Quand J’oublie Mes Affaires de Gym

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Amateur

Ce soir, je sortais danser avec les filles de mon groupe de gym. Pendant que je me préparais, je pensais à leurs corps parfaits, stéréotype de la gymnaste fine et élancée. Moi-même, je n’étais pas mal foutue, mais à côté d’elles, gracieuses et qui semblaient flotter plutôt que marcher, je me sentais souvent lourdaude. En me regardant dans le miroir, je me suis dit que je pouvais faire mieux. J’avais mis une robe légère à fleur, assez ample et m’arrivant aux genoux et m’étais maquillée discrètement les yeux. La femme que je voyais dans le gymnase me paraissait jolie mais dans le style petite fille sage. J’ai 24 ans mais on me considère souvent comme plus jeune. Ce soir, je n’avais pas envie d’être mignonne. Ce soir, j’avais envie d’être celle que l’on désire. J’enlevais donc cette robe et me retrouvais en sous-vêtements. Comme souvent quand je sors, j’avais mis de la belle lingerie.

Même si personne ne la voit, cela me donne une bonne dose de confiance en moi. Aujourd’hui, un magnifique soutien-gorge en dentelle rouge mettait bien ma poitrine en valeur. J’ai quand même une belle paire de seins. Sans être énormes, ceux-ci étaient bien fermes et d’une taille qui attire les regards s’ils sont mis en valeur. Un string, également en dentelle rouge complète le tableau. Je décidais d’ajouter des bas maintenus par un porte-jarretelle. J’allais également chercher une robe noire, moulante et assez courte. J’avais cette robe depuis un moment dans ma penderie mais ne l’avais jamais portée en public, la trouvant trop osée. Mais ce soir, c’est ce que je recherchais. Je me regardai à nouveau dans le miroir et me trouvai enfin sexy avec ce beau décolleté qui faisait ressortir mes atouts. S’il y a bien une chose que je peux mettre en avant à côté de mes amies qui, elles, sont toutes menues, c’est bien ma poitrine. J’apportai la touche finale avec des escarpins noirs à talons hauts et un rouge à lèvre de la même couleur que mes sous-vêtements.

Je me dirigeais enfin vers ma voiture pour rejoindre les filles de mon équipe de gym. La gym! En pensant à cela, j’ai eu un flash. J’avais oublié mon sac après le dernier entrainement. Outre mon matériel de gymnaste, il contenait également mon portefeuille dont j’allais avoir besoin ce soir. Ce n’est pas très grave, le gymnase est presque sur ma route et je pouvais faire ce petit détour pour récupérer mes affaires. En descendant de ma voiture, je me rendis compte des regards que posaient sur moi les hommes que je croisais. Je n’étais plus invisible, loin de là. C’est avec un boost de confiance que je me dirigeais vers les vestiaires du gymnase. En approchant de la porte, j’entendais des cris et des rires à l’intérieur. L’équipe de rugby venait de finir un match et manifestement, le coup de sifflet final les avait laissés victorieux. En temps normal, j’aurais hésité mais ce soir-là, je toquais à la porte avec assurance.

Un homme, grand, musclé, carrure typique d’un rugbyman entrouvrit la porte non sans me regarder des pieds à la tête avec un regard brillant. Je lui expliquai que j’avais oublié mon sac dans ce vestiaire et lui demandai s’ils ne l’avaient pas vu. Il me répondit que si, ouvrit la porte plus largement en me désignant mes affaires, posées sous un banc tout au fond de la pièce et me fis signe d’entrer. J’avançai d’un premier pas peu assuré avant de reprendre contenance et de me diriger vers mon sac. Parmi les hommes présents, beaucoup étaient torse-nu, ou en boxer. Je remarquais que certains étaient également encore sous la douche. Légèrement troublée, je détournai le regard et attrapai mon sac. En faisant demi-tour, je vis que la porte avait été refermée et que trois hommes s’étaient levés et se trouvaient entre moi et celle-ci. Le silence s’était fait et de nombreuses paires d’yeux étaient braquées sur moi. J’avançai pour sortir, approchant de la ligne d’hommes me séparant de la porte. Voyant qu’ils ne bougeaient pas, je m’apprêtai à me faufiler entre eux quand une voix retentit dans mon dos :

– Attends ne pars pas si vite!

Je me retournais pour voir le capitaine de l’équipe que je connaissais de vue et que j’avais toujours trouvé un peu brute bien qu’indéniablement séduisant. C’était l’un des plus grands joueurs de l’équipe. Il posa le verre de bière qu’il tenait sur la table présente au centre du vestiaire

– Tu sais, ce soir on a gagné un match décisif pour le championnat, dit-il en continuant d’avancer vers moi.

– Euh … Félicitation! Je suis désolée, on m’attend, je dois y aller, répondis-je en faisant mine de partir

Il continua en m’ignorant :

– Pour féliciter l’équipe, je voulais leur offrir un truc, j’avais pensé payer ma tournée, mais je crois que j’ai mieux.

– Ah oui?

– Et si tu nous montrais tes seins?

Sans m’en rendre compte, j’avais reculé pendant qu’il avançait et me cognai contre l’un des hommes. Je m’excusai, ris nerveusement et répondis :

– Ahah très drôle, mais je suis vraiment pressée, je n’ai pas trop le temps de continuer à discuter.

Alors que je commençais à me retourner, l’homme derrière urfa escort moi m’attrapa les bras au niveau des coudes et me maintint fermement en place. Le capitaine était arrivé si près de moi que je pouvais sentir son souffle aux effluves de bière sur mon visage.

– Tu viens au milieu d’un vestiaire rempli d’hommes à moitié nus en pleine excitation d’après match dans ta tenue d’allumeuse et tu espères partir comme ça? On voit bien que tu veux attirer les regards des mâles alors sois contente, tu en as une vingtaine rien que pour toi!

Voyant que je ne pourrais pas m’en sortir comme ça, je murmurai :

– Si je vous montre mes seins, vous me laissez partir?

– Si la vue est satisfaisante, oui.

L’homme derrière moi relâcha son étreinte et résignée, j’approchai mes mains de mon décolleté et le descendis sous ma poitrine. J’entendis alors des sifflements admiratifs et des commentaires graveleux. Je restais comme ça quelques secondes, me montrant à tous les hommes présents. Voyant que cela ne suffirait pas, je saisis le tissu de mon soutien-gorge et le descendis également. Les exclamations reprirent de plus belle et j’entendis même quelques applaudissements. Le capitaine s’approcha et pris mes seins dans ses mains, sans aucune douceur. Je tentai de m’éloigner mais l’homme derrière moi m’avais à nouveau saisie et immobilisée.

– Eh les gars, quelle belle paire de loches! Et c’est encore plus sympa au toucher!

– Vous m’aviez dit que je pourrais partir!

– Et passer à côté de nichons comme ça? Impossible!

Il reprit son exploration de ma poitrine en soupesant mes seins l’un après l’autre, triturant mes tétons et malaxant les globes de chair. Je voyais le reste de l’équipe qui ne manquait pas une miette du spectacle et certains boxers me semblaient devenus trop étroits. Désespérée, je tentais de me débattre et me mis à hurler. Une gifle monumentale du capitaine me stoppa nette de stupéfaction.

Légèrement sonnée, je l’entendis me dire :

– Maintenant tu fermes ta gueule et tu restes sage si tu veux pas t’en prendre d’autres.

Je m’affaissais, résignée. Je sentis alors la poigne autour de mes bras disparaitre et plusieurs paires de mains commencer à toucher mon corps. Mon dos, mes cheveux, mes fesses, mes cuisses, mon ventre… Et toujours le capitaine qui jouait avec mes seins et les avait maintenant pris entre ses lèvres. A force d’être tripotée, ma robe remontait de plus en plus et ne cachait à présent plus que mon ventre. Le capitaine recula et voyant le string et les bas s’exclama.

– Les gars, elle est encore plus chaude que ce qu’on croyait, si ça c’est pas un appel!

Joignant le geste à la parole, il approcha la main de mon entrejambe et commença à me caresser à travers la fine de dentelle de mon string. Malgré moi, mon corps répondit à ce traitement et il leva bientôt la main pour montrer ses doigts brillant à l’équipe hilare. Certains des gars avaient sorti leur sexe et commençait à se caresser en profitant du spectacle. Le capitaine exerça alors une pression sur mes épaules et, n’ayant pas la force d’y résister, je me retrouvais à genoux devant lui, la tête à hauteur de la bosse impressionnante de son boxer. Il sortit sa queue et, la présentant devant mes lèvres me dit « Maintenant, tu vas me sucer ».

N’opposant pas de résistance, j’ouvris les lèvres et le laissai prendre possession de ma bouche, passive. Il commença ses vas et vient et je sentais sa verge durcir encore et forcer sur mes mâchoires. Sans que je ne m’y attende, il ressorti son sexe et me frappa le visage avec.

– Si je voulais faire tout le boulot, j’aurais pris une poupée gonflable! Suce mieux que ça et mets-y du cœur, je veux voir ton rouge à lèvre de salope décorer mon ventre.

Je m’approchais alors et repris sa bite dans ma bouche. Ne voulant pas subir de nouveau tourments, je m’appliquais, le léchais en montant et descendant de plus en plus loin sur son sexe érigé. J’approchais de son ventre mais n’arrivais pas à l’atteindre. Je forçais plus encore et sentis sa verge dans ma gorge. J’avais réussi! Ne pouvant plus respirer, je voulus me dégager mais sa main se posa dans mes cheveux et maintint ma tête ainsi. Je sentais sa queue tressaillir dans ma bouche et d’un coup, il se déversa au fond de ma gorge. Dégoutée, je fus obligée d’avaler pour ne pas m’étouffer.

– Oh oui avale tout, je sais que t’as pas envie d’en manquer la moindre goutte, c’est toujours comme ça les suceuses avec une bouche à bite comme la tienne, dit-il en finissant de se vider.

Il maintint encore ma tête un moment, le temps que je sente sa bite ramollir et me permettre progressivement de respirer à nouveau. Il s’éloigna légèrement, me laissant pantelante puis s’accroupi à ma hauteur et me saisit le menton pour me forcer à le regarder dans les yeux.

– Tu vois ces gars? dit-il en désignant les trois hommes qui se tenaient toujours derrière moi, le sexe à la main. Ce sont les meilleurs joueurs de la soirée, il mérite un traitement d’exception tu ne crois pas? sivas escort Tu va leur prodiguer les mêmes soins qu’à moi. Et attention, ne perd pas une goutte de leur nectar, tu devras lécher tout ce que tu laisses s’échapper.

Les trois types en question s’approchèrent. L’un d’entre eux pris possession de ma bouche et les deux autres saisirent chacun une de mes mains et les placèrent sur leurs queues bien tendues. Je repris ma fellation tout en branlant les deux autres. De temps en temps, ils échangeaient leurs places pour se relayer au fond de ma gorge. Tour à tour, ils éjaculèrent dans ma bouche. Si je parvins à avaler complètement le sperme des deux premiers, le troisième déversa un tel torrent que j’en laissais échapper et la semence coula autour de ma bouche et sur mes seins. Un regard au capitaine et je sus que je n’avais pas le choix. Je commençai par laper le liquide autour de mes lèvres puis récupérai ce qui avait coulé sur mes seins avec mon doigt avant de le lécher. Je dû réitérer ce manège plusieurs fois avant qu’il n’en reste plus une goutte et que le capitaine semble satisfait.

Je regardais alors autour de moi. Les quatre hommes étaient devant moi en train de savourer leur orgasme. Je vis une ouverture en remarquant que plus personne ne se trouvait entre moi et la porte. Aussi vite que me le permettaient mes talons aiguilles, je me levai et bondis vers la porte. J’appuyais sur la poignée. Le verrou avait été fermé. Merde! J’approchai la main pour l’ouvrir mais, trop lente, je sentis une main bloquer la porte et un corps me plaquer contre elle. Le capitaine, contre qui il était inutile de lutter étant donnée la différence de carrure, saisis ensuite mes poignets et les bloqua d’une seule main au-dessus de ma tête. J’étais complètement bloquée et en plus je ne voyais plus se qui se passait autour de moi.

Le capitaine héla l’un des autres joueurs :

– Elle a besoin d’une bonne leçon, amène-moi le matériel.

Je pris peur. Mais qu’allaient-ils bien pouvoir me faire de plus que ce qu’ils m’avaient déjà fait? Et, la tête toujours plaquée contre la porte, je vis se présenter devant mes yeux un god d’une taille absolument monstrueuse.

– Je crois qu’on n’a pas suffisamment vu tes talents de suceuse. Remontre-nous ce que tu sais faire de ta bouche.

Le gars qui tenait le gode le força contre mes lèvres que je maintins fermées. La voix du capitaine s’éleva à nouveau :

– C’est à toi de choisir ce que tu préfères, ce qu’il a dans sa main droite ou dans la gauche.

Je vis alors la deuxième main du type qui tenait une ceinture et je sus ce qui se passerait si je n’obtempérais pas. Préférant l’humiliation à la douleur, j’ouvris alors la bouche. Il commença par frotter le bout du gode sur ma langue puis l’enfonça légèrement dans ma bouche. Il se mis alors à imprimer une cadence de vas et viens de plus en plus profonds en prenant plaisir à ressortir complètement afin de laisser des filets de bave s’écouler de ma bouche, m’humiliant plus encore si c’était possible. J’entendais en même temps les rires et les commentaires que provoquait la scène pour les autres membres de l’équipe. En même temps, le capitaine avait passé sa main entre mes jambes et, décalant mon string, il caressait maintenant mon clitoris, sur un rythme de plus en plus soutenu. Malgré moi, ce traitement faisait monter l’excitation en moi et je commençai à gémir et même à accompagner ses mouvements. De temps en temps, il enfonçait deux doigts dans mon vagin, qui me pénétraient très facilement au vu de mon excitation, et les ressortait aussi vite, me laissant frustrée. Au bout d’un moment de ce manège, il enleva ses mains de mon corps, me laissant, à mon corps défendant, au bord de l’orgasme. Il saisit le gode que l’autre gars faisait toujours aller et venir dans ma bouche. Il était maintenant trempé de salive.

– Je crois qu’elle est prête maintenant.

Prête? Prête pour quoi? Il retira le gode de ma bouche et le descendit entre mes jambes. Il le frotta sur mon clitoris, comme pour le couvrir au maximum de mes sécrétions. Il le présenta alors à l’entrée de mon vagin et força légèrement pour le faire pénétrer de quelques centimètres. Mes hanches pivotèrent malgré moi pour accélérer cette pénétration. Il l’enfonça alors d’un coup, m’arrachant un « Oh! », d’abord de surprise puis de satisfaction qui fit beaucoup rire l’équipe. Il resta ainsi quelques instants puis ressortit intégralement le gode. M’attendant à ce qu’il l’enfonce à nouveau, je tendais mes fesses vers lui. Mais il présenta le gode devant mon anus et, avant que je ne puisse réagir, força, le rentrant légèrement grâce au lubrifiant naturel dont il était couvert. Je hurlai de douleur.

– Non s’il vous plait, pas ça, tout sauf ça, je ferai tout ce que vous voulez.

Je le sentis hésiter puis il retira le gode. Soulagée, je respirais à nouveau. Mais mon répit fut de courte durée. Je sentis le capitaine enlever mon string, sans résistance de ma part. Il le présenta alors devant mes lèvres et l’enfonça dans ma bouche.

tekirdağ escort Comme ça on ne t’entendra pas gueuler comme une truie.

Il saisit à nouveau le gode et le présenta une seconde fois devant mon petit trou et recommença à forcer. Je hurlais mais mes cris étaient étouffés par le bâillon improvisé. Je sentais le gode pénétrer millimètre par millimètre avec l’impression de sentir mes entrailles se déchirer. A chaque instant j’étais sure qu’il ne pourrait pas aller plus loin mais je le sentais inexorablement poursuivre sa course. Jetant un coup d’œil, je vis avec désespoir qu’il n’en était qu’à la moitié. La douleur me faisait tourner de l’œil, et je vécu la suite de cette torture comme si je n’étais plus dans mon corps.

Au bout d’un moment qui me sembla infini, j’entendis à nouveau la voix du capitaine qui me sortit de ma torpeur :

– Alors tu vois, c’était pas si terrible! Mais maintenant tu sais ce qui t’attends si tu n’es pas sage. Vas-tu être une petite salope obéissante après ça?

Je hochais vivement la tête, prête à tout pour faire cesser cette douleur atroce. Il retira le string de ma bouche en disant qu’il n’avait pas bien compris :

– Oui, je serai sage et obéissante.

– Oui, qui?

– Oui, Monsieur, je serai sage et obéissante, dis-je en espérant que c’était ce qu’il attendait

– C’est mieux. Je vais te laisser comme ça, profiter encore un peu pour être sûr que tu te souviennes, dit-il en faisant bouger légèrement le gode au fond de mon anus.

La douleur revint encore plus vivement et je me mordais les joues pour ne pas hurler.

Au bout d’un moment, il retira le gode qui s’extirpa avec un « plop » sonore qui provoqua l’hilarité générale. Il le présenta devant ma bouche et je le nettoyais mécaniquement, léchant sans aucune résistance mes sécrétions anales et vaginale. En même temps, je le sentis m’attacher les mains dans le dos avec la ceinture. Quand j’eus fini, il me tira pour m’éloigner du mur et retira ma robe et mon soutien-gorge, si bien que je me retrouvai uniquement vêtue de mes bas, mon porte-jarretelle et mes escarpins. Il me poussa vers la table et me poussa à plat ventre sur celle-ci. Il me fit mettre à quatre pattes et attacha mes pieds à deux pieds de la table, jambes bien écartées. Les mains toujours attachées dans le dos, je ne pouvais que plaquer ma tête contre la table, relevant mon cul d’une manière offrant une très belle vue aux hommes assis de ce côté. Je vis l’un des gars sortir de mon sac mon matériel de gymnastique rythmique.

– Eh capitaine, il y a plein de choses intéressantes là-dedans.

Dit-il en sortant tour à tour, mon ruban, mes massues et mon ballon. Le capitaine attrapa le ruban et sans hésitation, enfonça la tige dans mon anus. Après ce qu’il venait de subir, je la sentais à peine passer mais l’humiliation d’imaginer ce ruban sortir de mon cul me désespérait. Il saisit ensuite une massue et la plaça entre mes jambes, le côté fin pointant vers mon vagin.

– Allez vas-y, empale-toi là-dessus.

J’obéis en descendant doucement. Une fois que l’objet fus bien fiché en moi, la consigne suivante ne tarda pas :

– Forte tes seins sur la table. Oui comme ça, encore plus! Et montre-nous tes talents avec un ruban.

Je fis ce qu’il me disait et agitait mon cul en cercle pour faire voler le ruban tout en frottant mes seins sur la table. Je me sentais complètement ridicule mais en regardant les hommes qui m’entouraient et ne pouvaient s’empêcher de caresser leurs sexes qu’ils avaient tous sortis, je savais que le spectacle faisait son effet. Et moi-même, stimulée de toute part avec mes tétons frottant sur le plastique froid de la table, ma massue profondément enfoncée dans mon intimité et voyant les regards de ses hommes sur moi, je sentais monter une excitation que je n’avais jamais connue. Le capitaine vint se placer au bout de la table où se trouvait ma tête et instinctivement, je pris sa queue entre mes lèvres. Je la sentis durcir à nouveau entre dans ma bouche en même temps que je sentais l’orgasme monter en moi. Continuant à sucer comme une possédée, j’explosais dans une jouissance totalement incontrôlable.

Voyant cela, le capitaine se retira, détacha mes mains, mes jambes, retirant la massue et le ruban. J’allais enfin être libre! Je me relevais pour pouvoir partir quand je sentis une pression sur mes épaules. Sans pouvoir résister, je fus à nouveau allongée, cette fois-ci sur le dos en travers de la table, les jambes dépassant d’un côté, la tête de l’autre. Les trois gars de toute a l’heure me tenaient, l’un au niveau des épaules, les deux autres avaient saisi chacun une cheville qu’ils maintenaient près de ma tête. Le capitaine s’est présenté entre mes jambes.

– Je vais enfin te baiser! Ta petite chatte à l’air tellement accueillante, trempée comme elle est.

Et d’un coup, il enfonça sa queue tout au fond de moi. Il commença de lents mouvements, savourant chaque instant. De l’autre côté, l’un des gars avait saisi ma tête, à l’envers, et enfonçait sa verge dans ma bouche. Cette position libérait complètement ma gorge et il put s’insérer en entier facilement. Les deux autres avaient lâché mes jambes et placé mes mains sur leurs queues pour que je les branle tout en jouant avec mes seins, sans aucune douceur, me procurant autant de plaisir que de douleur.

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Ass

Traduction d’une histoire de Cathartico.

Ce récit est une FICTION contenant chantage, contraintes et humiliations. Ne continuez pas à lire si vous n’aimez pas.

*******

En quittant le bureau des stagiaires je suis nerveuse. J’ai à peine survécu au test du rouge à lèvres et je ne veux pas savoir ce qui m’attend ensuite. De plus, je dois m’assurer que Matt ne fasse rien de stupide et ne nous cause pas d’ennuis ;

En me rendant à mon bureau, je croise mes collègues qui arrivent au travail. En chemin je remarque que plusieurs d’entre eux me regardent d’un air curieux en passant. Je sais qu’ils voient mes bijoux sur les poignets et mes bracelets de cheville scintillants. Je crois que j’ai même vu quelques sourires cachés.

Émotionnellement, je suis complètement harassée. d’une part je voudrais ramper dans un trou et m’y cacher. D’un autre côté, je veux qu’ils m’admirent. Je veux que mes subordonnés me respectent en tant que dirigeante d’entreprise, mais en même temps je veux me sentir jolie et attirante.

Quand enfin je regagne mon bureau, je m’assois sur mon siège et j’essaie de me calmer, ce qui s’avère difficile. Embrasser des chaussures sales dans un bureau ouvert est la chose la plus avilissante que j’ai jamais endurée. Si bien que ma chatte dégouline et mon esprit est si brumeux qu’il m’est impossible de me mettre au travail. Je ne peux pas me concentrer. Pourtant il faut que j’assiste à une réunion importante.

Assise dans la salle de réunion, mon état ne s’améliore pas. Je suis complètement distraite et je passe la plupart du temps à penser à ce qui va m’arriver dans ce défi du rouge à lèvres. Les membres de mon équipe me surprennent plusieurs fois à rêvasser. Ça me gêne de ne pas pouvoir répondre à leurs questions avec autant d’éloquence que d’habitude. Pourtant j’essaie, mais je n’y arrive pas.

Mon manque de concentration est particulièrement gênant, car cette réunion est cruciale pour mon prochain voyage d’affaires. Le projet de changement le plus important de l’entreprise arrive sur la fin et je dois présenter un projet pour la phase suivante. Ce projet a consommé une grande partie du budget alloué à mon service et il est essentiel à la prospérité de la société. Dont ça doit être un succès.

J’entends Damon chuchoter à Eric :

– Je parie qu’elle pense à de nouvelles tenues et bijoux. Elle fait une liste dans sa tête au lieu de suivre les présentations.

Eric répond en faisant allusion à mes bijoux scintillants. Il ne peut réprimer un petit rire :

– Notre patronne si sévère a trouvé sa vraie vocation hé hé hé ! Qui aurait pensé qu’elle soit si intéressée par tous ces accessoires.

Pour montrer que je suis toujours la directrice, je me racle la gorge bruyamment pour calmer mes deux subordonnés et je leur jette un regard méchant. Cependant mes yeux doivent avoir l’air plus vitreux que fâchés, car les deux gars me font un sourire lubrique en réponse. Bon sang, leur conversation me fait tellement mouiller que j’ai peur qu’une tache sombre n’apparaisse sur ma jupe.

Leurs commentaires désobligeants me poussent également plus loin dans mes pensées de soumission. Je ne veux pas critiquer la présentation de mon équipe, mais je veux me mettre à genoux, ramper sous la table et sucer toutes les bites présentes. Pour la première fois, je ne veux pas me sentir comme leur supérieure qui leur assigne des tâches. Au lieu de ça, je veux les servir et leur plaire comme une salope de bureau.

Même si je sais que mes subordonnés se sont rendu compte de mon manque d’attention inhabituel, leur dernière question m’a surprise. Je n’avais pas écouté. En bégayant je cherche une réponse, mais je n’en trouve pas. Le visage tout rouge, je m’excuse et je demande à celui qui a posé la question de venir dans mon bureau plus tard pour discuter du problème.

En sortant de la salle de réunion, je pousse un grand soupir de soulagement, même s’il n’y avait pas grand-chose à soulager. J’avais à peine réuni quelques informations. Ma prestation avait été horrible. Ça ne doit plus se reproduire. A la prochaine réunion je dois être mieux préparée et plus attentive. Je ne peux pas prendre le risque que O’BANNON ou ORTEGA soit au courant de mon inattention.

Merde, il faut que j’aie la tête claire et les pensées rapides. En allant vers les escaliers, je tombe sur Justin. Un dossier dans les mains il est visiblement en route vers la salle du photocopieur pour faire des copies.

– Mademoiselle ADDAMS ! Appelle-t-il quand je le croise.

Pendant un moment, je me demande si je dois simplement continuer à marcher et l’ignorer. Mais ça ne fera que le mettre en colère. Après le jeu dans le bureau des stagiaires, je me dis qu’il vaut mieux que je joue le jeu. Alors je me retourne et je lui souris.

– J’ai des questions concernant un travail ! Me dit-il.

Bien sûr, c’est une couverture et nous le savons tous les deux. Alors je joue le jeu et je lui explique le contenu du dossier jusqu’à ce que le reste des participants à la réunion ait disparu rize escort dans leurs bureaux. Quand nous sommes seuls dans le couloir, Justin attrape mon bras et me tire rudement dans la salle de photocopie. Là il me dit :

– Il est temps pour moi d’avoir une autre marque de rouge à lèvres, Miss BRATZ. Et cette fois-ci ça sera sur ma bite ! Mais d’abord, amusons-nous avec ces chaînes.

Je remarque que Justin est devenu plus agressif. Il a vu comment Daniel et Matt me traitaient. Mais comme j’ai pu le remarquer hier, il est moins dans l’humiliation que dans le traitement rude et brutal de mon corps. Il vit pleinement ses fantasmes.

L’étudiant en commerce est un lèche-bottes qui fait des courbettes à tous les autres employés, mais pas à moi. Au contraire, il me traite comme un vulgaire morceau de viande qu’il peut brutaliser comme il le veut. Cette différence de traitement est encore plus dégradante pour moi.

La salle de photocopie est aussi utilisée comme salle de stockage pour divers équipements de bureau et appareils qui ne sont pas utilisés pour le moment. Me tirant par le bras, Justin me conduit au milieu de la pièce.

– Allez poupée, sors-moi ces gros nichons ! Ordonne-t-il simplement.

Résignée à mon sort, j’ouvre ma veste de costume en cuir bordeaux et je la laisse glisser au sol. Secouant mes épaules, mes gros seins rebondissent dans le satin noir.

C’est incroyable, un seul ordre et je me change en mode soumise immédiatement. Et je fais un strip-tease sexy.

Même si au fond de moi ça me gêne, je continue. Balançant doucement mes hanches, j’ouvre les boutons du chemisier en satin en commençant par le haut. A chaque bouton la chair de ma poitrine serrée apparaît. Et je me retrouve devant le jeune stagiaire seulement vêtue de mon corset en satin noir, d’une jupe en cuir bordeaux, de bas noirs, de talons hauts rouges et des bijoux scintillants.

– Sors ton rouge à lèvres et prépare-toi pour ton défi Miss BRATZ. Me dit-il d’une voix autoritaire.

Daniel m’a ordonné d’exécuter tout ordre concernant le défi à tout moment et n’importe où au travail. Je ne peux donc vraiment pas discuter. Au moins, Justin m’a traînée dans une pièce qui est rarement utilisée par mes collègues. Ce sont les stagiaires qui y viennent. Justin saisit mon sac, sort le rouge à lèvres et me le tend. Alors que je commence à l’appliquer, il m’arrête.

– Je n’ai pas dit où n’est-ce pas ? Maquille ta chatte pour moi salope ! Ricane-t-il.

Je gémis en réponse. Je n’aime pas le tour que prennent les évènements. Pourtant j’obéis et je recouvre d’une épaisse couche de rouge vif les lèvres de ma chatte. C’est vraiment obscène, mais Justin adore.

Satisfait de mon maquillage, il attrape mon bras et me conduit près d’un tableau à feuilles mobiles couché et appuyé contre le mur pour le ranger. Il le saisit et le pose au milieu de la pièce, puis il m’ordonne de le chevaucher.

Ensuite il tire mes bras derrière mon dos et il accroche les attaches ensemble, mes poignets à mes chevilles. Enchaînée ainsi mes jambes se soulèvent du sol et mon corps descend sur le côté du tableau. C’est à ce moment que je réalise ce que fait Justin.

– Ooooohhhh ! Qu’est-ce que vous faites ?

Je laisse échapper un petit cri lorsque le métal s’enfonce dans ma chatte sensible.

Tout mon poids ne repose que sur mon entrejambe. Ma chatte et mes fesses sont pressées contre le bord métallique. La seule chose que je peux faire pour protéger mes parties intimes est de me soulever sur la pointe des pieds. Mais les bras attachés à mes jambes, je ne peux pas descendre du tableau.

– C’est un appareil de torture appelé « Spanish Donkey ». Tu vas apprendre à aimer salope ! Tu restes dessus jusqu’à ce qu’il prenne la marque de ton rouge à lèvres. Me dit le jeune salaud.

Satisfait de son travail, Justin se retourne et commence à faire des photocopies. Il accomplit sa tâche sans même faire attention à moi. Je reste sur la pointe des pieds au milieu de la pièce, le visage brûlant de honte. Tout ce que je peux faire c’est d’attendre, complètement impuissante. Les minutes s’écoulent. Le temps me parait très long.

La sueur s’accumule sur mon front alors que je me balance sur la pointe des pieds. Je sens de la fatigue dans mes jambes. C’est inévitable, après environ cinq minutes, elles commencent à trembler dangereusement.

Je n’en peux plus ! Mes mollets sont trop fatigués. Aussi lentement que possible, je me baisse sur la tranche du tableau. Ma chatte sensible se pose sur le bord métallique dur et froid.

– Aie ! Grogné-je quand j’ai l’impression d’être fendue en deux.

– Ne te plains pas et sois contente qu’il s’agisse que d’un bord plat et non pointé comme le véritable appareil. C’est facile en comparaison ! Dit Justin pour me faire taire.

Honnêtement cette comparaison ne me remonte pas le moral. La façon dont le bord métallique presse contre ma chatte est assez inconfortable. Je n’ai pas envie de connaître le vrai appareil de torture.

Luttant sakarya escort pour endurer ce bord dur qui entaille ma chatte, je réussis à le tolérer pendant près d’une minute avant de devoir me relever. Avec mes muscles tremblants d’une manière exaspérante, le temps pendant lequel je peux rester sur la pointe des pieds est considérablement plus court qu’auparavant. Mes mollets cèdent d’eux-mêmes. Avec toute la force qu’il me reste, je me baisse doucement en essayant de disposer mon poids autrement.

– Arggghhh ! Gémis-je quand le bord du tableau coupe mes fesses en deux et appuie sur mon cul.

Ce n’est pas mieux ! Il me faut beaucoup plus de temps cette fois pour rassembler assez de force pour me relever. Pourtant je réussis. La sueur coule sur mon visage.

Le temps où j’arrive à rester sur mes orteils est de plus en plus court. La fatigue s’installe et je suis de plus en plus souvent posée sur le bord métallique. Bientôt je ne peux pas faire autre chose que chevaucher ce maudit tableau. Ma chatte et mon cul me font mal alors que je me tortille encore et encore sur l’appareil. Mes mouvements deviennent de plus en plus effrénés jusqu’à ce que je bouge de haut en bas sur le tableau comme si je chevauchais un âne. Même la bague scintillante de mon nombril rebondit en rythme contre mon corset.

En haut ! En bas ! En haut ! en bas !

– Ohhhh… Aiiieee… Ohhhh… Aieeee !

Je gémis et grimace en rythme alors que mes gros seins rebondissent à l’unisson avec la bague de mon nombril. Même si je fais de mon mieux pour étouffer mes gémissements, ils deviennent de plus en plus forts. Je ne peux plus me contrôler.

La peut m’envahit. Le bruit est si fort que quelqu’un dans le couloir peut l’entendre. A chaque seconde je m’attends à ce que la porte s’ouvre et qu’ORTEGA entre dans la pièce. Je ne pourrai pas me cacher.

– Alors poupée ? As-tu oublié où tu es ? Tu n’es pas censée faire autant de bruit, stupide animal de bureau. Me réprimande Justin.

Il avance vers moi, ôte sa cravate de son cou et la fourre directement dans ma bouche. Encore une chose qu’il a apprise de Daniel.

– Mmmmppphhhhh… Mmmmppphhh…

Mes gémissements sont étouffés. Même si le jeune stagiaire imite mon homme, je suis reconnaissante, car la cravate étouffe le bruit, donc réduit les chances que je sois découverte.

En haut ! En bas ! En haut ! en bas !

Je suis obligée de continuer à chevaucher le tableau de feuilles mobiles pendant les prochaines minutes. Je rebondis si fort que le cœur en strass « Missy » se soulève de haut en bas et cogne ma peau douce et bronzée au-dessus de mon nombril. Ça doit être vraiment comique.

Justin me laisse comme ça une bonne vingtaine de minutes pendant qu’il finit de photocopier le dossier complet. De temps en temps en temps, il me regarde et rigole de me voir essayer de me relever. La douleur se mélange à la honte d’avoir à accomplir cette tâche infernale pour ce salaud de lèche-bottes alors qu’il me prête à peine attention.

CRIIIIIIIII

Soudain la porte s’ouvre avec un grincement.

Non ! Ça ne peut pas arriver ! Pas après que mes cris ont été étouffés ! Pas après tout ce que j’ai vécu ! Je crois que je vais m’évanouir et m’effondrer. Je suppose que j’aurai glissé du tableau si je n’avais pas été enchaînée.

Mais la porte s’ouvre et se referme aussitôt. Avant que je m’en rende compte, deux autres personnes se trouvent dans la salle de photocopie.

– Nous vous cherchions partout !

Il s’agit de Matt et Taylor. Je pousse alors un soupir de soulagement. Je n’ai jamais été aussi contente de voir leurs visages. Ici et tout de suite je les aurais embrassés si j’avais pu me sortir de cette position infernale.

Puis je réfléchis. Je ne devrais pas être contente que Matt soit là ! Surtout sans Daniel ! De plus, attachée comme je suis, il peut faire ce qu’il veut de moi et en profiter.

– Oh je vois, tu prends l’animal de compagnie avec toi lorsque tu travailles. Dit Matt à Justin en m’ignorant.

– Je parie qu’elle t’a supplié de la laisser monter sur ce tableau. La salope n’en a jamais assez hein ? Et elles disent que c’est nous qui pensons tout le temps avec nos bites ! Ajoute-t-il pour recommencer à se moquer de moi

– Qu’est-ce que vous en pensez les gars ? Voyons à quel point elle aime ça ! Je parie que je peux la faire mouiller sur le tableau. S’exclame Justin pour garder l’initiative.

N’attendant pas la réponse des gars il s’approche de moi et saisit mes gros nichons. Il commence à tripoter ma chair molle et la pétrit fermement. Quand il commence à me pincer les mamelons en rythme avec mes mouvements, je commence à me tortiller en gémissant.

Bon sang, ce salaud joue avec mon corps comme avec un violon. Je sens des vagues de plaisir déferler dans mon corps et se mélanger avec la douleur dans mes reins.

La façon dont Justin me manipule si facilement est embarrassante. J’ai très mal sur cet appareil. Pourtant mon corps samsun escort devient excité par son simple toucher.

Maintenant Justin tient fermement mes mamelons en place sans bouger. De cette façon c’est moi qui agite mes seins en sautant sur le tableau. J’ai l’impression que mes seins sont enfilés sur une brochette. La traction sur mes tétons tendres est à peine tolérable. Et ça conduit mon excitation à de nouveaux sommets malgré la douleur dans ma chatte et mon cul.

Lorsque mon corps est levé, Justin se penche soudainement et gifle mon clitoris. Une décharge explose dans ma chatte et traverse mon corps. Mes jambes tremblent si fort que je redescends instantanément sur le tableau ? Je sais que je dégouline de mon jus.

Ce jeune lèche-bottes a su m’amener à l’orgasme malgré la torture du tableau de feuilles mobiles. Il a réussi en si peu de temps que j’en suis ébahie. Ses camarades stagiaires sont encore plus impressionnés et sifflent d’admiration avant que Justin ne détache mes chaînes et me libère du dispositif infernal. Il me montre alors le tableau et me dit :

– Je te l’ai dit poupée que tu allais aimer ! Regarde le gâchis que tu as fait !

Je remarque alors que le tableau est collant de mon jus. Quelques traces de rouge à lèvres sont encore visibles, mais elles ont été recouvertes par mon jus de chatte. C’est trop pervers !

– Tu es trop stupide pour laisser une trace de rouge à lèvres décente Miss BRATZ ! Me réprimande Justin.

Bon sang, j’avais complètement oublié le défi. D’une certaine manière il avait raison. J’étais tellement excitée que je n’avais pas été en mesure de réaliser son défi correctement. Daniel va être déçu.

– Nettoie ça idiote ! Je ne peux pas laisser sale notre matériel de bureau ! Dit cet enfoiré en retirant sa cravate de ma bouche.

Saisissant mes cheveux châtains, il pousse mon visage sur le tableau. Je lèche mon jus sucré sur le métal tout en pensant que Justin m’avait si facilement fait jouir et juter sur le dispositif infernal. Et comme s’il devinait que ma chatte est toujours excitée, il pousse deux doigts dedans et commence à me baiser avec pendant que je suis penchée.

– Ohhhhh…. Ohhhhh…

Je me retrouve vite à gémir les dents serrées. Juste au moment où je suis au bord de l’orgasme, il s’arrête et donne deux grosses claque sur mes fesses, enterrant ainsi mon excitation.

– il ne faut pas que tu oublies le défi, petit animal de bureau. Je devrais te remettre sur le tableau pour que tu recommences. Dit-il avec un petit rire.

Puis il m’attrape une nouvelle fois par les cheveux et s’exclame :

– Il est temps de laisser une marque de rouge à lèvres sur moi.

En me tirant par les cheveux, il me conduit au fond de la pièce. Une table est placée contre le mur. Il fait demi-tour et me pousse pour que je m’allonge sur le dos sur la table. Puis il la contourne et tire mes épaules pour que ma tête pende du bord.

Je réalise enfin ce qu’il fait. Il veut baiser ma bouche. Dans cette position malaisée, je n’offre presque aucune résistance. Avec ma tête en arrière, ma gorge s’ouvre d’elle-même. Quelle position odieuse !

Justin aggrave encore les choses quand il prend ma jambe droite, la soulève du sol et la plie au genou. Puis tenant ma jambe sur la table, il attrape mon bras droit et le tire pour le placer à côté. Et enfin il utilise mes bracelets de poignets et de chevilles pour les accrocher ensemble.

Après avoir fait de même avec ma jambe et mon bras gauche, je me retrouve allongée sur la table, la tête pendante au bord et ma chatte grand ouverte. Tous mes orifices sont complètement exposés.

Debout devant mon visage, Justin prend mon rouge à lèvres et barbouille ma bouche jusqu’à ce qu’il soit satisfait. Puis il baisse son pantalon. Me regarder chevaucher le tableau l’a tellement excité que sa bite est déjà bien raide. Il saisit ma tête et tire mon corps dans la bonne position. Il me bouge comme une poupée gonflable jusqu’à ce que son membre soit contre mes lèvres. Je suis complètement impuissante. Tout ce que je peux faire c’est de regarder sa grosse bite bien dure planer au-dessus de mon visage. Il m’explique alors :

– Je n’arrêterai pas tant que tu n’auras pas laissé ta marque de rouge à lèvres sur mon entrejambe, salope. Tu as compris ?

Je hoche la tête pour signifier mon accord. Ma position est vraiment dégradante. Pourtant je veux lui montrer que je ne suis pas stupide et que je peux supporter ça. Je suis trop fière pour ne pas lui montrer que je ne suis pas idiote et que je peux réaliser le défi.

Avec un grognement, le jeune stagiaire pénètre ma bouche. Je ferme rapidement mes lèvres peintes autour son sexe dur. Ma langue joue avec son gland, mais il pousse sa bite plus profondément. Je me concentre sur mon réflexe nauséeux et je baisse ma tête plus bas pour ouvrir ma gorge. Je sens son bâton de chair presser contre ma luette.

Puis la bite de Justin glisse profondément dans ma gorge. Il me faut quelques instants pour réaliser que je ne peux plus respirer. Néanmoins ce salaud garde sa queue dans ma gorge jusqu’à ce que ma vision se trouble. Je manque d’air.

Je commence à lutter et je m’agite dans mes entraves. Toutefois, je ne peux presque pas bouger. Je dois vraiment avoir l’air ridicule de me débattre dans mes liens.

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Ma Femme a un Nouveau Travail 03

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Aiden Starr

Ma journée de travail me paraissait durer une éternité.

A mon retour à la maison le soir, toujours pas de Jessica. C’est alors que je reçus un texto sur mon portable. Le numéro de téléphone était celui de Jessica.

Il indiquait une adresse et une heure. J’avais juste le temps de m’y rendre, cela se trouvait à l’autre bout de la ville.

J’arrivais dans un vieux quartier industriel délabré. Les quelques passants que je croisais avaient tous un air menaçant.

J’arrivais enfin sur le lieu indiqué par l’adresse. Il s’agissait d’un vieil entrepôt abandonné.

Je descendis de la voiture tremblant. Je me doutais bien que ce genre d’endroit malfamé est souvent le repaire de trafiquants, mais je voulais retrouver Jessica.

La porte de l’entrepôt était entrouverte, un homme se tenait derrière. Lorsque je vins à son niveau il m’attrapa par la nuque. Il me guida dans l’entrepôt sans le moindre mot.

On arriva dans une grande salle sombre. En son centre, un ring de boxe.

Je devinais au fond une présence humaine.

“Vous êtes en retard l’ami!” puis-je entendre.

L’homme qui me tenait par la nuque m’emmena en direction de cette voix.

De plus près j’y voyais plus clair. Il s’agissait du chinois qui était assis dans un fauteuil. A ses côtés se tenait le boss de Jessica.

En baissant mon regard je me rendis compte qu’elle était là, entre ses cuisses entrain de lui prodiguer une fellation dynamique!

Je m’assieds sur un fauteuil également. Le chinois me demanda

“Alors tu ne dis pas bonjour à ta femme? Elle est si charmante!”

Je ne savais que dire, pétrifié de peur. Je lançais un misérable “Bonjour”, faisant rire les deux hommes.

“Que le spectacle commence!”

Les projecteurs s’allumèrent soudain sur le ring.

Il y avait plusieurs cameramen placés tout autour, des micros également.

A l’autre bout de la salle un rideau s’ouvrit, filmé par des caméras.

Une femme et un homme entrèrent, ils tenaient en laisse un gros chien blanc. Il s’agissait probablement d’un couple, ils se tenaient par la main.

Ils montèrent sur le ring. Monsieur s’installa dans un confortable fauteuil. Madame, qui tenait son chien en laisse, s’assied sur les cuisses de son mari.

Puis les projecteurs se braquèrent à nouveau sur le rideau. Ce dernier s’ouvrit sur une femme plantureuse dénudée, corps huilé.

Une mersin escort laisse de chienne de deux mètres tout au plus attachée à son cou.

Je me rendais vite compte avec horreur qu’il s’agissait de Brigitte! Un homme prit en main la laisse et la traina jusque sur le ring.

La belle quadra tentait vainement de résister en tirant sur sa laisse, dans ces mouvements on pouvait voir élégamment ses gros seins remuer.

D’ailleurs une caméra semblait filmer en gros plan ses attributs mammaires.

On pouvait l’entendre supplier l’homme qui la trainé, sans le moindre effet sur ce dernier puisqu’il la fit rapidement monter sur le ring.

Il lui attacha la laisse à un anneau au sol, au centre du ring.

La femme du couple se leva pour donner son chien en laisse à Brigitte. Une fois donné, elle se rassit en baissant sa jupe sur les genoux de son époux. Ce dernier avait lui sortit son sexe, de fait elle s’empala sur le dard de son cher et tendre époux.

Quant à Brigitte, résignée, elle se mit à branler l’animal.

Très vite le couple lui ordonna de se faire sauter par le chien!

Docile et obéissante, elle se mit à quatre pattes, bomba ses fesses devant le chien. Ce dernier lui humait le cul.

Le couple pendant ce temps-là copulait de plus en plus activement. Madame, assise sur son mari est pénétrée, montait et descendait, ses bras en appuis sur les cuisses de son homme.

Tous deux admiraient la déchéance de Brigitte à leurs pieds.

La serveuse au gros buste se faisait promptement violée par leur chien!

Les caméras ne rataient pas une miette de la scène. Moi non plus par ailleurs.

Les pénétrations saccadées de l’animal étaient suffisamment fortes pour faire balancer l’opulente poitrine de Brigitte.

Madame qui se faisait prendre par son mari se leva et se déshabilla. Elle était plate comme une planche à pain, très mince sans la moindre forme féminine, loin très loin de son esclave sexuelle offerte à son chien.

Elle ordonna à Brigitte de lui lécher les pieds.

Tout en se faisait toujours bourrée par l’animal, elle s’exécuta.

La sadique maîtresse se faisait lécher ses pieds nus et n’hésitait pas à donner de petits coups dans la paire de seins de Brigitte.

La maîtresse se rassit à nouveau sur son mari et s’empalait désormais très activement sur son sexe.

Il muğla escort la saisit par les hanches pour la guider plus fortement. Il avait penché la tête pour qu’il puisse lui aussi admirer Brigitte lécher les pieds de sa femme tout en se faisant prendre comme une chienne par son animal de compagnie.

Le chien s’excita soudainement, rendant le couple pervers encore plus exalté.

Le chien était en train de remplir la chatoune accueillante de Brigitte.

Cette dernière poussait de ravissants petits cris de détresse étouffée alors qu’elle suçait les orteils de sa maîtresse.

Le mari jouit également dans sa femme.

Une fois l’ambiance quelque peu retombée, ils se rhabillèrent, récupérèrent leur chien et laissèrent Brigitte nue sur le ring.

Avant de quitter les lieux, l’asiatique prit la parole.

« Coupez! Parfaite superbe partie! Quel beau couple sadique vous ne trouvez pas? Me ferez-vous l’honneur de venir à notre repas ce soir? »

Lança-t-il en se frottant les mains d’un air pervers.

Le couple leur répondit par l’affirmative.

« Au suivant » reprit l’asiatique.

Ce fut le tour d’un jeune noir, non accompagné, si ce n’est d’un grand rodvailer noir.

Tout comme le premier viol, Brigitte fut violée par le chien. Alors que son apetissant derrière était offert au chien, le noir avait sorti son long et épais sexe, qu’il présenta sous le nez de la serveuse.

Il dût forcer la bouche de Brigitte qui le suça avec un complet dégout.

Elle était à quatre pattes, un chien la sautant derrière, le noir assis dans son confortable fauteuil devant.

Ce dernier se pencha pour malaxer l’opulente poitrine de son esclave sexuelle.

Les nibards de Brigitte servaient de jouets à son maître.

L’asiatique se pencha vers moi pour me murmurer à l’oreille

« Tu vois ce jeune homme? Son père est un grand caïd. Il a baigné dans le fric depuis son enfance, il vient à tous mes tournages pour se distraire. Surtout quand il s’agit de femmes blanches. »

Le chien et son maître jouirent très rapidement en Brigitte.

En quittant la scène, l’asiatique interpella le noir

« Repas de ce soir, vous venez? »

Le noir répondit, tout comme le couple précédent par l’affirmative.

Arriva sur scène ensuite une femme nue munie d’un gode ceinture. Elle suintait le sadisme.

Elle se nevşehir escort précipita derrière Brigitte pour sauter sa victime.

La malheureuse Brigitte tentait d’échapper au viol, d’autant plus que la femme semblait plus intéressée par son anus qu’autre chose.

On assistait à une sorte de lutte entre cette femme sadique et une Brigitte qui faisait son possible pour lui échapper malgré une laisse de chien assez courte au cou qui la reliait au sol l’empêchant de fuir.

Mais la plantureuse quadra était déjà épuisée par les multiples perversions subits, elle s’avoua vite vaincue.

La sadique était excitée par ce cul qui allait bientôt s’offrir à elle, embroché par son gode ceinture.

Brigitte cessa toute résistance, à quatre pattes.

Brigitte fut ainsi sodomisée devant les caméras.

Sa violeuse prenait soin de s’enfoncer au maximum dans la serveuse sous les supplices de cette dernière.

Pendant qu’elle la baisait, elle se pencha sur Brigitte pour lui lécher le haut de son dos, sa nuque et ses joues.

« Tu es délicieuse salope » lança-t-elle à sa proie

Brigitte fut baisée et léchée de longues minutes par cette vipère bien calée dans son cul.

Cette dernière avait passé ses doigts sous son gode ceinture afin de se donner encore davantage de plaisir.

Cette femme sadique fut très rapidement prise d’un puissant orgasme, son sexe ruisselé.

Elle se retira du trou de Brigitte, retira son gode ceinture et attrapa Brigitte part les cheveux.

Toujours sous l’œil bienveillant des caméras, Brigitte lécha le sexe détrempé de sa maîtresse, elle était complétement dégoutée et humiliée, au contraire de la sadique femme, toujours aussi hystérique.

Le calvaire de Brigitte semblait s’arrêter là. Au moment de repartir, la femme sadique remercia toute l’assistance et fut elle aussi invitée à dîner au restaurant comme tous les autres acteurs.

Elle glissa un regard pleins de vices à Brigitte en ajoutant ; « A ce soir poupée ».

Tout s’arrêta là, on me renvoya chez moi, ma femme fut dénudée et commença à distraire son boss et son ami asiatique.

Plusieurs hommes attrapèrent Brigitte et la ramenèrent dans les loges, visiblement très intéressés pour lui passer dessus.

« Vous êtes invité ce soir très cher! » me lança le boss de Jessica.

Pétrifiée mais au fond excitée par ce que je venais de voir, j’acceptai cette invitation.

Je quittais la salle sous bonne escorte, en me retournant une dernière fois, je voyais ma tendre Jessica se faire sauter par son boss.

… suite prochainement

Zuwed

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Du Bonheur à L’horreur 10

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Babes

Seuls à l’arrière de la voiture de police nous nous demandions vraiment ce qu’il se passait et je commençais vraiment à avoir très peur. Julien à mes côtés avait l’air dans le même état que moi. Pourquoi ce flic nous avait arrêté? Le voyage jusqu’au commissariat passa très vite et nous fûmes emmené à l’intérieur. Je devais faire peine à voir avec ma robe déchirée seulement maintenue fermée par la ceinture de mon mari.

Igor nous fit entrer dans une salle d’interrogatoire toujours sans un mot et nous intima de nous assoir devant un bureau. Igor était un véritable colosse, il devait mesurer un bon 2m et était très large. Crâne rasé il avait un regard froid et terrifiant tel un agent du KGB. Il s’assit tranquillement en face de nous et posa son regard glaçant sur nous les bras croisés.

– Je ne vais pas y aller par 4 chemins, vous êtes dans une belle merde.

– Je ne comprends pas inspecteur?

– Déjà tu vas la fermer petit con. Ta femme a agressé violement le maire d’une ville au Sénégal. Et toi tu l’as aidé à s’échapper c’est très grave.

Cette accusation me frappa et me noua l’estomac, d’un coup je ne savais pas quoi répondre, le cauchemar ne cessera donc jamais.

– Je vois que madame ne me contredit même pas. Elle a plutôt raison car j’ai toutes les vidéos surveillance et on la voit clairement frapper le maire.

– Cet homme abusait de moi monsieur le commissaire.

– Hahaha ce n’est pas ce que montre les vidéos. Tu as surtout l’air de prendre ton pied petite salope.

Julien à mes côtés était abasourdi et tremblait de peur devant cet homme. Il essaya tant bien que mal de sauver les meubles.

– Quesque on risque?

– Alors vous allez passer la nuit ici déjà puis on étudiera avec les autorités locales comment procéder.

– Non ne me renvoyait pas là-bas s’il vous plait. Cet homme va me tuer.

– Ce n’est pas de mon ressort petite. Il fallait y réfléchir à deux fois avant de faire ce que tu as fait.

Je pleurais en pensant au sort qui m’attendait si je retournais là-bas. Julien lui aussi avait les larmes aux yeux et semblait sans solution.

– Bon aller assez perdu de temps on va passer à la fouille. Debout! Je vais chercher Vladimir.

Pendant que Igor sortait de la pièce, je me levais péniblement avec Julien, stressant de cette fouille à venir. L’attente ne fut pas longue et Igor revint avec le fameux Vladimir, un homme grand lui aussi rasé avec une cicatrice sur la joue il était tout aussi menaçant que son chef. Les deux policiers s’approchèrent de nous et sans aucune délicatesse, nous mirent les mains dans le dos et nous menottèrent.

– Vous n’avez pas le droit de faire ça. Laissez-moi appeler notre avocat.

– Hahah ferme la petite merde si tu ne veux pas que je te démolisse. Tu n’as aucun droit ici et je te conseille de ne plus jamais l’ouvrir tu n’imagines pas les charges contre vous.

Julien baissa les yeux, vaincu. Igor me plaqua, ventre contre le bureau, pendant que Julien subissait le même traitement de la part de Vladimir. Ma robe fut vite relevée.

– Oulah mais c’est qu’elle n’a pas de culotte la chienne. Regarde-moi ce petit cul bronzé Vladimir.

– Putain c’est toujours toi qui fouilles les beaux petits lots

– Hahah t’inquiète fouille vite fait l’autre fiotte et rejoins-moi je pense que celle-là a besoin d’une fouille approfondie.

Igor appuya sur mon dos pour bien que je me cambre ce qui fit l’effet de relevé bien mon postérieur. Il écarta mes deux jambes, je ne me débattais même pas sachant que c’était totalement inutile. Je sentis vite un doigt se présenter à l’entrée de ma chatte ce qui me fit frissonner. Quand il me pénétra je ne pus retenir un petit gémissement.

– Elle est déjà mouillée la petite ça va me faciliter la tâche. Mais qu’est ce qu’elle est serré, on a du travail Vlad dépêche-toi avec lui et viens m’aider.

– Lui aussi est serré au moins on sait qu’il n’est pas de la gâchette malgré son physique hahah

Je pouvais voir Valdimir rentrer un doigt dans l’anus de mon chéri qui pleurait en silence. Igor avait rentré un deuxième doigt en moi et les faisait tourner en cercle me faisant mouiller abondamment.

– Bon c’est trop serré je vais devoir élargir cette pute avec d’autre moyen

– Moi aussi il fait de la résistance le bougre.

J’entendis deux zips de braguettes et les pantalons qui tombent au sol puis un sexe de grosse taille se présenta à l’entrée de mon antre. Son pieu s’enfonça d’un coup en moi ce qui me fit hurler de surprise, il était vraiment gros. Un cri de Julien m’indiquait qu’il se faisait sodomiser par Vladimir, moi j’étais trop concentré sur les coups de boutoir violents que m’infligeait Igor. C’était vraiment trop bon, son sexe me remplissait et malgré ce qu’on pourrait appeler un viol j’atteignis vite un premier orgasme.

– Elle aime ça la petite. Je la défonce et elle adore ça. Allez viens Vladimir il va falloir m’aider.

– Ça marche

Je tournais la tête vers mon amour pour voir Vladimir sortir son sexe diyarbakır escort de l’anus béant de Julien prendre sa matraque pour lui enfoncer dans le cul. Mon mari hurla de douleur.

– Mais il va fermer sa gueule celui-là.

Vladimir enleva une de ses chaussettes et lui enfonça dans la bouche de force. Pendant que Igor me besognait toujours sans ménagement décuplant mon plaisir, son acolyte fit le tour de la table et présenta son sexe devant mes yeux. Elle était grosse, veinée et couverte de matières fécales de mon Julien.

– Nettoie moi ça ma belle.

Il tira mes cheveux ce qui me fit ouvrir la bouche et s’enfonça d’un coup au fond de ma gorge. J’étais prise des deux côtés de la table comme une vulgaire trainée et j’adorais ça. Le sexe de Vlad avait un gout horrible mais je le suçais avec délectation encouragée par l’excitation de la levrette que me procurait Igor.

– Tu suce vraiment bien salope.

– Bon c’est bon ta queue est nettoyée vient m’aider à l’élargir

Toujours planté en moi Igor me souleva de la table pour s’y allonger, je me retrouvais donc allongée sur lui un peu en lévitation, Vladimir se positionna devant moi et plaça lui aussi son sexe à l’entrée de mon vagin. Je n’avais jamais pris deux sexes dans le même orifice et il dû s’y prendre à plusieurs fois pour rentrer lentement son gros chibre dans mon vagin déjà occupé. Une fois entré je me sentais remplie comme jamais j’avais l’impression que mon sexe allait exploser sous les yeux médusés de mon mari toujours avec une matraque dans l’anus.

Les deux policiers commencèrent à aller et venir simultanément en moi et une sensation de jouissance encore jamais ressentie m’envahit et je ne pus retenir des râles de plaisirs à chaque pénétration.

– Tu aimes ca sale pute?

– On te défonce bien avoue?

– Ouuiiii! Plus fort! Plus fort!

Je ne me contrôlais plus, je voulais qu’ils me défoncent encore plus vite et plus loin. Ils accélérèrent le mouvement et le rythme était maintenant vraiment intense et un orgasme inédit me submergea.

– Bon je pense qu’elle est assez large pour bien la fouiller maintenant haha

Repue je les laissais me remettre en position initiale et j’avais du mal à tenir sur mes jambes. Igor ne perdit pas de temps et après avoir réécarté mes jambes introduisit directement 4 doigts à l’intérieur sans difficulté.

– C’est bon elle est prête à être fister la petite. Attache l’autre au pied de la table il faut qu’il voit ça de plus près.

Vladimir menotta Julien au pied de ma table, il me faisait pitié, pendant qu’Igor introduit le dernier doigt de sa main à l’intérieur de mon vagin. Je sentais maintenant son poing tout entier aller et venir en moi c’était divin et mon plaisir repartit en fanfare. Vladimir quant a lui avait enlevé la chaussette de la bouche de mon chéri et se faisait sucer tranquillement.

Julien paraissait soumis et je comprenais qu’il n’était vraiment pas le male alpha qui me fallait et que ça ne marchera jamais entre nous sexuellement. Je l’aimais mais ce n’était plus suffisant…

Les va et vient du poing d’Igor en moi me faisait jouir tellement fort que j’accompagnais ses mouvements avec mon bassin pour le sentir au plus profond de moi jusqu’à obtenir un énième orgasme dévastateur.

– C’est bien ma jolie tu ne nous as rien caché dans cet orifice. Tu ne nous a rien caché dans l’autre trou?

– Non monsieur

– Bon je te fais confiance vous allez pouvoir aller en cellule.

– Vous pourriez vérifier quand même?

– Tu entends ca Vladimir? C’est elle qui demande, ce n’est pas beau ça?

– C’est bien la première fois que ça arrive.

Vladimir sortit son sexe de la bouche de Julien qui se mit en boule écœuré et dégouté par la situation, il baissa la tête, abattu.

Igor me mit à genoux et les deux hommes m’entourèrent le sexe dressé.

– Il va falloir que tu nous humidifie les engins car ça va faire mal sinon.

Je pris un énorme sexe dans chaque main et les masturbais doucement. Je les pris en bouche en alternance, les enfonçant à chaque fois au plus profond de ma gorge. Les deux hommes étaient aux anges et ne cachaient pas leurs plaisirs.

– Vas-y suce nous bien salope

– Tu es vraiment la plus grosse pute qu’on ait jamais fouillée.

Tout en me disant cela ils me relevèrent brusquement. Vladimir s’allongea sur la table et me souleva pour que je m’empale sur sa queue. Son sexe rentrait facilement dans ma chatte maintenant, heureusement qu’Igor présenta vite son sexe à l’entrée de mon anus et d’une poussée m’encula. C’était trop bon j’étais vraiment devenue fan de la double pénétration surtout avec de si gros calibres. Les deux me besognerent en rythme et j’en profiter pour embrasser à pleine bouche Vladimir j’étais surexcitée.

– Elle est prête Vlad

Le signal était lancé et Vlad retira son sexe de ma chatte avec sa main et plaça à l’entrée de mon anus pour rejoindre son patron. Ce fut rude pour que les deux sexes puissent edirne escort rentrer mais avec plusieurs tentatives plus douloureuses les unes que les autres les deux calibres entrèrent bien au fond de mon anus. Au fur et à mesure les deux prirent un rythme constant et la douleur intense se transforma en plaisir.

– Oh oui, oh oui, mon dieu c’est trop bon. Dechirez moi!!

Ils me besognerent comme des morts de faim pendant de longues minutes ce qui me fit jouir encore une fois. Les deux policiers finirent par s’arrêter et Igor me replaqua contre le bureau. Il fit de même qu’avec ma chatte et entra 3 puis 4 doigts dans mon anus en faisant des mouvements circulaires l’élargissant au maximum. Vladimir pendant ce temps pris littéralement mon crane, enfonça sa verge dans ma bouche et baisa complètement ma bouche sans douceur.

Igor finit par entrer le 5 -ème doit et poussa entièrement sa main dans mon anus resserrant le poing. Ça y est j’étais bien fistée. Il fit de nombreux va et vient, je mouillais tellement que je sentais mon fluide glisser le long de mes jambes. Vladimir finit par déverser ton son sperme au fond de ma gorge dans un râle de plaisir. Le fist fucking était tellement intense que je ne pus même pas avaler et tout le sperme se déversa sur mon menton et mon cou.

– Bon je pense que tu as eu ta dose poupée. Viens me remercier maintenant.

Il retira son poing dans un gros blop sonore. Je tombais au sol et rampais difficilement jusque lui. Difficilement je me mis sur mes genoux et pris le sexe de mon tourmenteur en bouche pour une ultime fellation qui ne dura pas longtemps. En effet Igor éjacula dans ma gorge lui aussi et je le dégustais avec délectation. Apres cela je m’écroulais sur le sol, vaincue mais rassasiée.

– Bon cette fouille fut concluante les amoureux, il faut croire que vous n”avez rien dissimulé. Nous allons vous emmener à vos cellules et on discutera de vos condamnations demain matin.

Sans un regard pour mon faiblard de mari, nous fumes emmener à travers le commissariat jusqu’à nos cellules voisines. Il n’y avait rien même pas un lit, juste un seau pour nos besoins. J’étais complétement éreinté et je m’endormis a même le sol sans un mot pour Julien, juste vêtue de ma robe déchirée sachant que mon avenir allait se jouer demain matin.

Je l’avais définitivement perdue, j’avais subi encore une fois l’humiliation de voir ma femme se faire prendre par d’autres hommes et la voir prendre énormément de plaisir. Je la regardais dans la cellule d’en face, elle s’était endormit sans même un regard pour moi. En une semaine notre relation avait volé en éclats et je ne voyais vraiment pas comment notre couple pourrait survivre à ça. Pourtant je l’aimais de tout mon cœur ma belle latine et c’était d’autant plus dur de se rendre compte que je n’étais pas l’homme qu’il lui fallait.

Je ne dormis pas une minute de la nuit réfléchissant à comment nous sortir de ce pétrin mais aussi ce qui allait advenir de nous deux. C’est Vladimir qui vint me chercher pour me dire de l’accompagner seul.

Il me conduisit jusqu’à une pièce et m’ordonna d’y entrer. Je fus totalement surpris de voir Carlos mon patron qui m’attendait assis devant un bureau.

– Bonjour Julien, assied toi je t’en prie.

– Carlos qu’est ce que tu fais la? Comment as-tu su que nous étions enfermés ici?

– Assieds-toi je vais tout t’expliquer.

Je m’installais donc devant mon patron qui avait l’air grave mais j’étais content de voir un visage familier.

– Comment vas-tu Julien?

– Très mal, on est bloqué ici et Adèle est accusée d’avoir agresse une personne importante au Sénégal.

– Oui je sais

– Ah bon?

– Laisse-moi t’expliquer mais promet moi de ne pas m’interrompre s’il te plait.

– D’accord je t’écoutes

– Alors voila il y a un mois j’ai remarqué une photo d’Adèle sur ton bureau au travail et je suis tout de suite tombé sous le charme de cette bombe. Elle était magnifique et je ne vous savais pas très expérimenté il fallait que je tente quelque chose.

– Quoi qu’est-ce que tu racontes?

– Julien tu m’as promis de te taire.

– …

– Tu ne le sais peut-être pas mais je suis parti de rien moi et mes 3 meilleurs amis nous nous sommes soutenus et avons gravit les échelons de la société chacun dans notre domaine. Jean le curé de la ville, Moussa le patron de l’hôtel au Sénégal et Igor le commissaire de la ville. C’est pour ça que je t’ai conseillé cet hôtel au Sénégal pour ton voyage de noces et que les prix étaient si abordables. Certes j’ai créé un plan parfait pour soumettre ta femme mais cela ne pouvait marcher que si elle était réceptive et soumise. Je dois avouer qu’Adèle a répondu à toutes mes espérances et bine plus, assez timide pour se laisser approcher mais surtout avide de sexe et de toutes perversités.

J’étais estomaqué, complétement abasourdi par ce que j’apprenais. Carlos pris une télécommande et alluma la télé derrière lui et je pus découvrir la vidéo de edirne escort bayan la première soirée chez Carlos. Sans un mot il zappa et des vidéos chez Moussa apparurent puis chez le curé.

– Tu vois toutes vos aventures ont été filmés

– Qu’est ce que tu attends de nous?

– Alors voilà, la plateforme que nous sommes en train de créer n’a rien q voir avec un site de streaming classique, je veux crée une vraie plateforme porno et Adèle sera la première star. Toi tu continueras le développement bien sûr.

– Je refuse de participer a ça et je ne veux pas qu’Adèle continue ces perversions.

– Ne t’inquiète pas Adèle a assez donné elle travaillera avec nous pour nous dénicher des nouveaux talents maintenant qu’elle est professeure de lycée. Toi tu seras augmenté évidemment.

– Non impossible on ne peut pas faire ça. On va s’en aller ma femme et moi loin d’ici.

– Mais enfin Julien, Adèle n’est pas faite pour toi, il faudrait être bête pour ne pas s’en rendre compte. Et puis si je lui propose ça ou repartir au Sénégal chez l’autre fou elle n’hésitera pas une seconde mais je veux que tu accepte mon offre Julien. Je tiens à toi tu es un excellent développeur.

– Je ne peux pas Carlos je sais que nous pouvons remonter la pente avec Adèle.

– Ecoute je te laisse la journée pour réfléchir et je reviens ce soir.

Vladimir me ramena en cellule, j’étais sonné et me sentais trahi et manipulé. C’était horrible. Adèle dormait toujours dans sa cellule, les révélations de Carlos étaient vraies elle adorait le sexe mais je savais que je pouvais encore la ramener dans le droit chemin.

C’est Igor qui me fit sortir de ma réflexion, il entrait avec un énorme black habillé comme un SDF, l’odeur me prit au nez alors qu’il était à une bonne vingtaine de mètre de moi. Il y avait un chien avec lui, un berger allemand qui suivait son maitre sans broncher. Igor ouvrit la porte de la cellule d’Adèle toujours allongée et fit entrer le SDF et son chien.

– Tu vas partager ta cellule gros tas. Il y a plus d’autre place pour un déchet comme toi.

– Mettez-le avec moi plutôt.

– Haha non je sens que Adèle est de meilleure compagnie

Il me fit un clin d’œil puis ressortit de la pièce. Le SDF paraissait lui aussi surpris de partager sa cellule avec une si belle créature. Il la regardait les yeux exorbités.

– Ne t’approche pas d’elle connard.

Il m’ignora totalement et s’approcha de ma femme en poussant des grognements inhumains. Son chien lui le suivait sagement. C’est surement l’odeur infecte qui réveilla ma femme qui poussa un cri strident en découvrant cet homme dégueulasse avec son sourire sans dent qui la regardait avec appétit. Elle se précipita à l’autre bout de la cellule.

Le SDF se caressait sans pudeur l’entrejambe au-dessus de son pantalon. Il fit tomber son pantalon exhibant un énorme sexe noir couvert de poils sales, l’odeur était encore plus atroce. Je savais que ça ne servirait à rien d’appeler à l’aide car Igor et Vladimir ne serait d’aucune aide. Ma femme se calmait aussi sachant aussi que personne ne viendrait nous aider, elle fixait maintenant l’homme qui s’approchait, pas a pas le sexe dressé.

Arrivé a la hauteur de ma femme tremblante, il tira d’un coup sec sur le seul vêtement que portait Adèle et elle se retrouva nue. Il retourna fermement Adèle contre les barreaux qui séparaient nos deux cellules. Sachant ce qui allait se passer elle se cambra tel un automate les yeux fermés. L’homme n’en revînt toujours pas, plaça son sexe a l’entrée de la chatte de ma chérie et l’embrocha d’un coup. Adèle gémit de plus en plus fort à mesure que le clochard la pénétrait. Il la prenait sans délicatesse faisant aller et venir ses trente centimètres de chair dans la chatte distendue de ma princesse qui maintenant hurlait de plaisir. Comment pouvait elle prendre du plaisir à se faire baiser par cet homme.

L’homme éjacula rapidement au fond du vagin de ma chérie. Il n’était clairement pas rassasié, il retourna ma femme qui était son nouveau jouet et l’embrassa a pleine bouche. Je voyais leurs langues s’entremêlés dans un baiser des plus gras. Le Sdf s’assit sur le sol et obligea ma femme à se mettre à quatre pattes pour le prendre en bouche. Elle s’activa alors sur ce sexe qui devait être dans un état d’hygiène des plus déplorables mais pourtant elle allait et venait avec envie sur sa hampe pendant que l’homme lui caressait les cheveux. Du sperme commençait à ressortir de sa chatte ce qui attira le chien qui se mit à lécher à grands coups de langue ma chérie.

Elle voulut se retourner pour arrêter cette perversion mais le clochard noir la maintint sur son sexe et appuya fermement sur son crane pour enfoncer son sexe au plus profond de la gorge de ma chérie. Le chien avait nettoyé l’intégralité du sperme enfonçant sa langue au maximum dans la petite chatte de ma belle. N’y tenant plus le chien se cambra sur ma femme, posa ses deux pattes sur le dos bronzé d’Adèle et avant qu’elle n’ait le temps de réagir enfonça son sexe gonflé en elle. Totalement surprise par cette intrusion elle subissait les mouvements ultra rapides du chien et semblait recevoir des décharges de plaisir. En effet la vitesse et le sexe particulier du chien lui transmirent un orgasme intense et cela la motiva encore plus à sucer avidement son amant.

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Auf der Autobahn

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Anal

Jasmins Blick wanderte auf den Beifahrersitz, auf dem ihre Mitfahrerin langsam ihre Beine auseinander spreizte. Kristina nutzte die volle Sitzbreite aus und berührte mit ihren Knien nunmehr die Autotür auf der rechten und den Kupplungshebel auf der linken Seite. Ihre Bewegungen gingen langsam und sachte vonstatten, doch immerhin so auffällig, dass die Frau neben ihr darauf aufmerksam wurde und sie neugierige Blicke auf die andere Frau richtete. Jasmin blickte durch die Windschutzscheibe und stellte zufrieden fest, dass vor ihr freie Fahrt herrschte. Es schien, als wäre sie momentan der einzige Fahrer auf der Autobahn und dieser Umstand lies es zu, dass sie ihre Aufmerksamkeit ein wenig von der Fahrbahn zu ihrer Beifahrerin hin verlagern konnte. Diese blickte gelangweilt nach vorne. Zumindest schien es so. Und während sie starr die Autobahnkilometer an sich vorbei ziehen sah schien sie sich auf

etwas ganz Bestimmtes zu konzentrieren. Kristina trug einen langen Rock. der ihr bis weit über die Knie reichte. Doch momentan befand sich der Rocksaum alles Andere als an Ort und Stelle. Sie hatte ihn mit beiden Händen ergriffen und ihn nach und nach hoch gerafft, bis er ihr über die spitzen Knie reichte. Doch dort machte er nicht halt sondern wurde noch weiter nach oben gezogen, bis man gut die Hälfte der nackten Oberschenkel erkennen konnte. Jasmin fragte sich, was Kristina im Schilde führte. Sie waren seit mehreren Monaten ein Paar und auf dem Weg zu Jasmins Eltern. Jasmins Vater würde am darauf folgenden Tag seinen 50. Geburtstag feiern und natürlich war die ganze Familie eingeladen. Niemand rechnete damit, dass Jasmin einen Gast mitbrachte und schon gar nicht, dass es sich bei dem Gast um eine Frau handelte. Niemand in ihrer Familie rechnete damit. dass sie liiert war. Und schon gar nicht, dass Jasmin mittlerweile am anderen Ufer fischte. Die erste Zeit hatte sich Jasmin nicht eingestehen wollen, dass Kristina sie reizte, doch letztendlich verfiel sie dem Charme der gleichaltrigen Frau und lies sich auf dieses Abenteuer ein. Kristina war eine Vollblutlesbe und führte ihre neue Partnerin in die Geheimnisse der gegenseitigen Weiblichkeit ein. Das Kristina spontan und ein wenig verrückt war demonstrierte sie gerade erneut.

Jasmin verfolgte, wie sich Kristina ihren Rock noch weiter hoch zog und schließlich bedeckte dieser den Unterleib gar nicht mehr. Jasmin erstarrte beim Anblick des einladenden Schoßes ihrer Freundin. Kristina hatte kein Höschen an, daher konnte sie ihr ungehindert auf den haarlosen Intimbereich blicken. Kristina tat so, als wäre sie unbeobachtet und rutschte ein Stück tiefer in ihrem Sitz. Ihre Schenkel spreizten sich noch weiter und dann schob sie ihre

rechte Hand zwischen die Beine. Jasmins Blick wechselte ständig zwischen der Fahrbahn und dem Schoß Kristinas und der Verkehr lies es zu, dass der Anteil der Blicke auf den Beifahrersitz überwog. Sie konnte sich nicht erklären, warum Kristina sich plötzlich derartig präsentierte, denn einen Anlass dazu hatte Jasmin ihr nicht gegeben. Es passte aber zu Kristinas Spontanität, dass sie von einem auf den anderen Augenblick etwas anstellte, wozu sie gerade Lust hatte. Und was sie nun vorhatte konnte Jasmin allzu deutlich erkennen. Kristinas schmale Finger erreichten ihre intime Stelle und kurz darauf versank ihr Mittelfinger zwischen die einladend wirkenden Schamlippen. Mit vorsichtigen Bewegungen begann sich Kristina zu reizen und zog damit Jasmins Aufmerksamkeit vollends auf sich. Jetzt blickte

Kristina zu Jasmin herüber und grinste ihre Partnerin an. Sie lies weiterhin ihre Finger dort arbeiten, wo es ihr Freude bereitete und sagte “Schau lieber auf die Straße…. Sonst verunglücken wir noch. Und man sollte mich nicht ohne Höschen hier auffinden.”

Jasmin blickte nach vorne und realisierte, dass vor ihr kein Verkehr herrschte. Sie blickte erneut auf den Schoß ihrer Nachbarin, dann in Kristinas çorum escort Gesicht. „Gibt es einen speziellen Grund, warum du es dir jetzt so gemütlich machst?”

„Mir war einfach danach.”, erwiderte Kristina und gab nicht zu verstehen, dass sie ihr Tun irgendwie ungewöhnlich finden würde.

Jasmin lächelte und konzentrierte sich wieder auf die Fahrbahn. ,,Von mir aus darfst du dich ruhig entspannen und etwas Spaß haben…. Schade nur, dass ich ja fahren muss.”

„Du kannst dich ja beteiligen.”, schlug Kristina grinsend vor.

„Und wie…? Ich fahre doch. Oder soll ich doch einen Unfall provozieren?”, fragte Jasmin neugierig.

„Genügt nicht eine Hand zum Lenken?”, hinterfragte Kristina.

„Nun ja. Eigentlich schon.”, bestätigte Jasmin. “Solange ich nicht schalten muss.”

“Dann mach doch einfach mit.”, forderte Kristina sie auf. Jasmin sah Kristina in die Augen und realisierte, dass sie es durchaus ernst zu meinen schien. „Nein, dass mache ich nicht.”

“Wie du willst.”, kommentierte Kristina und setzte die Befriedigung ihrer Bedürfnisse fort. Jasmin musste immer wieder neugierige Blicke zum Beifahrersitz werfen und jedes Mal bekam sie bestätigt, dass Kristina sich tatsächlich selber mit den Fingern stimulierte. Das Ganze hatte etwas absolut Irreales an sich und bestätigte Kristinas grundsätzliche Einstellung.

“Wo ist eigentlich dein Höschen?”, fragte Jasmin interessiert.

„Im Koffer.”, beantwortete Kristina die Frage.

„Hast du vor im Haus meiner Familie auch unten ohne herum zu laufen?”, wollte Jasmin wissen.

“Wer sollte sich denn daran stören?”, fragte Kristina grinsend. “Oder würde dich das nervös machen, wenn ich deine Eltern ohne Slip begrüße?”

“Solange du deinen Rock dabei unten lässt, wird es schon gehen.”, fand Jasmin. Kristina lies weiterhin ihren Finger in und über ihre Muschi gleiten. Noch zeigte sie keine Anzeichen von Erregung und sie sah eher gelangweilt aus dem Fenster. Jasmin blickte immer wieder zwischen die wohlgeformten Schenkel ihrer Partnerin und spürte langsam die eigene Erregung steigen.

Sie liebte es, wenn Kristina spontan war und Dinge anstellte, die sie sich selber kaum trauen würde. Kristina war eher draufgängerisch und sie selber eher schüchtern. Doch sie lies sich gerne von Kristina animieren und dadurch erlebten sie gemeinsam einige erotische und geile Momente in ihrem Zusammenleben. Sollte sie sich während der Fahrt etwa auch intim berühren? Warum machten sie eigentlich keine Pause, sodass sie auf einem Parkplatz etwas miteinander anstellen könnten? Jasmin blickte auf ihre Uhr und stellte fest, dass sie ohnehin schon spät dran waren. Sie hatten noch gut eine Stunde Fahrt vor sich und Zeit für ein Stelldichein hatten sie eigentlich nicht. Aus den Augenwinkeln realisierte Jasmin nun, dass Kristinas Hand noch immer zwischen ihren Beinen steckte. Sie fragte sich, ob sich Kristina tatsächlich bis zu einem Höhepunkt treiben würde. Jasmin betätigte einen Knopf am Radio und wechselte damit zu einem anderen Sender. Auf diesem erklang nun ein Schmusesong, den sie von irgendwo her kannte.

„Aha. Jetzt gibt es auch die passende Musikbegleitung.”, kommentierte Kristina. Jasmin lächelte und wunderte sich erneut darüber, wie locker Kristina die Dinge nahm. ,,Bist du denn nicht ohnehin in Stimmung?”, erkundigte sich Jasmin.

Kristina sah zur Fahrerseite herüber und grinste Jasmin an. “Du kannst ja mal nachsehen, ob es so ist.”

Jasmin verstand sogleich, was ihre Partnerin im Sinn hatte. Der Reiz, der Aufforderung

nachzukommen, war groß und Jasmin rang mit sich, ob sie sich darauf einlassen sollte. Während sie mit der linken Hand das Lenkrad umfasste streckte sie ihre rechte Hand zum Beifahrersitz aus. Sie tastete sich zu Kristinas Becken hin und berührte schließlich die nackten Schenkel ihrer Freundin. Da sie den Blick nicht von der Straße denizli escort nehmen wollte sah sie nicht, wohin sie ihre Hand bewegen musste. Kristina kam ihr zu Hilfe und nahm Jasmin beim Handgelenk. Sie führte Jasmins Hand an die Stelle, wo sich zuvor Kristinas Finger befand. Jasmin spürte nun, dass ihre Hand sich oberhalb von Kristinas Venushügel befand. Von hier aus war sie durchaus in der Lage den restlichen Weg zurück zu legen ohne hinsehen zu müssen. Sie streckte ihren Mittelfinger aus, der sich dann direkt auf die Öffnung der anderen Frau legte. Als er zwischen die Schamlippen eindrang spürte Jasmin sogleich die Wärme und Feuchtigkeit, die sich um den Finger legten. Sie versenkte den Finger soweit es ging und bewegte diesen dann leicht hin und her. „Du bist ja total nass.”

“Und….? Was meinst du?”, fragte Kristina sichtlich amüsiert.

„Ich meine, dass du es wohl ziemlich nötig hast.”, behauptete Jasmin.

“Da könntest du recht haben. Mach ruhig weiter.”, bat Kristina und schloss dann ihre Augen.

Jasmin zögerte nur kurz, nahm dann aber einen stetigen Streichelrhythmus auf. Ihr Finger schob sich durch das nasse Areal und sie konzentrierte sich dann hauptsächlich um Kristinas Kitzler. Nach knapp drei Kilometern im Auto begann Kristina zu stöhnen. Offenbar genoss sie Jasmins Fingerspiel sehr und hatte sich damit angefreundet, dass ihre Partnerin es ihr nunmehr besorgte. Jasmin fühlte sich in ihrer Rolle ganz wohl. Die Fahrt auf der Autobahn erforderte ein geringes Maß an Aufmerksamkeit, weswegen sie sich um die Belange ihrer Beifahrerin kümmern konnte. Sie bekam natürlich mit, dass Kristina immer geiler wurde und am liebsten wäre sie mit ihr intim geworden. Aber auch so hatte sich eine anregende und interessante Situation ergeben, welche die Beiden noch nie zuvor in dieser Form erlebt hatten.

Kristina stöhnte nun intensiver und ihre leichten Bewegungen auf ihrem Sitz signalisierten die

gesteigerte Lust. Jasmin hatte beschlossen Kristina bis zu ihrem Höhepunkt zu begleiten, sofern es der Verkehr zuließ. Plötzlich spürte sie Kristinas Hand an ihrem Oberschenkel. Ein Blick zur Seite bestätigte ihr, dass Kristina zwar immer noch die Augen geschlossen hatte, aber dennoch ihre linke Hand auf Wanderschaft gegangen war. Jasmin trug eine kurze Shorts, in die nun von unten die Finger von Kristina einzudringen versuchten. “Hey, ich fahre doch.”

Kristina erwiderte nichts. Stattdessen öffnete sie die Augen und beugte sich dann leicht zu ihrer Freundin herüber. Mit beiden Händen nestelte sie dann an Jasmins Hosenknopf herum und bald waren sowohl der Knopf als auch der Reißverschluss geöffnet.

“Was machst du denn?”, fragte Jasmin. Ihre rhetorische Frage deutete keinesfalls an, dass sie gegen Kristinas Annäherung war. Dem Grunde nach freute sie sich über die Bemühungen Kristinas. Während Kristina an Jasmins Hose herum fummelte befand sich Jasmins rechte Hand nicht mehr zwischen Kristinas Schenkeln. Dies war aufgrund Kristinas Körperhaltung nicht mehr möglich. Als Kristina die Hose ihrer Fahrerin herunter ziehen wollte unterstützte Jasmin ihre Bemühungen und hob kurz den Hintern vom Sitz ab. Hose und Höschen wurden dann von ihrem Allerwertesten herab gestreift und hingen ihr schließlich um die Fußknöchel.

“Man, ich kann so nicht fahren.”, beschwerte sich Jasmin leicht lachend. Kristina beugte sich noch weiter in Jasmins Fußraum und befreite ihre Freundin schließlich von dem hinderlichen Beinkleid. Mit einer triumphierenden Geste hielt Kristina ihre Beute hoch und grinste dabei Jasmin schelmisch an. Diese saß nun unterhalb des Bauchnabels unbekleidet auf ihrem Platz und vergewisserte sich gerade, dass ihr Fahrzeug immer noch geradeaus fuhr. Kristina nahm dann ihre vorherige Sitzposition mit gespreizten Beinen ein und erwartete offenbar Jasmins Hand zurück in ihrem Schoß. Bevor Jasmin reagieren konnte sah düzce escort sie Kristinas linken Arm auf sie zu kommen und kurz darauf erreichten die Finger die ebenfalls haarlose Ritze. Jasmins spürte mehrere Finger in sich eindringen und sie konnte sich einen Seufzer nicht verkneifen.

“Oho…. Du bist ja auch total geil.”, stellte Kristina fest.

“Ist ja auch kein Wunder, wenn du hier halb nackt neben mir sitzt und an dir rum spielst.”,

kommentierte Jasmin.

„Ich hoffe, du führst uns nicht in die Leitplanken.”, bat Kristina und begann dann sachte Jasmins Muschi zu fingern.

Jasmin erwiderte nichts und stöhnte nochmals auf. Ihre rechte Hand kehrte zum Schoß ihrer Freundin zurück und schließlich befanden sich beide Hände der Frauen zwischen den Schenkeln der jeweils anderen.

“Au man. So was habe ich noch nie beim Autofahren gemacht.”, stellte Jasmin fest.

“Wird aber mal Zeit, dass wir so was mal ausprobieren.”, erwiderte Kristina. Beide Frauen genossen die wechselseitige Zuwendung und hin und wieder rutschte Jasmin etwas vom Gaspedal, wenn sie eine kleine Lustwelle überrannte. ,,Wie soll ich denn gleich noch weiter fahren, wenn es mir kommt?”

„Ich kann ja aufhören.”, bot Kristina an.

“Unterstehe dich.”, erklärte Jasmin und versuchte weiterhin Autofahren und Genießen unter einen Hut zu bringen.

“Du läufst ja fast aus.”, kommentierte ihre Freundin. ,,Du versaust ja den Sitzbezug.”

“Das ist mir jetzt egal.”, fand Jasmin. “Mach immer weiter.”

Kristina kam der Aufforderung nach. Die Finger der Beteiligten stimulierten jeweils die Lustzentren in den Unterleibern und Beiden war die steigende Erregung anzumerken. Plötzlich sah Jasmin einen Lastwagen vor ihrem Auto auftauchen, den sie zunächst nicht bemerkt hatte. Wenn sie nicht von anderen Dingen abgelenkt worden wäre hätte sie den LKW sicherlich eher bemerkt. Sie lenkte ihren Wagen ohne zu Blinken auf die andere Spur der Autobahn und scherte später vor dem Lastwagen wieder auf die bisherige Spur ein.

„Meinst du, er hat gesehen, was wir hier drin machen?”, fragte Kristina neugierig.

“Und wenn, dann holt er jetzt wahrscheinlich seinen harten Schwanz aus der Hose und besorgt es sich auch.”, mutmaßte Jasmin grinsend. Ihre Stimme verriet eindeutig ihre Erregung und sie musste Kristina nicht mitteilen, dass sie kurz vor einem befriedigendem Orgasmus stand. Die Frauen kannten sich mittlerweile so gut, dass sie ihre ekstatischen Zustände sehr wohl erkennen konnten. Zwischen den Kilometersteinen 121,5 und 123,0 kamen sie Beide, nur wenige Augenblicke voneinander entfernt. Kristina erlebte als Erste dieses erlösende Gefühl, auf das sie und Jasmin hin gearbeitet hatten. Jasmin folgte kurz darauf und musste sich sehr stark beherrschen, dass der Wagen nicht vom Weg abkam und in die Leitplanken fuhr. In den Augenblicken ihres Hochgenusses reduzierte sie die Geschwindigkeit des Autos auf unter 60 km/H, was ihr von etlichen überholenden Fahrzeugen hupende Beschwerden einbrachte. Mit beiden Händen am Lenkrad lies sie die letzten Streicheleinheiten durch Kristinas Finger über sich ergehen und als das himmlische Gefühl langsam abklang konnte sie sich wieder auf die Fahrbahn konzentrieren. Sie fuhren noch eine Weile und verließen schließlich die Autobahn. An einer Ampel nutzte Jasmin die Gelegenheit und zog sich ihr Höschen und ihre Hose wieder an. Kristina zog es vor weiterhin ohne Höschen unter ihrem Rock zu verbleiben. Wenig später erreichten sie ihr Ziel und wurden von Jasmins Eltern mit überraschten Gesichtern begrüßt. Jasmin stellte Kristina als eine gute Freundin vor und drängte darauf ins Haus zu kommen. Sie würde ihren Leuten bald erklären müssen in welcher Beziehung sie zu Kristina stand, wollte sich aber vorher noch etwas frisch machen. Als sie sich in ihrem alten Kinderzimmer umzog fiel ihr Blick auf Kristina, die sich nackt ausgezogen hatte und in das Badezimmer schlüpfte. Die heutige Fahrt hatte sie darin bestätigt mit Kristina die richtige Partnerin gefunden zu haben. Ohne weiter nachzudenken entledigte sie sich ihrer Klamotten und folgte Kristina ins Bad. Es war noch genügend Zeit die intime Zweisamkeit mit ihrer Partnerin zu intensivieren.

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Amateur

Es war, wie immer früh morgens, noch dunkel draußen. Ich packte meine sieben Sachen zusammen und begab mich in Richtung Bushaltestelle. Wie immer begrüßte ich auf halbem Wege einige Freunde, wobei wir dann immer eine rauchten und uns unterhielten. Und wie immer morgens um diese Zeit ging wieder dieses süße Girl an uns vorbei. Ich wusste noch nicht einmal, wie sie hieß, aber aufgefallen war sie mir schon immer. Sie war etwas kleiner als ich, ca 1,70. Sie war schlank und hatte lange schwarze Haare und ein niedliches, jugendliches aber irgendwie überlegenes Gesicht.

Immer ging sie erhobenen Hauptes an uns vorbei, als ob sie uns gar nicht sah. Ihre Figur war unglaublich, ich musste mich jedesmal wundern, wenn ich sie sah. Sie war schlank, wie gesagt, hatte, soweit ich es beurteilen konnte, hatte große Brüste und lange Beine. Sie trug oft diese schwarzen, dünnen Hosen, welche die Figur so gut betonen, manchmal auch echt enge Jeans und wenn sie am Nachmittag zur selben Zeit an der Haltestelle nach Hause kam wie ich, wenn es schon hell war, dann konnte man manchmal die Umrisse ihres Slips erkennen. Das machte mich immer an! Ich sorgte für gewöhnlich dafür, dass ich nach ihr aus dem Bus stieg, damit ich hinter ihr gehen, und sie ausgiebig betrachten konnte. Ich weiß nicht, ob sie das bemerkte. Naja, jedenfalls ging sie auch auf meine Schule. Sie war im Jahrgang direkt unter mir, soviel wusste ich. Demnach musste sie sechszehn oder siebzehn sein, ein gutes Alter, denn ich war ja selbst erst achtzehn…

“Komm schon, Stefan!” sagte Dennis, einer von den Kumpels, bei denen ich stand und rief mich aus meine Gedanken. Hmm, Dennis musste doch auch in ihrem Jahrgang sein, oder…? Wir gingen jedenfalls Richtung Bushaltestelle und als wir ankamen sah ich sie schon dort stehen, mit ihrer Freundin, die immer mit ihr zusammen dort stand. Ihre Freundin sah nicht ganz so gut aus, war aber auch irgendwie niedlich. Noch ein wenig kleiner, mit dunkelblonden Haaren. Sie war auch nicht ganz so schlank. Nicht dick, aber auch nicht so recht schlank. Jedenfalls sah sie ganz niedlich aus.

Ich traf einige weitere Freunde, es wurde ein wenig morgendlicher Small Talk gehalten, wie das eben so ist. Irgendwann kam dann er Bus und wie immer entstand ein Gedränge, weil alle zuerst den warmen Hafen, und viel wichtiger, die Sitzplätze erreichen wollten. Zufälligerweise passierte es heute, dass das süße Mädchen und ihre Freundin auch an der hinteren Tür standen und sich ins Gedränge warfen. Wie mir das recht war! Ich blieb kurz stehen, so dass die Süße direkt vor mir stand. Als der Bus dann um die Ecke kam, und sich das Gedränge intensivierte, fasste ich an ihren Hintern. Ich merkte sofort, dass sie wieder diese dünne Hose anhatte, denn man konnte die Umrisse des Slips fühlen. Boah! Das tat gut. Sie war warm und weich, eben perfekt. Doch offenbar hatte sie etwas gegen meine Streicheleinheiten, denn sie blickte sich böse um. Glücklicherweise fanden ihren Augen Dennis und ich war aus dem Schneider. Armer Kerl. Ich hatte jdenfalls einen richtigen Steifen und fühlte mich auf der ganzen Fahrt angenehm warm und gut.

Der Bus, der uns zur Schule fuhr, brachte uns leider nicht direkt vor die Tür, sondern nur einige Straßen weiter. Man musste den Rest des Weges zu Fuß gehen. Allein, wie immer, machte ich mich auf den Weg. Es war nicht weit, und in zehn Minuten gut zu schaffen. Ich schaltete meinen Walkman ein und genoß noch immer die Berührung von vorhin, als plötzlich zwei Arme nach mir griffen. Links und rechts. Ein wenig erschrocken drehte ich die Musik aus. “… bist?” Ich drehte mich um und zu meinem Unverständnis waren es die beiden Mädchen. Ich fürchtete zunächst, sie hätte rausgefunden, wer ihr da vorhin am Hintern… “Hi Du. Kann es sein, dass Du ein Jahrgang über uns bist?” wiederholte sie ihre Frage. “Hallo. Ja, ich glaube das stimmt. Aber wer seid ihr beiden?”

“Ich bin Susi.” sagte die Schwarzhaarige. “Hi. Ich bin Petra.” sagte die andere. “Schön,” sagte ich “ich bin Stefan. Was gibt es denn?” Es war für mich ungewöhnlich, Kontakt mit den anderen Jahrgängen zu haben, doch bei diesen beiden machtes es mir absolut nichts aus. Ansonsten war es wohl üblich, dass auch zwischen den Jahrgängen viel Austausch stattfand. Deswegen leuchtete es mir auch ein als sie sagte: “Ich weiß sogar, wer Du bist. Wir haben von ein paar Leuten gehört, dass Du einer der besten Schüler deines Jahrgans bist und da wollten wir fragen, ob Du nicht Zeit hast, uns ein wenig in diversen Fächern zu helfen?” Soso, dachte ich mir. Um Nachhilfe geht es also. Puh. Gerne doch!

“Klar,” sagte ich, “um welche Fächer geht es?” Susi sah Petra an, und so fing sie an: “Bei mir sind es Chemie bitlis escort und Politik.” “Und ich habe Schwierigkeiten in Englisch und Biologie.” ergänzte Susi. Perfekt. Bio und Englisch waren meine Leistungsfächer, in welchen ich mich tatsächlich recht gut auskannte. “Ja, gut. Aber ich weiß nicht, ob ich genug Zeit habe, in vier Fächern einzeln nachzuhelfen. Die Fächer sind übrigends kein Problem. Wenn ihr mit Mathe gekommen wärt…”. Susi lächelte mich an. “Schon gut. Wir würden dich auch bezahlen. Wir können uns einmal die Woche zu dritt bei mir treffen. Dann kannst Du uns beiden helfen! Am besten Freitags, da sind meine Eltern nachmittags beide nicht da.” Sehr gut, dachte ich. Es war schier unglaublich, dass die beiden mit so einer Idee an mich herangetreten waren. “Gut. Wir können und am nächsten Freitag dann treffen. Ich bereite eine kleine Übersicht über die Themen vor! Und mit der Bezahlung, das können wir noch besprechen!” Mir schwebte da schließlich etwas ganz besonderes vor.

So kam es also, dass ich die beiden schließlich kennenlernte. Jetzt wusste ich, wie die Süße hieß. Susi. Ein schöner Name!

II Bei Susi zu Hause

Die ganze Woche über fieberte ich dem Freitag entgegen. Ich freute mich darauf, wieder Kontakt zu Susi zu bekommen, denn außer um mir eine kurze Wegbeschreibung zu ihrem Haus zu geben, hatte sie nicht mit mir gesprochen. Wir wollten uns um fünfzeh Uhr treffen. Also noch genügend Zeit, um nach der Schule eine Kleinigkeit zu essen und die Themen vorzubereiten. Ich hatte keine Vorstellung, wie lange die beiden lernen wollten und ausserdem war es die erste “Stunde”. Also bereitete ich nicht so viel vor. Kurz vor drei machte ich mich auf den Weg, denn Susi wohnte wirlich nur eine Straße weiter.

Obwohl es in diesem Herbst morgens knackig frisch war, war es am Nachmittag recht angenehm. Ich nahm nur eine dünne Jacke mit, und band die Bücher und den Block zusammen. Ich klemmte sie mir unter den Arm, wie es die Leute früher gemacht haben. Ich klingelte an der Tür. Als Susi öffnete, fiel ich die kleine Treppe beinahe herunter! Sie sah unglaublich aus; barfuß, trug eine eng anliegende Stoffhose und ein halbrund ausgeschnittendes Oberteil, was ihre Brüste prima zur Geltung brachte. Sie umarmte mich flüchtig zur Begrüßung, wobei ich ihr über den Rücken strich und den BH bemerkte. “Petra ist noch nicht da. Ich denke, ich zeige Dir erstmal alles während wir warten!” Sie führte mich durch das Haus und schließlich gelangten wir in der Wohnstube an, wo sie auf einem Tisch Platz geschaffen und Gläser bereitgestellt hatte. Leise Musik kam von irgendwo. Es war gemütlich. Mit einem Blick auf die Uhr fragte sie: “Wie lange kannst Du bleiben?” “So lange ihr mich braucht; allerdings hatte ich eigentlich nicht vor, so sehr lange zu bleiben, oder?” sagte ich. Andererseits hatte ich mir für den Abend extra nichts vorgenommen. “Gut, dann lass uns einfach anfangen, ja?” fragte sie. “Gut. Was machen wir zuerst?” Wir setzten gegenüber an den Tisch. “Bio. Da schreiben wir demnächst eine Klausur. Wir machen gerade Vererbung. So mit Chromosomen und so…”. Sie zeigte mir ihre Mappe, die ich kurz studierte. Sie hatte denselben Lehrer, welchen ich im Jahr zuvor gehabt hatte, was die Sache vereinfachte. “OK. Also pass auf. Das mit den Chromosomen ist eigentlich ganz einfach. Sie haben zwei Hauptformen, eine…” Es klingelte an der Tür. Susi sprang auf. “Ich komme gleich wieder.” Ich nutzte die Zeit, um mich ein wenig im Raum umzusehen. Dabei entdeckte ich ein Foto, was ein junges Mädchen, viellicht sechs oder sieben zeigte, das nackt in einem Plantschbecken stand. Es musste Susi sein. Ich betrachtete das Bild immer noch, als Susi und Petra in den Raum kamen. “Bist du das?” fragte ich, und Susi wurde rot. “Ja, da war ich noch ganz klein…” “Mhm. Gut, machen wir weiter. Also, die Chromosomen…” eine ganze Stunde erklärte ich ihr die Angelegenheit, bis ich das Gefühl hatte, das sie es verstanden hat. Petra machte so lange wohl Hausaufgaben oder so. Jedenfalls saß sie mit am Tisch und beobachtete uns. Einmal ging sie kurz um etwas zu Trinken zu holen. Dann war sie an der Reihe und Susi sagte, sie hätte noch was in der Küche zu tun, was mich wunderte. Warum sollte sie etwas in der Küche tun? Jedenfalls verdrückte sie sich. Ich war zu neugierig und so schlich ich ihr hinterher nachdem ich Petra mit dem Vorwand besänftigt hatte, ich müsste aufs Klo.

Zunächst schlich ich in die Küche, wo ich niemanden vorfand. Zum Glück kannte ich mich ja Dank Susi in der Wohnung aus. Als nächstes ging ich Richtung Susi’s Zimmer. Leise Bewegungen waren von dort zu hören. Ich schlich mich näher und späte durch den Schlitz der angelenhnten bolu escort Tür. Der Flur, in dem ich stand, war dunkel, also vom Zimmer aus nicht einzusehen. Dort sah ich sie! Sie stand mitten im Zimmer, gerade dabei, ihr Oberteil über den Kopf zu ziehen. Ich fragte mich, warum sie das wohl tat. Sie war halb von mir weggedreht, so dass ich ihr Profil sehen konnte, als die den BH öffnete. Um ihn bei Seite zu legen, musste sie sich in meine Richtung drehen, und ich konnte ihre schönen Brüste bewundern. Zu meinem Entzücken zog sie sich dann die Hose aus. Sie trug einen normalen Sportie-Slip, der sehr sehr gut an ihr aussah. Mir vielen beinahe die Augen aus, als sie ihn entschlossen runterzog. Ich konnte ihre gesamte Schönheit sehen. Völlig nackt stand sie nur drei Meter von mir entfernt, und doch konnte ich sie nicht berühren. Sie hatte sich die Schamhaare wegrasiert, das fiel mir als erstes auf. Doch leider dauerte die kleine unfreiwillige Peepshow nur kurz, denn sie nahm die Hose und begann, sie wieder anzuziehen. Jetzt begriff ich. Das kleine Biest wollte sich nur der Unterwäsche entledigen, um jemaden anzumachen. Wer konntes das nur sein, es waren ja so viele Leute hier? Als sie nach ihrem Top griff, schlich ich mich schnell ins Bad, um meine Tarnung nicht zu verlieren. Ich zog die Spülung und wusch mir extra laut die Hände. Als ich in den Flur trat, kam Susi gerade um die Ecke. Hier war es heller und ich konnte sofort ihre Brustwarzen durch den Top schimmern sehen.

Wir begaben uns zurück in die Wohnstube zu Petra, die über einer Reaktionsgleichung brütete. Kurz darauf war sie fertig. Ich schaute mir das Ergebnis an; sie hatte es richtig gelöst. Da alles fertig war, wollte sie sich nun verabschieden. Ich hoffte nur, dass Susi mich nicht rauswerfen würde. “Schade, dass Du schon gehen musst.” sagte sie zu Petra und ich sah, wie sie ihr zuzwinkerte. Ein abgekartetes Spiel? Dann drehte sie sich zu mir und fragte: “Bleibst Du noch einen Moment? Ich hätte da noch die eine oder andere Frage!” Diese Bitte konnte ich natürlich keinesfalls verneinen. Als wir Petra an der Tür verabschieded hatten sagte sie: “Ich mache uns was zu essen, und dann machen wir es uns ein wenig bequemer, ja? Dann kann man einfach besser lernen!” Ich nickte nur noch. Nie im Leben hätte ich geglaubt, dass die kleine Susi, die immer kalt und unbeteiligt an mir vorüber zum Bus gegangen war, schon bald solche Spielchen mit mir treiben würde. Ich kramte am Tisch ein wenig die Chemiesachen zusammen, die Petra gebraucht hatte. Dann ging ich in die Küche. Dort stand Susi und war gerade dabei, zwei Pizzas in den Ofen zu schieben. Wie zufällig fiel ihr dabei der Topflappen herunter und sie beugte sich vor um ihn aufzuheben, was mir natürlich einen großartigen Blick in ihren Ausschnitt gewährte, der ja ohnehin schon großzügig bemessen war. Sie ahnte ja nicht, dass ich ihr vorher beim Umziehen zugesehen hatte. Ich grinste sie wieder nur an. “In zwanzig Minuten sind die Pizzen fertig.” sagte sie. “Gut.” antwortete ich. Ich wollte mal sehen, ob ich sie nicht aus der Reserve locken konnte. “Dann lass uns noch gerade Bio machen, dann kann ich nach dem Essen verschwinden und störe nicht länger!” sagte ich. Das hatte gesessen. Sie schaute sichtlich enttäuscht drein. “Schon? Es ist doch erst halb sieben. Ich dachte, wir könnten vielleicht noch ein Video schauen oder so. Ich bin immer so allein am Freitag. Du weisst doch, dass meine Eltern erst spät kommen.” Gespielt überrascht erwiederte ich: “Nun gut. Ich schätze ich würde auch nur rumsitzen, denn ich kann heute abend das Auto von meiner Mutter nicht bekommen. Dann kann ich dir ja ein wenig Gesellschaft leisten.” Insgeheim freute ich mich natürlich riesig über das Angebot. Ich hoffte, dass ich sie heute noch rumkriegen würde, doch war ich mir nicht ganz sicher.

Sie stellte dann noch drei oder vier Fragen, die sie sich wohl vorher gut überlegt hatte, denn sie ließen sich in einigen Sätzen beantworten. Wir packten dann die Sachen zusammen, und holten die Pizzas aus dem Ofen. Als sie das Blech herausnahm, streckte sie mir verführerisch ihren Po entgegen. Ein weiteres Zeichen ihres eigentlich eindeutigen Vorhabens. Wir setzten uns mit den Tellern nebeneinander auf den Sofa und sie machte den Fernseher an. Das Video hatte sie wohl in weiser Voraussicht schon bereitgelegt. Wir aßen und schauten, so blieb wenig Zeit zu sprechen. Es war ein trauriger Film, mit vielen erotischen Anspielungen. Kein Sexfilm, aber sehr viele Anspielungen. Gegen Ende als der Held in den Armen seiner Freundin stirbt, musste Susi natürlich anfangen, zu weinen und folgerichtig in meinen Armen landen. Ich streichelte ihr über den Rücken und bemerkte einmal burdur escort mehr das Fehlen des BH’s. Sie schmiegte sich an mich und hatte plötzlich ihre Hand unter meinem Pullover. Gut. Sie hatte den erstem Schritt getan, dann durfte ich jetzt auch loslegen. Zunächst zog ich ihr Oberteil vorsichtig aus der Hose, und ließ meine hand auf ihrem Rücken daruntergleiten. Wir streichelten uns und dann küssten wir uns. Sie war unerfahren, doch nachdem ich ein wenig mit ihrer Zunge gespielt hatte, wurde sie sicherer. Wir sahen uns in die Augen. Dann zog ich ihr Oberteil über ihren Kopf und sie zog mir Pullover und T-Shirt aus. Ich stand vom Sofa auf, und drückte sie mit leichter Gewalt in ein liegende Positon. Nun brauchte ich ihr nur noch die Hose runterziehen und schon sah ich sie (wieder) nackt vor mir. Ich freute mich riesig und war so sehr erregt, dass meine Finger zitterten. Sie schiehn unsicher, und suchte immer wieder Augenkontakt. “Stefan,” sagte sie dann, “bitte sei vorsichtig. Es ist mein erstes Mal.”

“Keine Sorge.” raunte ich. Ich fing an, ihr die Füße zu massieren, arbeitete mich dann schnell höher zu ihren Schenkeln, die sie ein wenig verkrampft hielt. Ich streichelte sie auf und ab, wobei ich immer weiter zu den Innenseiten ging, bis ich dabei an ihre äußeren Schamlippen stieß. Sie war schon ganz feucht, wie ich bemerkte. Ein wenig von ihrem Saft lief aus ihr heraus auf das Sofa. Ich beugte mich über sie und küsste ihren Bauch, glitt mit der Zunge tiefer, bis ich an ihren Schamlippen war. Ich leckte den Saft auf, was ihr ein Stöhnen entlockte.

“Keine Angst.” sagte ich noch einmal. Dann steckte ich die Zunge in sie hinein, nur einige Zentimeter.

“Nein,” stöhnte sie, “tu’ es nicht mit der Zunge. Ich will dich spüren! Keine Angst, ich nehme die Pille.” Ich ließ also von ihr ab und öffnete erstmal meine Hose. Mann, war ich geil auf die Kleine. Schnell ließ ich die Unterhose auf den Boden fallen, damit sie nicht so lange warten musste, und legte mich über sie. Zunächst ließ ich mein Ding in Position auf ihrem Bauch liegen, damit sie es erstmal spüren konnte. Ich küsste sie wieder und sie hielt es kaum mehr aus. “Los, mach es endlich.” stammelte sie. Um sie abzulenken knabberte ich ein wenig an ihrem Ohr, und dann stieß ich ohne Vorwarnung in sie hinein. Sie zuckte nur kurz und ein paar Tränen sammelten sich in ihren Augen. Ich küsste sie weg und fing an, mich in ihr zu bewegen und immer wieder rythmisch zuzustoßen. Ihr lächeln kam schnell zurück, und sie begann, schneller zu atmen. Der Blick, der dabei auf ihrem Gesicht lag, ist schwer zu beschreiben. Ich konnte ihre Geilheit sehen, ihren Genuß. Es machte ihr sichtlich Spaß. Schon kamen wir beide beinahe gleichzeitig. Sie schrie einen lauten Seufzer aus sich heraus während ich in sie hineinspritzte. Es war einfach geil. Sie lächelte mich zufrieden an. “Boah. So geil habe ich mir das gar nicht vorgestellt!” Ich legte mich zu ihr und umarmte sie. Mit einer Decke, die neben dem Sofa lag, deckte ich uns zu.

Der Film war inzwischen zu ende, und nur statisches Rauschen zu sehen, als plötzlich das Bild wieder anging. Ein Sexfilm war auf dem Rest der Kassette. Wir sahen ihn uns an, und wurden erneut scharf auf einander. “Mach’s mir jetzt mit dem Mund.” sagte sie. Ich krabbelte unter die Decke und umfasste ihren Körper. Sie war so warm und weich. Ich legte meinen Mund an ihre heißes Loch und fing an, mit der Zunge darin herumzustöbern. Sie roch so anziehend. Ich fand ihren Kitzler, der erneut anschwoll, und nahm ihn vorsichtig in den Mund, was ihr wildes Stöhnen entlockte. Ich saugte daran und umspielte ihn mit der Zunge, bis Susi erneut heftig kam. Sie schüttelte sich. Mein ganzes Gesicht war verschmiert von ihrem jungfräulichen Saft. Es war so geil! Einem jungen Mädchen das erste Mal zu besorgen machte mich unheimlich an.

Unnötig zu erwähnen, dass ich es nun auch noch einmal ganz dringend brauchte. Ich drehte sie so, dass sie auf dem Bauch lag, und fasste dann von hinten in ihre Liebeshöhle. Ich benetzte meine Hand mit ihrem Saft, und rieb damit ihr Hinterteil ein. Dann legte ich mich über sie und brachte meien Stab genau zwischen ihre Beine. Ich drückte ihn voll in ihren Hintern, und sie stöhnte erneut auf, so intensiv war es für sie. Sie war so eng, was mich tierisch anmachte. Es bedurfte nur einiger kurzer Stoßbewegungen und ich kam in ihrem Hintern. Verschmiert von Körpersäften und zufrieden sanken wir zurück. Es war schon gegen neun Uhr und ich musste sehen, dass ich weg kam, denn ihre Eltern, sagte sie, kämen bald nach Hause. Und sie müsse noch saubermachen und duschen. Als sie das sagte, zwinkerte sie mir zu. Aber ich winkte ab. “Beeil’ dich besser. Das Duschen holen wir irgendwan nach.” Dann beeilte ich mich, unentdeckt nach Hause zu kommen…

Fortsetzung (Pt.II) in Vorbereitung. Ich habe bereits zu den anderen Geschichten viel positives Feedback gehabt, doch ich freue mich weiterhin über jede E-Mail!

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Kirsten

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Amateur

Kirsten Merlad saß gedankenverloren in einem Taxi das in Richtung Frankfurter Hauptbahnhof fuhr. Und obwohl ihr wunderschönes Gesicht eher ausdruckslos wirkte, waren ihre Gefühle in heller Aufruhr.

Kirsten Merlad, 26 Jahre jung war wohl eine der begehrtesten Single Frauen Deutschlands. Sie war reich, unendlich reich. Im Alter von 20 Jahren hatte sie beide Elternteile durch einen Autounfall verloren, die ihr ein gigantisches Firmenimperium hinterließen. Dadurch hatte sie so viel Geld, das sie es niemals alles ausgeben könnte. Da sie geschwisterlos war, hätte sie sofort zur Chefin des riesigen Unternehmens aufsteigen könne. Doch sie überließ diese Aufgabe lieber den Leuten, die das konnten. Und so lief das Unternehmen nun weiter erfolgreich und Kirsten hatte weiterhin ein Vermögen, das Sie genießen konnte, es auszugeben.

Außerdem war sie schön. Nicht nur schön in dem Sinne, das man ihr hinterher sah. Nein, sie war so schön das man wie gebannt stehen bleiben musste und nicht fassen konnte, wie schön ein Mensch sein könne. Sie war 1,75 Meter groß, wog 55 kg und hatte langes tief dunkel braunes Haar, das ihr seidenweich den Rücken hinunterlief. Ihre Haut war perfekt getönt, nie zu sehr, das es unnatürlich wirkte. Ihr Körper war eine Symphonie für die Augen. Sie war schlank, aber nicht dürr. Ihre Haut straffte sich, dank sündhaft teurer Cremes, über ihren Körper ohne dabei ein Gramm Fett zu zeigen oder Muskeln hervortreten zu lassen. Das war das Ergebnis eines perfekt ausgewogenes Fitness Programms. Ihre Brüste waren eher als klein zu bezeichnen, was zur Zeit als schöner galt als riesige dicke Titten, und hatten eine makellose Apfelform.

Sie lebte ein traumhaftes Leben. Sie genoss die Tage mit Sport und Massagen. Sie lies sich von vorne bis hinten bedienen. Sie ging shoppen und auf Partys. Sie lies sich bei jeder angesagten High Society Feier sehen und war immer im Mittelpunkt. Sie wurde von Scharen Menschen umgeben, die sich in ihrem Glanz sonnten. Sie wurde von Männern gleichermaßen wie von Frauen umbuhlt, die alle alles für sie taten.

Doch sie ließ niemals jemanden näher an sich heran.

Denn genau dieses perfekte Leben war ihr Problem. Es war zu perfekt. Sie hatte keine Sorgen, keine Nöte. Alle waren immer nur nett zu ihr und kein Mensch konnte ihr etwas anhaben.

Und so hatte vor 4 Jahren ihr zweites Leben begonnen, geboren aus Langeweile.

Aus Angst ihren Ruf und das Ansehen und Erbe ihrer Eltern in Gefahr zu bringen, hatte Kirsten nie sexuelle Beziehungen zu anderen Menschen gehabt. Doch ihr Körper schrie nach sexueller Zuneigung.

Und so hatte Kirsten im späten alter von 22 mit ihrer Sexualität zu experimentieren angefangen.

Durch ihren Reichtum war es ihr möglich jede Art von Sex und Perversion auszuleben, ohne das es bekannt wurde.

Sie lies sich zuerst nur Männer, doch später ausschließlich Frauen aus anderen Länder einfliegen um es mit ihnen auf jede erdenklich art und weise zu treiben. Danach wurden diese Personen mit einem Schweigegeld bezahlt und wieder in die Vergessenheit zurück geschickt. All ihr Untreiben konnte sie in der riesigen Villa außerhalb der Stadt ausleben, ohne das es jemand mitbekam.

Denn dafür gab es Magda. Magda war eine 45 jährige Frau aus New York. Offiziell war sie nur eine weitere Angestellte von Kirsten, aber in Wahrheit war sie ausschließlich für Kirsten körperlichen Wünsche da. Kirsten hatte eine Idee, schrieb sie auf und Magda setzte diesen Wunsch um.

Kirsten hatte z.B. Bilder einer russischen Ballerina gesehen, die es ihr sehr antaten. Also schrieb sie den Namen des Mädchens auf und ließ den Zettel für Magda liegen. 2 Wochen später kam Kirsten von ihrem Sport zurück in die Villa und auf ihrem Bett lag eben diese Ballerina, splitter faser nackt.

Auch wenn sie kein Wort russisch konnte, vergnügte sich Kirsten die ganze Nacht mit ihr. Als sie am nächsten Morgen aufwachte, war das Mädchen weg.

So lief es immer.

Keine Fragen, keine Skandale, keine Probleme. Magda machte alles möglich.

Doch durch die Einfachheit alles erdenklich ausprobieren zu können, wurden aus Kirstens Wünschen schnell immer ausgefallenere und perversere Vorstellungen.

Doch Magda machte alles Möglich. Anonym und diskret.

Und so saß Kirsten nun in diesem Taxi und musste sich anstrengen ein zittern zu unterdrücken.

Sie wusste nicht was sie erwarten würde, denn in Laufe der letzten paar Monate hatte Kirsten, angeregt durch das Internet, zu viele Fantasien und Wünsche aufgeschrieben, als das Magda hinterher kam.

Sie wusste nur, das sie zu der angegebenen Zeit auf einer bestimmten Toilette des Frankfurter Hauptbahnhofes sein müsse.

Sie hatte sogar Angst, denn vor langer Zeit hatte sie Magda aufgetragen, das es keine Notwörter geben solle.

Wenn sie wollte, das heute nichts passieren soll, dann müsste sie nur wieder nach Hause fahren. Doch wenn „Es” angefangen hat, dann würde es laufen und Kirsten könnte es nicht mehr stoppen. Denn die Menschen, mit bursa escort denen sie bei solchen Treffen konfrontiert wurde, wussten niemals, wer Kirsten wirklich war. Das war ein Teil der Sicherheit. Aber es würde auch niemand auf sie Rücksicht nehmen. Das war was sie wirklich wollte.

Außerdem, und das was auch etwas neues, würde Kirsten heute in der Öffentlichkeit auf ihre Fantasie treffen. Deshalb hatte Kirsten eine Baseball Mütze auf und ihr Gesicht wurde durch eine große Sonnenbrille verdeckt. Sie trug weite einfache Kleidung und niemand würde sie erkennen.

Als das Taxi vor dem Bahnhof anhielt, zögerte Kirsten noch einmal. Doch ihre blank rasierte Vagina, die in ihrem mittlerweile nassen Höschen vor sich hin pulsierte, hatte längst für sie entschieden.

Also bezahlte sie den Fahrer und stieg aus.

Durch ihrer Geilheit getrieben ging sie strammen Schrittes durch die dreckigen, menschenüberfüllten Gänge des Bahnhofs.

Als sie in die abgelegenere Teile des Gebäudes kam, sah sie immer wieder Gruppen, von betrunkenen, verwahrlosten Menschen, die lautstark in ihrem Rausch diskutierten.

Wie sehr sich doch ihr Leben, von Kirstens unterschied…

Doch endlich hatte Kirsten ihr Ziel erreicht. Eine abgelegene Toilette.

Sie ging in den Frauenteil und musste schwer schlucken, als ihr der Gestank von Kot und Urin entgegenschlug. In der Toilette waren 6 Kabinen die durch flackerndes Licht beleuchtet wurden.

Sie ging, wie es auf den Aneisungen stand, in die letzte der Kabinen. Erst da merkte sie, das in der vorletzten Kabine sich gerade jemand übergab.

Einen Würgreiz unterdrückend setzte sich Kirsten auf die heruntergeklappte Klobrille und schaute auf ihre Uhr.

14.55 Uhr. Noch 5 Minuten Zeit.

Also las sie, die Würgegeräusche ignorierend, die üblichen Schmierereien.

Ihr Herz raste wie wild. Was würde nur mit mir passieren, dachte sie, während ihre Hände wie von selbst in ihren Schoß gingen und dort gegen ihre leicht geschwollene Vagina drückten.

Was würde nur passieren. Sie hatte so vieles in letzter Zeit für Magda aufgeschrieben, das sie sich gar nicht mehr erinnern konnte. Außerdem hatte Kirsten niemals Details aufgeschrieben. Darum kümmerte sich stets Magda und bewies dafür sehr viel Fantasie.

Einmal hatte Kirsten aufgeschrieben, das sie von einer Domina ausgepeitscht werden wollte.. Das sie dafür eines Nachts mit verbundenen Augen entführt wurde und an einen unbekannten Ort gebracht wurde, wo sie kopfüber an ein Kreuz gebunden wurde und sich drei maskierte Frauen mit ihr beschäftigten, war Ursprung Magdas Feder.

Kirsten glaubte, das Magda sogar genoss, die Fantasien der jungen Frau zu erfüllen und zu erweitern.

Kirsten wurde aus ihren Gedanken gerissen als die Tür zu ihrer Kabine plötzlich aufgestoßen wurde und eine alte Frau sie gierig angaffte.

Die Frau sah aus, als sei sie über 60, doch konnte sie durch jahrzehntelangen Alkohol- und Zigarettenkonsum älter aussehen, als sie tatsächlich war.

Ihr massiger Leib, der gut und gerne 120 kg wiegen mochte, war durch eine Ansammlung verschiedenster alter, verdreckter Kleidungsstücke verborgen. Ihre grauen strähnigen Haare klebten speckig an ihrem unförmigen Kopf.

Die Alte drängte sich ohne Umschweife in die Kabine, fasste Kirsten am Kragen und drückte diese an die rückwärtige Wand.

„Du bist also die, um die ich mich kümmern soll.” grunzte sie die Alte an, wobei Kirsten ihre verfaulten dreckigen Zähne zu sehen bekam und ihr eine Woge aus Schweiß-, Nikotin- und Alkoholgeruch entgegenschlug.

Kirsten konnte nichts sagen, da sie leicht würgen musste. Stattdessen nickte sie nur leicht. In Kirstens Augen stand die Angst geschrieben. Wo hatte sie sich da nur hineinmanövriert?

Die Alte grinste schief und presste ihre Lippen auf Kirstens Mund. Ohne Umschweife drängte sie ihre Zunge in Kirstens Mundhöhle, in der sie suchend umher bohrte.

Kirsten war fassungslos. Der Mundgeruch und Geschmack, der mit der Zunge der Alten in ihrem Mund entstand, war betäubend. Außerdem musste Kirsten feststellen, das der Oberlippenbart der Alten sie unangenehm beim Küssen kitzelte.

Die Alte drückte sie weiterhin mit beachtlicher Kraft an die schmutzige Toilettenwand und küsste sie tief und heftig. Kirsten hingegen war durch Ekel und Angst so gebannt, das sie sich nicht im Mindesten wehrte.

„Na dann komm mal mit. „ sagte die Alte, ergriff Kirstens Handgelenk und zerrte sie aus der Kabine.

Die Alte humpelte leicht, erreichte aber ein enormes Tempo, als sie Kirsten durch die Gänge des Bahnhofs führte. Andere Obdachlose machten obszöne Bemerkungen zu der Alten, als sie an ihnen vorbei kamen, die Kirsten aber kaum zur Kenntnis nahm. Kirsten lies den Blick gesenkt, aus Angst doch irgendwie erkannt zu werden. Sie zitterte am ganzen Leib, doch das war der Nervenkitzel den sich Kirsten gewünscht hatte. In ihrem Bauch kitzelte es schon deutlich.

Ihre Wanderschaft ging aus dem çanakkale escort Bahnhof heraus und noch einige hundert Meter durch verlassene Seitestrassen bis sie in einem verlassenen, dreckigen Hinterhof ankamen.

Der Hof war von anscheinend verlassenen Gebäuden umgeben und mit Abfall überhäuft. Im hinteren Teil des Hofes war eine Art verfallenem Schuppen, der mit Wellblechplatten abgedeckt war.

Aus den Augenwinkeln konnte Kirsten Ratten durch die Müllberge huschen sehen.

Die Alte führte sie in den Schuppen, der mit, von anderen Leuten weggeworfenen Möbel eingerichtet war. Sonnenlicht fiel durch etliche Löcher in den Wänden und der Decke. Überall lagen schmutzige Kleidungsstücke und leere Bierflaschen herum.

Kirsten wurde von der Alten in eine Ecke auf eine Matratze gestoßen, wo sie ängstlich liegen blieb. Die Alte fing unterdessen an sich eine Zigarette zu drehen, während sie auf Kirsten einredete.

„Hör zu, du kleines Flittchen: Es ist mir egal, wie du heißt und wer du bist. Ich weiß nur, das ich viel Geld bekomme, wenn ich ein wenig Spaß mit dir habe. Mir wurde gesagt, das ich keine Fragen stellen soll, also lass ich es. Du wirst tun, was ich dir befehle, ansonsten setzt es Schläge, verstanden?”

Kirsten nickte.

„Dann komm mal her, ich will sehen, was ich an dir habe.” Sagte die Alte und zündete sich ihre Zigarette an.

„Ich heiße übrigens Waltraud, aber für dich bin ich Frau Müller.”

Kirsten stand auf und stellte sich vor Waltraud. Diese schlug ihr mit einer ungelenken Bewegung die Mütze vom Kopf. Dann nahm sie Kirsten die Brille ab und Kirsten musste gegen die Sonnenstrahlen Blinzeln, was ihr wunderschönes Gesicht noch hübscher wirken lies.

„Na du bist ja nen ganz hübsches Flittchen. Ich freu mich schon, wenn den hübsches Gesicht zwischen Waltrauds saftigen Schenkeln verschwindet!” hauchte ihr die Alte mit einem Schwall Zigarettenrauch ins Gesicht. Kirsten überlief eine Gänsehaut und ihre Beine zitterten merklich. Doch zeitgleich spürte Kirsten auch schon die Feuchtigkeit aus ihrem Höschen austreten. Sie war bis aufs Äußerste erregt.

Waltraud nestelte an Kirsten herum und zog Ihr Pullover, T-Shirt und Jeanshose aus, so das sie bin in Sekunden bis auf ihr feuchtes Unterhöschen und den Turnschuhen nackt vor der Alten stand. Einen BH trug sie nur beim Sport.

Die Alte trat zurück und ließ ihren Blick lüstern über Kirstens Körper wandern, bis er auf ihrem Schritt hängen blieb. Der hellblaue Slip war im unteren Bereich deutlich dunkel verfärbt. Kirsten lies den Kopf schamvoll gesenkt.

„Du alte Sau, du bist ja ganz feucht im Schritt.” Lachte Waltraud. Sie ließ ihre Hand vorstoßen zwischen Kirstens Schenkel. Kirstens Beine wurden auseinandergedrückt durch Waltrauds kräftigen Hände, welche ihre Schamlippen unsanft durch den feuchten Stoff kneteten. Dadurch wurde noch mehr Flüssigkeit aus der reifen Frucht gepresst, in Waltrauds Hand, und Kirsten entglitt ein lustvolles Keuchen.

„Na, du hast dich wohl in Waltraud verliebt, so nass wie du bist. Aber warte, das treibe ich dir noch aus.” Grunzte die Alte und riss ihr den feuchten Slip vom Leib. Kirsten stöhnte. Zum Vorschein kam Kirstens Heiligtum. Ihre Vagina. Blankrasiert, gebräunt und makellos. Ihre Schamlippen waren leicht geschwollen und glänzten feucht. Die Inneren Schamlippen ragte leicht über die äußeren hinaus. Der krönende Abschluss, für das Kunstwerk, das Kirstens Körper bildete.

Waltraud griff auf den Boden, nahm ein Seil und legte eine Schlaufe über Kirstens Kopf um ihren Hals. Kirstens Augen verfolget das Seil und sah, das das andere Ende, des ca. 5 Meter langen Stücks, in einen schweren Stützpfeiler vernietet war. Sie könnte sich mit diesem Seil in der Hütte bewegen, sie aber nicht verlassen.

Die Alte lies sich auf der Matratze nieder und zerrte Kirsten an ihren Haaren mit hinunter. Sie legte sich Kirstens nackten Körper über ihren Schoß und ließ ihren schmutzigen Hände über ihre Rückseite wandern.

Kirsten wand sich, ihr Gesicht drückte in die stinkende Matratze, während Waltrauds Hände nun genüsslich die apfelförmigen zarten Pobacken vor ihr kneteten. Dabei fuhr ein Finger durch die Poritze über die rosarote Rosette, zwischen die geschwollenen Schamlippen bis hinein in Kirstens feuchtes Loch und bohrte ungelenk darin herum.

Kirsten keuchte geil auf.

„Waltraud zeigt dir heute mal was Lust bedeutet, du kleines Lesben Flittchen. Aber erst mal werde ich etwas Farbe auf deinen Arsch zaubern.”

Mit diesen Worten fing Waltraud an Kirsten den Arsch zu versohlen. Mit lauten Klatschen schlug Waltrauds Hand auf die strammen Pobacken nieder, die schnell eine leuchtend rote Farbe annahmen. Doch Kirsten schrie nicht, nicht einmal bei den härtesten Schlägen. Stattdessen spreizte sie ihren Beine etwas, in der Hoffnung, das sich Waltrauds Hand noch mal in ihre Fotze verirrte. Denn tatsächlich erregte sie dieser Akt bis ins unermessliche.

Waltraud merkte dieses und, durch das Ausbleiben çankırı escort der Schmerzensschreie enttäuscht, schlug sie nun zweimal schnell und kräftig zwischen die gespreizten Schenkel. Es klatschte und spritze, da Kirstens Lustsaft durch die Luft flog. Kirsten schrie laut auf. Und obwohl sie sich Beachtung ihrer Spalte gewünscht hatte, presste sie ihre Schenkel unweigerlich wieder zusammen.

Kirsten zitterte vor Lust und Schmerz am ganzen Leib.

„Du hast immer noch zu viel Spaß an der Sache, das gefällt mir nicht. Aber Waltraud hat noch mehr auf Lager, warte nur ab.” Raunzte ihr die alte ins Ohr.

Kirsten spürte, wie ihre mittlerweile empfindlichen Pobacken auseinander gezogen wurden. Dann hörte sie das widerliche Geräusch, wenn jemand Schleim hoch würgte. Waltraud sammelte eine beachtliche Menge Raucherschleim in ihren Mund und lies dieses mit einem lauten Klatschen direkt auf die offenbarte Rosette vor ihr fallen. Kirsten wand sich vor Ekel.

Doch sofort bohrte sich ein dicker gnubeliger Finger in ihr Arschloch und nutzte den widerlichen Schleim als Gleitmittel. Der Finger teilte gewaltsam die Rosette und drang tief ein. Kirsten schrie und Waltraud lachte:” Na, jetzt weiß ich was dir gut tut!” während ihr Finger in dem Poloch herumbohrte, als suche sie etwas.

Kirsten wand sich auf Waltrauds Beinen. Doch so sehr ihr Po auch von dem Finger vergewaltigt wurde, Kirsten wurde immer geiler. Das war es, was sie brauchte. Sie hatte im Lauf der Zeit festgestellt, je perverser und grausamer der Akt war, um so mehr genoss ihr Körper es. Das war ihr Fluch, das war ihr Segen.

Nachdem ihr After sich geweitet hatte, ließ der Schmerz nach und das geile Gefühl des penetrierenden Finger gewann die Oberhand, so das Kirsten unweigerlich anfing zu stöhnen. Kirsten war auf dem besten Weg zu einem Orgasmus. Doch das schien auch Waltraud zu spüren, da sie plötzlich den Finger aus Kirstens Arschloch zog, die leise enttäuscht ausatmete. Waltraud drehte grob Kirsten um, damit sie nun freien Zugriff auf deren Vorderseite hatte. Kirstens Körper bog sich durch, da ihr Kopf und ihre Beine nun links und rechts von Waltrauds Beinen herunterhingen. Sie spreizte leicht ihre Beine auseinander, da sie hoffte, das sich die Alte nun endlich um ihre vor Geilheit triefende Fotze kümmern würde. Der Raum wurde von einem ihr sehr bekannten Geruch erfüllt, der Geruch von Kirstens Lustsäften. Es bedarf nur noch einiger geschickten Manipulationen ihres Kitzlers und sie würde einen herrlichen Höhepunkt erleben.

Doch Waltraud griff stattdessen nach Kirstens Brustwarzen, die steil von ihren gestrafften Brüsten abstanden. Die rauen Finger nahmen ihre Warzen in zangenähnlich Griffe und kniffen und verdrehten sie äußerst schmerzhaft. Kirsten wollte vor Schmerz ihren Oberkörper aufrichten, um den brutalen Fingern zu entkommen und strangulierte sich beinahe selbst. Das Seil verlief nun unter Waltrauds massigem Gesäß und lies Kirsten kaum Bewegungsfreiheit. Ihre Hände wollte Kirsten nicht einsetzen, da sie Angst davor hatte, das Waltraud sie dann da auch noch fesseln würde. Also lies sie Folter ihrer steinharten Brustwarzen über sich ergehen und biss sich auf die Unterlippe.

Waltraud unterdessen genoss den Akt sehr. Der Anblick des gespannten makellosen Körpers dieser unbekannten Schönheit, war an sich schon eine Wonne. Das sie damit verfahren konnte, wie sie wollte, ohne das sich ihr „Opfer” richtig wehrte, war ein Traum. Waltraud war nie lesbisch gewesen, doch nach jahrzehntelangen Leben auf der Strasse, ohne Sex, würde sie es sogar mit einem Hund treiben, wenn diese von ihrem Geruch nicht immer fliehen würden.

Sie würde in aller Ruhe von diesem Körper kosten und sie dazu bringen, alle ihre verbotensten Sexträume zu erfüllen.

Die Brustwarzen zwischen ihren Fingern fühlten sich herrlich an, und das Mädchen auf ihrem Schoß wand sich unter ihren Fingern. Waltraud lies eine Warze los und beugte sich nach vorne. Dann nahm sie eine der mittlerweile dunkelroten Nippel in den Mund und saugte genüsslich daran, während die andere weiter verdreht und gezogen wurde.. Es war herrlich von etwas so reinem zu kosten.

Als Waltraud merkte, das Kirstens stöhnen nun langsam sich von schmerzvoll zu lustvoll änderte, biss sie sadistisch mit ihren verfaulten Zähnen zu.

Kirsten lies einen hellen Schrei los und ihr Körper bockte unkontrolliert unter dem heftigen Schmerz.

Danach lies Waltraud von den Brustwarzen ab und kümmerte sich um die Vagina. Sie spreizte Kirstens Beine und betrachtete die vor ihr offenliegende glänzende Scham. Die Schamlippen waren nun deutlich geschwollen und zwischen ihnen trohnte der nun sichtbar hervortretende Kitzler. Waltraud lies einen Finger langsam durch die Spalte fahren und war beeindruckt, wie feucht eine Frau werden konnte. Kirsten, die durch die Brustwarzenfolter nun wieder weit von ihrem benötigten Orgasmus entfernt war, stöhnte lustvoll auf und entspannte sich wieder etwas. Die Finger der Alten waren beinahe zärtlich.

Doch der Schein trog. Waltraut drückte mit den Fingern der einen Hand das Fleisch rund um den geschwollenen Kitzler vorsichtig in ihren Leib, so das er nun schutzlos in seiner Pracht abstand. Die Spitze des Mittelfingers der anderen Hand streichelte so zärtlich wie möglich über den Lustknopf.

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Curiosity Killed the Spy

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Ass

This is my entry in the Crime and Punishment 2024 event. Many thanks to TheNyxianLily for editing and critiquing this story, and providing encouragement.

The story is an homage to ’60s secret agent films of the completely unrealistic kind. It features a lot of killing and violence, so if that’s not your thing, you might be happier with one of my previous submissions.

If you want to get fully into the mood, I suggest you put a Shirley Bassey song on after the first scene, and look at silhouettes of naked women while it plays.

The bitingly cold air whipped past Jacqui as she fell. And fell. And fell.

Below, on the snow-covered ground of northern Japan, she made out the shape of the Gihei compound, though she had to keep wiping snow from her goggles. The bare stone walls and tiled roofs rushed up, the lights spilling their lambent glare on the frozen ground. The lonely trees around it grew too, from pin-pricks to blobs, to large shrubby obstacles. Jacqui pulled the rip-cord on her parachute, and felt the jolt as air filled it, before gliding silently to the ground inside the compound walls.

She gathered up the white parachute and hid it behind a rock. There were a handful of guards walking the walls, but they were watching outside. From the looks of it, they were more worried about the cold, breathing onto their hands. Jacqui, in her white cat-suit and with long blonde hair, was difficult to see against the snow. She slipped to a door in the compound and waited before it with her Beretta out, feeling the chill seep through her clothes and into her muscles, and then her bones.

Eventually the door opened, and Jacqui pointed the pistol at the besuited man who had opened it. In her upper class English accent, she said, “Satoru, you took your time.” She lowered the gun. “Let’s get moving.”

He moved aside to make way for her. “I’m sorry. The building’s hard to move through tonight. They’ve moved up the schedule. Gihei’s going to fire the missiles tonight.”

Jacqui was already moving through the concrete corridors, gun at the ready, welcoming the warmth of the building. “Then we have no time to lose.” Behind her, she heard the unmistakable sound of a Walther PPK being cocked. She was glad to have Satoru at her back again. Rounding a corner, they found themselves face-to-face with four guards in yellow jump-suits, Madsen M-50 submachine guns carried across their chests. Jacqui and Satoru were expecting to meet opposition, whereas it was a regular patrol for the guards. The pistols spat death twice each, and the guards collapsed to the floor without firing a shot in return.

Satoru said, “Both head shots, Irons? You never change.”

Jacqui stepped over the bodies with barely a glance. “A shot to the forehead is instant.”

She stopped at the top of a balcony, looking out over a vast command centre. There were banks of top-of-the-range computers, their large tape reels whirring back and forth, lights blinking. Between the computers walked technicians and scientists, like ants attending to their nest. At the far end, talking to his aides, was Gihei, immaculate in a mustard suit.

Satoru came up behind her and handed a pair of grenades to Jacqui. “I’ll see you at the escape boat.”

She turned and smiled at him. “Yes. Then we can both get back to England and some sun.”

With that, they both removed a pin from a grenade, and sent them spiralling into the room below. There was a wait for a couple of seconds, and then they exploded. Pandemonium followed. Klaxons whined, and workers scurried for cover. Gihei picked up a rifle and started firing at the pair, while more yellow-clad guards rushed into the room. Jacqui and Satoru fired again and again. Guards fell below them, and they threw their remaining grenades, destroying more guards and computers. There was no way the missiles could be launched now. The guards fell back, realising they were beaten, but Gihei kept firing, the bullets burying deep into the concrete around Jacqui. When her last clip was emptied, Jacqui leaped down from the balcony, landing lightly on her feet before rushing Gihei while he reloaded. She knocked the gun from his hand with her fist, then kicked his knee, buckling it and sending him to his knees.

“I surrender!” he shouted, his hands high.

Jacqui picked up his rifle and finished loading the round into it, then pointed it at Gihei’s head. “Would you have let the innocent people in the cities your missiles targeted surrender?”

His jaw moved up and down, as though searching for an answer, but no words came out. A bead of sweat trickled down his forehead. Jacqui squeezed the trigger gently, and Gihei lay still.

“Irons,” Satoru’s voice came from behind her. “I’ve caught her! I’ve caught Honoka.”

Turning, Jacqui saw he was dragging a woman beside him. Honoka was breathtakingly beautiful, and Jacqui’s memory raced back to long nights of enjoying her body.

“You can let her go, Satoru. She wasn’t with Gihei afyon escort through choice. We should take her to the escape boat.”

Satoru’s knuckles whitened on Honoka’s arm. “No, she was Gihei’s second. We must kill her!”

Honoka stared in horror at Satoru, then turned tear-streaked eyes to Jacqui. “Please, Jacqui. You know that Gihei held me here against my will. You can’t let this man kill me.”

Jacqui raised the rifle, pointing it first at Honoka, then Satoru, then back and forth.

“Irons,” said Satoru, “we’ve worked together since your first mission. I’ve earned your trust.”

Honoka said, “You promised you’d protect me. You’ve saved me from Gihei, but just to be killed now?”

Jacqui pointed her gun at Satoru. “Let her go. Put your gun down.”

Satoru said, “Please, don’t do this. You’re making a mistake.”

Jacqui kept the gun on him. “Don’t make me force you.”

With a curse, Satoru released the girl and dropped the gun.

Honoka rushed to stand behind Jacqui. “Thank you so much. I knew I could trust you.”

Jacqui looked at Satoru down the barrel of the rifle. “If I let you go, will you leave Honoka alone?”

She never got her answer, because a dagger appeared in his chest, a bloom of red spreading beneath it. Jacqui spun and rolled, a second knife, held in Honoka’s hand, slashing the air where her head had just been.

She came up into a kneeling position, her rifle levelled. But Honoka dashed between the wrecked computer consoles, and out through a door. Jacqui raced to Satoru, but she could see that there was nothing that could save him. She held him in her arms, his blood hot on her hands.

“I’m so sorry, Satoru. I should have trusted you.”

Her tears mixed in the blood on his shirt and tie.

Satoru coughed but smiled. “Same old Jacqui Irons. Always thinking with her…” He spasmed and went limp.

Jacqui stared in the direction Honoka had run.

🍸

The twin thrums of hope and despair pulsed through the glitzy casino. The rich and faux-rich rubbed shoulders, elegant and expensive clothes often covering the low-lives who wore them. With a smile, Jacqui watched the croupier push a pile of chips towards her growing pile; black had come up on the roulette wheel again. But her attention was elsewhere; she had a mission tonight, and she glanced again at the door leading to the back rooms.

“Aren’t you going to bet again?” asked the pretty young brunette at her side.

“You place it,” said Jacqui, handing her a stack of chips. She took her eyes off the door for long enough to watch the girl bend over the table, her slinky dress stretching over a wonderfully proportioned bum. Jacqui’s hand reached towards it, but pulled back. Tonight wasn’t a night for fun. At least not with this girl.

The croupier set the ball and wheel spinning, then declared, “No more bets.” As the others around the table watched anxiously, Jacqui sighed in relief. Leaving through the door was one of the men she’d watch pass through it an hour earlier. Based on his angry demeanour and how little time he’d spent there, luck hadn’t been with him tonight.

The brunette — what was her name? — grabbed her hand, bringing Jacqui’s attention back to the game. “We lost,” the girl said.

The croupier raked in the chips, the ball glittering on seven, where it had landed. “Must be someone else’s lucky number.” She placed most of her remaining chips into her handbag, but passed a couple as a tip to the croupier, and pressed a larger stack into the brunette’s hand as leaned forward to kiss her cheek. Cheap, flowery perfume filled her nostrils. “I have to go. Why don’t you play on without me?”

The girl’s smile dropped. “You’re going? I thought you and I would –“

“Another time. I have business to attend to.”

She left the table, nodding to the other players, and made her way towards the man who’d entered through the door. Though sober, she walked unsteadily, as though drunk. As the man passed, she stumbled into him, smelling the heavy aftershave as her face planted into his Savoy Row suit.

“I’m so sorry,” she said, as she looked up at him.

The man grinned down at her. “That’s alright. Maybe my luck is turning. Would you like to join me for a drink?”

Jacqui pushed away from him. “No, thank you. I need to go powder my nose.”

The man’s face fell; it seemed luck wouldn’t smile on him that night at all.

As she walked away, Jacqui felt the security card she’d taken from his pocket. She walked to the door, and after a surreptitious look around, pressed the card to the reader, and the door swung slightly ajar. A satisfied smile on her face, she pushed through into the empty lift beyond, and pressed the button marked ‘penthouse’. While it rose, Jacqui checked her appearance in the mirrored wall. She ran fingers through her long blonde hair, draped over one shoulder. Her white dress was flawless, hugging her generous curves and showing a little of aydın escort cleavage while leaving more to the imagination. Maybe not quite so flawless; she removed a bit of fluff that the man’s suit had left on her opera gloves. A some lipstick from her handbag touched up her appearance. Satisfied, she stood back, pursing her lips then admiring how long her legs looked in her high heels.

A ding announced the lift’s arrival, and Jacqui entered a lobby, then passed through a door. Inside was a smoke-filled room, with a group of well-dressed men and one woman sat around a poker table. Jacqui quickly sized up the woman, sat on the opposite side of the table from her; it was undoubtedly Professor Lotta Cranz, but the black-and-white file photo hadn’t done the woman justice. Her blonde hair was in an up-do, and her red dress did little to hide the voluptuous body beneath it.

Jacqui’s thoughts were broken by one of the men asking what she was doing there.

“I heard there was a higher stakes game back here. May I join?”

There was grumbling around the table.

One of the men said, “This game is invitation only. And you’re not invited, young lady.”

Jacqui smiled her brightest smile. “Could one of you invite me, perhaps?”

The man nearest her laughed. In a Hungarian accent, he said, “The minimum bet is a hundred thousand pounds. I think you’re out of your depth, miss.”

“Oh,” said Jacqui. “My mistake. I’ll leave you to play, then. I thought this was a high stakes game.”

As she turned, Lotta called out in her German accent for Jacqui to wait. Hiding her triumphant smile, Jacqui swung back.

Lotta looked her up and down. “If you can cover that sort of bet, you can join. We lost a player early.”

“Thank you,” said Jacqui, leaning forward to offer her hand over the table. “Miss…?”

“Professor,” said Lotta, taking her hand. “Professor Lotta Cranz. It’s a pleasure to meet you, Miss…?”

“Doctor,” said Jacqui, with a smile. Her current cover had a profession to intrigue the German. She didn’t release Lotta’s hand when she tried to let go.

Lotta smiled, a little uncomfortably. “I don’t believe I got your name, Doctor…?”

“No, because I didn’t give it. I’m Irons, Jacqui –“

“Can we please continue the game,” said the Hungarian, and Jacqui released Lotta’s hand before taking her seat.

She played safe on the first few hands, gauging her fellow players. The Hungarian was bold, but overly fond of bluffing. The weasel-eyed man on her other side rarely spoke, and only raised when he had very good hands. Yet most of Jacqui’s attention was on Lotta. She had a habit of nibbling her lower lip when considering her plays. It was cute, but according to her dossier, Lotta was a very experienced card player. Clearly it was a fake tell, and one which Lotta used to take a big pot. Jacqui had the sense to drop out of that hand early. Having gained an idea of who she was playing against, Jacqui began bidding harder on some hands. She wasn’t trying to win as much as she could, but rather to drive Lotta out of the game. For the most part, Lotta kept her eyes on the table, but she would occasionally raise them to look at Jacqui, who would invariably be looking back. Lotta began to smile when that happened. Eventually, Lotta had a hand that Jacqui judged to be good, but not as good as her own. The other players folded; even the Hungarian had the sense to do so. Jacqui kept raising. Eventually, both women went all in. There was palpable tension in the nicotine-scented air.

Jacqui said, “One of us is about to be knocked out. Would you care to join me for a drink downstairs after the hand?”

Lotta looked her up and down. “You’ll make me blush. I’m afraid I’m straight.”

“Straight women don’t drink?”

Lotta laughed. “One drink, then.” Then she laid down her hand: four sevens, ace high. The men applauded.

As Lotta reached for the pot, Jacqui laid down her own hand. “A straight flush.”

Lotta was gracious in defeat, walking arm-in-arm to the lift. “Are you a medical doctor?”

“No, industrial chemistry. What are you a professor of?”

“Biochemistry. So our disciplines aren’t too distant.”

Jacqui smiled. “No, but I don’t know as much about biochemistry as I’d like. Perhaps you’ll teach me a little biology tonight?”

🍸

Laughing, Lotta led the way into her sumptuous hotel suite, holding Jacqui’s hand. She placed her handbag on a chair near the door, and put some mellow jazz on the record player. Jacqui, meanwhile, placed her own handbag next to Lotta’s. When the German left the room, she pressed the secret button hidden in the handle.

Lotta came back, a bottle in one hand, and two glasses in the other. “Would you like some Taittinger Blanc de Blancs Brut ’43?”

Slipping out of her shoes as she walked, Jacqui crossed the room to her. She kissed Lotta lightly, enjoying the touch of her soft lips and the unmistakable aroma of Jean Patou’s Joy. She turned ağrı escort her back. “I think we’ve both drunk enough tonight. Would you unzip me?”

She heard the bottle and glasses placed on a table, then felt Lotta reach out wordlessly, the zip tracing the gentle curve of her spine. The dress fell, to puddle at her feet. A gasp sounded behind her. Was Lotta impressed with the physique Jacqui had spent so long perfecting? Her flawless skin, perhaps? Then again, maybe it was the discovery that Jacqui had worn nothing under the dress.

With a triumphant smile, Jacqui turned to face her. She took Lotta’s hands in her own and leaned in for another kiss, this one lingering as she enjoyed the feel of Lotta’s body pressed against her naked flesh. Pulling back, she said, “Why don’t you lead me to the bedroom?”

The bed was king-sized, in a room outfitted in the Baroque style. Jacqui pressed Lotta against the wall, their mouths hungry for each other. As they kissed, Jacqui reached behind Lotta to find her zip and pull it down. Not as daring as Jacqui, she wore lace underwear, but that didn’t last long. Jacqui’s eyes roved over the beauty she’d uncovered.

Jacqui led Lotta to the bed, where a push to her chest sent the German onto her back. Jacqui bestrode her, her lips travelling up Lotta’s body, revelling in her sweet taste, her musky scent, her gentle skin. She paused over Lotta’s breasts, taking in one hard nipple, to suck and nibble, then the other. Lotta moaned and squirmed beneath her. Smiling, Jacqui kissed her neck, and then her lips once again, their tongues entwining along with their bodies.

Grabbing a handful of hair, Jacqui pulled Lotta’s head back. Sapphire eyes stared up at her in surprise.

Jacqui smirked, and ran a gloved finger down Lotta’s jawline. “Enough kissing. I want to taste you. And I need you to taste me.”

She turned swiftly around, her breasts grazing Lotta’s belly. Lotta’s womanhood was wet through the light brown hair that surrounded it. She inhaled deeply, luxuriating in the scent, before lowering her body, her tongue dancing along Lotta’s labia. She moaned when she felt herself enveloped in the German’s hot and warm mouth. Driven to a new height of passion, Jacqui sucked on Lotta’s clitoris, causing her body to thrash beneath her. The two women pushed each other on, their mounting passion a fire that grew to an inferno. With perfect timing, Jacqui unleashed Lotta’s orgasm just as her own arrived. The women quivered in their joint ecstasy, before Jacqui collapsed on Lotta.

🍸

Hours later, the two lay in each other’s arms, exhausted.

Lotta said, “Das was wunderbar.”

With a frown, Jacqui asked what it meant.

“You don’t speak German? It means you were spectacular. Perhaps we could meet up next time I’m in London?”

Jacqui ran her fingers through Lotta’s hair. “I’d like that.”

Lotta rose from the bed, and Jacqui immediately missed the touch of her warm and soft body. As a consolation, she was able to watch the interplay of the German’s muscles, limned in moonlight, as she moved to a small table with a phone on it. She made a call, speaking in German. Jacqui watched her, pretending not to understand. Though she only heard one side of the conversation, it appeared Lotta was flying out to the Bahamas later that day.

After the call, they dressed, with Lotta needing to check out early. Jacqui made sure not to forget her handbag.

🍸

Jacqui sat in the cosy leather seat, admiring the wood-lined office of her head of department, Emma Ludsthorp, who sat across the desk opposite her. Jacqui noticed the distaste with which the elderly woman eyed her dress, unchanged from the prior night.

Emma said, “This is worrying, Irons. The device in your handbag successfully duplicated the documents in the professor’s. Our scientists have analysed them, and determined they are a recipe for creating a highly potent nerve toxin. Based on the information that she’s flying out to the Bahamas, and her previous contacts, we believe that she’s working with Aline Dufour, a long-time thorn in the sides of the security service. We’ve not been able to infiltrate her organisation, but if she got a hold of this bioweapon, she could hold any government in the world hostage. We’ve already picked up rumours that the Soviets have sent an agent to investigate.”

Jacqui nodded, but stayed silent, waiting for Emma to continue.

“I don’t like you, Irons.”

“Em, I’m sorry about –“

“That’s Emma to you. No, in fact, it’s Mrs Ludsthorp.”

“Mrs Ludsthorp, I’m sorry you found me in bed with your daughter, and –“

“Daughters, Irons. They were both my daughters.”

“Ah,” said Jacqui, “my apologies for both then. I did wonder who the other girl was.”

Emma let out a sigh. “You don’t make this easy. I don’t like you, and I don’t like your methods. But there’s no arguing with your results. You’ve saved this country, and sometimes the world, more times than I can remember. I’d prefer to send another agent, but they’re all busy elsewhere. I can’t give you details of course, but Johnny is in Africa stopping a revolution; James is in South America starting a revolution; and Austin is in Asia, enjoying the Sexual Revolution. Now, on your last mission –“

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Ein heißer Nachmittag

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Asian

Ein heißer Nachmittag.

Eine frei erfundene inzestuös-lesbische Story.

Ich will mich gleich beim Namen nennen. Ich heiße Melanie und bin 18 Jahre alt und denke ständig nur an Sex und zwar nur an Sex unter Frauen. Soweit ich mich erinnern kann haben mich Jungs sexuell wirklich nie sonderlich interessiert aber meine Vorliebe für andere hübsche Mädchen sind mir schon sehr früh bewusst geworden. Oft genug habe ich mich dabei ertappt wie ich mir in meinem Gedanken vorgestellt habe wie ich es mit einem anderen Mädchen treiben würde, dabei bin ich jedes Mal feucht geworden zwischen den Beinen und musste schnellstens Abhilfe schaffen und mir mit meinem Finger meine kleine geile Spalte reiben. Besonders törnen mich etwas ältere Frauen an die so um die vierzig sind und noch eine super Figur haben, volle Brüste, einen knackigen Hintern und vor allem schöne glatte lange Beine. Kurzum genau wie Jennifer, meine Stiefmutter auf der diese Attribute genau passen und mit der ich letzten Sommer folgendes unvergessliches Erlebnis hatte:

Jennifer ist gebürtige Amerikanerin, ist seit zwei Jahren mit meinem Vater verheiratet und war bis dahin seine Privatsekretärin. Mein Vater arbeitet als erfolgreicher Manager für ein großes internationales Unternehmen und ist sehr selten zu Hause, was mich aber inzwischen nicht mehr sonderlich stört da ich mir meinerseits viele Freiheiten herausnehmen konnte, was sicherlich nicht jedes Mädchen was noch zu Hause wohnt, von sich behaupten kann.

Ich bin die meiste Zeit mit Jennifer allein zu Hause weil mein Vater wie gesagt irgendwo in der Welt herumgondelt und seinen Geschäften nachgeht. Ich hatte eigentlich nie ein besonders inniges oder vertrauliches Verhältnis zu Jennifer, was daran liegen mag weil sie sehr kühl und unnahbar wirkt. Ich kam mir meistens zu Hause vor als ob ich dort zu Miete wohnte.

Mir ist trotz Ihrer kühlen Art schon früh aufgefallen das irgendetwas Undefinierbares unter Ihrer Oberfläche schlummert, auch Ihre Freizügigkeit wie sie öfters im Haus herumlief wenn wir alleine waren konnte ich bis dato noch nicht deuten. Öfters habe ich Sie belauscht wenn Sie es sich in Ihrem Schlafzimmer selber besorgte, nur zu gerne hätte ich Ihr auch heimlich

dabei zugesehen. Ich stand dann immer ganz leise und mit pochenden Herzen vor Ihrer Tür und habe Ihr Gestöhne gehört, mir meine Hand in meinem Slip geschoben und meine Muschi massiert bis ich dachte Sie könnte meinem Herzschlag hören der jetzt vor lauter Geilheit so Raste das mir schon fast schwindelig wurde.

Eines Sonntags, es war im späten August lag ich am Nachmittag nur im Slip und einem Top bekleidet in meinem Zimmer auf dem Bett. Es war tierisch heiß draußen, so um die 38°C, und ich wollte mich, da im Haus nicht ganz so viel Hitze herrschte, etwas abkühlen. Als ich so auf dem Bett lag fing ich an mir meine mit blonden Schamhaaren spärlich bewachsene Muschi zu fingern, diese Hitze und der Schweiß auf meiner schönen balıkesir escort gebräunten Haut erregten mich irgendwie noch zusätzlich und außerdem ging meine Fantasie schon wieder mit mir durch.

Die schmutzigsten Sachen gingen mir nun durch den Kopf bis ein lautes Rufen mich aus meinen geilen Gedanken riss. „ Melanie, Melanie, komm runter in die Küche. Ich hab uns Kaffee gemacht. “ Nanu, das ist nun aber gar nicht Ihre Art, so führsorglich, dachte ich.

Normalerweise machen wir beide unser eigenes Ding. Es kommt selten vor das Sie mal für uns kocht wenn wir beide alleine waren. Außerdem bin ich auch immer zu unregelmäßigen Zeiten zu Hause, da ich nach der Schule oftmals noch mit Freundinnen in der City abhänge.

Hin und wieder schauen wir zusammen Fernsehen oder wechseln ein paar Belanglosigkeiten.

Ich rappele mich also von dem Bett auf und gehe Barfuss und angezogen wie ich bin die Treppe hinunter in die Küche. Als ich die Küchentür öffne und Sie sehe stockt mir fast der Atem. Sie sitz mit leicht gespreizten Beinen in einem hauchdünnen Seidenkimono bekleidet an dem Esstisch und starrt mich irgendwie seltsam an. Außer dem Kimono trägt Sie nur einen Stringtanga und Ihre göttlichen braungebrannten hübschen Füße stecken in Flip-Flops. Sie hat mit Ihren einundvierzig Jahren wirklich noch eine unwahrscheinlich sexy Figur, die Haut noch überall schön straff, sehr weibliche Formen und braungebrannt bis zwischen den Zehen. So wie es aussieht war Sie wohl auch bis vor kurzen am Sonnenbaden.

„ Ich habe uns Kaffee gemacht und ein paar Stücke Sahnetorte aufgetaut, ich hoffe du magst Sahnetorte. Komm setz dich doch. “ sagt Jennifer mit einem fast fiesen Lächeln im Gesicht.

„ Jaa…. Ja….Ja sicher mag ich Sahnetorte Jennifer, ist echt lieb von Dir “; stammelte ich. Als ich mich Ihr gegenüber hinsetzte bemerkte Sie dass ich fast gar nicht anders konnte als Ihr auf die nackte Haut zu starren und zugleich provozierte Sie mich damit das Sie unter den Vorwand der Hitze Ihren Kimono noch etwas mehr aufmachte das ich nun Jennifers Nippel an Ihren geilen prallen Titten sehen konnte. Augenblicklich fing meine Muschi mir wieder an zu jucken, wie gerade oben noch auf dem Bett. Wenn ich nicht wirklich bescheuert bin dann will Jennifer mich heiß machen, vielleicht hat Sie ja während ich zur Schule war in meinem Zimmer rumgeschnüffelt und hat meine Hardcore-Lesbenmagazine gefunden und weiß nun was für ein verdorbenes Luder ich bin, dachte ich. Jetzt war mir aber auch auf Schlag klar was immer unter Ihrer Oberfläche schlummerte und was ich nie zu deuten wusste, nämlich das Sie es Faustdick hinter den Ohren hatte und ein ganz durchtriebenes Stück war.

Wir saßen also am Tisch und ich zwang mich etwas von der noch leicht gefrorenen Sahnetorte zu essen auf die ich mich nun wirklich nicht besonders konzentrieren konnte, so wie Jennifer vor mir saß, stumm, nichts essend, eine Zigarette bartın escort rauchend und mich weiterhin mit durchdringenden Augen musternd. Ich bekam gerade so langsam die Fassung wieder bis Jennifer auf einmal zu mir sagte: „ Sag mal Melanie, ich glaub ich kenne Dich besser als du Dir vorstellen kannst und frage mich die ganze Zeit schon über ob es Dir nicht gefallen würde mir meine heiße Möse auszulecken. “ Ich war wie in Trance als ich diese Worte aus Ihrem Mund hörte und glaubte erst ich habe mich verhört, aber als Jennifer plötzlich ihren Kimono auszog und ihre Beine auf einmal weit auseinander spreizte, wusste ich das dem nicht so war. Die ganze Zeit über in der Küche hatte ich die schärfsten Fantasien was ich alles mit Jennifer am liebsten machen würde, ich würde sie Sie mit Zunge überall verwöhnen wollen, an ihren geilen Titten, ihren Schlitz, ihren glatten wohlgeformten Beinen, ihren knackigen Arsch, einfach überall, auch da wo Sie es sich wahrscheinlich nicht vorstellen könnte.

Jennifer: „ Na was sagst du Melanie, würde Dir das nicht gefallen du kleines geiles Biest. Ich weiß genau an was Du die ganze Zeit gedacht hast.“ Melanie schob Ihren Stuhl nach hinten, ging auf die Knie und krabbelte auf allen vieren unter dem Tisch hindurch auf Jennifers immer noch gespreizten Beinen zu, alles wie ferngesteuert. Jennifer schlüpfte aus Ihren Flip-Flops, sank etwas tiefer in den Stuhl, entledigte sich fast gleichzeitig Ihres Tangas und legte Ihre gespreizten Beine auf den Küchentisch ab. Bevor Melanie ihre lechzende Zunge in Jennifers total rasierter Muschi stecken konnte, stoppte sie Jennifer: „ Warte Melanie, du magst doch Sahnetorte so gerne“; Sie nahm mit ihren Fingern ein-viertel von der Sahnetorte von ihren Teller und schmierte sich das sahnige Zeug zwischen Ihren Beinen und Oberschenkel. „ So und nun leck alles schön ab und sei ein gutes Mädchen“. Melanie war beim Anblick Jennifers mit Sahne verschmierter Möse schon halb von Sinnen und fing an zu lecken als ob es das letzte wäre was sie in ihrem Leben noch tun könnte. Wild und mit Augen aus dem die pure Geilheit sprang leckte sie die Sahne zuerst von den Innenseiten ihrer Schenkel um dann schließlich ihre Zunge tief in Ihrer Spalte vergraben zu können. Sie knabberte an Ihren Kitzler und schob dann ihre Zunge wieder ganz tief in Ihre heiße Grotte die zudem jetzt richtig schön glitschig von der Scheidenflüssigkeit wurde. Sie fickte Jennifer mit Ihrer Zunge regelrecht durch, die es mit lauten Lustschreien quittierte. Jennifer hätte sich nie Träumen lassen das Melanie wirklich so zur Sache geht. Sie schien ja geradezu ausgehungert nach so etwas zu sein. Jennifer: „ Oh Melanie du leckst und fickst mit deiner Zunge so gut, komm leck auch mein Arschloch du kleine Sau.“ Melanie törnte Jennifers ordinäre Sprache noch zusätzlich an. „Warte“ raunte Melanie und leckte Jennifer mit Ihrer Zunge langsam von der Möse über den Schenkel, den Kniekehlen, batman escort den Waden entlang zu Ihren wohlgeformten Füßen. Sie fuhr ganz zart mit Ihrer Zungenspitze über Ihre Fußsohle entlang zu Ihren Zehen wo Sie dann mit ihrer Zunge anfing Jennifer zwischen Ihren Zehen zu ficken. Danach saugte und lutschte Melanie lange und ausgiebig Ihre Zehe, nahm manchmal sogar alle auf einmal in den Mund und steckte sich Jennifers Fuß fast bis zur Hälfte in Mund, die sich dabei hemmungslos fingerte. Jennifer: „ Oh ja…ja ..oh das tut so gut, los du Sau leck.. leck…leck meine geilen Füße, spuck auf meine Zehe und leck sie.“ Was Melanie auch sehr gerne tat, sie waren jetzt beide in absoluter Ekstase und kannten keine Hemmungen mehr vor einander. Melanie spuckte Ihren Speichel auf Jennifers geile Zehe und lutschte sie wie eine Irre. „ Komm jetzt Melanie, leck jetzt endlich mein geiles Arschloch, knie dich hinter mir“ schrie Jennifer jetzt fast, völlig von Sinnen. Jennifer beugte sich mit Ihrem Oberkörper über den Küchentisch und streckte Melanie Ihren geilen nackten Arsch verführerisch entgegen. Melanie hockte sich hinter Ihr hin, nahm je eine Pobacke in eine Hand und drückte beide etwas auseinander bis sie Ihre ganze Arschspalte in voller Pracht und sorgfältig rasiert direkt vor Ihrer Nase hatte. Das war es wovon Melanie so oft Nachts von geträumt hatte. Sie vergrub Ihr Gesicht in Ihren Hintern und züngelte mit der Zungenspitze an Ihrer gepflegten rosafarbenen Rosette. „ Steck mir endlich deine geile nasse Zunge tief in meinem Arsch, ich halte es nicht mehr aus. Fick mir mit deiner Zunge meinen Arsch wund. Oh ja… ja …ganz tief… oh ja ..ja…bohr mir deine Zunge ganz tief rein.“ jammerte Jennifer, riss dabei in Melanies Haaren und stieß Ihr Gesicht immer heftiger an Ihren Arsch. Melanies Zunge fickte Jennifers Arschloch schnell und präzise wie eine Nähmaschine während Jennifer sich selbst flink fingerte. Melanie saß, während sie leckte mit Ihren feuchten Schritt auf Jennifers Fuß und rieb Ihre Möse an Ihrer Hacke. Beide sind während dieses exzessiven Lustspiels schon ein paar Mal gekommen aber nun sagte Jennifer: „ So du kleine Schlampe jetzt bin ich an der Reihe dich zu lecken“ und das Spiel begann von vorne, nur umgekehrt. Jennifer leckte und fingerte Melanie alle Löcher und alle Körperpartien. Besonders die Füße und Ihr Arschloch haben es Ihr angetan. Sie leckte und saugte Sie wie eine Wahnsinnige, spuckte Ihr ins Gesicht und in den Mund, auch auf die Titten um anschließend alles wieder abzulecken. Sie war absolut hemmungslos und pervers aber da war Sie ja bei mir an die richtige geraten. Als wir uns irgendwann völlig verausgabt hatten und verschwitzt und verklebt, schwer atmend auf den Fliesen in der Küche lagen, wusste ich, so einen geilen Sex würde ich so schnell nicht wieder haben. Sie stand irgendwann plötzlich vom Fußboden auf, kniete sich noch einmal zu mir herunter um mir einen Kuss auf die Stirn zu geben, zog sich wieder ihren Kimono über und ging wortlos aus der Küche. Als ich Sie am späten Abend wieder sah war sie wieder ganz die Alte, Misses Eiswürfel in Person, kein Wort über den Nachmittag.

Hoffentlich taut Sie irgendwann mal wieder auf. ENDE

(Kritiken oder Anmerkungen sind erwünscht)

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07 Ein Damenabend

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Teil 7 der Serie „Meine sexuellen Abenteuer”

Zum besseren Verständnis bitte die vorherigen Teile lesen.

Viel Vergnügen!

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Sabines Erzählung

Das Verhältnis zu meiner Stiefmutter Maria war früher eher von distanzierter Natur. Ich habe sie halt als eine weitere Frau meines Vaters akzeptiert, und sie mich als Tochter ihres Mannes aus erster Ehe. Wir beiden haben uns einfach arrangiert, weil es so am einfachsten war. Ich hatte jedoch auch immer schon eine gewisse sexuelle Anziehung zwischen uns beiden registriert, doch außer abendlicher Selbstbefriedigung während ich an sie dachte, ist nie was passiert.

Seit den Erlebnissen mit ihr, meinem Mann Peter und unserem Freund Wolfgang sind wir uns aber viel näher gekommen. Mein erstes lesbisches Erlebnis mit meiner Stiefmutter war ein wirklich einschneidendes Ereignis in meinem Leben. Diese Zärtlichkeit, die nur eine Frau einer anderen Frau geben kann, das Wissen einer Frau darüber, wie andere Frauen fühlen und funktionieren, all das sind Dinge, die nur Frauen dir bieten können.

Meine Stiefmutter ist fast 10 Jahre jünger als mein Vater, aber auch viele Jahre älter als ich, und ich sehe diesen Altersunterschied als Vorteil. Sie weiß Dinge, hat Dinge erlebt, die ich in meinem Leben einfach noch nicht erleben konnte. Die Erfahrungen einer reifen Frau, nicht nur jene im Bett, sind für mich sexuell sehr anziehend, und der Umstand, dass diese Frau mit meinem Vater das Bett und noch viel mehr teilt, ist für mich ein besonderer Reiz.

Und so waren Maria und ich uns einig, ohne explizit darüber gesprochen zu haben, uns so bald wie möglich wieder zu treffen, aber diesmal nur wir beide alleine. Seitdem haben wir uns nun schon einige Male zu einem zärtlichen Date getroffen, mal bei ihr, mal bei mir zu Hause, je nachdem, wer gerade die nötige Privatsphäre bieten konnte. Diese Dates waren jedes Mal erfüllt von wunderbaren sexuellen Erfahrungen und Zärtlichkeiten.

Bei einem dieser Treffen habe ich ihr ganz nebenbei von der jungen Verkäuferin erzählt, die mir die Karte mit ihrer Telefonnummer zugesteckt hatte, als ich mit meinem Vater shoppen war. Maria war sofort sehr interessiert; ich habe schon früher bemerkt, dass junge Frauen auf sie anziehend wirken, je jünger desto besser. Und ich muss gestehen, auch mich würde diese junge Frau sehr reizen. Ich erinnere mich noch gut an sie, wie sie so vor mir stand, blutjung, mit langen blonden Haaren, einem extrem sexy Körper und sehr erotischen Augen, in die man versinken möchte.

Deshalb haben wir beschlossen, dass ich sie anrufen und zu Maria nach Hause einladen solle, aber ohne sie wissen zu lassen, dass Maria auch hier sein würde. Wir wussten ja nicht, ob ihr Interesse an mir groß genug sein würde, um noch eine dritte Frau zu akzeptieren.

Also rief ich sie an, ich hatte ihre Karte natürlich aufbewahrt. Sie erinnerte sich sofort wieder an mich. Sie freute sich hörbar, dass ich mich doch noch bei ihr meldete, und nach kurzem Nachdenken sagte sie für den vorgeschlagenen Termin zu.

Maria und ich haben das kommende Wochenende gewählt, an dem unsere Männer nicht zu Hause sind und wir so ungestört mit Silva, so heißt meine Verkäuferin, den Abend verbringen können, und wenn es passt, vielleicht sogar die ganze Nacht.

Bevor sie auflegte, fragte sie mich noch, ob sie Dessous mitbringen solle, sie hätte nämlich sehr schöne – das ist einer der Vorteile ihres Jobs – und würde sie mir so gerne vorführen.

Ich konnte es kaum mehr erwarten, bis das Wochenende kam.

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Sieh sie dir nur an, Maria, hat sie nicht eine traumhafte Figur? Ist sie nicht wunderschön? Ich beneide euch beide so sehr um eure schlanken Körper”, sage ich in Richtung der beiden Frauen, meiner jungen, blonden Dessous-Verkäuferin Silvia und meiner älteren, aber noch immer fantastisch aussehenden Stiefmutter Maria.

Silvia hat uns bereits eine Reihe der wunderschönsten Dessous vorgeführt, die an ihrem mädchenhaften, aber dennoch fraulichen Körper so wunderbar zur Wirkung kommen.

Im Moment führt sie uns ein schwarzrotes Korsett mit dazu passendem String vor; eine blonde Strähne ihres langen, weichen Haares fällt verführerisch in ihr Gesicht.

Ihre Wangen erröten leicht und sie scheint sogar etwas zu zittern; oh mein Gott, ist das süß, sie wird tatsächlich verlegen!

Ich gehe auf sie zu, lege meine Hände auf ihre zarten Schultern und ziehe sie zu mir. Ich gebe ihr einen zärtlichen Kuss auf die Wange, und führe sie dann an den Händen hinüber zu Maria, die es sich auf der Bettkante bequem gemacht hat, um Silvias Modenschau anzusehen.

Maria öffnet mit ihren schlanken Fingern den Verschluss des wunderschönen Spitzen-Korsetts, das Silvia trägt, und ich hake meine plötzlich ebenfalls zittrigen Finger in den zierlichen Bändern ihres dazu passenden String-Tangas ein, und streife ihn von ihrem süßen, kleinen Po und ihren schlanken, perfekt geformten Beinen herunter, bis er bei ihren zierlichen Füssen am Boden liegt und die junge Blondine bayburt escort nun völlig nackt und etwas unsicher vor uns steht.

Ich öffne langsam und verführerisch den Gürtel meines Kimonos, das einzige Kleidungsstück, das Maria und ich tragen. Maria tut es mir gleich, und als wir beide unsere Kimonos an unseren Körpern herabfallen lassen und nun ebenfalls nackt vor Silvia stehen, presse ich meinen vor Erregung heißen Körper an Silvias zierlichen Mädchenkörper. Ich lasse meine Hände über ihre perfekten Rundungen streichen, und als mein Mund den ihren findet, presst sie ihre Zunge gegen meine leicht geöffneten Lippen.

Maria drückt ihren warmen Körper an Silvias Rücken, fasst von hinten mit beiden Händen an ihre kleinen, festen Brüste und spürt Silvias Brustwarzen augenblicklich hart werden.

Der Atem unseres wunderschönen Mädchens wird immer schneller, als sie zärtliche, verwöhnende Hände überall auf ihrem Körper spürt. Sie spürt Marias Lippen an ihrem schlanken Hals und meine Lippen auf ihren schönen Brüsten; es kommt ihr vor, als stehe jeder Nerv ihres Körpers in Flammen.

Als schließlich zwei schlanke, lange Finger einer erfahrenen Frau den Weg in ihre enge, rasierte Spalte finden, stöhnt sie auf und bekommt so weiche Knie, dass sie fast umkippt.

Maria zieht ihre Finger wieder heraus und kniet sich vor ihren süßen, knackigen Po. Als sie Silvias zierliche Rosette vor Augen hat, beugt sie sich vor und beginnt, ihre Zungenspitze zärtlich um das kleine enge Loch kreisen zu lassen.

Ich widme mich währenddessen Silvias schönen Brüsten; ich lecke genussvoll die Konturen ihres perfekt geformten Busens entlang, küsse zärtlich ihre kleinen, harten Warzen und beginne, leicht an ihnen zu saugen.

Silvia reagiert auf unsere Zärtlichkeiten mit einem immer intensiver werdenden Stöhnen. Wie auf ein Kommando heben wir sie hoch und legen sie auf dem Bett nieder. Wenn Silvia geglaubt hat, sie bekäme nun eine kleine Pause, hat sie sich geirrt; unsere Hände und Münder setzen fort, was sie vorher begonnen haben, und als ich einen ihrer köstlichen, harten Nippel wieder in den Mund nehme, und Maria den anderen, senden unsere Zungen elektrische Ströme durch ihren Körper.

Endlich scheint Silvia ihre anfängliche Scheu überwunden zu haben, und sie beginnt nun, über unsere Rücken zu streicheln, während wir ihre empfindlichen Nippel immer intensiver verwöhnen und unsere Zungen immer schneller über ihre Brüste lecken.

Nach einiger Zeit löse ich mich von Silvias verführerischem Busen, presse meinen Mund auf den ihren und küsse sie, diesmal jedoch viel aggressiver und fordernder als zuvor; ich lasse meine Zunge tief in ihren Mund vorstoßen.

Silvia versucht, meinen Kuss zu erwidern, und als sie ihre Zunge in meinen Mund drücken will, sauge ich sie gierig in meinen Mund und beginne an ihrer Zungenspitze zu saugen, als wäre es ein kleiner Penis. Ich löse mich von ihren Lippen, als ich spüre, wie ihr Atem immer schneller wird und sie heftig in meinen Mund keucht. Als ich mich umsehe, erkenne ich auch warum.

Meine Stiefmutter hat in der Zwischenzeit damit begonnen, Silvias wunderschöne, noch fast mädchenhaft aussehende Muschi mit ihren Fingern zu streicheln, zwischen ihren zarten Schamlippen einzudringen und ihr Inneres zu verwöhnen. Als sie bemerkt, dass ich mich von Silvias Mund gelöst habe, beginnt sie sie leidenschaftlich zu küssen.

Der Anblick der beiden so unterschiedlichen Frauen ist faszinierend. Eine blonde, zierliche und sehr junge Frau in leidenschaftlicher Umarmung mit einer dunkelhaarigen, reifen, ebenfalls sehr attraktiven Frau. Es könnte sich durchaus um Mutter und Tochter handeln.

Maria blickt zu mir; wir verständigen uns wortlos und drehen Silvia auf den Bauch, so dass ihr perfekt gerundeter, kleiner Po vor uns liegt. Maria beginnt erneut, Silvias enge Möse mit ihren Fingern zu verwöhnen, was das Mädchen heftig in die Bettwäsche stöhnen lässt.

Maria zieht ihren Finger wieder heraus und beugt sich über ihren süßen Po. Als sie ihre Zunge herausstreckt und sanft durch die Pospalte und über die zierliche Rosette gleiten lässt, zuckt Silvia kurz zusammen, doch Maria kümmert sich nicht darum und beginnt, ihre erfahrene Zunge in das enge, runzelige rosafarbene Loch zu pressen, während sie gleichzeitig ihre freie Hand auf Silvias Arschbacken klatschen lässt.

Silvia erfährt zum ersten Mal in ihrem Leben diese delikate erotische Kombination aus Schmerz und Lust.

Das Zusehen hat mich total erregt, Maria versteht es wirklich, eine Frau zu verwöhnen. Ich beginne Silvias Muschi mit meinen Fingern zu verwöhnen und versuche, mit Maria einen gemeinsamen Rhythmus zu finden. Marias Zunge in ihrem Po und meine Finger in ihrer Spalte bringen Silvia binnen kurzem zu einem ersten Höhepunkt.

Doch wir sind noch lange nicht fertig mit ihr. Ich ziehe meine Finger aus ihrer nassen Spalte, lege mich auf den Rücken, und mit Marias Hilfe positionieren wir Silvia so über mich, dass ihre Möse über meinem Gesicht, und meine Spalte vor ihrem Gesicht zu liegen kommt. Eine klassische Position 69.

Ich beginne bilecik escort nun Silvias köstliche Spalte mit meiner Zunge ausgiebig zu lecken; der frische Geschmack ihrer jugendlichen Möse wirkt berauschend auf mich, so dass ich in kürzester Zeit vor einem Orgasmus stehe, obwohl sie selbst meine Muschi noch gar nicht berührt hat. Marias Zunge bleibt jedoch in Silvias Po beschäftigt; ich weiß aus eigener Erfahrung, wie gerne meine Stiefmutter einen schönen Po leckt.

Wir verwöhnen Silvia auf diese Weise weiter, und bald spüren wir, dass sie ein weiteres Mal kommen wird. Maria drückt Silvias Kopf gegen meine Spalte, und ihr bleibt nun nichts anderes übrig, als auch meine Möse zu kosten.

Ich stöhne auf, muss mich kurz von Silvias Möse lösen, um meine Erregung lautstark raus zu lassen. Das ermuntert sie, mich weiter zu verwöhnen und mich ausgiebig zu lecken.

Silvia macht das wirklich sehr gut, denn in kürzester Zeit stehe ich vor einem gewaltigen Orgasmus und ich schreie vor Lust, “Oh fuck! Ich komme, ich komme!!!”

Mein Körper bäumt sich auf, doch Silvia, die noch immer auf mir liegt, lässt nicht von mir ab, sie hört nicht auf, meine nasse Spalte zu lecken und an meiner Klitoris zu saugen.

Als mein Orgasmus endlich abflacht, will Maria nicht mehr länger warten; sie zieht Silvia von mir herunter, dreht sie auf den Rücken und stürzt sich begierig auf ihre junge Möse und beginnt ihre Klitoris zu lecken.

Sobald ich mich wieder etwas erholt habe, beuge ich mich zu Silvia, um sie zu küssen und ihre Brüste zu massieren.

Diese neue Erfahrung, von zwei Frauen gleichzeitig verwöhnt zu werden, muss unglaublich für das junge Mädchen sein, und als ihr Maria schließlich noch unerwartet einen Finger in ihr enges Poloch schiebt, ist es wieder soweit. Silvia schreit auf, überwältigt von dem plötzlichen Eindringen eines Fingers in ihren jungfräulichen Anus, und der kurze Schmerz verschwindet fast augenblicklich, als ihr zweiter Orgasmus über sie hereinbricht.

Silvia vergisst beinahe zu atmen, die Lust die sie empfindet ist einfach überwältigend. Ihr lusterfüllter Schrei steigert auch unsere Erregung. Maria kommt hoch zu mir, ihr Finger noch immer Silvias Arsch fickend, und wir küssen Silvia abwechselnd, genau so hart und bedingungslos wie Marias Finger sie fickt. Ich stecke zwei Finger in Silvias nasse Möse und ficke sie damit so heftig ich kann.

Silvias Lustschreie gehen langsam in ein erschöpftes Wimmern über, aber wir erlösen sie erst nach einigen weiteren Minuten und lassen sie schließlich völlig fertig auf dem Bett liegen.

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Silvia ist außer Gefecht, sie braucht jetzt dringend ein wenig Erholung, und ein Blick zu Maria zeigt mir, dass sie an dasselbe denkt wie ich.

Ich lege mich rücklings auf das große Ehebett meiner Stiefmutter und sie nimmt die Einladung an und kniet sich über meinen Kopf, ihre Beine weit gespreizt, so dass ich einen perfekten Blick auf ihre nasse Spalte habe.

Sie senkt ihren Schoß auf mein Gesicht herab, bis ihre Spalte, ihre weit geöffneten Schamlippen direkt auf meinem Mund zu liegen kommen. Ich strecke begierig meine Zunge heraus und beginne die saftige, reife Möse meiner Stiefmutter zu lecken, während ich mit einer Hand meine eigene streichle und mich selbst mit den Fingern verwöhne.

Mhh, wie ich Marias Möse und den köstlichen Geschmack ihres Nektars liebe! Ich denke kurz daran, wann wohl der fette Schwanz meines Vaters das letzte Mal in ihr war und seinen Samen verspritzt hat. Warum haben wir nicht schon viel früher zu einander gefunden? Wie viel Zeit ist nutzlos verlorengegangen! Ich denke kurz an Wolfgang, denn durch ihn wurde das alles erst Wirklichkeit.

Ich könnte Maria stundenlang so weiterlecken und von ihrem reichlich fließenden Nektar trinken, doch bald bekommt auch sie Verlangen nach mir und nach meiner Möse, die sie genauso gerne leckt, wie ich die ihre. Und so begeben wir uns in eine seitliche Stellung 69, die uns beiden die Gelegenheit gibt, die vor Geilheit triefende Möse der anderen zu verwöhnen.

Ich klammere mich an ihre Arschbacken, genau wie Maria es bei mir tut, und unsere Münder sind bald in wunderbar schmeckenden und geil duftenden Mösen vergraben.

Wir kommen beide fast gleichzeitig; in der Zwischenzeit kenne ich meine Stiefmutter sehr gut und kann meine eigene Erregungskurve auf sie abstimmen. Es gibt nichts Schöneres, als gleichzeitig in den Armen der anderen zu kommen, unsere Lust gleichzeitig in den Schoß der anderen zu stöhnen und schließlich den Nektar der anderen zu trinken.

Danach sind auch wir soweit, dass wir eine kleine Pause benötigen. Wir kuscheln uns eng zusammen, küssen uns nochmals zärtlich und gleiten fast gleichzeitig ins Land der Träume.

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Als ich nach wenigen Minuten, so kommt es mir jedenfalls vor, aufwache, schläft Maria noch, doch Silvia scheint auch gerade munter zu werden und öffnet ihre schönen blauen Augen.

Als sie bemerkt, dass ich sie ansehe, lächelt sie mich an; mit genau diesem bezaubernden Lächeln, das mir als erstes bingöl escort an ihr aufgefallen ist als ich sie im Dessous Shop zum ersten Mal sah. Ich deute ihr, zu mir zu kommen. Das Bett ist groß genug, um Maria ungestört schlafen zu lassen, während Silvia und ich… ja was…?

Ich denke kurz über meine Gefühle nach und erkenne, wie sehr ich dieses wunderbare, junge Mädchen begehre. Ich liebe ihr mädchenhaftes, aber doch so erotisches Aussehen; ihre kleinen, aber perfekt geformten, festen Brüste mit den kleinen harten Brustwarzen und den wunderschönen dunklen Aureolen; ihren schlanken, perfekten Bauch, die samtene Pfirsichhaut ihres Körpers, den Geruch und Geschmack ihrer Vagina, ihre wunderschönen, blauen Augen mit den langen Wimpern, ihr kleines Näschen, ihre vollen sinnlichen Lippen, ihre goldblonden, langen Haare, und und und…

Ich liebe einfach alles an ihr.

Als Silvia sich neben mir niederlässt, nehme ich sie in die Arme; ich sehe ihr tief in die Augen und forme mit meinen Lippen das Wort “Danke”.

“Wofür?” flüstert sie.

“Dafür, dass du mir deine Telefonnummer gegeben hast, weil du mich kennenlernen wolltest. Dafür, dass ich dich lieben und verwöhnen darf, dass ich dich sogar mit meiner Stiefmutter teilen darf.”

Als Silvia kurz ihre schöne Stirn runzelt, weiß ich, dass ich soeben ein bisher wohlgehütetes Geheimnis verraten habe. Maria hat sich nämlich als meine Freundin vorgestellt, nicht als meine Stiefmutter.

Aber wenn sie davon schockiert sein sollte, zeigt sie es nicht. Im Gegenteil, sie nähert sich meinem Gesicht und gibt mir einen zärtlichen Kuss auf meine Lippen.

“Ganz mein Vergnügen, Sabine. Ich danke dir für all das Neue, das ich durch dich kennenlernen durfte. Ich wollte schon immer eine ältere, erfahrene Freundin, mit der ich erotische Abenteuer erleben kann, und nun bist du es geworden, eine wunderbare, erotische, verheiratete Frau. Genau was ich mir immer gewünscht habe!”

Als wollte sie ihre Worte bekräftigen, küsst sie mich wieder, diesmal aber spüre ich ihre Zunge in meinen Mund eindringen, ihre Zunge, die ich mit großem Vergnügen annehme und sofort mit meiner Zunge begrüße.

Ich kann es nicht verhindern, aber ein Seufzen dringt tief aus meinem Herzen durch den Mund nach außen und Silvia weiß genau, was es bedeutet. Sie streichelt mit ihrer zarten Hand zärtlich über meine Wange und flüstert mir zu, “Ich dich auch!”

Das ist der erotischste Moment in meinem ganzen Leben. Ich habe plötzlich ein so starkes Bedürfnis, dieses Mädchen fest in meinen Armen zu halten, mit ihr Liebe zu machen, dass es fast weh tut. Und Silvia scheint es ähnlich zu gehen.

Ich erhebe mich vom Bett und ziehe Silvia mit mir. Als sie neben mir steht, drückt sie sich an mich, ihr nackter Körper eng an meinen gepresst. Ich spüre ihre harten Brustwarzen, spüre ihren feuchten Schoß dicht an meinen gedrückt, spüre die Hitze, die von ihm ausgeht.

Einem plötzlichen Impuls nachgebend, hebe ich sie hoch, sie schließt ihre Beine um meine Hüften. Ich halte ihren kleinen Po mit beiden Händen, sie legt ihre Hände um meinen Hals und unsere Lippen treffen sich zu einem intensiven, langen Kuss. Ich flüstere ihr zu, “Lass uns ins Wohnzimmer gehen, die Couch ist groß genug für uns beide”.

Ich trage dieses wunderschöne, junge Ding ins Wohnzimmer, unsere Lippen fest aufeinander gepresst. Bei der Couch angekommen, lasse ich sie herunter und sie bleibt auf der Couch stehen, während ich ihre Brüste küsse und meine Lippen ihren schlanken Bauch hinunter zu ihrer Scham gleiten lasse.

Ich knie mich vor ihre leicht gespreizten Beine und beginne ihre zarten Schamlippen zu küssen; ich lasse meine Zungenspitze an ihnen entlang gleiten, koste die Feuchtigkeit die davon ausgeht. Der Geschmack ihrer Vulva ist einfach köstlich, sie schmeckt nach frischen exotischen Früchten, ich könnte sie stundenlang lecken und all ihren Nektar aufnehmen.

Oh Gott, Silvia, was machst du nur mit mir…

Meine Zunge bewegt sich immer schneller in Silvias Möse, ich kann es nicht kontrollieren, sie hat ihr eigenes Leben. Silvias Nektar fließt reichlich und ich lecke begierig jeden Tropfen ihres Liebessaftes, als hinge mein Leben davon ab. Ich merke, wie ihre schlanken Beine zu zittern beginnen, deshalb schlage ich einen Stellungswechsel vor. Ich lehne mich mit dem Rücken zur Couch und Silvia kann sich auf der Lehne abstützen, während ich meiner Lieblingsbeschäftigung weiter nachgehe. Ich halte dabei zärtlich ihren Arsch, der rund und fest wie ein Apfel ist aber die samtig-weiche Haut eines Pfirsichs besitzt.

Das wunderbare Gefühl, ihren perfekten Po in meinen Händen zu halten, die weiche, warme Haut an meinen Fingern zu spüren, lassen mich immer wieder an die Spalte zwischen ihren Pobacken denken; daran, sie mit meiner Zunge zu durchpflügen und meine Nasenspitze vorsichtig in ihr enges kleines Loch zu drücken.

Silvia scheint meine Gedanken zu erraten, sie löst sich von der Lehne, kniet sich auffordernd auf die Sitzfläche der Couch und vergräbt ihren Kopf in einem der Polster. Sie streckt mir ihren süßen Po entgegen, ein wunderbarer Anblick; ich beneide sie so um ihren perfekt geformten, knackigen Po. Mein eigener ist mir viel zu groß und zu fett; obwohl, Wolfgang liebt ja gerade das so sehr, wie er mir immer wieder beteuert und auch zeigt.

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