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Blowjob

Par amour

Couluybaca / Jon Maddux

correcteur : Fantazmaster

CHAPITRE 1: Pas de chance

J’avais surfé sur de nombreux sites d’escortes à la recherche d’une femme qui puisse me soulager physiquement le temps que ma femme récupère d’une sérieuse maladie.

Elle serait incapable de subvenir à mes besoins charnels pendant plu-sieurs mois.

Bien sur j’aurai pu avoir recours à des putes, mais je voulais trouver une femme qui soit saine, indemne de toute maladie vénérienne.

Je rédigeais une annonce mentionnant ma délicate situation, précisant que je recherchais une femme ayant ponctuellement besoin d’un protec-teur.

Je trouvais un site de rencontres sur lequel je déposais mon annonce et reçut des centaines de réponses.

Je regardais les photos des volontaires éliminant celles qui me déplai-saient, je demandais à chaque femme dont je retenais la candidature un examen du sang, en faisant la condition principale d’un éventuel accord, beaucoup se montrèrent rétives refusèrent cette stipulation.

Hélène répondait parfaitement à mes vœux.

Elle m’indiqua qu’elle était mariée depuis 14 ans et qu’elle avait besoin d’une aide financière temporaire qui lui permettrait de régler des problè-mes à court terme.

Son mari avait perdu son boulot de conseiller financier ils devaient faire face à une montagne de dettes et risquaient de perdre leur maison et leur mode de vie.

Elle allait devoir déménager et ses jeunes enfants risquaient de devoir vivre dans une banlieue ou régnaient le vice et la corruption alors que ses aînés devraient abandonner leurs études dans des écoles privées pour s’inscrire dans des lycées prolétariens.

Je passais plusieurs heures à discuter avec elle de notre futur arrange-ment avant de prendre rendez-vous.

J’avais plusieurs photos d’elle et j’appréciais son physique.

Elle avait 42 ans, était mère de 4 enfants, elle avait des longs cheveux noirs qui lui descendaient à mi épaules, elle avait mentionné qu’elle n’était pas maigre.

Elle avait accouché de 4 enfants et s’était débrouillée pour perdre les ki-los collectés pendant ses grossesses, elle faisait une taille 40 ce qui était remarquable pour une mère de famille de son âge, elle m’avait indiqué ses différentes mensurations, voulant que je sache à quoi m’attendre lors de notre première rencontre, elle faisait un bon 90 C de tour de poitrine, pour un tour de taille de 70 cm et un tour de hanche de 90 cm.

Ce n’était pas une mince jeune fille, mais cela me convenait parfaite-ment.

Nous avons déjeuné ensemble un midi ce qui nous permit de discuter de notre marché.

Elle avait besoin de 1.500 $ par mois pour faire face à ses obligations, elle avait déjà trouvé un alibi en ce qui concerne la provenance de cet argent, elle feindrait travailler pour une boite de télévente, sachant que c’était là le meilleur moyen de ne pas éveiller les soupçons de son mari quant à la véritable origine de ce “salaire”.

L’argent n’était pas un problème pour moi, aussi acceptais-je de lui payer cette petite rente en échange de ses charmes.

Elle était d’accord pour me rencontrer deux fois par semaine pendant les 9 mois à venir.

Nous échangeâmes nos tests sanguins, vérifiant que tout était OK.

On se serra la main prenant rendez-vous pour notre première rencontre deux semaines plus tard.

Dès le début elle accepta d’avoir des rapport buccaux et vaginaux, mais refusait l’idée de se livrer à toute autre pratique sortant de l’ordinaire.

La marge de négociations était faible.

Je me penchais d’abord sur la question des poils : j’aimais les femmes poilues, elle me répondit qu’elle pouvait me faire plaisir sur ce point, elle cesserait de se raser les aisselles, le pubis et les jambes tant que nous serons intimes.

Venait ensuite l’emploi de capotes.

Je n’avais pas enfilé de capotes depuis des années, ma femme et moi même observions les règles naturelles de contraception, j’étais intransi-geant sur ce point, je ne porterai pas de capote.

Elle finit par accepter, mais je dus porter ses émoluments à 2.500 $ au lieu des 1.500 prévus initialement.

Elle me prévint qu’elle ne prenait pas la pilule ni aucun type de protection contraceptive, et que de ce fait, dès notre première rencontre je devrai lui fournir une prescription pour prendre une pilule abortive.

Je savais que je devrais me préparer à la faire chanter pour obtenir d’elle plus que les rapports classiques qu’elle avait avec son mari.

Je conservai des traces de chacune de nos conversations et des mails que nous échangions.

Elle avait été clair, son mari ne devrait jamais se douter de quoi que ce soit, je la sentais prête à toutes les concessions pour garantir son secret.

Notre premier rendez vous devait se tenir dans une suite de l’hôtel Ra-mada, je m’y rendais très tôt afin de disposer des caméras bien cachées dans des endroits stratégiques.

C’était la cerise sur le gâteau qui me permettrait de faire mes quatre vo-lontés dans son corps, je pourrai aussi me servir de l’enregistrement pour l’obliger à vip gaziantep escort tenir ses engagements si son mari venait à retrouver du boulot et qu’elle penserait ne plus avoir besoin de moi.

Elle frappa à la porte, lorsqu’elle pénétra dans la chambre je notais qu’elle portait la tenue préconisée.

Un élégant bustier blanc très moulant qui soulignait ses formes volup-tueuses, il mettait en valeur son opulente poitrine, elle ne portait pas de soutien-gorge et ses seins épousèrent de façon fort érotique le creux de ses bras lorsqu’elle s’assit.

Une jupe moulante épousait ses formes épanouies, son petit ventre rond, ses hanches larges, son cul ferme, ses cuisses musclées.

Elle s’assit, je lui fis répéter les termes de notre accord, rien que pour les caméras.

Elle me demanda ensuite si j’avais apporté ce qu’elle avait réclamé et me tendit un sachet de papier brun.

Elle l’ouvrit et j’y déposais une liasse de 2.500 $, j’étais ravi, elle me faci-litait les choses en me donnant cette scène à filmer.

Puis elle prit la prescription pour deux mois de pilules et la rangea dans son sac.

Dès ce moment je sus que je la tenais, mais le moment n’était pas en-core venu de refermer le piège sur elle. Je voulais attendre d’être parfai-tement prêt.

J’étais décidé à attendre le prochain rendez-vous.

CHAPITRE 2 : Les closes du marché

Nous devions maintenant régler le déroulement nos rencontres, il me pa-raissait évident que c’était à moi de définir le temps que je voulais jouir de ses charmes.

Elle me confia qu’il était de son intention de m’accorder le minimum de temps chaque semaine, u rendez-vous peut être deux par semaine, mais elle dut changer son fusil d’épaule dès notre première rencontre.

Elle m’avait avoué que son mari n’était plus inters par l’amour oral depuis la naissance de son second bébé.

Par ailleurs elle n’avait aucune idée du temps que cela prendrait pour arracher orgasme sur orgasme de son corps endormi.

J’aimais faire l’amour aux mères de famille et je l’aimais d’autant plus qu’elles étaient enivrées, juteuses et trempées lorsque je les prenais.

Elle apprit ainsi incidemment que j’aimais disposer de femmes fontaines et que j’avais mes propres idées pour amener les femmes que je baisais à mouiller.

Bien sur sa chatte était élargie puisqu’elle avait accouché de quatre en-fants, il m’était difficile de me contenter de sa foufoune, ma bite ne mesurait que 18 cm environ et était pas plus épaisse trois doigts joints ensemble, comme elle avait enfanté naturellement ses quatre gosses ma bite se trouvait un peu perdue dans foufoune distendue.

Pour peu qu’elle secrète une bonne dose de lubrifiant, il m’était impossi-ble de jouir dans une chatte aussi large.

Je lui enseignai une petite ruse, elle tendrait sa main et placer son index et son pouce pour former un anneau à l’orée de son con de mère.

De cette manière je traversais l’étroit anneau avant de la pénétrer ce qui finissait par déclenchera mon éjaculation, je me réjouissais cependant de vomir mon foutre dans l’utérus d’une femme mariée à un autre homme que moi, d’autant plus que je savais qu’elle était mère de quatre enfants.

Nous nous rencontrions parfois trois ou quatre fois dans la semaine, par-fois elle ne me faisait qu’une bonne pipe à l’arrière de son espace, d’au-tre fois je lui bouffais le gazon jusqu’à la faire jouir sous les caresses de ma langue, elle rentrait chez elle rassasiée.

Cependant tout dépendait de son cycle menstruel.

Ses cheveux noirs avaient joliment poussé, son mont de Venus était couvert d’un épais buisson crépu que l’on distinguait clairement sous sa culotte de maillot de bain blanche lorsqu’on se délaçait à la piscine de l’hôtel.

Les poils de ses aisselles aussi formaient un épais tapis velu, elle avait dit à son mari que c’était une nouvelle mode qu’elle expérimentait.

Ses jambes étaient couvertes d’une fine toison noire.

Elle portait des pantalons chez elle, mais lorsqu’elle était avec moi des jupes à mi cuisses.

Je le lui avais demandé de façon à toujours pouvoir disposer de son ori-fice naturel, le port du pantalon lui aurait donné la fausse impression de pouvoir contrôler l’usage da sa chatte.

Sa toison broussailleuse me faisait délirer, j’étais incapable de détacher mes lèvres de sa fentine baveuse.

Après avoir joui de ces premiers plaisirs, il était temps maintenant d’ob-tenir ce que je voulais vraiment.

Je n’avais jamais mentionné son petit trou du cul si tentant ou comme je l’appelais sa porte dérobée.

Il était tout à fait clair qu’elle était pucelle du trou du cul et dans son es-prit elle le resterait jusqu’au jour de sa mort, du moins c’est ce qu’elle pensait.

J’avais décidé de lui casser le cul ce jour même et de lui montrer qu’une femme pouvait aussi faire plaisir à un homme par cette voie.

CHAPITRE 3 : La révélation

Cette fois nous nous sommes rencontrés au Super 8.

Nous nous voyions si souvent que je me demandais si je ne gaziantep vip escort bayan ferai pas mieux de retenir une suite au Ramada.

Nous avons passé deux heures à la piscine elle s’allongeait à mes cotés et piquait une tête de temps à autre pour me faire plaisir, j’aimais la revenir vers moi son épais buisson transparaissant au travers de son maillot blanc.

Tous les hommes présents la lorgnaient d’un regard concupiscent et me regardaient d’un oeil envieux, puis nous avions gagné tranquillement no-tre chambre.

Une fois dans la chambre, je verrouillais la porte et lui indiquais que je lui avais acheté une nouvelle tenue rangée dans la garde-robe.

Il s’agissait d’une jupe étroite qui moulait ses formes voluptueuses.

Elle ne perdit pas de temps pour se jeter à mes genoux et descendre mon pantalon, comme toujours ma bite était bandée alors qu’elle l’em-bouchait avec voracité, elle faisait coulisser sa main et ses lèvres sur ma hampe tendue me tétant pour m’amener à juter dans sa bouche, ce qui ne posait guère de problèmes habituellement.

Mais cette fois je voulais me réserver pour user de sa porte dérobée, et après quelques instants je la fis se relever et s’étendre sur le lit à mon coté.

Je me mis à l’embrasser alors que mes mains empaumaient sa savou-reuse croupe que je caressais lentement explorant chaque pouce de ses rondeurs, puis je glissais discrètement mes mains sous sa jupe conti-nuant à lui peloter les fesses avec lubricité.

Elle se saisit de mes mains pour les écarter, roulant sur son dos, je lui enlevais prestement sa jupe et lui écartais les cuisses en grand.

Je lapais et léchais alors avec avidité son entrecuisse détrempé, j’écar-tais ses babines de mes doigts fureteurs et titillais son clito d’une langue habile, son excitation grandissait au rythme de mes coups de langue.

Tendant la main je fourrais mes doigts dans sa chatte affolant son point G de mes caresses luxurieuses.

Ma langue glissait de son clito vers son petit trou et revenait à son clito, je lapais les muqueuses de sa fentine comme un chaton ronronnant de plaisir.

Sa moule secrétait des flots des flots de cyprine qui s’étalaient sur ses cuisses débordant de sa chatoune engorgée alors qu’elle succombait à un terrible orgasme qui la secoua longuement.

cette fois elle prête, j’attrapais la fiole lavement et lui glissais l’embout dans le vagin.

Elle resta inerte se contentant de lever les hanches pour permettre au liquide gras de diffuser plus facilement en elle.

Je vidais la bouteille en elle lui emplissant le vagin et l’utérus à ras bord, les trop plein s’écoula sur ses cuisses;

Elle leva ses hanches alors que je me postais entre ses cuisses grandes ouvertes; j’entrai facilement en elle. Sans que je dise un mot, elle avait placé ses doigts en anneau autour de ma hampe, la serrant fortement.

J’allais lascivement en elle plongeant jusqu’à heurter le col de son uté-rus, me régalant de la chaleur de ses muqueuses internes.

Elle me sourit ravie.

-“J’ai quelque chose à te dire!……. j’ai appris il y une paire de jours que j’étais enceinte …… Je sais que tu voulais m’engrosser je pense que tu dois savoir que tu as réussi!…… Cela fera deux mois ces jours ci. … J’ai programmé la prise d’une pilule abortive ce soir même … Je veux avorter avant qu’il ne soit trop tard!……”

Ces mots tournaient follement dans ma tête.”

-“Il faudra bien que tu me dises comment vous faites ta femme et toi pour baiser depuis des années sans avoir d’enfants!……”

Je glissais hors de sa chatte et m’ assis décidé à lui faire part de ma vo-lonté.

-“Tu as entièrement raison ma chère Hélène, j’aurai du te dire ce que j’avais en tête ….”

J’appuyais sur le bouton lecture et l’enregistrement de notre petit arran-gement sexuel défila.

Elle vit, yeux écarquillés, bouche grande ouverte, le scène ou les détails de notre marché étaient clairement exposés, jusqu’à la fourniture de pilu-les abortives au cas ou!…….

Puis on nous vit tous deux baisant comme des lapins, on la vit rebondir d’orgasme en orgasme, sans oublier ces instants ou elle m’assurait à plusieurs reprises qu’elle n’avais jamais autant joui entre les bras de son mari.

Elle blêmit alors que son anxiété croissait.

-“Que ….. Que comptes-tu faire de cette cassette? ….. Pourquoi as tu enregistré nos rendez-vous?…..”

Je tendis les mains et lui saisis ses opulentes fesses que je serrais fer-mement.

-“C’est là la seule contraception que nous utiliserons ma belle Hé-lène!….. Chaque fois que je voudrai me vider les couilles, ce sera dans ton trou du cul … Comme ça pas de risque de t’engrosser!…..”

Elle paniquait :

-“Ce n’est pas sérieux!….. Tu ne peux pas me faire ça!…. Cela fait-il longtemps que tu y penses!….. Dès le début tu avais projeté de me sodomiser!….. De me déshonorer!….. De faire de moi un morceau de viande qu’on remplit de foutre!…. Un garage à bites!…… “

Je lui souris gaziantep vip escort cruellement précisant :

-« Ne joues pas les mijaurées Hélène!…. Tu m’as vendu ton corps, tu devais bien te douter que cela risquait de tourner mal pour toi!…. »

Elle éclata en sanglots tout en grommelant des sons incompréhensibles .

J’empoignais une serviette :

-“Roule sur le ventre que j’essuie les traces du lavement …….”

Elle était blême j’ai craint un instant qu’elle s’évanouisse, je me deman-dais que faire dans ce cas lorsqu’elle entama ses supplications, je la coupais immédiatement.

-“Inutile de discuter Hélène …… Tu roules sur le ventre et m’offre tes fesses où j’envoie des copies de cette vidéo à ton mari, et la diffuse sur Internet!……”

Elle criait maintenant me suppliant de ne l’envoyer et de ne la montrer à personne.

Je rétorquais que c’était à elle de choisir;

Elle roula alors à contre cœur sur le ventre et je remontais sa jupe et lui essuyais les fesses. Je posais ensuite deux oreillers sur le lit et lui or-donnais de s’allonger le ventre sur les oreillers.

Elle me supplia à nouveau, mais son sort était réglé.

Elle s’étendit selon mes vœux et se prépara à l’inéluctable.

-“A partir de ce jour, lorsque je voudrai éjaculer, tu rouleras sur le coté, ou sur le dos pour me présenter ton petit oeillet si étroit … Je ne connais personne qui aurait sorti 2.500 $ pour se vider les couil-les sur ton ventre, tu ne peux pas être naïve à ce point!……”

Elle pleurait et reniflait misérablement lorsque je me postai entre ses cuisses bien ouvertes.

-“C’est promis Hélène, cela va te faire mal au début, mais la douleur s’estompera rapidement!…..”

Son trou du cul était excrément serré, son boyau broyait ma bite d’une main de fer, je rassemblais mes forces et lui évasais le goulot cherchant à passer le relier obstacle, elle crispait son sphincter anal cherchant ins-tinctivement à m’empêcher de la pénétrer.

-“Ouvre tes fesses et fais toi accueillante …. “lui intimais-je autoritai-rement.

Elle s’efforça d’obéir cramponnant ses deux fesses pour élargir son trou du cul.

Je forçais puissamment son oeillet frémit et avala soudain ma bite qui disparut lentement dans ses entrailles.

J’avais enfin réussi à mater son trou du cul rétif, je m’enfonçais de plus en plus profondément dans son fion qu’elle avait su garder inexploré jusqu’à ce jour. Ses muqueuses épousaient maintenant ma bite qu’elles enserraient d’une poigne de fer, elle se mit à crier alors que je commençais de succulentes allées et venues dans son boyau asservi.

-“Si tu veux prier enfouis ton visage dans un oreiller, ça évitera d’ameuter tout le quartier!…..”

Centimètre après centimètre je l’embrochais impitoyablement.

-“Ton mari serait drôlement fier de sa petite pute de femme, s’il sa-vait ça, n’est ce pas ma chérie?…….

Je me reposais quelques instants bien enfoui au fin fond de ses entrail-les, couilles frottant contre ses fesses.

Elle haletait, son corps était couvert de sueur, la transpiration collait ses cheveux sur son crane, elle soufflait comme si elle était en plein effort.

Elle tenta de respirer profondément pour contrôler sa respiration et sou-lager sa douleur.

Je ne me souciais pas vraiment de sa souffrance, je voulais la briser mentalement, lui évaser le goulot pour amenuiser la résistance lorsque j’emploierai la sodomie comme moyen contraceptif.

Je faisais tourner ma bite dans son trou du cul que je martelais de toute ma vigueur, lui distendant son sphincter anal un maximum.

Dix minutes plus tard, ses larmes cessèrent, sa respiration se calma elle restait simplement étendue sur le ventre, grommelant entre ses dents, alors que je lui labourais le fion.

Je me retirais à plusieurs reprises serrant ma bite entre mes doigts pour retarder mon éjaculation, je voulais l’enculer assez longtemps pour ac-coutumer ses intestins à cette pratique.

Cela faisait une bonne semaine que j’attendais pour me vider dans son cul et je voulais en profiter à fond.

Je lui pilonnais le fondement depuis une bonne heure lorsque je me dé-cidais de jouir.

J’écartais ses grosses fesses en grand ce qui me permit de m’enfoncer encore de quelques centimètres dans son boyau asservi et je l’avisai :

-“Tu sais maintenant quel genre de contrôle des naissances j’utilise avec ma femme …….. Toutes les bonnes mères de famille de-vraient en faire autant!…….” grommelais-je sourdement alors que je me vidais les couilles dans son trou du cul ravagé.

Lorsqu’elle sentit le flot de sperme jaillir dans ses profondeurs elle se mit à crier à nouveau, humiliée de s’être fait traiter comme vide couilles, ré-servoir à foutre, un réceptacle dans lequel déverser mon trop plein de sève.

Lorsque ce qui avait été le meilleur orgasme de ma vie s’estompa, un flot de foutre s’écoula de son trou du cul sur la face interne de ses cuisses, je m’essuyais avec une serviette sèche et me rhabillais.

Elle se lova en position fœtale et se mit à pleurer à chaudes larmes.

-“Rappelle toi bien ça … Désormais tu te feras baiser comme de-vraient le faire toutes les bonnes mères de famille ….. Par ton étroit trou du cul!….. Je te prendrais encore par ton con mais je t te préviens que désormais je me viderai les couilles au fin fond de tes intestins. … Tu m’entends?……. Dorénavant ce sera ma porte dé-robée!…..”

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Ass

Nathan est à un tournant de sa carrière professionnelle, il n’a jamais vraiment su trouver sa voie et décide de devenir gardiens de prison.

Le statut est intéressant et les test ne sont pas si dur, de plus, sa charmante épouse, Fred, l’encourage dans cette démarche, soucieuse de le voir s’épanouir…

Nathan a 38 ans, 1m72 pour 85 kilos, châtain foncé, blanc de peau avec des yeux bleu… il n à jamais été pris au sérieux face à d autres hommes car son visage reste enfantin.

Il est sur de lui, tout de même, car des années de travail manuel lui ont forgé une certaines force et endurance physique… Il complexe cependant sur la petite taille

de son sexe (14 cm de longueur et 3 d épaisseur). De nature sympa et est accessible à la communication ce qui as facilité l’entrée en matière pour beaucoup de types de travail différents.

Fred, 30 ans, quand à elle, est prof d’élèves de 15 à 20 ans, 1m65 pour 75 kilos, blanche, cheveux noir long, yeux bleu perçants et surtout une poitrine plantureuse à faire rougir bien des hommes et jalouser bien des femmes (95g) …

elle a quelques formes, mais très jolie et une telle poitrine ne tiendrait pas sur une fille toutes maigrichonne, comme aime le rappeler son homme.

C est une prof sévère mais juste qui aime s occuper d élèves en difficulté avant tout.

Ensemble de puis 9 ans ils sont passé par toutes les phases qu’un couple rencontre de manière classique mais Nathan étant le “premier” homme de Fred, celle-ci fantasme énormément sur l’inconnu…

elle est surtout sollicitée par la gente masculine et cela crée pas mal de jalousie de la part de ses collègues femmes…

Ça ne dérange pas Nathan qui aime savoir que sa femme plaît… il a plusieurs fois fantasmé sur le cuckolding en vérité et à même abordé l’idée à sa douce sans jamais passé le pas… juste pour pimenter les soirées à deux…

Après quelques jours de formation, Nathan se retrouve malgré lui dans le “bain”.

Le manque d effectif est flagrant et c’est sans réelle expérience qu’il est accueillis dans une prison de sécurité maximum par des collègues tantôt fatigués, tantôt sympa mais en manque de temps.

Il se retrouve très vite à devoir gérer des situations difficiles et arrive à dialoguer avec des détenus pour désamorcer des situations houleuses…

Il fait connaissance avec des collègues très vite qui lui parle de co-voiturage.

Permis eux, une plantureuse fille du nom de Valérie. 1m 70 cheveux blong long et poitrine üniversiteli gaziantep escort généreuse, pas autant que celle de Fred, mais celle-ci fait pas mal réagir les détenus et les gardiens. Nathan est d’ailleurs assez étonné

de la manière dont elle gère cela. Valérie a du répondant mais joue de ces atout clairement, à la fois pour amadouer et recaler de manière autoritaire …

Il y a aussi Jule, un gardiens tatoué, musclé, poivre et sel assez ferme avec les détenus qui va diriger un peu Nathan qui se retrouve tout de même un peu perdus.

Après les premières journées, les liens doucement se tissent et l’idée du co-voiturage devient une évidence pour éviter des trajets trop coûteux ou compliqué…

Nathan manque de temps avec Fred, il pousse donc un peu dans ce sens par besoin. Il s’arrange avec Jule qui lui donne le numéro perso de Valérie affin de réaliser le premier trajet.

Jules – Fais attention, c est une croquettes d Homme! ( en souriant…)

Nathan – T’en fais pas, g tout ce qu’il me faut à la maison, répond Nathan…

Le lendemain, tôt le matin, Valérie monte dans la voiture de Nathan. Très vite elle brise la glace apres quelques discution classiques :

Valérie – tu sais, on va travailler ensemble sûrement quelques années alors t’en fais pas si je suis familière.

Nathan – Pourquoi tu dis ça?

Valérie – je vois bien que tu me regarde et les histoires, tu sais, ça va vite dans notre taf, moi, je suis plutôt échangiste avec mon homme, alors tu n’as qu’à demander…

Valérie rit mais sa dernière phrase est une réalité

pour sur …

Nathan est gêné et rougis … il sent ses lèvres chauffées … lui aussi, depuis Fred n’a connu qu’elle et donc, gère très mal le fait qu’une demoiselle ouverte lui parle de la sorte…

Valérie – Hé détend toi… je savais pas que je te ferais cet effet … la main de Valérie brise un silence de quelques secondes dans la voiture en venant se posé sur l’entre jambes de Nathan …

Nathan est bouche bée et surtout, ne peut s’empêcher une réaction “positive” …

Valérie – tu bande la?

Nathan respire fort mais se retrouve timide à ne rien dire… sauf un oui hésitant … :

Nathan – par..pardon.. j’essaye de me concentrer sur la r..rou..te

Valérie – mais… elle est toutes petite!?

Nathan a toujours fantasmé sur le fait que Fred le rabaisse vocalement au lit … en vue gaziantep üniversiteli escort du délire “Cuckold” qu’il cache

Valérie – ha oui, tu bande plus fort quand j’te l’dis… mignon ça …

Nathan ne sais plus ou se mettre …

Nathan – désolé écoute… arrête svp, j’suis au volant et j’te promet j’aime ma femme … je pense qu’a elle en fantasme.

Val éclate de rire

Valérie – Écoute, moi les mecs comme toi, j’les connais, j’pensais pas en croiser un au boulot..

Nathan – Tu veux dire quoi par là?

Valérie – Arrête … Je t’ai cerné, avoue que tu aimerais que ta petite femme se fasse prendre par un vrais mecs

Nathan sursaute presque, comment à t elle compris ça? Que faire? Son cœur bat, il voudrait tellement allé plus loin, mais c’est inconcevable!

Nathan : S’te plait, arrête ça devient gênant là …

Val serres mains plus fort contre le petits sexe de Nathan : J’arrête uniquement si tu avoue, t’en crève d’envie de le dire à haute voie… tu sais ce que je pourrait faire avec ta nana? le nombre

de mecs que je pourrait mettre dessus? des vrais mecs, bien monté …

Nat – arrête c’est du harcèlement!

Nathan prend la sortie vers un parking d’autoroute, se gare, a cette heure personne, il fait toujours noir…

il répète :

Nathan – C’est du har…harcèlement…

Valérie – tu veux jouer à ça? ( Val attrape son tel ) – écoute petite bite, je passe un coup de fil et c’est toi le harceleurs, j’ai assez de contacts en taule pour que tu vive un enfer et les gens m’aime bien!

tu veux jouer?!!!

Nathan prend peur et débande un peu …; il est perdus…

Valérie – Bon tu te calme, c’est bien ptite bite! bon maintenant on va faire un truc : t as voulus faire le malin alors voila, je porte pas plainte si tu dis dans mon tel à haute voie ton fantasme, le vrais, et crois moi je connais

les mecs comme toi. Si t’es pas 100% honnête, ta carrière c’est déjà fini, tu veux un salaire, tu veux que je défonce ta vie?

Nathan – Je peux pas!

Val cherche dans son répertoire, Nathan sait qu’elle le fera …

Nathan : Attend … (Nathan est rouge … il respire fort, Val le regarde d’un air autoritaire et amusée…).

Elle pose sa mains sur la poitrine de Nathan et descend doucement…

Valérie -T’en fais pas, je sais que t’as besoin d’un ptit coup de main, allez avoue! Nathan bande encore et Valérie souris gaziantep üniversiteli escort bayan en lui chuchotant : petite bite, petite bite… elle approche le tel de la bouche de Nathan

-Allez dis le

Nathan – Je… j’aurais plus de problème après, tu me promet?

Valérie chuchote – Dis le salope en regardant droit dans les yeux.

Nathan – Je.. j’aimerais que ma femme soit avec d’autres…

Valérie – C’est tout, ça suffit pas! Elle reprend son tel et efface le message : – J’ai dit la vérité! Écoute, c’est ta dernière chance, après c’est foutus, tu comprend! Moi je perd pas mon temps! alors?

(Valérie retend le tel a la bouche de Nathan perdus entre excitation, peur, doutes…Mais son excitation à pris le dessus… ses fantasmes, ses envies cachées… tout remonte à la surface)

Nathan – J’…ai une petite bite de lopette … et je voudrais que des mecs domine et violent ma femme pour m’apprendre à être une bonne suceuse … pour leurs nettoyer leurs grosses queues … je voudrais que ma femme soit dressée et

devenir son cuckold, une….. pute pour ses amants …

Valérie ordonne – Branle toi maintenant!

Nathan est rouge, il n’a plus que l’excitation de la situation en tête, il abaisse son pantalon.

Valérie – Putain elle est petite hein

Nathan – Pa…pardon (il baisse les yeux)

Valérie – Tu peux t’excuser! (elle souris) Branle toi ou je porte plainte!

Nathan branle sa petite bite pendant que Valérie lui ordonne de donner le nom le prénom de sa femme, leurs adresse … Nathan s’exécute… il perd le contrôle et jouis partout

Valérie attrape sa bite et le branle encore pour que tout ressorte … Nathan tourne de l’œil et s’évanouit presque …

C’est trop bon pour lui, entendre cette femme le dominer comme ça, rire de lui, se donner à elle,

se soumettre, lâcher son secret..

La jouissance est forte, plus que d’habitude quand il ose y penser seul…

Valérie reprend un air sérieux ….

Nathan – on peut démarrer maintenant?

Elle lui répond d’un air autoritaire :

Maintenant j’ai ton sperme … ta voie enregistrée, si tu fais ce que je te dis, personne ne saura rien, mais si tu n’en fait qu’a ta tête, alors je fais tout fuiter aux collègues,

aux prisonnier et à ta femme … ça va?

Nathan – Je… ok..oui

Valérie – Pas de covoiturage, tu es mon chauffeur pour le travail maintenant!

Le pauvre prend peur et se rend compte de la situation, il s’en veux mais, trop tard, il n’a plus le choix!

Nathan – Oui d’accord

Valérie – D’accord maitresse val!

Nathan – Oui …maitresse val

Valérie – Allez démarre, qu’on arrive pas en retard ……

Voila, c’est la fin de la première partie, n’hésitez pas à me rabaisser dans les commentaires, à vous moquer de moi, à me remettre à ma place, à imaginer ce qui pourrait arriver ensuite.

… merci

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Un fils indigne 03

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Salut a tous! C’est Gabriel.Vous vous souvenez de moi? Je vous ai raconté dernièrement comment j’ai découvert par le plus grand des hasards que ma mère était une salope. J’ai mis Christophe mon meilleur ami dans la confidence et nous avons abusée tous deux de ma mère.Elle m’a avoué après que je l’ai interrogé qu’elle était sous l’emprise du Diable.intrigué, vous l’imaginer bien, j’ai décidé de la suivre dans tous ses déplacements. Isabelle, ma mère, a tenté de reprendre le contrôle de la situation. Nous avons eu une grande discussion ou elle m’a demandé de ne pas continué.Que c’était une folie.Et si ton père apprenait m’a t’elle dit.Elle paraissait vraiment embarrassée et je n’ai pas insisté.Je suis de plus en plus excité quand je la regarde.Je l’observe plus ou moins discrètement toute la journée.Je lui impose de faire le ménage uniquement vêtu d’un tablier blanc et de mules à talons.Plus sexy que ces horribles pantoufles qu’elle a du jeter. Je m’adresse à vous Messieurs, avez-vous déjà demandé à votre épouse de faire le ménage déguisée en soubrette sexy? Je vous le conseille, c’est très excitant! Elle s’apprête à sortir.Aujourd’hui, elle est habillée d’une courte jupe blanche avec un haut noir.Il fait très beau et elle n’a pas mis de bas.Ce qui m’ennuie un peu, j’aime quand elle met des collants ou des bas.Elle a enfilé des sandales à hauts talons.

-Ou vas-tu? Lui demandais-je.

Elle rougit légèrement.

– Je vais à la réunion de mon association.

Ma mère appartient à une association caritative qui s’occupe des défavorisés et des jeunes en difficultés, beaucoup de bourgeoises comme elle travaille bénévolement par cette association très connue dans le quartier. Elle sort et je m’empresse d’enfiler mes baskets pour la suivre.

Son cul moulée par la jupe ondule, ses talons claquent sur le trottoir.Suivre ma mère est un vrai plaisir pour les yeux.Plusieurs hommes et des jeunes hommes voir des adolescents la mate sans aucune honte.C’est vrai qu’elle est bien roulée ma mère.Grande, fine, de belles jambes, elle ne fait pas ses 44 ans.Elle rentre dans un local située à la sortie du centre-ville et je m’arrête devant. Sur la devanture, une inscription : LE REFUGE DE LA MISERICORDE.J’hésite une fraction de seconde et j’entre à mon tour en prenant soin de ne pas faire de bruit. Il n’y a personne dans la pièce qui semble être un mélange de salle d’attente et d’accueil. ukraynalı gaziantep escort J’entends une discussion étouffée dans la pièce voisine et j’entrouvre discrètement la porte.

La grande pièce ressemble à un débarras.Ou plutôt, devrais-je dire à la caverne d’Ali Baba! Il y a de tout! Des fringues, des meubles, des denrées non périssables, un grand lit même au fond de la pièce.Surement une réserve ou l’association entasse tout ce qu’ils pourront donner aux plus démunis.Je découvre ma mère agenouillée devant le type que j’avais aperçu dans la boite échangiste. Il est bedonnant, les cheveux blancs, il doit avoir la soixantaine. Il a sortie son sexe qui palpite devant les lèvres pulpeuses de ma maman. Elle ouvre à peine la bouche qu’il y engouffre sa bite et maman pousse un gémissement étouffé. Sa jupe est retroussée et on aperçoit sa fente.Elle n’avait pas mis de string pour aller rendre visite à ce gros pervers. Il appuie sur la tête de ma mère pour s’enfoncer encore plus loin. Sa queue coulisse entre les lèvres rouges de maman. Il rentre et sort avec régularité en soufflant et en bafouillant des injures a l’encontre de ma mère.

– Quelle petite pute tu fais! T’es vraiment une chienne.

Ma mère s’applique à sucer cet homme qui l’avilie complètement. Les bruits de succions emplissent la salle. Je sens mon sexe durcir dans mon pantalon comme à chaque fois que je suis le témoin de la soumission de ma mère.

L’homme relève ma mère et lui ordonna d’enlever son haut.Elle s’exécuta, les yeux baissés, découvrant sa poitrine mis en valeur par un magnifique soutien-gorge qui laisse apparaitre la pointe de ses seins! Maman a vraiment de la lingerie de pute! Je suis étonnée de la voir attifée de cette manière.Elle, la bonne épouse, la femme respectable.Si papa savait ca.

Il triture les nichons de maman qui pousse un gémissement.Il lui malaxe les mamelons, lui tire la pointe des seins et elle pousse un cri de douleur.Il la retourne et lui claque les fesses.

– Qui suis-je pour toi! lui lance-t-il d’une voix forte.

– Vous.Vous êtes.Philippe.mon amant, marmonne ma mère d’une voix misérable.

Nouvelle claque sur les fesses.Son derrière devient rouge.

– Et vous êtes mon maitre a qui je dois obéir aveuglement.

– Qui t’as ordonné cela? crie l’amant ou le maitre, du coup je gaziantep ukraynalı escort ne sais plus.

– Mon..Mon.Mari..

C’est comme si je recevais un coup de poignard en plein cour! Mon père est au courant! Et c’est lui qui a livré ma mère à ce pervers? Mais pourquoi? Encore un mystère qu’il me faudra éclaircir.Décidément! Je découvre de biens étranges secrets de famille ..

Maitre Philippe, puisque qu’il semble que ce soit son nom, courbe ma mère sur une table basse, jupe troussée, dévoilant son cul rougie et lui ordonne de rester dans cette position..Il revient avec un gode rose qu’il tend à ma mère.Celle ci s’en empare et commence à le sucer comme s’il s’agissait d’une bite. Ses lèvres vont et viennent autour de la queue factice de latex.Philippe lui prend le gode et le fait coulisser rapidement avec une lueur salace dans le regard. Maman doit s’appliquer à sucer la fausse bite.Elle salive dessus.De la bave coule sur son menton.Il fait le tour de la table et enfonce brutalement le gode dans la chatte baveuse de maman.Il fait de nouveau coulisser le gode rapidement. Très vite, j’entends maman qui couine et je la vois qui ondule du cul.Elle pousse un gémissement.Elle halète.

– Oui..Oui..Maitre.Allez y.

– Ou est ton mari en ce moment?

– A l’étranger comme toujours, il n’est que rarement à la maison, gémit ma mère en soufflant.

– Et c’est bien pour ca qu’il t’a confié à moi! Il ne te fait pas confiance! Il te connaît trop! Tu es une vraie chienne en chaleur .

– OUIIIII, crie ma mère en ayant un orgasme foudroyant..

Philippe retira le gode ordonnant à maman de le nettoyer.Elle donna de grands coups de langue, léchant sa propre cyprine.Il la releva la tenant par les cheveux et la poussa vers un grand lit à baldaquin! Elle se retrouva à genoux dessus, la croupe cambrée et Philippe lui ordonna de rester dans cette position. Philippe enfonça son index et son majeur dans la chatte de maman.

– T’es trempée.t’es vraiment une salope.

Nouveau gémissement de maman.Je sors ma bite et commence à me branler.

Le maître de maman sortit de la pièce et revint très vite avec des cordelettes avec lesquelles il lia les poignets et les chevilles de maman aux quatre colonnes du lit.De cette façon, maman était à la merci de son maître. Elle commença a le supplier d’arrêter, gaziantep ukraynalı escort bayan qu’elle n’aimais pas être attachée mais Philippe lui enfonça une culotte roulée en boule dans la bouche et ses supplications se terminèrent en gémissements.Il l’humilia encore plus en lui avouant que la culotte était sale, qu’elle avait été portée pendant une semaine par une autre salope comme elle.Intéressant! Il avait donc plusieurs soumises ce brave homme?

Philippe empoigna son sexe et s’enfonça dans le con d’Isabelle.Il donna un violent coup de rein et s’enfonça de toute sa longueur.La labourant avec violence.Je me branle comme un forcené, je vais m’arracher la bite si ca continue.je pousse des gémissements mais ils sont couverts par ceux de maman qui hurle presque à chaque aller-retour de Philippe.Son gros ventre claque contre les fesses de maman.il transpire à grosse goutte.il s’active sur ma mère en l’insultant et en la traitant de grosse chienne, de salope.Il sortit et força l’anus de ma mère qui poussa un hurlement étouffé par le bâillon improvisé.Il s’enfonça avec violence dans son cul.Les mains agrippés à ses hanches, il lança en avant son gros ventre.Violant ses reins.Philippe s’enfonçait dans sa croupe.Ma mère gémissait sans discontinuer.Il se retira d’un coup causant une nouvelle douleur à ma mère et fit le tour du lit se mettant devant son visage ravagé.Des larmes coulent sur ses joues et j’ai un sentiment de honte qui m’envahie soudain.Philippe se branla au dessus du visage de ma mère, qui les yeux exorbités, tout rouges, fixe la bite de Philippe . Il lâcha une trainée de foutre qui alla s’écraser sur le front de maman et commença à couler sur son nez.Un autre jet plus puissant alla s’écraser sur son menton.J’éjaculais au même moment.Le sperme jaillit allant s’écraser sur le sol.

Philippe libera ma mère et lui ôta le bâillon.Il lui tendit un mouchoir pour qu’elle essuie ses larmes et le sperme.Elle le remercia d’un sourire.Elle se rhabilla, redevenant une bourgeoise respectable.

Philippe tendit sa main et maman la baisa! Je fus quand même stupéfait d’être le témoin de cet avilissement extraordinaire! Ma mère était vraiment devenue l’esclave soumise de cet homme et mon père le savait. Pire! Il avait ordonné à ma mère de le devenir! Mais Pourquoi?

Ma mère sortit et des que j’en eu l’occasion, je la suivis toujours sans avoir été repéré par Philippe.Je venais de prendre une décision! J’allais demander de sérieuses explications à ma mère et à mon père des qu’il rentrerait!

PS : Si vous avez suivi mon conseil et que vous avez demandé à votre épouse de s’habiller sexy pour faire le ménage.Faites le moi savoir.J’adorerais savoir comment ca c’est terminé pour vous.Qui sait? Ca pourrait devenir une histoire. Qu’en pensez-vous, Messieurs (ou Mesdames).?

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Bondage Asylum- Chapitre 03

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La nuit suivante fut terrible. Nu et attaché, Nick était enfermé dans cette nouvelle cage, sous le lit de Sara. Debbie, elle, était placée, au sol, sur un paillasson, son cou reliée à un pied du lit par une chaîne. Comme Nick, elle était en chasteté, sa ceinture cadenassée et bien verrouillée. Nick, commençait à être sérieusement en manque, il n’en pouvait plus d’avoir son sexe en cage, et il se disait que c’était probablement la même chose pour Debbie. Pauvre Debbie… Il se sentait coupable de la voir dans cette situation… C’était lui qui lui avait demandé de venir enquêter ici…

– Je suis désolé, Debbie… chuchota-t’il.

– Pourquoi t’es tu jeté toi aussi à leurs pieds? répondit-elle tristement. On est fichus maintenant, aux mains de ton ex.

Au réveil, Sara prit la parole :

– Aujourd’hui est une grande journée pour vous deux, nous allons officialiser votre soumission dans une grande cérémonie, alors nous allons nous préparer!

Ils se dirigèrent vers la salle de bains à proximité, et Esther et Alana installèrent le couple sur deux chaises qui se faisaient face. Sara s’occupa de les attacher. Quand elle se pencha sur Nick pour faire passer les liens autour de lui, elle l’effleura. Ce léger contact avec son ex-femme fit raidir son sexe en un instant. Etait ce du désir, à nouveau pour son ex femme, ou simplement qu’il manquait de sexe depuis bien trop longtemps? En tout cas, Sara le remarqua.

– Je te fais de l’effet, mon chéri? rigola t-elle.

Debbie, immobilisée sur sa chaise, regarda alors Sara d’un oeil noir.

– Tu peux te mettre en colère, ma petite Debbie. Rien n’y changera. Nick reviendra à mes pieds et me suppliera de le reprendre, que tu le veuilles ou non. C’est parti, Esther.

Les deux lieutenantes de Sara, entreprirent, sous les supplications de Nick et Debbie de raser chaque partie de leurs corps, jusqu’au moindre poil. Puis elles maquillèrent le couple outrageusement, leurs mis des perruques extravagantes, placèrent une fausse poitrine à Nick. Ce dernier leva la tête et regarda dans le miroir à côté d’eux. Ils ressemblaient désormais à deux poupées gonflables, comme on en vend dans les sex-shops sordides.

Esther et Alana leur passèrent ensuite diverses tenues et accessoires. Debbie fut affublée d’un collier sur lequel était inscrit « salope », et d’un simple harnais qui la laissait quasiment nue. Des bas et porte jarretelles venaient compléter la tenue, ainsi qu’une paire d’escarpins maintenue aux chevilles par un cadenas. Nick fut frappé d’horreur quand il comprit que sa tenue allait être strictement identique. Alana prit une photo du couple déchu, pendant que Sara, radieuse dans une belle robe noire fendue, au dos nu, un collier de perles luxueux au cou, s’installa sur un trône. Cette dernière claqua des doigts :

– A mes pieds, les deux putes. Vous allez porter mon trône jusqu’au grand salon.

Le couple s’exécuta. L’image était terrible, et cette lente procession à travers le château représentait totalement la déchéance de Debbie et Nick. Ils avaient les larmes aux yeux, impuissants, portant leur ennemie qui avait eu raison d’eux. Sara était radieuse, magnifique comme jamais.

Ils pénétrèrent enfin dans le salon, à bout de forces et déposèrent le trône au fond de la salle. Aussitôt, Esther et Alana tirèrent sur leurs laisses pour les installer, à genoux, au centre de la pièce.

Nick et Debbie, apeurés, observèrent alors plus attentivement les lieux. Quelques soumises étaient alignées, à genoux, le long des murs. Une cheminée réchauffait la pièce. Quelques instruments de torture étaient présents, dont un pilori et une croix de Saint André. Nick se demandait intérieurement ce qui allait leur arriver.

Sara, elle, regarda avec délectation ses trophées. Elle attendait ce moment depuis tellement longtemps. Elle en avait rêvé. Elle s’éclaircit la voix :

– Mes chères soumises, vous avez devant vous deux individus de la pire espèce. Debbie tout d’abord, qui a cru pouvoir me surpasser en me volant mon copain. Et enfin, Nick qui a décidé de quitter votre magnifique Maitresse en pensant trouver mieux ailleurs. Oui, vous êtes choquées mes chères soumises, je comprends. Ils paieront, et comprendront leur erreur, je vous le promets. Justice sera faite. Soyons clairs, vous êtes mes soumises, mais vous serez toujours supérieures à ces deux salopes, en toute circonstance. Aujourd’hui, nous allons officialiser leur soumission, leur total dévotion à ma personne. Car vous ne m’appartenez pas totalement encore, mes deux tourtereaux. Certes, vous êtes coincés ici, j’ai des vidéos compromettantes de vous, vous avez quitté vos boulots… Il reste à prévenir votre entourage que vous quittez la ville et gaziantep ucuz escort partez vivre en Europe… C’est en cours, soyez sans inquiétude… Il ne manque plus qu’une chose : transférer tous vos comptes bancaires sur le mien. J’ai des soumises avocates ici présentes qui ont préparé les papiers, vous n’avez plus qu’à les signer.

Nick réagit violemment :

– C’est une blague? Tu nous demandes vraiment ça? Tu penses vraiment qu’on va s’exécuter tranquillement?

– Alana, fouette le jusqu’au sang.

– Non! Non! Pitié, Maitresse Alana, noooooon!!!

Alana le fouetta une dizaine de fois, avec une violence inouïe, jusqu’à ce qu’il s’effondre sur le sol. Devant la violence de l’acte, Debbie était au bord de l’évanouissement.

– Ne t’avise pas de me tutoyer et de désobéir à nouveau à ta Maitresse, dit Sara. Esther, attrape le fer rouge.

– Non s’il vous plait Maitresse Sara… sanglota Debbie.

– S’il vous plait, je vous en supplie… trembla Nick.

-Alors, signez les papiers, dit-elle en tendant les papiers.

Nick lut d’un peu plus près les papiers. Ceux ci prévoyaient de transférer l’intégralité des comptes de Debbie et de Nick, y compris leur épargne, ainsi que tout leurs biens, dont leur magnifique loft.

Aucune des deux ne bougea, ils étaient tétanisés. Esther, dirigeait dangereusement le fer rouge vers eux.

– Debbie… Nous n’avons pas le choix…

– Nick! Nous nous sommes battus pour constituer ce patrimoine!On ne vas pas se le faire voler en seulement quelques minutes!

– Je sais Debbie… Mais je ne veux pas que l’on soit marqué à vie… Nous devons signer.

Debbie releva la tête, regarda Sara, puis Esther et le fer rouge…

– Bien Maitresse, nous allons signer.

Debbie prit les papiers, et signa. Puis elle tendit le stylo à Nick, qui en fit de même.

Tout alla alors très vite. Alana et Esther entreprirent de bâillonner le couple, avant de placer Debbie au pilori, et Nick sur la croix de Saint André, face au mur.

– Bien. Esther, Alana. Marquez leurs culs.

– Mmmmmmpppphhh!!!

Ce fut rapide. Ils étaient attachés et ne pouvaient rien faire. Deux initiales « MS » étaient désormais visibles sur leurs culs, pour « Maitresse Sara ».

– Vous êtes si pathétiques. Vous pensiez vraiment éviter le fer rouge? demanda Sara en un sourire. Bien, désormais, vous êtes entièrement à moi. Bienvenue au Bondage Asylum. Esther, Alana, allons fêter ça au bord de la piscine. Mes chers soumises, vous méritez aussi de fêter ça. Vous pouvez fouetter le cul de ces deux salopes.

Nick et Debbie s’étaient fait piéger dans les grandes largeurs. La vidéo compromettante du premier soir avait lancé l’engrenage, engendrant des conséquences désastreuses au couple. Nick n’en revenait pas. Il était venu pour enquêter et faire fermer cet endroit, et il était désormais un esclave de son ex, maquillé et habillé comme une pute. Il avait honte quand il se regardait dans le miroir, et qu’il voyait son apparence et la marque au fer rouge sur son cul.

Mais ce qui le tourmentait davantage, c’était l’apparente facilité avec laquelle sa femme Debbie avait succombé à Sara. Alors que lui avait été drogué pour répondre au charme d’Esther et Alana, Debbie semblait s’être jetée sans difficulté aux pieds de Sara.

Nick était abasourdi, et totalement perdu dans ses pensées. Il voulait sortir de cet enfer, mais savait pertinemment qu’aucun avenir ne l’attendait dehors. Esther et Alana avaient un dossier énorme d’humiliations, qu’elles s’empresseraient de diffuser au monde à la moindre tentative de fuite. Il était coincé.

Et il ne savait pas si c’était l’effet de drogues contenues dans la nourriture ou si c’était son manque cruel de sexe de ces dernières semaines, mais, s’il avait envie de quitter cette vie nouvelle d’esclave, il n’avait aucune envie de quitter Sara, Esther et Alana. Il les désirait, toutes les trois.

Comme, convenu, depuis la cérémonie, Nick et Debbie faisaient le tapin, tous les soirs, entre 21h et minuit, pour gagner 100$ par jour et “remercier” Maitresse Sara de sa générosité envers eux. C’était donc dans la dépendance du manoir, et les centaines de femmes prisonnières étaient présentes toutes cagoulées avec juste une ouverture au niveau de la bouche pour satisfaire les besoins d’inconnus. C’est là que Nick se sentait le plus soumis, le plus humilié. Toujours féminisé, il suçait près de 30 queues par soir, et en prenait autant dans le cul. Le tout était filmé, en très gros plan, par Alana et Esther, sans qu’il ne puisse rien faire. Alors qu’il y a quelques jours, il était un des hommes les plus respectés de L.A., gaziantep ucuz escort bayan il était à présent rien de moins qu’une pute. Quant à Debbie, Sara prenait un malin plaisir de l’habiller dans des tenues toujours plus provocantes, et c’était donc elle qui était la plus productive, les mecs payaient encore plus cher pour pouvoir la sauter. Elle ramenait parfois dix fois plus que les autres.

Après avoir fait le tapin pendant de longues heures, toutes les prisonnières, épuisées, devaient déposer au pied du trône de Sara l’offrande journalière. Celles qui ne ramenaient pas assez selon Sara étaient fouettées sur le champ. Le montant total ramené à ses pieds représentait environ 10 000$ par jour. Parfois, elle brûlait les billets devant les esclaves pour les humilier davantage. Celle qui rapportait le plus avait le droit de dormir dans le lit de Sara, ce qui constituait un soulagement et un véritable cadeau pour celle-ci, par rapport aux conditions difficiles qu’offraient les cages, dans la cave du manoir.

Un jour où Debbie ne ramena pas assez d’argent au goût de Sara, elle décida de lui tatouer un message dégradant sur le corps, pour qu’elle apprenne la leçon. Pendant la séance de tatouage, Debbie hurlait :

– Pitié, je vous en supplie, Maitresse Sara, pitié! Je ferai tout ce que vous voulez!

– Tu fais déjà tout ce que je veux.

– S’il vous plait! Niiiick! Sors nous de là, Nick!

– C’est vrai, Nick, fais quelque chose, sauve ta copine! répondit Sara en se tournant vers Nick.

Le pauvre Nick avait été transformé en fauteuil vivant, et Alana était assise dessus. Il lui était incapable de bouger, et regardait la scène, impuissant.

– Il n’a pas l’air d’avoir envie de t’aider visiblement.

Debbie, en pleurs, ne put rien faire face à Sara et “Vide couilles de luxe” était désormais tatoué sur sa poitrine.

– A chaque fois que tu ne me ramèneras pas assez de billets, un autre tatouage viendra orner ton corps, c’est compris?

– Oui, Maitresse.

Au fur et à mesure des humiliations et autres dégradations, Debbie commençait à rentrer dans le rang. Un autre “salope” fut tatouée sur sa nuque, mais ce fut bien tout. Aussi, Nick était surpris par le dévouement des autres soumises à obéir aux moindres ordres de leurs tortionnaires. Après les avoir patiemment observées, Nick nota qu’elles ne semblaient pas heureuses de leurs situations, mais qu’elles s’habituaient à cette vie néanmoins.

Une d’entre elles, une grande brune aux yeux marrons, était radicalement différente. De la haine transparaissait à chaque seconde sur son visage. Nick s’en approcha une fois pour discuter avec elle, mais elle se déroba, refusant visiblement le dialogue. Un peu plus tard, il apprit qu’elle s’appelait Jane, et qu’elle avait tenté de s’échapper à de multiples reprises du Bondage Asylum. C’était la soumise la plus rebelle et elle avait reçu une quantité de punitions assez conséquente.

Son cas intéressait Nick, mais depuis ce jour, il ne la vit plus sur le domaine. Certes, le manoir et le parc était grand, mais il avait un mauvais pressentiment.

Au delà de faire le tapin, qui constituait leur activité principale, Nick et Debbie servaient aussi de meubles humains. Très souvent, Nick se retrouvait avec une plaque en verre sur le dos, et les invités de Sara posaient leurs verres de bourbon dessus comme s’il n’existait pas. Cela pouvait durer deux heures et la position devenait insoutenable : il s’écroulait alors lamentablement et subissait en conséquence une longue séance de coups de fouets dans le parc, pendu à un arbre, la tête en bas, pour montrer l’exemple. Debbie se retrouvait elle souvent avec un abat jour sur la tête et servait de lampe dans la bibliothèque. Sara aimait ça, car ça l’empêchait de voir sa sale tête à longueur de journée.

Ils s’occupaient également d’entretenir le domaine : ménage, jardinage, service… Sara, cruelle comme jamais, et connaissant les goûts de Debbie pour les chaussures et la passion de Nick pour les voitures, leur ordonnait souvent de s’occuper de nettoyer ses escarpins et sa vingtaine de berlines. Cela provoquait un certain désarroi, surtout chez Debbie :

– Nick, ça fait tellement longtemps que je n’ai pas porté une paire de talons comme celle ci, dit-elle tristement en nettoyant une paire d’escarpins avec la langue, ses mains étant menottées dans le dos. Et regarde celles-ci, tu me les avais offertes pour notre première Saint Valentin!

Elle s’effondra véritablement en larmes.

– Nick! Qu’est ce que j’ai fait… Je veux partir, quitter cet endroit et refaire ma vie!

Nick la prit par l’épaule et tenta de la consoler ucuz gaziantep escort comme il pouvait, à genoux tout deux devant l’immense vitrine qui contenait les centaines de paires de chaussures.

– Tu sais que nous ne pouvons pas, Debbie… C’est trop tard. Nous n’avons plus rien, ni boulot, ni argent… Plus rien. Tout lui appartient désormais.

Nick se demandait qu’elle était le montant de la fortune de Sara. Si elle avait vidé les comptes de toutes ses soumises et que le tapin ramenait quelques milliers de dollars par jour… Sa fortune devait maintenant être immense. Un jour, il lui demanda.

– Nick, tu ne pourrais même pas imaginer. Mais je peux essayer de te donner une idée. Depuis le début de cette entreprise florissante qu’est le Bondage Asylum, j’ai acheté plusieurs maisons et appartements à travers le monde. Comme tu le sais, puisque tu les laves de temps en temps, je possède une vingtaine de voitures de prestige et quelques milliers de paires de chaussures, que ta femme est en train de nettoyer avec sa langue à l’heure qu’il est. En d’autres termes, Nick, je suis milliardaire.

Nick était bouche bée.

– Oui, vois tu, j’ai plutôt bien géré mon affaire. Et ce n’est pas terminé. Pour tout te dire, je compte un peu ralentir l’activité de « tapin » que vous remplissez pourtant à la perfection. Je tiens à une certaine discrétion du domaine, et j’avoue que cette activité est un peu voyante. Je vais me diversifier.

– Qu’allez vous faire? demanda Nick.

– Je vais lancer une entreprise de cages de chasteté contrôlables à distance, via bluetooth.

– Je ne comprends pas…

– Je vais lancer une gamme de cages pour hommes soumis, qui pourra être verrouillée à distance par leur partenaire, ou n’importe quelle personne de leur choix, simplement grâce à une application.

– Et ça va vous rapporter de l’argent, ça?

– Beaucoup. Une fois que les cages se seront bien vendues, je les piraterai toutes à distance et je rançonnerai mes propres clients. Elles seront définitivement verrouillées, et je ne les rouvrirai qu’en échange de 5000 $. Je les tiendrai par les couilles, si je puis dire. S’ils veulent à nouveau utiliser leur petit oiseau, il faudra payer.

– Vous êtes démoniaque.

– Merci. Mais les hommes sont tellement bêtes et faibles… Ce n’est pas vraiment difficile de les extorquer. Et ce n’est pas tout. J’ai encore un grand projet… Car il n’y a pas que l’argent, il y a aussi le pouvoir à gagner. Mais je t’en parlerai plus tard.

– Et qu’allez vous faire de nous…? Des soumises que vous avez? Si vous ne leur faites plus faire le tapin?

– Oh… Ne t’inquiète pas, on te trouvera toujours une utilité, répondit-elle en souriant. Certaines d’entre vous serviront pour le fonctionnement du domaine… D’autres seront vendues… On verra en temps voulu dans quelle catégorie vous serez envoyés, Debbie et toi…

– Ne nous vendez pas s’il vous plait, Maitresse Sara…

– On verra si tu le mérites, Nick.

Étrangement, Nick était admiratif de la réussite de Sara. Après des semaines de servitude et de lavage de cerveau, Nick commença inconsciemment à trouver cet état de soumission naturel, et à même parfois éprouver du plaisir à être le larbin de son ex-femme. Il lui semblait qu’il en était de même avec les autres esclaves. C’était l’effet ultime de cette odieuse machination : les séquestrées devenaient peu à peu esclaves consentants. Elles n’avaient pas forcément le choix non plus, et Sara s’occupait de leur rappeler régulièrement. Un soir, elle convoqua tous ses esclaves dans le grand salon du manoir :

– Ce soir, Mesdemoiselles, je vous offre une projection privée, une petite séance de cinéma à la maison!

Les soumises, qui n’avaient pas tellement le droit à des activités de loisirs, étaient ravies. Nick et Debbie étaient eux aussi contents : cela changeait de leur activité principale qui était de tailler des pipes et se prendre des bites dans le cul à longueur de journée. Leur enthousiasme fut néanmoins de courte durée quand ils découvrirent la nature du film proposé.

En effet, Sara, grâce à des caméras placées un peu partout dans la demeure, filmait toutes les scènes d’humiliation, et disposait d’une banque incroyable d’images sur ses disques durs des actes compromettants de sa centaine d’esclaves.

Debbie et Nick purent donc admirer les actes dégradants de leurs collègues soumises, sur grand écran. Puis arriva leur tour. Sur l’écran de cinéma, on voyait désormais Nick manger les excréments d’Alana en très gros plan et déclarer face caméra qu’il aimait ça. On y vit également Debbie se faire tatouer « vide-couilles de luxe » sur sa poitrine. Sara dégustait du pop-corn au milieu de sa centaine de soumises et irradiait de bonheur face à ces terribles images. Tous les esclaves présents dans la pièce savaient au fond d’eux qu’ils étaient piégés et que ces films empêchaient toute nouvelle vie en dehors du Bondage Asylum. C’était la piqûre de rappel que leur inculquait Sara, pour éviter le cas de Cameron, la seule qui avait réussi à s’échapper de cet enfer.

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We Met In A Library-Ch. 8

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You would think with all the cumming I’ve been doing, I wouldn’t have wet dreams. Well, when you have as wild and horny dreams as me, it still happens. More often than I’d care to admit.After cleaning off quickly in the shower, and avoiding the towel-wrapped women in the communal sink area, I dash off to my first early morning class this semester. Over the past few weeks, I’d gotten used to a lazy schedule, but now that Professor Tachibana is back from her trip home, I’ll have to be up early Monday, Wednesday, and Friday.As usual, I’m the first person in class. I settle into the desk in the back left corner of the room, where I can observe the entire class. Browsing on my phone, I don’t look up as other students enter the room and take their seats. A dull murmur fills the room as the empty seats dwindle and I lose interest in anything I can find online.Professor Tachibana should be here by now, though the class seems ücreti elden alan escort content to chat and lounge in the room. Usually, someone wants to claim we can leave early if the Prof. isn’t there within the first fifteen minutes, but not today.I scan the room, noting a few cute faces, but you’re not here, and I don’t recognize anyone else at the moment. Resting my cheek on my fist, I watch the clock, bored, and wait.The hurried clack of heels on the polished cement floor echo in the hallway, slowly growing closer until a gorgeous Japanese woman bounces through the doorway.The classroom collectively gasps. Not just the guys, either.“Gomennasai! The train was late. That never happens in Japan.” Her hair is tied back in a tight knot behind her head, but wisps of dark hair stick to her temples and forehead with sweat.The class quiets ücreti elden alan gaziantep escort as she sets her purse on the desk and catches her breath, flattening the folds in her black pencil skirt so it stretches as low as it can. It barely reaches her mid-thigh. She tugs at the hem between her legs in front and back; the skirt having ridden up as she rushed to class. But that skirt isn’t hiding anything more, no matter how much she tries.I’ve never seen a professor dress like her, and from the strained whispers circulating through the students, I doubt they have either. I barely got a glimpse, but her strappy, black high heels can only be described as stilettos, and her skintight black blouse leaves about as much to the imagination as her mini skirt. Her top button fights valiantly, like Spiderman between two halves of ücreti elden alan gaziantep escort bayan a sinking ship, trying to hold back her ample breasts. There’s no way those are real.I hear a muffled sigh beside me and check from the corner of my eye. The guy at the desk there has a hand clamped over his crotch, his eyes glued to her chest. I smirk and look back at the whiteboard. This is going to be an interesting class.As much as I care about the subject matter, I struggle to focus on the words coming out of Professor Tachibana’s mouth. Every step around her desk as she speaks draws her skirt up a bit more. Her bosom bounces as each heel strikes the floor, and sways as she turns to speak and write on the board.I question whether she is really a professor, though adjunct, because she seems unused to her massive breasts erasing her lower writing as she stretches to mark the top of the board. I’m able to resist the urge to lean over and sneak a peek up her skirt, but over half the class can’t help themselves.For a moment, Tachibana Sensei, as she likes to be called, looks over her shoulder. No one is watching her eyes like me, so only I notice the sparkle in her eye and the slight blush that paints her cheeks. As she turns her head back to the board, she locks eyes with me. She doesn’t falter in her speech, but for an instant I know she’s examining me.

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Discovering Amelia

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Ass

Amelia Angeli is a loving and caring mom. I’d always viewed her as a fellow parent, and never as an object of desire. However, my view of Amelia would soon be altered.By way of introduction, I’m half of a happily married couple. Jennah, my wife of fifteen years, was raised by her Catholic German mom and Muslim Indian dad, both of whom held traditional beliefs about sex. Jennah subscribed to their values and was still a virgin when we met (both in our late twenties at the time).While Jenna lacks experience outside of our relationship, she remains a passionate and wonderful lover. She’s always eager to try new things. This was especially true one cold winter evening.Amelia Angeli, who I introduced you to above, is a mom of twins (a son and daughter) who attends our son’s Catholic middle school. türbanlı gaziantep escort Having met when our kids were kindergarteners, we’ve known Amelia for many years, and consider her a dear friend.Everything that attracts me to Jennah is absent in Amelia. Jennah is petite and exotic, with beautiful brown eyes. She possesses a brilliant mind and great wit. Amelia is tall and a bit heavy, with fair skin and sparkling green eyes. She is contemplative, but always rushing to complete various tasks. She is always stressed, and always seems to deprive herself of certain pleasures.During winter break last year, Amelia was in the process of divorcing her husband. The proceedings were rough, and she clearly needed a release. Jennah gaziantep türbanlı escort bayan invited Amelia and her twins to come with us to a resort in coastal Connecticut for a few days. Amelia was thrilled to be issued the invite and made reservations for a room next to ours. On the day we arrived, I took the kids swimming. This allowed the moms time to themselves. That evening, I used the room’s small kitchenette to make a simple dinner for the kids, and a more complex French dish for the adults.Jennah is highly sensual, and I loved watching her savor every bite of her dinner. Amelia enjoyed the dinner, even having seconds. But it was interesting watching her consume food without experiencing every flavor. gaziantep türbanlı escort After dinner, I served the kids dessert in front of the tv in Amelia’s room. I then went back to my room where Jennah and Amelia were sitting on the bed, talking. When I, too, sat on the king-size mattress, the conversation halted. I offered to give the moms privacy, but they insisted I stay.Amelia divulged that she’d been celibate for over five years and that a lack of sexual release was exacerbating her stress. To my great surprise, Jennah volunteered my massage services to help relax the overtaxed mom. We all laughed awkwardly, and Amelia excused herself to use the restroom.Moments later, she reappeared wearing a large resort towel. I fetched a bottle of the resort’s body lotion and began slowly rubbing Amelia’s shoulders. She moaned as I rubbed deeper and harder, working my way toward her waist. I’d never been attracted to Amelia, but hearing her moan caused me to get excited. Rather than seeing her as just another parent, I was awoken to her femininity and sexiness. My eyes were now open to her softness, her curves, and her beautiful shape. She was a sensual being who was enjoying being touched and desired.

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What I Saw Surprised Me

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Babes

I was out on my Saturday morning run along the George Washington Parkway. The temperature was near eighty degrees under a sunny sky. A light breeze was blowing, and my thoughts were drifting as I was thinking about Mex. We had met a few weeks prior along the trail and saw each other every Saturday. He would always grab me, and we hugged briefly. At first, I thought I was strange, but as time went on, I enjoyed it.Max had a medium build and well-defined muscles and was six feet tall. He always ran without a shirt. When we embraced, I could feel his sweaty body. I hoped we would cross this morning. I did not know if he was into guys, but I really did not care. As I continued to run the more, I was having sexual thoughts about Max and what it would be like if we were alone. I was thinking about how big his dick was when it was hard and if he was clean-shaven. I even thought about how his dick would feel in my mouth if he would allow me to suck him off. I was getting horny, and it was difficult to concentrate on my running.I made a turn and was going uphill when I looked ahead and saw Max approaching me. I was trying not to look excited. A few other people were passing by, and Max was closer.“Hey Zak, how are you?” said Max.”I am doing well and you?”We were close, and he reached out to embrace me. I willingly moved in closer to wrap my arms around him. I had a tingling sensation. I was trying to control myself, and I wanted to hold him longer.“I was just thinking about you a few moments ago.”“I hope it was good thoughts,” said Max.“I have only good thoughts about you.”I was doing my best not to let out my true feelings about Max. He went alongside us as suriyeli escort we talked. A few feet up the path, Max stopped suddenly and grabbed his leg.“Oh damn. I have a cramp.”We were near a bench, and I had him sit down.“Let me massage your leg to work the cramp out.”“Okay, that sounds like a good idea. I don’t know where that came from.”I knelt down in front of Max and had him extend his leg out. I could see the tightness in his calf. I placed my hands on his calf and massaged softly.“Oh yes, that feels so much better. You can add more pressure and just a little deeper.”I looked up and saw that Max had his eyes closed and he was enjoying the feel of my hands on his tight calf.“How does that feel to you? Your calf is tight, and I will try to rub it out.”“It feels good. I should let you rub my entire body the way you have my leg feeling.”“Since I know I can do that, and I will not even charge you anything.”I was waiting to hear if I was going to get a reply to my comment.“You have me feeling so good. Why not rub the other one as well?”I did not want to pass up the opportunity to feel his smooth sweaty skin as my hands were sliding up and down his calf. I was edging my hand up his leg to massage his hamstring. I noticed Max adjusted himself on the bench.“Oh Zak, I am feeling better and just a little longer. I can drift off to sleep if I am not careful.”“I want to you feel better and I do not mind doing this and I can do more later. Your skin feels smooth, and I enjoy doing this.”As my hand was moving up his right leg, his shorts moved and near the bottom the elastic of the brief was loose and what suriyeli escort bayan I saw caught me off, guard. I looked closer and saw the head of his beautiful dick. I could not get it out of my mind, as I saw a drop of lubricant at the opening. The more I was rubbing his hamstring, the larger his head was getting as it twitched.“Oh Zak, you are really making me feel so good. I am having a tingling sensation in my body. What are you doing to me? You are going to have to finish me.”I was confused and did not know what to think about his comment. I know he did not want me to jack him off on the bench, but I would have been glad to do so.“Max, are you okay?”“I must have been drifting off, as you are making me feel too good. I am feeling a lot better. We better get moving so we can finish our run.”“You are right, and it is getting late, and we can finish this later.”“Zak, you can come over next weekend and we can run from my place and when we get back, I get that body massage. Your hands made me feel good.”“Max, I can do that.”“Alright Zak, I will text you my address and I am going to be turning off ahead and I will see you next week.”“It sounds like a plan, and I will see you then.”I watched as Max ran out of sight. I was left alone with my thoughts. I looked at my running shorts and there was a wet spot from where I had been leaking my fluid. When I saw the tip of Max’s dick, I was getting aroused. I wanted to push up his shorts to expose his dick and wrap my lips around it. I was imagining how it would swell up and I could feel his hardness.I wanted to see more of his dick. Now, I have to wait escort suriyeli an entire week to not only get my hands on his dick, but I wanted to taste him. I am not sure that he will let me do what I want to do. I think he liked me. I hope he does not have any sex all week. I want his dick full of his creamy cum so that I have a lot to taste. I want to see and feel him squirting. I want to hurry and finish my run so I can jack off. I was horny and wanted to jack off. It is going to be a hard week.The week went by quickly and I was on my way to Max’s place. I was getting nervous and not knowing what to expect. I had fantasized all week about what I wanted to do to Max. I found a parking spot in front of his apartment, and my heartbeat was faster as I approached the door. I rang the bell.“Zak, is that you?”“Yes, it is.”I heard the buzzer and pushed the door open, but I did not see Max.“I am back in the bedroom. Come on back, I am getting ready.”I was walking slowly as my thoughts were racing. I reached the doorway and froze in my steps.“What is the matter, Zak? I know you have seen a naked guy before.”“Yes, but I was not expecting to see you like this. I thought we were going for a run.”“If you still want to go for a run, we can. I wanted that massage about which you had talked.”I stuttered, searching for the right words.“We can skip the run and get started on the massage.”I was standing still as Max approached me and put his arms around my waist and pulled me tight. I could not resist as his lips touched mine. His lips felt soft, and I felt his tongue part my lips as we started some tongue play. I stepped back from him and looked at his dick as it was pointing up. His pretty dick with a swollen head excited me. I wrapped my hand around it and felt it pulsating. I gently applied pressure as I heard Max moan. I let my hand move back and forth. I was thinking about the head of his fat dick entering my mouth and having my lips going back and forth along the length of his seven-inch dick.

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The hippie sex goddess lounging in the beanbag chair across from me was so overpoweringly sensual and alluring that my pussy flowed with molten arousal. I’d met June a few times before, as she was part of our medieval group, but we hadn’t gotten to know each other, except in passing. I guessed her age to be maybe around thirty or so, about a decade my junior, and she was definitely in her physical, lust-inducing prime. Furthermore, she was down to earth and amicable, with an outgoing, bubbly, flower-girl vibe.Maybe it was due to her tattered, thin, Boho-style caftan or her intentionally stringy, bleached blond hair that hung to her shoulders, offsetting her pronounced cheekbones and sparkling blue eyes. The sunset’s glare streamed through the dirty windows of her home, silhouetting her firm, large breasts through the threadbare material. A ragged, torn slit in her loose-fitting, wispy gypsy dress exposed one finely-toned leg, almost to the top of her enticing thigh, with every movement, no matter how minuscule. June radiated horny sexuality; transcending her physical features, there was something about her carriage and attitude that captivated my mind and made my cunt throb with need.Mentally struggling to pull my lust-filled eyes away from their quest to verify her lack of panties, I forced myself to take in my surroundings. Her older, cluttered home had a definitively free-spirited decor. Being raised in a hippie-swinger commune of sorts, I instantly recognized the Bohemian surroundings as a den of iniquity. It reminded me of my parents’ home.I sat in a threadbare beanbag chair, a makeshift table of stacked books with a pornographic, tie-dyed, psychedelic tapestry strewn over it to serve as a tablecloth. It depicted a nude, green woman being sexually pleasured by a troop of horny imps. When I picked up the battered, plastic cup to sip my wine, the green nymph’s face was exposed, two erect cocks stuffing her eager mouth.”I’m so glad you dropped off my new dress for the Ren Faire, so I could get to know you a bit,” she bubbled out.Fuck. Her singsong voice was like an aural vibrator, simultaneously buzzing on my nipples and clit.“I have to confess, Lady Krystal,” she continued, “that I was totally wrong about you. You always intimidated me.”“Huh?” I said, showing off my high IQ. “You find me intimidating?”“I’m sorry,” she laughed, divinely. She bent forward, her legs bending apart as she moved, and reached out, touching my arm. “It’s just that you hang out with the rich lords and all, and you’re with Glade, who’s like…”June was still explaining herself sınırsız gaziantep escort to me, but I forced myself to concentrate on her living room rather than blurt out, “please let me lick your fucking cunt.” Her demeanor, sultry looks, brazen sexuality, and personality had me on the verge of ravishing her.Mismatched chairs were strewn about, also not coordinated with the rickety loveseat; the stained and soiled oriental rug needed a thorough cleaning. Cup-ring stains on the low, battered table formed a sort of avant-garde fractal design, and teetering piles of books and random boxes served multiple tasks as end tables and footstools. June’s decor put the ‘shabby’ in ‘shabby chic.’Her walls were decorated with psychedelic posters and cloth tapestries, various scenes and symbols upon them, some quasi-pagan, others sexually suggestive. Traces of patchouli, old incense, and light musk wafted in patches throughout the living room but still failed to mask the aromas of sex and marijuana. The beaded curtain that separated the living room from the kitchen made me smile; my parents had one just like it.She was still talking. “But you’re so down to earth and so cool. Sexy, too. I’m glad you dropped off the clothes.”“Me, too,” I admitted. “I’ve always wanted to get to know…”Her laughing shriek, a lilting promise of sexuality in her tone, followed by an outstretched hand pointing, interrupted me.“Calvin! We have a guest,” she erupted. “The Lady Krystal is here. Put some clothes on, for fuck’s sake. Pretend you possess at least some social grace.”My head had already turned in response to her gesture. Calvin stood there, smiling broadly. I also knew him in passing. He was lean and lithe, his tangled shrub of black hair disheveled. Handsome, with fine features, he was stark naked, his skin reddened from either passion or exertion. I assumed the former, since his cock, which was a little long and thin, like him, glistened with wetness.“Hiya, Krys,” he jauntily waved. “Sorry.”“Don’t worry,” I laughed. “It’s your home.”“Is that slobber I see on your wang?” June called it a wang. “Can’t you and John wait for me?”I had to sip my wine to hide my giggling as June realized what she’d just said. Her hand clamped over her mouth in embarrassment. “So sorry, Krystal. I didn’t mean to offend you,” she paused, “we all play together now and then.”Being the sophisticated woman I am, I laughed into my wine cup, sputtering the sweet vino all over the place. I, at least, had the dignity to not chortle any gaziantep sınırsız escort bayan out of my nose. June canted her head to one side, quizzically. Then, she burst into laughter.”I’m not offended. Maybe a little bit jealous, but what consenting adults do, especially in the privacy of their own home, is fine by me.”“John,” she screamed, her somehow still-erotic voice sounding incredibly arousing at high volume. “Put on some clothes and come down to greet our guest. Stop being an anti-social heathen.”I’d also met John before. Unlike Calvin, he was slightly muscular with an athlete’s body. His slightly long, medium-brown hair matched his eyes, and, although he had a large nose that stuck out like a thin beak, he had a chiseled handsomeness about him. He stomped down the stairs wearing what looked to be pajama bottoms, raggedly cut off at about the knees.“Krystal! Ho,” he said. His footfalls made the stairs groan in agony as he descended.My then-boyfriend was away, working out of state, so I accepted their offer of more hospitality in the form of wine. My battered, plastic cup was refilled twice while we got to know one another. Once June and her roommates got to know me beyond being part of the medieval group, conversation flowed, and comfortable relaxation followed, all of us reveling in the company of each other.At one juncture, June was bent over her beanbag chair, fishing around in the sea of chaos behind her, looking for something. She was still chattering away, and her shapely ass, barely covered by her thin caftan, was gently swinging back and forth while she searched.Finally, in the middle of telling me about how she loathes her job as an assistant manager in the fast food industry, she cried out, “A-ha!” and spun around, holding a slightly grungy water pipe and crumpled bag aloft.“You don’t mind if we partake, do you?” she queried.“Not at all, I grew up around it, and I’m fine with it. You were talking about the creepy perverts at work?”She frowned into the bag. “Well, fucking fuck,” she addressed her two male roommates. “We’re out of pot and bills are due. Looks like we just have to kill off that cheap wine. That sucks.”I sort of liked the wine. “I think I have a solution,” I cheerfully exclaimed. I climbed out of the very comfy beanbag chair, noting that I’d drank more wine than I should have since I had planned on merely dropping off the costume my friend made for June and then driving home. “I just got back from visiting my parents, and mom won’t let me gaziantep sınırsız escort leave without loading me up with dad’s stuff. He grows it. How much do you guys want?”“How much is it?” Calvin inquired. “Unlike the ‘rich Lords,’” he used the same phrase June had, earlier, “we’re not exactly rolling in money.”“Huh?” I once more showed off my stellar intellect before the realization dawned on me. “I don’t sell it; I just give it away.” I paused, finding my balance. “But, if you guys are cool with it, may I leave my car here and take an Uber home? I had more to drink than I thought; I shouldn’t be driving.”Cries of, “stay here,” “come on, Krystal, hang out with us,” and similar things were their responses.“Maybe. I’ll be right back.”Less than ten minutes later, we were all lounging about, enjoying the effects of my father’s latest hybrid, his latest attempt to create the ultimate sexual-enhancing smoke. It hit hard and harshly, but the effects were otherworldly. My already-heated cunt was pulsating with desire; everything seemed fun and erotic, and my skin was tingling with horny desire. My mind, while lucid, was overwrought with sexual compulsions, burning need, and the uninhibited freedom of not caring about speaking my mind.“Wow, that’s harsh,” John coughed, looking like an asthmatic dragon. “Sure does make me feel like sex, though. What’s this shit called?”“Hate Fuck,” I responded, coughing a bit, myself. “Because you’ll hate how hits, but love how it fucking hits you.”As we chilled out, some nonsensical, brain-dead sex movie disguised as a comedy streaming on their television, conversation ebbed and flowed, sex and sexuality being recurring topics.Finally, my curiosity overtook my manners. “You all can tell me to shut up,” I began, “but I’m dying to know. What exactly is the arrangement between you three?”“Well,” Calvin replied. He and John had their arms draped over each other’s shoulders. “John and I became casual lovers when we lived together at our last place. We tried to keep it on the down-low when June let us move in, but…”He paused as the pipe was passed to him. June took over his explanation.“But, one night,” her sexy voice was dreamy, reminding me of pre-orgasmic pants. “We all got wasted together, and I fell asleep in front of the TV.”They all laughed, together. I showed off my confused countenance.“Then,” June giggled as I tried not to stare too intently at the bouncing of her ample, obviously braless breasts. “I woke up, and those two studs were making out, giving each other a hand job.”“You’re fucking kidding!”“Nope,” John mused. “We tried to wake her up several times, but she was down for the count, so we kind of got carried away.”June continued. “I open my eyes to this, and I’m stunned. I thought I was just having a wet dream. Then, they noticed me watching.”“With your hand between your legs,” Calvin added.“So you watched?”“At first. Then, they asked me to join, and Calvin and I went down on John, sharing his yummy fucking cock.”

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I get goosebumps thinking about how Mistress blew my mind last Monday night. I’d been dreaming about it for a while, and seen it happen all the time in the sissy porn videos. I thought I knew all about it, until Mistress taught me how little I actually know. The way she milked me was so divine, so incredibly powerful, that I’ll never forget my very first, hands-free, sissygasm!Forever in her debt, she made it clear afterwards that she now controls everything I think and do. Heck, as far as I was concerned, she already did. By my own choice, I no longer have a choice. Now for most people, that statement probably doesn’t make sense, but it makes perfect sense to a submissive sissy.I couldn’t quite put my finger on it, when Brenda moved in with us shortly after I found her in bed with my wife. But over the past five months, as she’s nurtured me into her kinky world of Masters and Mistresses, and the sissies they train and control, it’s become obvious that she’s had a very specific plan for me all along.Little by little, she’s broken my resistance, coercing me into doing things I never thought I’d do. After months of suggestive hypnosis and humiliation, I hardly feel like that wimpy little dude with an embarrassingly small cock named Mark Harrell anymore. It’s way more fun to be Mandy Parker now, the excited little sissy with a very cute clitty, who’s excitedly rushing home from work on this Friday night.Why am I so excited? It’s easy to explain. Tonight, Mistress is sending me on my very first sissy date!~~~~~Mistress usually waits for me in the living room when I come home, so I can change into my sissy clothes before properly presenting myself to her as Mandy. But tonight, she’s waiting in the kitchen with a twinkle in her eye, embracing me the moment I step into the house.”Hi, sissy-love,” she smiles brightly. “You look excited. Big night tonight?””Oh Mistress,” I giggle, “you know I’ve been excited about this for days!””You should be. Virginia’s a great first date. You’ll be in love with her tomorrow.””I will…?””Probably. Don’t let her age fool you, babe. She’s an expert at all things sexual.””Like what…?””Ha…! Like I’m gonna tell you…? Not knowing what’s coming is half the fun!”C’mon, let’s get you undressed and into the shower. Better yet… let’s both get in the shower. Sound like fun, sissy-poo?””It’s always fun in the shower with you!””Thirsty for some nectar, are you?””Maybe.””I’ll take that as a yes,” she grins as we go arm-in-arm into their bedroom to undress.”You know me too well.””I know everything about you, sissy-love. I even know your future.””What’s my future…? Besides serving you?””Your future is eventually taking off these dreadful male clothes for the last time,” she says as she strips me down to the panties and nylons I wear every day under my suit.”I don’t think I’m ready for that.””You are if I say you are, but you’re right, it’s not quite time yet. You know, though, we’re gonna have to do something with your hair soon.””Yeah, I know. My dad got on my ass the other day about needing a haircut.””Not a hair cut… sissy-poo, a hair style. You know I’m going to demand a feminine styling, don’t you?””Why? I have two wigs for cross-dressing.””Wigs are just a step to the next level, darling. When I present you to the Hierarchy in a couple of months, there’s three things that sissies aren’t allowed to wear… wigs, clitty cages, and false titties. I know you’ll love not being caged, and we’ll get your titties pumped up beforehand. But if I have to present you with a boy’s haircut, I’ll be shamed in front of everyone.””I’d never want to shame you, Mistress.””Of course you wouldn’t, but you see, in the Hierarchy, the length of a sissy’s hair signifies her commitment to the lifestyle. If I take you there with short boy hair, everyone’s going to think you’re just a half-assed sissy wannabe. I’ll be such a laughing stock, I’ll never live it down.”And your ears must also be pierced when I present you to my peers, so your hair’s gonna have to be well past your ears if you don’t want people at work wondering why you’re wearing earrings, especially that girl Janine who’s got a crush on you.””She doesn’t şişman gaziantep escort have a crush on me.””I bet she does. Why else would she be looking at your eyelashes?””I dunno.””Because they’re beautiful, that’s why. More women than you think admire feminine qualities in a man. The more sissy experiences you have with women, the more you’ll understand that.”Wanna undress me now, Mandy Parker? We will discuss these things another day. It’s time to get you ready to indulge in the great pleasures this lifestyle holds for you.”True to her form, Mistress is unusually permissive with her body, like she always is after unveiling the next uncomfortable step I’ll be going through. As I’m standing behind her, unhooking her bra strap, she reaches behind to take my hands and places them over her bare breasts. She knows how submissive I always get when she lets me hold her tits, and she always takes advantage of it.”You know you’ve been wanting longer hair, haven’t you, babe?” she whispers softly.”Probably so,” I respond as I’m kissing up and down her neck, “I remember watching Marci brushing out her long hair. I was imagining myself with beautiful hair like that.””A sissy is proud of her long hair, the same way a stud is proud of his big cock,” she explains as we walk naked into the bathroom. “Each with a different sexual role to play, and each very proud of their natural role. Are you proud, Mandy Parker, of the natural role you’ve assumed in the game of sex?””Yes, Mistress, I’m proud to be Mandy Parker, the sissy owned by Mistress Brenda Parker.””So you won’t mind when I take you to my beautician next week to style your hair?””No, Mistress,” I say as we step into the shower, “I’ll love having a sissy hairstyle.””You see, sweetheart?” she says as she guides my lips onto her nipples. “I always know what you’re thinking, before you even think it. Love me now, sissy-poo, show me what you’re going to do for Virginia when she takes you home with her.”Fuck… she’s done it again, making me agree to something I initially resisted. With her hands on my shoulders, pressing me to my knees, all I can think about is having long, flowing sissy hair like Marci. Considerations about what my mom and dad might think, as well as the people I deal with at work, don’t even enter my mind.All I can think about is having long hair and earrings as my tongue dips into Brenda’s hot, familiar cunt, searching for that little spot that makes her pee. I’ve already done this probably a dozen times, so the path to her pee hole is permanently programmed in my brain. It takes only a second to find it, and a few minutes later, I’ve got her moaning with a wanton desire to use me in this way.It’s different this time, when I taste the first few drops of nectar on my tongue. I feel connected with her, or as she says, ‘of the same soul’, in a way I never have before. Her nectar tastes sweet as it fills my mouth, so much so that I open my throat to swallow a big gulp. It enters my stomach as it drenches my hair and covers my body. I used to think letting her pee on me was so gross, but those thoughts are long gone as I shower myself in her golden stream.”Oh, babeeeee,” she screams as she holds my open mouth under her gushing cunt, “drink from me, sweetheart, drink from the golden fountain that gives you life!”Her screams of passion thrill me into accepting more fluids from her body into mine. As the last few spurts of urine tantalize my tongue, she collapses onto the shower floor. Embraced in a puddle of pee, we kiss and giggle about this special, intimate pleasure we share as Mistress and sissy. I swear, I’m so in love with her, there’s nothing I won’t do to please her.~~~~~For the next hour at least, Mistress pampers me in the bathroom. She completely cleanses me with my favorite lilac body wash, then, still in the shower, she covers me with depilatory cream. As we wait for it to work, she plants suggestions in my brain, telling me about the advantages of laser hair removal. Afterwards, she covers me with kisses as she dries me off and massages almond moisturizer into my gaziantep şişman escort smooth, hairless skin.I’m not embarrassed having her in the bathroom with me as I give myself three enemas to make sure I’m extra clean down there. As Mistress says, we share everything now, and there’s nothing to be embarrassed about a sissy preparing herself to be someone’s sex toy.Later, as I’m sitting in front of the vanity mirror doing my makeup under Brenda’s guidance, I’m wondering what sexual services will be demanded of me tonight. I already know I’ll be drinking pee again, but whatever else Virginia wants me to do, I can only wonder. If my date was with a man, I’d pretty much know what to expect. But with a woman as my first date, there’s a thrilling element of the unknown built into it.”Pay special attention to your eyes,” Mistress says as I’m applying silvery-grey eye shadow. “Nothing says ‘I’m a little whore’ like heavy eye makeup.””If this is a whore date, are you charging her to take me home with her?””No, sweetie. I could never charge a Matriarch. It’s a great honor for me to loan you to her.””A Matriarch?””Yes, darling, a Matriarch in the Hierarchy is a dominant Mistress. Virginia has trained many sissies and Mistresses in her years. She trained me, as a matter of fact, which makes her my Mistress. I serve her as you serve me.””So everyone has a rank in the Hierarchy?””Most everyone does, but that’s none of your concern right now. Let’s concentrate on getting you ready to serve Mistress Virginia. We still have to get your titties pumped up before I deliver you. Are you hungry?””I’m always hungry in the afternoon, because I’m skipping lunch now. But I’m getting used to being hungry, so it’s not so bad.””Check your weight before you get dressed. I’ll get you a diet shake to hold you over until Virginia takes you out to dinner. And guess what…? When you’re on a date, dieting is suspended. You can have anything you want, because you’ll need your energy. Since you’re sold for an entire night, most male dates take Viagra so they can fuck all night long.””Oh God, Mistress,” I giggle, “I think I’m gonna love being your little whore. You better cage me before I get a boner from hearing you talk like that.””No cages on dates, little whore. Your little dick is a big part of your sissy appeal. Most men, and women too, love seeing their sissies getting little boners, and the best sissy whores know how to give themselves hands-free orgasms while they’re being fucked. It especially drives men wild when they think their sissy is so turned on by their man-cock that she sprays sissy cum all over her tummy. Only the most experienced sissy whores can do it.””Well,” I say as I stand on the bathroom scale to check my weight, “I definitely can’t do that yet.””Perhaps Mistress Virginia will help you with that tonight. What’s your weight?””One-thirty-eight.””Very good. It was one-forty-two Sunday night. When you get down to one-thirty-five, and every five pounds after that until one-twenty, I will sleep with you and be your sex slave for an entire night. You may fuck me any way you want, as many times as you want. Is that a good reward?””That’s the best reward! I’ll switch to one meal a day for that!””No, sissy-love, that wouldn’t be healthy. Just stay on your diet and keep doing your morning exercises with Sherry. That’ll get you to one-twenty in plenty of time for the Hierarchy initiation party. Go get dressed now while I dress. Your outfit is laid out on your bed.”Holy fuck! I’m so excited at the prospect of fucking the shit out of Brenda if I lose enough weight! I’m doubly excited when I see the clothes I’ll wear tonight. I was expecting the usual bimbo outfit, but no, it’s a nice, regular-looking ensemble.They took me clothes shopping on Wednesday, and we went to regular department stores and bought a bunch of regular female clothing for me. Mistress even bought me my first purse, along with a compact makeup kit for dating!So on my bed are thigh-high cotton stockings, a pleated plaid skirt that’s not too short, and a beige, spaghetti-strap camisole gaziantep şişman escort bayan I liked so much. I’m having such a good time putting everything on, but then I notice Mistress forgot my bra. Afraid to get the wrong one from my dresser drawer, I go into her bedroom to ask her.”Mistress, what bra shall I wear? You forgot to lay one out for me.””I didn’t forget anything, sissy-love. If there’s no bra there, then you won’t be needing one tonight. Run along now and finish dressing. Our appointment with Cheryl is less than an hour away.”I’m a bit puzzled as to why I have no bra to wear tonight, which means no falsies! Shit, I’m so used to having them on when I’m cross-dressing, it feels weird not to have them. Checking myself in the mirror, the camisole hugs my body so nice and tight, and my bare shoulders look so sexy with the thin spaghetti straps, but god-dammit, I have no tits! Jesus, is this how she’s humiliating me tonight?Fuck! It’s always something. I can never be the perfect girl. I feel so cursed being stuck between two genders. Born in one sex and wanting to be the other. This is my big night, and I’ll look like a stupid, fucking boy in a skirt. I could just cry! I almost do, until Mistress comes in to get me.”Why the sad face?” she shrugs, “I thought you were excited?””I was excited, until I found out I won’t have any tits!””Kinda attached to those false tits, are you?””Yes…! You always make me wear ’em, and now they’re like a permanent part of my look. I feel so naked without them. Fuck…! I could just scream!””Now, now,” she calmly says as she puts on my collar, “don’t get your panties all in a bunch. I want you to feel what it’s like without tits, so you’ll realize how much you want them. You seem to forget that we’re going to get them pumped up. So straighten up, and put a smile on that sissy face. Mistress always takes care of you, doesn’t she?””I guess so,” I say with a pouty face.”Then let’s go,” she says as she attaches my leash, giving it a sharp tug as she leads me out to the car.~~~~~”I was going to let you ride in the front seat with me, like a big girl,” Mistress says as she opens the rear car door, “but since you’re acting like a brat, you can just sit in the back seat and think about why you failed to trust me.””I trust you, Mistress, it’s just that… it’s just…””Hush…! Bitch!” she snaps, “If you really trusted me, you wouldn’t have questioned my decision. And you were doing so well before you slipped up. It’s not a terrible fuck up, but a fuck up just the same. Since this is your big night, I won’t punish you, but I want you to think about your misbehavior and get a new attitude before we get to Cheryl’s office!”She doesn’t even let me respond as she swats my ass and pushes me into the back seat. As I duck my trembling body to the floor so the neighbors won’t see me dressed like this when Brenda backs out of the driveway, I can’t believe how shaken I am to have upset my Mistress.Why am I feeling this way? Why are my emotions so fragile? I don’t understand as I stare out the window, watching the world go by as a girl, but knowing I’m really not. This is so confusing to me, but not to Mistress. She’s been manipulating my mind to the point where I’m having trouble thinking for myself, unable to make decisions on my own, and totally helpless to do anything about it.I’m feeling a bit better, but still confused when she pulls into the tattoo parlor parking lot where Cheryl’s office is located. Mistress doesn’t say anything as she opens the rear door and grabs my leash. I’m so embarrassed to be led across the parking lot on a leash. I’m crossing my arms over my chest in a vain attempt to conceal the fact that I’m out in public, dressed as a girl, without any tits!I’m so relieved to walk through the door into the tattoo parlor. Thank God no one saw me in my sad state, at least I hope no one did.”Are you here to see Cheryl?” The tattoo-covered man behind the counter asks.”Yes,” Mistress answers, “we’re a little early for our seven o’clock appointment.””Her last client just left, so you can go on back.””Thank you,” Mistress says as she jerks my leash. “Come, Mandy, let’s get that attitude of yours taken care of.”I’m burning up inside, knowing the guy behind the counter is secretly laughing at the leashed sissy with no tits. My eyes are focused on the floor as I try to hide my shame. The only positive thing I notice is how easily I’m walking in my four-inch heels. After stumbling around at home on the seven-inch platforms all week, four-inch heels are a breeze.

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Three The Hard Way

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Bbw

Slow burner, mentions of violence sprinkled throughout but pretty vanilla otherwise, unless you think threesomes or a Nickelback reference are kinky.

All persons engaging in sexual activities are indeed adults over the age of 18. This is entirely a work of fiction.

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The dark haired five year old sitting cross legged on the other side of the game board carefully rolled the single die in her right hand and released it onto the board in front of her. Four. Her lips moved as she counted the dots on the die face and then moved her piece the same number of squares. When it came to rest on the last square before the finish line, she muttered “Damn” under her breath. My daughter took game night with Daddy very seriously.

“Bobbi, language.” Her mother and the love of my life quietly corrected little Roberta Marie Mattick. I looked up at Cindy and made a face at her as she somewhat successfully choked back a laugh. She was loving this. She made a production of rearranging her sundress, giving me an unobstructed view of her light blue panty clad crotch with the small wet spot. Bobbi, with her back to her mother, never saw a thing. Cindy went back to updating her students’ grades in the school district parent-teacher portal.

“Sorry, Mommy,” The little shit didn’t look or sound sorry at all. She knew as well as I did that if she won, it would be the first time that I didn’t win a game all night. My consolation prize was looking pretty good though and my pride would survive this loss. Cindy shifted her legs again, attempting to distract me with another glimpse between her legs. I could see the slight peaks her nipples were starting to make in the fabric of the sundress. Yeah, it looked like I was getting lucky tonight.

I stared at the board. The only way I could win this game would be to roll a six. I hadn’t hit a needed roll or card draw all night. Bobbi watched me expectantly. For her, it was do or die. She had never won every game before and the suspense was killing her.

“All right, Queen Bee, here we go. Give Daddy a six!” I rolled the die and Bobbi leaned forward to watch it intently. Wouldn’t you know it? Five. “Shit.” I am my daughter’s father, I hate losing just as much as she does.

Bobbi let out a loud exaggerated gasp, “Daddy! Language!” Cindy tried unsuccessfully to choke back a snicker. I watched as my daughter moved my piece next to hers on the last square, then she picked up the die and just dropped it. Under the rules, it didn’t matter what she actually rolled, it was enough to move her piece across the finish line. She had finally shut me out for the night. That mic drop thing was a bit much, though.

“I won all three, Daddy. Mommy, I won all three tonight!” Bobbi was beside herself. She had come close a couple of times before. I knew it was just a matter of time before the odds caught up with me.

I stuck my hand out and solemnly shook her hand, “Nice game, Queen Bee. Next week, it’s ‘big girl rules’, so make sure you’re ready.”

“Thank you, Daddy. I think you need to be ready, though.” This elicited another laugh from Cindy.

“We’ll see. Time to pick this up and get ready for bed, babe.” I started collecting all the pieces to hand to her as she put them back in the box. Looking at the clock, it was just a little bit before eight. Her sister, Veronica Lynn, went down at seven thirty so Bobbi could have some “big sister time” with us. Unfortunately, Bobbi and Ronnie would be up about six in the morning. It seems to come earlier every weekend.

All three of us jumped when the doorbell rang. Cindy picked up her phone to look at the app for our new video doorbell. Her face immediately scrunched up into a scowl as she muttered “What the fuck?”

Bobbi had been going to correct her mother but the look on Cindy’s face apparently made her rethink that. I looked at Cindy and she mouthed “Laura.” I guess the look on my face upset Bobbi more as she dropped the board onto her lap before she could get it into the box. Cindy stood up and collected our daughter, “Off to bed, sweetie. We’ll clean this up for you tonight.” She jerked her head toward the door, indicating that I needed to go take care of this.

As I made my way to the front door, I could hear Bobbi tell Cindy that she needed to go to the bathroom. I heard the bathroom door close as Cindy reminded her to wash her hands before brushing her teeth.

I opened the door to a slightly shorter version of Cindy. “Hi, Stevie. Remember me?”

Yeah, I remembered her. In painful detail. Eleven years worth of painful details.

I guess some history would be helpful right about now. My name is Steven Thomas Mattick. I’m 30, about average height at 6’1″ and maybe 190 pounds or so, brownish blond hair cut a little long over the ears with a full beard. Otherwise, I’d look like I was 18. I work for a nationwide hardware store chain in retail management. Cindy, nobody has ever called her Cynthia, who is one third of the loves of my life, is seks hikayeleri 29. She’s about 5’6″, maybe 140 pounds, but it’s pretty well proportioned on her pear shaped build. Laura is now 28, a little shorter but around the same weight. Both have the same dark curly hair and delicate facial features. Cindy teaches sixth, seventh, and eighth graders. The last time I saw Laura, she was ruining our lives.

The reason neither of us are happy to see Laura? She caught Cindy and me having sex and ratted us out to our father. Yeah, our. The three of us are siblings. Laura caught us fucking and then dragged our father over to bust us.

The details of what happened next aren’t that important. A lot of shit got yelled back and forth, and he threw the two of us out with nothing but our clothes and a little over four hundred dollars I had managed to squirrel away without his knowledge.

“Why the fuck are you here?” I thought that by now I had gotten over what had happened but apparently hadn’t. I was pissed, as pissed as I had been that afternoon she ratted us out.

“I — I need help, Stevie. Please.” The smile was gone now. She looked tired and upset.

I was getting ready to tell her to fuck off and die when a little voice behind me said, “Daddy? Who’s that?”

At about the same time, Cindy came through the dining room and into the entryway, “Bobbi! I said it was time for bed!” She went to pick up Bobbi and stopped short when she saw Laura still standing there.

Laura looked at me, at her sister, then our daughter, and then back at me in surprise. I shook my head from side to side. “I’m Laura, sweetie. I’m your Mommy’s sister.” The similarity was obvious with the two of them, not so much with me.

Laura looked at Cindy, “She’s adorable, sis. How old is she?”

Bobbi shyly held up five fingers. Cindy stared daggers at Laura before turning and taking Bobbi back inside to her room. I could hear Cindy scolding our daughter as they walked away, “You don’t run to the door like that at night, remember? You let Daddy answer it.”

“Sorry, Mommy. I just wanted to see who it was.” She actually did sound contrite, this time.

That served to remind me that at least one of my daughters could be listening and I needed to be a little more adult. I looked at Laura and kept my voice low, “Again, what the fuck do you want, Laura?”

“I need a place to stay for a couple of days. Daddy threw me out, too.”

I laughed and she flinched like I’d slapped her across the face. “Why is that our problem?”

“You’re the only place I have to go. Nobody from the church will help me now.”

I felt Cindy come up behind me. I’m pretty sure I could actually feel the anger radiating from her body. “Did you think, really think, that after the bullshit you pulled, we were gonna be happy to see you? That we’re going to actually fucking care?” She was careful not to shout but her point was pretty clear.

At that point, Laura just turned around and lifted the back of her shirt. There were bruises. A lot of bruises. Some were old and some weren’t. Cindy inhaled sharply. We both muttered “Son of a bitch” at the same time.

Cindy pushed past me and grabbed Laura’s arm. Guiding her inside, we went into the living room. I gathered up what was left of the board game and put it away quickly while Cindy went to get a glass of water. We were pissed at Laura, absolutely. But that? That was too much.

“What happened?” Cindy sat down next to Laura.

“After Daddy threw you out, I ended up getting married to Lewis Thurston.” I remembered Lew. He was an older guy, maybe six years older than me. Girls never liked him because he came off as creepy.

Laura continued, “Daddy said it was a necessary sacrifice for the church. His family had money, money Daddy could put to good use getting the word out.” The word my father wanted to get out was “hate”. He had a lot of it.

She took a long sip of water. “Lewis liked to hit me until I cried, then he wanted to have sex with me. I complained to Daddy and he said I needed to accept that he was my husband and my purpose was to serve him, whatever that took. So I left Lewis and filed for divorce. He didn’t think I’d do it because I don’t have anything to my name, I literally own nothing. I took one of Daddy’s cars and left. He refused to help me. Told me if I wasn’t going to honor my vows to get out of his house.”

“So how did you find us?” I asked gently. We hadn’t had any contact with her in eleven years, we had lived in transient hotels, shelters and the occasional campground until we got to Des Moines. Our father took our phones, he was paying for them, so we had no real way to keep in touch with anybody back home. Not that we really wanted to.

“Cynthia Mattick, one of Des Moines Independent Community School District’s Teachers of the Year. It was a nice picture. The county property tax database gave me the address. I wasn’t sure you were still together sex hikayeleri until then.”

“First, you need to see a doctor. Did you file a police report?” Cindy asked her.

“Yeah, when I went to the hospital the last time, they called them. He bruised one of my kidneys and I was peeing a little bit of blood. You know how Daddy feels about hospitals and doctors, that was just another thing I did wrong.”

“Babe, you stay with the girls while I take Laura to the ER to get checked out. They’ll probably call the police so we may be there for a while.” Cindy was now in take-charge mode. I nodded. There wasn’t much I was going to be able to do at the hospital, anyway. Before the shit hit the fan, the two of them had been really close. There was still some unfinished business to be discussed but for right now, this took priority.

I fell asleep on the couch at some point. I woke up to three year old Ronnie nose to nose with me. “Where is Mommy?” Six thirty in the morning. They still weren’t back.

Bobbi was right behind her, “Sorry, Daddy, she’s fast. I’m trying to make breakfast but I need help, please.”

I stood up and stretched as best I could. Fuck, that couch sucks for sleeping. “Okay, ladies. Let’s get you some breakfast.” I herded the girls back out to the kitchen and got them settled in. Two bowls of cereal were delivered and devoured while I made a pot of coffee. I checked my phone, the last text was Cindy letting me know they were being seen, about eleven last night. I figured no news was good news.

Cindy and Laura got home a little before seven thirty. Laura did have a bruised right kidney but no other internal damage. They gave her a mild painkiller and some anti-inflammatories. The police were called by the staff and they verified that a report had been filed. At a little after eight, Laura called the lawyer handling the divorce to let him know where she was and what had happened. He would try to get the judge to waive her appearance in court for hearings for her own safety, but he couldn’t guarantee he could get it. He would call her back when he knew something.

My sisters looked dead on their feet. I pointed Laura towards the main bathroom so she could take a shower. Cindy dug out some clothes she could wear until we could take her shopping for some new ones. We prepped the guest bedroom and I think Laura was out before her head hit the pillow. I sent Cindy to bed right afterwards. I had slept on the couch a little, so I could watch the girls for a few more hours.

I called into work, citing a family emergency. Jeannie was a capable assistant manager and she knew to call me if anything came up that she couldn’t handle. I then got the girls dressed and parked on the couch watching animated movies. It would keep them relatively quiet for a few hours. I leaned back on the couch and napped while my daughters cuddled with me and watched their movies.

I was awakened by Cindy lifting a sleeping Ronnie up and sliding into the spot my daughter had just been evicted from. The clock on the wall read about two thirty. She held Ronnie in her lap as she leaned against me. “Are you okay?”

“Yes and no.”

“Yeah, me, too. I don’t know who to be mad at right now.” She shook her head. “That’s just fu– messed up.” Ronnie may have been asleep, but Bobbie wasn’t.

She looked up at us, worried. “Am I in trouble?”

“No, Queen Bee, you didn’t do anything wrong. You’re good.” I ruffled her hair with my hand. “Adults can be confusing.” I didn’t know how else to explain it right now.

As she turned her attention back to the TV, I swear to God I heard that kid mutter “No shit.” I don’t think Cindy heard it. Maybe I was just hallucinating it, too. We were definitely going to have to be more careful about our language around these kids.

The sounds of stomachs rumbling reminded me that absolutely nobody had eaten lunch yet. We woke up Ronnie and got the kids settled in at the table. Cindy made sandwiches for everybody and we ate in relative silence. Laura was still asleep and she’s the one who really needed it the most. After we cleaned up, the kids went out back and blew off steam for an hour, chasing each other around, under the supervision of Cindy. They were just coming back into the house when Laura came out from the guest bedroom, wearing an oversized t-shirt. Like her sister, she liked sleeping without a bra.

“Sorry, I slept longer than I meant to.” She still looked tired.

“Nah, it’s good. You needed to sleep. You want to eat something now or wait until dinner?” Cindy asked her. “We’re good either way.”

“Dinner’s fine. I could use some water, though. I need to take a painkiller, my side is killing me.” She winced as she applied a little pressure to her right side. She sat down gingerly on the opposite end of the couch while Cindy brought her a glass of water. She swallowed the painkiller and a couple of anti-inflammatories while emptying the glass.

Cindy went out into the kitchen and I could hear her start taking things out to make dinner. Laura looked at me, silently asking permission to go help. I just shrugged my shoulders. They needed to figure that out themselves. The relationship I had with my younger sister was far and away nothing like the relationship the two of them had shared growing up. What Laura had done affected Cindy far worse than it had me. Where I was just angry, Cindy was heartbroken. She cried herself to sleep too many nights for me to count.

When there wasn’t an explosion from the kitchen, I figured it was safe to go take a shower. The girls were playing quietly in their room, it appeared that Ronnie was hosting a tea party under Bobbi’s supervision. I showered quickly and was on my way back to the living room when I passed Laura in the hall.

She stopped me and gave me a quick hug. “Thank you, Stevie. Thank you so much.” She had used Cindy’s hair stuff, which I liked. I tried to avoid full body contact during the hug. I wasn’t comfortable with that kind of closeness with her right now.

I wanted to be mad, I really did. I just couldn’t bring myself to do it right now. “You’re more than welcome to stay as long as you need. We have our problems but what happened to you isn’t right. We’ll take care of that first and then deal with everything else.” She gave me a kiss on the cheek and headed into the bathroom. I tried not to flinch.

I stuck my head into the kitchen. Cindy was staring out the window, potato peeler in hand. I guess I made a noise and surprised her, as she suddenly jumped and dropped the peeler into the sink. “Shit, you scared me. I told Laura she could stay as long as she needed, was that all right?”

“Yeah, I told her the same thing just now in the hall. I guess we’ll sort everything out later. Are you going to be okay with that?” I wasn’t concerned about me, I was concerned about Cindy.

“I’m good, I think.” She looked like she was going to say something else, but we could hear the hall bathroom door open. Cindy went back to peeling potatoes as Laura sat down at the table to slice vegetables. She seemed a little happier now, a little more upbeat than she had earlier. The hem of the t-shirt slid up as she sat down, revealing that she at least wore panties. She somehow managed to pull the shirt tight across her front, highlighting her erect nipples.

Dinner went into the oven and on the stove. Laura went in search of Bobbi and Ronnie. When dinner was ready, I was tasked with finding and returning with the other three. I found them on the floor, still holding the tea party. Laura had both girls giggling as they chatted.

“All right, ladies, dinner is served.” I stuck my hand out to help Laura up. She gave me another hug and kiss on the cheek as she got to her feet. I flinched involuntarily. I couldn’t tell if she noticed or not. It wasn’t hard to see that her nipples were still poking out through the t-shirt. She also made no attempt to cover her crotch as she stood up.

“Thank you, kind sir. Let’s get this show on the road, girls,” she aimed the girls toward the dining room. They scrambled out of the room, squealing. “Your daughters are amazing, Stevie. You’re a really good dad.”

I wanted to say something else but managed to grunt out, “Yeah, I try.” She held onto my hand for a few extra seconds, squeezing it before letting go.

Dinner was…different. It seemed like Bobbi was determined to get Cindy and Laura to talk to each other. Ronnie just chatted away about anything and everything, whether somebody was listening or not.

Usually, when I worked on Saturday night, the girls would order pizza and have a girls night. Since I had called in and wasn’t going to work, we got out the boardgames and Bobbi insisted all four girls sit at the dining room table and play games. I found a game on ESPN and had a beer while they played.

It felt like there was a little bit of thawing between Cindy and Laura. I wasn’t sure how far it would go or how long it would last, but I certainly couldn’t throw her out on the street and didn’t think Cindy could either.

Neither of my daughters really wanted to go to bed, since Aunt Laura was here and a captive audience. We let them stay up until nine, when it was obvious they were done for the evening. I put Ronnie down first as Bobbi tried valiantly to argue with Cindy about staying up. Yawning in the middle of your argument never works, kid. Laura carried her in as I was kissing Ronnie’s forehead after getting her settled.

“G’night, Cricket. Love you and we’ll see you in the morning.” She’s so damn cute, even if she won’t stop talking. Cindy was the one who started calling her Cricket, because of the constant chirping from the back seat.

She smiled back, “G’night, Daddy.”

Bobbi looked at me, “Can Aunt Laura tuck me in, Daddy? Please?” She had really taken to Laura.

I kissed her forehead, “Sure, Queen Bee. Don’t give her any trouble, you hear? Love you and we’ll see you in the morning.”

“Okay, Daddy. G’night.”

Laura came back out to the living room about ten minutes later. As she sat down in the recliner, she told Cindy, “Your girls are incredible, Cindy. They are so damn cute.”

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