the dress down, over her slender soft shoulders, down her beautiful back, over her hips, and lastly over her beautiful ass. As it lay on the ground I bent over to retrieve it, Diane stepping out one foot at a time. My face was so close to her ass but I dared not try to kiss it as I normally would.I picked up the dress and folded it neatly on the couch, returning to stand in front of Diane. This time Sir stood beside me. “She is beautiful as described little Tom. I’m very pleased.” There stood my wife, naked, except for her red high heels, for the first time in front of another man that wasn’t me. I felt the leash pull, not enough to pull me back, but enough to know Sir was asserting pressure. “Tom, I believe it’s time for you to have a seat.” With that Sir led me to the couch I had laid Diane’s dress on and told me to sit. I sat and heard Sir affix the leash to something behind me. He then produced a set of nylon cuffs. “Now Tom, please give me your hands.” I looked at Diane, and she at me. We both were nervous. “Tom, you knew what this would be. You know how this works. Do you wish to continue?” I looked at Diane again, a lump in my throat. So beautiful I noticed a slight nod of her head. With that I presented my hands to Sir, and he secured them, the connecting strap under my legs so my hands were at my sides.Sir then walked over to Diane, and stood beside her. He ran his hand up and down her arm, along the back of her neck, down her side, and then began to cup her ass cheeks. “Little Tom has told me so much about you Diane, and he has not disappointed.” He then smacked her ass with a loud crack of his palm making Diane jump and yelp. Sir laughed and pulled on her leash slightly. He then positioned himself beside her again. He ran his hand across her stomach, then up to her beautiful breasts, cupping them, then rolling her nipples in his fingertips. The sight of this man, a total stranger really, fondling my wife’s body, was making my cock rock hard in my pants.Sir then slid his hand down my wife’s stomach again, toward her beautiful bald pussy. His hand slid over her bald mound and sat there. “Diane, spread your legs.” She hesitated, staring at me, unsure, but also wanton in her expression. A slight tug of her leash was all it took as she spread her stance wider, Sir now moving a finger along her pussy lips and probing further. “Little Tom, this beautiful slut you’ve brought me is soaking wet.” Sir grinned looking at me.Diane turned her head and looked st Sir, a look of shock on her face. “Poor Diane, did you not know? Women who want to be fucked by men in front of their husbands are not proper ladies, they are sluts, sometimes even whores. But don’t fret Diane, it is a good thing.” All while saying this to my beautiful wife, Sir continued to finger my wife’s beautiful pussy, making her quiver, bite her lower lip, and move her hips to try and get more pleasure. “Do you enjoy this Diane, do you enjoy being a slut in front of your loving husband?” Diane nodded her head.Sir continued to play with my wife’s pussy, inching her closer and closer to orgasm, but when she was almost there, her breathing shallow and quick, her hips moving to get the pleasure she desired, her moans increasing in volume, Sir pulled back on the leash, interrupting the rhythm, and removed his finger. Diane stood there, her pussy gleaming, deflated. “Now now Diane, the night is young, and you are both here for MY pleasure. Do you understand?” Again Diane nodded, and added with a whimper, “Yes Sir.”Sir then lead Diane to the couch across from me. “Diane, undress your Master.” Diane began by unbuttoning Sir’s shirt and folding it on the couch. Next she removed his belt, and pants. Sir wore tight briefs, which Diane slid slowly off, her red nails gripping under the elastic band. As she slid them down, keeling, Sir’s erect thick long cock flopped out of the briefs and slapped Diane in the face. Sir laughed as Diane froze. This was only the second cock to have ever touched her, and despite all the talk, fantasy, and desire, even the events of the evening thus far, this one incident truly drove home to her what was happening.After a brief pause Diane continued and folded Sir’s underwear on the couch. Sir then stood Diane in front of him and pulled her close, his arm around her small of her back, his hand dropping to her ass, illegal bahis siteleri and kissed her red lips. These were the only lips to have touched hers since mine when we married. My cock was throbbing and aching, my hands unable to touch it.Diane I could tell was at first hesitant, unsure, but began to lean into Sir’s body, his lips, his embrace. Her hands rose to his sides, pulling him closer, his hard cock pushing against her body. Her hands moved to his back, her red nails against his skin. They embraced liked this for what seemed an eternity, before Sir pulled her head back by her leash.“Mmmmmm a sensual woman you have here Little Tom.” With that Sir sat, and told Diane to sit beside him. They both sat, naked, facing me. “Now, Diane…” Sir turned to look at her, her body beautiful in the glow of the fire, his hand spreading her legs, her beautiful pussy laid bare before me, “little Tom here has been raving to me about your oral skills. He tells me that you are the absolute best cocksucker. Now I have to warn you, you are not the first slut I have been with, so you have your work cut out for you to convince me. But…” Sir paused, his hand on her shoulder, sliding to the back of her neck, sliding her closer to him, “I get the feeling you won’t disappoint me.”Sir moved his arms back, to the back of the couch, and laid them along the back. Diane then leaned forward, Sir teaching down to pull her hair back from her face, giving me an unobstructed view. Diane’s lips neared the head of his cock, then reached the tip, kissing it softly, like she had done to mine hundreds of times in the past. Her red lips, which before this moment had only ever kissed my cock, parted and began to travel over Sir’s throbbing head, and down his thick veiny shaft. Her left hand cupped his balls, her wedding ring glowing in the soft light. She moved slow at first, taking in each inch with care, working her way down to the base. I could see her throat stretching, Sir’s cock being significantly thicker than my own. She struggled, but persisted. Sir moaned, enjoying the feel of my wife’s warm mouth on his engorged cock. I felt my own straining in my pants, pulsing, trying to break free.“I love what she does with her tongue little Tom. You say she’s never sucked another mans cock before? She is such a natural.” Diane glanced at me when he said this, his cock still deep in her throat, and I could see a twinkle in her eye, perhaps even a grin at the corner of her very full mouth.She began to move up and down his shaft faster, but without sacrificing depth. The drool could be seen all along, and even some of the lipstick was smearing along the shaft. I could see Sir’s grip tighten on her hair, but could tell he was not controlling the speed or depth with which she was now maniacally swallowing his cock, up and down, her throat no longe needing to adjust to the massive amount of cock she was swallowing up.“Mmmm little Tom, do you notice I’m not even moving? Your beautiful slut wife is literally fucking her own face with my cock,” he laughed and moaned. I could see Diane’s mascara running down her cheeks now as she tried harder and harder to milk Sir’s cock, to taste his semen, the only semen other than mine she will have had. Finally Sir bucks his hips up and grips Diane’s hair, using the first real force I’ve seen, not to hurt her, but to hold her head in place as he fills her mouth full, her cheeks expanding like a chipmunks, straining to contain all the warm sticky semen. Sir pumps at least ten times before settling, at which point Diane noticeably swallows, gulps really, and removes her lips, slowly, all the way along Sir’s cock. A loud “pop” sound signals that she has stopped sucking.Diane rests her head in Sir’s lap, facing me, his cock still erect and laying against her face, streams of spit still clinging from his veiny monster cock to her beautiful red lips. She licks the shaft as it rubs against her face, her makeup now ruined, a look of exhaustion and pride in her glassy eyes. Sir is petting her hair and her hips. I can’t help but think that she looks like a pet, HIS pet. Is she trying to? Or is this natural? Either way it turns me on in a way I cannot describe.We sat there, in silence, except for Diane’s panting and murmurs of joy. My cock was straining against my pants, more than clearly visible to Sir and my lovely wife, painful in its desire to explode.All the fantasies, all the chats and dreams, nothing ever felt quite like this. I was so turned on, horny, attracted to my wife, but also felt a sick in my stomach, seeing the woman who vowed never to touch another so freely give herself, so wantonly devour this mans cock. I knew she loved me, I loved her, but what was happening to us now? What had we, what had I, done?When her breathing slowed, and she nestled further into his lap, Sir spoke. “Diane, that was amazing. You truly are an amazing little slut cocksucker. A woman like you should wear that label proudly, and little Tom, you should be incredibly proud. Now dear…” he said looking down at her, “your makeup seems to be, well destroyed.” Both he and Diane laughed. “The powder room is around the corner. Go make yourself into the porcelain fuck doll you are, and hurry back.” Diane stood, her face a mess of makeup, spit, and some cum. She smiled at Sir, and he slapped her on the ass, making her yelp and smile. As she walked off he gave a short yank of her leash. “But first, give little Tom here a big kiss.” Diane walked over to me, leaned over, her beautiful breasts hanging before me, and leaned in to kiss me, pushing her cum stained tongue past my lips, exploring my mouth, her sticky face pressed canlı bahis siteleri against mine, the smell of Sir’s cock invading my nostrils. It was hideous and glorious all at once. When she was done Diane looked at me, said “I love you hunny,” and walked off, Sir letting go of her leash.Sir then stood and walked over to me, his cock caked in my wife’s lipstick and spit. He sat beside me. “Little Tom…” he patted me on the lap, patting down on my diamond hard cock causing me to flinch with pain, “that wife of yours. Jesus Christ little Tom, she’s amazing. You see most men make these promises of an amazing slut wife, and either don’t show, panic at the doorway, or she flees at the sight of my cock. By your wife, that bitch, she just took to her role as a fuck toy with reckless abandon. I mean little Tom, she is the perfect woman, and I cannot be happier with her. Mmmmm the places I will take her, the sexual needs she will fulfill and have fulfilled. This is going to be a great relationship little boy. Now, as amazing as she was with her mouth, she won’t be a true slut, you won’t be a true cuckold, until I fuck that dripping wet bald pussy of hers. So here’s the thing, you’ve been a good boy up until now. You’ve supported her and kept your mouth shut, but this is the point of no return, and I can’t have you trying to back out. So, you…” he reached behind the couch, “are going to wear this for the next bit.” He produced a large black ball gag and proceeded to place it in my mouth. “Now your wife hasn’t anything to fear from me, what happens next, and down he road, is her choice, and will be hers alone. You’ve done what a little cuckold is supposed to, and that’s bring her to a real man. Now it’s up to her. So, you are going to sit here, silent, and enjoy the show.” He then flicked the head of my cock, making me wince and bite down on the ball gag.Just as I regained my composure Diane came back in, her face once again immaculately done with her makeup and beautiful red lips. “Diane, my dear, you look beautiful. Now, you may wonder why your little hubby is wearing a ball gag. Well, most men tend to get loud when they watch their wives fuck, and I find it takes away from the ambience.” He was behind her now, one arm around her waist, the other hand cupping her breasts, kissing her neck, looking me in the eye and winking. My eyes must have gone wide as Diane looked at me, and she again mouthed “I love you” while pushed her waist and ass back into Sir’s body.“Now Diane, are you ready to become a true slut, to make your husband a true cuckold?” Diane nodded her head yes, with no hesitation. “I want to hear you Diane, I want to hear you say it to me, to say it to your husband.”“Yes Sir, I’m certain. I want to become a true slut. I want to make my husband a cuckold.” The tone in Diane’s voice was soft but confident, no hesitation, tinged with lust and desire.“And who’s slut will you be Diane?” Sir said, his lips by her ear, but loud enough for me to hear. “Yours Sir, I will be your slut.” “Good slut. Now get on your hands and knees pointing to the fire, then turn your face to your hubby.” Diane did as she was told, and I could see her pussy, bald, glistening, beautiful. I could see the anticipation in her eyes. Sir positioned himself behind her, his cock rock hard, just an inch from my wife’s pussy, about to invade something that has always belonged to me, been mine alone, but that now my wife was willingly giving to him. He grabbed her hips and pressed closer, the head of his cock against her pussy lips, and then began to part them as he moved his cock deeper into her pussy. She moaned, still staring at me, and I could tell her pussy was gripping tight around his hard meaty cock, pulling it in and deeper, refusing to release it. Her moans became louder and longer, moans I hadn’t heard since our early days of dating, increasing to volume levels I had never before heard. Sir could see the embarrassment and shame in my eyes, and pounced. “Diane, slut, who’s slut are you?”“Yours Sir!” She screamed.“Who owns your pussy and mouth?”“You Sir!”“When will I fuck my property slut?” With this he slapped her ass hard.“Mmmmmm…” Diane But her loser lip, “whenever you want Sir!” She screamed.Just then I noticed Sir wasn’t moving his hips. Again my wife was choosing to impale herself on this mans rigid cock, pumping her body back and forth wildly, her tits slapping against one another. She was losing herself to lust, lust for this man, not me.Sir looked at me, smiling. It wasn’t the same welcoming smile at the front door, nor the smile of pleasure from her lips on his cock. This was a dangerous smile, an evil smile, as he mouthed to me “She’s mine”.They continued to fuck like this for what seemed an eternity. I kept thinking her arms would give out but she kept going, and he kept slapping her ass, leaving red hand prints in her milky white skin. She must have cum five times before his grip tightened on her hips. Finally he reached forward and pulled her hair with one hand, pulling her onto her knees. Her back arched, her tits pushed out, he pulled her face close and kissed her deep as he thrust into her, pumping, cumming, both of them shaking. When he was finished he gently pushed her forward and she collapsed onto the floor, a sweaty disheveled mess, a pool of both their cum dripping from between her legs. Sir approached her, and placed a pillow under her head, a blanket over her body, and connected her leash to a couch leg. He kissed her on her lips and patted her head as she lay there, closing her eyes in the warmth of the fire.Sir then walked over to me, stood in front of me, and leaned down. “You’ve lost her little Tom. You’ll still be her husband, you’ll still raise the k**s with her, pay her bills, and love her. But she is mine now, you both are. There is no going back.” He stood up, wiped his cock on my shirt, and walked out of the room.To be continued?

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Blackmailing Mother – Chapter One

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Blackmailing Mother – Chapter OneBlackmailing MotherByMichele NylonsChapter One: Coffeehouse.I put down my newspaper and watched the woman cross the busy road. She waited for a break in the traffic and then strode purposely across the bitumen barely lifting her head from her from her phone, almost daring the steady stream of vehicles to take her on. A car beeped its horn at her and she stood still in the lane and glared at the driver, before striding off.She wore an expensive camel-coloured London Fog raincoat cinched at the waist, which hid her figure but it was obvious that the body under that bulky coat was worth more than a second glance. Even from this distance I could see that her long, shapely legs were sheathed in gossamer hosiery. Flesh-toned, almost transparent they were so sheer; expensive I bet. Her feet were shod in black, patent leather Christian Louboutin high heels. Her brunette hair was coiffured into a stylish bob, the nap hung to her shoulders, her fringe straight and level with her brows; discreet cerise highlights complemented her icy blue eyes.Her makeup was heavy, but perfect; dark smoky eyes, rouged cheeks, ruby-red lips. Her gold jewellery glittered in the dim light creeping through the overcast sky. I twisted in my seat so I could follow her progress as she approached the coffee shop. I had deliberately taken a booth in the back corner of the busy enterprise and had taken the bench seat facing the wall. I turned the other way as she entered the coffee shop. She took off her coat, shook it and hung it on the coat rack adjacent to the entrance. Her voluptuous figure was now fully displayed; she wore a tight-fitting navy-blue power suit, the hem of her skirt resting well above her knees. Several of the male customers turned her way to gawk.She struggled to squeeze between the crowded tables as she made her way to my table at the back of the room. I stood up as she approached. She gave me a forced smile and air-kissed my cheek, I was immediately enveloped in her perfume; something spicy and expensive. She smoothed her skirt under her as she slid into the booth across from me.The looked at me with steely blue eyes.“What is it now Nathan? An increase in your allowance? Uni fees so you can study Patagonian Basket Weaving? Crashed your car?” her disdain for me evident in her voice.Her phone vibrated and she quickly lost interest in me and began to text.“Order me a skinny latte darling,” she didn’t even look up at me.“And make it to go.”I was taking her away from important matters and she barely had time from her busy schedule to deal with me.She hardly noticed when I stood, but a look of annoyance and disgust crossed her face as I slid onto the bench seat beside her.“What the hell…” she began.“No. Look at this Bethany, I’m sure you will find is very interesting,” I held my iphone in front of her.I pushed a bud into my ear and offered her the other.“God no,” she looked disgustedly at the proffered earbud.“It’s better with sound,” I insisted and brushed aside the nap of her hair pushed the bud into her ear.Before she could protest again I pressed play and the video began to stream on the screen of my iphone. Bethany became silent and sat stunned, her mouth agape.On the phone in vivid colour a woman lay on a bed her legs spread wide. Her panties and pantyhose were bunched around one ankle but other than that she remained fully clothed. Her skirt was hiked up and a man, also fully clothed, lay between her legs performing cunnilingus.The woman was writhing with lust, pressing both her hands on the baldhead of the man as he lapped at her cunt. She was gasping and moaning with wantonness and delectation.I tapped the volume button and the woman’s squeals filled the little buds.“Oh my god Roger, that’s so fucking good,” her heels drummed on the bedclothes.“Now fuck me! Fuck me!” she pawed at the man, encouraging him to mount her.The man began to unbutton the woman’s blouse but she slapped his hands away impatiently.“We don’t have time for that Roger! Just fuck me!” the woman gripped the man’s long thick penis, protruding from his trousers.She arched her back and guided him to her sex. The man slammed his cock into the woman’s vagina and began to fuck her vigorously; she lifted her legs, crossing her heels behind his back. The woman was still wearing her high heels and she uncrossed her ankles and raked the stilettos on the man’s flanks.The man groaned and fucked the woman harder. She wrapped her hands around the man’s neck and pulled his face to hers and kissed him passionately as he ground her pubis against his, her orgasm evoking a stream of obscenities which she gasped into the man’s open mouth through her red lipsticked lips. The man ground against her, obviously spending himself.They writhed on the bed until their climaxes subsided. The woman, now sated and disinterested, pushed the man off her and reached out to the nightstand and grabbed her phone. She lay there, her skirt hiked up, legs wide open as the man’s issue dribbled from her vagina, ran down the crevice between her buttocks and soaked into the güvenilir canlı bahis siteleri towel on which she lay.The woman checked the messages on her phone as she absentmindedly reached for a handful of tissues and wiped her quim. The man wiped his penis and put it away, zipping his fly. He bent down and pecked the woman on the cheek.“Same time next week?” the man asked as he put on his jacket.The woman nodded absentmindedly still fiddling with her phone. The man went out of frame followed by the sound of a door closing. The woman rolled over and put the phone on the pillow so she could still see the screen while she kicked off her heels and began to pull up her pantyhose and then her knickers.I froze the video there and popped the earbud from the woman’s ear and plucked the other bud from mine. The woman just sat there stunned, staring at the frozen image of her pulling up her underwear on my iphone.The woman finally tore her gaze away from the phone and looked at me; there were tears forming in the corners of her eyes.“What do you want?” she whispered, her voice shaky.“I want this,” I whispered back at her, my voice was shaking too.I slipped my hand between her legs and lazily stroked her gossamer-clad thigh, my fingers crept under her skirt, lingering briefly in the crease where her thigh met her groin. Then they slid across the front panel of her sleek satin panties and pressed the silky fabric into her cleft. I rubbed the satin panty crotch against the gusset of her sheer-to-the-wait pantyhose and felt her outer lips open as I pressed my fingers into her mound.The woman froze, she was astounded at my brazenness. She gasped and then issued a sob; covering her mouth to smother the sound in the crowded coffeehouse.“I want this mother,” I whispered in her ear and began to stroke my fingers between her legs.She gripped my wrist and held my hand still.“You’re crazy Nathan. I always knew you were a strange boy with strange wants and needs, I’ve found enough evidence of that over the years; but this is preposterous!” she tried to move my hand from between her legs.“As preposterous as you fucking dad’s brother; getting rogered by Roger,” I smirked.“And you and Dad in the middle of a bitter divorce. Sure, you have the great job, the nice apartment, the BMW and the Merc; your designer clothes and your high-flying friends and acquaintances. But that’s nothing compared to half of Daddy’s fortune…is it mother?” I grinned viciously.I gripped her thigh despite the hold she had on my wrist.“I bet Daddy would be very grateful to me if I gave him a copy of that video. Very grateful indeed,” I released my grip on her leg and patted her thigh.“Ok. I get it. How much,” the venom evident in her eyes.“Oh we will get to that. But first I want this,” my hand slid back between her legs.She slammed her knees together, trapping my hand.“You’re fucking crazy Nathan! What you’re proposing is not only disgusting, it’s i*****l,” she hissed, trying to keep her voice down.With my free hand I manipulated my iphone and held it so she could see it. The email program was open with a draft message on the screen addressed to my father. ‘This will interest you,’ the message read; there was a file labelled ‘mom being Rogered’ attached to the email.“This is what’s going to happen mommy. You’re going to pleasure me right here, right now, and I’m going to do whatever I like to you while you do it. If you don’t I’ll send the email. If you deliberately bring attention to us I’ll send the email. If you try to leave I’ll send the email,” I grinned at her.“You are fucking crazy!” she hissed.I said nothing. I looked around the coffeehouse and saw that although it was crowded, everyone was busy talking or playing with their own phones; no one had time for anyone else anymore.I took the newspaper and spread it out across both our laps. Being in the back corner booth we were shielded from everyone anyway, but the newspaper was an added precaution.“What the fuck are you doing,” mother whispered, her voice heavy with concern.“This,” I whispered in reply removing my hand from between her legs.She was momentarily relieved until she realised what I was doing. The ominous sound of my fly unzipping could just be heard above the chatter and din.“Oh my god no!” my mother squirmed in her seat, trying to force herself into the corner of the booth.I took my hand from under the newspaper and my finger hovered over the send button on the email on my phone.Mother gulped and then she sighed. I grinned, figuring that she was now resigned to her fate.“You fucking pervert!” she muttered.I raised my brows and wriggled my finger over my phone.“Ok. Jesus ok! Take your finger off the phone!” she gasped, a tear ran down her cheek.“Put your hand where it belongs first,” I insisted.Mother sighed and the newspaper crackled as her hand tentatively crawled under the table and into my crotch. The back of her fingers grazed my erect penis and I flinched and let out a sigh.I had been dreaming of this moment for so long that it now seemed like a dream.I leaned into my mother and güvenilir illegal bahis siteleri breathed in her perfume.“Take it in your hand,” I whispered in her ear.She gulped and nodded tentatively.Her fingers closed around the girth of my phallus. It was big, a lot bigger than Uncle Roger’s.“Oh my!” my mother was surprised.“It’s been a while since you saw it, isn’t it mother,” I sniggered.My face was so close to hers that I could taste her sweet breath.“You know what to do,” I wriggled my hips slightly.My mother slowly began to stroke my hard cock. It was thick and veiny, the angry purple glans leaking pre-ejaculate already. My mother used the pre-ejaculate to lubricate the shaft as she ever so slowly and ever so lightly stroked my erect penis to full tumescence.“Mmm,” I purred.My mother was being tentative with me because she hated what I was making her do, but unbeknown to her, she was playing into my hand. Had she just gripped my cock and wanked it I would have ejaculated immediately; as it was I was now receiving full enjoyment from my mother’s ministrations.I slid my hand under the newspaper and stroked my mother’s knees. I had always longed to play with her nylon-encased legs; it was my greatest fantasy. I slid my fingers up her thighs, taking my time, my fingers lightly exploring her smooth flesh.My mother gasped. She closed her legs tighter. I leaned in closer and nibbled on her earlobe, chasing her face as she tried to move away.“Stop it! I’m not fucking around anymore! One more show of resistance and I’m sending the email and you can eat shit!” I hissed in her ear.She slumped visibly and nodded slowly, tears running down both cheeks.I moved my lips to hers and began to kiss her. To anyone looking at us we would appear to be two lovers necking while we waited for our coffee.I slid my tongue into my mother’s mouth and felt no resistance; she was now utterly compliant but not actively participating. It was good enough for me. In fact it was perfect.My mother slowly stroked my throbbing cock as I kissed her, enjoying the sweetness of her breath, the taste of her lipstick. I began to stroke her stockinged thigh, gently prying her legs open. My hand slid under her skirt and once again my fingers explored that silky crevice where her plump thighs met her body. Her nylons were soft and silky to my touch.When my fingers began to slide across the slinky satin panel at the front of her panties she gasped into my mouth.“Please don’t,” she whimpered around my tongue.Her fingers closed tighter around my cock and I figured her ruse was to get me off quickly before I ventured into places forbidden.“You don’t get off that easy mom,” I sighed and kissed her harder.My tongue explored her mouth while my fingers explored under her skirt. I caressed the satiny fabric of her panties, enjoying the feeling of the shiny material rubbing on the gusset of her sheer pantyhose. I thought I could hear the whisper of her knickers rubbing on her pantyhose over the slight rustle of the paper.I slid a finger into the cleft of her sex, rubbing the crotch of her panties against the gusset of her pantyhose. I felt the shape of her mons and slipped my finger inside her panties and pressed it into her labia, rubbing the shimmering translucent pantyhose material against her clitoris.“Jesus no!” mom shuddered.“Please don’t,” she begged.But her body betrayed her. I felt her juices begin to flow and she involuntarily but instinctively pushed against my finger. It was only momentarily; but it was enough to encourage me.I moved my finger in little circles over her tender bud and felt my mother quiver against me and her sex begin to moisten. She dragged her fingers over the glans of my penis and worked the pad of one finger on my fraenulum.She could no longer pretend that she was not enjoying her participation in my illicit game; even if it was against her will.“Fuck you Nathan! I hate you for this,” she growled but her tongue suddenly came to life and she responded to my kiss.“Can I take your order?” a young girl stood grinning at the end of the booth.She couldn’t see what was going on under the table but she could see that a young man was making out quite passionately with an older woman.“Christ!” my mother whipped her hand from under the table and slammed her legs shut.I kept my hand where it was and deliberately pressed my fingertip on my mother’s clitoris making her gasp.“Two skinny lattes please,” I grinned up at the pretty young girl.“Sugar?” the girl asked.I ground my finger against my mother’s clitoris and was rewarded with a gush of vaginal juices. My mother squirmed in her seat.“No thanks,” I smiled.“You want any muffins, cake, scones?” she read from her menu.I pressed another finger inside my mother’s vagina. I could only get the tip inside her because her pantyhose prevented me getting it inside her any further.Mother gasped and drummed her heels on the floor.“I don’t think so,” I grinned up at the girl who returned my smile.“Anything else from the menu?” the girl continued her well-rehearsed litany.I worked my finger güvenilir bahis şirketleri inside my mother’s cunt while I thrummed her clitoris; her pantyhose gusset and panty crotch were now soaked with her secretions and she was biting her lips to stop herself from moaning.“Just fuck off and get the coffees!” my mother bellowed so loudly that people at nearby tables turned our way.“To go,” I called after the waitress as she spun on her heels to take our order to the counter.“You fucking asshole!” my mother hissed and smashed her lips against mine.Her tongue slid into my mouth just as her fingers once again found my manhood.Any pretence of reluctance was long gone as my mother firmly gripped my shaft and ran her fingertips over my glans, milking more pre-ejaculate so that she could stroke my hard throbbing cock.She opened her legs and allowed me full access to her sex; a tincture of the scent of her quim wafted up from under the table.I placed my free hand around my mother’s shoulders and pulled her to me; she reciprocated and kissed me hard, nipping at my lip and plunging her tongue deeper into my mouth. Her hand gripped my cock harder and she began to vigorously wank it.The newspaper fell from our laps but we didn’t care. I worked another finger inside of my mother’s quim, my fingers had finally pierced the diaphanous nylon and I could feel her pink, warm, moist flesh clutching at them as I worked my fingers in and out of her. I pressed my thumb on her clitty and gently rotated it.“Oh god!” my mother gasped into my mouth and her body tensed.I could sense her orgasm approaching as was mine.A mom and dad with a small boy and girl in tow approached the back corner of the coffee shop intent on taking the booth next to ours.They got one table length away from my mother and I before the mom realised what we were doing. She turned to her husband who was also shocked but couldn’t help but stare at us.“Come on k**s; let’s sit closer to the front of the shop,” she turned her c***dren around before they could see what we were doing and kicked her husband in the shins to get him moving.Mother was gripping my cock tightly now and squeezing it and teasing it as she vigorously wanked and stroked it. She felt it begin to palpitate and knew I was about to ejaculate. She tried to aim it away from her but I thrust my free hand under the table and forced my cock against her leg.“Oh my,” my mother mewed as scalding hot semen erupted from my cock and splashed onto her pantyhosed thighs.Mother orgasmed with me; she pulled me close, driving her tongue into my mouth, biting my lip as she tried to stifle her scream. Her whole body shook as I worked my fingers in and out of her spongy, clinging cunt and thrummed my thumb on her clitoris.Her heels drummed on the floor.The most intense orgasm I had ever felt washed over me, the epicentre was the glans of my penis which was spewing a gelatinous fountain of warm semen over my mother’s legs. The veins in my shaft throbbed and bulged as I climaxed. I pushed my cock onto my mother’s silky thigh so I could feel the tingly caress of her nylons on my manhood as she drained the last of my seed on her expensive sheers.Mother convulsed and shivered against me; pulling me close to her as she climaxed. Her crotch was drenched in her juices and the musty smell of semen and tang of vaginal secretions enveloped us.We clawed at each other until we were both spent and then we simply held each other in silence as the enormity of the offence against nature that we had just committed dawned on us.My mother extricated herself from my embrace and pulled my hand from under her skirt. I saw tiny globules of my semen clinging to her red fingernails as she reached for the paper napkins.She wiped her legs, vainly attempting to mop up the semen that had soaked into her stockings. She wiped between her legs and adjusted her panties, pulling down and straightening her skirt, then she sat up straight. She scooted into the corner away from me as I took a wad of napkins and wiped my deflating penis and pushed it back into trousers. I zipped up and then bent down and picked up the newspaper.There were gobbets of spunk on it so I folded it shut and put on the table.You could cut the silence with a knife; both of us unsure what to say to each other. Mother reached into her bag and pulled out her compact. She fixed her makeup and repaired her lipstick.I looked around the store but if anyone had been paying any attention to us they had lost interest. Two teenage couples were engaged in their own make-out sessions elsewhere in the shop and no one was paying attention to them either. The mom who had guided her family away from us gave me look of disgust however. I just smiled and shrugged at her.Our waitress returned with our coffee and made a fuss of putting it on the table along with more napkins. She put a little plastic tray on the table with the check in it.My mother couldn’t look at me; she stared vacantly out the window.I stood up, pocketed my phone, picked up my coffee and squeezed out of the booth, ready to leave.My mother’s hand shot out and gripped my wrist. She looked up at me beseechingly. “So… is that all?” mother whispered; her voice no longer haughty but cowed and subdued.“Oh no mother; that is not all. We’ve only just begun,” I smirked back at her.I left her to get the check and strode out of the coffeehouse.To be continued.

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Real Step Aunty (Real Scandal)[*This is my REAL life story,accidentally had sex with my own step-aunty.She was 44, while I was 30 when it happened.I will try to write it as detail as I could in english].————————————-I have used to stay in uncle’s house everytime I visit this city,for vacation, friends appointment, or any other activities.This is his second marriage with his new wife, so I called her my step aunty.Lately, Uncle had been busy having business meetings abroad,usually takes up to 3 or 4 days leaving, but this time he left for a two weeks.It was my fifth day staying in the house.I was watching television in the living room just after I finished my dinner, as usual.My (step) aunty just finished preparing her son school-bag for tomorrow,and ready to take her son for bed.”..dont forget to lock the door and turn off the light before you go to sleep, ok ?”,She said to me while she went upstair to her son’s bedroom.”Ok, aunty”, I replied.Just after about half an hour,she went out from son’s bedroom and closed the door carefully.Maybe her son already fell asleep.Still from upstairs, she looked at me still watching tv downstairs,”..you still awake ? You dont feel sleepy yet ?”, she asked.”Maybe later soon, Aunty..”.Then she went to her own bedroom and closed the door.About almost 10 or 20 minutes later,I accidentally heard this so low noise from upstairs,”..ssh, uhmm.. ohh.. .. .. sssh.. ohh.. aww.. yess..”,then silence again.Well, Im a grown up man, so I dont need to ask myself what happen.I know maybe she felt lonely that Uncle has always been busy leaving the house lately,and it was normal for her to maybe masturbate herself sometime.I pretended not hearing anything about it, and continue watching tv.Ten minutes later, the door upstairs open,Aunty came out her bedroom and now walk downstairs.”It seems that the tv channel is interesting to watch that keeps you still awake..”.”..uhmm, well I just dont feel that sleepy yet, Aunty”, I replied her.Then she sits in the couch next to me, maybe bahis firmaları wondering what movie I watched.For the first time, I can now see my step aunty in her thin sleeping dress.That thin so I can almost barely see her nipples behind the dress without her bra.I know, the sweat that still dripping in her bodyhas something to do with what has just happened upstairs several minutes ago.The smell of her warm wet sweat, somehow turned me on real bad that moment.Does she also wearing no panty ?, Is it hairy ?, naughty questions in my head.But damn, she is my aunty, my uncle’s wife, dont be stupid !We chatted nicely that moment for several minutes later,until the movie showed about a couple having sex-scene.I keep myself in silence like nothing to watch, but then she said,”..they both look sexy, dont you think, eh ? Her breast also big and heavy, I guess”.”..uhmm, yea.. maybe..”, I dont know what to comment.”Unlike mine, is that what you want to say, eh ?””Not like that, Aunty. It’s just.. ..”, I havent finished answering,then she touched her side breast and looked at me closely.”..and what do you think if.. you tell me more about this ?”,she slowly puts down her left shoulder dress tie.Now I can see her left light brown hard nipple clearly.I was kept in my own silence for several seconds.It was no longer smiley nice face between me and Aunty,there were almost likely filled with passion and hunger of something.Oh Lord, help me.I dont know what has gotten into me,I suddenly put my mouth in her nipple, kissing and licking it with my tongue.She didnt refuse me, she even puts her hand in my head,as if she wants me to do it more and harder.Naturally, I was about giving her a kiss in her mouth,”..please, no mouth kissing, you’re still my nephew someway”, she said.Instead, she stands up and grab my hand,take me rush into downstairs bedroom where I usually sleep.Closed the door, she pushed me down to the bed.We undressed each other then she sit in my lap above me.I can really see now the whole body of my step aunty, kaçak iddaa no longer a fantasy.Her breast is so natural, the pussy is also hairy, the way I like it from a mature.She looked at me with sharp eyes, and surely we both had a fast heartbeat that moment.”Do you know what i have just done in my bedroom upstairs ..?..I masturbated myself real good..”, she said.I know.”But it hasn’t finished yet”, she continueswhile grabbed my hard cock, guiding it to her wet pussy.”I masturbated, thinking of getting fucked.. ..”,my cock’s head is already in her pussy’s lips now,”..by YOU !”,she suddenly push her body down,my cock is now fully slide inside of her wet warm pussy !”..Ooohh.. ssshh..”, we both now became one.My step aunty’s pussy felt soo warm and good.I just cant believe it really happens.She smiles at me, and tries to move her ass up and down slowly.I adjust her movement with my hips, and it feels so much better, more.. and more.So sexy and so real.I am fucking my own step aunty,and I love it.”Aunty, can I make a record with my phone.. ?”, I carefully asked her.”..for myself..?”.She keeps riding me fast and faster,”..if you like, ..whatever.., but promise me you will really keep it for yourself, okay ?”,she was too horny that moment.”..keep it away from my face..”.”Okay, Aunty..”, I replied, then soon make a video record with my phone.She doesnt really care about it as she was having her excitement fucking with me.”You’re cock so good, really love it much.. sshh..”, she whispers in passion.She pumps and shakes it harder, I know she really enjoys riding me.”Im so close, I can cum at anytime soon.. ahh..”.”I love you, Aunty..”, the words came out from my mouth.”No, you dont love me, you can not.. sshh.. ahh..”, she replied in horny.”..ohh, it’s just sex, please, sshh.. no love between us, oohhh..”.About ten minutes later,”..ohh, Aunty, Im almost, sshh.. can I cum inside you ?”, I just cant help myself any longer.”..NOo, wait for me, Im close.. ahhh.. Im so close now.. Im.. Im..”, she half screams.She sweats all kaçak bahis of her body, dripping to her pussy and ass.The sound of our sweating pumping body is soo incredibly sexy.She grabs my arm so hard now,”..Im.. Im.. ohhh.. sshhh.. ahhh.. ..”, then short silence..”..sshh.. aaaahh.. Im.. Im.. CUMMING nooowwww… aaahhhh.. aaahhh..”.Now, I can really feel her pussy so much different,it feels so wet, much warmer and more slippery like not the same before.It also feels as if my cock was pushed out from the pussy,but she just cant let that happen.She CUMS, she reaches her orgasm !Her whole body is trembling and shaking hard above me.I can see her white wet juicy cum gushing out from her pussy,sticky and thick, dripping to my stomach.So sexy.”Oohh… ssshhh… sooo.. nice.. to cum.. sshh.. ohh..”.She moves her hips slowly and much slower as if she loses her strength now.I really cant help myself that moment, I just cant !I pulled out my cock, let it rubbed by her juicy pussy lips outside, then….cumshot..Cum and more cum shooting in my stomach,a lot of cum sprayed out from my cock.”Aahh.. aaaggghh.. ooohhh.. Aunty, I cum..”,I CUM,I cum so good, really good,for my aunty !I can still feel her wet pussy rubbing my cock, only so much slower now.Then she lets her body fall into me, powerless and weak.Her breathless voice next to my ear, showing that she felt so excited and satisfied.She then kissed me in forehead and smile.”..I love you too..”, she whispers to me.”..but, promise me it is only between us, okay ?”,then she lay down on bed next to me.”Thank you, Aunty, and I am sorry about this”.”I know, and I am sorry too, okay ?”, she replied.After ten minutes laying down in bed,”..this one is for you, maybe the first and the last”,she kissed me quick in my lips then stand up from bed.”Remember, it is between us only, remind yourself, okay ?”,she dresses herself up and leaving me naked in bed.”Uhm, the sex or the kiss, Aunty ?”, I try to make a joke.”Maybe both, crazy nephew..”.”I love you, Aunty”, I said it again before she opens the door.”Shut up, and go wash yourself too before you sleep. Have a good dream and good night”,she closes the door and walk upstairs back to her bedroom.I just had it, Aunty.Good dream turns into reality.

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La famille machadeDidier 42 ans retourne chez sa mére suite à la perte de son emploi pour alcoolisme, suivi d’un divorce à ses torts .Souvent après le boulot avec quelques collegues on se retrouvé autourde quelques pastis .Au finale je me suis fais virer pour avoir picoler à lapause casse croutte à 17h à l’usine , un peu mal de voir mon collegue qui devait emmenager avec ma femme et son fils de 19ans chez lui .Plus d’un ans qu’il se voyais en mon absence apparement bien organiser avec des collegues du bistrots .Ma mére 62 ans veuve à l’age de 38 ans après le décés de mon pere peintre en batiment chuter de l’echafaudage motif , alcoolisme .Ma mére me dit j’ai un mois pour trouver une solution .Elle me parler presque pas , sans cesse avec son portable et son pc sur skype et facebook. Les trois premiers jours je bouge pas mal isncription pole emploi , demande de logement aide diverse etc …Le troisieme jour je rentre vers 15h et la je vois ma mere avec unhomme que je connaisser de vue , elle me presente en vitesse lui racontant ma bref vie qui de**** .Je le voyez carresser les jambes de ma mere en me disant qu’il été un ami , ma mere me demandant de les laisser .Je part dans la chambre , en écoutant à la porte , elle se leve pour fermerla porte du salon , je sors de ma chambre pour entendre et glisse mon oreille à la porte .”Allez laisse toi faire -Non on va ailleur ” Mais il est pas la , il reviendra pas -Chut je te suce alors”enleve ton string ma salope et suce ma queueJ’étais comme un fous derriere la porte en sachant que ma mere sucer le mec que je connaissez de vue dans la rue , un habitant du coin .Je me souvenez aussi de mon jeune age quand j’entendais mon pere taper ma mere et l’insulter de grosse pute .”Allez avale ma semence grosse chienne .- Hum c’etait bon Mr Benatia ” Je reviendrai surement vendredi apres midi , debrouille toi pour être seule sinon tant pis pour toi .Et après une conversation sans interet il pris la porte .Le soir à table , je lui demande c’est qui cette ami et elle me repondque ses un voisin proche qui viens boire le café de temps en tempset raconter ses histoires .Apparement c’est donc un Messieur marié de 52ans au chomage lui aussi .Le soir même , je canlı bahis part au bistrot , je rejoins quelques anciens collegueset la il me parle de david le mec qui est partie avec ma femme ,en leurs disant que ma femme revivez mieux ,que niveau sexe sa n’avez rien à voir que je l’avez jamais fais jouir etc …..je me suis facher en partant et revenu chez moi plus tot que d’habitude 22h15 et la j’entend du bruit et des rires dans la chambre de ma mere .-C’est toi didier !-Oui , tu fais quoi -T’occupe reste dans ta chambre .et la j’entendez des chuchottement sa chambre toucher la mienne .Et la j’entendais des claques -Chut il va entendre – je m’en tape de ce cocu , ton fils c’est un alcoolique-Oui il fais le meme cheminn que son pere .-Il doit en avoir une aussi petite que lui-Surement sabine (mon ex femme ) m’as dit qu’il étais nul au lit et bandertoujours mou (rire)J’étais dégouter d’entendre tous sa sur moi , qui étais ce mec pour porterun jugemement sur moi sans me connaitre .-Hum t’es une bonne chienne toi , leche mon cul , met ta langue …Viens dans ta douche je vais te pisser dessus -Non il va entendre -Ecoute viens la grosse chienne , depuis quand tu commande toi-Aie tu me fais mal Je supposer qu’il la tirer par les cheveux .-Rentre la dedans ,et ouvre ta gueule de pute Voila bois , ta soif un , sale chienne.j’avoue que j’avez la queue à l’air imaginant la scene un fou le mec , je voudrais vraiment savoir qui est cette personne u bout de 20 bonne minute il decide de partir en lui disant à bientôt .A travers les volets ,je vois un gars de dos avec une allure assurerparraissant plutot jeune .Je sort de ma chambre ma mere nue avec des bas comme seule vetements-Degage de là , tu fais quoi-C’est qui le mec qui est venu-Sa te regarde pas , je fais ce que je veux de ma vie .-Ben oui mais je t’ai entendu raconter la mienne -Arrete et retourne dans ta chambre -Moi aussi j’ai envie de profiter-Degage de là , ou des demain je te vire d’ici et tu te demmerdeet la elle partie dans sa chambre claquant la porte je retourne dans ma chmabre en me branlant comme un malade .J’étais perdu , j’avez envie de baiser ma mere , cette femme banale forte , des gros seins qui tombe mais j’ai vue cette bahis siteleri chatte rassée .Le lendemain matin , on repris la conversation en lui disant qu’elle pouvais recevoir meme si je suis là , et que je partirez dans ma chambrequand il le faudra .Elle me repondu que non qu’il fallais que je quitte l’appartement- Ben il viens quand le mec-Il viens à l’improviste il a pas l’habitude que tu sois la-Il a quel age il fais quoi-Il a 28 ans et chauffeur de bus -Ah bon tu la connu avec le bus- Oui voila et on sympathiser 10h45 sa sonne elle a repondre et j’entend – Non une autre fois je peut pas la , j’ai du mondeJe me leve direct , j’ouvre la porte d’entréeet l’invite a rentrer tu viens baiser josianne -Oui c’est prevu comme sa -Comment sa c’est prevu depuis quand -J’ai donner les 20 euros a samir -C’est qui samir , explique moi toi -T’occupe ses pas tes histoires .-Tu vas faire ce que tu as a faire je vais dans la chambre20 minutes plus tard le type étais partis et ma mere pleurer -Pourquoi tu pleure -Car sa me derange que tu sois là -Que tu fasse la pute pour un mec -Mais non c’est un copain , sa lui fais un peu d’argent .- Ah oui tu donne ton cul pour 20 euros toi- Et toi tu fais quoi hein , a part picoler , t’es incapable de retrouverune femme , tu pense que à picoler .-Tiens tu voulais savoir si ma queue etais belle , tiens regarde-Ben oui elle est petite -Suce moi tu vas voir , fais voir ta chatte hum-T’aime sa coquin -Oui tu me fais bander maman et ahhhh-Ben déjà !!! , ah la la .allez degage c’est bon et je partie dans la salle de bain et ma chambre Je devenez fous ma mere étais une grosse pute du quartier .je decidai de sortir pour me renseigner sur ce samir On me dit qui c’etait , effectivement je le croise regulierement toujours entrain de zoner ,il dois avoir 25 ans le mec ma mere en à 62 .Je rentre et j’entend encore un mec dans sa chambre , en faite c’est tous le temps , ce matin , cette apres-midi .Apres sa elle decide de partir en course J’allume son pc , son skype s’allume direct plein de message apparait mais ce que je recherche c’est les conversationsavec ce samir .Samiraie , je decide de lire .Je comprend vite que c’est son maitre elle l’appelle comme saouh la la bahis şirketleri , c’est pire elle est sous son emprise , et je vois en fin de message je passe vendredi apres-midi .On est jeudi , je lis quelques truc vite , fais , elle à effectivementune reputation de chienne .Je partie chercher faire des courses aussiwisky pizza , je reviens pour 18h30m’installe avec ma mere et on parle vite de sexe tous en buvant les wisky-Tu faisais cocu papa aussi-Met ton pere , c’est deja lui qui me faisait baiser avec ses potes .-Ah bon , pourtant il te commander – Ah sa oui , et il fallais ce taire-Et ce samir c’est pareil avec lui -Oh lui il rigole pas tu sais , il est tres hard-T’es sa soumise -Ben oui je l’ecoute -tu prend du plaisir -Oui il est pas mechant sinon -mais il profite de toi- sa durera pas il veux ce marié avec une arabe-Mais sa fais combien de temps avec lui – Un peu pres 6 mois -C’est arriver comment-Il m’as dit Je remonte avec tes courses ,et tu me paye un verre-Et j’ai dit oui et voila-Hum , t’es une grosse pute , laisse moi fouiller ta chatte- vas y mon salaud , venge toi de ta femme qui te cocufier parce que tu la baiser pas et mal.-C’est un pute elle est partie avec lui pour son fric -Mais non regarde sa bande mou , c’est tout petit tout sa -Tu trouve -Mais oui si tu savais comment fais un vrai mec-Quoi tu me prend pour une tafiolle , viens la-Arrette calme toi-Tourne toi grosse pute tiens tiens arhhhhh-Mais sa à durer 30 secondes !-Arrete ta encore le sperme sur ton gros cul-Allez va laver ta queue , je vais rechauffer les pizza .Après les pizza , ma mere va sur son skype et moi je me resert à boireen la regardant de dos elle rie toute seule ,concentrer sur son pc .Je me leve sort ma queue et m’astique derriere elle , elle se retourne -Petite bite , t’as encore envie -Suce moi sale pute -Eh je suis ta mere quand même -Mais t’es une pute , un trou à bite , tiens regarde la bouteilleje la pris et lui enfonce jusqu’a la moitié sans difficultés .Sa avez l’air de l’exciter la grosse-Hum vas y , fais du bien à ta mére – Demain ta ton maitre samir qui viens-Oui comment tu le c’est-On me la dit -Ah bon qui te la dis -T’occcupe je serai là-Non il faudra que tu parte -Non je veux voir comment tu es soumise-Il va gueuler tu pourra pas-Mais c’est un gamin il a 25 piges-Non mais c’est un caid-Pff tu parle , une petite racailleEt la soirée ce termine une petite heure plus tard ejaculant rapidement .

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Fouzia 1

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Ass

Fouzia 1Mon ami Fred m’avait invité à son mariage avec une maghrébine .. J’avais été étonné par une réflexion de sa part au moment de l’arrivée de la mariée. Deux femmes étaient là et il ne savait pas laquelle était sa fiancée … Encore une histoire de mariage blanc sans doute ?¨Pas de bol ! L’heureuse élue était celle sur laquelle j’avais flashé … Plus tard, Fouzia m’avait avoué qu’elle avait ressenti le même pincement de déception à ce moment- là car elle aurait volontiers porté son choix sur moi si nous avions eu le temps de nous rencontrer avant cette cérémonie arrangée. Le sage chemisier en dentelle de la demoiselle ne parvenait pas à cacher des nibars plantureux propres à remplir la main d’un honnête homme. Les deux futurs mariés me précédaient sur le chemin de la mairie ce qui m’avait permis de mater les hanches bien larges de la donzelle. Mais une certaine gêne dans la démarche avait permis à mon œil exercé de deviner que le Petit Chaperon Rouge n’avait certainement pas encore goûté au loup. La cérémonie et la fête se passèrent bien. Il y avait beaucoup de monde canlı bahis au couscous. Mais je dois avouer que j’avais fait plus acte de présence qu’autre chose. Fouzia et moi avions bien échangé quelques regards complices où se mêlait une ombre de regret mais enfin, c’était comme ça dans cette situation coinçante … inshallah ! Tout le monde rentra chez soi et la vie reprit tout en me disant que Fred avait bien de la chance. On m’invita comme ami de la famille et la connivence s’établit peu à peu entre Fouzia et moi. Les invitations se multiplièrent à l’initiative de Fouzia. Je sentais une certaine tension monter entre Fred et elle. Ils me faisaient manifestement jouer le rôle de modérateur. Jusqu’au jour où ils se jetèrent à l’eau et m’annoncèrent après le thé traditionnel qu’il y avait un grave problème entre eux. Fred, quelque peu gêné en bon occidental d’éducation judéo-chrétienne n’osait pas parler le premier. C’est Fouzia qui prit l’initiative de me dire que, depuis le mariage, il ne s’était rien passé entre eux. Ils faisaient chambre à part : Fred n’était pas bahis siteleri circoncis et il était hors de question pour elle de baiser avec un mec dans cet état. Elle me demandait mon intervention pour le convaincre de passer sous le bistouri. J’usai de tous les arguments mais Fred callait absolument et ne voulait pas entendre parler de « cette horreur ». C’est là que je me suis jeté à l’eau moi-même avec je dois bien l’avouer, une idée derrière la tête parce que mon attirance pour la belle maghrébine ne faisait qu’augmenter de jour en jour et je sautai sur l’occasion en lui lançant à elle un message on ne peut plus explicite en faisant semblant de vouloir convaincre Fred. Je leur dit donc que j’étais moi-même circoncis et que je n’y avais trouvé que des avantages après les légers désagréments dansles quelques semaines de la cicatrisation. Comme cette conversation inattendue avait commencé à m’émoustiller et que le regard tout à coup pétillant de Fouzia ne m’avait pas échappé, je m’étais mis à bander. Pour donner le change, j’en ajoutai une couche en leur confiant bahis şirketleri que, depuis ma circoncision j’avais pris l’habitude de m’épiler et que c’était beaucoup plus chouette. Fred muré dans son refus était monté dans sa chambre coupant court à la conversation plutôt qu’à laisser couper court à son zob. Il ne me restait plus qu’à rentrer chez moi parce qu’en plus, je ressentais une nouvelle trique d’enfer. . Obligé de me lever pour partir, il était impossible de cacher l’état dans lequel je me trouvais. Fouzia perçut immédiatement le renflement qui grossissait mon pantalon. Elle me reconduisit jusqu’à la porte en me précédant avec un déhanchement des hanches digne d’une danseuse orientale tout à fait inattendu … Ô merveilleuse stupeur prometteuse des jouissances à venir, elle me glissa d’une voix passée dans les graves, en guise d’au revoir « Tu sais, moi aussi, je m’épile .. » Joignant le geste à la parole, elle caressa l’endroit du renflement en descendant même pour soupeser mes couilles avec une légère pression,; question de tester la marchandise. Elle m’acheva non pas en déposant un baiser sur mes lèvres mais en sortant sa langue en les léchant pour y déposer sa salive en offrande autant qu’en poison qui agirait à long terme pour amener mon désir à son paroxysme. A suivre …

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Vue sur le netJe m’appelle Séverine. J’étais une mère et une femme modèle, avec une carrière au top ; je suis devenue une véritable salope. Je vais vous narrer les différentes aventures qui me sont arrivées ces derniers mois et qui ont faits de moi un objet sexuel offerte à tous.Voici, pour commencer, une histoire qui m’est arrivée lors de l’anniversaire de mon fils.Les présentations, d’abord : j’ai 45 ans, j’ai 1 fils de 19 ans, des faux jumeaux (un garçon, une fille) de 17 ans et je suis cadre dans une grosse entreprise. Je pense être une femme plutôt jolie : 1m70, brune, mince mais pas maigre, de beaux gros seins (95C) et des belles fesses, fermes et rebondies (je fais du cheval). Il paraît que j’ai un visage joli mais fermé et un regard un peu sec (on me considère d’ailleurs comme une coincée à mon travail) alors que j’aime le sexe. Sur ce point, malheureusement, mon mari n’est plus aussi svelte qu’autrefois et son gabarit pèse de plus en plus sur ses performances. Nous avons donc encore quelques rapports mais sans grand plaisir pour moi et j’ai donc pris l’habitude de me satisfaire moi-même. Voilà pour les présentations. Mon histoire s’est donc déroulée lors de l’anniversaire de mon grand fils qu’il a voulu organisé à la maison avec ses copains. Aucune fille dans la bande, juste une dizaine de gaillards du club de foot et du lycée… C’était un mercredi après-midi, mon mari était au travail, mes autres enfants en club. Moi-même je suis restée à la maison pour organiser (et surveiller) l’anniversaire, ce qui a considérablement énervé mon ados de fils ! – Tu vas pas rester à nous surveiller tout l’après midi ! C’est bon, je peux gérer.- Tu as tord de le prendre comme ça, j’avais prévu une petite surprise pour tes copains, lui dis-je.- et c’était quoi, cette surprise ?- j’avais prévu de vous servir en tenue de soubrette sexy ! Dis-je avec un sourire malicieux et pensant que ça l’amuserait.-hein, mais t’es malade ! Tu vas pas te promener habillée comme une… pute ! Il lâcha ce mot avec tant de mépris que j’en fût blessée. Même si je ne comptais pas réellement le faire, j’insistai et lui dit :- c’est pas bien méchant ! C’est juste une jupe un peu courte et un tablier… moi je trouve ça marrant ! – alors c’est que t’es une salope !A ces mots, je lui mis une gifle (son 1m90 ne m’a jamais impressionné) et lui hurla que sitôt son anniversaire passé, il serait punit et son père avertit ! Je repartis dans la cuisine en me disant que ce petit con avait besoin d’une leçon et qu’avant d’être une mère, je suis aussi une femme. J’eus donc une idée.16h, l’anniversaire se déroulait bien et mon fils, Hugo, semblait avoir oublié notre dispute. Pour ma part, pas en soubrette mais en jean moulant et débardeur blanc bien décolleté, je déambulais entre les garçons pour leur demander s’ils n’avaient besoin de rien. Je me penchais vers l’un qui jouait à la console, lui offrant mon décolleté, pendant qu’un autre pouvait regarder mes fesses à sa guise. Ce petit manège dura un moment et à chaque fois que je faisais mon entrée dans le salon, tous les regards étaient braqué moi, ou plutôt sur mes seins et mon cul ! Je ne suis pas spécialement une allumeuse en tant normal, mais j’étais contente de mon effet car Hugo s’énervait de ce petit jeu alors que ses potes semblaient adorer! Moi-même je me sentais un peu excitée et commençait sérieusement à avoir chaud, d’autant que j’avais autorisé la bière pour l’occasion. Au moment de l’ouverture des cadeaux, je décide de mettre la suite de mon plan à exécution, je finis d’une traite ma bière, je me place debout devant les garçons alors en train de regarder mon fils déballer ses cadeaux et mets un CD dans la chaîne hi-fi. Tout le monde reconnait immédiatement la chanson de Joe Cockers dans 9 semaines et demie et je commence à bouger au rythme de la musique. Les garçons se regardent et se demandent ce qui se passe alors que j’ondule des hanches et remonte mon débardeur pour révéler mon nombril. -J’ai une petite surprise pour vous les garçons, dis-je avec une voix de « salope » comme m’a dit Hugo. J’espère que ça va vous plaire !-Qu’est-ce que tu fous ?!?! s’exclame alors mon fils.-Bin quoi ? Vu ce qu’ils t’ont offerts, tes copains aussi méritent un cadeau !Tout en lui répondant et lui demandant de se calmer, je continue à danser, me retourne, me palpe les fesses en jouant avant le haut de mon jean que je baisse légèrement pour faire apparaitre la dentelle de mon boxer. Je regarde à nouveau cette belle brochette d’ados, me masse le ventre, remonte encore mon haut puis passe mes mains sur mes gros seins en les palpant généreusement. Les gars sont médusés et les commentaires à voix basse vont bon train. Mais personne n’ose s’adresser à moi, de peur que j’arrête tout. Mon strip-tease les captive et j’adore ça !Je continue à jouer avec mon haut, le monte de plus en plus, révélant progressivement mon beau soutien-gorge noir. Celui-ci est « push-up » et me fait donc une poitrine des plus sexy. J’enlève complètement mon débardeur, le jette au garçon devant moi avec un regard aguicheur et me penche en avant en malaxant mes seins. Son visage n’est alors qu’à quelques centimètre de ma poitrine et je continue de me ploter les seins en le voyant rougir comme une pivoine. Je me redresse et commence maintenant à jouer avec mon jean, toujours en rythme. Je le déboutonne, baisse le zip, puis commence à le descendre progressivement. Mon boxer noir à dentelle apparait alors petit à petit. Je me retourne pour leur présenter mon beau cul et joue un peu avec leur nerf en révélant très doucement mes fesses. Ayant révélé la moitié de mon derrière, je fais une longue pause puis baisse d’un coup le pantalon en tendant les fesses le plus possible. Tout le monde à présent à les yeux rivés sur ces longues jambes et ce cul, mis en valeur le boxer qui me rentre dans la raie. Je lève une jambe pour la dégager du pantalon puis la repose à coté, écartant ainsi une cuisse. Même geste de l’autre jambe et je me retrouve cul tendu, cuisses écartée devant 10 ados qui commencent sérieusement à s’échauffer.Moi-même à ce stade, j’avoue être totalement trempée et n’est qu’une envie, c’est de me doigter jusqu’à l’orgasme devant ces jeunes mâles. J’imagine mon sexe ouvert et dégoulinant de mouille face à ces ados qui ne pensent qu’à une chose : m’arracher mon boxer et me baiser ! Je me retourne, leur fait face en soutien-gorge et boxer et leur demande s’ils en veulent encore. Tous s’exclament que oui tandis que mon fils, manifestement en colère mais toujours dans la pièce à regarder, leur demande de se calmer car le spectacle est finit. Pourtant, sans l’écouter, je prends une chaise, m’assoit avec le dossier face à moi et, comme une professionnelle, écarte les jambes d’un coup. Je me penche en arrière, caressant mes seins en insistant sur mes tétons qui pointent, mon ventre, mon sexe au travers de la dentelle (confirmation : je suis trempée, le tissus aussi !). Je me remets debout, place les mains sur mes seins, approche mes doigts de l’attache située devant, la décroche et commence à jouer avec les 2 parties du soutien-gorge, sans révéler mes tétons. Les regards se font avides et impatients et je remarque que certains garçons se touchent maintenant le sexe au travers de leur pantalon, plus ou moins discrètement. Je me rends alors compte que tous doivent bander comme des malades et que 10 sexes durs me font face. Cette pensée m’excite au plus haut point autant qu’elle m’effraie et je me demande maintenant s’il n’est pas tant de tout arrêter, avant que ça dégénère. L’excitation me pousse à continuer un peu. Je redemande alors :- vous voulez vraiment voir mes seins ??- ouiii, carrément !! S’exclament-ils tous- vous pensez vraiment que je vais vous montrer mes gros seins et mes tétons qui pointent, les mecs ??- allez, s’il vous plaît ! Vous êtes trop belle ! – bon, d’accord…J’ouvre alors d’un geste rapide mon soutien-gorge, le laisse tomber par terre et leur expose fièrement mes beaux et gros seins. Ils sont fermes, bien ronds, lourds mais pas tombant et évidemment naturels. Je les masse, les soulève, les écarte puis les resserre, titille mes tétons très dur. Les gars n’en peuvent plus, gesticulent et se touchent le sexe de moins en moins discrètement. Hugo a les yeux rivés sur mes seins!Moi, mère de famille modèle, cadre dynamique, femme mariée, croyante et respectueuse de certaines valeurs me retrouve en boxer seins nu devant mon fils et ses copains. Et le pire c’est que j’aime ça ! Je suis dans un état d’excitation inédit pour moi, et si je n’avais pas eu de culotte, ma mouille coulerait le long de ma cuisse. Mon fils, très en colère au début, me regarde maintenant avec intensité et nous échangeons régulièrement des sourires complices. Il semble excité par la vision de sa mère à demi-nue. C’est après tout un ados plein d’hormones qui, je suppose, fantasme aussi sur les mères de ses copains, les MILF comme disent les jeunes ! Revenons à mon strip-tease. Jusque là, je maîtrisais la situation et me disait qu’en demandant aux garçons un peu de discrétion, surtout s’il en voulait un autre un jour, la chose n’aurait pas de conséquence. J’eu donc envie de pousser un peu plus loin le strip et commençais à jouer avec mon boxer tout en me trémoussant de la manière la plus sexy possible, tordant du cul, me penchant vers un garçon puis vers un autre. Les gars étaient chauds mais ils devinrent hystériques quand je m’allongeai par terre, sur le ventre et leva ma croupe cuisses écartés pour leur tendre mon cul et ma chatte qui, même couverte, se devinait sans mal derrière le tissus trempé. Je passe un doigt sur mon sexe et l’enfonce légèrement dans mon vagin. Le tissu pénètre sans mal mon orifice béant et je commence carrément à me caresser le clito à travers la dentelle. Je décris des cercles et pousse des petits gémissements. Pendant une minute, je me masturbe sans penser aux ados en train de me mater et ne cherche que mon propre plaisir. J’accélère mon mouvement et gémi de plus en plus distinctement. Je suis à 2 doigts de craquer et de glisser ma main sous le tissu pour me faire jouir. Mais je reprends mes esprits et me dis qu’il est temps d’en finir. Je me relève et annonce aux garçons que ce boxer est décidément de trop ! Devant l’enthousiasme général, je baisse d’un coup mon boxer et me retrouve alors….. en string ! Hé oui, depuis le début, n’étant pas sur de jusqu’où j’oserais aller, je me suis gardé cette dernière parcelle de pudeur. Hors de question (au début) de me mettre complètement nue devant ces gamins en rut, cela devait rester un strip coquin ! Les regards sont alors surpris, un peu déçut, même celui de mon fils qui voulait voir, je pense, la chatte de sa mère. Je me dirige vers la chaine hifi, stop la musique et, faisant dos à mon assistance, leur tend une dernière fois mes fesses découvertes. – le spectacle est finit les garçons ! – Oh non ! Vous pouvez pas vous arrêtez là ! Vous êtes trop belle madame, on veut vous voir nue ! – Dans vos rêves les gars… Hugo, tu peux aller me chercher un peignoir dans ma chambre ? Il s’en occupa sans rechigner, sans doute un soulager de la fin de strip, même si, lui aussi, aurait voulu me voir nue.- A POIL, A POIL, A POIL, s’exclament-ils tous alors en cours comme des supporter à un match.- Non les garçons ! Vous en avez assez eu !- Sérieux, Séverine, continuez ! Vous êtes trop canon ! On dira rien à personne si vous vous mettez à poil. Hein les mecs ? C’était Valentin qui parlait, le meilleur ami d’Hugo, 17 ans, 1m80 et beau garçon. Son sourire et ses arguments,commençaient à faire mouche, te tout aider par une excitation et une curiosité malsaine.-Donc, si je comprends bien, j’enlève mon string et on en reste là ? C’est tout ?- C’est ça et personne ne le saura jamais…- Bon….. alors ok……- Trop bien ! Merci !C’était l’excitation qui avait parlé,, et aussi la curiosité de me mettre nue devant quelqu’un d’autre que mon mari ou mon gyneco… De beaux jeunes hommes pleins de vitalité qui manifestement me trouvait bandante : ça me plaisait ! Je me retourne donc, commence à baisser mon string en tortillant du cul, jambes serrées car il est hors de question que j’expose ma chatte comme une actrice porno. Une fois mon string à terre et mes fesses totalement nues, je commence à me retourner doucement pour leur montrer ce minou tend désirer et que j’avais, ça tombe bien, taillé ce matin en ticket de métro. Je me retrouve donc nue face aux garçons et je découvre avec surprise qu’ils sont debout, en arc de cercle autour de moi, bites à l’air, tous en train de se masturber en me matant !!- Mais vous êtes fous, rangez moi ça bandes de pervers !- c’est vous qui nous avez mis dans cet état ! Vous êtes superbe, faut absolument qu’on se soulage, on va exploser ! – ça va trop loin les garçons ! Arrêtez ça tout de suite ! Mais ils commencent à m’entourer et je me retrouve nue, encerclées de 10 ados qui se masturbent en matant mes seins, mon cul, mon sexe. J’essaie de forcer le passage mais on me repousse dans le cercle de bites. Je commence à avoir peur mais je suis toujours aussi excitée. Je mouille depuis le début de ce strip, je me suis caressée devant eux et voilà que de vigoureuses bites bandées m’entourent. J’ai autant envie de me sauver que de les toucher.- Mais vous êtes fous, rangez moi illegal bahis ça bandes de pervers !- c’est vous qui nous avez mis dans cet état ! Vous êtes superbe, faut absolument qu’on se soulage, on va exploser ! – ça va trop loin les garçons ! Arrêtez ça tout de suite ! Mais ils commencent à m’entourer et je me retrouve nue, encerclées de 10 ados qui se masturbent en matant mes seins, mon cul, mon sexe. J’essaie de forcer le passage mais on me repousse dans le cercle de bites. Je commence à avoir peur mais je suis toujours aussi excitée. Je mouille depuis le début de ce strip, je me suis caressée devant eux et voilà que de vigoureuses bites bandées m’entourent. J’ai autant envie de me sauver que de les toucher.Valentin me dit alors :- on vous fera pas de mal et on va pas vous violer, on est pas des malades. Vous êtes juste trop bandante.- Vous comptez faire quoi ?? Vous branler en me matant et c’est tout ?- Bin oui mais pensait que vous pourriez nous aidez un peu, dit Valentin en prenant délicatement ma main et en la posant sur son sexe. Il était de taille très correcte, un peu plus gros que celui de mon mari mais surtout plus dur, plein de vitalité. Après un bref mouvement de recul retenu par Valentin, je commence à le branler très doucement, sans vraiment m’en rendre compte. Il ferme les yeux et sourit. Comme enivrée par la situation, je saisi avec ma main libre une autre bite, un peu plus petite, et la branle aussi. Les garçons prennent alors ce geste pour « allez-y » général et commencent à se rapprocher. Certains me touchent les seins, d’autres le ventre en descendant vers ma chatte et me caressent le clito. D’autres me palpent les fesses, passent des doigts entre les cuisses et caressent ma chatte. La main sur mon clito commence à me masturber et je commence à gémir en accélérant ma branlette sur Valentin et son pote. J’écarte alors les jambes, me cambre un peu et laisse l’accès libre à mon sexe.- Vous êtes trempée madame, dit-il avec le sourir. On dirait que ça vous plait !Une main derrière enfonce alors un doigt dans ma chatte. – Oh mon dieu, dis-je en gémissant.- je confirme, elle est trempée et mon doigt rentre sans problème !Je change alors de bite et en branle 2 autres. Une petite appartenant à un gamin devant avoir 16 ans et une énorme appartenant à un beau black qui me faisant envie depuis un moment. Elle est épaisse et longue, son gland apparaît à chaque aller-retour et cette vision me rend folle. Je me lâche de plus en plus et cambre ma croupe au maximum pour faciliter le doigtage en règle qu’un ado dont j’ignore le nom me fait. Je sens au moins 2 doigts en moi qui vont et viennent doucement. Je ferme les yeux et gémis de plus en plus fort.Soudain, Hugo, que j’avais oublié, fait irruption dans le salon en disant :- excuse moi, je ne retrouvais pas… puis s’interrompt devant la scène de sa mère en train de branler ses potes pendant que d’autres la doigte. -Mais t’es malade ! Je pars 2 minutes et te voilà à poil comme une pute !Je lâche alors les bites, sort précipitamment du cercle de garçons et me dirige vers mon fils.- Attend Hugo, je suis désolée, c’est arrivé sans que je le veuille ! – Ils t’ont forcé ??- Non mais…- Alors t’es qu’une salope qui trompe son mari avec des ados ! – Ne me parle pas comme ça je suis ta mère ! – Une mère ne se retrouve pas à poil devant son fils avec de la mouille qui coule de sa chatte, dit-il en pointant mon sexe effectivement dégoulinant.Je pose alors la main sur la braguette et lui répond :- Et un fils ne devrait pas bander comme un cheval devant se mère !Folle d’excitation, de colère et intrigée par la taille démesurée de la bosse de mon fils, je déboutonne son pantalon et sort de son caleçon une énorme bite, le double de la taille de son père, dure comme de la pierre. Quel engin ! Sans qu’il dise un mot, commence à le branler doucement puis plus rapidement. Je crache dans ma main, sort son gland pourpre et continue de le branle en crachant sur sa bite. Je m’approche alors de son visage et lui murmure :- Tu veux que je te suce ? Tu en as envie ?Il approuve d’un geste de la tête avec un regard surpris et je me mets alors à genoux. Ce sexe à hauteur de mon visage me paraît encore plus gros. Tout en continuant à la branler, j’embrasse son gland et lèche sa hampe des couilles au frein. Ce geste me semble interminable tant le sexe est long ! Je palpe ses testicules, leur donne des coups de langues puis en aspire une… elles sont énormes également !- tu es superbe mon chéri. Je suis fière de l’homme que tu es devenu.J’ouvre alors ma bouche et avale la bite de mon fils. Enfin, une partie seulement, vu la taille. Je m’applique alors à lui faire la meilleur pipe possible et vais et viens avec ma tête rapidement tout en tournoyant ma langue sur son gland. A chaque aller-retour j’arrive à la prendre un peu plus loin dans ma bouche et je tente de temps en temps une gorge profonde. J’ai des haut-le-cœur mais je progresse et sens cette belle bite s’enfoncer de plus en plus dans ma gorge. A chaque centimètre gagné, Hugo pousse de râle de surprise et de plaisir et je sens le gout du liquide séminal qui échappe de son gland. A ma grande surprise j’aime ça, moi qui avais toujours trouvé le sperme de son père dégoutant, ne le prenant dans ma bouche que très rarement pour ensuite le recracher aux toilettes. Mon fils était n’allait pas tarder jouir et j’avalais maintenant les ¾ de sa bite.Pendant ce temps, les garçons n’avaient rien loupé de la scène et excités par la tournure des évènements, s’étaient approchés de nous en se branlant. Moi-même je me caressais de ma main gauche et m’enfilait des doigts dans une chatte plus ouverte et dégoulinante que jamais. Je me cambrais le plus possible, ma chatte et mon cul alors totalement offerts à la vue des garçons. Mon fils, excité par ma fellation et par mon « exposition », prit le contrôle de la situation et décida de passer aux choses sérieuses. Il m’agrippa les cheveux et « m’invita » à le sucer plus vite et plus loin. Je gobais sa bite presque entièrement et sentait ses poils pubiens sur mon nez. Sans doute amateur de films porno, il me tenait la tête et me baisait littéralement la bouche en me bloquant de temps en temps contre son pubis, sa bite entièrement logée dans mon gosier. L’envie de vomir était présente à chaque fois qu’il me la rentrait à fond mais s’atténuait progressivement. Cette domination m’excitait au plus au point mais aussi me frustrait car je ne pouvais plus me masturber, mes mains se cramponnant par reflexe aux fesses de mon fils (pour éviter de m’étouffer plus que pour le ploter !!).Profitant d’un répit que mon fils me laissait pour respirer, je crache une énorme filet de bave épaisse et me retourne vers ses copains qui sont maintenant tous quasiment à poil. Je regarde le plus petit que j’avais commencé de branler tout à l’heure. Il a l’air perdu dans cette scène et branle péniblement son petit sexe à coté du grand black. Je demande à Hugo son nom, Kevin, et l’interpelle :- Kevin, ça te dit de me doigter et de me faire jouir ?- Heu… oui, si vous voulez…-Si tu ne veux pas je demande à quelqu’un d’autre !- Non, c’est bon, je le fait !! se reprit-il ne voulant pas louper cette occasion.- alors viens ici et branle moi aussi fort que tu peux !Devant les regards envieux de ses copains, Kevin s’approche, se met à genoux à hauteur de ma chatte et alors que Hugo me reprend la tête pour me baiser la bouche, un peu plus doucement cette fois, Kevin pose ses doigts sur mon clito et me masturbe sans ménagement. Le plaisir monte immédiatement mais ne me suffit pas. Je veux plus ! Je lui saisi alors le poignet, le monte légèrement et présente sa main devant ma chatte béante. Il comprend et me met directement 2 doigts en faisant des allers-retours rapides. Mais ses doigts sont petits et cette masturbation me frustre plus qu’autre chose. Je me dégage alors de la bite de mon fils d’un coup de tête et dit à Kevin d’un ton sec :- mets-en plus, bon dieu ! – Pas de soucis !!Je reprends la fellation et sens alors une troisième puis un quatrième doigt me pénétrer. Avec un plus de difficulté pour la quatrième…-J’y crois pas, regardez comme ça rentre les mecs ! 4 doigts et elle bronche pas la Séverine ! – Ducon, s’écrie un autre, elle a eu 3 gamins, tu pourrais y mettre ton poing si tu veux ! La bouche pleine, je ne prends pas cela au sérieux et me dit qu’ils regardent trop de porno et qu’on en rentre pas comme ça un poing dans le sexe d’une femme « normale ». Pourtant, Kévin stoppe ses va-et-vient et m’enfile son pouce jusqu’ici resté à l’extérieur. Sa main est à moitié rentrée dans mon vagin et il force pour faire rentrer le reste. Affolée par cet acte qui va me déchirer, j’en suis sûre, je m’apprête à lui dire d’arrêter mais mon fils, pas bête, me bloque la tête, m’enfonce sa queue dans la bouche et dit à Kevin de continuer.-Sers-toi de sa mouille mais vas-y mollo ! Si tu lui fais mal, je t’explose !Il sort alors ses doigts, frotte le dos de sa main sur ma chatte pour l’enduire de mouille et revient à la charge en m’enfilant les 5 doigts bien serrés d’un coup. La sensation d’être fouillée et abusée est fantastique et je ne peux retenir un cri étouffé par la bite de mon fils qui semble encore plus grosse qu’avant. Kevin pousse de plus en plus, fait des mouvements de rotation, progresse doucement mais surement dans mon vagin. De sa main libre, il écarte mes fesses pour faciliter le passage. Son poing m’écartèle et, sans mon rendre compte, je fais des mouvements de bassin pour accélérer l’insertion. Je ne cesse de gémir, telle une chienne. Ces cris excitent l’assemblée d’ados qui encouragent Kévin :- vas-y, fout lui à fond ! Elle demande que ça ! – Regardez-moi cette cochonne de Séverine, je pensais pas qu’elle était si chaude ! Kévin finit enfin par me rentrer la partie la plus large de son poing et j’ai l’impression que mes chaires n’en supporteront pas plus. Mais là c’est la délivrance : il enfonce le reste d’un coup jusqu’au poignet, me remplissant comme jamais la chatte. Le plaisir fut tel que je fis un mouvement de tête en arrière que mon fils ne pu retenir et hurla :- Oh MON DIEU !!!!Kevin n’en reste pas là et se met à me branler le vagin en faisant des allers-retours avec son poing. Il me défonce de l’intérieur, dépliant parfois ses doigts, les repliant pour fermé son poing et l’enfoncer encore plus loin. Je ne vois rien de la scène dans mon dos mais j’ai l’impression qu’il me rentre son bras jusqu’au coude. Ce petit salaud ne me ménage pas et je sens que je vais jouir comme jamais. -Oh Mon DIEU, Encoooore, Vas-y !!!A ces mots, Hugo, que je ne suce plus tant le besoin de hurler est grand, me prend par la nuque, plaque ma tête contre le sol et, alors que j’ai le cul tendu en l’air, il prend chacune de mes fesses et les écarte délicatement.- Prends ton temps Kev’, ne la fait pas jouir trop vite, qu’elle en profite un max ! Fait un peu profiter du spectacle les autres aussi.La prévenance de mon fils à mon égard est touchante alors que je suis en train de me faire fister la chatte comme une grosse salope ! Ce petit pervers de Kevin, sort alors son poing de ma chatte et expose cet orifice béant à tous ses potes durant de longues secondes. Eux continuent de se branler, doucement, juste pour profiter du spectacle sans jouir, comme devant un porno. Les commentaires vont bon train sur la taille de mon orifice et de jolis adjectifs fusent à mon égard : chienne, cochonne, nympho… Mais pas de salope ou pute : il régnait un respect un peu décaler par rapport à la débauche en cours. Alors que ma chatte reprenait une taille normale, Kévin y enfonça 3 doigts de chaque main et tira sur les coté pour me rouvrir à fond. J’étais en transe, totalement dilatée et je pleurais de plaisir. Il renfonça son poing sans difficulté, me branla un peu puis ressortit à nouveau. Je gémissais et hurlais de plaisir selon qu’il me défonce la chatte ou m’expose comme un objet à ses copains. Ce petit jeu pouvait durer longtemps alors que je ne voulais que jouir. Jouir le plus fort possible. Kevin dit :- Vous avez déjà vu une chatte comme ça, les gars ? On peut y mettre n’importe quoi… tout passera !- On pourrait essayer avec une canette de Kro ? Dit un autre. Je peux essayer, Hugo ?- Vas-y, mais molo, Anto !Moi j’avais la tête sur le sol, de coté et observait la scène sans réagir. Aussitôt, ce garçon se dirigea vers la table et pris une cannette vide. Puis il la reposa et en prit une autre, d’une autre marque, plus large ! – Bin quoi ? dit-il au autres, la kro est plus petite que le poing de Kévin de toute façon !Tous éclatèrent de rire, même Hugo, me tenant toujours les fesses écartées, sourit en me regardant d’un air complice. Ce fameux Anto, approcha sa canette de ma chatte avec enfonça d’abord le goulot. Le froid du verre dans ma chatte en feu me surpris mais le contact avec une surface lisse était très agréable. Il enfonce alors doucement le reste de la cannette en crachant sur le verre et je sens le goulot toucher le fond de mon vagin. Anto se met alors à faire des allers-retours avec la cannette et je sens immédiatement le plaisir monter. Moi, presque bourgeoise vu nos revenus, j’allais jouir en me faisant goder la chatte par une canette de bière bon marché ! Mais apparemment très inspiré, il retira la cannette de mon sexe et dit illegal bahis siteleri :- Et si on essayait de la fourrer avec une bouteille de pinard ??- Et on se calme, intervint Hugo. C’est de ma mère que tu parle ! Allez, assez joué avec elle, il est temps qu’elle jouisse. Elle l’a bien mérité.Hugo prend ma tête entre ses mains, me regarde intensément et dit :- Tu veux jouir maman ? -Oh oui, j’en peux plus !! Fais moi jouir mon chéri.-Tu veux que je le fasse ? Tu veux mon poing dans la chatte ?-Non ! Je veux que tu me baise ! Prends-moi avec ta belle queue et finis-toi en moi, je veux qu’on jouisse ensemble. – Avec plaisir ! Mets-toi à quatre pattes et regarde mes potes. Je veux que tu les voies se branler pendant que ton fils te baise.Je me positionne donc face au 10 mâles en rut et tend mon cul à Hugo. Il me lèche le sexe, donne des coups de langue sur mon clito, la rentre dans ma chatte et insiste même sur mon anus en me le léchant avidement. Puis, sans prévenir, il enfourne son poing dans ma chatte et me branle doucement.- Haaaaa, mon salaud ! Dis-je- Excuse-moi, c’était trop tentant ! – Pas de soucis mon amour, c’est excellent ! Son poing était plus gros que celui de Kevin mais passait sans problème vu le traitement que les garçons avaient faire subir à ma chatte et vu mon état d’excitation maintenu au maximum depuis une demi-heure et la fin de mon strip. Hugo retira alors son poing, présenta son sexe devant mon vagin et y inséra son gland. Il me pénétra très doucement, je dirais amoureusement à posteriori, et quand il fut au fond, commença des allers-retours très tendre.- Oh mon dieu que c’est bon, dis-je. Ta bite est vraiment énorme. – Alors prends ton pied, dit-il en accélérant la cadence- Ouiiiii, vas-y, défonce-moi, plus vite chéri, défonce-moi comme une chienne ! En prononçant ces mots, je fixais intensément Valentin, Anto, le grand Noir, Kévin et les autres qui se branlaient activement. Pour eux, c’était comme un porno mais puissance mille. Moi, Séverine, la mère de leur pote, une femme mure et active toujours habillée classe, faisant sans doute l’objet de fantasmes ou de scénarios pour certains le soir dans leur lit, j’étais en train de me faire sauter devant eux par mon fils, après leur avoir fait un strip-tease et avoir pris une cannette dans la chatte. D’ailleurs mes habits gisaient toujours à quelques mètres de moi, témoin d’un proche passé où je comptais juste me mettre topless pour les émoustiller un peu ! – Ca vient maman, je vais bientôt jouir ! -Moi aussi, mon chéri ! T’arrête surtout pas, on va jouir ensemble !Il excellera encore et me baisa frénétiquement, accroché à mes hanches, cognant contre mes fesses. Ces 25 bons centimètres de sexe me perforaient mais je ne ressentais aucune douleur, uniquement un plaisir intense qui montait rapidement. Je pleurais de bonheur, tant cela était lointain pour moi, et eu soudain un orgasme monumental qui contracta tous mes muscles autour de la bite de Hugo ce qui le fit venir instantanément. J’hurlais de plaisir :- Haaaa mon dieu que c’est bonnnnnn ! – Je viens, M’am, jte remplis ! -Oh oui, reste à fond, inonde moi avec ton sperme. Je veux te sentir longtemps.L’orgasme continua et me secouait les fesses et les jambes. Mes bras flageolaient et, vidés, Hugo et moi s’écroulons au sol, toujours emboités. Après quelques secondes de jouissance, il se retire en gémissant de plaisir et me laisse finir de prendre mon pied, croupe légèrement levée agitée de derniers soubresauts. Il me contourne, se met à genoux devant moi, et alors que j’ouvre les yeux, il me pose une main sur la joue et me demande si j’ai aimé. – C’était fabuleux mon chéri, mieux que ce que je n’ai jamais connu.Alors que je me redresse pour l’embrasser tendrement sur les lèvres, je sens un flot de sperme s’écouler de mon vagin et mets par reflexe ma main en soucoupe en dessous, comme à chaque fois avec mon mari pour ne pas tacher les draps. Sauf que c’est une mare de foutre qui se trouve dans ma main. Je me souviens alors que j’avais trouvé le liquide séminal de mon fils délicieux et, encore toute excitée, je décide de goûter son sperme. Un petit coup de langue me confirme que ce breuvage est encore chaud et à mon gout. J’aspire donc une première gorgée de sperme et l’avale directement. Délicieux ! Mon fils, face à moi est très surpris par mon comportement et me lâche un « petite cochonne, finis tout ». J’aspire le reste de foutre, le stocke dans ma bouche, lui montre à lui et à ses copains puis avale d’un coup. Affamée, je fouille dans ma chatte à la recherche des dernières goutes, me lèche les doigts et dis à Hugo :- relève-toi chéri, je vais te nettoyer.Je prends alors sa bite un peu ramollie dans ma bouche, le nettoie de ma langue et le pompe littéralement pour extraire les dernière goutes de son merveilleux nectar. Il me demanda alors :- t’en veux encore ? – mmmmmhhh, fis-je en le suçant et en acquiesçant de la tête.- elle va s’occuper de vous maintenant les mecs, annonça-t-il à ses copains. Il est vrai qu’à la base, je m’étais engagé à les faire jouir et que finalement, ils étaient toujours en train de se branler tels des puceaux devant un porno alors que moi, j’avais pris un pied terrible avec Hugo. Je me décida donc à masturber et sucer ses ados et l’idée de gouter à 10 bites différentes ne me déplaisait pas, bien au contraire. Et puis, même si ce sont des ados habitués à la masturbation, ils s’astiquaient depuis plus d’une demi-heure ne serait sans doute pas longs à finir, ainsi que cette folle après-midi.Je me trompais.Hugo me soulève alors et me porte comme une mariée jusqu’à la table du salon. Il demande qu’on fasse un peu de place et je dépose délicatement allongée sur le dos. Les garçons m’entourent et commencent à caresser mon corps ainsi offert. On me touche les seins, on me lèche les tétons, on me caresse le clito et on m’enfile des doigts… je suis littéralement assaillie et j’adore ça. De part et d’autre de la table, on me prend mes mains et m’invite à branler les sexes de 2 gamins que je n’avais jamais vus avant aujourd’hui. Le plaisir commence à revenir, doucement mais sûrement. Je gémis, je râle de plaisir et pousse des petits cris. Les doigts en moi sont particulièrement efficaces ! Valentin, dont l’instance a été à l’origine de cette orgie, mais qui finalement n’avait que peu participé, me tourne la tête sur le coté et, du bord de la table, me présente sa queue devant ma bouche. Sans hésiter, je commence une pipe goulue, bien que gênée par ma position sur cette table (sur le dos, les 2 mains prises). Valentin, souhaitant sans doute palier à cette défaillance, me tient la tête et fait de grands allers-retours dans ma bouche. Il a assisté la gorge profonde que j’ai fait à mon fils et n’hésite donc pas à me la rentrer à fond, à me maintenir ainsi de longues secondes et me bouche même le nez (merci le porno sur internet !) avant de me libérer pour que je reprenne ma respiration. Puis il reprend ses va-et-vient et continue de me baiser la bouche ainsi. A ce moment j’ai la sensation d’être un objet sexuel car les garçons se servent de moi pour le plaisir et font se qu’ils veulent sans jamais me demander si je suis d’accord. Par contre Hugo, lui, semble tout contrôler et surtout tout surveiller. C’est ainsi à lui qu’un gamin a demandé la permission de me « fister » la chatte et non à moi. J’ai donc, pour la troisième fois cette après midi, le poing d’un ados qui me ramone le vagin ! Et à nouveau je gémis comme une chienne à cette masturbation.Un garçon autre demande :- J’en peux plus Hugo, je peux la baiser ? – Vas-y JB, vu ce qu’elle se prend, ton calibre passera sans problème ! Je devine alors qu’il s’agit du grand Black car, à part mon fils, c’est le seul « calibre » de l’assemblée pouvant me poser un problème. Je dis « je devine » car avec Valentin qui me maintient la tête contre la table pour me mettre sa queue à fond, je ne vois pas vraiment qui s’apprête à me sauter… La main qui me masturbait se retire donc. JB me tire vers le bord de la table, me lève et m’écarte les jambes et je sens un gland se placer à l’entrée de mon vagin. Comme prévu par Hugo, il y rentre sans aucune difficulté ! Je perçois tout de même une largeur hors du commun et les allers-retours qu’il commence à faire me submergent immédiatement de plaisir. La bouche pleine, je pousse un long râle de surprise et de plaisir tandis qu’il baise sans ménagement. – Ho putain, qu’elle est bonne ! Haaa tu la sens ma queue, hein ? – Mmmh vas-y défonce-moi, lui criai-je alors que Valentin daigne me laisser respirer. Déchire-moi ! L’excitation me transformais en furie et je ne me contrôlais plus, ni en geste ni en parole. Je regarde Valentin dans les yeux et lui crie :- et toi le p’tit pervers qui voulait me voir à poil, tu me la donne la queue ? Puis j’ouvre la bouche en grand et tire ma langue pour l’inviter à reprendre la gorge profonde.- je vais pas te donner que ma queue, chienne. Tu vas aussi boire tout mon foutre ! Sur ces mots, il m’enfile d’un coup sa bite dans la bouche, me l’enfonce jusque dans le gosier et se met à faire des allers-retours comme un dingue. Ma gorge fait une bruit indescriptible à chaque fois que le gland de Valentin y pénètre et je sens que s’il continue à ce rythme (et cette profondeur) je vais lui vomir dessus. Mais soudain il s’arrête, me bloque la tête contre son pubis et décharge son sperme directement dans mon gosier. De fait, j’en avale une grande quantité, puis sous l’effet de mes haut-le-cœur, il se retire un peu et finit de décharger dans ma bouche. J’avale ce que je peux de ce sperme chaud et pas mauvais mais, vu la quantité, suis obligée d’en recracher un peu. – Hé, c’est pas bien de gâcher ! s’écrie Valentin qui ramasse les gouttes tombées au sol avec son doigt et je me donne à lécher. Il me redonne également son sexe pour nettoyage, ce que je fais avec plaisir puis s’éloigne. Et d’1! Encore 9…Aussitôt Valentin partit, un autre gamin prend sa place mais, plus jeune et sans doute puceau, se sait pas trop comment faire. Il me présente donc simplement son sexe, de taille normale, que je suce avidement. Cet ange, plutôt que de me baiser la bouche, me laisser faire en me caressant les cheveux et en me titillant le bout des tétons. Cette pipe m’est très agréable car, enfin, je peux sucer et lécher un sexe à guise, sans qu’on m’impose le mouvement. JB, lui, me laboure toujours la chatte avec son énorme engin, et loin d’être puceau à mon avis, me fait rapidement jouir. L’orgasme, moins intense que celui qu’Hugo m’a donné un peu avant, m’arrache tout de même un long râle de plaisir. Pendant l’orgasme, je mordille le sexe de mon jeune amant et accélère ma fellation. Celui-ci se retire alors, se masturbe frénétiquement et, sans doute inspiré par des heures de porno, éjacule sur mon visage un sperme bouillant. Il me recouvre moitié du visage et m’en met dans les cheveux. Et de 2 ! Il restait encore 8 jeunes étalons à faire jouir…- Eh, mon salaud, lui dis-je dégoulinante, tu aurais pu me demander avant ! – Désolé madame…- C’est rien mon grand, il parait que c’est bon pour la peau ! Je ne sais pas si c’est mon visage recouvert de foutre qui l’a achevé mais je vois mon JB grimacer et sens alors les allers-retours s’accélérer :- Arrrhhh, j’en peux plus ! Je peux venir en vous ? – avec plaisir, beau Black, remplis-moi. Il ne faut pas plus de 2 coups supplémentaires à JB dans le fond de mon vagin pour craquer et me décharger son foutre. Je sens ses spasmes secouer son sexe et des flots de sperme m’inonder. C’est magnifique de se sentir ainsi pleine de jus d’homme et à ce moment là, je ne pense absolument plus à la femme respectable et pudique que j’étais il y a 2h. – Ouah ! Bin toi, quand on te dit de remplir, tu fais pas semblant ! Mais j’aurais bien voulu y gouter un peu, dommage, lui dis-je avec un sourire, on peut le dire, de salope.- Ca peut s’arranger…Il se saisi d’un gobelet tombé au sol, me prends par les hanches et me fait glisser au pied de la table, à croupie, cuisse écartée. Je pense d’abord qu’il veut me faire nettoyer sa bite mais il place le gobelet sous ma chatte et y recueille le sperme qui se met à sortir de mon trou béant. Il m’enfile 3 doigts et racle l’intérieur de mon vagin pour retirer un maximum de jus puis, fait tomber les gouttes ainsi récupérées dans le gobelet. Il se relève, je demande (je m’en doutais) de lui nettoyer la bite et, alors que j’essaie péniblement de d’avaler ce sexe encore énorme, il regarde le niveau de foutre et dit :- moitié d’un gobelet, ça vous ira ? – vous êtes tous plus pervers les unes que les autres, les gars, dis-je en me dégageant de son sexe, un peu dépitée par cette nouvelle expérience imposée, pour le coup carrément dégradante. Et sur ces mots, il me tend le verre et m’invite à boire.Je regarde Hugo qui acquiesce et, l’air curieux, attend de voir si je vais tout boire.- A la votre ! J’avale une petite gorgée de ce breuvage, le trouve parfaitement à mon gout bien que très épais, et finis le gobelet d’une traite. Et de 3 ! – Voilà, c’est vide, dis-je fièrement en retendant le gobelet à JB. – Attendez, je vais vous faire le plein, Séverine. C’était un des 2 gars que je branlais qui avait parlé, sans doute au bord de l’éjaculation depuis un moment. Il prend le gobelet, le place sous son gland et canlı bahis siteleri m’invite à la branler. Il n’est pas long à venir grâce à ma main experte et lui aussi déverse une belle quantité de sperme dans le verre. Je lui pompe le gland pour récupérer la dernière goutte et je regarde le niveau du gobelet : un bon tiers. – d’autres volontaires avant que ça refroidisse, demandais-je ?- Oui, moi madame. Mais vous pouvez me sucer pour me faire venir ?- Bien sûr mon chéri, répondis-je tendrement au garçon, Seb je crois, un pote de lycée d’Hugo mignon mais timide.Tenant toujours le gobelet d’une main, je saisi son sexe de l’autre, le branle puis l’avale pour lui faire la meilleur pipe possible, tant ce beau jeune homme me fait craquer. Je suis toujours accroupie, cuisse écartée, et un autre gamin en profite pour me caresser le clito en se masturbant. C’est divin et je mouille encore abondamment, mais je me fais la réflexion qu’on ne me laisse aucun répit depuis 2h et que j’ai encore 6 ados à faire jouir. Seb semble adorer ma fellation, il me saisi un sein, me le palpe comme si il n’en n’avait jamais vu d’aussi gros et me tire sur le téton, d’abord délicatement puis, me sentant réceptive, me le pince franchement. Il me fait mal mais j’aime ça. Pour jouer, je lui mords la queue autant qu’il me pince le téton et referme ma mâchoire au fur et à mesure qu’il accentue sa pression. La douleur se fait vive mais je n’ai pas envie d’arrêter, j’ai juste envie de le mordre encore plus fort. A posteriori, je me rends compte qu’en 2H, ces gamins m’ont transformé en une nymphomane SM avide de foutre ! Nous lâchons prise ensemble et, ne voulant pas que le sperme dans mon gobelet refroidisse trop, j’accélère ma pipe, le finit à la main et recueille sa semence dans le verre. Je mélange les 2 jus avec mon doigt, y goute (j’adore et me dit que, décidément, ce doit être le sperme de mon mari qui est mauvais) et commence à boire le breuvage tiède. Je finis le verre en le tenant haut au dessus de ma bouche grande ouverte pour que tout le monde puisse bien me voir avaler cette quantité industrielle de foutre.Je jette le gobelet vide au sol, sous les applaudissements des garçons et, l’espace d’un instant pense que nous avons finit. Mais 5 gaillards encore insatisfaits me font face en se branlant et je constate aussi avec surprise que Hugo, Valentin et JB, mes « gros calibre » bandent à nouveau fièrement et sont prêts pour le deuxième round. Il est 18h, je suis en plein gangbang depuis 2h et seule la moitié de mes amants me sont passés dessus, sans compter que les premiers vont vouloir du rab ! Je commence à me demander quand cela va finir et surtout dans quel état je serrais…2 garçons m’att****nt par les bras, me place à quatre patte au milieu du salon et reprennent les hostilités. J’ai une bite dans la chatte et une autre dans la bouche. Ils me baisent aussi efficacement que je les suce, sauf qu’ils sont 5 et moi seule. Ils changent donc régulièrement de place, s’échangeant mes orifices au grès de leurs envies. A un moment, j’ai même 2 bites dans la bouche et ne pouvant évidement pas les prendre à fond, je joue habilement avec ma langue. J’avoue que sentir 2 glands à la fois dans ma bouche m’excite terriblement. Je sens à nouveau monter la jouissance, d’autant que les bites se succèdent également dans mon vagin. Un premier jute dans ma chatte, se retire et est immédiatement remplacé par un autre qui ne sembla pas gêné par la présence du sperme de son copain qui suinte de mon vagin. Celui-ci, Anto, le jeune à la canette, est plus brutal et me défonce sans ménagement en tapant très fort contre mon cul. Il me met également des claques sur les fesses de plus en plus fortes sans que je réagisse vraiment (je vous rappelle que j’ai actuellement 2 glands dans la bouche). Puis il me crie :- On dirait que t’aime ça te faire claquer le cul, salope ! Et sur cette insulte, il me fouette le cul le plus fort qu’il peut, ce qui m’arrache un cri de douleur. – Hé tu te calme mon pote ! Intervint alors Hugo qui surveillait toujours le cours des évènements. Profitant de cette pause dans ma fellation, l’un des garçons que je suçais, Kevin, celui-ci qui m’a fister le premier, me jute à la figure une quantité impressionnante de sperme qui me recouvre le visage, m’en met plein les cheveux et dans les yeux, si bien que je ne peux plus les ouvrir. Le garçon dit alors :- Attendez, je vais vous arranger, dit-il en nettoyant avec ses doigts le sperme qui recouvrait mes yeux. Puis il les présenta devant ma bouche et ajouta :- Goutez-y et dites moi si je suis à votre gout ! Je suce donc ses doigts, avale son jus et secoue la tête en disant :- Pas mal du tout ! Deux éjac faciales en 15 min, pas mal pour quelqu’un qui l’a toujours refusé à son mari car « seules des salopes peuvent accepter ça » comme je le pensais à une époque…Ils ne sont plus que trois, 1 dans ma bouche, 1 dans ma chatte et un qui attend à coté. Celui-ci s’allonge sur le dos à coté de moi et sans demander à ses copains leur avis m’att**** par le ventre et me place à cheval sur lui. Il me fourre sa queue dans la foulée et commence à me matraquer. Anto se place devant moi et, décidément violent, m’enfonce son sexe le plus loin possible pour avoir droit, lui aussi, à une gorge profonde. Celui qui je suçais passe alors derrière moi je sens alors un doigt se présenter sur mon anus. Il commence à enfoncer son doigt, d’abord une phalange puis 2. Son doigt me semble interminable et chaque centimètre est pour moi une sensation nouvelle, étant vierge de cet orifice. Il a, à présent, son doigt tout entier dans mon cul et ce n’est pas si désagréable (mais c’est surtout la pression sur mon vagin en train de se faire pénétrer qui me fait de l’effet). Je pousse de léger gémissement et il doit prendre cela pour un acquiescement car il retire son doigt et présente son gland à l’entrée de mon trou.Je retire vivement le sexe dans ma bouche et lance à celui derrière :- Ah non, ça tu rêve ! Je ne me suis jamais fait enculer et c’est pas prêt d’arriver ! Mais il continue sa poussée malgré mes sphincters serrés à fond.-NON je te dis ! N’importe où mais pas dans le cul !Hugo intervient alors, lui pose une main sur l’épaule et lui dit :- Elle t’a dit non, Leo, t’es sourd ?- Excuse-moi…- Par contre tu peux la prendre dans la chatte… elle a aussi dit « n’importe où ». – Oui, sauf que c’est occupé ! – Et alors, tu crois qu’après mon poing et la bite de JB, vos 2 spaghettis vont lui faire peur ?? – Sérieux ? Tu veux qu’on fasse une double vaginale à ta mère ? – Heu, je crois pas que ce soit une bonne idée… dis-je avant d’être interrompue par Hugo- je suis sur qu’elle va adorer… Leo me plaque contre son pote pour que je lève un peu plus les fesses et présente son gland contre l’autre bite. Il commence à s’enfoncer en moi et je sens mes chairs s’étirer comme lorsque Kevin m’a enfiler son poing la première fois. Il continue sa progression tandis que j’ai les yeux écarquillés, bouche grande ouverte, incapable de sortir un son, tant la sensation de déchirure me coupe le souffle. Le plaisir à fait place à la douleur et, durant ces longues secondes d’intromission, je suis convaincue que ma chatte restera ravagée à vie. Finalement, Leo arrive à me l’enfiler à fond et commence, en même temps que son pote en dessous à aller et venir. Leurs sexe collés l’un à l’autre dans un même trou ne les dérangent pas (ils ont l’âge des nouvelles expériences !) et je les sens durs comme du bois. D’abord synchronisés, leurs sexes vont et viennent à des vitesses différentes, l’un accélérant pendant que l’autre se calme et vice versa. Cette double pénétration magistrale me refait mouiller et cet afflux de cyprine rend le tout de moins en moins douloureux, de plus en plus jouissif.Anto que je suce, ou plutôt qui me baise la bouche, dit alors à Leo :-Faut absolument que j’essaie ça ! Tu me laisse la place 2 minutes ?-Vas-y ! Leo se retire alors doucement puis prend place dans ma bouche tandis que l’autre, aussi bourrin que d’habitude, m’enfile sa queue sans ménagement. Heureusement, je suis complètement dilatée. En dessous de moi, le gamin assiste à cet échange en souriant et continue de me limer. Le double pilonnage reprend avec ardeur tandis que Leo doit se contenter d’une pipe médiocre, tant je suis épuisée et concentrée sur ce qui se passe dans mon vagin. Les deux sexes dans mon orifice déformé se chevauchent, se croisent… Quand un se met en retrait, l’autre me prend à fond si bien je n’ai aucun répit, j’hurle de plaisir et de douleur et je sens, une nouvelle fois un orgasme venir. Je n’en reviens pas… je vais jouir une troisième fois avec 2 sexes dans mon vagin, dans un gangbang avec mon fils et 10 de ses amis ! Je suis la pire des mères et des épouses mais probablement la plus grosse salope qu’on puisse faire…Je sens que l’explosion approche alors que mon orgasme monte et que les 2 pervers dans ma chatte accélèrent de plus en plus. La brute dit alors à son comparse :- On la rempli ensemble ?- Ouai, on y va, je suis pas loin ! Ils me pilonnent encore quelques coups et je sens les premiers jets de foutre jaillir et m’inonder. Cette formidable sensation déclenche mon troisième orgasme et leurs cris de jouissance et les miens se mêlent : -Haaaaaa putain ! Je te remplis chiennasse ! -OH MON DIEUUUUU, je jouis !!! Hurlais-je.Alors que nous étions tous les trois emboités et pétris de plaisir, Leo dit à Anto de dégager, qu’il allait finir de me remplir. Il passa alors derrière, s’engouffra dans mon vagin suintant de sperme et éjacula à son tour en quelques secondes.- La vache, vous débordez de jute, Séverine !-Je m’en doute, pervers, soupirais-je péniblement.Leo se retira alors, pris le gobelet de tout à l’heure, puis me redressa. Il fit sortir le sexe de son pote de ma chatte et plaça immédiatement le gobelet en dessous qui recueilli le foutre de ses 3 étalons. Le verre fut très vite rempli et il me le donna pour que je boive tout. L’excitation était retombée et je n’avais absolument pas envie d’avaler un quart de litre de sperme maintenant !- Allez, même punition que tout à l’heure, vous avalez tout ça et vous nettoyez nos queues ! – Non, je ne peux pas… j’en peux plus, me lamentais-je. Je crois que je vais vomir si j’avale encore une goutte de sperme. Je veux juste aller me nettoyer… Désolée…- D’accord mais qu’est qu’on va faire de ça, dit-il a ses potes en désignant le gobelet ?- Donne j’ai une idée, s’écria Anto ! Puisque vous allez faire votre toilette, autant que ça vaille le coup. Et sans que je puisse réagir, il me renverse le gobelet sur le visage me recouvrant ainsi de sperme qui dégouline sur ma poitrine, mon ventre et mes poils pubiens. Ce spectacle avilissant et dégradant devait être incroyablement excitant pour les garçons : j’étais à genoux, littéralement recouverte de sperme et de ma chatte dégoulinaient encore des gouttes de foutre chaud…- t’es vraiment dégeulasse lui dit alors Hugo qui s’approcha de moi avec un torchon, m’essuya le visage et m’aida à me redresser. Va prendre une douche, Maman, et récupère un peu parce que j’en connais qui veulent une deuxième tournée…Je me dirigeai donc vers la douche avec difficulté et commença par me débarbouiller le visage dans le lavabo. Ce fut un choc de me voir ainsi dans la vitre : mon maquillage avait coulé, du sperme me maculait les cheveux et la poitrine. J’avais envie de pleurer. Je continuai ma toilette en me nettoyant le sexe dans le bidet (notre vieille maison en était encore équipé…) et le sperme sortait en même temps que l’air accumulé dans ma chatte par les nombreuses pénétrations, le tout avec un bruit assez disgracieux…Puis j’entrai dans la douche et fit couler l’eau très chaude pour me débarrasser du sperme qui me souillait. Je suis restée ainsi de longues minutes, à songer à ce qui venait de se passer en me disant que si ça se savait, ma vie serait foutue. J’ai pas mal pleuré durant cette douche.C’est Hugo qui m’a tiré de mes pensées en entrant dans la salle de bain et en me demandant si ça allait. – Ca va mon chéri… Tes amis sont partis ? Demandais-je en sortant de la douche et prenant une serviette pour me sécher.- Non maman, ils sont encore là et commencent à s’impatienter. Ils en veulent encore, désolé.- Je ne sais pas si je peux en endurer plus ! – Je pense qu’ils seront moins bourrin que la première fois et je les calmerai s’il faut.- Mais je n’ai plus envie, Hugo ! – Je peux arranger ça, maman… – Je ne sais vraiment pas si je…- Laisse-toi faire et fait moi confiance. D’accord ?Et sur ces mots, il m’embrasse tendrement, d’abord juste sur les lèvres puis avec sa langue. C’est la première fois que nos langues se touchent alors qu’il ma fait l’amour et que j’ai bu son sperme. Pourtant ce baiser me fait rougir et m’émoustille. Tout en m’embrassant, il fait tomber ma serviette au sol et je caresse délicatement les seins. – Je n’imaginais pas que tu étais si belle, maman, me chuchote-il à l’oreille. Ton corps est absolument magnifique. Il me regardait comme si j’étais une merveille, il me rendait belle et me faisant oublier la débauche passée et à venir. Il m’embrassa le cou, les seins, le ventre puis le sexe. Il commença à me donner des petits coups de langue sur le clito entre deux baisers sur ma vulve ou mes cuisses. Mon sexe était encore sensible mais il était très délicat… et très efficace ! Rapidement la chaleur revint dans mes chairs tandis que je passais ma main dans ses cheveux. Je m’appuie contre le lavabo, pose un pied sur le bac de la baignoire pour ouvrir d’avantage mon vagin a

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Douce en formationFantasme ?Douce travaille dans un établissement. Celui-ci s’adresse à des adultes, mais, comme pour tout étudiant, l’année se termine par des examens.Mardi matin les résultats, Douce au téléphone me dit sentir les angoisses monter devant le hall qui mène à son bureau. Midi les résultats sont affichés, cris de joie, quelques silences je suppose.Douce me rappelle en début d’après-midi :« -tu sais le groupe que j’ai dû tant aider ?-oui-tous ont réussi, les 12 !-ils doivent hurler de joie-oui et …ils pensent organiser une soirée pour fêter ça- ils ont raison-ben, pour me remercier de les avoir aidés, en dehors de mon travail, ils m’ont invitée.-oui, c’est gentil-ça ne te gêne pas si j’y vais ? Parce qu’ils font un repas, je risque de rentrer un peu tard. Tu ne veux pas venir ?-non, quand même, je n’en connais aucun et puis je suis crevé.-bon j’essaie de ne pas trop tarder. »Douce n’est pas enseignante mais, pour des adultes en formation, les démarches administratives sont souvent aussi périlleuses que des études.Je mange donc seul ce soir, tôt ; regarde un film et, sitôt couché, sitôt endormi.C’est une sensation toute douce et moelleuse qui me fait émerger. J’ouvre un œil, la lumière est éteinte, mais je sens une bouche qui s’est emparée de mon sexe, je bande alors que je suis encore endormi. J’allume, c’est Douce qui me suce, je m’en doutais mais que fait-elle encore habillée ?« -ça s’est bien passé ?-oui,-il est quelle heure ?-5 heures-tu rentres à peine ?-oui » soupire-t-elle ; je sens comme une gêne.« -qu’y a-t-il ?-après le repas, ils ont voulu fêter leurs réussites, on est allés chez l’un d’eux et ça a un peu trainé-vous avez fait quoi ?-un peu dansé, un peu bu- vous y étiez tous ?-au début oui, internet casino et puis les 2 filles du groupe sont parties avec leurs copains-et ?-on a continué, les 8 garçons et moi…. et ….comme je dansais avec l’un d’entre eux, un autre est venu se coller derrière moi en dansant ; posant ses mains sur mes hanches. J’ai réussi à les tenir mais mon cavalier a alors posé ses mains sur mes seins. Je suis serrée entre eux deux, je lâche mes hanches pour le retenir …les mains du deuxième remonte sous mon chemisier.- tu n’as rien dit ? à aucun des deux ?- non, je voulais juste que ça reste correct-et ?- ils ont baissé la lumière, ne laissant que des veilleuses et j’ai senti qu’ils se rapprochaient de nous. La musique continuait et très vite deux mains se sont emparées de mes seins (je sais la capacité de ses tétons à se dresser au moindre contact, Douce a de petits seins mais très réactifs). Je ne sais qui dégrafait mon chemisier pendant que je sentais que l’on remontait ma jupe.- tu n’as pas pu les arrêter ?-non, le plaisir m’envahissait, en même temps ils étaient très doux, silencieux mais attentifs.Une bouche s’est emparée de la mienne, je n’ai pas pu résister, sa langue m’a fouillé profondément mais avec une telle douceur, puis sa bouche est descendue, aspirant mon téton gauche, le gobant pleinement, des mains caressaient mon autre sein, combien je ne saurais dire.Mon chemisier enlevé, ils ont dégrafé ma jupe, descendu mon boxer.Aucune parcelle de mon corps n’échappait à leurs mains et j’avoue que j’ai écarté mes jambes au maximum pour que leurs mains me découvrent. Entre mes fesses, sur ma chatte, des doigts s’insinuaient dans ma fente découvrant mon plaisir qui suintait et la parfaite douceur de mon canlı poker oyna sexe que tu avais parfaitement rasé Dimanche.« on peut rallumer ? »Personne ne répondit mais la lumière revint quand même.« -vous êtes belle, madame-et si douce de partout,-il en a de la chance votre mari- depuis le temps que chacun rêvait de vous baiser-faire l’amour, c’est pas pareil-comment on fait, là, on est 8 ? »Nous étions tous encore debout, l’un vint se coller par derrière contre moi, ses mains de mes seins à ma chatte entretenaient le feu qu’ils avaient allumé. Deux de ses doigts me pénétrèrent puis remontant ma fente trempée commencèrent à titiller mon clitoris. Sa bouche à mon oreille :« – vous voulez qu’on vous baise ?- oui,-ensemble ou chacun son tour ?-chacun son tour !-ici, ça ira ?-oui-on va tirer au sort pour savoir dans quel ordre. Il y a des dés ici ?»La banquette eut tôt fait de s’ouvrir. Je m’y assis, des mains sur mon épaule me firent m’allonger.Le premier qui fit un « 6 » vint se présenter entre mes cuisses, se déshabilla ; sa raideur lui permit de mettre rapidement un préservatif (les malins, ils avaient bien mijoté leur coup). Couché sur moi, sans aucune aide de ses mains, il me pénétra, lentement mais sans s’arrêter, sa bouche ouvrit la mienne, ses mains malaxant mes tétons qui n’en demandaient pas moins.Les miennes alors parcoururent son dos, ses fesses bien fermes, accompagnant les va et vient de son sexe en moi. Il me baisait et le faisait bien, sous les regards de ses copains qui continuaient à tirer au sort les tours suivants.Il jouit, je jouis, il se retira, un autre le remplaça, me baisa et ainsi …« -Tu te souviens de Jean ?-oui, tu m’en as parlé, celui un peu rêveur mais beau gosse ?-oui, poker oyna il était le dernier du tour »Il se mit au dessus de moi, m’embrassa, remonta et mis son sexe, avec sa capote enfilée sous mes yeux« -vous voulez vous tourner ? »Ce que je fis sans lui répondre. Sa bouche partie de mes épaules, descendit ; atteignit mon cul où elle s’infiltra entre mes fesses, ses mains sur mes hanches me tirèrent vers lui, me faisant mettre à genoux, il écarta mes fesses pour en lécher mon trou du cul. Le salaud, il avait de la vaseline, s’en enduisit un doigt qui me pénétra alors, lentement toujours. Sa bite que j’avais aperçue, longue certes mais pas trop large se présenta à mon anus, je m’ouvris à sa pénétration. D’un seul mouvement, un seul, il vint au fond de moi, y resta quelques secondes, se recula pour mieux y revenir et plus fort.J’ai crié, fort mais c’était de jouissance. Alors sous les yeux de tous, je me faisais enculer et j’aimais ça. Quand il eut déchargé dans mon cul, un regret me vint, que la capote qu’il avait (et heureusement) n’avait pas permis à son sperme de m’inonder.Quand il se retira, j’étais épuisée, me laissais retomber sur le dos.« -vous êtes bonne, madame, on vous aime »Quel plus bel hommage pouvais-je avoir ? « Voila, tu sais tout ; je me suis rhabillée, je suis rentrée ; compatissants sur ma fatigue certains voulaient me raccompagner, mais je voulais être seule un moment avant de me blottir dans des bras.-que comptes-tu faire, à leur propos ?-rien, ils en ont fini avec le centre. Et puis ils ne m’ont pas violé, certes c’était un peu un piège, mais je n’ai jamais eu l’impression que je ne pouvais pas les arrêter ; je me suis laissé faire et j’ai aimé, beaucoup même.-il est tard, tu devrais dormir- oui, et puis demain, en fin d’après midi, il y a la publication des résultats d’un autre groupe, je dois y être pour les dossiers.-ils sont combien dans ce groupe ?-10, pourquoi ?-Mais Douce s’endormit, d’un bloc, je ne pus faire pareil.Demain ?

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