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Non Nude

Traduction d’un récit de Craig88.

Ceci est une FICTION avec chantage, humiliations et contrainte d’une jeune femme. Certains passages étant très « crades », ils peuvent choquer. Si vous n’aimez pas ce genre, arrêtez de lire.

**************

La prochaine journée me sembla une éternité. M. ALLEN ne m’appela pas et ne vint pas. Steve était toujours au travail et je tournais en rond dans l’appartement. Bien sûr je pouvais descendre et profiter de la grosse queue de Marcus, mais ce n’était pas la même chose sans la présence de M. ALLEN alors je ne profitais pas de l’opportunité.

Nous sommes le lendemain, dimanche matin. Steve est parti à 8 heures pour travailler et il est maintenant 11 heures. Toujours pas de M. ALLEN. Il n’y a rien du tout à la télé et je ne vais pas à l’église. Comment pourrais-je y aller d’ailleurs? Je suis devenue une vraie salope qui aime tout ce qui est pêcher aux yeux de Dieu. J’ai trompé mon mari, je suis sûre d’aller en enfer. Mais est-ce que je m’en soucie vraiment?

L’attente est une longue agonie. Je ne suis pas à l’aise, je deviens irritable, je ne sais pas quoi faire.

« Toc Toc »

– Ah, enfin, merci, s’il vous plaît entrez M.ALLEN. Supplié-je.

– Bonjour Hélène! Contente de me voir?

Je suis tellement contente qu’il soit enfin là que mon grand sourire sur mon visage ne peut cacher ma joie.

– Habille-toi, nous allons faire un petit voyage.

J’aime cette proposition et je demande :

– Que voulez-vous que je porte?

– N’importe quoi, nous n’allons pas dans un endroit spécial. Nous retournons au sex-shop où je t’avais envoyé. Tu te souviens?

Je me souviens très bien de cette boutique où il m’avait envoyé pour acheter du matériel sexy.

– N’est-il pas fermé le dimanche? Demandé-je.

– Si.

Il voit mon regard étonné alors il ajoute :

– La femme qui possède le magasin est une bonne amie. Elle a accepté de l’ouvrir pour nous, pour que nous puissions avoir un peu de calme.

– D’accord. Laissez-moi une seconde.

Je retourne dans ma chambre et j’enfile un jean, des bottes et un tee-shirt. J’attache mes cheveux en arrière. Puis nous partons avec sa BMW.

Lorsque nous arrivons au sex-shop, il est fermé avec un rideau en fer. Nous marchons dans l’allée qui va derrière le magasin. M. ALLEN frappe sur une grande porte en métal. L’allée est jonchée de vieux papiers, de cartons et de détritus. Les murs sont couverts de graffitis.

J’entends un bruit métallique qui indique que l’on déverrouille la porte. Elle s’ouvre en grinçant et je reconnais la femme qui m’a servi lorsque je suis venue la dernière fois.

– Bonjour Jenny!

– Bonjour Maître! Fut la réponse de la femme.

« Maître »? Je pense en moi-même qu’elle aussi doit être devenue son esclave sexuelle comme je le suis.

Jenny me regarde de haut en bas. Je n’aime pas l’air vicieux sur son visage.

– C’est elle alors?

Sa remarque me donne envie de la gifler.

– Tu me désobéis Jenny?

Le ton de M.ALLEN est celui qu’il prend pour avertir avant de donner une bonne claque. La femme baisse les yeux vers le sol et dit :

– Non Maître.

– Laisse-nous entrer alors!

Elle recule et ouvre en grand la porte. M. ALLEN pénètre dans le magasin tandis que Jenny tient la porte. Je le suis, la tête haute, avec un air de supériorité. En réponse elle me lance un regard méchant. « Va te faire enculer salope » pensé-je.

Je suis mon propriétaire dans un couloir obscur. Il est faiblement éclairé, mais je peux voir, au fond, la lumière de la boutique.

Nous entrons dans la partie principale du sex-shop. Rien n’a bougé depuis la dernière fois et il est bien éclairé malgré le rideau en fer. Jenny nous suit puis se dirige vers M.ALLEN. Elle ne dit rien. C’est comme si elle attendait un commandement, comme un chien.

– Jenny, As-tu mis de côté ce que je t’ai commandé?

– Oui Maître

Jenny se déplace rapidement vers la caisse. Je la regarde en détail. Elle mesure environ 1m70, elle a des cheveux blonds qui s’arrêtent avant ses épaules et des yeux bleus. C’est une jolie fille, mais un peu trop maquillée à mon goût. Elle a des piercings sur les paupières ainsi qu’à la lèvre supérieure. Je devine que sa langue doit être percée aussi. Elle porte un petit haut en latex rouge qui laisse apparaître son nombril entouré d’un tatouage. Elle porte aussi un pantalon en latex noir qui moule bien ses cuisses et ses fesses bien rondes. Si j’étais un homme, j’aimerais bien la baiser.

Elle revient avec un grand sac qui semble être rempli. M. ALLEN regarde dedans puis me le tend en disant :

– Essaye ça!

Je me dirige vers les cabines d’essayage mais M. ALLEN me dit que le magasin est vide et que je peux très bien me changer là.

Je regarde Jenny. Son air vicieux revient sur son visage.

– Oui M.ALLEN! Dis-je en souriant.

– Bonne fille! Tu vois jenny ce qu’est l’obéissance!

La femme baisse de nouveau les yeux au sol :

– Oui Maître!

Je fouille dans le sac et j’en sors une Escort Bahçeşehir sorte de robe noire en latex. Je dis « robe » mais je sais qu’elle ne va pas descendre plus bas que ma chatte. J’enlève mon tee-shirt pour révéler mes gros seins puis je descends mon jean jusqu’aux chevilles avant d’en sortir. Je me tiens debout avec un soutien-gorge blanc et un string. Je dois admettre qu’il ne s’agit pas de mes meilleurs sous-vêtements.

Jenny me détaille de haut en bas. J’avoue que je n’ai pas le plus joli corps du monde. J’ai un peu de ventre et un peu de cellulite sur le cul et les cuisses, mais pour une femme au foyer de 34 ans je suis encore pas mal.

Je me glisse dans la robe et je commence à la tirer. Je remarque qu’elle fait une ou deux tailles en dessous de ce que je porte d’habitude. Mais comme je ne veux pas désobéir à M. ALLEN ou faire face à la colère de Jenny, je lutte pour la faire passer par-dessus mes cuisses et mes fesses. Puis je décide de la retirer et j’ôte tous mes sous-vêtements. Ensuite je réessaie d’enfiler la robe. Le latex frotte contre ma peau alors que je me débats avec.

Jenny me regarde avec un grand sourire sur son visage. Et soudain elle laisse échapper un ricanement.

Immédiatement M. ALLEN la gifle, le claquement sur la peau remplit la pièce. Il dit :

– Jenny sale chienne, à genoux, tout de suite!

Je rigole intérieurement. Bien fait pour cette salope! Je la regarde alors qu’elle obéit et s’agenouille devant l’homme. Elle tient sa main appuyée sur sa joue gauche. Je sais ce que cela fait, mais je n’ai aucune sympathie pour elle.

M. ALLEN déboucle son pantalon et farfouille dedans. Il sort sa bite et demande à Jenny de la sucer.

Elle ne dit rien et la queue est rapidement enfoncée dans sa bouche. Je sais ce qu’elle ressent. Je la voix prodiguer une fellation à mon propriétaire et je ne peux m’empêcher de ressentir un sentiment de jalousie. Je veux être celle qui a sa petite bite sale dans la bouche.

Après beaucoup de tiraillements, la robe finit par me recouvrir le cul. Je la remonte plus haut et je serre mes seins autant que possible. Je passe les sangles sur mes épaules et j’arrange la robe. Je me regarde dans le miroir. J’ai raison, la robe laisse exposée ma petite chatte rasée.

– Super Hélène, ça te va très bien! Mets le reste maintenant.

Je trouve drôle qu’il me regarde m’habiller sans vraiment prêter attention à la garce blonde qui lui suce la bite. Je fouille dans le sac et j’en sors une paire de gants en latex noir qui remontent plus loin que mes coudes. Pendant ce temps, M. ALLEN baise la bouche de jenny.

– Jenny, c’est la pire pipe que tu ne m’as jamais faite! Espèce de salope blonde idiote, essaie de t’appliquer!

Je ricane intérieurement. Ensuite je trouve dans le sac une paire de bottes en latex qui montent à mi-cuisses. Après avoir fini de me vêtir je me regarde de nouveau dans le miroir. Mon Dieu que je suis excitée.

– Sors tes seins Jenny! Espérons que tes nichons serviront mieux que ta bouche!

Je les regarde. Je vois des larmes couler sur le visage de la blonde. Soit il lui a fait mal soit elle a honte. Elle baisse son petit haut. Ses seins bougent à peine, manifestement ils sont faux. Elle les tient serrés alors que l’homme glisse sa bite entre.

– Que ces faux seins sont moches! Regarde Hélène, tu vois ses seins? C’est du 100 % réel, de vrais nichons bien en chair. J’ai l’impression de baiser un trou dans un mur.

Le regard que me lance jenny est méchant, un regard qui tue.

– Et merde!

M. ALLEN retire son sexe de la poitrine de la blonde et se retourne en disant :

– Le seul plaisir que je vais pouvoir tirer de toi est que tu me lèches le cul. Fais-le! Tout de suite!

Lorsque nous partons, la femme me lance un regard que je n’oublierai jamais. Elle est restée agenouillée, un regard méchant et sûrement un mauvais goût dans la bouche. Bien fait chienne!

Nous revenons à mon appartement. Je remarque que mon propriétaire a un autre sac du sex-shop avec lui, mais je n’ai aucune idée de ce qui peut être à l’intérieur. Il s’assoit sur mon canapé et allume la télé. Il est presque 14 heures. Il passe sur une chaîne sportive où un match de football vient de commencer. Il m’ordonne d’aller m’habiller avec ce que j’ai essayé dans le magasin. Je pars dans ma chambre et je prends mon temps pour m’habiller. Je déteste le football.

Je sors de la chambre avec des bruits grinçants dus au latex.

M. ALLEN a posé le sac à côté de lui sur le canapé. Il me regarde et me demande de m’agenouiller. J’obéis. Il tend la main vers le sac et fouille dedans. Il en ressort un collier noir avec des clous d’argent et une chaîne en argent reliée au collier.

– Penche-toi en avant!

Je le fais et il attache le collier autour de mon cou.

– Tu es ma chienne Hélène et tu m’obéiras, Comprends-tu?

– Oui Maître.

– Bonne fille! Maintenant mets-toi à genoux sur le sol et suce ma bite. Tu ferais bien de mieux t’appliquer que Jenny!

– Oui Maître.

Je Bahçeşehir Escort Bayan prends sa bite qui sent mauvais et je commence à le sucer. Pendant ce temps il regarde le match à la télévision. Jenny doit vraiment mal sucer car il ne lui faut pas longtemps avant de se vider dans ma bouche. Le goût de son sperme est toujours aussi fort. Je nettoie proprement sa queue.

– Aaaaahhhhhh… Bonne fille… assis toi!

Je m’assieds sur le sol, toujours tenue en laisse par mon propriétaire. C’est très excitant, mais je n’aime pas trop le port du collier, j’ai l’impression d’être étouffée.

Je reste assise là très longtemps. Le match doit durer encore 20 minutes. Sans prévenir, M. ALLEN tire sur la laisse. Je m’évanouis presque sous la force du coup.

– Hélène, je reste jusqu’à la fin du match donc recommence à me sucer la bite.

Son ton de voix me parait inquiétant donc je commence à sucer sa bite une fois de plus. Alors que j’essaie de lui pratiquer une bonne fellation, je suis soudainement frappé par un liquide chaud dans ma bouche. Il urine dans ma gorge. Ça sort de sa bite avec un grand jet. Je m’étrangle sur le liquide, je n’arrive pas à tout avaler. J’essaie de bouger la tête mais M. ALLEN tient solidement la laisse. C’est long, l’urine s’échappe de ma bouche et tombe sur son pantalon.

Quand il a fini de se vider, il lâche la laisse. Je cours dans la salle de bain en toussant, m’étranglant et essayant de respirer. Je me sens malade, sa pisse chaude est maintenant dans mon estomac. Je vomis dans les toilettes.

Je sais que je suis très excitée lorsque que l’on me baise comme une pute, mais ce n’est pas le cas actuellement. J’ai envie de me révolter. J’ai l’air d’un chien puant qui vit dans la rue. Je suis tombée bien bas.

Je retourne dans mon salon et je me rends compte que le match est terminé. Lorsqu’il me voit, mon propriétaire éclate de rire :

– Ha ha ha ha… Quel est le problème Hélène? Vous avez aimé l’autre jour.

– Oui mais j’étais excitée et je le voulais. Mais pas là.

– Ha ha ha ha… Je m’en fous! Nettoie-toi bien salope, tu as deux visiteurs qui vont venir pour toi bientôt.

– Qui est-ce?

– Juste deux de mes associés. Tu commences à avoir une certaine réputation. Allons dans la chambre maintenant.

Je le devance et je m’assois sur le lit. M. ALLEN me rejoint avec son sac.

– Hélène, où sont les choses que tu as achetées auparavant?

– Sous le lit maître.

Il attrape mon sac sous le sommier et verse le contenu sur le lit.

– Tiens-toi près de la fenêtre!

Je m’approche de la fenêtre et je regarde le parking en bas en entendant l’homme tripoter quelque chose de métallique. Je l’entends approcher derrière moi.

– Peux-tu atteindre le rail du rideau?

Je tends la main vers le haut et le bout de mes doigts arrivent 4 centimètres en dessous du rail. Je sens ses mains me saisir le bras puis une sensation de froid. Il y a un cliquetis alors qu’il referme une menotte sur mon poignet. Une deuxième menotte est attachée à mon autre poignet.

– Ne panique pas Hélène, je gère.

Il saisit chaque double des menottes pour les attacher au rail du rideau. La chaîne entre deux menottes est assez longue pour que je ne sois pas tendue. M. ALLEN recule vers le lit. Je suis contente que nous ayons des rideaux sur nos fenêtres, sinon, quelqu’un se promenant dans le parking verrait une femme vêtue d’une robe en latex, menottée à la tringle à rideau de la fenêtre.

Mon Dieu, j’ai peur. Quel genre de personnes sont-ils? Ma chatte commence à mouiller à l’idée que je suis impuissante et à la merci de deux hommes. J’entends M. ALLEN déposer des choses sur le lit. Il m’est possible de me retourner, mais je n’ose pas.

Mes pensées sont coupées brusquement par le bruit de quelqu’un frappant à la porte. Mon propriétaire quitte la chambre pour ouvrir la porte. J’entends des voix et la porte se refermer. Les voix se rapprochent.

– Mmmmm c’est donc elle! Dit un des deux hommes.

– Bon sang! Regarde-moi ça, tout en latex, je suis impatient. Dit une autre voix qui me semble familière.

– Allons-nous la retourner pour qu’elle puisse voir qui va la baiser?

– Ouais, vas-y Phil, tourne-la!

Je frissonne d’anticipation. M. ALLEN s’approche et me tourne. Je regarde les deux hommes et instantanément je reconnais l’un deux.

– Marc!

Il s’agit de Marc, le frère de Steve, mon mari.

– Je crois que tu as été reconnu mon pote! Rit l’autre.

– Ma chère Hélène, si seulement mon frère pouvait te voir, quel choc ça lui ferait!

Les deux hommes rigolent de leurs paroles.

Je n’arrive pas à y croire. Je ne sais pas quoi faire. C’est mon beau-frère. Que va-t-il faire? Que va-t-il dire? Oh mon Dieu, il va tout raconter à Steve.

– Marc, s’il te plaît, ne…

– Ne dis pas à mon frère que sa femme est une vraie pute? Ne dis pas à mon frère que la femme qu’il aime offre son cul à tous les hommes d’où qu’ils viennent?

– S’il te plaît…

Je le supplie, je ne sais Bahçeşehir Escort plus quoi faire.

– Tu sais ce qui m’énerve vraiment? Continue Marc.

Je secoue la tête.

– Que mon frère puisse baiser une femme aussi belle que toi et que moi je ne le puisse pas.

Je lève les yeux.

– Maintenant tu as le choix Hélène. Tu peux nous dire d’aller nous faire voir ailleurs et dans ce cas je raconte tout à Steve. Ou alors tu me laisses avec mon camarade Tommy te faire tout ce que nous voulons et je ne dirai rien. Ton choix?

Quel choix ai-je vraiment? J’aime trop Steve pour le perdre. Je me contente de hocher la tête pour acquiescer.

– ah ben voilà! Les garçons, elle est à vous! Rigole M. ALLEN.

Marc est un beau mec. J’ai toujours pensé qu’il avait un peu le béguin pour moi, mais je n’y faisais pas attention. Il est plus jeune que Steve et peut-être un peu plus beau. Il travaille dans une entreprise de construction. Il est assez musclé. Je pense que son ami Tommy doit travailler avec lui car il est aussi musclé. Par contre il n’est pas très beau. Les deux hommes ont commencé à se déshabiller, et j’avoue, honteusement, que ma chatte commence à s’humidifier.

Ils doivent juste avoir terminé un travail car ils sont moites et sales. Quand ils enlèvent leurs chemises, je suis presque sur le point de jouir, tous les deux ont un corps parfaitement ciselé avec des muscles parfaits. Steve n’a pas le même physique que son frère.

Tommy et Marc se déshabillent jusqu’au caleçon. Mon beau-frère s’approche du lit pour voir ce qu’il y a. J’ai été tellement surprise que je n’ai pas regardé les objets posés sur le couvre-lit.

– Tommy, regarde ce truc!

L’homme s’approche et m’obstrue la vue.

– Ah ouais, laisse-moi l’utiliser Marc!

J’ai l’impression que Tommy n’est pas trop brillant et qu’il demande à Marc conseils et idées.

– Vas-y mon pote!

Tommy se retourne vers moi avec un grand sourire sur le visage et une chaîne dans la main. Quand il s’approche je remarque qu’il s’agit de pinces à tétons.

– Oh non s’il te plaît, pas ça!

Il baisse ma robe et sort mes seins. Il les caresse puis passe sa langue sur mes mamelons.

– Tu as des seins magnifiques chéri! Souligne-t-il.

L’odeur de la sueur d’une dure journée de travail émane de lui. C’est très excitant pour moi et ma chatte s’humidifie de plus en plus.

Il saisit l’extrémité de la chaîne et il ouvre une des petites pinces qu’il dirige vers un de mes tétons. Je n’ai aucune idée de ce que l’on peut ressentir et je ne veux pas le savoir.

– AIEEEEE AIEEEE AIEEEEE MERDE AIEEEEE CA FAIT MAL! Crié-je.

La douleur est insupportable. Je baisse les yeux sur ce métal froid qui blesse mon sein. C’est vraiment douloureux. C’est une douleur que je n’ai jamais ressentie. Ce n’est pas du tout comme se faire sodomiser une première fois.

– AIEEEE SALAUD AIEEEE AIIEEEEE!

Tommy a appliqué la deuxième pince sur mon deuxième téton. La douleur s’est dédoublée. Il trouve cela amusant. M. ALLEN aussi qui est en train de tout filmer encore.

– Bouge-toi Tommy, j’ai quelque chose pour elle.

À travers mes yeux larmoyants, je vois ce que Marc tient dans sa main : un chat à neuf queues. Il avance vers moi et approche son visage du mien. Il enfonce alors sa langue dans ma bouche et m’embrasse fougueusement. C’est très excitant. Tout en m’embrassant, il tire sur la chaîne qui relie mes tétons. Je gémis sous la douleur.

Il sort sa langue de ma bouche et me fait faire un demi-tour. Je sens les deux hommes passer leurs mains sur mes fesses et mes cuisses, par-dessus les cuissardes en latex. Les Mains tripotent mon corps et je suis incapable de les arrêter. Je suis impuissante devant ces hommes. Ma chatte est humide et mes tétons se dressent douloureusement.

SCHLACK!

Je reçois un premier coup du fouet. Sur le coup ça me pique fort puis une sensation de chaleur s’estompe assez vite.

SCHLACK! SCHLACK!

La douleur n’a pas le temps de s’éteindre avant qu’un autre coup tombe sur mes fesses.

SCHLACK! SCHLACK! SCHLACK!

Chaque coup est accueilli par un cri de douleur. Mes fesses sont en feu. Ces coups de fouet m’ont fait oublier la douleur dans mes mamelons momentanément. Je respire fort, les coups se sont arrêtés.

– Voyons ce que nous avons d’autre Tommy!

Je me sens si faible que je suis sur le point de m’effondrer. Mes jambes me font mal et la douleur traverse mes seins et mon cul. J’entends les deux hommes chuchoter.

– CLAC!

– OH MERDE! AIIIIIIIEEEE!

Je tourne la tête et je vois Tommy avec une sorte de raquette couverte de tête de clous en métal. Il continue de me frapper avec.

– AIEEE! AIEEE! AIEEE! AIEEE! AIEEE! AIEEE! AIEEE! AIEEE!

Finalement ils stoppent. Je n’ai jamais eu plus mal qu’aujourd’hui. Tommy me contourne et me regarde. Puis il glisse sa main entre mes cuisses et les lèvres de ma chatte.

– Putain Marc, elle est en train de mouiller!

Il pousse ses doigts dans mon intimité. Je suis si humide qu’ils entrent facilement. Il met trois doigts et les bouge lentement. Puis il les retire et les monte vers mon visage :

– Est-ce que tu veux goûter à quel point tu mouilles?

Je secoue la tête. Alors Tommy tire sur la chaîne reliée à mes mamelons.

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Marie Matte La Concurrence

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Amateur

Depuis que Marie tient les rênes dans sa relation avec Steve, celui-ci se retrouve soumis à chacun de ses désirs. L’aventure, avec Farida, Efia et son copain, a visiblement marqué le couple. Certaines règles son imposées à Steve, qui reste dans les faits un bon petit cocu. Au moins deux fois par semaine, Marie ne donne pas de nouvelle à son copain. En effet, chaque soir elle enfile ses bas, choisit une lingerie fine sous une tenue très sexy et par rejoindre son “coup d’un soir” comme elle aime le rappeler à Steve. Ce dernier peut quand même toucher Marie, mais non sans quelques contraintes : pas de pénétration et bien sûr pas de jouissance pour lui.

Au bout de quelque mois, Steve n’en peut plus. Cette situation n’est pas saine pour lui, et en a tout simplement marre d’être le soumis de service. Effectivement, il est aussi régulièrement prêté à Farida et Efia qui “s’amusent” avec lui.

Un jour, à la fac, lors d’un cours auquel Marie n’est pas inscrite, il s’installe aux côtés d’une fille qui lui semble innocente, belle et intelligente. Dans sa tête, il se dit qu’elle n’est pas pour lui, et qu’il ne pourra jamais l’embrasser. Toutefois, au fur et à mesure il fait sa connaissance, et il apprend qu’elle s’appelle Mélo. Ils se fréquentent de plus en plus jusqu’au moment où, un soir, Steve prend les devants, l’embrasse et passent une nuit torride. Steve reprend confiance en lui et voit qu’il peut faire jouir une femme… Toutefois, il n’a pas régler l’affaire avec Marie…

Celle-ci, profitant d’une nuit lorsqu’ils sont ensemble, prend son portable et fouille dans les sms. Elle s’aperçoit, d’un rendez-vous romantique entre Steve et Mélo dans un hôtel-restaurant chic le lendemain.

Le soir Steve, rejoint secrètement Mélo afin de passer une bonne soirée, et peut-être une bonne nuit.

Mélo, pour cette soirée avec son amoureux avait choisi des escarpins noirs, des bas également noir avec porte-jarretelles, cachés par une mini-jupe et un petit décolleté. En effet, cette grande brune d’1.75m n’a pas beaucoup de poitrine, mais ses longues jambes lui donne un charme fou.

Marie, qui avait récupéré toutes les informations et savait l’organisation des lieux prépare alors son plan. Elle choisit d’abord les accessoires à emporter : des menottes, un gode-ceinture noir de 25 cm et un plug anal large de 10 cm. Après cela, elle choisit dans sa garde robe des bas résille avec couture, porte-jarretelle rouge accordé à un soutif push-up rouge, un string de la même couleur et des bottes à talons aiguilles en cuir noir.

La soirée de Steve se passe très bien aux côtés de Mélo. Celle-ci, très sexy avec Escort Esenyurt ses longues jambes, excite Steve qui ne peut s’empêcher de les toucher, ce qui fait frémir Mélo. À la venue du café, Mélo s’absente afin d’aller aux WC. Les toilettes de l’hôtel se situent à l’opposé de la salle et du salon, et sont tout le temps vides. En poussant la porte, Mélo se retrouve nez à nez avec Marie, mais elle se dit qu’elle doit aussi diner avec quelqu’un.

– Ah, salut! Qu’est-ce que tu fais là? dit Mélo.

-Salut Mélo, et bien je suis là pour régler une petite affaire.

En disant ça, Mélo s’était tournée, tournant le dos à Marie. Celle-ci en profite alors pour passer à l’action! D’un coup elle lui pris le bras droit, lui fit une clef pour attacher les deux poignets ensemble. Mélo, n’a absolument pas eu le temps de réagir, Marie ferme la porte à clef, et c’est à ce moment que débute l’horreur pour Mélo.

Menottée, Mélo comment à crier, mais ce n’est sans compter sur un coup de genoux de Marie bien placé, qui lui fait cesser toute plainte. Directement, Marie pense à enlever son string gorgé de ses secrétions pour lui mettre dans la bouche. Bâillonnée Mélo, ne pousse plus que des petits gémissements.

-Alors ma grande salope, on se paye Steve? On pense que tu vas passer une bonne soirée? Et bien tu vas voir le plan que je t’ai préparé! Tu vas pouvoir le rejoindre, mais tu vas avoir du mal à marcher!

Marie commence à parcourir le corps de Mélo, en lui descendant sa mini-jupe. Baissée à ses pieds, Mélo dévoile sa lingerie à Marie.

-Ohhh, mais c’est joli ça! On va bien s’amuser toutes les deux! Tu vas voir je vais bien m’occuper de toi ce soir!

Afin d’enlever le haut de Mélo, Marie tire dessus de toutes ses forces. Celui-ci craque et dévoile les petits seins cachés par un soutif bien rembourré. Marie devant se spectacle mouille comme une folle à l’idée de soumettre cette grande brindille qui, sous ses airs d’innocente, montre son vrai visage.

Marie commence par faire glisser le slip de Mélo. Elle s’émerveille de la vision d’une petite chatte toute poilue et humide!

-Dis donc ma grande, tu ne mouillerais pas par hasard? Ça t’excite de te faire malmenée? Regarde ce que je fais aux petits minous poilus moi!

En disant ça elle lui mis directement deux doigts et fait des vas et viens tellement rapidement que Mélo commence à gémir! Puis en même temps, elle s’attaque à son petit bouton. Elle le fait bien rouler entre ces doigts, le tire, le pince, et le mordille. Mélo, juchée sur ces talons, les jambes écartées et les mains menottées hurle de plaisir face à ce traitement! Elle Esenyurt Escort Bayan même ni croit pas, elle est en train de se faire violée par une camarade de fac, et elle aime ça! Tellement que sa cyprine commence à couler le long de ses bas. Marie profite qu’elle soit à sa mercis pour lui sortir ses seins.

-Oh mais ils sont tout petits! C’est quoi ça? Des mamelles de petite fille! Dit-elle en s’amusant à pincer les tétons de Mélo, ce qui lui provoque quelques plaintes.

Après cela, Marie lui tire ses longs cheveux en arrière pour la faire cambrer au maximum:

-Aller, cambre toi ma belle jument! Mmmm… c’est plutôt pas mal! Le spectacle la satisfait : Mélo est toute cambrée, faisant ressortir sa petite poitrine et son petit cul. Ce dessin est sublimé par les longues jambes gainé des bas noirs assortis du porte-jarretelles.

Alors, bien cambrée, Mélo reçoit quelques claques sur ses fesses, qui deviennent vite rouges. Marie a alors idée de lui placer le plug afin de lui préparer le cul. Elle lui écarte bien son petit cul, et commence, à sec, la pénétration. Mélo débout, jambes écartées, lance un hurlement étouffé sous la douleur. Elle tape des pieds, mais Marie est déterminée quand à faire souffrir la concurrence. Après quelques minutes, le petit trou de Mélo est rempli par le gros plug. Son maquillage a coulé, et elle n’est pas au bout de sa peine!

Marie enlève son trench dévoilant sa tenue. Elle propose alors à Mélo de lui enlever le string, mais sous condition de ne pas crier, sinon le plug pourrait faire quelques douloureux vas et viens… Elle accepte.

-Mais pourquoi tu me fais ça?

-A ton avis? Peut être que c’est à cause de Steve? Non?

-Tu es avec?

-Exact, et maintenant à toi subir!

En disant ça, Marie lui montre ses bottes, et oblige Mélo à bien les lécher. Elle se met à quatre pattes, et obéi. Marie, avec l’autre jambe, lui donne des petits coups de pieds sur le cul de Mélo en visant sa vulve et le plug. Cela à pour effet de faire échapper quelques petits cris. Puis maintenant que Mélo est complément soumise et humiliée, Marie passe à la seconde phase. Elle prend Mélo par les cheveux pour la conduire au niveau de la cuvette d’un des WC, se munie du gode-ceinture, et la prend comme une pute en levrette.

Mélo comme à gémir sous les coups de reins de Marie. Elle s’aperçoit que le gode est long et large, ce qui la fait haleter. Ses longues jambes gainées par les bas sont bien écartées. Marie, qui la prend par dessus, fait en sorte de bien taper au fond du vagin de Mélo, comme pour la transpercer. Les talons des bottes claquent sur le Esenyurt Escort carrelage. Les petits seins de Mélo s’agitent sous les coups de butoir, ils sont bien dressés, ce qui n’échappe pas à Marie qui les griffe avec ses ongles. Marie projette alors la tête de Mélo dans la cuvette des WC, puis lui rattrape ses cheveux trempés afin de la cambrer une nouvelle fois.

Après ce premier traitement, Marie reprend Mélo par les cheveux en la faisant valser à coté de la vasque. Elle la fait mettre debout, retire le plug, ce qui à pour effet de la faire gueuler, et enfonce le gode noir dans son cul.

-Oh non, ne me prend par là avec ça stp! Mon petit trou ne va pas le supporter!

-Chut chut chut ma grande jument! Tu vas tout supporter oui, même si tu vas plus pouvoir t’assoir pendant un bon moment hihihhihi!

-Oh stp… Han… Ça fait mal… mon cul va être complétement explosé!

-C’est le but salope!

Marie encule Mélo très fort, mais au bout d’un moment celle-ci commence à sentir une vague de plaisir à ce faire démolir le cul. Ses petits seins, griffés, sont encore maltraités par les mains de Marie qui cisaillent du bout des ongles les tétons. Puis c’est au tour de son clito d’être pincé.

-Oh mais qu’est ce que tu me fais là?!

-T’aime ça petite putain?

-Hang…. Oui! Tu me rend folle!!! Ahhhh je jouiissssss!!!!!

Mélo avait joui de ce traitement, mais son calvaire n’est pas fini. Maintenant elle doit à son tour faire jouir Marie. Celle-ci s’assoit directement sur le visage de Mélo, et lui demande de lui rendre son petit cul tout propre. Alors Mélo sort timidement sa langue et parcourt l’intimité de Marie. Elle passe sur toutes les zones sensibles, en n’oubliant pas le clito. Elle se surprend même à aimer ça!

Marie de son coté, doigte la chatte de Mélo, mais avec trois, puis quatre doigts. Celle-ci mouille tellement, que la main entière de Marie est gobée par le minou! Marie tourne sa main à l’intérieur en faisant des vas et viens.

Marie décide d’humilier encore plus sa victime. Elle reprend Mélo par ses cheveux et la place assise sur les WC.

-C’est pas très joli tout ces vilains poils pour une salope comme toi! Je vais bien m’amuser à raser tout ça!

-Oh non stp Marie, ne me fais pas ça! J’aime bien mon minou tout poilu…

-Ttttt! Pas d’histoire! Dit Marie en étalant du savon sur la chatte encore dilatée de Mélo. Munie de la lame de son canif, Marie s’affaire à rendre imberbe Mélo. Cette garce passe très près du clito, si bien que Mélo prend peur et ne bouge plus.

-Attention!

-Ne t’inquiète pas, et si je fais une fausse manip’ , tu pourra toujours jouir du cul comme tu viens de le faire!

Marie, après avoir fait cette dernière crasse à Mélo, rassemble ses affaires et lui demande son numéro de chambre.

-Le numéro 69, pourquoi?

-Tu verra bien tout-à-l’heure…

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Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 12

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Amateur

Chapitre 12 – Les marcheuses de l’ombre.

Acte 1 – Toutes les saveurs d’un contrat!

Les dernières semaines ont été plutôt calmes, tant dans ma vie sociale normale que dans cette relation ambiguë avec Paul. Une certaine routine s’était installée pour celle-ci, mais sans vraiment parler de monotonie. Un texto aux doux mots le vendredi midi, une petite boule au ventre toujours présente en le découvrant et qui parfois ne me quitte pas de la journée. Une bonne dose de sport le samedi matin pour tenter de me détendre en vue de ce qui m’attend, un entretien corporel, et de mon sexe en particulier, très attentionné, un repas très léger, car j’ai souvent encore l’estomac noué, une tenue sexy pour m’y présenter et un “bonjour Mr” qui entame mon après-midi à ses côtés. Comme vous pouvez le constater, ce train-train pourrait presque manquer d’un peu de saveur et d’un brin de folie si ce n’était à chaque fois pour mettre mon corps à sa disposition!

J’ai cependant pu exprimer mes talents de “testeuse” récemment. J’ai rédigé, plus par obligation que par envie (!), un nouvel article pour le blog du sexshop dimanche dernier. Pour un œuf vibro celui-ci, que j’ai été récupéré au magasin. J’ai n’ai pas pu échapper au test in situ forcément, Paul ne l’imaginait pas autrement. Une fin d’après-midi agréable en milieu de semaine fut l’occasion pour aller faire un tour en ville en compagnie de ce nouveau jouet. Cela m’a beaucoup moins dérangé que prévu finalement. J’avais la main sur la télécommande et je pouvais le faire fonctionner à mon rythme et éviter les situations embarrassantes! J’avoue que, passé le stress des premiers pas, j’y ai pris du plaisir! Un petit reportage photo a aussi été de mise, pour Paul évidemment pas pour le blog celui-là. J’ai donc visité quelques toilettes pour le réaliser!

Je l’ai trouvé un peu moins efficace que celui porté à l’église, moins de diversité dans les vibrations et légèrement plus bruyant. Je conseille d’ailleurs à ce sujet de choisir une chaise plutôt rembourrée. Lors de ma petite pause au café j’ai vite quitté celle en bois pour me rabattre sur la banquette, j’avais l’impression qu’elle se mettait à l’unisson de mon sexe à chaque reprise des vibrations. Mais je suis en train de vous refaire mon article! Je lui ai quand même attribué un 7/10, c’était bien payé, mais il a réussi à me faire jouir! J’ai cependant attendu d’être revenu dans ma voiture pour me lâcher après ces deux heures de balade. Je ne souhaitais pas faire profiter de mes petits coups de bassin incontrôlables à quelques voyeurs attentifs!

Mais revenons à ce week-end qui s’annonce déjà en partie frustrant. J’ai dû décliner l’invitation de Lise à sa soirée papotage. Elle n’a pas pu s’empêcher de me rappeler suite à mon texto pour tenter discrètement de récolter quelques infos sur mon probable amant du soir. Leur enquête piétine, et je les sens parfois un peu agacée, mais ces Sherlock Holmes de mes fresques libidineuses ne lâchent rien, tous les moyens sont bons pour m’asticoter et tenter de récolter des indices. Il faut que je reste attentive, j’envisage même de les lancer sur quelques pistes en forme d’impasse!

—–

– Lucie.

– Oui, qu’est-ce qu’il y a Elise, marmonné-je les yeux rivés sur mon écran.

– Je te laisse fermer boutique, il faut que j’y aille, Marc vient me chercher pour passer la soirée en ville.

Accaparée par mon sprint final pour clôturer un dossier afin de pouvoir partir en week-end dans les horaires légalement prévus, je ne l’avais pas vu se préparer à décamper. Elle se l’est joué discrète la bougresse.

– Ah, mais non, c’est moi qui ai besoin de quitter tôt …

Je n’ai pas le temps de terminer ma phrase qu’elle s’est déjà carapatée dans le couloir pour ne pas avoir à négocier cet arrangement unilatéral. À la salope. Ne vous offusquez pas on s’entend très bien et on est très libre entre nous!

– Je te revaudrai ça la semaine prochaine, me crie-t-elle du fin fond d’un couloir, bon week-end!!

Bon plus la peine de m’exciter sur ce fichu document, j’en ai encore pour deux bonnes heures avant de pouvoir m’esbigner à mon tour du boulot. J’en profite pour m’avancer un peu, je vais passer le week-end entier chez Paul, ce qui est rarement de tout repos, et les lundis suivants sont en général cotonneux!

J’envoie, juste avant de partir, deux ou trois textos aux copines pour leur laisser mes commentaires sur le film thématique de leur soirée, histoire d’y être un peu présente! J’ai décidé de ne pas repasser par chez moi pour changer de tenue afin de ne pas accentuer un retard déjà assez conséquent. Je m’excuserai de ce fagotage mal venu qu’il trouvera certainement indigne.

—–

Il ne m’en veut pas, la confiance s’est installée sur ces petits inconvénients de la vie courante. J’ai quand même passé ma demi-heure de méditation dans une position inconfortable. Le jean aux chevilles, la culotte dans la bouche, le chemisier entre ouvert laissant apparaître Escort Esenyurt mes seins, juste sortis de leur bonnet que j’ai dû tenir légèrement en tension par mes anneaux!

—–

– Tu connais le quartier St Sauveur? me demande-t-il lors du repas

– Oui, bien sûr Mr, il est suffisamment notable pour ne pas en avoir entendu parler. Cela reste, je crois, l’un des quartiers les plus chauds de la ville en matière de prostitution.

– En effet, il fait partie des trois ou quatre lieux privilégiés par les amateurs de relation tarifée. En semaine il reste assez calme, fréquenté essentiellement par des habitués, le samedi par contre l’animation est y vraiment intense et c’est un véritable spectacle pour qui sait apprécier ce style de ballet.

– Je vois que vous en parlez en connaisseur!

– Il ne m’est pas inconnu, je le fréquente rarement, mais il peut parfois être l’occasion d’aller y traîner un peu son vague à l’âme. Et toi tu le connais?

– Non du tout, je ne suis pas attirée par les femmes, rigolé-je.

– Cela te dirait d’aller découvrir ce week-end d’un peu plus près le l’univers des avaleuses de bitume?

– Comment ça, qu’entendez-vous exactement par “découvrir de plus prêt”? l’interrogé-je quelque peu inquiète par la tournure que prennent les événements.

– Tous simplement t’essayer au plus vieux métier du monde. Quoi de plus beau que d’aller offrir ses charmes aux bourses du quidam de passage!

– J’ai bien quelques idées en tête, mais la liste serait un peu longue et je ne veux pas vous imposer cette perte de temps. Côté bourse, je ne viderai ni l’une, ni l’autre! Vous vous rendez réellement compte de ce que vous êtes en train de me demander? C’est dégouttant, humiliant, rabaissant, dégradant … et puis on ne sait pas sur qui on peut tomber … et puis … ça y est je m’emballe et lui fais profiter d’une litanie d’argumentaires plus imparables les uns que les autres.

– Dommage, je te pensai plus curieuse, je suis sûr que tu aurais eu un véritable succès, mais je n’insiste pas.

Le repas se termine tranquillement, je m’attendais à le voir revenir à la charge, ce n’est pas dans ses habitudes de baisser pavillon aussi rapidement quand il a une idée en tête. Aurai-je touché un point sensible? Trouvé un bon mot? Progressé dans mes talents de négociatrice? Il va falloir que je me la repasse en boucle cette tirade pour dénicher ce qui a pu faire mouche, ça peut resservir!

En revenant dans le salon, je suis intriguée par la page web affichée en grand sur son portable. Trois photos floutées de ma pomme habillée tournent en boucle sur la page d’accueil d’un site au titre des plus évocateur.

– Tu aimes ma présentation et le choix des images? La charte graphique m’a été conseillée par Mike. Attends, je te montre ce que l’on peut contempler ensuite lorsque l’on est membre du site.

La suite est d’une autre teneur, après avoir inscrit son mot de passe, la page propose de nombreux onglets contenant des reportages photo des diverses situations vécues en sa compagnie. Le premier qu’il me fait visiter est celui me renvoie à notre toute première rencontre, celle où j’étais tout ou en partie droguée. Les positions sont obscènes et mon visage s’affiche dans toute sa splendeur sur l’écran!

Abasourdie par ce que je viens de voir je me retrouve sans m’en rendre compte affaler dans un des fauteuils alors que mes fesses n’ont pas le droit d’y goûter. Il ne relève pas cette infraction inopportune, le moment est suffisamment tortueux et compliqué pour en rajouter.

Le site est simple, mais bien réalisé, et surtout déjà copieusement fourni! On m’y voit dans diverses situations scabreuses, “Lucie avec les voyeurs”, “Lucie rencontre les camionneurs”, “Lucie découvre les sdf”, … “Lucie aime les animaux” … une véritable version pour adulte des Martine à la plage!

– Je n’ai pour l’instant accepté aucun abonné à admirer ton book de femelle, mais il suffirait de peu de pub pour faire un joli score en matière de visiteur. J’hésite encore à faire payer, tu en penses quoi?

Je ne sais pas trop quoi lui répondre, en partie incommoder de me voir dans toutes ses attitudes plus lubriques, libidineuses et pornographiques les unes que les autres.

– Vous vous étiez engagé à ne diffuser aucune photo ou vidéo!

– En effet, et si tu respectes le tien, celui de ton contrat, il n’y a aucune raison pour que j’autorise l’accès au moindre de ces clichés.

Je reste sans réponse, mais il peut deviner à mon expression qu’il vient de gagner la manche en douceur.

– Ta tenue est sur ton lit … un maquillage un peu appuyé serait de bon ton … et pas de sous-vêtement naturellement!

Comme si cela allait de soi! Vous vous souvenez de cette robe moulante caraco d’un rouge assez vif à fines bretelles et aux dimensions minimalistes acquise lors de la période de noël? Et bien elle est là, sur mon lit, avec les restes de ma tenue. Enfin tenue est un bien grand mot je trouve au regard Esenyurt Escort Bayan de ce que je vais avoir sur le dos puisque cela se résume à des bas résille noirs autofixants à mailles assez larges, une paire de Loubou aux talons démesurés et une de boucles d’oreilles créoles d’une bonne dizaine de centimètres de diamètre!

—–

Paul ne veut pas gâcher leur relation et risquer de mettre Lucie dans une situation délicate. Un porte à faux qui, sur le web, serait impossible à contrôler. Il souhaite maîtriser au mieux les éléments du jeu. Le site fonctionne donc en interne sur son ordinateur, mais ça, elle ne le sait pas et l’effet est immédiat pour lui mettre la pression.

Il n’est pas mécontent d’ailleurs de sa trouvaille. Il l’a réalisé presque au début de leur histoire et l’a complété au gré des évolutions. Il imaginait bien qu’un jour il serait obligé de la motiver à nouveau pour passer certaines étapes un peu plus délicates. Il ne sait pas encore vraiment si elle est prête à affronter celle-ci. Son impatience pourrait parfois lui jouer des tours, mais il a décelé chez elle tellement de prédispositions qu’il ne résiste pas à la mettre en situation!

—–

Acte 2 – Je n’avale pas!

Nous atterrissons sur un immense parking qui borde le fleuve où de rares voitures sont venues y passer la nuit. C’est en journée qu’il est surtout utilisé, sa proximité du centre-ville et les quatre lignes de bus qui le desservent en font un lieu très prisé pour tous ceux qui veulent éviter les indigestions d’une circulation assez dense le matin. Nous nous garons presque au bord de la berge, contre la partie droite d’un des piliers du pont qui traverse ce large cours d’eau.

– Comme tu peux le constater, l’endroit est discret. De ce côté, avec le pont, il n’y aucune habitation à proximité. Nous sommes juste visibles de la route, mais vu les cinquante mètres qui nous en séparent, il y a peu de risque de nuit d’y avoir quelques regards indiscrets. Tu vas donc être tranquille pour y bosser!

Il m’annonce ça comme s’il s’attendait à ce que je saute de joie en entendant la nouvelle! J’espère qu’il ne comptait pas dégotter un endroit romantique où amener sa prochaine conquête pour une soirée au clair de lune, car c’est raté! Seuls les légers clapotis du fleuve donnent un peu de vie à ce lieu glauque.

– Je ne vais pas attirer grand monde si je reste ici, ironisé-je, même si cela m’arrangeait!

– Mon non, quelle idiote, tu diras à tes clients de venir se garer là. Je vais te montrer où tu vas t’installer pour appâter le chaland. Mais avant il faut que je précise quand même le programme de ta soirée.

– À bon, parce qu’il y a des suppléments à ce que vous m’avez annoncé? Je pensais pourtant en avoir eu un aperçu assez complet!

– Ce soir, comme tu débutes, tu ne leur proposeras que ta bouche et pour un prix modique cela s’entend. Cinq euros, c’est un tarif qui me semble adapté à une novice. Ils seront comme ça plus alléchés pour essayer tes services.

– À cinq euros, ce n’est pas la pute que je fais, mais l’aumône! m’énervé-je inutilement de voir brader mes faveurs, car je n’en ai rien à faire somme toute du montant. Il ne change en rien l’acte dégradant, mais il me solde et ça m’exaspère, m’agace, m’énerve. J’ai l’impression d’être déconsidérée!! Je ne sais pas sur qui je vais tomber, ou sur quoi surtout. Je n’ai pas envie de sucer des queues dégueulasses ou mal entretenues, je deviens difficile avec l’expérience! lui fis-je remarquer.

– Ne fais pas cette tête renfrognée! Il me plaît de voir que tu prends ça à cœur, je ne m’y m’attendais pas! Demain tu pourras annoncer fièrement le barème d’une pute confirmée, mais il faut bien débuter! Tu vas pratiquer sous emballage ce soir, ton sac a tout le nécessaire.

Je n’ai pas le temps de lui justifier les raisons de ma colère à ses mots ni d’exprimer ma surprise en apprenant qu’il y aurait une seconde soirée de programmée qu’il enchaîne.

– Je t’ai imaginé un petit challenge pour cette première soirée, j’ai eu peur que tu t’ennuies. Comme en plus je te sais attachée à la sauvegarde de l’environnement, il devrait te plaire! Me précise-t-il en me montrant une petite bouteille d’eau vide. Avec ça tu pourras récupérer les capotes de tes clients et leur éviter une triste fin dans la nature.

Pourquoi pas, mais ce soir mes préoccupations sont bien loin d’être aux petits soins de la planète. C’est de ma notoriété dont il est question, un peu trop mise en lumière à mon goût! Il serait mal venu de croiser une connaissance sur ce lieu de débauche, j’aurai, aussi peu vêtue, quelques difficultés à leur vendre une balade digestive à la fraîche! Je ne pense pas particulièrement à mes amies, elles sont en pleine soirée débrief sur le dernier Tarantino “Once upon a time in Hollywood”, vu cette semaine … que je rate!!! Mais plutôt à un ou deux collègues de boulot que je verrais bien traîner leurs guêtres dans le coin à Esenyurt Escort la recherche d’une douce compagnie! Même si, comme le disant Paul en venant à l’écho de mes inquiétudes, qui détaille réellement les prostitués sur le bord de la route quand on n’est pas intéressé? Ma tenue, qui plus est, me permettra de me fondre dans la masse et de passer inaperçue à qui n’a pas l’œil aguerri!

– Quand elle sera remplie, tu auras fini ta soirée!

Je le regarde, pantoise, médusée à l’écoute de son annonce. Puis je scrute la bouteille et me mets à imaginer combien elle peut en contenir. J’ai beaucoup de mal à évaluer. Devant la foule de points d’interrogation qui parcoure mon visage, il me vient en aide.

– Une petite quinzaine devrait suffire, comme tu peux le constater, je pense à ton bonheur!

– Mais ça va me prendre des plombes!

– À toi de te montrer motivée, incite-les à repasser un peu plus tard pour une seconde tournée, le tarif peut les y aider, propose-leur d’inviter des amis à venir profiter de ta bouche experte, sois imaginative, fais ta promo!

Le chiffre m’effraie, même à cinq euros je vais y passer la nuit! Je n’arrive plus à me souvenir combien j’en avais sucé au ciné, elles s’étaient enchaînées, c’était plus facile, là je vais devoir les attendre voir les attirer! J’ai l’esprit qui fait des nœuds à l’idée d’en sucer autant. Bien sûr, si je regarde le côté positif, avec les préservatifs je n’aurai pas à avaler leur sperme, ce qui n’est pas négligeable! Mais ce n’est quand même pas cette pensée qui me met la fleur au fusil pour aller m’atteler à ma tâche!

– Et bien entendu, ce n’est pas parce que tu es payé que cela doit t’empêcher de te caresser quand tu suces.

Comme si cela ne suffisait pas de m’humilier à faire la pute. Une prostituée qui se donne du plaisir ça ressemble quand même beaucoup à une nympho, non? Je n’arrive même pas à trouver quoi lui répondre ou simplement à négocier la quantité. Je me ramollis, il va falloir que je me reprenne.

– N’oublie pas que le client est roi, que tu dois lui parler avec respect, le vouvoyer …

Il est en train de me faire la liste des savoirs vivre d’une bonne avaleuse de bitume! Comme un mac à sa nouvelle gagneuse avant qu’elle ne fasse le grand saut! J’ai la tête ailleurs, encore fixée sur le chiffre annoncé, sur cette bouteille qui m’obsède. Comment vais-je leur présenter ça en récupérant leur préservatif à mes “clients”? J’évoque une collection secrète de ces saveurs épicées? Le besoin de ramener chez moi des souvenirs de cette escapade nocturne? L’envie de garder trace de mes premiers pas sur le trottoir? Ou je me la joue Elisabeth Borne … j’y connais rien, mais j’essaie quand même de sauver la planète!!

J’avoue le laisser seul à ses élucubrations, perdue dans mes pensées et ne reprends pied que quand il arrête à nouveau la voiture à 150 mètres du pont, en bordure de trottoir. A priori c’est ici que j’officie! Il descend m’ouvrir galamment la portière, m’annonce qu’il va boire un verre avec un ami, m’informe que celui-ci passera sûrement profiter de mes tarifs avantageux et me souhaite bon courage comme un compagnon qui vient de vous déposer aux portes du bureau de votre nouveau job!

Je me sens perdu en le voyant s’éloigner. Je me retrouve seule avec mon sac à main remplie de capotes et ma bouteille étalon, désorientée. Une envie de quitter ce lieu de luxure me démange, mais pour aller où, je n’ai pas un rond. Il me faudrait quelques heures de marche pour rentrer chez moi, c’est jouable … qu’elle conne mes clés sont restées chez lui, comme le reste d’ailleurs et puis ça ne résoudrait pas le problème, ça le déplacerait simplement! Je gamberge à toute vitesse, ça tourne en rond et aucune porte de sortie ne s’offre à moi.

La soirée est frisquette et je pointe depuis que je suis arrivée, il faut dire aussi que je n’ai pas grand-chose sur les miches. La fine étoffe de ma robe moule parfaitement mes seins et exhibe à outrance mes tétons qui dardent en permanence. Je sens par moment le vent s’engouffrer entre mes cuisses et venir caresser mon sexe qui exceptionnellement se balade à découvert. J’ai du mal avec cette nouvelle sensation, elle me donne l’impression d’être entièrement nue, enfin c’est un détail presque futile devant le challenge qui m’attend!

Je commence à faire les cent pas sur le trottoir pour me réchauffer un peu. Je vais en profiter pour finir de vous décrire mon lieu de villégiature. Peu de concurrence dans le secteur, seule une autre fille à une centaine de mètres vient d’arriver pour gagner son pain de fesse. Je suis surprise d’ailleurs de ce manque de monde, le lieu s’y prête pourtant bien. Elles ont peut-être un autre fief les marcheuses le vendredi soir.

La grande route où je me trouve longe le parking et passe sous les prémices du pont. La bretelle d’accès de celui-ci arrive à un rond-point situé à seulement quelques encablures de ma position. Je suis inratable pour tous ceux qui recherchent une maîtresse de courte durée. Un peu plus à droite quelques maisons sont éclairées et donnent un peu plus de chaleur que les seuls réverbères de la rue. Le quartier est calme, sans être triste, mais cet immense parking vide lui confère un air quelque peu abandonné.

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Je restais quelque peu abasourdi par le spectacle auquel je venais d’assister. Autour de moi les kleenex dans lesquels je m’étais masturbé en regardant mon épouse se faire prendre par tous les trous et y prendre apparemment beaucoup de plaisir. Je restais un long moment sur ma chaise, à regarder l’écran d’ordinateur montrant la pièce vide qui avait été le théâtre de sa débauche, puis je m’endormis. Il devait être aux environ de minuit.

Je fus réveillé par mon téléphone portable. Avant de décrocher, je regardais l’heure qu’il indiquait, 6h45. C’était le voisin :

– Je te réveille?

– Heu, oui!

– Hé bien moi je vais pas tarder à aller me coucher, mais avant si tu veux je peux te raconter.

– Ah, oui, je veux bien!

– D’abord est-ce que tu as apprécié le spectacle hier soir?

– Oui!

– Tu as vu comme on l’a faite couiner ta salope de femme?

– Oui…

– Hé bien écoute la suite :

« Tout d’abord mon pote grosse bite et moi on avait un peu besoin de se reposer après l’avoir baisé tout ce temps dans tous les trous. J’avais le gland tout rouge de l’avoir enculée aussi fort, elle devait pas avoir trop l’habitude car elle était bien serrée. Alors on l’a amené chez l’épicier du village, tu sais le vieux Georges. A son âge il a plus trop l’occasion de baiser, alors un morceau comme ta femme…, cela lui a bien plu. Quand il nous a vu arriver, il comprenait pas bien ce qui se passait. C’est sûr, il avait déjà vu ta femme venir faire les courses chez lui, elle qui râlait toujours que les prix sont trop chers, mais il pensait pas qu’il pourrait la baiser un jour. Mais quand je lui ai dit que s’il effaçait mon ardoise il pourrait faire tout ce qu’il voulait, il a pas hésité longtemps. Ta femme était dans un état second, il faut dire qu’on lui avait fait finir la bouteille de Whisky dans la voiture. Il a commencé par lui attraper les nibards et surtout ses gros bouts… Ta femme se laissait faire sans réagir. Puis il l’a fait se mettre à quatre pattes et lui lécher la bite, les couilles et le trou du cul. Il aimait bien ça le vieux Georges se faire lécher le trou du cul par cette pute. Elle avait l’air d’aimer ça aussi ta femme, elle avait à nouveau la chatte mouillée. En voyant ça Roger a pas pu se retenir et l’a enfilé encore une fois. Elle a tout de suite joui, c’est vraiment une folle de la bite. Roger l’a pilonnée un peu puis il a laissé sa place à Georges… Mais le pauvre vieux n’est pas aussi bien monté et il flottait dans sa chatte. Alors il l’a enculée d’un coup, mais faut croire que ta femme aime ça aussi, elle s’est remise à jouir comme une truie en contractant son cul. Le vieux n’a pas résisté et lui a envoyé la purée en la traitant de tous les noms.

Comme je lui demandais s’il avait pas une autre bouteille de Whisky pour remplacer celle qui était finie, il m’a dit OK mais qu’il fallait qu’il récupère l’ancienne pour la consigne. En la prenant, il dit qu’il la trouvait trop propre et il commença à l’enfoncer dans la chatte de ta femme, qui était restée à 4 pattes. Il la faisait tourner en l’enfonçant et cette chienne poussait des petits cris de douleur, mais il s’en foutait. Il réussi à la faire rentrer à moitié, puis il la laissa plantée dans sa chatte et il alla dans sa réserve en chercher une neuve, et son appareil photo. Il nous offrit la bouteille à condition de pouvoir faire toutes les photos qu’il voulait. Et comme on n’avait pas de sous, on a bien sur accepté! Une fois qu’il l’eut bien mitraillée, il se branla une dernière fois dans sa bouche et quand il l’eut inondée, il retira la bouteille et on a pu partir. Escort Esenyurt »

Pendant qu’il me racontait ça, je ne pouvais pas m’empêcher d’imaginer le vieux Georges en train d’humilier mon épouse, lui qui semblait avoir 70 ans et un problème avec l’hygiène… J’aurais aimé pouvoir être là pour le voir et voir aussi la jouissance qu’il a pu lui amener… Il me tardait maintenant d’entendre la suite du récit!

– Pour la suite, je suis fatigué, alors tu vas te connecter sur le site suivant, je vais y télécharger la vidéo. De mon côté, je vais me coucher, ta salope m’a vidé!

Il me donna l’adresse d’un site de partage de gros fichiers sur lequel je me connectais immédiatement, pendant qu’il insérait une carte dans son ordinateur. Il partit se coucher en me laissant dans l’attente que le fichier se télécharge. Cette attente me parut durer des heures alors qu’elle ne dut pas s’étendre sur plus de 2 à 3 minutes. J’étais à nouveau dans un état d’excitation avancé! Et puis la petite flèche m’indiquant que le fichier pouvait commencer à être lu apparut, et c’est fébrilement que je cliquais dessus.

L’image était de bonne qualité, voire même de très bonne qualité étant donné que c’était de nuit et dans la voiture. Ma femme était assise à l’arrière en compagnie du cantonnier, pendant que le voisin filmait tout en conduisant lentement. Il la forçait encore à boire au goulot de la bouteille tout en lui enfonçant dans le sexe un objet que j’identifiais comme un concombre, qu’il avait du prendre chez l’épicier. Celui-ci de bonne taille semblait maintenant pénétrer dans son intimité sans aucun problème après les assauts successifs qu’elle avait subit. La voiture ralentit et la caméra se déplaça pour me montrer l’endroit où la voiture arrivait. Il s’agissait d’un camp de caravanes, que j’avais vu s’installer il y a 3 semaines dans une commune voisine. Le voisin descendit de la voiture tout en continuant à filmer et s’approcha d’une des caravanes. Des chiens aboyaient au loin mais ne semblaient pas inquiéter outre mesure le porteur de la caméra. Il frappa à la porte et un gitan d’une cinquantaine d’années, l’air mauvais et sale ouvrit.

– Salut

– Salut

– Je t’apporte ce que je t’avais promis, tu as l’argent?

– Montre-moi la marchandise d’abord

– OK

Le voisin fit un signe au cantonnier, qui ouvrit la portière et fit descendre ma femme. Sa tenue était vraiment indécente et des tâches de sperme souillaient sa veste de tailleur et ses bas. Quand elle se redressait, on voyait la naissance de son sexe. Le gitan s’approcha, en fit le tour comme on regarde une bête au marché, ouvrit la veste pour sortir les seins de ma femme, les soupesa, tournant les tétons entre ses doigts, puis descendit vers son sexe et lui mis immédiatement un doigt au plus profond. Mon épouse ne réagit absolument pas. Il ressortit son doigt souillé de semence, et l’essuyant sur le visage de ma femme déclara :

– Il me semble qu’elle a déjà bien servi

– On l’a juste préparé pour que ce soit plus facile pour vous.

– Bon d’accord, rappelle moi les conditions

– 500€ pour en faire ce que vous voulez pendant 2 heures, à condition que je puisse tout filmer

– Ok pour 500€, mais 3 heures et aucune limite

– Ok, fais voir le fric

Le gitan sortit une liasse de billets de 20€ et en compta 25. Il les tendit au voisin qui les empocha. Il prit ensuite ma femme par le bras et l’emmena vers une remise qui semblait abandonnée au centre du campement. Ma femme titubait, certainement à cause de la forte quantité d’alcool qu’elle avait dû ingurgiter. Tout Esenyurt Escort Bayan en marchant, il appela plusieurs personnes qui sortirent de différentes caravanes. A l’intérieur de la remise, il y avait une table, un matelas à terre et quelques chaises. Et à ma grande surprise de nombreux projecteurs et 3 caméras qui semblaient être du matériel de professionnel.

– Tu vois, on a tout installé ici pour faire de bons films pornos à vendre sous le manteau

– Vous en faites beaucoup?

– C’est pas facile de trouver les bonnes femelles pour le genre de porno qu’on fait, enfin souvent elles sont moins belles que celle là! Bon elle m’a chauffé un peu alors on va commencer par se la faire normalement, entre nous.

Le voisin fit faire un traveling à la caméra et il montra qu’il y avait maintenant dans la remise une dizaine de gitans, d’âges différents. Celui qui de toute évidence était le chef fit mettre ma femme à quatre pates et sortit son sexe, de taille moyen mais déjà bien dur. Sans préliminaire il s’enfonça dans l’intimité de mon épouse qui n’offrit aucune résistance. Un autre vint se positionner devant et lui donna ses testicules à lécher, en lui tirant la tête en arrière par les cheveux. Quand elles furent bien luisantes de salive, il enfourna son sexe au plus profond de sa gorge et lui donna de violents coups de reins, utilisant cet orifice comme un sexe. Le chef se retira brusquement et lui éjacula sur les fesses.

– Bon les gars à vous, mais vous avez vingt minutes, après il faut passer aux choses sérieuses.

Ce fut alors la curée, les hommes se jetant sur le premier trou de libre pour le pénétrer sauvagement. Le voisin filmait toujours, et il essayait de prendre le maximum de gros plans. Je pus donc facilement m’apercevoir qu’à un moment, ma tendre moitié avait deux bites dans le sexe pendant qu’elle en suçait une troisième. Et ce n’était pas fini… Plusieurs la sodomisèrent à la suite, le voisin faisant des gros plans de son orifice ouvert débordant de sperme. La scène avait une bestialité monstre, les hommes se succédant les uns aux autres quand ils avaient joui soit dans un des trous, soit sur le corps de ma femme. Celle-ci, quand sa bouche était vide, poussait des cris de plaisir et inonda deux fois le matelas de sa jouissance féminine. Quand ils eurent terminé, une demi-heure après le début, ils la laissèrent pantelante, les fesses en l’air et la tête dans le matelas, son anus et son sexe dégoulinant de liquide séminal, épuisée.

Le voisin profita de cette accalmie pour montrer les trois caméras tournant en continue.

Et puis la caméra se déplaça vers l’entrée de la remise et je vis des hommes emmenant une meute de chiens, de type Doberman et Rotweiller. Il y en avait cinq. Leurs pattes avant étaient enveloppées de bandes. Deux hommes saisirent mon épouse par les aisselles et l’emmenèrent sur la table. Ils la positionnèrent la poitrine collée au dessus de la table, les bras attachés aux pieds avants et les jambes aux pieds arrières, de sorte qu’elle présentait sa croupe, les jambes écartées.

Les hommes emmenèrent le premier chien, qui était un molosse d’au moins 45kg. Il commença à renifler la vulve et à laper les coulées de sperme et de cyprine mélangés qui s’en dégageaient. Puis le chien se souleva, posa ses pattes sur la table et commença à donner des petits coups de hanche dans le vide. Son sexe, qui commençait à sortir du fourreau, était pointu et rouge foncé, long et pas très épais. Un des hommes s’en saisit et le présenta à l’entrée de l’orifice vaginal. Le coup de rein fût plus violent et le sexe canin Esenyurt Escort pénétra d’un coup celui de ma femme. Le voisin s’était approché pour pouvoir filmer en gros plan. On pouvait voir le membre de l’animal se mettre à gonfler et d’un coup deux grosses boules se former à l’intérieur des lèvres de mon épouse. Elles semblaient ne pas s’arrêter de grossir et atteignirent un diamètre d’une dizaine de centimètres, distendant les chairs d’une manière obscène. Ma femme poussait de grands râles qu’on pouvait facilement assimiler à de la jouissance. La bouche grande ouverte, elle semblait chercher de l’air pour pouvoir mieux crier. Le chien s’immobilisa et resta collé pendant quelques minutes. Puis il se retira dans un grand bruit de succion et des gitans recueillirent dans un vase l’abondant liquide qui s’échappa du sexe de mon épouse. Un autre chien remplaça le premier, mais cette fois son sexe fût guidé dans l’anus de ma femme, qui, à ma grande surprise, réussit lui aussi à se distendre quand le nœud se mit à gonfler. Là encore la semence animale fut récupérée dans le vase. Les 3 derniers chiens se succédèrent, soit dans son vagin, soit dans son anus, et à chaque fois elle poussa des râles de jouissance, inondant deux fois d’une éjaculation féminine le vase positionné sous elle. Quand le cinquième chien eut monté mon épouse, j’ai cru que son humiliation était finie, quand, tournant lentement la caméra, le voisin me montra l’arrivée d’un âne.

Les gitans le guidèrent vers le côté de la table où se trouvait la tête de ma femme. Ils commencèrent à lui caresser le sexe qui se mit à grossir de manière démesurée, longue tige dont le bout triangulaire était percé d’un trou. Ils l’approchèrent alors de la bouche pulpeuse de mon épouse pour le lui introduire. Elle se laissa faire et s’appliqua même à mettre de petits coups de langues. Puis ils amenèrent la bête derrière elle et, lui posant les pattes sur la table, la laissèrent s’accoupler bestialement avec ma femme, à chaque coup de croupe le bout du sexe animal heurtant sa matrice et lui provoquant des orgasmes à répétition. Le coït fut brutal, intense et court. Quand la bête se retira, un flot ininterrompu de semence s’échappa du sexe béant de ma femme, semence qui fut elle aussi récupérée dans le vase.

Puis les hommes se regroupèrent autour du vase et se masturbèrent tous un à un dedans.

Ma femme fut alors retournée, allongée sur le dos sur la table et ils versèrent le vase rempli de sperme sur son corps, en insistant sur son visage, ses cheveux et sa bouche, l’obligeant à en avaler une bonne quantité. Pour finir, en cercle autour d’elle, ils lui urinèrent dessus, poussant l’humiliation jusqu’au bout.

Mon épouse, épuisée, groggie, dans un état proche du coma à cause de l’abus d’alcool, de sexe et de jouissance, fut roulée dans une couverture et ramenée à la voiture. Et puis la vidéo s’arrêta.

Dans ma chambre d’hôtel, je ne s’avais plus quoi penser. Ma femme, que j’aime tendrement, venait de se faire prendre par plusieurs hommes, des chiens et un âne et ma seule réaction était une excitation insupportable. Quelques heures plus tard, quand le voisin me rappela sur mon portable, il me demanda si j’avais visionné la vidéo. Je lui répondis par l’affirmative et quand il me demanda si cela m’avait plu je ne pus que lui répondre la vérité, que cela m’avait fait jouir comme un fou. Cela le fit rire et il me dit que vu la salope que j’avais à la maison, il allait passer nous rendre visite souvent! Mais ceci est une autre histoire…

Cette histoire étant finie, je voudrais remercier toutes celles et tous ceux qui m’ont fait part de leurs commentaires et m’excuse du délai entre les différentes parutions. Bien évidemment tout ceci n’était que pure fiction et fantasmes, mais j’ai pu m’apercevoir que les miens étaient partagés par plusieurs. Au plaisir de réécrire!

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Le Club – Partie 27

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Blonde

Nous sommes dans une ville imaginaire nommée Lilleland, un groupe d’hommes riches et puissants a fondé un club très secret avec pour objectifs d’écraser toute la région sous leurs bottes et de soumettre de jeunes femmes innocentes à leur bon plaisir.

Les membres du club :

David Angel, 35 ans, riche homme d’affaire blasé qui débarque dans la région. Son arrivée semble être l’élément fondateur du club.

Le juge de Saint Servier, 65 ans, juge puissant, il est surtout l’homme politique le plus influent de toute la région. C’est surtout le produit d’une éducation chrétienne stricte qui l’a frustrée pendant toute sa vie et dont il s’est totalement libéré grâce au club.

Guillermo Diaz, 45 ans, c’est un ancien émigré espagnol devenu millionnaire en fondant des sociétés spécialisées dans les services. Il a décidé de diversifier ses affaires en achetant un bar plus que particulier où il fait travailler ses victimes.

Guillaume Uron, 29 ans, c’est un riche héritier aux tendances psychopathes. Il a participé à la ruine de Sabato Orso, l’un des hommes les plus puissants de la ville et s’est notamment emparé d’Excelsior, son hôtel de luxe. Il est aussi le propriétaire d’un bar à pute.

Jean Laroquette, 58 ans, directeur de l’école Oscar Bono, c’est le responsable de l’académie où sont scolarisés tous les enfants de la haute société de Lilleland mais aussi un pervers de la pire espèce.

Antonin Marius, 41 ans, commissaire de police, c’est le chef de la police de Lilleland qui cache un pourri de la pire espèce sous des allures d’homme intègre.

Les victimes du club :

Amandine Blenon, 37 ans, c’est la femme d’un notable reconnu qui s’est compromis dans de sales affaires d’escroqueries. Abandonnée par son mari et ses amis, elle est tombée entre les griffes d’Angel qui s’est emparé de tous ses biens et s’est installé chez elle, la transformant en esclave entraînant sa fille Laura, 18 ans, avec elle.

Christine Veron, 31 ans, éducatrice spécialisée dans un centre d’hébergement pour sans abri, victime d’un chantage de la part d’Angel, elle se retrouve obligée de céder à tous ses désirs.

Jennifer Guillot, 19 ans, jeune marginale du centre. Angel provoque sa chute et la transforme en esclave afin de piéger Anne-Marie Leo, 25 ans, assistante sociale dans ce même centre.

Sandrine Forci, 40 ans, bourgeoise, voisine d’Angel, elle a eu le malheur de défier ce dernier qui s’est vengé en la contraignant de devenir son esclave pour éviter la ruine de sa famille.

Madeleine et Sarah Bonnet, 19 ans et 18 ans, lycéennes, manipulées toutes les deux par le juge avec l’aide d’un voyou nommé Jérôme (par la suite assassiné par le juge), elles sont désormais les esclaves sexuelles du vieillard lubrique.

Théodora Lupa, 40 ans, commerçante et femme politique, elle a dû tout accepter du juge pour éviter de se retrouver condamner à une longue peine de prison au Mexique.

Muriel et Sandra Guri, 20 ans, serveuses. Filles d’un homme d’affaire, elles doivent désormais se plier à la volonté de Diaz pour rembourser les dettes de son père.

Delphine Rugol, 27 ans, fonctionnaire. Elle a perdu une énorme somme d’argent en jouant avec Diaz qui désormais l’oblige à travailler dans son bar en extra et en profite pour abuser d’elle quand il le désire.

Caroline Georges, 32 ans, ingénieure et responsable de projet au conseil régional. Diaz a découvert qu’elle est en réalité un imposteur et il se sert de ce secret pour la faire chanter.

Harmony Vega, 22 ans, ancienne responsable d’accueil d’hôtel, Uron l’a jetée à la rue et contrainte à finir par travailler comme prostituée dans son bar pour survivre.

Angelica Rubicosa, 23 ans, superviseuse à l’hôtel Excelsior. Pour sauver sa situation, cette jeune femme a d’abord dû se vendre à Diaz avant de devenir l’esclave d’Uron.

Bella Cathy, 32 ans, Lieutenant — colonel de l’armée. Uron a découvert un secret dans son passé et réussit à soumettre cette femme forte.

Sonia Ordoz, 20 ans, étudiante, fille d’un riche notable prise en train de tricher à un examen important, elle est devenue l’esclave de Laroquette pour ne pas être déshéritée par son père.

Anita Fuentes, 26 ans, professeure, réfugiée politique, Laroquette a réussi à compromettre ses chances d’obtenir un permis de séjour et désormais elle est obligée de se plier à sa volonté sous peine d’être expulsée dans son pays d’origine où elle est condamnée à mort par la dictature.

Morgane Bastier, 18 ans, lycéenne, Laroquette lui fait subir un lavage de cerveau pour en faire sa parfaite petite esclave.

Amanda-Jean Carpenter, 30 ans, policière interrégionale, victime d’un chantage de la part de Marius qui tient sa sœur Olivia, 22 ans, en otage qui l’oblige à se plier aux désirs de Diaz.

Anna Belknap, 28 ans, experte scientifique de la police de Lilleland, et Serena Southerlyn, 34 ans, procureure, Marius a découvert qu’elles avaient envoyés un innocent à la mort et se sert de ce secret pour abuser d’elles à chaque fois qu’il le désire.

Gwendoline Blouse, 18 ans, sans profession, Marine Ospins, assistante sociale, 24 ans, et Savannah Elliott, 26 ans, Médecin urgentiste, trois jeunes filles qui ont subi les foudres du « Club » en tentant de faire chanter Christine Veron.

LES ENNEMIS DU CLUBS :

Thierry Diomandé, 41 ans, détective privé, père d’Opale Opaline, victime décédée d’Angel, c’est aussi un ancien policier qui a connu une guerre larvée vieille de 10 ans.

Thomas Serfati, 40 ans, appelé aussi le « frère », considéré comme un anti-héros à Lilleland, il a naguère combattu son frère, l’ancien chef de la pègre de la région dans une lutte qui s’est terminé dans le sang. Aujourd’hui, il revient à Lilleland pour aider Escort Avcılar son ami Thierry à venger sa fille.

L’unité de traque des criminels dangereux, c’est l’équipe d’Amanda-Jean Carpenter composée notamment de William Fossett, Jason Pantkin, Emily Proctor, Shemar Morgan et Spencer Gubler. Ils ont décidé de sauver leur amie en se lançant dans une enquête illégale sur les exactions du « Club ».

CHAPITRE 1

Ryan vint se planter en face de Thomas dont la mine défaite semblait le ravir au plus haut point.

– Et bien mon cher frère, lui lança-t-il en gage de salutations. Tu sembles surpris de me voir?

– Et pour cause, répondit Thomas sans se soucier de dévoiler son trouble. Tu es censé être mort.

– Et tu en sais quelque chose puisque tu as tout fait pour avoir ma peau. La balle que tu as tiré as traversé mon crane de part en part. Cependant, elle n’a touché aucune partie vitale de mon cerveau ; un vrai miracle selon les médecins qui m’ont soigné. Un autre miracle est que j’ai réussi à m’extraire des courants marins où tu avais laissé couler mon corps. La vérité est que tu as oublié la règle numéro une de Paul : «toujours voir le corps de son ennemi » et maintenant je suis de retour pour te le faire regretter.

– Alors c’est toi! Comprit Thomas pour qui de nombreuses choses devenaient évidentes. C’est toi qui es derrière tout ça!

– Tu en doutes mon cher? Je suis le marionnettiste de cette petite affaire, le joueur d’échec qui depuis des années avance ses pions dans le seul but de détruire ceux qui ont conduit à ma perte.

Thomas se forçait à afficher une expression atterrée pendant que Ryan exposait sa petite histoire. Pourtant, le contrecoup de la surprise était passé désormais et il avait totalement retrouvé ses esprits mais il savait qu’il pouvait tirer profit du principal défaut de son ennemi intime : la vanité.

– Et c’est toi qui détiens Sophie? demanda Thomas tout en connaissant par avance la réponse.

– Ta nièce est entre mes mains depuis des mois, répondit l’ancien lieutenant de son frère. Tu ne te rends pas compte à quel point cette situation est ironique d’ailleurs. En vérité, derrière sa recherche de son géniteur se cachait le désir de retrouver celui qu’elle considérait comme son père spirituel. En fait, elle n’a jamais cherché que le dernier de ses parents vivants c’est-à-dire, toi. Si tu n’avais pas été le roi des paranoïaques, elle ne serait pas tournée vers un inconnu comme moi et ne serait pas devenue ma chose.

Thomas fronça les sourcils mais ne prononça pas la moindre parole et Ryan ne se fit pas prier pour continuer son petit monologue.

– Et oui, elle est entre mes mains désormais et tu peux te mordre les doigts de ne pas avoir été assez précis il y a dix ans.

– Mais je peux corriger cela pas plus que tard que tout de suite, le coupa alors Thomas qui perdait patience devant la morgue de Ryan.

Il fit un pas en direction de son interlocuteur en glissant la main dans son pantalon pour s’emparer de son Glock. Ryan leva alors les mains devant sa poitrine sans se départir de son sourire de défi.

– Si j’étais toi, conseilla-t-il, avant de prendre une décision inconsidérée, je jetterais un petit coup d’œil en direction de l’entrée.

Sachant que Ryan n’étais pas doué pour le bluff, Thomas suivit ses indications et embrassa du regard la zone encadrant la porte d’entrée de la galerie d’art dans laquelle ils se trouvaient. Il ne lui fallut que quelques secondes pour identifier une jeune femme au milieu des amateurs d’art qui se massaient dans ce lieu en de samedi après midi. Elle attira son regard d’abord parce qu’elle le fixait obstinément mais aussi et surtout parce qu’il fut choqué par sa ressemblance physique avec la femme qui partageait sa vie. Bien sûr, cette belle rousse aux yeux verts était visiblement plus jeune que Martina, son visage était aussi plus rond et son nez plus petit mais pour une personne qui ne côtoyait pas cette dernière quotidiennement, elle devait apparaître comme un sosie d’une qualité exceptionnelle.

– Que penses-tu de ma petite copie? Reprit Ryan.

– Navrante, se contenta de répondre Thomas.

– Bien sûr quand on a la chance de posséder l’originale, on peut se permettre de faire le difficile mais cette petite chérie présente cependant quelques avantages non négligeables parmi lesquels d’avoir une formation totalement terminée.

– Une veuve noire, comprit Thomas en se retournant vers elle.

Il dévisagea de nouveau le sosie de Martina et il remarqua les détails que l’effet du choc de la première vision lui avait cachés. Son regard vert qui continuait à le fixer était totalement privé de lumière et il fut envahi par cette horrible impression de malaise qu’il ressentait toujours en présence de ces pauvres créatures que le lavage de cerveau inventé par le docteur Shu, le savant fou de Paul, transformait en tueuses dévouées jusqu’à la mort à leur maître.

– Tu as repris les méthodes de Paul, cracha-t-il à Ryan.

– Pourquoi en changer? Elles ont fait leur preuve. Je n’ai pas choisi cet endroit par hasard. Comme tu le vois, il est très fréquenté mais ne possède aucun système de sécurité particulier contrairement aux musées. Ma martina personnelle possède une ceinture d’explosif attachée autour de sa taille. Si jamais tu décidais de mettre tes menaces de meurtre à exécution, elle enclencherait le détonateur provoquant un véritable massacre.

Ryan défia Thomas du regard, visiblement satisfait de sa petite surprise.

– Et ne crois pas que je n’ai pas vu le petit manège de ta complice. Qu’elle ne tente pas de s’approcher ou je déclencherais un carnage.

Thomas se retourna pour constater qu’Emily avait quitté sa position pour se rapprocher Avcılar Escort Bayan mine de rien de la copie de Martina.

– Vas-y et tu mettras ta propre vie en danger, le défia Thomas qui connaissait trop bien son vieil ennemi.

Le sourire de Ryan s’élargit encore.

– Je ne parlais pas d’ici mais d’un autre lieu. En ce moment même, ta chère petite nièce m’attend à la terrasse d’un café équipée du même attirail. Si elle ne me voit pas arriver à l’heure prévue…

– J’ai parfaitement compris, coupa Thomas qui commençait à en avoir assez de ce petit jeu.

– Alors nous allons mettre fin à cette discussion, décréta Ryan visiblement comblé. Tu vas me laisser partir en premier si tu tiens vraiment à la vie de ta nièce.

Thomas serra les dents de rage, il fit cependant un pas dans la direction de son interlocuteur.

– Profite bien de cette petite victoire, déclara-t-il, car la prochaine fois que nous nous rencontrerons, tu regretteras amèrement que la balle que je t’ai tirée en pleine tête n’ai pas réussi à mettre fin à ses jours.

Le sourire de Ryan s’effaça alors pour laisser la place à un rictus de haine.

– Mais il ne se passe pas un jour sans que je ne le regrette, affirma-t-il.

Et comme pour illustrer son propos, il retira son masque dévoilant alors son visage. Thomas vit alors que la totalité de sa face droite n’était plus qu’une masse informe recouverte de boursouflures qui laissaient à peine la place à son œil. Le haut de son de crâne était affreusement aplati et dégarni. Une femme qui passait à moins d’un mètre d’eux poussa un hoquet d’horreur en voyant ce masque informe qu’était devenu le visage du naguère séduisant Ryan Iordan et Paul comprit que la balle qu’il lui avait tiré dans la tête avait finalement fait des dégâts bien plus conséquents qu’il ne l’avait cru.

CHAPITRE 2

Sandrine avançait d’un pas mal assuré dans le soleil couchant. Ses escarpins la faisaient trébucher sur le chemin mal entretenu qui conduisait aux baraquements du chantier du mur de la propriété d’Angel. L’ancienne bourgeoise arriva devant l’entrée de la salle principale où elle savait que tous les ouvriers employés à cet ouvrage bientôt terminé se réunissaient une fois leur journée de travail terminée. Elle tapa à la porte et attendit en posant la main sur son épaule nue pour tenter se réchauffer. Bien entendu, Angel ne lui avait pas permis d’endosser un vêtement décent et sa tenue de soubrette ne lui permettait pas se protéger de la fraîcheur de la soirée.

La porte s’ouvrit et elle vit apparaître un visage qu’elle reconnut immédiatement pour son malheur. Il s’agissait de la face ronde et basanée du chef de chantier. Quand elle était encore une femme libre et qu’elle menait les associations opposées à la construction de la muraille, elle avait fait face à cet homme qu’elle savait pertinemment n’être qu’un simple exécutant. Elle l’avait alors rabrouée avec tout le mépris que le sentiment de supériorité bourgeoise qu’elle ressentait à l’époque semblait lui donner le droit. Désormais, elle allait devoir entrer dans l’antre de cet homme avec le statut d’une moins que rien et elle savait qu’elle ne pouvait attendre que le pire de cette situation.

L’homme arbora un rictus mauvais et lui fit signe d’entrer.

– Ne restez donc pas dans ce froid, madame Forci, lui dit-il et le fait qu’il se souvenait parfaitement de son identité ne la rassura pas.

Elle n’eut pas le choix cependant et entra. Elle se retrouva dans une grande cafète où une bonne quinzaine d’hommes d’origine diverses et certainement tous immigrés étaient attablés en dégustant des plateaux repas aux menus les plus simples possibles. Toutes les conversations cessèrent à son entrée et elle sentit le poids de tous les regards peser sur elle. Elle fit un effort sur elle-même pour résister et tenta de se convaincre qu’elle ne risquait rien et qu’Angel s’amusait seulement avec ses nerfs. Le monstre qui avait détruit sa vie était bien trop possessif pour décider de la partager ainsi avec des personnages aussi peu ragoutants que ces ouvriers sans aucune éducation. Elle avait déjà connu les horreurs des partouzes du Club mais il s’agissait de parties fines menées par des hommes de la haute société qui, s’ils étaient de pervers sans cœur, n’avaient rien à voir avec ces immigrés qui pour la plupart ne savait même pas lire le français correctement.

– Vous avez quelque chose pour moi? Demanda le chef de chantier tout en se penchant ostensiblement pour admirer ses fesses nues.

Elle ne pipa mot, se contentant de tendre à cet homme le rouleau de papier qu’Angel lui avait confié. L’homme le prit, le déroula et le lit doucement. Un large sourire se dessina sur son visage alors qu’il se tournait vers ses hommes.

– Le patron est content de nous les gars, annonça-t-il avec une grande fierté dans le ton de sa voix. Il l’est tellement qu’il a décidé de nous offrir une très grosse prime sur notre dernier salaire.

Tous les hommes présents crièrent alors leur joie avec tout le manque de tact dont ils étaient coutumiers. Son message délivré, Sandrine se dit qu’il était temps pour elle de quitter cet endroit infâme et de rejoindre au plus vite la sécurité toute relative de la villa.

Alors qu’elle faisait demi-tour, le chef de chantier l’attrapa alors par le poignet.

– Pas si vite ma belle! Tonna-t-il. Ne pars pas comme ça. La prime ne se résume pas seulement en un chèque un peu plus gros à la fin du mois. Monsieur Angel est quelqu’un de bon sens et il sait que des vrais hommes comme nous ont aussi besoin de réconfort.

Le cœur de la soubrette s’arrêta de battre dans sa poitrine en saisissant parfaitement où le régisseur voulait en venir.

– Tu fais partie de Avcılar Escort la prime de mérite, ajouta-t-il en l’attirant à lui. Nous t’avons toute à nous jusqu’à ce que ton maître te rappelle.

La fin de la phrase résonna dans la tête de Sandrine comme un glas funeste : « jusqu’à ce que ton maître te rappelle ». Cela voulait dire que si l’esprit pervers d’Angel le désirait, elle pouvait rester la prisonnière de ces porcs pendant plusieurs jours.

Le régisseur quant à lui n’en était pas encore à ce genre de considérations, il se contentait de goûter à l’instant présent. Il la tenait serrée toute contre lui, ses mains fermement plaquées sur ses fesses. Sandrine sentait monter en elle un sentiment d’horreur quand la main droite du régisseur tira sur le nœud du ceinturon de son tablier dans le but de défaire la maigre protection de sa pudeur. Serrée contre le corps puissant de cet homme comme elle l’était, elle était incapable de résister à sa manœuvre et elle sentit son tablier se détendre. Autour d’elle, elle entendait les voix des autres ouvriers qui se faisaient de plus en plus fortes. Ils commentaient la scène qui se déroulait sous leurs yeux dans des langues qu’elle était incapable de comprendre mais elle saisissait parfaitement la teneur de leurs propos.

Le régisseur l’obligea à reculer sur plusieurs mètres, entre les bras de ce géant basané, elle paraissait se perdre et elle ne possédait pas la force nécessaire pour l’empêcher de faire d’elle tout ce qu’elle voulait maintenant qu’elle n’avait plus la protection de son statut de bourgeoise hautaine. L’homme le savait et semblait bien décidé à en profiter pour lui faire ravaler les humiliations qu’elle lui avait fait subir naguère.

Le régisseur l’obligea à reculer jusqu’à ce que ses fesses nues percutent le rebord d’une table et il la força à s’allonger sur ce support. Les hommes qui y mangeaient quelques minutes auparavant repoussèrent leurs assiettes et autres couverts en urgences afin de lui laisser l’espace nécessaire pour s’étaler. Le régisseur en profita pour faire passer le col de son tablier par-dessus sa tête pour descendre sa tenue juste en dessous de sa poitrine. Il profita de cette opération pour lui voler un baiser le plus baveux qu’il put. Il insinua sa langue entre ses lèvres entre-ouvertes et la fit se balader dans sa bouche pendant quelques secondes à la recherche de la sienne. Dans un élan de fierté, Sandrine réussit à échapper à ce french kiss mais le seul fait de sentir le contact de ses lèvres épaisses sur les siennes lui laissa un goût amer.

Le régisseur descendit alors la tête en direction de son entrejambe et alors qu’il libérait le haut de son corps plusieurs paires de mains prirent sa relève. Ses seins se retrouvèrent malaxés dans tous les sens par les doigts sales et boudinés de ces immigrés multicolores. Elle tenta de se débattre mais on lui saisit les bras pour les étirer au maximum afin de l’emprisonner fermement. Cette manœuvre eut la conséquence perverse de la contraindre à dresser la poitrine et ce fut comme une invitation : les caresses brutales redoublèrent. On lui malaxa les seins et un audacieux commença même à lui mordiller le téton droit. Elle cria et le régisseur releva la tête de son entrejambe où il avait entamé de lui lécher son antre de féminité. Il poussa plusieurs ordres en différentes langues et calma les plus chauds de ses hommes. Cette intervention ne rassura pas une seconde Sandrine qui avait parfaitement saisi les propos du chef de chantier quand il s’était exprimé en français. Il avait simplement ordonné à ses hommes de patienter un peu et que leur tour n’allait pas tarder à venir. Les caresses sur sa poitrine reprirent de plus belle alors qu’elle sentait la langue du régisseur qui s’introduisait dans son intimité. Une horrible chaleur commença à monter en elle et elle ne put s’empêcher de se contracter sous l’effet du plaisir que cet homme lui procurait. Elle entendit alors les commentaires fuser autour d’elle et elle comprit qu’on la traitait de « chienne » et de « salope » dans une bonne demi-douzaine de langues différentes. Le chef de chantier parut satisfait de son travail car il se redressa en la forçant à écarter les jambes. Il se plaça alors entre ses cuisses et déboutonna son pantalon qu’il fit tomber sur ses genoux. Dans un effort surhumain, Sandrine redressa la tête pour voir le pénis basané de cet homme s’insinuer entre ses cuisses puis elle sentit le contact chaud de son gland contre son l’entrée de son vagin. Elle hurla quand elle sentit le sexe mâle s’enfoncer en elle. Elle fut dégoûtée de constater que son vagin était parfaitement lubrifiée et que son corps était devenu affreusement réceptif aux caresses les plus odieuses suite au traitement qu’Angel et ses comparses lui faisait subir depuis qu’elle était devenue leur chose. Cet état de fait ravit le régisseur qui ne se priva pas de le faire remarquer à ses ouvriers tout en profitant de l’hospitalité de la cavité qu’il venait d’investir pour la pistonner sans ménagement. Il se mit à donner de puissants coups de reins qui donnèrent l’impression à Sandrine d’être totalement empalée. Chaque coup de pilon de son violeur la projetait littéralement en avant et il fallait les poignes fermes des ouvriers qui l’emprisonnaient pour la faire tenir en place. Elle ne pouvait cependant pas retenir ses cris tant le régisseur se montrait brutal dans son coït et elle sut qu’il en profitait pour évacuer toute la frustration des humiliations qu’elle lui avait fait subir lors de leur première rencontre. D’un ordre impérieux, il écarta ses hommes et s’empara alors de ses seins qui se tendaient toujours aussi fièrement comme une provocation obscène. Il les tordit brutalement, arrachant de nouveaux cris de douleur. Cette étreinte affreuse se prolongea pendant de longues minutes avant qu’enfin le rustre hispanique ne se retira d’elle pour éjaculer sur son ventre. Deux jets de spermes puissants maculèrent sa poitrine nue et deux autres s’échouèrent sur sa blouse retroussée.

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Voila très longtemps que je n’avais pas envoyé une histoire.

J’ai ressentis le besoin de faire un break qui a duré plusieurs mois. Et puis l’envie m’a repris et j’ai imaginé cette nouvelle histoire. J’espère qu’elle vous plaira…

Je sors du lycée précipitemment en esperant ne pas tomber sur Franck. Je me dirige vers l’appartement famililal. Je m’appelle Fabien, 19 ans. Physiquement insignifiant. Petit, à peine 1m60, une bedaine qui déborde et des lunettes qui ne me donne meme pas un air intello. Bref pas du tout le genre de physique qui plait aux filles. Elles préfèrent le genre de Franck. Franck c’est mon exact opposé. Grand, bien bati, blond bref le surfeur comme dirait un célèbre humoriste.

Je suis devenu asez vite la tête de turc de Franck, il ne rate pas une occasion de me rabaisser y compris en cours faisant rire la classe voire même certains profs. Et je ne vous dis pas sur les réseaux sociaux.

Je rêve de pouvoir me venger et j’imagine parfois des scénarios ou Franck devrait m’obeir et ou je le soumettrais. Je réve aussi, ou plutot je fantasme, sur sa mère. Myriam Vallaury est une femme très belle. Elle avoisine les cinquante ans mais elle a encore un corps de rêve. Corps qu’elle met en valeur en portant la plupart du temps des jupes courtes qui montrent des jambes magnifiques. Comme elle n’est pas très grande, je la vois souvent en talons aiguilles. Elle me fait penser aux « MILF » que je mate sur les sites pornos. Je rêve souvent d’humilier Franck en la baisant devant lui.

Un jour ou je me promenais en centre-ville, j’aperçus la mère de Franck. Sexy comme à son habitude, elle porte une jupe écossaise qui s’arrête à mi-cuisses dévoilant des jambes gainées de nylon noir. Les talons aiguilles de ses escarpins noir vernis claquent sur les pavès de la rue piètonnière. Je me met à la suivre de loin matant ses jambes. Je me risque même à la filmer avec mon portable le cœur battant la chamade de peur de me faire surprendre.

Myriam se dirigea vers un des parkings souterrains de la ville. Elle ouvrit la porte d’accès et commença à descendre les escaliers. J’hésite à la suivre…

Ce serait trop risqué….Mais je me dis que je pourrais continuer à la filmer plus tranquillement ayant moins de monde autour de moi.

Je Escort Avcılar me dirige alors moi aussi vers le parking…

J’entends les claquements des escarpins de Myriam résonner dans le parking.

J’avance prudemment derrière elle avec la ruse d’un Apache sur le sentier de la guerre me cachant derrières les pilonnes ou les voitures en stationnement.

Stupéfaction de ma part quand je réalise que Myriam rejoint un homme adossé à une voiture. Je suis encore plus interloqué quand je reconnais le type en question : c’est monsieur Lambert, notre conseiller principal d’éducation.

Myriam s’approcha de monsieur Lambert et ils s’embrassèrent amoureusement.

Je n’en revient pas ! La distinguée madame Vallaury a un amant ! Et en plus le CPE du lycée. Je sors précipitemment mon portable et filme la scène.

Lambert appuie sur les épaules de Myriam qui s’accroupit faisant remonter sa jupe devoilant largement ses cuisses et l’attache d’un porte-jarretelles. Je suis en plein fantasme, la mère de Franck porte de la lingerie de pute comme dans les films pornos.

Ses mains manucurées baisse fébrilement la fermeture Eclair du pantalon. Elle sort un sexe bien bandé qu’elle avale goulumment. Je filme en gros plan ses lèvres s’arrondirent sur la bite qu’elle suce avec application.

Je bande comme un malade en assistant à cette scène surréaliste.

Monsieur Lambert agrippe les cheveux de madame Vallaury et fait coulisser sa queue entre ses lèvre rouges. Myriam la recrache par moment pour reprendre une goulée d’air.

Elle salive sur la bite la branlant de ses mains. Elle titille le gland en donnant de petits coups de langue.

Lambert releva Myriam et la courba en avant sur la capot de la voiture. Il souleva la jupe écossaise dévoillant les jarretelles en dentelle qui retiennent les bas.

Il la pénétra faisant crier Myriam. Son cri résonna dans le parking souterrain.

La tenant aux hanches, il la pilonne violemment arrachant des gémissements à la mère de Franck.

Je la filme sans en perdre une miette. Debout sur ses talons aiguilles, courbée sur le capot de la voiture, jupe troussée, haletante, gémissante, c ‘est une vrai scène de film porno.

Lambert accéléra la cadence et il éjacula en criant sur les Avcılar Escort Bayan fesses de madame Vallaury….

De retour chez moi, je me passe et repasse le film sur mon ordinateur me branlant et éjaculant plusieurs fois. Je réalise alors que j’ai la un moyen de pression contre la mère de Franck…

Des le lendemain matin, je décidais d’aller rendre une petite viste à Myriam.

La famille Vallaury habite un quartier résidentiel dans un superbe pavillon. Je sèche les cours pour être sur de trouver madame Vallaury seule, son fils étant en cours et son mari au travail.

Je sonne et la porte s’ouvre. Myriam hésite, semble surprise de me voir.

– Vous êtes dans le même lycée que mon fils, non ?

– Oui madame, confirmais je. Je voudrais vous montrer quelque chose.

Elle semble hésiter à me faire rentrer.

-Ah et quoi donc ?

– Un film.

La visiblment elle ne comprend plus du tout.

Je sors donc le portable et lance la vidéo.

Je la vois blémir sous son maquillage.

Interloquée, elle balbutie des mots sans suite.

-Mais…Que…Que voulez vous….

Du coup, je rentre et ferme la porte du pavillon.

Myriam recule un peu. Elle est vetue d’un legging noir qui moule son cul. Ses seins me paraissent énormes a travers la brassière qu’elle porte. J’ai du l’interrompre en pleine séance de fitness.

– Voila ce qui va se passer madame (cela m’excite de lui donner du « madame » alors que je sais que je la tiens) Si vous ne voulez pas que cette vidéo soit envoyer a votre mari ou votre fils il va falloir m’obeir et être très gentille.

Elle blémit encore plus.

– Je vais faire un autre film tout de suite. M’exclamais je.

– Quoi ! Mais comment ca ?

– Penche toi en avant.

Elle obeit, se penchant en avant montrant bien son cul. Puis je la filme assise sur la table du salon jambes écartées et se caressant la chatte à travers le legging. Puis se caressant les seins à travers la brassière. Se mettant les doigts dans la bouche comme une salope en manque de bite.

Je lui ordonne de baisser le legging et elle s’execute rouge de honte. Je la filme en gros plan en train de se doigter vigoureusement. J’entends le clapotis provoquer par ses doigts. Elle halète, Avcılar Escort ce traitement que je lui impose ne la laisse pas indifférente. En fait, la mère de Franck est une authentique salope.

Sous mes ordres, elle continue de se doigter en gémissant sans retenue maintenant. Elle activa ses doigts et elle eut un orgasme qui la laissa pantelante.

Je tiens mon portable filmant madame Valmaury a genoux devant moi me suçant la bite. Elle léche la hampe salivant dessus montant et descendant. Puis elle me lèche les couilles me regardant par en dessous.

Je n’aurait jamais cru que Myriam serait aussi docile aussi vite. Je compte bien la soumettre à mes moindres caprices.

Elle me pompe la bite, me suçant, me léchant.

N ‘en pouvant plus, je la relève, la pousse contre la table du salon, son legging a ses pieds, son string baissée sur ses cuisses. Je lui enfonce mon index et mon majeur dans sa chatte. Elle est trempée.

Je rugis :

– T’aime ça salope !

Myriam grogne sans rien dire.

Je fais coulisser mes doigts rapidement. La mère de Franck halète. J’agite mes doigts. Elle ondule du bassin en se mordant les lèvres. Je vais de plus en plus vite et elle ne tarde pas à jouir pour la seconde fois en poussant un cri qui résonne dans le pavillon.

Je pilonne Myriam,à quatre pattes, au milieu du salon. Ses seins, dégagés de la brassière, gigottent dans tous les sens. Décoiffée, haletante, elle secoue la tête et elle gémit sous mes coups de pines. Je la tiens aux hanches et la martèle comme un fou. Mon gros ventre vient claquer contre ses fesses.

Sentant que je vais jouir je me retire précipitement et me positionne devant le visage ravagée de Myriam. J’éjacule en criant libérant le foutre qui vient s’écraser sur le front et le nez de la mère de Franck. Des filaments coulent sur son menton et sur ses seins…

Je prends une photo en gros plan de son visage recouvert de mon foutre.

Puis je lui ordonne de me donner son téléphone ainsi que son adresse mail pour que je puisse la joindre a n’importe qu’elle moment. Je lui demande également qu’elle me communique son emploi du temps afin de savoir quand elle serait disponible et surtout quand elle rencontre son amant, le conseiller principal d’education.

Je me rajuste et ouvre la porte du pavillon. Madame Vallaury est affalée sur le sol de son salon.

– C’est un bon début, Myriam mais je n’en ai pas fini avec toi. Lançais je en sortant.

Ma vengeance ne faisait que commençer….

A suivre

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La Descente aux Enfers de Jessie 07

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Amateur

Je remercie Sadkins116 et Rebeccasm les auteurs de ce récit dont le titre original est « Jesse’s Journey Down a Rabbit Hole » sur ce site.

Dans sa version originale, cette histoire est illustrée, donc je ne peux que vous inciter à aller jeter un coup d’œil sur les pages des auteurs ci-dessus pour visualiser les dessins.

Enfin, je remercie tous les lecteurs qui me suivent et plus particulièrement ceux qui me laissent un petit commentaire.

Bien sûr, l’avertissement est de rigueur : Ce texte comprend de la soumission féminine et masculine, de la contrainte, de l’esclavage. Si votre esprit est en contradiction avec ces thèmes, ne perdez pas votre temps à le lire.

************

Maître X sourit en appelant Jason MILLER, son ami photographe. Il veut savoir où il en est. Il prévoit de s’occuper de Julie dès que possible. Il souhaite qu’elle soit sur le chemin de l’esclavage lorsqu’elle reviendra chez elle la semaine prochaine. Le téléphone ne sonne que deux fois avant que Jason réponde.

– Salut X, que puis-je faire pour toi?

– Es-tu prêt? Julie vient de recevoir la mauvaise nouvelle qu’elle va avoir besoin d’argent. Es-tu prêt à continuer?

– Tout à Fait, j’ai un studio et les invitations sont prêtes à être envoyées. Tout ce que j’ai besoin c’est que tu me donnes le feu vert. Réponds Jason.

– Bien! Je te tiens au courant. Il faut que je prenne le contrôle de son ordinateur et de son téléphone. Je m’attends à recevoir une notification d’un moment à l’autre. Dit Maître X.

Et au même moment, sa messagerie bipe indiquant que la jeune fille vient de charger la pièce jointe que lui a envoyée sa mère.

– Tiens, je viens de la recevoir. Dit Maître X.

Il lance un programme et prend le contrôle de la webcam de l’ordinateur de Julie. Il la voit assise sur son lit en train de parler au téléphone. Maître X a immédiatement une érection à la pensée d’avoir la jeune fille et sa mère agenouillées devant lui comme des esclaves.

– C’est ok, j’ai ce dont j’ai besoin. Envoie les invitations. Je te tiens au courant. Au fait quel est le nom du studio?

– Je l’ai nommé « Studio de photos classiques ». Répond Jason.

– Excellent! À combien de filles as-tu envoyé l’annonce?

– J’en ai choisi trente, l’équipe de pom-pom girl et celle de volley-ball. Puis à d’autres dont je me suis assuré qu’elle connaisse Julie.

– Super, avertis-moi quand elle se présentera. Dit Maître X avant de raccrocher.

Il reporte son attention sur Julie qui parle encore au téléphone avec une de ses amies. Elle est en train de dire :

– Tu ne vas pas croire ce qui vient de m’arriver. Ma mère vient d’appeler pour me dire que je dois trouver un petit boulot. Je crois que quelque chose est arrivé et que je vais devoir couvrir moi-même mes dépenses du prochain trimestre. Mais je ne sais pas où je vais trouver la somme. Il est trop tard et je ne gagnerai pas assez en travaillant dans un fast-food. Je me demande ce que je vais faire.

Elle écoute une minute avant de dire :

– Je suis foutue. j’espère que je ne devrais pas abandonner mes études.

Elle écoute sa copine alors qu’une larme coule sur sa joue. Et avant qu’elle ne réponde, son ordinateur indique qu’elle vient de recevoir un message. Sans réfléchir, elle l’ouvre. Elle lit et crie dans son téléphone :

– Tu ne vas pas croire ce que je viens de recevoir. On m’invite à faire mannequin. Il y a un studio pas loin qui recherche des mannequins. Le message dit que si je suis choisie, je suis payée 250 $. je dois prendre rendez-vous. Bye.

Elle raccroche et remplit le questionnaire lié au message et l’envoie en joignant une photo.

Jason est surpris de la rapidité avec laquelle il reçoit une réponse de Julie. X est incroyable. Il suit les instructions reçues et prépare une réponse à envoyer dans deux heures.

Julie est très nerveuse, mais elle prie pour avoir de la chance. Le message indiquait qu’ils ne prendraient que trente rendez-vous. Elle espère avoir répondu à temps.

Elle décide de faire ses devoirs et elle essaie de na pas regarder sans cesse si elle est acceptée. Deux heures plus tard, elle reçoit une réponse.

« Julie,

Merci de votre intérêt pour les travaux de notre société. La plupart de nos photos sont destinées à de grands magasins de la région. Mais nous faisons aussi des photos de lingerie pour des catalogues. Si vous êtes toujours intéressée, je suis disponible demain à 8 heures pour vous rencontrer. Tous les rendez-vous ont lieu à Panera Bread sur Main Street. S’il vous plaît répondez-moi dès que possible pour confirmer.

Jason MILLER, photographe »

Julie répond dans la minute qui suit. Elle peut à peine contenir son excitation. Ensuite elle va directement dans son placard pour choisir une tenue.

Julie se réveille deux heures plus tôt le lendemain matin. Elle veut être parfaite. Elle attache ses cheveux et se maquille. Puis elle enfile un haut moulant qui souligne ses gros seins et une jupe courte. Le lieu du rendez-vous n’est qu’à Escort Avcılar quelques rues de là, elle ne doit pas marcher beaucoup. Quand elle arrive, il y a déjà d’autres filles devant elle. Elle les trouve très jolies et elle devient très nerveuse.

Au moment où c’est son tour, elle tremble et peu à peine parler. Mais lorsque le visage de Jason s’illumine en la voyant, elle commence à se détendre. Ils parlent pendant vingt minutes environ, presque deux fois plus longtemps que les autres filles. Julie se sent très bien quand Jason lui demande :

– Julie, tu me plais. Mais as-tu des photos ou un book à me montrer?

Julie e du mal à respirer et a peur de louper l’entretien. Elle dit franchement :

– Non, je n’ai jamais fait de mannequinat.

– Oh! Il me faut quelque chose pourtant. J’ai une idée, est-ce que tu as du temps aujourd’hui? On peut aller en studio et je peux faire quelques clichés que je te donnerai. Qu’en penses-tu?

Julie saute sur l’occasion et répond presque en criant :

– Oui j’ai le temps. Quand dois-je revenir?

– J’ai encore quelques rendez-vous à passer. Pourquoi ne viendrais-tu pas à cette adresse à 13 heures. Et ne t’inquiète pas pour ce que tu portes. Je suis sûr que nous aurons des choses qui te conviendront. Dit Jason en remettant à Julie une carte avec l’adresse.

– Je serai là! Merci beaucoup! Dit Julie très joyeuse en passant la porte.

Dès qu’elle est hors de vue, Jason envoie un sms à Maître X :

« je l’ai eue. Elle sera au studio cet après-midi ».

Maître X sourit alors que son plan va se concrétiser. Il prend son téléphone et appelle Maurice, un autre ami.

Julie est impatiente. Elle arrive à 12 h 30 au rendez-vous et elle attend de l’autre côté de la rue pour ne pas paraître trop nerveuse. À moins dix, elle ne peut plus patienter alors elle entre dans le studio. Elle est impressionnée par l’équipement et les photos accrochés au mur. Jason sort de derrière le rideau d’un porte et sourit à la jeune fille.

– Julie, tu es à l’heure. Viens t’asseoir et occupons-nous de la paperasse.

Il la conduit vers une table dans un coin et commence à lui passer des formulaires l’un après l’autre. Julie commence à les lire mais après le troisième ou le quatrième, elle se contente juste de l’explication de Jason sur ce qu’elle signe. Quand le dernier formulaire est paraphé, Jason a tout ce qu’il a besoin. Julie vient de signer un contrat de travail de sa société juste créée et elle vient de céder tous ses droits sur les photos et vidéos d’elle et elle autorise les prises à moitié nue ou complètement.

Jason sourit et montre à la jeune fille la salle du fond où se trouvent plusieurs tenues prêtes pour elle. Julie le regarde quitter la pièce et change rapidement de tenue. Elle porte maintenant une robe très courte qui montre son décolleté et ses jambes. C’est plus osé que ce qu’elle porte normalement, mais ce n’est pas scandaleux. Elle se regarde dans le miroir et sourit. Elle prend plusieurs poses en ayant l’espoir qu’elle n’aura pas trop l’air d’être une amatrice.

Elle entre dans le studio où Jason est prêt et attend. Bientôt il prend photo après photo. Julie commence à se détendre et à prendre plaisir à poser.

Chacune des deux tenues suivantes est plus sexy que la précédente. La deuxième robe est en vinyle et souligne sa poitrine. La dernière est un bikini très sexy.

Au moment où ils finissent, Julie est totalement détendue, rigolant et s’amusant bien. Jason n’arrête pas de la complimenter encore et encore pour flatter son ego. Julie absorbe comme une éponge tous les compliments. Jason lui offre un verre de vin pour célébrer la séance. Pendant l’heure suivante, ils finissent la bouteille de vin et en commence une autre. Quand Julie parle de se changer et d’enlever le bikini, Jason décide de démarrer son plan.

– Julie, je sais, après notre discussion, que vous avez besoin d’argent pour finir vos études. Maintenant, vous êtes en tête pour la séance photo à 250 $ par jour. Mais nous réalisons aussi ici d’autres séances un peu plus érotiques. Habituellement, les séances en bikinis en cuir et en lingerie sexy sont payés 1000 $ par jour. Je sais que vous seriez parfaite.

Jason examine la jeune fille. Il a pu voir ses yeux s’illuminer quand il a dit la somme de 1000 $. il sait qu’elle est un peu ivre, alors il décide que c’est le moment de conclure l’affaire.

– Pour tout te dire, le modèle qui est censé être ici pour ces photos est tombé malade. Et j’ai vraiment besoin de quelqu’un maintenant. Si ça t’intéresse, tu pourras repartir d’ici avec 1000 $. Dit Jason en sortant une pile de billets de 100 $ de sa poche et en la posant sur la table.

Julie prend une profonde respiration et réfléchit à tout ce qu’elle a besoin. Mille dollars couvriront une grosse partie de ses dépenses. Ensuite elle aura juste à faire une ou deux séances à 250 $ pour couvrir tous ses frais du prochain trimestre?

Jason regarde la jeune fille se mordre les lèvres. Il peut presque deviner ses pensées. Avcılar Escort Bayan Il sourit et sort une autre liasse de billets de sa poche. Il compte 500 $ de plus et dit :

– Juste pour cette fois et parce que j’ai vraiment besoin de faire cette séance, je paie 1500 $. Mais nous le faisons tout de suite. Il faut que tu te décides, soit tu prends soit tu pars.

Les yeux de Julie s’agrandissent. Elle sait qu’elle ne pourra pas gagner cet argent ailleurs. Alors elle hoche la tête.

– Génial, commençons!

Jason attrape sa main et la tire de nouveau dans la pièce du fond. Il sort une boite et lui tend un bikini en cuir. En fait, celui-ci la couvre plus que celui qu’elle portait. Le haut lui couvre les seins et se fixe en dessous. Il y un collier en cuir qui entoure son cou. Le bas a des jarretières et les bottes sont sur talons et sont lacées sur ses jambes. Julie rigole mais ne s’inquiète pas. Jason sort de la pièce et Julie s’habille. Bientôt elle entre dans le studio et Jason siffle.

– Tu es fabuleuse Julie, tu es faite pour ça.

Julie rougit, mais se détend rapidement lorsque Jason commence à prendre des photos. Plus il en prend et plus elle se détend et s’amuse à montrer son corps dans une tenue fétichiste. Le photographe continue à la flasher en s’arrêtant parfois pour verser du vin à la jeune femme naïve.

Le bikini suivant en montre beaucoup plus, mais Julie est maintenant saoule et inhibée. Quand elle comprend comment le mettre, elle a quand même une hésitation. Le haut est bien, c’est du cuir noir qui couvre ses seins. Il est couvert d’un réseau de petites chaînes en argent qui le drape. C’est le bas qui la dérange. Ce n’est rien de plus qu’un ensemble de petites chaînes qui passe entre ses jambes et ne cache pas grand-chose. Elle entre lentement dans le studio avec ses mains couvrant son entrejambe.

– Jason, je ne peux pas porter ça. On voit tout. Se plaint Julie.

– Pas de soucis Julie, personne ne le verra. Tu gardes les jambes fermées et tu montes sur ce tabouret. Je te garantis que personne ne pourra voir tes parties intimes.

La jeune femme se dirige lentement vers le tabouret et attend que Jason se retourne avant de monter dessus. Elle s’assoit et garde les jambes bien fermées. Lorsque le photographe se retourne, il ricane intérieurement sachant qu’il l’a ferré. Il commence à prendre photo après photo. Julie se relaxe à nouveau et recommence à s’amuser.

Une minute après, Jason s’arrête de photographier et s’approche de la sexy Julie presque nue et sort deux paires de menottes. Quand il s’agenouille devant elle, elle commence à protester, mais il est préparé.

– Ne t’inquiète pas, nous sommes que tous les deux et c’est juste quelques photos.

Julie ne semble pas convaincue, mais bientôt ses mains et ses chevilles sont étroitement attachées. L’homme recule et recommence à prendre d’autres photos. Julie se calme et essaie de sourire.

Après quelques minutes, Jason s’approche de nouveau de Julie et lui libère les poignets. Puis il tire ses mains derrière elle et les attache à nouveau. Maintenant Julie est complètement impuissante. Mais Jason n’arrête pas de la complimenter alors Julie reste calme. A son insu, Maurice entre dans l’atelier par-derrière. Avant qu’elle ne sache qu’il est là, il arrive derrière elle et lui enlève le haut du bikini. Julie ne porte plus que des petites chaînes et des menottes. Elle panique. Elle est presque nue et menottée devant Jason et le plus grand homme noir qu’elle ait jamais vu.

– Laissez-moi partir, je n’étais pas d’accord avec ça. Je ne veux pas le faire, laissez-moi partir. Demande-t-elle.

Jason et Maurice se mettent à rire et le photographe prend plusieurs photos de sa proie effrayée.

C’est là que Julie réalise qu’elle a un problème. Elle commence à crier. Jason n’hésite pas et passe derrière elle. Il attend qu’elle pousse un nouveau cri et lui fourre un bâillon dans la bouche.

Julie est complètement paniquée. Elle est un peu ivre, nue, ligotée et bâillonnée. Elle ne peut que regarder Jason prendre des photos, sans espoir.

La seule chose qu’elle peut faire c’est de garder ses jambes jointes pour garder un semblant de pudeur. Julie est effrayée et essaie de garder le contrôle d’elle-même en regardant l’homme noir sur le côté de la pièce. Il se déshabille et, malgré sa peur, son corps réagit au bel homme noir et musclé qui se dirige vers elle. Son esprit hurle à l’idée d’être violée, mais son corps tremble d’excitation. Plus il se rapproche d’elle, plus son corps la démange. Il tire Julie du tabouret et la met à genoux. Il se met derrière elle avec sa grosse bite juste à côté de son oreille. Pendant ce temps Jason continue à photographier et la prend en position de soumission devant une queue noire.

Il baisse les yeux sur son appareil photo et sourit. Il sait exactement quelles photos envoyer à X. Tandis que Maurice joue avec Julie, il charge les photos sur son ordinateur et envoie un paquet d’images à Maître X.

Celui-ci entend Avcılar Escort son ordinateur indiquer l’arrivée d’un message. Il ouvre sa messagerie et le courrier récent.

Maître X regarde les photos et sourit. C’est si facile. Jessie et ses proches seront la quinzième famille qui sera tombé sous sa coupe. La plupart ne valaient à peine qu’il perde son temps. Mais il y a toujours un marché pour les familles d’esclaves. Même les plus moches ou les plus gros rapportent de l’argent. Avec Jessie et sa fille Julie, il sait qu’il a gagné le gros lot. Même Marcus est un esclave de choix. Maître X s’interroge sur le fils. S’il est comme la famille, ça sera la cerise sur le gâteau.

****

Les jours suivants sont flous pour Jessie. Chaque jour Maître John vérifie sa tenue pour aller à l’université. Il la choisit à la limite de la décence. Elle a toujours un plug dans le cul et soit les boules de geisha soit un vibromasseur sans fil dans la chatte. Il ne lui laisse mettre des culottes que pour les lui faire enlever en classe. Chaque fois qu’elle rentre chez elle, elle enlève sa jupe et se masturbe jusqu’à son domicile.

Les deux Maîtres aiment la garder excitée. Ils ne lui laissent pas avoir d’orgasme depuis lundi. La journée d’aujourd’hui va être dure, car tous les jeudis il y a une réunion pour le personnel du département d’histoire. Jessie déteste ces réunions. Il y a toujours Janice WILSON qu’elle déteste. Et aujourd’hui, juste avant ce groupe de travail, Janice prend à part Jessie pour exercer son emprise sur elle.

– Eh bien salope, je vois que tu dois jouer à plus qu’un petit jeu. Tu ressembles à une pute. J’aime tes talons hauts et tes tenues de chienne. Murmure Janice en la poussant dans un placard de rangement.

Jessie a ale souffle coupé, mais elle ne résiste pas et marmonne :

– Oui Janice. Que veux-tu?

– Je veux juste que tu saches que je suis la patronne et que tu me traiteras comme telle. Tu feras exactement tout ce que je te dis et tu seras toujours d’accord avec moi. Si tu hésites ou me dis non, ça deviendra pire pour toi. Suis-je clair? Crache Janice.

– Oui Janice, je comprends.

– C’est Mme WILSON en public et Maîtresse en privé, à moins que je te dise le contraire.

– Oui Maîtresse. Murmure Jessie alors que son entraînement de soumise prend le dessus.

– Bien! Maintenant je veux ton soutien-gorge et ta culotte.

– Je suis désolé Maîtresse, mais je ne porte pas de culotte. Dit Jessie en s’activant pour enlever son soutien-gorge.

– Tu es une vraie salope. Je parie que ça t’excite. Pendant que tu y es, ouvre deux boutons du chemisier.

La réunion est une vraie agonie pour Jessie. Les trois autres membres du département d’histoire sont M. JOHNSON, un pervers âgé de 60 ans en surpoids, sa peau grasse et ses yeux brillants donnent toujours la chair de poule à l’enseignante, et les deux autres sont deux vieilles filles de 50 ans. Jessie a toujours pensé qu’elles étaient lesbiennes. Tous les trois ne l’aiment pas et lui mènent la vie dure à l’université.

La réunion traîne en longueur, mais s’anime lorsque Janice demande à Jessie de servir du café à tout le monde. A partir de ce moment-là elle est occupée à faire toutes les tâches subalternes.

À la fin, Janice demande à Jessie de balayer le sol et de jeter les déchets. Après que les autres soient parties, Jessie doit se mettre à genoux sous les bureaux pour ramasser les stylos que Janice s’amuse à lancer dans la pièce en souriant.

– Tu devrais être heureuse salope, je pourrais te faire faire ça nue!

Jessie jette un regard noir à son ennemi mais ne dit rien. Ses genoux la brûlent de frotter sur la moquette. Finalement Janice se lasse de jouet avec son nouvel animal de compagnie. Elle lui caresse la tête et dit :

– Bonne fille, tu es très obéissante.

C’est tout ce que n’admet pas Jessie de sa collègue, mais elle se mord la langue quand elle remarque que Janice fait la grimace. Malgré sa colère, elle sait qu’il faut qu’elle reste calme. Janice peut très facilement ruiner sa carrière.

****

La semaine de Marcus n’est guère meilleure. Maître John et Maître X l’ont bien occupé. Lundi, il est allé dans un salon de soin et s’est fait épilé complètement. Bien sûr, Maître John lui a fait porter sa culotte en dentelle et ses bas. Mais il n’a pas été autorisé à mettre un pantalon par-dessus. Les Maîtres lui ont fait porter un mini haut blanc et un short court. Aux pieds, il a une paire de talons d’enfants. Les filles du salon ont adoré son look et l’ont ridiculisé sans cesse.

Maître John leur a donné un supplément pour l’humilier autant que possible. Elles ont particulièrement aimé le plug anal qu’elles ont trouvé en épilant son cul. Elles lui mettent dans la bouche pour étouffer ses cris pendant qu’elles épilent son corps.

Le lendemain, Marcus a rendez-vous avec deux médecins. Le premier est un ami de Maître X. Il fait une prise de sang à Marcus, deux injections et il lui donne trois ordonnances. Le second médecin est un chirurgien plasticien qui regarde quelles modifications il peut apporter à Marcus. Il lui fait aussi une épilation au laser sur son visage. Quand Maître John et son esclave rentrent enfin, Marcus le supplie de faire en sorte que son corps ne soit pas modifié.

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Julie Découvre Le Facesitting Pt. 02

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Amateur

Une semaine est passée depuis ma nuit avec Thomas. Je ne l’aime pas particulièrement, mais quelque chose m’attire grandement chez lui, sa naïveté. Depuis que j’ai réalisé que les hommes ne considéraient les femmes que comme des bouts de chair, j’ai compris que j’étais en droit de les traiter de la même manière sans éprouver la moindre honte ni le moindre remord.

Une semaine sans sexe c’est long, je lui demande donc de passer chez moi. Il accepte évidemment. Dans sa situation, il ne peut pas se permettre de faire le difficile. Peu de femmes accepteraient de se faire toucher par un homme si faible que lui.

Après 10 minutes à peine, il sonne déjà à ma porte. J’ouvre, et je le vois avec un grand sourire et un bouquet de fleur. Cela me fait plaisir mais je sens qu’il espère quelque chose en échange de ce bouquet de fleur, et ça ne me plaît pas. Aujourd’hui, c’est moi qui commande, et ce sera pareil à chacun de nos rendez-vous.

Je ne perds pas une seconde et lui ordonne d’aller dans la chambre.

“Qu’est ce que je vois dans ta poche arrière Thomas?”

“Des préservatifs, il faut se protéger non?”

Il a à peine parler que sa voix m’énerve déjà.

“Donne moi ça” Je lui prends ses préservatifs et les jète à la poubelle. “Tu n’en auras pas besoin aujourd’hui”

Il reste sans voix, jusqu’à ce que je passe devant lui pour atteindre le lit, ce qui le fait changer directement de sujet.

“Je vois mal, ou tes fesses ont encore grossies? Je ne savais pas qu’il était possible d’avoir de si grosses fesses pour un corps si mince”

“Et moi je ne savais pas qu’il était possible Escort Beylikdüzü de raconter autant de conneries avec une si petite bouche! Peut être que je devrais utiliser mes grosses fesses pour te faire fermer ton clapet. Allonge toi sur le lit”

Il s’exécuta aussi tôt

“D’accord mais fais attention parce que la dernière fois j’ai…”

“Tais toi”

J’en ai assez de l’entendre jacasser alors je décide de le faire taire avec mes grosses fesses. Il parle de mes fesses et les mâte sans arrêt, il est temps pour lui de les voir de plus près. Il est allongé et essaye de marmonner mais je ne comprends rien car mon jean étouffe tout son qui essaie de sortir de sa bouche. C’est le paradis, enfin le silence!

Des grosses fesses ça peut paraître excitant, mais c’est aussi dangereux si la propriétaire des celles ci est énervée.

Je suis face à ses jambes, son pénis est à portée de mes bras, mais je refuse de le toucher ne serait ce qu’un peu. Ce soir je veux me focaliser sur moi et personne d’autre. Je commence à presser fort contre son visage avec ma vulve, et je retrouve les même sensations que la semaine dernière. Je pousse à intervalle régulier ma vulve contre son visage, ce qui enfonce sa tête dans le matelas au rythme de mon bassin. Mon derrière recouvre entièrement son visage, si bien qu’il ne voit plus qu’obscurité.

“pfoouah doucement tu me fais mal avec ton jean” dit il en ayant réussis à s’extirper de sous mon derrière”

“Je t’ai dit de te taire, peut être que je dois passer à la vitesse supérieure pour que tu apprennes à respecter mes ordres?”

Cela Beylikdüzü Escort Bayan commence à être plaisant, mes coups de bassins contre son visage commencent à être plus puissant et j’ai du mal à m’arrêter.

Il sort sa tête une seconde fois

“respirer, arrête, c’est trop” dit il, peinant à s’exprimer correctement

Il était peut être vraiment dans le mal, mais les ordres sont les ordres. Je ne sais pas ce qui me prend, mais j’ai envie d’être vraiment plus sadique que ça, et avec ses multiples désobéissances, il tend le bâton pour se faire battre

“Peut être que sans mon jean ce sera plus simple pour toi?”

“Oui s’il te plait! le jean fait trop mal j’en peux plus…”

Je retire mon jean et ma culotte, et je colle ma vulve contre sa bouche, toujours tournée face à ses jambes. Les sensations sans le jean sont extraordinaires. Mes fluides dégoulinent sur son visage, ce qui me fait glisser encore plus aisément contre sa bouche et son nez. Mon vagin est gonflé est fait l’effet d’une ventouse contre son visage. Chaque pression contre sa bouche produit un bruit visqueux particulier car il est étouffé par mes fesses, qui sont secouées à chaque mouvement de mon bassin.

Je l’entends lutter pour ne pas se noyer.

A cet instant j’hésite à faire une pause pour le laisser reprendre ses esprits, mais les sensations sont beaucoup trop intenses et je n’arrive plus à m’arrêter.

Ma mouille fait glisser mon vagin contre son visage de manière beaucoup plus rapide et je me frotte sans relâche contre lui.

Il essaie encore de dégager son visage

“Bon Thomas, Beylikdüzü Escort tu commences à m’énerver, arrête de dégager ton visage comme ça à chaque fois. Tu vois bien que je n’en ai pas terminé avec toi? Maintenant tu retournes en dessous et je ne veux plus te voir.”

Ses tentatives de s’échapper m’ont mise de mauvaise humeur et mon excitation est maintenant teintée de colère. Je décide d’arrêter complètement de le ménager et de réellement me lâcher sans retenue. Là où un homme doit faire preuve de retenue durant le sexe, une femme elle peut totalement se lâcher car elle risque beaucoup moins de blesser son partenaire. C’est pour ça que les femmes dominantes sont plus dangereuses que les hommes dominants. Les femmes ne se retiennent presque pas.

Je me frotte contre lui à n’en plus m’arrêter.

Cela pendant plus d’une heure, le cycle est toujours plus ou moins le même.

Je me défoule contre son visage jusqu’à ce qu’il se dégage car il n’en peut plus. Soit j’attends quelques secondes, soit je lui mets une claque bien méritée et je reprends.

Son visage est trempé, le lit aussi. Je m’approche d’un dernier orgasme et je tiens à ce qu’il soit mémorable

Il se dégage

“Arrête…”

Je le baffe “Tais toi”

Je replace sa bouche en face de ma vulve et je reprends encore plus violemment qu’avant, je chevauche son visage tel une adolescente qui se masturbe sur un coussin, à cet instant il ne vaut pas mieux qu’un objet inanimé pour moi.

Mes jambes commencent à trembler, il essaie de se dégager mais je ne le laisse pas faire, je baise son visage de plus en plus intensément jusqu’à trembler de toute part et atteindre un orgasme mémorable.

“Je suis exténuée. ” je m’allonge contre lui tout en gardant mon bassin contre sa bouche car je n’ai vraiment pas envie de l’écouter jacasser.

“Semaine prochaine, même heure?”

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Educatrices Ch. 03

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Angellove77

L’EDUCATRICE .

Texte personnel Coulybaca

Tous les jeunes participant physiquement à l’action sont âgés de plus de 18 ans.

Chapitre 3 : Murielle, l’infirmière…

Plongée dans l’eau chaude et relaxante de son bain, Françoise réflé-chissait : elle ne pouvait nier le plaisir qu’elle avait pris lors de ces copu-lations successives qui lui avaient été imposées, et, malgré sa honte et sa répulsion initiale, son ventre se souvenait encore, sa tête aussi, des orgasmes qui l’avaient secouée .

Cependant elle, qui n’avait jamais trompé son mari, venait de se plier aux désirs de trois adolescents qui l’avaient amenée, par la force il est vrai, à leur accorder beaucoup plus en trois heures qu’elle n’en avait ac-cordé en 16 ans de vie commune à son époux, et pourtant elle n’arrivait pas à se sentir honteuse, non ce qui la chiffonnait le plus c’était de savoir que Miloud avait maintenant barre sur elle et de ne pas trouver de solu-tion qui lui permit de sortir de ce pétrin : refuser d’accéder aux désirs brû-lants de Miloud c’était risquer la divulgation de ses saloperies de photos.

André devant un coup pareil demanderait à tout coup le divorce et ob-tiendrait à coup sur la garde des enfants, qui de toute manière se dé-tourneraient d’elle.

Après le scandale qui s’en suivrait, plus de boulot, les propositions malhonnêtes des individus qui la prenant pour une fille facile en abuserait, et pourquoi pas pour finir le trottoir.

Se soumettre n’était guère plus réjouissant, jusqu’ou Miloud irait-il, jus-qu’ou accepterait-elle d’aller.

Malgré tout, tout ne pouvait être mauvais chez ce garçon, peut-être, si elle se montrait particulièrement gentille et docile, lui rendrait-il ces sata-nés photos…

Elle se sentait prête aux pires bassesses, à accepter les plus grandes compromissions, s’il lui promettait en retour de les lui rendre.

Elle n’arrivait pas à se déterminer une conduite, oscillant entre la sou-mission totale et la fière rebellion qui risquait de lui coûter son boulot, son ménage et peut-être même ses enfants.

Enfin ses enfants rentrèrent de la piscine, Francis gentiment l’assura qu’ils avaient été des plus sages.

Exubérants ils lui racontèrent leur après midi, passée en grande partie, en compagnie d’un jeune du centre… un gars sympa qui leur avait mon-tré comment plonger, nager, faire la bombe et mille tours à exécuter dans l’eau .

Ce rapport la glaça, ainsi ils avaient osés… Leurs menaces n’étaient donc pas vaines… Ils auraient pu…

Avec soulagement elle laissa sa progéniture se plonger dans une ultime révision des cours du lendemain.

Enfin l’époux rentra de son travail fourbu, renfrogné, il s’installa devant le poste télé, se servit un pastis bien tassé et sans un mot se relaxa en vi-sionnant d’un oeil distrait la classe sur FR3 .

Elle lui en voulut presque de cette tranquille assurance… Comment ne soupçonnait-il pas… La croyait-il donc si peu attirante?

La succession monotone des tâches ménagèrent la distrayèrent de ces pensées contradictoires, et c’est plus sereine que le soir venu elle s’étendit aux cotés de son mari.

Plein de tendresse, il sollicita son corps, elle se laissa prendre sans pas-sion, sa chair et son âme comparant sa piètre performance, ce coup vite tiré et la fougue des trois ados qui, l’après midi durant l’avaient si furieu-sement comblée .

Déjà, ses sens réclamaient des étreintes plus brutales, plus conséquen-tes…

Le vendredi suivant, elle partit au boulot décidée à repousser Miloud, à 18 ans et demi, encore influençable, il plierait sûrement si elle se montrait suffisamment ferme

Par précaution, elle s’était tout de même conformée à ses ordres, n’enfi-lant sous sa jupe noire qu’un porte-jarretelles et des bas fumés.

En vue du domaine, elle hésita longuement puis se décida à ôter sa culotte.

Il vaudrait peut-être mieux l’amadouer avant de lui faire part de son refus de se plier plus longtemps au chantage.

Elle se rendit directement à la chambre de Miloud, celui-ci l’attendait de pied ferme, allongé sur son lit.

Elle referma la porte, et tout de suite le poster qui en ornait le revers lui sauta aux yeux.

La grande image, la représentait empalée sur la pine d’un jeune parte-naire, la croupe cambrée, une pine luisante, de bonne taille plantée dans son anus dilaté.

Les visages découpés des trois protagonistes interdisaient une identifi-cation immédiate, il suffisait pourtant de connaître la chambre et le jeté de lit sur lequel se vautrait cette chienne en rut pour la reconnaître dans cette bacchante échevelée.

Miloud sourit ironiquement et lui dit :

– Hein qu’il est beau mon poster… Ou le tien devrai-je dire… Y en a pas mal qui se demandent qui figure sur la photo… Les supposi-tions vont bon train… J’en ai tiré deux autres pour décorer les murs de ma future chambre… Ou pour envoyer à ton mari si c’est néces-saire… Sur ceux là, j’ai laissé les visages!

A ce spectacle et à ce Escort Beylikdüzü discours, Françoise perdit toute sa superbe, muette elle se contenta d’approcher du lit, et sur un bref signe elle se troussa exposant son ventre barré du porte jarretelles et ses cuisses gainées de nylon fumé, le tout encadrant et mettant en valeur sa pilosité exubérante.

– On a juste une demi heure avant le départ des cars, presses toi de me sucer, on verra plus tard pour le week-end! Lui intima-t-il.

Françoise se pencha alors sur lui, descendit la fermeture éclair de sa braguette et sortit l’imposante verge de sa prison.

Comprimée dans le jean, elle avait pris de l’ampleur, Miloud s’étant exci-té furieusement au cours de la mise au point, aussi lui sauta-t-elle au vi-sage dès libérée.

Avec veulerie elle se mit à l’ouvrage, se pencha sur la bite turgide, en-fourna la grosse prune presque violette dans sa bouche, puis glissa ses lèvres tout le long de la longue et épaisse hampe, léchant le gland avec application lorsqu’il frôlait l’orée de sa bouche, elle absorbait la grosse queue jusqu’à la racine, les poils de son pubis lui agaçant le nez, ses progrès étaient étonnants, elle se comportait comme une maîtresse su-ceuse bien que ses débuts dans la pipe fussent si récents .

Fouaillée d’en finir plus vite, craignant l’irruption de qui que ce soit dans la chambre, elle s’acharnait à téter la grosse verge qui lui déformait la bouche.

Miloud ressentait une extraordinaire sensation de pouvoir à contempler cette belle jeune femme, qui en tant normal ne lui aurait accordé que du dédain, obligée de lui téter la mentule sans rechigner.

Et ce n’était encore q’un début, il se promettait de multiples plaisirs avec elle.

Ces idées augmentèrent encore sa fièvre, le volume de sa verge s’ampli-fia encore, Françoise avait maintenant mal aux commissures des lèvres.

Aux premiers soubresauts de sa lourde érection, Françoise reconnut les prémices de sa jouissance, sa bouche se fit encore plus douce, sa gorge encore plus profonde et plus accueillante, elle accentua l’étreinte de ses lèvres sur la racine du gros cylindre de chair, sa bouche aspira encore plus fort tandis que sa langue frétillait à la pointe du méat.

Soudain, en un grand frisson convulsif Miloud éjacula avec un râle de bonheur, projetant son abondante semence en saccades dans les tré-fonds de sa gorge.

Il déchargea longuement, se vidant les couilles comme il l’avait promis la contraignant à avaler son sperme à petites gorgées pour ne pas étouffer.

Il ne lui lâcha pas la tête pour autant, laissant sa bite se ramollir, se rata-tiner dans la douce tiédeur de sa bouche tandis qu’elle lapait les résidus sur la queue, la lui rendant bien propre.

Puis il lui enjoignit d’aller faire son service, il l’attendrait après le départ des cars, et les lèvres poisseuses, luisantes de secrétions elle quitta la chambre, le goût acre du sperme collé aux papilles.

Trois quart d’heure plus tard elle était de retour et se pliait à son interro-gatoire :

– A quelle heure ton mari rentre-t-il ce soir

– Il est parti au salon de Lille et ne rentrera pas… Avant lundi soir!

– Quelqu’un peut-il garder tes enfants?

– Oui… Ma mère le fait lorsque je lui demande… Mais

– Alors viens, on va lui téléphoner… Ca va s’arranger…

La prenant par le bras, Miloud l’entraîna vers le bureau où se trouvait le téléphone.

Y entrant, tout étonnée, elle surprit, Murielle la brune éducatrice de Week-end se livrant à la même activité qu’elle même une heure plus tôt.

Murielle la bouche pleine de Stephan, rougit puis pâlit à la vue de l’arri-vante, Stephan d’une petite tape sur la nuque la rappela à l’ordre, l’invi-tant ainsi à poursuivre sa fellation sans plus s’occuper des intrus.

– J’ai envoyé les petits a la télé avec une cassette de cul, ils ont pris leur plateau repas et iront directement se coucher, sans nous emmerder, après le film… S’ils nous enquiquinent, je les ai prévenus qu’ils auraient tous une raclée et surtout que ce serait terminé les films X, alors tu penses bien… Ils vont nous foutre une paix royale! Annonça gaiement Stephan.

Contemplant Murielle Françoise comprit qu’elle n’était pas la seule à se plier a leur chantage, ce n’était certainement pas volontairement que Mu-rielle suçait la bite de Stephan, et tandis que la hampe coulissait har-gneusement entre les lèvres serrées, les coups de boutoir se faisant plus nombreux et plus violents, Françoise imaginait avec honte le tableau qu’elle aurait offert à qui que ce soit pénétrant dans la chambre de Mi-loud une heure plus tôt.

Le rythme de la fellation se fit plus frénétique, la grosse queue semblait s’enfoncer plus encore dans la gorge de la victime, d’un dernier élan Stephan planta son mandrin au fin fond de la bouche soumise, plusieurs spasmes le secouèrent.

Françoise se représentait les longs jets de sperme gluants frappant les parois lisses des joues, avant de s’écouler dans Beylikdüzü Escort Bayan l’arrière gorge de la su-ceuse, le flot devait être particulièrement important, malgré les rapides mouvements de déglutition de Murielle des larmes blanchâtres suintè-rent aux commissures de ses lèvres, et, lors du retrait de Stephan un long filet spermatique s’étala en larges filaments glaireux sur le menton de la fellatrice.

Comme avide de ne rien laisser perdre, Murielle à grands coups de lan-gue nettoya d’abord la hampe luisante, puis en bonne ménagère appli-quée elle téta les dernières gouttes de semence sur le méat avant de ranger l’objet de sa sollicitude dans le pantalon de Stephan.

Ce dernier proposa à Miloud :

– Si tu veux en profiter… Elle a fait d’énormes progrès, elle a des ta-lents qu’on ne soupçonnait pas, si tu veux y goûter… Elle ne de-mande que ça…

– Non merci… Le remercia Miloud

– J’en sors, bientôt Françoise sucera aussi bien qu’elle, elle aussi est pas mal douée…

– Mais où se trouve Charles?

– Il est parti avec son appareil photo, depuis qu’on a vu l’infirmière se gouiner, il ne désespère pas de la coincer…

– Ce serait terrible, d’avoir chacun notre radasse, faudra tâcher de l’aider et crois moi si on arrive à lui tirer le portrait en pleine activité, ce sera pas plus difficile que pour ces deux là de la faire filer doux… Faut creuser la question… En attendant, tu me passes le téléphone… Toi viens ici… Madame Ledoux va expliquer à ses enfants qu’elle doit remplacer quelqu’un au dernier moment… Préviens aussi ta mère qu’elle devra s’occuper de tes moujingues jusque lundi… T’es bloquée à l’IME jusque là!

Docilement, Françoise prit le combiné des mains de Stephan et compo-sa son numéro.

A l’invite de Miloud, Stephan vérifia sa tenue, et, comme on décrochait à l’autre bout du fil, Françoise sentit une main s’immiscer entre ses cuisses, remonter rapidement jusqu’à son but, défriser sa toison, écarter sa fente, un doigt inquisiteur se ficha dans son vagin légèrement humide.

— Allo Frédérique… C’est maman… J’ai un petit problème… Dit elle alors que du doigt Stephan entamait des allées et venues dans sa gaine, rapidement, il plongea un second doigt dans le tendre ré-ceptacle.

Françoise eut un petit sursaut de douleur, son trou secret distendu à la limite de la souffrance.

— Voilà… Rien de bien grave… Murielle qui était de service ce week-end doit partir d’urgence… Un deuil dans sa famille…

Stephan propulsait maintenant son pouce vers l’avant de la fente, ses petites lèvres s’humidifiaient lentement, son petit clitoris se raidissait sous les manipulations brutales.

— Vous allez… Rejoindre votre grand-mère… Balbutia-t-elle d’une voix hachée, les sensations se faisant de plus en plus fortes.

— Maman… Ca ne va pas? T’es malade? Questionna sa fille in-quiète.

— Non… Non… Ca va… Je suis seulement… Essoufflée… J’ai cou-ru Jusqu’au… Téléphone! Répliqua Françoise tentant de toutes ses forces de se dominer, son ventre la taraudait maintenant, il s’animait d’une houle ardente, elle frottait toute sa vulve sur la paume de la main de Stephan.

D’un geste brusque, il retourna son poignet et voulut forcer du pouce les fronces de son anus récalcitrant.

Pour mieux parvenir à ses fins, extrayant ses doigts du con ruisselant il enduisit copieusement le fondement de ses secrétions intimes, puis réin-séra ses doigts dans le fourreau.

Il poussa d’un coup bref, l’anus de Françoise se déplissa, les sphincters s’arrondirent admettant le pouce fouisseur, Françoise ne put retenir un cri.

— Aïe… Non… Non… Ma chérie… Je me suis heurtée le coude… Contre la tablette… Je… Je préviens votre grand-mère…

Et incapable de contenir plus longtemps ses halètements de jouissance, elle leur livra le spectacle de son orgasme en claquant le combiné sur son reposoir.

Elle n’arrêtait pas de jouir, d’avoir conversé avec sa fille alors que Ste-phan lui manipulait la moule et le cul avait fait sauter les derniers freins de sa libido, cette situation si particulière, malgré la présence indirecte de ses enfants, ou peut-être à cause d’elle, en dépit de son avilissement,

avait réveillé sa nature exigeante, elle savait maintenant que plus rien ne serait plus jamais comme avant, elle avait pris trop de plaisir en cette si-tuation incongrue.

Avec un plop sonore, Stephan extirpa le pouce de son cul et complimen-ta Miloud :

– Tu avais foutrement raison… Elle a le feu au cul… Quelle salope! Sous ses airs de sainte Nitouche, elle démarre au quart de tour, un doigt dans le fion et c’est le 14 juillet… Ah on va pas s’ennuyer, elle nous a demandé des efforts pour se la taper, mais maintenant que tu la tiens bien, tu verras qu’elle finira par y prendre son pied… T’en feras ta chienne, comme moi de Murielle, hein ma salope!

Et tandis que Murielle opinait de la tête, Françoise rougit comme une tomate, Beylikdüzü Escort Stephan venait de traduire crûment tout ce qu’elle cherchait en-core à se cacher, les penchants masochistes qui s’éveillaient en elle et surtout le trouble émoi qu’elle ressentait à sentir son corps, son cul, sa

chatte malmenés sans tenir aucun compte ni de son plaisir ni de son avis.

Elle se sentait rabaissée au niveau d’une poupée gonflable dont on se servirait à volonté de tous les orifices sans jamais solliciter son accord, de plus de savoir qu’elle ne pouvait plus rien leur refuser sous peine du scandale qui naîtrait de sa révolte, de se savoir à l’entière disposition de Miloud et ses copains lui entrouvrait des horizons semés de honte et de plaisirs mêlés.

Ayant repris son souffle et ses esprits, elle téléphona à sa mère, qui bien entendu ne vit aucun obstacle à prendre en charge les enfants, bien trop heureuse, au contraire de pouvoir en jouir tout le week-end.

La porte claqua, Charles les rejoignait.

— L’autre salope est arrivée… Annonça-t-il

— Mais elle est seule, Murielle m’a amené la caméra vidéo de son cocu, après souper on ira voir ce qu’elle fabrique… J’ai coincé tous les volets roulants, comme ça on pourra tout voir et filmer… En attendant… Si on allait bouffer…

Dès arrivé au pavillon, les trois comparses se servirent un apéro, tandis que les filles se dirigeaient vers la cuisine, où tout en préparant le repas elles purent échanger leurs confidences, comparant leurs situations res-pectives.

Murielle s’était fait piéger un mois plus tôt, son mari directeur de banque avait pris du galon et il naviguait de séminaires en conférences.

A ses retours, de moins en moins fréquents en semaine, il se montrait fatigué et de ce fait peu empressé de remplir ses devoirs conjugaux. Bien que très liée à son mari, afin de satisfaire les exigences d’une sexualité tyrannique, Murielle avait pris un amant et le retrouvait discrè-tement sur le seul lieu possible à l’insu de ses enfants, de ses parents et de ses relations, c’est à dire à l’IME.

Ils avaient découverts une clairière paisible, où dans le calme, et à l’abri des regards, du moins le croyait-elle, ils pouvaient se livrer en toute quié-tude à leurs ébats, jusqu’au jour ou des éclairs de flashs avaient figé son

image sur des photos ou on la voyait parfaitement effectuer un 69 pas-sionné avec son partenaire.

La peur du qu’en dira-t-on, la crainte du divorce, de la séparation d’avec ses enfants, du scandale l’avaient conduite à la même situation que Françoise maintenant.

Même sans le témoignage des photos, s’ils parlaient elle était cuite… Son mari ne supporterait pas… Il lui serait facile de prouver… Elle ne pouvait se permettre aucune indiscrétion…

Depuis un mois, tous les week-ends, en échange de leur silence, elle se pliait à tous leurs caprices, virtuellement elle appartenait à Stephan qui avait découvert sa liaison, mais il la prêtait volontiers à ses copains.

Ils en jouissaient tous sans restrictions, l’avaient initiée à la sodomie, la partousaient sans lui demander son avis, la pénétraient à deux, à trois simultanément.

Elle pratiquait maintenant l’art du sandwich, avalait le sperme comme une grande, en un mot elle avait découvert tout un monde de stupre et de fornication qu’elle n’avait même pas jusque là soupçonné.

Elle se réjouissait de voir arriver Françoise, sa servitude en serait d’au-tant allégée, et c’est donc deux fois moins épuisée qu’actuellement qu’à l’avenir elle quitterait le boulot.

Françoise elle même verrait bien que bientôt elle aussi prierait afin que l’infirmière tombe dans leurs rets, car si elle venait rejoindre leur club, c’est autant qui leur serait épargné à elles deux.

Le repas se déroula dans le calme, tous trois réfléchissaient à la meil-leure façon de piéger l’infirmière, ils en discutaient fiévreusement, écha-faudant les plans les plus sophistiqués qui les autoriseraient à soumet-tre la belle rousse.

Ils étaient si absorbés que c’est à peine si, au cours des allées et venues de leurs serveuses, les mains s’égarèrent sous les jupes pour palper distraitement les croupes dodues ou flattèrent sans plus d’insistance les intimités velues.

La vaisselle expédiée, vers 9 heures, ils vérifièrent que les trois petits se trouvaient bien face à l’écran, ils leur rappelèrent leurs recommandations et s’en furent épier la rousse panseuse.

Elle logeait dans une maisonnette en contre-bas, du haut du talus, allon-gé dans les hautes herbes, dissimulé par d’épais buissons, on pouvait sans risque embrasser du regard tout le studio, on apercevait distincte-ment le lit à gauche le long du mur, le coin toilette avec sa cabine de douche et les WC sur la droite.

Pour l’instant, le dos tourné à la baie vitrée, la jeune femme inconsciente des regards évaluateurs regardait la télé.

Les trois comparses, nantis de leurs esclaves, pouvaient surveiller en toute sécurité, éloigné d’une petite vingtaine de mètres tous les faits et gestes de leur proie.

Pour l’instant elle se servait un verre d’alcool bien tassé, son ennui de-vait être profond, car dans les vingt minutes qui suivirent elle ne consomma pas moins de trois verres bien remplis.

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Contrainte 02 – Le Voisin

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Brunette

Avertissement :

Cette histoire, bien qu’indépendante, est la suite de : Contrainte 1- Les deux amis.

Elle est complètement inventée. Les personnages sont fictifs et majeurs.

Si vous n’aimez pas les situations de contrainte, d’humiliation, voire de viol, ne lisez pas.

Le voisin

Il était 13h lorsqu’elle servit le plat. Elle le présenta d’abord à Monsieur RICHMOND.

Il était un client de l’entreprise de son mari. Rarement ce dernier invitait des clients mais il avait expliqué que pour celui-là, il tenait à un geste particulier. RICHMOND était sympathique, très loquace, probablement plus de 60 ans.

Elle s’était habillée élégamment pour l’occasion d’une robe droite rouge qui descendait aux genoux. Elle participait peu aux débats, se contentant de servir les hommes. Elle ne mangeait pas et se tenait prête à satisfaire toute demande en restant debout à deux ou trois mètres de la table.

RICHMOND avait bien été surpris par cela mais son mari avait expliqué qu’il était d’usage chez eux que l’épouse s’occupât du service et mangeât ultérieurement.

– Belle tradition, mon cher! J’aurais aimé que mon épouse fût aussi serviable et… charmante.

Et d’ajouter quelques instants plus tard :

– Auriez-vous du Perrier s’il vous plaît?

Elle revint de la cuisine :

– Je suis navrée monsieur, je n’en ai pas! Nous n’en buvons jamais.

Son mari intervint :

– Il est trop tard pour aller au magasin et ce serait trop long. Va demander au voisin… au n°4… A mon avis, il a tout ce qu’il faut.

– Mais… Chéri… je n’aime pas ce type… Je vais demander aux jeunes à côté.

– NON! Tu vas au numéro 4 et dépêche-toi, ne fais pas attendre notre invité!

Elle n’aimait pas ce voisin à qui elle avait du déjà obéir une première fois, un type malsain. Mais surtout, elle se souvenait de l’ordre qu’il avait laissé : « …la prochaine fois que vous venez me voir, je veux la même tenue!… Avec des talon-aiguilles noirs de 12 cm au moins… ».

Elle se pressa à la lingerie, fouilla au plus vite une armoire de vêtements et en retira tout froissé le pull blanc qu’elle avait porté lors de la séance de tennis. Elle fut plus rapide pour choisir une paire de souliers aux talons démesurés. Elle dévêtit totalement, se couvrit du pull et monta sur les chaussures. Le miroir de l’armoire fut intraitable! Allongées de quelque 12 centimètres, les jambes nues et blanches remontaient jusqu’au pubis complètement découvert, noir de poils. Le petit caraco blanc dégageait le nombril et sa finesse exposait les tétons du 100 de tour de poitrine. Lors de la première séance chez le voisin, elle n’avait pas de souliers et ne s’était pas regardée dans un miroir. Elle n’avait pas imaginé alors la violence de sa tenue.

Elle ne passa que la tête à la porte du séjour.

– Chéri! Veux-tu venir un instant?

Il siffla de surprise et d’admiration. Elle s’expliqua.

– Tu sais, tes copains, Philippe et Francis… ils ont voulu que je… que je sonne chez le voisin… Et… lui… il a voulu que je revienne comme ça! Dans cette tenue!… Tu te rends compte! Laisse-moi me couvrir et aller au n° 6 ou même au 8… Ils sont sûrement moins malades que ce type!

– Ca ne va pas! Tu veux nous fâcher avec le voisin! C’est lamentable! Tu reçois un seul et premier ordre de ce monsieur et tout ce que tu trouves à faire c’est me demander de ne pas obéir! Mais qu’as-tu donc appris, ma pauvre!

Il parlait fort, criait presque, sûrement pour que son invité entende. Elle se mit à regretter sa requête. Elle aurait du se douter de la colère Escort Beylikdüzü de son maître, se douter qu’il lui aurait refusé toute facilité.

– File chercher du Perrier! Et tu me fais tous les appartements s’il le faut! En commençant par le 4!

Elle se retrouva seule dans la cuisine de l’appartement, seule avec son désarroi, seule avec ses peurs.

Après avoir écouté d’éventuels bruits sur le palier, elle ouvrit la porte du hall, passa une tête. Personne. Elle bloqua sa respiration et sonna chez le taré. Pas de réponse. Elle prêta l’oreille et, derrière la porte, entendit des personnes parler, des pas claquer. Puis

silence. Son cœur battait à tout rompre. Que dirait-elle si un autre voisin sortait! Elle sonna à nouveau. Rien ne bougea.

Elle se remémora son précédent passage lors duquel elle avait du tourner le dos à la porte pour présenter ses fesses. C’est donc ce qu’elle fit en espérant avoir bien supposé. « Ouais, gagné! » pensa-t-elle lorsque la serrure se fit entendre. Elle fit face.

Il était là, petit, gras, le sexe dans la main.

– Ma parole, c’est ma belle voisine… QUEL CUL! GROS CUL… Tourne-toi… T’es sacrément poilue de la chatte… Tourne encore!

– Parlez doucement… je vous en prie… si… si…

Une large main claqua les fesses fortement et bruyamment.

– Qu’est ce que tu veux, salope?

Elle refit face.

– Je… je voudrais du Perrier? Est-ce que vous en avez? Une bouteille s’il vous plaît.

Elle pria pour qu’elle n’ait pas à sonner aux autres portes.

– EST-CE QUE JE T’AI DIT DE TE RETOURNER?

Affolée par la voix puissante et résonnante, elle se tourna immédiatement.

– Je vais voir! Attends là!

Le salaud! Il la laissait sur le palier.

Soudain, elle entendit une clé dans la porte de l’appartement en face, au n° 8. Elle entra précipitamment chez le petit, gros voisin et referma. Des pas martelèrent l’escalier quelques instants.

– Qu’est ce que tu fous chez moi! Qui t’a dit d’entrer!… Bon, puisque tu y es, suis-moi!

Elle rejoignit le type et entra dans son séjour.

Ils étaient 3 autour de la table : une femme et deux hommes qui la fixèrent non sans surprise en admirant la belle, droite, rouge, silencieuse. Il la présenta comme « sa putain de salope de voisine toujours à poils ». Ils éclatèrent de rire. Il partit chercher la boisson.

Elle attendait, debout devant eux, les bras le long du corps, la tête basse. L’un des hommes claqua des doigts pour la faire venir à ses côtés. Sa main fila dans la touffe de poils noirs et aussitôt un doigt puis un second pénétrèrent son intimité.

– Elle mouille la garce!

Elle ne pouvait hélas pas contrôler ses sécrétions. Les situations humiliantes lui faisaient toujours cet effet même si elle ne les aimait pas. Son maître de mari l’avait bien compris. Le second se leva et vint se placer derrière la fille.

– Putain! Elle a un gros cul! Gros mais beau!

Il est vrai qu’elle avait des fesses vraiment bien rebondies. Hilare, il les tapotait pour les faire bouger, trembler, sauter. L’autre lâcha sa prise poilue, se leva et fit comme son collègue mais sur la poitrine.

– He! Jean, viens voir ça…

Jean, puisque tel était le nom de son dégoûtant voisin, arriva avec une bouteille de Perrier à la main. Il admira les seins et les fesses durement secoués de droite à gauche, de haut en bas au gré des claques.

– Laissez-moi! Arrêtez!… Puis-je avoir la bouteille?

– Ouais… tu peux… mais tu me ramènes la consigne dans 5 minutes exactement.

Elle put ainsi échapper Beylikdüzü Escort Bayan aux mains vicieuses et courut jusqu’à la porte de l’appartement. Elle prêta l’oreille avant de sortir et rentrer chez elle.

Elle fila à la cuisine en vitesse. Son mari devait s’impatienter. Il fallait qu’elle vide la bouteille pour la rendre dans les 5 minutes. Elle trouva une carafe, en principe dédiée au vin, y versa le Perrier. Puis elle se couvrit d’un imperméable et alla servir monsieur RICHMOND. Elle s’excusa de son retard.

– Je dois encore m’absenter pour rendre la consigne! Notre voisin l’a exigé… Tu sais, mon Chéri, il est très spécial…

Elle espéra un instant qu’il la dispenserait de l’obligation. Mais hélas, il l’encouragea à retourner à ses turpitudes.

Et une seconde fois, elle se trouva devant la porte, en mini caraco blanc et souliers noirs, à attendre que Jean daigne l’ouvrir, ce qu’il fit qu’après qu’elle eut montré son cul à l’œilleton. La femme était partie, seuls les deux autres types étaient encore présents. Ils ne perdirent pas un instant pour la coller devant et derrière. Ils recommencèrent le jeu des claques sur les seins et les fesses. Jean se masturbait.

– Attend, dit l’un d’eux… J’ai une idée!… Recule-toi… Elle va sauter… sauter sur place… Allez salope, fait bouger tes loches et tes fesses… T’es molle! SAUTE… PLUS HAUT… PLUS VITE…. Ouais… ENCORE…

Jean éjacula droit devant lui avec un énorme juron. Un des deux appuya ses mains sur les épaules de la fille qui comprit qu’elle devait se mettre à genoux. Une longue bite arriva devant ses yeux, devant sa bouche, dans sa bouche. L’homme était beaucoup trop excité pour se contenir. Elle n’eut pas le temps de se retirer quand le liquide jaillit abondamment. Elle en

avala un peu et reçu le reste sur le visage. Alors elle prit conscience des doigts qui fouillaient sa chatte, vivement, en entrées et sorties, en frottant son clitoris en même temps.

Elle se maudit de ressentir un plaisir à ces attouchements. Déjà à genoux, elle dut plonger en avant en portant ses mains de chaque côté de

l’homme assis par terre devant elle. Elle dut enfourner en bouche la grosse bite présentée. Ses fesses, finalement plus hautes que son visage, n’en furent que plus exposées aux deux autres. Une cuisse passa sous son ventre tandis qu’un bras enserra sa taille par dessus. Elle était tenue dans un étau puissant.

– On va l’enculer… Je m’étais juré de l’enculer…

– Attend, répondit l’autre… Moi j’viens de cracher… Faut que je récupère!

– T’inquiète, pas besoin… File-moi la bouteille!

– Tu vas lui foutre dans le fion?

– Ben oui connard… C’est pas pour boire!

En entendant ces mots, elle se débattit pour essayer d’échapper à la presse des bras, mais en vain, ils étaient bien trop forts. Voyant Jean approcher le goulot de la bouteille, le type assis devant elle retira son membre de la bouche.

– Faudrait pas qu’elle me morde, la chienne!

Un bout froid vint se poser au bord de l’anneau. Elle se débattait encore.

– NON… PAS CA… ARRETEZ…

– Bâillonne-la… Elle va ameuter tout l’immeuble cette poufiasse!

Sa bouche fut bourrée d’un tissu et une main ferme vint la presser pour étouffer tout cri.

Le bout froid tourna sur lui-même, de gauche à droite puis inversement. Il se fraya un premier passage qui ouvrit le sphincter. Déjà les 3 premiers centimètres du goulot lui firent très mal. Elle n’eut pas le temps de s’habituer. La bouteille s’enfonçait.

– Qu’est-ce qu’elle est serrée! Beylikdüzü Escort Jamais vu ça… Il doit pas l’enculer souvent son mec…

La douleur fut rapidement terrible. Elle avait l’impression qu’un énorme pieu la pénétrait. Elle sentait ses chairs étirées, et encore, et encore. L’homme assis devant elle en eut un orgasme et éjacula sur le visage en pleurs. Et puis, tout lui sembla flou et puis plus rien! Elle venait de s’évanouir.

– Merde, elle flanche la conasse! Arrête d’enfoncer… Faut la réveiller tout de suite…

– Ouais, répondit cyniquement Jean… Faudrait pas l’enculer et qu’elle sente rien!

– Va chercher de l’eau.

Lorsqu’elle ouvrit les yeux, elle se vit allongée sur le côté, libre de ses bras, une terrible douleur au cul. Elle n’osa pas bouger mais vit autour d’elle les trois individus. Jean prit la parole.

– T’es vraiment trop serrée du cul ma pauvre! Aussi, on t’a laissé ta bouteille… dans le cul bien sûr, histoire de t’habituer…

Ils éclatèrent de rire.

– Tu pourras la montrer à ton mec et lui dire que je vais m’occuper de toi dorénavant… Crois-moi, dans quelques temps, tu sauras la prendre sans te plaindre…

Elle ne pouvait pas resserrer son trou et même n’osait pas essayer de peur de réactiver la terrible douleur.

– Toi, dit-il à son compère, enlève lui son gode… Elle risque d’y prendre du plaisir!

Ils rirent à nouveau.

Il ne fut guère tendre pour retirer la bouteille mais prévoyant, il lui avait fermé la bouche d’une main ferme. Nul hors de l’appartement n’entendit son hurlement.

– Allez dégage maintenant… N’oublie pas de dire à ton mec que je vais m’occuper de ton cul… d’ailleurs, la prochaine fois que je te croise, tu me le montreras tout de suite! Compris?

Elle acquiesça, se releva très péniblement et s’en alla, non sans marcher avec difficultés.

Elle retraversa le palier de l’étage et rentra chez elle. Monsieur RICHMOND était parti. Son mari buvait un dernier whisky au salon.

– Mon chéri, ce qui vient de m’arriver est terrible… Je… J’ai été violée chez le voisin! Il faut déposer plainte… J’ai très mal! Ils étaient trois… Je ne pouvais rien faire pour leur échapper.

– Comment t’ont-ils prise? T’ont-ils prise par la chatte?

– Eh… non… dans la bouche et derrière… derrière avec… la bouteille de Perrier… Je suis peut-être blessée.

– Fais-moi voir.

Elle se pencha en avant pour lui monter l’anneau anal.

– Mais non, ça va, pas de blessure… Ton trou est un peu ouvert, c’est tout! Rien de bien méchant… Dans une heure ou deux, il n’y paraîtra même plus. Que de manières pour pas grand-chose!

– Mais tu es fou! Je te dis qu’ils m’ont fait très mal! Je me suis même évanouie…

Il se mit en colère.

– Tu n’as pas été prise dans la chatte et tu n’es pas blessée, alors cesse de pleurer, ça m’énerve. Crois-tu donc qu’être ma compagne soit un acte de pur plaisir? Jamais ça ne le sera. Je veux tes larmes, tes peurs, tes douleurs, surtout pas ton plaisir. Si tu n’es pas capable de me donner ça, tu peux partir, tu ne vaux rien pour moi. Tu mériterais que je te renvoie chez lui!

– Non, pitié, pas ça… Excuse-moi, je ne me plaindrai plus… Promis… Mais garde-moi à tes côtés… Je… je lui obéirai si tu veux, comme à Philippe et Francis. D’ailleurs c’est eux qui m’ont envoyée chez le voisin.

– Ils ont été bien inspirés, déclara-t-il un peu magistral

– Encore… le voisin a exigé que je te dise qu’il… qu’il allait s’occuper de… de mon cul… Je devrai lui montrer si le je rencontre…

– Et bien voila! C’est beaucoup mieux. Ca, j’aime. Donc, c’est réglé : tu lui obéiras comme aux deux autres et tu lui montreras ton cul si tu le rencontres, n’importe où, je dis bien n’importe où!… Maintenant, tourne-toi que je t’encule à mon tour.

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