Goûter à l’Espagnole

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Goûter à l’EspagnoleDaniela m’appelant deux jours plus tard toujours en manque. M’avouant s’être masturbée en pensant à moi la nuit passée. M’invitant à aller voir un concert à la Sala Rossa en compagnie d’une de ses amies. Nancy d’origine italienne et française ayant les même mensurations que Daniela mais avec un teint plus pâle. Avait les cheveux longs noires et les yeux bruns âgée de 49 ans. Une autre perverse en manque voulant se taper un petit jeune dans la fleur de l’âge. Les deux femmes se ressemblant qu’elles auraient pu facilement passer pour des soeurs ou bien des cousines ce qui n’était pas le cas. Faisant connaissance avec la dite dame nous dirigeant vers notre destination festive. Une autre chaudasse mature avec un regard de braise n’invitant qu’à la séduction. Un groupe musical gitan était sur place jouant une musique assez rythmée. Les deux femmes en chaleurs me tournoyant autour tentant d’attiser le feu. Dansant autour de moi avec beaucoup d’aisances un verre à la main. Daniela s’approchant pour me dire quelques mots doux à l’oreille en espagnole dont je ne comprenais pas la signification. Nancy s’approchant pour venir m’embrasser tout en collant son corps contre le miens ses hanches vibrantes. Effleurant discrètement ma verge en érection de sa main droite bougeant son bassin contre ma cuisse droite dans la pénombre. Les deux femmes étaient particulièrement chaude en cette soirée d’été. Sachant déjà que j’allais m’assouvir de c’est deux dames en manque d’affection dans les heures suivants le concert. Daniela proposant d’aller déguster un repas au restaurant du lieu son estomac ne demandant qu’à être rassasié. 1 heures et demi passé et nous internet casino voilà entrain de manger des plats typiquement espagnols de l’endroit.Daniela portait une robe noire assortie de motifs de roses rouges et un décolletée plongeant. C’est cheveux était élevés au dessus de sa tête en chignon attaché d’une rose rouge respectant le concept à la perfection. C’est lèvres rouges la rendait encore plus sublime son corps ne demandant qu’à être assouvie. Nancy plus simpliste portait un débardeur noir d’où transparaissait sa brassière blanche sur les côtés. Assortie d’un pantalon blanc coupé au dessus des mollets et de sandales brunes lui donnant quand même une allure sexy.Nous assoyant à une table les deux femmes ravies et enjouées discutant tout en visionnant le menu. Nancy à ma droite commençait discrètement à me caresser la cuisse de sa main gauche puis délicatement la verge maintenant tendue en érection. Daniela devant les jambes croisée posant son pieds gauche vers mon entre jambe y allant de vas et viens subtil augmentant la tension passablement entre nous trois. Recevant nos plats ayant choisi des calamares et elles toutes les deux du boeuf braisé à l’espagnole. Mon repas étaient bien sans plus visionnant mes deux comparses se régaler du leurs. Me faisant part d’une petite portion de leurs repas quand même très épicées approuvant leurs choix avec beaucoup de satisfaction. Un choix judicieux exprimant deux femmes chaudes voulant faire l’amour avec énergie et passion. Le repas terminer buvant les dernières gouttes de vin rouge à notre table avec hâte. Payant la note pour ensuite sortir en direction du logis de Daniela à sa demande. Voulant canlı poker oyna par contre boire un dernier café et discuter, sachant la soirée encore jeune.Arrivant au café de ma première rencontre m’ayant permis de m’assouvir de cette chaude latine. Les deux femmes plutôt calmes et posées buvaient leurs cafés sans attentes conversant sur un peu tout et rien. Une odeur de chatte mouillée se propageait tout autour de la petite table ronde où on étaient assis la tension sexuelle atteignant son comble de mon côté. Augmentant mon désir sexuel par dix au moins les deux femmes pas du tout pressées de s’en aller. Voulant juste probablement me chauffer par la patience et l’envie. Allant toutes les deux à la salle de bains pour ensuite payer la note. Elles étaient maintenant prête à se faire assouvir leurs besoins émotionnels étant maintenant comblés. Arriver à destination les deux femmes se déshabillant ne gardant que leurs petites culottes. Alors déshabille toi en gardant ton sous vêtement. Tu nous regarde faire puis ensuite on te fais signe et tu t’y mets me dit alors Daniela. Entrant dans la chambre en leurs compagnie. Les deux femmes s’embrassant devant moi Daniela masturbant Nancy en même temps de ses doigts fins et délicats. Venant ensuite lécher la fente de celle ci ses deux jambes bien ouvertes dans le lit. J’entendais gémir Nancy de satisfaction Daniela enlevant en même temps la culotte blanche toute trempée de celle ci. Venant s’appuyer vulve contre vulve dans la position du ciseau. Y allant de vas et viens consécutif assez intense extirpant quelques sons de jouissances mutuelles des deux dames. Changeant de position 15 minutes plus tard pour poker oyna se faire lécher à son tour enlevant sa petite culotte rouge gémissant son corps tendu. L’odeur de chatte était totalement enivrante mon corps tendu ne demandant qu’à faire parti du duo. Allez viens maintenant. M’avançant pour venir assouvir Nancy c’est deux jambes bien ouvertes dans le lit. Venant la pénétrer avec fougue son corps prêt à être sailli avec ardeur. Elle prenait son pieds l’entendant gémir sous mes coups de verges rythmées. Elle était vraiment bonne et sa chatte béante mouillait beaucoup. Pendant que Daniela nous regardait se masturbant debout. Elle jouissait me demandant d’y aller plus fort et de venir. Me retirant 10 minutes plus tard pour ensuite éjaculer sur son ventre mes semences chaudes. Daniela revenant de la salle de bain avec un sceau d’eau froide et du savon pour me laver dans la chambre tel un esclave. M’essuyant d’une serviette pour ensuite me placer à quatre pattes sur le lit comme elle me le demandait. Venant appuyer son corps contre le miens tout en me masturbant de sa main droite. Elle me disait des mots doux à l’oreille en espagnole comme au concert auparavant. M’appliquant à lécher la chatte de Nancy ses deux jambes bien écartés devant l’entendant gémir. Pour ensuite venir saillir Daniela en levrette sur le lit la dame jouissant n’exprimant que du plaisir. Siiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Siiiiiiiiiiiiii Siiiiiiiiiii Muyyyyyy Biennnnn Siiiiiiiiiiiiiiiiiii sa chatte mouillant exprimant des sons mouillés les murs de la chambre faisant écho. Venant dans son antre complètement ravie d’avoir était accueillie de cette façon par ses deux dames en chaleurs. Fort probablement les deux femmes les plus chaudes du monde à mon avis. Daniela me suçant une dernière fois pour venir dans sa bouche et recommencer ses ébats en compagnie de Nancy 15 minutes plus tard. Moi dormant sur le divan du salon complètement épuisé.

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Invités par nos jeunes voisins

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Invités par nos jeunes voisinsConfessions d’un couple pervers 2 : Home Invasion (histoire complète).Nous avons des nouveaux voisins. Ils sont charmants, surtout la jeune femme qui plait beaucoup à mon mec. La semaine dernière, ils nous ont invités à dîner, dans le but de faire connaissance.Nous sonnons à leur porte et le mari vient ouvrir. Question provocation, je n’y suis pas allé de main morte : mini-jupe et top moulant. Si j’en juge par son expression ahurie, l’effet recherché est obtenu. Je lui claque la bise. Sa femme vient nous saluer et repart dans la cuisine préparer les toasts. Nous prenons place sur le canapé. Je suis juste en face du mari. Mes yeux vissés sur les siens, je croise et recroise les jambes, façon Sharon Stone dans Basic Instinct, tout en me passant la langue sur les lèvres. Gêné par mon attitude, il tente de dissimuler son malaise en détournant le regard. Je romps le silence :-Dites-moi, pourriez-vous m’indiquer où se trouvent les toilettes ? Je suis rentrée directement du travail et je n’ai pas eu le temps de me rafraichir…-Mais bien sûr-Montrez-moi le cheminIl se lève, je le suis. Arrivés devant les toilettes, je lui dis :-Quelque chose me gêne depuis tout à l’heure-Oh c’est ennuyeux-Il doit vous gêner aussi-De quoi parlez-vous ?-De mon string. Il vous empêche de voir ma chatteIl rougit jusqu’à la racine des cheveux. Tout à trac, j’empoigne son entrejambe. Il ne peut retenir un cri de surprise.Sa femme l’entend. Elle sort de la cuisine. Greg se jette sur elle et l’empoigne par les fesses. Elle lève la main pour le gifler mais il interrompt son geste. En tordant son poignet, il la guide vers son sexe. « Qu’est-ce que tu dirais d’un bon gros gigot pour le dîner ? C’est moi qui régale ! Je parie que tu n’as jamais vu un pareil morceau… »Je retire mon string et le canlı bahis şirketleri glisse dans la poche du mari. Ne me reste plus qu’à relever ma jupe, lui appuyer sur les épaules et ordonner :-Lèche chien !Sa femme appelle au secours :-Chéri ! Je t’en prie fais quelque chose !-Il ne peut pas répondre, ton chéri, sa langue est occupée…Greg plaque la fille contre le mur. Il pelote ses seins à travers le chemisier. Les caresses ne la laissent pas indifférente et, du coup, elle se montre plus docile. Il en profite pour coller sa bouche contre la sienne. Bientôt, il l’incite à s’accroupir d’un geste des deux mains. Docile, elle s’exécute. Elle se tient devant lui, à genoux.J’att**** le mec par sa cravate. Elle fait comme une laisse pour ce brave toutou. Tout en l’étranglant à moitié en tirant sur cette longe improvisée, je lui dis :-T’as déjà vu ta femme tailler une pipe ?-Non ! Enfin si, à moi…-Et à un autre mec ?-Mais non, jamais de la vie, enfin.-Allez viens par-là, tu vas pouvoir assister au spectacle.Sa femme tient la bite de Greg dans une main. Elle n’a pas l’air très rassurée. Effectivement, on le serait à moins quand on voit la taille de l’engin. Elle pointe une langue timide en direction du gland violacé. Elle n’ose pas, la pauvre bichette, alors on l’encourage en lui collant quelques tartes. Il n’en fallait pas plus pour qu’elle se décide enfin et se jette sur la bite de mon chéri avec enthousiasme. Elle n’a pas l’air très douée, manque de pratique sans doute, mais le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle y met tout son cœur.Je m’approche de Greg pour lui donner un long baiser langoureux. Il est bien excité le fumier. Je me tourne vers le mari : « maintenant tu vas te branler en regardant ta femme tailler une pipe comme une pute à cinquante euros ».J’ouvre sa braguette canlı kaçak iddaa et sors sa bite. Pas aussi grosse que celle de Greg mais correcte. Il bande.-On dirait que le chien remue la queue ! Décalotte le gland, plus vite !-On ne se laissera pas faire. Si vous continuez j’appelle les flics !Je sors mon téléphone et le prends en photo.-Et tu leur diras quoi ? Que tu te branlais sans le faire exprès ?Puis en m’adressant à mon amant :-Je parie qu’il n’a jamais enculé sa femme. Elle ne sait pas ce qui lui manque, la pauvre. En bon esclave, il va la préparer pour toi. Mets-toi à quatre pattes chienne, ton mari va te bouffer le cul pendant que tu continues de sucer mon mec. Et toi, le mari, sors bien la langue !Je le saisis par les cheveux pour coller sa tête entre les fesses de sa femme. Comme il regimbe encore un peu je le motive en lui taquinant les côtes de la pointe du pied.-Aie !Il a enfin compris. Il darde sa langue et la colle sur le petit trou de sa femme. Tout en continuant de le tenir par les cheveux, je l’encourage :-Fais preuve d’un peu plus d’enthousiasme. Elle a l’air propre quand même. Allez crache-lui dans le cul !Il lape l’anus en bavant, comme un bon chien. Sa femme essaie encore de protester mais tout ce qu’elle arrive à dire avec une bite dans la bouche est « meurgueulglargl ».-Je crois qu’elle est prête chéri.Greg repousse le type du pied. La femme trouve encore la force de dire « Oh non pitié ! » avant d’hurler quand il l’encule d’un coup.Tout en sortant le gode ceinture de mon sac, je dis au mari : « tu vois grâce à nous tu t’es découvert une vocation. Un véritable expert en léchage de cul. Déshabille-toi complètement mais garde la cravate. » J’aime bien l’idée de pouvoir le tenir en laisse. Pendant qu’il retire ses vêtements, j’en profite pour m’harnacher canlı kaçak bahis avec le gode.-Maintenant suce-moi.Sans hésitation il passe du cul de sa femme à ma bite en latex. Son sexe au garde à vous ne laisse aucun doute. L’humiliation, c’est son truc.-Mets-toi à quatre pattes je vais t’enculer comme ta salope de femme !-Non pitié je vous en supplie on vous donnera de l’argent, je peux vous rendre service, je tondrai votre pelouse !-Ta gueule ! Je suis sûr que tu vas adorer. Une petite fiotte comme toi. Tu as lubrifié mon gode avec ta bave d’escargot, il rentre tout seul.Ses cris couvrent bientôt ceux de sa femme. Un véritable festival de vocalises porcines.Greg décule. Il traîne la femme jusqu’à nous.-Tenez-vous prêts, je vais vous gicler en pleine face !Greg ne se masturbe pas longtemps. Il éjacule en grognant. Une pluie de foutre arrose le couple.Leurs visages sont couverts de sperme. Je dis au mari de m’accompagner à la salle de bain pour que je le débarbouille.-Couche-toi dans la baignoire.Une fois qu’il est en place, je m’accroupis au-dessus de lui, un pied sur chaque rebord. Avec deux doigts j’écarte les grandes lèvres pour qu’il matte bien les replis à l’intérieur de ma fente et le trou humide. On dirait que ses yeux vont sortir de sa tête et il se branle comme un malade.-Dis-moi quand tu vas jouir, mon toutou…-Oui Maîtresse c’est bon je vieeens…De grosses giclées de foutre jaillissent de sa bite. Aussitôt je lâche les vannes. Je me suis retenue toute la soirée aussi reçoit-il une véritable cascade de pisse sur le torse et les cuisses. J’arrose son visage pour nettoyer le sperme. Cela m’excite tellement que je jouis aussi.Nous prenons ensuite une douche bien chaude avant de rejoindre les autres au salon. Ils sont tous les deux assis sur le canapé, blottis l’un contre l’autre. C’est mignon. Je donne un long et profond baiser sur la bouche à Julia.-Est-ce que cela t’a plu ma chérie ?-Oh oui ! C’était merveilleux. Vous avez réussi à nous surprendre. N’hésitez pas à revenir quand vous voulez…Merci à Léon, pour l’inspiration.

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Les affres de Julie (4)

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Les affres de Julie (4)Julie rentra chez elle un peu avant midi. Elle mangea peu et prit ses médicaments. Ce matin, elle était retournée voir son psychiatre. Elle lui parlait de ses choses qui semblaient lui arriver, elle se sentait observée, et le médecin lui avait fait comprendre que certaines choses pouvaient lui paraitre vraies, sans l’être pour autant. Des tours de son esprit. Elle fallait qu’elle essaie de faire preuve de discernement. Le temps, et les médicaments, l’aideraient.Elle tourna un long moment pour retrouver la télécommande de sa télévision, s’énerva, puis la trouva vers 15h par hasard dans un tiroir où elle n’avait rien à faire. Elle luttait contre la fatigue, et finalement s’endormit en commençant à regarder un DVD.Elle se réveilla en pleine nuit. Tout éteint noir autour d’elle. Elle se rendit juste compte qu’elle était dans son lit. S’était-elle levée pour venir se coucher ? Elle ne s’en rappellait pas. Elle crut entendre un grincement au sol. Puis le sentiment de mouvements autour d’elle.Elle tourna sa tête, et voulut allumer la lumière de sa table de chevet. Elle sentit une résistance au niveau de ses poignets, et sa tête lui parut lourde. Elle tira sur ses jambes et rencontra la même résistance. Elle redressa sa tête, mais ressentit presque aussitot des vertiges. Sa vessie la tiraillait, et c’est sans doute cela qui l’avait réveillé, elle avait une envie urgente d’aller faire pipi. Elle voulut se redresser à nouveau, mais en vain.A nouveau elle entendit des bruits autour d’elle. Sa vue commençait à s’aclimater la l’obscurité. Elle ne distinguait rien de particulier, elle fit le tour de la pièce du regard. Encore cette sensation de mouvement dans la pièce, un bruit de déplacement, assez furtif. Elle tressaillit. Elle avait de plus en plus besoin de se lever pour aller aux toilettes. Tournant la tête vers un nouveau bruit qui venait de retentir, elle crut apercevoir une silhouette, qui se penchait vers elle.Elle sentit une bouche entrer en contact avec son mamelon canlı bahis droit. Elle voulut réagir, mais ses mains et ses jambes refusaient de bouger, elle se sentait maintenue par des sangles. A moins que ce ne soit encore un tour de son esprit. Elle essaya de faire le vide dans sa tête.Son téton fut aspiré dans la bouche de la silhouette, qui le suça doucement tout en le mordillant légerement. Julie n’aimait pas qu’on lui fasse cela, elle avait cette sensation que ça lui irritait les mamelons, qui étaient particulièrement sensibles. Et puis elle avait ce complexe, d’avoir un sein pour gros que l’autre. Elle n’aimait pas qu’on s’occupe de ses seins.Et là, cette bouche prenait son temps… Elle entendit distinctement des bruits de pas. Ca venait de plus loin. Etait-ce de plus loin ? Du couloir ? Non, c’était bien chez elle également. Les bruits s’approchèrent de la chambre et elle entendit les pas arriver jusqu’au bord du lit. Elle sentit une autre bouche se poser sur son sein gauche. Elle voulut regarder, elle dressa la tête.Deux silhouettes étaient agenouillées autour d’elle, les têtes penchées sur ses seins. Elle sentait leurs succions, leurs mordillements, leurs langues. Ses seins durcissaient, réagissant au traitement qu’ils subissaient. Tout cela semblait trop réel pour être une illusion de son esprit. Mais alors pourquoi elle avait ses vertiges ? Pourquoi, quand elle essayait d’être lucide, ce scénario lui paraissait impossible. Surtout de s’attarder à ce point sur ses seins, exactement la chose qu’elle n’apprécie pas. Elle sentait les langues lécher ses tétons.Elle ne put dire combien de temps cela dura. Ca lui parut interminable. Elle se contracta à plusieurs reprises, certaines sensations l’irritant un peu, et elle sentait sa vessie de plus en plus douloureuse. Il fallait qu’elle pisse. Elle ne pouvait plus se retenir.Les minutes lui paraissaient des heures. Les dents tiraient sur ses mamelons. Elle dut se résigner à se laisser aller. Le bruit du jet de pisse se fit entendre. bahis siteleri Les langues s’arrêtèrent. Julie pissait fort, comme rarement. Elle sentit une main se poser sur sa chatte poilue. Elle pissait sur les doigts et la paume de l’inconnu. Son urine commençait à faire une grande flaque autour d’elle, et jaillissait sur son bas ventre et ses jambes tandis que l’individu bougeait sa main. Elle commençait à être soulagée, qu’elle sentit un poids monter sur son lit, et se placer entre ses jambes. Alors qu’elle continuait de pisser, elle sentit le contact d’un gland se présentant devant les lèvres de sa chatte, et glisser en elle sans trop forcer.- Oh mon Dieu, marmonna t-elle.- Pense à ton père, dit froidement la silhouette qui allait et venait en elle.Julie continuait de pisser, tandis que cette queue dure allait et venait en elle. Ca faisait longtemps qu’elle n’avait pas eu d’homme. Est ce qu’elle rêvait ? Ce manque de sexe lui montait-il aussi à la tête ? Ca lui semblait si réel, à chaque fois que la queue de l’homme tapait au fond d’elle.Elle se sentit aspergée, l’autre silhouette était en train d’éjaculer sur ses seins et son visage.- Pense à ton père, répéta la silhouette qui la baisait.Julie recevait les coups de queue en prenant de plus en plus de plaisir. Tout cela ne pouvait pas être vrai. Elle en parlerait à son psychiatre. Un rêve si fort, si violent.- Oui, oui, je pense à mon père, marmonna t-elle en se mordant la lèvre inferieure.- Bonne fille à son papa, fit la silhouette, en la martelant encore un peu. Puis elle sentit un jet chaud gicler au fond d’elle, la queue sortir, et continuer de lui arroser la chatte et le bas ventre de sperme.Après quelques instants, les silhouettes se dressèrent, et s’éloignèrent un peu. Un peu de lumière commençait à passer sous les volets. Elle distingua que les silhouettes étaient vétues de noir, et portaient tous deux des cagoules.Elle ferma les yeux un instant. Quand elle les ouvrit, elle n’était plus dans la même position. Elle bahis şirketleri était couchée sur le coté. La lumière éclairait bien la pièce, le soleil devait être levé depuis un moment. S’était-elle rendormie ? Avait-elle rêvé ? Elle pouvait bouger ses mains et ses pieds normalement. Elle regarda son lit, tout était normal. Pas de trace d’urine. Pas de trace de sperme sur elle. Quel rêve, se dit-elle. Ca lui avait paru tellement réel. Ca avait été si intense. En y repensant, elle se dit que tout cela était trop parfait, déjà cette insistance sur ses seins, et puis qu’on lui demande de penser à son père. C’était le souvenir de son premier orgasme, quand elle avait découvert la masturbation, et c’était resté quelque chose d’inavouable, d’autant qu’elle avait vraiment joui très fort, et avait rarement, voir jamais, retrouvé une telle intensité.Elle changea un peu de position, et décida, suite à ce rêve, de se laisser un peu aller. Tant pis les tabous, tant pis les notions de bien et de mal. Elle avait envi de retrouver cette sensation de plaisir. Elle passa sa main dans sa chatte, et commença à se carresser, tout en pensant à son père. Elle sentit son esprit envahit de honte et d’excitation, et sa chatte réagit vite. Elle mouillait fort, tout en se carressant le clitoris et se glissant un doigt en elle. – Papa, papa, murmura t-elle.En moins de cinq minutes, elle fut envahit par un orgasme intense. Elle se sentit mieux. Comme si ça lui avait fait du bien de se masturber en pensant à son père.Elle devrait le faire plus souvent, se dit-elle.Elle se leva. Sa tête était un peu chancelante, elle dut se tenir au mur un moment pour récuperer tout son équilibre. Les médicaments qu’elle prend ne seraient-ils pas un peu trop forts ? Et cette envie d’uriner, à nouveau.Elle sortit de la chambre, traversa le salon, et entra dans la salle de bain. Elle s’assit sur les toilettes et commença à pisser, un jet vraiment fort, ça la surprenait d’alleurs d’avoir autant envi depuis quelques jours.Son regard s’arrêta sur sa corbeille à linge sal. Des draps en dépassaient. Elle les saisit, tira dessus. Ils étaient trempés et sentaient fort la pisse. Et à certains endroits, certaines taches semblaient être du sperme.(A suivre)

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Ematine fin delà saison

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Ematine fin delà saisonAprès mon retour d Afrique avec Aline et Luc je me suis mis. e au vert pendant plus d un an la belle saison revenue enfin je décide de revenir à la plage je vais toutes les après midi bronzer au début à la plage puis mes démons me reprenant je vais bronzer sur le haut des dunes haut lieu de la drague sur une plage Landaise réputées pour ça je suis là depuis trois jours à l hôtel avec un ami quatre vingt huit ans vert comme un lapin on lui donne soixante ans maxi plus jeune que moi, ancien toubib a la retraite pour qui les petites pilules bleus n ont pas de secret veuf qui vit avec sa fille adoptive qu ils avait adoptes avec sa femme au Vietnam en fait une petite lady boy qui a maintenant quarante ans qui satisfaisait madame et monsieur j avais compris leurs manège ayant mon appartement à Bordeaux mitoyen avec eux madame préférant les filles et monsieur les garçons comme ça ils étaient servis cet ami qui s appelle Robert était hétérosexuel depuis la mort de son épouse je l ai fait devenir bisexuel bahis firmaları il a un cul que bien des femmes envieraient depuis il fait la femme une semaine sur deux avec sa lady boy et vient de temps en temps avec moi à la plage Donc un après midi tranquille sur notre serviette les mecs tournaient autour de nous là où on était il est recommandé de ne pas se faire trop remarqués c est à dire un bisou une pèle des caresses pas de problème mais une fellation un rapport il vaut mieux aller dans les petits bois en bas de la dune j étais déjà. Descendue deux fois dans mon petit coin avec des mecs dont un que je connaissait qui m avait apportait une paire de bottine en croco talon aiguille l idéal pour le lieu où on était sa femme lui avait dit elle me font mal fait en profiter ta salope il m’a enculer avec les bottines en m appellant Janine comme sa femme il faudra un jour que je fasse sa connaissance pour la gouinner je pense qu elle le cherche sur le coup de quinze heures arrive un grand gaillard il a l air un peu spécial kaçak iddaa je suis seule mon ami étant parti faire un tour il me demande si il peut poser sa serviette à côté de la mienne je lui répond que la dune est atout le monde il étale sa serviette c est un beau gaillard pas loin du double mètres il. Se met à poil une très belle queue vingt cinq centimètres à mes yeux pas un poil la tête est rasée un joli petit cul pour un mec pendant qu il s installé je lui demande s il sait où il est il se démonte pas se couche sur sa serviette et me répond que oui et engage la conversation tout en discutant il me demande si c est moi qui sui a la barrière le soir je lui répond par l affirmative et lui demande pourquoi il me répond qu il a une copine et celle ci aimerait faire comme moi le soir sur ceux arrive mon ami qui fait le jaloux en me roulant une pèle et me dit tout fort qu il n’a pas trouvé de queue pour le baiser je lui montre et lui dit la tu en a une belle en lui montrant la bite du mec qui c est assis à côté de moi l après kaçak bahis midi se passe tranquilot à un moment un mec vient vers moi il me propose une spéciale il veut m enculer avec la culotte de sa femme aucun problème pour moi je le suit et fait suivre le gaillard assis à côté de moi on s installé dans un fourre le mec me donne la culotte que j enfile le mec pointé sa queue sur mon anus de trans et pousse d un coup heuresement que le gaillard est devant j enfourne sa queue dans ma bouche celle ci me déchire les amidales je fait tout pour qu il décharge dans ma gueule mais il ne peut pas j en serais plus plus tardApres avoir passer l après midi on décide de se revoir le soir m ayant donner son adresse je viendrais le cherche à vingt deux heures je rentre me préparer chez moi pour la soirée j irais toute seule sans mon ami vu que le grand gaillard seras là l heure dite je me pointe à mon lieu de rencard et là je découvre une grande bringue plus de deux mètres de haut perchée sur des talons hauts que seul les habitués peuvent chausser et là je reconnais le grand gaillard en trans on se roule une pèle devant chez lui une femme qui passait nous traite de salope Felix lui montre sa queue en lui demandant si elle était monter comme ca

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Can I see you pee and poop?Hi! I am looking for an open minded woman who would be interested in anything from emailing about her peeing and pooping habits, or even open to filming herself peeing and pooping for me (it could be anonymous — no need to show your face!) or even meeting up eventually and for some in-person fun.I know it’s probably an odd request and for most, it might be an embarrassing thing to show or talk about and you might wonder why someone would be interested in seeing those type of things, but all I can say is. . .’it turns me on!’ I love to see a woman pee, poop slide out, and farts escape. I also love the idea of giving a woman an enema and seeing her expel it out.I thought I would write out a lot of details in this post, in case you are still reading and might be curious. These fantasies have been on my mind for a long time. I have several scenarios I go to when falling asleep or daydreaming. Often, I will imagine that I am taking care of a disabled woman. Maybe she is incontinent and must wear a diaper – she cannot control when she pees or poops. I bathe her, change her, feed her, and when she needs and desires, I give her sexual pleasure. But I imagine her saying to me ‘I think I pooped – will you change my diaper?” I lay her down and undo her diaper. There is a big load of poop there right around her ass and it’s quite messy around her asshole and vagina. I take a wet wipe and begin to clean the poop off her skin. She is embarrassed to be in this state with her legs in the air exposing her most vulnerable part of her body. But I am gentle and full of grace and love for her and she knows it. Maybe she involuntarily pees a bit and farts while I am wiping her and a bit of her pee lands on my hand. I imagine this scenario with different kinds of women – young women around 18, or older women around 50. I especially love hairy women – it’s just a fascination for me – a hairy bush. And I imagine needing to clean the poop out of the hair around her asshole and vagina. I think about other aspects of her too – bathing her and feeding her. Her relying on me for everything. I think maybe it has something to do psychologically with me wanting to feel needed by someone…wanting someone who is submissive and wants me.Another scenario I think about is a woman who gets very turned on by peeing, pooping, and farting in front of me. She saves all her poops for me. In this scenario, she loves to pee and poop on my chest and fart in my face. She will hold in her güvenilir canlı bahis siteleri poop for 2 days and only poop on my chest…she pees on my dick, my chest and my face. I then lick her pussy and asshole after she pees and poops – tasting a bit of her pee and a bit of her poop. When she farts on my face, it’s so strong and pungent, but the air and noise turn me on….I also think about a woman who is constantly constipated and needs my help to poop. Sometimes I will slide my finger inside her asshole and try to pull out the poop with my fingers. Other times I will give her a regular enema and get things moving. I think about her squatting over a small clear plastic tub so I that I can clearly see all the poop and brown junk coming out of her ass.I also think about a woman just peeing and pooping in her panties – unlike a diaper, it soaks right through and makes quite a mess!I think my ultimate fantasy with you would be to arrange a day where we can spend some time together. Ahead of the day, you hold in your poop for 48 hours – ensuring you have a huge load inside you. You drink a lot of water for 2-3 hours before we meet – so that when we meet you are really needing to both pee and poop. I come over and bring the enema bag, a towel, a plastic grocery bag, some lotion, and a clear plastic tub. We sit on your couch next to one another and get comfortable. I begin to massage your feet and we just talk and enjoy the time together. I know you will be quite uncomfortable, but we do take things slow. We begin to kiss and cuddle on the couch. Making out and enjoying the passion of being close to another person. I take your shirt off and you take mine off. I take your pants off and you take mine off. We are in our underwear and we move to the bed. We continuing kissing and cuddling, you feeling my penis harden and me feeling your vagina dampening your panties. I take your bra off and begin sucking and licking and kissing your breasts and nipples. They harden and you moan with pleasure. I pull off my boxers and my dick springs out, hard from seeing your beautiful body and smelling your scent. I pull your panties down and they are so wet. You are bursting to pee and poop, but I want to smell you, taste you. I smell your vagina and enjoy the delicious scent of a wet and warm place so turned on. I begin to gently kiss and lick your vaginal lips – the taste is overwhelming. Knowing there is a flood of pee on the other side of those lips makes me so turned güvenilir illegal bahis siteleri on. Maybe I ask you to push out a little pee in my mouth. It swirls around and I enjoy the bitter taste. I pull your legs up higher revealing your lovely asshole. Knowing there is a huge load of poop on the other side of that wall turns me on so much. I smell your asshole and enjoy the intoxicating scent. I kiss it, I lick it for a while. I dip my finger inside your vagina to get it a bit wet and then I gently insert my finger in your asshole. I feel the tip of your poop with my finger and it drives me wild. You cannot hold back anymore, saying ‘I have to pee and poop now!’. I lay the towel down on the bathroom floor and we get in the 69 position – your vagina and asshole are right above my upper chest and face. I ask you to push and you do and a flood of pee comes out, the stream so strong, hitting my chest and chin, and beard. I see your asshole slowly start to open and I get closer, smelling and kissing that area. Wider and wider your poop slowly emerges until it’s coming out fast and strong and hits with a thud on my chest, coiling around and tapering off, landing on my chest. You push everything out of you and you moan with relief….I ask if we can just lay there for a bit, me enjoying the sight of your vagina, dripping a few drops of pee, your poop on my chest, and your dirty asshole right in front of me. I begin to kiss your vagina again, tasting the wetness, I then kiss and lick your asshole, tasting a small bit of your poop – not replused by it, but turned on by the dirtiness. We lay there a bit more until we are ready to move on to the enema. I pick up your poop with my hand and place it in a plastic bag. I would like to take it home and maybe jack off to it the next day before flushing it in the toilet at my house. I clean my hand and chest off….and we get a new towel. I lay you down and fill the enema bag up with warm water. I again, dip my finger inside your vagina to get it lubricated with your cum and wetness. I then insert my finger in your asshole and feel around a bit, as you moan with pleasure. I then insert the enema tube and undo the clamp. Water begins to trickle in. You are laying on your left side, so that the water can find its way to your colon. I massage your belly and you begin to feel the pressure. With the first time, it may be too much pressure and you need to stop and push out what water it inside, or we keep going to see güvenilir bahis şirketleri how much water you can take. Ideally, at least a pint of water goes into your asshole and intestine and colon within about 5 minutes and we try to have you hold the water for at least 15 minutes as I massage your belly. When the time is up, I have you squat on the bathroom floor over the plastic tub and have you push out the water. It feel like you are peeing from your asshole and the noises of squishing and farting and chunks of poop coming out of your asshole landing in the tub. I can see the relief on your face as the brown water squirting out of your asshole lands in the tub. I massage your belly to make sure all the water comes out this round and we look at the remnants of junk and food and poop that was lining the wall of your intestine. You feel so much lighter now and we are so close and intimate being naked together doing this together. We do another round and another and another. 3-4 enemas until the water coming out of your asshole is clear – you are all cleaned out! I wipe your asshole and we get a drink of water. Now it is time for your sexual pleasure. I want to give you as many orgasms as you can take…more than you’ve ever had in your life. We got back to the bedroom and lay on the bed. I begin licking your pussy – maybe for 20 or 30 minutes, getting you very turned on. I kiss and lick your nipples again and they harden. I kiss and lick and getting slide a finger in your asshole and you moan with pleasure. I begin to slide a finger inside your vagina, massaging your clitoris and getting your gspot. Again and again and again, getting you closer and closer to an orgasm. It builds and builds and you reach your first orgasm. And depending on what you are feeling, we try for another, and another. And another. You are committed to pushing yourself as far as you can go…until you are spent and too tired to continue. If you want me to use and toys or vibrators you may have, I can do that too. And if you would like my dick, I can slide in as well. We can cuddle and ride each other until we are both happy, satisfied and tired. Then, comes your massage. The 30 minutes or so, I will give you a full body massage – massaging your toes to your head and everywhere in between. Maybe we finish with a warm bath or shower, soaping you up and cleaning you. Parting ways with a kiss…I am only looking for females and I am not willing to pay for this – I am seeking someone actually interested in this… I would love to hear anything about your peeing, pooping, and farting habits. I’d love to see pictures or videos of you peeing and pooping and farting. Or meeting up for some fun together.Email me if you’d be open to chatting, filming yourself, or maybe eventually meeting up in person!

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Caning Suzy-Jayne Part 3

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Alessa Savage

Caning Suzy-Jayne Part 3Following my visit to Suzy-Jayne’s house, the thought of the two hours I’d spent in her company were never far from my mind. Despite having led an active sex-life since my teens, I had always enjoyed, perhaps even preferred, the unrestrained pleasure afforded by masturbation. Even, during the two years I’d lived with Rosalind and where we shared intimacy at least once on most days, I had still relished the opportunity of being alone in the flat to pleasure myself to the thoughts of the things that really turned me on. With Rosalind’s departure, I now had unlimited time alone and although I drew on the collection of attractive young women who regularly featured in my masturbatory fantasies, since meeting Suzy-Jayne she had become firmly established as the one who never failed to accelerate me across the finishing line. I began to question myself, what the fuck was I doing getting more sexually aroused than I had ever done before, by a ‘girl’ with a penis and testicles?The Wednesday which followed my visit to Suzy-Jayne’s house was like any other third Wednesday of the month. After finishing work, I took the tube to Central London to meet up with a group of friends at The Coach Makers Arms in Marylebone Lane. Meeting on the third Wednesday of the month was well established and had started around two years earlier when a handful of us who had been to university together and now worked in or around London, would meet up. The group had rather evolved over time with friends, partners and work colleagues of the original group often coming along as well. This particular Wednesday comprised of quite a large group with perhaps as many as twenty of us there. As the evening progressed, we dispersed around the pub as it had become too crowded for us all to stand together, which after jostling for a space to stand away from the bar, led to me standing face to face with an attractive young redhead named Angie. To my inner embarrassment, I’d noticed Angie’s appeal at a previous gathering and on returning home that evening, had masturbated to the fantasy of her bent over the back of an old leather armchair I had in my flat as I used a thin, whippy cane to emboss her naked, alabaster buttocks with a vivid pattern of raised, red weals.Angie was in reality, a work colleague of Jonathan, one of the guys I’d been to university with. I discovered that Angie was 26 years of age, one year older than me, and recently divorced. Egged on by Jonathan who was aware that I’d split with Rosalind, I was told by him while Angie was out of earshot, “You should get in there, she told me she really fancies you and only came along tonight hoping you’d be here.” Although I can’t deny that I was tempted, I really didn’t want to take the risk of getting into another vanilla relationship as I very much doubted that an invitation to my flat to bend over the actual armchair of my fantasy would have been quite what she was hoping for! Even if she had been, I had no desire to take the risk of this ‘very private’ part of my life becoming public by someone who knew my friends. I had witnessed this happening to an acquaintance at a party, embarrassed beyond description as his inebriated girlfriend began talking loudly about the fact that he enjoyed nothing more than pulling down her panties and spanking her bare bottom with a hairbrush before sex. A few days later and I once more made the journey to Suzy-Jayne’s house, my whole body tingling in anticipation of the two hours in her company which lay ahead. I had once again requested for her to be dressed in school uniform and as she greeted me on my arrival she looked every bit as perfect as she had for the last session.As before, we chatted for a while over a mug of coffee before heading upstairs and for me at least, the expectation of two hours of total bliss. Although my use of implements was of a more than proficient standard, Suzy-Jayne seemed keen to broaden my horizon and after a lengthy period spanking and caning her wonderful bottom in the ‘schoolroom’ she suggested I took her through to the ‘other room’ where she told me how much she enjoyed being restrained for punishment. During the punishment I had meted out in the ‘schoolroom’ with Suzy-Jayne mostly bent over one or other of the desks or chairs, my cock had drifted in and out of hardness, but as I secured Suzy-Jayne into the pillory, just as I had been during our previous session, my cock soon swelled to the point of aching within the confines of my trousers. Suzy-Jayne made a perfect ‘damsel-in-distress’ and the sight of her in the pillory conjured up so many thoughts that would doubtless feature within future masturbatory fantasies for me. My purpose now though, was to continue caning Suzy-Jayne and as I once more slipped her panties to mid-thigh and tucked her skirt out of the way, I again savoured the sight of her delicious bare bottom which so invitingly awaited my further attention. After the first few strokes had been applied to this already well punished bottom, I delighted in the sight of her own cock rising to the occasion, confirming to me that she was enjoying being caned by me as much canlı bahis as I was enjoying caning her. Pausing for a while after every half-dozen or so strokes, I ran my hand over her buttocks, kneading the soreness of her hardened flesh, teasing my fingertips around her anus as her erect cock made me desperate to reach between her legs and work it with my hand or better still, slip it into my mouth and suck the life out of it. I somehow though, sensed that within this ‘professional’ relationship, something more was developing, something I certainly didn’t want to jeopardise by overstepping the mark. Despite my yearnings, I left her cock alone satisfying myself with the thought that I would soon feel the warmth of her sumptuous mouth as she clamped it around my own cock when the cane finally came to rest.The following weeks saw me return to see Suzy-Jayne regularly (or just Suzy, as she told me she preferred to be called as we got to know each other better). She explained that she had chosen the name Suzy-Jayne from the first names of two girls she’d particularly admired at school and who she wanted to be like. Vanilla sex had really never done that much for me, perhaps even bored me, in truth my mind had always been full of what to some would be considered ‘bizarre fantasies’ which helped me get by, but meeting Suzy had changed that for me. She was real, beautiful, deliciously sexy, uninhibited and someone whose company I simply couldn’t get enough of. Despite having holiday owed to me, my boss was becoming increasingly unhappy about the number of afternoons I was requesting off, so I had little choice but to change my routine and visit Suzy in the evenings after work. With late afternoon traffic on the M25 notoriously heavy I made the journey most weeks often struggling to reach Suzy’s house before 6.30 pm. She didn’t mind though, and with me being her final client of the day I often stayed well after the two hours I’d paid for. Usually after each session had finished, we would sit and talk, drink coffee and sometimes order food for home delivery. For the first time in my life I found myself able to talk about my fantasies openly to someone. Although young, Suzy was worldly-wise and unflappable and as she shared some of her own fantasies with me I so hoped that she would want it to be me who helped her bring them to life.The description she had given of herself when we had first met at Blake’s party was totally accurate and as well as being a ‘professional submissive’, Suzy was without doubt a genuine lifestyle submissive craving the punishments that were meted out to her. It was around three months after I had first met Suzy and probably after around ten or so visits to her house when she told me her feelings for me. We’d had yet another wonderful session with me spanking and caning her delicious bottom in the schoolroom and then through to ‘the other’ room where, with her secured to the St Andrew’s Cross, which we hadn’t used before, I continued to cane her vigorously before eventually switching places to complete the session with Suzy spanking and caning me as I took my turn being tethered to the cross.At the conclusion of my punishment she slowly massaged my throbbing buttocks with one hand as the other played with my cock and balls as she nervously told me “I really like you Toby, really like you and get excited when you phone to arrange a session.” She kissed my buttocks, as I had done hers on many occasions, and from my tethered position I paused before responding as a smile spread across my face, “Do you mean you find me attractive, that you fancy me?” I asked. Suzy answered coyly as she continued to work my cock, “Yes, of course I do,” she added, her voice little more than a whisper. I guess that over time I had left her in no doubt of the appeal that she held for me, making her aware that I found her sexier than any of the natural born girls I had ever known. I’d even told her that I frequently masturbated about her which she seemed extremely pleased about. Unwittingly I had perhaps put the ball in her court, totally unaware of the relationship she had with her other clients, even unaware of her true sexuality. Although she sometimes talked about the punishments she had given and received, Suzy rarely divulged anything about her other clients, something I always respected. I asked her about her sexuality, “If you fancy me does that mean you’re gay or straight?” She pondered her reply, before saying, “I’m a girl and you’re a boy so I guess that makes me straight but I do like girls a bit too, so I guess that kind of makes me bi.” Perhaps I should have accepted Suzy’s confession with a sense of pure delight, been ecstatic even. Perhaps in a way I did, but despite having to admit to myself that I was besotted with this beautiful T-Girl, I’d probably have felt more comfortable if she’d told me that I was just another paying client who she put on an act for, and who in reality, had no sexual interest in blokes. At least that would have protected me from myself as deep down I had to admit that I was just a little scared at what was happening. I had little doubt that I would have bahis siteleri happily continued as just a paying client escaping from my everyday life for a couple of hours a week with my perfect fantasy girl and guiltlessly including her in my wildest masturbatory fantasies. In truth though, I knew that following Suzy’s confession, I had more chance of rowing the Atlantic in a bathtub without a plug, than resisting this beautiful T-Girl’s attentions. With my wrists and ankles released, I stepped back from the St Andrew’s Cross and embraced Suzy, simultaneously brushing her long blonde hair away from the side of her face as I placed my lips against hers, my buttocks deliciously sore from the caning she had given me. As we kissed, I did what I’d wanted to do for so long and reached inside her panties to wrap my fingers around her cock, enjoying the feel of it swelling within my grasp as I did so. “I guess I finally get to suck this now,” I whispered to her with a smile. Moments later I found myself following her out of the ‘other room’ and rather than through to the shabby, old sofa in the ‘schoolroom,’ I was privileged to get my first view of Suzy’s bedroom. In truth, it was a fairly ordinary bedroom, nothing flamboyant, with a double divan and a large, chrome clothes rail on castors displaying the uniforms of her trade as well as some of her everyday clothes. The remainder of her clothes I guessed were contained within a built-in wardrobe which stood next to the chimney breast still displaying the original Victorian fireplace from the time the house was built. Dried flowers contained within the fireplace and a dodgy coat of black gloss paint, a perfect indication that it was purely there for decorative purposes nowadays.My true interest though, was not in the furnishings, decor or architecture of the bedroom, but of course, in Suzy herself. Suzy was well acquainted with certain parts of my anatomy already, but as I slowly stripped naked I so hoped that I didn’t disappoint. Perhaps taking her cue from me, Suzy began to remove the school uniform that was so much her trademark with me. With only her padded bra remaining, we kissed on the bed as I worked her cock with my hand, aroused by the imminence with which it would likely enter my mouth. I had no concern regarding her lack of natural breasts, I had never been a breast guy and even if I had been, her magnificent bottom more than made up for this. In any case, I’d been with girls before whose mammaries were little more than ‘mosquito bites’ and it had never bothered me, as for me, a pretty face and a decent bum was what really mattered. Rosalind though, had a pretty face, large breasts and a more than decent bottom, doubtless a bonus for some guys but for me it was really only the face and bottom that truly mattered.After a long time wanting to, the moment finally arrived where I was able to slip Suzy’s swollen cock into my mouth. It was a first for me, my own cock had been sucked countless times, but before I’d met Suzy I had never imagined or believed that one day I would actually place an actual cock in my own mouth. As I tasted the flavour I had no regrets, Suzy’s cock was so much what I wanted, so much what I needed at this very moment, and tasted delightful as she once more worked my own cock with her hand, I relished the thought of her cum filling my mouth and me not wasting a single drop as I swallowed it down. Suzy though, had other ideas, “I’d like you to fuck me Toby, give me another caning then properly fuck me.” Suzy clambered off the bed and went to fetch a cane as I cast my eyes over her near naked body. She was perfect, just perfect and I was thankful at this moment that the many hours of training I had put in to maintain my fitness for the sports I pursued had given me a well-toned body of my own. Yes I had wanted to suck her cock dry, but there’d doubtless be plenty more opportunities for that and well, fucking her magnificent arse had frequently featured in my fantasies.As I quickly contemplated indulging in anal sex with Suzy, I was aware that I had only experienced this often frowned upon practice, once in my life. Although I’d always wanted to, I’d never requested this with girlfriends before Rosalind, and early on in our relationship Rosalind’s nymphomaniac tendencies encouraged me to ask. It was a flat refusal though, “No way, it’s not what your bumhole’s for, it’s disgusting,” she had insisted, and that was that. She later confessed that a previous boyfriend had given her a hard anal fucking, she’d been in agony for days afterwards and promised herself that she would never let it happen again.Curiosity though, had driven me to make use of one of the many tacky advertising cards displayed in a phone box near Victoria Station, ‘Stunning young brunette with ‘O’ and ‘A’ levels awaits your call,’ or something similar to that, it said on the card. Well, I made the call and after a five minute walk down a dreary side street, found myself in a seedy attic flat about to sample my first experience of anal sex with a brunette that wasn’t quite as young as the advert suggested and although passably decent in the looks bahis şirketleri department, fell someway short of my idea of ‘stunning’. Still, it was another box on my bucket list ticked! As Suzy returned with the cane and a tube of lubricant, she handed them to me and asked me if I was okay with caning and fucking her. It was of course, a question that didn’t really require an answer and as she placed her hands on the duvet as she bent over the foot end of the bed, I allowed my hand to explore the surface of her buttocks as I gently eased them apart to reveal the neat puckered entrance that would soon accommodate my cock. Despite the duration and severity of the punishment I had already administered, Suzy’s buttocks showed few visible marks, she was certainly resilient in just about every way, but beneath the surface of her skin the feel of hard, swollen ridges bore testimony to the severity of what she had already endured. Offering the cane to the centre of her bottom once more, I asked her how many strokes I should give her, “Twenty four hard ones, in quick succession and then fuck me,” she replied without hesitation.With my eyes focused on the centre of Suzy’s buttocks, I began to cane her, savouring the sound of the cane cutting through the air and the crack of it meeting its delicious target. I counted the strokes in my head and silently mouthed each number as I caned her. As one stroke followed another Suzy contorted and groaned to the challenge. With all twenty four strokes administered, I discarded the cane as Suzy clambered to kneel on the bed as I lubricated my erect cock from the tube and offered it to her beckoning hole, my eyes drawn to her own awakened cock hanging vertically between her legs, imagining the feel of it as it filled my own anus when positions were at some point reversed. This would be another first for me. As I began to drive myself into her, I knew that I was about to embark on a new and amazing relationship which just three months earlier I would never have believed possible.It was a relationship that was to last for more than four years, very secret, very private. Suzy was never to become part of my social circle, we both preferred it that way. In fact, for the entire duration of our relationship she only ever met one of my friends and that was by pure accident. Suzy sometimes stayed at my flat at weekends, always arriving dressed in her ‘normal’ clothes, just like any pretty girl you would see out and about. Any curtain-twitchers would have nothing much to gossip about other than that a gorgeous young woman had arrived at the door of number 122A. One Sunday morning though, while Suzy was taking a shower, Tom, an old school-friend who now lived at the opposite end of the country called in by chance with his fiancé Jo, as they were visiting the area. As I invited them into the flat I had no time to warn Suzy before the bathroom door began to open. With my heart in my mouth, I imagined her stepping out completely naked, cock and balls proudly displayed as she enquired what I’d like to do with her ‘nice, clean body,’ something she often said after she’d showered. Thankfully, on this occasion Suzy had put on my bathrobe and nothing untoward was revealed nor did she open her mouth before realising we had guests!With little opportunity to avoid their invitation of joining them for a pub lunch we did our best to present ourselves as a normal couple who’d met at a party, with Suzy feigning to be an accountant’s secretary when asked what she did for a living, embarrassingly flannelling her answers when asked what her job entailed. With Tom and Jo out of earshot, I did manage to whisper to Suzy that I rather fancied the idea of her as a naughty secretary and would have to think up a suitable punishment.Whilst in the pub, Tom and me went to the bar to order some drinks, while the ‘girls’ found somewhere to sit. Tom obviously had no inkling that Suzy was transgender and said, “Wow, you’ve got a real cracker there, take my advice and do what I’ve done with Jo and get a ring on her finger before someone else snaps her up.” Tom had never been particularly successful with the opposite sex and as I glanced towards lank-haired, bespectacled, plain looking Jo, I couldn’t help but raise a smile. For the most part, Suzy and me preferred to keep ourselves as private as possible. We did though go out together to restaurants, to see movies, even holidayed in Cornwall and the Lake District. It was in fact, an almost perfect relationship cemented together by our mutual passion for corporal punishment and especially the cane. It truly was an amazing four years.I guess they say that all good things must come to an end and when Suzy was reconciled with her family after years apart due to their disapproval of her becoming transgender, it seemed the time was right for a change for both of us. In truth, I knew that we had the kind of relationship that simply couldn’t go on forever.Although she had never discussed it that much, I knew the rift with her family was a major issue in her life and with her parents and sisters having relocated to the North a few years earlier, I didn’t want to stand in her way of joining them. In any case, I knew deep down that I needed to change things sooner rather than later and perhaps enter a more conventional relationship that I didn’t need to keep secret. The end

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Les chroniques érotiques d’Emilie

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Les chroniques érotiques d’EmilieUn week-end parfait…l’année qui a suivi la découverte de notre homosexualité (voir l’histoire Ma première fois…) nous sommes allé passé un week-end au Puy du Fou, en compagnie d’Alex le frère de Justine (il venait d’avoir son permis de conduire), et Line sa copine……Tout était réuni pour que cela soit une réussite, du beau temps, de belles attractions et surtout pas trop de monde ce qui nous a évité des attentes interminables…….le samedi soir après avoir regardé la Cinéscénie , spectacle grandiose en plein air, nous avons rejoint nos chambres, Justine et moi; pour limiter les frais (l’excuse pour cacher des choses peu avouables…mais si bonnes…!) faisons chambre commune avec un grand lit pour nous deux. Nous étions sur le lit, en culotte et T-shirt, en train de “papoter” sur la journée et le spectacle que nous venions de voir… Quand notre attention est attirée par des halètements venus de la chambre d’à coté, occupée par Alex et Line, la main devant la bouche nous pouffons de rire… l’œil amusé… complices, avec une même pensée : “ils sont en train de le faire”… …Nous sachant tout a coté, Line essaye de se faire la plus discrète possible, mais Alex doit être “un très bon coup”…et il lui “fait trop bon” car elle semble ne pas pouvoir se retenir… rapidement ses halètements se transforment en gémissements et emplissent notre chambre… Bien sur notre conversation est arrêtée.. tout ouïe a ce qui se passe a côté… avec une excitation qui monte et qui se change rapidement à une envie irrépressible de jouissance… et dans nos ventres une chaleur de plus en plus grandissante……Mais la jouissance de Line est trop forte, Alex “la fait de plus en plus belle”, et au moment de l’orgasme, Line ne peut retenir un râle de plaisir “à réveiller tout l’hôtel”….De ses sons plus qu’érotiques… des images que nous en faisons… il n’en faut pas plus pour que des idées et des envies cochonnes nous prennent… Nos tétons pointent, nos chattes sont déjà bien mouillées… plus besoin de se parler, l’on se connait trop bien; d’un même mouvement illegal bahis culottes et T-shirts volent dans la chambre et Justine en profite pour prendre l’initiative… …Sa bouche descend sur mon cou, provoquant de délicieux frissons…. gobe mes seins, les lèche, les suçote, les taquines… Puis descend le long de mon ventre, s’affaire dans mon nombril, continue à descendre lentement pour arriver sur ma coquille qu’elle ouvre de sa langue; léche , la nettoie de son jus… relève la tête, me sourit, remonte vers moi, pour m’embrasser et me faire gouter ma liqueur…. Puis Juju se couche sur le dos, ferme les yeux…. a mon tour je m’occupe d’elle, l’embrasse, lui suce la langue, ma bouche descend sur ses seins tandis que ma main lui caresse le ventre. Je suce ses tétons avec ravissement, les titille, les pinces…. ma main continue à descendre, écarte sa petite fente, trempe, y trouve une hampe et un bouton tout gonflé. je le masse avec douceur, comme elle aime que je le lui fasse, encore… et encore. Quand je sens qu’elle vient, je masse aussi fort que je peux. Sa bouche s’ouvre à la recherche d’air, ses yeux s’écarquillent… j’y plante les miens… alors que des gémissements sortent de ses lèvres, je la bâillonne de ma bouche et de ma langue. Je ralentis, me fais plus gentille sur son clito… et c’est l’extase pour Juju, dans son orgasme, ses yeux me donnent tout l’enchantement qu’elle ressent… ma main trempée abandonne son bijou… et comme elle, je lui fais gouter et lécher son propre plaisir……Nous sommes serrées l’une contre l’autre, les yeux fermés… Justine reste un long moment sans bouger, puis me donne de petits baisers… le front, mes yeux, picore mon nez, suce le lobe d’une oreille…. puis le bas-ventre… NON… ! PAS ÇA… !! je vais crier de plaisir, quelle honte demain devant Line et Alex ! Trop tard… ! Sa langue s’introduit dans ma fente toute trempée, ses mains serrent mes fesses… je deviens prisonnière de sensations incontrôlables qui se propagent dans tout mon corps. La chaleur monte dans mon ventre, rayonne dans mes seins. Je halète, murmure des mots, illegal bahis siteleri l’encourage… je grogne, balbutie… et quand à mon tour “j’explose” sous sa langue coquine, j’écrase mon visage dans l’oreiller pour étouffer mes cris… Lentement, mon corps se détend, alors que de sa langue Juju caresse mes lèvres, m’ouvre la bouche et me la donne à sucer. Puis enlacées l’une contre l’autre, cuisses dans entrejambes, nous nous endormons bienheureuses… Alors que dans la chambre d’à côté Line est remonté pour un tour de plus sur son manège a plaisir… La nuit sera courte……Au petit déjeuner, les yeux cernés, fatigués d’avoir trop jouis, nous nous dévisageons avec des petits sourires qui en dise plus long qu’une longue discussion……Cette deuxième journée fut aussi riche en émotions et sensations que la précédente, nous avons pu faire le tour des attractions manquées la veille et visités les différents sites……mais voila toutes les bonnes choses ont une fin;… Et il a fallu reprendre la voiture la tête pleine de bons souvenirs……Voilà !… nous sommes sur le chemin du retour qui s’annonce long puisqu’il nous faudra plusieurs heures pour rejoindre notre “port d’attache”……La nuit est tombée…La fatigue du week-end, le peu dormi de la nuit dernière (hé oui ! on ne peut pas tout faire, baiser et dormir^^ !) le ronronnement de la voiture, au demeurant très confortable… tout le monde est assoupi, sauf Alex attentif a sa conduite, écoutant de la musique sur la radio de bord… J’ai également remarqué qu’il a relevé le rétro intérieur pour ne pas être ébloui par les véhicules venant de l’arrière. De plus, ne nous entendant plus, il a jeté œil à l’arrière et constaté que nous dormions… Enfin !…pas moi… je rusai… car j’avais envie de faire jouir Justine qui habillée d’une robe courte légère très échancrée, est venue s’appuyer sur mon épaule et somnole… nous sommes cachés de l’avant par le siège de Line (qui dort aussi)… la robe de Juju est bien remontée, et montre sa culotte… d’où mon excitation et mon envie de la toucher, la caresser, la faire jouir… canlı bahis siteleri Je pose une main sur sa cuisse, tout en lui murmurant un scénario érotique à l’oreille, qui la fait émerger les yeux fatigués … devant sa passivité je pousse mon audace et lui caresse les seins et les tétons qui se sont érigés (elle ne porte pas de soutien) par l’échancrure. Doucement ma main remonte jusqu’à son entrejambe… écarte sa culotte, je la tire pour la faire un peu descendre (elle lève légèrement les fesses pour me faciliter la tâche…voyez qu’elle a envie la petite polissonne….!!) j’insère un doigt entre les lèvres de sa chatte déjà bien mouillé et avec sa cyprine je caresse son clito. Juju respire plus fort et plus rapidement… j’accélère mon mouvement sur son bouton d’amour… J’ouvre l’entrée de son vagin … et pousse un puis deux doigts a l’intérieur… Juju halète, je la sens mouiller…ma main est trempe…. J’aurais voulu l’embrasser, goûter sa langue et la caresser partout mais je dois me retenir, vu la situation on ne peut pousser plus loin les caresses…. L’entendre jouir silencieusement m’excite au plus haut poin…je suis sur le point de jouir sans me toucher, rien que les cuisses sérrées !! je suis trempe…!! ce qui me pousse à accélérer le mouvement de mes doigts. Elle émet de petits gémissements qui (merci mon Dieu !) sont étouffés par le son de la musique… j’accentue mes caresses, alternativement, lui massant le clito et la pénétrant avec ferveur… Je sens qu’elle est prête à partir “dans un autre monde” et a crié son bonheur, je lui murmure(pour la discrétion) de se mordre le poing au moment de l’orgasme … elle ferme les yeux ,me serre la cuisse de son autre main… se raidit…tremble…et au moment où elle explose, une giclée de cyprine coule sur mes doigts… Ses yeux me remercient. Sa jouissance m’a tellement excité que je suis partie en même temps qu’elle, avec elle, en faisant un effort surhumain pour contrôler ma jouissance et mon orgasme … et mes cris… mais ma culotte et mon jeans portent les stigmates de mon plaisir… (les sièges aussi doivent être humide…!) Revenue à nous, toujours blotties l’une contre l’autre, nous nous sommes endormies pour de bon, fatiguées de toutes les émotions de ce week-end parfait… Prêtes à revivre les mêmes choses……Mais cela est une autre histoire… !

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Monsieur P. (épilogue)

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Monsieur P. (épilogue)Monsieur P. (épilogue)Il ne voulait que regarder pendant la tétée !Hé, Ho ! Qu’est-ce qu’il te prend, là ?Et bien… Tu n’avais pas besoin de tout le reste… C’est toi qui as voulu que je te raconte… Et, il me semble que ça t’excite grave !Nous étions au lit, Didier et moi, nus. Fanny dormait placidement. Didier m’avait demandé de lui raconter tout, au moindre détail. Et là, il faisait semblant d’être outré par mon comportement auprès de Monsieur P. Mais son érection le trahissait :Suce-moi, Sandrita !Et je ne te raconte pas la suite ?Oh, non… je pense que j’en ai assez…Figure-toi, que moi, j’ai très envie de t’expliquer ce qu’on a fait dans la salle de bains !Putain, Sandra ! Il t’a bouffé la chatte, il t’a fouillée avec sa paluche, tu lui as pissé dessus… Il n’était pas content, au quoi ?Très… Il était aux anges, chéri… C’est moi qui voulais le récompenser de toutes ses attentions… En plus, tu as oublié qu’il m’a fait plein de bonnes choses aux pieds !Bah ! Des conneries… Que des conneries.Que tu peux être bête quand tu t’y mets !Sûr ! Tu sais très bien qu’il y a que moi qui te fais jouir comme une… Ouf ! Allez, suce-moi !Avant, tu vas m’entendre… Branle-toi, si tu veux, en attendant.Salope !«  Je mis un peignoir et j’avais conduis Gilles à la salle de bains, le lui avait donné une serviette et montrai où était le savon et le shampoing. Je retournai dans la chambre et après passer la serpillière, ouvris les fenêtres pour aérer notre dortoir. Fanny continuait de dormir comme dorment les bébés comblés. Je pris son petit lit et le transportai dans la pièce qui était placée en face de la salle de bain et qui nous servait de bureau. Je laissai la porte ouverte et, sans toquer, entrai dans la salle d’eau. Monsieur P. était encore dans la baignoire, sous la douche, entièrement savonné, de la tête aux pieds. Un énorme ours polaire !ça vous prend du temps, la toilette, Gilles !Oh ! Vous êtes là… Je m’excuse… Je finis tout de suite.Ne vous inquiétez pas… Coupez l’eau, s’il vous plaît… Je vais vous savonner le dos.C’est très gentil à vous… Permettez-moi de me rincer la tête, au moins…J’ai les yeux qui me picotent…Il le fit et, ensuite, me demanda de lui passer ses lunettes. J’ôtai mon peignoir et entrai dans la baignoire. Il fit un geste pour me toucher, mais je l’arrêtai net :Chut ! C’est moi qui vais s’occuper de votre corps dodu… Passez de l’autre coté…Oui, comme ça. Appuyez vos mains contre le carrelage… Hum, parfait !Son dos était immense, tel un tapis persan. Il n’ y avait un seul centimètre de peau qui ne soit pas recouvert de poil. Il avait des fesses rebondies comme celles d’une grosse maman africaine. Je pris une bonne dose de savon dans ma main et lui étalai en long et en large, de sa nuque jusqu’au creux de ses reins. Il ronronnait de plaisir. Pour moi, c’était très agréable. Mais, ma face la plus coquine, commençait à me dicter d’autres consignes, plus sadiques. J’avais les ongles un peu plus longs que d’habitude et, presque sans m’en rendre compte, je me suis mise à le griffer, avec les deux mains, du haut en bas, pas trop fort, mais…Aïe ! Qu’est-ce que vous faites ?Je vous frotte le dos, nounours ! Ça ne vous plaît pas ?Je… Aïe ! Siii ! Ça me plait… C’est bizarre… Nounours, je crois savoir ce illegal bahis dont vous avez besoin !Madame…Sandra… Je suis très confus…Chut ! Penchez-vous en avant … Écartez les jambes !Le volume corporel de ce gros géant poilu occupait trois quarts de la surface de la baignoire. Nous avions de l’eau savonneuse à hauteur de nos genoux. Je l’observai quelques instants. J’avais réussi à lui laisser le dos couvert d’égratignures, certaines saignantes. Je trempai mes mains dans l’eau et les lui rinçai. Il geignait faiblement. Ensuite, je lui saisi les longs cheveux et tirai sa tête vers moi :Je veux que vous disiez une chose, Gilles…Aaouh ! Oui…Que voulez-vous que je vous dise ?Que vous êtes ma petite chose ! Que je peux faire tout, absolument tout, avec vous !Ouiii ! Je suis votre chose ! Votre esclave !Bien, très bien… »A cette hauteur du récit, Didier ne put s’empêcher de me sauter dessus. Moi, j’étais tellement chaude que je ne lui offris aucune résistance. Il m’écarta les cuisses et plaça mes jambes sur ses épaules. La pénétration fut brutale, aucune caresse, aucun mot doux, aucun préliminaire. Il me pilonna comme un fauve pendant quelques minutes, en me regardant droit dans les yeux, en me répétant sans cesse : « Tu es ma pute, tu es ma pute… Ma pute à moi ! » Je gardais, aussi, les yeux grand ouverts… Je sentais l’orgasme arriver au galop. J’avais envie de mordre, de griffer. Il le vit et me tint mes bras par les poignets contre le lit. Je lui criais : « Ne jouis pas dans moi, salaud ! Je suis en pleine ovulation ! » Il respecta ma demande car il sortit de moi ipso-facto, coupant net ma jouissance…Mais pas la sienne : « Vite, vite ! Donne-moi ta bouche !Que c’est bon d’être jeune ; tu es dans une position tout à fait acrobatique et, à la seconde qui suit, tu te retrouves à genoux, te tenant les seins à deux mains, prête à te faire arroser de sperme chaud ! Didier m’avait toujours surpris par ses puissantes éjaculations, pas seulement par la quantité de jus qu’il était capable d’expulser, mais par la force et la consistance de ses jets ! Je n’eus presque le temps de fermer les yeux que mon front reçut l’impacte de son foutre. Je ouvris la bouche tant comme je pus, mais, décidément, ce ne fut que mon visage qui ramassa toute sa semence.« Tu l’as fait jouir, au moins, le gros lard ? » Je ramassai le sperme avec mes doigts et le portai à ma bouche gourmande, savourant son goût acidulé : « Enfoiré, bah !, bien sûr que je l’ai fait jouir ! »Didier momentanément calmé, je me suis levée et suis allée me rincer la figure. En revenant dans la chambre, je le trouvai assis sur le lit, en train de fumer un joint. Je lui pris et après en tirer deux taffes, je continuai mon récit :Par derrière, je m’étais collée à lui, frottant mon minou contre ses fesses. Je me suis penchée en avant, écrasant mes seins contre son dos. Je passai mes bras autour de son torse et saisis sa poitrine, deux mamelles flasques, presque aussi grosses que les miennes. Avec mes pouces, indexes et majeurs, je lui pinçai et tortillai ses tétons ; très fort, aussi fort que ma force me le permettait. Il criait comme un cochon à l’abattoir. Mais, je savais reconnaître ce genre de cris. Je savais qu’il voulait que j’aille encore plus loin, qu’il y prenait un plaisir inouï. Néanmoins, je voulus illegal bahis siteleri vérifier l’état de son excitation et, cherchant sa bite sous le ballon de son ventre, je pus vérifier qu’il bandait comme un âne, un petit équidé, certes, mais bien trempé. Je lui branlai énergiquement sans arrèter de lui torturer le mamelon.Oh ! Que c’est bon, Sandra ! Mmm ! Continuez, continuez ! Je vous en priiiie !Doucement, nounours… Je n’ai pas encore fini. Il essaya de se relever et se retourner. Non, reste comme ça ! Je vais m’occuper de ton gros fessier !Qu’est-ce que vous allez faire, Sandra ? Me donner une fessée ?Tiens, tiens… Je n’y avais pas pensé… Vous pensez la mériter, la fessée ?Oui, Madame… Je suis votre chose. Je mérite tous les supplices.Je n’avais jamais mis des claques sur les fesses d’un homme. J’en avais reçues, maintes fois… J’adorais ! Gilles, aussi, il avait adoré ! Je ne sais plus combien de fois mes mains l’avaient claqué, mais je sais, par contre, que j’arrêtai parce que j’avais mal… Lui, il reniflait comme un bœuf, sanglotait comme une mauviette et suppliait comme un accusé passé aux aveux. Je pris pitié de lui et lui caressai les fesses joufflues et rougies. Alors, je pris un peu de savon et le mouillant de mes doigts, je me suis mise à lui fouiller l’anus :ça va vous plaire, mon nounours !Tout mon être vous appartient, Madame… Est-ce que je peux vous appeler « Maîtresse » Oui. Non seulement tu peux, mais tu dois m’appeler ainsi !Hum ! J’adore ce que vous faites, là, ma maîtresse !Ainsi, petit à petit, je lui dilatai sa petite fleur noir. Je lui demandai de s’écarter les fesses, mais pour ceci, il fallait rectifier nos positions. Je sortis de la baignoire et il se plaça assis sur ses cuisses et son cul vers le haut. Je pris, d’un tiroir en dessous du lavabo, le tube de vaseline et lui appliquai directement dans son anus. Ensuite, mon pouce collé au bout de mes doigts, je procédai à lui insérer lentement, donnant à ma main le mouvement de rotation gauche-droite, droite gauche :ça me fait un peu de mal, maîtresse.Voulez-vous que j’arrête ?Non…Vous savez ce qui est bon pour moi, n’est-ce pas ?C’est très bon pour moi, aussi, je vous assure.Je restai un petit instant avec la partie la plus large de ma main tournant autour de son sphincter. La douleur avait déjà cédé sa place au plaisir. Il murmurait des voyelles liquides, ses chairs trémoussaient . Le moment était venu d’enfoncer ma main en lui :Arrrrgggg ! Maitreeeeesse ! Que c’est booooon !Ma main avait disparue totalement dans ses entrailles, mais elle ne voulait pas s’arrêter. Je lui enfonçai jusqu’à la base de mon coude, pour, ensuite la retirer et renfoncer successivement… Dix, douze… quinze fois ! Finalement, je la lui enlevai.Quel cochon que vous faites, Gilles ! Il continuait dans la même position, les mains toujours en train d’écarter ses fesses. Levez-vous, je vais vous rincer.Je me suis lavé la main et le bras, pris le pommeau de la douche, ajustai la température de l’eau et le rinçai comme j’avais vu le faire aux hippopotames au Zoo de Mulhouse. Ça va, Gilles ? Vous n’avez pas froid ?Non, je n’ai jamais froid.D’accord… Je le disais parce que votre zizi est tout rétréci. Ça ne vous a pas plu mon traitement, Monsieur P ?Oh que si ! Excusez-moi, j’ai eu un coup canlı bahis siteleri de blues.Eh, bien… pourquoi ça ? Je vais bientôt y aller… retrouver ma vie de m…Vous regrettez d’être venu ? Je lui posai la question en lui caressant le ventre.Non, ma chère Madame. Ni dans le meilleurs de mes rêves, j’aurais imaginé autant de bonheur.Restez comme ça, ne bougez pas. J’arrive…Je pris un petit tabouret de la pièce à coté et en passant zieutai que pour ma petite fille tout allait bien. C’était le cas. Je me suis assise en face de Monsieur P. Je levai la vue vers lui et compris que quelque chose le gênait.Attendez, je comprends… Vous voulez me voir faire et la glace elle est toute embuée.Oui… Mais aussi… Mon gros ventre ne me laisse pas vous voir…Ha, ha, ha ! Coquin ! Venez, sortez de la baignoire et mettez vous ici, à coté de moi.Tandis qu’il sortait, avec grande difficulté, de la baignoire, je pris la serviette et essuyai toute la vapeur qui couvrait le grand miroir du lavabo. Une fois bien installés, je lui pris le sexe et lui décalottai. Je le soulevai et lui léchai les testicules, presque aussi gros,voire plus, que son pénis. Je tournai la tête vers le miroir et vis que son regard fixait mes seins. Mon horloge mammaire m’indiquait que l’heure de la prochaine tétée était en train d’arriver : des fines gouttelettes perlaient de chacun de mes mamelons :Maintenant, c’est moi qui veux votre lait, mon nounours !J’espère que le pauvre Monsieur P. ait eu la chance de se faire sucer comme je l’avais sucé. J’ai mes doutes, mais, la vie est comme ça et les événements qui suivirent à cette rencontre ne me permirent de le savoir. Je pris toute sa bite dans ma bouche et ma langue habile ne tarda pas à la faire grossir. Mes mains lui caressaient les fesses. Je l’entendais gémir. Son gland n’arrivait à peine à me caresser la glotte mais je sentais qu’il gonflait et que bientôt il allait décharger :Sandra… Maîtresse… Je vais jouir !Il fit un geste, comme s’il voulait se retirer de ma bouche, mais je lui enfonçai mes ongles sur ses fesses le poussant dans moi, davantage. Et il éjacula. Et je fus surprise par la quantité de sperme qui se déversa dans ma gorge. Si surprise, qu’une bonne partie de son foutre erra le chemin vers l’œsophage et me sortit par les narines, me provoquant une quinté de toux automatique.Putain, nounours ! Oups ! Pardon… La citerne était pleine, mon gros !Excusez-moi, Madame… Je ne savais pas… Je me suis mouchée avec la serviette et je lui nettoyai la queue avec ma langue. Presque au même moment, les pleurs de Fanny nous retournèrent à la réalité de mon rôle de maman.Et c’est tout ?Ça ne te paraît pas assez, Didi ?Ha, ha ! Tiens, touche mon petit frère ! Il est à nouveau d’attaque !Tu es un obsédé… Tu ne me demandais même pas pour l’argent du loyer !C’est vrai… Mais j’ai vu, en rentrant, que l’enveloppe était posée au même endroit que je l’avait laissée.Certes, mon maquereau ! Il n’a rien voulu savoir de l’argent et il nous a promis de garder le même loyer, sans aucune augmentation et pour le temps que l’on voudra.Et sans aucune autre prestation en espèces de ta part, je suppose…Tu supposes mal, salopard !Houuuu ! Raconte, bébé !C’est plutôt toi qui devrait me raconter…Arrête tes simagrées ! Que t’a-t-il demandé d’autre, ce gros lard ?Avant partir, il m’a dit que tu lui avais raconté que j’aimais beaucoup les chiens !Oups !Oui, oui…Oups ! Et il a ajouté qu’il avait un très beau berger allemand…Est-ce que cette histoire se termine comme ça ? A vous de me le dire.Bisous,Sandra M.

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Vacances chez Catherine ma voisine (7)Nous voici revenus de notre sorti en forêt et à peine arrivés nous nous jetons sur le frigo pour chercher à manger. En moins de dix minutes ma belle Catherine a préparé un petit repas sympa que nous engloutissons rapidement. Un petit café et je pars sous la douche pour me rafraichir et aussi pour enlever l’odeur du sexe que nous trainons avec nous. Je prends mon temps et je ressors en boxer pour aller prendre des vêtements dans la chambre. Face à moi, Catherine est entièrement nue et me sourit en s’avançant et elle me baisse mon boxer en disant :”Chez moi c’est à poils tout le temps ! Je veux voir ta belle bite et jouer encore avec”Je la laisse faire et me retrouve nu comme elle et aussitôt nous nous enlaçons et nos bouches se collent ensemble pour un baiser langoureux. D’une main elle prend ma bite qui commence de se raidir de nouveau et de l’autre elle me doigte le fion sans attendre. Je fais de même en glissant deux doigts dans son petit trou encore dilaté et l’autre main pince et tire un tétons ce qui la fait pousser un gémissement.Elle m’entraine vers la chambre et me fais me mettre à 4 pattes sur le lit et sa langue vient me lécher l’anus sans attendre. Je n’ai pas le temps de dire quoique ce soit que je sens un gode se poser sur ma rosette et elle me l’enfonce sans avoir besoin de forcer. Il me semble gros mais mon cul ne fait plus trop de différence, il s’est habitué à ces jouets et en un instant il est rentré à fond.”Alors mon gros cochon, tu le sens celui-ci ? 24 cm d’enfilé dans ton troufion et tu aimes non ?””Oui ma salope chéri, j’adore, limes moi le cul fais-moi jouir encore”Elle me lime un peu et rapidement je sens mon jus de cul qui commence à couler le long du gode. Elle lèche illegal bahis un peu puis m’enfile une ceinture qui bloque le gode dans mon cul et me demande de m’allonger sur le dos en le gardant bien profond. A peine retourné elle enfourne ma bite dans sa bouche et me pompe comme une reine faisant rapidement monter mon plaisir. Mais elle s’arrête en me sentant prêt à gicler et se place au-dessus de moi pour empaler son cul sur ma bite. Elle se laisse coulisser bien à fond et ne bouge plus. La sieste est bien crapuleuse et je me demande quand même si je vais encore arriver à lui donner du jus depuis le temps qu’elle me vide les couilles.Elle sourit, fière d’elle et commence un bon va et vient sur ma bite lubrifié par son jus de cul qui dégouline comme le mien. Elle ne met pas longtemps à jouir et s’effondre sur moi ses beaux petits seins sur ma poitrine et sa bouche sur la mienne pour une pelle phénoménale. Au bout de quelques minutes elle se retire et me demande de me retourner pour pouvoir me limer le fion, ce que je fais sans hésiter car j’ai envie de sentir son gode me ramoner les intestins.Après avoir enlevé la ceinture elle commence doucement à me limer les entrailles ce qui m’excite et me fait pousser des gémissements de plaisir. Mais tout à coup elle arrête alors que j’étais presque arrivé au point de non-retour et je la sens qui essaie de me rentrer un deuxième gode dans le cul. Je sais qu’elle va me l’enfiler puisque sa main est passée tout à l’heure mais je ressens de nouveau une douleur au cul quand elle l’insert. Sans précautions elle me lime le fion avec les deux gode en même temps en en faisant rentrer un tout en ressortant presque l’autre. Mon cul me brule rapidement et je jouis en criant. Ma bite arrive à balancer illegal bahis siteleri encore un peu de foutre et mon cul se mets à dégouliner comme jamais.Elle retire les deux godes ensemble dans un bruit de succion et plonge sa tête pour lécher mon jus qui ressort par vagues de mon cul sans que je puisse l’empêcher. Quand enfin mon cul se calme et vient au-dessus de moi et m’ouvre la bouche pour tout recracher dedans et me demande d’avaler. Pendant que je déguste mon jus de cul elle lèche et avale les trois gouttes de foutre qui on coulés puis elle s’allonge à côté de moi jambes grandes ouvertes sans bouger.Je la regarde en souriant et attends de reprendre mon souffle mais elle me demande de la baiser même si ma queue est ramollie. Je m’allonge alors sur elle et enfile sa chatte doucement et je me cale au fond pour ne plus bouger. Nous nous embrassons sans arrêt et nous nous tripotons en même temps.Puis je décide de reprendre le dessus sur Catherine et je prends ses deux tétons entre mes ongles pour les écraser ce qui lui arrache un hurlement. Je passe par tous les noms et plus elle m’insulte plus je pince et tire ce qui lui provoque un orgasme comme elle sait en avoir, presque au point de s’évanouir. Je finis par lâcher ses tétons et je la laisse souffler un peu avant de lui ordonner de se mettre en position pour une levrette. Elle se retourne avec du mal la tête dans l’oreiller et le cul en l’air et j’enfourne à nouveau sa chatte bien profond.”Tu es une salope avoue !””Oui je suis ta salope ! Fais de moi tout ce que tu veux. Demandes moi n’importe quoi, je le ferai”Je rigole et d’un coup lui donne une gros claque sur une fesse et sans attendre sur l’autre fesse. Elle crie de nouveau. “Ta gueule grosse pute” et canlı bahis siteleri mes mains retombent de nouveau sur son cul. Elle crie encore et je continue de la claquer.”Tant que tu diras quelque chose je continuerai et de plus en plus fort, grosse chienne. Tu vas m’obéir?””Oui c’est promis je ferais tout ce que tu veux à partir de maintenant””Je déciderai de tout c’est bien compris? Tu n’auras plus le droit de faire ce que tu veux sans mon autorisation. Tu deviens ma chose, mon esclave””Oui mon amour je t’aime et je ferai ce que tu veux où tu veux quand tu veux”Je suis content de moi car maintenant je vais diriger nos ébats et si avant elle voulait m’enculer avant que je l’encule maintenant se serait différent. Je claque encore son gros cul qui commence à rougir mais elle ne dit plus rien. Elle serre les dents pour ne pas émettre le moindre son. Je continue de limer sa chatte et je pose mes doigts sur son cul en les faisant tourner et en forçant je lui rentre ma main dans le cul. Elle crie quand même et je lui claque à nouveau le cul pour la faire taire.J’enfonce ma main dans son fion et je sens bien ma bite en elle, séparée juste par un petit bout de peau. Je lime sa chatte et son cul maintenant ensemble et de plus en plus vite ce qui lui déclenche encore un orgasme dévastateur. Elle se met à gicler de longues slaves de cyprine et son cul dégouline aussi. Elle jouit des deux trous et s’écroule sur le lit épuisée et à moitié inconsciente.je retire ma bite de son ventre et dans la foulée je serre mon point et tire violemment pour ressortir de son cul. J’ai du mal à passer et elle hurle de douleur. Son cul reste grand ouvert devant mes yeux et je le trouve magnifique.Je lui fais lécher ma main pleine de son jus de cul et elle prend soin de bien nettoyer tout en gardant les yeux fermés.Je me lève et la laisse allongée sur le lit pour qu’elle se repose et je vais reprendre une douche pour me rafraichir. Rapidement elle s’endort sans savoir ce que je vais lui demander après.

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19781978Un an après notre première rencontre, je revu Jurgeng. Nous sommes en juillet 1978. Je venais d avoir 16 ans. Beaucoup de choses s étaient passées entre temps. Mes parents avaient divorcé et, mon père parti, ma mère s était remise avec un autre homme qui avait autant de désir pour ma maman que pour moi, raison pour laquelle, peu de temps après cet été là, j allais quitter le foyer familial pour m installer avec un copain… Mais, tout ça, c est bien une toute autre histoire.Au camping, ma mère et son gros occupaient une de deux « chambres » de la tente de campagne. L´autre, moi et David, mon premier petit copain. Après quelques fortes disputes, ma mère avait accepté qu’il m accompagne et passe avec nous quelques jours de vacances. David avait 19 ans, à l’époque et très peu d expérience avec les filles. En fait, j avais passé une année entière à rêver de Jurgeng, de ses bras, de son corps, de son odeur…Les trois premiers jours au camping se sont passés normalement. La journée, on allait à la plage, les quatre. Le compagnon de ma mère -je vais l appeler T, c est plus simple-, était un vrai chaud. Il n arrêtait pas de tripoter ma mère en me lançant des clins d œil lubriques. Ma mère se laissait faire et, en entendant ses gémissements et petits cris de plaisir qui duraient une bonne partie de la nuit, j étais persuadée qu elle était aux anges.Le soir, David et moi nous allions en boîte. Je dois avouer que la présence de mon petit copain m encombrait plus qu autre chose. Je n avais qu une envie en tète : faire la fête, m amuser, connaître des étrangers. Mais lui, il ne pensait qu à me retrouver sur le matelas et s enfoncer en moi pour jouir en deux petites minutes. Qu’est-ce qu’il pouvait m’énerver à me demander lourdement : On y va ? J’ai envie de toi, ma puce ! Si j´étais de bonne humeur, nous sortions juste derrière la discothèque et, un peu à l´écart d autres couples qui se tripotaient indécemment, je lui sortait la quéquette et le branlais pour calmer sa fougue. Et on rentrait dans la boîte et il me laissait en paix quelques instants.Le cinquième jour, je vis débarquer Jurgeng et sa famille. Ma première réaction de frustration en le voyant accompagné de sa femme et ses enfants, ne tarda à devenir de joie et d excitation rien que de voir le regard qu’il avait porté sur moi : il me dévorait avec ses beaux jeux bleus ! Dès que nous eûmes l occasion d´être un bahis firmaları peu seuls il me dit :Tu as coupé tes cheveux… Tu es encore plus belle !Et toi, tu as fait des progrès en français …Oui, je l ai étudié toute l’année… je sais dire…Dis-moi ce que tu sais dire…J’ai envie de toi ! En fin de soirée, j étais en train de faire la vaisselle. David était resté sur notre parcelle en train de jouer aux cartes avec ma mère et T. Jurgeng est arrivé et s’ést mis à faire pareil à coté de moi. On n’était pas seuls et il me parla tout bas :Je vois que tu as un copain… Tu fais l amour avec lui ?Eh, oui… je fais l amour avec lui.Tu aimerais le faire avec moi ?Oui… J en meurs d envie, JurgAlors… Viens ce soir me retrouver.Où ça ? Ce n est pas comme l an dernier, tu voisJe le sais… Mais, j ai une idéeSon idée était risquée, mais je respirais une telle insouciance et je me sentais à tel point excitée que je serais allée le chercher directement dans son lit. Il voulait que je le rejoigne vers une heure du matin dans la salle des machines à laver, qui restait ouverte mais sans personne car on n avait pas le droit de faire des lessives pendant les heures de repos. David avait été surpris d’apprendre que le soir là je n avais pas envie de sortir. Mais, très content : il pourrait m avoir à lui tout seul toute la nuit. Vers onze heures et demie, ma mère et T se sont couchés. Je pris David de la main et lui demandai de m accompagner dans notre chambre. Nous n avions pas tardé à écouter « les vieux » en train de baiser. Toute nue sur le matelas gonflable, je me suis laissée caresser et lécher par mon copain. Je ne voulais pas qu’il me prenne. Je voulais me donner à Jurgeng. Alors, je m étais assise sur son visage, en lui tournant le dos. Pendant que sa langue fouillait toute mon intimité, je m’étais penchée vers sa queue dressée que j avais engloutie et sucée jusqu’à sentir son sperme couler à flots dans ma bouche. Après les « je t’aime » de rigueur, il s’ était endormi comme un bébé. En même temps, j’ai commencé à entendre les ronflements de T, inconvénient majeur des campings. Je mis un t-shirt long et pris ma serviette et le savon.Je m’étais lavée à conscience et fraîche comme une rose, je me dirigeai vers la buanderie. Jurgeng m attendait devant la porte, habillé d un simple caleçon bermuda. Il me prit par la main et, ensemble, nous pénétrâmes dans la salle kaçak iddaa de machines. De suite, il me prit dans ses bras et me souleva, mes jambes enlacèrent sa taille, ses mains se posèrent sur mes fesses et nos bouches et nos langues se retrouvèrent en un baiser torride.Quelques secondes après, toujours debout, il baissa son caleçon et me pénétra profondément. Sa bouche accueillit en l étouffant mon cris d extase. Il me pilonna violemment et mon premier orgasme ne tarda pas à inonder nos sexes.Il me déposa par terre et m enleva mon t-shirt :Tu es magnifique, SandraSans d autres mots, il me fit appuyer, les mains sur une des machines à laver. Il écarta légèrement mes cuisses et me pénétra de nouveau, prenant mes seins dans ses mains, tortillant mes mamelons :Ne cris pas, Darling…Mais comme je commençais à couiner comme une cochonne, il me plaqua une de ses mains contre ma bouche. Je sentis son haleine chaude contre mon cou. Il se mit à me lécher cette partie de mon corps ultra sensible : ma nuque. Un de ses doigts glissa à l intérieur de ma bouche et je me suis mise à le sucer comme si c’était une petite bite. Oh, verdammt ! (qui veut dire quelque chose comme Oh, putain!)Non ! Ne jouis pas encore, Jurgeng… Pitié !Jouis ? Que veut dire ?Trois mois de relation avec David ne m avaient pas donné autant de plaisir que ce petit quart d heure avec cet homme, un vrai.Éjaculation, pas encore, s il te plait !Ma petite Sandra, tu peux continuer ton « jouis »… Je voulais dire que tu es magnifique, que tu sens très bon, que ton con est comme un four… Tout ce discours sans arrêter un seul instant de manœuvrer, avec une cadence croissante, sa magnifique perceuse allemande dans mon minou qui, reconnaissant, ne cessait d’exhaler mille émanations gluantes, des effluves de sexe chaud qui tapissaient les murs de la buanderie.Ouiiiii ! Ouiiiiiii ! Encoooore !Ouah ! Tu m’as mordu trop fort !Excuse ! Excuse ! Aaaaahhhh ! S’il te plait, ne t’arrête pas !Si parmi mes lectrices, il y en a une qui a la chance d’ être pluri orgasmique, elle saura que rien au monde peut se comparer à cette jouissance. Les orgasmes arrivent un après l’ autre, comme un moteur turbo qui se propulse en atteindre une certaine vitesse et qui nous laisse collées au siège. On ne peut faire que se laisser aller et profiter de cette excitation électrique qui nous envahisse, dès la racine de nos cheveux au kaçak bahis dernier ongle de nos orteils…Je me suis laissée tomber en avant, épuisée, le haut de mon corps contre la surface de la machine à laver. Sa verge encore enfoncée dans moi, dure comme une mèche de titane, me brûlait les entrailles. Ce fut alors, qu’il sortit de moi et, avant que je puisse protester de cet abandon, je sentis ses mains écarter mes fesses et sa langue me caresser l’anus :Dieux, c est bon !J’adore ton cul, ma petite… Me laisse-tu te prendre par ton …Je me suis retournée pour le regarder et je crois que ce qu’il vit dans mes yeux lui fit comprendre que j’étais prête car il se leva, cracha de la salive sur sa queue et plaça son gland à l entrée de ma rondelle :Je n’ai jamais… Balbutiai-je, avec un filet de voix.Tranquille… Je ne te ferai pas mal… Tu en as envie ?Oui… Tu peux me faire tout, Jurgeng.Ma déesse… Je suis fou de toi !La douleur fut intense, comme si mon anus se déchirait. Mais, ce soir là, le plaisir était au rendez-vous et je ne tardai pas à ressentir une sensation de plénitude. Lui, il avançait dans moi, lentement, jusqu’au fond. Il y resta un petit moment pour que mon sphincter se dilate suffisamment pour s’adapter à la barre de chaire qui le traversait. Je sentais sa respiration s’accélérer progressivement. Je pouvais, même, sentir vibrer sa queue dans moi. Alors, il me prit les bras par mes poignées et les tira vers lui, faisant que ma poitrine se soulève immédiatement. Et il recommença sa danse infernale de vas-et-vient, de plus en plus profonds, de plus en plus brutaux… On était deux bêtes lubriques, deux fauves affamés de sexe. Lui, le mâle alpha ; moi, sa femelle soumise.Jaaa ! Jaaaaaaa ! Cum, cum, cuuuummmm !Peut-être le temps passé depuis cet incroyable moment a faussé la précision de mon souvenir, mais je vous promet que quand il avait éjaculé dans mon rectum, j’avais eu l’impression de sentir sa lave inonder mes entrailles. Je n’avais pas joui, mais je me sentais divinement heureuse. Il resta dans moi encore un bon moment mais il lâcha mes bras. Je me suis laissée tomber, de nouveau, sur le lave-linge. Il sortit sa queue, me souleva et retourna. Il me serra très fort dans ses bras. Son torse était moite de sueur, mais je m’en fichais totalement. Je collai ma joue contre sa poitrine et aspirai son parfum, totalement extasiée :Ich liebe dich, Jurgeng… Je t’aime, je t’aime, je t’aime !Ma petite Sandra… Ma toute petite SandraNous nous quittâmes et rentrâmes à nos respectives tentes non sans avant nous avoir donné rendez-vous : demain, à la même heure, au même endroit.

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