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Service SévicesLorsqu’il débarque le premier jour, le jeune Matthieu Deguerre n’en même pas large. Son piston pour être affecté dans cette base militaire de Djibouti est une idée de son père qui souhaite que « l’armée en fasse un homme » après avoir appris avec honte ses pratiques homosexuelles. Avec son physique d’adolescent blond un peu grassouillet, il tranche franchement sur le reste des apprentis militaires qui l’entourent. Il va faire ses classes à Bayonne puis ce sera direction le Sénégal. Dés le premier jour, il est mis de coté par ses camarades à cause de sa voix fluette et ses attitudes un peu maniérées. Le premier à l’appeler « la tapette » est une espèce de gros porc rasé taillé comme un taureau qui s’appelle Bernard. Tout commence alors qu’ils sont en rang pour aller chercher leur paquetage. Bernard et un autre type dans son genre se mettent juste derrière Matthieu à l’essayage et ils sont les derniers à passer. Sous l’œil rapidement bienveillant du sous-officier fourrier qui vérifie la distribution des paquetages, l’humiliation commence :-Elle a un beau petit cul, la tapette ! se marre Bernard tandis que le blondinet en slip peine à enfiler son treillis tellement il tremble. Elle est toute grasse. Ca lui fait même des petits nichons comme une jeune cochonne.-Faudra vérifier si elle a la queue en tire-bouchon, la cochonne ! renchérit Marco le copain de Bernard, un grand sec à moustache. Si ça se trouve c’est une grosse chagatte qu’elle a dans le slip.Le fourrier, un balaise d’une cinquantaine d’année, intervient alors à la grande joie des trois autres :-Retire ton slip, le blond !-Mais pourquoi ? Aucun des autres… commence à gémir Matthieu.-Ne discute pas ! Ici c’est moi qui commande alors fais tomber ton slip ou je viens t’aider !Comme le blondinet reste prostré les yeux baissés, le fourrier dit à Bernard et son ami en désignant la victime :-Va falloir lui apprendre à obéir à celui la visiblement ! Vous là, aidez le à exécuter un ordre direct quand il émane d’un supérieur !-Bien chef !!! Jubile Bernard.Les deux brutes sautent sur Matthieu qui se défend comme il peut. Il est rapidement immobilisé et Bernard fais brutalement descendre le sous-vêtement. Une petite verge ridicule mais bien raide apparaît sur un bas ventre pratiquement glabre.-Mais on dirait que ça l’excite, la petite salope ! gronde Bernard, le souffle rauque.-Faut bien regarder pour trouver quelque chose, ricane méchamment le fourrier. C’est de la quéquette de minet ça.-Pitié laissez moi, supplie Matthieu.-Il doit être pédé, intervient Marco. C’est bien le genre à se faire enculer par des crouilles !-C’est vrai ça ? ricane Bernard. T’es une pute à bougnoule, blondinette ?-Faudrait vérifier ça, coupe le Fourrier. Faudrait pas qu’elle nous amène ce genre de mœurs ici, la pédale…-Bien chef ! jubile le gros porc en retournant Matthieu et en le forçant à se mettre à plat ventre sur le ciment. Fais voir ton trou du cul au chez, pédé ! Ecarte tes fesses de petite pute !!!Le pied du gros sur le visage, Matthieu sanglote :-Je vous en prie…-Il nous en prie, singe le grand Marco. Allez cambre toi, cul à crouille ! T’as l’habitude de te faire ramoner, j’en suis sur ! Ouvre bien ton trou qu’on voit le genre de calibres que tu te prends !!!Le jeune grassouillet obéit en sanglotant et tous peuvent voir son anus rose très large qui palpite en fonctions de ses pleurs.-Regarde ça comme il s’ouvre, souffle Bernard. Une vraie pute à nègre… Il en est pas à son d’essai, le pédé !-Faut le défoncer ! gronde sourdement Marco en désignant une grosse lampe-torche posée sur le comptoir. Putain, je vais lui déchirer le cul avec ça à cet enculé !-Pas de ça ici, les gars ! coupe le Fourrier. Il y a du monde qui attend !-Merci monsieur, merci… gémit encore Matthieu, trop content de voir le militaire intervenir.-Ta gueule, la pédale ! reprend le Fourier. T’es qu’une salope à bicot, ça se voit ! Les pédales comme toi, on les dresse ici et toi, on va te dresser mais c’est ni le moment ni l’endroit ! Puis s’adressant à nouveau à Bernard et Marco :-Faut me l’attendrir un peu puis vous me le ramènerez hein, les gars ? Le soir vous êtes peinards au dortoir et les douches, c’est pas pour les chiens…-Mon Dieu… sanglote Matthieu.-Ferme ta gueule et remets ton slibard, la tapette ! rugit le fourrier. A la visite médicale, vous demanderez l’adjudant Melos. Je vais le prévenir… -Merci Chef, répondent en cœur les deux autres.Le paquetage sur l’épaule, le trio ressort enfin. Matthieu est encadré par les deux autres comme s’ils étaient de vieux amis et ils rejoignent le reste du groupe.-T’aime pomper des gros nœuds, hein ma salope ? lui susurre Marco doucement. T’inquiète t’aura ta dose…-Fichez moi la paix, se rebelle l’agressé.-Qu’est ce qui se passe là bas ? demande le sergent instructeur, un nommé Paulain qui n’a pas l’ai commode du tout.-Rien chef, ricane Bernard. C’est la petite blonde qui fait du gringue à mon pote !Tout le groupe part d’un grand éclat de rire en se dirigeant maintenant vers le réfectoire et le jeune homme peine à retenir ses larmes. Une fois à l’intérieur, Matthieu essaie de s’éloigner de ses deux bourreaux mais ils le contraignent à s’asseoir entre eux. Bernard qui a prit de la choucroute pose doucement une saucisse dans l’assiette du blond et lui dit – suffisamment fort pour être entendu par l’ensemble de la tablée :-Tiens la pédale, c’est un petit calibre pour toi mais tu peux la sucer histoire de pas perdre la main ! ce qui fait fondre l’humilié en larmes.-Pleure, la cochonne, ajoute Marco en lui caressant les cheveux avec une fausse gentillesse avant de lui glisser doucement, Vas y chiale, moi ça m’excite !Et il prend la main de sa victime et la pose discrètement sur sa queue énorme qui gonfle son bas-ventre. Matthieu n’ose pas retirer illegal bahis sa main et l’autre lui murmure :-C’est une bonne défonceuse que j’ai pour toi, t’inquiète ! Ce soir je te ramonerai le trou comme t’aime, t’en redemanderas !Après le déjeuner, la tête de turc bénéficie d’une paix relative puis c’est le départ pour le contrôle à l’infirmerie de la caserne. Les nouveaux attendent tranquillement leur tour pour passer l’un après l’autre quand un bidasse intervient et demande à Matthieu, Bernard et Marco de le suivre. Les deux lourds se marrent et le blond tremble. Le militaire les fait entrer dans une pièce et les laisse face à une homme dégarni à la bouche lippue et aux petits yeux cruels. Plutôt petit et gras, il porte une tenue de médecin et se présente comme étant l’adjudant Melos avant de dire à Matthieu :-D’après le sergent-fourrier Lorrain, tu serais homosexuel.-Non je…-Tais-toi ! coupe sèchement le toubib. De toute façon, nous allons vérifier. J’ai demandé l’assistance de deux témoins pour garantir tout débordement mais le colonel Vogt qui commande cette place aime savoir s’il a des brebis galeuses dans ses rangs.Personne n’ose faire de commentaire tellement la voix de ce toubib met mal à l’aise. Il désigne à un Matthieu terrorisé la table d’examen qui trône au centre de la pièce :-Monte la dessus puis mets toi à quatre pattes.Vaincu, le blondinet obéis servilement, allant même jusqu’à coller sa poitrine sur le cuir en cambrant spontanément ses reins ce qui lui vaut un commentaire de l’adjudant pendant qu’il enfile des gants de chirurgie :-En effet, tu m’as l’air d’être habitué à la position !Il passe sur le coté et baisse le pantalon puis le slip du jeune homme. Une fois de plus, tous peuvent constater qu’il est en érection et les deux spectateurs ricanent.-S’il vous plait, messieurs ! tempère sèchement l’officier en enduisant ses doigts de lubrifiant avant d’ordonner à Matthieu. Ecarte tes fesses !Il regarde avec attention le spectacle :-Et bien… une vraie chatte de pédale en effet !!! Il mouille du cul tellement ça l’excite d’être ainsi explosé !L’adjudant tâte l’anus offert du pouce avant de faire pénétrer lentement deux doigts profondément dans l’orifice du jeune homme qui pousse un petit gémissement. Il fait coulisser ses doigts une dizaine de fois puis en ajoute un troisième et recommence, bien à fond et de plus en plus brutalement ce qui accentuent la respiration saccadée du patient. -Elle aime ça se faire travailler le trou, la blondinette ! ricane méchamment le docteur en redoublant de vigueur.Après cinq minutes de ce traitement, visiblement satisfait, il palpe les testicules et décalotte la verge ridicule sèchement plusieurs fois. -C’est tout englué de jus tellement ça lui plaît… Une vraie femelle…Il presse les petites couilles puis écrase méchamment le gland et Matthieu ne peut s’empêcher d’éjaculer en lâchant un très féminin « oh oui ! ». -Porc !!! rugit l’adjudant, le front baigné maintenant d’une sueur épaisse.Il n’a pas lâché le petit sexe qu’il traie sadiquement pour en extirper toute la jute possible et ajoute d’un ton neutre :-Quelle horreur ! Regardez-moi ce personnage dégoûtant qui se vide tellement il est excité d’être examiné par les mains d’un autre homme !!!Matthieu a la bouche ouverte et cherche l’air tandis que tous peuvent contempler son anus dilaté qui s’ouvre et se referme de façon obscène à chaque fois qu’il crache une nouvelle giclée de sperme. -Il va falloir très fermement contrôler ce pervers, messieurs ! reprend le médecin sans cesser de branler le blondinet pour autant. Regardez moi ça ! -Quel sale pédé ! souffle Marco, la queue tendue.-Il jouit comme une vraie gonzesse ! ajoute Bernard, l’œil lubrique.-Le sergent-fourrier Lorrain a le chic pour les repérer, pontifie le docteur en broyant méchamment la verge gluante qui redevient molle. Il a aussi fort heureusement des techniques pour les calmer ! Puis abandonnant enfin le garçon qui tremble encore, il retire ses gants et prend place comme si de rien était derrière son bureau puis dit à Matthieu :-Descends de là et rajuste-toi, petite saleté !Le garçon obéit et – rouge de honte – il va pour prendre un chiffon pour essuyer les flaques de sperme qui parsèment la table d’examen en s’excusant quand le gros suant, rajustant ses petites lunettes rondes intervient :-Laisse ça et assieds-toi devant moi ! J’ai des questions à te poser en présence de tes camarades pour qu’ils sachent bien à quel type de déviant ils ont à faire ! Puis s’adressant aux deux autres : Il va falloir impérativement me surveiller cette truie lubrique, messieurs !-Oui mon Adjudant ! sourit Bernard.-Vous devrez veiller à ce qu’il soit puni très durement s’il montre des signes de perversion, je compte sur vous.-Ce sera fait, mon adjudant ! jubile Marco. Dés ce soir…-Revenons-en à toi, l’éjaculateur ! souffle le médecin. J’ai pu constater que tu avais l’habitude d’avoir l’anus pénétré. Tu te le fais seul ou tu te fais sodomiser par d’autres hommes ?-Je… hésite le jeune homme de sa voix fluette.-Et bien parle, s’emporte Melos. Après ce que nous venons de voir, tu ne vais pas en plus jouer les pucelles effarouchées ! -Je me le fais et on me le fait faire, monsieur…-Mon Adjudant ! coupe le gros porc qui se met à suer un peu plus. Tu pratiques la fellation aussi bien entendu…-Oui, mon Adjudant !-Et tu avales ?-Pardon je…-La jute !!! Tu l’avales quand tu tailles des pipes, pédé ? s’emporte le médecin tandis que sa main va et viens lentement sous le bureau.-Oui j’avale… Mon Adjudant…-Tu aimes quand on t’exhibe hein, salope ? Et quand on t’humilie… Ca te fait triquer ça…-Oui… C’est vrai… avoue honteusement Matthieu, le regard baissé.-La petite pute… lance Marco, ravi.-J’ai bien vu lorsque je te palpais la verge et les testicules ! glousse illegal bahis siteleri méchamment l’homme en blanc. Tu mouilles de la queue et du cul… Et tu aimes quand ça fait un peu mal hein.-Oui…-Tes tétons aussi tu aimes qu’on te les travaille, n’est ce pas…-J’aime ça, mon adjudant…-Ca fait longtemps que tu te fais enculer et que tu suces des bites, salope ?-Oui… J’avais 13 ans… Avec mes cousins au début…-Il faudra revenir me raconter tout cela, grogne le gros qui ruisselle maintenant et dont la main s’accélère. En parler te fera du bien… Tu aimes les gros calibres dans ton trou hein, pédé ? Des grosses queues de négros par exemple ! C’est pour ça que tu as demandé à aller à Djibouti : pour te faire ramoner par des nègres !!!-Non c’est mon père qui…-Tais-toi ! tranche Melos tout à son délire, la main frénétique. On a quelques négros ici dans le cadre des échanges inter-armés ! Et ils n’ont pas vraiment l’occasion de se vider les couilles ! La plupart des femmes en ont peur car ils ont des queues vraiment énormes mais toi ça te fera pas peur avec ton trou défoncé hein ?-Non s’il vous plait… supplie Matthieu en se remettant à pleurer.-Tu as intérêt à être une tapette bien obéissante alors ! Et à faire ce que te disent les gradés de la base sinon tu seras affecté à leur chambrée et ce ne sont pas des tendres, c’est bien compris ?-Oui, mon adjudant. Tout ce que vous voulez…-Tu obéiras aussi à ces deux hommes qui sont là ! Je compte sur eux pour bien te surveiller et te recadrer sans pitié de la façon qui leur plait si tu succombais à tes pulsions dégoûtantes. Maintenant sortez !Marco pousse Matthieu hors de la pièce en lui palpant les fesses sans vergogne suivi de Bernard qui jubile. Ils ont rejoint les autres quand le moustachu s’aperçoit après quelques minutes qu’il a oublié son sac personnel dans le bureau de l’Adjudant. Il revient vers le bureau dont il entrouvre doucement la porte.Mélos lui tourne le dos. Il est en train de laper le sperme épais sur la table et à le pantalon sur les chevilles. En même temps qu’il se délecte, il enfonce sauvagement un énorme godemichet entre ses grosses fesses grasses et zébrées de traces de martinet. Marco referme la porte en silence et revient vers le groupe en souriant.Le sergent Paulain vient de quitter la chambrée. Chacun prend sa place sur les lits superposés dans le calme et bien entendu Matthieu se retrouve entouré par Bernard et Marco. Personne n’a prit le lit au dessus de celui du blondinet tellement la situation est claire pour tout le monde. Les sacs ne sont pas défaits que déjà Bernard fait un clin d’œil à son complice et dit doucement à Matthieu :- Tu te mets en t-shirt et sans slip maintenant.- Non s’il vous plaît… se met à pleurer le blondinet.- Allez arrête, t’en meurs d’envie ! Vu comme le toubib t’as tripoté le trou à merde, je suis sur que ta petite quéquette est toute dure.Le garçon s’exécute et les choses sont maintenant claires pour toute la chambrée quand il est forcé par Bernard à déambuler dans la travée, les yeux baissées de honte et les fesses à l’air, sa verge ridicule bandée. Les ricanements et les quolibets fusent. Matthieu entend même un gros noir mal rasé appelé Moussa lui lancer « à ce soir » quand il passe devant lui. De retour sur son lit, Matthieu constate en regardant à la dérobée que Bernard s’est mis en short et qu’il lui désigne son gros membre luisant à demi dur puis lui lance :- C’est pour qui le gros nonos, petite salope ?Le retour du sergent Paulain calme le tondu. Constatant que le jeune homme ne porte pas de slip, le gradé lance, goguenard :- Ah ben ça va, Deguerre ! On prend ses aises ?- Sergent c’est… commence l’autre.- Je ne veux pas savoir ce que c’est ! Vous aimez vous balader la queue à l’air, allez donc me nettoyer les chiottes dans cette tenue, tiens ! Ca vous apprendra la pudeur !Comme Matthieu se met à sangloter, il gronde :- Maintenant !!! Puisque ça vous fait bander de vous exhiber, vous me ferez les chiottes tous les matins et à quatre pattes avant que vos camarades se lèvent, ça vous dressera !Anéanti, l’humilié quitte la chambrée avec son seau et son balais sous les rires gras.- Rangez vos affaires au lieu de vous marrer sinon vous prendrez sa place, tas d’andouilles !!! menace le sergent. Dans dix minutes, tout le monde en bas pour le dîner.Quand Matthieu entre dans le réfectoire, sa réputation est faite. Entre les regards dégouttés, les invites grasses plus où moins directes, il est clair que tout le monde a entendu parler du « pédé ». Il va pour s’asseoir à l’écart tranquillement avec son plateau quand Marco l’apostrophe non loin de là :- Psssst ! Salope ! Viens ici, salope ! On t’a gardé une place !Comme Matthieu fait mine de l’ignorer, le moustachu siffle, mauvais :- T’as intérêt à venir j’te jure sinon tu vas le regretter !Tremblant de peur, le blondinet vient s’asseoir entre ses deux bourreaux. Il reconnaît à la table sept autres types de la chambrée qui le regardent en souriant.- Ce soir on te baptise ! commence Bernard.- T’es notre femelle, salope ! On va te faire tourner ! C’est comme ça qu’on dit hein ? demande Marco à Farid, un maghrébin très mince à l’air méchant.- Ouais, répond l’arabe. Elles aiment ça les blondinettes dans la cité ! Des fois on leur passe à trente dessus et elles en redemandent ! Y a même des bourges qui amènent leurs femmes rien que pour ça !- Oui mais c’est des meufs que vous vous tapez, corrige un type.- Tu sais, un trou c’est un trou ! répond Farid. Pis lui c’est pas un homme… T’as vu sa petite queue et ses allures de minettes ! Regarde, il a presque des nichons !- Avec une perruque et des fringues de pute, je suis sur qu’on y croirait ! dit un autre.- C‘est pas con ça ! lance Bernard, pensif. J’avoue que je préfèrerai aussi me taper un beau petit travelo canlı bahis siteleri ! Tu t’es déjà habillé en gonzesse, le pédé ? Et mens pas hein !!!- Oui… admet Matthieu en sanglotant.- Quelle pédale !!! se marre un mec. – Ben voilà !!! renchérit Marco. J’irai voir le fourrier, c’est un mec cool ! – on va lui trouver une perruque. Et des talons aussi hein ! Avec ça, je suis sur qu’il ressemblera vraiment à une nana ! s’excite Bernard. Une fois rentrés dans la chambrée, les comploteurs ordonnent à « la salope d’aller se laver le trou » et Matthieu part en gémissant dans les sanitaires. C’est le premier jour et il va servir de femelle à tous ces hommes. Il est horrifié de voir que ça le fait bander et manque éjaculer en imaginant ce qu’il va subir. Il se dégoutte. Sa passivité perverse et le plaisir qu’il prend à être toujours plus dégradé lui fait peur. Il défèque longuement puis prend une douche en se savonnant particulièrement les fesses et en nettoyant le plus loin possible son rectum. Le regard dégoutté d’un autre membre de la chambrée prenant sa douche un peu plus loin le fait à nouveau triquer. Le rouge au front, il revient dans la chambre. Peu avant que les lumières s’éteignent, il sort de son sac à un gros tube de lubrifiant qu’il pose docilement sur le tabouret qui lui sert de table de nuit et déclenche un ricanement de Bernard :- Putain la chienne ! T’es bien venu pour ça ! T’inquiète, on va te donner ce que tu veux, tu vas voir !Lorsque le noir se fait enfin, les premières formes approchent de son lit en silence. Il retire docilement son slip et son T-shirt et une première bite à l’odeur âcre se présente devant ses lèvres. Il la prend en bouche et se met à sucer tandis que des mains anonymes remontent ses jambes. Il sent qu’on plante profondément l’embout du tube de lubrifiant dans l’anus et le gel pénètre en lui. Il pousse quand il sent le premier violeur poser son gland sur son trou sans préparation et la verge dure s’enfonce entre ses fesses ouvertes. Le viol collectif se déroule alors avec brutalité malgré sa passivité. Les insultes fusent et ses tétons sont étirés par sadisme pendant que sa petite verge et ses testicules sont écrasés par des mains puissantes. Les queues se succèdent dans son anus devenu béant, leurs propriétaires faisant leur possible pour se vider dans sa bouche offerte. Matthieu éjacule deux fois sous les quolibets et à sa grande honte. Rapidement, l’ambiance est survoltée. Ses mains aussi sont occupées et il branle des bites frénétiquement jusqu’à ce qu’il referme sa main sur un membre gigantesque. – Non pas ça ! gémit-il doucement.- Ta gueule et suce, pédé ! répond une ombre.- On t’a gardé le meilleur pour la fin sinon on n’aurait pas touché les bords… se moque une autre.Il tente de se débattre mais ses violeurs le maintiennent fermement plaqué au matelas. Il reçoit d’autorité un sexe gluant dans la bouche et sent que le propriétaire de l’engin monstrueux s’installe entre ses jambes. Ses chevilles sont posées sur les larges épaules et l’homme, qu’il reconnaît comme étant Moussa le noir, pousse son gland hypertrophié sur l’anus dilaté. Des larmes de souffrances et une sourde plainte masquée par la queue qu’il suce toujours encouragent le black à continuer.- Je vais te défoncer ! souffle son tourmenteur.Matthieu a l’impression que ses reins sont en feu tout le temps que la tige d’ébène met pour s’introduire entièrement. On tire sur ses fesses frénétiquement pour favoriser la terrible pénétration et lorsqu’un des violeurs allume une lampe électrique, les commentaires fusent :- La vache !!! Quelle bite de cheval ! – Ressors la Moussa ! Qu’on voit son trou !Tandis que le noir décule lentement, Bernard en profite pour s’asseoir au dessus de la tête du jeune homme et lui dit :- Vas y ! Bouffe-moi la rondelle !!! J’adore ça mais les putes veulent pas le faire !La verge noire est toute entière ressortie et le spectacle est visiblement impressionnant. – Remets-lui ! souffle Marco sadiquement. Vas-y ! Déchire-le !Comme Moussa se renfonce d’une seule poussée brutale, Matthieu tente de bouger, le cul explosé. Il n’en faut pas plus aux autres pour le maintenir toujours plus violemment. – Lape ! Lape mon trou ! souffle Bernard. Et branle-moi en même temps ! Je vais te travailler les nichons pour te motiver.Le tondu lui tord si horriblement les mamelons qu’un instant le violé pense qu’il les lui a arraché. Pendant ce temps, infatigable, le noir le sodomise avec une férocité accrue. Matthieu sent la jute remonter une fois de plus dans sa petite verge et un coup de rein particulièrement brutal le fait à nouveau éjaculer.- Il jute, le pédé ! Je sens son cul qui me sert par saccades !!! raille Moussa. Mais moi j’ai pas fini. Pendant vingt minutes, il continue à pilonner l’orifice devenu béant, ne s’arrêtant que pour les « coups de lampe » réguliers. Le spectacle a attiré des curieux qui en profitent à leur tout pour se faire sucer ou branler maintenant que Bernard à éjaculé grâce à la caresse anale. Cinq autres hommes l’imitent et présentent leurs rondelles âcres que Matthieu lèche docilement. Enfin, le noir jouit en grognant à longues saccades épaisses, directement dans le conduit défoncé puis ressort l’énorme boudin qui s’amollit et dit :- Nettoie ! Tout le temps que Matthieu lèche le membre hors norme, la lampe reste allumée et tous peuvent profiter de son visage englué de sperme et baigné de larmes. Enfin, les violeurs se dispersent comme des voleurs, laissant le jeune homme se recroqueviller dans se draps souillés, le cops exhalant une écœurante odeur de mâles en rut. Matthieu s’aperçoit qu’il bande à nouveau. Rompu et une fois encore atterré devant son attitude infecte, il passe lentement sa main entre ses fesses et constate que son anus reste béant et terriblement douloureux. Alors qu’il pense que tout est terminé, il a droit à deux nouvelles visites et suce en gémissant les silhouettes qui l’obligent brutalement à ouvrir la bouche encore et encore. Puis il sombre enfin dans le sommeil.(suite à écrire encore…)

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Vive le triolisme (2)Mon épouse qui restait tout de même un peu timide d’avoir ainsi succombé, me disait que nous ne recommencerions plus et que c’était une erreur d’avoir fait l’amour à trois. Bien sûr, je n’étais pas de cet avis et nous en avons beaucoup discuté. Je la rassurais en lui disant que pour moi je voyais notre petite aventure comme normale et qu’elle était tellement belle pendant l’acte qu’elle me rendait fou. Peu importe mes dires, elle m’a dit que jamais plus elle n’accepterait de refaire l’amour à trois.Quelques semaines plus tard, mon meilleur ami d’enfance qui avait disparu de ma vie depuis environ 10 ans parce qu’il était parti étudié et travaillé à Montréal arrive chez moi. Quel bonheur de le revoir. Grande discussion sur le passé ou à peu près tous les sujets sont abordés. De vrais bons moments de retrouvailles inoubliables.Gloria qui a toujours été très accueillante demande à Richard s’il veut prendre le repas avec nous et il accepte immédiatement. Après un copieux repas, nous nous retrouvons au salon avec un digestif et nos discussions continuent de plus belle.Mon épouse, qui commençait sans doute à trouver que nous étions un peu ennuyeux s’excusa pour aller prendre une douche et revint prendre place sur le sofa près de moi dans un peignoir qui s’ouvrit laissant voir ses belles jambes. Elle avait enfilé nylon et porte jarretelle. Je ne pouvais qu’imaginer ce qu’il y avait plus haut car ce petit ensemble, c’est moi qui lui avais offert. Porte jarretelle, mini string et un soutif moulant ses seins couleur ébène. Un petit ensemble noir avec des rubans et de la dentelle rouge. canlı bahis şirketaleri Vraiment à craquer ou je devrais plutôt dire à ‘’croqué’’.Elle demanda alors à Richard s’il voulait rester à coucher car elle devait préparer la chambre d’amis. Il accepta et elle se leva pour aller préparer la chambre. Richard me demanda s’il pouvait prendre une douche car après un aussi long voyage il sentait le besoin de se rafraîchir un peu. Je le dirigeai donc vers la salle d’eau et comme je me retrouvais seul, j’en ai donc profité pour moi aussi prendre une douche (nous avons 2 salles d’eau).Après avoir terminé, nous nous retrouvons tous devant la télé et Gloria nous demande si nous voulions écouter un film. Pourquoi pas ?Elle se lève et cherche dans notre filmothèque laissant voir ses belles jambes et en se penchant, un peu de ses seins. Richard bavait sans dire un mot devant la beauté de ma femme. À ma surprise, elle a démarré un film 3X. Suite à nos discussions sur le sujet des trios, je ne croyais pas qu’elle mettrait ce genre de film.Elle a demandé à Richard s’il était adepte de ce genre de film et il lui répondit qu’il adorait. Gloria lui répondit qu’elle aurait été fort surprise s’il avait répondu négativement étant donné qu’il était un ami de longue date, elle croyait bien qu’on avait les mêmes goûts ‘’artistique’’.Après plusieurs minutes d’action elle invita Richard à venir nous rejoindre sur le sofa parce que disait-elle, il serait plus confortable que dans le petit fauteuil ou il se trouvait. Au même moment elle se leva prétextant avoir trop chaud et retira son peignoir et reprit place canlı kaçak iddaa entre nous deux et sans aucune hésitation, elle sortit nos deux pénis pour nous masturber. Richard me regardait sans trop savoir ce qu’il lui arrivait. Il ne restait plus qu’à relaxer et profiter du plaisir manuel qu’elle lui procurait.Gloria me dit alors, tu ne m’avais pas dit que ton ami avait une aussi grosse queue. Je lui répondis qu’elle ne m’avait pas demandé mais qu’elle n’avait qu’a en profité. Chose qu’elle fit immédiatement en la prenant en bouche pour le sucer. Pendant qu’elle laissait aller son dévolu sur cette grosse queue, je me suis placé derrière elle pour lui faire un cunnilingus. Après quelque bon coup de langue, je l’ai prise en levrette pendant que Richard lui labourait la bouche et le fond de la gorge.Elle se releva et changea de position pour me prendre en bouche et ainsi accueillir la grosse queue de 20cm de mon ami dans sa chatte déjà toute humide d’avoir jouis de mes coups de langue et de queue.Après environ 10 minutes de labour par l’immense queue, elle fit coucher Richard et s’installa sur lui pour un 69. J’admirais ma belle petite pute qui prenait son plaisir pleinement. Lentement, j’ai pris place derrière elle et j’ai commencé à l’emplir pendant que Richard continuait à lui manger son petit clito. Elle miaulait comme une chatte en chaleur et elle jouit encore jusqu’à en perdre presque conscience. Devant cette situation Rich était un peu décontenancé car il n’avait jamais vu une femme réagir de cette façon. Je lui ai dit de ne pas s’inquiéter et après avoir repris ses esprits, Gloria canlı kaçak bahis remonta sur lui en me faisant un beau grand sourire. Je compris immédiatement ce qu’elle voulait et je me suis placé derrière elle pour m’introduire en elle et rejoindre la queue de Richard dans son vagin. Elle poussa un cri de douleur qui se changea vite en cris de plaisir. Il faut dire que la queue de notre partenaire est très grosse et je ne suis pas dépourvu moi aussi. Il est surprenant de voir les deux dans un si petit corps.Elle a jouie encore et encore jusqu’à perdre conscience de nouveau. Oui elle perd vraiment conscience quand elle jouit intensément.Quand elle revint à elle, Richard et moi discutions et il lui dit que c’était toute une bonne baise et elle lui a demandé si c’était mieux qu’avec la gardienne de notre enfance. Il m’a regardé et j’ai dit à Gloria, ‘’ chérie, je ne t’ai jamais rien dit au sujet de Richard participant avec notre gardienne’’. Elle a immédiatement dit que notre façon de baiser était trop similaire pour ne pas avoir été initié par la même personne. Chose qui était vrai. Elle ajouta aussi que si jamais elle reconnaissait cette gardienne, elle la remercierait de nous avoir aussi bien entrainés.Normalement elle serait partie se coucher sans dire un mot mais ce soir, elle était pleine de surprise. Suite à mon interrogation sur sa façon d’agir comme une chatte en chaleur, elle me répondit que de savoir qu’on avait tous les deux connu le même début sexuel cela lui donnait la même confiance en lui qu’en moi.Richard devait repartir le lendemain et nous avons bien regretté son départ. Gloria m’a surpris en disant à mon ami qu’il devait revenir pour qu’on puisse reprendre cette conversation et de prévoir plusieurs jours à son agenda lors de sa prochaine visite. Elle venait subtilement de me dire que dorénavant c’était ok de la partager en trio

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De compagnon à cocu soumisCela faisait maintenant 2 ans que j’étais en couple avec Alexandra. Ce qui était ma fierté principale et l’objet de beaucoup de questionnements cachés dans notre entourage. Alexandra est une blonde aux cheveux longs d1m72 pour 64 kilos, des yeux verts et une magnifique 90C ferme et rond. Tandis que moi je fais 1m78 pour 73 kilos cheveux courts et châtain, pas particulièrement musclé et un peu flasque. D’autant qu’on ne peut pas dire que j’ai la gueule de Georges Clooney.La question était pourquoi était-elle avec moi ? La vérité était qu’au début de notre relation j’avais une travail à responsabilité qui me donnait une certaine prestance. C’est ce qui lui avait plu chez moi, en plus d’une certaine envie de se caser pour être “tranquille”. En réalité je ne faisais que subir les choses à mon travail et c’était mes subordonnés qui faisaient le travail à ma place. Cela a fini par se savoir au bout d’un peu plus d’un an tout de même et j’ai été renvoyé et perdu beaucoup de crédit auprès d’Alexandra , d’autant qu’a 25 ans elle aussi, elle réussissait parfaitement professionnellement en étant une gestionnaire de patrimoine reconnue.Après mon licenciement j’ai retrouve des boulots mais jamais très satisfaisant, enchaînant les déceptions. Tous ces événements avaient pesé sur notre couple qui se dégradait à vue d’œil.Dispute constante, enfin surtout Alexandra qui criait, baisse de libido, d’amour et désir de sa part, plusieurs problèmes érectiles pour moi plus rien n’allez dans notre couple. Il est vrai que je ne m’en préoccupais pas tellement pensant que quoi qu’il arrive notre couple était plus fort que tout et ça allait finir par passer. Même si depuis quelques semaines Alexandra était vraiment bizarre, passant plus de temps à l’extérieur de l’appartement, effaçant l’historique et j’avais même remarqué que pour la bahis firmaları première fois elle avait fermé le tiroir de sa commode à clé. Je décidais de ne rien dire pour ne pas réveiller d’éventuels tensions et comptait sur la patience pour rabibocher les choses entre nous.Un beau jour je regardais la télé quand Alexandra rentra, je me levais pour lui parler quand en me retournant je vis un homme, un beur très bien bâti. Il faisait au moins 1m85 et devait bien faire dans les 80 kilos. Il avait un regard fermé, il me regarda de haut en bas avec mépris. J’allais donc pour lui dire bonjour quand Alexandra me pris par le bras et m’amena dans la chambre en me signifiant qu’il fallait qu’on parle. Juste avant de refermer la porte elle dit à son ami, Kader, d’attendre sur le canapé qu’elle n’en avait pas pour longtemps.A peine la porte fermé elle me dit :”On va passer par quatre chemins Marc entre nous ça ne va plus.- C’est pas si grave que ça quand même, lui répondis-je- De toute façon on pourrait rester comme ça 10 ans tu ne remarquerais rien, on  en baise plus, on ne parle plus tu ne t’en rends même pas compte, me répondit-elle en prenant un ton moins calme- Si je le remarque mais ça va passer Alex, je me disais que cela calmerait les choses- Mais dans quel monde tu vis sérieux ? Déjà tu ne fais rien je ne vois pas comment ça aurait pu passer et puis arrête regarde toi en face tu n’arrives plus à me faire jouir, avec ta situation ta virilité n’existe plus si elle a déjà existé, enfin de toute façon on va pas en reparler une énième fois c’est mort entre nous ok ?! Moi je suis jeune j’ai envie de profiter, d’être avec un mec qui me plaît, après je ne suis pas stupide on a une bonne situation et je suppose que tu m’aimes toujours non ?, malgré la v******e de ses propos elle restait impassiblement froide en face de moi me fixant en attendant kaçak iddaa la réponse- Ben oui… moi je t’aime toujours mais, elle me coupa net- C’est bien ce que je pensais donc voila la situation Marc, Kader que tu as vu dans le salon c’est mon amant . On va être clair lui au moins il me baise, c’est un vrai mec il me fait jouir, il a envie de moi. Ce que je te propose c’est qu’on reste ensemble pour notre situation mais Kader a une exigence, il accepte de marcher comme ça si tu deviens un bon mari cocu soumis. Et à force de m’en parler il m’a convaincu. Elle s’arrêta de parler quelques instants, pour aller ouvrir le tiroir de sa commode. Je restais muet, sonné par la situation. Elle en sortit une boite pleine d’objet sexuels, god, dildo, cage de chasteté et j’en passe, ainsi que des tenues très affriolantes avec de la lingerie. Elle repris alors son discours :- Franchement j’ai regardé sur internet, j’en ai parlé avec Kader et on veut bien te garder mais tu seras notre esclave, notre pute on va te soumettre et faire de toi un bon chien a notre service. Si je te dis tout ça c’est parce que je te vois et je me dis que je suis sur que ça te plairait, quand je vois tes réactions et tes actions ça correspond à la description des lopettes cocu soumises qu’on voit sur internet. D’ailleurs Kader veut que là ce soir on commence directement par t’attacher et qu’il me démonte littéralement devant toi ne pouvant que regarder un vrai mec baisé sa copine. Alors t’en dis quoi ? Je ne t’oblige à rien tu ne veux pas, on arrête là, on se quitte et on déménage chacun de notre côté aucun problème.- Devant l’urgence de la réponse à donner et un sentiment naïf me disant que j’aurais toujours la possibilité de la reconquérir je répondis un timide mais audible, Oui je suis d’accord je t’aime encore je te ferais changer d’avis- Parfait je m’en doutais, kaçak bahis et l’espoir fait vivre c’est bien.Elle sortit de la chambre et dit à Kader :- T’avais raison il a dit ouiCe à quoi il répondit :- ça se voyait avec sa tête de lopetteIl arriva alors dans la chambre et me dit :- T’attends quoi pour te foutre à poil connasse ?Sans réfléchir je m’exécutais et je me retrouvais donc complètement nu face à lui, sa première réaction fut :- Putain c’est pas la taille de ton clito qui va me faire de l’ombre salope, dit-il en rigolant de manière audible.Il prit alors les cordes posés sur lit et m’attacha à la chaise face au lit pour que je ne puisse rien manquer du spectacle.Il me baillona, et m’enfila la cage de chasteté qu’il ferma à clé même si selon ses mots avec un clito de cette taille c’est inutile. Avant d’appeler Alexandra il se pencha au niveau de ma tête et murmura à mes oreilles :- Non seulement la tu vas voir ce que c’est qu’un vrai mec, je vais défoncer ta meuf devant toi salement pour que tu sentes bien le truc passer sale chienne, mais ce n’est que le début. La j’ai réussi à lui faire acheter ce qu’il fallait pour qu’elle te soumette et te baise mais ce qu’une question de temps avant que je la convainque de te transformer en pute et te faire tourner par d’autres mecs. Et crois moi j’ai déjà parlé de toi à pas mal de monde tu vas devenir la pute du quartier salope. Je restais figé les yeux regardant droit devant trop honteux pour croiser son regard. C’est alors qu’il me mit une énorme claque me tira la tête en arrière par les cheveux,  pour avoir ses yeux en face des miens et me dis :- T’as pas encore compris sale chienne quand je te dis un truc je veux entendre oui Maitre !- Moui Maitrme, tentais-je de prononcer à travers le baillonIl me remis une gifle mais cette fois-ci pour me féliciter en me rappelant bien que c’était la dernière fois que j’oubliais.Il appela alors Alexandra en même temps qu’il retirait son pull laissant apparaître une carrure bien développé et des muscles apparents.Ce n’était que le début d’une longue dépravation…

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LA PUTAIN DE TATAOUINE 23nous somme toujours chez mes cousinsnous prenons le thèmon cousin de 20 ans dit a michel qu il ses bien amuser avec moi je traduit tout a michel michel me regarde et me dit .. tu voie les hommes de ta famille sont content de toi je lui sourit et je lui dis oui tu a fait de moi la pute de la famille mon pere dit a mes cousins bon on vas partir on se leve moi je debarasse la table et je vais dans la cuisine et je dit au revoir a tout mes cousins je les embrasse tous sur la bouche devant michel ils me disent tu reviens quand je le repond je ne sait pas mais venez a tataouine ils me dise ok on viendras nous partons pour tataouine et je dit a michel tu est contente de moi pour avoir coucher avec mes cousins et mon pere il me dit oui je te veux comme sa tout les jours ..nous arrivons a tataouine ma mere est la et mon frere aussi et les faux jumeaux sont la aussi les hommes prenne place dans le salon et moi je vais voire ma mere dans la cuisine elle me demande si la famille vas biens je lui dit qu il etait heureux de m avoir seule chez eux pendant que michel etait a tunis pour ses papiers ensuite je vais dans ma chambre ou sont les trois garcons je raconte tout a mon frere il me dit tu est vraiment devenue la pute de la famille les faux jumeaux ecoute aussi et ils me dise et nous on veut ciucher avec toi je leurs sourit et je leurs dit bientot sa sera votre tour je me met nue devant eux car je veut prendre une douche je suis nue je m assoie sur le lit et les faux jumeaux vienne a coter de moi mon frere est en face de moi je discute avec eux et je sent une main me caresser le dos je ne dis rien je laisse faire un des faux jumeaux met sa main sur ma cuisse et me caresse sa main remonte et me touche le ventre mon frere me regarde sa main remonte encore il me touche les seins bahis firmaları je me laisse faire l autre jumeaux en fait autant il me touche tout les deux je continue a parler avec mon frere abdelmajid un des jumeaux m embrasse ..et l autre aussi je suis d accord j aime sa mon frere me fait un clin d oeil et me sourit et la un des faux jumeaux m allonge sur le lit je suis nue allonger sur le lit ils me touche bien et me couvre de baiser je me laisse faire un des garcons me mes ses doigt dans mon sexe j ecarte mes cuisse ils les rentres il me caresse le clitos ..j aime sa et la maman m appelle je me releve vite et les faux jumeaux aussi j ai juste le tent de mettre le drap sur moi elle est devant la porte de ma chambre et comme michel ne veut plus que je la ferme elle me voie assise sur le lit elle sait que je suis nue sous le drap elle regarde les garcons ..je ne sait pas se quelle pense elle me dis tu est a michel alors tu fait ce que tu veut ton pere et moi ne somme plus responsable de toi je croit quelle sait se que je fait je regarde mon frere il ne dit reine ma mere me dit je sort faire des courses tu prepare le repas je lui dit ok elle sent vas on se regarde tous et la j enleve le draps et je leurs dit au trois garcons bon je pensse quelle le sait que je me fait voire nue devant vous et les autres garcons du college que mon frere me ramene a la maison je dis maintenant je ne cache plus devant elle mon frere me dit tu croit quelle le sait que tu couche avec les hommes de la famille je lui dit je ne sait pas mais elle vas le savoir de toute facons alors alors autant que je lui dise moi meme ..je me leve et je met un grand t short et je vais dans la cuisine et je decide de tout lui dire sauf que je couche avec mon pere et mon frere nous sommes seule dans la cuisine je dis a ma kaçak iddaa mere tu sait tu te doute que ce que je fait elle me regarde et me dit oui biens sur j ai biens vue que les copains de ton frere du colleges vienne te voire et que tu reste avec eux dans la chambre je lui dit oui michel a dit a mon frere qu il pouvait me faire voire nue a tout ses copains du colleges et michel veut aussi que je couche avec des hommes de la familleet d autres hommes ..ma mere me regarde et me dit tu est la femme de michel alors tu fait ce qu il te dis maman me dis tu sait des voisines mon dit que tu couchait avec des copains de ton pere je lui dit oui c est vrais michel le veut ..et la je luis dit quand je suis partit chez mes cousin et que michel etait partit a tunis j ai couchez avec tout mes cousins ..ma mere me dit je men doutais un peut ..ma mere me regarde et me dit maintenant je sait tout donc tu fait ce que tu veut tu appartient a michel un point c est tout ..je repard dans ma chambre et je dis au trois garcons jai tout dis a ma mere donc maintenant je ne me cache plus mon frere me sourit ..je me remet nue devant eux et je leurs dit je vais prendre ma douche ..apres avoir prit ma douche je sort nue et en rentrant dans ma chambre mon pere est la les trois garcons sont la aussi je suis nue devant tout le monde michel est au salon a regarder ses papiers les faux jumeaux voie que je suis nue aussi devant mon pere et ils me dise ici tout le monde te voie nue je leurs dit oui mon pere retourne dans le salon et moi je m habille toujours tres sexie comme michel le veut je retourne au salon je suis a coter de mon pere j ai un grand decolter il me mate bien mon pere et je dis a mon pere que jai dit ce que je fait avec les hommes de la famille et aussi avec tes copains mon pere me dit elle sent doutais kaçak bahis tu sait elle men a toucher quelques mot plusieurs fois et comme je lui est dit elle est a michel maintenant je traduit tout a michel et il me dit tant mieux maintenant tu ne te cacheras plus devant elle ..je luis dit oui je preferre quelle le sache …mon pere se met a m embrasser devant michel chose qu il na jamais fait avant je suis surprise et je regarde mon amour il me fait un grand sourire ouf je suis soulager je me leve et je lui dit tu veut que sa soit ainssi maintenant il me dit oui ne te cache plus ok je l embrasse fort et je lui promet d ettre une nouvelles fois la pute de tataouine je me rassoie pres de mon pere et j enleve les boutons de mon chemisier et la on voie mes seins je le fait devant michel maintenant mon pere les caresse je l embrasse jaime sa je regarde michel qui nous voit sa lui plait je me laisse faire et la je voie arriver mon frere et les faux jumeaux dans le salon ils me voie avec mon pere jai les seins a l air lui les touches ..ils nous regardes tous je leurs sourit et je leurs dit au faux jumeaux oui je couche aussi avec mon pere et mon frere sa leurs plait de me voire faire mon pere continue a me caresser les seins je sourit a tout le monde et je peut vous dire que tout le monde se rince l oeil la je suis vraiment devenue la pute des hommes de la famille car maintenant je le fait devant tout le monde et moi sa me plait d ettre vue ..pares un bon moment je dit bon je doit faite la cuisine je me leve et je reste avec mon chemisier ouvert je passe devant les jumeaux et je les embrasse aussi devant les autres je leurs dit vous pouvez me toucher devant tout le monde maintenant sa serat comme sa a chaque fois ils sont heureux je peut vous le dire ..et je vais dans la cuisine pour preparer le repas du midi les faux jumeaux sont pres a partir et michel me dit de leurs dire que eux aussi pourons coucher avec moi je leur traduit tout et la je voie les faux jumeaux crier de joie ..il m embrasse fort a bientot

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TGVDans le TGV Nice – Paris j’étais dans un compartiment, en première classe, où il y avait très peu de gens. Le rang où j’étais assise, était vide. Je lisais un roman dont les scènes d’amours m’avaient un peu chauffée le bas ventre et je décidai d’aller faire un petit tour aux toilettes pour me calmer de l’excitation qui m’avait soudainement envahie, à mon retour je recroisai le regard d’un jeune homme très charmant qui me fit un sourire fort sympathique. Je repris tranquillement ma lecture mais quelques minutes plus tard la chaleur m’avait envahie à nouveau et je sentais bien que j’étais toute mouillée, mes poils me collaient à l’intérieur de mes cuisses, mes lèvres ourlées de poils étaient toutes gonflées. J’avais encore envie de retourner aux toilettes mais surtout envie de glisser ma main sous mon p’tit string qui était déjà sûrement tout trempé. Je voulais passer le bout de mes doigts afin de titiller doucement mon clitoris. Je n’en pouvais plus et je n’ai pu m’empêcher de résister plus longtemps à l’envie de me caresser.Avant de prendre mon sac sur mes genoux, je jetai un coup d’œil dans le compartiment pour voir si quelqu’un m’observait…ensuite je passai ma main sur l’intérieure de mes cuisses, j’étais jambes nues sous ma petite jupe plissée….je remontais lentement jusqu’à mon string que je sentais humide sur mes doigts. Le désir montait en moi et je passais mes doigts à travers le mince tissus. J’étais de plus en plus humide mais aussi un peu honteuse : Et si quelqu’un me surprenait ? Je regardai encore un peu autour de moi mais les autres passagers semblaient dormir.Mon sac cachant toujours ma main, contournant mon string , je passai mes doigts délicatement sur mon pubis et puis rapidement sur mes grandes lèvres. Quel plaisir ! D’autant plus que la ficelle de mon string commençait avec la tension du tissus à rentrer dans la raie de mes belles fesses. J’étais morte de honte et de trouille mais personne ne semblaient me voir.Je caressais délicatement mon clitoris que je sentais devenir de plus en plus sensible et en même temps je serrais mes cuisses sur mon poignet pour avoir des spasmes. Mon sexe me donnait infiniment de plaisir, je n’avais pas besoin de toucher à mes seins. Soudain, en tournant la tête, je surpris le regard du jeune homme illegal bahis se poser sur mes cuisses, j’étais rouge de honte mais aussi très excitée. Je ne pouvais pas m’arrêter en si bon chemin car j’avais dépassé le point de non retour alors j’ai continué à pénétrer mon index et mon majeur entre mes p’tites lèvres. Le plaisir, déjà grand par l’interdit et l’originalité du lieu, était décuplé par le voyeurisme du jeune homme. J’étais devenue complètement folle d’excitation, je m’exhibai sans aucune retenue devant cet inconnu. Mon pouce frottait doucement mon clito, mon index et mon majeur remuaient en moi, tandis que mon annulaire s’amusait à l’entrée de mon vagin, et que mon petit doigt s’enfonçait plus bas entre mes fesses. Oui, j’étais également attirée par mon anus mais je me contentais seulement de le caresser sans jamais forcer mais même cela faillit me faire crier.J’effectuais un massage de mon clito du pouce pendant que mes autres travaillaient dans mon intimité. Je mouillais comme une folle que je ne souciais presque plus d’être discrète devant le regard de cet homme.Quel que soit le malaise, je n’en pouvais plus, j’étais vraiment trop excitée et malheureusement encore loin de la jouissance pour continuer ainsi. Je voulais beaucoup plus, je voulais sentir une queue bien dure dans ma chatte et dans mes fesses…huummm… Alors me tournant vers mon charmant voyeur je lui fis comprendre ce dont j’avais envie mais heureusement pour moi il était aussi en train de se caresser…sans trop me poser de questions je lui ai demander d’aller m’attendre dans les toilettes…le laissant s’éloigner un peu je n’ai pu résister plus longtemps à l’envie de le rejoindre rapidement…Je le rattrapai au moment où il atteignit la porte des toilettes où nous nous efforçâmes de rentrer précipitamment. Une fois dans les toilettes je m’approcha de lui pour poser mes lèvres sur les siennes. J’étais toute excitée. Je m’avançai encore plus pour sentir son sexe bien dur se coller sur ma fente. Ensuite je m’abaissai devant son membre bien bandé. D’une main, je débouclai la ceinture du pantalon qui chuta sur le sol laissant place à son caleçon où sa queue avait pris une proportion énorme. Je posai mes lèvres sur son caleçon et commençai à le mordiller délicatement. J’avais plus illegal bahis siteleri qu’une envie c’était d’engloutir sa grosse queue bien dure dans ma bouche alors je pris son sexe et le lécha tendrement tout d’abord, pour ensuite enfoncer le maximum de cette lance jusqu’au fond de ma bouche mais c’est à peine la moitié que je pouvais absorber, je commençais mes va-et-vient en le pompant et en le branlant également d’une main. Je lui taquinai les bourses de l’autre main car je voulais le faire craquer en mettant tout mon savoir. Sentant la pression monter dans sa verge, en vraie garce, je me suis alors mise à le pomper encore plus fort et plus vite mais devinant mon petit manège, il me prit par les bras pour me relever et me retourner afin de me pencher sur le bord du lavabo. Il enleva ma jupe si bestialement que j’en étais toute excitée. Pendant que je le voyais contempler mes belles fesses, j’en profitais pour glisser mon petit string le long de mes cuisses. Ensuite, il approcha son sexe pour l’appuyer contre mes fesses afin de le glisser dans ma chatte toute trempée. Lentement, il s’enfonça, en baisant la tête je pouvais voir disparaître un grand morceau, puis le tout. Je ne me croyais pas si profonde mais sa queue avait trouvé aucune résistance puisque mon sexe était bien trempé et dilaté de plaisir. Il enfonça son pieu dur comme la pierre dans ma chatte et je crus mourir de plaisir. Je fermais les yeux pour mieux savourer le moment.Mon sexe s’était très largement ouvert sous le gonflement de cette queue généreuse qui était un peu à l’étroit. De ce fait je la sentais vraiment bien entrer et sortir de mon intimité et le plaisir m’échauffait tout le corps. Heureusement, ma chatte restée mouillée inondait ce membre qui allait et venait de plus en plus vite. Il me pilonna sans ménagement, je gémissais fortement de plaisir, j’avais envie que ça ne s’arrête jamais que son sexe s’enfonce encore et encore…La façon dont ses mains s’accrochaient encore plus fort à mes hanches, son sexe qui enflait encore au fond de mon ventre, ses grognements de bête en rut, ses gouttes de sueur qui tombaient sur mes reins offerts, tout cela augmentait encore mon plaisir, et je sentais que mon orgasme, trop longtemps retenu, allait être absolument dévastateur !!!Sentant canlı bahis siteleri ses coups de butoir violents me transpercer, je posai ma jambe sur le siège des toilettes pour m’ouvrir encore plus. Sa verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond de moi. Il continua son pilonnage, je gémissais et miaulais de plaisir. J’étais au comble de la jouissance, et je sentis mon liquide vaginal couler le long de mes cuisses.. Je m’accrochai aux robinets, je me mettais à onduler du bassin et à monter et descendre le long de son sexe. Je bougeais très doucement, il accompagnait mes mouvements tout en douceur, faisant à peine coulisser sa queue tendue comme un arc dans mon fourreau de feu. Je m’abandonnais totalement au plaisir, poussant des gémissements de plus en plus sonores.Brusquement, il sortit son membre de mon vagin et il commença à le pousser dans mon cul, tout en m’empoignant bien les fesses. Meme si j’en avais très envie, je lui suppliais de ne pas le faire car sa queue était vraiment grosse. Mais je sentais que je m’ouvrais…il poussait un peu plus et son gland était maintenant en moi. J’hurlai d’abord de douleur, mais très vite, celle-ci fit place au plaisir. Je sentais chaque millimètre de son sexe entrer en moi et frotter sur mes parois rectales. Mon anus me faisait mal mais la douleur était supportable et de loin surclassée par le plaisir. Il poussa doucement et je voyais que plus de la moitié de son sexe était encore dehors. Il s’arrêta un instant pour mieux reprendre sa poussée et là je sentis que son sexe était entièrement en moi, dans mon cul. Il m’enculait. Il allait et venait dans mon cul et le plaisir fut divin. Son va-et-vient s’accélérait, c’était extraordinaire. Tout cela était très bon et je me mettais à onduler doucement du bassin. Je criais de plaisir, il me faisait jouir comme une vraie salope…ma respiration devenait rapide et sifflante, je sentais l’humidité abondante couler le long de mes cuisses.Après quelques allers retours, il explosa dans mon anus. Je sentais les giclées de sperme, brûlant, cogner contre mes parois anales, j’avais l’impression que ça ne s’arrêterait pas. Je sentais son sperme se déverser par giclées à l’intérieur de mon cul. Puis, il se retira et j’eus l’impression que mon anus était énorme et ouvert. Je sentais le sperme couler doucement entre mes cuisses. Tout comme moi, il reprenait son souffle et ses esprits…Après dix bonnes minutes, on regagna le compartiment pour s’asseoir cote à cote et discuter….discuter……

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sa famille sous mon empriseSa Famille sous mon emprise Je me prenomme sebastien 34 ans directeur commercial d’engins et Matériels industriels , je gagne relativement bien ma vie .je me suis marié avec Murielle 31 ans il y a maintenant 2 ans .Une femme très naif ,très docile , il me fallait une femme comme elle , moi l’infidéle qui aime baiser et rabaisser les autres en permanence .Combien de fois Murielle tu as sue que tu était cocu avec tes copinesque tu frequente même plus par honte, mes deplacements à l’étrangeravec des jeunes commerciaux ,des prostitués etc… tu pleure , je te baise en te disant que c’est toi que j’aime ,que tu es ma femme et que les autres sont des putes .Sa te rassure et tu n’as pas d’autre choix que d’accepter cette situation , toi la femme inculte shampouineuse à mi-temps par choix pour que tu es du temps pour moi , ma petite bonne , apporte moi ceci , apporte moi célà etc..Elle me ****lle que demain on mange chez ses parents ,ah oui ceux qui me mange dans la main , non je suis pas un salaud pour avoir la main de leur fille que j’aurai eu même sans leurs accords .J’ai offert 8 jours en guadeloupe tous frais payer à mes beaux parents .Mon beau-père cette bonne brute alcoolique en arret de travail depuis 10 ans à picoler à longueur de journée à cette femme soumise après sajournée de travail dans un pressing , ou elle doit tous gérer .Elle doit rigoler quand son mari raconte une connerie , sinon elle se prenddes baffes quand elle le contrarie .Un exemple pour moi et pour ma femme .Sur la route je donne 100€ à ma femme pour un gros bouquet et je m’arrettedans une épicerie pour prendre une bouteille de jack daniels pour mon beau-père .Tout content de nous recevoir , reçu comme un Roi aveccette bouteille qui se presse d’ouvrir pour ranger sa vodka 1er prix .Ma femme raconte ses sorties dans les grands restos , notre week-endrecement à Rôme etc …lui me raconte ses vieilles histoires périmer .Je picole avec lui , j’avoue il en à deux d’avance .Ma femme , “cheri tu pourra pas reprendre la route si tu arrete pas ?”tu conduira , je te les jamais prêter mon Q7, mais tu as ma confiance .”Oh , c’est trop gros pour moi sa “Oui , tu me la déjà dit dans le lit .Voilà de quoi faire rire tous le monde et ma femme qui rajoute c’est vrai qu ‘elle est grosse aussiPourtant elle rentre bien dans tes fesses .Sa mère regarde son mari si il rigole et comme il rigole , elle rit aussiTa raison les femmmes , faus les enculer sinon c’est elle qui t’encule crois moi , j’en est connus des salopes plus jeunes .Oh mamour arrête tes bétises , sa les regarde pas .QU’est ce que tu te méle toi , tu crois que j’avais connu que toi avant si j’étais pas venus te chercher dans ton bled tu serai encoredans tes champs avec tes tracteurs .et bla bla , on passe à table , lui nous fais son numéro en insultanttous le monde en rabaissant toutes sa famille et celle de sa femme .Après le repas , il se sert car pas pour moi après les wisky et les vins.Je suis bien défoncer quand même mais lui pire car il en enchaine trois .Une heure après comme il est défoncer il décide d’aller se coucher .Ma femme s’engueule avec sa mère comme quoi il est toujours défoncé qu’ilfais rien etc…Elle le defend comme une bonne femme bien soumise à son mari comme j’aime .elles decident de faire la vaiselle et moi je cherche un pretexte pour que je reste seul avec ma bele-mère , alors je décide d’envoyez ma femme chercher des cigares qu’on m’avez donner dans un diner .Je savez que j’avais à peine 5 minutes .Je m’approche de ma belle-mère me frotte à elle par derriére et me mesà la pelotter assez sauvagement .Sebastien arrête , qu’est ce qui t’arrive ?il m’arrive que tu me donne envie , tu m’éxcite belle-maman .Bernard pourrai se reveiller et murielle revenir .Oui je sais tiens touche comment elle est grosse .Je lui prends sa main pour la frotter sur mon jean’s .je lui relève sa robe , écarte son string pour lui enfoncer deux doigts direct elle mouillée déjà la salope de belle-mère Sa sonne à l’interphone , murielle déjà , je lui parle quoi “Je les trouve pas , dans la boite à gant “Mais non ils sont au milieu dans un étuit .je reviens sur ma belle-mère qui avez déjà redescendu sa robe .Je sors mon sexe la met à genoux et je lui fais sucer .Elle me pelotte les couilles la salope , je la reléve , je l’empoigne en pleine bouche et je lui est dit ” je vais te baiser comme je baise ta fille salope .Non pas là sebastien elle va revenir Je sais salope canlı bahis şirketleri en attendant ferme ta gueule , t’as compris oui oui sebastien , ne le dis pas surtout .Allez continue ta vaiselle et la murielle remonte contente d’avoirtrouver la boite à cigare et sans doutesles capotes dans le tiroir du tableau de bord ,les à t’elle vue .elle en parle pas , pas un mot ni aujourd’hui ni après .Le beau -père se reveille , une bierre direct et un bon gros cigareque je lui offre .La belle-mère ne parlez déjà pas beaucoup mais la déstabilisée par la situation , je la vois avec ses regards elleest perdu ne dis plus un mot dans ses pensées .La soirée se termine ainsi plus tranquille , sur le chemindu retour ma femme conduisait , je lui est dit c’est excitant de tevoir conduire une grosse voiture comme sa .Je lui met la main à la chatte son collant m’emmerde , je lui arracheassez sauvagement , elle me dit doucement tu me fais mal comme satu fais quoi avec sa , je veut que ta chatte sois disponible en permancence tu comprends alors demain tu ira sur un site que je te donnerai et tu achetera de la lingerie pour que je n’est plus ce genrede probleme .maintenant laisse moi te doigter et regarde bien la route .Mais je pourrai acheter pour combien ?Plus tes fringues seront sexy plus tu pourra met dans le panier et lesoir je garderai ceux que j’aime seulement ,okOui daccord , hum cochon sa t’excite de boire toi .Et si c’etait ta mère qui m’exciter .Oh sa va pas , t’aime les vieilles toi maintenant J’aime surtout les bonnes chiennes soumises comme elle.Sa va pas laisse là , tu veux que mon père te défonce toi , t’es fousOui c’est la chienne à ton père mais tu crois qui la baise encore ?Je sais pas moi , je m’en fous de leurs histoires .Je suis sur qu’il bande plus avec tous ce qu’il bois .En tous cas je me souviens qu’elle était grande quand je la voyez.Tu la mater souvent , tu te doigter quand tu entendez ta mère baiser .Mais sa va pas arrête , t’es fous toi .Tu me ferai la gueule si j’arrive à baiser ta mère ?Mais même pas en reve , laisse la tranquille elle à plus besoin de sa .Tu connais rien toi , tu crois qu’à 58 ans on à plus envie de baiser .Je sais pas mais occupe toi de moi plutôt .Une fois rentré chez nous , j’attends qu’elle prenent sa douche pour la baiser à son retour en la traitant de grosse pute , lui mettant des claquessur le cul et lui fais avaler tous mon sperme .Eh ben tu étais exciter mon amour .Oui allez je dort demain je bosse moi .Des le lendemain j’écris à ma belle-mère via messanger de facebook Bonjour belle-maman tu m’as exciter hier .Arrête sebastien , je préfère ne pas aller plus loin .Depuis quand tu décide , tu veut que ta fille sache que tu t’es empresser d’allez sur ma queue dés qu’elle est descendu ?Non sebastien mais c’est pas possible on est à 60 km l’un de l’autre .Dis moi que tu peut être dispo le matin , après -mdi , soir ?Le matin defois mais j’ai pas beaucoup de temps ?Jeudi matin je suis dispo pour toi dis moi quelle heure ?Mais non je veux pas et je peut pas .Ecoute jeudi matin je t’attends à 9h30 devant la mairie .Non je travail à 14h 00 après , j’ai pas le temps .Demmerde toi , ou elle saura tous jeudi soir ,crois moi .Je fais comment moi ….Je décide de plus repondre , ma femme ramene son panier d’achat 470 Euros la salope , je regarde vire 4 trucs inutile mais rajoute un baillon , et du poppers pour moi . 425 euros quand même .J’avais annuler tous mes rendez vous pour jeudi matin et je me renden voiture devant la mairie de chez ma belle-mère .Elle est déjà là et il est seulement 09h20 , je la fais monter .Je vais sur un hotel , ou on me jette car les chambres sont pas prêtes je suis dans la merde ou aller .Elle pendant ce temps me raconte qu’on pouvais seulement discuter 1/4 d’heure , qu’elle pouvais pas faire sa .Mais ta gueule , tu crois que j’ai fais 60 bornes pour parler avec toi .Je retourne à l’hotel , je lui demande de me donner une chambre même si pasencore faite , et de lui payer le double ,70 euros et je me retrouve avec elledans une chambre qui est prête en entendant l’aspirateur de la femme de ménage.Elle est térroriée ,d’être là à pas savoir quoi faire .Fous toi à poil , vue que tu es presser .Mais non je peut pas , me mettre nue comme sa .Je vais sur elle l’emballe , lui enleve son pull , lui baisseson jean’s , sa culotte l’horreur , je la jette sur le lit completement nu .Je me deshabille elle me regarde faire , je prend ma queue canlı kaçak iddaa dans la main .Ouvre ta bouche , suce belle-maman .Je lui pelotte ses gros seins , lui doigte sa grosse chatte .la voilà bien ouverte , je rentre mes doigts un part un j’arrive presque à la main entiere dans sa chatte , t’aime sa grosse pute .Sebastien arrête , je t’en supplie , je dirai rien .Je sort mon portable la prends en photo 3 fois avant qu’elle réagissepour se cacher le visage .Je le pose et elle me demande pourquoi j’ai fais sa .C’est pour moi t’inquiette pas , j’aime bien regarder mes tropher après Mais tu trompe ma fille souvent .Ben oui mais elle aime bien que je baise d’autre pute , quand je la baise et la puni elle me demande de raconter comme je les est baiser .Mais elle est soumise ?Mais oui comme toi aussi , même pire je crois elle est très perverse .Ah bon elle dit rien que tu couche avec d’autre femme Mais je couche pas , je baise les mals baiser comme toi Regarde comme je te baise , comme ma bite est bien dans ta chatte .Oui sebastien , baise moi , t’es un Dieu écarte ton cul sale pute , je vais t’enculer comme j’encule ta chienne de fille , je le savais que t’étais une bonne chienne toi , tiens prends sa .Et la je lui claque le cul , je la retourne lui demande d’ouvrir sa gueuleet la je lui crache dedans , avale sale pute .Je lui met une claque pour bien lui faire comprendre c’est une soumise née , elle se laisse faire ,je décide de finir et de lui éjaculer dans sa bouche .C’est bien belle-maman tu sera recompenser t’inquiette pas .Mais tu dira jamais rien aussi .Mais je te repette que t’as pute de fille serai prete à te boufferta chatte aussi , elle se branler derriere votre porte quand tu tefaisait baiser le soir dans ta chambre .Je te crois pas elle est pas comme sa .Mais si tu verra , je te ferai voir des photos elle m’as même dit je suis sure qu’il y a personne qui la baise la vieille .Mais elle dirai pas sa de moi .mais si elle me le dis tous le temps qu’elle est une chienne soumisecomme sa pute de mère .J’ai vraiment du mal à croire ceux que tu me raconte .Pourquoi tu crois que je t’es sauter dessus à entendre tous sa .Mais je suis pas une soumise moi .mais si tu lui obeis aux doigts et à l’oeil , pauvre conne .Arrête sebastien m’insulte pas .Mais sa fais une heure que je t’insulte de tous les noms grosse pute .Tu m’as baiser , t’es content , tu as eu ceux que tu voulais ?Mais ceux que tu comprends pas , c’est que je te baise quand j’ai envie .Et la je la redoigte , elle mouille encore .Regarde comme on peut fairece qu’on veut avec toi.Quand même pas , je suis pas une poupée .Regarde comme je te doigte tu aime sa , dis moi que t’aime sa !!Oui sebastien , plus fort , t’es un chef .Je vais te filmer et tu vas dire , ” oui sebastien je suis ta chienne “Mais sa va pas , est tu vas faire quoi avec sa .Mais c’est pour moi , comme sa je me branlerai en pensant à toi .non je suis pas daccord range sa .Je pose le tel sur la table prend l’angle pour bien voir la pute .Et la c’est partie .Alors je t’es bien baiser sale pute .Arrête sebastien avec sa , tu m’énerveJe viens de te baiser , t’enculer , ta bouffer mon sperme et tu fais tasainte nitouche chiennasse .Oui ben c’est bien sebastien , tu m’as bien baiser t’es content .Regarde sa , tiens bouffe ma queue qui viens de t’enculerEt elle la suce à demi molle cette pute .Dis que tu aime ma bite salope .Oui j’aime la bite à sebastien , elle est bonne .je t’es bien enculer tu étais contente .Oui tu m’as bien enculé sebastien ; t’es un champion .tourne toi fais montrer ton cul bien ouvert .Oh la la tu m’etonne que sa s’encule sa , suce vieille pute .Met la moi encore sebastien , vas y , te géne pas .Oh la la elle réclame beaucoup la chienne , sa fais 3 fois que je te baise comme une chienne est tu en veux encore .Je l’att**** par les cheveux en sachant que sa filmer .Vas y chienne , leche mon cul .Non pas s , je fais pas sa moiJe lui prends sa gueule , lui met une baffe , écoute sale chiennetu fais ceus que je te dis et tu leche comme une bonne chienne .Et voilà qu’elle me lecher le cul ,sa fille ne fais pas 1/4 de ce qu’elle m’as fais ,en lui faisant croire le contraire .11h20 on décide de quitter la chambre après on douche rapido .Je la ramene au plus près , et reprend la route pour mon travail.Le soir je rentre et je vois ma femme habiller comme une pute des achats de internet ,et merde je me suis vider 3 fois les couillesaujourd’hui et en plus avec canlı kaçak bahis sa mère .Mais est’elle aussi pute que sa mère alors !!!Elle est toute exciter et me chauffe dés mon arrivéBen alors tu t’es pas servie de ton god ?Si mais je préfére ta queue au moins c’est du vrai .La je me rapproche la carresse avec son éspece de body qui donne accés a sa chatte direct .Elle mouille aussi ma pute .Tu sais elle à déjà servie à une grosse chienne aujourd’hui.An non me dit pas sa , je me suis fais belle pour toi et toi tu passeton temps à aller baiser ailleurs , mais t’as un probléme je te suffit pas .Mais si mais tu sais il y a trop de chienne affamée , elle réclame .Et alors laisse les aux autres , je crois que j’ai assez subis tes écarts.Oui et tu vas faire quoi ? si tu comprends pas que je t’aime mais queje suis comme sa , je sent les chiennes et elle me provoque après .C’est qui cette pute que t’as baiser et ou t’as était la baiser ?Calme toi , c’était une chienne nimporte qui pouvez la baiser ?oui ben et il a fallut que tu tombe sur elle, tu l’as connus comment ?Tu veux vraiment savoir , j’ai peur que tu comprennent pas .Tu me prends pour une conne ou quoi , vas y dis moi maintenant .Detend toi et regarde sa .Et la je sors mon portable , j’ai eu le temps à mon travail de refaire un montage video et de passer que des passagesou sa mére me provoque comme une salope , voila ceux qu’elle entends .”Oui sebastien baise moi encore , tu aime ma bite vieille chienne ,oui t’es un champion continue , tourne toi grosse pute “Et la je vois ma femme decomposer de voir sa mère qui écarte ses grosses fesses pour faire voir ses trous bien ouvert .Tu vois je te l’avais dit , c’est une nympho , tu te ****lle la dernierefois que u es descendu chercher le cigare , ben elle pendant ce temps-làdirect elle est venue me voir pour toucher mon sexe et me sucer pendantque je te parler à l’interphone .Quel pute et toi pourquoi tu as accepter sa il fallait dire non .Je sais sa m’emmerder en plus j’avais trop peur que ton pére se léve tu vois direct elle m’as dis on s’en fous de ce cocu il baise plus .C’est pour sa que je t’avais poser la question et je voyais bienque tu étais loin du compte de ce que tu penser de ta mére .tu l’as baiser , c’est une chambre d’hotel sa .Ben oui elle voulais que je la rejoingne absolument Et toi tu as était jusqu’à la bas pour la baiser .Ah ben une femme qui me dis viens vite me baiser comme une chienne .j’oublie vite que c’est ma belle-mére tu comprends .Je comprends surtout que vous êtes des enfoirés de me faire sa .Je suis désolé mais t’as mère est une vrai chienne tu imagine même pas .Vas y tu vas dire qu’elle baise mieux que moi cette vieille pute .Tu es bien plus belle que cette truie mon amour mais par contre elle fais vraiment tout , un moment elle me dit fais moi mal sebastienje te jure elle aime vraiment la douleur .Ben tu lui as fais quoi de plus ?ben des baffes dans la gueule , je lui cracher dans sa gueule .tirer ses cheveux apparement habitué avec ton pére avant .t’es content ta baiser la mere et la fille sa sera qui ta prochaine cible ?C’est toi ma cible et j’éspére que tu deviendra une bonne chiennecomme ta mére , une bonne soumise .Mais j’aime pas la v******e moi ?Ah bon mais tu crois que les claques sur ton cul me suffit .La je sors le baillon reçu dans la livraison , je lui met .Voila comme sa tu ferme ta gueule de pute et tu obeis .Tu entend , tu es ma femme , je t’aime mais j’aime les soumisesj’aime diriger , commander vous êtes des vides couilles pour moi .Alors désormais si tu veux toujours vivre avec moi il va falloirque tu change et que tu sois de mon coter et tu pourra participer à plus de chose et découvrir plein de chose .tu entends chienne .Fais oui de la tête , t’es ma pute tu comprends !!!Je t”enleve le baillon et tu lêche mes pompes .Mais sa vas pas , je fais pas sa moi .Tiens dans ta gueule , je te demande pas si tu fais ou pas .tu fais et tu refechis pas , voilà sort bien ta langue .voilà c’est bien tu pige vite , je vais baisser mon froc et comme ta pute de mére toi aussi tu vas me lecher le cul .Sort bien ta langue , je veux la sentir bien dedans .voilà tu vas être une bonne chienne samedi soir je t’emmeneen club tu faire baiser par des autres hommes .Tu dira rien sa va faire drôle que tu me regarde .Si c’est sa qui t’intrigue , t’es encore loin d’imaginerceux que j’attends de toi , tu vas apprendre à aimer d’être aussi pervers que moi .Ah ben là , je suis pas si sur que toi .Tu n”as pas le choix sinon je te délaisserai pour une autre soumise , tu c’est il y en à plein qui demande ta place .Réflechis bien , je te retiendrai pas .Mais tu m’aime vraiment ?je t’aimerai quand tu sera comme je le souhaite .

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Un coin de trottoirDes familiers de Paris reconnaîtront cette rue où baguenaudent les filles sans joie exposées aux touristes veules et aux adolescents attardés. Nous habitions mon mari et moi à quelques encablures. Nous ne dédaignions pas d’y passer quelque fois par jeu et dérision. J’avais soupçon que mon bonhomme eût lâché par là-bas quelques billets. En effet je surpris plus d’une fois des regards, des sourires et quelques interjections qui établissaient une complicité entre lui et de ces créatures. Il niait à chaque fois. Nous étions un couple libre. Le cul ne nous effarouchait pas.Dans le même quartier nous allions certains soirs chez l’ami Chang. Un grossiste chinois chez qui mon mari aimait à taper le carton, un de ses nombreux vices. Une rumeur courait que ledit Chang disposait de deux, trois filles qui tapinaient là-bas. Mon mari obtint un jour l’aveu de l’intéressé. L’alcool aidant leurs langues se délièrent. Ce conte me parut vraisemblable. L’étonnant fut que cette face de citron que j’avais jusqu’alors méprisé s’en trouva auréolé du coup de ce nouveau prestige. Il m’avait maintes fois dragué et j’avais remis à sa place l’avorton. Il savait que je couchais facile.Nous eûmes à cet égard une franche conversation. C’est moi qui l’amena sur le terrain de cette activité illicite. Loin de s’offusquer que mon mari m’en eût fait part, il s’en amusa d’autant qu’il décela de suite chez moi un intérêt profond et malsain pour la chose. Il me demanda si j’adorais certains soirs me balader là-bas au bras du mari. Je crus devoir lui confirmer que cet univers en effet me fascinait. Ces mâles en rut autour de filles mi-nues et harnachées m’arrachaient des fois comme des frissons. Je convins que j’enviais pas mal ces créatures.Chang m’adressa un regard noir et profond dénué de toute ironie et empathie. On eût dit qu’il m’auscultait, me sondait le fond de mon âme. J’eus un moment de désarroi de m’être livrée et mise à nue. Un sourire ambigu heureusement revint sur son visage. Il me rassura. Maintes femmes partageaient le même goût que moi. Outre de se déguiser en putain dans la couche du conjoint, elle rêvait tout simplement à sauter le pas et à se prostituer un jour. Il me confia qu’il avait permis à deux, trois femmes mariées de s’essayer à ce jeu.Cette confidence me laissa rêveuse. A l’époque j’avais commencé avec mon mari d’écumer certaines broîtes libertines. Les partouzes cependant commençaient à m’ennuyer. Je décidais que la prochaine étape ne pouvait être que ce dont m’avait entretenu Chang. Dans un premier temps un scrupule me retint. Je trouvais trop ridicule ce fantasme. Enfin qui voudrait d’une quinqua même si mon corps pouvait encore en remontrer à pas mal de minettes. J’eus la faiblesse de m’en ouvrir encore à Chang. Je lui demandais si j’avais chance d’attirer le chaland. Il rit de bon cœur.Je crus qu’il se moquait. Il me démentit. Il me trouvait plus que baisable. Il me fit convenir qu’il m’avait mainte fois dragué et que je l’avais éconduit. Il savait à mille lieux repérer une canlı bahis şirketleri super poule. J’étais de cet acabit. Disant cela il réitéra ostensiblement ses avances. Il n’y alla pas par quatre chemins. Il dit : « Tu sais je teste mes filles. Avec mon aval elles vont ensuite sur le trottoir. » En d’autres termes, il ne tenait qu’à moi de décrocher le label. Juste et après je ne sais pourquoi il me confirma que mon mari été un zélé client. Ceci acheva de m’énerver me décidant à sauter le pas.Je décidais une après-midi de poser une RTT pour aller rejoindre Chang à l’adresse d’un pressing où il était gérant. C’était loin. A l’autre bout de Paris. Nous avions peu de chance d’y faire de mauvaises rencontres. Deux studios demeuraient au-dessus de l’échoppe. Chang y fit monter de l’alcool et des verres. C’était le début de l’été. Il faisait chaud. J’avais sans scrupule arboré une mini-jupe. Les types dans le métro m’avaient suffisamment reluqué. Je tirais dans la pièce nerveusement sur ma clope. J’avais une envie folle de me faire sauter. Chang n’en voulut pas moins assurer son triomphe en me faisant boire.Pouffant comme une sotte je fus bientôt sur ses genoux. Je lui balançais en pleine figure que je l’avais toujours trouvé vilain et qu’il me répugnait. Il me répondit d’un ton affable qu’il faisait toujours cette impression la première fois. Il ajouta : « Eve n’en a pas moins cédé au serpent. » Ces mots puissants me procurèrent comme un frisson. Sa main entre temps s’était glissé dans ma culotte. Il s’exclama goguenard : « Tu es toute trempée chérie. » Portant les doigts à son nez, il huma l’odeur de ma chatte. Mes tétons de seins aussitôt dardèrent au travers du tissu de mon petit haut.Peu après à genoux j’étais en train de le sucer entre ses cuisses. Le coquin avait une belle queue. Je ne l’eus cru pas cru d’un chinois. En fait j’entretenais comme nombre un préjugé défavorable à l’encontre du mâle asiatique. Je lui concédais trop peu de sex appeal. Quoiqu’il en soit cette queue dans la bouche achevait de me rendre folle. Il me releva. Il me prit debout contre une armoire. Ses coups étaient violents et ajustés. On eût qu’il me faisait passer un examen en règle. Puis nous poursuivîmes sur le parquet en levrette. Sans coup férir il m’encula.J’étais soufflée. On ne m'(avait jamais baisé de la sorte. On eût cru que sa queue agissait à la façon du fameux poisson torpille. Une décharge électrique alors vous saisissait. Je ne savais plus où j’étais. J’étais conquise. Je convins que le boss c’était lui. Cependant le doute me vint qu’il pouvait cependant m’avoir trouvé médiocre au pieu. Il tint cependant à me rassurer. Il me dit : « Mon instinct était sûr. Je me trompe rarement sur le pronostic d’une salope. Tu en es une sacrée. » Je ne pus m’empêcher de rire. Je cédais une seconde fois en ses bras.Il fut convenu que ma première expérience de prostitution se passerait sur un pas de porte et à une certaine heure. Je n’y courais pas grand danger. De toute façon un de ses gars surveillait. canlı kaçak iddaa Je devais tenir une heure et si cela me plaisait j’avais droit à dépasser. Pour l’occasion j’adoptais la même mini-jupe qui m’avait procuré cette chance. Mes hauts talons étaient vertigineux et accentuaient davantage ma cambrure et le dessin de mon cul. Sur le maquillage, je l’outrais afin que nul n’eût pu me reconnaître cette nuit-là. J’avais raconté à mon mari que j’étais à l’anniversaire d’une copine.N’empêche tel un artiste qui aborde la première fois la scène et scrute en vain l’obscurité de la salle emplie de spectateurs, je posais mon premier pied sur le bout de ce trottoir. J’eus le signe d’encouragement de deux, trois partenaires. Elles auraient pu me snober et manifester même de l’hostilité. Ce témoignage de sympathie me dénoua et fit partir peu à peu ma grosse boule d’angoisse d’autant que vite un petit vieux me demanda le prix. En d’autre temps j’eus éconduit le nabot .Là investie d’une mission et sous le regard des autres, je fis bonne mine l’intimant à me suivre.Dans l’escalier machinalement vins-je à rouler du cul. Je trouvais trop mignon que le petit cochon porta une main vicieuse à ma croupe. Je décidais qu’il en aurait pour son argent. Finalement il accepta d’obtenir tout le menu entier. J’eus mon cul défoncé. J’y découvris une étrange jouissance. L’endroit était sordide. On m’avait acheté. On avait accrédité à mon corps et mes gestes une valeur réelle. J’étais enfin reconnue comme une pute. Le sperme du vieux sur mon visage me parut une onction. J’eus de surcroît un pourboire de dix euros. Je triomphais.Ce soir-là en l’espace de deux heures, dix types me sautèrent. J’étais consciente de mon succès. Une fille avait qui je bus un coup au bistrot à côté tempéra mon enthousiasme. J’étais nouvelle. Cela me conférait du prestige. Qui plus est mon genre bourgeoise mûre manifestement excitait les plus vicieux. Chang avait vu juste. Je tapais dans la catégorie idéale. Il avait convenu que mes gains se partageraient à valeur virile avec lui ce qui était un privilège étranger aux mœurs ordinaires de la profession. Chang obtint ainsi de me sauter à sa convenance.Je me procurais ce vertige une fois tous les quinze jours. Il ne faut pas abuser des bonnes choses. Je n’en vins pas moins à me faire des familiers. Notamment un petit chauve, notaire de son état. Il ne m’en proposa pas moins pour une somme substantielle de baiser toute une après-midi dans un bel hôtel parisien. A l’occasion nous faisions monter champagne et petits fours. Il se pourvoyait pour l’effort de Viagra. Je le sermonnais. Il était exclu qu’il me claquât entre les cuisses. Nous en rions. Il savait que j’étais femme mariée et pute à l’occasion. Cela l’excitait.Je n’en eus pas moins une frayeur au bout d’un mois. Ce que j’appréhendais survint. En effet en milieu de nuit je vis déboucher à l’angle de la rue, un jeune homme que je reconnus comme le fils d’une collègue et amie. Il venait des fois nous rendre visite au bureau. J’encourrais canlı kaçak bahis le risque d’être reconnue bien qu’attifée de façon singulière et ostensiblement fardée. J’espérais un temps qu’il montât avec une belle africaine avec laquelle il discutait et qu’il connaissait manifestement. Puis son regard se posa sur moi. Je fis en sorte de regarder ailleurs et de l’ignorer.Hélas il fut bientôt sur moi. Il était de petite taille bien que de traits mignons et agréables. Je fus tentée un instant de le rembarrer. Je lui eus dis : « Retourne dans les jupes de ta mère ! » Celle-ci en effet se désespérait que son rejeton n’ait pas de petite amie. Elle eût bien étonné de savoir qu’il fréquentait les putes. Heureusement je sus conserver mon sang froid. Sans ambages il m’avoua que son amie africaine m’avait poussé vers lui. Il ne m’avait jamais vu. Il me demanda si j’étais nouvelle. Ce con ne m’avait guère identifié. Mon déguisement avait réussi.Ce petit effronté affectait un ton de vieux cochon que je trouvais ridicule. J’haussais à dessein les prix escomptant que mon style vieille peau et un rapport qualité/prix rédhibitoire le décourageassent. Il me sortit devant tous crânement ses billets. Le roquet voulait la totale. Penaude je dus emprunter l’escalier roulant moins du cul que d’habitude. Il ne m’en caressa pas moins ma croupe. Je fus tentée de le gifler songeant à sa mère et que je le reverrais un jour dans le contexte du bureau. A cet égard j’obtins que nous forniquions dans une lumière tamisée.Il était hors de question qu’il se familiarisât avec mon visage. De toute façon seul le reste de mon corps l’intéressait. Enfoncée entre ces cuisses je le suçais de façon forcenée. Il apprécia. Notre rapport dura trop longtemps à mon goût. Je dus convenir qu’il se débrouillait. Je ne savais où il avait obtenu tant de dextérité pour son âge. J’eus pu rassurer sa mère. Son moutard n’était pas godiche au lit. Sur la fin, il m’enculât avec force virilité. Je jouis pour le coup. Il put prendre cela pour simulation. Je savourais déjà le moment où dans le bureau il me saluerait sans me reconnaître.Il y eût encore une fois où un familier me baisât dans les mêmes circonstances. Ce fut mon pharmacien lequel ne me reconnut pas aussi. Décidément une parure de prostituée vous change. Je rapportais ces deux anecdotes qui s’en enchantât. Il trouvait bon de jouer ce tour à tout ce monde dont mon mari . Cependant je dus déchanter moi-même car un jour sourire en coin, il m’avoua que depuis quelques semaines mon mari savait. Une des filles avaient éventé la mèche. C’était inéluctable. Ce genre de secret ne peut être gardée. Manifestement mon mari m’avait espionné.Il ne s’en ouvrit pourtant jamais à moi m’accablant de reproches. Certes il y eût une franche conversation entre lui et Chang mais il avoua à celui-ci que cela l’amusait au bout du compte et qu’il s’était résigné à ce risque depuis longtemps. Il me savait trop fasciné par les prestiges de la rue. Il était couru que j’essayerais un jour. Chang lui assura que je n’encourrais aucun risque. Mon mari savait maintenant l’origine des cadeaux que je lui faisais des fois. Il ne m’était pas indifférent qu’il sut ma débauche et m’en crut dupe. Chang se gardant bien de préciser qu’il me baisait à l’occasion.

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Cache cache 3Ma femme accepte de céder aux désirs d’inconnus à condition que je puisse la voir…Après cet accord tacite, nous n’avons plus parlé, Sophie et moi, de notre fantasme. Nous pensions que les choses viendraient d’elles-mêmes… Et il s’est écoulé plusieurs jours sans qu’aucune allusion ne soit faite sur la petite révolution que venait de connaître notre couple…C’est au moment où nous nous y attendions le moins qu’il s’est « passé quelque chose »…Nous nous étions écartés l’un de l’autre depuis quelques minutes dans ce bel après-midi, attirés chacun par les devantures des bouquinistes sur les quais de Seine. Quand j’ai cherché à nouveau ma compagne du regard, je me suis immédiatement aperçu qu’elle n’était pas seule. Deux blacks, tous les deux très grands, étaient en train de discuter avec elle !Si l’un avait une carrure d’athlète, l’autre, au contraire, avait un peu l’apparence d’une grande perche filiforme, et j’ai immédiatement pensé à des basketteurs… Ce qui est certain, c’est qu’ils faisaient beaucoup rire Sophie et j’aurais pu croire qu’elle avait rapidement oublié ne serait-ce que ma présence, si elle n’avait, à ce moment précis, jeté un regard discret vers moi pour s’assurer, sans doute, que je ne perdais rien de la scène qui s’offrait à mon attention.Comme souvent, ce jour-là Sophie portait une jupe très courte et, par cette belle journée d’été, les rayons du soleil malicieusement révélaient le relief prometteur de son entrecuisse… Une fois encore, elle avait fait le choix d’un petit T-shirt moulant qui magnifiait à ravir ses charmants bouts de seins. Il était évident qu’au milieu de tant de femmes si jolies, ma petite femme coquette et si sexy leur avait immédiatement tapé dans l’œil !Qu’ils soient tous les deux fascinés par sa beauté et son charme, c’était évident. Ils lui parlaient tour à tour en se penchant vers elle, de telle sorte que leurs visages semblaient si proches… mais c’est le « baraqué » qui semblait monopoliser la conversation et attirer particulièrement l’attention de Sophie. En tout cas, elle lui offrait son plus joli sourire et n’importe quel homme n’aurait pu que craquer devant un si joli minois…Il n’a pas fallu très longtemps pour que je la voie, encadrée par ces deux acolytes, s’élançant d’un pas souple et félin du côté de Notre-Dame… mais très vite je fus pris de panique, la voyant s’engouffrer dans une Mercedes noire aux verres fumés ! La voiture démarra et je ne pus que la suivre des yeux ! Ainsi, j’étais pris à mon propre piège ! Je ne pouvais qu’imaginer ce qui allait se passer, abandonné à ma cruelle solitude ! Je me sentais trahi et, ce qui est le comble, vue la situation dans laquelle nous nous étions placé, réellement trompé par ma compagne !Au bout de longues minutes, je sentis contre ma cuisse la vibration de mon portable… Ces quelques mots comme seul message : 84 rue Saint-Honoré… C’était heureusement à deux stations de métro de là. Mais j’étais loin d’avoir la certitude, muni de cette seule adresse, de pouvoir retrouver la trace de ma chérie avant qu’elle n’ait cédé aux avances de ces mâles en chaleur !Arrivé au numéro, je me suis senti rassuré… c’était un bar !Il avait un côté un peu louche avec ses vitres opaques et ses tentures épaisses, mais j’étais persuadé de retrouver facilement la trace de ma Sophie ! Et puis en entrant, immédiatement cela m’a paru moins évident… Il a d’abord fallu que je m’habitue à une semi obscurité… et je me suis rapidement rendu compte de la nature des lieux.Près du bar, il y avait de jeunes créatures très légèrement vêtues, la plupart ayant d’ailleurs leur ravissant postérieur nu au contact direct du faux cuir des tabourets. Plusieurs avaient les seins à l’air, quant aux autres, la transparence même de leurs vêtements ne dissimulait pas grand chose de leurs attraits… Dans chaque recoin de la pièce principale, il y avait un enchevêtrement de corps mêlés qui s’adonnaient à de lascives caresses… J’hésitais ainsi à identifier le lieu entre le bar à putes et la boîte à partouzes !Mais j’eus rapidement d’autres préoccupations. Dans ce lieu de perdition, où je n’avais jamais osé mettre les pieds avec Sophie jusqu’à ce jour… comment retrouver ma femme chérie ! Et puis dans cet endroit si improbable, il y a eu cette image qui curieusement m’est apparue, celle de ma petite femme, plusieurs années auparavant, si pudique et si timide, qui ne m’avait cédé sa virginité qu’après plusieurs mois…Je l’imaginais maintenant, je ne sais où, dans un des recoins de ce « bordel pour riches », succombant aux assauts de ces deux géants libidineux !…Pris à nouveau d’une peur panique que ce jeu dangereux ne m’échappe complètement, j’essayais de dévisager les femmes lascives qui se laissaient tripoter, embrasser ou baiser dans les moindres recoins de cette salle obscure, d’où parvenaient de si troublantes odeurs. D’un autre côté, je ne voyais aucun black à l’horizon… et c’est à ce moment que j’aperçus un petit couloir tout au fond. En l’empruntant, je découvrais une salle plus vaste encore… et tout aussi animée !Ce qui était particulier, c’est que tout autour se trouvaient des portes, ou plutôt des ouvertures sans portes qui donnaient chacune sur de petites pièces à l’agencement identique : des banquettes contre les murs et un très grand tapis au sol. Mais je cherchais toujours… ne découvrant que des corps plus ou moins dénudés, mais qui ne correspondaient pas à ceux que je cherchais…En entrant dans une nouvelle salle, mon regard fut immédiatement attiré ! J’avais bien retrouvé ceux qui étaient responsables de ma présence ici !Le plus curieux pour moi, a été de les découvrir assis dans une posture bien sage… Avec un peu moins d’attention, on aurait pu se croire dans un salon de thé !… Sophie était assise dignement dans un coin, avec le baraqué à ses côtés, et de l’autre côté, un peu plus à distance, la grande perche !Je suis venu m’asseoir incognito sur une banquette en face, ce qui n’était pas difficile car nous étions loin d’être seuls… Il y illegal bahis avait une demi-douzaine de types assis tout autour de la pièce qui ne faisaient que mater le coin où était mon épouse !… De toute façon, mes chasseurs blacks ne savaient pas qui j’étais… Je n’étais finalement ici pour eux qu’un mateur frustré parmi les autres !Une fois habitué à la faible lumière bleutée de la pièce, je me suis aperçu que la posture de ma femme n’était finalement pas si sage que ça… L’armoire à glace avait sa grosse paluche posée sur sa cuisse et la caressait d’une façon presque imperceptible. Loin de la repousser, Sophie avait écarté très légèrement les jambes… Et puis je me suis rendu compte que l’autre échalas était en train de se frotter la verge par dessus le pantalon !La scène rassurante s’était transformée brusquement en une sorte de cauchemar, d’autant plus que j’ai vite remarqué qu’autour de moi, que les autres commençaient aussi à se branler… Cette salle était tout entière emplie du désir libidineux de ces mâles en chaleur vis à vis de « ma petite chérie » ! Elle, il semblait qu’elle n’en avait que pour son voisin immédiat et que plus rien n’existait autour d’elle. Elle continuait à rire, d’un rire que je ne lui connaissais pas et qui me mettait mal à l’aise… Il fallait croire que l’humour de son trop proche inconnu était irrésistible !Quoi qu’il en soit, les autres types étaient excessivement attentifs au spectacle de mon épouse, décidément d’excellente humeur. D’autant plus qu’elle offrait la vision de ses seins gonflés, sursautant à chacun de ses éclats de rire. Le tissu de son haut était tellement fin sous cette lumière tamisée et tellement moulant sur sa poitrine, que ce spectacle était plus excitant encore que si elle avait eu les seins à l’air !L’autre colosse, en lui parlant d’une façon si « passionnante », avait son visage maintenant tout près du sien, à croire que c’était son haleine qui avait des pouvoirs hilarants !… C’était pour moi comme un supplice, que d’entendre ce rire qui annonçait les prémisses du fait qu’elle allait me faire une seconde fois cocu !Les « autres », d’ailleurs, n’avaient visiblement aucun doute sur l’idée qu’il allait se passer quelque chose, et certains commençaient même à sortir leur sexe ! Le second black a alors libéré un chibre impressionnant qui était comme la caricature de ce que l’on attend d’un noir en matière d’érotisme !… Mais l’attention de tous a vite été absorbée par l’attitude de « l’autre » qui cruellement m’a libéré du rire insolent de ma femme… pour l’embrasser à pleine bouche, tout en faisant glisser sa grosse main vers sa culotte… Il l’a massée alors avec fermeté, si l’on en croit les soupirs qu’elle n’a pu étouffer et qui prenaient le relais de ses rires, d’une façon, pour moi, encore plus blessante.Mais bientôt, n’y tenant plus sans doute, Sophie s’est levée pour se dégager d’une excitation trop intense et est venue ce placer à quatre pattes au centre de la pièce, dans cette position qui, visiblement, semblait lui plaire ! Elle s’est positionné comme cela, mais sans esquisser d’autre geste, comme pour signifier qu’elle n’était maintenant qu’un objet de désir et que c’était à son partenaire de prendre les décisions.Son imposant complice s’est ensuite approché d’elle par derrière et il commencé à caresser doucement ses fesses par dessus la jupe. Ce fut comme un signal pour les spectateurs attentifs dont je faisais partie. Mais mon attention à moi était beaucoup plus inquiète qu’avec le type du café… Je soupçonnais que l’attachement qu’avait mon épouse à vouloir copuler avec ce beau black était d’une autre nature… Elle semblait vraiment embarquée et, ce qui m’angoissait plus encore, c’est de ne pas savoir si elle avait réellement perçu ma présence !… Peut-être était-elle prête à se faire baiser, sans savoir que j’étais là et sans respecter le contrat qui nous unissait encore… en tout cas, je vivais dans cette incertitude !Les caresses lascives de son musclé partenaire furent comme un signal pour les autres. Ils vinrent s’attrouper tout autour et il fallut que je réagisse vite pour avoir moi-même ma part de spectacle. À ce stade, et parce que la complaisance visible de ma femme me mettait maintenant mal à l’aise, je ne savais pas trop si je voulais que tout cela continue… mais que pouvais-je faire ? Crier :— Arrêtez tout ça, je suis son mari ? J’aurais été parfaitement ridicule et je me serais retrouvé avec une dizaine d’énergumènes prêts à m’éjecter sans ménagement… et que dire de la frustration éventuelle de Sophie ?Et puis, curieusement, il se produisit en moi quelque chose d’étrange. J’étais indéniablement jaloux devant le sex-appeal évident de son partenaire, ce qui ne m’avait pas même effleuré l’esprit lors de la scène de l’escalier, mais peu à peu je sentis en moi la douleur s’estomper. Ce qui dominait maintenant, c’était la fascination de voir ma superbe épouse, offrant à la vue de tous sa somptueuse silhouette. En effet, son complice, en un instant, avait dégrafé sa jupe qui jonchait maintenant le sol.D’un geste sec et précis, il a vite retroussé son T-shirt pour libérer ses seins qui s’affaissèrent majestueusement sous l’effet de leur propre masse. Sophie n’a pas une poitrine énorme, mais dans cette position, ses seins paraissaient plus généreux que jamais… En voyant son dos magnifique, sa taille étroite et le galbe majestueux de ses superbes fesses, je comprenais la convoitise de tous ces hommes et plus encore celle de celui qui, ayant à son tour libéré son sexe, allait la pénétrer en levrette, pour l’honorer dans une sorte de rituel sacrificiel… Stupidement, j’étais satisfait de m’apercevoir que son partenaire n’était pas, lui, monté comme un âne. Sa verge bandée était d’une taille honnête… comme la mienne que je sentais toute aussi bandée, mais contrainte au sevrage, boudinée dans mon slip !Il n’y avait rien de la sauvagerie de la scène de l’escalier, dans le spectacle somptueux de ce beau mâle d’ébène qui coulissait en elle avec illegal bahis siteleri lenteur et douceur. Tout en lui faisant l’amour, il ne cessait de parcourir de ses larges mains ténébreuses, le corps de ma femme dont la clarté semblait plus lumineuse encore par l’effet du contraste de leurs peaux. Ainsi, accompagnant les ondulations du corps de ma Sophie, il lui caressait tour à tour les globes fessiers, la taille, le dos, les seins, puis les cheveux… n’épargnant en fait aucune partie de son corps lascif.Mon épouse lui était totalement soumise, mais repoussait d’un simple geste les tentatives de ceux qui l’encerclaient pour la toucher. Il y avait une étonnante faculté chez elle à accepter le contact des mains de ce beau noir, et de refuser toutes celles qui prétendaient, ne serait-ce que l’effleurer. Je tentai moi-même de poser ma main au creux de ses reins, mais elle me repoussa avec la même vivacité que ces sombres inconnus ! Ayant compris, car son massif partenaire se mit lui-aussi à éloigner fermement toute autre tentative, le cercle se desserra autour d’eux.Le spectacle s’offrait à chacun dans toute sa splendeur : un bel étalon noir, tout de muscles, culbutant et faisant jouir une bourgeoise au teint laiteux et à la silhouette élancé… Ce corps sublime, dont j’étais le seul à savoir qu’il était celui de ma femme, réagissait à chaque assaut d’une façon admirable. Non seulement ses seins se balançaient lascivement sous les coups de buttoir de son amant, mais c’est tout son être qui semblait vibrer comme parcouru d’une décharge électrique, à la fois intense et exquise…De façon imperceptible pourtant, alors que ma chérie poussait de petits râles aigus qui témoignaient de sa jouissance, les balancements de son corps s’espacèrent. Bientôt, ils se trouvèrent immobiles l’un dans l’autre et, devant la beauté de ces deux corps soudés, brusquement silencieux, il y eut un étrange silence… Celui qui était en train de me faire cocu une nouvelle fois… mais certainement davantage que la première fois… se pencha lentement pour glisser à l’oreille de mon épouse, ce que chacun d’entre nous put entendre :— Maintenant, tu vas prendre la queue de mon pote qui ne demande que ça… et tu vas l’approcher de ta bouche !Le sourire complice de Sophie ne m’a pas échappé ! Elle semblait si heureuse de pouvoir satisfaire son partenaire par cet autre moyen… Elle releva ainsi son charmant minois, d’où perlaient quelques gouttes de sueur, et tendit sa main qui parut soudain toute gracile et menue, en empoignant avec difficulté l’imposante verge de son deuxième soupirant… Et que dire de ses superbes lèvres, qu’elle avait eu l’excellente idée de parer d’un rouge des plus résistant et qui rehaussait l’exquise sensualité de sa bouche, lorsqu’elle a posé un délicat baiser sur le gland brun et massif s’offrant à sa gourmandise ? Ce fut comme un signal pour celui qui lui besognait la croupe, car il se remit lentement à coulisser en elle…Lorsque je vis la petite langue de Sophie, laper le bout de l’énorme chibre dont l’odeur devait lui fouetter les narines, je ne pus m’empêcher d’avoir devant les yeux l’image de la première fellation qu’elle m’avait accordée, alors que nous étions mariés depuis quelques mois… Elle m’avait depuis gratifié de sublimes pipes, plus sublimes les unes que les autres, mais celle qu’elle s’apprêtait à accomplir devant tous ces mâles concupiscents, semblait chargée de la même émotion, de la même maladresse que celles de « notre » première fois !Prendre entre ses lèvres une verge aussi imposante était un spectacle déjà impressionnant, mais c’était plus la longueur de l’engin qui m’inquiétait… Jusqu’où pourrait-elle l’engloutir ?Mais alors qu’elle était encore en train de couvrir le « monstre » de petits et délicats baisers, mon attention fut attirée par son autre amant… Il ne cessait pas ses mouvements de va-et-vient en elle, mais il laissa alors échapper de sa bouche une longue coulée de bave qui vint se lover opportunément dans la raie du cul de mon épouse. J’ai pensé un instant qu’elle se débattrait, car elle ne m’a jamais accordé la faveur de lui flatter cette partie si attrayante de son fondement… mais elle s’est lassé faire !… Et pour toute réponse c’est même mise à emboucher la queue de l’autre !Tout cela aurait du me paraître dégoûtant et obscène, mais je vis surtout, à ce moment où ma femme était prise en sandwich par ces deux noirs, un spectacle envoûtant et beau !… Et puis l’athlète s’est retiré d’elle, et a ensuite présenté son gland luisant de la liqueur de ma chérie contre sa rosette encore vierge…Lorsqu’il a forcé l’entré de la « petite porte » pour l’enculer, j’ai eu la sensation de ressentir physiquement la douleur de mon épouse… un peu comme si c’était moi qu’on enculait… et finalement, c’était un peu ce qui était en train de se passer ! Mais il n’y avait pas que de la douleur pour elle dans cette sensation inédite d’une verge glissant dans son anus, sinon comment expliquer le sourire radieux qui illuminait visiblement son visage alors qu’elle avait toujours l’autre queue entre ses lèvres ! Et puis ses petits cris, forcément étouffés, mais pourtant de plus en plus perçant !Brusquement, elle se cramponna à la jambe de la girafe à la grande queue, pour prendre appui sur elle et glisser sa main entre ses propres cuisses… Elle était en train de se branler fiévreusement alors que j’assistais impuissant à son dépucelage anal !Cette scène de baise à trois impliquait en fait une bonne dizaine de gus qui pendant se temps se paluchaient à qui mieux-mieux tout autour, sans en perdre évidemment une miette ! Il n’y avait que moi, embarrassé et humilié, et pourtant aussi, tellement excité, qui faisait semblant, car j’espérais follement récupérer quelques restes des attraits de mon épouse, quand tout cela serait enfin fini et qu’elle me rejoindrait, sans doute honteuse dans le lit conjugal.Pour l’heure, il m’a fallu boire le calice jusqu’à la lie, bien que pour ce qui est de boire… se fut plutôt canlı bahis siteleri elle qui fut mise bientôt à contribution ! Bientôt, certains de ses voyeurs ne purent se retenir et commencèrent à gicler de grandes rasades de sperme sur le dos et le haut des fesses de ma si jolie femme. Quant à elle plus vorace que jamais, elle engouffrait la bite télescopique de plus en plus profondément, à tel point que de la salive commença à s’écouler de sa bouche pour humecter le tapis.Je repensais alors à leur baiser fougueux sur la banquette, il y a si peu de temps encore, premier rituel de leur pénétration, et du goût échangé de leurs bouches. Mais l’atmosphère se prêtait mal à la méditation. Surtout quand d’autres jets, onctueux et blancs, vinrent se déposer sur le corps de ma femme ! Et puis le bouquet final, lorsque l’armoire à glace se déchargea en elle, ce fut surtout de voir « l’autre » retirer sa grande bite… ce qui fit déglutir ma « petite » Sophie, pour l’arroser à son tour, mais, cette fois-ci, copieusement sur le visage !Sans se démonter, elle s’est redressée alors pour se mettre à genoux. Le liquide onctueux et blanchâtre s’est alors écoulé de son visage, le long de son cou, puis sur ses seins magnifiques, gonflés du plaisir qu’elle venait de recevoir. Sans se soucier de l’assemblée qui l’entourait, chacun commençant à ranger ses attributs, elle étala alors la crème onctueuse sur sa poitrine comme s’il s’agissait d’une précieuse crème de beauté. À ce stade, j’en avais assez vu, et je n’avais aucune envie, à ce moment-là, de croiser le regard de Sophie.Je suis donc rentré seul, il devait être dans les trois heures du matin et j’étais à un quart d’heure de marche, véritablement obsédé par les images surréalistes que je venais de voir de ma femme adorée. Je ne savais plus même quoi penser… à la fois d’elle et de notre « contrat ». Cela peut paraître incongru, car j’avais aussi souhaité tout cela, mais je me demandais si fondamentalement elle m’était encore fidèle !…L’attente m’a paru bien longue… Et j’étais sur le point de penser qu’elle avait décidé de passer le reste de la nuit avec ses « gardes du corps », à moins que ce ne soit avec d’autres hommes encore, car finalement elle n’avait que l’embarras du choix ! Quand j’ai entendu des pneus crisser au coin de la rue ! Je me suis immédiatement précipité à la fenêtre. J’ai reconnu sa silhouette et sa démarche, malgré la pénombre, avec ses talons hauts qu’elle portait maintenant si souvent. J’ai éteint immédiatement la lumière et je me suis calé dans le fauteuil, afin qu’elle ne sache pas que j’étais déjà rentré !J’ai entendu ses pas dans l’escalier avec la certitude qu’elle était seule, puis le bruit de la clé et la porte s’ouvrant pour laisser entrer un rayon de lumière. Quand elle a allumé, elle a presque immédiatement sursauté, car je lui ai fait peur…— Je ne savais pas si tu étais là…Je n’avais rien à lui répondre qui ne soit pas ridicule… et puis elle s’offrait à ma vue maintenant en pleine lumière ! La vision que j’ai eu soudain d’elle était très particulière… Elle avait enfilé ses vêtements comme cela, sans chercher à s’essuyer, de telle sorte que son haut moulant m’offrait la vue la plus troublante qui soit sur sa poitrine. Son T-shirt mouillé par le sperme qui maculait sa peau ne dissimulait pas grand chose du galbe de ses seins et de leurs sombres aréoles ! Pareillement, ses jambes longues et si belles, brillaient sous l’effet des coulées masculines qui accentuaient encore, par leur crémeuse blancheur, la clarté de sa peau !Elle s’est approchée de moi. Je me suis levé pour être à sa hauteur. Son parfum capiteux était étrangement saturé par ces odeurs émanant de tous ces mâles en rut ! Tout doucement, un peu honteuse, elle s’est penchée vers moi et m’a juste dit, tout en déposant sur mon nez, du bout des lèvres, un petit baiser…— Excuse-moi !…Je ne savais pas de quoi elle voulait s’excuser : de s’être ainsi laissé faire ? Mais cela faisait partie du jeu. D’y avoir pris du plaisir, au-delà de ce qu’elle aurait imaginé, ou encore d’une autre chose que je n’osais pas même imaginer ! Elle perçut sans doute mon inquiétude, car elle retroussa sa jupe et posa ses somptueuses cuisses, pas totalement immaculées, sur mes genoux. Elle prit ma tête pour la blottir contre le haut de son buste…— C’est moi qui ai demandé aux types s’ils connaissaient une boîte échangiste… C’est une idée qui m’est venue, parce que je me suis dit que dans un tel endroit au moins, tu pourrais me retrouver et me voir !… Dans leur voiture, j’ai tout de suite dit que j’étais mariée et j’ai prétexté que je t’envoyais un message bidon, genre rendez-vous de dernière minute avec des copines, pour t’informer de là où j’allais… J’ai attendu de t’apercevoir dans la salle plutôt sombre, avant de céder vraiment à leurs avances… Au retour, le plus costaud m’a dit qu’il aimait particulièrement avec son copain, draguer les femmes mariées… Aussi quand je leur ai dit que je ne pourrais pas les revoir vu ma situation, ils m’ont tout de suite dit qu’il n’y avait pas de problème… Ils m’ont remerciée en me disant que j’étais particulièrement « bonne » ! Et puis ça les excitait comme des malades de me voir partir ainsi vers le foyer conjugal toute imprégnée de sperme, alors qu’ils pensaient que tu dormais comme un bébé !Je trouvais ses propos étrangement apaisants ! Non, elle ne m’avait pas trahi ! Non, elle n’avait pas cherché à échapper à mon regard, bien au contraire… Nous étions finalement plus complices que jamais, chacun ayant satisfait un désir si profond… J’ai sans doute été un peu lâche en ne lui parlant pas du plaisir qu’elle avait eu à être enculée… Mais ce n’était pas l’essentiel.Et puis elle est partie dans la salle de bain faire une toilette très soignée et m’a rejoint toute pimpante, toute fraîche, avec cette fois un parfum tout à fait printanier qui me rappelait ceux qu’elle portait quand nous avions vingt ans !Nous avons fait l’amour d’une façon vraiment exquise, très loin des perversions et des obscénités que symbolisaient pour moi les voyeurs de tout à l’heure. Nous étions enfin seuls au monde, pour le restant de la nuit…Notre plaisir sexuel pourtant, les jours suivant, ne devait rien avoir de solitaire !(à suivre…)

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Chap 19 : Chaleurs au hammam.

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Hardcore

Chap 19 : Chaleurs au hammam.Ça y est, ma vie étudiante et nantaise a pris fin.Mais avant de partir, j’ai eu le temps de revoir “MA” Laura, qui ne l’était plus d’ailleurs, lors d’une soirée. Il ne s’est rien passé, elle était avec son nouveau mec. J’ai donc fini ma nuit avec Marion, sa meilleure amie avec qui j’avais déjà eu des rapports très intimes.J’ai aussi revu Maeva, la gothique coquine, plusieurs fois jusqu’au dernier jour. Nos adieux furent…très chauds.Je suis resté une semaine chez mes parents, avant notre départ en vacances pour la Tunisie. Cela fait quelques années que je ne suis pas parti avec eux. Mais après 3 ans d’exil (même si je rentrais régulièrement le weekend), j’étais content de pouvoir passer un peu de temps avec eux. Surtout que nous serons au complet. Mon frère et sa chérie Mylène sont aussi du voyage.Nous prenons donc l’avion pour la Tunisie où nous passerons notre séjour à Hammamet. Pendant le vol, je repense à l’université, aux copains que je me suis fait et aux conquêtes que j’ai eu. Ma dernière année fut particulièrement fructueuse. Depuis septembre dernier, j’ai eu une douzaine de nanas à mon compteur. Vous me direz 12 en un an c’est pas si énorme que ça, mais j’en étais plutôt fier, surtout que je me suis éclaté avec chacune d’elles. Je repense à chaque aventure. Linda la coiffeuse mature, Christelle la folle nympho, Patricia la mère d’une amie, Laura Marion et Agathe en partouze, Aurélia la collègue de boulot, Sabine la voisine du dessous, Estelle et Maeva les colocataires, Teresa une amie hébergée et Sandra la lesbienne saoule.Mais après m’être tant amusé, je me dis qu’il est peut être temps de trouver une relation sérieuse, maintenant que c’est totalement fini avec Laura. Je verrais ça après les vacances.Nous logeons pour la semaine dans un hôtel 4 étoiles au bord de la mer. L’endroit est très beau. Il y a 2 grandes piscines. Une intérieure et une extérieure, un hammam, une grande salle avec un gigantesque buffet de nourriture internationale et le site à sa propre discothèque. Après avoir fait l’acquisition de nos chambres (j’en ai une pour moi seul), nous allons à la piscine avec mon frère et sa copine. Posé sur un transat, lunettes de soleil sur le nez, je joue au voyeur en matant la marchandise dans et hors du bassin. Je recherche celle qui me fera craquer pendant ces vacances. J’observe calme, serein, tel un sniper, les femmes qui défilent en bikini. Une jeune maman avec son fils, pas mal. Une ado monte sur le plongeoir, mignonne mais trop jeune. Au passage, je mate Mylène, dans son bikini vert qui m’apporte un cocktail. Elle a une poitrine généreuse.Un groupe de 7-8 nanas, dans lequel 2 ou 3 attirent mon attention. Puis une belle blonde mature aux seins siliconés. Tous ces nichons qui tréssautent dans les maillots réveillent mes pensées grivoises.Après le dîner, direction la discothèque pour un spectacle local. Après le show, place à la danse. Mes parents sont partis se coucher et nous comptons bien profiter de cette première güvenilir canlı bahis siteleri soirée. Nous bougeons en rythme sur les tubes de l’été. Un regard, un sourire, elle se rapproche. Je la reconnais, elle fait partie du groupe de nanas que j’ai aperçu en fin d’après-midi. Petite brune couleur charbon, cheveux longs et lissés. Elle est canon avec son débardeur noir et sa mini-jupe blanche ras la moule. Des escarpins noirs qui me laisse apercevoir ses orteils vernis de rose. Quelques chansons plus tard, on se galoche à pleine bouche. En voyant cela, ses copines, visiblement éméchées, huent, sifflent, l’acclament. Elle m’embrasse de plus belle, elle a envie de baiser ça se sent. Elle me dit quelque chose que je ne comprend pas. Elle répète en criant plus fort. Elle parle anglais. Heureusement j’ai quelques bases de la langue. Elle souhaite m’offrir un verre et aller dehors.Assis près de la piscine, on fait connaissance, en se bécotant. Rachel a 25 ans, c’est une irlandaise qui habite à Cork. Elle est venue passer une semaine de vacances en voyage organisé avec une quarantaine d’autres irlandais. Malheureusement, elle s’en va le lendemain, mais heureusement pour moi, elle a très envie de finir son séjour en beauté.Après avoir bu nos verres, les caresses deviennent plus intimes. En passant mes mains sous la jupe de ma maîtresse du soir, je constate qu’elle ne porte rien dessous. J’adore. Rachel n’est pas en reste, sa main au fond de mon short me tâte les bourses à travers mon boxer. Je deviens dur comme l’acier. Notre envie l’un de l’autre est omniprésente. Elle m’entraîne dans l’hôtel. Dans l’ascenseur qui nous amène à son étage, une certaine frénésie s’empare de nous. De nouveau sous sa jupe, mes doigts cajole sa fente humide et mon majeur la pénètre quelques secondes.Nous entrons dans sa chambre:- Oups, sorry!!Sa partenaire de chambrée a déjà investi les lieux avec un mâle. Nous les dérangeons en plein coït, la fille à califourchon sur sa monture.Direction ma chambre. En chemin, nous fricotons un peu dans les couloirs de l’hôtel.Dans ma piole, nous nous déshabillons rapidement. Elle ne porte pas de soutien-gorge non plus. Elle a de jolis seins ronds et fermes de taille moyenne.Après quelques préliminaires de base, nous jouissons une première fois en 69. Moi, en lui dévorant son minou tout lisse et Rachel me pompant avec délice. J’ai ejaculé dans sa bouche, puis elle a tout recraché dans les toilettes.Elle a ensuite pris un préservatif dans son sac à main et l’a déroulé sur mon chibre de nouveau érigé. Elle est d’abord à califourchon sur moi et bouge vite, c’est une vraie tigresse. Elle ondule et se titille l’anus. Dans un roulé-boulé, je me retrouve sur elle. Je la culbute jusqu’à ce qu’elle m’ordonne:- Fuck my ass!!!Sa souplesse lui permet de tendre ses jambes en arrière, les genoux de chaque côté de sa tête, m’offrant, indécente, son orifice bien ouvert. Je n’ai aucun mal à m’y engouffrer. Je grogne de plaisir en la sodomisant sauvagement. güvenilir illegal bahis siteleri Rachel jouit de plus en plus:- Oh my god, fuck me, fuck my ass.Mes coups de butoir sont de plus en plus vifs, je la martèle jusqu’à notre jouissance commune.A mon réveil, Rachel s’était éclipsée. Elle avait quitté l’hôtel pour rejoindre son pays natal.J’ai retrouvé ma famille, mon frangin ne s’est pas privé de me chambrer- Pas trop dur de se lever après avoir zouker toute la nuit? Un sous-entendu que mes parents n’ont pas pigé. Nous avons passé l’après-midi à la plage. Baignade, bronzette, beach-volley. Le top des vacances.En rentrant, je décide de tester le hammam. Une première pour moi. Short de bain, claquettes, serviette autour du cou, me voilà parer à transpirer.L’accès au hammam se fait par la piscine intérieure. Au fond de l’enceinte, une grande porte en bois, dissimule le lieu où les vapeurs exercent leurs pouvoirs bienfaisants. Je me suis fait une idée assez précise de l’endroit, d’après un film que j’ai vu. Un tas d’hommes discutant en sueur, dénudés, avec pour cache-sexe une serviette posée à l’horizontale sur le haut des cuisses. Mais en entrant, c’est différent. C’est une zone mixte. Pas de nudité, tout le monde en maillot. Un petit bassin rond qui fume au milieu de la pièce et des gens assis, adossés contre les murs en mosaïque autour de cette mare chaude. Je remarque au fond de la pièce, un petit renforcement. Je me demande ce que c’est et vais voir. Il y a un petit passage qui donne accès à un autre hammam, mais celui-ci est encore plus chaud. Il atteint les 50 degrés. Je le testerai une autre fois.Je m’installe et ferme les yeux pour me détendre et me relaxer.A moitié endormi, j’entends les allées et venues des touristes qui créent des appels d’air à chaque fois qu’ils ouvrent la porte.- On se remet de ses émotions?J’ouvre les yeux, nous ne sommes plus que deux.- Pardon?- Je vous ai aperçu dans le couloir cette nuit avec votre amie, ça avait l’air très chaud, me dit-elle avec un petit rictus.Je ne la quitte pas des yeux car cette jolie blonde aux cheveux frisés à un sourire radieux. Son maillot de bain noir une pièce est très sexy et épouse parfaitement les lignes de son corps.- Heu…ce n’était pas mon amie, juste un flirt vacancier.- Un coup d’un soir, je vois. Et c’était bien?- Oui, on m’avait dit que les britanniques étaient coquines, mais je ne m’attendais à ce point-là.- Une anglaise?- Non, une irlandaise qui est partie aujourd’hui.- Et cela vous arrive souvent de flirter sans lendemain?- Parfois, si une bonne occasion se présente.- Je vois, vous êtes du genre queutard?- Je dirais plutôt, épicurien.- On aime profiter des bonnes choses.- Oui, pas vous?- Ca dépend de mon humeur.Nous nous sourions, je ne peux m’empêcher de regarder sa poitrine et les quelques gouttes de sueur qui s’écoulent le long de son sternum.- Vous êtes venue seule?- Non, avec mon mari et un couple d’amis. Et toi?- Je suis arrivé hier en famille.- güvenilir bahis şirketleri Hier? Et bien, tu n’as pas traîné. – Je ne suis pas toujours aussi rapide…Elle me sourit à nouveau.- Et qu’est ce qui la rendait si coquine comme vous dites?- Vous êtes bien curieuse, dis-je en lui souriant.- Oui, beaucoup, surtout en matière de sexualité.Je suis abasourdi par cette trentenaire mariée qui s’intéresse à ma vie sexuelle. Je lui répond sans m’étaler sur le sujet:- Disons qu’elle assumait son goût du sexe sans tabou.- Je vois, dommage pour vous qu’elle soit déjà partie.- C’est comme ça, chacun sa route. Je décide de changer brièvement de sujet.- L’hôtel vous plait?- Oui, c’est magnifique, je ne pensais pas que ça puisse être comme ça à ce prix-là.- C’est vrai que c’est génial, les infrastructures sont au top, surtout ce hammam, j’adore.- Oui c’est extra, il ne manque qu’un salon de massage.- S’il n’y a que ça pour vous faire plaisir, je veux bien me dévouer.- Vous êtes toujours aussi direct?- Non, seulement avec les femmes qui me plaisent beaucoup.Elle rougit en baissant la tête, intimidée par mon rentre-dedans.- L’eau est bonne?- Je ne sais pas, je n’y suis pas allé.Elle se lève et s’immerge devant moi.- Tu devrais venir ça fait du bien.Sa façon de me le dire est comme un appel à l’adultère.Je la rejoins en me faisant tout un tas d’idée.Nous bavardons un peu et faisons plus ample connaissance. Valérie a 31 ans et vient de Thionville en Moselle, elle est caissière en grande surface. Elle a deux enfants.- C’est la première fois que je pars sans eux, je compte bien en profiter.- Et de quelle façon.Sans répondre, elle me lance un sourire malicieux, se retourne et s’apprête à sortir du bassin par l’échelle.Mais avant qu’elle n’atteigne les barreaux, je me colle derrière elle, glisse mes mains sous les bretelles de son maillot et j’empaume ses seins.- J’ai trop envie de toi.Elle se laisse faire, docile.- Hum, enfin, je croyais que tu n’oserais jamais agir.Elle se retourne, m’embrasse. Nous sortons de l’eau et on s’embrasse encore, nos langues tournent entre elles. Ses bretelles abaissées, je palpe ses seins libres et commence à bander. J’ai de plus en plus chaud, surtout lorsque Valérie glisse sa main dans mon short et tripote ma tige qui double de volume. Elle s’accroupie, sort ma queue.- Hum, c’est un gros joujou que tu as là.Elle me décalotte, titille, aspire et lèche mon gland. Je grogne de plaisir sous ses coups de langue. Elle tient mon sexe à la verticale et je sens sa langue passée entres mes couilles, remontée sur toute ma hampe, jusqu’au gland. Elle me suce ensuite goulument. Je suis totalement excité par cette femme si classe, si élégante et pourtant si perverse. A cet instant, n’importe qui peut entrer dans le hammam, mais c’est le cadet de mes soucis. Je la regarde d’en haut, elle me pompe de plus en plus vite et me branle en tournant sa main autour de mon sexe rempli de sa salive. Je gémis de plus belle, je me crispe et éjacule puissamment dans sa bouche. Sous mes yeux, elle avale ma semence, je l’entends déglutir. Elle se relève lentement, et réajustant son maillot, elle essuie sur la commissure de ses lèvres avec son petit doigt, la goutte de sperme égarée.- Tu vois, il n’y a pas que les irlandaises qui sont chaudes, et ça ce n’était qu’un avant-goût…

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Une jeune noire pas si timide (1).Une jeune noire pas si timide (1).En visite chez un fournisseur je fais la visite des ateliers avec le patron qui me montre le matériel et me présente le personnel. 3 personnes en tout dont une jeune femme noire qui est la fille adoptive du patron. Comme bien des noires je remarque sont cul bien rebondi et ses seins ni trop gros ni trop petits qui ne semblent pas être soutenus. Sa tenue de travail dans l’atelier ne la met pas en valeur et je l’oublie assez vite.La visite terminée je retourne au bureau avec le patron et nous discutons affaires jusqu’à la signature d’un contrat dans lequel nous allons y gagner tous les deux. Après cette réussite il m’invite à manger chez lui et devant son insistance j’accepte.Arrivé chez lui il me présente sa femme, noire la quarantaine très souriante et je sais de qui tient la fille que j’ai aperçu tout à l’heure. En discutant un peu j’apprends que sa fille à 23 ans et qu’elle est très timide. Au moment où nous parlons d’elle la voici qui arrive et cette fois je vois une sublime jeune fille dans une toute autre tenue. Petit chemiser à travers lequel je peux voir ses tétons rendus ce qui me prouve qu’elle ne porte pas de soutien-gorge et une petite jupe plissé grise mi-cuisses sur sa peau ébène. Je ne peux refreiner une envie de bander qui heureusement ne peut pas se voir.Nous passons à table et le patron de la boîte m’explique que sa fille à des problèmes de santé et qu’elle ne travaille que le matin. Elle n’est pas rapide mais elle est très consciencieuse dans son travail et c’est pour ça qu’il l’a embauchée. Le repas terminé et un petit café après il me propose de visiter tout le chantier avec comme guide sa fille qui me montrera l’ensemble du site pendant qu’il recevra d’autres clients. Je ne peux refuser surtout en aussi charmante compagnie et je le remercie.Nous partons alors tous les deux dans un silence total au début et je sens bien qu’elle a du mal à dire quelque chose. Arrivés à l’écart des regards je commence la conversation en lui demandant si elle ne s’ennuie pas trop en habitant dans ce coin perdu et je lui demande si elle a des passes temps. Elle me dit écouter beaucoup de musiques mais qu’elle n’a personne avec qui s’amuser un peu mais elle a toujours aimé la solitude. Elle prend un peu d’avance sur moi et je la regarde marcher ses fesses rebondies se balançant devant moi. Je recommence à bander sans pouvoir m’en empêcher en la regardant et je m’imagine lui mettant la main au cul. Tout à coup elle se retourne et surprend mon regard et me répond par un large sourire.Elle hésite à parler et finir par me demander si j’aime la suivre ce à quoi je ne peux que répondre oui. Elle me demande alors si son cul me plait et je lui avoue que oui qu’il est très joli. Sans rien dire d’autre elle se penche pour illegal bahis me montrer des pièces de bois stockées par terre et m’offre alors une vue imprenable dans son chemisier, me dévoilant deux seins magnifiques et pointus. Elle reste dans cette position. Je ne sais pas quoi dire puis je me lance en lui disant que je vois d’autres objets très jolis. Elle sourit encore avant de proposer de continuer la visite au bout du chantier.En arrivant vers la clôture de la propriété j’aperçois un petit cabanon en bois vers lequel elle m’emmène pour me proposer de rentrer voir les pièces rares. Je pousse la porte mais le cabanon est vide. J’entends alors la porte qui se referme et quand je me retourne elle est juste derrière moi souriante commençant de déboutonner son chemisier. Je suis surpris mais je ne dis rien et en un instant tous les boutons sont défaits. Elle écarte les pans de son chemisier et me montre ses seins qui pointent vers l’avant tout en avançant vers moi. Tu les trouves comment me dit-elle en les prenant dans ses mains ? Je lui réponds qu’ils sont magnifiques ce qui provoque un rire de sa part. Elle prend mes deux mains et les pose sur ses seins en me disant ils sont à toi et le reste aussi si tu veux. Je m’ennuie trop pour ne pas en profiter. Je sers ses seins à pleines mains et elle m’enlace par le cou jusqu’à ce que sa bouche rencontre la mienne pour un baiser qui devient fougueux en un instant. Sa langue rentre dans ma bouche et la mienne essaye de faire pareil pendant que je joue avec ses tétons qui sont biens durs. Elle se recule un peu tout en laissant mes mains sur sa poitrine qui durcie puis dans un mouvement rapide elle déboutonne sa jupe et la laisse glisser par terre. Je vois alors qu’elle ne porte rien dessous et que sa chatte est toute lisse. Elle recule encore et prend un sac en toile qu’elle pose par terre pour s’allonger dessus. Elle ouvre bien grand ses cuisses pour m’offrir une vue imprenable sur sa vulve qui brille en me demandant de la lécher. Je me place entre ces jambes et j’embrasse ses lèvres déjà trempées de cyprine avant de lui fourrer la langue à l’entrée de sa grotte. Je fouille un peux son puits d’amour pour finir par aller titiller son clitoris du bout de la langue. Elle pose ses mains sur ma tête et appuie dessus pour me faire comprendre de continuer plus fort sans hésiter. Je fais alors rouler son clito en passant bien ma langue dessus, puis je tourne autour avant de recommencer. Elle gémit et frémis sous mes coups de langue jusqu’au moment où elle ne tient plus et me demande de la prendre. Moi qui la trouvait timide je suis surpris mais j’obéis et pose ma bite sur sa fente. Elle me repousse en me disant pas là je veux rester vierge pour mon futur mari mais que je peux l’enculer autant que je veux. Elle m’autorise même à le faire illegal bahis siteleri sans capote et à gicler dans son cul bien rond. Je suis surpris de cette demande qui semble même être une prière et pour lui faire plaisir je lui accorde son souhait.Doucement je lui soulève les jambes en les laissant bien ouvertes pour poser mon gland gonflé sur sa rosette. Je lui frotte un peu le cul sans pour autant rentrer ma queue dans son fion et c’est en me suppliant qu’elle me demande de l’enculer directement. Je prends plaisir à la faire languir encore un peu pour ce qui l’excite davantage et elle se met à bouger son cul contre ma tige pour essayer de s’empaler. Je la regarde dans les yeux en lui demandant si elle veut vraiment la prendre directement à fond et me dit oui. Alors sans me retenir et lui bloquant le cul avec mes mains je pousse sauvagement lui arrachant un cri tout le temps que ma bite rentre dans son cul. En rien de temps je suis entièrement en elle mes couilles contre son cul ferme et je sens ses sphincters s’ouvrir et se refermer en serrant fort ma queue dure. Elle se mord les lèvres sous la douleur mais ne bouge pas tout comme moi bien calé au fond de son intestin. Je lui demande si c’est sa première fois et elle m’avoue que oui, qu’elle a mal mais qu’elle veut que je continue pour gicler mon foutre dans son fion. Je commence lors doucement mon va et vient lui arrachant toujours des cris de moins en moins bruyants tout en sentant son cul s’ouvrir doucement. Ma petite salope noire commence à apprécier mon traitement mis je décide alors de l’enculer sauvagement sans précautions. Elle gémit de nouveau de douleur pendant que je la ramone bien profond pour passer à l’étape où elle commence à apprécier de sentir ma bite lui chauffer les boyaux.Elle ferme les yeux et commence à avoir du mal à garder sa position mais je vais encore plus vite et je sens ma sauce qui arrive. Je finis par inonder ses intestins en me calant le plus loin que je peux et plusieurs jets de foutre remplissent son cul brulant. Elle gémit et sourit contente de ce qui lui arrive en me demandant de bien la remplir. Je reste enfoncé en elle un petit moment jusqu’à ce que ma bite ramollie ressorte de son trou du cul dans un bruit de succion. Je regarde alors sa rondelle qui reste grande ouverte pour attendre l’écoulement de mon foutre mélangé à son jus de cul. Je pose mes doigts sous son fion pour récupérer un peu de ces jus et je l’oblige à lécher pour qu’elle goute. Elle fait une petite grimace avant de se mettre deux doigts dans le cul et les ressortir recouverts de foutre pour les lécher. Elle y prend gout et me souris.Je lui souris à mon tour et la remercie pour se plaisir intense qui est aussi ma première fois avec une belle noire salope. Elle répond gentiment qu’elle veut être ma salope canlı bahis siteleri qui sera à ma disposition quand je voudrais. Je lui propose alors de venir passer le week-end chez avec l’autorisation de ses parents.Une fois rhabillés et de retour au bureau nous retrouvons son père à qui je fais part de mon invitation qu’il accepte sans hésiter. Il me propose même d’emmener sa fille avec moi en repartant ce que j’accepte bien volontiers car nous allons passer 4 jours ensemble à baiser comme des bêtes.Je la laisse partir chercher ses affaires qu’elle met dans le coffre de la voiture et nous voici partis chez moi. Au bout de quelques kilomètres elle me demande si je peux m’arrêter car elle a envie de pipi et elle voudrait aussi marcher car elle a mal au cul. Je me gare le long d’un bois et nous descendons pour rentrer dans les bois. Je la regarde en souriant et je lui dis que j’aimerais la voir faire pipi devant moi. Elle accepte en s’accroupissant et très vite elle commence à faire son petit besoin. J’admire son jet qui sort de sa chatte et qui coule part terre pendant un bon moment. L’envie était grosse en effet mais sous l’impulsion de son pipi elle se met à avoir des bulles qui sortent de son cul. Je lui demande si elle a toujours mal car je crains que la marche ne change rien. Elle finit son pipi, se relève sans même s’essuyer pour commencer de marcher. Deux minutes plus tard elle me dit que c’est toujours pareil alors qu’elle n’avait presque pas mal avec ma bite dans le cul. Je la pousse contre un arbre et la fais se pencher puis je sors ma queue qui a repris sa forme avant de lui poser sur le cul. Elle m’implore cette fois de ne pas le faire mais sans l’écouter je m’enfonce dans son fion. Elle crie de douleur sur le coup, puis une fois mon pieu planté dans son cul elle ne dit plus rien. Au contraire elle me dit avoir eu mal au moment où je l’ai enculée de nouveau mais que maintenant ça va mieux. Je prends alors le rythme pour la limer comme la première fois et en cinq minutes je jouis de nouveau au fond de ses boyaux. Je me retire tout de suite et lui demande de nettoyer ma queue luisante de foutre et de son propre jus ce qu’elle fait avec application. Telle une sucette elle me lèche la queue pour bien enlever ce qui reste dessus tout en mettant une main sous son fion pour pousser et faire ressortir le jus dans sa main. Une fois le cul vide elle me montre sa main et me propose de toute mettre dans sa bouche avant de m’embrasser. J’accepte sans hésiter et nous finissons par nous embrasser à pleine bouche nos langues jouant avec ce jus avant d’avaler chacun notre part.Nous repartons à la voiture mais en arrivant elle me dit avoir de nouveau mal au cul. Elle veut savoir combien de temps ça peut durer mais je ne lui dit pas. Je sais qu’elle en a pour un bon moment mais d’ici là je lui aurais encore mit un coup de bite. Nous repartons chez moi tranquillement ma main caressant sa vulve dégoulinant de cyprine sous sa petite jupe et la sienne tenant ma queue en la branlant doucement. Je sens que son séjour va bien e passer.

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