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EdithJe suis une jeune femme qui a un corps très androgyne car mes seins n’ont pas poussés et se réduisent à des tétons un peu saillants mais très sensibles. Je suis grande et très mince presque un corps de danseuse. A la sortie de l’adolescence j’ai essayé de faire l’amour avec des garçons mais je m’en suis vite détournée avec plusieurs essais où je n’avais rencontré ni subtilité ni réelle sensualité. Seul le coït motivait ces mâles en rut. Moi j’aime la douceur, la lenteur, la montée lente du plaisir. Je ne porte jamais de sous-vêtements et j’aime le frottement des tissus tant sur mes tétons que sur mon clitoris. En public, dans le bus ou sur un banc public il m’arrive de respirer amplement pour que mes tétons frottent ma chemise. Ils deviennent très saillants et m’envoient des sensations électriques jusque dans le sexe. Je mouille rapidement et mon clito s’érige à son tour en appelant une suite. En été je mets souvent un short en jean pas trop serré et en bougeant le bassin je provoque une caresse du tissu épais sur mes lèvres et mon clito. C’est délicieux et je peux jouir rien que comme cela. Une fois j’étais au soleil sur un banc dans un jardin public. Il n’y avait presque personne et je me prêtais à ce jeu érotique. Mon sexe coulais et mes tétons me faisaient presque mal tellement ils étaient durs. J’étais assise le dos appuyé. Je respirais fort et comprimais mes fesses en cadence pour que canlı bahis şirketleri mon jean frotte ma vulve. Je fermais les yeux et me concentrais sur la lente mais palpable montée du désir et du plaisir. Je cambrais les reins et mis mes bras dans mon dos pour accentuer le contact des tissus. Je n’ai plus pu me retenir et un orgasme m’a submergé. J’ai pu ne pas crier mais j’ai eu des halètements et gémissements pas très discrets. J’avais le short trempé entre les cuisses. J’ai repris mes esprits en faisant semblant de bronzer. Alors que j’allais repartir une femme m’a abordé en me disant « Je suis photographe amateur. Vous étiez très belle tout à l’heure et je n’ai pas pu m’empêcher de vous prendre en photo. Si vous me laissez votre mail je vous les envoie ». J’étais gênée et j’ai dû rougir m’imaginant très indécente. Elle le vit, me sourit et ajouta « ne soyez pas timide vous feriez un beau modèle pour une série érotique ». Elle avait quelques années de plus que moi mais semblait très sûre d’elle, très épanouie.Le lendemain j’ai reçu les photos qui pour moi étaient sans équivoque : on voyait que je jouissais. Il y avait un petit mot gentil « Je vous trouve belle quand vous avez du plaisir. Je ferai bien une série sur la jouissance. Faites-moi signe si vous êtes partante. Je dispose d’un studio photo bien équipé pour cela. Edith ». Les photos étaient magnifiques et je fus ravie canlı kaçak iddaa de les avoir. Je la remerciais vivement en la complimentant puis je laissais passer du temps mais je pensais à Edith tous les jours. J’avais ressenti que nous gagnerions à mieux nous connaitre. Je n’ai pas résisté et j’ai pris contact. Quelques jours après j’étais dans son studio quasiment nue en train de poser en obéissant à ses ordres très précis. Il y avait une progression dans le travail et j’allais de plus en plus vers des postures très révélatrices de mon intimité. J’étais excitée et j’allais presque au-devant de ses souhaits en ayant avec mes doigts des gestes érotiques puis carrément pornographiques. Je me pinçais les tétons, passais mes doigts entre mes lèvres, tournait mon index sur mon clito … elle était ravie et me disait « continue chérie, tu es belle comme ça ». Après les prises de vue et elle me donna rendez-vous la semaine suivante pour sélectionner avec elle. En partant elle m’embrassa furtivement sur la bouche en me disant « merci ma belle tu me plais ». J’ai pensé à Edith tous les jours et même toutes les nuits. J’étais très attirée. La semaine suivante je me fis très belle pour la rencontré. J’étais bien maquillée et j’avais un petit débardeur très fin presque transparent et une minijupe sans rien dessous comme d’habitude. Arrivé chez elle, elle me complimenta et me pris par la taille pour canlı kaçak bahis m’accompagner dans son salon. On a pris place dans son sofa. Elle a fait le noir et m’a projeté les photos en me disant « fais des commentaires, ça m’est utile ». La série était très bien faite. Du vrai travail de pro. Le diaporama était conçu pour faire monter progressivement la pression. Les premières photos montraient une petite jeune fille assez innocente qui s’ouvrait ensuite progressivement aux plaisirs solitaires pour finir par des scènes très débridées. Je ne disais rien mais je sentais mon corps s’échauffer surtout lorsqu’elle posa sa main sur ma cuisse pour la caresser doucement. Lorsque qu’on arriva à la dernière photo elle coupa le projecteur et fit remonter sa main sur mon sexe pour le frôler doucement mais très longuement. Je ne pus m’empêcher de remonter ma jupe. Elle se mit à genou entre mes cuisses en me disant quitte ton haut puis elle plongea entre mes cuisses pour goûter ma mouille et me frôlant les tétons avec ses deux mains. Elle allait doucement, très doucement et moi j’étais de plus en plus tendue. J’ai écarté mes cuisses en grand en lui disant « viens, suce moi, fait moi du bien ». Elle tira mon bassin en avant et sa langue allait de mon anus à mon clito sans repos. Elle me pénétra tout en me pinçant légèrement les tétons. Sa langue était délicieuse et je jouis une première fois quand elle téta mon clitoris et le mordilla délicatement.Ce jour-là elle me fit jouir de multiples fois jusqu’à l’épuisement sans rien me demander en retour. Mais on s’est revu très souvent et elle m’a appris à m’occuper d’elle. Je l’aime c’est une très belle personne.

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