Soumise à Mon Beau-Fils Ch. 02-03

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Amateur

JOUR 6 — MARDI – A VOS ORDRES

Le mardi matin, j’étais épuisée. J’avais très peu dormi, tourmentée par ce qui venait de se passer et terriblement inquiète de ce qui allait arriver. Les ordres de Rémi le copain de mon beau-fils étaient dramatiquement clairs :

Madame, vous n’avez pas bien obéi!

Vous n’auriez pas dû vous sauver.

Je vous avais prévenue : gare si les filles désobéissent

Mardi, à 11h, nous avons une pause.

On vous attend au même endroit devant le bahut.

Vous devez venir vous présenter à nous.

Génuflexion et garde-à-vous devant vos maîtres.

Et comme punition : seulement deux boutons fermés au chemisier

Les hommes prirent leur petit déjeuner comme d’habitude et partirent à 8h15. Théo ne fit aucune allusion au rendez-vous de 11h. Etait-il au courant? Etait-ce une initiative de Rémi seul?

Le temps passa lentement jusqu’à 10h30 même si je noyais mes pensées dans le ménage. Et puis, il fallut bien que je me vêtisse. Ce fut vite fait : mes chaussettes blanches montantes, mes souliers noirs, ma jupe écossaise rouge et mon chemisier blanc. Je n’osai même pas me regarder dans un miroir.

A 10h55, je roulai doucement devant le lycée et pâlis lorsque je vis Rémi accompagné de trois autres garçons, trois garçons que je ne connaissais pas. Mon beau-fils n’était pas avec eux. Je me garai quelques mètres plus loin, déboutonnais mon chemisier. A 11h exactement, je sortis de la voiture. Ils étaient heureusement seuls dans la rue.

Je baissais la tête en avançant, n’osant pas les regarder. Ils cessèrent de parler lorsque, rouge écarlate, je fis un geste de génuflexion sans doute ridicule, puis me mis au garde-à-vous.

Mes seins, seulement tenus par deux boutons, offraient un décolleté des plus osés. Les globes de chair blanche s’étalaient dans tous les espaces disponibles. Ma jupe ultra courte, large, pas très propre ne demandait qu’à être relevée. Mes jambes nues semblaient plus longues que jamais en raison du choc de couleurs créé par les souliers noirs et les chaussettes blanches. Une pure honte.

– Les gars, dit Rémi, je vous présente ma soumise. Comme vous le voyez, elle est à ma botte. C’est une grosse pouffe. Elle adore se promener à poil. Je peux vous dire qu’elle n’a même pas de culotte. Fais voir à mes copains que t’as pas de culotte.

Je relevai ma jupe et ils jurèrent à la découverte de ma touffe noire. Dans mon milieu, on ne se rasait pas, on ne s’épilait pas, vielle France oblige. Un grand s’approcha, porta deux doigts dans mon décolleté et tira d’un mouvement sec. Les deux malheureux boutons sautèrent et ma poitrine s’étala devant eux en pleine rue. Puis je dus me tourner et montrer mes fesses. Plusieurs mains s’y portèrent jusqu’à ce qu’on ordonna :

– Stop, pas ici, allons dans le petit parc là derrière.

Ils m’emmenèrent en me tirant par ma jupe jusqu’à un petit carré vert quelque peu protégé des passants. Alors ce fut un déchainement de mains sur mon corps. Ma jupe fut roulée sur les hanches, ma chemise termina je ne sais où. Rapidement, je me trouvais penchée en avant pour sucer une bite, tandis qu’une autre me pénétrait la chatte, tandis que deux autres sexes occupaient mes mains. Ce viol me dégoutait profondément mais mon corps réagit quand même aux multiples caresses. Point toutefois jusqu’à l’orgasme. Les jeunes tellement excités ne mirent pas longtemps avant de lâcher leur semence et j’en eus autant dans la bouche, que dans le sexe, que dans les mains.

Ils m’abandonnèrent au milieu de la verdure, je dus chercher mon chemisier pour fuir en espérant ne pas avoir été vue.

Je passais un après-midi emplie de honte, de rage. Je m’étais fait piéger comme une gamine. Dès le début, j’aurais du refuser le chantage. Maintenant, c’était fichu. Les petits monstres avaient pléthore de photos pour poursuivre leurs mauvaises actions.

Théo rentra à 17h du lycée. J’osai l’interroger.

– Dis-moi, savais-tu que Rémi ton copain allait profiter de moi?

– Comment ça, que veux-tu dire, tu as vu Rémi, demanda-t-il?

– C’est-à-dire, il… il m’a fait venir au lycée tout à l’heure. Tu le savais?

– Ben non, j’savais pas. Quel enfoiré, il en a profité tout de suite. Mais, ma pauvre, que s’est-il passé? Raconte-moi.

Il semblait sincère et j’avais besoin d’en parler, d’évacuer la terrible pression que je subissais. Je tombai en pleurs sur le canapé et lui relatai mes déboires, sans entrer dans les détails bien sûr. Je finis par parler du viol, le visage en larmes caché dans mes mains. Sa question me ramena brusquement à la réalité :

– Alors ‘çoise, ils t’ont enculée?

Stupéfaite, j’ôtai mes mains du visage pour ouvrir les yeux… sur la bite de Théo, droite, bandée, grosse, juste devant moi. Je n’eus pas le temps de parler que je me vis embouchée par l’excroissance du male. Il me tenait pas les cheveux et s’activait brutalement.

– Suce ma salope, suce à fond… Putain, t’es bonne… T’as eu ta dose aujourd’hui… N’aie pas peur, t’en aura encore emek escort demain… Alors ils t’ont… Enculée… Ahhhhhhhhhh

Je dus tout avaler.

JOUR 6 — MARDI – Incidents de soirée — Triste présage

Le soir, Théo me mit encore à l’épreuve. Alors que nous prenions le repas à trois avec son père, il commença son jeu vicieux.

– Tu sais ‘pa, Françoise nous a fait un délicieux repas hier soir. Et cerise sur le gâteau, elle nous a très bien servis, Rémi et moi. Merci Françoise, c’était sympa de ta part.

– J’aime quand tu t’occupes bien de mon fils, ma chérie. Il le mérite avec tout le boulot qu’il a au lycée. Ton copain était content aussi?

– Ouais, très content. Il a adoré le repas et aussi le service. Tu sais ‘Pa que Françoise a un joli tablier?

En présence de son père, il prenait le soin de prononcer mon prénom entier au lieu de ce « ‘çoise » dédaigneux. Je le fixai comme s’il était un extra-terrestre. Pour ses 18 ans, il avait déjà un culot monstre. Son père mangeait, comme toujours le nez dans l’assiette avec un journal à côté. Les discussions étaient généralement réduites au minimum tant il était pris par ses lectures. Il ne répondit pas à son fils.

– Françoise, fais-moi plaisir, mets ton tablier comme hier. Tu étais vraiment trop mignonne. Je suis fier d’avoir une belle-mère comme toi, fier de te présenter à mes copains.

Je le fusillai du regard mais il s’en protégea d’un sourire narquois. J’allai donc à la cuisine mettre mon tablier. Dessous, je portais un chemisier et un pantalon. Quand je revins, mon mari daigna relever le nez pour un acquiescement rapide et replonger dans sa lecture. Mais mon beau-fils, toujours moqueur, agita de gauche à droite son index ponté vers le haut pour signifier un NON catégorique. J’entendis même ce claquement de langue que l’on envoie aux enfants qui vont faire une bêtise, ce tssii,tssii, tssii tellement traditionnel et vexant.

Je lui répondis d’un non de la tête et pris place à table. Nous mangeâmes le plat.

– Tu sais ‘pa, j’ai appris un truc affreux hier… Dans la classe, y a une fille des banlieues, sympa, une belle gonzesse… On a appris qu’elle avait mal obéi à ses frères, j’sais pas vraiment à quoi, mais je sais qu’ils l’ont punie. Il paraît qu’ils sont sans pitié dans le quartier. Si une fille n’obtempère pas parfaitement, ils appliquent toujours une sanction.

Théo me regarda fixement en énonçant sa dernière phrase. Je compris qu’il s’adressait à moi qui venais de désobéir ; mes craintes furent suspendues à ses lèvres. Philippe leva son nez. Peut-être que la notion de punition lui faisait de l’effet.

– Ben continue Théo, tempêta son père!

– Oui… Il paraît qu’un mercredi matin… oui, c’est ça… un mercredi matin… Comme demain… elle a dû aller au square Beaufort, vous connaissez ce petit parking?

– Oui bien-sûr, dit Philippe, c’est un petit parking avec un terreplein au milieu, il y a beaucoup de clochards qui y passent la nuit.

– Justement, continua Théo, ils lui ont donné ordre d’aller réveiller les clodos en leur servant du café. Ils lui avaient préparé un thermos et des verres en plastic.

– Donner du café aux malheureux, voila une bonne action, s’exclama Philippe sans savoir que mon cœur s’accélérait au fur et à mesure de l’énoncé de la sanction dont je ne doutai pas qu’elle me serait destinée et plus dure.

– Je n’ai pas dit DONNER du café mais SERVIR du café! Ce n’est pas pareil. En plus, à 8h du matin, juste avant les cours, elle devait avoir sa tenue d’élève. Tu sais ‘pa que les filles ont des tenues réglementaires?

– Oui, oui, je m’en souviens, dit Philippe. Un peu osé pour des clochards en effet mais elle n’a pas raté ses cours comme ça.

– Ce n’est pas tout, hélas pour elle, poursuivit Théo en me regardant droit dans les yeux. Elle a du se mettre entièrement à poil pour servir les mecs, j’ai bien dit entièrement à poil, vous vous rendez compte!

Oh oui que je me rendais bien compte, bien compte de ce qui allait m’arriver! Ma culotte s’humidifia, non de plaisir mais d’urine de peur.

– N’a-t-elle pas pu obtenir le pardon de ses frères, demandai-je?

– Ma pauvre Françoise, tu rêves. Elle n’a eu que le droit de conserver ses chaussettes blanches et ses souliers noirs! Ils lui ont dit : d’abord tu obéis à notre ordre premier, ensuite tu accomplis ta punition.

– C’est vraiment dur, dit mon mari. Il faut de la sévérité, j’en conviens, mais ça c’est de la torture. Elle n’a pas essayé de résister?

– Oh que non, continua son fils, car faute d’obéir entièrement à l’ordre et à sa punition, ils l’ont menacée de… de devoir… eh… de devoir…

– Ben quoi, m’exclamai-je affolée?

– De devoir sucer tous les clodos, répondit-il en me bloquant le regard.

Je ressentis un courant électrique depuis mes chevilles jusqu’au ventre, un peu comme un vertige d’altitude. Un peu d’urine encore s’échappa dans ma culotte. Théo venait de m’annoncer ma punition eryaman escort et même le risque supplémentaire en cas de désobéissance.

– Françoise, demanda le petit monstre, tu nous sers une glace, tu sais, une glace comme hier?

Livide, je filai à la cuisine, y ôtais mon pantalon, ma culotte, mon chemisier et mon soutien-gorge. Je ne conservai que mes mules et mon tablier. Avec deux coupes de glace préparées, je jetai un œil dans la salle à manger. Théo attendait, une main sous la table ; Philippe avait repris la lecture de son journal. Je m’avançai.

Philippe occupait le petit côté de la table de salle à manger, Théo était à sa gauche. J’arrivai dans le dos du premier et déposai sa glace. Par chance, il ne vit rien, restant absorbé par sa lecture. Passant derrière lui, je posai la coupe de Théo. J’avais une terrible envie de fuir en cuisine, mais la perspective de futurs tourments me força à rester trois pas en retrait, à attendre qu’ils mangent.

Théo, voyant que je restai dans le dos de mon mari, me fit signe d’aller bien en face d’eux. Je me déplaçai alors autour de la table jusqu’à venir à la place que j’avais occupée devant les deux gamins. Seules les bouches faisaient du bruit. Théo me regardait en souriant. Il attendait patiemment que son père lève la tête. Ca ne tarda pas.

Je vis son regard venir sur moi, ses sourcils se froncer, une rougeur lui monter aux joues.

– Mais qu’est-ce que c’est que cette tenue? Qu’est ce que tu fais comme ça? Pourquoi tu restes plantée là?

– Françoise, s’exclama Théo à son tour, tu te rends compte? Tu te mets nue sous ton tablier devant ton fils? Je suis ton fils quand même!

– Je… j’avais chaud… pardon. Je ne le ferai plus.

– File dans ta chambre! Je ne veux plus te voir. Et ne recommence plus, hurla mon mari.

Le cœur battant d’une indicible honte, je partis à reculons.

Le soir, mon mari me baisa. Assez rapidement comme toujours mais peut-être plus vigoureusement.

JOUR 7 — MERCREDI – Les clochards

Je servis les petits-déjeuners plus tôt que d’habitude car les hommes partaient de bonne heure. Mon beau-fils sifflotait comme si la vie était belle. J’essayai bien de lui parler discrètement pour quémander une indulgence mais je ne réussis pas. Si bien que lorsqu’il partit, j’étais dans une monstrueuse incertitude : est-ce que la punition détaillée hier au soir m’était vraiment destinée? Tantôt, je la considérais comme une véritable histoire de quartier, tantôt comme un ordre implicite.

Théo s’était révélé être un grand pervers et à son âge, on a peu conscience de la réalité. J’étais sûre qu’il avait rêvé, imaginé cette immonde situation et qu’il me l’imposait par pur sadisme. En plus, par hasard ce matin-là, il était parti tôt pour me laisser seule dans le tourment.

Finalement, par crainte de pire encore, je me décidai à aller servir les clochards.

Je n’avais pas beaucoup de temps : me vêtir, faire du café, arriver au parking pour 8 heures. Terriblement nerveuse, je me pressai entre mes vêtements, le thermos, les tasses, courus à la voiture, arrivai deux minutes avant l’échéance.

Sur environ dix places disponibles en arc de cercle, il n’y avait que deux vielles voitures garées. Il faut dire que personne ne laissait un véhicule de luxe la nuit dans cet endroit. Au-delà du parking, quelques buissons feuillus, puis quelques arbres, avec entre eux au milieu, deux bancs. Il n’y avait qu’un seul clochard enfermé dans une couverture sur le premier. Je me réjouis de ne voir qu’un malheureux.

Après un coup d’œil aux alentours, je laissai ma jupe et mon chemisier sur le siège. Il fallait que je me presse avant que la ville ne se réveille. Le froid du matin me saisit. Mes tétons prirent une dimension démesurée. Nue, à l’exception de mes chaussettes blanches et de mes souliers noirs, je courus jusqu’au banc et tirai la couverture du visage.

Il était tellement moche que je poussai un cri. Age entre cinquante et soixante, barbe pas rasée, peau rouge d’alcool. Il ouvrit les yeux, sourit : ses dents jaunes éparses apparurent comme dans un visage de film d’horreur.

– Tenez, monsieur, voici du café. Dépêchez-vous, je n’ai pas de temps.

Il peinait à se redresser, aussi l’aidai-je. Mal m’en prit car alors il se rendit compte de ma nudité.

– Mais t’es à poil toi! C’est le Secours Populaire qui fait ce cadeau. Putain, y a longtemps que j’ai pas vue une gonzesse à poil. T’as pas froid aux yeux! Eh les gars, venez voir.

A ma grande surprise, deux types arrivèrent aussitôt, sortis de nulle part, un grand maigre et un autre de taille moyenne. Ils devaient avoir dans les 25 ans, encore deux jeunes hommes égaré sur les chemins de l’alcool. Je leur fis face en avançant une tasse de café. Le premier la saisit en auscultant ma chatte très poilue, le second de même. Alors que je remplissais la seconde tasse, par derrière une main brutale vint se fourrer entre mes jambes. Le premier clodo du banc venait esat escort profiter de l’occasion. Je donnai la tasse, me retournai sèchement en chassant la main intrusive. Mais tout aussitôt, deux mains bloquèrent mes épaules dans mon dos, une autre arriva dans ma raie, puis un doigt dans mon anus. Je poussais un cri de douleur, j’essayai de me délivrer. Une sorte de combat s’enclencha dans lequel je me débattis contre six mains. Avec leurs maudits doigts, ils tirèrent mes poils, mes tétons, pénétrèrent ma chatte, élargirent mon anus. Ca dura quelques longues minutes au prix de grandes douleurs.

Je finis par me dépêtrer de ces pauvres types et courus à ma voiture m’y enfermer. Je fis rapidement marche-arrière pour quitter le parking et encore nue, je retournai chez moi. Une fois dans mon garage, je voulus me vêtir mais ma jupe et le chemisier avaient disparus. Je n’avais pas fermé la voiture à clé, quelqu’un avait volé mes vêtements. Théo?

Je passais la fin de matinée longtemps tremblante de l’agression des clochards. Je ne leur en voulais pas vraiment, pauvres types. En revanche, ma haine envers mon beau-fils ne faisait que croitre.

Alors que je mangeais seule à midi, mon estomac se contracta quand je pris conscience de ne plus avoir de jupe écossaise rouge. Je ne pourrai plus satisfaire aux obligations des voyous et donc, je m’exposais à de terribles punitions. En plus, comme un malheur ne vient jamais seul, il semblait impossible de trouver une autre jupe identique, le sex-shop n’en avait plus. Il me fallait négocier un changement de tenue avec Théo. Après coup, je me dis que j’étais vraiment sotte de croire que c’était possible!

Je lui envoyais un SMS.

S’il te plaît Théo, cesse ce jeu. C’est épouvantable pour moi. J’ai 43 ans, je suis trop âgée pour de telles tenues. En plus, ce matin, on m’a volé ma jupe écossaise rouge et on n’en trouve pas dans les magasins. J’ai obéi, laisse-moi tranquille maintenant. Si tu veux, je porterai une autre jupe courte.

Il me répondit, cinglant :

Je n’ai rien à foutre de tes hontes, belle-mère. Jamais tu ne remplaceras ma mère. Tu n’as pour toi que d’avoir un beau cul, alors crois-moi, tu vas le montrer.

Je veux que tu te présentes à moi, en tenue, lundi prochain, à 12h exactement.

A chaque jour de retard, tu perds 5 cm à ta jupe et une taille à ton chemisier.

Etais-je bête de penser qu’il serait indulgent. Je pris un annuaire et téléphonai à tous les commerces de vêtements du coin. Aucun n’avait ce type de jupe. Je fis des recherches sur internet, j’en trouvai mais les délais de livraison n’étaient pas garantis et à cinq jours au plus tôt. Je voulus appeler le sex-shop où j’avais trouvé la première jupe mais son numéro ne figurait pas dans l’annuaire. Je me résolus donc à retourner sur place.

En ce milieu d’après-midi, il n’y avait personne dans le magasin. Le vendeur sembla me reconnaître. Il ne devait voir beaucoup de femmes en chair et en os dans son antre.

– Bonjour. Je suis venue il y a quelques jours chercher une jupe écossaise rouge. Je voudrais en acheter une autre.

– Ben, je vous ai dit que j’en avais qu’une seule! Vous ne vous souvenez pas?

– Si bien sûr, répondis-je, mais peut-être avez-vous des collègues qui en ont ou bien vos fournisseurs? Vous pouvez les contacter?

– Ouais, je peux essayer, faites un tour dans le magasin pendant ce temps là.

Je passai quelques minutes à regarder le déballage d’objets sexuels de toutes sortes, de revues de toutes sortes.

– Ecoutez, dit-il, je peux en avoir une auprès d’un fournisseur. Je viens de l’appeler, il en a de disponibles. C’est 120 euros. Je vous montre sur son catalogue.

– Inutile, d’accord, ça me convient. Mais vous la recevrez quand?

– Normalement, mardi fin de matinée.

– Pas avant, m’exclamai-je, mais c’est trop long pour moi. Vous ne pouvez rien faire?

Je devais me présenter le lendemain, le lundi à 12h!

– Pas le choix, ma petite dame, mardi ou jamais.

Le repas du soir se déroula normalement. J’avais les plus grandes craintes que Théo ne m’obligeât encore au tablier mais il n’en fit rien. Je passais une nuit réparatrice, un peu moins tourmentée que ces derniers jours.

JOUR 8 — JEUDI – Complètement nue

Ce jeudi matin, comme chaque jour, je me levai la première à 6h45, préparai le petit-déjeuner pour le pour le servir aux hommes à 7h15. Par réflexe, je consultai mes messages et je reçu alors le premier choc de la journée dans un message de Théo :

Tu prépares et sers le petit-déjeuner avec tes escarpins noirs et une serviette de bain.

Une phrase, une seule phrase assassine et j’étais à nouveau plongée dans l’enfer de la honte et de la crainte. Comment pourrai-je expliquer ma tenue à Philippe? Je n’hésitai pourtant pas sachant les risques de la désobéissance. Je laissai ma chemise de nuit à la salle de bain, me mouillai mes cheveux pour faire vraiment « sortie de bain », me couvrit d’une grande serviette. Ma tenue était plausible mais elle le devint nettement moins lorsque je chaussai mes escarpins. Ils étaient noirs, élégants, élancés voire pointus, hauts de 12cm. Théo avait un don pour la perfidie car les souliers suffisaient pour tuer l’aspect normal de ma tenue.

Je l’entendis descendre le premier. Je suppose qu’il voulait vérifier ma soumission.

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Une Promenade En Forêt 2

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Blonde

– Ben justement c’est c’qui nous plait! Allez, à g´noux!”

Tandis qu’elle se met lentement à genoux, ses gros nichons viennent balloter devant la grosse pine de Tonton dont l’érection grossit à vue d’œil.

Mince, de son côté, Jojo a baissé culotte et présente à quelques centimètres de mon visage sa grosse queue bizarrement tordue au gland décalotté de la taille d’une clémentine. Il est couvert de sécrétions blanchâtres et pue une abominable odeur de vieille pisse et de sperme macéré.

– Allez, suce ma zézette! me dit-il.

– Jamais…

– Tonton! Y veut pas sucer ma zézette!

– Ah y veut pas!, rugit Tonton, Puisque c’est ça tu vas voir c’qu’on va faire à ta pute! Vous deux, t’nez lui les bras!”

Roger et René attrapèrent les poignets de Marie-Hélène tandis que Tonton, l’empoigne par les cheveux et la force à approcher son visage de sa queue. De l’autre main il déboucle son ceinturon, l’enlève et enroule l’extrémité de la boucle autour de sa main.

Le premier coup s’abat sur les fesses rebondies de Marie-Hélène qui pousse un cri de surprise. “Alors, me dit tonton, là c’était une caresse, mais si tu lui suces pas la queue je continue plus fort sur ta femme – Ok, ok, arrêtez, je vais lui sucer sa bite à ce petit salaud, mais arrêtez de fesser ma femme!

J’ouvre la bouche et enfourne le gros gland puant au fond de ma gorge. J’ai un haut le cœur et manque de vomir tant la pine du débile sent mauvais, mais surmontant mon dégout je me mets à pomper tandis que Jojo m’appuie sur la nuque en ricanant. Du coin de l’œil, je jette un coup d’œil à ma femme.

Marie Hélène me regarde avec effarement. Elle en aurait presque oubliée qu’elle est à poil devant des psychopathes. Moi en train de sucer une queue! Jamais elle n’aurait imaginé un tel spectacle!

Tonton regarde en se marrant :

Rien de tel qu’un bon bourge pour sucer de la bite. Et rien de tel que sa femme pour sucer la mienne. Allez c’est pas le tout, mais y a mon engin qui s’impatiente. Suce ma salope.

Marie Hélène a les yeux fixés sur l’énorme truc qui vacille devant ses yeux. A quelques centimètres de l’engin, elle n’en croit pas ses yeux

– C’est sur que c’est pas ton calibre habituel, fait Tonton goguenard. Mais comme t’as une belle bouche de suceuse, tu vas bien t’en tirer je suis sûr.

Marie Hélène entrouvre doucement les lèvres puis, résolument, comme si elle se jetait à l’eau, elle se met à pomper Tonton tout en lui massant les couilles d’une main

– Mais c’est que tu y mets du tien ma jolie, etimesgut escort on dirait qu’une pine de cheval ca t’excite hein ma salope, mmm, tu suces pas si mal! Ouais ma cochonne, tu me même fais bien triquer là, tiens ajoute-t-il en lui palpant les mamelles avec gourmandise, vas-y doucement, je te réserve mes giclées pour plus tard.

Le spectacle offert par Marie Hélène m’excite au plus haut point. Tout en suçant l’infâme débile, je ne peux détacher mes yeux du spectacle de ma femme, la croupe bien tendue reposant sur ses pieds et avec cet énorme braquemard dans la bouche.

Merde, me dis-je, on dirait qu’elle prend son pied maintenant.

Paf, le débile vient de me donner une mandale parce que j’ai un peu trop appuyé sur sa bite je me remets à pomper plus doucement. Son gros gland m’étouffe mais la vérité c’est que je bande encore plus.

A côté de Tonton, Roger a carrément baissé culotte et se branle doucement, ses yeux porcins mi-clos

– La bonne truie, qu’est ce qu’elle va prendre, elle va en avoir plein la vulve.

– Et le trou du cul ajoute René qui, s’étant couché par terre pour avoir le visage à hauteur du cul de Marie Hélène, a entrepris de faire pénétrer sa langue dans l’anus de ma femme.

En voyant cette grosse langue lui fouailler la partie la plus intime de son anatomie, je ne peux m’empêcher d’avoir un frémissement du bassin. Elle aussi d’ailleurs, je le vois d’ici, cette salope!!!

Tonton le remarque et entreprend de lui pétrir encore plus les nichons tout en enfonçant rythmiquement sa grosse queue dans la bouche.

Ah t’aimes ça, je le sentais bien ma jolie pétasse, tu vas être mon sac à foutre de luxe. Allez, maintenant lève-toi comme une bonne petite pute obéissante et assied toi sur le rebord

Marie Hélène s’exécute docilement et s’installe cuisses écartées, totalement offerte. Roger et René se sont mis à gauche et à droite et la pelotent tandis que Tonton positionne son braquemard devant sa chatte. D’un coup il s’enfonce en poussant un grognement puis il commence à la pilonner tout en palpant ses seins avec appétit

Les salauds sont excités comme des babouins en rut. Tonton fait coulisser son énorme queue dans la chatte trempée de Marie Hélène. Incroyable, la salope a les yeux mi-clos et semble prendre son pied! L’autre s’en est rendu compte et lui chuchote des saloperies à l’oreille. Maintenant il a placé ses mains sous sa croupe et la soulève rythmiquement en poussant des ahanements de etlik escort bête tandis que Roger et René frottent leurs queues sur les flancs de ma femme. Tandis que leurs mains palpent ses mamelles et tirent sur ses tétons, ils la matent avec le regard de mecs qui viennent de passer un an de taule sans voir une nana. Le spectacle m’excite tellement que je me surprends à sucer avec application la bite de Jojo. Le petit fumier a l’air d’apprécier, il ronronne de plaisir et me pousse la nuque pour que je pompe plus profond. Putain, il me prend pour sa femelle. J’espère qu’il ne va pas lui venir l’idée de me la mettre dans le cul, son truc me déchirerait. Jojo est de plus en plus excité il demande :

– Tonton, je peux lui détacher les mains, je voudrais qu’il me caresse les couilles!

Tonton grogne sans arrêter ses mouvements de va-et-vient dans le minou de Marie Hélène :

– Détache le et fais ce que tu veux, si il n’est pas sage, tu cognes.

Tandis qu’il me détache Tonton continue de soliloquer

– Putain qu’elle est bonne sa pétasse.. Tu sais que tu es bonne toi, reprend-t-il en remontant encore plus haut les cuisses de Marie-Hélène.

Elle a ouvert les yeux et pousse des petits gémissements de plaisir.

T’es une bonne petite salope lui dit Tonton en faisant tourner son sexe dans celui de ma femme qui pousse un soupir comme je ne lui en ai jamais entendu!

Fallait juste que tu trouves une grosse biroute adaptée à ta petite grotte. T’aimes les grosses pines hein ma jolie pouffiasse, t’aime beaucoup ça les grosses pines!

– Oui, oui répond Marie Hélène, en le regardant avec des yeux de chienne en chaleur, encore, encore!

Tonton accélère le rythme

– T’inquiète pas ma beauté, je vais te bourrer et pas qu’une fois. T’as de la chance j’ai les couilles bien pleines. Hummmm, René et Roger au lieu de vous branler sur elle, rendez-vous utiles et tenez lui les cuisses encore plus haut, je vais bientôt tout lâcher.

Les deux comparses de Tonton ont chacun empoigné une cuisse de Marie Hélène et lui écarte bien l’entre jambes. Tonton accélère comme un malade et Marie Hélène pousse de grands beuglements à chaque fois que le vit du gros porc vient cogner au fond de son vagin dans un bruit de clapotis.

Jojo est très excité par le spectacle, il m’a fait tourner pour mieux voir et me force à le sucer plus vite. Le petit merdeux va tout lâcher j’en suis sûr.

Tonton sort tout d’un coup son membre du con de Marie Hélène. eve gelen escort Tenez la bien, dit- il à Roger et René , et il dirige son énorme queue comme une lance à incendie vers les nibards de ma femme. Une puissante giclée de foutre vient se répandre sur sa jolie poitrine. Une deuxième atterrit bientôt sur son visage tandis qu’elle jouit à perdre haleine.

Jojo se met à jouir à son tour et son liquide crémeux et âcre vient encombrer ma bouche. Je manque étouffer et suis obligé de déglutir et d’avaler encore et encore avant que Jojo ne retire sa pine de ma bouche. Je m’écroule alors dans l’herbe et ma main peut enfin branler ma bite qui me fait mal tellement j’ai envie.

Pendant ce temps, Tonton s’est éloigné de ma femme ; sa trompe a un peu molli et il s’approche d’abord de Jojo pour lui tapoter la tête : il suce bien le petit mari de la bourge, hein mon Jojo?

– Oh oui, c’est une bonne lui aussi dit Jojo en rigolant.

– On va voir dit Tonton qui s’assied à côté de moi et m’empoigne la tête pour amener mes lèvres sur son engin.

– Nettoie avec ta langue, dit-il, que je puisse m’occuper de ta femme quand les deux autres l’auront enfilée.

J’ai du mal à ouvrir suffisamment grand la bouche pour le truc de Tonton et me contente dans un premier temps de lécher le pourtour de son gland où je retrouve l’odeur de la cyprine de Marie Hélène.

Un gémissement de sa part m’indique que Roger et René ne sont pas restés inactifs pendant ce temps. Ils l’ont fait descendre et elle est à quatre pattes sur le sol, au dessus de René dont elle suce le sexe tandis que Roger la prend en levrette en lui claquant ses fesses qui deviennent rouges tant il y met du cœur!

Tonton se marre et me chuchote,

– ta salope est tellement, tellement bonne que je crois qu’après cette séance, on va l’emmener dans un endroit qu’elle va aimer, y-a une vieille école qui sert plus à rien maintenant, pas loin d’ici, et je la verrais bien nous faire un petit spectacle si on invite des amis. Je suis sur qu’elle a des escarpins talons haut et une bonne petite robe un peu salope un peu bcbg, t’iras chercher tout ça hein?

– Dis donc me dit-il sans attendre de réponse, tandis que son sexe se remet à grossir dans ma bouche, c’est vrai que tu suces pas si mal, une vraie petite femelle!

Tandis que je lui fais son début de pipe, les autres tarés s’excitent de plus en plus. Roger pousse un beuglement. Maintenant, il accélère en empoignant les hanches de Marie Hélène. De là où je suis, je vois ses longs cheveux noirs plongés dans l’entre-jambes de René qui est en train de jouir en couinant. Mmm, j’aimerai voir son visage de catin à cet instant me dis-je, tandis que Roger profère des insanités et jouit à son tour alors que Marie Hélène parcourue d’un immense frisson, vient enfin s’écrouler dans l’herbe, le visage et les cuisses dégoulinant de sperme.

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Manon en Enfer 19

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Creampie

TOURNEE SEXE 3

————————-

Bien que son client suivant n’arrive que dans une demi heure la prostituée reste nue allongée sur le lit.

Quand on frappe à la porte de la chambre elle se lève et va ouvrir la porte sans se vêtir.

Elle est étonnée car c’est une femme d’un certain âge, sous le maquillage elle s’aperçoit que la peau du visage est ridée, elle porte des vêtements élégants, c’est sans aucun doute une personne d’un niveau social supérieur.

– bonjour madame, entrez –

– je m’appelle Nadia –

– bienvenue madame Nadia, moi c’est “la putain” –

– je sais Bernard me l’a dit. Pourquoi veux tu qu’on t’appelle comme ça –

– parce que j’en suis une et que mon vrai prénom celui de femme honnête et sérieuse n’existe plus depuis que monsieur Bernard me prostitue –

– bon! montres moi ce que tu sais faire, Bernard m’a dit que tu n’étais pas radine concernant le plaisir que tu donnes à tes clients et clientes –

– madame je fais tout ce que je peux pour leur plaisir et satisfaire mes souteneurs –

– alors arrêtons de parler, je suis ici pour les actes et uniquement pour ça –

Manon l’étreint et l’embrasse, leurs langues se mêlent dans de longs baisers que la femme fait durer pendant que sa langue s’agite beaucoup dans la bouche de la prostituée.

Nadia lui caresse le dos et les fesses pendant qu’elle la déshabille commençant par déboutonner le corsage avant de le retirer et de s’attaquer au soutien-gorge, elle se baisse un peu pour embrasser et lécher les seins tombants et assez plats. Ensuite elle s’en prend aux téton qu’elle lèche, suce, aspire ou mordille.

Puis c’est la jupe qui tombe sur le sol suivie de la culotte peu élégante. Une fois qu’elle est nue Manon a la confirmation que Nadia est loin d’être une jeunette, la peau est bien fripée et flasque , les muscles ont disparu.

Cela n’empêche pas Manon de faire correctement ce pourquoi elle est là.

Elle se baisse en pliant les genoux puis caresse, embrasse et lèche le corps de sa cliente en partant du ventre et en descendant entre les cuisses, le sexe est très peu poilu.

Manon se relève et tout en étreignant la femme elle la fait reculer jusqu’au lit sur lequel elle s’assoit laissant se jambes pendre.

Se mettant à genoux la prostituée écarte avec ses mains les jambes de Nadia et place sa tête entre les cuisses. Elle embrasse le sexe avant de fourrer sa langue dans la grotte puis pour varier elle lèche aussi le clitoris qu’elle trouve proéminent.

Sa cliente qui veut participer finit par la repousser puis s’allonge sur le dos.

Manon se place à côté d’elle, les deux femmes s’embrassent et se caressent partout pendant un moment avant que la putain ne change de position se mettant tête bêche sur sa partenaire.

Les langues se mettent en action alternativement dans les chattes çankaya escort et sur les clitoris pendant qu’épisodiquement les mains caressent ce qu’elles peuvent atteindre du corps de l’autre.

Un doigt de Manon pénètre dans la chatte de Nadia et commence à s’y agiter pendant qu’avec sa main libre elle s’en prend au bouton qu’elle masturbe.

Comme elle en a pris l’habitude quand elle copule avec une femme elle introduit aussi un doigt dans l’anus mais s’aidant d’une main Nadia fait sortir l’intrus des son orifice anal.

Manon ne se formalise pas de ce refus et accentue la vitesse des aller retour des deux doigts qui fouillent maintenant la chatte de la femme ainsi que de ceux qui martyrisent le clitoris.

Il lui faut s’activer pendant un moment avant que le corps de Nadia ne commence à bouger et qu’elle geigne un peu. La prostituée continue ce qu’elle a entrepris pendant que les fesses de sa cliente remuent et se soulèvent de plus en plus, elle râle.

Enfin le résultat arrive, le corps de la femme est agité par des tremblements, elle pousse des cris pendant que plusieurs fois la chatte s’ouvre et se ferme comme une huitre et que des jets de cyprine sortent du vagin et arrosent les mains de Manon et le lit.

La prostituée ne veut pas relâcher la pression qu’elle exerce sur sa proie qui n’est plus active et n’arrive plus à gérer les sensations qu’elle ressent dans son ventre, elle se met à genoux à côté de la femme et continue à doigter rapidement la chatte et à masturber vigoureusement le clitoris tout en essayant d’embrasser sa partenaire ce qui n’est pas facile car elle bouge beaucoup et dodeline de la tête.

Patiemment elle martyrise sa victime et obtient un nouvel orgasme. Elle ne s’arrête pas là sachant qu’elle va faire jouir la femme de plus en plus facilement et c’est ce qui arrive encore plusieurs fois.

Manon regarde Nadia qui la bouche ouverte cherche l’air, râle et crie beaucoup, elle a le plus souvent les yeux fermés et quand elle les ouvre ils sont de plus en plus vitreux.

Quand après s’être acharnée dans le but de la tuer sexuellement la prostituée cesse de torturer la femme celle-ci reste inerte et respire bruyamment, elle met un bon moment avant d’émerger de l’état second dans lequel elle se trouve.

Elle finit par se lever, se dirige vers la salle de bain et fait couler l’eau de la douche en faisant varier plusieurs fois la température.

De retour dans la chambre elle rassemble ses affaires et se rhabille tout en s’adressant à Manon.

– tu es une sacrée putain, tu ne fais pas semblant quand tu baises –

– je fais simplement mon travail madame –

– Bernard a raison de profiter de toi même si la façon dont il le fait n’est pas élégante –

– monsieur exerce un chantage sur moi madame –

– je sais qu’il cebeci escort a fait de toi son esclave sexuelle, il m’a tout raconté. Il a raison vu comment tu te comportes au lit. Il aurait tort de ne pas profiter d’une putain comme toi –

– vous approuvez son comportement madame –

– oui! j’espère qu’il te prostitueras encore longtemps et tant que tu en seras capable. Tu ferais mieux de quitter ton mari maintenant car il finira par savoir qu’il vit avec une putain et la séparation est inévitable –

Manon abasourdie par ce qu’elle entend reste bouche bée.

– bon! je te laisse j’ai autre chose à faire et je pense que tu vas encore écarter les cuisses aujourd’hui et y prendre du plaisir –

oui madame je vais encore faire l’amour mais le plaisir sera pour ceux ou celles que je vais recevoir.

Nadia sort de la chambre sans un mot de plus et sans se retourner.

Sa cliente partie Manon se lave et elle a à peine le temps de s’essuyer qu’on frappe de nouveau à la porte.

Quand toujours nue elle ouvre la porte se sont deux hommes qui entrent.

– je m’appelle Ange et mon collègue c’est Eddy, tu sais pourquoi on est là –

Manon répond sur le ton de la plaisanterie.

– je présume que quand on vient voir une prostituée ce n’est pas pour jouer aux cartes –

– c’est bien d’avoir de l’humour dans ton métier peu valorisant pour une femme –

– il en faut des comme moi, la preuve vous êtes là, c’est que nous sommes utiles –

– oui les femmes comme toi permettent de se vider les couilles en dehors du mariage même s’il faut payer et aujourd’hui ce qui est intéressant c’est que tu nous est offerte gratuitement.

– monsieur Bernard m’offre à qui il veut, je n’ai rien à dire, je dois juste satisfaire les besoins sexuels des hommes qu’il m’envoient comme pour vous maintenant –

– assez parlé, passons à l’acte –

Ils s’approchent de Manon, l’embrassent chacun leur tour, elle répond à leurs baiser mêlant volontiers sa langue à la leur.

Ils caressent le corps offert sans pudeur à leur vue, s’attardant sur les seins ou entre les cuisses. Manon palpe les queues à travers les pantalon.

– messieurs vous seriez plus à l’aise si vous enleviez vos vêtements –

Les deux hommes obéissent pendant que Manon se dirige vers le lit ou rapidement ils la rejoignent.

Leurs mains se gênent quand ils veulent peloter la poitrine, agacer les tétons, caresser ou doigter la chatte pendant que Manon triture ou masturbe les pénis qui se dressent fièrement.

Leur envie de prendre Manon est trop forte, ils ne s’attardent pas zappant les caresses et les préliminaires.

Manon se retrouve à genoux, un homme est assis devant elle et l’autre positionné derrière elle.

Pendant qu’elle prend une queue dans sa bouche l’autre s’enfonce dans çukurambar escort sa chatte.

Elle fait une fellation gênée par les déplacements de son corps qui bouge avec les coups de reins donnés par celui qui défonce sa chatte.

Rapidement sa gorge reçoit des giclées de sperme puis c’est au tour de son vagin d’être arrosé de semence.

Les deux hommes bandent toujours, ils échangent leur place.

Avant que son intimité ne soit de nouveau investie par un pénis le sperme s’en échappe et coule sur le lit.

Elle suce la verge qui se présente devant sa figure pendant que sa chatte se fait de nouveau défoncer.

La fellation dure plus longtemps avant que le pénis qui fait des aller-retour dans sa grotte n’y laisse sa semence, pendant ce temps Manon continue à sucer et la verge finit par tressauter dans sa bouche et envoyer du liquide dans sa gorge, elle avale avant d’abandonner la membre qui commence à débander.

A genoux entre les jambes des deux hommes qui sont allongés côte à côte Manon caresse les ventre, les cuisses puis les queues qu’elle malaxe et masturbe ensuite.

Quand les pénis donnent de nouveau signe de vie, à quelques minutes d’intervalle, elle se penche. Manon lèche puis suce une queue tout en masturbant la deuxième ensuite elle passe de l’une à l’autre sans arrêt pendant un moment.

Pendant qu’elle est occupée à sucer la verge de Eddy, Ange se place derrière Manon et la prend en levrette mais cette fois en enfonçant la queue dans l’anus.

Eddy doit patienter un bon moment pendant que Manon se fait sodomiser, ce n’est que quand Ange s’est retiré après avoir déversé son sperme dans les intestins de Manon qu’il vient lui aussi enculer Manon.

Elle mouille de plus en plus et le plaisir monte dans son ventre mais elle n’a pas le temps de jouir car Eddy éjacule dans son cul et se retire.

Après un court instant de répit ils demandent à Manon de les faire bander, ce qu’elle fait avec ses main et sa bouche.

Enfin l’un des deux, Ange, bande de nouveau. Il se déplace et se positionne derrière Manon et la sodomise pendant qu’elle remet Eddy en forme.

Ensuite les deux hommes se relaient dans son cul qu’il défoncent pendant un moment sans éjaculer.

Le plaisir dans son ventre devient trop intense, elle jouit bien avant que le premier homme n’éjacule dans son cul puis les aller-retour de la queue du deuxième homme durent encore un bon moment dans son fondement avant qu’il n’y déverse son sperme.

Les deux hommes en ont assez, ils se rhabillent et partent après avoir dit leur satisfaction à Manon qui s’en fiche se disant qu’elle n’a fait que ce pourquoi Bernard l’a envoyé ici.

Elle se lave puis se couche dans les draps tachés de sperme et de mouillure.

Le jeudi matin Manon reprend la route et c’est dans un hôtel à Limoges qu’elle fait étape. Vêtue comme la prostituée qu’elle est devenue, elle attend debout sur le parking. A l’heure prévue un homme vient à sa rencontre.

– c’est toi que monsieur Bernard appelle “la putain” et qu’il m’envoie comme cadeau –

– oui monsieur –

– viens, j’ai réservé une chambre ici car chez moi ce n’est pas possible, ma femme est là toute la journée –

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Blonde

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Elisabeth et Marc sont marier depuis 40 ans ils se sont connu au début de leurs études au secondaire et sont tout de suite tombé en amour l un de l autre. Mais depuis un certain temps Elisabeth a l impression que Marc se concentre plus sur sont travail et la délaisse. Marc à fonder une boite de pub avec son meilleur ami Pierre et Elisabeth a fini ses études au barreau et est maintenant avocate. Bien qu’elle gagne beaucoup plus que Marc cela ne la jamais déranger car elle est une femme qui aime avoir le control et gagner. Elle va au gym deux fois semaine et aime prendre soin de son corps et le contempler. Pour la décrire un peu ces une femme de petite taille pas trop grande un bonnet c et des fesses bomber mais ferme.

Cette semaine alors qu’elle était devant juge et jurer pour sont plaidoyer et qu’elle n n’avait pas mis de petite culotte sous ca toge. Elle senti l excitation monter en elle a l idée de se pavaner devant toutes ces personnes qui ignorais qu’elle ne portait pas de dessous féminin sous sa toge et soudain elle senti ca petite chatte se remplir de liquide, elle du prendre quelques seconde de pause afin de reprendre sont souffle tellement elle était excité.

Aujourd’hui pendant son heure de lunch elle eu l idée d envoyer un texto a Marc pour l inviter a l hôtel, elle lui expliqua qu’elle allait prendre une douche se préparer et l attendre nue, a genoux et les yeux bander et comme a la cour cela l excitais terriblement de ne pas voir qui la regardais et quelle partie de son anatomie il regardait. Pendant se temps au bureau Marc avais laissé sont portable sur sont bureau par ce qu’il avait une envi pressante et étais parti au petit coin immédiatement. Pierre qui cherchais demetevler escort des papiers urgent entra dans le bureau de Marc et voyant le téléphone clignoter sur le bureau ne pu s empêcher de l ouvrir et lire le message qui ne lui étais pas destiner. Il avait toujours été attiré par Élisabeth mais comme elle sortait avec sont meilleur ami il était toujour rester dans l ombre.

Comme elle avait fixé le rendez vous a Marc a 16h et qu’elle n n’aimait pas les retard et étais très ponctuel il décida de se présenter a l’hôtel a 15.30h il ne pensa même pas a Marc qui se présenterais a 16h il n avais qu’une idée la voir a genoux toute nue devant lui. Lorsqu’ il arriva a l hôtel il monta a la chambre il découvrir une porte entrouverte Élisabeth avais placé un soulier pour la garder entrouverte, délicatement il poussa la porte et découvrir Élisabeth toute nue et a genoux par terre au pied du lit. Il entra et Élisabeth qui entendu le bruit de pas se crispa soudainement sont souffle étais comme saccader elle avait du mal à respirer bien qu’elle sache que c étais sont mari qui étais avec elle dans la pièce.

Pierre défi sa ceinture et enleva sont pantalon puis son caleçon il n étais vêtu que d une chemise cravate devant cette superbe créature qu’il convoitait depuis longtemps. Prenant quelque instant pour admirer son corps nue il s approcha doucement d elle et mis sont membre dresser et dur comme il ne l avais jamais senti devant ses lèvres entrouverte. Élisabeth qui croyais que son mari se trouvais devant elle et sentant son membre devant ses lèvres entrouvrir la bouche afin qu’il puisse y pénétrer, il y avait quelque chose de différent, peut être l excitation de ne pas dikmen escort le voir

Il regardait son membre s engouffrer dans cette bouche humide et senti sa petite langue tournoyer sur son gland, elle commença à faire un mouvement de va et vient et pierre sentais l excitation monter dans sa queue. Déjà une demi heure c étais écouler et Marc arrivais a la porte de la chambre ou Pierre se fais sucer. Pierre avais oublié de retirer la chaussure qui retenais la porte de la chambre ouverte, et Marc regarda a l intérieur pour y voir sa femme a genoux qui suçais un étranger, mais au lieu de la colère il ressenti un immense plaisir à voir sa femme prendre le membre d un inconnu dans sa bouche. Il entra doucement et resta prés de la porte sans dire un mot comme pour ne pas les déranger, mais Pierre entendis un bruit et se retourna il vit Marc qui les regardais, il avait les mains dans les cheveux d’Élisabeth et lui tourna doucement la tête de façon a se que Marc voit sont membre bien dur dans la bouche de sa femme. Marc décida de se rapprocher un peu du spectacle qui s offrais a ses yeux.

Ces alors que Pierre aida Élisabeth à se relever et la poussa doucement, Élisabeth leva les mains pour enlever son bandeau, mais Pierre poussa sur ses bras et ses alors que Marc lui ne l enlève pas tout de suite attend que je te le dise et Pierre la poussa délicatement sur le lit et elle se retrouva coucher sur le dos devant les deux hommes. Pierre écarta délicatement ses jambe et descendit sa bouche contre sa chatte mais sans lui toucher, elle pouvait sentir le souffle chaud de sont mari et soudain elle senti une langue frôler ses lèvres de bas en haut et effleurer sont petit clito déjà elvankent escort elle mouillait abondamment. Puis la langue se mis à entrer, sortir et se promener dans tout les sens sur ca chatte. Élisabeth n avais jamais rien ressenti de pareille c est comme si il la découvrait pour la première fois sa bouche avais un appétit vorace. Elle était tellement concentrer sur cette bouche qu’elle ne s aperçu pas que quelque un d autre lui attrapais les jambes pour lui monter et les ouvrir complètements afin que Pierre puisse bire tout son jus et ce désaltérer. Pierre pris alors son membre et le plaça a l entrée de la chatte d’Élisabeth, c est alors qu’elle s’aperçu qu’un autre lui tenais les jambes. Elle se mit à crier et se débattre mais Marc lui enfila sont membre dans la bouche pour la calmer et l empêcher de crier. Quand a Pierre il poussa légèrement mais comme Élisabeth étais déjà tres mouiller il entra jusqu’ au fond sans forcer et Élisabeth figea en sentant cette envahisseur dans sa petite chatte. Marc en profita pour lui baiser la bouche, pendant que Pierre augmentais le rythme au fur et à mesure que sont désir montais.

Les deux hommes retournaire délicatement Élisabeth pour la mettre a quatre pattes et Pierre et Marc se réintroduire très rapidement Pierre dans sa chatte et Marc dans sa bouche, mais cette fois Marc qui voyais son ami fourrer sa femme devant lui poussa son membre dans la gorge de sa dulcinée pendant que Pierre lui s enfonçais de plus en plus vite et profond. Marc poussa une dernière fois tout au fond de la gorge et Élisabeth senti un liquide couler et descendre jusqu’ a sont estomac. C est alors qu’ elle se mis a convulser et elle eu le plus gros de tout les orgasme qu’ elle n avais jamais eu elle senti Pierre entrée le plus profond qu’ il le pouvais pour décharger sa semence tout au fond de son ventre et elle eu une autre orgasme . Marc décida d enlever le bandeau d’Élisabeth et quand elle aperçu Marc devant elle ne pu s empêcher de se retourner et découvris Pierre encore en elle en train se finir de se vider sans capote dans sa petite chatte

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Amateur

1.

Une première rencontre c’est toujours difficile et stressant. Cette fois-ci, j’étais très confiant puisque nous étions en contact depuis près d’un an. Quand je dis en contact je suis bien en-dessous de la vérité, mais je vous l’écrirais plus tard. Cela faisait tellement longtemps que j’attendais cet instant, devant cette Femme belle et sauvage qui m’avait déjà totalement dompté sans même que je l’aie jamais vue, alors qu’Elle me surveillait quotidiennement.

Le pavillon était discret dans cette banlieue proche de l’est parisien. Une allée en gravillon menait à une double porte d’entrée en chêne massif, impressionnante. La demeure semblait ancestrale, puissante. J’avais été surpris de l’absence d’instruction pour cette présentation, alors que ma vie était rythmée depuis près d’un an par chacun de Ses ordres, chacune de Ses exigences. Là l’ordre tant attendu était enfin tombé, suivi d’un silence insupportable d’une semaine. Nous étions un samedi de printemps, les cerises seraient bientôt mures aux arbres, je sonnais, sans arriver à maîtriser un tremblement dans mes mains.

J’attendis 10 bonnes minutes. J’avais clairement perçu le son émis, aussi je me gardais de recommencer. Attendre, c’est cela ma première fonction, être totalement passif devant les évènements. La porte s’ouvrit devant une jeune fille qui devait avoir 16 ans. Elle était d’une fraicheur et d’une beauté à couper le souffle. Il devait y avoir une erreur quelque part. Son regard bleu me transperçait, me détaillant de bas en haut sans aucune gêne. Elle était pourtant encore en vêtements de nuit, avec un boxer en soie et un petit haut qui masquait à peine sa poitrine juvénile bombée. Sa peau était de miel et ses longs cheveux blonds ondulaient sur ses épaules. Une apparition. J’étais incapable du moindre mot, et en fait elle n’en attendait pas de moi. Cela dura une éternité, sans doute deux ou trois secondes, puis je tressaillis en remarquant comme elle ressemblait à ma Propriétaire, cette Femme qui avait pris totalement possession de moi.

« Tes clés, ton portefeuille. » La voix était sans réplique, le regard était posé. J’obéis sans hésiter et sans plus réfléchir. Elle referma la porte, me laissant perplexe sur le perron. Que devais-je faire? Rien sans doute puisque de toutes façons je n’avais plus d’argent ni de clé, donc je ne pouvais rien faire. Je ne savais pas qu’Elle avait un enfant. Pourtant Elle semblait jeune, je lui donnais 30 ou 35 ans, pas plus. De toute façon cela faisait longtemps que je ne contrôlais plus rien.

Deux heures plus tard, la porte s’ouvrit à nouveau. La jeune fille ne s’était pas changée et était toujours aussi fraiche et jolie ; elle me fit rentrer dans une grande pièce meublée très moderne ; le contraste était saisissant avec l’aspect de la maison, et je dois dire vraiment superbe. Les couleurs étaient claires, les meubles semblaient confortables. Un grand canapé en toile écrue s’allongeait aux pieds d’une table en verre, accompagné de deux fauteuils du même tissu, avec de gros coussin moelleux. Un Gabbeh réchauffait l’atmosphère avec ses teintes rougeoyantes. Seul détail incongru, mais qui me rassura, une croix de saint André était fixée au mur en face du canapé, pouvant être masquée par un rideau. Elle était magnifique, faite de poutres épaisses, peinte en or et rouge, à la fois menaçante, mais aussi rassurante par sa solidité.

« Nu » L’ordre sec claqua dans sa bouche, m’obligeant à sortir de ma torpeur. J’enlevais mes vêtements aussi vite que possible. La jeune fille les prit, les mis dans un sac poubelle, je croisais mes mains dans le dos, écartant les jambes, comme j’avais appris à le faire en position d’attente. Celle-ci fut très courte, la jeune femme m’intima l’ordre de me mettre contre la croix, dos à celle-ci. Mes bras étirés vers le haut furent fixés par des attaches en cuir, de même pour mes jambes. La traction était douloureuse, je me mettais sur la pointe des pieds pour me soulager. Voilà, je ne pouvais plus rien faire, sinon attendre. Détailler un peu plus la pièce, le bureau en merisier sur lequel trônaient quelques photos. Je crus deviner ma Maitresse avec deux enfants, aurait-elle ainsi d’autres descendants? Mes yeux se fermaient, plus de lassitude et de souffrance que de réelle envie de dormir. Je repassais le film de cette dernière année, de ce premier contact sur un site de rencontre. C’est Elle qui avait remarqué mon profil, ma recherche d’absolu. C’est Elle qui avait tout dirigé, jusqu’à prendre possession du moindre aspect de ma vie, pour m’amener ici, à sa merci. Définitivement, je l’espérais, en le craignant, tant je ne savais pas la signification que cela pouvait prendre. Elle ne me l’avait jamais explicité.

2.

Je ne mesurais pas le temps qui s’écoulait, les rideaux avaient été tirés, la lumière était faible. De façon irrégulière la jeune fille revenait vers moi, sans jamais un mot, venant simplement ajouter à ma situation difficile quelques supplices supplémentaires. Ce fut d’abord un bâillon dans la bouche. Un bâillon en forme de sexe d’homme qu’elle enfonça doucement dans ma gorge. Je retins batıkent escort plusieurs hauts le cœur tandis que l’engin se faisait une place dans ma gorge. Ma respiration était difficile, angoissante. Elle sera très fortement la courroie autour de ma tête, moins pour maintenir l’objet en place que pour me contraindre un peu plus. Je passais plusieurs minutes à réguler ma panique, ne pouvant plus avaler, je bavais hors de ce bâillon, un canal étant prévu pour cela. Evidemment très vite ma gorge obstruée fut très douloureuse.

Plus tard elle vint serrer autour de ma taille un court corset de cuir. La manœuvre de fut pas facile car j’étais solidement étiré par la croix, mais elle me força pour serrer complètement la camisole qui me coupa ma respiration déjà difficile. Je senti la tension du cuir sur ma peau, tandis que la pression était insistante. Elle tira encore pour s’assurer qu’avec le nœud rien ne se détendrait. Je sombrais dans une somnolence faite de souffrance, de cris et d’halètement masqués par ce bâillon si pervers. Mes pensées étaient désordonnées, je ne comprenais pas, je ne comprenais plus pourquoi j’étais ainsi traité après tous ces mois de dressage.

La morsure d’une pince sur mon téton me fit sursauter. Une grosse pince crocodile rouge y était suspendue, mordant méchamment dans la chair, lestée d’un lourd poids, qui tira cette fragile chair vers le sol. Le second subit la même morsure, me coupant le souffle. Je ne pus croire qu’elle allait me laisser plus de quelques minutes avec cette douleur atroce, mais elle repartit sans se retourner, toujours aussi peu bavarde. Je comprenais que mon calvaire était loin d’être fini.

Je la vis revenir avec une fiole remplie d’un liquide jaune. Elle me désaltéra en enfilant une paille dans le trou du bâillon prévu à cet effet. Le liquide descendit directement dans ma glotte. Je devinais plus que je ne goutais qu’il devait s’agir d’urine. La sienne? Cette idée me fit bander, sans que je puisse rien n’y faire. Elle s’en aperçut, fronça les sourcils, mais continua à vider toute l’urine prévue. Rapidement ma tête tourna, je ne sais pourquoi, mais je me mis à être terriblement excité. Le supplice pouvait ainsi continuer. Elle revint cette fois tout de suite avec plusieurs accessoires. Un anneau métallique qu’elle sera à la base de mes couilles, une sorte de cockring. Cela aurait été agréable si elle n’avait vissé dessus un cylindre métallique dans lequel mes précieuses parties furent enfermées, puis comprimées par un système rappelant les casses noix : en tournant un levier, le fond du cylindre remontait vers le dessus, écrasant ainsi mon paquet coincé. La douleur se propageait dans mon ventre, elle me regardait droit dans les yeux, continuant à tourner, tandis que mes cris étouffés semblaient l’exciter. Mais comment était-il possible d’être si sadique à cet âge là? Elle continua à tourner jusqu’à ce que je m’évanouisse.

Quand je repris conscience, j’étais seul. La pression dans mes couilles n’avait pas diminué, loin de là. Etait-il possible qu’elle ait resserré encore malgré mon évanouissement? Ceci étant, d’autres souffrances étaient venues s’ajouter, je n’en pouvais plus. J’analysais les différents signaux de mon corps : sans nul doute un large et profond objet remplissait mon cul. J’étais certes entraîné, mais là c’était au-delà de ce que j’avais pu déjà subir, et surtout terriblement dur. En bois ou en verre, l’objet était maintenu par mon corset et n’était sensible à aucune des pressions de mon sphincter. Je sentais mon sang taper régulièrement, cette douleur encore plus que les autres, m’épuisait.

Enfin mon sexe subissait une terrible tension vers le bas. En bougeant je sentis que cette tension variait, sans doute un poids très lourd avait-il été attaché à mon prépuce, par une corde ou un anneau, je ne le savais pas, je ne pouvais rien voir, je ne savais plus quelle partie de mon corps ne me faisait pas mal. Si au début j’avais eu peur de mourir en sonnant, j’avais maintenant peur de ne pas mourir, j’étais prêt à tout pour ne plus autant souffrir. J’étais tombé chez une perverse qui devait enterrer ses victimes dans sa cave. Et pourtant, je bandais toujours, maintenant persuadé que l’urine ingurgitée devait contenir autre chose.

Le temps passait, plus de nouveaux supplices, mais pas non plus de répit, ni pour mes tétons qui allaient sans doute s’arracher, ni pour mes couilles dont la douleur était de plus en plus importante, me faisant craindre pour leur survie. Je tombais dans une demi-somnolence, ponctuée de fièvre, je commençais à délirer.

C’est au bout d’une durée infinie (en fait 24 heures comme je l’appris plus tard) que je sursautais en découvrant, assise sur le divan, ma Propriétaire. Décrire l’émotion qui fut la mienne est impossible, j’oubliais tout de ma situation, simplement frustré de ne pas pouvoir me jeter à Ses pieds. Je me redressais tant bien que mal, pour lui montrer comme j’étais heureux d’être là.

3.

J’étais connecté très tard sur un site de rencontre sadomasochiste, sans beşevler escort être très actif. L’expérience m’avait montré que des hommes soumis étaient très nombreux, même si peu étaient vraiment motivés, et je préférais donc laisser trainer mon pseudo et mon profil en espérant que la recherche absolue qui était la mienne pourrait retenir l’attention d’une Maitresse. J’avais également mis quelques photos de moi, me sachant attirant pour une femme, étant athlétique, musclé, et bien proportionné.

Son pseudonyme était simple mais évocateur, l’enfer. Sa description assez simple :

Jeune femme naturellement dominante recherche son esclave dans le cadre d’une relation à demeure dans la région parisienne. Elle le désire totalement disponible. Si vous ignorez la différence avec un soumis, inutile de me contacter.

Nous avions commencé une discussion sous Son impulsion, Elle m’interrogeait et je répondais en détail à Ses question, la relançant pour mieux La comprendre. Ce qui L’avait intéressée dans ma recherche c’était cet absolu que je désirais, Elle voulait un véritable esclave prêt à se donner totalement à Son service, qu’Elle pourrait modeler et dresser comme Elle le voudrait. Je ne savais pas si je serais à la hauteur, mais je me laissais prendre au jeu, répondant à toutes ces questions de façon sincère, transparente et complète. Je voulais La séduire, Elle semblait bien différente de toutes les autres dominatrices que j’avais connues : déterminée, calme, assez impressionnante je trouvais, distinguée sans nul doute. Je me sentais vraiment écouté, soupesé, le dialogue était d’importance.

Nous échangions depuis plusieurs jours et sans qu’Elle ne me le demande, j’avais détruit mon profil sur le site de rencontre pour ne me consacrer qu’à Elle. Cela Lui plu particulièrement, tout autant quand je lui avouais que je guettais ses messages plusieurs centaines de fois par jour. Elle me demanda de lui envoyer des photos de moi, sous tous les angles, puis me demanda d’envoyer toutes les photos que j’avais, toutes celles de mon ordinateur, que ce soit des photos de moi, de vacances ou que j’avais téléchargées. Cette demande me surpris, mais j’obéis. Je du passer par un serveur spécial pour les lui communiquer, mais je n’en oubliais pas une, je me sentais porté par le désir de la satisfaire de toutes les façons et de ne rien cacher de mes petitesses. J’avais hésité sur des séries de photos que j’avais faites moi-même quand je prenais plaisir soit à me travestir, soit à me torturer, mais je me disais que si je voulais vivre quelque chose d’extraordinaire, il me fallait jouer le jeu.

Elle en fut ravie, me le dit, me le montra. Elle m’indiqua que ces photos étaient très intéressantes et lui apprenaient beaucoup sur moi. Elle me demanda si je désirais rentrer à Son service, d’abord à distance, pour qu’Elle soit certaine de moi, puis ce serait en réel. Je n’avais aucune photo d’Elle, pas même le son de sa voix, mais je savais qu’Elle était terriblement sérieuse. Je lui demandais quelles étaient les règles du jeu : Ce ne seraient que les Siennes, qu’Elle me dévoilerait progressivement. Je n’avais droit à aucun refus, aucune restriction. La première règle c’est que je m’engageais pour une première période qui s’étendrait de l’instant présent à notre première rencontre. Puis j’aurais une seconde possibilité de m’échapper un an après l’avoir rencontrée. Ensuite je serais totalement à Elle et seule la mort nous séparera. La question que je lui posais alors, à la fois stupide et irréfléchie, la fit beaucoup rire, mais aussi lui fit comprendre que j’étais prêt ; en effet je voulu savoir ce qui se passerait si par malheur Elle disparaitrait avant moi. Sa réponse fut que le cas serait envisagé et que je n’avais aucune crainte à avoir.

J’acceptais donc, le cœur battant, pensant dans mon for intérieur que je pouvais tout arrêter quand je le voudrais.

Pour commencer, je devais faire un compte rendu détaillé de tout ce que je faisais, pensais pendant la journée, afin de Lui donner une vision totale des détails de ma vie. Elle m’indiqua que très vite Elle rentrerait dans le déroulement de ces journées, jusqu’à tout contrôler. Jamais je n’aurais pensé que cela serait possible, pourtant Elle fit bien plus. Pour le premier soir, Elle voulu que je lui écrive toutes les informations pratiques me concernant, mon adresse, mes numéros de téléphone, mon lieu de travail, le nom et l’adresse de ma famille, de mes quelques amis, mon numéro de carte de crédit, mon compte en banque et bien d’autres informations encore. En fait je compris que je n’avais plus vraiment le choix et que je ne m’en sortirai plus très simplement. J’hésitais, je dois l’avouer, mais je lui fournis toutes ces informations, le cœur battant. Je réalisais qu’avec les photos envoyées et mes coordonnées professionnelles, Elle pouvait me faire chanter comme bon lui semblerait. J’étais fiévreux, mais une fièvre de désir et de folie. Ne sachant plus que décider, je me lançais, lui donnant tout, mes numéros de code compris.

Je passais une büyükesat escort nuit agitée, je cru entendre mon téléphone, mais ne me levais pas. Le lendemain je découvris sa voix sur mon répondeur. Je tombais à genoux, à la fois d’émotion mais aussi parce que jamais je n’avais entendu une voix aussi suave. Mon sexe réagit immédiatement, j’avais envie de me caresser. A la fin de son message, Elle m’ordonna de prendre un préservatif, de me faire jouir dedans et de Lui envoyer ma semence. J’étais tellement excité que je le fis immédiatement. Contrairement à mon habitude, cette éjaculation ne tarit pas du tout mon désir et mon excitation. J’en fus perplexe. Je me précipitais à la poste qui ouvrait pour lui adresser le pli un peu spécial, à une boite aux lettres à Nogent Sur Marne.

4.

Chaque jour je devais donc faire un compte rendu, complet et minutieux de ma journée à ma Maîtresse. Elle exigeait que la moindre de mes actions, de mes pensées soit ainsi consignée. C’était troublant du coup, pendant toute la journée je pensais à Elle, à ce que je lui écrirais. Cela me prenait au moins une heure chaque nuit pour lui écrire, avec quelques réponses, souvent très succintes, précises comme un lame.

Les premiers autres ordres vinrent. D’abord acquérir un cahier d’esclave dans lequel je devais noter tous les ordres de ma Maitresse, une section pour les ordres ponctuels, et une autre section pour les ordres permanents qui allaient s’additionner progressivement. Je ne comprenais pas pourquoi Elle ne me convoquait pas, mais je n’avais le droit à aucune question, et j’étais tellement heureux de lui obéir ainsi. Souvent je me demandais à quoi Elle ressemblait. J’étais persuadé qu’Elle était belle. Pas simplement en tant que dominante, mais aussi en tant que Femme. Son assurance que je percevais, la douceur et la sureté de Sa voix me convainquaient qu’Elle était très sure d’elle-même et donc sans doute très belle.

Pour commencer, tous les matins je du lui indiquer par un sms mon poids. Je faisais 92 KG au début de la relation, ce qui était un peu lourd pour ma taille mais sans plus. Elle m’ordonna de faire un régime sévère, d’abord libre, puis plus tard Elle prit en main mes repas, m’affamant progressivement. Elle me désirait très mince, mais aussi très musclé. Sans s’en cacher, Elle voulait me remplir du manque. Manque d’Elle, manque de nourriture, manque de plaisir. Je devais vivre une ascèse avant d’avoir le droit de lui appartenir.

Aussi tous les jours je décrivais ce que je mangeais, cessant immédiatement de manger entre les repas, allégeant au maximum le dîner suivant ses envies. Certains jours je devais boire jusqu’à 6 litres d’eau, parfois au moment de recevoir un sms, 3 litres d’un coup, ma vessie souffrait terriblement. Souvent le soir je devais sauter mon repas par un simple sms. Elle s’amusa parfois en m’obligeant à ne manger que des aliments blancs, puis noirs, ou alors que des fruits. Pendant deux jours Elle m’interdit de manger. Totalement. Je crois qu’il s’agissait d’un test. Je devenais très nerveux, mais aussi curieusement très excité, cette abstinence était très émotionnelle. Au bout du premier jour Elle me demanda de ma masturber, et de boire ma semence. Je n’avais jamais rien fait de pareil, mais là encore, à ma grande surprise, mon désir resta aussi fort après cette jouissance espérée depuis si longtemps, et j’avalais le liquide, avec plaisir ayant tellement faim. Lorsqu’Elle m’indiqua que parfois je ne me nourrirais que de sperme je fus à la fois profondément inquiet et excité. Je ne la pris pas vraiment au premier degré en fait.

Au bout de 3 semaines j’avais perdu 6 kgs. Elle jugea cela très insuffisant et m’indiqua qu’Elle n’était pas satisfaite et que si je ne faisais pas plus d’effort Elle disparaitrait. Je devais faire chaque jour des photos pour montrer mes progrès et il est vrai que ce n’était guère spectaculaire. J’étais paniqué. Elle m’ordonna d’acheter un rameur de salon et de compléter mon régime par de l’exercice. Les premiers jours je devais faire 20 minutes le matin. Puis le rythme progressa, et encore au bout de 3 semaines j’étais astreint à une heure le matin et une heure le soir de rameur. Mon poids avait à nouveau perdu 6 kg et j’approchais de la barre magique des 80 Kgs que je n’avais plus vue depuis longtemps. Cette performance me grisait, le manque de nourriture et de sommeil aussi sans doute : Pour ces deux heures de gymnastique il me fallait bien dormir moins. Je suais et souffrais pour Elle, je me sentais complètement transporté par mon amour pour cette Femme qui prenait autant de temps pour moi.

Ma vie était rythmée par une inconnue à qui j’écrivais plusieurs fois par jour et qui me dictait tout : le matin je n’avais plus à choisir, même si certaines fois les ordres étaient aberrants, comme de sortir avec deux pulls un jour où le temps était très doux. Je n’avais plus le temps de trop penser à quoi que ce soit, ni à ma famille ni à mes rares amis, j’étais totalement replié sur Elle, qui me comblait, juste frustré de ne pas pouvoir me faire jouir plus souvent. Je croyais que la relation était déjà très forte, mais je me trompais lourdement. L’ordre que je reçu ce matin là avant d’aller travailler me montra que nous rentrions dans une nouvelle phase. Ma Maitresse me demanda de laisser un double de chez moi sous mon paillasson en partant travailler. Evidemment je le fis, me demandant ce que je trouverais le soir en rentrant.

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Le Club – Partie 08

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Résumé rapide des épisodes précédents

Nous sommes dans une ville imaginaire nommée Lilleland, un groupe de 4 hommes riches et puissants a fondé un club très secret avec pour objectifs d’écraser toute la région sous leurs bottes. Afin de sceller leur alliance, ils décident d’asservir des jeunes femmes de différents milieux dont le seul défaut semble être d’avoir croisé leur chemin.

Les membres du club :

David Angel, 35 ans, riche homme d’affaire blasé qui débarque dans la région. Son arrivée semble être l’élément fondateur du club.

Le juge de Saint Servier, 65 ans, juge puissant, il est surtout l’homme politique le plus influent de toute la région. C’est surtout le produit d’une éducation chrétienne stricte qui l’a frustrée pendant toute sa vie et dont il s’est totalement libéré grâce au club.

Guillermo Diaz, 45 ans, c’est un ancien émigré espagnol devenu millionnaire en fondant des sociétés spécialisées dans les services.

Guillaume Uron, 29 ans, c’est un riche héritier aux tendances psychopathes.

Les victimes du club :

Amandine Blenon, 37 ans, c’est la femme d’un notable reconnu qui s’est compromis dans de sales affaires d’escroqueries. Abandonnée par son mari et ses amis, elle est tombée entre les griffes d’Angel qui s’est emparé de tous ses biens et s’est installé chez elle, la transformant en esclave.

Laura Blenon, 18 ans, c’est la fille d’Amandine et elle est devenue l’esclave d’Angel pour les même raisons que sa mère.

Christine Veron, 31 ans, éducatrice spécialisée dans un centre d’hébergement pour sans abri, victime d’un chantage de la part d’Angel, elle se retrouve obligée de céder à tous ses désirs.

Madeleine Bonnet, 18 ans, lycéenne, jeune fille manipulée de manière odieuse par son petit ami Jérôme, un voyou à la petite semaine, elle est devenu l’esclave sexuelle du juge de Saint Servier. Dans l’épisode précédent, Madeleine réussit à s’échapper de l’appartement du juge.

Théodora Lupa, 40 ans, commerçante et femme politique, elle a dû tout accepter du juge pour éviter de se retrouver condamner à une longue peine de prison au Mexique.

Sarah Bonnet, 17 ans et demi, lycéenne, elle est la jeune sœur de Madeleine et la dernière cible du juge. Comme pour sa sœur, Jérôme est censée la livrer au vieux pervers mais il a décidé de doubler son sponsor pour profiter lui-même de la jeune fille qui le fascine.

*

Jérôme préparait sa petite soirée méticuleusement. Il avait viré la petite qu’il baisait depuis deux jours et qui ne l’intéressait désormais plus du tout ; une seule fille l’obnubilait désormais : Sarah Bonnet. Il voulait la posséder même au risque de mécontenter le juge. Il l’avait convaincu de venir chez lui ce qui constituait déjà une grande victoire la connaissant. Le plus dur restait à faire. Il espérait la faire boire et parier sur l’ambiance romantique pour faire tomber ses dernières réticences, il était devenu un expert à ce petit jeu. En dernier recours, il pourrait toujours la droguer. Le juge lui avait appris à oublier tout scrupule pour obtenir ce qu’il désirait.

On tapa à sa porte et il sursauta sous Le coup de la surprise. Ce ne pouvait pas être Sarah, il était bien trop tôt et il n’attendait personne d’autre. Il ouvrit la porte et Madeleine pénétra dans l’appartement telle une furie. Elle avait les yeux rougis et l’air hagard. Elle portait des vêtements visiblement trop grands pour elle. Sitôt entrée, elle se lova contre lui, le prenant au dépourvu. Qu’est-ce que cette conne pouvait bien faire là? Juste ce soir alors qu’il attendait justement sa sœur. Comment le juge pouvait — il l’avoir laissé s’enfuir? Il devait rattraper le coup.

– Mon amour, fit — il, en l’embrassant pour ne pas la braquer. Mais que se passe — t — il?

– Je me suis enfuie, répondit — il. Je n’en pouvais plus.

– Mais te rends — tu compte que notre situation n’as pas changé, mentit — il. Je dois toujours autant d’argent. Le juge ne les paye que par mensualités. Un mot de lui et nous sommes morts tous les deux.

– Je m’en fous, affirma — t — elle. Tu n’as pas idée de ce que j’ai vécu avec ce monstre. C’est un démon, j’étais sa chose. Je n’y retournerais jamais.

Jérôme souffla intérieurement. Il la sentait totalement décidée à fuir le juge et cela se comprenait. Elle devait avoir subi bien des sévices. Bien entendu, il s’en fichait mais il ne voyait pas du tout comment faire pour se dépêtrer d’elle. Si jamais Sarah la trouvait ici, il pouvait dire adieu à ses espoirs. Il fallait au moins qu’elle s’en aille et tant pis pour le juge qu’il assume les conséquences de ses erreurs.

– Bon sang, tu es trop conne, tonna — t — il. Qu’est — ce que tu crois? Que je vais te reprendre maintenant que tu as servi de pute à ce vieillard? Je ne fais pas le fond des poubelles.

Elle s’écarta de lui l’air totalement ahuri. Elle ne semblait pas comprendre le sens de ses paroles. Etait — ce le choc ou avait — elle toujours été aussi bouchée? Jérôme n’en avait cure, il allait faire passer le message.

– Tu crois vraiment que je t’aime, pauvre idiote? En réalité, tu ne m’as jamais servi qu’à obtenir Ankara escort une belle somme d’argent. Qui aurait cru que ton gros cul aurait valu autant.

– Alors il avait raison, tu m’as trompée…

– Parfaitement, confirma Jérôme qui ne savait pas de qui elle parlait, et si tu savais avec combien de femmes, des vraies qui savaient me faire jouir.

– Salaud!

Elle voulut bondir sur lui pour le frapper mais entre la différence de force physique et sa fatigue, il la repoussa sans difficulté et sans ménagement. Elle s’effondra lamentablement. Elle était en larme mais il n’eut aucune pitié.

– Regarde — toi, espèce d’épave! Epargne — moi la peine de te mettre dehors à coup de pied, casse — toi! J’attends quelqu’un qui en vaut la peine.

Elle tourna les yeux dans toute la pièce et comprit les raisons de cette ambiance mais soudainement son regard s’attarda sur un endroit particulier et Jérôme comprit trop tard ce qu’elle avait vu. Le révolver de son père qu’il avait volé la veille. Il ne sut pas si elle l’avait reconnu mais elle s’en empara et immédiatement le braqua dans sa direction. Pour son malheur, il l’avait chargé dans l’après midi, juste pour voir. Grossière erreur.

– Madeleine, fit — il penaud. Ne fais pas de bêtises. Mon amour, voyons.

Elle posa son doigt sur la détente de l’arme et à ce moment la vie de Jérôme ne tint plus qu’à un fil. Mais la main de Madeleine trembla et elle fut incapable de tirer. La seconde d’après une main s’abattit sur elle.

Aucun des deux protagonistes n’avait vu le serviteur noir du juge pénétrer dans l’appartement par la porte laissée ouverte par l’intrusion de Madeleine. Il assomma Madeleine d’un coup sûr. Derrière lui, le juge entra à son tour.

– Nom de nom, souffla Jérôme à l’intention du vieillard, mais qu’est-ce que vous faisiez? Elle a bien failli me tuer.

– Failli, répondit le juge d’un ton calme, c’est bien le problème.

Jérôme pâlit alors que le regard froid du juge se posait sur lui.

– Qu’est — ce qui se passe, monsieur, fit — il. Nous sommes …

– Assez de simagrées, le coupa le juge. Je sais.

– Pardon.

– Je sais.

Il se tourna vers son serviteur qui s’était dirigé vers son écran de télé et l’avait fait pivoter en lui indiquant un reflet qu’autrement il n’aurait jamais remarqué.

– Une caméra, lui expliqua le juge. Une autre est installée dans ta chambre. Je sais tout de tes projets de ce soir. Tu n’aurais pas dû essayer de me doubler.

Jérôme réalisa alors que le juge avait tout préparé, qu’il le tenait sous surveillance depuis le début et que l’apparition surprise de Madeleine n’était pas un hasard.

– Belle arme, estima le juge qui avait récupéré le révolver, je n’en espérais pas tant, tu me facilite la tâche pour la suite.

– Attendez, on peut discuter. La sœur va bientôt arriver, je ne l’ai pas encore touché et je peux toujours vous l’offrir comme promis.

– Mais tu vas me l’offrir crois — moi.

A ce mot, il s’empara d’un coussin et ouvrit le feu au travers. Jérôme fut touché en pleine poitrine et s’écroula. Le juge s’approcha de lui, il n’était pas encore mort. Il appuya le coussin contre son visage implorant et tira une seconde fois.

Une fois la page Jérôme refermée, un peu à regret, le juge posa l’arme entre les mains de Madeleine et de plusieurs claques la réveilla. Il vit immédiatement la terreur se dessiner sur le visage de la jeune fille et il comptait bien lui donner des raisons d’être terrorisée.

– Mon enfant? Mais qu’as — tu fait?

Elle le regarda, incrédule. D’un coup d’œil, il l’incita à porter son regarder vers le corps sans vie de son ex-petit ami. Elle comprit alors et se mit à crier. Heureusement, Kono avait fermé la porte mais il ne pouvait se permettre de trop attirer l’attention. Il la gifla pour la calmer.

– Ce n’est pas moi! assura — t — elle Ce n’est pas moi!

– Et qui d’autre? Qui donc a l’arme du crime entre les mains? Qui avait un mobile?

– Un mobile?

– Et oui, c’est lui qui t’a dénoncé à la police, tu ne le savais pas? La police a un bel enregistrement de sa voix en train de te vendre. Comment crois — tu qu’il a payé sa belle voiture neuve, sa belle télévision et tout le reste du beau matériel que tu vois ici? Tout simplement en vendant l’essentiel de la drogue qu’il avait acheté et en ne te donnant pas ta part.

– Ce n’est pas vrai! Il n’a rien vendu.

– Peut — être que oui. Peut — être que non. Mais cela suffira à la police pour retenir le meurtre avec préméditation avec tes antécédents, tu es faite. Avec un mauvais juge, tu auras droit à la nouvelle sanction : la peine de mort.

Elle le regardait, les yeux nimbés de larmes. Chacun de ses arguments portaient pour la simple qu’ils étaient tous vrais. S’il la laissait là, il ne lui laissait pas deux mois pour se retrouver dans le couloir de la mort. Crier partout qu’on préférait la mort était une chose, l’affronter en était une autre. Elle s’effondra en pleurs à ses pieds et il sut qu’il avait gagné. Il n’avait désormais plus besoin de Jérôme pour la tenir, il lui était ankara olgun escort aussi utile mort que vif.

– Heureusement pour toi, je suis suffisamment influent pour obtenir l’instruction de cette affaire et faire en sorte que tu ne sois pas inquiétée…tant que tu seras obéissante.

Il posa ses mains sur ses seins qu’il avait déjà tellement palpés et de nouveau, elle ne montra aucune résistance et il sut qu’elle lui appartenait totalement.

– Kono va te ramener à la maison, maintenant.

Le chauffeur s’approcha d’elle pour lui tendre son bras et elle l’accepta pour se relever et le suivre. Juste avant qu’ils ne quittent l’appartement, le juge les rappela.

– Ah j’oubliais, Kono en rentrant, je veux que tu encules notre jeune amie, juste histoire de lui enlever l’envie de me frapper.

– NON!!!! hurla à nouveau Madeleine.

Mais Kono mit immédiatement sa main sur sa bouche pour la faire taire et elle finit par se calmer et ce fut en larmes qu’elle suivit le géant africain dans les couloirs de l’immeuble sombre. Le juge regrettait de ne pas pouvoir assister à la scène de la sodomie de Madeleine qui promettait d’être au moins aussi savoureuse que celle de Théodora mais il avait encore affaire à ce lieu. Et puis, Kono allait bien entendu filmer ses ébats pour lui permettre d’en profiter en différé.

Sarah arriva aux pieds de l’immeuble de Jérôme en début de soirée. Elle se sentait incroyablement troublée. Pourtant, elle savait parfaitement qu’elles étaient les raisons qui la conduisaient en ce lieu : elle venait pour sauver sa sœur du piège dans lequel leurs parents l’avaient jeté. Le baiser qu’il lui avait donné la veille ni le fait qu’il était incroyablement séduisant et qu’il la comprenait si bien n’expliquaient pas sa présence. Pourtant, pour la première fois, elle s’était maquillé, bien maladroitement et avait volé une des robes de sa mère pour l’occasion. Elle avait senti quelques regards concupiscents sur son passage qui indiquaient qu’elle était désirable dans cette tenue et elle ne pouvait s’empêcher d’en être heureuse. Elle grimpa plusieurs étages pour arriver au numéro de l’appartement de Jérôme. Son cœur battait la chamade, quand elle tapa à la porte. A sa grande surprise, elle s’ouvrit doucement. Elle entra sans attendre et le spectacle qui s’offrit à elle la rendit malade.

Jérôme était mort. On l’avait assassiné. Elle resta totalement abasourdie devant son corps sanguinolent. Elle aurait voulu hurler mais quelque chose chez elle semblait s’y opposer. Elle restait immobile à un mètre du corps, les yeux dans le vague puis un bruit la tira de sa catatonie.

Un homme venait d’entrer dans l’appartement. Il s’agissait d’un vieil homme qu’elle ne connaissait pas. Il observa la scène et apparut surpris.

– Ce n’est pas moi, affirma — t — elle.

– Je sais, la rassura — t – il. Calmez — vous, jeune fille. Je suis un ami, j’étais venu voir Jérôme à sa demande, il voulait que je rencontre une certaine personne.

– Qui êtes-vous?

– Je préfère ne pas donner mon nom, disons que je suis un homme influent.

– C’est vous l’ami juge de Jérôme, celui qui devait sauver Madeleine.

– Ce n’est pas aussi simple. Je devais rencontrer son père ce soir avec Jérôme pour négocier avec lui mais il semble que je sois arrivé trop tard.

– Trop tard?

Pour toute réponse le vieil homme lui indiqua un objet posé par terre et Sarah le reconnut immédiatement. Il s’agissait du révolver de son père. Elle se pencha pour le prendre mais d’un mot le juge la stoppa.

– Ne le touchez pas, c’est une preuve. Vous ne voyez pas que c’est l’arme du crime.

L’arme du crime. L’esprit de Sarah fonctionnait à cent à l’heure. Son père avait rendez — vous avec Jérôme pour sauver Madeleine mais au lieu de discuter il avait préféré tuer cet homme si fabuleux comme il avait préféré enfermer sa sœur au fond d’un hôpital plutôt que de l’aider. Cette fois, elle se lâcha et hurla.

– Calmez — vous, jeune fille, dit le vieillard en restant prés de l’entrée. Nous allons appeler la police et les coupables…

– Ce ne sera pas suffisant, ils s’en sortiront. Ils connaissent la justice. Ma mère s’est toujours vantée d’avoir travaillé pour un juge influent il y a des années. Je suis sûr que c’est grâce à lui qu’elle a obtenu le placement de Madeleine. Ils s’en sortiront. Depuis des années, ils s’acharnent à détruire ma vie. Je veux qu’ils meurent.

– C’est grave ce que vous dites, là.

Elle s’approcha alors de lui et le fixa dans les yeux.

– Je veux qu’ils meurent.

– Alors cela peut s’arranger, assura — t –il, mais ce ne sera pas gratuit.

– Mes parents possèdent leur appartement. Dans 6 mois je serais majeure et j’en hériterais. Je pourrais le vendre alors et vous payer le prix que vous voulez.

– Le prix pour deux meurtres?

– Oui.

– Le meurtre de tes parents?

– Oui.

– Très bien, alors rentre chez toi et ne change rien de tes habitudes. Ils ne leur reste plus que deux jours à vivre au plus.

Sarah obéit au vieil homme. Elle ankara ucuz escort rentra chez elle. Ses parents n’étaient pas encore officiellement rentrés mais elle savait que c’était un leurre. Elle se coucha mais ne réussit pas à trouver le sommeil ; son esprit était envahi par le souvenir du corps de Jérôme baignant dans son sang. Ce fut une longue et horrible nuit d’insomnie et de cauchemars. A 6h du matin, elle quitta son lit, totalement épuisée, prit une douche rapide et partit pour le lycée. Elle fut surprise de la normalité de cette journée. Personne ne la questionna sur les raisons de son absence de deux jours ni ne lui parla de la mort de Jérôme qui était totalement étranger à ce monde. Durant la matinée, les cours s’enchainèrent si tant est qu’elle se laissa prendre par cette routine et se persuada que finalement rien de grave ne s’était produit, qu’elle n’avait pas désiré la mort de ses parents. Malheureusement, ses remords arrivaient bien trop tard.

Ce fut en milieu d’après midi qu’un surveillant vint la chercher en plein cours de biologie. Elle fut conduite dans le bureau du principal. Deux personnes en plus du principal l’attendaient. L’une d’entre elles était la CPE mais Sarah ne connaissait l’homme à l’air sombre qui se leva à son entrée.

– Mademoiselle Bonnet, entrez, lui demanda le principal. Voici l’inspecteur de police Pripi. Il a une terrible nouvelle à vous annoncer.

L’homme s’approcha d’elle et lui tendit la main. Surprise, Sarah la serra.

– Mademoiselle. Ce matin à 11 heures, vos parents alors qu’ils rentraient chez vous d’un voyage visiblement ont été victime d’une agression violente. Je suis navré, ils sont morts.

Sarah resta immobile devant cet inconnu qui lui annonçait cette nouvelle et dans son esprit elle ne cessait de se demander comment réagir. Elle se répétait sans cesse : il l’a fait, il les a tués. Elle ne se rendit pas compte du silence gêné qui s’était installé dans la pièce. Puis soudain, elle éclata en sanglot dans les bras de cet inspecteur qui l’accueillit avec compassion. Il devait s’imaginer apporter du réconfort à une fille dans le désarroi ; il se trompait et de loin. Les pleurs de Sarah traduisaient le sentiment de libération qu’elle ressentait à ce moment. Jérôme était vengé et Madeleine pouvait enfin être sauvée. Elle pensait que sa vie allait enfin prendre un tournant positif ; elle n’avait pas idée de l’immensité de son erreur.

Depuis presque trois mois qu’elle était devenue l’esclave du juge, Madeleine croyait tout savoir du mot douleur ; elle se trompait. Entravée sur la table en bois installée peu de temps auparavant pour la malheureuse Théodora, elle tentait de reprendre ses esprits après l’horreur de la nuit qu’elle venait de connaître.

Sitôt arrivés dans l’appartement du juge, Kono l’avait forcée à retirer les vêtements qu’elle avait volés pour s’enfuir et l’avait emprisonnée dans ce piège odieux. Ventre plaqué contre la surface froide de la table, elle n’avait pas vu le géant noir se déshabiller à son tour mais elle avait parfaitement senti son sexe s’insinuer dans son anus. Contrairement à Théodora, elle était une habituée de la sodomie mais même dans son cas, les dimensions exceptionnelles du pénis de Kono étaient trop pour elle. Il avait forcé la résistance de son petit anneau avec une dureté sans faille. Quand il avait envahi ses entrailles et entamé un mouvement de va et vient, elle s’était mise à hurler. Imperturbable, il avait accéléré le rythme jusqu’à arriver à son éjaculation. Il s’était retiré alors et l’avait abandonnée en sueur, attachée au milieu du salon, l’anus dégoulinant de sang et de sperme.

Complètement engourdie, les entrailles en feu, elle tentait de reprendre ses esprits quand le bruit de la porte d’entre qui s’ouvrait lui indiqua que le juge venait de rentrer.

Le monstre qui la dominait s’approcha d’elle et frôla son dos avant de s’éloigner sans la libérer. Elle entendit le bruit mécanique d’une cassette qu’on sortait d’une caméra. De sa position, elle put le voir glisser la cassette dans son magnéto et s’assoir dans le divan en face d’une télévision. Elle comprit alors qu’il s’agissait de l’enregistrement de son viol anal par Kono et eut l’effroyable expérience de réentendre ses hurlements de douleurs et ainsi de revivre son supplice par procuration moins de deux heures après l’avoir subi.

Le juge ne paraissait pas se préoccuper d’elle pour l’instant. Concentré sur le film, il s’était déshabillé et avait commencé à se branler. Visiblement, il appréciait vraiment le spectacle auquel il assistait. Madeleine ferma les yeux pour ne plus le voir.

Elle réouvrit les yeux quand elle sentit une nouvelle pression sur son œillet anal. Elle porta le regard vers le divan où le juge était assis pour constater qu’il avait disparu. Elle comprit que c’était lui qui en ce moment entreprenait de la sodomiser. Si peu de temps après le passage de Kono, le pénis du juge pourtant de taille plus raisonnable irradia en elle une nouvelle vague de douleur. Elle se remit à crier et ses hurlements vinrent se joindre à ceux de l’enregistrement que le juge n’avait pas éteint. Dans un canal désormais élargi, le juge s’en donnait à cœur joie, la labourant à pleine vitesse. Finalement, il jouit dans ses intestins dans un râle de plaisir mêlant son sperme à celui de son serviteur. Cette nouvelle salve de liquide chaud entre ses reins fit éclater Madeleine en larmes. Elle plaqua sa tête contre la surface de la table.

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Le Prince de Chair Ch. 02

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Amateur

Le prince Arlor peinait à faire taire son impatience. Assis seul dans un des fauteuils de cuir du petit salon, il accompagnait les crépitements de la cheminée des tapotements de ses bottes. Par Oldan tout puissant! Après l’anticipation de ces dernières années, ces minutes d’attente supplémentaires tenaient de la torture.

Pour la millième fois, il déshabilla la duchesse Caeda de son imagination. Il ne savait pas ce qui l’excitait le plus chez elle. Le fait qu’elle l’ait rejeté par deux fois? Ses yeux en amande capable d’autant de douceur que de fureur? Son corps intouché qu’elle tenait toujours hors de sa portée, mais jamais assez pour ne pas le frustrer sans fin?

Deux coups frappés à la porte interrompirent ses rêveries.

— Entrez, dit-il

La jeune duchesse s’avança, la tête haute et un sourire serein aux lèvres. L’éclat des flammes fit briller ses lèvres roses et ses longues boucles blondes. Elle avait placé un châle autour de ses épaules qui dissimulait l’outrageant décolleté qu’elle n’avait eu aucun scrupule à afficher quelques instants plus tôt au bal.

Une vieille femme en robe col montant noir l’accompagnait. Les bras croisés et le front plissé, elle se tenait en retrait dans son dos

— Prince Arlor, dit la duchesse en s’inclinant sans zèle. Vous souhaitiez me voir?

— En effet, mais asseyez-vous donc. Souhaitez-vous un verre de vin?

Il désigna d’un ample geste de la main la table basse ou attendait une bouteille de Lon-Arltan — la meilleure cuvée des caves royales — ainsi qu’un document dont le sceau de cire rouge avait été placé bien en vue à côté d’une plaque de marbre blanc.

— C’est très aimable, Monseigneur, dit-elle sans même daigner baisser le regard. Mais j’ai déjà bien assez profité des cépages de votre capitale pour une soirée. Et, si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je préférerais rester debout. Je doute que notre conversation s’éternise.

Arlor sentit son sourire s’élargir. Elle le défiait encore. Cela ne rendait ce qui allait suivre que plus délectable.

— Comme il vous siéra, ma dame.

— Et donc, pourquoi souhaitiez-vous me voir?

Si j’en crois la présence de cette vieille mégère, pensa le Prince. Tu as une petite idée. Mais jouons.

— J’ai eu vent des difficultés de votre famille.

— Des difficultés? demanda-t-elle, ses bras toujours plus serrés autour de son châle. Je crains ne pas savoir à quoi vous faites référence.

Oh. Elle mentait avec autant d’aplomb qu’elle était belle. Hélas pour elle, dur de bluffer face à un adversaire qui a toutes les cartes en mains.

— Vos difficultés financières j’entends. Les saisons hivernales ont été rudes pour votre Duché, et j’ai ouï dire que le commerce de soie de votre père n’est plus si florissant.

La duchesse écarquilla les yeux un court instant avant de se ressaisir.

— Vous êtes bien renseigné, Prince Arlor. Mais si vous souhaitiez assister la maison Montval ankara yabancı escort financièrement, je crains que votre générosité n’arrive trop tard. Mon père a…

— …négocié un prêt avec le grand argentier Eldas Koris, l’interrompit Arlor. Je sais.

Il désigna du doigt le document posé sur la table. La duchesse blêmit en apercevant le sceau, une pièce de monnaie auréolée d’un soleil. Pourtant, c’est d’une voix assurée qu’elle reprit :

— C’est donc vous qui êtes derrière cette providence? (Arlor acquiesça.) Et bien, dans ce cas, je… c’est très généreux de votre part.

Cette fois, sa révérence fut plus profonde. Sans le foutu châle, le prince aurait eu une vue plongeante sur le délicieux spectacle de ses seins pressant lourdement contre les pans du fourreau fendu.

— J’imagine, dit-elle, un léger trémolo dans sa voix. Que votre générosité n’est pas désintéressée.

Le regard de la duchesse se fit plus dur. Un regard que peu de personnes osaient lui adresser. Cette rareté faisait tout à la fois son attrait et la preuve de sa naïveté.

— Votre vivacité d’esprit est des plus admirables. Mais si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je préfèrerais en discuter en tête à tête.

Du regard, il désigna la chaperonne. Celle-ci vint se placer devant la Duchesse, son visage ridé rendu encore plus sévère par son regard noir réduit à deux fentes.

— Vous ne pouvez… commença-t-elle.

Arlor leva un doigt en l’air. Bien habituée aux usages de la cour éternelle, la vieille femme se tut aussitôt. Venir d’une lignée modeste ne l’autorisait pas à s’adresser au prince — et encore moins à lever le ton – sans que celui-ci ne l’ait fait en premier. S’il l’avait souhaité, il aurait pu la faire fouetter pour cela.

— Faites ce qu’il dit, trancha la Duchesse.

— Mon chambellan va vous raccompagner, ajouta Arlor.

Ou plutôt, vous tenir occupée. Il serait malheureux que le père de la duchesse se mêle de tout cela. Cet imbécile serait capable de pousser sa famille à la ruine pour protéger la prunelle de ses yeux.

Après quelques secondes durant lesquelles Arlor crut que la matrone cherchait à le larder de flèches par le seul pouvoir de ses yeux — un acte d’un courage admirable – elle déserta la pièce.

La porte du petit salon se referma dans un claquement.

Le prince se recala dans son fauteuil. La Duchesse le regardait toujours de haut, mais les frémissements de ses mains atténuaient la dureté de son attitude. Il laissa planer le silence, se délectant du malaise palpable.

— Que souhaitez-vous? Finit-elle par demander. Je sais que votre famille a des vues sur nos demeures de Haut-Colline.

Arlor manqua d’éclater de rire. Quel magnifique élan de fausse naïveté. Comme s’il avait fait tout ça pour un manoir qui ne dépassait pas en taille sa chambre au palais.

Après le second refus de la duchesse, bahçelievler escort un refus public devant sa propre cour, le prince avait œuvré pendant plus d’un an. Son objectif : saborder le commerce de la famille de cette impertinente. Pour cela, il avait dépensé sans compter, allant jusqu’à vendre des cargaisons de soie à perte pour étouffer le petit Duché. Faisant jouer ses contacts, il avait également brisé des contrats, notamment ceux lucratifs avec la Tour. Pris à la gorge, le père de la Duchesse avait cherché des banquiers. L’argentier du Prince, sous un prête-nom, s’était fait un plaisir de lui avancer une somme mirobolante. Une somme qui le liait, lui et sa famille, plus efficacement que des chaines.

— Vous savez, dit le Prince. Si votre père ne peut rembourser sa dette, ce n’est pas uniquement Haut-Colline mais l’ensemble de ses propriété et navires qui tomberont entre mes mains. Il ne vous restera que vos titres et des terres que vous ne pourrez entretenir. Autant dire que vous n’aurez de noblesse que le sang.

La duchesse se mordit la lèvre inférieure. Ses yeux oscillaient de droite à gauche, comme pour tenter de découvrir dans le vide devant elle la réponse à l’imbroglio de sa situation.

— Mais j’y pense, dit le prince en laissant son regard parcourir lentement la silhouette de Cadea. Vous devez mourir de chaud. Pourquoi n’ôteriez-vous pas votre châle.

L’éclat qui brilla au fond des yeux de la duchesse indiqua sa répugnance face à cette demande. Mais, alors que la nasse se resserrait, elle pouvait difficilement rejeter une demande aussi bénigne. Après une hésitation, elle fit glisser le morceau de tissu d’un geste élégant. Le prince se délecta du spectacle. Être placé en contrebas de la belle sublimait encore plus la rondeur de sa poitrine. La coupe de sa robe dévoilait ses seins avec impudeur, à l’extrême frontière de laisser apparaitre la teinte d’un mamelon ou l’excitation d’un téton érigé, sans jamais la franchir.

— Je reconnais bien là le prince de Chair, cracha Caeda comme si le surnom qu’il avait acquis à force de conquêtes pouvait l’emplir de honte. Je sais ce que vous souhaitez, mais je ne peux pas vous le donner.

— Vous voulez dire que votre pureté a été altérée?

Le rouge monta aux joues de la Duchesse.

— Non, bien sûr que non. Et… et c’est tout le problème. Même si je le voulais, et je pense avoir été claire sur ce point… si je veux un mariage de qualité, je ne peux m’offrir à vous.

— Oh, mais il existe milles façons pour vous de me satisfaire sans que je ne touche à votre virginité. C’est pour cela que j’ai préparé pour vous un contrat de sang.

Le Prince indiqua le bloc de marbre disposé sur la table basse.

— Je vous invite à le lire, mais la proposition en est fort simple. Jusqu’à l’aube (il désigna les hautes fenêtres masquées de lourdes tentures), soit d’ici balgat escort trois heures, vous vous plierez à tous mes ordres. Mon unique limite sera votre pureté. Si vous m’obéissez en tous points, les dettes de votre famille seront… oubliées.

Les sourcils froncés par la colère et la gêne, la belle se pencha sur le contrat. Cette fois, plus rien ne cachait le spectacle de sa poitrine comprimée contre les pans de soie. Elle lut les lignes qui détaillaient l’offre.

Le Prince n’avait jamais compris quels mystères permettaient aux contrats de sang de fonctionner. Pour certains, ces documents tiraient leur magie directement de la puissance des vœux de fées, comme dans les contes pour enfants. D’autres que ces contrats étaient des nœuds tissés dans le grand écheveau du destin lui-même. Une chose était certaine, lier des conditions à un tel objet, c’était lier le respect de ses conditions à sa vie elle-même. Un terme de travers et les conséquences pouvaient s’avérer désastreuses.

— Et si je refuse purement et simplement? demanda la duchesse, le feu de son regard ravivé.

— C’est votre droit. Mais je sais que vous n’êtes pas idiote. Vous savez ce que coute un contrat de sang. Vous savez également que, tout prince que je suis, ce type de document causera ma mort si je n’en respecte pas les termes. Des termes qui ne vous placent pas dans un danger similaire. Le seul risque encouru à votre désobéissance, et bien, ce serait de ne pas voir la dette de votre famille disparaitre. Alors, pensez-vous vraiment que, si je suis prêt à aller aussi loin pour vous, un refus me ferait abandonner mon ardente poursuite? Êtes-vous prête à courir le risque de mener votre lignée à la ruine? Tout cela pour trois heures en ma compagnie?

La duchesse se mordit une nouvelle fois la lèvre inférieure. Par les dieux, ce geste lui donnait envie de la mordre à pleine bouche à son tour.

— Est-il possible d’y ajouter des clauses? demanda-t-elle après un long moment de silence.

— Bien sûr, il y a de la place pour l’ajout de vos conditions. Vous pouvez prendre la plume d’airain pour cela.

La Duchesse saisit le long objet, le seul capable de graver dans le marbre comme dans une motte de beurre chaud.

— Dans ce cas, nous ne quitterons pas cette pièce et personne d’autre que nous ne peut y entrer jusqu’à l’aube. Et bien sûr, vous ne pourrez parler de ce qui s’y déroulera à personne. (Elle le fusilla du regard.) Ou vous mourrez.

Arlor retint son sourire. Par Oldan. Il s’était attendu à ce qu’elle mette plus de limites et de conditions. Cela dit, son acceptation finale n’avait jamais fait aucun doute. Il s’était renseigné. La Duchesse plaçait les intérêts de sa famille par-dessus tout le reste, et son éducation dans le cocon surprotecteur de son père ne la laissait qu’à peine entrevoir ce qu’il allait exiger d’elle.

Vraiment parfait!

— Cela va de soi. Je déteste partager.

A ces mots, le prince s’entailla le pouce contre l’arête vive du contrat et y déposa une goutte de son sang. La Duchesse fit de même à l’aide de la plume.

Cette fois, Arlor lui sourit franchement. La pauvre naïve. Le piège se refermait. Avant l’aube, sa pureté et bien d’autres choses seraient siennes.

Mais d’abord, il comptait s’amuser tout son saoul.

(Suite au chapitre 3)

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Shape Shifter chapter 2 , 3 (edited with extra material)

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Shape Shifter Chapter 2

During the next few days Jake dropped in at a few folk, blues or country music bars, finding some really nice looking but loniness-driven young women who were happy with the attention, and often as not, after a slow dance with his thick long erection was pressing against their bellies, he found more often than not they were curious or horny enough to accompany him for the rest of the evening having their brains fucked out.

One was so young-looking, despite her wedding band, when she ducked in to use his washroom, after a few beer, just after they went back to Jake’s house, he sneaked a look at her driver’s license, startled to find she was seventeen, just a month shy of her eighteenth birthday.
When she came out bare as the day she was born, Jake had to admit she had the body built like a porn star… She padded over to him, unzipping his fly as she sank to her knees to pull down his jeans and boxers. He was impressed at her technique for her age, but slid one knee between her thighs, so his shin was rubbing against her crotch, her wetness soaking him, running down his skin to his foot. Jake led her to the bedroom, playfully walking on her knees as he shuffled backwardss, teasing her with his hefty foot-long cock. As he helped her up onto the bed, he reached for the condoms, when her hand stopped him… Jake began to protest when she said, “you want to know why not?” Jake nodded yes of course…
“I’ve been married two months, an old perv twice your age,” she said, “but stinking rich. The thing is, he’s convinced he popped my cherry, knows from the doctor’s checking me, that I’m not on the pill or any birth control. Even though he had me signed a pre-nup when we flew out to Vegas for a chapel wedding, he actualy does want an heir, but I have my doubts if he’s firing sperm that’s been in him so long it’s fallen asleep or he just hasn’t got many left. The thing is, he’s around your height & general build, had a similar colour brown hair when he was young. If letting him work away at me twice a week until he gets me pregnant, and I can produce a healthy baby to seal the deal, the pre-nup is toast, which means I’ll inherit everything.”
“So you want me to stud you huh?” asked Jake with a grin, “when was your last period, just so we have an idea if you’re close to your fetile time?”
“I started two weeks ago, so if I’m not laying an egg now, I will in the next couple of days, so if I have to get knocked up, I want to damn well enjoy it, okay? I’m pretty sure he figures I’ll find someone on the side to help with things, as long as I keep it discreet…”
“Okay, fair enough, but don’t you think he will want to check the baby’s DNA or at least blood type to be sure it’s his?”
“I hadn’t thought of that, what’s your blood type?” she asked, stroking his long heavy erection, I know mine, and his both from the Vegas wedding license, so if you’re a match, I’m begging you to give it to me more than this once… please?”
“I’m an O-Neg bloodtype,” said Jake.
Perfect, same as mine, the universal donor O-Neg…” she giggled, parting her sweet legs, showing him the clean shaven slit with the small tuft at the top, “I started looking at porn when I was eleven, and while he was wrong about breaking my cherry, it was just a drop of mid-cycle spotting I had, but he was so worked up, he didn’t wait for me to get wet, so between me feeling tight, and the blood spot, he believes he took my virginity.”
Jake bent down, gave her a lick, savoring her sweet musky wetness, then lifted her by her slender hips, he speared her on his monster cock, holding her firmly until every inch was shoved deep inside her, then stated to fuck her like a long piston in it’s cylinder. If she’d been any tigheter on him, he was sure she’d have squeaked with each stroke… But she was gasping, moaning, begging for more, so Jake continued, even as he felt her come, her inner walls grasping his thickness. That improved the slip factor, and he sped up his thrusts, but was slamming deeper inside her than he knew anything else could have before from how she was acting, continuing to pound her even as she came again, then again, until after about six climaxes, she was almost fainting in his grasp, he unleashed his load with the head of his cock far into her womb, making a direct injection of his sperm into her, giving her as much as three or four normal male orgasms would have.
She was sobbing and moaning as he finally pulled himself out, waving the come-coated brute in front of her face for her to lick him clean. “I’ll do you tomorow and the night after, but I have somewhere that I have scheduled the next four or five days and nights away from home…”
She was inspecting her drenched and stretched pussy, as if looking for damage, when she looked up and said, “okay, but if I don’t miss my next period and get a positive pregnancy test, I’d like to arrange a repeat performance like tonight for the same time next cycle… Deal?

“What’s in this all for me?” Jake asked, “like just say for instance someone that is suspicious he was the one who did the deed finds a way to run a DNA test, not only can you find your cute ass on the sidewalk, but you’d start looking for child support from me as the natural father!” He leaned forward, giving her a serious look, his eyebrow raised in a question… “I’m no gigolo, but one, I have to live, and two, you could have had a sperm bank do this with the allowance your sugar daddy is giving you, and be 100% sure it was done and done right… So?”
She wavered a long moment, then said, “fair enough, fifteen hundred each session, especially if they’re all like this one, but only up to three months. If you havn’t got the job done by then, I’ll have to try a sperm bank like you said… but this way is a LOT more fun! If you get me pregnant within three months, I’ll add twenty thousand to that, and when a healthy baby is born & he’s accepted he or she is the result of his twice a week sessions with me, I’ll top that with firty more, but you and I sign a mutual non-disclosure, alright?”
“That seems fair enough, except I’d want a hundred grand…,” Jake said, “though maybe if you’e not pregnant this month, we should get one of those tests that look like the pregnancy test, that says when you’re ovulating, to help target when we try, and even add a couple more times, around the nights when your husband expects you to be in his bed for him to try his luck.”
“Oh yeah, that is a good idea!” she enthused, “so what time tomorrow for round two this month, like will 8 or 8:30 be best?”
“Definitely 8:30, so I got time to clean up after work,” Jake said… “meantime, do you need a taxi called?”
Sent on her way in a yellow cab, Jake called Vonn to see what her schedule was for the coming week, trying not to sound too eager about having the girl he wanted to keep, not just ones he could rape or fuck in a cuckolding.

It turnd out she was off two nights in a row, in four night’s time, so should she pack an overnight and over a second night bag? Jake could imagine her sassy grin in his mind’s eye. “Okay, want to spend it at my place or go away and make it a mini-vacation?”
“If we can leave by lunchtime, I’ve got the keys to a family cabin my folks had a couple of hours away from here, so we could really do the mini-vacation thing, and in summer too!”
“Sounds perfect, your car or mine?” Jake asked.
“Well, I drive a pickup, which could be a better ride once we’re off the highway, but your car is what two or thtree years old, while I inherited that truck off my great uncle and it’s around the same age as me!” she laughed.
“Hey, I LIKE your age,” Jake said, Mamak Escort with mock indignation, “there’s NOTHING AT ALL wrong with how well YOU run or look from my close personal examination,” he retorted.
“Hey, it sounds like I have you interested… or am I reading too much into that remark?” she asked.
“I… hmmm, well YOU were the one that told me age is just a number, so yes, if things continue like this, I COULD get very interested, I mean like a LOT more interested than I am already!” Jake covered his comment with a little flattery.
“I did didn’t I, and it’s ben the best, most frigging awesome times I ever had in my life,” she responded after a moment, “like THE BEST” ones for real.”
“Hey, you can be straight about it,” Jake said, “I can live with being second-choice, if that’s who wins your heart, if it came to that.”
“Oh My God Jake!” Vonn exclaimed, “that wasn’t what I was thinking at all when I said that. It’s well, Mom died when I was barely past thirteen, and I think that took the good out of dad, he was at my graduation from high school, but died before I finished my EMT training, and in between one of my grandfathr’s died, and the only surviving grand’ma, so apart from an oldr brother that I’m not that close to, all I have left of the family I remember from all my really good times when I was a kid… Up until age thirteen in other words. I had a dozen years of special memories, but then they all began being taken away from my life, one by one… Until I’m left with a brother eleven years older than me, who’s a total stuck-up ass, and an old man who I hardly know, really since they lived out west, I never really got to know and now he’s too senile to know my name from the medical reports I get every time I call to check on him.”
Jake heard her soft sobs, and asked if she needed him to come drop by and see her for “only a hug time” but she said, no, it was the first time she began thinking lately how much she’d lost over les than half of her twenty-three years. Next month would be her twenty-fourth birthday, and she didn’t know what her work schedule would be, if she’d even have her birthday off, much less how she would be spending it. “If you have that day off, I want to take you out then,” Jake said softly. “I’ve had far too many birthdays working or without anyone but the people at work to share the day with, and that’s not the same thing at all…”
“No brothers or sisters Jake?” Vonn asked, “or grandparents, or other family? You never mentioned having kids, only that you were married for several years, and nothing much about that either…” She sighed, sniffled and excused herself, “I’m sorry, you called to ask me for a special date and I’m venting my sadness at you, and fishing for information from you now! You must think I’m horrible…”
“Hold it!” Jake said, all business now,”I’ll give you the whole enchilada, all in one go, just so you know, and never need to ask again… “I lost both parents in a car accident when I was nineteen, before I started working at the zoo, a drunk driver ran a light and that was it, they died together. They joined my little sister up above, lukemia got her before she turned fifteen. What I got from them in real terms, apart from good memories like you have, were younger days, this house, which is the same one I grew up in, and dad’s life insurance, plus lucklily a friend of theirs was a lawyer who sued the drunk driver, so there was a big settlement, turned out the guy was some big-shot rich guy, and he wanted to make sure I was seen to the rest of my life if I fell on hard times.
“That’s why I can keep this place up like I do, and buy a new little car every two or three years… Dad’s parents, well, Grand-dad died young himself, of a heart attack, and my grandmother is in a place for final stage alzheimer’s care… Mom was, as far as she knew, was an orphan, gew up in foster homes, ao the one very old totally zoned-out grandmother is all I have. My ex-wife and I tried to have kids, but the spirit just went out of her after she miscarried, and by a year later, she was drinking, and with her drinking came sleeping around… which led to an uncontested divorce. So you and I have a lot more in common than being what I feel is a seriously huge sexual compatibility… Maybe much more. Okay?”

“Wow,” Vonn said, still sniffling, “I was feeling so sorry for me I guess I forgot how many other people out there get to live a shitty life sometimes too. I owe you an appology Jake…” She gave a big sigh, “so why didn’t you go to college or university from the money you got, or is that crossing a line? Like I have inherited the cabin, that old pickup and half an insurance policy that I don’t get until I reach twenty-five, and some bric-a-brac, as soon as I was done high school and went off to start training as an EMT, my brother sold the house for the bit of equity there was in it – we hardly lived in a palace… the cabin was as good, just far out in the country, which didn’t interest my brother, but I let him use it a week or so each fall for deer hunting, just to keep on friendly terms. I think he still has the same girlfriend, no kids there, as far as I know, and they keep to their own… meaning her family and their friends.”

“So, what you’re saying is,” Jake waited until she stopped to breathe, “if we ever decided to try making a regular relationship out of ‘us,’ that we’d have my house and car, your antique truck and cabin, the stuff we each have in our places, plus we’d both have money in the bank, both of us have steady employment, so we could be a lot worse off – that about cover it?”
“Well, I do have a car – about six years old. It was a graduation present when I finished high school, a new previous year model from dad, totally base-model and it’s been out of commission most of the past two years, I haven’t tried geting it fixed because I have the truck. Dumb huh?”
“Nope, it’s sad though… Where’s the car and can I borrow your keys to check it over to see what it’d take to get it back as close to 100% possible, so that you’ll have the graduation gift your proud dad wanted his daughter to have?” Jake asked her, “and before you ask, I have enough driveway and amzingly, my garage out back is not stuffed with junk, so since I’m only doing two part-shifts a week at work yet, I have time when I can check it – indoors, and what I know how to fix, I will, and if there’s anything big, it goes to the repair shop at the corner – I went through school with the oldest brother three that owns the place. Short of it being totally trashed, we’ll restore it as close to new and have a fresh safety inspection, so you have something newer than the truck. If I’m still not back on full-time hours when the car is done, I’ll check your truck, make sure it’s as good as can be, maybe repaint it, since next year it’s going to be officially antique, so restore it – you can still drive it, but save a bundle on your insurance registered as antique!”

“Stop trying too hard, you don’t have to buy me to get me to have serious feelings about you Jake…”
“I’m not trying trying to show off, I’m bored being off work, and want you to have the best. Learn to cope with someone caring Vonn… I had to, or I could have given up on the gurney in that ambulance – I heard from way out there in the ozone your partner saying he didn’t think it was worth shocking me after the first two, but you insisted on going was it two or three more times? I KNOW that YOU did save my life in that van – So stop arguing and let me try unless you’re not really interested. Even if you’re not, as a friend, let me do these Ofise Gelen Escort things for you by way of giving me stuff to do while I’m off work anyhow, okay?”

“Okay Jake…” Vonn said, her voice barely above a whisper, “but let’s be straight, I am serious and I am interested.” Call me later – I have to find the keys for that darn car.”
The next morning, Jake retrieved it, with help from one of the guys from the repair shop. It was as he expected, the smallest, economy model GM made that year. It neeeded some TLC, but as his friend said, for a few bucks it’d turn into more like the up-scale model, just by getting some good used parts, like instead of a radio with two speakers, it was simple to put in a factory radio-stereo with 4 speakers, and where the economy-grade seats were badly worn, it was easy to get used leather ones, maybe even heated ones, and the better grade of wheels and tires, things like that could make it less of a hardship and more fun to drive. Once it was running and operating like new, give it a fresh coat of paint so it’d shine like it too.
Vonn was told none of that, just that the battery was on a charger over in the repair shop, she was going to need tires and a muffler, he’d see and let her know what else if it was seious, because she needed to concentrate on work, not how her high school grad present’s repairs were coming along.
Vonn’s reply was he’d better concentrate on what he was taking to the cabin the next day and if he had any, bring Viagra with him too. He said okay, but was going out to see if the battery was charged enough to try staring the car yet, he’d talk to her in the morning to be sure everything he’d need was on board before he came by to get her loaded up for their trip to the cabin. He did that, and the little engine cranked over, sputtered to life, well enough that jake knew the TLC was going to be most of the esential part of the job, and what else would be to make it something more that she could trust and enjoy. Ten minutes after he got back from the garage & washed up, the doorbell rang.

It was the young rich-man’s wife, asking if he would do even a quickie fuck with her that night, she ‘had a feeling’… Even though he said he was about to pack, he was going out of town in the morning, but she passed him two thousand cash, and pulled down her jeans and thong, and said, “come on please, just fuck me” anyway he wanted her positioned, just blast his come in her young cunt right away before she had to get back, in case her husband got back early.
Jake pulled her into the spare room, positioned her on all fours on the bed, as his erection rose, lengthening and thickening as large as he’d ever put into her during the week, and slid inside hard, noting she felt wet, not turned-on wet, but come wet, and he asked. Her aging husband said he wanted to try right after dinner, because he had a two hour meeting to go to, was concerned he might be too tired to do the deed when he got home, so the second he left, she drove across town to Jake, to have him pump her full of insurance come.
It bugged Jake a bit, so he pounded her, thickening and legthening himself even more than the fourteen plus inches long he’d been using in her, going harder and faster than usual, so she was crying out, grasping the covers she was kneeling on, shrieking as Jake gave her what she’d asked for, so the entire act took about a fith of the time it usually did, as he told her, the lack of her usual wetness and her request that he go hard and fast, Jake didn’t spare her, but his load was bigger and at least as fertile as typical. She came once and had a second small orgasm as Jake was pumping his warm load into her. She dressed and left then, saying she’d be in touch one way or another before her next ovulation was due, or was about to happen, whichever way the next month’s cycle happened. Jake got the notion she’d come back for more regardless…

The thought of him studding out himself for pay like this made his erection stir, and he stripped and shifted into the ‘invisible’ state he used at the zoo… He found a couple at the end of the block doing outdoor bondage sex. He could se the guy using coke before he moved in to fuck his rather hot-looking black female partner, gave him a tap on the back of the neck that left him down & unconscious, and since she was blindfolded, he walked up to her, and slapped her pussy until she was moaning, her wetness coating his palm.
Then he lifted her legs into the crooks of his arms, and enhanced himself to larger than the guy who’d ben snorting the coke had when Jake tapped him on the head, he slid inside the black girl easily enough, then as he backed out lengthened and thickened himself before pounding into her the second time, and she yowled into the gag that was strapped across her mouth, and Jake smiled to himself. Once he was deep inside her, he kept making his erect cock thicker and firmer, until he was hard as cast aluminum, and as big around as a roasted chicken, nearly 20 inches long, giving her everything that would fit, as she moaned and came over and over… her tight pussy was quivering, pulsing against his hardness as she was climaxing but unable to squeeze against his hardness.
He drove up into her until he decided to come a torrent, but stay hard, and still pulsing, went around behind the rope seat the girl was wrapped it and lined up at her anus, which made her whimper, but he narrowed himself to the same length, but about the same size as the dildo he saw on the deck, but once fully inside her, swelled his erection once more as he fucked deeply inside her gut. She was past screaming or moaning, just making huffing noises as he pushed into her the last six or seven inches each time, until he flooded her insides with what in his thoughts would be around a gallon of warm sticky come. When he pulled out and wiped off with a wet towel, he fucked her drooling pussy once again, stopping in mid-stroke and made his cock fork, so he was able to fuck her pussy and ass at the same time, though the anal cock was more like a typical foot-long sex-shop double dong. Finally he decided to spend, and unloaded enough ultr fertile sperm inside her pussy that if she wasn’t on birth control, she just became pregnant for sure, and her ass bubbled as the extra come was pushed into her… Jake held back from laughing, and wiping off in the wet towel once more, left and walking on slightly shaky legs of his own, headed home.
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An extra couple of thousand from the teenaged bride wasn’t chump change, and he was going away in the morning, so he gathered whatever he figured he’d need into his two duffle bags for the morning, since he’d already made sure the car was ready for the trip that afternoon. He looked in his fridge, set aside wine and cold cuts for sandwiches, side-snacks he would put in a cooler in the morning, last thing before he went to collect Vonn.
He went and showered scrubbing well to get the sex scent of the seventeen year old gold-digger bride off himself. He was hoping in a way he’d succeeded impregnating her this week, he felt there was deception in what she was doing that had the potential to blow up in their faces if he didn’t set some boundaries on her before next month, if she didn’t have his swimmers ravaging her egg already.
He put it out of his mind, and went to bed to be well-rested for Vonn, reflecting as he went to sleep how much he was starting to have really serious feelings for her, not just because she saved his Otele Gelen Escort life either, but something far more, deeper than he’d felt since the girl he’d been dating back when he was nineteen and lost his parents had slipped away as he was consumed by misery in the year after their deaths. He didn’t even recall her name, but he knew in his heart, he’d never ever forget Vonn’s. He was awake and made his bed fresh, also making up the one in the spare room, running the short load of laundry while he made breakfast, threw it in the dryer, so by the time he was fed, cleaned up, had the car loaded and was ready to go, calling Vonn to warn her he was on his way, he’d unloaded the dryer, folding the sheeets, and locked the door behind him, setting out on his special adventure.

Chapter 3

Vonn was dressed like a rockabilly guy’s wet dream when Jake picked her up for their cabin date, heels with bluejean cut-offs that were moulded to her sexy butt, and a plaid cotton shirt that was tied off at her midriff. Her stuff was in a scuffed old army duffle bag, and she too had food in a cooler, which Jake loaded in the car. He stopped Vonn in the hallway of her small townhouse, asked her if she needed him inside her before they left… “Oh fuck yes!, I can’t wait until this afternoon,” she said, dropping her jean shorts. No underwear, already wet from wanting him, as bending from the waist, she looked back over her shoulder and smiled. His jeans and shorts dropped around his ankles, and he slid his already hard as steel cock in her all the way, then began slipping in and out, as she grasped her ankles, while he steadied her by grasping her hips, driving into her like a madman, as she shook and moaned through her first orgasm after about a dozen strokes.
It was a faster pace, a less ‘courtship’ type fuck for them, but as Jake buried himself as deep as possible, he felt connected in his mind, suddenly clear about what was wrong with what he’d done earlier that week that bugged him, but hadn’t ben able to put his fginger on.

It wasn’t that he begrudged helping the rich couple have a child, but that when she was pregnant, and he was paid off, she was gone from his life, hopefully forever, even if she was young and cute…
His mind focussed on Vonn’s sexy butt held tight between his hands, as he realised that while he’d been pumping sperm into the rich girl, he’d really wanted to be making a baby in Vonn instead, to make a whole life with her, one that hopefully included a child, maybe two, maybe even more… During the thought, he realised he’d stopped talking to Vonn, and just pounding her pussy hard so he could come as much as possible inside her. She was climaxing for about the tenth time when he unleashed a surging wave of hot come, feeling it flow up inside her, filling her womb, wishing the sperm were able to get past her birth control, into her eggs, to create new life inside her, and he groaned loudly as the final waves of come burst out of his cock, “Vonn?”
She gasped something that indicated she was aware he was speaking to her… but she was too breathless to speak…
“Vonn, I… I love you, I want a life with you baby… a real life I mean, one for keeps…”
“Oh Jake, thanks…” she panted breathless, “I didn’t want to have to be the first one to say it. I love you too, I just… well I’ve never been in love before, and didn’t know how to say it right – I love you too Jake.”
“You take your pill yet today?’ he asked. She shook her red hair no, as he swallowed hard, before saying, “then don’t, just forget them, let’s flush them, whatever… I want you forever and I also want to have a family with you.”
She looked back over her shoulder again, a very different smile this time, one with tears as well as the smile, “yes, I think that’s what we both need isn’t it? Like really, if it doesn’t happen this month, it will next month or the one after”… a long ragged pause, “Jake?”
“Yes my beautiful Vonn?”
“Can I straighten up now? Let’s get on the road, now, I want to work on us making babies tonight!” She pulled up her cut-offs as he slid back into his jeans, and took his hand, setting the security alarm, locking the door behind her, as they walked out into the sunshine to the car for the drive to the back country.
It was a lot of talking happened on the way to the cabin. Vonn confessed to having wanted to stay right where she was that first morning she woke up in his arms, just stay and never leave. She said something inside her had said the first day, while they were en route to the hospital that she must make the extra effort, that he was supposed to be an important part of her life, so she ignored the senior EMT and gave Jake the extra couple of more powerful shocks that brought his pulse and heart-rate back.

The reason she chose to go on the date when he came to thank her outside the hospital the day he’d been to see his specialist was her clincher… that was when she knew, whatever the question was, the answer had to be “yes”… that Jake was “him” – the one she was supposed to have in her life, however long they were allowed to have each other.
Jake replied, if he hadn’t seen her from “out there where he felt like he was in the ambulance that day,” he’d have wondered if angels had dark firey red hair and wore uniforms when he’d opened his eyes, because all he recalled being able to see was her beautiful face hovering close to him, bringing him back…

“Jake?” she asked after several minutes while they just listened to the sound of the radio playing low, not talking, “I know you’ve had to go back to see the specialist we handed you over to the day you got electrocuted a nuber of times. Is there something seriously wrong – like is there nerve damage or is your heart weakened – No, forget I asked that last part, if your heart ewas weak, they wouldn’t have cleared you to use Viagra. But there IS something isn’t there?” she asked, looking steadily at him.
“Yes, and they tell me fyi, they will never know the exact level or long-term nature of just what the lightning electrocution did to my nerves, but at times I fel like my entire body is buzzing, and then I get headaches, which he gives me pain killers for… they’re in my bag if you want to see, because you probably know exactly about them.” He breathed a dep intake, and continued,
“it’s what I feel like when I get spinning sensations from it that scares me, the other effects which is when I go see him asap. In betwen, there’s an effect I get that after we’re at the cabin & have eaten, and can rest and unwind, it’s easier to show tan explain, to share with you what else I experience that didn’t show up on any tests, but it happens. Just let that stick on the shelf for now,” Jake said quietly, seriously, “like I said, what would need at least a set of books to describe by words alone, being with me will make clearer to show you, for you to know what is hapening, okay? Please trust me on it for now, by tonight you’ll know as much as I do, and with your training, maybe more, since all I have is theories that the doc can’t explain away when I tried to describe it. If it freaks you out, I won’t hold you to having said “yes” to me either…”
“Fair enough,” said Vonn, “just tell me this – will it shorten your lifespan or send you into early dementia that you know of?”
“Nothing like that at all that I know of,” he replied firmly. “It’s not something that affects me like that, thankfully…”
“If it won’t steal you away from me or our kids, then I’ll be okay, whatever it is, no matter how strange it is,” Vonn said, a woman with her mind made up about the subject already. Jake hoped she was able to be right when he revealed what the acident had done to him to Vonn that night. He guessed it was going to make or break not only their relationship, but also his life in very important ways.

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Sequel to Eve and the Peeping Tom

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Cumshots

Several people commented on my story of “Eve and the Peeping Tom”, saying that I set the story up but didn’t have enough sex and abuse. Accordingly, I’ve written this story more or less as a continuation of my previous.
It will probably make better reading if you go to the first story before reading this one, however it is not necessary if you just wish to continue reading this one now that you’re here.

I’ll just once again warn that this story has extremely cruel and sadistic passages, so if you are going to be turned off by that sort of thing, stop now and look for something more playful.
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During the first few days after her meeting with the Peeping Tom and his friends, Eve was terrified that they would phone her while her husband was at home. This didn’t happen though, and after the first week had elapsed, she began to relax and settle back into the normal flow of life.
Indeed the second and third weeks also passed by without any word from the men who had used her so roughly and so crudely. Up until this point, Eve had been happy not to have heard from them, but towards the end of the fourth week, when she knew that her husband’s night shift was imminent, she began to have regrets that the men had seemingly treated the event as a once only occasion, and that it seemed she would never have any further such wild and debauched experiences.
Perhaps that was just as well too. She had needed to be so careful for her husband not to see the marks of the whips that had so decorated her body after that last session. She’d worn shirts buttoned up to her neck, long nighties at bedtime, she’d made sure the door was locked whenever she’d taken a shower, and had needed to feign a minor illness to keep her husband at bay until her bruises and abrasions had disappeared.

Eventually the day came around when her husband, Rob, was due to go once more onto night shift for a couple of days. There had been no further news of the Peeping Tom who had been active in the town, and Rob now felt less worried about leaving his wife alone for the couple of nights.
Eve, for her part, assured her husband that she would be safely inside the house with the windows closed and the doors locked.

That evening, as the time approached eight o’clock, Rob got himself ready to leave for work, and shortly later Eve was kissing him goodnight and watching the car drive away. She was about to close the front door and go back inside the house when it occurred to her that they hadn’t brought in the evening newspaper.
Lightly skipping down the path, Eve extricated the newspaper from where it was jammed in the gate, and as she did so she glanced each way along the road. A car was parked just a couple of doors along, and with a fright she saw Tom step out and begin walking towards her.
Eve was transfixed and stood waiting with a turmoil of mixed emotions racing through her brain.
“Is your husband back on night shift?” the man quietly asked as he came face to face with Eve.
“Yes,” Eve murmured, with feelings of sexual excitement now beginning to overwhelm her.
“Come and get in the car,” the man commanded, and Eve opened the gate and, newspaper still in hand, followed the man and got into his car with him.
“We’ve got everything ready and are all waiting for you,” the man laughed with a slight mocking tone as they drove away.

Eve was scared but also tremendously excited. It was so very, very wrong what she was doing, but she couldn’t help herself.
The journey took just a few minutes before they pulled into the driveway of a house. Eve and the pervert were just alighting from the car when the door of the house opened and the other two men, who she recognised from that torrid sex session of a month earlier, came to excitedly greet her.
All three men kissed her lovingly, their tongues slipping into her mouth and meeting Eve’s own tongue which responded with lustful love.

Being led into the house, Eve gasped to find two other men waiting for her. “We’ve got extra cocks for you this time,” Tom laughingly told her, then addressing the extra two men, he told them that “this is the fucking slut we told you about. She loves sucking cock and being fucked, and best of all the slut loves it rough.” To demonstrate this latter point Tom told Eve to lift her chin, then when she had done so he gave her a resounding slap across her face.
“You filthy fucking bitch,” he sneered at her as Eve gasped.

The blow had stung her face but Eve felt the same conflicting emotions of sexual lustfulness along with some element of fear.
“See, the fucking whore loves it,’ Tom laughed as Eve docilely stood before him, and he gave her a couple more playful slaps.

All five men were now stripping naked and Eve’s clothes were half taken off and half ripped from her body so that in just moments she was standing naked amidst the five men whose massive cocks were all hard and swaying out in front of their bodies.
Eve now began to be fucked and fucked and fucked, pussy, mouth and ass, with the five men constantly swapping positions because, with five of them, two were at any one time, missing out and were eager to get their cocks inside Eve’s body.

After some time of heaving Eve’s body this way and that, and fucking and mauling her all over, it was suggested that it was time to have a bit of fun hurting her. Accordingly, all five men took up short leather whips and, completely surrounding Eve, they began to viciously flog and lash her body.
Eve was soon howling and screaming. She could do nothing to protect herself, if she moved away from one sadist she was only moving in range of another, and if she turned from one lash it was only to face others.

The men flogged and thrashed her, urging each other on, and being urged on by Eve’s screaming and her obvious suffering.
The cruel leather whips bit and stung Eve’s soft, pale flesh, leaving glowing red welts all over her body. Soon her entire body was disfigured with fiery red stripes criss-crossing her ass, her belly, her breasts, and her thighs.
Eve’s screams were becoming frantic and uncontrollable as the horrendous and ghastly pain raged through her body. Her pretty little face was contorted with pain and the tears ran freely, running down her cheeks and adding to the men’s desire to cruelly Kızılay Escort hurt this soft, tender, and very lovely woman.

Eventually, but not before Eve had collapsed on the floor in a state of semi-consciousness, the flogging ceased and the men now fussed over her in order to restore her enough for the next onslaught of cruel, sadistic abuse.
Eve’s body was so sore and still stinging and aching as she was helped to her feet and had her face sponged with cold water and was given something to drink.

“We’re going to burn you next,” she was told as her wrists and ankles were all secured with leather straps securely wrapped several times around her limbs and fastened with sturdy buckles.
Her arms were first stretched out above her head and the straps secured to fastenings on the wall, then her legs were stretched wide apart and she was lifted into the air as these latter fastenings were attached to further fastenings on the side walls. She was now stretched out in a horizontal spread eagled position suspended in the air by her arms and legs.

The men then emptied out a bag of large, wax candles onto the floor and taking matches, began to light up two candles each.
Soon the hot flames were beginning to melt the wax of the candles so that the hot, molten wax pooled around the hot flame.
The guys waited until all candles were holding a good pool of the boiling wax. They surrounded Eve and carefully held their candles over her body, one directly above her small, round breasts, one over her belly, one right above her gaping and wet pussy, and the last two poised above the stretched out inner thighs of their victim.
Every area that the sadists aimed for with the boiling wax, was the softest and most tender places on Eve’s body.

The men were laughing and chuckling with glee, fully aware of the ghastly pain which Eve was about to experience.
“OK, ready,” one of the guys laughingly asked the others as he glanced around at their grinning countenances.
“One, two, three – burn you fucking bitch!” he cried happily and the ten large candles all tipped in unison, pouring the hot, searing wax onto Eve’s naked and helpless body.
The screams that Eve gave out were ear piercing and gave a good indication of the hideous pain that she was experiencing.
“Ha, ha! Listen to the fucking bitch!” one of the guys exclaimed with great delight. The others laughingly agreed and were thrilled at Eve’s frantic screeching and lurching about as she hung there suspended on the straps, her eyes wide and her her mouth wide open as her howls and shrieks pierced the air.
The men were laughing and filled with great satisfaction as they stood commenting on the extravagant reaction that they’d inspired in their victim.
Of course at the same time the men were all holding their candles upright again in order to let more of the cruel, burning wax pool about the hot flames.
The boiling, and burning, molten wax was soon being randomly dripped over Eve’s body, each time producing lurching struggles to get free, along with gasping, crying, howling, and always tearful, screams and shrieks of pain.

That horror for Eve, and pleasure for the men, continued until the candles were almost spent, and Eve’s body was caked with the now solidified wax.
Snuffing the candles out, the men took up a number or riding crops and beat the wax from Eve’s body until it was all gone and her flesh showed through red and blotchy from the burning of the hot wax. Looking at her, and remembering how soft and pale and tender her skin had appeared before they started work on her, the men felt very satisfied at the red and beaten look that Eve’s flesh had now taken on.
Soon Eve was ready for the next torment that the men had prepared for her. They brought out a simple timber chair that they had worked on and made a couple of significant additions to. Eve gasped when she saw what they had done. In the middle of the seat towards the front, the men had bored two holes and mounted two huge, fat, rubber dildos, strategically placed to line up with Eve’s vagina and anus when she was seated upon the chair.
“Oh my goodness!” Eve gasped, and protested that the dildos were way too large.
Her protests were ignored as one of the men smeared a liberal amount of grease, first on the dildos, and then on and in Eve’s pussy and ass.
Men stood either side of Eve, and each with a hand behind her back and the other under her thighs, lifted her up in a sitting position.
Holding her over the special chair, the men moved her into position so that the two dildos located into her two holes. They then slowly, and at the same time jostling her body slightly to aid penetration of the huge, fat dildos, released her weight so that she slowly sat down and the dildos pressed into her two cavities under the weight of her own body.
“Ah!, Oh! Ooo! Oh my God!” she gasped as the dildos stretched her holes so very wide as they pressed further and further into her body.
The dildos, while being huge in diameter, were not excessively long; the one in her pussy was perhaps eight inches, while the one up her ass was somewhat longer – perhaps ten inches. Being of a nice flexible rubber the dildos took up the correct angles and flexed as they pushed all the way into the depths of Eve’s body. Finally her bottom coming down onto the seat of the chair, indicating that the monster cocks had stretched her to the maximum, and had forced their way right the way up her two cavities.

Eve sat there panting and, to tell the truth, feeling very pleased with herself as she sat there feeling stuffed full both up her pussy and up her backside.
This position seated on the stretching chair was only half of the fun. The men produced a high efficiency vacuum pump connected by tubes to two clear plastic suction cups which were about twice the size of Eve’s modestly proportioned breasts.
A smear of grease around the perimeter of her breasts helped establish the initial seal as the mechanism set up a low and regular pumping sound and the connecting tubes vibrated slightly.
It only took a minute before Eve began to feel the strange sensation in her breasts as the air was evacuated in the cups and her body’s own blood pressure began to swell her breasts.

The five men were all huddled around Kolej Escort her watching her breasts intently, as was Eve watching with great interest herself.
“You can see them starting to swell now,” one of the men commented. The other men murmured their agreement as they continued to peer into the clear plastic cups at Eve’s now swelling breasts.
Brr..brr.brr.brr… the pump continued working.
Eve, her head pressed forward as she looked down and studied her ever swelling breasts with as much interest as the five men, commented that it made her feel decidedly strange.
“Wait until you see what we do with your nipples, once your tits can go no further,” one of the men laughed.
“What, what!” Eve exclaimed with undisguised excitement.
The men teased her more but wouldn’t explain further.

The rate of swelling in Eve’s breasts had now slowed up as the pump, having rapidly produced a vacuum in the cups, now worked to gradually increase the vacuum more and more.
After almost half an hour of pumping, Eve’s breasts had reached immense proportions relative to their normal size. They now in fact filled the entire cups and her nipples pressed into the removable caps which were situated at the apex of each plastic cup.
These two caps were now removed by the men and her nipples, which were normally relatively large but were now even more swollen, poked out allowing the men to quickly screw on two large and long containers. Already, Eve’s breasts were beginning to slightly decrease in size, however the operation of swapping the caps had been so rapid, and with the vacuum pump now working to evacuate the two new containers, they soon began to swell again and pressed up to once more fill the breast cups.
Eve now watched, along with the fascinated men, as her nipples began to swell and swell and swell to huge, unnatural, and obscene size, eventually attaining a length of some two inches and perhaps three quarters of an inch in diameter.
“Oh my dear God!” Eve muttered for the twentieth time, so amazed and fascinated was she with the bizarre things the men were doing with her breasts.

Next, Eve was told to stand up and the men, one on either side of her, took her hands. She began to lift herself off the chair but the dildos were so large and firmly inserted up both pussy and ass that the chair lifted off the floor with her.
The men all laughed uproariously and Eve grinned and laughed along with them.
Sitting down again, Eve placed her hands down on the edges of the seat and again, slowly, began to lift herself off the seat. This time she felt the huge dildos slowly easing out of her two fuck holes, and heard the oozing slurp sound as they pulled out of her body.
Once off the two dildos she was made to bend over, and the men bending and squatting behind her, marvelled at the two huge, gaping chasms of her pussy and ass. She looked so fantastically used with her gaping holes and with her two fantastically stretched breasts with the bizarrely huge teats hanging down with the vacuum pump still working relentlessly on them.

One man smeared some of the grease remaining on the chair, onto his hand and almost immediately was able to work all four fingers into Eve’s pussy. A little more twisting and pushing and his thumb tucked in alongside his fingers in her juice oozing hole. Moments later, with a little pressure, and lots of sighing and lustful moans from Eve, his entire hand disappeared up into her vagina.
The man then began to slowly drag his hand out, stretching her hole obscenely.
In again, out again, in once more. Eve was moaning in delight at this treatment.
In the man’s hand plunged, easily now as her pussy stretched to accommodate this fist fucking.
Inside her body, the hand formed into a fist which the man slowly dragged out of Eve’s hole, stretching the flesh even further and coming out with an obscene slurping pop.

“I wonder if the fucking whore can take a fist up her ass,” another of the men mused.
Greasing up his hand, along with Eve’s already dildo stretched ass, he began by inserting three fingers in that opening.
Slowly, slowly Eve’s anus was stretched and stretched. Four fingers now were entering into her anal passage and twisting, turning, pumping all the time.
Tucking his thumb between his fingers, Eve’s ass was now made to take that extra digit. She moaned and groaned in an ecstasy of lust with the fist continually pumping and pumping in and out of her lusting and juice dribbling pussy, and the fingers beginning to be pressed, with some pressure, further into her ass so that eventually, with an extra shove, the skin around her anal hole stretched and stretched sensationally so that her asshole began to engulf the main knuckles of the man’s hand and moments later the entire hand entered her body and slid up into her intestinal canal.
“Oh my God!” Eve panted and gasped. It had hurt her but the pain was all a part of her lustful desire to be abused.
The two men then both dragged their clenched fists, in unison, from Eve’s body.
“Ah!, Oh!, Ooo!” Eve panted and moaned.

Soon the two fists were pumping and fucking into her two incredibly stretched holes. Vigorously. Rapidly. Squelching. Slurping.
Another of the men positioned himself before Eve’s head. She needed no encouragement and began sucking and licking and devouring his fabulous, gorgeous big, hard cock. The man grabbed a handful of Eve’s glossy, black hair and thrust her head down hard onto his lusting, rampant cock so that it plunged down her throat.
The automatic reaction of Eve’s body was to try to vomit the cock out. Her throat and stomach muscles heaved in a reaching action. Her eyes stared and tears ran down over her cheeks as she flailed about with her arms and slowly choked and suffocated.
The man had no care whatsoever for her well being, she was simply an object for him to fuck and abuse, and so her just kept vigorously fucking her mouth and throat.
The other men all laughed and cheered him on as he fucked and fucked, almost viciously now, down Eve’s throat. The two fist fucking her had not for a moment let up on their work as their fists continued to plunge into her, by now, fantastically gaping holes.

Eve, on the verge of losing consciousness, was saved by the man reaching his climax Maltepe Escort and pumping his semen deep down into Eve’s throat.
He then pulled his cock from her head and Eve gasping and choking, gulped mouthfuls of air into her lungs.

Eve soon recovered and continued to stand in her bending position while the two men continued on and on, fisting her pussy and ass, more and more vigorously and, in the case of her ass, deeper and deeper until the mans forearm was disappearing more than half of its length up into Eve’s intestinal passage.
“I thought that we were going to stretch the fucking bitch,” one of the men asked questioningly.
“Yes,” a couple of the others agreed, and there was general consensus about the next game for which they’d subject Eve to.

The men stripped Eve’s breasts of the vacuum equipment, and she stood there with breasts twice their normal size, and with obscenely distended nipples protruding out in front of her like a couple of pegs on which to hang hats or coats.

“What time do we need to get you home cunt?” one of the men asked Eve as he gave her face a couple of slaps.
Eve flinched and replied that her husband was on a twelve hour shift so there was plenty more time for them to use her. The man glanced at the clock and saw that they’d had her for just over three hours so he knew indeed that there was plenty of time yet for torturing and abusing this slut.

The men had prearranged this torture for Eve, and had earlier secured two heavy hooks into the ceiling.
Eve was told to hold out her hands for the men to fasten leather straps around her wrists; she willingly complied and stood there holding her arms out and watching as the men fastened the straps.
Next, ropes were secured to the straps and looped up over the hooks in the ceiling. That done, two men, one either side of Eve, easily lifted her small weight off the ground and up onto their shoulders while two others took up the slack in the ropes and tied the ends off also to Eve’s wrist straps.
Eve lurched a little as she balanced up on the men’s shoulders. She giggled and bade them to be careful and not let her fall. Any chance of her falling was only momentary though, as moments later the roped were secured and held her steady.
The two men holding her aloft then crouched slightly so that Eve’s weight was gently taken up onto the ropes so that she was left hanging in mid air suspended and hanging by her outstretched arms.
Eve felt the immediate ache of her arms and shoulders as she hung, some three or four feet off the floor, like a side of meat in an abattoir.
“How’s that,” one of the men asked with a laugh.
“Not too good,” Eve replied, pulling a face as her arms hurt her already.

The men quickly secured a spreader rod to Eve’s ankles, and once that was in place, hung several small sandbags over the bar.
The weight of the sandbags was enough to really strain Eve’s arms and wrench constantly at her shoulders, elbows, hips and knees. “A-rr,a-rr, a-rrh, she gasped and groaned in anguish.”
One of the men began to fist fuck her pussy as several more sandbags added to the weight dragging through Eve’s entire body.

Eve was panting and gasping with pain. “No more! no more! God, I can’t take this!” she gasped out a word at a time in a staccato fashion as she struggled to breath and take the awful pain that was driving viciously through her body, making her feel as if her arm, legs, indeed her entire body would disjoint and come to pieces.

Putting on a rubber glove, and taking a paste of chili powder which the men had earlier mixed, one of the men began smearing the burning paste over Eve’s still abnormally distended breasts so that she was soon screaming frantically and writhing and twisting with the ghastly pain which made her breasts feel as if they were on fire.

Eve’s frantic screaming filled the room. “Fuck!” the men exclaimed. “We’d better shut the fucking bitch up,” and they stuffed a large, red, plastic ball-gag in her mouth and tightly buckled the straps behind her neck.
Eve’s eyes were staring in a panic of terror, her head heaved from side to side, her body was lurching about to the small degree that her ropes and the substantial weight dragging on her body would allow.
The men took up the leather lashes and the man who had been constantly fist fucking Eve’s pussy now pulled his fist from her body with a loud slurping noise and stood well back.
The lashes began to strike viciously and savagely all over Eve’s horribly suffering body.
More and more, harder and harder the terrible biting lashes of the leather rained down upon the soft flesh until Eve’s head lolled forward in a completely senseless state.

The weight of the sandbags was removed and Eve’s limp body was unshackled and lowered to the floor. One of the men then easily lifted her small body and the other men followed in his wake as he took the still limp body and sat it in the shower recess.
The cold water poured over Eve for some half a minute before, with shuddering tremors she regained consciousness and simply broke out into uncontrollable crying and sobbing.

Eventually Eve regained her senses and was allowed to adjust the warmth of the water and spend some considerable time showering and washing as she tried, largely unsuccessfully, to ease the pain that still racked her body.

The men left Eve to her own devices while they retired from the bathroom to go and make coffee. They were still sitting around drinking and discussing the nights events when Eve finally appeared in the doorway, wrapped in a large, fluffy towel.
The men were relieved to find that, other than limping slightly, being red and puffy all over her body and literally covered in red stripes and abrasions, Eve seemed to have survived their sadistic onslaughts. She was soon divested of the towel and was kneeling on all fours as the men took turns in fucking the hole of their choice – either pussy, ass or mouth, and indeed in some cases alternating between all three.
Eve, in spite of the aching and extreme tenderness that she experienced, was soon gasping and panting lustfully as her own sensual sensations were driven higher and higher until she was madly gasping and moaning in the delights of almost continual orgasm, either sucking lovingly and deeply, or pumping her body in unison with the fucking motions of the men who were continually fucking her.

Finally the last of the men gushed his sperm into Eve’s body to add to that of the four men who had preceded him. Eve then slumped to the floor panting and sighing with delighted happiness.

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Saving My Marriage – part 7

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And the story goes on… it may seem like there are too many parts, but I wanted to keep each segment somewhat manageable when reading. Some of this is true, some of this is a fantasy that has been running through my head. Some of it has been guided and affected by some wonderful feedback from you readers and I thank you for that! As feedback grows, I have incorporated other fetishes that are not necessarily mine, but I want to try and give others what they like as well. I am still new to this writing thing, so any and all feedback is welcomed greatly. Drop a line in the comments or shoot me a message. I can’t wait to hear from you!

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Blindfolded and securely fastened to a wooden pole, knees digging into the floor, and having listened to my wife have passionate sex with a group of people for the last hour, I was beginning to feel exhausted. My cock was throbbing from being erect for what felt like hours, brought to the edge of orgasm multiple times but being shut down at the last possible moment. The ecstasy was still flowing through me and every little bit of contact was sending shivers through me.

Amy had finished with her playmates and had laid down on the floor in front of me. I could feel her hair against the underside of my balls and her hands were firmly placed inside my knees, forcing them outward as far as I could possibly stretch with my ankles cuffed behind me. With each shift of her head, the hairs brushing against me, the tremors of euphoria radiated through my legs, crotch, and belly. My penis twitched and jumped with each wave.

“I will need a little help here. I think we all know our part.” She calmly stated. A few seconds later, I felt a hand softly envelope my penis and heard someone working on the buckles that held the strap around my throat to the pole behind me. Everything seemed to slow down as I waited for whatever was coming. “Everyone ready?”

Suddenly the strap around my throat was pulled extremely tight and I couldn’t breathe. At the same time the hand began to furiously pump my penis and Amy began licking and sucking on my balls. The extreme sensations running through my body sent my heart racing and I was fighting to catch my breath. My mind was in overdrive as it fought through two very different situations. I could feel an orgasm building up in my belly, almost to the point of being painful but I was struggling to keep my consciousness. Just as I started to fall into a dark sleep, the orgasm overtook me and I could feel wave after wave of thick sperm shooting from me. I was bucking against me restraints and trying to gasp for air. The strap loosened on my throat and I slumped forward, my cuffs on my wrists catching against the back of the pole, and gasped for air. My body continued to shiver and twitch and I could still feel myself cumming. It felt like it lasted for over a minute as the hand slowly stroked me. Every time it slid forward along my shaft, I could feel the fingers tighten a little more as it went toward the tip, milking every last drop from me.

Finally the hand released me and I felt Amy push off from my knees and start to get up. I heard her shuffle away, but I was too exhausted to really pay attention to what was going on. The cuffs around my wrist were released and I fell forward onto the ground. My ankles were released afterwards and I curled up on the ground trying to get over the shaking and trembling from my release. I felt someone lay down behind me and wrap me up like they were the big spoon.

“Shhh, shhhh. Deep breath. Let it out. There you go.” I heard Steph whisper into my ear. She began running her hand up and down my arm and wrapped her top leg over mine. “Gotta relax. We aren’t done with you yet. Your lovely wife has a special treat waiting for you.” With that, she slowly got up from behind me, reached her hand down and helped me slowly get up from the floor. My knees were weak and wobbly as I stood. She gave me a light kiss on the lips and then turned me around.

What I saw before me was a bit of a shock. There was a large, padded bench in the shape of a “T” and Amy was laid out across the long portion, her arms stretched out across the “T” and her wrists tied down. She had her feet propped up against the sides of the bench, knees raised and spread. She was a mess! It seemed almost like every inch of her was covered in sperm. It was on her face, chest, and splattered across her latex dress. She must have taken over a dozen loads on her. As Steph helped me walk up to her, I noticed something shocking. There was a slow, steady stream sliding out of her and running down towards the bench.

“That one was my idea.” Steph said to me and then used her toes to push against the back of my knee. I immediately buckled and fell to my knees, my face just inches from Amy’s special surprise. “We thought you might be a little hungry after all you have been through.” With that, she pushed my face into Amy’s crotch.

I knew exactly what was expected of me. I began to lick all of the juices up. Starting with the little that was slipping down, I began circling my tongue along her rosebud. Working my way up, I lightly licked her lips and up to her clit. I moved back down and began to slide my tongue deeper into her. I could taste the mixture of her juices and the sperm and it was surprisingly intoxicating. I felt her tense up and a flood of juice coated my tongue. It seemed like every time she was clean, she would tense up and push even more out. I couldn’t believe she took so many loads inside her!

As I seemed to be catching my fourth or fifth load into my mouth and lapping it up, I heard Steph whisper in my ear seductively. “It is hard to imagine that was from just one person. A real heavy cummer. I guess knowing that you would be cleaning her up made it that much more exciting!”

After a few final licks and not getting any more sperm from Amy, I sat back on my heels and waited to see what was next. Steph grabbed me by the back of the hair and pulled me to my feet, my face wincing in pain. “Oh no, you misunderstand.” With a wave of her hand, gesturing towards Amy’s prone body, she continued. “I want you to clean her up.”

With Gaziosmanpaşa Escort a deep breath, I stepped forward and leaned over Amy’s stomach. I placed my hands on the sides of the bench to steady myself and I began to lick and suck the sperm off the hem of Amy’s latex dress. I am not sure if it was the act of eating someone else’s sperm, being degraded by Amy and the group, or the feel of the slick latex against my tongue (not gonna lie, I have a latex fetish that Amy never acted upon before), but I could feel myself getting aroused again.

As each area of her body became clean I would shift a little higher, readjust my hands and scoot my body further up the bench. When I could no longer reach further up with my body sitting at the end of the bench, I started to wiggle around Amy’s leg and move to the side of the bench. Gloria stepped up, grabbed my hips and forced me back towards the middle. Gloria grabbed one leg and Steph grabbed the other and pulled them apart and made me shuffle so that my knees were on each side of the bench. Amy spread her legs wider and I lean across her body. As I stood there, licking the copious amounts of sperm off her latex covered breasts, I felt my ankles get cuffed to the legs of the bench and I could no longer move forward. When I tried to lean further to reach the bare cleavage and neck, I found I could not. Gloria and Steph stepped up and untied Amy’s arms and helped her shimmy down the bench so I could clean her some more. When she was clean, she shimmied down a little further. Now I was looking her in the eyes. I felt her push upwards with her hips and Gloria slid a small pillow under her. Steph reached between my legs and grabbed my now hard penis. She manipulated it until I slid deep into my wife. I reached out and grasped the arms of the bench for leverage and attempted to begin thrusting into her. She immediately grabbed me by the back of the head and hissed at me:

“I did not say you could do that.” I felt my arms pulled outward and I fell forward. My wrists were immediately strapped down to the cross beam of the bench and I was just inches from Amy’s face. “You need to finish cleaning me… NOW!”

I used the little movement I could muster and began kissing and licking all over Amy’s face until she was clean there as well. She lifted her head a bit and whispered into my ear. “Before you came, I was clean on my face and breasts. Yes, all of that was just from you! I guess being our little bitch turned you on. Well, it isn’t over yet.”

I felt a hand placed right in the center of the small of my back and then a slight tug on the base of the plug still embedded in my ass. Slowly but steadily I felt it pulling further and further until it was lodged right against my sphincter. “Deep breath… and let it out.” Right as I exhaled, I felt a hard tug and the plug popped out.

“Don’t worry, I will start slow” I heard Michele say and then felt her begin to push against me. She continued forward in a slow, steady manner and slid her strap-on into me until I felt her hips pushed firmly against my ass. She sat still for a moment to let me get used to her inside me and then she began a slow and steady rhythm. She would pull out until just the tip would be inside me and then she began to push inwards just as painstakingly slow. She continued this for a few minutes and I had to admit, even though I never expected something like this to happen, it did feel amazing.

Michele pushed deep against me and held it. I felt her fingernails dig into my shoulder blades and then as she pulled out again she raked her fingers all the way down my back. Just as her nails finished their path to the middle of my ass cheeks, her strap-on popped out of me. I heard shuffling behind me and someone stepped up to take Michele’s place.

As I waited for the inevitable, Amy grabbed my hair again and pulled my ear to her mouth. “I know you have never done something like this before, and definitely not with a man… but tonight, you are my bitch!” She said this last part loud enough for everyone to hear and as she finished saying that, I felt a hard penis shoved deep into me with one thrust. It was not much bigger than Michele’s strap-on so it didn’t take much to get used to it.

“Don’t forget, I am next.” With that Gloria stepped up next to me, strap-on inches from my face. I could tell it was bigger than Michele’s… maybe an inch longer and a bit bigger in girth. It was obviously the life-like ones that the other ladies had, and when she shoved it into my mouth it was just as warm and life-like as a real penis. “Oh, and unlike Michele’s, the others have a special feature.” She held up a small remote in her hand. She then pulled back from my mouth about an inch or so. She pressed the button and the dildo in front of me began to twitch a little and a small stream of cum-like substance shot into my mouth and onto my face. I swallowed the substance and was surprised at its taste – it was sweeter than then cum I licked off Amy but had the same consistency.

Amy leaned up and licked off the little bit that had settled on my cheek and chin. “Don’t waste too much. I want the rest in his ass.”

With that declaration, I felt the man behind me begin to push in and out, building up a bit of speed but still not too hard. Just a moment later I could hear him begin to grunt and then he pushed up against me and held it. I could feel his penis wiggle as he pumped his seed deep inside me and the warmth spread around inside my ass. As his breathing slowed, I could feel his penis begin to soften and slip out of me. I felt a small trickle of cum begin to slide out of me and run down my inner thigh.

“You know, this is my first time with a male… and I am going to tear that ass up!” Gloria crammed her strap-on into me with no pretense or ceremony. She then began to buck back and forth against my ass, her thighs slapping into my thighs. “I know you want to fuck your wife so bad… here, let me help you with that.”

She leaned forward so her stomach was resting on the top of my ass cheeks and began fucking my ass for all she was worth. The force of her manipulations Gölbaşı Escort pushed me deeper into my wife and every time she pulled back I naturally slid back some as well. Through her hard fucking, I was fucking Amy. Amy began to moan and she wrapped one hand into the back of my hair and brought her other one up and around my waist and dug her fingernails into my back. She pulled my face into her shoulder so that her mouth was next to my ear.

“Oh god yes. I want you inside me. I want to feel your cock explode deep in me. I feel so full right now.” Between moans and pants, Amy kept up the dirty talk -the first time she ever did that with me. Gloria must have kept up her action for fifteen minutes or more. The sensations of a cock sliding in and out of my ass and my own penis driving deep into my wife’s warmth was driving me to the edge. I heard Amy moaning loudly “I am so close… so close. Right there. Oh god right there!”

“C’mon baby… I love to hear you cum. I am going to cum with you.” Gloria exclaimed. Hearing that sent Amy over the edge and she cried out as the wave overtook her. “Oh yes!” Gloria slammed into me hard and held it. She must have pushed the button on her toy again because I suddenly felt an explosion of warmth splatter my insides. It was more than I could take and I groaned as I came deep in my wife.

After just a brief rest, I felt Gloria slip out of me. Someone stepped up behind me and I groaned in anticipation of another penis or strap-on. Instead I felt hands grip my hips and pull me back to the edge of the bench. My penis slipped from Amy and dropped off the bench and hung down below me. More shuffling and I felt someone slip down between my legs, shoulders against my inner thighs. A warm tongue began licking my semi-hard penis, alternating between licking the head and engulfing it deep into their mouth. A pair of hands were placed against my ass cheeks and I could feel them being slightly pushed apart. I felt a tongue start dipping into my stretched asshole and licking around the edges and slurping up the mess inside. Amy began shimmying up the bench until my face was directly in line with her crotch.

“It is time to get cleaned up before the next adventure.” I leaned forward and began licking a load of cum from Amy for the second time tonight. As I was licking her clean, the tongue stopped playing with my ass and it was replaced by a finger sliding slowly inside me. After a brief moment I felt a second finger slide in next to the other. After about five or six pumps, I felt the fingers begin to spread and stretch my ass open a little more. Holding for a few seconds then releasing, the fingers pumped another handful of times. Then the stretching. This continued for a minute or so, and then I felt the pressure of a third finger being added. This same pattern continued with a little more pressure and duration on the stretching part. Before I knew it, I had four fingers inside me. And still they continued. Suddenly there was a fifth inside me! It wasn’t a thumb, so it took me a second to realize that they were using both hands to finger me and stretch me out. Every time the increased the number of fingers and the stretching, the discomfort was almost unbearable. But through slow manipulation and tenderness, each subsequent stretching I became more and more relaxed until it was almost pleasurable. Then they would add another finger. Now they were up to seven fingers! Around the fourth time they stretched me out with seven fingers, I heard someone say that I was almost ready. The stretching fingers held me open and continued the slight pressure to widen me up. They must have held it for a good thirty seconds or so.

Then I felt the coldest, slimiest feeling I could imagine. A very thick, creamy goo was being spread all over my asshole and someone else’s fingers were pushing and swirling it inside me. I could hear even more being applied somewhere but could not feel it on me. Then I felt it. Someone’s hand, fingers narrowed to a point, began to push past the fingers that were holding me open. As soon as they got up to their knuckles, the fingers released around it and I felt my ass clench closed around the hand. It began a slow twisting motion with slight pressure pushing forward. With each twist, the hand slipped a little further into me. With only about a handful of twists, I felt my sphincter slip around the biggest part of the hand and wrap itself around the person’s wrist.

Pressure built up inside me when the hand was made into a fist. They held still for a moment for me to get adjusted to this intrusion. Amy was sitting up in front of me, eyes transfixed on the penetration behind me. I watched as her hand slipped down to her clit and began to furiously play with her pussy. I could see little splatters of her juices flitting and flying around her fingers and her body clenching and unclenching as she had multiple mini-orgasms. “O-oh, Oh m-my god. That is… that is sooo hot!” She stammered between clenched teeth.

I never thought I would actually be okay with being violated like this. A tongue, a finger even… maybe possibly a very small toy. But I was bent over and strapped to a bench, a mouth playing with my penis, my wife furiously masturbating in my face, and a hand – a friggin’ hand – wrist deep in my ass! If I could not see just how hot it made my wife… how much she absolutely LOVED this, I would have been running and screaming for the hills. Never mind that it actually felt amazing.

Amy was really enjoying the show. Her body began convulsing, she cried out in ecstasy and quickly moved her hand as she squirted all over my face. She flopped backwards on the bench and tried to catch her breath. As I licked her juices from around my lips, I felt the fist inside me begin to push forward and back. Slow and steady, the fist kept twisting back and forth. I could feel the knuckles ripple along my insides and I understood why women would by ribbed dildos. It felt wonderful and I dropped my face to the bench feeling the sensations ride up and down my body. Without opening my eyes, I felt Amy roll off the bench and get up.

After Keçiören Escort a few minutes of the fist sliding, twisting, and pulling my insides I felt it slowly pull back until it was lodged against my ring. The fist flattened out again and with a steady pulling twist, the wrist broke free and the fingers followed suit. I immediately felt someone smearing more of the thick, creamy lube all over my asshole and pushing it deep inside me. I let out a moan, because the cold lube felt great against my abused ass. I heard Amy’s voice next to me: “I guess he must really like this. Let’s see how much this turns him on.”

I could hear the slick slapping of more lube being applied to something. I opened my eyes and turned to look at Amy. I gasped when I saw that Amy was now wearing the huge, horse-cock shaped strap-on that Gloria had earlier. She was holding it up at the base with both hands while Gloria and Michele slathered the thick white lube all over the phallus. It wasn’t just the tip either. The entire cock was absolutely dripping with it. She stepped around behind me. My body tensed up when I felt pressure against my ass.

The pressure was slow but insistent. The large tip of the phallus pressed and pushed until it broke past my sphincter. Amy stopped for a moment and I heard her mutter about how sexy this was. She began pushing again. She started a slow rhythm of pushing about the same distance into me four or five times and then slightly increasing the depth for the next handful or thrusts. It took her a full five minutes to increase the depth to about 7 inches. The girth of the cock was stretching me wide and was getting wider the deeper she went. I laid there and tried to relax as she got deeper and deeper. It seemed to take hours and what felt like shifting of my insides. With a final thrust, I felt Amy’s hips slap into my ass and what seemed to be a pressure in the back of my throat it was so deep inside me. I could not believe that I had just taken such a large cock in me.

Amy slowly began to pull out of me. When the head of the phallus was just inside of me, she began to thrust in and out, pushing about halfway in before pulling out. The person down below me began to suck and lick my cock again. When I felt someone sit down on the bench in front of me, I opened my eyes. One of the young men had shifted up in front of me, his rock hard cock pressing against my lips. I opened my mouth and slipped the head in. I let him begin to thrust and fuck my mouth. He continued to use my mouth until he stiffened up and began shooting his load. I swallowed as much as I could. After his softening penis slipped from my lips he got up and another man took his place. The cycle continued until I had serviced all of the men in the room. As the last of them had stood back up from the bench, Amy slowly slid the strap-on out of me. As I lay there, catching my breath, Gloria and Steph undid the straps holding my arms down. Someone else freed my ankles. Hands lifted me from the bench and turned me around. Two men lowered me back onto the bench, laying on my back. Amy was unstrapping the phallus from her waist and then climbed up on top of me. Reaching down, she slipped my penis back into her. She slid down until I was fully in her and then leaned forward until her lips locked with mine.

As we sat there, passionately kissing, I felt a strange sensation against my penis. A pressure that started near the base and slid upwards towards the tip. Amy broke the kiss and asked me: “Have you ever wondered what it would be like to be a part of double penetration?” With a nod of her head I knew to look over her shoulder. Michele was behind her and had used her strap-on to enter her anally. I remembered watching her being double penetrated by Michele and the other girl earlier. I waited until I felt Michele pushing into her and I began to pull out. It took a few tries, but eventually Michele and I had fallen into the opposite rhythm that seemed to work so well before. The sensation was wondrous. Amy felt tighter than ever and I could feel Michele’s strap-on sliding against me through the thin membrane that separated us.

Michele and I continued our combined efforts as Amy began to squirm and moan. Her eyes closed in pleasure and she dipped her lips back to mine. Her left hand entwined in my hair, pulling my head to the side. She began to lick and kiss my neck and nibble on my ear. I felt her right hand slide up between us and begin to play with my nipple. Tweaking and light pinches, flicks and pulls. Amy’s moans grew deeper and more frequent. I had learned over the last two days that hearing Amy cum was one of the quickest ways to make me finish as well. As she grew closer and closer to climax, I could feel the familiar sensation growing in my penis. Without even realizing it, Michele and I had increased our speed and kept building as Amy pushed closer to submitting to her orgasm. Suddenly Amy bit into my shoulder and let out a mousey squeak as she climaxed. It threw me over the edge and I began pumping faster and harder as I shot my load into her.

Michele slowly pulled away from us as Amy and I began to sweetly and softly kiss. I gently caressed her face with one hand while running my other along her side and back, thrilling at the feel of her latex dress under my fingertips. As we recovered from our exertion, the others began to clean up around the room. Soon, Amy slipped off of me and stood up.

“It is time for us to get cleaned up. Don’t worry, there are facilities here to help with that.” Amy and the ladies began to head off through a door. The men came over and helped me up from the bench. They led me over towards a different door and we exited the room. We entered a large spa like area with lockers, a sauna, and showers. They led me into the large shower, tiled in marble and benches around the outside. They set me down on one of the benches and turned on a few showers. Slowly steam began to rise in the room as the men cleaned themselves. After they finished rinsing the soap away from their bodies, they turned and began to softly wash me from head to toe. Helping me stand under a stream of hot water, I could feel my muscles relaxing and sleep forcing its way into my consciousness.

The water shut off and I was being toweled dry. I could barely keep my eyes open. “Don’t worry, we’ll make sure you get back to your hotel.” And with that, sleep overcame me.

************** (to be continued) **************************

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