Une belle surprise

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Une belle surpriseJe n’arrivais pas à croire que c’était elle. J’avais été très sérieusement amoureux quand nous étions ado et j’avais terriblement souffert qu’elle m’envoie balader. Bien sûr, si j’avais réfléchi un peu, j’aurais su qu’elle était trop belle pour moi, trop bien foutue pour une fille de cet âge, avec sa poitrine de nourrice comme se moquaient certains de mes copains. Il y en avait même un qui se vantait de l’avoir sautée comme ils disait toujours à propos des filles et d’avoir pétri ses nichons. La mère, la fille, toutes les deux avaient des gros nichons. Sa mère avait un gros cul, elle non. Un jour, j’avais vu que “mon amoureuse” n’avait pas de culotte sous sa jupe et ça avait été vraiment excitant de voir ses lèvres serrées, sa fente, quelques poils. Quand je m’en étais venté, mes copains m’avaient rétorqué que c’était la preuve que c’était une pute, cette fille, puisqu’elle s’épilait la chatte !Elle a fini par sortir avec un type bien plus vieux que nous et j’ai lu dans le journal local qu’elle s’était mariée. A quarante-cinq ans, je n’étais plus le garçon timide que j’avais été et je l’ai invitée à boire un verre à la terrasse du bistrop, sur la place. Maintenant, j’étais quelqu’un d’autre. J’avais une usine, une grosse Mercedes et si j’avais été plusieurs fois mariés, je n’avais jamais eu de chance avec les femmes. Je ne pouvais quand même pas lui raconter qu’une fois par semaine j’allais voir une pute !Et elle était à nouveau devant moi et ne portait pas d’alliance mais ça ne veut rien dire. Et elle avait toujours ses gros seins qui lui pendaient même sur le ventre et qui ont reposé sur ses cuisses quand elle s’est assise. Brigitte ! C’était un prénom magique. Je la regardais et elle me racontait sa vie, sa mère dont elle devait s’occuper, son divorce et sa solitude. J’ai vite compris qu’elle n’étais pas à l’aise financièrement et que son mari ne lui avait rien laissé qu’une misère. Elle se tordait les mains et avait un pauvre sourire.- Et toi, qu’est-ce que tu deviens, me demanda-t-elle ?J’avais envie de ne lui dire que le strict nécessaire et même de la vexer un peu. Je lui ai dit que ça allait bien pour moi, que j’étais riche et que ma vie me plaisait.- Tu es marié ?Je ne pouvais pas lui mentir même si j’ai pensé que ce serait amusant.- Les femmes, j’en ai soupé et quand j’en ai besoin, je vais voir une pute !D’entendre ça, elle a blêmi, comme le ferait une femme quiverrait qu’on n’a pas besoin d’elle.- Tu te contentes d’une putain, m’a répondu Brigitte ? Tu n’as pas envie, besoin d’avoir une femme sous la main ?- Oh, tu sais, j’ai une femme de ménage et pour le reste, je vais au restaurant !Je la regardais et je voyais bien qu’elle avait du mal à se lancer. Je devais l’y aider et pour ça je jubilais :- Oui ?- Je pourrais faire tout ça, gratuitement ! Je te ferais ton ménage, ta cuisine et le reste et tu pourras faire de moi ce que tu veux, déclama Brigitte comme heureuse d’avoir pu finir sa phrase.- Tu veux dire baiser, lui ai-je répondu ?Elle a rougi puis a continué :- Tout ce que tu veux ! Qu’est-ce que tu veux, j’ai plus rien et je suis presque à la rue. J’ai même pas de retraite…C’était tentant. Sa poitrine bougeait dans le corsage et je voyais le sillon se serrer un peu plus dans le décolleté.- Tu crois qu’on s’accorderait ?- Je n’ai pas beaucoup d’expérience pour le sexe, parce que mon mari n’était pas porté sur la chose… Si c’était à refaire…Brigitte se tordait les doigts. Bien sûr, avec l’âge, elle avait changé mais elle était toujours aussi mince et si elle n’était plus aussi jolie, elle était aussi belle et désirable. J’avais soudain envie d’elle.- Viens ! On peut essayer, lui ai-je dit !- Tu crois, m’a fait Brigitte ?J’ai laissé un billet sur la table et je me suis levé. Elle hésitait à me suivre mais elle m’a suivi quand je l’ai prise par le coude et nous avons pris ma voiture et pour la première fois de ma vie j’étais fier d’avoir une jolie femme assise à côté de moi. Elle ne disait rien et baissait les yeux. Puis nous sommes entrés dans le parc. J’avais racheté la propriété du notaire, une sorte de petit château qui me coûtait la peau des fesses à faire tondre les pelouses. Du coup, je me suis garé devant le perron et nous avons monté les marches pour entrer par la grande porte. La femme de ménage nous a ouvert, s’étonnant que je passe par là et nous a regardés d’une drôle de façon.- C’est là-haut, ai-je dit à Brigitte qui m’a obéi et à monté l’escalier.Je l’ai suivie.- A droite, deuxième porte !Elle est entrée dans la chambre. Il n’y avait juste qu’un lit, un chevet et une chaise et la grande armoire avec les portes couvertes de miroirs. J’en étais fier surtout que je m’étais parfois masturbé devant en me regardant.- Tu ne te déshabilles pas, ai-je demandé à Brigitte ?- Ah, m’a-t-elle fait ? Tu ne tires pas les rideaux ?- Tu as peur de la lumière ?Même habillée, elle était vraiment sexy. Elle a détaché sa jupe et l’a posée sur la chaise. Ça me plaisait qu’elle ait eu des bas et un porte-jarretelle. Je me suis approché d’elle et je lui ai demandé de retirer sa culotte. Brigitte a protesté mais s’est exécutée. Ah, ce cul ! Pour la choquer, j’ai dit que j’avais déjà la trique.- Tais-toi, m’a-t-elle fait ! T’as pas honte ?Je n’avais pas honte. J’ai mis une main sur ses fesses et l’autre sur son ventre puis lui ai demandé de retirer son corsage et son soutif. Elle s’est exécutée. Elle vibrait entre mes mains. Il fallait qu’elle voit ça et je l’ai tournée face au miroir.- Ouvre les yeux ! TU sais bien que tu es ici pour baiser !- J’ai honte, a protesté mon amie !Elle avait sans doute honte mais elle me laissait pétrir sa poitrine. Jamais encore je n’avais eu autant de plaisir, même avec les putains. C’était vraiment agréable que sa poitrine soit si molle et tout le poids s’en rassemblait dans le bas, étirant l’isthme qui relie chaque sein à son torse. Brigitte s’est mise à gémir que je lui faisais mal et j’ai lâché sa poitrine pour porter la main à son ventre et plus bas à sa coupe. C’était bizarre. Ses lèvres étaient fermes.- Tu n’es pas vierge tout de même ?- Non, m’a répondu Brigitte ! Au début c’était une ou deux fois par semaine puis j’ai dû réclamer et… depuis vingt ans, je n’ai pas fait l’amour !Je lui ai rétorqué qu’elle était presque une jeune fille et elle m’a répété qu’elle regrettait güvenilir canlı bahis siteleri et qu’elle n’aurait pas dûm’envoyer paître, qu’elle était bête dans ces temps-là…- Ecarte les pieds !Brigitte a écarté les pieds et j’ai pu glisser un doigts dans sa fente et un autre entre ses fesses, posant le bout du doigt sur l’anneau de son anus.- Je suppose que là tu es vierge ?- Qu’est-ce que tu veux dire, m’a demandé Brigitte ?Je veux dire que… Personne ne t’a jamais enculée ?- Quoi ?Visiblement, elle était furieuse. Elle répéta plusieurs fois qu’elle n’était pas une putain et je l’ai calmée en lui demandant de me déshabiller. Ce qu’elle a fait, me déboutonnant ma chemise et me la retirant, puis ouvrant mon pantalon et le laissant glisser le long de mes jambes. J’avais vraiment la trique et quand Brigitte m’a retiré mon caleçon, je bandais vers le ciel.- Agenouille-toi, lui ai-je intimé !- Quoi ?J’ai bien vu qu’elle ne comprenais pas ce que je voulais mais elle a fini par s’agenouiller et je lui ai demandé d’ouvrir la bouche et j’ai enfoncé mon pénis entre ses dents. Sans que je le lui demande, elle a posé ses mains sur mes fesses et j’ai commencé à baiser mon amie dans la bouche. Quand je me suis arrêté, Brigitte suffoquait presque. Elle m’a demandé ce que je faisais et je lui ai répondu qu’elle avait tout à apprendre.- Tourne-toi et penche-toi sur le lit, ai-je continué !- Attend, je vais retirer mes bas…Je l’en ai empêchée, prétextant, ce qui était vrai, qu’elle était vraiment excitante et qu’à l’avenir, ce serait les seuls sous-vêtements que je tolérerais qu’elle porte. Elle a à nouveau tenté de protester, que ses seins en avaient besoin mais quand elle s’est retrouvée avec les mains appuyées sur le lit et les seins pendants, elle n’a plus rien dit. J’ai frotté ma bite dans la raie de ses fesses et j’ai caressé sa poitrine, la complimentant sur le fait qu’elle était vraiment bien foutue et ajoutant :- Est-ce que tu pourrais me faire un enfant ?- Un enfant, à mon… à notre âge ?- Je crois bien que c’est possible, ai-je ajouté ! Est-ce que tu prends la pilule ?La pilule, non. Tenait-elle un planning ? Elle protesta qu’elle n’en avait pas besoin.- Alors, si je te féconde aujourd’hui, tu ne seras pas surprise ?Brigitte protesta que ça allait trop vite, qu’elle était trop vieille, qu’elle ne s’en sentait pas capable et qu’elle allait être horrible avec un gros ventre. J’ai attrapé ses hanches et je l’ai pénétrée. Elle m’a sidéré quand elle a joui avant moi. Elle hurlait qu’elle ne pouvait pas se retenir. Je l’ai rattrapée et j’ai joui à mon tour. Jamais encore je n’avais senti ce pouvoir, la force des jets de ma semence et j’ai compris une fois encore que nous étions faits l’un pour l’autre. Brigitte ne se tenait plus et a laissé tomber sa tête dans ses bras. Je ne voulais pas qu’elle se relève et expulse ma semence et puis je n’avais jamais léché une femme. Une fois sorti, je me suis agenouillé et j’ai léché la fente tout en m’agrippant aux magnifiques seins de Brigitte.- Qu’est-ce que tu fais, a-t-elle fini par me demandé d’une voix haletante !Je léchais et elle a fini par dire qu’elle allait jouir, qu’elle jouissait et elle a fini par me traiter de salaud. Ah, putain, cette vulve, c’était un vrai choux-fleur, avec les petites lèvres qui jaillissaient telles des steaks et le clitoris dressé comme un doigt que j’ai fini par sucer.- J’ai plus de jambes, s’est plainte Brigitte ! Arrête !Je n’arrêtais pas et elle avait orgasme sur orgasme mais j’ai fini par me lasser. Quand Brigitte s’est redressée, j’ai pensé qu’elle ressemblait vraiment à une pute. Une vraie pute ! Aussi lascive avec ses bras tombant de chaque côté de ses seins et son ventre un peu ballonné.- J’ai honte, commença-t-elle…- Tu as honte de quoi ? Tu as fait ce que doit faire une épouse ! Je te propose de venir vivre avec moi. Quand je serais au bureau, tu pourras faire ce que tu veux, mais quand je serai là, tu ne porteras que ton porte-jarretelles et tes bas !- Rien d’autre, protesta Brigitte ?Elle semblait amusée, comme si son manège avait réussi. Manège ou pas, elle avait réussi et mon ancien amour elle l’avait ranimé. Je lui ai rappelé que pour sortir là non plus, elle ne porterait ni soutif ni culotte. Elle protesta en riant que j’avais envie de la mettre sur le trottoir et je ne l’ai pas rassurée mais elle m’a répondu que ça ne la gênerait pas de faire ça pour moi. Ce soir-là nous sommes allés au restaurant et j’ai eu l’impression que tout le monde m’enviait. Il y avait deux femmes qui, de temps en temps, se prenaient la main et j’en ai parlé à Brigitte qui s’est retournée pour les voir.- Tu crois que ce sont des gouines, m’a-t-elle demandé ?- Pourquoi pas ? Tu l’as déjà fait avec fille ?- Quoi ? Moi a fait Brigitte ?J’ai vu tout de suite qu’il y avait anguille sous roche car Brigitte a rougi et était soudain rouge comme un coquelicot.- Tu peux bien me le dire, ai-je insisté !- C’était… J’étais une gamine, a commencé Brigitte… Tu me courais après alors que j’étais amoureuse de ma cousine, tu te souviens, la brune qui était toujours avec moi ?Je lui ai dit que je préférais avoir été trompé par une femme que par un homme et Brigitte a encore rougi.- Je ne sais pas pourquoi, a-t-elle continué, j’aimais ça mais j’avais honte et puis elle, c’est une vraie lesbienne ! C’est pour ça que je me suis mariée…- Tu n’as jamais recommencé ?Elle n’arrêtait plus de rougir et je lui ai répété que ça ne me gênait pas et qu’elle pouvait faire ce qu’elle voulait de son corps du moment qu’elle ne se refusait plus à moi. Brigitte ne savait plus où se mettre et elle m’a promis. En rentrant, je lui ai demandé si c’était la même chose et elle m’a expliqué que non, que c’était plus doux, qu’elle avait eu l’impression de se donner à équivalence et qu’avec un homme, elle subissait.- Tu as eu l’impression de subir avec moi ? Moi, j’ai toujours pensé que c’est vous qui nous possédez !- Non, c’est pas pareil, a protesté Brigitte, c’est pas parce que…Nous étions arrivés et je lui ai dit, avant de descendre de voiture, que cette nuit, c’était elle qui allait me faire l’amour et une fois encore Brigitte a protesté qu’elle ne saurait pas mais j’ai insisté, lui disant qu’elle n’avait qu’à faire courir son imagination, et c’est ainsi qu’elle m’a sucé et m’a fait güvenilir illegal bahis siteleri l’amour, assise sur moi, face à moi puis quand elle s’est écroulée sur le lit, épuisée, je l’ai prise en photos.Je n’arrivais pas à croire que c’était elle. J’avais été très sérieusement amoureux quand nous étions ado et j’avais terriblement souffert qu’elle m’envoie balader. Bien sûr, si j’avais réfléchi un peu, j’aurais su qu’elle était trop belle pour moi, trop bien foutue pour une fille de cet âge, avec sa poitrine de nourrice comme se moquaient certains de mes copains. Il y en avait même un qui se vantait de l’avoir sautée comme ils disait toujours à propos des filles et d’avoir pétri ses nichons. La mère, la fille, toutes les deux avaient des gros nichons. Sa mère avait un gros cul, elle non. Un jour, j’avais vu que “mon amoureuse” n’avait pas de culotte sous sa jupe et ça avait été vraiment excitant de voir ses lèvres serrées, sa fente, quelques poils. Quand je m’en étais venté, mes copains m’avaient rétorqué que c’était la preuve que c’était une pute, cette fille, puisqu’elle s’épilait la chatte !Elle a fini par sortir avec un type bien plus vieux que nous et j’ai lu dans le journal local qu’elle s’était mariée. A quarante-cinq ans, je n’étais plus le garçon timide que j’avais été et je l’ai invitée à boire un verre à la terrasse du bistrop, sur la place. Maintenant, j’étais quelqu’un d’autre. J’avais une usine, une grosse Mercedes et si j’avais été plusieurs fois mariés, je n’avais jamais eu de chance avec les femmes. Je ne pouvais quand même pas lui raconter qu’une fois par semaine j’allais voir une pute !Et elle était à nouveau devant moi et ne portait pas d’alliance mais ça ne veut rien dire. Et elle avait toujours ses gros seins qui lui pendaient même sur le ventre et qui ont reposé sur ses cuisses quand elle s’est assise. Brigitte ! C’était un prénom magique. Je la regardais et elle me racontait sa vie, sa mère dont elle devait s’occuper, son divorce et sa solitude. J’ai vite compris qu’elle n’étais pas à l’aise financièrement et que son mari ne lui avait rien laissé qu’une misère. Elle se tordait les mains et avait un pauvre sourire.- Et toi, qu’est-ce que tu deviens, me demanda-t-elle ?J’avais envie de ne lui dire que le strict nécessaire et même de la vexer un peu. Je lui ai dit que ça allait bien pour moi, que j’étais riche et que ma vie me plaisait.- Tu es marié ?Je ne pouvais pas lui mentir même si j’ai pensé que ce serait amusant.- Les femmes, j’en ai soupé et quand j’en ai besoin, je vais voir une pute !D’entendre ça, elle a blêmi, comme le ferait une femme qui verrait qu’on n’a pas besoin d’elle.- Tu te contentes d’une putain, m’a répondu Brigitte ? Tu n’as pas envie, besoin d’avoir une femme sous la main ?- Oh, tu sais, j’ai une femme de ménage et pour le reste, je vais au restaurant !Je la regardais et je voyais bien qu’elle avait du mal à se lancer. Je devais l’y aider et pour ça je jubilais :- Oui ?- Je pourrais faire tout ça, gratuitement ! Je te ferais ton ménage, ta cuisine et le reste et tu pourras faire de moi ce que tu veux, déclama Brigitte comme heureuse d’avoir pu finir sa phrase.- Tu veux dire baiser, lui ai-je répondu ?Elle a rougi puis a continué :- Tout ce que tu veux ! Qu’est-ce que tu veux, j’ai plus rien et je suis presque à la rue. J’ai même pas de retraite…C’était tentant. Sa poitrine bougeait dans le corsage et je voyais le sillon se serrer un peu plus dans le décolleté.- Tu crois qu’on s’accorderait ?- Je n’ai pas beaucoup d’expérience pour le sexe, parce que mon mari n’était pas porté sur la chose… Si c’était à refaire…Brigitte se tordait les doigts. Bien sûr, avec l’âge, elle avait changé mais elle était toujours aussi mince et si elle n’était plus aussi jolie, elle était aussi belle et désirable. J’avais soudain envie d’elle.- Viens ! On peut essayer, lui ai-je dit !- Tu crois, m’a fait Brigitte ?J’ai laissé un billet sur la table et je me suis levé. Elle hésitait à me suivre mais elle m’a suivi quand je l’ai prise par le coude et nous avons pris ma voiture et pour la première fois de ma vie j’étais fier d’avoir une jolie femme assise à côté de moi. Elle ne disait rien et baissait les yeux. Puis nous sommes entrés dans le parc. J’avais racheté la propriété du notaire, une sorte de petit château qui me coûtait la peau des fesses à faire tondre les pelouses. Du coup, je me suis garé devant le perron et nous avons monté les marches pour entrer par la grande porte. La femme de ménage nous a ouvert, s’étonnant que je passe par là et nous a regardés d’une drôle de façon.- C’est là-haut, ai-je dit à Brigitte qui m’a obéi et à monté l’escalier.Je l’ai suivie.- A droite, deuxième porte !Elle est entrée dans la chambre. Il n’y avait juste qu’un lit, un chevet et une chaise et la grande armoire avec les portes couvertes de miroirs. J’en étais fier surtout que je m’étais parfois masturbé devant en me regardant.- Tu ne te déshabilles pas, ai-je demandé à Brigitte ?- Ah, m’a-t-elle fait ? Tu ne tires pas les rideaux ?- Tu as peur de la lumière ?Même habillée, elle était vraiment sexy. Elle a détaché sa jupe et l’a posée sur la chaise. Ça me plaisait qu’elle ait eu des bas et un porte-jarretelle. 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Elle a à nouveau tenté de protester, que ses seins en avaient besoin mais quand elle s’est retrouvée avec les mains appuyées sur le lit et les seins pendants, elle n’a plus rien dit. J’ai frotté ma bite dans la raie de ses fesses et j’ai caressé sa poitrine, la complimentant sur le fait qu’elle était vraiment bien foutue et ajoutant :- Est-ce que tu pourrais me faire un enfant ?- Un enfant, à mon… à notre âge ?- Je crois bien que c’est possible, ai-je ajouté ! Est-ce que tu prends la pilule ?La pilule, non. Tenait-elle un planning ? Elle protesta qu’elle n’en avait pas besoin.- Alors, si je te féconde aujourd’hui, tu ne seras pas surprise ?Brigitte protesta que ça allait trop vite, qu’elle était trop vieille, qu’elle ne s’en sentait pas capable et qu’elle allait être horrible avec un gros ventre. J’ai attrapé ses hanches et je l’ai pénétrée. Elle m’a sidéré quand elle a joui avant moi. Elle hurlait qu’elle ne pouvait pas se retenir. Je l’ai rattrapée et j’ai joui à mon tour. Jamais encore je n’avais senti ce pouvoir, la force des jets de ma semence et j’ai compris une fois encore que nous étions faits l’un pour l’autre. Brigitte ne se tenait plus et a laissé tomber sa tête dans ses bras. Je ne voulais pas qu’elle se relève et expulse ma semence et puis je n’avais jamais léché une femme. Une fois sorti, je me suis agenouillé et j’ai léché la fente tout en m’agrippant aux magnifiques seins de Brigitte.- Qu’est-ce que tu fais, a-t-elle fini par me demandé d’une voix haletante !Je léchais et elle a fini par dire qu’elle allait jouir, qu’elle jouissait et elle a fini par me traiter de salaud. Ah, putain, cette vulve, c’était un vrai choux-fleur, avec les petites lèvres qui jaillissaient telles des steaks et le clitoris dressé comme un doigt que j’ai fini par sucer.- J’ai plus de jambes, s’est plainte Brigitte ! Arrête !Je n’arrêtais pas et elle avait orgasme sur orgasme mais j’ai fini par me lasser. Quand Brigitte s’est redressée, j’ai pensé qu’elle ressemblait vraiment à une pute. Une vraie pute ! Aussi lascive avec ses bras tombant de chaque côté de ses seins et son ventre un peu ballonné.- J’ai honte, commença-t-elle…- Tu as honte de quoi ? Tu as fait ce que doit faire une épouse ! Je te propose de venir vivre avec moi. Quand je serais au bureau, tu pourras faire ce que tu veux, mais quand je serai là, tu ne porteras que ton porte-jarretelles et tes bas !- Rien d’autre, protesta Brigitte ?Elle semblait amusée, comme si son manège avait réussi. Manège ou pas, elle avait réussi et mon ancien amour elle l’avait ranimé. Je lui ai rappelé que pour sortir là non plus, elle ne porterait ni soutif ni culotte. Elle protesta en riant que j’avais envie de la mettre sur le trottoir et je ne l’ai pas rassurée mais elle m’a répondu que ça ne la gênerait pas de faire ça pour moi. Ce soir-là nous sommes allés au restaurant et j’ai eu l’impression que tout le monde m’enviait. Il y avait deux femmes qui, de temps en temps, se prenaient la main et j’en ai parlé à Brigitte qui s’est retournée pour les voir.- Tu crois que ce sont des gouines, m’a-t-elle demandé ?- Pourquoi pas ? Tu l’as déjà fait avec fille ?- Quoi ? Moi a fait Brigitte ?J’ai vu tout de suite qu’il y avait anguille sous roche car Brigitte a rougi et était soudain rouge comme un coquelicot.- Tu peux bien me le dire, ai-je insisté !- C’était… J’étais une gamine, a commencé Brigitte… Tu me courais après alors que j’étais amoureuse de ma cousine, tu te souviens, la brune qui était toujours avec moi ?Je lui ai dit que je préférais avoir été trompé par une femme que par un homme et Brigitte a encore rougi.- Je ne sais pas pourquoi, a-t-elle continué, j’aimais ça mais j’avais honte et puis elle, c’est une vraie lesbienne ! C’est pour ça que je me suis mariée…- Tu n’as jamais recommencé ?Elle n’arrêtait plus de rougir et je lui ai répété que ça ne me gênait pas et qu’elle pouvait faire ce qu’elle voulait de son corps du moment qu’elle ne se refusait plus à moi. Brigitte ne savait plus où se mettre et elle m’a promis. En rentrant, je lui ai demandé si c’était la même chose et elle m’a expliqué que non, que c’était plus doux, qu’elle avait eu l’impression de se donner à équivalence et qu’avec un homme, elle subissait.- Tu as eu l’impression de subir avec moi ? 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Collège Copines et Profs Episode 7

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Collège Copines et Profs Episode 7La suite 2 élèves Séverine ma petite amie de l’époque blonde peau blanche citronée et Camille une belle brune aussi dans le top 10 du collège puis Nadège la surveillante la plus bonne du collège : il y en avait 3 un homme et 1 femme qui ressemblait à Rambo donc je passe les détails.Avec Nadège rien ne se passa dommage c’était une superbe métisse qui faisait les études et tout tout le temps avec ses bottines et son jean blanc qui lui faisait un canlı bahis şirketleri beau galbe un cul bien cambré et un superbe visage j’aurai adoré la toucher mais impossible.Ensuite Séverine ma copine du moment je sortais avec et dormais souvent chez elle et elle chez moi ce qui facilitait l’amour, dans un lit confortable, elle n’était pas très salope ni imaginative mais baisait bien, elle aimait beaucoup embrasser et faire l’amour par devant, me sucer elle l’a fait canlı kaçak iddaa pour me faire plaisir mais n’aimait pas beaucoup et la sodo lui faisait mal dommage car j’aimais son cul en revanche je la léchais souvent, je lui défoncais sa petite chatte nous avons fait l’amour vraiment très souvent une bonne petit amie ce qui m’empéchait pas de la tromper à droite à gauche notre histoire dura environ 8 mois sachant que la même année je m’étais tapé Murielle dans la salle de canlı kaçak bahis sport, Catherine la prof de sport, Maryvonne la prof d’svt etc cf les précédents épisodes.Camille elle était classé bonasse une belle brune souvent en bottines jean blanc, débardeur blanc, elle sortait avec les boss du collège, 1 jour nous étions tout les 2 dans la classe elle avait un peu fumé et bu et n’était pas dans son état normal, elle se mit à me caresser la bite je me laissai faire, puis elle la mit dans sa bouche c’était un moment intense, malheureusement nous n’allons pas plus loin, elle m’a sucé environ 10 minutes puis ça sonna fin de la récré et après elle était revenu normal, je ne sut jamais si elle se souvenait qu’elle m’avait sucé…

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Chap. XVI “Dressage de Viviane 2”

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Chap. XVI “Dressage de Viviane 2″Chap XVIIViviane semblait avoir trouvé en moi le complice idéal pour assouvir ses désirs, au passage j’assouvissais aussi les miens, du moins je découvrais et j’assouvissais des penchants que je n’avais pas totalement soupçonné. Avec Patricia je m’étais découverts des envies masochistes assez poussées que j’assumais parfaitement. Me livrer aux mains d’une femme experte qui me faisait subir des sévices même parfois un peu extrêmes ( je pensais alors qu’ils étaient extrêmes.. je compris plus tard que c’était bénin) était pour moi un plaisir assumé. Par contre j’avais plus de mal à assumer le fait que de devenir le maître, l’exécuteur était un peu plus difficile pour moi. Non pas que je n’appréciais pas, bien au contraire je sentais confusément que j’aimais trop cette relation. Mais j’avais du mal à accepter que je frappais une femme, chose que je n’aurais jamais envisagé sans doute si je n’avais pas rencontré Viviane. Mais j’étais amoureux fou d’elle. Nos jeux prenaient de plus en plus de place dans notre vie, Viviane avait toujours au creux du ventre cette envie de subir, c’était une seconde nature. Elle trouvait tous les prétextes possibles pour prendre des coups, pour souffrir. Elle réclamait sa dose quand par hasard elle ne l’avait pas eue. Je me rendis bien vite compte que sans cette drogue qu’était la v******e elle ne prenait pas de plaisir, du moins elle n’atteignait pas les sommets qu’elle recherchait.La douleur était une composante incontournable du plaisir pour Viviane, bien sur nous faisions l’amour disons normalement sans accessoires ou liens d’aucune sorte. Mais je savais que si je voulais qu’elle prenne son pied à un moment ou un autre je devrais la cogner, donner quelques gifles, lui torde les tétons ou l’étrangler. Et moi je savais que quand je serais en train de lui faire subir ces sévices mon plaisir allait enfler. Petit à petit nous ne savions plus à qui ces jeux violents étaient nécessaires.. Pire il m’arrivait de ne même pas avoir besoin de lui faire l’amour, la travailler, la pousser dans ses retranchements suffisait assez fréquemment à me faire connaître le plaisir. Je ne compte plus les fois où j’arrivais à l’éjaculation sans même la moindre caresse.. Petit à petit mes désirs évoluaient et c’est au travers de la souffrance et de l’humiliation de Viviane que je prenais mon plaisir car elle atteignait elle aussi des sommets de l’extase. Viviane était plus physique que cérébrale, si la mise en scène, l’humiliation, la sensation d’être un objet contribuais à son plaisir, c’était bel et bien la douleur qui lui procurait les frissons et les orgasmes. Viviane, me fit connaître un monde que j’avais commencé à entrevoir avec Patricia mais là j’allais me plonger, m’immerger dans cette autre vie. J’allais faire des rencontres, découvrir jusqu’où l’on peut aller, jusqu’où l’homme peut être capable d’aller chercher une forme déviante du plaisir. J’avais un temps espéré que Viviane si elle aimait être soumise aurait aimé aussi me soumettre mais il n’en était rien.. Si elle acceptais de pratiquer certaines choses, comme la sodomie ou le fist jamais elle ne consenti à me fouetter par exemple. Elle n’appréciait guère non plus de me voir soumis, mais là elle n’avait pas le choix dans certaines soirées et c’était mon désir qu’elle assiste à mes tourments. Plus le temps passait et plus j’entrais dans les délires de Viviane, plus j’allais au devant de ses désirs, parfois même allant au delà. Au début de notre relation j’avais joué le jeu, je prenais plaisir à la voir souffrir.. Puis petit a petit j’avais besoin de sentir sa souffrance, sentir qu’elle acceptais tout ce que je lui demandais, j’avais l’impression de la pousser au delà de ses limites alors que c’était elle qui insidieusement me poussait à toujours plus de cruauté. J’aimais particulièrement la fouetter, de toutes les activités SM c’est une de mes préférées sans doute, car une femme liée, recevant le fouet, les contorsions de son corps, les marques qui naissent sur la peau, simples traces roses, virant au rouge puis au grenat pour finir dans un entrelac de petites plaies d’où sourdent quelques gouttes de sang c’est pour moi une vision idylique. C’est souvent lors de séances de flagellation qu’il m’arrivait souvent de jouir sans avoir besoin de la moindre caresse. C’est hypnotique, d’autant plus quand on à déjà été à la place de la victime. Je sais, je sent comme elle la mrosure du fouet, les sensations qui irradient dans tout le corps, l’attente , attendre le prochain coup, se tendre dans l’espérance de la douleur. Viviane jouissait de l’attente, de la description des sévices que j’allais lui infliger. Je l’ai vue un nombre incalculable de fois agitée de tremblements, parfois avoir des orgasmes dans l’attente des coups. Souvent elle me suppliait de la frapper, encore et encore quand elle était aux portes du plaisir elle demandait des coups quand elle jouissait il fallait la frapper le plus fort possible, sa capacité à supporter la douleur quand elle avait un orgasme était incroyable.. décuplé est un faible pronostic. Quand Viviane était en plein orgasme je pouvais lui faire ce que je voulais, la mutiler , la couper la bruler elle acceptais tout et jouissait encore plus.. LE retour sur terre était le plus souvent difficile à supporter car la douleur qu’elle pouvait accepter dans l’orgasme elle avait beaucoup de mal à la supporter dans le reflux du plaisir et souvent c’était une réaction violente à la limite de la crise de nerf ou également des pertes de connaissance. Ajoutons que pour dépasser ses limites Viviane usait et abusait d’alcool et de drogues douces ou dures. J’ai vécu toute cette période avec une épée de damoclés au dessus de la tête.. Allions nous allez trop loin vers des choses irréversibles, allait elle tenir le coup.. Certaines syncopes on duré plus que de raison. Il est vrai que nous étions dingues et que nous jouions avec la vie,sa vie. La situation devint de plus en plus difficile quand Viviane fut submergée par son désir d’auto destruction.. Elle réclamait explicitement une mise a mort réelle mise en scène, une souffrance de plus en plus forte dont le point culminant serait sa mise à mort la plus horrible possible, la plus douloureuses possible. Il arrivait fréquemment que nous fréquentions des boites spécialisées, des clubs privés, mais également certaines séances étaient totalement improvisées et parfois disons sur le domaine public. Elle me fit également rencontrer des amis qu’elle avait connu avec son précédent « maitre/amant » En particulier un couple d’âge mûr, Peter le mari était très soumis et maso,également bisexuel, elle Flora était surtout dominatrice en particulier avec les femmes, mais également les hommes qui aimaient vraiment souffrir et elle était gâtée avec son mari. Ils étaient ont peut le dire de vieux routiers du sado-maso et aimaient les soirées à 4 ou plus. Viviane me présenta également Marina une belle femme, la quarantaine qui était elle une professionnelle du SM du moins elle en avait fait son fond de commerce.. Prostituée? Si on veut oui mais elle exerçait uniquement dans le SM ce qui n’implique pas forcément de rapports classiques. Ses proies favorites étaient les hommes masochistes. Les femmes c’était pour elle une affaire privée. Avant que je ne rencontre Viviane, quand la pression devenait trop forte c’était avec Marina qu’elle assouvissait ses désirs et je me rendis vite compte que Marina était non seulement experte mais poussait ses sujets au bout de leur ressources, pour avoir vécu entre ses mains des heures à la fois douces et terribles qui me font encore aujourd’hui bander et frissonner. La première soirée très hard est rapidement arrivée, en compagnie de maitresse Flora et de Peter. Soirée à quatre, pas encore une soirée avec une douzaine de personne cela viendrait plus tard. J’avais déjà fais connaissance avec eux, sans qu’il ne ce soit rien passé, soirée au restaurant plein de discussions autour du SM mais rien de concret. Ce soir là nous étions invités chez Flora et Peter, viticulteurs ils habitaient une superbe maison dans un petit village, hauts murs, grande propriété discrète ce qui permettait de tenir des réunions et de pratiquer en plein air parfois. Également qui dit viticulture dit cave, le cadre parfait pour le SM, cave aménagée avec tout le confort pour maitres et esclaves. Viviane était magnifiquement apprêtée, ses longs cheveux nattés soigneusement, un maquillage parfait mettait en valeur ses yeux gris limpides, autour de son cou elle portait un collier de cuir clouté qui lui serrait la gorge, le fait de glisser un doigt sous le collier la faisant suffoquer. La laisse pendait au mousqueton du collier. Elle portait une longue robe noire, largement fendue sur chaque hanche, décolletée jusqu’au nombril et le dos nu. Dessous elle ne portait que son porte jarretelle et ses bas, plus une paire de pinces reliées à une chainette, les pinces écrasait ses tétons et la chainette se balançait entre ses seins, visible dans l’échancrure de son décolleté. Avant de partir, je lui avait enfilé un plug de 4cm dans l’anus et une paire de boules de même taille dans la chatte. Les quelques km de trajets avait largement suffit à la chauffer suffisamment pour qu’elle soit aussi en chaleur qu’une chienne. J’avais avant de descendre de voiture vérifié tout cela, et son clitoris était saillant, son entrecuisse chauffé à blanc était déjà moite et les lèvres de sa chatte ourlées d’écume. Viviane était prête à tout accepter, on avait parlé le long du chemin et elle m’avait dit ce qu’elle attendait de la soirée, son désir était au plus fort, elle voulait subir tout ce qu’elle pourrait supporter et même plus. Nous avions comme toujours notre mot qui mettait fin à toute choses « Rouge ».Au moment ou nous passions la porte, Viviane savait qu’elle devenait uniquement mon esclave et non ma compagne. A partir du moment ou nous entrions chez nos hôtes le jeu commençait. Et il commençait également pour Peter qui lui était le soumis de Flora. La soirée en fait c’était ma rencontre avec Maitresse Flora et nous étions chacun accompagnés de nos esclaves.Flora avait une cinquantaine d’années, on remarquait de suite chez elle sa chevelure rousse flamboyante, qui n’était pas naturelle mais qui lui allait comme un gant. Ses yeux bleus marine semblaient ne jamais ciller, son regard avait une dureté naturelle en parfait accord avec le rôle qu’elle aimait tenir. Sa plastique pour son âge était plus que flatteuse, un peu forte, une poitrine généreuse et des hanches larges faisait d’elle une parfaite dominatrice. Ajoutons que le maquillage outrancier qu’elle affectionnait en faisait presque une image d’Epinal. Sa tenue était en adéquation avec la soirée qui nous attendait. Un bustier de cuir extrêmement serré à la taille faisait pigeonner ses seins lourds, on apercevait même la naissance des aréoles foncées. Une longue jupe de cuir fendue jusqu’à la taille laissait voir des jambes bien faites perchées sur des bottines aux talons d’une hauteur vertigineuse. De longs gants de satin noir lui donnait une élégance raffinée. Elle avait un sourire carnassier en observant la chienne que je tenais en laisse. Elle avait déjà plusieurs fois gouté à mon esclave. En fait j’étais il faut bien le dire plus ou moins en apprentissage. Je l’avoue j’étais excité et cela se voyait, ma queue était tendue et la bosse qu’elle faisait naitre n’était plus invisible. Je suis comme çà, mon esprit va plus vite, s’emballe je vis parfois à l’avance les moments a venir. Je pressentais que les heures a venir seraient exceptionnelles… et elles le furent.Une fois à l’intérieur, Flora s’installa dans un large fauteuil de cuir fauve, m’invitant à m’installer dans celui qui lui faisait pendant de l’autre côté de la cheminée. J’indiquais à Viviane sa place, à genoux à côté du fauteuil. Elle obéis instantanément, et elle croisa ses mains sur sa nuque comme elle devait. Peter le mari et esclave de Flora fit alors son entrée. Il faut quelques explications. Peter effectivement est soumis et esclave de Flora, mais c’est uniquement dans le cadre de nos jeux sexuels. Dans la vie de tous les jours c’est un entrepreneur, responsable et loin de la vision qu’on à d’un soumis ou un esclave. Il est difficile pour qui ne connais pas ce milieu de faire le distinguo. Il arrive certes que la soumission déborde du cadre sexuel. Dans ce cas j’aurais tendance a trouver cette ambiance malsaine. Viviane dans la vie courante n’étais pas soumise, mais notre problème est que peu à peu les jeux sexuels ne s’arrêtaient plus la mettant dans un état de soumission permanent et dans une recherche de sensations de tous les instants.Peter fit donc son entrée, sa tenue était sans équivoque, cagoule de cuir noir, torse nu, une chainette et des poids accrochés aux anneaux qui perçaient ses tétons très gros pour un homme. Il portait un string en cuir qui masquait tout juste son pénis. Peter était glabre mais pour le moins dodu, la soixantaine il était doté d’un « durillon de comptoir » , une bedaine sans doute un cadeau de la bonne chaire et de la bière. Entravé, un collier autour du cou, il déposa un plateau avec deux coupes de champagne, avant de s’agenouiller auprès de sa maîtresse. Flora et moi avions engagé la conversation de la façon la plus mondaine qui soit sans nous préoccuper de nos soumises et soumis respectifs. J’avais un peu de mal à dissimuler non pas mon émotion mais mon excitation. Flora en était parfaitement consciente et rapidement m’indiqua que je serais mieux si j’étais à l’aise. Elle ordonna à Viviane de me mettre à l’aise. Ce qu’elle fit dégrafant mon ceinturon et ouvrant mon pantalon. Ma queue était gonflée et dure, je bandais déjà comme un malade. « Tu est en forme » me dit Flora en voyant ma queue dressée« Comment ne pas l’être? « Répondis-je« C’est vrai, regarde ta petite salope elle a envie de te manger la queue. »En effet Viviane ne quittait pas ma verge tendue du regard. Je savais pourquoi. Je fis signe à Viviane d’approcher encore elle comprit immédiatement. Elle engloutit ma queue et descendit lentement m’avalant a fond dans sa gorge. Je posais mes mains sur sa tête la pressant contre mon bas ventre. « Regardez elle adore étouffer comme çà. » Dis jeViviane s ‘étouffait sur ma queue. Je maintenais la pression pour qu’elle ne puisse pas s’échapper. Les contractions de sa gorge massaient mon gland, je donnais de petits a coups pour pénétrer plus loin. Viviane commençait à baver, son nez coulait les yeux baignés de larmes. Flora avait écarté les cuisses et ses doigts caressaient sa fente que je devinais déjà très humide.Elle se leva et approchant de nous elle posa ses doigts sur mes lèvres. Ils étaient bien humides et odorants. Je léchais le bout de ses doigts. Elle vint appuyer sur la tête de Viviane qui émettaient des gargouillis de plus en plus prononcés. Elle m’inondait les bas ventre de salive, son nez faisait des bulles. Elle étouffait vraiment, suffoquait, n’arrivait plus à reprendre son souffle.« Elle va te faire jouir j’en suis sure » dit Flora en me regardant.« Je crois oui dis-je dans un souffle »En effet dans mon état d’excitation, le massage de mon gland par les contractions de sa gorge m’avait amené pas loin de l’explosion. Tandis que je maintenais la tête de Viviane, Flora ouvrit ma chemise. Elle avait l’expérience des hommes, en tout cas de ceux qui aiment les choses à la marge. Flora passa doucement ses doigts sur mes tétons tendus. Je suis hypersensible des bouts de seins, autant voir plus que certaines femmes. Les doigts de Flora s’emparaient de mes tétons, instantanément je sentis ma queue durcir encore plus, mon anus se resserrer. Elle me regardait avec une mine de chatte gourmande, se délectant de mes mimiques. Ses ongles maintenant s’incrustaient dans la chair tendre de mes pointes. On passait de l’agacement à la douleur. Flora avait senti qu’elle pouvait me maltraiter. Les ongles vrillaient mes pointes, je sentait la chair céder sous leur emprise. J’avais vraiment mal au point de crier. Viviane était étouffée et agitée de spasmes. Si ce jeu continuais plus longtemps elle ne le supporterait peut être pas. Je sentis un peu de chaleur le long des mon torse. Flora avait tellement bien œuvré que mes tétons étaient en sang. C’est quand je sentis et vis les traces rouges du sang sur ma poitrine que je me libérais.. C était un orgasme violent, un soulagement.. Ma queue tendue me faisait mal et je giclais dans la gorge de Viviane.Elle s’étouffait sur ma queue j’avais heureusement relâché mon étreinte quand j’ai jouis car Viviane était au bord de la perte de connaissance. Flora semblait satisfaite d’elle. Elle se pencha vers moi et me souffla dans l’oreille «  Il faut qu’on se trouve un petit moment tous les deux… j’aimerais bien t’avoir comme güvenilir bahis soumis.. je suis sûre que tu aimerais çà »Viviane reprenait ses esprits doucement, elle était haletante, mon sperme avait empli sa bouche et maculé ses joues, ses yeux étaient noyés de larmes son maquillage était parti en longues traces noires sur ses joues et sous ses yeux. Mais dans ses prunelles je voyais danser cette flamme annonciatrice des pires extravagances. Et avec Flora aux commandes c’était sans doute une soirée d’enfer que nous allions connaître.Peter avait assisté à toute la scène sans broncher.. Du moins pas sans rester indifférent. Je glissais ma main dans son cache sexe, sa queue était dure et serrée, je l’extirpais de sa prison. Son gland était décalotté, gonflé et humide il portait un anneau de belle taille qui entrait par le méat et perçait le dessous du gland. Je descendais le long de la tige et empoignais ses couilles et les serrais fortement. Il se mit à geindre, je serrais plus fort il se mit a grogner et à se tasser sur lui même. Son gland oscillais et je voyais qu’il se formait une jolie perle. « Ah mais tu aimes aussi les hommes?? »dit Flora« Je ne déteste pas les queues soumises et a faire éclater des couilles » répondis-je en accentuant la pression sur celles de Peter avant de les lâcher. Flora prit l’anneau entre ses doigts étirant la queue de Peter avant d’assener un coup de poing aux couilles gonflées. Il poussa un cri rauque et presque instantanément un long fil se mit à couler de son gland.« Il aime çà en tout cas.. »dis-je « Je suis sure que toi aussi… »lâcha Flora en me regardant avec intensité. Pour toute réponse je me plaçais devant elle écartait légèrement les cuisses. Elle sourit devant ma queue encore dressée et luisante. Mes couilles étaient dures. Un petit regard en coin et elle lança son poing dans mes valseuses. Le coup me coupa la respiration, j’eus l’impression que mes couilles était rentrées dans mon ventre, la douleur irradiait mais je sentais monter le jus dans ma tige. Flora comprit que ce ne serait pas juste une ondée limitée mais bien plus car mon gland lâcha un filet de sperme continu. Elle me frappa à nouveau cette fois déclenchant une éjaculation copieuse. Je manquais de tomber tant mes jambes tremblaient. Flora experte me donna un troisième coup moins fort mais tout aussi salutaire qui me vida les couilles cette fois. C’était la première fois que j’avais un orgasme de cette manière et je dois dire ce ne fut pas le dernier.« Debout petite pute » dit Flora à l’attention de Viviane. « Allez venez on va s’amuser »Flora nous guida vers la salle des tortures. Cave voutée, mais ambiance chaleureuse, pas d’humidité suintante le long des murs. Brillamment éclairée la salle était parfaitement équipé et ressemblait trait pour trait mais en plus cossu à celle de Pat. J’avais digéré mon orgasme à coup de poings, même si franchement ma queue et mes couilles surtout me faisait mal. Flora était surprise qu’après çà j’avais toujours la queue en l’air. Certes pas autant qu’a certaines occasions mais je n’avais pas débandé et ce n’est pas l’activité que nous étions prêt à déployer en ce lieu qui arrangerait les choses.Flora trainait presque Viviane par les cheveux, elle la malmenait vraiment. J’observais avec délice mon esclave dans les mains de cette maitresse experte. Il faut bien avouer que j’étais alors un novice. Elle gifla violemment Viviane avant de lui ordonner d’ouvrir grand la bouche et de lui cracher sur la langue. Sa main se serrait sur la gorge de Viviane qui tremblait de tous ses membres. Bien plus que quand j’étais à la manœuvre. Flora me demanda de l’aider à attacher Viviane. Bracelets aux poignets et aux chevilles, puis elle assura les mousquetons au chaines venant du plafond et celles fixées au sol. Flora manœuvra un petit treuil et Viviane fut écartelée, les membres tendus.. Offerte à toutes nos envies.Puis elle installa Peter sur une croix de saint André, pieds et poings liés sur le grand X. Elle avait ôté le cache sexe de ce dernier.. qui maintenant offrait à la vue et à nos mains sa queue et ses couilles. Elle lui plaçait un anneau qui enserrait son paquet et sa queue .. puis elle posa des anneaux en fait un montage mécanique en deux parties très lourd qui enserrait et allongeait son scrotum Ses couilles étaient hyper tendues lestées par cette appareil qui les éloignais. Elle prit ensuite une paire de pinces à un ratelier fixé au mur. Elle me donna l’une des extrémités et nous placions les pinces sur ses tétons, Peter grimaça et poussa un gémissement. Puis nous suspendîmes des poids importants à ses pinces.. Les tétons de Peter étaient gros et longs ils se courbèrent et s’allongèrent sous le poids. Cette fois il gémit longuement. Je savais combien ca faisait mal.. mais je voyais aussi commet sa queue était agitée de soubresauts. Flora lui plaça même une claque sur la tige. Pourquoi le nier.. à cet instant j’enviais un peu Peter.Viviane était totalement offerte, et se sentir ainsi entravée avait commencé à alimenter son désir. Je commençais à bien connaître mon esclave, elle jouissait d’une capacité à fantasmer la suite des événements que rien que la placer dans une posture, l’entraver ou bien lui décrire ce qu’elle va subir là met dans un état de transe. Plusieurs fois même elle atteignait l’orgasme sans que rien de vraiment physique ne lui ai été imposé.En fait Flora avait envie de me montrer ce qu’il fallait pour commencer à pousser Viviane dans ses retranchements, atteindre les limites.. Elle avoua pourtant que jamais Viviane n’avait utilisé le safe word pour arrêter une séance. Elle me souffla à l’oreille «  Il faut faire très attention avec elle, tu pourrais aller trop loin sans qu’elle dise un mot. Méfies toi, tu sais bien que celui qui dirige en fait c’est le ou la soumise, pas toi. Ta petite salope est tout a fait capable de te faire faire des folies. Promet moi de faire attention. JE l’aime beaucoup et vous êtes vraiment bien ensembles.» Sur le coup le pris le conseil à la légère, je mesure maintenant toute la portée des conseils de FloraNous étions deux à tourner autour de Viviane, sa respiration était rapide et saccadée on voyait sa poitrine se soulever de façon accélérée. Je passais mon pouce sur ses lèvres. Avec un regard de biche aux abois elle se mit à téter le bout de mon pouce. Flora lui attrapa les cheveux et tira sa tête en arrière au moment ou je la giflais violemment. Elle poussa un cri et je profitais de cet instant pour cracher ma salive dans sa bouche. Instantanément elle se tut, me regarda avec cet air abandonné mais teinté de défi.. l’air de me dire .. ose faire plus.Je passais ma main entre les cuisses de Viviane, ses lèvres pendantes étaient trempées, Flora me passa une paire de pinces que je plaçais sur les petites lèvres. Quand la première se ferma sur la crête de chair humide, Viviane poussa un long grognement, puis un vrai cri quand la deuxième se referma sur sa chair. Levant les yeux je vis son regard qui se vrilla dans le mien.. Sans rien dire, elle annonçait la couleur.. je devais continuer.. elle était dans le trip.. il fallait maintenant que je ne flanche pas.. Je tirais la chaine reliant les pinces vers le haut.. entrainant les lèvres qui se distendaient.. Avant de lâcher brusquement la chaine, le poids aidant la tension imposée aux petites lèvres de sa chatte fut brutale et forte. Elle ouvrit la bouche pour crier mais rien ne sortais.. qu’un petit souffle de douleur. Je crachais à nouveau dans sa bouche, avant de gifler ses seins. Ils commençaient à rougir. Flora s’accroupit et plaçà un poids à la chainette. Les lévres de son con étaient maintenant horriblement distendues. Les petites lèvres de Viviane étaient longues et souples, leur bord étaient assez foncé ce qui donnait un contraste avec le rose du reste de sa chair. Là elle était totalement tirées vers le bas la peau fine semblait prête a craquer. Ce qui n’empêchais nullement Viviane de distiller une mouille épaisse qui devenait au fil des minutes plus laiteuse.Flora alla chercher 2 cravaches au bout assez large. Elle m’en confia une et se posta à droite de Viviane, je me plaçais à sa gauche. Un premier coup tomba sur l’intérieur de sa cuisse, je répliquais par un coup au même endroit sur l’autre cuisse. Il faut savoir une chose c’est que les coups dans ce contexte doivent être équilibrés, jamais s’acharner sur un seul endroit un seul côté là c’est vraiment une horreur, j’ai subis parfois ce genre de chose et là on ne tiens pas 10mn alors que si on est frappé intelligemment on peut tenir longtemps on peut compter en heures.. Bien sur la force des coups entre en ligne de compte. La plupart du temps ils sont moins fort au début et on monte crescendo. Au moment de l’orgasme le corps sécrète tellement d’endorphines qu’on peut supporter l’insupportable vous le verrez à plusieurs reprise plus tard. Flora et moi nous partagions le corps de Viviane qui se tordait de douleur dans ses chaines.. Cette vision m’excitait énormément et ma queue gonflais un peu plus à chaque coup. Je vis que Flora n’était pas insensible et avait souvent la main entre ses cuisses. Moi je ne me touchais pas de peur d’éjaculer mal à propos. Peter qui ne perdait rien de la scène avait aussi la queue dressée.Les coups tombaient sur Viviane, l’intérieur de ses cuisses était rouge vermillon. Les cravaches laissaient une empreinte visible à chaque fois. Viviane agitée de tremblement, de spasmes criait de toutes ses forces les poids qui distendaient ses lèvres avait un mouvement de balancier qui était certes douloureux mais également les lèvres ainsi agitées massaient également son clitoris. Sa tête allait de droite à gauche, comme pour dire non.. Mais elle adorait le traitement en fait.Elle criait mais entrecoupait ses plaintes de « oui encore » ou de « plus fort ».Flora cessa, puis elle passa sa main entre les cuisses de Viviane. Elle ressortit des doigts luisants de liqueur. « Tu mouilles!! petite pute!! ah tu aimes çà te faire cogner!! Tu va en prendre encore tu va voir!! Allez suces!! lèche mes doigts goutte ta chatte!! » hurlais Flora.Viviane suçait les doigts avec avidité. J’avais entrepris de mon côté de prendre ses seins dans mes mains de les presser remontant vers les tétons que je pris entre mes doigts. Je serrais et tournait les pointes arrachant à Viviane un véritable hurlement. Elle adorait se faire travailler les tétons mais elle souffrait énormément à chaque fois. Son regard me transperça. Elle quémandais un peu plus encore.. A nouveau je tordais les pointes dans l’autre sens. Elle se cabra, lançant son ventre dans une danse heurtée. Viviane était presque parvenue à jouir sous mes doigts. Flora me fit un petit signe et nous nous replacions chacun d’un côté de Viviane. Cette fois nos cravaches tombèrent sur les fesses et le dos de mon esclave. Rapidement elle fut couverte de belles marques rouges. Son corps ondulait sous les coups.. sa peau se couvrait d’une fine sueur qui faisait luire son corps. Entre les coups elle restait agitée de tremblements. Parfois nous la faisions attendre et son tremblement augmentait jusqu’à une quasi tétanie qui l’amenait le plus souvent au bord de l’orgasme. En fait Viviane ne cessait de tenter d’avoir ce premier orgasme. Flora et moi guettions les signes pour justement lui refuser.. Ensuite nous allions la travailler plus précisément en lui ordonnant de se retenir de ne pas jouir.En fait j’avais presque le même problème qu’elle car ma queue tendue laissait couler quasi en continu un fil épais. Flora l’avais vu et s’approcha de moi Elle prit soin de ne pas toucher mon sexe mais du bout du doigt elle recueilli la liqueur qui s’écoulait.. Elle approcha son doigt de la bouche de Viviane qui s’ouvrit avide de recueillir cette preuve de mon plaisir. Viviane adorait lécher cet avant goût de mon sperme, souvent elle allait elle même le chercher. En effet dés que je suis fort excité je mouilles énormément du gland.Flora s’approcha de moi et à l’oreille me dit «  Il faut vraiment que je t’ai pour moi.. je sent que je vais m’amuser avec toi… »C’était clair Flora avait envie de me dominer. Je dois dire que si elle avait décidé de m’attacher aux côtés de Viviane j’aurais accepté. Mais nous étions là pour nous occuper de nos esclaves. Comme Viviane était maintenant visiblement tellement sous pression qu’elle risquait de jouir à chaque instant.. Nous décidions de nous occuper de Peter.Flora tourna un instant autour de Peter, puis d’une main elle souleva les poids qui tendaient la chaine des pinces à tétons. Puis regardant Peter dans les yeux elle sourit. Celui ci savait ce qui allait arriver Il secouait la tête comme pour dire non.. Flora hocha la tête et lâcha les poids.. La gravité fit son office en tombant les poids tendirent la chaine a fond et les pinces se serrèrent plus encore sur les tétons martyrisés. Il poussa un grand cri, sa queue se dressa presque contre son ventre avant de reprendre la position à l’horizontale. L’anneau qui perçait son gland était couvert de mouille qui pendait comme moi au bout du sexe gonflé. Ses couilles étaient lourdes gonflées et la verge noueuse les veines ressortaient bien étranglé qu’il était par les anneaux. Oh je connais cette sensation et j’adore les anneaux qui enserre la queue.. Je bande déjà très dur avec les anneaux c’est une folie.« Surtout tu ne jouis pas!! esclave!! » ordonnait Flora.Elle s’empara des couilles gonflées de Peter et se mit à les presser fortement. Il grogna ses genoux fléchirent . Son sexe oscillait comme si il allait gicler. J’avais une envie folle de le prendre dans ma main et de le finir.. J’aime voir gicler une queue, et celle là avec son anneau au gland me fascinait.. J’avais envie de la sentir dans ma bouche et même très envie de sentir la queue de Peter me défoncer la rondelle.Flora tordait les couilles avec force, Peter s’affaissait sur ses jambes. Flora me tendit alors un god de belle taille en latex noir. Pas besoin de me faire un dessin. J’allais le lubrifier quand Flora me fit signe que non.. Elle mima simplement une introduction violente. Comme Peter avait les genoux ployés son anus était assez visible. Je posais le gland du god sur son oeillet et je poussais d’un coup sec. L’engin entra de plus de la moitié alors que Peter poussait un soupir. Je vis alors un long filament laiteux couler de son gland.. Ma queue se tendit encore un peu plus et moi aussi je senti couler une grosse larme au bout de mon sexe. Flora passa derrière Peter et installa une tige sur laquelle se fixa la god que je venais d’enfiler.. dans ce cul. Ainsi Peter serait empalé et nous pourrions retourner vers Viviane.Peter est empalé et il remue doucement son cul. J’observe sa queue qui coule de plus en plus.. Je doute qu’il tiennent longtemps avant de partir. Viviane était toujours en proie à des tressaillements, de petits soubresauts. Ses yeux grand ouverts paraissaient un peu fous. Ce regard me hante ses yeux me disait le plaisir qu’elle prenait à être ainsi offerte, le désir qu’elle avait d’être frappée, torturée même. J’ai du mal à expliquer à montrer ce qu’était ce regard mais quand on est face à un tel appel on ne peut pas résister. Viviane m’a toujours envouté avec son regard me faisant faire les pires folies.. Je lisait dans ses yeux la gratitude qu’elle avait quand j’accédais à ses désirs malsains.Flora lui assène deux claques magistrales sur les seins. Puis elle va chercher deux bougies de grosse taille qui brulent depuis que nous sommes arrivés dans la pièce. Elle font 8 ou 9 cm de diam et autour de la mèche c’est créé un puis qui contient de la cire fondue et brulante. Je frémis ma queue se dresse. J’ai déjà vu dans des films mais jamais testé. Flora montre la bougie a Viviane, passe devant son visage, puis elle promène la flamme prés des seins, dessous elle pousse le vice jusqu’à laisser la flamme lécher le téton tendu . Viviane pousse de petits cris rauques. Je fais la même chose de l’autre côté. Manquant de pratique je laisse la flamme un peu trop longtemps immobile et le cri de Viviane est éloquent. Je viens de lui bruler le bout du sein cruellement, une cloque apparaît même rapidement. Je suis hésitant prêt à arrêter les frais « C’est rien dit Flora. ».. Elle gifle Viviane dont la tête dodeline. Puis elle incline la bougie au dessus du sein.. La cire se met a ruisseler sur le haut du sein, dessine des rigoles suivant les courbes.. Viviane pousse des cris puissants. Je fais de même de l’autre côté. Viviane se débat dans les chaines. La cire ruisselle sur sa peau en longue coulées qui glissent en se solidifiant sur son ventre. Avec application nous vidons toute la cire.. les tétons sont vite englués dans une gangue de cire.. presque toute sa poitrine est couverte de cire.. Viviane à les larmes qui coulent le long de ses joues. Je caresse türkçe bahis sa bouche de mes doigts, puis je profite d’un soupir pour investir sa bouche. Elle lèche mes doigts, les mouille. Je pousse mon exploration plus loin enfonçant 3 doigts dans sa bouche, sa langue s’agite, je parviens dans sa gorge.. Elle à un haut le cœur et je sort mes doigts.. Flora me tend un martinet elle en tient un autre dans sa main. Elle commence à frapper les seins de Viviane qui tressautent sous le coup, en fait les lanières couvre la surface des deux seins. Et nous alternons les coups.. jusqu’à ce que la cire finisse par avoir disparue. Ses seins sont striés de marques roses qui virent au rouge sombre.Viviane pousse des cris qui me vrillent les tympans.. Elle se débat dans les chaines.. Elle se tend se cambre, lance son ventre en avant.. Soudain elle pousse un vrai hurlement.. les pinces qui mordaient les lèvres de sa chatte viennent de ripper.. en fait une seule a ripé.. et tous les poids sont supportés par la petite lèvre droite de sa chatte. Là c’est violent.. elle à vraiment très très mal. Je m’agenouille pour enlever la pince .. la chatte de Viviane est ruisselante, pleine de crème son clito est saillant luisant rouge vif. Flora est passée derrière Viviane et de sa main ganté elle pousse 2 doigts dans l’anus de Viviane qui se cambre cette fois de plaisir. Flora me fait signe de prendre le vibro sur la petite table. C’est un vibro secteur une manche avec un interrupteur et une tête ovoïde un peu plus petite qu’une boule de pétanque. Je le pose sur la chatte de Viviane qui se met à se frotter dessus, en fait elle cherche et m’appelle à la pénétrer. Il n’est pas question de lui donner satisfaction. Viviane le sait et tente d’arriver au plaisir. Flora lui fouille le cul avec 4 doigts maintenant et je promène le vibro sur sa chatte qui ruisselle maintenant plus que jamais. Elle gémit lance son ventre en avant. Son clito est totalement décalotté saillant comme une petite queue. Je fais attention de ne pas poser le vibro contre lui car Viviane aurait de grandes chances de jouir sur le champ. Moi je suis aussi limite qu’elle et je pense que Flora également, accroupie de l’autre côté de mon esclave ses genoux écartés me laissent voir sa chatte, elle est trempé, les lèvres baillent et me laisse voir l’antre rose tout inondé de rosée. De mon côté j’ai la queue tendue à mort, le gland totalement décalotté est gorgé de sang, les veines sont de plus en plus saillantes, mes couilles sont lourdes mais remontent petit à petit à la base de la tige. Je regrette de ne pas avoir mis d’anneaux car maintenant ma queue serait étranglée prête à exploser et j’adore cette sensation et surtout voir ma queue dans cet état extrême. J’ai mal je ne le cache pas mais c’est une délicieuse douleur. Flora cesse de défoncer l’anus de Viviane car celle ci est au bord de l’orgasme. J’arrête également. C’est un vrai apprentissage en fait Flora me guide pour que à l’avenir je puisse tirer le maximum de plaisir du corps de Viviane. D’ailleurs elle m’avait raconté déjà que Flora arrivait à la mener à des sommets, Viviane disait elle arrive à me rendre folle.Et je commençait à comprendre. J’avais souvent été bien trop vite, il est indispensable que les tourments durent, que l’on refuse la jouissance à l’esclave le plus souvent possible pour que la pression monte. Viviane semblait avoir perdu la notion de ce qui l’entourait, son regard était embrumé, sa respiration hachée, saccadée, son corps était en permanence tremblant et secoué de spasmes. Elle semblait avoir perdu le tonus dans ses jambes et se laissait pendre par les poignets. Sa chatte ruisselait l’intérieur de ses cuisses était strié de fins ruisseaux de liqueur. Entre les lèvres une mousse onctueuse était née. Quelques gouttes de mouille avait taché le sol et de longs filaments glaireux pendait de son con en ébullition. Son corps luisait comme s’il avait été enduit d’huile, mais ce n’était là qu’une fine sueur. Entre ses seins et les aisselles de grosses gouttes de sueur faisait de longes marques brillantes. Son front était emperlé également ainsi que sa lèvre supérieure. Qui ne cessait de vibrer.Je devais me retenir pour ne pas la prendre là tout de suite. Flora le sentit et s’approcha de moi pour me murmurer à l’oreille.«  Je suis sure que tu à envie de la baiser là maintenant »Je hochais la tête.« Attends, prend ton temps, tu va voir on va la faire danser un peu plus encore… » dit Flora avec un sourire carnassier.J’avais envie de toucher cette maitresse .. Ma main glissa le long de sa cuisse, et remontant j’arrivais à son con trempé. Elle lança son ventre en avant.. Mes doigts se perdaient dans les profondeurs brulantes de sa vulve.Elle posa ses lèvres sur les miennes et dans un murmure me dit«  Pas tout de suite… mais j’ai envie aussi.. » Et elle se sépara de moi avec un sourire. Je jetais un œil à Peter qui était toujours empalé sur le god, sa queue était gonflée prête a exploser aussi. Il matait et se défonçait le cul lentement.Flora avait ouvert un petit meuble et sorti un panier rempli de papiers à première vue. Je compris seulement quand il fut posé sur la petite table. En fait il était repli d’aiguilles médicales. Flora me jeta un coup d’œil amusé. Je ne pensais pas que cela irait si loin. « Tu va pas….. » commençais je.. « Oh si mon chéri!! Je vais.. et tu va voir que ta femelle adore… » dit elle.Dans le même temps Viviane hochais la tête pour signifier son acceptation. Elle n’arrivait plus à parler.« Tu vois elle dit oui.. mais quand je vais approcher elle va secouer la tête pour dire non.. elle va crier même.. supplier pas çà.. C’est normal.. Mais elle ne prononcera pas le safe word.. tu va voir. »Elle rit une première aiguille, fine d’au moins 5cm de long. Elle s’approcha de Viviane et posa la pointe de l’aiguille sur le sein, la promenant, griffant la peau avec l’acier froid. Viviane semblait terrorisée, regardant l’aiguille se promener sur sa poitrine. Ses mains avait agrippé les chaines de ses poignets. Ses articulations étaient blanchies tellement elle serrait. Les yeux de Viviane étaient braquées sur ce petit morceau d’acier qui dessinait des arabesques sur son sein droit. Flora arrêta de promener l’aiguille, puis regardant Viviane dans les yeux elle posa la pointe au dessus de l’aréole et poussa doucement. La peau se déforma un instant puis l’aiguille pénétra Flora poussai lentement et l’acier pénétrait la chair. Viviane haletait regardait l’aiguille pénétrer son sein. Sa gorge émettait une plainte continue. Enfin Flora lâcha l’aiguille qui était totalement entrée seul le plastique dépassait incongru de la peau.La poitrine de Viviane se soulevait au rythme saccadé de sa respiration. Je remarquais qu’une goutte de sang était nichée dans l’aiguille au débouché dans le plastique.Voir en live cette aiguille entrer dans le sein de Viviane m’avait excité à mort. C’était à moi d’officier.Je déballais l’aiguille, la débarrassais de son capuchon de plastique. Viviane ne me quittait pas des yeux. Cette fois ce n’étais pas l’aiguille qu’elle regardait mais mon visage. Son sourire m’engageait à continuer à la torturer, elle prenais plaisir à ces instants. Son bassin était agité elle mimait une pénétration, son pubis allait et venait comme si elle était empalée sur ma queue. Sa gorge laissait passer de petits râles. Elle rejetait sa tête en arrière comme si elle allait jouir. Elle frissonna quand ma main gauche se referma sur son sein. De la droite j’approchais l’aiguille. Taquinais de la pointe son téton. Elle crut un instant que j’allais lui percer le téton elle se tendit et fit non de la tête.. Les yeux disaient oui.. mais sa tête demandais grâce. Je posais la pointe au dessus de l’aréole. Et je me mis à pousser sa peau se déroba un instant puis céda. Ses yeux me scrutaient, ils était intenses me demandait de ne pas faillir, elle voulait que mes mains la fasse souffrir. C’est dur de pousser une aiguille dans un sein, plus dur que je ne le pensais. Mais aussi plus intense en sensations.. Je sentais comme un léger crissement alors que l’aiguille entrait dans la chair, sa respiration accélérait, elle s’agitait sa gorge râlait doucement. Enfin j’arrivais au plastique, l’acier était en elle. Ma queue n’arrêtais pas de tressauter comme si j’allais gicler.. Mon gland suintait comme jamais. J’avoue que le fait d’avoir fait pénétrer cette aiguille dans son sein m’a excité prodigieusement. Flora s’approche de Viviane, passe ses mains sur les seins rougis et martyrisés. Elle me glisse à l’oreille. « Vas y je te laisse faire occupe toi de ses tétons.. passe au travers elle adore.. »Je sentis ma queue se dresser à l’énoncé de ce conseil. Je n’étais plus moi. Honnêtement tout cela j’avais l’impression de le regarder de l’extérieur. Jamais je n’aurais pensé que je prendrais autant d plaisir à ces agissements extrêmes. Et pourtant.. je bandais comme un âne à l’idée de transpercer les tétons de celle que j’aimais. Et je savais qu’elle n’attendait que çà. Flora restait près de moi, pour m’assister ou m’arrêter si je m’y prenais mal. Elle m’avait conseillé de parler de dire à Viviane ce que j’allais lui faire.« Tu vois cette aiguille.. salope ? Je vais te percer les tétons avec.. » dis je en montrant l’aiguille nue à Viviane. Elle faisait non de la tête, sa bouche ouverte aspirait l’air comme un poisson jeté sur la rive. Je prenais son téton droit entre mon pouce et mon index. Je serrais le bourgeon charnu. Viviane gémit profondément. J’étirais le petit bout de chair, je posais l’aiguille bien droite contre sa peau. Viviane tremblait, ses yeux allant des miens à son bout de sein tendu. Je poussais lentement, la chair céda et l’aiguille pénétra profondément.  C’était plus douloureux, elle cria puis haletante regarda l’aiguille «  Oh non… j’ai mal!! non!!! »Encore une poussée et l’aiguille commença à étirer la peau sous le téton. C était hypnotisant voir la peau se tendre de plus en plus, puis d’un coup je sentis la résistance cesser.. Viviane poussa un cri et grimaça quand l’aiguille transperça le bout. Une petite goutte de sang perlait sur le haut de son téton. Viviane me regardait avec un regard ou se mêlait la douleur la satisfaction et l’admiration. Elle avait une grosse larme qui coulait au coin de son œil.« C’est bien petite pute… tu en veux encore? » demandais je.« Ouiiii encore » dit Viviane dans un souffle.Je pinçait son autre téton et je piquais l’aiguille. Cette fois ma main plus assurée transperça la chair tendre du téton d’un seul mouvement. Viviane se cambra, lançant son ventre en avant. Elle toucha ma queue tendue. Cela me fit l’effet d’une décharge électrique. Flora gloussa.. et susurra « Ouh.. tu est bouillant.. j’ai cru que tu allais partir… »Je lui jetais un regard en biais… Elle avait raison j’étais au bord de l’orgasme. J’étais dans un état un peu second.. ma queue était agitée de spasmes de plus en plus violents et rapprochés.. Je sentais monter la sève.Flora m’engagea à poursuivre.. Viviane était haletante, son ventre dansais elle s’agitait provoquant un frottement des lèvres de sa chatte qui ruisselait de plus en plus. De longs filaments laiteux pendaient entre ses cuisses et son nectar glissait le long de ses cuisses. Je pris une aiguille et je perçais cette fois le téton à l’horizontale. Elle poussa un long cri quand l’aiguille rencontra celle qui le perçait verticalement. Ce cri fit monter le plaisir dans ma queue.. Je sentis que je coulais un peu plus.. un coup d’œil je vis un long fil blanchâtre qui pendait de mon nœud.. « Retiens toi ne jouis pas tout de suite » me murmura Flora.Facile à dire.. les cris, les contorsions de Viviane, les aiguilles qui la perçaient tout concourrais à mon excitation. Viviane était méconnaissable, son visage grimaçait de douleur elel semblait près de la perte de connaissance.. Mais elle réclamais encore « Perce moi encore… maitre.. perce moi »Je pris encore une aiguille et prestement je perçais l’autre téton.. Cette fois j’eus du ma a passer au travers.. Forcé de sortir l’aiguille et de percer à coté. De la première tentative naquis un perle de sang qui se mit à couler sur le globe du sein. Voir ce sang aurais du me mettre mal à l’aise.. au contraire.. j’étais heureux et excité.. Viviane avait la même réaction.. voir son sang la mettais en transe. Flora me donna alors deux aiguilles plus longues et plus grosses. Et me montra comment les enfiler. Cette fois c’était plus étrange encore. Longue d’une douzaine de cm l’aiguille allait pénétrer le mamelon de façon frontale. Viviane est dans un état incroyable, ses yeux papillotent et ses pupilles se retournent par instants.Son sexe ruisselle vraiment, le sol est constellé de tâches humides. Je prend l’aiguille et pose la pointe sur le mamelon droit. Viviane elle même pousse pour faire pénétrer l’aiguille Elle me regarde et donne des accoups qui font entrer l’acier dans sa chair. Je pousse a mon tour et cm par cm elle entre plonge au centre du tétons. Viviane halète, crie, ses yeux sont révulsés.. un filet de bave au coin des lèvres donne la mesure de son état. Ma queue saute de plus en plus. L’aiguille est entrée presque totalement et dépasse incongrue au bout de son sein.Je passe ma main sur sa joue, elle me regarde et dit simplement « Enfile l’autre… »Je pique l’aiguille dans le téton gauche. Elle entre lentement. Viviane est de plus en plus évanescente. La douleur est intense. Flora lui libère une main. Instantanément Viviane la met entre ses cuisses et se caresse. Tandis que j’enfonce la dernière aiguille a fond..Flora me tends un martinet. Détache l’autre poignet de Viviane qui s’effondre à genoux, se branlant comme une folle. Elle laisse aller son buste en arrière, rejetant la tête. Flora me fait comprendre que je dois frapper.. ses seins. Je m’exécutes totalement hors de moi.. je me regarde frapper les seins de Viviane qui tressautent, elle hurle demande que je frappes plus fort. Je cognes comme un sourd les aiguilles sont bougées, enfoncées, retirés .. Rapidement de chaque orifice une fine rigole de sang se met à sourdre. Je frappes pourtant, les seins de Viviane sont écarlate maintenant. Flora me retire le martinet des mains et me dit « Prend là!! »Je me jette sur Viviane. Elle me sent écarte les cuisses.. je n’ai pas besoin de chercher ma queue la pénètre sans effort.. Je suis dans un antre bouillonnant. Elle ruisselle, son con est agité de convulsions je donne des grands coups de reins. Mes mains se plaquent sur les seins de Viviane qui crie et se débat. J’appuie sur les aiguilles, je me pique même mais je malaxe ses seins… un moment. Puis tout en donnant des coups de reins je retire les aiguilles une a une.. C’est incroyable.. le sang qui coule m’excite les longues aiguilles sont dures à oter.. Viviane tremble et s’agite.. Elle est maintenant tendue, arc boutée sur les épaules elle jouis comme une damnée. Je sent d’un coup une pression sur mon anus.. C’est Flora qui glisse ses doigts dans mon cul.. C’est le signal pour moi.. je gicle à gros bouillons dans la chatte de Viviane. Un éblouissement.. un éclair.. je me retrouve affalé sur Viviane, mes mains sont rougies de sang, je lui barbouille le visage de sons sang qui coule toujours des blessures de ses seins. Elle à les yeux toujours révulsés et son sexe palpite follement enserrant ma queue. Je lèche ses seins, je goute son sang, ce goût cuivré est je le découvre enivrant. C’est dantesque. Viviane jouis toujours secouée de spasmes, se tétanise pour retomber sur le sol. Moi je me vide jets après jets en elle. Nous finissons par retomber inertes sur le sol. Mon visage est contre celui de Viviane.. elle ouvre lentement les yeux.. me regarde avec une lueur de feu qui danse dans ses prunelles. «  Merci oh merci c’était bon bon bon.. » susurre t-elle.Je reprend lentement mes esprits. Viviane aussi .. Toujours dans le jeu elle s’agenouille, le buste bien droit, assise sur ses talons les genoux écartés, les mains posées sur les genoux paumes vers le haut. La pose de l’esclave qui attend le bon vouloir de son maitre. C’est impressionnant. Elle à les seins écarlates a cause des coups mais aussi a cause du sang qui à coulé des blessures infligées par les aiguilles. En fait peu de sang à coulé mais avec mes mains je l’ai étalé sur elle. J’ai aussi toujours son goût sur mes lèvres et j’aime çà. Ce constat est inquiétant, cela me fait peur.. Je sent confusément que nous avons fait un pas en avant, tomber un tabou et que cela ouvre des possibilités que je ne sais pas si je vais apprécier.Flora n’avait pas jouis encore. Elle s’installa sur un grand fauteuil, cuisses écartées et commençait à se branler enfonçant un god noir qui vite fut ceinturé d’un ruban d’écume laiteuse qui marquait la profondeur à laquelle il pénétrait. Peter était très proche et il s’empalait güvenilir bahis siteleri comme un beau diable sur son god.. Sa queue ruisselait littéralement de longs fils laiteux pendaient depuis l’anneau qui perçait son gland. Approchant d’elle j’avais encore la queue tendue. Je lui pris le god des mains et je la prit assez violemment, enfilant ma queue jusqu’à la garde . Elle poussa un cri et agrippa mes épaules. Sa chatte était large, elle était douce et pleine d’une mouille grasse et épaisse. Rapidement ma queue était couverte de yaourt. Flora se frottais le clito avec force. Je m’emparais de ses bouts de seins tendus et les pinçais fortement, je jouais avec ses seins tandis qu’elle avait renversé la tête. Je ressortais ma queue et profitais de sa positon dans le fauteuil pour l’appuyer sur son anus. Un coup de rein et j’encule Flora qui apprécie. Je suis plus serré c’est bien meilleur. Sa chatte est béante.. j’y glisse mes doigts trois pour commencer.. Je sens ma queue au travers de la fine paroi qui sépare son sexe de son rectum. Flora ne parle pas, elle gémis, grogne, mes doigts la fouille profondément Maintenant 4 doigts sont engloutis.. Elle ruisselle vraiment.. chaque poussée fait jaillir un petit jet d’urine. Flora ne se retient plus. Ma main s’enfonce dans la cavité vaginale sans aucun effort. Ma queue laboure son cul tendit que ma main lui dilate la chatte. Sous mes doigts je sent le col de l’utérus je joue avec du bout des doigts.. Mon index taquine l’entrée de ce temple. Je sent qu’il palpite, s’entrouvre tandis qu’elle est de plus en plus agitée. Je pousse légèrement mon doigt entre légèrement ce qui tire un grondement à Flora.. « Oui oui enfile pousse!!! » me dit elle sa voix est cassée par l’excitation.. Je pousse un peu mon doigt entre sans doute pas très loin.. mais c’est incroyable.. son orgasme se déclenche instantanément. Elle hurle cette fois, ma mains est comme mâchée par son sexe.. C’est violent, puissant.. Tellement excité par cette réaction.. je gicle a mon tour.. c’est assez bref.. mais très fort.. Un instant j’ai un éblouissement. Ma main qui est dans sa chatte se ferme.. et je la retire assez vivement.. dilatant le sexe au maximum.. Rugissement de plaisir de Flora et dans un nouvel orgasme elle m’inonde, elle se vide la vessie en un seul jet ou presque qui s’écrase sur ma poitrine , sur mon visage puis passe au dessus de moi avant de retomber en pluie sur Viviane qui se trouve a 2 m derrière nous. Le pauvre Peter est complétement hors de lui. Il se donne a fond sur le god, sa queue est presque bleue tellement il est serré et bande. Il fait des efforts désespérés pour enfin jouir. Mais il n’y arrive pas. Flora est évanescente et tente de récupérer. Je fais signe a Viviane de venir et lui ordonne de sucer Peter. Elle ouvre la bouche largement et avale le gland annelé. Je prends dans ma main les couilles de Peter et les presse. Il pousse un cri de douleur quand j’insiste. Mais je sent qu’il apprécie. Viviane pompe la queue avec ardeur. Je la stoppe un instant et je prend la queue dans ma bouche. J’avais envie de sentir ce gland et cet anneau qui le perce sur ma langue. Et j’aime beaucoup la sensation. Peter mouille abondamment, en fait c’est son sperme qui s’écoule en un filet continu. Je le sors de ma bouche et presse la queue en remontant vers le gland, ramenant un gros grumeau de sperme que Viviane prend du bout de la langue. Flora est venue nous rejoindre. Elle s’occupe des tétons de Peter. Viviane et moi nous faisons un duo de langue sur sa queue. C’est un régal. Je sent soudain la queue de Peter se dresser et tressauter. Ses couilles ne peuvent remonter et ca lui fait mal.. elles se contractent. Et il pousse un cri en s’empalant à fond sur le god. Viviane reçoit l’ondée dans sa bouche grande ouverte. Je suis a quelques centimètres, je vois les grosses giclées épaisses tomber sur la langue de Viviane qui garde tout dans sa bouche. Flora est venue murmurer quelque chose à l’oreille de Viviane. Je n’ai pas compris. Viviane à la bouche pleine de sperme, elle se relève. Se place face à Peter et crache violemment tout le sperme sur le visage de Peter. Qui se pâme à nouveau. Lâchant même quelques petites giclées qui arrosent le ventre de Viviane.La fatigue se fait un peu sentir, mais Flora n’a pas dit son dernier mot. Elle libère Peter qui commence à avoir des sérieuses crampes ca fait pas loin de 2h qu’il est accroché là.Elle att**** Viviane par son collier et approche son visage de sa chatte en lui ordonnant de la lécher.Puis elle me confie le martinet et me demande de fouetter cette chienne. Viviane se met à laper la grosse chatte ouverte de Flora. De mon côté avec le martinet je fouailles sont dos, ses reins ses fesses qui se marquent rapidement car je n’ai plus la retenue que j’avais toujours eu quand je donnais des coups. Cette soirée m’avait un peu décoincé et maintenant j’agissais conformément aux espérances de Viviane. Flora semblait apprécier les coups de langue de Viviane. La chatte de flora était large et charnue. Les petites lèvres à peine marquées, cernaient un cratère rose, béant. On pouvait voir dans cette chatte le col de l’utérus agité de spasmes, et son méat très dilaté qui palpitait au haut de cette vulve. Soudain Flora ordonna.. « Ouvre ta bouche petite pute!! » Elle laissa gicler un long et puissant jet d’urine pile dans la bouche de Viviane.. « Avales!! bois!!! » Flora se vidait dans la bouche de Viviane. A ce moment j’aurais bien pris sa place.. je continuais à frapper Viviane qui commençait a trembler.. je voyais sa main s’agiter entre ses cuisses.. La salope se branlait. Je prenais alors le collier et la fit choir sur le dos. Sa main ne s’arrêtait pas.. sa chatte moussait pleine de crème. Son clitoris saillant était l’objet de toutes les attentions de ses doigts. Je levais le martinet et frappais entre les cuisses qu’elle gardait écartées. Le premier coup la fit bondir et hurler de douleur. Les autres également mais c’était des rugissement de plaisir et de douleur. Elle était au bord de l’explosion. Quelques coups plus tard.. Viviane se tétanisait, jouissant violemment et expulsant à son tour le contenu de sa vessie. Viviane est encore agité de spasmes.. Ma queue est raide et je m’agenouille prés d’elle en me branlant comme un fou.. J’ai envie de gicler dans sa bouche alors qu’elle est ruisselante.. En peu de temps l’orgasme monte.. je glisse ma queue dans sa bouche et la pénètre jusqu’à la glotte.. ou je finis par gicler abondamment.. Viviane étouffe.. recrache le sperme qui coule le long de ses joues.. Je me laisse tomber sur Viviane.. qui est essoufflée.. totalement dans les vaps.. moi aussi en fait.. la tête me tourne.. Après que nous ayons repris nos esprits.. Flora calme le jeu.. On boit un dernier verre salutaire.. Nos esclaves ont quitté ce rôle mais sont comme nous restés nus. Viviane est enchantée.. pourtant elle a le corps marqué. Les lanières ont tracé un lacis de marques roses et rouges parfois boursouflées. Les coups sur les seins ont laissé de grandes marques violettes de ci de là quelques plaies ouvertes Mais les aiguilles n’ont pas laissé de marques visibles a moins d’être le nez dessus. Par contre les coups sur la chatte que je lui ai donné.. ont laissé des traces visibles. Les petites lèvres sont tuméfiées et rouges sang. Le clito a pris une lanière de plein fouet et il est gonflé et tuméfie. Viviane plaisante disant que pour le reste de la semaine elle pensera forcément à moi quand elle se branlera.Flora, me fait encore une avance.. disant qu’elle aimerait m’avoir à elle pour un soir.. Viviane en accepte l’idée.. mais ne semble pas enthousiaste.Flora nous guide à notre chambre, et nous précise que nous ne sommes pas forcés d’être sages. Elle n’en , à pas l’intention car Peter à été un peu oublié durant notre séance. J’avoue que j’aurais été tenté mais Viviane avait assez dégusté. Une fois la porte fermée je trouvais Viviane devant la glace de l’armoire à contempler les marques qui couvrait tout son corps.Elle avait une mine réjouie.«  Merci c’était génial!!! » dit elle en se pendant à mon cou. Je posais mes mains sur elle lui tirant une grimace.. « Tu à vu dans quel état tu est ma chérie? » dis je« Oui j’adore ca prouve que je suis a toi tu fais ce que tu veux de moi.. et tu m’a fait jouir comme une folle.. et regarde toutes les marques de ton amour » dit elle en tournant sur elle même.Que répondre à çà? Et puis comment ne pas avouer que j’ai pris un plaisir plus qu’intense à la torturer appelons çà par son vrai nom. J’ai pris mon pied à enfoncer des aiguilles dans ses seins.. j’ai pris mon pied à voir couler son sang, à le lécher.. C’est comme si j’avais fait un cauchemar mais c’est vrai.. et en plus évoquer cela me fait bander. Et voir Viviane devant moi nue, marquée par les coups me donne envie de recommencer. Elle me regarde.. et dit «  Tu m’aime comme çà… j’ai senti que tu aimais ce que tu me faisais.. Et moi j’ai adoré.. On pourra faire mieux encore.. Tu sais il y a eu des moments ou je n’arrêtais plus de jouir.. »Elle était devant la glace se mirant je m’approchais d’elle me pressais contre sa peau brulante des coups passés. Je mis ma tête sur son épaule et la contemplait un instant.« Oui tu est magnifique chérie, je t’aime comme çà.. tu m’excite d’ailleurs » dis je« Je le sent.. tu est tout dur contre mes fesses.. » dit elle.Elle avait le poing fermé, elle le monta à hauteur de mon visage et ouvrit la main. Dedans une poignée d’aiguilles….« Je les ai chipées en passant… on les utilise? » Elle me regardait intensément.. Ses hanches se balançaient frottant mon sexe contre ses fesses.Je hochais la tête. J’avais envie de voir de sentir encore une fois le métal percer sa chair.. C’était obsessionnel presque. Ce jeu est un de mes préférés.. J’en ai usé et abusé parfois.. C’était mes premiers pas dans un SM dur.. et encore ces quelques aiguilles c’était une broutille.Une idée me vint.. cruelle.. perverse.. « TU va les utiliser.. Moi je veux te regarder.. Tu va te percer toute seule.. moi je vais me branler en te regardant.. Attends viens ici.. » Je m’assis sur le lit, allongeait ma jambe droite.« Viens frotte ta chatte sur ma jambe pendant que tu te perce ..salope »Viviane avait les yeux qui brillaient.. Docilement elle se mit à genoux, posa son sexe contre ma jambe et commença à se frotter à petit coups de reins. Moi la main sur ma queue gonflée.. je m’astiquais doucement.Je tendis la main pour récupérer les aiguilles, ainsi Viviane aurait les mains libres. Il y en avait une douzaine. Je vis les lèvres de Viviane qui tremblaient, signe de son état d’excitation. Parfois une grimace quand elle faisait aller et venir son sexe car ses petites lèvres étaient tuméfiées et elle souffrait. Mais elle mouillait aussi car je sentais une humidité grasse sur mon tibia.Viviane prit une première aiguille.. Elle dessina des arabesques sur son sein droit a part les marques laissées par le fouet.. on ne voyait plus les piqures.Viviane d’un geste vif planta l’aiguille au dessus de son mamelon mais la retira aussitôt.. laissant perler une goutte de sang vermeil… Elle pressa son sein pour faire couler la goutte le long de son sein.« Tu aimes mon sang? Moi j’aime quand il coule pour toi.. » dit elle d’une voix rauqueJe me penchais en avant et léchait la fine coulée rouge. Viviane avait planté à nouveau l’aiguille mais cette fois elle l’enfonçait jusqu’à la garde. Les 4cm d’acier étaient entrés dans son sein. Viviane prit une nouvelle aiguille. Le lent mouvement de son sexe contre ma jambe portait ses fruits.. Viviane par instant frissonnait. Ma main allait et venait sur ma queue, lentement je serrais fort ma tige et remontant je faisait jaillir les gouttes translucides qui perlaient sur mon gland. Une grosse goutte commençait à couler le long du gland, le long de ma queue. Sur mes doigts. L’aiguille était posée sur le téton droit. Viviane pris une inspiration et avec lenteur entrepris de percer le téton. La peau résista un instant, se creusant autour de la pointe acérée. Puis elle céda. Viviane se mordait la lèvre inférieure pour ne pas crier. Elle continua à pousser plus fort.. Je voyais la peau se tendre sous le téton avant de céder et de laisser passer le métal. Viviane avait poussé un gémissement quand l’aiguille avait transpercé le petit bout de chair tendre. Elle prit une nouvelle aiguilles dans ma main et avec force et rapidité se transperça le téton gauche de haut en bas. Elle poussa un petit cri tandis que je sentais sa chatte de plus en plus humide sur ma jambe. C’était irréel. Voir cette magnifique créature que j’aime s’infliger des souffrances pour arriver au plaisir.. C’était incroyable. Je n’étais plus dans le monde réel.. C’était autre chose on était hors du monde.. Dans ma tête se bousculais des idées plus ou moins perverses plus ou moins horribles.. J’inventais des tortures.. je voulais la faire souffrir lui donner ce plaisir qu’elle recherchait avec avidité. Ce n’était pas une vue de l’esprit.. Viviane aimait souffrir, aimait la douleur et par dessus tout aimait souffrir pour moi et par moi. Maintenant elle tremblait de tous ses membres.. chez elle ce tremblement s’accentuait jusqu’à la délivrance. Elle émettait une plainte continue du fond de sa gorge, ce son modulé par les gémissement que lui tirait la douleur était comme un chant de sirène. A la fois cela m’excitait comme un malade mais également une peur sournoise s’emparait de moi. Je sentais que tout pouvait arriver.. même le pire. Je tentais de freiner mes pulsions mais c’était difficile déjà à ce moment. Viviane continuait à se percer les seins. Ses tétons étaient maintenant une pelote d’aiguilles. La dernière aiguille placée une pulsion brutale me fit tendre la main vers les aiguilles, je m’emparais d’un des talon en plastique et je tirais pour faire aller et venir l’aiguille. Je faisait coulisser le métal dans sa chair.Les mains de Viviane se posèrent sur mes cuisses.. ongles en avant.. elle se cramponnait. La tête rejetée en arrière elle souffrait, acceptait la douleur que je lui infligeait. Son bassin lançait son sexe au contact de ma jambe.. Maintenant je sentais sa liqueur couler le long de ma peau. Elle mouillait tellement. J’avais les doigts trempés de ma propre liqueur qui s’écoulait lentement de mon gland violacé. Voir Viviane se tordre, onduler les seins martyrisés me mettait dans un état dingue. « Maitre.. faites moi saigner… je vous en prie » dit Viviane.Je compris qu’elle voulait que j’ôte les aiguilles comme je l’avais fait peut de temps auparavant. D’une main je commençais à retirer les aiguilles.. lentement et en les faisant coulisser plusieurs fois avant de les retirer. Cette fois le sang coulais plus abondamment.. Quand j’ôtais une aiguille.. une grosse goutte vermeil naissait sur sa peau.. puis elle dévalait le long de son sein.J’avais le plus grand mal à ne pas gicler.. Mon gland coulais mes couilles me faisaient mal. Tendu à l’extrême je faisais des efforts pour ne pas jouir. Le jeu continuais.. chaque aiguille laissait un petit ruisseau de sang s’échapper. Viviane haletais je sentais l’humidité ruisseler sur ma jambe. Ses yeux papillotais et se révulsais par instant. Comme moi Viviane était au bord de l’orgasme. Les aiguilles étaient retirées.. Elle et moi étions sur la limite.. mais nous n’avions pas encore jouis.. Je n’osais plus toucher ma queue.. Je pris deux aiguilles que je plaçais à hauteur de ses tétons. Je lui dit « Viens!! » Elle comprit sans autre explication. Elle s’empala sur les deux aiguilles. A cet instant ma queue tressauta et gicla sur sa poitrine, son visage, de longues giclées qui me tirèrent un cri tandis que tétanisée elle jouissait sur ma jambe donnant de grand coups de bassin. Viviane s’étaient emparée de mes mains et les pressaient contre sa poitrine.. comme pour enfoncer plus loin les aiguilles dans ses tétons.Je basculais sur le dos. Viviane vint s’allonger sur moi. Se pressant contre moi.. ses seins écrasés entre nos deux corps les aiguilles plantées dans ses tétons. Je sentais sur ma peau les embouts en plastique qui bougeaient sans cesse. Viviane était en sueur et tout son corps était sensible. Au point que le lendemain rien que le tissu léger d’une robe presque transparente lui faisait souffrir le martyr.Ce soir là j’étais devenu le vrai maître qu’elle désirait. Elle savait que je pouvais la punir avec v******e, la faire souffrir. C’est ce que désirait Viviane et elle me le dit clairement, si je n’avais pas été à la hauteur de ses espérances notre histoire se serait arrêtée bien que les sentiments qu’elle avait pour moi étaient sincères. Mais l’amour, les sentiments ne suffisait pas. Il fallait que je soit assez fort.. assez fou pour entrer dans ses délires.. dans ses désirs. Elle me dit également qu’elle sentait que je prenais vraiment plaisir à faire d’elle une chose.. un objet.. un quartier de viande c’était son expression favorite.. et j’avais en horreur cette façon de se décrire.Je me rendis compte qu’après que nous commencions une descente aux enfers.

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Une rencontre bien coquine!Nous nous étions rencontré une fois à l’occasion. Une rencontre bien chaste comparativement à ce qui allait se déroulé cette fois. Nous attendions tous avec anticipations la rencontre qui s’en venait. Il y avait un peu plus d’un an que je n’avais pas eu la chance de goûter à une jolie chatte et que mon mari par la même occasion n’avait pas lui non plus trempé sa queue dans une autre chatte. De leur côté, San et JF n’avait jamais rencontré de couple et San malgré ses désirs lesbiens pervers n’avait jamais touché une autre femme. Quelque chose d’encore plus excitant pour moi. San et moi avions discuté à plusieurs reprises de futures rencontres et elle était généralement dans un état d’excitation extrême à chaque fois. Ainsi, nous nous étions d’abord rendez-vous dans un resto histoire de faire descendre la pression un peu…puis nous allions dans une chambre d’un motel quelconque. Le souper s’était déroulé à merveille et malgré les quelques verres de vin qui s’étaient descendus pendant le repas ( moi je devais rester à jeun, grossesse l’exige) je sentais la nervosité mais également la libido de tout le monde monter. San était rouge comme une pivoine et se dandinait sur sa chaise comme une collégienne et de JF, je pouvais déjà voir la bosse dans son pantalon indiquant qu’il était également très excité par les prochains événements.Nous avons trouvé un motel avec un grand bain tourbillon (j’ai un côté fétiche pour les bains). Nous avions acheté des bières et les gars se sont mis à l’aise sur les fauteuils une bière à la main. J’ai invité San à prendre place sur les genoux de mon mari, puis j’ai pris place sur ceux de JF. San embrassait Sly ( mon mari) et je voyais que celui-ci commençais à sentir le désir monter. Il plongeait soudainement son nez dans le décolleté plongeant de San. De mon côté je n’étais pas délaissé, JF un peu plus entreprenant avait déjà sorti un de mes seins et léchait goulûment le mamelon brunit pendant qu’il malaxait l’autre de sa grosse main. Sa queue pointait au travers de son pantalon et pour un peu j’aurais cru qu’elle allait transpercer le matériel…Comme une gamine, je me suis levée d’un bond et j’ai enlevé tous mes vêtements pendant que je faisais couler l’eau du bain. Mes tétons étaient tous durs d’anticipations et déjà JF était nu, la queue bien en avant. Sly et San nous ont suivi et bientôt nous nous sommes retrouvé les 4 un peu à l’étroit dans le bain. « Dis moi San, et si tu allais t’asseoir sur le dessus du bain un peu? » Sly sourit, sachant déjà ce qui l’attendait, San sortie docilement, rouge pivoine, elle hésitait güvenilir bahis encore… Doucement, je lui écartai les jambes, elle respirait très fort, pendant que j’étais à quatre pattes devant elle…je glissai ma tête entre ses jambes et commençai à lécher doucement le dessus des grandes lèvres de sa chatte. Elle haleta doucement, Sly et JF se présentèrent doucement vers elle la queue bien tendue. J’aimais le goût de sa chatte, sentir palpiter sous ma langue son clito vierge d’une langue féminine. Pendant qu’elle happait littéralement les deux queues, je continuai à lécher et à sucer son clitoris qui grossissait sous ma langue et je décidai de faire pénétrer trois doigts dans sa jolie chatte qui ne demandait que ça. À entendre les soupirs provenant des trois autres mes caresses devait faire fureur…et San leur rendait la pareille… Afin de ne pas terminer la petite fête trop tôt, nous avons échangé de place… JF a pris place sur le bord du bain et je me suis présentée debout devant lui pour qu’il puisse lécher à souhait mes gros melons. Sa langue déclencha immédiatement une onde de plaisir qui fit faiblir mes genoux mais je tins bon. San recommença à lécher la queue de son homme pendant que le mien enfilait un condom. Une fois l’opération terminé, il empoigna les hanches de San et la pénétra. Elle était tellement mouillée qu’il la pénétra sans difficulté. J’adore voir mon mari lorsqu’il se fait du plaisir avec une autre, son excitation est contagieuse et bientôt j’eu moi aussi le désir de me faire faire plaisir. Doucement je repoussai JF pour lui indiquer que je voulais également m’asseoir sur le bord du bain. Il ne se fit pas prier et je pris position, jambe bien écartée chatte ouverte à toute les caresses possibles. Timidement, San s’avança vers moi, et écarta mes grandes lèvres pour y déposer un baiser. Je caressai doucement son visage et l’encourageai à continuer. JF se présenta devant moi, et je le suçai avidement. San prenait peu à peu de l’assurance et la pénétration de mon mari devait un peu l’aider parce que sa langue devenait de plus en plus avide de ma chatte. Finalement, très excité par l’entrée, nous avons à peine prit le temps de nous essuyer avant de nous retrouver entremêler sur le lit. J’avais la queue de mon mari en bouche et je sentais une langue intrusive à l’entrée de ma chatte…Ouvrant les yeux malgré le plaisir que je sentais, je découvris avec joie que Sly léchait la chatte de San qui s’était assise sur lui à califourchon et balançait son bassin d’avant-arrière. La langue dans ma chatte glissa soudainement vers mon anus et je ne pus réprimer türkçe bahis un cri de jouissance. JF sentant la jouissance de sa caresse, alterna des coups de langue vicieux entre mon clito et mon anus ce qui m’arracha une fois de plus un cri bestial malgré la queue que j’avais en bouche. La queue de mon chum était à présent sur le bord de l’éclatement et je décidai de le laisser à San. Sly remit un condom sur sa queue et San s’empala dessus. De mon côté, toujours à quatre pattes, je subissais un traitement royal de la part de JF qui décida lui aussi qu’il était temps de passer aux choses sérieuses. Il enfila une capote et glissa ensuite doucement sa queue dans ma chatte déjà gonflée par l’excitation. Je gémis une fois de plus. San s’agitait de plus en plus, balançant ses seins au-dessus de Sly qui les portait à sa bouche avidement. Finalement, au bout de quelques minutes, j’entendis les doux gémissements provenant de Sly et de San qui avaient jouie telle de petites souris. De mon côté, je caressais mon clitoris pendant que JF me pénétrais profondément. Soudain, je sentis un pouce glisser doucement dans mon anus et je me cambrai plus vers le bord du lit, JF s’activa un peu plus fort autant avec son pouce qu’avec sa queue et tous les deux, avons jouis dans un éclat de sons gutturaux et bestiaux…J’étais à bout de souffle et je remontai jusqu’à Sly et San qui s’était étendu sur le lit, je me plaquai contre San alors que JF se colla contre moi. Nous étions en sueur, mais contents. Une fois un peu remit, j’invitai San a retourner dans le bain pour nous rafraîchir. Les gars avait décidé de se redonner un peu de pudeur et de passer leur boxer et buvait à présent une bière bien méritée. San et moi nous savonnèrent mutuellement, en profitant pour nous caresser et découvrir nos corps. San était à présent détendue et nous nous embrassions sous le regard avide de nos conjoints. Nos lèvres se touchaient délicatement, puis avec un peu plus de passion, je fus surprise de découvrir la langue de San dans ma bouche et sa main sur mon sein. Sa bouche descendit doucement dans mon cou et se glissa jusqu’à mon sein.Elle le lécha doucement, puis le téta un peu, elle frissonnait d’excitation. Je remontai doucement son visage jusqu’au mien et l’embrassai de nouveau puis glissai à mon tour mon ma langue jusqu’à ses mamelons. Je les embrassai, les suçai, les malaxai un peu plus fermement. Je sentais son excitation monter et moi aussi j’étais de plus en plus excitée. Nous sortîmes du bain nous séchèrent puis passèrent au lit. Je disposai délicatement San à quatre pattes ( j’adore cette position, güvenilir bahis siteleri autant pour moi que pour mes partenaires) et je me glissai derrière elle, elle avait le cul dans les airs, la chatte bien ouverte et palpitante, très doucement, je commençai à lécher ses grandes lèvres, puis j’ouvris sans peine sa chatte pour y sucer les petites et je glissai ma langue à l’intérieur de sa chatte. La chatte de San palpitait sous mes caresses et bientôt, j’y plantai deux doigts, et les écartai l’un de l’autre, je crachai dans la chatte et y fit pénétrer le reste de mes doigts, je le faisais pénétrer d’avant-arrière en prenant soin de garder mon pouce sur son clito. Pendant un moment je lui fit découvrir les plaisirs entre femmes. Puis elle me demanda de me rendre la pareille. Je prie place dans la même position, le cul bien dans les airs et elle commença à lécher ma chatte suçant mon clito, caressant de ses doigts le tour du trou puis y glissant doucement trois doigts… Elle s’appliquait bien, et apprenait vite, je la dirigeais par mes mugissements. Puis je l’invitai à se coucher à côté de moi, pendant un moment, nous nous sommes embrassé, caressée, léchée puis voyant que nos amoureux avait repris des forces, je proposai à San quelque chose de spécial. J’invitai JF à se faire sucer par San pendant que Sly et moi nous occupions de sa chatte et de son cul. Sly se glissa entre les jambes de San et entreprit de lécher sa chatte pendant que je suçais Sly un peu…puis le sentant bien tendu, je commençai à lécher l’anus de San, à glisser doucement un doigt puis deux doigts, à les écarter afin de bien la préparer… San adorait le traitement et se cabrait à chaque coup de langue.Je proposai JF de se coucher sur le dos et à San de s’enfiler sur la queue en érection de son amoureux…puis, enfilant un condom sur la queue de Sly, je l’invitai à glisser dans l’anus bien préparé de San. Une double pénétration, la première pour cette chère petite San une découverte sans pareil. La cadence était difficile à prendre, mais après un moment les gars réussirent à s’entendre et San fut défoncée par tous les trous, pour ne pas rester de côté, je m’avançai vers elle et lui tendit un de mes mamelons…elle les lécha entre deux petits cris de jouissance. Finalement toute la petite brochette finie par jouir. San était épuisée et retomba mollement sur son homme et Sly et moi nous sommes blottis l’un contre l’autre. Après un court repos, j’ai eu droit à une session de léchouille mémorable. Trois langues s’alternant sur ma chatte, sur mon cul, sur mes seins et lorsque je suis venue, j’ai remercié chacun de mes lécheurs par un splendide patin. Finalement la soirée s’est terminée par un dernier bain, et nous nous sommes rhabillé et nous nous sommes embrassés fébrilement avant de nous quitter. Que de rêve érotique en perspectives…

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mère et fils épisode 13:trio chaudNous voila partis pour le resto tous les trois bien excités.On prends la voiture de JL qui nous dit de monter à l’arriere pour que je chauffe un peu maman. Bien installés sur la banquette en cuir du cabriolet de JL,capote ouverte,nous savourons la tièdeur de ce début de soirée qui s’annonce torride.Maman remonte sa robe en haut de ses cuisses ,Jean-Louis ajuste le rétroviseur pour profiter du spectacle de la chatte de maman. Elle a les cuisses bien écartées et se caresse le minou gentiment tout en discutant avec JL qui te güvenilir canlı bahis siteleri temps en temps passe sa main droite derriere le siége et lui caresse le mollet ou la cuisse en lui faisant un compliment sur la douceur de sa peau ou en l’encourageant dans sa lente masturbation. Maman est appuyée sur mon épaule. Je passe mon bras derriere son cou et je glisse ma main dans sa robe pour lui malaxer le sein gauche en lui triturant la pointe qui gonfle sous la pression de mes doigts.Maman est aux anges mais elle n’aura pas le temps güvenilir illegal bahis siteleri de jouir car nous arrivons auresto.Elle rajuste sa robe et JL l’aide à sortir de la voiture elle le remerci en se collant contre lui et lui tendant ses lèvres. JL l’enlace en lui roulant une pelle tout en lui carressant les fesses. Le restaurant est trés cosy et JL connais bien le patron. Il nous donne une table dans un coin de la terrasse avec vue sur la plage et protégé des regards par des jardinières de bambou. On est comme dans un salon güvenilir bahis şirketleri privé mais en plein air. JL commande du champagne et un magnifique plateau de coquillages et fruits de mer. Je suis assis a coté de maman et JL est en face d’elle. On discute de plein de choses. L’atmosphère est trés érotique,maman est chaude comme de la braise elle pose souvent son pied nu sur une cuisse de JL qui ne manque pas de lui carresser avec sensualité. Le champagne aidant à la fin du repas maman laisse ses nichons sortir de sa robe et masse le sexe de JL avec son pied à travers sa braguette..Je ne résiste pas a l’envie de lui triturer les mamelles pour exiter Jean-Louis.Maman m’offre sa bouche gourmande et me roule une pelle magistrale puis s’adresse à notre compagnon et lui dit “au retour je te veux avec moi sur la banquette arrière mon chéri”. A SUIVRE…….

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la cave suiteJ’étais donc dans ce box avec le gardien quand je compris que les deux gars à côté nous avons entendu.L’un dit ” c’est qui”.”t’inquiéte c’est moi Farid, vous pouvez continuer”, il mit un doigt devant ses levres pour me dire de ne pas faire de bruit. En chuchotant,il dit ” ca te plait”. Je hoche la tête. ” j’aime bien matter aussi”.Nous sommes donc tout les deux à matter les deux mecs qui on t repris leurs jeux.Soudain, le gardien sort son engin et me demande doucement si ca me dérange pas. Je réponds que non. Je le vois qui commence à tripôter son sexe encore mou . ” tu peux faire pareil” me dit il.Mon coeur battait un peu moins vite et la situation m’excitait, alors j’ouvris ma canlı bahis braguette est sorti mon sexe dur comme du bois.Le gardien me regardait et sourit.Je jouis trés vite, excité que j’étais . Je me dirigeait vers la porte quand le gardien m’attrappa le bras. “tu vas pas partir comme ca”. Il prit ma main et la posa sur son sexe.” tu suces” Je lui répondis que non.”Alors branle moi”J’étais à présent en train de tenir son sexe dans ma main. Son sexe était chaud et lourd. je sentais qu’il commencait à durcir. Je n’étais pas trop chaud car mon excitation était tombé mais je sentais que je n’avait pas le choix. Au bout de quelques instant il devint dur. Mes caresses et mes va et vient le faisait bahis siteleri gémir. La situation commenca à m’excité et je prenais plaisir à le branler. Il ouvrit sa cote et fit apparaitre un ventre et un torse trés poilu. Son sexe était aussi trés poilu, sa peau était mate.Soudain il me dit “tu es trés mignon toi”De nouveau excité, je me remit soudain à bander. Je me decida à sucer cet homme. Je commencai à m’agenouiller quand il me caressa la joue et sourit. J’étais face à son sexe à présent dur et gonflé. Il étais plus gros que le mien et des veines parcourait de haut en bas son sexe. je commenca par lécher le bout , ce qui le fit frémir. j’étais à nouveau surexcité, ce qui provoqua bahis şirketleri chez moi une envie incontrolable de sucer à fond ce type. Je le pris donc dans ma bouche et le suca avidemment. Je trouvais ca vraiment bon et excitant de sentir un sexe dans sa bouche. Je l’entendait gémir de plaisir quand il me fit comprendre qu’il allait jouir. J’eus juste le temps de sortir son sexe de ma bouche qu’il gicla abondemment sur mon bras et mon tshirt. Il étais en sueur et semblait satisfait. Les gars à côté n’était plus là. Le garien me remercia et me demanda si je voulais passer mercredi aprés_midi, sa femme travaille et on pourrait regarder une vidéo chez lui. Je lui dit que je verrais et partit.Cette premiére expérience fut excitante et trés vite je me branla en repensant à cette nuit là et à cette cave où j’eus mon premier plaisir au masculin. Je pensais à Farid et à sa queue. J’étais préssé que mercredi arrive…

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A Monsieur JA Monsieur J.Je vous imagine avec moi, sur moi et surtout en moi…Moi allongée sur le dos, le cul relevé, les bras attachés et les cuisses ouvertes pour votre plaisir…immobile…un bâillon dans ma bouche…silencieuse…pour vous…aveuglée par un foulard sur mes yeux…vous, connaissant mon désir, mon envie, mes craintes…tournant autour de moi, comme un prédateur autour de sa proie…ne faisant par là qu’augmenter mon supplice mais aussi mon désir…et le vôtre Monsieur…Votre envie de me voir me totalement soumise à vous, de me voir là, offerte et humide de désir uniquement parce que vous le souhaitez…là pour subir les douces tortures que vous voudrez bien m’affliger…vos instruments à portée de main…je le sais, je les ai vus…je vous ai vu les préparer avec une certaine gourmandise dans vos yeux….je vous imagine les caressant du bout des doigts, choisissant quelle torture vous allez me faire subir…peut être le martinet que vous passez tranquillement sur mon ventre, que je tends, vous offrant ainsi ma poitrine gonflée et désireuse…peut être la bougie que je vous entends allumer, passant la flamme juste près de mes cuisses…mais non vous la reposez…vous aimez jouer ainsi avec mes sens, avec mes craintes, avec mes envies Monsieur…Que se passe-t-il en moi ??? Pour chaque instrument que vous prenez la peur me submerge, j’imagine la douleur et je ne peux réprimer un cri, un recul…mais dès que vous le reposez…mmmm ce n’est que regret…pourquoi ne l’utilisez vous pas sur moi ??? Pourquoi ne me faites vous pas sentir cette douce meurtrissure ??? Rhaaaaaaaaaa le supplice de l’attente est plus grand que celui de vos instruments…Mais vous savez ce que vous voulez faire de moi…vous avez déjà tout planifié…chaque instant est calculé afin de me faire ressentir, de vous faire ressentir le plus d’émotions, de sensations, de plaisirs…vous aimez juste me voir frémir à chaque instant…vous supplier de faire, de ne pas faire….Je sens vos mains se promener sur mon corps…doucement lentement, comme une caresse qui parcourt tout mon être…sur mon visage d’abord, passant sur mes joues, sur les lèvres ouvertes par le bâillon qui m’oblige à me taire, à réprimer mes souhaits, ne laissant échapper que des râles d’envie, de douleur…votre main qui continue son chemin, sur mes épaules, mes bras, ne touchant pas mes mamelles, alors que par réflexe je vous les tend Monsieur, vous suppliant par là de les toucher, de les caresser, de les pincer…mais non vous n’avez que faire….c’est vous qui décidez, vous qui voulez ou non….vous qui voulez me surprendre….Vos mains sont maintenant de chaque côté de mes hanches, me prenant à pleine main, descendant sur mes flancs, passant sur mes fesses, soulevant encore plus mon cul, mon illegal bahis bassin…installant même un second coussin afin que mon dos ne souffre pas trop mais aussi que mon cul vous soit plus ouvert, plus accessible…vous effleurez mon anus, ma chatte, en prenant soin de ne passer que sur les côtés de mes lèvres déjà bien humides, vous jouez avec le bijou de sexe que vous avez pris soin de me mettre plus tôt dans la journée et qui ne cesse de m’exciter tant par le fortement du métal sur mon sexe, que par le fait qu’il n’y a que vous qui sachiez ce que je portais sous ma jupe…vos mains se dirigent maintenant vers mes cuisses toujours vêtues de bas autofixants…seuls et uniques remparts maintenant à ma nudité….Vous vous éloignez…prenez quelque chose sur la table, au milieu de tous vos instruments…j’entends un tintement, du métal…mais je ne reconnais pas ce bruit…cela m’intrigue, me fait peur….vous vous approchez de moi, faites glisser ces petits objets sur ma bouche, entre mes seins…et les posez tous deux sur mon pubis excité, humide, chaud, bouillant même…..”petit cadeau supplémentaire pour ma petite pute personnelle”….vous touchez enfin ma chatte….”mmmm mais c’est que tu mouilles vraiment petite salope”….tous ces mots si difficiles à entendre m’excitent lorsque c’est vous qui les prononcez…je ne comprends pas pourquoi, mais là à ce moment précis, ils m’excitent…oui je suis votre pute Monsieur, oui je suis une salope, j’aime le sexe, j’aime me soumettre, j’aime lorsque je suis là, impuissante, à votre merci Monsieur…mais tout cela je ne peux vous le dire, vous ne voulez de toute façon rien entendre…juste des murmures, juste voir mon corps se tordre pour vous de plaisir ou de souffrance, selon votre vouloir…Vous prenez un des objets d’une main…de l’autre écartez mes grandes lèvres ornées de mon bijou…jouez avec…puis écartez mes petites lèvres…me fouillez de vos doigts, de votre main…vous tirez sur une de mes petites lèvres et placez ce que je pense être une pince dessus…puis vous faites de même avec l’autre lèvre…c’est là que vous tirez sur ces pinces…doucement…puis de plus en plus fort…en les écartant l’une de l’autre, jusqu’à ce qu’une plainte s’échappe de ma bouche, jusqu’à ce que je comprenne ce que vous venez de me mettre…ce sont des sortes de portes-jarretelles mais pour sexe…accrochés à mes bas, ils ne cessent d’écarter encore et encore ma chatte qui est à chaque instant un peu plus humide…..Vous vous reculez pour mieux voir ma chatte totalement ouverte…je me sens humiliée, dans une posture plus qu’obscène mais en même temps tellement excitée de me savoir ainsi totalement ouverte et disposée à vous accueillir quand bon vous semblera…mmmm oui que j’aime ce sentiment Monsieur….Me illegal bahis siteleri voici maintenant totalement ouverte pour vous Monsieur….vous prenez le martinet …le passez doucement sur mon corps…puis un premier coup s’abat sur mon ventre…je ne peux réprimer un cri de surprise et de douleur…un second plus doux sur mes seins…un quatrième plus fort sur mon sexe ouvert, puis un cinquième, un sixième…je ne peux les compter…la douleur est forte…mais je sens aussi le plaisir toujours présent et qui ne disparaît pas, au contraire…ma chatte est brûlante de désir et de douleur….je sais que je peux jouir ainsi à être soumise à votre désir…mais je ne peux le dire…je ne peux que pousser des râles étouffés par mon bâillon….Une fois satisfait de votre travail, des marques présentes sur tout l’avant de mon corps, des ce marques rouges, mon corps est zébré comme vous l’aimez….vous vous arrêtez….et passez doucement le martinet sur mes marques, sur ma chatte béante, humide, douloureuse, sensible et surtout excitée comme jamais…Je sens votre souffle chaud s’approcher de ma chatte et les deux coups de langues que vous y apposez ne font qu’augmenter mon supplice…je vous demande, je vous supplie de me laisser jouir Monsieur mais mon bâillon m’empêche de me faire comprendre…pourtant je sais que vous avez deviné mon désir, mon envie de plaisir…mais non, il n’en est pas encore temps, vous en avez décidé ainsi…et c’est cela que vous souhaitez me faire comprendre, c’est vous qui décidez…Un bruit de métal se fait entendre à nouveau à mes oreilles…un bruit de chaînes….qu’allez vous me faire Monsieur ???Une douleur aiguë s’empare alors de mon sein gauche….de mon téton meurtri encore par le martinet…puis une autre à mon téton droit…des pinces…ce sont des pinces que vous venez d’installer…reliées par une chaîne sur laquelle vous tirez pour voir s’allonger mes mamelles…ce qui fait me tendre vers le haut….puis, alors que vous tirez ces pinces, une douleur encore plus forte vient me prendre le bas ventre, le clitoris…mon clitoris tendu de désir, rougi encore par les coups de martinet…vous venez d’y apposer une troisième pince reliée aux deux autres par une chaîne…et c’est d’une seule main que vous pouvez tirer sur la chaîne et voir votre Salope se tordre de douleur et de plaisir mêlé car la pince sur mon clitoris ne fait qu’accentuer mon désir sans me permettre de jouir…Hoooo !!! Monsieur, laissez moi jouir Monsieur…laissez moi jouir pour apaiser mon désir et oublier la douleur Monsieur…je vous en supplie…mais vous ne pouvez et ne souhaitez me comprendre Monsieur…vous savez que la douleur est supportable, mais surtout vous souhaitez voir mon désir rester encore et encore et décider lorsque canlı bahis siteleri je pourrais enfin jouir et vous offrir cette jouissance que je vous devrais Monsieur….D’une main vous continuez à tirer sur cette chaîne qui tord ma poitrine…qui m’excite le sexe…cette chatte qui n’est plus qu’un sexe béant dégoulinant de désir qui n’appelle qu’à être baisé….mais ce n’est pas ma chatte que vous voulez baiser…et ce depuis le début…De l’autre main vous caressez mes fesses, mon cul, mon trou…vous me fouillez, doucement, lentement…d’un doigt d’abord, puis de deux….ces mouvements, moi, m’excitent encore plus…pour ne pas que je jouisse vous tirez sur la chaîne…vous continuez à me fouiller le cul…je ne peux réprimer un mouvement de bassin, de plus en plus ample…Je me sens salope, je me sens pute…votre pute Monsieur, prête à vous accueillir comme vous le souhaitez…je veux jouir Monsieur…mais le pincement sur mes seins et mon clitoris m’en empêche…vous retirez vos doigts…approchez votre queue bandée et dure de mon cul…et poussez à l’intérieur d’un coup…ce qui provoque en moi une forte douleur…mais vous restez…vous restez…et commencez au bout d’un instant un lent mouvement de va et vient dans mon cul serré mais ouvert pour vous…J’aime vous sentir en moi, j’aime lorsque j’ai ce sentiment fort de vous appartenir totalement…je me sens votre chose Monsieur, je suis totalement à vous lorsque vous me prenez ainsi par le cul…vous au-dessus de moi, ayant une vue imprenable sur ma chatte toujours ouverte et dégoulinante de mon plaisir que vous ne laissez venir et qui ne demande qu’à être remplie aussi, la chaîne reliant mes seins et mon sexe sur laquelle ostensiblement vous tirez et tirez encore…Vous sentir dans mon cul, m’excite encore plus et je veux jouir….vous retirez mon bandeau des yeux pour pouvoir voir cette supplication dans mes yeux…Je vous vois me dominant totalement, être en moi, sur moi, guidant mon plaisir et ma douleur…je vous vois prendre du plaisir à me sentir ainsi totalement soumise, suppliante pour votre plaisir, pour que la douleur s’arrête….je vous sens jouir en moi, dans mon cul…je ne veux pas que cela s’arrête…je veux jouir avec vous en moi…mais je ne peux, je n’y ai pas droit…C’est à ce moment là que vous commencez à me fouiller la chatte de votre main…”Allez jouis petite salope, jouis pour moi, jouis parce que je te le demande et que j’en ai envie…jouis ma pute…”…et c’est là, le cul plein de votre foutre et de votre queue, la chatte béante et pleine aussi, les seins et le clitoris pincés et douloureux que j’ai joui comme jamais Monsieur…mais le bâillon m’empêchait de m’exprimer, et vous aimiez cela, me savoir contrainte même dans ma voix…hoooo oui Monsieur, vous aimez me sentir ainsi toute à vous…et mon orgasme n’en a été que plus fort, car oui Monsieur j’aime être cela pour vous…votre objet de plaisir, votre pute personnelle…je suis à vous Monsieur, totalement à vous…Soumise dévouée à vos désirs…

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schoppingNous sommes tout les deux dans un grand magasin. Nous déambulons entre les rayons, sentant les parfums, regardant les objets divers, les vêtements, etc.Tu ne porte qu’une robe légère sous laquelle je te sais nue.Nos pas nous amènent vers le rayon lingerie fine. Nous regardons divers modèles et tu sembles attirée par une parure complète ; soutien gorge, string, porte jarretelle. Ce modèle est finement brodé. Cela semble fortement t’intéresser et je te propose de l’acheter. La vendeuse du rayon te propose divers modèles. Jolie petite brune grimpée sur des talons hauts, jupe assez courte arrivant à mi-cuisse, petit haut moulant. A la dérobée, je la regarde, imaginant ce qu’elle pouvait bien porter comme petit dessous. Pour le haut : rien, je distingue nettement les tétons pointant au travers du tissu; certainement pas de porte jarretelles non plus ou de collant: je ne vois pas de voile sur ses jambes; sur son petit cul à la croupe cambrée : string? Brésilien? Schorty? Rien? Je ne sais pas, je ne remarque rien.Néanmoins avant de te lancer dans cet achat, tu désires essayer et la vendeuse nous conduit vers les cabines d’essayages situées un peu plus loin dans le fond du magasin. Ses talons claquent sur le dallage, le cambré de sa chute de rein rend ses fesses plus belles à regarder. Ses hanches et ses monts chaloupent dans la marche. Mais que peut-il bien y avoir la dessous?Les cabines, assez vastes, sont fermées par un simple rideau en toile épaisse.- « Je vous laisse, j’ai d’autres clientes. Vous vous débrouillerez sans moi? Si vous avez besoin faites moi signe. Je vous laisse une paire de bas pour l’essayage » – Nous dit l’employée illegal bahis en s’éloignant.Tu entres dans la cabine et refermes le rideau derrière toi. Au bout de quelques instants je t’entends me demander : « qu’est ce que tu en penses ? » J’écarte le rideau, passe la tête et la vision est particulièrement érotique. Le soutien gorge remonte tes seins, rendant ta poitrine plus attrayante. Le string, sur le devant n’est qu’un minuscule triangle de tulle noir au travers duquel je ne remarque que ton mont de Vénus épilé; derrière, une simple ficelle passe entre tes fesses. La ceinture du porte jarretelle ceint ton ventre agréablement. Quatre bretelles pendent, zébrant le haut de tes cuisses et tes fesses, soutenant les bas noir laissés par la vendeuse.Tu te regardes dans le miroir au fond de la cabine et te remontes les cheveux en te tournant légèrement sur place comme pour mieux t’admirer. Tu t’exhibes, langoureusement, tu tournes sur toi même, t’offrant en un spectacle où je suis le seul spectateur.Mon souffle devient court. Ma langue passe sur mes lèvres asséchées par le spectacle. Je regarde autour de moi et m’aperçois que nous sommes seuls. Mes yeux sont tout embués. Je ressens une vague de sueur me courir le long du dos. Dans mon pantalon je sens mon sexe gonfler tout émoustillé par le spectacle. Je ne peux exprimer qu’un petit cri dans un souffle : « OUAOUH ! ».Tu t’aperçois de mon trouble et cela semble te faire quelque chose à toi aussi.Tu passes la main entre le rideau et la cloison de la cabine. Discrètement ta main se porte au niveau de mon sexe que tu tâtes. Je n’entends que deux mots : « He bien ! ». Tu refermes illegal bahis siteleri la main et tu me tires vers l’intérieur de la cabine. Avant d’entrer, un rapide coup d’œil me fait constater que la vendeuse est toujours occupée et n’est pas sur le retour. Je referme le rideau derrière moi.Tu défais ma braguette, plonges la main à l’intérieur et en sors mon sexe déjà dressé. Tu le câlines rapidement et il achève sa raideur.Tu te tournes, face au miroir du fond. Tu te penches en avant, t’appuies sur le miroir du fond, écartes les jambes et creuses les reins faisant ressortir ta croupe fessière.J’écarte un peu la ficelle du string, présente le gland de mon sexe à ton entrée divine et mouillée, et d’un seul mouvement lent je te pénètre jusqu’au fond. Je prends tes hanches avec mes mains. Tu me regardes dans le miroir.La peur d’être surpris nous excite. La situation est haletante.A coups de rein je vais et je viens dans ton sexe.Te tenant par les hanches, mes pouces se perdent entre tes fesses, massant ta rondelle. D’un pouce je pénètre ton petit trou, de l’autre main je te donne une petite fessée d’Amour.Le plaisir est intense. La situation amène une issue rapide à notre acte.Je sens mon plaisir monter le long de mon sexe. Je te sens réagir. Lors d’une dernière poussée au fond de ton sexe, je libère ma semence au fond de ton vagin. Je me retiens de ne pas crier. Nous retenons nos souffles, nos muscles contractés par l’orgasme. J’effectue quelques va et vient supplémentaires. Rapidement tu t’enlèves. Dans ton sac tu trouves un mouchoir en papier. Tu nettoies mon sexe humide de toi, tu y déposes un petit baiser, le remets dans canlı bahis siteleri son écrin, refermes la braguette et me repousse dehors.Je suis juste ressorti de la cabine que la vendeuse revient.Je dois porter sur moi un changement quelconque, car elle me demande avec un petit sourire: « Alors ? Çà va ? La parure lui va bien ? L’essai s’est bien passé? »Toujours troublé, je la détaille de nouveau.« Mais que peut-il bien y avoir sous cette jupette? »Comme si elle lisait dans mes pensées, ébahi, je l’entend me dire:« Rien, je ne porte rien sous ma jupe. C’est bien la question que vous vous posez? Non? Pas de dessous. Juste une boule de geisha et une goutte d’Opium de Saint Laurent »C’est vrai, en y pensant, qu’elle sent bon.C’est à ce moment là, après t’être changée, que tu sors de la cabine. Tu me donnes les petites affaires, t’approches de la vendeuse et lui dis:« pas touchez à mon homme sans que je sois présente. »Puis, ce qui se passe ensuite, me laisse pantois. Ta main disparaît sous la jupe de la demoiselle qui ne bronche pas mais qui a un petit sourire sur les lèvres.« Mais c’est vrai qu’elle n’a rien dessous. Et elle doit porter une boule, il y a une chainette. Et elle est épilée. »Sans plus de trouble, la vendeuse passe sa main sous ta jupe.« Mais toi non plus tu ne portes rien dessous. Même pas un poil. Et puis tu sais, les hommes ce n’est que quelques fois, je préfère les femmes. Partante? »« Pourquoi pas ! Lui dis-tu, si mon petit homme est présent et nous regarde. »« Çà ne me gène pas. Je vais vous donner mes coordonnées. Vous prenez contacts! »A ce moment là, elle dépose un léger baiser sur tes lèvres.Nous nous quittons là, nous passons à la caisse régler notre achat avec lequel nous avons déjà un souvenir. Un regard complice avec la vendeuse et nous quittons le magasin.Un autre essayage à la maison devrait être plus chaud. Et peut être un autre rendez vous.

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My white mature fetish. Interraciali occasionally, well my 9 inch black rod occasionally gets a inclining for some mature white vagina. I happened to live two blocks over from your typical electric honky tonk type night spot, so it’s absolutely nothing for me to shower up, dress decent, slap on cologne and make my way over. I walk so I can turn back more than a few if I so chose. I start at the bar and after a couple of beers I commence to scanning the scene for potential. Making eye contact, finally hopping up and carousing around. A smile and nod here, a hey there and normally by then I’m honed in on a big white ass that gave me the biggest grin as we greeted. It’s not hard to spot a white chick who digs black guys, the extra second of eye contact and the extra friendly exchange signals “I’m down with it.” LolI met Anna this one particular night, she definitely fit the description and opened up rather quickly. Turns out to be 53, married, a little stressed and decided to go have a few beers to relieve her mind some. I told her about me and the conversation went several different directions, we just yacked like we had always known each other. I said to Anna that I was about to call it a night and WALK back home. She asked if I lived far away, and I explained how close I lived. I offered my cell # and reluctant at first but she took it into her phone and text me hers. We exchanged bye’s and I headed for the exit. Not 3 steps out of the door I shot her a text saying how much I enjoyed talking with her and for her to definitely msg me the next time she planned bahis firmaları on coming there for a drink. She replied “I definitely will. Think I’m about to leave as well. Want me to drop you off?” Sure I responded. Anna made her way out and drove over to me, we pulled up in front of my house shortly and again began to part ways when I asked her if she was ok to drive home. She said that she really shouldn’t be driving and knew better, I agreed. We can chill here or if you’re ok with it we can go inside. Sure she said. I headed for my room and changed clothes, Anna was on the couch when I returned in a wife beater and sweats, no briefs that way my cock would surely bounce around as I moved about and hopefully she would notice. Time passed and with each second we became more comfortable, to the point now my arm is around her and she’s snuggled in next to me, both chuckling at some comedian on the comedy channel. I grabbed my cock and squeezed it in the middle of one of our chuckles just to get her reaction. “Easy” she said grinning and looking me in the eye. I grinned back and said I apologize, im just a little excited, I love full figured women and you’re very sexy. Well thank you she replied. There was a moment of silence and then she reaches down and grips my cock through my sweats, squeezing her hand around it so that it prints in the material. Her eyes bulged and she then asked if she could see it. I said nothing, raised up and pulled my sweats down exposing myself. My flacid dick laying a quarter of the way down my thigh must have amazed her. She grabbed, kaçak iddaa squeezed and brought her other hand up and lightly stroked it. Again I said nothing, the look in her brown eyes spoke volumes.I stood up, stepped out of my sweats which had now fallen to my feet, grabbed Anna’s hand and tugged. She stood with no hesitation, I pulled her by the hand to my bedroom which was only lit from the light from the television. I slowly undid her top, then her bra, exposing those big saggy mature breasts. I leaned in kissing her neck while unbuttoning her jeans. She gasped a few times while I kissed and sucked, now her pants were around her feet. I hopped on to the bed laying on my back, cock fully erect, crossed both hands behind my head and awaited Anna.She climbed into the bed, kissing my leg at the thigh and worked her way up. She grabbed my throbbing black rod, straddled me and with one hand rubbed my dick against her hairy cunt. I could see she was very hairy through her lightly colored panties. She grinded my cock into her moaning and even began to quiver a bit. “You’re so damn big” she said. Anna leaned back, repositioned and took me into her mouth, sucking firmly up and down, up and down, she paused and then stuffed as much of me into her mouth and gagged once she had her fill. Come on I said, I was ready to mount her big floppy granny ass from behind and see if she could take my black rod. I snatched her panties down, bent her over the side of the bed and guided my cock head at her hairy opening.I nudged my head in, she was very tight, very moist and very kaçak bahis eager as well. She went face down into the mattress and kind of wimpered as all 9 inches slowly impaled her aged box. Yes Anna wispered as I slowly eased in and out of her. 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Début de soumission (suite 6)

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Début de soumission (suite 6)Le lendemain matin, ses amis prenents le petit déjeuner pendant que Nadia est occupée à ranger la cuisine. Olivier demande :« Où es la pute, Dom ? » « Elle dort toujours car après la soirée d’hier et vos saillies successives, j’ai fait plaisir à Nadia et lui ai laissé la pute pour qu’elle s’amuse elle aussi. Elle me l’a mise dans un état, vous pouvez pas savoir ! Il faut dire que de nous voir pendant toute une soirée nous faire plaisir avec elle, çà l’a fortement excitée. » Claire un peu frustrée réagit : « Merde alors, moi aussi j’aurais bien voulu l’avoir pour la nuit. Mes 3 amis ici présents n’avaient plus la moindre énergie dans la bite et j’ai eu beau les sucer comme une endiablée, pas un n’a plus pu bander. J’avais la chatte en feu et aurais bien eu besoin de ta pute pour apaiser la fournaise et c’est ta bonniche qui a pu en profiter ! » « Claire, t’es une vraie furie et si je t’avais laissé Michèle, je crois qu’on aurait pas su fermer l’œil de la nuit à cause de tes hurlement de chatte en furie. De plus, ma pute aurait été hs ce matin et il ne nous resterait que nos mains droites pour nous satisfaire. Maintenant, Nadia s’occupe très bien de la maison. Elle a bien droit de s’envoyer en l’air aussi. » André demande : « Pourquoi tu ne la laisse pas participer à nos ébats ? Elle a un beau petit cul et elle est mignonne. On la gâterait aussi la petite. » « C’est exclu pour différentes raisons. 1- elle est mon employée et elle est et reste en charge de travailler pour organiser tout ce que l’on a besoin. Si elle participe, je n’ai plus personne pour assurer le service. 2-Elle ne dédaigne pas les hommes mais elle préfère nettement les femmes. 3- Je ne mélange pas travail et plaisir. Dans son contrat de travail, j’ai précisé que je ne voulais pas de contact avec elle ni elle avec moi. » Bernard précise :« Couillon ! Hier illegal bahis soir elle a quand même avalé de ton sperme grace à Michèle ! »« Oui, mais c’était indirect. Hier soir, elle en avait avalé des doses et des doses  et si cela pouvait faire plaisir à Nadia d’en avoir un peu … » André intervient : « Bon et maintenant, j’ai déjà les couilles bien remplies et elle me ferait du bien ta pute. » « Nadia vient d’aller la réveiller et elle va arriver. Voici comment elle va servir aujourd’hui. Je ne veux en aucun cas qu’un de ses orifices reste libre plus d’une minute. Cela veut dire qu’elle va arriver bien bouchonnée de partout. Vous lui sortez un gode du trou que vous voulez et lui mettez la bite à la place mais dès que c’est fini, vous lui rebouchez le trou. Pas plus qu’une minute sans rien OK ? » Tous approuvent l’excellente idée et Claire précise :« Une langue est considérée au même titre qu’une queue. »«  Cela va de soi. »Pendant ce temps, Nadia m’a préparé. Elle m’amène en me tenant en laisse. Je suis totalement nue. Un plug est inséré dans mon cul. Un autre assez court mais large me rempli la bouche. Le gros gode qui me bouchonne la chatte dépasse entre mes cuisses et je dois marcher en serrant les cuisses pour qu’il ne sorte pas. Je me tiens debout le regard baissé, les bras derrière le dos. André m’apelle et m’ordonne :« A qutre patte chienne  et cambre toi bien! »Il sort sa bite, retire le plug anal, me crache sur l’anus et s’enfonce entre mes fesses de soumise. Le mouvement de va et vient dans mon cul m’arrache des gémissements mais ceux-ci sont étouffés par l’accessoire qui lui obstrue ma bouche. Olivier que la scène échauffe vient se placer à genoux devant mon visage et sort le plug dégoulinant de salive de ma bouche pour y enfoncer sa queue. Il me tient par les cheveux et me pénètre en cadence. J’accuse les pénétrations en respirant illegal bahis siteleri difficilement. Claire propose à André :« Lâches tout ton jus dans ses boyaux à cette pute. Ca va la graiser ! »André à ces mots décharge dans mes fesses en hurlant sa jouissance. Claire aussitôte pose ses lèvres sur mon anus et aspire le sperme chaud qui ressort de mon cul. Lorsqu’elle en a la bouche pleine, elle replace le plug dans mon trou du cul comme prévu et vient près d’Olivier qui me pistonne buccalement. Elle attend patiemment, le sperme d’André en bouche qu’Olivier se vide dans ma gueule de la pute pour m’ordonner de ne pas avaler la dose avant d’y avoir déposé la sienne. Je relève le visage et ouvre grand la bouche pour que la femme au-dessus y rajoute le sperme qui vient de mon cul. Claire annonce maintenant : « Vas-y salope, avales moi tout ce bon sperme maintenant et puis fais moi jouir avec ta langue. » Elle s’allonge sur le dos et je me glisse entre ses cuisses après avoir avalé en plusieurs gorgées le nectar des hommes. Claire referme ses jambes autour de ma nuque det se laisse aller au doux plaisir saphique.   Lorsque nous nous installons au soleil au bord de la piscine, le Maître me fait assoire sur un tabouret muni de godes pour rester remplie. Pénétrée de partout en attente d’être utilisée par celui ou celle qui le souhaite, il me passe une petite affichette tenue par une petite chaîne autour du cou. Sur la pancarte, il est tout simplement inscrit :« PUTE  LIBRE EN ATTENTE DE VOUS DONNER DU PLAISIR ! »Le téléphone sonne et c‘est un pote du Maître qui est de passage pour affaire dans le coin. Il lui explique qu’il reçoit des amis pour le moment. Mais qu’il peut passer le voir sans problème.  Lorsqu’il arrive, il s’arrête devant Michèle.« Attends là, c’est sérieux ? Cette pute est là en attente ? Mais pourquoi remplie de partout ? » « Oh, canlı bahis siteleri c’est un petit jeu. Tu peux l’utiliser si tu veux mais après tu la rebouches, c’est simple. Elle est en attente pour qui veut. » « Mais … et vous ? » « On ne se fait pas prier, crois-moi mais après quelques coups on doit récupérer, non ? » « Oh putain, mais c’est dingue çà ! Si je comprends bien vous êtes tous à sec ? »« On ne peut rien te cacher. Mais fais-toi plaisir, ne te gêne pas. Respectes juste les règles du jeu. »Le nouveau venu, Philippe, s’approche de moi et enlève la pancarte. Il retire le plug de ma bouche et sort sa queue. Après quelques minutes pendant lesquelles je lui ai bien fait durcir la bite, il me fait s’allonger et sort le gode de ma chatte pour s’y enfoncer. Le regardant se faire plaisir, Maître Domje lui rappelle de reboucher le dessus. « Ah oui, j’y pensais plus. » dit il en me remettant le plug dans la bouche. Ayant bien compris maintenant, il me fait mettre à quatre pattes et retire l’accessoire anal en me remettant l’autre dans la chatte avant de s’enfoncer entre mes fesses. Alors qu’il m’encule en rythme, il demande : « Dis, j’ai une réunion avec mes 8 commerciaux cet après-midi. Cà me ferait plaisir de pouvoir leur offrir un petit moment de détente. Tu me prendrais combien ? » « On ne parle pas affaire quand on tire son coup. Finis ce que tu as commencé, remets la salope dans l’état dans laquelle tu l’as trouvée et viens me voir à l’intérieur, on va s’arranger. Bonne idée de cadeau professionnel à ton équipe, ils vont te casser la baraque après cela.» « J’y compte bien, c’est calme en ce moment. Oh salope, tiens prends çà dans la gueule. » dit-il en se retirant de mon cul pour venir m’arroser le visage. Il revient ensuite derrière et replace l’objet qui me force l’anus puis l’affichette. Il demande en regardant son sperme qui me maquille : « Et pour le reste ? » Claire qui n’attendait que cela lui dit :« Je m’en charge, t’occupes. » A coups de langue elle récolte la crème sur mon visage et sur mes seins avant de retirer la pancarte et d’ordonner :« Salope fais moi jouir ! »

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