Ay: Haziran 2021

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La nièce de ma voisine (3)La nièce de ma voisine (3)Après notre partie de jambes en l’air dans les bois avant d’aller en courses la nièce de ma voisine et moi-même retournons à la voiture et nous rhabillons pour aller dans les magasins. Elle voulait faire des courses, mais je compris bien vite que ce n’était qu’une excuse car elle n’a acheté que du pain et dans un magasin de vêtements elle m’a fait choisir une jupette ultra courte. Je devais décider de la forme et de la couleur, J’opte pour une petite jupe plissée écossaise rouge genre étudiante. Elle va dans la cabine pour l’essayer et me demande mon avis. Elle est magnifique avec cette petite jupe qui lui cache à peine la chatte et la base de son cul rebondi est visible. Je me mets à bander et elle me sourit, fière de l’effet procuré.Une fois cet achat payé et de retour à la voiture nous primes le chemin de la maison. Elle profite une nouvelle fois d’être en pleine campagne pour changer de tenue et mettre son achat vestimentaire tout en me disant qu’elle va la raccourcir de moitié pour demain. Je sais donc que je verrai son cul quasi en entier et sa chatte ne serait plus cachée.Arrivé au bois du matin elle me demande d’arrêter la voiture pour faire un besoin naturel. A peine arrêté qu’elle descend de la voiture et vient vers ma portière. Elle soulève sa jupette et s’accroupie pour faire son petit pipi devant mes yeux. Je bande comme un fou en la voyant faire et je comprends encore une fois que ce n’est qu’une excuse car elle ne fait que trois gouttes. Avant tout elle veut s’exhiber devant moi et une fois redressée elle ouvre ma portière et frotte ma queue raide avant de la dégager et de la prendre en bouche sans hésiter. Elle commence une bonne fellation et en moins de 5 minutes je crache mon jus dans sa bouche. Elle me montre sa langue recouverte de foutre avant de venir m’embrasser à pleine bouche et me mettre mon propre jus sur la langue. Elle avale le reste et me demande de faire pareil, ce que je fais sans rechigner.Elle s’écarte de la voiture et s’avance dans le bois à peine de 10 mètres et me demande de venir l’enculer. Elle a envie de sentir mon pieu lui défoncer le cul, mais je la fais languir. Alors elle me supplie et m’ordonne de venir lui prendre son garage à bites. Je m’approche d’elle et la prenant par les cheveux je lui ordonne de se retourner et de se pencher. A peine a-t-elle obéit que je pose ma bite sur son fion et d’un coup, comme elle adore, je lui fourre toute ma bite dans son cul encore mouillé et dilaté. Je sens mes couilles toucher sa fente trempée en m’enfonçant un maximum, provocant rapidement sa jouissance et son jus coulant le long de ses cuisses puis ses jambes. Je me retire alors et m’accroupi pour lécher ses jambes et prendre son jus dans ma bouche. Une fois fait, je me redresse et l’embrasse à mon tour pour partager avec elle et nous avalons tous les deux sa liqueur délicieuse.Nous retournons à la voiture où elle enfile sa tenue du matin avant de repartir mais cette fois je lui demande de trouver un moyen pour venir se faire défoncer l’après-midi. Elle accepte avec un large sourire et me promet de venir dès qu’elle peut.A peine rentré chez moi je me précipite dans la salle de bain et je me rase bien comme il faut la bite et le cul pour canlı bahis être lui faire plaisir dès son arrivée. Vers 13H20 je commence à la guetter par la fenêtre et 10 minutes plus tard je la vois qui sort avec la même tenue que le matin. Je me dépêche de me déshabiller entièrement pour la surprendre et à peine a-t-elle frappé à la porte que j’ouvre en restant derrière la porte lui disant d’entrer. Elle passe la porte et je referme bien vite juste le temps pour elle de se retourner et de me voir à poils. Aussitôt elle se jette sur moi et s’accroupie pour enfourner ma bite et se mettre à la sucer en caressant mes couilles d’une main et ma rondelle de l’autre. Je ne mets pas longtemps à durcir sous l’effet de sa pipe mais pour couronner le tout elle entame une gorge profonde. Elle avale toute ma queue que je sens buter contre sa glotte et la bave coule de sa bouche. Elle finit par suffoquer et arrête ce traitement oh combien sublime, ne voulant pas me faire gicler maintenant.Elle se relève et se déshabille en un tour de main, jetant sa jupette et son chemisier dans l’entrée. Elle m’embrasse alors à pleine bouche et sa langue tourne dans ma bouche comme si elle voulait l’enfoncer dans ma gorge. Je prends ses deux fesses à pleines mains pour les pétrir mais elle retire mes mains pour les poser sur seins et me demande de lui écraser les seins et les tétons.Elle me dit qu’elle m’aime et qu’elle est ma salope, qu’elle veut tout faire avec moi qu’elle est tout entière à moi. Je lui dis que moi aussi je m’offre à elle et à ses moindres désirs ce qui provoque en elle un large sourire pour me dire qu’elle veut m’enculer comme un porc. Je l’emmène dans la chambre, elle me demande de m’allonger sur le dos, jambes écartées et repliées, puis elle enfile la ceinture et accroche le gode dessus. Elle frotte ma rondelle mais ne pousse pas ce qui m’excite au plus haut point et je finis par l’implorer de m’exploser le cul. Sans hésiter elle s’enfonce dans mon fondement m’arrachant un léger cri de douleur et de plaisir mélangés et les 20 cm du gode s’enfoncent dans mon fion en une fois. Je me sens déchiré mais j’aime ce que je ressens et je lui demande de recommencer ce qu’elle fait plusieurs fois. Ma bite commence à suinter et elle arrive à se pencher assez pour lécher mon gland sans que le gode se retire entièrement de mes entrailles. Elle déguste les perles de foutre qui sortent de ma queue puis elle se redresse et me lime le cul comme une folle me faisant jouir rapidement. Mon jus de cul dégouline de mon petit trou malgré la présence du gode et elle continue encore plus vite déclenchant chez moi des spammes de jouissance et je me mets à gicler ma semence sur mon ventre. Quand elle ne voit plus de sperme sortir elle se retire de mon fion grand ouvert et lèche mon ventre pour récupérer tout mon jus avant de s’allonger sur moi pour m’embrasser à nouveau à pleine bouche et me cracher ma semence dans ma bouche. Nos langues jouent ensemble avec ce nectar et je fini par avaler tout ce jus sans rechigner. Elle se redresse alors et reste assise sur ma queue un peu ramollie en me demandant si j’ai aimé. Je ne peux pas dire le contraire car j’ai jouis d’une façon que je ne connaissais pas et elle me promet de recommencer puisque je lui appartiens.Au bahis siteleri bout d’un petit moment elle s’allonge à côté de moi et nous nous enlaçons pour de doux câlins. Sa chatte est trempée et mes doigts sont enduits de cyprine quant à elle, elle me branle doucement pour redonner vigueur à ma queue. En 5 minutes elle a atteint son but et elle me demande de l’enculer comme elle vient de le faire avec moi, tout en prenant la même position. Sa chatte et son cul son libre d’accès et sans attendre je force sa rondelle et je m’enfonce en elle sans sentir de résistance. Elle ne souffre pas mais je lui demande si elle s’est préparée avant. Sa réponse est claire c’est oui. Elle s’est godée avant de venir pour être bien ouverte. Je lime Alor son cul aussi vite qu’elle l’a fait avec moi et en un rien de temps elle se met à gémir puis crier et elle jouit, lâchant des jets de cyprine. Ma salope est une fontaine et j’adore. Elle a les yeux fermés et elle m’arrose le bas ventre de son jus pendant que je continue. Elle me crie de jouir dans ses intestins et très vite je me vide en elle, lâchant mon jus de couilles au plus profond de son cul dégoulinant lui aussi.J’arrête de bouger pour reprendre mon souffle et lui laisser le temps de se remettre de ce déboitage de fion avant de me retirer et de plonger ma tête entre ses cuisses. J’aspire sa cyprine qui coule encore un peu le long de sa fente et sur son cul que je lèche doucement pour finir par aspirer sa rondelle et prendre dans ma bouche tout son jus de cul et mon foutre qui ressortent. La bouche pleine je l’approche de la sienne pour faire comme elle, et dans un long baiser je partage le mélange avec elle. Nous finissons par avaler en même temps et nous nous allongeons épuisés par ces moments courts mais très intenses.Le repose est cependant de courte durée car elle se redresse assez vite et enfourne de nouveau ma queue revenue au repos. Elle s’active dessus et en peu de temps voici ma bite qui retrouve toute sa splendeur comme elle aime. Elle se place alors au dessus de moi et s’empale la chatte dessus d’un coup. Elle est tellement trempée qu’aucune résistance ce fait ressentir et son cul se trouve contre mes couilles. Mes 20 cm sont enfoncés en elle et elle commence alors à onduler sur mon pieu en se caressant les seins puis juste les tétons. Je m’empare de ses deux boutons gonflés de désir et jeles pince entre mes doigts sous les gémissements de ma belle salope. Je tire alors ses tétons pour tendre ses seins ce qui lui arrache un cri de douleur mais aussi de plaisir. Elle me demande de tirer plus fort pendant qu’elle monte et descend sur ma queue enfoncée en elle. Ses cris sont de plus en plus forts et rapprochés suivant la cadence de son empalement. Enfin elle part dans un long rale pour finir par un orgasme violent la faisant à nouveau gicler sa cyprine qui m’inonde le ventre. Moi-même je sens mon jus monter et je la préviens mais elle reste collée à moi et je ne peux me retenir de lacher ma purée dans son utérus. Depuis ce matin j’ai déjà bien jouis et je ne l’inonde pas de jus même si je lui crache de jets de foutre au fond d’elle. Elle se bloque alors empalée au maximum et s’allonge sur moi pour m’embrasser en me remerciant de l’avoir faut jouir comme ça. Je lui dis bahis şirketleri que je n’ai pas pu me retenir et que j’ai peur de l’avoir engrossée ce à quoi elle me répond qu’elle s’en moque mais qu’il y a peu de risques.elle reste allongée sur moi jusqu’à ce que ma bite se ramolisse complètement et ressorte de son bas ventre son jus finissant de couler sur moi. Elle s’allonge alors à mes côtés en fermant les yeux et sombre rapidement dans un sommeil réparateur ce qui m’incite à faire de même. Au bout d’une bonne heure de repos je me réveille et la regarde endormie sur le lit. Je me lçeve sans bruits et décide d’aller chercher l’appareil photo pour garder des souvenirs. Je reviens et commence les clichés en prenant ses seins en gros plans puis sa chatte et son cul pour finir par la totalité de son corps nu.Je repose l’appareil et à ma grande surprise elle me demande si je suis content d’avoir fait les photos. Elle ne me laisse pas répondre et me demande l’appareil photo pour faire de même avec moi ce que j’accepte sans hésiter. Elle me mitraille sous tous les angles des pieds à la tête et comme elle trouve que je ne bande pas assez elle enfourne ma bite pour me pomper et prend des photos en même temps. Une fois bien dur elle libère ma queue et la prend en gros plan puis le corps entier comme j’ai fait avec elle, couché sur le lit.Je me redresse et la tire par le bras pour l’allonger vers moi et je plonge ma bouche sur sa vulve pour lécher son bouton rouge vif et fourrer deux doigts dans sa moule trempée. Elle continue les photos avant de poser l’appareil et de se mettre à jouir de nouveau. Je continue de la caresser et j’ai de nouveau des jets de cyprine qui sortent de sa chatte. Je regrette de ne pas avoir pu prendre ça en photo mais je le ferai plus tard. Je m’allonge alors sur elle et lui plante ma bite dans la chatte lui arrachant des petits cris de plasir à chaque aller retour. Je lime son vagin jusqu’au plus profond et dans un râle commun nous jouissons ensemble, elle dégoulinant encore et moi vidant ce qui peut me rester de foutre dans son utérus. Hélas l’après midi avance et il faut qu’elle parte. Je la laisse aller sous la douche mais je ne peux résister à la rejoindre et je me colle contre son dos en prenant ses seins à pleines mains. Elle ondule sses fesses contre ma queue qui à ma grande surprise réussie à bander de nouveau. N’y tenant plus je cherche le chemin de sa rondelle et elle comprend vite ce que je veux. Elle empoigne ma bite et la guide vers son petit toru pour que je puisse m’enfoncer en elle. Elle me demande de l’enculer en criant presque ce que je fais sans attendre et enfilant ma bite au plus profond que je peux. Elle tremble rapidement sous mes coups de butoir pour finir par jouir encore. Elle contracte son anus pour me serrer la queue provoquant ma jouissance que je ne contrôle même plus même si je n’ai plus de jus à gicler dans son fion. Je me retire enfin pour me mettre accroupis et lécher son trou qui ne se ferme plus et je peux récupérer son jus de cul. Je l’embrasse avec à pleine bouche avant que nous avalions tous les deux.Nous finissons la douche ensemble et nous nous essuyons ensemble avant qu’elle ne remette sa jupette et son chemisier. Je la reconduis à la porte où elle me promet encore plus pour le lendemain. Je ne sais pas ce qui m’attend mais elle me dit juste que je verrai qu’elle est pire que je l’imagine. Un dernier bisou et nous nous séparons. L’attente va être longue et je dois recharger les batteries.

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How Mom Fucked By Lorry Driversdeletedmy family consists of my dad mom and my brother … My dad is a busy person who is always involved in his office work.. My brother went out of country for his higher studies, and I am still studying.. This incident happened when me and my mom was traveling to our home town…it was a sunny day me and my mom packed all our stuff and kept in car and started moving,, I noticed mom was looking sexy that day she was wearing a pink saree with sleeveless blouse , and her cleavage was clearly visible and her tummy was looking juicy and I can’t resist looking at her assets.. She was looking like sexy goddess ..After traveling after a while I noticed one of the cars tier was flat… I stopped the car… I looked around for help as there was no one in that area me and mom was worried … And we wished for help… As it was turning dark mom was terrified… And after a while a lorry stopped next to our car … There was 2 guys in that lorry both are aged and looked dirty. One of then asked what happened??? I said Tyre gone flat we were seeking help…The guy said are you alone???I said I am with my mom she is inside the car..As mom hear the conversation he came out the car and stood next to me!! It was dark the only light visible is the moonlight !! She was looking like a sex bomb!! The guy in the lorry was like wow!!! His jaws dropped and he started explaining me and my mom to not to worry!! As they also headed towards our home town .. They offers us to give lift… As me and my mom has no choice we agreed and started traveling with the lorry guys !!One of the driver started to explain about how beautiful she was mom was kinda liking it ,,,, then they talked güvenilir canlı bahis siteleri about her physique surprisingly mom was smiling at there comments … I can clearly know that both drivers were horny and want to fuck my home!!Even my mom was bit aroused by there sexy talk…then I noticed the guy sitting next to my mom started rubbing moms ass from behind slowly.. I was shocked that mom dint react to it.. She was enjoying it!!I was very curious to see where it’s gonna end.. Then both the drivers started cracking some dirty joke at which mom was laughing with them… Mom was turning slutty and turned on…I was enjoying the scene!! It turned dark and the drivers decided to stop and sleep that night and move in the morning!!! I thought mom will not agree for this but she was okay with it… Then we stopped in a remote place , it was very dark and kinda scary place…While getting out of the lorry I noticed both the drivers were making some signs to my mom secretly… For which my mom replied afterwards…I was surly know that there will be some action… Then I pretended that was tired and sleepy ..Me and my mom were sleeping in front of the lorry and drivers were in the back of the lorry!!!Then late night one the driver from the back put his hand through and called mom to join them with a naughty smile… As I was pretending sleepy I could see mom said wait she trying to go back without me noticing !!Then mom got down and went behind the lorry ..one of the driver got down of lorry and helped mom to get in .. He grabbed her from back and pushed her inside by rubbing her ass !! Mom moaned aaaahh!!! What you doing ?? And 2nd driver pulled her in .. Mom was güvenilir illegal bahis siteleri horny and asked the drivers why you called me One of the driver said we couldn’t sleep because of you darling your dicks are waiting to fuck you !! From the front I could see everything mom was scared and said my son is here he is gonna feel about it.. So the driver said don’t worry he will never know he is sleeping.. The second driver grabbed my mom from back and started kissing her neck passionately … Started squeezing her juicy navel mom was horny and started moaning plzz ahhh stop my son gonna wake up,.. Aaahh!!! But the guy closed moms mouth with is left hand and started caressing all over the body!!!! The turned my mom and started kissing her lips mom started responding to it she was into it after kissing for 5 min …He took my moms hand and starts rubbing his dick… Mom got hold of his cock and started stroking.the other guy removed,..he was very muscular and has 8 inch dick .. 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L’adieu à ma virilité de mâlePour moi, tout a commencé innocemment à l’adolescence. Une incontrôlable envie qui m’a pris au ventre avec une force incroyable. Je me suis faufilé discrètement dans la chambre de ma sœur ou, à défaut, dans celle de ma mère pendant leur absence. J’ai ouvert l’armoire aux senteurs si féminines, j’ai touché et senti avec ivresse la lingerie exposée à mon regard. En tremblant d’émotion, j’ai choisi une petite culotte sexy, celle en dentelle rouge. Irrésistiblement, mon instinct m’a poussé à l’essayer. Je l’ai enfilée sur mes hanches juvéniles tout en m’admirant dans le miroir de la grande armoire. De me voir ainsi a provoqué une vive érection. Excité, ma petite verge turgescente a jailli du délicat tissu et m’a poussé à une vive masturbation. Peut-être même que j’ai joui dans ce fin tissu. De voir, par transparence, ma semence perler goutte à goutte, m’a procuré un orgasme plus fort que toutes les masturbations que je connaissais jusqu’à présent. Au fil du temps, je me suis pris de passion pour la lingerie féminine. J’ai même volé des petites culottes à ma sœur, les cachant comme un précieux butin que je ressortais à chacune de mes envies. Puis suivirent d’autres lingeries intimes toujours plus érotiques, jusqu’à des robes à raz des fesses, des talons hauts vertigineux, des perruques et des maquillages outranciers. A chaque séance, je me masturbais tant le plaisir était fort. J’ai découvert, par ce güvenilir bahis biais, une jouissance nouvelle, totalement différente de celle que je connaissais avec les filles. Hélas, après chaque orgasme, je me sentais honteux et coupable car un Homme ne se livre pas à ces jeux féminins. Pour des questions de pudeur publique, IL ne remet jamais en cause sa virilité. Ma conscience me dictait alors de renoncer, de jeter ces accessoires féminins si attirants, de corriger ce plaisir que je cachais à ma famille, à mes amis ou à ma compagne. Je ne voulais plus recommencer ! Or, le virus de la féminisation était en moi. J’ignorais que je rentrais dans une spirale infernale qui échappait à mon contrôle. Par faiblesse, j’ai recommencé en me cachant des autres, quitte à me dégoûter un peu plus à chaque nouvelle expérience. Puis est arrivé ce jour où ma copine m’a surpris travesti en fille dans sa propre lingerie. Et pour comble, je venais de jouir dans sa petite culotte. Quelle honte ! Elle s’est d’abord indigné puis s’est ouvertement moquée de mon ridicule penchant. Après de vaines explications, elle m’a quitté pour un autre homme, bien plus « sain » celui là. Et oui, face à ce désir irrépressible de féminisation, je me suis senti indigne devant elle. Avec le temps, cette séparation m’a finalement arrangé. Je pouvais enfin me livrer ouvertement à mess plaisirs féminins les plus extrêmes. Je me suis donc consolé en disant que cette türkçe bahis séparation était une chance. J’étais enfin libre de me travestir à ma guise !J’ai alors acheté à volonté tous ces vêtements et cette lingerie sexy qui m’excitaient tant ! Habillé en femme devant le grand miroir, je me masturbais sans cesse en me godant ( à l’aide d’objets de plus en plus gros) et en regardant mes jambes gainées de soie, mes tétons qui pointaient, ma petite queue dressée qui débordait de la petite culotte sexy. Je prenais des poses suggestives, excessivement efféminées, tout en éprouvant une sensation bizarre. Je ne me rendais pas compte, qu’en me dévirilisant ainsi, j’étais en train de renoncer à mon statut d’homme… Pour me consoler de cette séparation, je me suis fait des amis qui partageaient les mêmes attirances sexuelles que vous : échanger sur Internet nos fantasmes de féminisation et jouer sexuellement à la femme soumise avec des hommes. Conditionné par les autres travestis, j’ai même envisagé un traitement hormonal pour mieux me féminiser et voir ma poitrine se développer. J’ai discuté de mes fantasmes avec des hommes, des hétéros, et j’ai accepté des rendez-vous intimes. Des hommes toujours plus nombreux que je faisais jouir dans leur voiture ou leur lit.Rien à voir avec les gays. Ceux-ci ne m’attiraient pas. Avec les hommes hétéros, je pouvais enfin me travestir à mon gré, jouer de ma féminité et les exciter. Ces hommes recherchaient güvenilir bahis siteleri une femme sexy qui puisse surtout satisfaire leurs penchant sexuels les plus outranciers, des jeux qu’une femme biologique n’accepte jamais de faire, des choses que les hommes n’osent pas demander à leurs épouses par pudeur.Dans mon cas, eux pouvaient utiliser à leur guise la femelle en chaleur que j’étais, faire de moi un objet sexuel soumis à tous leurs fantasmes. Et moi, j’appréciais cette inversion des rôles, de devenir une femme soumise entre leurs bras. J’ai alors découvert combien une queue de mec entre mess lèvres me procurait un plaisir bien plus fort qu’un vagin de femme, combien le goût du sperme me ravissait en lieu et place de la cyprine. Je ne sais plus sur quel blog j’ai lu que des travestis éjaculaient plus abondamment avec un homme qu’avec une femme, surtout lorsqu’on les traitait en pute. Ça s’était au début quand je découvrais le bonheur de vivre ouvertement ma féminité. Ma féminisation a fait son chemin depuis. Est venue entre-temps l’envie d’être pris comme une femme, un besoin irrépressible d’être enculé, défoncé, dilaté, ouvert au plaisir de l’autre avec une certaine douleur. J’ai acquis de l’expérience et sans même m’en rendre compte, j’ai pris du plaisir par derrière en oubliant mes érections. Je n’éprouvais plus le besoin de jouir et d’éjaculer tant la sodomie me rendait fou de plaisir. Au-delà des premières pénétrations, parfois très douloureuses, mon anus se transformait en une chatte accueillante qui me procurait un plaisir de femme. Et oui, en devenant une femelle soumise au lit, je renonçais inconsciemment à ma virilité de mâle… FIN

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Tits on Display – Chapter 3The Women in the Red BlouseAgain, a total fantasy based on my recollection of a grocery shopping trip. Nothing in this is true, just my old mind twisting and turning through life.Chapter 1 – https://xhamster.com/stories/tits-on-display-958883Chapter 2 – https://xhamster.com/stories/tits-on-display-chapter-2-959606“When I asked if you have been with someone like me I mean my age,” Deb said with a smile and pulled my hand between her legs where her erection was covered in the cute cheeky panty she was wearing.I knew what she was asking but preferred not to try to get specific because I was not sure exactly how she described her cock. I had never been with a man, nor had I been with a transgendered woman in transition. I had seen my share of porn and although gay porn did nothing for me I had watched shemale porn and loved seeing the variations in body shapes, yet was not overly attracted to the actual sex act portrayed in the videos.The palm of my hand covered her erection with the tips of my fingers under her balls, she was about the same size as me in both departments and touching her seemed familiar, probably because it was like touching myself in my panties as I would begin arousing myself watching porn. She did not need to tell me what to do, a cock is just that regardless if it is a man or a transgendered woman.I slid my hand down until I was cupping her balls, these small little nuggets were nestled in her panties and I could feel the front crotch seam, always a turn on for me, and I moved my hand back up and could feel her well defined tip under the panty. She pressed her cock against my palm and asked, “If you are not okay with the way I am I understand.”I looked into her eyes and for the first time in my life had no hesitation, I kissed her lips and rubbed my hand up and down her cock. She parted her lips again and I felt the passion between us. I pulled my hand away from her cock and hugged her close feeling her wonderful little tits against me. I broke the kiss and said, “if you are not okay with the way I am I understand,” knowing my age was not even close to hers.She replied with her hands as she unbuttoned my shirt exposing my pink lace camisole. “Oh this is so pretty,” she said as she rubbed her fingers across my chest, and then pulled my shirt off. She loosened my belt and the next thing I knew I was standing in my matching pink panties with my pants around my ankles.Her hand went to my panty covered cock, “I love your panties,” she said and rubbed me like I had rubbed her. I stepped out of my pants and she led me to her bed where I started pulling the camisole off, “No Larry, leave it, you look stunning wearing it.” I had never in my life ever been with a woman while dressed and Deb was making me feel so comfortable.I hesitated at the edge of the bed not canlı bahis sure just what I planned, like I had planned any of this. Deb sat on the edge of the bed, her perfect little tits begging for my attention. I sat beside her and put my hand on her thigh and she immediately stood up, I realized she must have noticed my hesitation. She sat across my legs facing me and looked into my eyes. My hands, totally out of reflex, went to her breasts, as I fondled them she kissed me gently and then pushed me back on the bed rolling off of me. She stretched out on the bed and I followed her lead. Lying beside me she rubbed her hands over my check making the camisole slide on my skin. “I just love this style, I need to get one for myself,” she said and then slid her hand down to my panties where she slipped her hand inside and gently stroked my cock. “I am assuming that this is the first time anyone other than a true female touched you here,” she said as she slowly started stroking me and sliding the tip of my cock against the silky nylon panty. “I love the way that feels,” she said, “I love nylon panties but need to wear something a little snugger when I am out in public so I don’t show.”I felt my arousal building as she stroked me and then she asked again, “are you sure you want to be with me?” I knew she was being cautious not to push me beyond my limits, but I can’t honestly say that I had a limit prior to the moment and I was certainly not there. She was correct, I had only been touched by women and had never touched a man, yet I didn’t think of her as a man even though we shared something in common below the waist.I answered her question with my hands, I slipped my hand inside her panties and started stroking her cock and she moaned in my ear, “I will tell you a secret,” she said, “it has been two years since I was with anyone, I have missed the intimacy.”I smiled as we stroked each other. I pulled my hand out of her panties and moved back to her tits, her nipples were as hard as they were in the store and I rolled them between my thumb and forefinger. She moaned again and pulled her hand out of my panties and rolled over on top of me. Now the only thing between us was two layers of panties, I could feel her cock sliding along side of mine and marveled how none of this felt strange, it just felt erotic.She rocked her hips and I felt her tip slide against mine and after another few minutes she slid down my legs and pulled my panties down freeing my cock. She stroked it softly, rubbing her thumb across my tip, I jerked at the pleasure and met her hand with a thrust into her curled fingers. She bent, kissed the tip of my cock as she looked up at me. I knew she was waiting to see if I rejected her advance, I smiled and I pressed the tip of my cock against her lips.She opened her mouth and took my bahis siteleri cock halfway into her mouth and then licked around it with her tongue. It was my turn to groan with pleasure as she cupped my balls with one hand and controlled my cock with the other as she began working my cock over. I knew I was close and said, “You are going to make me cum if you keep that up.”She pulled off, sliding her hand up and down my hard slick cock, “I know, and I want you to cum in my mouth,” she said as she sucked me back in and began working my cock hard and fast. I touched her face and she knew I was near, she pushed my hand down to my side and then I felt that cramp that signaled my release. I did not hold back and released my full load into her mouth since I knew she wanted it.When my orgasm subsided she moved back up beside me and cuddled up next to me. It was as if she was signaling and end to this. I kissed her, and tasted my cum on her tongue, it drove me wild and since she had showed me the way I rolled onto my knees and crawled between her legs. For me this seem no different than being with any woman, I parted her legs giving me a full view of her body.I reached up and pulled at her panties and she raised her hips as I pulled them off of her. I loved her cock, it was almost an exact duplicate of mine and I immediately kissed the very tip and the slipped it into my mouth. It all seemed so natural, she had been a good teacher because I knew that she had done to me what must be what she liked. Within a few minutes she was humping against my face as I held her hips. Then she pushed at my head, I pulled off, “don’t deprive me of the honor of tasting you. You are after all taking my virginity, and I went back to work on her cock.She groaned with the pleasure she felt and her cock exploded in my mouth. As I said I never fantasized about giving a man a blow job, but I did wonder what it was like to feel a cock in my mouth and wondered about have a mouth full of cum. Now I knew, and I loved it.Her cock quickly went limp as I moved back up and kissed her knowing she could taste her cum on my tongue. I cuddled close to her as we relaxed together. Her tits were against me, I could smell her body wash or shampoo, a light floral scent, and I wanted to know everything about her but hesitated asking questions.“When did you start cross dressing?” Deb asked and then added, “If that is too personal you don’t need to answer.”“I was 11,” I said, “I had my first orgasm wearing a girdle, I think that is why the desires never left me.”“Have you ever wanted to be a woman?” she asked.I thought for a moment and then replied, “well there were times over my life that I wondered what it would be like, but I never acted on it. I don’t have the courage to take that first step.” I said. My hand seemed to be a magnet for her bahis şirketleri tits and I cupped her perfect tit and asked, “I assume you are on hormone treatment and your beautiful boobs are the result.”“Yes, I have been taking hormones for two years, I recently slacked off because of some tests that showed my liver was in jeopardy, that is why I was able to ejaculate.”“You knew I was transgendered when you saw me in the store,” she said.“No I didn’t,” I said as I looked into her eyes, “I had no idea.”“Well you were watching my tits and I thought that you must have known since they aren’t very big,” Deb said.“I love your boobs, they are perfect. And yes I was staring at them, but the thing that drew me to you was your smile and your bright eyes, you seemed like a fun person.” I brushed her hair out of her eye and kissed her lips. I felt my old cock harden, I generally need a couple hours to recover but the totally erotic nature of this had me nearly erect lying face to face in her bed.I felt Deb’s hand move between us, she found my semi-erect cock and fondled it bringing it to a full erection. “I want to show you something, wait here,” she said and rolled over the top of me leaving the bed. I could feel her erection against my leg and wondered where she was off too. She came out of the bathroom with a bottle of lube and rolled back across me legs, her cock still at full staff.She squirted the clear liquid into her hand and I felt the cool liquid on my cock warm as she stroked me. I assumed she was going to introduce me to anal sex but instead she stopped and the next thing I felt was her hard cock pressed against mine with her hand holding us together. She humped against my cock, holding us together.I immediately tried to mimic her movements and in a few minutes we developed a rhythm. It was not like any sort of sexual intercourse but highly pleasurable. It took a bit of concentration to make it work but she seemed very practiced in this and I accepted it as something totally sensual and erotic. I listed to her breathing, she was becoming very aroused as was I. I wanted us to cum together so matched her thrust with mine and I said, “Oh Deb, I am so close, I want to cum with you.”“I know,” she said, “I love frotting,” and stopped talking as her breath became heated and I tried to hold my cum back while thrusting in her hand feeling her cock tip moving against mine. The most sensitive spot on our cock tips were in contact at the very instant I felt her tip swell and her cum spurted out and became part of our lubrication.Call it will power, or perhaps the power of suggestion, but as the first spurt of her warm slick cum hit my cock tip I began spurting as well. Deb held our tips together and filled her hand with our cum. We were both groaning with our mutual orgasm and I pushed my cock against hers as I felt her cock jerking with each contraction of her prostate. The entire act lasted but a couple minutes but it was something I had never thought existed and the intimacy was as meaningful as coupling with a genetic woman.

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A gay summer Holiday – Part 7Index: https://xhamster.com/posts/957456Chapter 7Once you go black…Jelmer drove his lover to the camping grounds bike shed. And when he had dropped off Chris there he waved goodbye to him as he raced away. Nearly hitting the police car that came the other way.The policeman stopped near Christopher. “Oh fuck… here we go…”, thought Chris as he greeted police officer Tom. “Hey, Chris… Tell your friend he needs to drive more carefully. Or I will slap his ass in irons…”, laughed the only black guy on the island. The 35-year-old police sergeant was always very friendly toward the locals. But he could be very strict as well. ‘Here to serve, but rules are rules!’, was his motto. “I will tell him, whenever I catch him… but at that speed, that will be hard for me to do… Seeing as I only have a bicycle.”, laughed Chris meanly.Officer Tom laughed hard. “Is there anything else I can do for you, Tom?”, asked Chris. “May I get your autograph, please?”, asked officer Tom shyly. Chris laughed hard. “Sure thing officer. May I play with your cock?”, asked Chris brutally. Christopher had heard of the extreme size of Tommy’s manhood. His baton was a short thing compared to it, was the word around town. Tom looked in surprise at Chris’s sneaky remark.”Sure,… why the fuck not, boy… As long as you don’t throw out your back lifting that heavy equipment…”, he joked. He handed Chris his autograph booklet and Chris had to think about how to sign his first celebrity autograph. He decided to draw a big circle with a capital C attached to the top. ‘hris’ linked as one word inside the circle, and ‘pher’ at the bottom right-hand side of the ‘O’. And lastly, he crossed the left side of the O to make sort of a ‘t’ out of it. Looking at it, he was pleased. He clearly could make out “Chris t O pher”. He handed it back to officer Tommy. Tom had pulled out his huge man meat out his uniform. It was 31 by 5.5 cm. Chris looked in amazement at the stiff prick.”I am at the toilets at dune crossing near kilometer marker 13 around noon… I bet you have heard of it, boy!… If you want you can play with this big black meat”. Chris reached inside the car to stroke the enormous cock. “Oh fucking hell, what a nice black baton Sir!… Then I will have to make sure I will be there too. As long as you don’t book me for lewd behavior.”, laughed Chris hornily. Officer Tom looked quickly around to see if they were alone. Grabbed Chris by his leather jacket and pulled him inside the car. He kissed him and then pressed his had over his black man meat. Chris took him inside and could taste the pre-cum and smell his musk. Tommy bobbed Chris’s head up and down his huge shaft while Chris hung through the open police car window. Tom growled and moaned. “See you at noon boy… Better lube up your ass and clear your throat… “, he said laughing hard as he drove away satisfied he found yet another islander to fuck. And a celebrity at that.Christopher grinned from ear to ear. As he walked up the long stairs from the road to the site of the WWII bunkers he heard a commotion. Some of the tourists did not like it that the workers had removed part of the garden path. The path between the two sets of 12 bunkers led directly from the main island’s town to the harbor view campgrounds. It was sort of a short cut. Because the official entrance to the camping grounds was on the other side of the dunes the bunkers were built on.Chris greeted the tourists and tried to calm them down. “Hello, I hear you have an issue you would like to discuss? My name is Chris. I have the lead on this project. What can I help you with?”, asked Christopher politely, shielding the volunteers from the annoyed tourists. His charming smile calmed the people a bit and they told him that he needed to keep the path open. “Ah… I see your point. The official access in and out of the campgrounds is on the other side of the dune. This path is officially only for users of these bunkers. We are currently renovating them. Sorry for the inconvenience!”, told Chris without saying too much. The tourists apologized for not knowing this and left.Then he quickly arranged some temporary fences to block off the access, from the camping to the bunkers, and from the bunkers to the town. He made up some bright yellow signs to give notice that the path was closed, and hung a large notice on the camps noticeboard as well. Uncle Ben was pleased with the action. “We heard you removed the path. What’s going on?”, he asked. Christopher explained that the guys and girls had been a bit too eager and ripped up the paths to the bunkers while clearing them. He would also have to redo them, so it was easier to have them remove all of it now. As soon as the concrete trucks had been, they would start at the main path to town first. Ben was happy with the explanation.Once he was back at the bunkers he met up with the group of 4 guys still working there. They showed Chris the progress they made while the rest were on the mainland getting supplies. Christopher was very pleased with the work they had done. The old lawns and brick paths were removed and dug down a good 10 cm. Where the paths needed to go back in, a 15 cm thick layer of broken stone was put in already. And the bricks themselves were all neatly cleaned and stacked on the cabin terraces. Chris asked what they had done with his gear. Seeing as even his cabin was stripped and cleaned bare on the inside. They told him they put it neatly away and gave his stuff to Ben and Frieda for safe keeping.Chris thanked the guys and gave them the Friday off. “See you guys on Monday if you can spare the time. I will start on the rebar work for the roofs then. Lots of cutting and making concrete forms, if you are interested. Christopher took a good look around at the work that still needed to be done. He took some pictures and made lots of notes. But he was really very pleased with the work so far. The next couple of weeks he would work on the roofs. And could ask the volunteers to get on with plastering and painting the insides. As well as coating the floors.Around 10 am he took the bicycle to pick up his gear from Ben and Frieda. They set him down at the kitchen table. Jelmer was there too. Along with the local priest of the church, Ben and Frieda belonged too. Chris looked a bit odd at the gathering. güvenilir canlı bahis siteleri “So, Chris… What’s this I hear? Are you and my boy… Well,… you know… Are you two… Doing… Are you having…”, stammered Ben nervously not knowing what to say.Christopher took control of the discussion. It was clear to him that this would make or break his relationship with the family. And that this was not their idea, but one the priest had insisted upon. “Ben, thanks for asking. Yes, Jelmer and I have fallen in love. And that does mean that we spend our nights together. And yes, we are also experimenting with sexual activities. So far I can say that I enjoyed Jelmer’s company very much, sir. And yes all of that means that we are gay. Sorry to hear you are having a hard time saying that word out loud. I am just happy to say that our love for each other is a heavenly godsend.”, said Chris calmly but looking a bit annoyed at the present of the priest. “What the fuck… Dad?”, yelled Jelmer, dashing angrily out the kitchen and driving off on his motorbike.”Ben, Frieda, father. Jelmer and I are adults in the eyes of the law. We do not seek your permission for this union. We are in love. And our love for each other isn’t any different than any other couple. You were in love once too. This is completely the same. We are doing the same things you were doing when you were our age. Please talk to Jelmer in private. I am sure he would love to know if your okay with this or not. But it’s best not to wait too long with that conversation. I will take my gear and move to a hotel. I’ll be back on Monday, starting at the concrete work for the bunker roofs. Goodbye for now.”.Christopher texted his lover; “That did not go as planned… Sorry to hear your parents are struggling with our love for each other. I asked your dad to talk to you in private.”. Jelmer texted back; “God, this is not how I imagined this morning to start. Sorry about that! Forgive me.”.”There is nothing wrong with them, … or us… They will turn around eventually. Call your father and work things out. The sooner the better. Love you! See you tonight!”, Chris answered back.Chris dropped off his gear at his grandmothers home. And went to clear his mind. He rode his bicycle around the west side of the island, along the paths across the dunes and through the nature reserves. Stopping off at some nice spots, to take a rest, or to make some nature photos. It was nice weather, but the winds were rather strong. The harder the wind the nicer the leather biker jacket felt on him. He loved the typical Dutch early summer weather. And he managed to clear his brain of all the issues of the weeks before. He was in love with a wonderful guy and he learned a lot of new things. Christopher was extremely pleased with himself. Yes, he was even proud of everything he had done so far. And he fucking loved this holiday.Looking out of the North Sea hotel windows Chris saw several couples walking along the beach, holding hands and kissing. He thought back on how he and Jelmer had walked there too, not even a week ago. That made him smile and forget the odd kitchen table ‘discussion’ with Jelmer’s parents and the priest. Just before noon he had finished his lunch and rode away on his trip around the island. He remembered he had ‘a date’ at noon at the public toilet building at kilometer marker 13. He contemplated not going. But his lust for cock overtook him. He raced there and parked his bike against the brick building.Only one black Landrover was parked on the parking lot. Christopher went inside not knowing what he could expect. He stood at the urinal and took a quick leak. He saw a huge black cock poking through the glory hole. It was Tommy, he was off duty and horny as fuck. Chris quickly walked over to the cubical next to the one Tom was in. And Tommy stuck his 31 cm boner through the other glory hole. Christopher squatted down and fondled the huge meaty prick.”Take it, boy!”, whispered Tommy. Chris licked the tip of the cock head and wet the huge shaft with his tongue. “Damn your big. I am loving it!”, moaned Christopher. “Suck it boy. Take it in your mouth and blow me good.”, moaned Tom back. His cock was not at full strength yet. So Chris swallowed most of it down his throat. Tommy roared as he heard Chris gurgle and chook on the big prick. “Fucking hell… You’re good… Damn boy!… Suck me…”, groaned Tom wildly.Chris took his time sucking the extremely long cock as deep as he could manage. Making strong suction motions and doing miracle things with his tongue around Tom’s shaft and cock head. Jerking the rest of his long shaft off with a firm hand. Getting him fully erect and licking up the huge amounts of pre-cum that oozed out of his black cock. Chris meanwhile had stripped out of his pants and played with his own cock and ass. He grabbed a rubber out his wallet and slid it over Tommy’s dick. “Dang boy… Are you… Are you really going to… Damn it… Fuck yeah… Ride that huge black cock boy!”, screamed Tommy as he felt Chris’s ass pressing over his dick.It took Chris a long time getting used to this long cock. But in the end, most of Tommy’s cock was deep in Christopher’s cunt. Pressing his ass against the cubical wall he moaned; “Fuck me Sir… Take me deeply… I want to feel you split me in two with that big cock… Fuck me. But do it slowly.”. Tommy started pumping Chris’s ass hole and talking extremely dirty to Chris. Pounding him harder and faster the longer they went at it. He stopped… then rammed himself back inside making young Chris scream in pleasure. Tommy filled his condom and he removed his cock from Christopher’s ass.Chris fell to his knees breathing heavy and moaning. He faced the glory hole again and offered to lick Toms cock clean. He sucked him off deep again. Letting the monster prick go limp in his mouth. Chris felt an odd sensation in his ass. His fingers quickly discovered that the condom was left behind up his hole. He carefully pulled it out of there and examined the content. Tom had deposited a huge load in the rubber. Chris put a knot in it and showed it to Tommy. “Here you go, you can file that as evidence.”, laughed Chris.”Get your ass over here boy!”, ordered Tom. He opened his cubical door and Chris went to him. They kissed and ground their dicks together. Tom güvenilir illegal bahis siteleri bend Chris over the toilet and licked his cunt with his big lips and fucked the ass hole good with his tongue. Tom grabbed Chris’s leather jacket and pounded his cock back in Christopher’s hole again. But he went directly as deep as he could push himself in there. Chris yelled again. And tried to push Tom away with his hands. Tom grabbed a pair of handcuffs and twisted Chris’s hands on his back. Cuffing his hands and using them to push himself off as he fucked Chris raw. Tommy’s ball slapped hard against Chris’s ass as he prepared to cum again.He quickly pulled out and turned Christopher around. Pressing him on his ass to the cold floor. Tom ordered; “Open your fucking mouth, boy!”. As he slapped the monster cock against Chris’s face hard. Chris opened up only a little, but that was just enough for Tommy to ram his cock deep in his throat and shoot stream after stream of hot salty sperm in his mouth. “Swallow it, boy!… Drink me dry man!… “, screamed Tom as he face-fucked Chris while he came hard. Chris felt properly used. And he did not know if he liked it or not. Until Tommy pulled him up again and then started to lick his face clean and kissing Christopher tenderly. Tom had removed the handcuffs as well. The men stood there a good 10 or 12 minutes hugging and kissing. They were still breathing heavy and stroking each other’s backs when Tom asked… “Man, how was that for you fucker?…”, in a heavy Caribbean accent.”Well… you are very rough… I felt properly dominated by a strong top like you… And your cock is fucking amazing… I love it!… I will have to tell my boyfriend all about it tonight…”, panted Chris.”Oh, you have a boyfriend?”, asked Tom. “Yes, Jelmer and I have decided to try stuff out. We have sort of an open relationship. And he also loves it to be dominated a bit.”, told Chris. “Cool,… Well, maybe we can get together sometime… Not much else to do on the island for a guy like me.”, said Tommy sad. “Ha… Well, I had several cocks to serve the last 2 weeks. So I can’t complain… But I guess you have to be extra careful, with your job an all…”, winked Chris understandingly. “Thanks for the hand… the mouth… and the fucking great ass, Man… You were amazing… Really… We have to do this again sometime Chris.”, said Tom as he kissed Chris goodbye.Christopher sat back on the toilet as he cleaned himself up and put his pants back on. He checked himself thoroughly in the mirror and removed any remaining evidence of the rough fuck and cum shower he had just had.It was 2 o’clock when he left the public toilet building and continued his ride east along the islands bicycle paths. Heading west again to Jelmer’s love-nest later that afternoon. Jelmer was not at home yet. So he let himself in. Christopher took a long hot shower and dropped naked on their bed dreaming of big black police cock that the jailbird Chris had to service.Chris awoke to find Jelmer standing naked over him on the bed. Jelmer lowered himself as he tea-bagged Chris awake. “Did you sleep well fucker!”, he laughed. Chris sucked his nuts and he got face fucked a little later. Jelmer told him he had worked things out with his mom and dad. They broke with their church. The reason for their hesitation was the presence of the priest. It was his idea to have a conversation. Ben and Frieda were actually fine with their relationship, but they did not dare go against the church until they heard Chris talk about love. Told Jelmer happy to Christopher.”Aww, that’s cool. Well, I have a story to tell you too…”, said Chris to Jelmer. “I was stopped by officer Tom this morning after you nearly ran him off the road…”, told Chris. “Did you know he was gay too?”, asked Chris. “Anyway. Long story short. His 31 cm black cock has fucked me at the glory holes at kilometer marker 13 this afternoon… “, said Chris waiting anxiously to hear how Jelmer would react.”YOU FUCKING ASS HOLE!… Stop lying to me… You always make stuff up!… That can’t be true… Really you need to stop lying!”, screamed Jelmer angry. Chris was very surprised by this reaction. At worst he expected a reprimand for going behind Jelmer’s back. But this was much worse. His lover thought he was deliberately lying to him. Jelmer got even angrier at Chris after he told him that it was the truth. “Okay… IN THAT CASE, YOU BETTER LEAVE!… I don’t mind you fuck around… BUT DO NOT LIE TO ME, ASSHOLE!… I WON’T BE FRIENDS WITH A LIAR!”, yelled Jelmer angry.Jelmer went away to the living room and Chris face slapped himself. Christopher packed his weekend bag and left via the back door, not saying goodbye to his angry ex.After having calmed down a bit Jelmer went back to the bedroom finding that Chris was gone for good. He contemplated going after him. But he got angry once more at Chris for not even saying goodbye. After about 10 minutes he got in his army Jeep and raced to the main road hoping to find Chris there to say he was sorry. But he could not find Chris anywhere. Chris had taken his bicycle and had taken a different route to his grandma’s home. He rode to his grandmother’s house via the sea dike. That way he could avoid anyone and everyone. Christopher was very shaken up about the whole situation. He sat a while on the outside off the dike thinking about what his options were now. He felt he was up a creek without a paddle. And had actually no idea what to do next. “Breaking up is hard…”, he thought to himself as he saw two lambs playing in the grass. “Look at them. Not a care in the world… Life must go on somehow… but how the fuck do I do that?”.At his grandma’s house, he asked her if he could stay at the guest room for a couple of day’s. His grandmother sensed that something was really wrong. Christopher told her what was going on and she helped him unpack his things in the guest room. “Take a nap… I will call you when dinner is done.”, she said hugging the heartbroken Chris. “Don’t bother granny. I will go to bed early today. I am not hungry anyway. And please don’t tell anyone I am here. I really need to be left alone for a couple of day’s!”, bagged Christopher.His grandmother knew Chris long enough to leave him be when he was in this state. So that’s what she did. She knew that güvenilir bahis şirketleri Chris would come to her when he was ready to get on with his life. And Chris knew that he was safe there.The next morning the whole island was in a right state. Search parties were sent out, and the island police were trying to find out where their new favorite son had gotten to. No one had seen Chris leave the island. He was not at Ben and Frieda’s place or in any of the hotels either. They even went so far as to dredge the notorious dune lake sandpit for bodies.Chris’s uncle Burt told his mother that the entire island was looking for Chris. She told him that Chris was in their guest room but that he could not tell anyone.Jelmer was at the police station, giving a statement. Tommy overheard the conversation and asked if Jelmer would follow him. They went outside and sat in the sun chatting. “Tell me Jelmer… What is really going on? Did you two get in a fight yesterday?”, asked officer Tom softly. “Yes. He was all bragging about how he… well… how he sucked you off yesterday. I told him he was lying and ordered him to leave.”, cried Jelmer after he spilled his guts. “Have you considered that he actually told the truth? Jelmer… He was telling the truth… We did indeed play together a while yesterday at the glory holes in the public toilets.”, said Tom looking anxious at Jelmer. Jelmer looked in surprise at officer Tom. “Yes, Jelmer… he actually told you the honest truth. I am sorry you had to hear it from me… And I am sorry I took your boy…”, said Tommy. “Oh god… Thank you, Tom… You can play with him as much as you like!… I just thought… I knew for certain that… Oh hell… How could I have been so stupid!”, exclaimed Jelmer. Tom put an arm around Jelmer. “It’s okay. Now… Do you have any idea where we need to look to find your boy? The makeup sex will be amazing when we do… “, winked Tommy at Jelmer. Managing a smile on Jelmer’s face.Chris’s grandmother told Christopher over lunch that she heard the whole island was looking for him. “Well, they will need to look a bit longer. I am not ready feeling sorry for myself!”, he said sort of angry. “I will take the ferry home on Monday. This whole thing left me feeling sick to my stomach.”. “You will do no such thing! Our family always finishes the jobs we start! You don’t have to go back to Jelmer if you don’t want to. But you owe it to Ben to finish up the bunkers!”, warned his grandmother him. “Now go call the police to let them know where you are. They have better things to do then to keep looking for you!”.Chris asked his grandmother to call the station and to ask for officer Tom. When Tom answered the phone he was very happy he heard Christopher on the other side of the line. “Hi Tom, Chris here. I am okay. I just need some time alone. Away from Jelmer. So please don’t let him know I called.”, said Chris. “Okay,… Glad you’re okay buddy… Where are you calling from Chris?”, said officer Tom relieved. But Chris hung up the phone without answering. He did not want to talk anymore. And went back up to the guest room feeling sorry for himself.Later that day Chris wanted to get a drink. Actually, he wanted to get pissed drunk. He walked thru town. Past the lighthouse, past the bakery where Sipke worked. Past his aunt’s Bed and Breakfast, then past his aunt’s Dianna’s place. A lot of people must have seen him walking, but he ignored them all. And he ended up in front of ‘the Whaler’. It was closed. “Just my luck… of course they are closed.”, he thought disappointed. He had sat on the terrace a while when he suddenly felt a hand on his shoulder. It was Wessel the owner of the club. “Come on in boy… Let’s talk…”, he said very fatherly to Chris.Christopher took a seat at the bar and Wessel pored him a large pint. He watched as Chris downed it in one go. “Ha… Is it that bad?”, he laughed understandingly. “Worse actually… Give me another one please.”, said Chris with moist eyes. “Jelmer broke up with me. He thought I was lying to him when actually I was telling the truth. I guess he can’t handle the truth… Or me…”, exclaimed Chris very hurt. But it felt good to finally talk about it with someone.”Write that down… There is a song in there somewhere!”, suggested Wessel to his young friend. He handed him a notepad and Chris started to write it down. And quickly the words started flowing from Chris’s pen. He asked Wessel to play something blues like on his guitar. But instead of doing that, he handed him his favorite and very expensive instrument. Christopher placed it on the bar in front of him. And started to strum on the guitar. He quickly got a nice blues sound going as Wessel looked over the words Chris had put on paper. The two of them started to jam together. They wrote a complete song in about 20 minutes and 5 pints. Well tipsy, they sang it together and recorded it. Afterward, Chris and Wessel dropped into the couches next to the stage and felt good about themselves. They drank some more beers. Chris was relieved. And Wessel told him “Chris, buddy,… If I was gay, I would do you now!… Man, you’re fucking amazing… You really are… I do hope you and Jelmer get back together though!… Maybe there is another song in that story as well.”, said Wessel proud. Officer Tom and his aunt Dianna and uncle Mathijs walked in at that moment. “There you are!”, called his uncle to him. Tom sat down next to Chris as he got a firm hug from his uncle. “Guess you needed some time alone again…”, he whispered understandingly. “But you did give us a good scare, boy!”.”Yeah… that could not be helped. Jelmer kicked me out. It seems he can’t handle the truth…”.Officer Tom wanted to know where Chris would be staying. “I have family enough on the island as you can see… So I will find a place… I just need to find a way to keep working on the bunkers without running into Jelmer all the gawd damned day.”, said Chris well drunk now. “That’s enough… Let me take you home, boy…”, said Tom. Chris thanked Wessel for the help and the listening ear. Tommy helped him into his Landrover.That next Sunday early morning Christopher awoke stark naked in Tom’s home next to him. Tommy’s ass was gaping open and pretty wet. “Morning sunshine!… slept well?”, asked Tommy him. “Oh hey… How did I end up here?”, asked Chris confused. “You did not want to tell me where to drop you off… So I brought you back here. And you fucked the crap out of me last night!… Man, you are good… Even when your drunk… Here are 2 aspirins and some water…”, laughed Tommy softly. Chris bent over to kiss Tommy and to thank him for the rescue.

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Histoire de slips.2Slip kangourou ou mini-slip (2).Le jour suivant, Guy arriva nettement plus tôt. Je sortais tout juste de la salle de bain en mini-slip. Directement il attaqua “Hummm, agréable et excitant” me dit-il. Il ne lui fallut que quelque seconde pour se retrouver dans la salle de bain et prendre directement une douche. Après quelque minute il apparait en slip kangourou taille basse et lâche “Ainsi nous sommes à égalité et nous pouvons reprendre notre discussion interrompue hier soir. Je t’en remercie grandement”.- “Bon si tu veux, Je dois te prévenir en premier lieu que très peu de gars dans notre métier sont aussi tolérant que moi et qu’il faut donc faire très attention lorsque l’on parle de ses choses-là. Mais raconte moi un peu plus sur toi aussi. Hier soir je t’ai fait une confidence à toi maintenant”- “Ben tu vois quand j’ai eu 15 ans, j’avais un bon copain avec lequel on faisait plus ou moins les quatre cents coups d’ado. Un jour que nous étions assez excités, il me demanda tout à coup de regarder dans son cou pour voir s’il n’avait pas un insecte dans son cou. Me plaçant derrière lui, je regardais dans son cou. Au même moment je sens sa main sur ma braguette qui me tâte la bite. Comme je bande, il sent bien ma bite dure. Ne voulant pas le vexer, je le laisse faire. Après quelques secondes il me dit “J’avais bien vu que tu bandais”. Je lui réponds du tac au tac “Je crois que toi aussi”. “Tu veux que je regarde dans ton cou si tu n’a pas de petite bête dans ton cou” est sa réponse. Je saute sur l’occasion en lui répondant oui, il y avait si longtemps que je voulais connaître et tâter une autre bite. Et voilà qu’il se met derrière moi et regarde dans mon cou. Je laisse aller ma main sur sa braguette et là je sens comme un morceau de bois. Il ajoute “Vas-y branle moi de haut en bas”. J’imprime à ma main un mouvement de haut en bas. Après quelques aller retour de bas en haut il me dit “T’a jamais branler un copain”. Non fut ma réponse. Attend viens ici je vais te montrer. Il met sa main sur sa braguette enserre sa bite en effectuant un va et vient de haut en bas. Tout à coup il me dit “J’y tiens plus” et plonge sa main dans sa poche. Je vois alors sa braguette déformée par la main qui s’astique la queue. Il me regarde et souri “T’as pas un trou dans ta poche, chez moi il y en a un grand comme cela je peux caresser ma bite sur mon slip ou même baisser mon slip pour me branler. Tu veux sentir comment c’est”. Et de sortir sa main de sa poche. “Allez n’ai pas peur ca ne mord pas”. Il prend ma main et la fait entrer dans sa poche. Je me prends au jeu et je ma place légèrement derrière lui pour pouvoir entrer plus facilement ma main dans sa poche. Ma main glisse dans le tissu et effectivement au fond, la poche est défoncée et j’aboutis sur son slip. Entretemps il n’est pas resté inactif sa main à glissée vers l’arrière et à empoignée ma bite au travers de mon pantalon. “Caresse-moi, vas-y n’aie pas peur, j’ai envie que tu me branle à fond. Tu sens le dessus de slip est légèrement humide car je mouille du bout”. Et de me masser plus fort la braguette. Je fais aller ma main sur son slip. “Oui, vas-y, fait moi jouir dans mon slip”. J’astique maintenant sa bite que sens nettement dans ma main. De mon côté je sens que la pression monte dans mes couilles. Tout à coup, il me dit “Ouuiii ca vient, continue, je jute, tu sens ma bite tressaute. J’en met plein mon slip”. Ma main sur son slip ressent à ce moment une chaleur et plusieurs contractions de l’engin. Le slip commence à s’humidifier, mon copain vient effectivement de juter dans son slip. De mon côté le fait de sentir l’humidité dans ma main, me fait monter le jus dans ma queue et je lâche également toute la purée dans mon slip. “Tu vois, qu’est-ce que tu préfère la branlette sur le pantalon ou bien sur le slip comme tu as fait chez moi” me dit-il. Je lui réponds que je vais devoir faire un trou dans ma poche pour lui permettre de me branler de cette façon. “J’y compte bien” me dit-il. Voilà, c’est grâce à cela que j’ai pris l’habitude de me branler dans mon slip. Même maintenant j’ai toujours une poche canlı bahis şirketleri de mon pantalon qui n’a pas de fond ainsi je peux me branler quand je veux”.- “Tu n’a pas eu des problèmes avec ta mère car tes slips devaient avoir de fameuses tâches de sperme”.- “Non ma mère n’a jamais rien dit. Je crois que mon père jutait également dans son slip et que ma mère aimait bien cela. J’avais entendu plus d’une fois ma mère dire : Vas-y lâche tout dans le slip, le siens ou celui de mon père, je ne sais pas, mais j’avais trouvé dans le panier à linge le slip de mon père rempli de jute”.- “Tu l’a fait avec ton copain après”.- “Oui assez souvent, on mettait chacun une main dans la poche de l’autre et on se branlait ainsi dans notre pantalon sur notre slip. Même qu’un jour, en été, il faisait noir et il m’a demandé de le branler en prenant sa bite en main en baissant son slip dans son short. Ce que j’ai fait. Il a juté dans son short. Puis il m’a montré la jute qui coulait le long de sa jambe. Avec son doigt il en a pris une goutte et à léché son doigt pour connaitre le gout sa jute. Il m’a demandé si je voulais goûter mais j’ai refusé”.- ” Tu aurais du car ce n’ai pas mauvais”.- “Il ya quelque chose que je voulais te demander : est-tu homo et as-tu déjà goûté du jus”.- “Ben oui j’en ai goûté, le mien pour en connaître goût. J’ai également goûté le jus transparent qui suinte par goutte lorsque l’on est excité. Et non je ne suis pas homo, mais j’adore de voir des bites et même un peu plus puisque je me branle. J’adore le sexe entre homme mais pas d’être enculé. Je ne m’en fais pas une obligation mais lorsque l’occasion se présente de pouvoir voir ou tâter une queue je ne la décline pas tout comme une moule aussi. C’est le cas durant ce séjour, tu te branlais et cela m’excitait alors je me suis branlé. Comme hier avec toi mais il n’y aucune obligation et comme tu voulais en savoir plus on va faire en sorte que tu en découvre plus aujourd’hui. Si cela te gêne ou t’ennuie tu le dis et on arrête et on en parle plus”.- “Au contraire pour moi ça me vas. Je n’ai jamais rencontré quelqu’un d’aussi ouvert avec lequel je peux parler et aussi apprendre si tu veux bien. Je me sens bien en ta compagnie, nettement mieux que lors des autres missions”.- “Je crois que cela se voit à ton slip, je vois que tu bande à nouveau. Moi aussi comme tu peux voir, la conversation n’y est pas pour rien et mais les souvenirs font bander”.- “Je peux toucher”.- “Qu’est-ce que tu attend, approche toi. Viens on va s’asseoir côte à côte c’est plus facile. A moins que tu préfère que je reste debout en face de toi ainsi tu pourra mieux mater mon slip”. – “Si tu le permet, j’aimerai mieux que tu reste debout devant moi. Je m’assieds comme cela je suis juste à la hauteur de ton slip pour mater”.- “Sans problème. Je vois que la poche de ton slip est déjà fameusement déformée”.- “Oui je bande à fond, je sens que j’ai les couilles bien remplies. – “Ta bite ne doit pas être à l’aise dans ton mini-slip recourbée comme elle est. J’ai l’impression que tu mouille déjà du bout”.- “Bien vu. Allez touche puisque tu veux. Fait remonter ma bite vers le haut pour qu’elle soit relax. Oui comme cela fait pivoter doucement, voilà tu vois la tête se trouve juste sous l’élastique”.- “Je vois surtout qu’elle grandi encore. On dirait que ton gland sort de son capuchon”.- “Je crois que oui, regarde de plus près si tu veux”. Guy se baisse un peu plus pour se rapproché du mini-slip. Il a mon slip à trente centimètre devant lui. L’effet sur moi est complet ma queue se déploie totalement et elle se met à émettre des gouttes de liquide transparent qui apparaisse sous la forme d’une auréole humide juste sous le bord de l’élastique.- “Eh bien tu en lâche de la mouille, ton slip va être trempé”.- “Tu veux pas gouter, moi si je serai de toi j’aurai fourré mon doigt sous l’élastique. Mets-toi debout que je peux aussi te toucher la bite à mon tour”. Ce que Guy fait directement attendant probablement que je prenne l’initiative. Je m’agenouille. Mon visage est maintenant juste à hauteur de la poche déformée de son slip. Je pose canlı kaçak iddaa ma main sur la poche et me mets à caresser la poche qui se gonfle un peu plus sous mon contact. Délicatement je fais effectuer à la bite une rotation pour lui donner une position plus confortable. Ce geste arrache un soupir de plaisir à Guy. Je penche un peu plus et pose mes lèvres sur le slip juste à hauteur du gland. Un grand “Ouaah” sort de sa bouche. Je sens que sa bite fait des soubresauts, je me recule et laisse son slip tranquille car je sens que si je continue il va juter.- “Je vois que tu es déjà prêt”.- “Oh oui c’est la première que j’ai cette sensation, mais que c’est bon”.- “Occupe-toi un peu de ma bite” dis-je en me redressant ainsi “Ainsi la pression diminuera un peu chez toi. Je crois que rien que le fait de te toucher ta bite me ferait bien jouir aussi”. Entre temps je lui ai mis une main sur les fesses pour voir s’il va se retirer. Il ne bouge pas. Et moi j’avance le bas-ventre. Par ce mouvement mon gland franchi le bord du mini-slip.- “Vas-y touche moi le slip et sort ma bite”. Guy hésite, puis tend la main, touche du doigt mon gland juste sur le méat, une goutte de jute transparente sort à ce moment-là et s’étale sur son doigt. Il regarde le liquide et je lui dis “Vas-y goûte, c’est l’occasion”. Je vois qu’il hésite mais finalement son doigt prend la direction de sa bouche et le suce. Je crois que c’est gagné on pourra aller plus loin.- “Tu as raison, c’est très bon. Le tien quand même”. Sur ce, il revoie son doigt vers mon gland et se met à le caresser provoquant d’office le sortie de plusieurs autres gouttes qu’il recueille et porte à nouveau vers sa bouche.- “Assied-toi comme cela tu seras juste à hauteur de ma queue et tu pourras mieux voir ce que tu fais”. Guy s’assied sur le bord du lit. Je me mets entre ses jambes écartées ainsi il est juste face à ma bite “Qu’en penses-tu. Il te plait mon gland. Il est temps que tu baisse un peu mon slip pour sortir ma bite. Vas-y prend-la entre tes doigts et baisse mon slip”. Ma bite entretemps continue à dégorger, je vois que de temps à autre du bout d’un doigt il ramasse le jus et le porte à sa bouche comme pour déguster un nectar. Comme je le pousse à baisser mon slip finalement je prends l’initiative, porte mes mains sur les deux côtés de mon mini-slip et baisse doucement le vêtement sans qu’il ne s’en aperçoive. Le début de la tige apparait avec le gland dans son entièreté bien décalotté. Guy semble tétanisé par le spectacle. Je continue doucement mais à un moment donné ma bite bascule vers l’avant en direction de son visage. Guy a un léger recul mais semble apprécier la bite devant sa bouche. Il a posé ses doigts sur la tige et caresse le corps de ma queue. C’est tellement doux que je lâche un “Hooo”. Il me regarde en souriant. Je me retrouve devant lui le slip à hauteur des genoux. “Ta bite est bien douce mais qu’est-ce que tu mouille”. Et de prendre ma queue en main en l’entourant complètement”. Je lâche un “Hummm” de contentement. “Je peux te branler un peu” me demande-t-il.- “Oui, certainement, je t’arrêterai lorsque je sens que cela vient”.- “Tu peux juter si tu veux” me répond-t-il.- “Non pas maintenant il y a encore tant de chose à découvrir”. En pensant à sa queue toujours dans son slip et raide comme un piquet. De son autre main libre, je vois qu’il se caresse la braguette de son slip. J’avance encore un peu mon bas ventre vers son visage. Comme il recule son visage, il ne peut se retenir et bascule sur son dos lâchant ma bite. J’en profite pour tendre ma main et lui caresser la poche de son slip que sa main vient de quitter. J’y sens un véritable morceau de bois tendu avec sur le bout un renflement. Il me laisse libre de le caresser. Ma main glisse alors vers l’élastique du slip avec l’intention cette fois d’abaisser le sous-vêtement. Ma deuxième main rejoint la première sur le bord du slip kangourou et je commence à baisser tout doucement le bord du sous-vêtement avec un début d’apparition du gland à moitié recouvert de son prépuce mais suintant de liqueur transparente.- “Vas-y” me dit-il tout canlı kaçak bahis à coup en soulevant les fesses. Il ne me faut pas plus comme signal et je dégage le slip l’amenant jusqu’à hauteur des ses genoux. Une magnifique queue de 16 centimètres se dresse dans toute sa splendeur. Elle est légèrement plus mince que la mienne. Le gland toujours recouvert à moitié de son prépuce montre un bel ovale avec un méat assez grand qui distille une belle liqueur transparente. Ma main ne peut s’empêcher de se diriger vers le bas ventre et se poser immédiatement sur la hampe juste sous le gland, d’un geste doux entre le pouce et l’index, j’abaisse doucement le prépuce dégageant totalement le gland. Remontant légèrement mes doigts un flot de mouille sort par le méat. Voyant cela je me baisse et pose mes lèvres sur la pointe du gland et aspire doucement toute cette liqueur. L’excitation de Guy est à son comble sa bite se met à tressauter. J’ouvre ma bouche, avale son gland et suce, l’effet est immédiat. Je sens un premier jet sur ma langue, suivit de plusieurs autres. Un grand “Ouaaaah” sort de sa bouche. J’avale doucement tout le jus qu’il distille en plusieurs gros jets tout en suçant toujours son gland. Son nectar est vraiment délicieux, un vrai régal. Je le nettoie complètement le gland de son jus en léchant sa bite qui ne débande pas.Afin de lui laisser reprendre ses esprits, je retire mon slip et me couche sur le lit tout nu la bite dressée vers le plafond. Je me caresse doucement afin d’entretenir ma raideur. Revenant à lui, il me dit tout à coup “Tu veux que je te branle, tu n’as pas encore pris ton pied ce soir”.- “Oui, tu peux bien, mais ne me fait pas jouir, j’ai encore envie de goûter à ta bite qui comme je le vois est toujours bien raide”.- “Oui, je bande encore. Rien que le fait d’être à côté de toi à poils avec ta bite entre mes doigts me fait bander”. Je le laisse me branler doucement. Il utilise le pouce et l’index pour juste prendre mon prépuce et le faire monter et descendre tout doucement. Je mouille et lâche régulièrement une grosse goutte de liqueur transparente. Après quelques minutes ainsi je tends ma main afin de lui caresser la cuisse. Pour me faciliter la tâche, il se remonte un peu sur le lit. Moi j’en profite pour me retourner complètement et me retrouver face à ses pieds.- “Qu’est ce que tu fait”.- “Comme ça tu ne dois plus tendre la main puisque ma bite est à hauteur de ton visage. J’ai envie que tu me suce un peu comme moi il y a quelques instants”. Je vois qu’il hésite car tout est nouveau pour lui déjà le fait de se mettre à poils devant un autre homme, de s’être fait sucer et d’avoir jouis dans sa bouche. Finalement je le vois ouvrir sa bouche et poser ses lèvres sur mon gland.- “C’est bon” me dit-il.- “Vas-y continue, c’est bien, rentre bien le gland dans ta bouche. Suce. Fais aller tes lèvres comme quand tu me branle doucement. Voilà c’est bien. Maintenant lèche bien le gland avec ta langue, puis dans le pli du gland. Hummm c’est bon. Continue, je vais te sucer aussi”. Et j’embouche sa bite. Nous sommes maintenant en position 69. Sa queue est archi-dure et suinte abondamment. Deux, trois minutes se passent ainsi.Il ouvre en grand la bouche et lâche “Je vais juter”. Je lui réponds “Moi aussi”. Je sens ses lèvres sucer plus fort sur ma bite et je reçois un premier jet de crème dans la bouche. Il n’en faut pas plus pour que moi aussi je lâche tout. Comme je n’ai toujours pas jouis la quantité est énorme. Je lui lâche au moins dix gros jets dans la bouche. Je sens qu’il avale consciencieusement la liqueur que je lui ai distillée. De mon côté trois gros jets ont atterri dans ma bouche que j’ai dégusté avec plaisir.- “Alors mon jus t’a plu à ce que je vois; Tu as tout avalé”.- “Oh oui, excellent, je ne m’attendait pas à cela”.- “Tu vois, je crois qu’aujourd’hui tu as découvert beaucoup de chose”.- “Certainement, surtout que deux hommes peuvent se faire d’énorme plaisirs”.- “Oui et tout cela sans être pour cela pédé, mais par contre bien aimer le sexe et les hommes en général”.- “Oui c’est surtout aussi parce que ton ouverture d’esprit est grande”.- “Simplement un peu de respect mutuel pour ce que l’on est”.- “Merci à toi”.- “Si maintenant on se reposait un peu, nous avons encore une bonne journée de travail demain. Ensuite on verra bien, c’est le week-end”.Ainsi fut fait pour cette soirée là.

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Mercy FUCKMercy FUCKMy name is Leigh. I’m a little bit bigger girl about 5′ 7” and easily12 lbs overweight.Bleached blond hair with some outgrowth of my darker hair. I always wear lipstick and I like to wear a lot of eyeliner and mascara to the point where I look slutty. My tits are 36 B with big dark nipples. My left boob has several veins running through it. I shave my pussy big dark pussy lips but let some hair grow on my pussy since I don’t have a boyfriend anymore. I gained most of the weight after my wimpy ex boyfriend and I broke up 9 months ago. I have many fantasies most of them on the dark side. I like to role play. To me nothing is off limits role playing. I’m very submissive which is why most of my fantasies are about a burglar, intruder, a dark park even my father fucking me hard, pulling on my erect nipples, using nipple clamps a butt plug and cumming in my ass, face or pussy whenever he felt like it. My ex found this disturbing. What drove him away was when I wanted him to play out a r(a)pe fantasy, an escaped prisoner catching me nude after a shower biting me and fucking me over and over again for hours making me eat his ass and give him a prostate massage. It was Friday night I was over at my friend Carlis house. I was wearing a shear bra, yellow top and yoga pants even though I felt like my ass was a bit too big for yoga pants. Our other friend Dawn was there.We had a few glasses of wine and the conversation turned to talking about sex. They shared some stories about fucking and sucking, how they like to get fucked and sucking a guys dick. Dawn especially likes to swallow a guys hot salty cum.I told them a few of my dark fantasies and that’s why wimpy left me.I was so turned on by our stories I knew my pussy was wet and they could probably see my nipples poking out through my tight yellow spaghetti strap top. I could see Dawn wasn’t wearing a bra and her nipples on her tiny tits were also on high beam.I broke down and told them I haven’t been fucked in almost 9 months. I’m tired of masturbating I miss a hot hard dick illegal bahis filling my pussy and the feeling of a guys hot cum filling my pussy. No matter how good a vibrator is it doesn’t cum.That’s when Carli told me her brother Jack broke up with his girlfriend and hasn’t had a piece of ass in months. Carli said he’s always walking around with a boner.Would you give him a mercy fuck? I know he needs to bust a nut. He’s got a big dick!Oh I don’t know. How do you know he has a big dick?Without answering Carli jumped up, let me talk to him and see what he thinks.Carli was gone for a while. 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Then I felt a tongue licking at my still gaping ass. Get in there Dawn suck all of Jacks cum from Leighs ass.How was that for a mercy fuck? In about fifteen minutes when Jacks hard again we’re all going to fuck him. One loser has to suck the cum from the winner he cums in. The other loser has to tongue fuck my br(o)ther Jacks ass.

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souvenir de vancancesBonjourPetite histoire, souvenir de vacances estivalesIl y a 6 ansNous descendions dans le sud pour les vacances.Dans la voiture, nous avons profiter de la nuit pour rouler, les enfants dormant, apres de petites caresses en roulant, les caresses sont passées de mon bras à mes jambes puis sont lentement arrivées sur mon sexe, puis sous mon short et elle me branle discrètement. Tout en gardant sa petite robe, elle enlève sa culotte pour que ma main puisse la toucher convenablement, je me rappelle qu’elle mouillait abondamment, mes doigts malgré la position rentraient tout seule dans son sexe humide. Après de longues minutes nous nous sommes fait jouir mutuellement.Nous avions choisi un camping 5 étoiles très luxe pour y installer notre petite tente, on dépareillais un peu au centre de ces mobilhomes mais tant pis.A notre arrivée nous avons été très surpris par la présence quasi totale d’Hollandais… aucun Français rencontré!!!J’adore illegal bahis les vacances, ma femme toute la journée en maillot de bain, les petits jeux discrets de la journée comme une main rapide sous le maillot, ou des effleurements discrets a cause de la présence des enfants, bref une excitation longue et lente très sensuelle qui ne fait que monter et qui ne nous quitte pas de toute la journée.Le soir arrivé, les enfants (très jeunes) couchés, on se fait un petit apéro sur notre table à peine éclairée par un petit lampe pile… bref encore un moment propice à se toucher ce qu’on s’empresse de faire.Notre emplacement de camping était comme tous, tout juste délimité par une pauvre petite haie qui a du mal a survivre sous la chaleur du sud.Ma femme, pas exhib mais pas timide non plus, ne tenant plus de cette journée ou je l’ai particulièrement titillée, se met a genou devant moi et commence à remonter le long de mes jambes, passent les illegal bahis siteleri mains sous mon short pour m’att****r la bite et me l’embrasser par dessus le short.Je lui dit déconne pas, les voisins sont encore sur leur terrasse. Elle me dit – t’inquiete pas, il fait sombre, et puis ils sont tous hollandais ici, alors LAISSE MOI TE SUCER LA BITE ils peuvent entendre ce n’est pas graveElle se met au travail comme elle le fait si bien, en me léchant les couilles du scrotum jusqu’au bout de la bite avec une grosse langue douce et baveuse… Je voyais les voisins sur leur terrasse car ils mieux éclairés que nous pendant qu’elle me sucait, elle jouait et me disait pour qu’ils entendent-tu aimes que je te suce, que je te lèche les couilles comme une cochonne!!!Ce qu’il n’était pas trop a son habitude à l’époque mais elle trouvait ca excitant que les voisins puissent entendre et tellement facile puisqu’ils ne comprenaient pas.Puis elle me canlı bahis siteleri dit-tu vas me BAISEREn parlant toujours assez fortJe trouvais ca un peu chaud, car hollandais ou pas, ils étaient quand meme capable de comprendre ce qu’était des petits gémissements… mais apres tout on s’en fouAlors je l’ai mise sur le capot de la voiture, je l’ai d’abord lechée, sa chatte tout humide de plaisir mais pas trop longtemps car elle préfère etre prise rapidement-Baise moi maintenantAlors je l’ai prise allongée sur le capot les jambes bien relevées pour que je la prenne bien au fond.Ca n’a pas durer longtemps car trop exciter, mais c’était tellement bon.Nous avons repris un autre apéro, puis au moment de rejoindre la tente, s’est mise à genoux sans rien dire et m’a a nouveau sucé, elle s’est appliqué pour aller bien au fond de sa gorge pour me faire plaisir mais me fait partir à coté de sa bouche…Soirée sympa un peu exhibe sans pour autant l’etre!Mais quelle surprise lorsque le lendemain, en passant à coté du voisin, nous l’air de rien, avec un sourire il nous dit Bonjour Monsieur Bonjour Madame!!!En fait nous l’avons appris après les Hollandais de facon générale parlent couramment le Français!!!

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Spieglein, Spieglein, … Kapitel 10 von 21Das bekannte Knirschen erklang und meine Hand flutschte durch die Scheibe. Klara erschreckte sich trotzdem. Sie zuckte zusammen und sah ungläubig auf meine Hand, der der Arm folgte. Vorsichtshalber ging sie noch einen Schritt weiter zurück, blieb danach wie angewurzelt stehen. Nun bekam sie mit, wie sich langsam immer mehr von mir durch die Scheibe schälte. Nur wenige Sekunden später stand ich vor ihr und sie sah mich ungläubig an. Sofort traten Tränen in ihre Augen und sie stürzte geradezu auf mich zu. Ihre Umarmung war fest, klammerte sich an mir fest und brach erneut in Tränen aus. Sie schluchzte, während ihr Kopf an meiner Brust lang. Ich war mit der Situation überfordert. So etwas hatte ich noch nicht erlebt. Aus Reaktion legte ich meine Arme um sie und streichelte ihr sanft über den Rücken. Wenn es nach uns gegangen wäre, hätten wir dort ewig stehen können. Weder Klara noch ich wollten diesen Moment beenden lassen. Wir kamen uns vertraut vor, als wenn wir uns ewig kennen würden.Nur widerwillig löste Klara sich von mir, hielt mich noch einem Moment in ihre Armen und hob ihren Kopf von meiner Brust, um mir in die Augen zu schauen. „Ihr seid genauso, wie ich mir euch vorgestellt habe. Euch jetzt und hier zu sehen, ist anderes als durch den Spiegel. Jetzt wird alles gut!“Mir wurde erneut heiß. Wie konnte sie das sagen. „Klara!“, sagte ich und sah ihr tief in die geröteten Augen, „Auch wenn ich aus dem Spiegel komme und deine Krankheit geheilt habe, bin ich nicht reich. Ich kann nicht bieten, was du dir erhoffst. Verstehe das bitte!“In Klaras Blick konnte ich erkennen, dass jetzt etwas wie Trotz bei ihr die Regierung übernahm. Sie ließ ihre Unterlippen hervorquellen und kräuselte die Stirn.„Wer aus Spiegeln kommt, der kann alles. Schaut euch an, ihr seht anders aus als wir, also muss es für euch eine Möglichkeit geben!“Auf einmal hellte sich ihr Gesicht merklich auf, als wenn ihr eine Idee gekommen war.„Nehmt mich mit in den Spiegel. Dann kann mich keiner mehr finden und ich kann bei euch wohnen!“Erneute Hoffnung keimte in ihr auf und ich meinte, ihr Herz schneller schlagen zu spüren. Aber wie hatte der Voreigentümer des Spiegels noch gesagt. Nur der Eigentümer konnte durch den Spiegel gehen. Ich glaubte ihm das, warum sollte er mich belügen. Langsam schüttelte ich den Kopf und Klaras Hoffnungsschimmer verschwand aus ihrem Gesicht. „Es ist alles verwirrend für mich! Ich kann nicht mehr richtig denken. Warum ist das nur alles so, warum kann ich nicht leben, wie ich es gerne möchte?“Eine Frage, die ich ihr nicht beantworten konnte. Das Leben war nicht gerecht, im Gegenteil. Es verarschte einen immer wieder. Das kannte ich aus eigener Erfahrung.Auf einmal hörten wir Lärm vor der Tür. Klara löste sich augenblicklich von mir und stürmte zur Tür. Ich hingegen rannte zum Spiegel und war wenige Sekunden später darin verschwunden. Gerade noch rechtzeitig genug, denn auf einmal kam Klaras Vater hereingestürmt und sah sich um. Klara stelle sich ihm in den Weg, doch er schob sei beiseite und sah in jede Ecke, hinter die Vorhänge und unter das Bett.„Vater, was ist mit euch?“, kam von Klara, obwohl sie als auch ich ahnten, was los war.„Mir wurde gesagt, dass aus deinem Zimmer männliche Stimmen kommen. Da wollte ich nachsehen, was hier vor sich geht. Du bist verlobt, junge Frau, also benimm dich dementsprechend. Wenn dein Bräutigam erfährt, dass du Herrenbesuch hast, können wir die Hochzeit abblasen. Glaube nicht, dass dich das jetzt retten wird. Wir werden dafür sorgen, dass hier niemand außer uns hereinkommt!“„Aber Vater, was glaubt ihr, was ich hier mache? Ich habe keinen Herrenbesuch, woher soll der kommen?“Während sie das sagte, sah sie grinsend zu mir und machte ein belustigtes Gesicht. „Wenn hier ein Mann wäre, hätte ich geschrien. Er wäre schließlich nicht zu Recht hier. Ich weiß was sich als Braut gehört. Was denkt ihr von mir!“Klaras Vater beruhigte sich nur langsam. Er kontrollierte mehrmals jedes mögliche Versteck, fand aber nichts, was ihm einen Anlass gab, an Klaras Aussage Zweifel zu haben. Trotzdem schien es ihm nicht zu schmecken. Er wusste mit der Eingebung eines Vaters, dass etwas faul war. Aber was sollte er machen. Es blieb ihm nichts anders übrig, als den Rückzug anzutreten.Noch einmal sah er sich griesgrämig um, verließ danach kopfschüttelnd den Raum. Klara schüttelte sich vor Lachen, unterdrückte jedoch, laut zu sein. Sie sah zu mir herüber und konnte sich kaum einbekommen. Zum Schluss kam sie zu mir herüber und meinte leise: „Wir werden in Zukunft leiser sein müssen. Auch ist es besser, wenn ich abschließe. Wenn mein Vater böse ist, kann er schnell gewalttätig werden!“Ich nickte ihr zu und Klara grinste mich an. „Wisst ihr was ich zu gerne erlebe möchte?“Ich schüttelte meine Kopf und wusste nicht, was sie wollte.„Ich möchte gerne, dass ihr mir eine eurer Geschichten vortragt, wenn ihr hier im Raum seid. Es muss anders sein, wenn ich euch dabei sehen kann. Bis jetzt habe ich nur eure Stimme gehört. Am besten wäre es, tief in der Nacht, dann schleichen keine Leute, mit großen Ohren, durch das Haus!“Ich nickte und sie lächelte mich an. „Heute Nacht?“, kam es sofort von ihr nach und ich nickte ein weiteres Mal, sagte es ihr auch. Bis dahin wollte ich noch ein wenig schlafen und mir eine entsprechende Geschichte aussuchen. Die würde ich mehrmals lesen, um sie mir einzuprägen. Den Reader konnte ich nicht mitnehmen. Daraufhin stellte ich mir den Wecker auf zwei Uhr nachts. Eine Zeit, die zu grausam für jeden war, der lieber schlief. Leider konnte ich ebenfalls nicht ruhen. Über vieles dachte ich nach, konnte keinen Schlaf finden. Als es um zwei Uhr klingelte, hatte ich den Eindruck, als wenn ich kein Auge zugetan hätte.Also illegal bahis stand ich auf und zog mir das Nötigste an. Kaum war das vollbracht, konnte man das bekannte Knirschen hören. Barfuß, wie ich war, tappte ich in der spärlichen Beleuchtung der kleinen Öllampe zuerst zum Schminktisch, schnappte mir den Stuhl davor und stellte ihn neben Klaras Bett. Dann setzte ich mich hin und sah sie mir an. Sie schlief fest und ich hätte sie am liebsten nicht geweckt. Es erschien mir als falsch, sie den Armen des Morpheus zu entreißen, doch sie hatte es gewollt. Leise flüsterte ich ihr ihren Namen in ein Ohr und sie schreckte augenblicklich hoch. Dieser Schrecken blieb nur für Bruchteile einer Sekunde erhalten, bis Klara mich erkannte. „Wartete einen Moment!“, sagte sie, schwang ihre Beine aus dem Bett und ging an mir vorbei zur Tür. Sie öffnete sie leise, sah einmal in die Dunkelheit dahinter und schloss sie. Bevor sie zu mir kam, drehte sie jedoch noch den Schlüssel um. Das leise Einrasten des Schließmechanismus war gut zu hören. Kaum hatte sie dies gemacht, kam sie zurück und legte sich in ihr Bett. Dann sah sie mich erwartungsvoll an.„Ihr habt kein Buch mit? Wollt ihr mir denn nichts erzählen?“„Ich brauche kein Buch. Ich habe alles im Kopf und werde es dir so erzählen!“Zur Bestätigung tippte ich mir an den Kopf, um ihr zu zeigen, dass die Geschichte dort drin war. Der Stuhl war nicht sonderlich bequem, aber ich fand eine Position, in der es ging und begann mit der Erzählung. Klara sah mich mit großen Augen an, beobachtete jede Bewegung meiner Lippen. Aber nicht nur das, sie sah mich auch mehrmals von oben bis unten an. Erst Minuten später lehnte sie sich entspannter gegen ihre Rückenkissen und schloss die Augen. Die Geschichte war nicht lang, aber ich erfand neue Passagen dazu, je nachdem was mir gerade einfiel. Dabei kam mir in den Sinn, worauf Klara am stärksten reagierte. Das konnte ich jetzt ausnutzen. Es regte sie schnell an und auf. Ihre Atemfrequenz stieg und man konnte ihr ansehen, dass sie gespannt auf die weitere Erzählung wartete. Sie verfolgte die Bilder, die ich in ihr erzeugte mit, spulte sie hinter ihren Augenliedern wie einen Film ab.Erste Bewegungen unter der Decke zeigten mir, wie es um sie stand, meine Worte erregten sie mehr und mehr. An einer besonders mitreißenden Stelle stöhnte sie leise auf und öffnete auf einmal ihre Augen, sah mir zu, wie ich die Geschichte erzählte. Dabei hörte sie nicht auf, sich zu streicheln. Stattdessen beschleunigte sie ihr tun noch. Plötzlich flüsterte sie gehaucht: „Könnt ihr euch noch einmal so zeigen, wie ihr es schon im Spiegel gemacht habt? Ich würde es zu gerne sehen!“Stark klopfte mir das Herz in der Brust. Ich stand auf, obwohl ich eine gewaltige Beule in der Hose hatte. Ich empfand es dennoch nicht als peinlich. Im Gegenteil. Es kam mir vertraut vor. Keine Routine, aber nicht neu. Immerhin hatte Klara mich so schon gesehen, wenn auch nur durch das Glas.Also stand ich auf und griff mir an das Gummi der Hose. Um es für sie reizvoller zu machen, zog ich die Hose langsam herunter, erzählte dabei weiter. Ob sie noch zuhörte, kann ich nicht sagen, sie starrte gespannt auf das, was sich tiefer abspielte. Irgendwann sprang mein Steifer heraus und Klara ließ einen schwachen Schrei hören, der klang, als wenn sie sich erschrocken hätte. Sie schaute aber sofort interessiert hin und fixierte meinen Dicken mit ihren Augen. Schneller rieb sie unter der Decke und verfolgte, was ich tat. Ich drehte mich langsam um die eigene Achse, bot ihren Augen jede denkbare Ansicht auf meine Männlichkeit. Sie verschlang den Anblick mit ihrem Blick, keine Sekunden wich sie davon ab. Nur noch leise, aber mit eindringlicher Stimme erzählte ich weiter, war jedoch von der eigentlichen Geschichte abgewichen. Stattdessen berichtete ich über eine Frau und einem Mann, die gerade dasselbe taten, was wir gerade machten. Dabei versuchte ich, im Voraus zu berichten. Zuerst sagte ich also, was ich tun würde. So war Klara darauf vorbereitet, was folgte. Das erkannte sie schnell, denn auf einmal sah sie mir kurz in die Augen, lächelte und fixierte sofort wieder meine Körpermitte. Ich kommentierte, wie sich der Mann an den Schwanz griff, ihn rieb und die Vorhaut weit nach hinten zog. Unten machte ich es genauso. Eine Art des Erzählens, welche mir selber viel Spaß machte und meine Erregung steigen ließ. Meine Augen pendelten zwischen Stamm und Klara hin und her, versuchten beide gleichzeitig zu erfassen, was leider nicht funktionierte. Klara rieb sich selber stärker. Man konnte sehen, als sie ihre Beine anzog und auseinanderlegte. Jetzt war die Fahrt frei für ihre Finger. Beide Hände griffen nach unten und sie stöhne auf. Wahrscheinlich hatte sie gefunden, was sie gesucht hatte. „Kommt näher heran!“, flüsterte sie und ich trat soweit vor, dass meine Knie gegen den Bettrahmen stießen. Jetzt war ich keinen halben Meter mehr von ihr entfernt. „Wenn ich ihn sehe wie jetzt, kommt er mir noch größer vor als zuvor. Dabei kann ich mir nicht vorstellen, dass man das damit machen kann, was ihr berichtet habt. Er erscheint mir zu groß dafür!“, kam flüsternd von Klara. Dabei leckte sie sich über die trocken gewordenen Lippen, befeuchtete sie, bis sie im wenigen Licht so glänzten, wie meine Eichel. Ihre Haut war straff gespannt und sah glatt aus. „Ich würde es zu gerne sehen!“, flüsterte Klara ein weiteres Mal und ich sah ihr tief in die Augen.„Was würdest du gerne sehen?“„Ich würde gerne sehen, wenn der Mann mit einer Frau zusammen ist und seinen Ding in sie steckt. So wie ihr es gesc***dert habt!“Mein Schwanz zuckte auf und er erste Lusttropfen bildete sich. Er verharrte einen kurzen Augenblick vor dem Löchlein, rann dann zäh die Eichel herunter, blieb noch einen Moment illegal bahis siteleri dort kleben und fiel zu Boden. Klara sah es sich mit großem Interesse an. Ihre Augen verfolgte jedes noch so kleine Detail, während sie sich immer intensiver rieb. Die Decke war weiter heruntergerutscht und verhüllte nur noch notdürftig ihre Brüste, die zusätzlich im Nachthemd steckten. Trotzdem animierte es mich gewaltig. Die Vorstellung trieb mich weiter hinauf.„Das kann ich dir aber nicht zeigen!“, presste ich als Antwort durch meine Zähne hindurch und war fast soweit. Es bedurfte nur noch weniger Handschläge. Klara ging es nicht anders. Alleine die Vorstellung hatte sie mächtig hochgetrieben. Sie stöhnte erneut, starrte nur noch auf meinen Dicken, der sich bereit machte, sich zu entladen. „Wird es gleich kommen?“, fragte Klara und ich nickte. „Dann macht, ich will es sehen und spüren!“Auf einmal riss sie sich die Decke vom Oberkörper und zog das Nachtkleid herunter. Frei lagen ihre Brüste und ich starrte auf sie. Steif waren die Nippel, standen weit hervor und zeigten Klaras Zustand an. Sie stöhnte auf und ich konnte erkennen, wie sie verbissen unter der Decke rieb. Sofort ließ ich meinen Händen freien Lauf. Ich unterdrückte meinen Schrei so gut es ging, als es aus mir herausbrach. Mein Schwanz zucke erneut und die kleine Öffnung an der Spitze weitete sich. Klara starrte direkt dahin, bohrte ihren Blick hinein, als es aus mir herausschoss und auf sie zuflog. Die erste Ladung klatschte direkt auf ihre Brust, traf einen Nippel und überzog diesen mit meinem Saft. Das war für Klara der Moment, als sie selber kam. Sie drehte ihren Kopf weg, biss in eines der Kissen und dadurch gedämpft, kam ihr Lustschrei hervor. Mehr von mir klatscht auf sie, verteilte sich auf ihrem Brustkorb, überschwemmte beide Brüste und das Tal dazwischen. Zum Schluss beugte ich mich weit über Klara, dass auch noch der hervorsickernde Rest auf sie tropfte. Meine Beine zitterten gewaltig und ich konnte nur noch schwer stehen. Trotzdem hielt ich es noch einen Moment aus, während Klara unter mir, ihren Kampf austrug.Dann kam sie halbwegs zur Besinnung. Sie sah zu mir hoch und lächelte krampfhaft. Richtig wollte es ihr noch nicht gelingen. „Das war wunderbar!“, flüsterte sie mit belegter Stimme. „Das werden wir wiederholen müssen!“Ich nickte und setzte mich endlich wieder auf den Stuhl. Jetzt atmete ich tief durch, während ich nach etwas suchte. In der Nähe des Spiegels stand ein Waschtisch mit einer großen Schale Wasser darauf. Ich ging hin, nahm die Schale sowie den daneben liegenden Schwamm und kam zurück. Nur ganz vorsichtig begann ich, Klara damit zu reinigen. Dabei vermied ich es tunlichst, sie mit meinen Fingern zu berühren, aber das gelang mir nicht immer. Mehrfach konnte ich die heiße Haut fühlen.Klara zuckte zusammen, als ich mich intensiver um ihre Brüste kümmerte. Die hatte ich bis zum Schluss ausgelassen. Sie waren noch stark reizbar und das sah man Klara an. Sie fuhr zusammen, wenn ich mit dem Schwamm über die Nippel rieb. Doch nicht nur das war dafür verantwortlich, sondern auch das Wasser, welches kalt war. Es reizte zusätzlich und wenige Sekunden später standen ihre Nippel hart hervor.„Meint ihr, dass das jetzt gut ist. Ihr erregt mich erneut!“Natürlich wusste ich das und vielleicht war das unbewusst mein Ziel gewesen. Immerhin bot sich mir hier eine günstige Gelegenheit. Die Chance Klara erneut in Verzückung zu treiben, war nicht von der Hand zu weisen. „Und das würde dir nicht gefallen?“, kam es von mir und ich lächelte sie hintergründig an. Sie sah mir tief in die Augen und ich konnte gut erkennen, dass mir keine Ablehnung entgegenkommen würde. Ihr Gesichtsausdruck hatte eine klare Aussage.Ich musste genau hinhören, um ihre gehauchte Antwort zu versehen.„Doch, es würde mir gefallen, sehr sogar!“ Kaum hatte sie den Satz ausgesprochen, leckte sie sich über ihre Lippen, um sie zu befeuchten. Sie glänzten mir im halbdunkel des Raumes entgegen und forderten mich dazu auf, etwas zu tun.Dem konnte ich nicht widerstehen. Ich beugte mich langsam weiter herunter, sah Klara zuerst noch in die Augen, bis es nicht mehr möglich war. Erst dann konzentrierte ich mich auf mein gewähltes Ziel. Dunkelrot, fast braun zeigte es mir den Weg. Nur noch wenige Zentimeter war ich entfernt. Ganz leicht öffnete ich meine Lippen und ließ einen Hauch von Luft über die sich mir entgegenstreckende Brustwarze wehen, streichelte sie mit diesem künstlichen Wind. Es traf sie warm und sie wollte mehr. Während ich noch den restlichen Zwischenraum überwand, kam mir ihr Oberkörper entgegen. Meine weichen Lippen berührten sie und Klaras Körper erbebte. Ein starker Schauer durchlief ihren Leib, der sich noch verstärkte, als ich dem hart gewordenen Knubbel den ersten Kuss gab, den er jemals empfangen hatte. Es reichte aus, dass Klara aufstöhne. Sie zitterte leicht, wich aber keinen Zentimeter aus. So konnte ich meine Lippen erneut aufsetzen, sie öffnen und den harten, langen Nippel dazwischen schieben. Er spaltet meine Lippen, drängte sich dazwischen und empfing meine Wärme und die Reibung, die ich ihm gab. Weich wurde der Nippel umschlossen, weiter hineingesaugt und von der Zungenspitze empfangen, die kurz darüber wischte.Klara gab einen leisen Schrei von sich, der in ihrem Unterarm endete, auf den sie biss. Nur einen kleinen Augenblick ließ ich Klara Ruhe, ohne weiter zu machen. Sie sollte jede Veränderung mitbekommen, sich darauf einstellen können. Klara entspannte, ließ ihren Oberkörper zurücksinken und saß bequemer als zuvor da. Jetzt konnte ich mich wieder dieser wunderbaren Brust widmen, ihr huldigen. Nur langsam und zart wie möglich begann ich den Nippel zu necken, drückte meine Lippen sachte zusammen und verschob sie canlı bahis siteleri gegensätzlich. Jetzt rollte das steife Stück dazwischen um die eigene Achse.Klaras Atem ging schneller. Wenn ich meinen Kopf mehr zur Seite legte, konnte ich sie sehen, wie sie mich von oben beobachtet und ich kam mir vor, wie ein Baby, das an der Brust seiner Mutter lag. Dieser Anblick spornte mich umso mehr an. Ich wollte Klara so viel geben wie möglich. Ich begann an ihr zu nuckeln, sog die Warze mehrfach ein, leckte über die Spitze oder die Seite entlang. Nichts wollte ich unversucht lassen, sie zu reizen. Schnell wurde mir klar, was ihr am meisten gefiel. Gegen meine Erwartung war sie nicht die Frau für die zarten Dinge, sondern reagierte am stärksten, wenn ich sie grober ran nahm. Ich konnte stärker zudrücken, sie länger ziehen und tiefer in mich saugen, als angenommen. Genau das tat ich und sie japste im Takt meiner Liebkosungen. Doch das war nur die eine Hälfte, es gab noch eine die ich genauso verwöhnen wollte. Also ließ sich von meiner neusten Entdeckung ab und wollte auch die andere erobern. Ich zog meinen Kopf weiter weg und sagte leise aber verständlich: „Gib mir die andere!“Klara verstand sofort, was gemeint war. Sie drehte ihre Oberkörper so herum, dass jetzt die andere Brust vor meinem Kopf baumelte. Doch nicht lange und ich nahm sie in Beschlag. Intensiv kümmerte ich mich um sie, verfuhr ähnlich wie mit der anderen, musste nicht mehr so viel experimentieren. Hier schöpfte ich aus meiner neu gewonnenen Erfahrung. War der Nippel auf dieser Seite nicht so steif gewesen, änderte sich dieser Zustand augenblicklich. Ohne auf Klara zu hören, die sich zu winden und ächzen begann, setzte ich meine Reizungen fort. Ich wollte sie hochtreiben, wahnsinnig machen. Sie sollte nur noch ein Bündel von Gefühlen sein, was sich nach Erlösung sehnte.Hierzu kam mir entgegen, dass Klara eine leicht reizbare Frau war. Sie empfand intensiv und das ließ mich vieles einfacher gestalten. Meine Reizungen reichten dafür aus. Um es sowohl für mich, als auch für sie schöner zu machen, nahm ich jetzt zusätzlich meine Arme zur Hilfe. Ich schob meine Hände zwischen ihren Armen und Taille hindurch und hinter sie. Hier winkelte ich die Arme an und fuhr mit den Händen weiter nach oben.Klara spürte die Hände über ihre nackte Haut reiben und hob sich von den Kissen ab, um es mir leichter zu machen. Jetzt konnte ich ihren Rücken streicheln, während ich sie vorne weiter verwöhnte.Klara war wie Wachs in meinen Händen. Ich konnte sie formen, wie ich wollte. Sie hatte inzwischen ihr Augen geschossen und genoss, was ich ihr gab. Zuerst noch passiv, dann legte sie ihre eine Hand von selbst auf gegen meinen Hinterkopf und führte ihn. Mal zog sie mich näher heran, forderte mich auf, meinen Mund weiter zu öffnen, damit sie mehr von ihrem zarten Fleisch hineindrücken konnte. Ein anderes Mal drückte sie mich weiter weg, dass nur noch meine Lippen, über ihre Nippel, mit ihr verbunden waren. Mehrfach wechselte ich die Brust, wurde dazu gebracht Klara so viel zu geben, wie sie wollte, es haben musste, um den Gipfel des Berges zu besteigen. Sie wurde schneller, forderte mich auf, härter an ihr zu saugen, die Brustwarzen zu quetschen und zum Schluss zu beißen. Meine Zähne bohrten sich in die harten Kirschen bis Klara aufschrie. Ein Schrei, gezeugt aus Schmerz und Lust zugleich. Ein gewaltiger Schauer raste durch ihren Körper und auf einmal zog sie mich brutal heran. Erneut schrie sie auf und erstickte diesen Schrei in einem jammernden Geräusch, welches sie tief in ihrem Innersten produzierte. An meinen Händen konnte ich spüren, wie Klara versteifte. Sie hielt plötzlich still, verharrte in der Bewegung und wurde starr. Nichts war mehr von ihr zu hören, nur ihr Herz raste wie wild. Es pochte gegen ihr Rippen, was ich an meinem Kopf spüren konnte.Nur langsam ließ sie los. Ich entzog ihr meine Arme und setzt mich aufrecht auf den Stuhl. Noch hielt sie ihre Augen geschlossen und da ich es für besser hielt, deckte ich Klara soweit zu, dass nur noch ihr Kopf herausschaute. Auch wenn ich mir damit selber den wunderschönen Anblick ihrer Brüste entzog. Mir reichte im Augenblick, sie anzusehen. Ein leichtes Lächeln formte sich aus ihren Lippen und sie öffnete ihre Augen. Klara sah glücklich aus und war es in diesem Moment auch. Das konnte sie nicht verbergen, musste es auch nicht. Ich saugte ihr Emotionen in mich auf und war ebenfalls glücklich.Einmal streichelte ich ihr noch über die zerzausten Haare, gab ich ihr noch einen gehauchten Kuss auf die Stirn, wie schon einmal, stand auf und ging langsam zum Spiegel. Kurz davor drehte ich mich um und sah zu ihr zurück. Sie saß dort mit der Decke bis zum Kinn gezogen und sah mir nach. Als ich mit einem Bein zuerst durch das Glas stieg, sah sich sie noch so lange an, bis mein Kopf ebenfalls hindurchschlüpfte. Das Letzte was sie von mir erblickte war ein Arm, der ihr zuwinkte. Auf der anderen Seite angekommen atmete ich tief durch. Es war das geschehen, was ich mir gewünscht hatte, aber nicht gewagt hätte, auszusprechen. Auf der anderen Seite wagte ich nicht, an eine Fortsetzung zu denken. Ich geriet in etwas hinein, was ich nicht gewollt hatte. Wenn ich nicht sofort die Reißleine zog, würde es um mich geschehen sein. Dabei war ich mir nicht sicher, ob ich nicht bereits einen Schritt zu weit gegangen war, als ich das erste Mal durch den Spiegel ging. War sonst die trennende Scheibe zwischen uns gewesen, war noch etwas wie ein Abstand gewahrt gewesen. Ich hatte sie gerochen, in natürlicher Umgebung gesehen, berührt und geschmeckt. Ich durfte nicht weitergehen.Die ganze Nacht blieb ich wach liegen. Kein Auge konnte ich zutun, der Schlaf wollte sich nicht einstellen. Wenn ich einnickte, schreckte ich sofort hoch, wie jemand der auf Wache war und nicht einschlafen durfte. Gedanke um Gedanke kreiste in meinem Kopf und machte mich schwindelig. Immer wieder tauchten dieselben Fragen auf. Was wäre wenn … . Wie immer gab es darauf keine Antwort.

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Herrin Conny führt mich ihren Freundinnen ausVor etwa fünfzehn Jahren lernte ich Herrin Conny kennen. Ich wußte das sie eine harte Zeit durchlebt hatte aber das spielte für uns keine Rolle auch wenn Sie dadurch geprägt war, wir verstanden uns.Irgendwann meinte sie das wir einmal ihre früheren Freundinnen besuchen sollte, eine davon wohnte immer noch im Frauenhaus, die anderen in der Stadt. Ich sollte natürlich “Weiberfummel” anziehen. Darüber nur eine Lederjacke und eine dunkle Stoffhose.Perücke, Schminke und Heels in meiner großen Handtasche.Wir besuchten erst die Freundin im Frauenhaus, dann schickte mich Conny in eine naheliegende Kneipe. Dort wartete ich etwa eine Stunde.Herrin Conny rief mich dann an und bestellte mich zu einer Trinkhalle in der Nähe. Ich machte mich auf den Weg. Unterwegs bekam ich noch die Anweisung meine rosa Handtasche über die Schulter illegal bahis zu tragen und mit dem Arsch zu wackeln wenn ich zur Trinkhalle käme. Es war einerseits peinlich…aber das machte mich gerade so geil. Artig wie eine kleine billige Tunte näherte ich mich den Frauen die vor der Trinkhalle an einem Stehtisch auf mich warteten. Als sie mich sahen mußten Sie natürlich alle lachen.”Das ist meine blöde Schwanznutte Rosi, willige Sklave und Zofe” stellte Herrin Conny mich vor.Eine sehr korpulente Frau im Jogginganzug fragte meine Herrin ob sie mich ins Gesicht rotzen dürfte, ich würde wie ein Arschloch aussehen. Natürlich erlaubte Conny dies, und schon spürte ich den ersten schleimigen Rotzfaden der mir über die Augen rann..Natürlich wollten mich auch die anderen Frauen anspucken und artig hielt ich jeder mein Gesicht hin.Herrin Conny spuckte dann einen illegal bahis siteleri langen Faden Rotze auf den Boden vor Ihren Füßen.”Bück dich du dämliche Hurensau und leck schön auf “Ich tat wie geheißen, es war so geil.So meinte Conny, ich hab meinen Freundinnen gesagt, was für eine schwule Sau du bist….los Jacke auf und mach hinne.Ich öffnete meine Lederjacke…darunter trug ich transparentes schwarzes Top mit spitzen und einen BH.Die Frauen kreischten als sie mich sahen, machten sich über mich lustig und nannten mich einen kleinen Stricher.Einer anderen die im kurzen Stretchmini auch eher nuttig aussah, warf meine Herrin einen Blick zu. Sie nahm dann sofort ihreSchale mit pommes Mayo und schmierte alles auf meine Hose, genau im Schritt.oops tut mir jetzt leid…ich mach das sauber, dabei wischte sie mit einem dreckigen Lappen über meinen canlı bahis siteleri Hosenstall und schmierte noch mehr rumHeh…die Sau wird geil…kriegt nen steifen Pimmel der schwule Hengst…..sofort bekam ich eine Ohrfeige und wurde wieder angerotzt.Ach komm setzt dich mal, meinte die in der Jogginghose…ich setzte mich auf dem Barhocker…mitten in eine Schale mit Resten von Curry wurst.Die Hose ist eh versaut, los ausziehen du Penner. Ich ließ meine Hose die völlig Ruiniert war fallen, und stand da in einem roten Stretchmini mit Schlitz, schwarzen Nahtnylons, Strapsen und Spitzenstring.Komm du arschgefickte Sau, wir schminken Dich, mit meinem Makeup schminkten mich die Weiber willig und grell.Dann mußte ich die Perücke und die Heels anziehn und mich auf der Strasse zeigen. Im supermarkt einkaufen…dann fuhren wir auf einenParkplatz an der Autobahn, ich mußte Schwänze lutschen und meine Arschrosette den Freiern hinhalten. Die Kerle griffen mich ab, liesen Ihre Pimmel lutschen und ficktern mich Arsch und Maulfotze.Wir hatten alle unseren Spaß und deshalb haben wir noch mehr solcher treffen gemacht

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