Nedjma – Chapitre 06

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C’est le plus beau des réveils! La petite bouche de Françoise s’active autour de mon chibre qui devient dur rapidement…

« – Bonjour, Dom! Il est 8h00… (Elle reprend ma queue dans sa bouche et continue de me sucer lentement)

– Wow… j’adore! Salut, Françoise!

– (Elle me regarde) Mmmmm… Mmmmm…

– Je sais, ta bonne éducation… tu ne parles pas la bouche pleine!

– (Elle ne peut s’empêcher d’éclater de rire) Hahahaha! Idiot, va! (Elle se hisse jusqu’à mon visage et m’embrasse goulûment)

– Tu as bien dormi?

– Oui… (Elle sourit, pose sa tête sur ma poitrine et regarde ma queue qu’elle branle doucement) Tu en auras pour longtemps, Dom?

– Aucune idée! J’essayerai d’abréger et de revenir le plus rapidement possible…

– S’il te plait, oui… (Sa tête redescend et je retrouve la chaleur de sa bouche et de sa langue qui s’enroule autour de ma verge)

– Françoise… viens dans l’autre sens… donne-moi ta petite chatte!»

Elle s’allonge en sens inverse, le long de mon corps. Son bas ventre à hauteur de mon visage, elle écarte les cuisses et sa fente s’entrouvre… son odeur épicée m’emplit les narines tandis que j’y plaque ma bouche et commence à la lécher… ma queue bien dure revient glisser entre ses lèvres, et nous nous appliquons à nous donner le maximum de plaisir, n’arrêtant nos caresses buccales que lorsque l’autre a joui.

Je m’habille rapidement pour foncer chez-moi et tout préparer avant l’arrivée de Sophie… Je n’ai eu aucune nouvelle d’elle, mais je sais qu’elle viendra! Par peur de voir ma vidéo tomber entre les mains de son mari? Oh, pas seulement! Aussi et surtout parce que c’est une salope! Nedjma a raison! Je lui ai juste dis que je parlerais de son augmentation avec Françoise… je ne l’ai pas fait, et bien qu’elle n’ait rien obtenu encore, elle me taille une pipe! Vous appelez ça comment, vous? Une salope! On est bien d’accord!

9h20

Je suis enfin chez-moi. J’ai acheté quelques légumes qui ont attiré mon regard chez l’épicier en bas de ma rue… si tout se passe comme prévu, j’aurai baisé Sophie avant midi et Nedjma aura eu sa vengeance! Admettons que je m’amuse encore un peu avec elle quelques heures de plus, je devrais pouvoir retrouver Françoise vers 16h00…

10h10

J’entends des pas dans l’escalier menant à mon appartement… j’habite un petit F2 au dernier étage d’une vieille bâtisse classée au patrimoine historique, comme les ¾ du centre-ville d’ailleurs! Mon quartier s’étale aux pieds d’une forteresse construite par Vauban… on y trouve quelques monuments d’époque romaine et 2 couvents! Mais aujourd’hui, je vais casser cette ambiance traditionnelle et calme de ma rue en transformant mon appartement en lupanar!

Je jette un coup d’œil par la fenêtre et reconnais Sophie… je vous l’avais bien dit! Elle est venue! Elle ne m’a pas vu et grimpe les dernières marches. Elle sonne, j’ouvre ma porte.

« – Entre! Oh la… ne tire pas cette tronche, Sophie…

– Pourquoi? Je devrais me réjouir peut-être?

– Parfaitement! Tu vas passer un bon samedi, alors de quoi tu te plains? Après tout c’est de ta faute! Tu m’aurais laissé aller jusqu’au bout l’autre jour, tu n’en serais pas là!

– Mais bien sûr… qui me dit que tu ne m’aurais pas fait chanter de toute façon?

– Faire chanter… Tssss… les grands mots, tout de suite… je veux juste te donner une petite leçon, Soph’! Tu m’as allumé à fond et planté comme une merde une fois que j’étais bien chaud! Je te filerai les fichiers originaux quand tu repartiras et je te laisserai tranquille, ne t’en fais pas!

– Et si tu as fait des copies, comment je le saurai?

– Bien sûr que je vais garder une copie! Mais pour mon usage perso, c’est tout!

– C’est-à-dire?

– Pour me branler si tu veux tout savoir!

– Mais tu ne diffuseras jamais rien?

– Tu me prends pour qui? Tu crois être Miss Monde pour que je veuille profiter de toi au-delà d’aujourd’hui, Sophie? Je crois que je vais te donner ces putains de fichiers et tu vas te casser tout de suite!

– Tu me le promets, Dom? Tu veux juste qu’on couche une fois ensemble et tu me laisseras tranquille?

– Je te dis que tu peux partir… tu me fais même pas bander, Sophie!

– Pourtant l’autre jour… (C’est la 2ème fois que je lui dis qu’elle est libre mais elle fait mine de n’avoir rien entendu… je vous le disais, elle est là pour baiser!) J’ai acheté ce que tu m’as demandé de porter… tout est dans le sac là… (Elle tend un grand sac plastique qu’elle tient en plus de son sac à main)

– Cool… alors vas-y! Change-toi!

– Là, maintenant? Devant toi?

– Ben oui… tu ne vas jouer les pudiques? »

Elle s’exécute et sort du sac un chemisier rouge très transparent, des bas et un string en dentelle assortis au chemisier, ainsi qu’une paire de talons aiguilles… Elle se déchausse, déboutonne son jean puis le retire…

« – Oh… tu n’as kuşadası escort pas mis de culotte…

– Non, je savais que j’aurais à l’enlever…

– Comme quoi tu acceptes très bien ce qui va se passer… tu achètes ce que je te demande, tu viens sans culotte… je t’en prie, continue! »

Tandis qu’elle pose son jean sur la chaise près d’elle, je me lève et viens me coller à elle… je pelote son cul flasque et plat…

« – Pas terrible tout ça… t’as le cul d’une tristesse ma pauvre Sophie! (Je gifle ses fesses) Regarde moi ça… ça rebondit même pas! Heureusement que t’as d’autres atouts! »

Ma remarque la fait rougir, elle est vexée… je lâche ses fesses et passe devant lui fourrer une main entre les cuisses… elle se laisse faire, écartant même les cuisses pour me faciliter l’accès et poursuit son effeuillage en retirant son pull… j’enfonce un doigt dans sa vulve et le remue doucement…

« – Tu mouilles ma cochonne… »

Elle ne dit rien… le pull enlevé, elle fait glisser les bretelles de son soutif le long de ses épaules puis amène l’attache sur le devant pour la défaire. Ses gros nichons jaillissent hors des bonnets et remuent lourdement sous le mouvement de ses mains occupées avec l’agrafe. Autant elle a le cul triste, autant elle a le nichon joyeux et super bandant! Je me jette sur elle pour prendre dans ma bouche ses belles pointes brunes et les sucer…

« – Bon sang… quelle paire! Sllurrp… suck suck… sllurrp… Mmmff… Sophie… détends-toi… je ferai tout ce que je peux pour cette augmentation… je veux juste recevoir ce que tu m’as promis avant! Simple sécurité… Mmmmff… Sllurrpp…”

Je la tète un bon moment puis la laisse passer ce qu’elle a amené… elle enfile les bas, le string, puis le chemisier sans soutif en dessous… quand elle a chaussé les talons aiguilles, je la fais s’asseoir au centre du salon.

« – Je vais t’attacher les mains maintenant…

– Quoi??? Mais…

– Chut… juste pour pimenter un peu le tout… »

Je vais dans ma chambre, jouxtant le salon, prendre les liens que j’avais préparés avant son arrivée puis reviens lui attacher les mains dans le dos… ses protestations sont de pure façade… quand je m’absente pour récupérer les liens, elle ne bouge pas et je la retrouve sagement assise sur sa chaise! Toujours dans son dos, je me saisis d’une étoffe noire que j’ai dans la poche… je la roule et d’un coup, je lui bâillonne la bouche avec! Elle tente de protester mais ses mots sont déjà étouffés par l’étoffe. Elle donne aussi de grands coups de pieds dans le vide mais je la préviens que si elle continue, je lui attacherai les pieds! Elle se calme mais je lis la colère dans ses yeux… Qu’est-ce que ça sera quand j’introduirai le dernier élément prévue au scénario de cette journée!

Quand on parle du loup… on frappe à la porte! Je n’ai rien vu passer derrière la fenêtre du salon, ni entendu aucun bruit dans l’escalier tellement je suis concentré sur l’instant… Sophie sursaute mais après avoir jeter un coup d’œil à la pendule, je lui dis que tout va bien et qu’il n’y a pas à s’inquiéter… il est 10h30… le sourire aux lèvres, je vais ouvrir…

« – Ah te voilà! Pile à l’heure! Entre, ma belle! Tout est prêt!

– Je veux voir ça!

– (Je me décale sur le côté, dévoilant le dos de Sophie, mains attachées et fulminant sur sa chaise) Du calme, Sophie! Oui, t’as bien entendu! C’est Nedjma qui vient d’arriver! Elle va passer un moment avec nous… viens, ma douce! »

A présent c’est de la haine pure que je peux lire dans les yeux de Sophie! Elle grogne mais aucun de ses mots n’est compréhensible. Elle se tord dans tous les sens dans l’espoir de se libérer de ses liens, mais je l’ai trop bien attachée!

Nedjma referme la porte derrière elle puis s’approche de la chaise…

« – Bonjour, Sophie! Heureuse de me voir? (Les mains sur ses épaules, Nedjma dépose un baiser sur le haut du crâne de Sophie puis vient se planter devant elle) Oh, pas vraiment on dirait! Moi en tout cas, je le suis! Surtout de te trouver dans cette posture… et cette tenue! Alors comme ça on suce mon Dom pour 300 €? Oui, il m’a tout dit! Et c’est moi que tu traites de pute? »

J’aide Nedjma à retirer sa veste et découvre en souriant son énorme poitrine moulée outrageusement par son chemisier…

« – Hihihihi! J’ai enlevé mon soutien-gorge dans le petit couloir à l’entrée… je savais que ça te ferait plaisir, mon chéri! »

Nous nous embrassons à pleine bouche, longuement, mes mains malaxant ses seins énormes et frottant les gros tétons pointant généreusement sous le tissu soyeux…

Sophie ouvre de grands yeux et nous regarde, Nedjma et moi, hébétée et au bord de la crise cardiaque, nous galocher amoureusement devant elle…

« – Surprise? Dom et moi on est ensemble depuis qu’il a commencé à l’association! Pas vrai, mon chéri?

– Absolument! Je t’ai kocaeli escort fait croire qu’elle m’avait fait une pipe pour me remercier de sa promotion, mais je couchais déjà avec elle bien avant, Sophie!

– Moi je ne donne pas mon cul pour 300 euros, madame! »

Nedjma s’approche de Sophie, caresse son visage, une joue puis l’autre… elle tourne autour de sa chaise en l’effleurant du bout des doigts… quand elle revient face à elle, elle la gifle d’un coup! Puis elle l’embrasse tendrement par-dessus le bâillon avant de se redresser pour lui donner une nouvelle paire de baffes! Surpris par son comportement, j’essaye de la calmer…

« – Oh la, Nedjma…

– Je devais le faire, mon chéri… maintenant ça va mieux… ne t’inquiète pas s’il te plait… fais-moi confiance… je connais ce genre de salopes! »

Nedjma pose une main sur la poitrine de Sophie nue sous le chemisier… la main glisse entre 2 boutons et je vois ses ongles longs venir se planter profondément dans la chair tendre du sein qu’elle a empoigné et se met à pétrir avec force… Sophie gémit de douleur…

« – Aujourd’hui, tu es à moi! Et à Dom, bien sûr! Tu devras nous obéir! Et nous verrons bien qui de nous deux est une pute! Jolie poitrine en tout cas… Dom adore les grosses poitrines, tu sais… »

Elle a déboutonné un peu plus le chemisier rouge transparent… à présent, elle peut palper les 2 gros nichons de Sophie… elle prend un des mamelons entre ses doigts et le fait rouler délicatement… brusquement, son visage se crispe et elle pince le téton violemment! Les yeux rougis, Sophie gémit de plus belle en se tortillant de douleur sur sa chaise…

« – Oh… Madame a le téton sensible, on dirait… (Lance Nedjma en se tournant vers moi) De l’autre côté aussi? »

Elle lui crache au visage puis tord brutalement l’autre mamelon! Sophie explose et tente de se lever. J’ai juste le temps de me précipiter derrière elle et de la plaquer sur sa chaise en la maintenant fermement de mes 2 mains sur ses épaules!

Je me sens vraiment mal à l’aise! Je ne voyais pas les choses comme ça… je me demande à quoi je m’attendais en fait! Attacher Sophie et la rendre totalement vulnérable et soumise au moindre caprice de Nedjma, c’était carrément une idée à la con! Je sais pourtant combien les femmes peuvent être garces entre elles! En même temps, je n’ose pas trop aller contre Nedjma… après tout, c’est moi qui lui ai fourré cette idée de vengeance dans le crâne! Merde! Les plans sado-maso, c’est franchement pas mon délire! Sophie est au bord des larmes… et une femme qui chiale, ce n’est pas du tout le genre de truc qui m’éclate!

« – Tranquille, Nedjma! Vas-y doucement, ma douce…

– Je suis sûre qu’elle aime ça! N’aie pas peur, Dom! (Et elle fourre une main sous le string de Sophie) Ha! Elle mouille, la garce! Tu vois, je te l’avais dit, mon chéri! Elle prend son pied! »

Je vais quand même prendre le relais avant que Nedjma ne se déchaîne un peu plus! Et là ou elle a décidé de dispenser la douleur, je vais tempérer en offrant du plaisir…

Je m’agenouille devant Sophie et j’essuie le filet de salive qui coule sur son visage… cette offense nettoyée, je pose délicatement mes 2 mains sur ses gros seins… mes paumes se referment sur leur volume généreux et les palpent avec une douceur extrême… je peux voir sous le tissu transparent, la chair de ses seins meurtrie par les ongles de Nedjma… je tire sur le côté les 2 pans du chemisier et caresse à nouveau les 2 seins d’une rondeur parfaite… je regarde Sophie…

« – T’as vraiment des seins magnifiques… tu ne trouves pas qu’elle a de beaux seins, Nedjma?

– C’est vrai! Dommage qu’elle soit si conne! Profite bien d’elle en tout cas, mon chéri! Je veux que tu prennes tout le plaisir qu’elle t’a refusé! »

Peu à peu, Sophie retrouve son calme avec moi… j’embrasse en l’effleurant des lèvres son ventre rond, descends sur la peau douce de son entrecuisses que je baise avec une égale légèreté… je respire profondément l’odeur épicée qui exhale de sa vulve toute proche puis remonte baiser sa fente par-dessus le string dont je tire le triangle de dentelle fine sur le côté… je veux vérifier par moi-même qu’elle mouille vraiment… ma langue darde, glisse entre les 2 petites lèvres et lèche son vagin vigoureusement… je peux alors sentir la cyprine couler dans ma bouche et saturer mes papilles de sa saveur unique…

« – J’adore le goût de ta grosse chatte, Sophie… »

Je suce longuement son clito avant de replonger dans sa fente humide… puis je reviens baiser son ventre, remontant sur ses nichons qui prennent un volume incroyable vus du dessous… j’embrasse le sein droit, le gauche… je lèche les larges aréoles brunes puis prends dans ma bouche les mamelons durcis par les caresses vengeresses de Nedjma… je les suce lentement, les enroule sous ma langue, les tète encore… je les sens gonfler konya escort dans ma bouche… plus bas, mes doigts ont remplacé ma langue dans sa vulve et je la doigte profondément pendant que je suce goulûment ses gros nichons… Sophie ne tente plus de se débattre mais se soumet totalement… sa respiration s’est accélérée et son corps s’est avachi sur la chaise… les cuisses largement écartées, elle jouit en secouant la tête et gémit comme jamais …

« – Nedjma, viens derrière elle… viens lui caresser les seins pour moi… mais doucement! D’accord?

– Hihihihi! Compris, mon Dom… »

Nedjma se colle à Sophie… debout derrière elle, elle prend en coupe ses seins lourds et les pétrit avec la délicatesse demandée, au début en tout cas! Je tète les gros nichons entre les doigts de Nedjma, je lèche et suce les mamelons durs qu’elle pince doucement… Nedjma ne peut retenir plus longtemps la colère qu’elle a envers Sophie, et dès que ma bouche quitte les délicieuses mamelles, elle recommence à lui vriller les tétons en les tordant dans tous les sens! Je la laisse faire puisque Sophie aime ça! De mon côté, je fais glisser le string que porte Sophie jusqu’à ses chevilles… je contemple un instant sa chatte bien poilue et ses petites lèvres qui sont comme 2 crêtes de coq épaisses d’un rouge foncé… sa fente et son entrecuisses brillent du plaisir qu’elle prend…

« – Tu mouilles de plus en plus, ma cochonne! T’avais raison, Nedjma! Madame l’assistante de gestion prend son pied! (Elle me fusille du regard)

– Bien sûr qu’elle aime ça, Dom! Tu crois vraiment qu’elle serait venue aussi facilement si elle n’avait pas envie de se faire baiser, cette pute?

– Mmmmrrrrrrmmm! (Grogne Sophie sous son bâillon)

– C’est pas cool de s’entendre traiter de pute, hein Soph’? Alors mets-toi à la place de Nedjma et imagine ce qu’elle a pu ressentir quand tu as dit ça d’elle! »

Nedjma se penche par-dessus l’épaule de Sophie et nous nous roulons une bonne pelle toute en miaulements de chats en rut et suçage de langues! Nedjma a une main sur le sein droit de Sophie et en pince sauvagement le téton pendant que je pelote amoureusement le nichon gauche… j’approche mon visage du con poilu de Sophie et colle ma bouche à sa fente dont la mouille trahit la jouissance qu’elle aurait certainement préféré cacher! Je dégage le clito de la touffe de poils abondante qui le recouvre et lui donne de rapides coups de langue avant de l’aspirer et de le sucer longuement… quand il bande bien, je plonge au plus profond du vagin et le laboure de ma langue qui va et vient, tourne, lèche, suce et titille chaque centimètre… elle voudrait taire son plaisir mais il devient trop fort… elle gémit de plus en plus… Nedjma fait rouler ses bons gros nichons sous ses petites mains tout en continuant d’en torturer les pointes! D’une voix douce qui contraste avec la vigueur de sa caresse, elle m’encourage…

« – Vas-y Dom… lèche-la bien cette salope! Fais-la mouiller… Fais-la jouir, mon chéri! Elle n’attend que ça! C’est bon, hein Sophie? Mon Dom me rend folle chaque fois qu’il me bouffe la chatte! Alors tu dois vraiment prendre ton pied! »

Sophie gémit et je la lèche de plus belle… très vite elle atteint l’orgasme et un flot de cyprine coule dans ma gorge … Sophie se dandine de plaisir sur sa chaise et je finis de boire son plaisir à grands coups de langue dans sa chatte…

Je bande comme un fou! Les mains de Nedjma pelotant ces gros nibards et Sophie totalement soumise… ça me file une gaule d’enfer! Je vais à la cuisine et reviens avec un concombre! C’est ça que j’ai acheté chez l’épicier en bas de ma rue! Dès que j’ai vu les concombres sur l’étale, ça a fait boom dans ma tête! Je le tends à Nedjma en lui demandant de l’enfoncer dans le vagin gluant de Sophie… pendant ce temps là, j’ai bien l’intention de me faire sucer! Mais je commence par galocher Nedjma et la déshabille… je fais tomber sa jupe à terre pendant qu’elle se débarrasse de son chemisier et de son soutif… et tout en continuant de la galocher, je lui bouffe les seins en lui fourrant le concombre entre les cuisses…

« – Nedjma… ça te dit d’essayer?

– Tout ce que tu veux, mon chéri… montre à cette salope comme tu me fais jouir… »

Je fais lever Sophie et l’entraîne dans ma chambre où je la fais s’asseoir à nouveau, face à mon lit, les mains toujours attachées dans le dos… Nedjma et moi reprenons notre baiser fougueux et je reviens frotter le concombre contre sa fente entre ses cuisses…

D’abord debout, nous finissons par nous allonger sur le lit, Nedjma ouvrant largement ses cuisses devant Sophie qui ne peut que profiter du spectacle!

Allongé tout contre elle, je suce goulûment les énormes mamelles de Nedjma tout en introduisant lentement le concombre dans sa grosse chatte… je tète ses tétons bruyamment et ma salive coule sur ses seins… sa fente s’ouvre en grand pour recevoir le légume que j’enfonce de plus en plus profondément… elle gémit et mouille abondamment… Sophie nous mate et se frotte les cuisses subrepticement… mais j’ai l’œil et je vois bien son petit jeu! Elle se masturbe discrètement tandis que je gode Nedjma sous ses yeux pleins de désir…

(à suivre…)

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Amateur

SORTIE SCOLAIRE, PARTIE UNE

Cette histoire me fut relatée bien des années plus tard par un ancien élève, à la suite d’une soirée bien arrosée, en fut-il l’acteur, le témoin, en eut-il connaissance, je ne saurai répondre pas plus que je ne puis démêler le vrai de l’idéalisé, je me suis borné à le transcrire en bon français, du moins est-ce ainsi que je l’espère, son récit, en l’édulcorant quelque peu, en l’enrichissant parfois, j’ ai cependant pris la liberté de changer tous les noms des protagonistes et de transférer l’histoire en d’autres lieux similaires de façon à rendre toute identification impossible.

En début d’exploitation des zones, des secteurs étaient déterminés selon la qualité des sols, les grèves moins riches en silice, donc peu exploitables étaient repoussées, puis délaissées formant des îlots parsemant en bandes irrégulières les étangs. C’est dans un de ces lagons peu profonds qu’Hélène avait trouvé refuge étrennant en toute discrétion le minimum offert par son mari, maillot au slip brésilien qu’elle n’osait pas encore afficher en public. Ce coin lui souriait d’autant plus que nageuse peu experte, elle pouvait en toute discrétion y réviser ses tables, personne ne fréquentant ce coin un peu retiré. Se croyant seule, elle barbotait allégrement, se souciant peu des bretelles de son bikini qui glissaient révélant l’opulence de sa poitrine ferme ou de l’exiguïté de la culotte laissant échapper quelques mèches folâtres de sa toison de feu.

Elle ignorait que masqués par les fourrés, de l’îlot trois paires de yeux concupiscents se régalaient à la vue de ses formes appétissantes. Il s’agissait des trois petits voyous qui la veille, lors de leur installation ne s’étaient pas gênés pour détailler et commenter les formes appétissantes des trois accompagnatrices, et plus particulièrement les siennes qui avaient du leur paraître particulièrement voluptueuse. La voyant quitter le camp chastement vêtue d’une courte robe d’éponge, Franck, celui qui lui avait fugitivement peloté les fesses lors de leur installation, s’était douté que, si elle cherchait à s’isoler c’était par crainte d’exhiber tout de go sa plastique aux yeux de tous, il devinait que pour une raison quelconque, pudeur, manque d’habitude, déficit du halage, elle devait se rassurer avant d’affronter la foule des baigneurs. Coup de chance, elle avait quitté sa courte robe à quelques mètres d’eux, et maintenant, allongé derrière les buissons, le paréo bien cachée au fond de son havresac, en compagnie de deux de ses complices il la mangeait des yeux.

C’est qu’elle était très alléchante la belle bourgeoise, ses fesses dont il avait déjà furtivement testé la fermeté s’épanouissaient au dessus de longues cuisses fuselées en deux hémisphères charnus, denses, bien dessinés au creux desquels se perdaient la languette fripée du slip, kütahya escort la poitrine opulente, haut plantée tressaillait lascivement à chacun de ses gestes, le hasard de ses mouvements leur avait même permis d’apercevoir l’aréole plus foncée qui cerclait un large téton dardé, quelques mèches rousses s’échappaient par l’entrejambe succinct du maillot. Ils la contemplaient ainsi depuis quelques minutes, quand sur un geste de leur chef, qui guettait une circonstance favorable, ils se décidèrent enfin à agir.

Franck avait entendu, au loin le claquement de pagaies qui semblaient se diriger vers eux, discernant immédiatement l’opportunité favorable, il avait résolu de se lancer. Surgissant comme des diables de leur boite, ils se ruèrent sur elle, et alors que statufiée par la surprise, elle restait abasourdie, sans même qu’elle pousse un cri, ils la dépouillèrent en deux mouvements de ses effets, se réfugiant aussi vite derrière le rideau des maigres buissons, la laissant effarée et nue au milieu des flots. De la rive, Franck la héla hilare :

– Si tu ne veux pas qu’on te voie à poils.. Viens donc me demander ton cache vertu … mais grouille toi.. y’a du peuple qui se pointe!

Et, hagarde, à son tour elle perçut le claquement des rames sur l’eau, ils arrivaient, en un éclair elle comprit, où elle courait s’abriter sur l’îlot tout proche, ou dans une minute au plus tard, les arrivants croiraient découvrir une nudiste dans cette maudite anse isolée. Tout de suite elle entrevit le visage scandalisé de ses enfants et des autres accompagnateurs au récit croustillant que ne manqueraient pas de faire ces intrus. Pourrait-elle seulement se disculper…. Evoquer une raison évidente de sa présence, entièrement nue dans ces lieux … Qu’en déduiraient les gens …. Et frissonnante d’anxiété, sans plus tergiverser, elle se précipita à son tour à l’ombre des maigres taillis.

En rampant, elle se glissa à plat ventre sur une bande à l’herbe rase entre deux boqueteaux, et de là, oubliant momentanément les loubards qui l’avaient dépouillée elle guettât les arrivants, avec appréhension, elle vit trois canots chargés de mouflets en bas âge s’immobiliser, les moniteurs les tirèrent alors vers une petite plage sur l’îlet face au sien et commencèrent à débarquer des paniers de victuailles, elle comprit alors avec effroi qu’ils allaient goûter sur place, et qu’elle en avait donc pour de longs moments d’attente.

Un frôlement l’alerta, et se tournant sur le coté, elle vit arriver les trois marlous rampant sur le ventre, elle allait hurler, lorsque le plus avancé, le doigt en travers des lèvres lui rappela qu’au moindre cri elle ameuterait les gamins pique-niquant face à eux, ce qui serait le meilleur moyen d’étaler sa mésaventure, à cette idée l’appel mourut sur ses lèvres, et anéantie, manisa escort elle dut se résoudre à les laisser impunément se vautrer à ses cotés. Dressant la tête elle jeta un coup d’œil en face, ces maudits gosses étaient toujours là, la paralysant. Elle sentait la chaleur des deux corps qui la pressaient entre eux, ils ne disaient rien, se contentant, pour l’instant, et elle savait qu’ils ne s’arrêteraient pas là, de se frotter contre ses flancs.

Et soudain, elle sut que ça y était, la main du plus hardi remontait lentement le long de sa jambe, déjà elle suivait le pli du fessier, elle se raidit, que pouvait -elle faire d’autre?

Son agresseur ne s’en inquiéta pas, lentement, il empauma les deux globes, les malaxant, les parcourant en de lentes et langoureuses caresse, avant de revenir se perdre dans l’entrejambe qu’elle défendait toujours avec énergie, cependant un autre danger se précisait maintenant. L’autre gaillard avait réussi à glisser la main entre sol et chair et brusquement, en un seul élan, il avait saisi son sein, s’emparant immédiatement du téton qu’il commença à rouler entre deux doigts. Elle frissonna longuement, il lui faisait mal, et pourtant elle sentait son mamelon darder sous la rude caresse, se pouvait-il? …

Troublée par cette réaction inattendue, elle perdit brusquement de sa concentration, inconsciemment elle se polarisa sur ses mamelles, oubliant l’autre antagoniste qui menaçait son intimité. Sentant son fléchissement, il se laissa oublier quelques instants, les fesses d’Hélène se décrispèrent, insensiblement ses muscles se détendirent, c’était l’instant qu’il guettait. Imparablement il enfonça le poing entre les cuisses légèrement disjointes, il s’enfonça facilement jusqu’à la charnière intime de la belle, imposant déjà deux doigts fureteurs à l’entrée de sa féminité. Il lui laissa quelques secondes de répit, le temps de s’accoutumer à cette présence non désirée, et déjà sollicitée par les tiraillements de ses mamelons, elle se polarisait à nouveau sur sa poitrine malmenée. Et inexorablement il la fora index et majeur joints, pénétrant jusqu’à la garde la tiède moiteur de son con poisseux, elle se cabra sous la brutale intrusion au cœur même de sa féminité, abasourdie par la facilité avec laquelle les deux doigts joints s’étaient infiltrés. Déjà ils remuaient, la pistonnant avec ampleur, dilatant son pistil qui secrétait incongrûment son nectar. Eperdue, elle sentait maintenant sa gaine s’adapter à l’intrus, ses reins solliciter s’accorder au rythme auquel son ventre était soumis, ses fesses s’écarter pour livrer à son suborneur une entière liberté de manœuvre. Elle en oubliait sa poitrine toujours malmenée par l’autre sbire, elle se surprit à gémir sourdement, avouant ainsi son profond émoi. Profitant de cette aubaine il se dressa souplement, la prenant mardin escort au ventre il l’agenouilla au sol, et la couvrit lestement se guidant habilement de la main pour la pourfendre d’un coup. Egarée elle se laissa retomber sur le ventre tandis que déjà il la pilonnait d’amples coups de bite, allant et venant au plus profond de son tunnel d’amour, de la croupe elle épousait ses puissants empalements, savourant avec ivresse cette impression de plénitude qui la remplissait toute. Stupéfait d’un tel accueil, il ne put résister bien longtemps à cette fournaise dans laquelle prenait son pied et c’est avec un grognement retenu qu’il se vida avec abondance ventre rivé à sa croupe, obligé de la bâillonner pour étouffer les cris qui auraient fusés de sa gorge.

Son émoi était tel, que c’est à peine si elle se rendit compte qu’elle changeait de chevaucheurs, elle ne prêta aucune attention aux deux lascars qui en quelques secondes, chauffés à blanc par le spectacle auquel ils venaient d’assister, se déversent à leurs tours dans son ventre anesthésié. Franck qui s’était glissé à sa tête, histoire de veiller à ce qu’elle n’ameuta point les populations lorsque ses deux complices se déverseraient dans son antre, lui susurra alors :

– Si tu veux récupérer tes frusques ….. Viens nous rejoindre au cœur de l’île!…. A bientôt ….

Et, silencieusement, ils la quittèrent en rampant, s’enfonçant dans les fourrés, elle restait là, allongée sur le ventre, flancs palpitant cherchant à reprendre ses esprits. Le sperme gouttant larmes après larme de son sexe encore béant, elle tardait à reprendre son souffle, subitement elle repensa aux pique-niqueurs de l’îlet en face, elle se dressa sur ses coudes, observant la scène qui se déroulait sous ses yeux : les jeunes, assis en rond dégustaient leurs sandwichs tout en Jacassant, au train où ils allaient, force lui fut de constater qu’ils en avaient encore pour un sacré bout de temps.

Elle devait se décider, il avait été clair ce petit con : ou elle allait les rejoindre pour quémander, ou elle retournait à poil au camp, avec tous les risques que cela sous-entendait. Si encore elle ne se sentait pas si molle, si amorphe, elle n’arrivait même pas à se révolter après ce qu’ils lui avaient fait subir, elle se sentait si alanguie, pas honteuse, pas salie, seulement et c’était le plus étrange, si lourde, si béate, c’était comme si cette brusque agression avait comblé un manque, un vide soudainement révélé. C’était presque comme si ce jeune voyou avait juste remplacé son mari, avait rouvert une voie trop peu souvent empruntée par son époux.

Lasse elle roula sur le ventre, prenant alors conscience que, suintant de sa chatte, une traînée visqueuse maculait sa cuisse, cette constatation la replongea brusquement dans la réalité, elle se secoua, d’une lente caresse des doigts elle étala le sperme sur sa cuisse, et consciente de l’inanité de ses efforts pour se nettoyer, se dissimulant aux regards des jeunes gosses, comme engourdie, elle se prit la route des buissons qui la mènerait au lieu du sacrifice.

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Blonde

Warning: This is a spanking/humiliation/lezdom fetish story. All characters are at least 18 years or older. If you’re new to this story, it’s about a hardworking woman and her co-workers being mistreated by their young boss, who was only given the job because her daddy is the CEO. I hope you enjoy!

Chapter 9

Now, out of Trish’s office and back in my sad reality where I didn’t have one of her precious titties in my mouth, I attempted to move on with my day without absolutely blowing the fuck up at Mary. She and I could hardly even look at each other, and we definitely weren’t on speaking terms after she so rudely interrupted my nipple sucking session with our boss.

Even worse, that tall brunette bitch just had the interject herself in my new hobby. I never liked sharing Trish with those sluts in my office, but now having to share her breasts with a woman, who truly didn’t care for her the way I did, had me red with anger.

Of course I was embarrassed about some of the other things that happened as well. Trish had straight up played with our pussies and even rubbed our ass holes a little.

We each sat on one of her dainty knees like we were little children fighting over a new toy. However, none of that really mattered to me, because this was war! What Mary and I were fighting over went beyond the humiliating acts that our wonderful boss did to us.

For the next several hours, Trish was out of the office, enjoying her extended lunch with one of her rich friends. This left Mary and me practically alone in the office. Oh, yeah… Sally was there too… like she mattered at all…

Mary and I weren’t speaking to each other, but there was obvious tension in the room. Her face was red with embarrassment, while my face was red with fury.

In the grand scheme of things, I fully recognized that a mature person would have kept her mouth shut until cooler heads prevailed. From the outside, this was an understandable competition. Mary and I both wanted to be Trish’s assistant. Of course, there was going to be some tension between us.

Unfortunately, a mature person was not what I chose to be. This was a battle for my precious Trish, and I was willing to use guerilla warfare to get my prize. However, until I could figure out exactly what guerilla warfare meant, I decided to attack her with pettiness instead.

The three of us somehow ended up in the break room at the same time later in the day. After successfully holding myself back from making any comments about my work-rival, the fire burning inside finally pushed me past my limits of maturity.

I could no longer keep my mouth shut!

While Sally was making herself a cup of coffee, mixing sugar and cream in it just the way she liked, I practically shouted, “I hope you don’t enjoy that coffee too much, Sally. If you do, Mary might walk over there and drink out of the same cup.”

While Sally stood there confused, Mary slammed both of her hands on the table before glaring over at me. “Do you think you’re the only one that matters around here?!” she growled, leaving our annoying bystander completely wide-eyed. “You don’t even like coffee! You were just hiding it from me because you thought it gave you an advantage!”

Sally looked back and forth between the both of us. “What? The coffee machine has always been here… I’ve seen both of you use it…”

“I do like coffee, you jealous bitch!” I shot back, getting right in Mary’s face. We glared into each other’s eyes as I continued, “You’re the one who doesn’t like coffee! You just decided to take a sip because you saw how much I enjoyed it!”

Still confused, Sally quietly expressed, “You two seriously just started drinking coffee? I swear I’ve seen both of you drinking coffee like every day…”

“Jealous?!” Mary persisted in the midst of our vicious battle. “Why would I be jealous?! Neither of us actually like coffee! We’re just doing this to gain an advantage!”

“That’s where you’re wrong!” I shot back proudly. In an attempt to clarify how different we were, I further explained, “Unlike you, I actually do like coffee. As a matter of fact… I think I’m in love with coffee!”

Taking a sip from her drink, the annoying brat, Sally, interjected herself by smiling and saying, “I love coffee too!”

“No, you don’t!” I shouted, turning my glare towards the smaller brunette. “You don’t know the first goddamn thing about coffee!”

Somehow, Mary joined my side in the berating of the goody two shoes. Though we were at each other’s throats, we could always agree that Sally was just an annoying bitch that wasn’t on our level.

“This isn’t actually about coffee, you little dummy,” Mary said, forcing Sally to step back out of intimidation. “We’re basically talking about something that happened with Trish, but I’m not going to explain it to you because, one, you’re not mature enough to understand what we’re talking about, and two, you’re a complete non-factor in the promotion, so you really don’t matter to us anyway.”

As harsh as it was, adana escort I had to back Mary up on her arguments. It was all true; Sally wasn’t a factor in this promotion. Despite how sad the goody-two-shoes looked, I doubled down on Mary’s arguments and added, “Sorry, sweetie, but we’re like way ahead of you in this race.”

Her eyes started to water as she grew defensive. “No, it’s a three woman race! I might get the promotion…”

“Uh, no, you’re not,” I replied before Mary and I both laughed at her. “Hate to break it to you, sweetie, but there’s a clear top two, and it’s Mary and me… most likely with me in first place…”

Once again, Mary turned her attention towards me, dismissing our little co-worker. In truth, Sally actually walked off due to our rudeness, but we didn’t notice. We were in the midst of our own heated battle, so we were hardly aware of anything going on around us.

“There you go again!” my co-worker yelled at me, showing her disdain for me with her eyes. “You always have a little comment, making yourself look better than me! You were even trying to suck her tits better than I was!”

“So what?! You don’t have to stick your nose in my business if you don’t like it! And yes, I do suck titties better than you do!”

“You are really starting to piss me off, Rebecca! I thought I was competitive! I can’t believe the lengths you’re going to just to get that position!”

“I don’t see you taking a different approach!” I yelled back, filled with jealousy over sharing Trish’s breasts with her. “You’re trying pretty damn hard to stop me from getting that promotion to be Trish’s pet!”

Mary paused for a moment and blinked several times before coming back with an enraged response. “Trish’s pet?! You mean her assistant?!”

“Yeah… that’s what I meant!” I argued.

Honestly, I didn’t know why I said Trish’s pet in the moment. It just sort of rolled off the tongue naturally… And besides, calling myself her pet sounded pretty nice in my head…

Pulling her own hair, Mary showed her deep frustration for me by letting out a groan. “I swear, I don’t even know who you are anymore! I’m starting to think this has nothing to do with money! You don’t even talk about that rental property anymore!”

Suddenly, I raised my eyebrows in confusion as I stared at my competitive rival. “Rental property? What are you talking about?”

“Have you forgotten why you wanted that extra money to begin with?!”

“Oh, right! The rental property!” I reacted, excited at the prospect of fulfilling one of my financial dreams. I suppose I had forgotten about that in the midst of the battle. However, I couldn’t let Mary know that, so I yelled back, “I’m almost ready to buy one… and I can’t let you get in my way!”

Slapping her forehead in annoyance, the tall brunette just stared at me and shook her head. “I have no idea what your priorities are anymore, you crazy bitch.” Then, before I could come up with a response, she looked around and asked, “Where did Sally go?”

I wanted to tell Mary not to call me a bitch anymore, even though I had just called her bitch, but she brought up a good question that derailed our whole battle. Noticing the little brunette was gone for the first time, I became worried that she went to go tattle on us again. I hated when she stitched on us, but what scared me more about that was that it meant Trish had returned and I was too busy arguing with Mary to properly greet her!

“Did Trish come back?” I asked, showing concern on my face.

As I peeked around the corner, hoping to catch a glimpse of our cute boss, Mary asked, “Why? So you can go suck on her titties again?”

I noticed her office door was closed, but Sally was nowhere in sight. Fearing she was already inside, bad-mouthing me to Trish, I ran towards the door while shouting back at Mary, “And so what if I am going to suck on her tits again?!”

“If you’re going to suck on her nipple, then I’ll suck on her other one!” my rival argued as she chased me towards the door. “She has two nipples and you only have one mouth!”

“God, I fucking hate you, you jealous bitch!”

“I don’t think I’m the jealous one around here, bitch!”

Unfortunately, when we came barging into the office unannounced, just like we had gotten in trouble for in the past… I realized my worst fear. Sure enough, Sally’s bitch ass had beaten us there… but to my complete shock, she was already naked… and over the knees of our boss.

With our jaws on the floor, Mary and I were frozen in place, staring as Trish prepped Sally’s ass for a spanking. Confused about what she could have done to get in trouble so quickly, I asked, “Umm… what’s going on…?”

“Hairy, Baldy… what you two doing in here?” the little blonde asked, rubbing her precious hand against our co-worker’s bottom.

Mary and I gave each other a quick look before glancing back at what was in front of us. “Um… I wanted to speak to you about something… but…”

“Well, you’ll like… have to wait,” Trish interrupted, ankara escort shutting both of us down. “I need to give Stubbly a spanking first, and then I can talk to you two about, like… whatever.”

Still confused, Mary took a step forward and asked, “Um… what did… Stubbly… do to earn a spanking?”

With a little chuckle, Trish, still rubbing Sally’s ass, explained, “Stubbly actually came in here and, like… tattled on herself.”

“She did what?!”

While we noticed a slight smile on our little bitch co-worker’s face, Trish further explained, “Stubbly tattled on herself for like… doing a bad job today. I was shocked that she wasn’t telling on you two for something. But you know what? I’m like impressed with her honesty to tell on herself. That’s like… a lot of accountability.”

“So she gets a spanking because she snitched on herself?!”

“Like… yeah…”

Still hiding a smile like the little snake that she was, Sally used a sorrowful voice to express, “I’m sorry I’m not as good as Hairy and Baldy! They’re probably, like… way better than me! But I messed up a lot today and I want to learn my lesson so I can be a better employee!”

To my dismay, Trish rubbed that bitch’s ass even harder, just like she would do me before an extremely harsh spanking. “Don’t worry, Stubbly,” she said in a cheerful voice, making me grow green with envy. “You’re still going to receive a spanking, but I’m like totally impressed with your honesty. You’re like definitely being considered for my top bitch now.”

Enraged, I began stripping my clothes off as I ran towards them. “I’ve been a bad girl too!” I said as I ripped off my underwear. Attempting to get over my boss’s lap with Sally, I further exclaimed, “I need a spanking too!”

While Sally and I jostled for position, we began arguing like little children over the lap of our mommy. However, instead of blaming each other like kids would normally do, we were both trying to take responsibility for our actions to prove we were the one more deserving of punishment.

“Stop! She’s going to spank me first!”

“No! What I did was far worse! I came barging into her office again!”

Unfortunately, our boss, who was normally a good decision maker, made the wrong choice by pushing me off her lap. “Stubbly already convinced me that she needs a really hard spanking. You’re just going to have to like… wait your turn.”

Though I was back on my feet, I tried again to get over Trish’s lap. In my most pathetic voice, I whined, “No, I need a spanking now! Make her wait!”

“Stop!” Sally whined like a little bitch while she tried to push me away with her weak arms. “I was here first! Miss Trish, please make her go away!”

Knocking her hands away, I tried once again to fit myself on Trish’s lap. However, my boss decided to push me off once again, leaving me stomping my feet in a tantrum.

“It’s like I said,” the blonde started with a giggle. “Stubbly already convinced me that she needs a solo spanking. You’re just going to have to like… wait.”

Normally, I found her little chuckles and mannerisms cute, but now I was absolutely furious that I wasn’t getting my way. Clutching both of my fists, I stood there and demanded in my most spoiled voice, “Miss Trish… I need a spanking right now!!!”

I swear, the room went completely silent as all three sets of eyes stared at me for having the audacity to yell like that. Honestly, I should have been embarrassed for my behavior in that moment, but I was just so passionate about out doing Sally, I couldn’t control my actions.

Finally, Trish broke the awkward silence by blowing a bubble with the gum in her mouth. After it popped, she just chewed on it again nonchalantly before asking, “So you’re sure you need a spanking like right this instant?”

“Right this instant!” I repeated, a bit surprised that my outburst was about to give me the result I wanted.

“Well, like… okay…” the little blonde started, bringing a big smile to my face. Then, for some reason, she pointed behind me, causing me to pause. “Hey, Baldy… since I’m busy spanking Stubbly, would you mind like… spanking Hairy?”

“Wait, what?!” I reacted, glancing back at Mary, who had already gotten herself naked like the slut that she was. Turning back towards Trish, I exclaimed, “Why would she spank me?!”

“You said you needed a spanking like right now, didn’t you?”

“Yes…”

“Well… like… since I already explained that I’m spanking Stubbly first, the only way to like fulfill your wish is to have someone else do it,” Trish started in an uncaring voice. She then looked past me once again, gaining Mary’s attention. “Would you mind like giving Hairy the spanking that she keeps begging for?”

As I turned back, I noticed an evil look in my tall co-worker’s eyes. “With pleasure, Miss Trish,” she said before grabbing me by my long brown hair.

I attempting to get away from her while whining in pain. However, before I knew it, Mary had taken a seat on Trish’s adıyaman escort desk and pulled me right over her lap.

Unfortunately, as hard as I tried to push myself away, it surprisingly turned out that the tall and thick brunette was even stronger than the small and spoiled blonde. Mary pulled my hair extremely hard and kept me at bay over her knees. Then, just as I was about to have another whiny outburst, I felt one of the most painful sensations in my life as her hand slammed against my poor butt cheeks.

With my eyes closed and my mouth wide open, I let out the loudest moan in my life. There was nothing pleasurable about this spanking, however. And as she continued to pound my ass with her unrelenting hand, I wailed even louder, crying desperately for her to stop.

Despite the unbearable pain, I managed to open my eyes a few times to look over at Sally, who was getting the spanking that I deserved. She should be the one getting spanked by Mary! I screamed in my head as I felt my bottom being slammed by my co-worker’s strong palm. This is just torture!

The spanking I received from Mary was worlds apart from what I was used to with my boss. She hardly did any of the teasing, only stopping once to rub my red behind while she called me a pathetic bitch. Other than that, it was just a non-stop beatdown on my tushy, leaving me crying out in pain like a pathetic bitch.

With every smack that landed on my poor cheeks, I swear, I could feel the ripples going throughout my entire body. My hanging titties bounced so hard after each one of her slaps to my ass, I was afraid they were going to hit me in the face!

Meanwhile, Sally had the nerve to act as if the spanking she was receiving was anywhere near the torture I was going through. She whined like a child from each of Trish’s smacks. I’m sure if I had reacted the same in the past, but watching it from over Mary’s lap was incredibly annoying!

I was in such despair that I almost fell off Mary’s knees a few times. However, unlike the way Trish would grab me by the crotch to pull me back over her lap, the tall brunette just squeezed my ass extremely hard as she forced my body back into place. I was then immediately reprimanded and made fun of for not being able to take the pain.

“Are you about to cry?” she asked in a mocking tone, almost laughing at me. After noticing that I was whimpering too hard to even respond, she continued my humiliation, saying, “Good! I hope you cry! I’ve been wanting to do this to you for a long time!”

I don’t know what the fuck she meant by that, but it really pissed me off! Despite being in too much pain to respond, I thought in my head, No one deserves to spank me except Miss Trish!

Eventually, as shameful as it was, I did begin to cry. I wasn’t sure if it was because of the jealousy I had over Sally and Trish, or just a result of the sheer power Mary possessed with her smacks. I suppose that was the moment my co-worker felt bad enough to stop the spanking, and instead, just rub my poor ass as I lay over her knees, sobbing.

Unfortunately, I realized that I would have almost rather endured more spankings, so I could have been distracted from watching Trish play with Sally. Seeing her choose to punish another woman instead of me was the closest thing I had ever felt to being cucked. It was truly one of the lowest points in my life.

When Trish finally finished spanking Sally, she forced her to stand in front of her. She then instructed Mary and I to do the same. Once my co-worker allowed me up to my feet, I practically ran over to Trish, almost bumping Sally out of the way.

Mary then joined us, but I continued to be a brat by stepping in front of her. However, as the three of us jostled for position, Trish immediately shut me down, yelling, “Stop it, Hairy!

As I stood there quietly, I couldn’t help but feel all three of them staring at me. I actually wanted to smile, but Trish put a stop to any hope I had, saying, “I know what you’re doing, Hairy…”

With my eyes wide, and my hands behind my back, I asked in my most innocent voice, “What do you mean, Miss Trish?”

“You’re acting like a child,” she expressed, causing my heart to stop. “Little kids misbehave just to like… get attention… That’s what you’re doing right now…”

“No, it’s not, Miss Trish!” I argued, though deep down inside, I knew she was exactly right. “I just…”

Before I could get out another word, Mary and Sally both cut me off, agreeing with my boss. “That’s exactly what you’re doing!”

There was no point in arguing, because I knew Trish would just shut me down again if I attempted to argue with her. Even worse, I knew that disagreeing with her would only further my chances the falling out of her favor.

Plenty of damage had already been done, with Mary and Sally both making their moves. Somehow, I was the only one who was in any real trouble.

It had become a disappointing day, to say the least. However, things only got worse as I was forced to stand there and watch Trish rub both my co-workers between the legs like she did Mary and me earlier. Our boss even did that thing where she forced her fingers between their cheeks and rubbed their ass holes. I was completely fuming because I should have been the one getting my anus rubbed!

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Der Fahrradunfall

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Anal

Alles begann mit dem Ansatz etwas Gutes für meinen Körper und Seele zu tun. Ich, das heißt Carola, 18 Jahre alt, zierliche 165 groß, blondes gelocktes Haar bis zu den Schulterblättern, grünen Augen und ein Körper voller Sommersprossen, stand gerade mitten in der Vorbereitung meiner letzte Abi-Prüfungen und hatte eine mehr oder weniger komplizierte Beziehung zu beendet. Die letzten Wochen haben mich folglich viel Kraft und Zeit gekostet, sodass ich mich nicht nur ausgelaugt gefühlt habe, sondern mein Körper auch danach aussah. Ich fühlte mich schlaff, lustlos und ein wenig aufgedunsen. Alles Attribute, welche ich auf keinen Fall mit mir oder gar meinem jungen Körper in Verbindung bringen wollte. Ich erinnerte mich nur zu gern an meinen sportlichen und vor kraft strotzenden Körper, welcher mit leichtem Sixpack und einem Po zum „Nüsse knacken” jedem Kerl den Kopf verdrehte. Um diesen Umstand wieder zu erreichen oder zumindest auf ein für mich normales Niveau zu bringen beschloss ich den Weg zur Schule, immerhin knapp 5km, täglich mit dem Fahrrad zurückzulegen und am Abend meine ältere Schwester Hanna (22 Jahre alt) zum Tanztraining zu begleiten.

Anfänglich viel mir der ungewohnt viele Sport recht schwer und ich merkte, dass ich meinem zierlichen Körper doch einiges abverlangte. Jedoch zeigten sich recht schnell erste Erfolge und auch meine geistige Fitness nahm spürbar zu. Ich fühlte mich Tag für Tag fitter und begehrenswerter und fing langsam aber sicher wieder an meinen Körper sexy und aufreizend zu finden. Auch kurze Rückschläge, wie auftretender Muskelkater oder der berühmte Kampf gegen den inneren Schweinehund, konnten mein Bestreben nicht brechen. Aufgrund der ungewohnten körperlichen Belastung, besonders im Schritt und am Po, stieg ich jedoch von meinen sonst bevorzugten Hotpants (scheuerte einfach zu sehr auf Dauer) auf eine bis dato eher ungenutzte Form, den Stringtanga, um. Hier lies ich mich durch meine ältere Schwester beraten und in einem Anflug ardahan escort von weiblichem Shoppingwahn kauften wir mir einen bunten Straus an unterschiedlichsten Tangas. Nach kurzer Eingewöhnung genoss ich die Vorteile die so ein knapper Tanga mit sich brachte zunehmend. Besonders die minimalistisch geschnittenen Modelle, sprich wo eigentlich nur ein dicker Faden meine Rosette und ein zierliches Dreieck meine Scham bedeckten, ließen mich das Radeln noch mehr genießen. Nichts scheuerte mehr und durch den straff und eng anliegenden Stoff kam es auch zu der ein oder anderen Reibung in meinem Schritt und meiner bis dato unbekannt empfindlichen Rosette.

Da mein Körper nun die gewünschte Sportlichkeit wiedererlangt hatte und es ohnehin sehr warm war, wurde mein Outfit entsprechend luftig. Die anfänglich getragenen Jeans und Pullis blieben im Schrank und getragen wurde nun meist ein enges Top oder Bluse kombiniert mit einem Mini oder einer frechen Jeans-Hotpants. Zusätzlich beschloss ich aufgrund meiner kleinen, festen Brüste selten einen BH unter den Tops zu tragen. Besonders am Morgen, wenn die Luft noch etwas kühler war, genoss ich den Fahrtwind, welcher sich unter meinem luftigen Rock sammelte und direkt in meinem Schoss zu Verwirbelungen sorgte. Dieses angenehme Gefühl umschloss meinen gesamten Körper und ich spürte wie mein gesamter Körper den Luftzug durch meinen Schoß genoss. Ich bekam eine Gänsehaut, welche durch ein wohliges Kribbeln im Bauch begleitet wurde. Zusätzlich richteten sich meine zarten knospen an meinen leider recht kleinen aber sehr harten Brüsten merklich auf und erzeugten ein Gefühl und unerträglicher Spannung. Zu gern hätte ich sie sofort mit meinen Fingern berührt, sie gestreichelt und langsam aber sicher massiert. Wäre dann wahrscheinlich in ein leichtes Drücken und Zupfen, bis hin zu einem ordentlichen Zwirbeln meiner kleinen Freunde übergegangen. Man kann sich vorstellen, dass meine Gedanken für erhebliche Feuchtigkeitsbildung artvin escort in meinem Schoß und Ablenkung in meinem Kopf führten. Ich strampelte somit, von meinem nach Berührung schreienden Körper getrieben, wie eine Besessene die Straße herunter und beachtete in meinem Rausch kaum noch die Umwelt um mich herum. Durch ein lautes Krachen wurde ich schlagartig aus meinem erotischen Tagtraum mit Fahrtwindunterstützung herausgerissen. Wie in Zeitlupe sah ich mich von meinem Sattel in Richtung Bordstein fliegen. Erst kurz nach der wirklich sehr schmerzvollen Landung beschleunigte sich das Leben um mich herum und ich spürte ein ordentliches Brennen am Oberschenkel, Knie und meinen Unterarmen. Vom Schmerz abgelenkt, hatte ich noch gar nicht verinnerlicht was da gerade passiert ist. Erst durch ein zärtliches Streicheln auf meiner Schulter nahm ich von meinem Unfallpartner und der Gesamtsituation Kenntnis.

„Hey Kleine, alles klar bei dir?” Ich ortete die helle Frauenstimme und drehte mich langsam zu ihr hin. „Da hab ich dich wohl ganz schön erwischt. Ich war gerade abgelenkt, als du mir wie eine Wahnsinnige gegen mein Rad gedonnert bist! Wie ich sehe ist dir und deinem Fahrrad jedoch deutlich mehr passiert als mir.” Ich schaute an mir runter, erkannte die blutigen Schrammen. Dann schaute ich weiter zu meinem Fahrrad…oder das was es einmal war und anschließend zu der bislang noch fremden Frau hinüber. Es handelte sich um eine durch ordentliche, weibliche Proportionen geprägte Frau mittleren Alters. Sie hatte ein freundliches Lächeln, welches mit ihren braunen Augen und schwarzen Haaren optimal harmonierte. Ihr sportlicher Körper war durch ein luftiges Sommerkleid bedeckt, sodass ich leicht die großen Brüste und das pralle aber dennoch sehr sportliche Becken erkennen konnte. „Ich bin Jasmin” sprach sie und hielt mir ihre Hand hin… „komm ich helf dir hoch”. Nachdem ich wieder auf den Beinen war und meine Kleidung ein wenig zu Recht bodrum escort gerückt hatte, bemerkte ich, dass meine Nippel trotz der anhaltenden Schmerzen immer noch steinhart den Stoff meines Tops ausbeulten. Auch Jasmin schien dieser Umstand nicht verborgen zu bleiben, denn mit einem frechen Grinsen im Gesicht, lachte sie mir ein „na Kleine, deinem Körper scheinen die Schmerzen ja nix auszumachen…ganz im Gegenteil, er erfreut sich scheinbar sogar dran!” Ich wurde schlagartig knallrot im Gesicht und konnte mir selbst nicht erklären, warum mein Körper dermaßen unangebracht reagierte.

Jasmin ging gar nicht auf meine roten backen ein und plapperte drauf los… „Du siehst ja vollkommen demoliert aus. Wenn du magst kannst du dich bei mir ein wenig frisch machen. Ich wohn hier nur ein paar Straßen um die Ecke.” Da sie mir sehr symphytisch war und meine Wunden doch ein wenig Reinigung vertragen konnten, beschloss ich mit ihr zu gehen. Auf dem Weg zu ihrem Haus erklärte sie mir, dass sie 36 war, als Sekretärin in einem großen Betrieb arbeitet und eine Tochter in meinem Alter alleine großzog. Noch während sie mir einen Schwung aus ihrem Leben erzählte betrachtete ich sie genauer. Sie war für ihr Alter in absoluter Topform. Durch das eng anliegende Kleid konnte ich kein Gramm Fett, sondern nur durchtrainiertes Fleisch erkennen. Besonders ihr großer Busen faszinierte mich sehr. Er schien wie an Fäden gehalten, dem ordentlichen Gewicht zu trotzen. Wenn der Weg etwas enger wurde, ging sie ein paar Meter voraus und präsentierte mir so, eher unaufdringlich, ihren knackigen und wohlgeformten Po. Auch wenn dieser sicherlich knapp 2 Nummern größer war als meiner schien er sehr fest und durchtrainiert zu sein. Da ich bisher eigentlich kein großes Interesse an fremden Frauen hatte wunderte ich mich immer noch über mein großes Interesse an ihrem Körper. Ich ertappte mich selbst dabei, dass ich mich fragte was sie wohl unter diesem Kleid tragen würde…ob sie auch auf minimalistische Tangas, raffinierte Pants oder gar wilde Bodys stehen würde….ob sie eher Push-up Bh`s trägt oder evtl. mehr auf Sporttops steht…sogar die Überlegung ob sie wie ich eher halterlose Strümpfe oder gar verruchte Strapse bevorzugt kam mir in meinen Kopf.

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Du Bonheur à L’horreur 10

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Babes

Seuls à l’arrière de la voiture de police nous nous demandions vraiment ce qu’il se passait et je commençais vraiment à avoir très peur. Julien à mes côtés avait l’air dans le même état que moi. Pourquoi ce flic nous avait arrêté? Le voyage jusqu’au commissariat passa très vite et nous fûmes emmené à l’intérieur. Je devais faire peine à voir avec ma robe déchirée seulement maintenue fermée par la ceinture de mon mari.

Igor nous fit entrer dans une salle d’interrogatoire toujours sans un mot et nous intima de nous assoir devant un bureau. Igor était un véritable colosse, il devait mesurer un bon 2m et était très large. Crâne rasé il avait un regard froid et terrifiant tel un agent du KGB. Il s’assit tranquillement en face de nous et posa son regard glaçant sur nous les bras croisés.

– Je ne vais pas y aller par 4 chemins, vous êtes dans une belle merde.

– Je ne comprends pas inspecteur?

– Déjà tu vas la fermer petit con. Ta femme a agressé violement le maire d’une ville au Sénégal. Et toi tu l’as aidé à s’échapper c’est très grave.

Cette accusation me frappa et me noua l’estomac, d’un coup je ne savais pas quoi répondre, le cauchemar ne cessera donc jamais.

– Je vois que madame ne me contredit même pas. Elle a plutôt raison car j’ai toutes les vidéos surveillance et on la voit clairement frapper le maire.

– Cet homme abusait de moi monsieur le commissaire.

– Hahaha ce n’est pas ce que montre les vidéos. Tu as surtout l’air de prendre ton pied petite salope.

Julien à mes côtés était abasourdi et tremblait de peur devant cet homme. Il essaya tant bien que mal de sauver les meubles.

– Quesque on risque?

– Alors vous allez passer la nuit ici déjà puis on étudiera avec les autorités locales comment procéder.

– Non ne me renvoyait pas là-bas s’il vous plait. Cet homme va me tuer.

– Ce n’est pas de mon ressort petite. Il fallait y réfléchir à deux fois avant de faire ce que tu as fait.

Je pleurais en pensant au sort qui m’attendait si je retournais là-bas. Julien lui aussi avait les larmes aux yeux et semblait sans solution.

– Bon aller assez perdu de temps on va passer à la fouille. Debout! Je vais chercher Vladimir.

Pendant que Igor sortait de la pièce, je me levais péniblement avec Julien, stressant de cette fouille à venir. L’attente ne fut pas longue et Igor revint avec le fameux Vladimir, un homme grand lui aussi rasé avec une cicatrice sur la joue il était tout aussi menaçant que son chef. Les deux policiers s’approchèrent de nous et sans aucune délicatesse, nous mirent les mains dans le dos et nous menottèrent.

– Vous n’avez pas le droit de faire ça. Laissez-moi appeler notre avocat.

– Hahah ferme la petite merde si tu ne veux pas que je te démolisse. Tu n’as aucun droit ici et je te conseille de ne plus jamais l’ouvrir tu n’imagines pas les charges contre vous.

Julien baissa les yeux, vaincu. Igor me plaqua, ventre contre le bureau, pendant que Julien subissait le même traitement de la part de Vladimir. Ma robe fut vite relevée.

– Oulah mais c’est qu’elle n’a pas de culotte la chienne. Regarde-moi ce petit cul bronzé Vladimir.

– Putain c’est toujours toi qui fouilles les beaux petits lots

– Hahah t’inquiète fouille vite fait l’autre fiotte et rejoins-moi je pense que celle-là a besoin d’une fouille approfondie.

Igor appuya sur mon dos pour bien que je me cambre ce qui fit l’effet de relevé bien mon postérieur. Il écarta mes deux jambes, je ne me débattais même pas sachant que c’était totalement inutile. Je sentis vite un doigt se présenter à l’entrée de ma chatte ce qui me fit frissonner. Quand il me pénétra je ne pus retenir un petit gémissement.

– Elle est déjà mouillée la petite ça va me faciliter la tâche. Mais qu’est ce qu’elle est serré, on a du travail Vlad dépêche-toi avec lui et viens m’aider.

– Lui aussi est serré au moins on sait qu’il n’est pas de la gâchette malgré son physique hahah

Je pouvais voir Valdimir rentrer un doigt dans l’anus de mon chéri qui pleurait en silence. Igor avait rentré un deuxième doigt en moi et les faisait tourner en cercle me faisant mouiller abondamment.

– Bon c’est trop serré je vais devoir élargir cette pute avec d’autre moyen

– Moi aussi il fait de la résistance le bougre.

J’entendis deux zips de braguettes et les pantalons qui tombent au sol puis un sexe de grosse taille se présenta à l’entrée de mon antre. Son pieu s’enfonça d’un coup en moi ce qui me fit hurler de surprise, il était vraiment gros. Un cri de Julien m’indiquait qu’il se faisait sodomiser par Vladimir, moi j’étais trop concentré sur les coups de boutoir violents que m’infligeait Igor. C’était vraiment trop bon, son sexe me remplissait et malgré ce qu’on pourrait appeler un viol j’atteignis vite un premier orgasme.

– Elle aime ça la petite. Je la défonce et elle adore ça. Allez viens Vladimir il va falloir m’aider.

– Ça marche

Je tournais la tête vers mon amour pour voir Vladimir sortir son sexe diyarbakır escort de l’anus béant de Julien prendre sa matraque pour lui enfoncer dans le cul. Mon mari hurla de douleur.

– Mais il va fermer sa gueule celui-là.

Vladimir enleva une de ses chaussettes et lui enfonça dans la bouche de force. Pendant que Igor me besognait toujours sans ménagement décuplant mon plaisir, son acolyte fit le tour de la table et présenta son sexe devant mes yeux. Elle était grosse, veinée et couverte de matières fécales de mon Julien.

– Nettoie moi ça ma belle.

Il tira mes cheveux ce qui me fit ouvrir la bouche et s’enfonça d’un coup au fond de ma gorge. J’étais prise des deux côtés de la table comme une vulgaire trainée et j’adorais ça. Le sexe de Vlad avait un gout horrible mais je le suçais avec délectation encouragée par l’excitation de la levrette que me procurait Igor.

– Tu suce vraiment bien salope.

– Bon c’est bon ta queue est nettoyée vient m’aider à l’élargir

Toujours planté en moi Igor me souleva de la table pour s’y allonger, je me retrouvais donc allongée sur lui un peu en lévitation, Vladimir se positionna devant moi et plaça lui aussi son sexe à l’entrée de mon vagin. Je n’avais jamais pris deux sexes dans le même orifice et il dû s’y prendre à plusieurs fois pour rentrer lentement son gros chibre dans mon vagin déjà occupé. Une fois entré je me sentais remplie comme jamais j’avais l’impression que mon sexe allait exploser sous les yeux médusés de mon mari toujours avec une matraque dans l’anus.

Les deux policiers commencèrent à aller et venir simultanément en moi et une sensation de jouissance encore jamais ressentie m’envahit et je ne pus retenir des râles de plaisirs à chaque pénétration.

– Tu aimes ca sale pute?

– On te défonce bien avoue?

– Ouuiiii! Plus fort! Plus fort!

Je ne me contrôlais plus, je voulais qu’ils me défoncent encore plus vite et plus loin. Ils accélérèrent le mouvement et le rythme était maintenant vraiment intense et un orgasme inédit me submergea.

– Bon je pense qu’elle est assez large pour bien la fouiller maintenant haha

Repue je les laissais me remettre en position initiale et j’avais du mal à tenir sur mes jambes. Igor ne perdit pas de temps et après avoir réécarté mes jambes introduisit directement 4 doigts à l’intérieur sans difficulté.

– C’est bon elle est prête à être fister la petite. Attache l’autre au pied de la table il faut qu’il voit ça de plus près.

Vladimir menotta Julien au pied de ma table, il me faisait pitié, pendant qu’Igor introduit le dernier doigt de sa main à l’intérieur de mon vagin. Je sentais maintenant son poing tout entier aller et venir en moi c’était divin et mon plaisir repartit en fanfare. Vladimir quant a lui avait enlevé la chaussette de la bouche de mon chéri et se faisait sucer tranquillement.

Julien paraissait soumis et je comprenais qu’il n’était vraiment pas le male alpha qui me fallait et que ça ne marchera jamais entre nous sexuellement. Je l’aimais mais ce n’était plus suffisant…

Les va et vient du poing d’Igor en moi me faisait jouir tellement fort que j’accompagnais ses mouvements avec mon bassin pour le sentir au plus profond de moi jusqu’à obtenir un énième orgasme dévastateur.

– C’est bien ma jolie tu ne nous as rien caché dans cet orifice. Tu ne nous a rien caché dans l’autre trou?

– Non monsieur

– Bon je te fais confiance vous allez pouvoir aller en cellule.

– Vous pourriez vérifier quand même?

– Tu entends ca Vladimir? C’est elle qui demande, ce n’est pas beau ça?

– C’est bien la première fois que ça arrive.

Vladimir sortit son sexe de la bouche de Julien qui se mit en boule écœuré et dégouté par la situation, il baissa la tête, abattu.

Igor me mit à genoux et les deux hommes m’entourèrent le sexe dressé.

– Il va falloir que tu nous humidifie les engins car ça va faire mal sinon.

Je pris un énorme sexe dans chaque main et les masturbais doucement. Je les pris en bouche en alternance, les enfonçant à chaque fois au plus profond de ma gorge. Les deux hommes étaient aux anges et ne cachaient pas leurs plaisirs.

– Vas-y suce nous bien salope

– Tu es vraiment la plus grosse pute qu’on ait jamais fouillée.

Tout en me disant cela ils me relevèrent brusquement. Vladimir s’allongea sur la table et me souleva pour que je m’empale sur sa queue. Son sexe rentrait facilement dans ma chatte maintenant, heureusement qu’Igor présenta vite son sexe à l’entrée de mon anus et d’une poussée m’encula. C’était trop bon j’étais vraiment devenue fan de la double pénétration surtout avec de si gros calibres. Les deux me besognerent en rythme et j’en profiter pour embrasser à pleine bouche Vladimir j’étais surexcitée.

– Elle est prête Vlad

Le signal était lancé et Vlad retira son sexe de ma chatte avec sa main et plaça à l’entrée de mon anus pour rejoindre son patron. Ce fut rude pour que les deux sexes puissent edirne escort rentrer mais avec plusieurs tentatives plus douloureuses les unes que les autres les deux calibres entrèrent bien au fond de mon anus. Au fur et à mesure les deux prirent un rythme constant et la douleur intense se transforma en plaisir.

– Oh oui, oh oui, mon dieu c’est trop bon. Dechirez moi!!

Ils me besognerent comme des morts de faim pendant de longues minutes ce qui me fit jouir encore une fois. Les deux policiers finirent par s’arrêter et Igor me replaqua contre le bureau. Il fit de même qu’avec ma chatte et entra 3 puis 4 doigts dans mon anus en faisant des mouvements circulaires l’élargissant au maximum. Vladimir pendant ce temps pris littéralement mon crane, enfonça sa verge dans ma bouche et baisa complètement ma bouche sans douceur.

Igor finit par entrer le 5 -ème doit et poussa entièrement sa main dans mon anus resserrant le poing. Ça y est j’étais bien fistée. Il fit de nombreux va et vient, je mouillais tellement que je sentais mon fluide glisser le long de mes jambes. Vladimir finit par déverser ton son sperme au fond de ma gorge dans un râle de plaisir. Le fist fucking était tellement intense que je ne pus même pas avaler et tout le sperme se déversa sur mon menton et mon cou.

– Bon je pense que tu as eu ta dose poupée. Viens me remercier maintenant.

Il retira son poing dans un gros blop sonore. Je tombais au sol et rampais difficilement jusque lui. Difficilement je me mis sur mes genoux et pris le sexe de mon tourmenteur en bouche pour une ultime fellation qui ne dura pas longtemps. En effet Igor éjacula dans ma gorge lui aussi et je le dégustais avec délectation. Apres cela je m’écroulais sur le sol, vaincue mais rassasiée.

– Bon cette fouille fut concluante les amoureux, il faut croire que vous n”avez rien dissimulé. Nous allons vous emmener à vos cellules et on discutera de vos condamnations demain matin.

Sans un regard pour mon faiblard de mari, nous fumes emmener à travers le commissariat jusqu’à nos cellules voisines. Il n’y avait rien même pas un lit, juste un seau pour nos besoins. J’étais complétement éreinté et je m’endormis a même le sol sans un mot pour Julien, juste vêtue de ma robe déchirée sachant que mon avenir allait se jouer demain matin.

Je l’avais définitivement perdue, j’avais subi encore une fois l’humiliation de voir ma femme se faire prendre par d’autres hommes et la voir prendre énormément de plaisir. Je la regardais dans la cellule d’en face, elle s’était endormit sans même un regard pour moi. En une semaine notre relation avait volé en éclats et je ne voyais vraiment pas comment notre couple pourrait survivre à ça. Pourtant je l’aimais de tout mon cœur ma belle latine et c’était d’autant plus dur de se rendre compte que je n’étais pas l’homme qu’il lui fallait.

Je ne dormis pas une minute de la nuit réfléchissant à comment nous sortir de ce pétrin mais aussi ce qui allait advenir de nous deux. C’est Vladimir qui vint me chercher pour me dire de l’accompagner seul.

Il me conduisit jusqu’à une pièce et m’ordonna d’y entrer. Je fus totalement surpris de voir Carlos mon patron qui m’attendait assis devant un bureau.

– Bonjour Julien, assied toi je t’en prie.

– Carlos qu’est ce que tu fais la? Comment as-tu su que nous étions enfermés ici?

– Assieds-toi je vais tout t’expliquer.

Je m’installais donc devant mon patron qui avait l’air grave mais j’étais content de voir un visage familier.

– Comment vas-tu Julien?

– Très mal, on est bloqué ici et Adèle est accusée d’avoir agresse une personne importante au Sénégal.

– Oui je sais

– Ah bon?

– Laisse-moi t’expliquer mais promet moi de ne pas m’interrompre s’il te plait.

– D’accord je t’écoutes

– Alors voila il y a un mois j’ai remarqué une photo d’Adèle sur ton bureau au travail et je suis tout de suite tombé sous le charme de cette bombe. Elle était magnifique et je ne vous savais pas très expérimenté il fallait que je tente quelque chose.

– Quoi qu’est-ce que tu racontes?

– Julien tu m’as promis de te taire.

– …

– Tu ne le sais peut-être pas mais je suis parti de rien moi et mes 3 meilleurs amis nous nous sommes soutenus et avons gravit les échelons de la société chacun dans notre domaine. Jean le curé de la ville, Moussa le patron de l’hôtel au Sénégal et Igor le commissaire de la ville. C’est pour ça que je t’ai conseillé cet hôtel au Sénégal pour ton voyage de noces et que les prix étaient si abordables. Certes j’ai créé un plan parfait pour soumettre ta femme mais cela ne pouvait marcher que si elle était réceptive et soumise. Je dois avouer qu’Adèle a répondu à toutes mes espérances et bine plus, assez timide pour se laisser approcher mais surtout avide de sexe et de toutes perversités.

J’étais estomaqué, complétement abasourdi par ce que j’apprenais. Carlos pris une télécommande et alluma la télé derrière lui et je pus découvrir la vidéo de edirne escort bayan la première soirée chez Carlos. Sans un mot il zappa et des vidéos chez Moussa apparurent puis chez le curé.

– Tu vois toutes vos aventures ont été filmés

– Qu’est ce que tu attends de nous?

– Alors voilà, la plateforme que nous sommes en train de créer n’a rien q voir avec un site de streaming classique, je veux crée une vraie plateforme porno et Adèle sera la première star. Toi tu continueras le développement bien sûr.

– Je refuse de participer a ça et je ne veux pas qu’Adèle continue ces perversions.

– Ne t’inquiète pas Adèle a assez donné elle travaillera avec nous pour nous dénicher des nouveaux talents maintenant qu’elle est professeure de lycée. Toi tu seras augmenté évidemment.

– Non impossible on ne peut pas faire ça. On va s’en aller ma femme et moi loin d’ici.

– Mais enfin Julien, Adèle n’est pas faite pour toi, il faudrait être bête pour ne pas s’en rendre compte. Et puis si je lui propose ça ou repartir au Sénégal chez l’autre fou elle n’hésitera pas une seconde mais je veux que tu accepte mon offre Julien. Je tiens à toi tu es un excellent développeur.

– Je ne peux pas Carlos je sais que nous pouvons remonter la pente avec Adèle.

– Ecoute je te laisse la journée pour réfléchir et je reviens ce soir.

Vladimir me ramena en cellule, j’étais sonné et me sentais trahi et manipulé. C’était horrible. Adèle dormait toujours dans sa cellule, les révélations de Carlos étaient vraies elle adorait le sexe mais je savais que je pouvais encore la ramener dans le droit chemin.

C’est Igor qui me fit sortir de ma réflexion, il entrait avec un énorme black habillé comme un SDF, l’odeur me prit au nez alors qu’il était à une bonne vingtaine de mètre de moi. Il y avait un chien avec lui, un berger allemand qui suivait son maitre sans broncher. Igor ouvrit la porte de la cellule d’Adèle toujours allongée et fit entrer le SDF et son chien.

– Tu vas partager ta cellule gros tas. Il y a plus d’autre place pour un déchet comme toi.

– Mettez-le avec moi plutôt.

– Haha non je sens que Adèle est de meilleure compagnie

Il me fit un clin d’œil puis ressortit de la pièce. Le SDF paraissait lui aussi surpris de partager sa cellule avec une si belle créature. Il la regardait les yeux exorbités.

– Ne t’approche pas d’elle connard.

Il m’ignora totalement et s’approcha de ma femme en poussant des grognements inhumains. Son chien lui le suivait sagement. C’est surement l’odeur infecte qui réveilla ma femme qui poussa un cri strident en découvrant cet homme dégueulasse avec son sourire sans dent qui la regardait avec appétit. Elle se précipita à l’autre bout de la cellule.

Le SDF se caressait sans pudeur l’entrejambe au-dessus de son pantalon. Il fit tomber son pantalon exhibant un énorme sexe noir couvert de poils sales, l’odeur était encore plus atroce. Je savais que ça ne servirait à rien d’appeler à l’aide car Igor et Vladimir ne serait d’aucune aide. Ma femme se calmait aussi sachant aussi que personne ne viendrait nous aider, elle fixait maintenant l’homme qui s’approchait, pas a pas le sexe dressé.

Arrivé a la hauteur de ma femme tremblante, il tira d’un coup sec sur le seul vêtement que portait Adèle et elle se retrouva nue. Il retourna fermement Adèle contre les barreaux qui séparaient nos deux cellules. Sachant ce qui allait se passer elle se cambra tel un automate les yeux fermés. L’homme n’en revînt toujours pas, plaça son sexe a l’entrée de la chatte de ma chérie et l’embrocha d’un coup. Adèle gémit de plus en plus fort à mesure que le clochard la pénétrait. Il la prenait sans délicatesse faisant aller et venir ses trente centimètres de chair dans la chatte distendue de ma princesse qui maintenant hurlait de plaisir. Comment pouvait elle prendre du plaisir à se faire baiser par cet homme.

L’homme éjacula rapidement au fond du vagin de ma chérie. Il n’était clairement pas rassasié, il retourna ma femme qui était son nouveau jouet et l’embrassa a pleine bouche. Je voyais leurs langues s’entremêlés dans un baiser des plus gras. Le Sdf s’assit sur le sol et obligea ma femme à se mettre à quatre pattes pour le prendre en bouche. Elle s’activa alors sur ce sexe qui devait être dans un état d’hygiène des plus déplorables mais pourtant elle allait et venait avec envie sur sa hampe pendant que l’homme lui caressait les cheveux. Du sperme commençait à ressortir de sa chatte ce qui attira le chien qui se mit à lécher à grands coups de langue ma chérie.

Elle voulut se retourner pour arrêter cette perversion mais le clochard noir la maintint sur son sexe et appuya fermement sur son crane pour enfoncer son sexe au plus profond de la gorge de ma chérie. Le chien avait nettoyé l’intégralité du sperme enfonçant sa langue au maximum dans la petite chatte de ma belle. N’y tenant plus le chien se cambra sur ma femme, posa ses deux pattes sur le dos bronzé d’Adèle et avant qu’elle n’ait le temps de réagir enfonça son sexe gonflé en elle. Totalement surprise par cette intrusion elle subissait les mouvements ultra rapides du chien et semblait recevoir des décharges de plaisir. En effet la vitesse et le sexe particulier du chien lui transmirent un orgasme intense et cela la motiva encore plus à sucer avidement son amant.

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This story contains descriptions of consensual sexual contact between Males. As such it is homoerotic, designed for the entertainment of mature adults. If you are not of legal age to read such material, or if the subject matter would create any kind of personal moral dilemmas, please exit now.

Cast: Mike, my old friend—June, my wife—Don, an oral trainer

My old friend

My old friend Mike called to say he wanted to visit. Boy I hadn’t seen him in forever. I didn’t even think he knew I was married before I talked to him on the phone. Of course I told him we would love to have him but honestly I was of two minds. I was always the little twerp in school and Mike had kind of protected me. As long as he was my friend no one would harass me. Mike was a big, tall, popular jock while I excelled in the French club.

Though we seemed an unlikely pair we were good friends until he went into the army as I went on to college. Now 15 years later Mike was coming to visit and I wondered about how we would get around the fact that for the last few years of high school I was Mike’s blow buddy. I didn’t know how we could move on from that. It wasn’t as if I hadn’t thought about it; in fact I thought about it during sex with my wife, June.

I picked him up at the airport and looked forward to a re-acquainting conversation on the hour-long drive to my mountain home. I knew he would be impressed with my wealth and position as a novelist. As we headed to the car Mike had somehow maneuvered me into carrying all the heavy bags. We talked of old times as we headed due west; Mike was the same old Mike.

“Remember when old Don was pounding on you and I came along; I pulled him off you and slapped him around a little and he ran away. We went to the pond and as I remember it; that was the first time you sucked my cock. Oh, you didn’t want to at first but then I just kept talking to you and when I rubbed my cock over your lips and then you were eager. I have to tell you Bobby; I’ve had lots of blowjobs but you’re still the best. Maybe it’s because you were just so dammed eager for my cum, who knows why we do things eh.”

By now I was a little numb; I didn’t want to talk about this. I glanced over at Mike and was shocked; he had his cock out and was slowly stroking it. God it was huge, that thick purple head on the end of that long, thick prick with that gapping piss slit that looked like the mouth of a cannon. Oh yes I remembered.

“Ok Bobby, this roads really deserted, pull over up there.” In a trance I did as he asked, just like old times, I always did as he asked. Off the road I put it in park and felt that big hand on my neck just rubbing my neck. It was old times as he pressured my head down towards his cock. “That’s right little Bobby, go for it, for old times sake.” He opened the door and stretched his legs out with that big club between his legs just hanging out. It seemed natural for me to get out and scamper over to his side of the car.

“It’s big isn’t it Bobby? Do you remember how I taught you to suck and worship it, I bet you do. Kneel now and enjoy.”

“I understand, Mike, I said.” My gaze was already fixed on the enormous cockhead that was dripping on the car seat. He wasn’t fully hard and the weight of his dick had it laid out on the car seat cushion instead of pointing up towards his face. I shivered a little has I remembered how it had been. At the thought of tasting the wetness that I saw and realized that I wanted to do it. I still couldn’t admit it…but I definitely wanted it. Bobby chuckled to himself as he saw me staring at it, as if he knew exactly what was going on in my mind, knowing the private war that I was fighting between my brain and my dick, and knowing, in the end, which one would win.

“Well, what are you waiting for? Get started already” he ordered. I slowly inched forward on my knees. I lowered my head and had almost arrived at his juiced-up cock when his hand grabbed my head and slowed my descent. “Just lick it a while first. You may need some instructions to help you to remember”

I stuck out my tongue and lowered my head until it made contact with his cockhead. I immediately tasted the salty thickness of his precum as I used my tongue to probe deeper into his piss slit. I could sense that his cock was on the rise alsancak escort and heard a soft moan. Hearing him make that sound again set me on fire. I immediately tried to take the entire head of his cock into my mouth but was quickly pulled off again.

“Are you deaf, Bobby? Look, I know you want this cock bad, but you WILL follow my instructions just like always. I only told you to lick it. I want you to lick it until it is completely hard, then I’ll let you try and discover what other talents that mouth of yours might still have.” Releasing my head, he once again relaxed while I continued to lick at his growing cock using only my tongue. “Its time now Bobby.”

Mike Held my head firmly pumping it up and down on his drippy meat, farther and farther down the shaft until the thick head began to hit the back of my throat. I felt the urge to gag each time it touched the back of my mouth but Mike didn’t care anymore. Tears began to well up in my eyes, an automatic reflex when a person feels they are choking, how I remembered that feeling. Through those tears, it was easy to see that at least half of his cock was still outside my mouth. I knew he wouldn’t be happy until it completely disappeared, just like old times.

Moments later he pulled my face clear of his cock and held it firmly less than an inch away from the angry flared head. He didn’t let me look at him, but I heard him say, “Take a long, really deep breath through your mouth” As soon as he saw me begin to take the breath, he slammed my head viciously onto his cock, his thick cock only pausing slightly as it bumped the back of my throat before sliding down the relaxed opening. Of course, as soon as I realized what had happened my throat was no longer relaxed. I was gagging constantly as he held my head down, my throat convulsing over and over around the thick invader.

“Oh YESSSSSS!!! damm, that’s it, it’s like your throat is trying to get my cock off all by itself. Damm, Bobby, your throat was made for a man’s cock, my cock, made to let a man sling his thick cum down that throat chute of yours.”

Just as I felt that I was going to pass out, Mike raised my head up long enough for me to gasp for air. I could see thick, sticky strands of saliva, my saliva, mixed with his precum gushing out of my mouth and down that thick shaft. It was the consistency of cum as it slipped nastily over his balls and ran down the car seat. Mike then proceeded to thrust my head back down onto his shaft and even though he had a little more difficulty ramming it past the back of my mouth and into my throat (he didn’t have the element of surprise anymore) he still managed to slip it all the way inside until my nose was once again buried in his crotch.

I gagged again, producing another thick, white glob of mucus to lubricate his cock for each successive thrust. He didn’t hold me down on it as long this time before letting me up for air and thrusting it back again. Soon he settled into a long, slow, deep throat fuck and I was beginning to get a grip on my breathing just like old times. I was timing my breaths to occur at exactly the moment my mouth cleared the head of his cock. He was totally in control, never releasing my head for a second.

Time had slowed to a crawl as I felt his cock swelling larger and the first violent wave of cum traveling up his shaft to empty far down my throat. Mike gripped my hair and forced my head off his cock. With great quickness for a man in the middle of cumming, he pulled my head back and moved to sit right on the edge of the seat with the head of his cock less than an inch from my mouth. It shuddered again and spewed a second massive load all over my face, from my hairline down to my chin. I wanted to cum with him, but I still had pants on had lost focus on everything but his cock; my nuts just wouldn’t release it.

A third blast coated my right cheek and quickly ran down to my chin, mingling with what was already there and gaining enough weight to slide off to the ground. Mike then used his other hand to pull his cockhead up and over the still spouting head of his dick, tightly pinching it off between his thumb and piss slit. “Keep your mouth open now, here it comes, ENJOY!” He held his still throbbing cock over my open mouth as he moved even closer to the edge, just letting it sit there for a moment, temptingly as he still kept the skin of the slit pinched off, staring smugly at me, watching my reaction.

After what seemed like an eternity, he took his hand back and I got my first taste of his load. It was amazing. As his cock shot out the pent up cum ran out like a fountain altıeylül escort directly into my waiting, hungry mouth. The taste was incredible and I knew that I was hooked again, everything he had said about me was true. I wanted to cry, I wanted to cum, I wanted to run away, I wanted to taste more of his cock, all at the same time. I closed my mouth and moved the thick, creamy cum of my old school buddy around with my tongue to coat the entire inside of my mouth, savoring the musky flavor and heat of his cum. My mouth was full and cum was dripping down my chin. I gagged on his warm, salty seed, but he once again pulled me onto his cock and commanded me to drink every drop. I totally submitted again, like old times, in agony but also in a delirium of joy at my total subservience. Sperm and spit now coated my face to my surprise I found that every time this man’s huge prick brushed my lips, I mouthed it compulsively. I couldn’t help it. I hated and loved this feeling.

As we continued our drive I was surprised how easily we had slipped into our old, frank ways. He talked about how he liked to be serviced and how good it was to be back with his cocksucker. I couldn’t help thinking about June.

“Well Bobby I’m really pleased with you. After all this time you’re still hungry for my cock. Remember when I told you that some guys were a little like girls and wanted to suck off real men. We were so young then but that’s really how it worked out; you’re the sucker and I’m the suckee. Nothing has really changed. I still need to cum 3 or 4 times a day and you still like cock. Of course you’re a bit rusty, you’ll need to train those throat muscles.”

“I’ve done some reading on slave training in the past and it boils down to getting your throat used to being filled. If you stick your finger down your throat and move it around and seek out those trigger spots at the entrance of your throat that make you gag you’re training them to accept without gagging. The more you stimulate them and learn about what makes you gag, the easier it is to control your gag reflex. Also practice holding your breath. You can do this; just hold your breath for as long as you can. If you do this several times a day and continue to push yourself, you’ll find you can hold your breath for longer and longer periods of time. Swimmers and divers do these exercises all the time.” Mike said.

“You need to practice holding cock deep down your throat and try to see if you can breathe around the cock; a skilled cocksucker can hold a cock deep down his throat and lick his man’s balls while breathing only through the nose. Learn to like the feelings of choking and not being able to breathe. You’ll do it because it’s what I want of you.”

I didn’t know what to think, Mike knew me better than I could myself. I hadn’t seen him in years but in less than an hour I was his again, yes his cocksucker. I was driving slowly because I wanted to listen to his desires, I wanted to please.

“A lot of guys make fun of cocksuckers but that’s just wrong. A cocksucker only wants to serve his alpha male and that’s what I want. Now, I am going to tell you what I want from you, my sex slave. From now on whenever I want, you’re going to blow me. As I’ve said I often need to cum 2-3 times a day and more so it’s good that I’ll live with you. I will need you to suck me when I wake up and again at bedtime. I don’t care who is around your house you will be there to satisfy me when I need it. Your body is mine to use for my pleasure. You will strive to do everything as good as you can. Follow all my instructions. If I want you to lick my balls, you will do it. I might make you beg to serve me. I will fuck your mouth, or have you massage my balls, or perhaps make you lick my ass clean. You may have to shave your pubic hair, or walk around in the backyard with no clothes on. Anything I want, you will do for me because you just, plain want to please me. Occasionally, I will have friends who need servicing. You will do them too. I will cum on your face or will make you take it down your throat. Whatever I want, you do. Do you understand?” I nodded. “Good, I’m glad you know your place, good, Mike said again.

After a while he started talking again. You need to understand the psychological aspects of cocksucking. How to truly give service and submit to a man when he shares his cock with you so the experience is at its best for both of you. I have learned that although cocksucking is about one man giving sexual pleasure to another, like all sex it’s really about both guys getting mutual satisfaction. Your satisfaction is routed in the altınordu escort submission inherent in kneeling with a stiff cock in your mouth. Mine will be in being superior to you; using you as a slut. Of course taking a man’s load is just part of the job so to speak. But it’s an important part. There’s a reason that it’s called “service.” A guy using a cocksucker has every right to expect his load to be taken, and with gratitude. You must then look up at him and thank him with your eyes.”

Mike was talking to me as explicitly as he had in college; his soft demanding voice had excited me then and still did.

“I know you’re wondering how this works with your wife, but you don’t need to worry, she knows it all.” I was stupefied, how could she know, what did she think? I couldn’t speak but Mike just went on in a matter of fact way.

“I’ve been talking on a chat line to her for a month. It started as just a jerk-off chat but somehow I found out that she was your wife. Eventually I told her you had been my cocksucker in school. She came back to me that this was a turn on for her. We talked more and decided that letting you serve both of us would be fun and here I am.”

My head was swimming as I pulled into my driveway, what was happening. I gathered Mike’s luggage and followed him into my house.

“Nice place you’ve got here Bobby, very plush and secluded. Hi June, after all this it’s so nice to meet you. I’ve told him how it’s going to be so don’t worry, our little Bobby is cool with it.”

I noticed that June was in a bikini, strange. Mike told me to get them a drink. When I came back they were on the couch talking. I set the drinks in front of them and went to sit down.

“No, no little Bobby, you don’t sit in our presence, get on the floor”, Mike said. For whatever reason I felt I couldn’t refuse and quickly sat in front of them.

“I think it’s time to continue his training, don’t you June”, Mike said?

“Listen to me carefully now, you have some hard lessons to learn. As our slut and slave you are now totally subservient to and will obey my orders as your Master; in addition from now on those of your wife as well. You need to develop and nurture the trait of absolute obedience if you hope to be happy. Your function as our sex slave is not to question orders, not even to think, but to obey right away without question at all times. I think that it is time that you learned that lesson. The reality is that you’ll be much happier if you don’t think and just obey. It’ll free you to be the slave you’ve always wanted to be, were born to be” Mike said with a smirk.

I was in a trance as Mike continued, “Now my little cocksucker, it’s time for your next lesson. Whenever I snap my fingers and point at the floor, you’re to fall to the floor and kneel there with your legs spread and your mouth open. Let’s have a little practice.”

Mike snapped his finger and pointed at the floor in front of him. I didn’t move. He slapped my face hard with an open hand. I felt a tear rolling down my cheek. He snapped his fingers again and pointed. This time I reluctantly shuffled to the spot on my knees with my legs spread. I glance at June whose face registers surprise at my easy compliance.

“You see June, he wants to serve us, let’s give him some practice eh.” They told me to get up and strip naked as they sipped their wine.

I thought I had no choice but it was obvious that I was excited by this treatment; my little prick was hard and they were laughing. Mike again snapped his finger and this time I fell fast in front of him.

“Take my cock out now and show your wife what a good cocksucker you are.”

I began opening his fly. His cock sprung free and I lowered my mouth to it. Just as my lips touch the cockhead Mike lifts my head, smiles at me and slaps my face twice. He then pushes me onto his cock. “You see June, he’s really subservient and likes this kind of treatment. Understand another rule, whenever I want to fuck your wife, I will snap my fingers and point. You will move into position and unzip my trousers. When you have removed them you will prepare me to fuck your wife by licking around my prick and balls and then by sucking me off until I am nice and hard for your wife. When I tell you to, you will open her cunt lips and guide my stiff prick into your wife.” I must have looked like I protested with my eyes. Mike didn’t hesitate. Again he slapped my face hard, once and then again. The slaps are loud and shake my entire body. I begin to whimper and sob. Mike made sure that I got the point by slapping my tearstained face hard a third time. I felt the defeat that they must have seen in my eyes and I knew that that I would obey.

“Are you ready to obey us at all times now Bobby?” He asked. I answered by sucking lustily on his cock, that beautiful cock, my new Master’s cock. I didn’t notice my wife smiling in the doorway.

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Ma Femme a un Nouveau Travail 03

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Aiden Starr

Ma journée de travail me paraissait durer une éternité.

A mon retour à la maison le soir, toujours pas de Jessica. C’est alors que je reçus un texto sur mon portable. Le numéro de téléphone était celui de Jessica.

Il indiquait une adresse et une heure. J’avais juste le temps de m’y rendre, cela se trouvait à l’autre bout de la ville.

J’arrivais dans un vieux quartier industriel délabré. Les quelques passants que je croisais avaient tous un air menaçant.

J’arrivais enfin sur le lieu indiqué par l’adresse. Il s’agissait d’un vieil entrepôt abandonné.

Je descendis de la voiture tremblant. Je me doutais bien que ce genre d’endroit malfamé est souvent le repaire de trafiquants, mais je voulais retrouver Jessica.

La porte de l’entrepôt était entrouverte, un homme se tenait derrière. Lorsque je vins à son niveau il m’attrapa par la nuque. Il me guida dans l’entrepôt sans le moindre mot.

On arriva dans une grande salle sombre. En son centre, un ring de boxe.

Je devinais au fond une présence humaine.

“Vous êtes en retard l’ami!” puis-je entendre.

L’homme qui me tenait par la nuque m’emmena en direction de cette voix.

De plus près j’y voyais plus clair. Il s’agissait du chinois qui était assis dans un fauteuil. A ses côtés se tenait le boss de Jessica.

En baissant mon regard je me rendis compte qu’elle était là, entre ses cuisses entrain de lui prodiguer une fellation dynamique!

Je m’assieds sur un fauteuil également. Le chinois me demanda

“Alors tu ne dis pas bonjour à ta femme? Elle est si charmante!”

Je ne savais que dire, pétrifié de peur. Je lançais un misérable “Bonjour”, faisant rire les deux hommes.

“Que le spectacle commence!”

Les projecteurs s’allumèrent soudain sur le ring.

Il y avait plusieurs cameramen placés tout autour, des micros également.

A l’autre bout de la salle un rideau s’ouvrit, filmé par des caméras.

Une femme et un homme entrèrent, ils tenaient en laisse un gros chien blanc. Il s’agissait probablement d’un couple, ils se tenaient par la main.

Ils montèrent sur le ring. Monsieur s’installa dans un confortable fauteuil. Madame, qui tenait son chien en laisse, s’assied sur les cuisses de son mari.

Puis les projecteurs se braquèrent à nouveau sur le rideau. Ce dernier s’ouvrit sur une femme plantureuse dénudée, corps huilé.

Une mersin escort laisse de chienne de deux mètres tout au plus attachée à son cou.

Je me rendais vite compte avec horreur qu’il s’agissait de Brigitte! Un homme prit en main la laisse et la traina jusque sur le ring.

La belle quadra tentait vainement de résister en tirant sur sa laisse, dans ces mouvements on pouvait voir élégamment ses gros seins remuer.

D’ailleurs une caméra semblait filmer en gros plan ses attributs mammaires.

On pouvait l’entendre supplier l’homme qui la trainé, sans le moindre effet sur ce dernier puisqu’il la fit rapidement monter sur le ring.

Il lui attacha la laisse à un anneau au sol, au centre du ring.

La femme du couple se leva pour donner son chien en laisse à Brigitte. Une fois donné, elle se rassit en baissant sa jupe sur les genoux de son époux. Ce dernier avait lui sortit son sexe, de fait elle s’empala sur le dard de son cher et tendre époux.

Quant à Brigitte, résignée, elle se mit à branler l’animal.

Très vite le couple lui ordonna de se faire sauter par le chien!

Docile et obéissante, elle se mit à quatre pattes, bomba ses fesses devant le chien. Ce dernier lui humait le cul.

Le couple pendant ce temps-là copulait de plus en plus activement. Madame, assise sur son mari est pénétrée, montait et descendait, ses bras en appuis sur les cuisses de son homme.

Tous deux admiraient la déchéance de Brigitte à leurs pieds.

La serveuse au gros buste se faisait promptement violée par leur chien!

Les caméras ne rataient pas une miette de la scène. Moi non plus par ailleurs.

Les pénétrations saccadées de l’animal étaient suffisamment fortes pour faire balancer l’opulente poitrine de Brigitte.

Madame qui se faisait prendre par son mari se leva et se déshabilla. Elle était plate comme une planche à pain, très mince sans la moindre forme féminine, loin très loin de son esclave sexuelle offerte à son chien.

Elle ordonna à Brigitte de lui lécher les pieds.

Tout en se faisait toujours bourrée par l’animal, elle s’exécuta.

La sadique maîtresse se faisait lécher ses pieds nus et n’hésitait pas à donner de petits coups dans la paire de seins de Brigitte.

La maîtresse se rassit à nouveau sur son mari et s’empalait désormais très activement sur son sexe.

Il muğla escort la saisit par les hanches pour la guider plus fortement. Il avait penché la tête pour qu’il puisse lui aussi admirer Brigitte lécher les pieds de sa femme tout en se faisant prendre comme une chienne par son animal de compagnie.

Le chien s’excita soudainement, rendant le couple pervers encore plus exalté.

Le chien était en train de remplir la chatoune accueillante de Brigitte.

Cette dernière poussait de ravissants petits cris de détresse étouffée alors qu’elle suçait les orteils de sa maîtresse.

Le mari jouit également dans sa femme.

Une fois l’ambiance quelque peu retombée, ils se rhabillèrent, récupérèrent leur chien et laissèrent Brigitte nue sur le ring.

Avant de quitter les lieux, l’asiatique prit la parole.

« Coupez! Parfaite superbe partie! Quel beau couple sadique vous ne trouvez pas? Me ferez-vous l’honneur de venir à notre repas ce soir? »

Lança-t-il en se frottant les mains d’un air pervers.

Le couple leur répondit par l’affirmative.

« Au suivant » reprit l’asiatique.

Ce fut le tour d’un jeune noir, non accompagné, si ce n’est d’un grand rodvailer noir.

Tout comme le premier viol, Brigitte fut violée par le chien. Alors que son apetissant derrière était offert au chien, le noir avait sorti son long et épais sexe, qu’il présenta sous le nez de la serveuse.

Il dût forcer la bouche de Brigitte qui le suça avec un complet dégout.

Elle était à quatre pattes, un chien la sautant derrière, le noir assis dans son confortable fauteuil devant.

Ce dernier se pencha pour malaxer l’opulente poitrine de son esclave sexuelle.

Les nibards de Brigitte servaient de jouets à son maître.

L’asiatique se pencha vers moi pour me murmurer à l’oreille

« Tu vois ce jeune homme? Son père est un grand caïd. Il a baigné dans le fric depuis son enfance, il vient à tous mes tournages pour se distraire. Surtout quand il s’agit de femmes blanches. »

Le chien et son maître jouirent très rapidement en Brigitte.

En quittant la scène, l’asiatique interpella le noir

« Repas de ce soir, vous venez? »

Le noir répondit, tout comme le couple précédent par l’affirmative.

Arriva sur scène ensuite une femme nue munie d’un gode ceinture. Elle suintait le sadisme.

Elle se nevşehir escort précipita derrière Brigitte pour sauter sa victime.

La malheureuse Brigitte tentait d’échapper au viol, d’autant plus que la femme semblait plus intéressée par son anus qu’autre chose.

On assistait à une sorte de lutte entre cette femme sadique et une Brigitte qui faisait son possible pour lui échapper malgré une laisse de chien assez courte au cou qui la reliait au sol l’empêchant de fuir.

Mais la plantureuse quadra était déjà épuisée par les multiples perversions subits, elle s’avoua vite vaincue.

La sadique était excitée par ce cul qui allait bientôt s’offrir à elle, embroché par son gode ceinture.

Brigitte cessa toute résistance, à quatre pattes.

Brigitte fut ainsi sodomisée devant les caméras.

Sa violeuse prenait soin de s’enfoncer au maximum dans la serveuse sous les supplices de cette dernière.

Pendant qu’elle la baisait, elle se pencha sur Brigitte pour lui lécher le haut de son dos, sa nuque et ses joues.

« Tu es délicieuse salope » lança-t-elle à sa proie

Brigitte fut baisée et léchée de longues minutes par cette vipère bien calée dans son cul.

Cette dernière avait passé ses doigts sous son gode ceinture afin de se donner encore davantage de plaisir.

Cette femme sadique fut très rapidement prise d’un puissant orgasme, son sexe ruisselé.

Elle se retira du trou de Brigitte, retira son gode ceinture et attrapa Brigitte part les cheveux.

Toujours sous l’œil bienveillant des caméras, Brigitte lécha le sexe détrempé de sa maîtresse, elle était complétement dégoutée et humiliée, au contraire de la sadique femme, toujours aussi hystérique.

Le calvaire de Brigitte semblait s’arrêter là. Au moment de repartir, la femme sadique remercia toute l’assistance et fut elle aussi invitée à dîner au restaurant comme tous les autres acteurs.

Elle glissa un regard pleins de vices à Brigitte en ajoutant ; « A ce soir poupée ».

Tout s’arrêta là, on me renvoya chez moi, ma femme fut dénudée et commença à distraire son boss et son ami asiatique.

Plusieurs hommes attrapèrent Brigitte et la ramenèrent dans les loges, visiblement très intéressés pour lui passer dessus.

« Vous êtes invité ce soir très cher! » me lança le boss de Jessica.

Pétrifiée mais au fond excitée par ce que je venais de voir, j’acceptai cette invitation.

Je quittais la salle sous bonne escorte, en me retournant une dernière fois, je voyais ma tendre Jessica se faire sauter par son boss.

… suite prochainement

Zuwed

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What turned me on. Part 12B

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Anal

What turned me on. Part 12 B

Picking up from the ending of Chapter 12A;

As we stood face to face, her hands clenched in mine, I could feel her pulse on my fingers. Mary pulled her hands from mine, and reached around me, pressing her body up against mine. We held each other tightly for the first time during this trip. It was such a warming, relief to have her holding me, needing me and wanting me, as I did her.

I knew right then and there; that life had changed for me. Not so much that I was some wild, flying out-of-the-closet lesbian, but because I was in love with someone who was my best friend, my sexual partner, and someone I needed in my life.

When we broke from our long hug, Mary looked at me and whispered, “I am sorry it took me so long to accept it and admit it, but I am truly in love with you Jill.”

We stared into each other’s eyes for a long moment, both of our eyes welling up with tears, our arms still loosely wrapped around each other’s waist, when it truly hit me. I was falling in love, opening my heart, as she was doing for hers, and accepting the start of the next phase of our lives together.

I got so excited and scared at the same time that I didn’t know if I was going to chirp out in happiness or throw up from fear. My whole body was shaking. My lips were trembling, as were hers. We both had just admitted something that I believed neither of us ever believed we’d say to another woman and here we were after a snap argument, in the florescent light of our hotel room, staring into each other’s eyes.

So many questions were coming to mind, so many issues needed to be bridged, so many feelings needed to be digested yet so much anticipation was building.

I placed my hands on both sides of Mary’s cheeks and pulled her face into mine Our lips pressed together and I could taste the saltiness of her tears along her lips. We both trembled as our mouths parted and our tongues touched. All the fears, all the concerns, all the anxiousness of being here, coupled with our argument and admittance, were all exploding deep within our minds and our souls. It was without a doubt, one of the most erotic, yet scariest moments of my life.

Mary and I made love that night, over and over again. This time it was hotter. It was sexier. It was closer. It was more romantic and it was the first time doing it after saying, “I love you.” It was beyond exhilarating. I will tell you all about that night in part B. But until then just know, it was the best lesbian sex I had ever had, pre-and-post the I love you; including my little relationship with Jane.

I wouldn’t have traded it for the world.

And I wouldn’t have. I have had a host of romantic nights with men and even with my husband, but never with a woman. Never in this aspect. Never in this type of situation. Never in premonition of eating pussy and ravishing a woman I just admitted to, as she did to me, that we were in love.

My heart was pumping. I could feel the blood running through my veins. How my anger-fueled blow-out, led to this moment. How scared I was. How nerve-wracking this had become. How incredibly different this was from any similar situation I had before. How tantalizing it was to know that the person I stood kissing, was the person I wanted to have unbridled sex with. How uniquely different it was going to be moving forward knowing I was ready to come out. Ready to become who I had become in the content of this relationship. Knowing how fingers and toys and tongues were going to be the only thing entering my vagina. And I planned to do the same to hers. How ready I was to scream to the world, I am in love with a woman, yet how terrified that made me feel.

Before I could even digest more thoughts, Mary pulled from our kiss and grabbed both sides of the top of my dress, pulling down with enough force to pull the material away from my skin, ripping the left side of it as she was trying to get my tits out.

As she leaned back in trying to kiss me, while her hands were plunging under my bra, I was moaning through our kiss, “The zipper, got to unzip the zipper.”

I felt her hands on my back fumbling with the zipper, which was now most likely torn and offset from the force she used to try and pull the front of the dress down. I was wiggling and trying to pull my arms through the sleeves, as I heard the material rip even more. Finally, it was loose enough for me to slip my arms out, as it fell dangling at my waistline. Mary pulled down both of my bra cups down, letting my tits pop free. Her right hand cupped and squeezed my left tit, pushing it up into my chest, as we kissed deeply. I hadn’t been seduced this hard or this passionately in a long time, and I could feel the juices flowing throughout my whole body.

Mary pushed my face up and to the right with her hand as her mouth kissed along my jawbone, down my neck across my chest, and onto my left nipple. She sucked hard and with fury, as her warm wet mouth pleasured me. I was gasping for air, in the heat of this moment, aksaray escort because it was the first time she had seduced me this hard since we had been together. I don’t know if she finally accepted who she was (at that moment anyway), or where we were heading, or because we both said I love you. But she was taking me and I was the prize she was going to get.

As Mary sucked on my nipples and played with my tits, I managed to slip out of my dress completely, kicking off my heels. Mary came back face-to-face with me, mouthing the words, “I want you.” She guided me by the hand back to the bed and as I began to sit down, she pushed my torso back, knocking me flat. She stood over me at the edge of the bed and pulled her dress over her head and in one fluid motion, managed to slip out of it, reached behind her, unhooking and dripping her bra, revealing her sexy tits. She grabbed and cupped both of them while looking at me erotically, as she licked her lips.

I edged backward on the bed, getting my feet onto the mattress with my knees up. Mary rubbed all over my knees and down my thighs as far as she could reach, until she knelt on her knees at the foot of the bed. Mary pushed my legs open and slid my panties aside to the left, diving face-first into my pussy,

I felt her tongue go directly inside of me. I gasped in surprise and pleasure as she started trying to push her tongue in and out of me, swirling around my clit occasionally, then returning to my opening. My mouth was wide open, and my head was back as she continued pleasing me. My hand grabbed my tits, and roamed over my body, my fingers even went inside my mouth at times because I was beyond turn-on.

I was coming closer and closer to orgasm, with each swipe of her tongue, and was dying to cum all over her face. I looked down at her, seeing her eyes, over my stomach. Her mouth buried deep in my loins, licking, sucking, and pleasuring my pussy like she hadn’t before. She jammed two fingers deep inside of me, my back arched and I yelled out in pleasure. Mary fingered me hard, while her mouth was covering my clit and I was begging her in a voice, I hadn’t used in a long time to “Don’t stop.” “Don’t Stop!”

I came hard and fast and as much as I needed a moment to catch my breath, Mary didn’t stop, she just kept pumping my pussy full of her long feminine fingers. I was gasping and chirping, rocking back and forth, doing reverse crunches as my legs and hips were swaying back and forth on the mattress. I came hard a second time and was in heaven and she made me squeal.

“Mary, I want your pussy,” Came flying out of my mouth as she fingered me hard.

Mary pulled her dripping wet face from my pussy, stood up, lowered her panties, and climbed right on top of me. Her body pressed up against me for mere seconds as we kissed, but then she continued upwards, climbing right over the top of me. Her pussy, rested right at my chin, as she lowered herself down onto my lips. Before I could even get my lips wet, or my tongue out her opening was on my face. She pressed down hard, as I started to lick, suck and swirl my mouth around her clit. I was looking up across her body and saw her eyes focused on my mouth which was pleasing her. Her juices flowing, her cunt, slightly acidy, tasting hot and erotic as it always does.

My pussy was still dripping, and reeling from my orgasms. My asshole was throbbing and pulsing, needing to be fucked hard. Mary had my arms pinned down, so the best I could do was grab both of her ass cheeks as her clit was in my mouth. I heard her moans getting louder and louder. Her whimpers of “Jill, Jill, Jill.” Getting more frequent, more resounding. “Jill, Jill, and third JA’ came out of her mouth before I felt her body shaking, convulsing, and thrusting as she was cumming on my face. My ass rose from the bed, because I knew exactly, what she was feeling, and her cumming made me even wetter than I already was.

“Oh Fuck!” She cried out as my tongue just kept going.

I edged her up slightly and slid my thumb inside her wet pussy from behind as my mouth continued covering, licking, and sucking on her clit. Mary was so turned on that she started lightly bouncing up and down on my thumb like it was a cock. Within seconds she exploded again. Her thighs locked up, her body quivered and she gasped loudly. I think the whole floor of that hotel knew we were having sex.

When she finally regained her balance and concentration, Mary climbed off of me and came down chest to chest with me, lying right between my legs. She licked around my lips and on my chin, to taste her pussy before kissing me deeply again.

Our kiss didn’t break for minutes as our hands and fingers wandered over every bit of one another’s bodies. She whispered “Thank you,” through our kiss.

“Thank you for what?” I questioned.

“For telling me you love me,” she replied.

We continued kissing, touching, and caressing for several minutes. We finally took a brief break so we could both pee, amasya escort but came right back face-to-face, kissing and touching until we were both soaking wet again.

We laid side to side, our faces pressed deeply into each other with one of our legs lifted and proceeded to finger each other to another orgasm as the night progressed. At times through it, I did wish we had a dildo or a strap-on because I needed a hard dick in my pussy and my ass, but we managed.

We ordered food during one of our breaks. I think I surprised the room service delivery guy by answering the door in only a robe. I know he could see Mary on the bed under the blanket as I grabbed the trays from him. I bet he left our room with a hard-on, knowing two women were fucking in that room.

After our first few orgasms, the remainder of our night progressed like this. We ate, we fucked. We napped, we fucked. We’d cool down, let the sweat dissipate, we’d laugh, we’d giggle, we’d tease each other a bit, we’d touch, we get aroused again, we fucked. We’d get up to pee, cuddle back in, we’d fucked. When we weren’t fucking, we were cuddling, we were talking and we enjoyed every moment of that night. At least I did.

We had done a 69 with her on top. Sometime later, we did one with me on top. We fingered each other in the ass, although I know I like it more than she does and had literally exchanged every bit of bodily fluids women can do with women.

In the wee hours of the morning, just as I was just dozing off, Mary cuddled in again and began rubbing my body. I knew she wanted more so I rolled over, kissed my way down her body, and ate her pussy again. This time she lightly squirted as she orgasmed, leaving a big wet spot on the bed. Just when I thought we had finally finished and had rolled over onto my side to doze off, Mary threw the covers off of the bed. She guided my left leg up towards my chest and started rubbing my pussy from behind. It didn’t take long for me to get wet again and before I could even fathom her next move, I felt her slide two fingers deep in my pussy from behind. Followed immediately by a finger deep in my ass.

She started pumping and thrusting me harder than anyone ever had before. I was chirping aloud until my last bit of energy drained and my body stirred up one last orgasm which finally shot out from inside of me. I couldn’t have gone another road, even if I wanted to. It was beyond amazing. Before the night was over, we both must have had at least 10 or 11 orgasms each.

We slept… maybe… four hours that night. But the most important part of the night, whatever time it was, when we finally fell asleep cuddled together, Mary whispered in my ear, “Thank you for this.”

When I awoke the next morning with the sun blaring into my eyes, I was tired, drained, sore, achy, and my pussy hurt. I hate to say it that way. But my girl hurt. I don’t think anytime before, or since, anyone has fucked me long enough to be sore. Oddly enough, there was no dick involved. We absolutely ravished each other that night and I was paying the price that morning. I’m not complaining, because it was amazing, but I felt like I had been hit by a Mac Truck right in my pussy.

I went to the lobby to get some coffee and when I got back to the room, Mary was awaking from her slumber. I had brought her a cup and I sat on the edge of the bed as she was coming to life. She arched, leaned, stretched, and moaned as if she was hung over. The light was bothering her eyes, but she managed to come to life drinking her coffee, her tits hanging from her chest, as she sat with the blanket covering her from the waist down. Her hair was a mess, whatever make-up was left, was smeared, missing, or out of place. Her eyes were swollen, and red and she looked like I felt.

As we were loading the car, both of us moaned and groaned putting our suitcase in the trunk of the car. Just after pulling out of the hotel parking lot and getting on the main road towards the highway, Mary embarrassingly asked me if I was sore.

I question her, “Sore where?”

“Your pussy?” She replied.

“Oh, yeah.” I exclaimed, chuckling, “Very sore.”

Our drive home was rather quiet with very little communication. We held hands for a while, but Mary eventually pulled her hand from mine and she dozed off for a while as I drove. I had a million thoughts running through my mind, as I’m absolutely sure she did too. And as much as I wanted to go home and start preparing myself to come out to friends first, then to my family that I was dating Mary and falling in love with her. The moment sent major concerns reeling through my head. I would have hoped that most of the people I called friends would have accepted it, whether they liked it or not, but some would have turned their back. My parents… Uhm, who knows? And my ex would have surely had a field day with it. I could hear his snide comments already. Lord knows he blamed me for our failed marriage. I could only imagine how much more demeaning antalya escort he would have been, now blaming me that I was a lesbian and that’s why we failed.

I knew and completely understood Mary’s fears and concerns. They were probably 10 times worse than mine. And as boastful as it is to say to her in the middle of an emotional argument, that I wanted more. I wanted to be out, to tell her I loved her, as she did for me. But, when reality hit and we were outside of that room, outside of that moment, it was going to be different. I knew exactly what she felt like. And I was just as scared as she was. Especially if we didn’t make it.

As the weeks went by, I heard less and less from Mary. The texts weren’t as frequent, the dirty talk was rare, the erotic pictures ceased and the time spent together dwindled. And I blame both of us for that. But I knew she was never going to be able to accept us as a couple in a long-term relationship. I think she got to experience something beyond her wildest imagination. She did something she “was never supposed to do,” and put her faith and trust in me, to keep it our own. And I also got to experience something I would have never imagined. I take comfort in knowing what we had was special. Sometimes it just works out that way. But it was a glorious short ride, one I’m sure neither of us will ever forget.

I was confused at times. Even angered. I kept thinking to myself how can two women have the friendship, the lust, the desire, and some incredible sexual experiences as we did, yet just end up walking away? I don’t know how many of you who are reading this have had a same-sex experience or are bisexual. But I tell you what an amazing, unique, erotic, sensual feeling it is when you – as a woman – are eating another woman’s pussy. And how it changes something in the brain. It just sends you on a trajectory, you never imagined and makes you rethink, things that have been embedded in you since your coming of age. I guess truth be told, I had better sex with men. That’s nature. But when you find someone of the same sex, and have these passionate, hot, erotic moments of eating pussy and getting each other off. Spending the nights together, building the friendship and trust. Having erotic convos, with erotic pics, how can you just let it fade? Guess only those who experience it can answer those questions. I have yet to answer it myself. But I would recommend it. At least to have the experience.

Looking back now I can honestly say, I think we both hit the pinnacle of our relationship that weekend. It was the utmost we were ever going to be. The best time we were ever going to have. The hottest sex we would ever be engaged with (in the aspects of two women) and the best connection on that emotional and physical level we would ever achieve. Maybe we were both at that point in life where we needed each other and needed something different. Needed to be away from men. Needed that different kind of love, a different experience. Needed to have something wild and unexpected. Needed to be on the other side of the playing field, reaching out for a different way of life.

I compare it to training and preparing to climb a mountain. We both worked so hard, we were determined, we were engrossed and engaged to make it up there and celebrated it while on top of the world. But after climbing down that mountain, we went back to life, just basking in the warm thoughts, memories, and accomplishments we had achieved.

Truth be told, my time with Mary is one of the fonder memories of my sexual experiences. I enjoyed kissing her. I liked the giggly butterfly feeling I’d get when we were making out. Or as I started to undress her and ended up playing with her tits. Kissing my way down her body slowly as we both got more aroused. I absolutely loved eating her pussy. As odd as that may sound. I really liked it. I had always sucked dick with my boyfriends and for my husband, but there was something about sliding her panties off and looking at her perfectly shaved, wet pussy, knowing I was going to be licking it and sucking it that made those moments even more erotic, desirable and pleasurable. I guess you can say for a stent in my life I was pussy crazy and I’d absolutely agree.

I did love her. A surely different form of love than a man and woman, but love nonetheless. A different, erotic, exciting, taboo, and special kind of love. One that is not as widely accepted as it should be. And I believed she loved me. I do think – if it would have gone further – that she would have had more issues accepting it, than I would have. She surely would have had more issues showing it and problems letting every person in her life know she was dating a woman. And I could understand where she was at. As I said, we had climbed the mountain and now that we accomplished the mission, we had to return to our normal lives.

I thought about fighting hard to retain our relationship since she had been there for me on a chance meet, before my divorce even started. And that we both had taken that risk, as unusual and emotional as it was. We both experienced love between two women and had some amazing sex. But pushing her to uncomfortable levels of emotions and actions would have just made it worse. So, as she slowly slipped away, I slowly released my grip and just let her go.

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Ass

Traduction d’une histoire de Cathartico.

Ce récit est une FICTION contenant chantage, contraintes et humiliations. Ne continuez pas à lire si vous n’aimez pas.

*******

En quittant le bureau des stagiaires je suis nerveuse. J’ai à peine survécu au test du rouge à lèvres et je ne veux pas savoir ce qui m’attend ensuite. De plus, je dois m’assurer que Matt ne fasse rien de stupide et ne nous cause pas d’ennuis ;

En me rendant à mon bureau, je croise mes collègues qui arrivent au travail. En chemin je remarque que plusieurs d’entre eux me regardent d’un air curieux en passant. Je sais qu’ils voient mes bijoux sur les poignets et mes bracelets de cheville scintillants. Je crois que j’ai même vu quelques sourires cachés.

Émotionnellement, je suis complètement harassée. d’une part je voudrais ramper dans un trou et m’y cacher. D’un autre côté, je veux qu’ils m’admirent. Je veux que mes subordonnés me respectent en tant que dirigeante d’entreprise, mais en même temps je veux me sentir jolie et attirante.

Quand enfin je regagne mon bureau, je m’assois sur mon siège et j’essaie de me calmer, ce qui s’avère difficile. Embrasser des chaussures sales dans un bureau ouvert est la chose la plus avilissante que j’ai jamais endurée. Si bien que ma chatte dégouline et mon esprit est si brumeux qu’il m’est impossible de me mettre au travail. Je ne peux pas me concentrer. Pourtant il faut que j’assiste à une réunion importante.

Assise dans la salle de réunion, mon état ne s’améliore pas. Je suis complètement distraite et je passe la plupart du temps à penser à ce qui va m’arriver dans ce défi du rouge à lèvres. Les membres de mon équipe me surprennent plusieurs fois à rêvasser. Ça me gêne de ne pas pouvoir répondre à leurs questions avec autant d’éloquence que d’habitude. Pourtant j’essaie, mais je n’y arrive pas.

Mon manque de concentration est particulièrement gênant, car cette réunion est cruciale pour mon prochain voyage d’affaires. Le projet de changement le plus important de l’entreprise arrive sur la fin et je dois présenter un projet pour la phase suivante. Ce projet a consommé une grande partie du budget alloué à mon service et il est essentiel à la prospérité de la société. Dont ça doit être un succès.

J’entends Damon chuchoter à Eric :

– Je parie qu’elle pense à de nouvelles tenues et bijoux. Elle fait une liste dans sa tête au lieu de suivre les présentations.

Eric répond en faisant allusion à mes bijoux scintillants. Il ne peut réprimer un petit rire :

– Notre patronne si sévère a trouvé sa vraie vocation hé hé hé ! Qui aurait pensé qu’elle soit si intéressée par tous ces accessoires.

Pour montrer que je suis toujours la directrice, je me racle la gorge bruyamment pour calmer mes deux subordonnés et je leur jette un regard méchant. Cependant mes yeux doivent avoir l’air plus vitreux que fâchés, car les deux gars me font un sourire lubrique en réponse. Bon sang, leur conversation me fait tellement mouiller que j’ai peur qu’une tache sombre n’apparaisse sur ma jupe.

Leurs commentaires désobligeants me poussent également plus loin dans mes pensées de soumission. Je ne veux pas critiquer la présentation de mon équipe, mais je veux me mettre à genoux, ramper sous la table et sucer toutes les bites présentes. Pour la première fois, je ne veux pas me sentir comme leur supérieure qui leur assigne des tâches. Au lieu de ça, je veux les servir et leur plaire comme une salope de bureau.

Même si je sais que mes subordonnés se sont rendu compte de mon manque d’attention inhabituel, leur dernière question m’a surprise. Je n’avais pas écouté. En bégayant je cherche une réponse, mais je n’en trouve pas. Le visage tout rouge, je m’excuse et je demande à celui qui a posé la question de venir dans mon bureau plus tard pour discuter du problème.

En sortant de la salle de réunion, je pousse un grand soupir de soulagement, même s’il n’y avait pas grand-chose à soulager. J’avais à peine réuni quelques informations. Ma prestation avait été horrible. Ça ne doit plus se reproduire. A la prochaine réunion je dois être mieux préparée et plus attentive. Je ne peux pas prendre le risque que O’BANNON ou ORTEGA soit au courant de mon inattention.

Merde, il faut que j’aie la tête claire et les pensées rapides. En allant vers les escaliers, je tombe sur Justin. Un dossier dans les mains il est visiblement en route vers la salle du photocopieur pour faire des copies.

– Mademoiselle ADDAMS ! Appelle-t-il quand je le croise.

Pendant un moment, je me demande si je dois simplement continuer à marcher et l’ignorer. Mais ça ne fera que le mettre en colère. Après le jeu dans le bureau des stagiaires, je me dis qu’il vaut mieux que je joue le jeu. Alors je me retourne et je lui souris.

– J’ai des questions concernant un travail ! Me dit-il.

Bien sûr, c’est une couverture et nous le savons tous les deux. Alors je joue le jeu et je lui explique le contenu du dossier jusqu’à ce que le reste des participants à la réunion ait disparu rize escort dans leurs bureaux. Quand nous sommes seuls dans le couloir, Justin attrape mon bras et me tire rudement dans la salle de photocopie. Là il me dit :

– Il est temps pour moi d’avoir une autre marque de rouge à lèvres, Miss BRATZ. Et cette fois-ci ça sera sur ma bite ! Mais d’abord, amusons-nous avec ces chaînes.

Je remarque que Justin est devenu plus agressif. Il a vu comment Daniel et Matt me traitaient. Mais comme j’ai pu le remarquer hier, il est moins dans l’humiliation que dans le traitement rude et brutal de mon corps. Il vit pleinement ses fantasmes.

L’étudiant en commerce est un lèche-bottes qui fait des courbettes à tous les autres employés, mais pas à moi. Au contraire, il me traite comme un vulgaire morceau de viande qu’il peut brutaliser comme il le veut. Cette différence de traitement est encore plus dégradante pour moi.

La salle de photocopie est aussi utilisée comme salle de stockage pour divers équipements de bureau et appareils qui ne sont pas utilisés pour le moment. Me tirant par le bras, Justin me conduit au milieu de la pièce.

– Allez poupée, sors-moi ces gros nichons ! Ordonne-t-il simplement.

Résignée à mon sort, j’ouvre ma veste de costume en cuir bordeaux et je la laisse glisser au sol. Secouant mes épaules, mes gros seins rebondissent dans le satin noir.

C’est incroyable, un seul ordre et je me change en mode soumise immédiatement. Et je fais un strip-tease sexy.

Même si au fond de moi ça me gêne, je continue. Balançant doucement mes hanches, j’ouvre les boutons du chemisier en satin en commençant par le haut. A chaque bouton la chair de ma poitrine serrée apparaît. Et je me retrouve devant le jeune stagiaire seulement vêtue de mon corset en satin noir, d’une jupe en cuir bordeaux, de bas noirs, de talons hauts rouges et des bijoux scintillants.

– Sors ton rouge à lèvres et prépare-toi pour ton défi Miss BRATZ. Me dit-il d’une voix autoritaire.

Daniel m’a ordonné d’exécuter tout ordre concernant le défi à tout moment et n’importe où au travail. Je ne peux donc vraiment pas discuter. Au moins, Justin m’a traînée dans une pièce qui est rarement utilisée par mes collègues. Ce sont les stagiaires qui y viennent. Justin saisit mon sac, sort le rouge à lèvres et me le tend. Alors que je commence à l’appliquer, il m’arrête.

– Je n’ai pas dit où n’est-ce pas ? Maquille ta chatte pour moi salope ! Ricane-t-il.

Je gémis en réponse. Je n’aime pas le tour que prennent les évènements. Pourtant j’obéis et je recouvre d’une épaisse couche de rouge vif les lèvres de ma chatte. C’est vraiment obscène, mais Justin adore.

Satisfait de mon maquillage, il attrape mon bras et me conduit près d’un tableau à feuilles mobiles couché et appuyé contre le mur pour le ranger. Il le saisit et le pose au milieu de la pièce, puis il m’ordonne de le chevaucher.

Ensuite il tire mes bras derrière mon dos et il accroche les attaches ensemble, mes poignets à mes chevilles. Enchaînée ainsi mes jambes se soulèvent du sol et mon corps descend sur le côté du tableau. C’est à ce moment que je réalise ce que fait Justin.

– Ooooohhhh ! Qu’est-ce que vous faites ?

Je laisse échapper un petit cri lorsque le métal s’enfonce dans ma chatte sensible.

Tout mon poids ne repose que sur mon entrejambe. Ma chatte et mes fesses sont pressées contre le bord métallique. La seule chose que je peux faire pour protéger mes parties intimes est de me soulever sur la pointe des pieds. Mais les bras attachés à mes jambes, je ne peux pas descendre du tableau.

– C’est un appareil de torture appelé « Spanish Donkey ». Tu vas apprendre à aimer salope ! Tu restes dessus jusqu’à ce qu’il prenne la marque de ton rouge à lèvres. Me dit le jeune salaud.

Satisfait de son travail, Justin se retourne et commence à faire des photocopies. Il accomplit sa tâche sans même faire attention à moi. Je reste sur la pointe des pieds au milieu de la pièce, le visage brûlant de honte. Tout ce que je peux faire c’est d’attendre, complètement impuissante. Les minutes s’écoulent. Le temps me parait très long.

La sueur s’accumule sur mon front alors que je me balance sur la pointe des pieds. Je sens de la fatigue dans mes jambes. C’est inévitable, après environ cinq minutes, elles commencent à trembler dangereusement.

Je n’en peux plus ! Mes mollets sont trop fatigués. Aussi lentement que possible, je me baisse sur la tranche du tableau. Ma chatte sensible se pose sur le bord métallique dur et froid.

– Aie ! Grogné-je quand j’ai l’impression d’être fendue en deux.

– Ne te plains pas et sois contente qu’il s’agisse que d’un bord plat et non pointé comme le véritable appareil. C’est facile en comparaison ! Dit Justin pour me faire taire.

Honnêtement cette comparaison ne me remonte pas le moral. La façon dont le bord métallique presse contre ma chatte est assez inconfortable. Je n’ai pas envie de connaître le vrai appareil de torture.

Luttant sakarya escort pour endurer ce bord dur qui entaille ma chatte, je réussis à le tolérer pendant près d’une minute avant de devoir me relever. Avec mes muscles tremblants d’une manière exaspérante, le temps pendant lequel je peux rester sur la pointe des pieds est considérablement plus court qu’auparavant. Mes mollets cèdent d’eux-mêmes. Avec toute la force qu’il me reste, je me baisse doucement en essayant de disposer mon poids autrement.

– Arggghhh ! Gémis-je quand le bord du tableau coupe mes fesses en deux et appuie sur mon cul.

Ce n’est pas mieux ! Il me faut beaucoup plus de temps cette fois pour rassembler assez de force pour me relever. Pourtant je réussis. La sueur coule sur mon visage.

Le temps où j’arrive à rester sur mes orteils est de plus en plus court. La fatigue s’installe et je suis de plus en plus souvent posée sur le bord métallique. Bientôt je ne peux pas faire autre chose que chevaucher ce maudit tableau. Ma chatte et mon cul me font mal alors que je me tortille encore et encore sur l’appareil. Mes mouvements deviennent de plus en plus effrénés jusqu’à ce que je bouge de haut en bas sur le tableau comme si je chevauchais un âne. Même la bague scintillante de mon nombril rebondit en rythme contre mon corset.

En haut ! En bas ! En haut ! en bas !

– Ohhhh… Aiiieee… Ohhhh… Aieeee !

Je gémis et grimace en rythme alors que mes gros seins rebondissent à l’unisson avec la bague de mon nombril. Même si je fais de mon mieux pour étouffer mes gémissements, ils deviennent de plus en plus forts. Je ne peux plus me contrôler.

La peut m’envahit. Le bruit est si fort que quelqu’un dans le couloir peut l’entendre. A chaque seconde je m’attends à ce que la porte s’ouvre et qu’ORTEGA entre dans la pièce. Je ne pourrai pas me cacher.

– Alors poupée ? As-tu oublié où tu es ? Tu n’es pas censée faire autant de bruit, stupide animal de bureau. Me réprimande Justin.

Il avance vers moi, ôte sa cravate de son cou et la fourre directement dans ma bouche. Encore une chose qu’il a apprise de Daniel.

– Mmmmppphhhhh… Mmmmppphhh…

Mes gémissements sont étouffés. Même si le jeune stagiaire imite mon homme, je suis reconnaissante, car la cravate étouffe le bruit, donc réduit les chances que je sois découverte.

En haut ! En bas ! En haut ! en bas !

Je suis obligée de continuer à chevaucher le tableau de feuilles mobiles pendant les prochaines minutes. Je rebondis si fort que le cœur en strass « Missy » se soulève de haut en bas et cogne ma peau douce et bronzée au-dessus de mon nombril. Ça doit être vraiment comique.

Justin me laisse comme ça une bonne vingtaine de minutes pendant qu’il finit de photocopier le dossier complet. De temps en temps en temps, il me regarde et rigole de me voir essayer de me relever. La douleur se mélange à la honte d’avoir à accomplir cette tâche infernale pour ce salaud de lèche-bottes alors qu’il me prête à peine attention.

CRIIIIIIIII

Soudain la porte s’ouvre avec un grincement.

Non ! Ça ne peut pas arriver ! Pas après que mes cris ont été étouffés ! Pas après tout ce que j’ai vécu ! Je crois que je vais m’évanouir et m’effondrer. Je suppose que j’aurai glissé du tableau si je n’avais pas été enchaînée.

Mais la porte s’ouvre et se referme aussitôt. Avant que je m’en rende compte, deux autres personnes se trouvent dans la salle de photocopie.

– Nous vous cherchions partout !

Il s’agit de Matt et Taylor. Je pousse alors un soupir de soulagement. Je n’ai jamais été aussi contente de voir leurs visages. Ici et tout de suite je les aurais embrassés si j’avais pu me sortir de cette position infernale.

Puis je réfléchis. Je ne devrais pas être contente que Matt soit là ! Surtout sans Daniel ! De plus, attachée comme je suis, il peut faire ce qu’il veut de moi et en profiter.

– Oh je vois, tu prends l’animal de compagnie avec toi lorsque tu travailles. Dit Matt à Justin en m’ignorant.

– Je parie qu’elle t’a supplié de la laisser monter sur ce tableau. La salope n’en a jamais assez hein ? Et elles disent que c’est nous qui pensons tout le temps avec nos bites ! Ajoute-t-il pour recommencer à se moquer de moi

– Qu’est-ce que vous en pensez les gars ? Voyons à quel point elle aime ça ! Je parie que je peux la faire mouiller sur le tableau. S’exclame Justin pour garder l’initiative.

N’attendant pas la réponse des gars il s’approche de moi et saisit mes gros nichons. Il commence à tripoter ma chair molle et la pétrit fermement. Quand il commence à me pincer les mamelons en rythme avec mes mouvements, je commence à me tortiller en gémissant.

Bon sang, ce salaud joue avec mon corps comme avec un violon. Je sens des vagues de plaisir déferler dans mon corps et se mélanger avec la douleur dans mes reins.

La façon dont Justin me manipule si facilement est embarrassante. J’ai très mal sur cet appareil. Pourtant mon corps samsun escort devient excité par son simple toucher.

Maintenant Justin tient fermement mes mamelons en place sans bouger. De cette façon c’est moi qui agite mes seins en sautant sur le tableau. J’ai l’impression que mes seins sont enfilés sur une brochette. La traction sur mes tétons tendres est à peine tolérable. Et ça conduit mon excitation à de nouveaux sommets malgré la douleur dans ma chatte et mon cul.

Lorsque mon corps est levé, Justin se penche soudainement et gifle mon clitoris. Une décharge explose dans ma chatte et traverse mon corps. Mes jambes tremblent si fort que je redescends instantanément sur le tableau ? Je sais que je dégouline de mon jus.

Ce jeune lèche-bottes a su m’amener à l’orgasme malgré la torture du tableau de feuilles mobiles. Il a réussi en si peu de temps que j’en suis ébahie. Ses camarades stagiaires sont encore plus impressionnés et sifflent d’admiration avant que Justin ne détache mes chaînes et me libère du dispositif infernal. Il me montre alors le tableau et me dit :

– Je te l’ai dit poupée que tu allais aimer ! Regarde le gâchis que tu as fait !

Je remarque alors que le tableau est collant de mon jus. Quelques traces de rouge à lèvres sont encore visibles, mais elles ont été recouvertes par mon jus de chatte. C’est trop pervers !

– Tu es trop stupide pour laisser une trace de rouge à lèvres décente Miss BRATZ ! Me réprimande Justin.

Bon sang, j’avais complètement oublié le défi. D’une certaine manière il avait raison. J’étais tellement excitée que je n’avais pas été en mesure de réaliser son défi correctement. Daniel va être déçu.

– Nettoie ça idiote ! Je ne peux pas laisser sale notre matériel de bureau ! Dit cet enfoiré en retirant sa cravate de ma bouche.

Saisissant mes cheveux châtains, il pousse mon visage sur le tableau. Je lèche mon jus sucré sur le métal tout en pensant que Justin m’avait si facilement fait jouir et juter sur le dispositif infernal. Et comme s’il devinait que ma chatte est toujours excitée, il pousse deux doigts dedans et commence à me baiser avec pendant que je suis penchée.

– Ohhhhh…. Ohhhhh…

Je me retrouve vite à gémir les dents serrées. Juste au moment où je suis au bord de l’orgasme, il s’arrête et donne deux grosses claque sur mes fesses, enterrant ainsi mon excitation.

– il ne faut pas que tu oublies le défi, petit animal de bureau. Je devrais te remettre sur le tableau pour que tu recommences. Dit-il avec un petit rire.

Puis il m’attrape une nouvelle fois par les cheveux et s’exclame :

– Il est temps de laisser une marque de rouge à lèvres sur moi.

En me tirant par les cheveux, il me conduit au fond de la pièce. Une table est placée contre le mur. Il fait demi-tour et me pousse pour que je m’allonge sur le dos sur la table. Puis il la contourne et tire mes épaules pour que ma tête pende du bord.

Je réalise enfin ce qu’il fait. Il veut baiser ma bouche. Dans cette position malaisée, je n’offre presque aucune résistance. Avec ma tête en arrière, ma gorge s’ouvre d’elle-même. Quelle position odieuse !

Justin aggrave encore les choses quand il prend ma jambe droite, la soulève du sol et la plie au genou. Puis tenant ma jambe sur la table, il attrape mon bras droit et le tire pour le placer à côté. Et enfin il utilise mes bracelets de poignets et de chevilles pour les accrocher ensemble.

Après avoir fait de même avec ma jambe et mon bras gauche, je me retrouve allongée sur la table, la tête pendante au bord et ma chatte grand ouverte. Tous mes orifices sont complètement exposés.

Debout devant mon visage, Justin prend mon rouge à lèvres et barbouille ma bouche jusqu’à ce qu’il soit satisfait. Puis il baisse son pantalon. Me regarder chevaucher le tableau l’a tellement excité que sa bite est déjà bien raide. Il saisit ma tête et tire mon corps dans la bonne position. Il me bouge comme une poupée gonflable jusqu’à ce que son membre soit contre mes lèvres. Je suis complètement impuissante. Tout ce que je peux faire c’est de regarder sa grosse bite bien dure planer au-dessus de mon visage. Il m’explique alors :

– Je n’arrêterai pas tant que tu n’auras pas laissé ta marque de rouge à lèvres sur mon entrejambe, salope. Tu as compris ?

Je hoche la tête pour signifier mon accord. Ma position est vraiment dégradante. Pourtant je veux lui montrer que je ne suis pas stupide et que je peux supporter ça. Je suis trop fière pour ne pas lui montrer que je ne suis pas idiote et que je peux réaliser le défi.

Avec un grognement, le jeune stagiaire pénètre ma bouche. Je ferme rapidement mes lèvres peintes autour son sexe dur. Ma langue joue avec son gland, mais il pousse sa bite plus profondément. Je me concentre sur mon réflexe nauséeux et je baisse ma tête plus bas pour ouvrir ma gorge. Je sens son bâton de chair presser contre ma luette.

Puis la bite de Justin glisse profondément dans ma gorge. Il me faut quelques instants pour réaliser que je ne peux plus respirer. Néanmoins ce salaud garde sa queue dans ma gorge jusqu’à ce que ma vision se trouble. Je manque d’air.

Je commence à lutter et je m’agite dans mes entraves. Toutefois, je ne peux presque pas bouger. Je dois vraiment avoir l’air ridicule de me débattre dans mes liens.

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07 Ein Damenabend

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Teil 7 der Serie „Meine sexuellen Abenteuer”

Zum besseren Verständnis bitte die vorherigen Teile lesen.

Viel Vergnügen!

*****

Sabines Erzählung

Das Verhältnis zu meiner Stiefmutter Maria war früher eher von distanzierter Natur. Ich habe sie halt als eine weitere Frau meines Vaters akzeptiert, und sie mich als Tochter ihres Mannes aus erster Ehe. Wir beiden haben uns einfach arrangiert, weil es so am einfachsten war. Ich hatte jedoch auch immer schon eine gewisse sexuelle Anziehung zwischen uns beiden registriert, doch außer abendlicher Selbstbefriedigung während ich an sie dachte, ist nie was passiert.

Seit den Erlebnissen mit ihr, meinem Mann Peter und unserem Freund Wolfgang sind wir uns aber viel näher gekommen. Mein erstes lesbisches Erlebnis mit meiner Stiefmutter war ein wirklich einschneidendes Ereignis in meinem Leben. Diese Zärtlichkeit, die nur eine Frau einer anderen Frau geben kann, das Wissen einer Frau darüber, wie andere Frauen fühlen und funktionieren, all das sind Dinge, die nur Frauen dir bieten können.

Meine Stiefmutter ist fast 10 Jahre jünger als mein Vater, aber auch viele Jahre älter als ich, und ich sehe diesen Altersunterschied als Vorteil. Sie weiß Dinge, hat Dinge erlebt, die ich in meinem Leben einfach noch nicht erleben konnte. Die Erfahrungen einer reifen Frau, nicht nur jene im Bett, sind für mich sexuell sehr anziehend, und der Umstand, dass diese Frau mit meinem Vater das Bett und noch viel mehr teilt, ist für mich ein besonderer Reiz.

Und so waren Maria und ich uns einig, ohne explizit darüber gesprochen zu haben, uns so bald wie möglich wieder zu treffen, aber diesmal nur wir beide alleine. Seitdem haben wir uns nun schon einige Male zu einem zärtlichen Date getroffen, mal bei ihr, mal bei mir zu Hause, je nachdem, wer gerade die nötige Privatsphäre bieten konnte. Diese Dates waren jedes Mal erfüllt von wunderbaren sexuellen Erfahrungen und Zärtlichkeiten.

Bei einem dieser Treffen habe ich ihr ganz nebenbei von der jungen Verkäuferin erzählt, die mir die Karte mit ihrer Telefonnummer zugesteckt hatte, als ich mit meinem Vater shoppen war. Maria war sofort sehr interessiert; ich habe schon früher bemerkt, dass junge Frauen auf sie anziehend wirken, je jünger desto besser. Und ich muss gestehen, auch mich würde diese junge Frau sehr reizen. Ich erinnere mich noch gut an sie, wie sie so vor mir stand, blutjung, mit langen blonden Haaren, einem extrem sexy Körper und sehr erotischen Augen, in die man versinken möchte.

Deshalb haben wir beschlossen, dass ich sie anrufen und zu Maria nach Hause einladen solle, aber ohne sie wissen zu lassen, dass Maria auch hier sein würde. Wir wussten ja nicht, ob ihr Interesse an mir groß genug sein würde, um noch eine dritte Frau zu akzeptieren.

Also rief ich sie an, ich hatte ihre Karte natürlich aufbewahrt. Sie erinnerte sich sofort wieder an mich. Sie freute sich hörbar, dass ich mich doch noch bei ihr meldete, und nach kurzem Nachdenken sagte sie für den vorgeschlagenen Termin zu.

Maria und ich haben das kommende Wochenende gewählt, an dem unsere Männer nicht zu Hause sind und wir so ungestört mit Silva, so heißt meine Verkäuferin, den Abend verbringen können, und wenn es passt, vielleicht sogar die ganze Nacht.

Bevor sie auflegte, fragte sie mich noch, ob sie Dessous mitbringen solle, sie hätte nämlich sehr schöne – das ist einer der Vorteile ihres Jobs – und würde sie mir so gerne vorführen.

Ich konnte es kaum mehr erwarten, bis das Wochenende kam.

*****

Sieh sie dir nur an, Maria, hat sie nicht eine traumhafte Figur? Ist sie nicht wunderschön? Ich beneide euch beide so sehr um eure schlanken Körper”, sage ich in Richtung der beiden Frauen, meiner jungen, blonden Dessous-Verkäuferin Silvia und meiner älteren, aber noch immer fantastisch aussehenden Stiefmutter Maria.

Silvia hat uns bereits eine Reihe der wunderschönsten Dessous vorgeführt, die an ihrem mädchenhaften, aber dennoch fraulichen Körper so wunderbar zur Wirkung kommen.

Im Moment führt sie uns ein schwarzrotes Korsett mit dazu passendem String vor; eine blonde Strähne ihres langen, weichen Haares fällt verführerisch in ihr Gesicht.

Ihre Wangen erröten leicht und sie scheint sogar etwas zu zittern; oh mein Gott, ist das süß, sie wird tatsächlich verlegen!

Ich gehe auf sie zu, lege meine Hände auf ihre zarten Schultern und ziehe sie zu mir. Ich gebe ihr einen zärtlichen Kuss auf die Wange, und führe sie dann an den Händen hinüber zu Maria, die es sich auf der Bettkante bequem gemacht hat, um Silvias Modenschau anzusehen.

Maria öffnet mit ihren schlanken Fingern den Verschluss des wunderschönen Spitzen-Korsetts, das Silvia trägt, und ich hake meine plötzlich ebenfalls zittrigen Finger in den zierlichen Bändern ihres dazu passenden String-Tangas ein, und streife ihn von ihrem süßen, kleinen Po und ihren schlanken, perfekt geformten Beinen herunter, bis er bei ihren zierlichen Füssen am Boden liegt und die junge Blondine bayburt escort nun völlig nackt und etwas unsicher vor uns steht.

Ich öffne langsam und verführerisch den Gürtel meines Kimonos, das einzige Kleidungsstück, das Maria und ich tragen. Maria tut es mir gleich, und als wir beide unsere Kimonos an unseren Körpern herabfallen lassen und nun ebenfalls nackt vor Silvia stehen, presse ich meinen vor Erregung heißen Körper an Silvias zierlichen Mädchenkörper. Ich lasse meine Hände über ihre perfekten Rundungen streichen, und als mein Mund den ihren findet, presst sie ihre Zunge gegen meine leicht geöffneten Lippen.

Maria drückt ihren warmen Körper an Silvias Rücken, fasst von hinten mit beiden Händen an ihre kleinen, festen Brüste und spürt Silvias Brustwarzen augenblicklich hart werden.

Der Atem unseres wunderschönen Mädchens wird immer schneller, als sie zärtliche, verwöhnende Hände überall auf ihrem Körper spürt. Sie spürt Marias Lippen an ihrem schlanken Hals und meine Lippen auf ihren schönen Brüsten; es kommt ihr vor, als stehe jeder Nerv ihres Körpers in Flammen.

Als schließlich zwei schlanke, lange Finger einer erfahrenen Frau den Weg in ihre enge, rasierte Spalte finden, stöhnt sie auf und bekommt so weiche Knie, dass sie fast umkippt.

Maria zieht ihre Finger wieder heraus und kniet sich vor ihren süßen, knackigen Po. Als sie Silvias zierliche Rosette vor Augen hat, beugt sie sich vor und beginnt, ihre Zungenspitze zärtlich um das kleine enge Loch kreisen zu lassen.

Ich widme mich währenddessen Silvias schönen Brüsten; ich lecke genussvoll die Konturen ihres perfekt geformten Busens entlang, küsse zärtlich ihre kleinen, harten Warzen und beginne, leicht an ihnen zu saugen.

Silvia reagiert auf unsere Zärtlichkeiten mit einem immer intensiver werdenden Stöhnen. Wie auf ein Kommando heben wir sie hoch und legen sie auf dem Bett nieder. Wenn Silvia geglaubt hat, sie bekäme nun eine kleine Pause, hat sie sich geirrt; unsere Hände und Münder setzen fort, was sie vorher begonnen haben, und als ich einen ihrer köstlichen, harten Nippel wieder in den Mund nehme, und Maria den anderen, senden unsere Zungen elektrische Ströme durch ihren Körper.

Endlich scheint Silvia ihre anfängliche Scheu überwunden zu haben, und sie beginnt nun, über unsere Rücken zu streicheln, während wir ihre empfindlichen Nippel immer intensiver verwöhnen und unsere Zungen immer schneller über ihre Brüste lecken.

Nach einiger Zeit löse ich mich von Silvias verführerischem Busen, presse meinen Mund auf den ihren und küsse sie, diesmal jedoch viel aggressiver und fordernder als zuvor; ich lasse meine Zunge tief in ihren Mund vorstoßen.

Silvia versucht, meinen Kuss zu erwidern, und als sie ihre Zunge in meinen Mund drücken will, sauge ich sie gierig in meinen Mund und beginne an ihrer Zungenspitze zu saugen, als wäre es ein kleiner Penis. Ich löse mich von ihren Lippen, als ich spüre, wie ihr Atem immer schneller wird und sie heftig in meinen Mund keucht. Als ich mich umsehe, erkenne ich auch warum.

Meine Stiefmutter hat in der Zwischenzeit damit begonnen, Silvias wunderschöne, noch fast mädchenhaft aussehende Muschi mit ihren Fingern zu streicheln, zwischen ihren zarten Schamlippen einzudringen und ihr Inneres zu verwöhnen. Als sie bemerkt, dass ich mich von Silvias Mund gelöst habe, beginnt sie sie leidenschaftlich zu küssen.

Der Anblick der beiden so unterschiedlichen Frauen ist faszinierend. Eine blonde, zierliche und sehr junge Frau in leidenschaftlicher Umarmung mit einer dunkelhaarigen, reifen, ebenfalls sehr attraktiven Frau. Es könnte sich durchaus um Mutter und Tochter handeln.

Maria blickt zu mir; wir verständigen uns wortlos und drehen Silvia auf den Bauch, so dass ihr perfekt gerundeter, kleiner Po vor uns liegt. Maria beginnt erneut, Silvias enge Möse mit ihren Fingern zu verwöhnen, was das Mädchen heftig in die Bettwäsche stöhnen lässt.

Maria zieht ihren Finger wieder heraus und beugt sich über ihren süßen Po. Als sie ihre Zunge herausstreckt und sanft durch die Pospalte und über die zierliche Rosette gleiten lässt, zuckt Silvia kurz zusammen, doch Maria kümmert sich nicht darum und beginnt, ihre erfahrene Zunge in das enge, runzelige rosafarbene Loch zu pressen, während sie gleichzeitig ihre freie Hand auf Silvias Arschbacken klatschen lässt.

Silvia erfährt zum ersten Mal in ihrem Leben diese delikate erotische Kombination aus Schmerz und Lust.

Das Zusehen hat mich total erregt, Maria versteht es wirklich, eine Frau zu verwöhnen. Ich beginne Silvias Muschi mit meinen Fingern zu verwöhnen und versuche, mit Maria einen gemeinsamen Rhythmus zu finden. Marias Zunge in ihrem Po und meine Finger in ihrer Spalte bringen Silvia binnen kurzem zu einem ersten Höhepunkt.

Doch wir sind noch lange nicht fertig mit ihr. Ich ziehe meine Finger aus ihrer nassen Spalte, lege mich auf den Rücken, und mit Marias Hilfe positionieren wir Silvia so über mich, dass ihre Möse über meinem Gesicht, und meine Spalte vor ihrem Gesicht zu liegen kommt. Eine klassische Position 69.

Ich beginne bilecik escort nun Silvias köstliche Spalte mit meiner Zunge ausgiebig zu lecken; der frische Geschmack ihrer jugendlichen Möse wirkt berauschend auf mich, so dass ich in kürzester Zeit vor einem Orgasmus stehe, obwohl sie selbst meine Muschi noch gar nicht berührt hat. Marias Zunge bleibt jedoch in Silvias Po beschäftigt; ich weiß aus eigener Erfahrung, wie gerne meine Stiefmutter einen schönen Po leckt.

Wir verwöhnen Silvia auf diese Weise weiter, und bald spüren wir, dass sie ein weiteres Mal kommen wird. Maria drückt Silvias Kopf gegen meine Spalte, und ihr bleibt nun nichts anderes übrig, als auch meine Möse zu kosten.

Ich stöhne auf, muss mich kurz von Silvias Möse lösen, um meine Erregung lautstark raus zu lassen. Das ermuntert sie, mich weiter zu verwöhnen und mich ausgiebig zu lecken.

Silvia macht das wirklich sehr gut, denn in kürzester Zeit stehe ich vor einem gewaltigen Orgasmus und ich schreie vor Lust, “Oh fuck! Ich komme, ich komme!!!”

Mein Körper bäumt sich auf, doch Silvia, die noch immer auf mir liegt, lässt nicht von mir ab, sie hört nicht auf, meine nasse Spalte zu lecken und an meiner Klitoris zu saugen.

Als mein Orgasmus endlich abflacht, will Maria nicht mehr länger warten; sie zieht Silvia von mir herunter, dreht sie auf den Rücken und stürzt sich begierig auf ihre junge Möse und beginnt ihre Klitoris zu lecken.

Sobald ich mich wieder etwas erholt habe, beuge ich mich zu Silvia, um sie zu küssen und ihre Brüste zu massieren.

Diese neue Erfahrung, von zwei Frauen gleichzeitig verwöhnt zu werden, muss unglaublich für das junge Mädchen sein, und als ihr Maria schließlich noch unerwartet einen Finger in ihr enges Poloch schiebt, ist es wieder soweit. Silvia schreit auf, überwältigt von dem plötzlichen Eindringen eines Fingers in ihren jungfräulichen Anus, und der kurze Schmerz verschwindet fast augenblicklich, als ihr zweiter Orgasmus über sie hereinbricht.

Silvia vergisst beinahe zu atmen, die Lust die sie empfindet ist einfach überwältigend. Ihr lusterfüllter Schrei steigert auch unsere Erregung. Maria kommt hoch zu mir, ihr Finger noch immer Silvias Arsch fickend, und wir küssen Silvia abwechselnd, genau so hart und bedingungslos wie Marias Finger sie fickt. Ich stecke zwei Finger in Silvias nasse Möse und ficke sie damit so heftig ich kann.

Silvias Lustschreie gehen langsam in ein erschöpftes Wimmern über, aber wir erlösen sie erst nach einigen weiteren Minuten und lassen sie schließlich völlig fertig auf dem Bett liegen.

*****

Silvia ist außer Gefecht, sie braucht jetzt dringend ein wenig Erholung, und ein Blick zu Maria zeigt mir, dass sie an dasselbe denkt wie ich.

Ich lege mich rücklings auf das große Ehebett meiner Stiefmutter und sie nimmt die Einladung an und kniet sich über meinen Kopf, ihre Beine weit gespreizt, so dass ich einen perfekten Blick auf ihre nasse Spalte habe.

Sie senkt ihren Schoß auf mein Gesicht herab, bis ihre Spalte, ihre weit geöffneten Schamlippen direkt auf meinem Mund zu liegen kommen. Ich strecke begierig meine Zunge heraus und beginne die saftige, reife Möse meiner Stiefmutter zu lecken, während ich mit einer Hand meine eigene streichle und mich selbst mit den Fingern verwöhne.

Mhh, wie ich Marias Möse und den köstlichen Geschmack ihres Nektars liebe! Ich denke kurz daran, wann wohl der fette Schwanz meines Vaters das letzte Mal in ihr war und seinen Samen verspritzt hat. Warum haben wir nicht schon viel früher zu einander gefunden? Wie viel Zeit ist nutzlos verlorengegangen! Ich denke kurz an Wolfgang, denn durch ihn wurde das alles erst Wirklichkeit.

Ich könnte Maria stundenlang so weiterlecken und von ihrem reichlich fließenden Nektar trinken, doch bald bekommt auch sie Verlangen nach mir und nach meiner Möse, die sie genauso gerne leckt, wie ich die ihre. Und so begeben wir uns in eine seitliche Stellung 69, die uns beiden die Gelegenheit gibt, die vor Geilheit triefende Möse der anderen zu verwöhnen.

Ich klammere mich an ihre Arschbacken, genau wie Maria es bei mir tut, und unsere Münder sind bald in wunderbar schmeckenden und geil duftenden Mösen vergraben.

Wir kommen beide fast gleichzeitig; in der Zwischenzeit kenne ich meine Stiefmutter sehr gut und kann meine eigene Erregungskurve auf sie abstimmen. Es gibt nichts Schöneres, als gleichzeitig in den Armen der anderen zu kommen, unsere Lust gleichzeitig in den Schoß der anderen zu stöhnen und schließlich den Nektar der anderen zu trinken.

Danach sind auch wir soweit, dass wir eine kleine Pause benötigen. Wir kuscheln uns eng zusammen, küssen uns nochmals zärtlich und gleiten fast gleichzeitig ins Land der Träume.

*****

Als ich nach wenigen Minuten, so kommt es mir jedenfalls vor, aufwache, schläft Maria noch, doch Silvia scheint auch gerade munter zu werden und öffnet ihre schönen blauen Augen.

Als sie bemerkt, dass ich sie ansehe, lächelt sie mich an; mit genau diesem bezaubernden Lächeln, das mir als erstes bingöl escort an ihr aufgefallen ist als ich sie im Dessous Shop zum ersten Mal sah. Ich deute ihr, zu mir zu kommen. Das Bett ist groß genug, um Maria ungestört schlafen zu lassen, während Silvia und ich… ja was…?

Ich denke kurz über meine Gefühle nach und erkenne, wie sehr ich dieses wunderbare, junge Mädchen begehre. Ich liebe ihr mädchenhaftes, aber doch so erotisches Aussehen; ihre kleinen, aber perfekt geformten, festen Brüste mit den kleinen harten Brustwarzen und den wunderschönen dunklen Aureolen; ihren schlanken, perfekten Bauch, die samtene Pfirsichhaut ihres Körpers, den Geruch und Geschmack ihrer Vagina, ihre wunderschönen, blauen Augen mit den langen Wimpern, ihr kleines Näschen, ihre vollen sinnlichen Lippen, ihre goldblonden, langen Haare, und und und…

Ich liebe einfach alles an ihr.

Als Silvia sich neben mir niederlässt, nehme ich sie in die Arme; ich sehe ihr tief in die Augen und forme mit meinen Lippen das Wort “Danke”.

“Wofür?” flüstert sie.

“Dafür, dass du mir deine Telefonnummer gegeben hast, weil du mich kennenlernen wolltest. Dafür, dass ich dich lieben und verwöhnen darf, dass ich dich sogar mit meiner Stiefmutter teilen darf.”

Als Silvia kurz ihre schöne Stirn runzelt, weiß ich, dass ich soeben ein bisher wohlgehütetes Geheimnis verraten habe. Maria hat sich nämlich als meine Freundin vorgestellt, nicht als meine Stiefmutter.

Aber wenn sie davon schockiert sein sollte, zeigt sie es nicht. Im Gegenteil, sie nähert sich meinem Gesicht und gibt mir einen zärtlichen Kuss auf meine Lippen.

“Ganz mein Vergnügen, Sabine. Ich danke dir für all das Neue, das ich durch dich kennenlernen durfte. Ich wollte schon immer eine ältere, erfahrene Freundin, mit der ich erotische Abenteuer erleben kann, und nun bist du es geworden, eine wunderbare, erotische, verheiratete Frau. Genau was ich mir immer gewünscht habe!”

Als wollte sie ihre Worte bekräftigen, küsst sie mich wieder, diesmal aber spüre ich ihre Zunge in meinen Mund eindringen, ihre Zunge, die ich mit großem Vergnügen annehme und sofort mit meiner Zunge begrüße.

Ich kann es nicht verhindern, aber ein Seufzen dringt tief aus meinem Herzen durch den Mund nach außen und Silvia weiß genau, was es bedeutet. Sie streichelt mit ihrer zarten Hand zärtlich über meine Wange und flüstert mir zu, “Ich dich auch!”

Das ist der erotischste Moment in meinem ganzen Leben. Ich habe plötzlich ein so starkes Bedürfnis, dieses Mädchen fest in meinen Armen zu halten, mit ihr Liebe zu machen, dass es fast weh tut. Und Silvia scheint es ähnlich zu gehen.

Ich erhebe mich vom Bett und ziehe Silvia mit mir. Als sie neben mir steht, drückt sie sich an mich, ihr nackter Körper eng an meinen gepresst. Ich spüre ihre harten Brustwarzen, spüre ihren feuchten Schoß dicht an meinen gedrückt, spüre die Hitze, die von ihm ausgeht.

Einem plötzlichen Impuls nachgebend, hebe ich sie hoch, sie schließt ihre Beine um meine Hüften. Ich halte ihren kleinen Po mit beiden Händen, sie legt ihre Hände um meinen Hals und unsere Lippen treffen sich zu einem intensiven, langen Kuss. Ich flüstere ihr zu, “Lass uns ins Wohnzimmer gehen, die Couch ist groß genug für uns beide”.

Ich trage dieses wunderschöne, junge Ding ins Wohnzimmer, unsere Lippen fest aufeinander gepresst. Bei der Couch angekommen, lasse ich sie herunter und sie bleibt auf der Couch stehen, während ich ihre Brüste küsse und meine Lippen ihren schlanken Bauch hinunter zu ihrer Scham gleiten lasse.

Ich knie mich vor ihre leicht gespreizten Beine und beginne ihre zarten Schamlippen zu küssen; ich lasse meine Zungenspitze an ihnen entlang gleiten, koste die Feuchtigkeit die davon ausgeht. Der Geschmack ihrer Vulva ist einfach köstlich, sie schmeckt nach frischen exotischen Früchten, ich könnte sie stundenlang lecken und all ihren Nektar aufnehmen.

Oh Gott, Silvia, was machst du nur mit mir…

Meine Zunge bewegt sich immer schneller in Silvias Möse, ich kann es nicht kontrollieren, sie hat ihr eigenes Leben. Silvias Nektar fließt reichlich und ich lecke begierig jeden Tropfen ihres Liebessaftes, als hinge mein Leben davon ab. Ich merke, wie ihre schlanken Beine zu zittern beginnen, deshalb schlage ich einen Stellungswechsel vor. Ich lehne mich mit dem Rücken zur Couch und Silvia kann sich auf der Lehne abstützen, während ich meiner Lieblingsbeschäftigung weiter nachgehe. Ich halte dabei zärtlich ihren Arsch, der rund und fest wie ein Apfel ist aber die samtig-weiche Haut eines Pfirsichs besitzt.

Das wunderbare Gefühl, ihren perfekten Po in meinen Händen zu halten, die weiche, warme Haut an meinen Fingern zu spüren, lassen mich immer wieder an die Spalte zwischen ihren Pobacken denken; daran, sie mit meiner Zunge zu durchpflügen und meine Nasenspitze vorsichtig in ihr enges kleines Loch zu drücken.

Silvia scheint meine Gedanken zu erraten, sie löst sich von der Lehne, kniet sich auffordernd auf die Sitzfläche der Couch und vergräbt ihren Kopf in einem der Polster. Sie streckt mir ihren süßen Po entgegen, ein wunderbarer Anblick; ich beneide sie so um ihren perfekt geformten, knackigen Po. Mein eigener ist mir viel zu groß und zu fett; obwohl, Wolfgang liebt ja gerade das so sehr, wie er mir immer wieder beteuert und auch zeigt.

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