Mon histoire – Partie 19 – Caro 2

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Mon histoire – Partie 19 – Caro 2Les jours ont passé.Caro nous semble de plus en plus perturbée.Je n’ai pas encore eu de nouvelles de Pierre alors que nous devons nous revoir Samedi.Il vient, enfin me voir – Bon, Bruno, je ne vais pas y aller par quatre chemins. Les nouvelles ne sont pas bonnes. Tu devrais faire venir Hélène samedi, cela la concerne aussi.- C’est aussi mauvais que ça ?- Disons que ce n’est pas très joli mais il n’y a pas mort d’homme non plus? Ne t’en fais pas trop.Je téléphone à Hélène et lui explique , sans rentrer dans les détails, que Caro a des ennuis et que je voudrai lui en parler .Elle tente de me tirer les vers du nez mais je reste ferme lui disant que Samedi, en présence de Véro et Pierre elle saura tout .Elle refuse tout net la présence de sa soeur.Je lui passe alors Pierre qui lui explique clairement qu’elle doit absolument venir et , qu’après tout, Véro est aussi chez elle.Elle a toujours eu confiance en mon ami, elle finit par accepter.Samedi soirNous attendons Hélène. Corinne est là . Apparemment, Pierre et elle ne se sont pas quittés de la quinzaine , filant le parfait amour.Elle arrive enfin. L’ambiance est tendue , glaciale. Véro et elle ne se parlent pas et se regardent en chiens de faïence.Je lui explique la situation depuis le début, lui dis mes doutes, mes peurs.Elle se met à rire .. C’est totalement impossible, inconcevable, que son cher ami lui fasse ça, que je fabule, que j’invente ..Pierre prend alors la parole.Il nous explique que ses hommes et lui sont rentrés chez Alain et qu’ils ont caché des caméras dans les principales pièces . Que, bien sur, ce n’est pas légal et que ce qui a été tourner ne pourra jamais servir de preuves mais que le contenu est assez édifiant.En regardant Hélène, il rajoute qu’il n’a pas mis certaines scènes .Elle est écarlate, tout le monde a compris.Il continue en nous informant qu’ils ont découvert un autre système de caméras qui sont reliées à un enregistreur caché dans la chambre . Alain doit donc garder un souvenir de tous ses ébats . Dans quel but ?Il place un dvd dans le lecteur et nous prévient que certaines scènes sont assez choquantes.L’écran s’allume. Un time code indique la date et l’heure .Mardi 17 Mars 2015 – 20h 50Le salon. On le voit accueillir un couple . La soixantaine, élégamment vêtus, l’âge a fait subir à la dame quelques outrages . Elle reste néanmoins coquette et a fait des efforts pour être bahis firmaları à son avantage.Alain et elle sont assis , cote à cote, sur le canapé. Le Mari leur fait face sur un fauteuil.Une bouteille de champagne et 3 flûtes sont disposés sur la table basse.Quelques mondanités plus tard, Alain se penche vers elle et l’embrasse.Elle fait l’effarouchée mais cède vite aux avances.Tranquillement, continuant à l’embrasser et à la peloter, il l’effeuille gentiment.Elle se retrouve vite , la robe par dessus tête, en dessous qui se veulent sexy.Ses seins flasques retombent sur son torse comme deux fruits trop murs. Débarrassée de sa culotte, en bas et porte jarretelle, ses fesses molles , cellulitiques à l’excès, balancent indécemment.Une légère couperose, accentuée par l’excitation qui s’empare d’elle, donne à son teint une couleur lie de vin.Échevelée, elle ne résiste pas quand, la prenant par les épaules, Alain la force à s’agenouiller et prendre son sexe en bouche.Le mari, débraguetté, bite à la main gauche, immortalise les exploits de son épouse à l’aide d’un appareil de photo tenu par sa main libre .Visiblement, la douairière raffole su sucre d’orge de son hôte. D’un air vicieux, gourmand, elle s’applique à le faire reluire.Alain la fait se relever, prendre appuis sur le canapé et, placé derrière elle, il la prend sans tarder.S’adressant à son mari, elle se met à avoir un langage grossier :- Tu vois Albert comme il me baise bien ? Elle est bonne sa grosse queue!.il me lime comme une chienne ! Ah oui ! Vas y . Tu vas me faire jouir ! Bourre moi comme une salope ! Son mari, continuant son reportage photo, se branle à tout va.Elle finit par jouir en poussant des cris hystériques.Son amant se retire , la fait s’agenouiller devant lui, et, en quelques mouvements de poignet, ensemence sa figure .Monsieur s’est rapproché pour figer la scène en gros plan et en profite pour juter à son tour sur la face de son épouse qui, gourgandine qu’elle est, se gave de sperme bien chaud.Elle file à la salle de bain se recrépir la façade.Albert sort de sa poche une liasse de billets qu’il remet au travailleur du sexe en récompense d’un labeur bien mérité?- Merci, c’était super, comme d’habitude . On remet ça le mois prochain, il faudra me l’enculer.- Ok ,mais ça sera plus cher.Pierre interrompt la diffusion.Hélène , d’écarlate est passée au blanc.Dans sa tête, d’étranges pensées doivent commencer à trotter.C’est kaçak iddaa reparti.Jeudi 19 Mars – 15 h 30Le salon , toujours. Alain est en compagnie de Jamel.Une femme, seule, entre.La quarantaine, nous la connaissons bien, et pour cause, c’est la meilleure amie de mon ex..Hélène murmure un “la salope” qui ne laisse aucun doute sur son état d’esprit.Christine, puisque c’est son nom, enlève son manteau qu’elle laisse , théâtralement, choir à ses pieds.Elle apparaît nue, totalement.C’est une très belle femme . Nous ne pouvions imaginer un tel physiques sous les vêtements stricts de l’épouse austère, catéchiste et mangeuse d’hosties.Elle prend la cravache posée sur la table et la tête baissée elle la tend à Alain.- Punissez moi mon Maître parce que j’ai pêché. – Combien en mérites tu ?- 20 Maître- En position!La soumise se met par terre, sur les genoux sa tête repose sur la moquette. La croupe est tendue.Alain commence la punition. Elle compte chaque coup porté, à voix haute, ponctué d’un “Merci Maître”Ses fesses sont vite marbrées de rouge.- 20 Merci Maître- Tu peux te relever . Tu es pardonnée. Tu as mérité ta récompense. Tu es la meilleure soumise que je n’ai jamais eu.A ce mots, Hélène ne peut se contenir. Les poings serrés, elle étouffe un grognement .- Viens nous rendre hommage , ordonne Alain.A partir de là c’est la cavalcade, l’éruption volcanique, le tsunami des sens.La belle Christine subit les assauts conjugués des deux mâles.Elle , la fervente catholique, avec des formes à damner un saint, laisse les diables abuser de son corps.Elle les mange, elle les boit, subit les pires outrages.Au final , Jamel et Alain la prennent en double la laissant inerte, semi consciente.Pierre interrompt le visionnage.Il nous explique qu’il n’a pas voulu nous imposer la scène suivante dans sa totalité mais qu’il désire nous monter la fin pour que nous nous rendions compte de quoi Alain est capable.L’écran se rallume.On voit une femme, mure sans être blette, un physique quelconque, un peu grasse, sangloter , recroquevillée sur elle même.Assise dans un fauteuil, une grande dame blonde, habillée de cuir. A ses côtés, deux chiens sont assis , la langue pendante.Véro et moi reconnaissons Maîtresse Z .Elle s’adresse à Alain : – César et Brutus se sont bien amusés. Moi aussi de les regarder faire, mais la soumise que tu m’as cédée aux dernières enchères me fait plus vibrer. Il faudra que tu me la revendes.- kaçak bahis Pas de problème chère amie. Elle fera ce que je lui ordonnerai.Sans le vouloir Véro et moi nous nous tournons vers Hélène qui est livide.Dans nos yeux elle voit que nous savons. Humiliée, honteuse, elle baisse la tête.Pierre reprend : – Pour terminer, voilà ce qui nous a amené ici. J’ai supprimé les passages intimes mais sachez qu’il ne s’est rien passé de bizarre. Juste un homme et une femme faisant l’amour normalement.J’ai juste laissé la fin parce que c’est ça qui m’inquiète.Mercredi 25 Mars 2015 – 15h 16Caroline entre dans l’appartement.Alain l’accueille avec son sourire charmeur.Ils s’embrassent et, sans parler, il commence à la déshabiller.1 heure plus tard d’après le time code, on les retrouve dans la chambrte, nus sous les draps.Caro a le sourire béat de l’amoureuse satisfaite.Alain est penché vers elle.- J’aimerais beaucoup que tu deviennes ma soumise, que tu m’appartiennes, que je te guide vers ce monde.- Tu sais, j’ai peur de souffrir . Tu n’es pas heureux avec ce que l’on fait ?- Si, bien sur, mais je voudrais aller plus loin.. Si tu m’aimes il faut que tu acceptes. J’irai doucement, tu verras. Tu aimeras beaucoup me servir..Et puis tu sais, j’ai besoin de ça. Si tu ne veux pas, tant pis, mais peut être qu’un jour j’aurai envie d’aller voir ailleurs.- Non, s’il te plait, je ne veux pas te perdre, je ferai ce que tu voudras.L’écran s’éteint.Pierre reprend:- Voilà, les choses sont claires pour tout le monde ; Non ? Caro a une liaison et il veut en faire sa soumise et vous avez vu ce qu’il fait de ses esclaves.Il se tourne vers Hélène qui , défaite, le visage ravagé de douleur, pleure .Elle réalise enfin qu’elle n’est qu’un jouet aux mains d’un homme pervers qui n’a aucun sentiment pour elle.. Ses illusions se sont envolées.Je suis aussi remué , comme un père pourrait l’être dans de telles circonstances.Véro, les larmes aux yeux elle aussi, ne peut s’empêcher de prendre sa soeur dans ses bras. Réticente au premier abord, elle se laisse aller et les sanglots redoublent .Hélène se reprend :- Ce n’est pas possible. Les autres je m’en fous mais je ne veux pas qu’il touche à Caro. Je vais lui parler. Ne faites rien pour l’instant, je vous tient au courant.Elle s’en va en silence.Nous restons tous les 4 encore sous le choc de ce que nous venons de voir . Perdus dans nos pensées, le silence s’installe.Une heure plus tard, Hélène est de retour.Un oeil tuméfié, la lèvre supérieure ouverte , encore un peu sanguinolente:- Vous avez carte blanche. Faites ce que vous avez à faire .Et Pierre de répondre :- Je m’en occupe.

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lui etre soumisJe suis allongé nu sur le lit les mains attachées a la tête du lit.. tu peu abuser de moi suivant ton humeur et ta volonté… tu te déshabillais lentement face a moi… puis tu ondules ton corps devant moi a quelques centimètres de moi…. Tu es nue et tu passes tes mains sur ton corps…..tes seins dont tes pointes se dressent fièrement …. Tes mains frôlent ton ventre … puis descendent un peu plus bas sur ton bas ventre…J ai envie d ete toucher mais je ne peux te toucher… l excitation monte en moi….. tu le vois a mon sexe qui durcit sur mon ventre….-“Alors p … je t’excite…. tu bandes!!” -«Oui je bande pour toi mon amour” tu continues de te caresser .. je devine ton sexe humide. Tu te mets debout au dessus de moi … tu te masturbes !!je ne peux quitter du regard tes doigts qui effleurent ton clito et qui parfois te pénètrent- “tu aime ça me voir salop!!”- “ouiii j aime ça « tu t accroupis au dessus d e mon visage et tu me me dis -« lèche moi… j ai envie de ta langue …. fais moi jouirMa langue s active sur ton sexe j effleure ton clitoris et te pénètre de ma langue…hummmm des gémissements sortent de ta gorge… ma langue va illegal bahis et viens entre ton clitoris et l entrée de ton sexe…tu t assois carrément sur mon visage… je mange ta chatte… tu frotte ton sexe sur mon visage.. hummm ………j ai envie de te prendre …. de me libérer ….. de te retourner et de te baiser comme une chienne mais je ne peux pas je suis a toi!!Tu le sais et ça t excite….. tu jouis sur mon visagetu te lèves et tu me laisse comme ça attaché …. excité…… le sexe bandé….. et dressé…Quand tu reviens quelques minutes plus tard tu tiens un verre a cocktail. Tu t assois nue au bout du lit tu bois doucement le mélange d alcool qui se trouve dans ton verre…. Puis tu prends dans ta bouche un des glaçons qui se trouve dedans …. Et tu approche tin visage de ma poitrine et tu frôle mes tetons avec ce morceau de glace…… humm…… ce mélange du froid de la glace et de la chaleur de tes lèvres m’excite…Mes tétons sont tout dur… tu continues de faire tourner le glaçon sur mon torse … au contact de mon corps le glaçon fond… le froid mon donne des frissons… Parfois tu lèches l eau qui coule sur le long de moi .. ta langue me fais du bien.. tu illegal bahis siteleri la remonte vers mes tetons.. tu les titilles t les suces…… puis hum tu en mordille un….je gémis doucement….. Mon sexe est de nouveau raide !!Tu le caresse doucement ave ta main… tes ongles frôlent mes boules !! mon sexe se redresse sous tes caresses… Tu prends le dernier glaçon dans ta bouche et tu absorbe mon gland entre tes lèvres. …. Le froid sur mon gland fait comme une décharge électrique… mais ma queue enfle encore… Puis le froid disparait et il est remplacé par le chaud de ta bouche… Hummmm …. J adore sentit tes lèvres monter et descendre le long de ma queue.. j aime sentir ta langue s enrouler autour de mon gland ou lécher me boules… Je gémis .. je halètes de plaisir… tes doigts pinces par moment mes tetons… Tu libères mon ses e et tout en le masturbant contre un de tes seins tu me dis…-« tu aimes ça… tu aimes être a moi ?? »Je ne réponds pas pour te défier…alors tes doigts se referment plus violement sur un de me tetons et tu tires dessus… hummm-« oui j aime cela salope » te dis-je.. Tu viens a genoux au dessus de moi sexe et tu t empale canlı bahis siteleri d un coup… tu es mouillée… mon sexe rentre en toi comme aspirétu me chevauches….”dis moi que tu es a moi””hummm oui je suis a toi princesse”Tu montes et descends sur mon sexe… tu te cambres.. tes fesses claquent sur mes cuisses ….Nos gémissements remplissent la pièces…. tu te penche en avant ‘-« Lèche les tetons !!!! »Ma langue effleure tes tetons et je les lèche et les aspire.. je voudrais poser mes mains sur ta taille et te faire aller et descendre plus vite… plus fort … mais je suis toujours attaché et s’est toi qui décides de la vitesse de tes va et viens sur ma bite”huùmmmm tu vas jouir salop.. “”oui ….” ohhhhhhhhhh c’est bonnnnnnnn !!! Tu te soulèves et retire mon sexe de toi …. Tu le prends en bouche t tu me suce de nouveau.. je me crispe pour ne pas jouir de suite et profiter de tes caresses…… mais je sens mon plaisir venir….. !!!Je jouis……….. mon sperme s’abbat sur ton visage et sur tes seins…..Tu viens sur mon sexe encire raide et tu t empales de nouveau dessus et tu fais bouger ton bassin d avant en arrière sur ma queue… tes doigts se crispent sur mes épaules, je sens tes ongles rentrer en moi !!! tes yeux se brouillent et je sens ton sexe couler sur le mien tu jouis a ton tour et tu te laisses tomber sur moi ta poitrine s’écrase sur la mienne et ta bouche cherche la mienne !!

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LE JOUR OU J’AI DÉCIDÉ D&rsquo

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LE JOUR OU J’AI DÉCIDÉ D&rsquoJe viens d’entrer dans la quarantaine. Je suis en couple depuis 20 ans avec le même homme. Nous avons trois adolescents à la maison.J’aime lire les magasines féminins et depuis peu je m’amuse à lire des articles sur la sexualité et sur les relations de couple.Un jour je découvre un article sur un couple marié qui a décidé d’un commun accord de devenir un couple gynarchique. Je n’avais aucune idée de ce que pouvait être un couple gynarchique. Je n’avais jamais entendu ce mot auparavant. En lisant cet article, j’ai commencé à comprendre peu à peu de quoi il s’agissait : la domination de la femme sur l’homme dans le couple. Ce sujet m’intriguait.Je dois préciser que pour moi, en général, les femmes sont plus fortes émotionnellement que les hommes. Je pense qu’elles sont plus aptes à affronter les difficultés de la vie et à se canlı bahis relever en cas de difficultés.Derrière chaque homme de pouvoir, il y a une femme.Je ne me lancerais pas dans un plaidoyer féministe car j’aime les hommes. J’apprécie leur compagnie et discuter avec eux. J’aime leur différence.Je n’ai jamais connu de situation pendant laquelle je me serais sentie inférieure à un homme. Je n’ai aucune revanche à prendre sur les hommes.Je décidais donc de faire quelques recherches sur le sujet sur internet. Je tombais très rapidement sur un site Dominamag.com, avec des témoignages d’hommes soumis racontant leurs expériences ou fantasmes J’avais quelques doutes quand à la véracité de certains témoignages.Je découvrais tout un monde totalement inconnu pour moi les pratiques Sado masochistes. J’avoue ne pas avoir ressenti beaucoup d’excitation et d’attirance bahis siteleri à la lecture de ces différents témoignages.J’ai découvert avec amusement l’existence de la cage de chasteté, du gode ceinture, du plug anal et autres accessoires S M…Le côté cuir et les pratiques sado maso ne m’attiraient vraiment pas. Par contre l’idée de prendre le contrôle de mon homme pendant nos ébats amoureux, de l’utiliser comme un sextoy humain ne me déplaisait pas.Je suis le genre de personne qui aime tout contrôler dans sa vie. J’ai un très fort caractère et je suis une cérébrale.Sachant que mon compagnon est d’un naturel très curieux et très joueur, je décidais de lui soumettre l’idée.En résumé, je lui demandais de me laisser le contrôle absolu sur notre future soirée.Très amusé, il ne se fit pas prier et accepta.Que dire de cette soirée!Cette soirée s’est révélée bahis şirketleri très coquine, hot et très agréable pour moi et je crois aussi pour lui!J’avais concocté un programme des plus agréables pour moi : verre de vin, musique, bougies parfumées, beaucoup de massages… et un peu plus car beaucoup d’affinités beaucoup…J’ai décidé de tout.J’étais devenue sa Reine et lui mon esclave sexuel, mon “Geisha” !!! Je ne sais pas s’il existe un terme masculin équivalent!Enfin, en y réfléchissant bien, je crois que l’on peut dire que j’ai utilisé mon mari comme un sex toy, un sex toy humain!!!Je dois avouer que j’ai pris beaucoup de plaisir et mon mari aussi, de son propre aveu lors d’un rapide “debriefing”.Après cette première soirée, je dois confesser que j’ai beaucoup utilisé mon “Sex Toy Humain” pour notre plus grand plaisir à tous les deux.Je ne sais pas si nous sommes en train de basculer vers une relation Gynarchique sans le côté Sado Masochiste, enfin pour l’instant car ne jamais dire jamais !!! mais tout ce que je sais c’est que cette expérience a reboosté ma libido.

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Un après-midi à la campagne

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Un après-midi à la campagneIl y avait si longtemps que je rêvais d’un après-midi à la campagne. Le hasard me permit de réaliser ce rêve; au-delà de toutes mes espérances. Jennifer, une amie d’enfance que je n’avais plus revue depuis des années mais qui m’avait retrouvée par hasard dans l’annuaire des téléphones, m’avait gentiment invité à fêter nos retrouvailles en allant la rejoindre pour un pique-nique dans la grande maison qu’elle me disait avoir achetée un peu à l’écart de la ville. J’étais folle de joie à l’idée de retrouver et, à travers elle, de pouvoir savourer à nouveau le goût de mon adolescence… Le voyage fut cependant long et assez pénible. En effet, je mis plus d’une heure pour trouver l’endroit exact. Mais, une fois sur place, je fus surprise de l’isolement des lieux; l’endroit était presque aussi désert qu’en pleine forêt!! Elle habitait un vaste chalet de bois au centre d’une large clairière. D’allure très austère à l’extérieur, la propriété ne manquait cependant pas de charme lorsque, une fois à l’intérieur, on pouvait apprécier le calme et la tranquillité qui y régnaient. Je n’eus même pas à avertir Jennifer de mon arrivée car elle m’attendait déjà, visiblement très impatiente de pouvoir m’accueillir. J’étais à peine sortie de ma voiture qu’elle me sauta au cou en m’embrassant joyeusement sur la joue… Je dus rire car, dans l’enthousiasme de son empressement, elle un peu sa cible et le coin de ses lèvres vint se poser sur les miennes… C’était marrant! Je ne l’avais plus vue depuis fort longtemps et je dois bien avouer que je fus plutôt stupéfaite de constater qu’il ne restait rien de la frêle adolescente boutonneuse et négligée que j’avais quittée quelques années auparavant… Aujourd’hui, mon amie Jennifer était devenue une splendide jeune femme aux cheveux blonds cendrés, longs et bouclés, aux formes épanouies… et aux pratiques plus délurées, vous le lirez ci-dessous! Je dus sourire lorsqu’elle m’expliqua qu’elle s’était vite acclimatée à la vie à la campagne dont elle avait adoptée le rythme et le style. Elle aimait se balader en forêt, monter à cheval, les ambiances; raison pour laquelle elle portait souvent des bottes en daim (dont elle m’obligea d’ailleurs à essayer la paire blanche que je porte sur les photos!) La seule concession qu’elle n’avait pu se résoudre à faire à la vie campagnarde fut celle de sacrifier ses splendides longs ongles nacrés qu’elle a toujours portés et entretenus soigneusement (qui, comme vous pouvez le voir, tranchent d’ailleurs avec les miens, rouges vifs.) Elle m’avoua avoir connu quelques cuisantes désillusions avec les hommes et s’être d’ailleurs résolue à ne plus chercher le grand amour de ce côté-là… Moi-aussi, j’ai souvent été abusée par des salauds, lui dis-je pour la consoler.Tu sais, me dit-elle en me prenant le bras, il y a des jours où j’ai plus envie de faire l’amour avec une femme qu’avec un homme… Cette révélation m’impressionna! D’autant plus que, de mon côté, je commençais à m’exciter tout doucement… Car, à force de nous remémorer les meilleurs souvenirs de nos aventures respectives, nous en étions arrivées à évoquer aussi les hommes qui avaient marqués nos vies… Et, parler des hommes, c’était aussi détailler nos expérience sexuelles… Nous étant installées en plein soleil, nous avions également commis l’imprudence d’y déboucher une bouteille de délicieux vin rosé californien bien frais que nous nous sommes mises à boire avec délectation… Nous entamions la deuxième bouteille lorsque je sentis des bouffées de chaleur qui me remontaient de partout… Janet, tu ne trouves pas qu’il fait étouffant? me demanda ma copine visiblement très accablée par la chaleur.Oui, Jennifer, mais je pense que c’est aussi l’action du vin qui nous fait cet effet-là; lui répondis-je.Tu sais, ici, tu peux te dénuder à l’aise, il n’y a personne pour te déranger ou te mater… Ponctuant sa phrase par un large sourire, elle s’empressa de déboutonner le haut de sa robe et de faire jaillir ses seins à l’air… J’adore prendre des bains de soleil complètement nue, et puis, c’est très excitant güvenilir canlı bahis siteleri de se balader sans vêtements… Tu ne trouves pas?! Fais-moi plaisir, déshabille-toi aussi; tu seras plus à l’aise… ajouta-t-elle.Je n’hésitai pas la moindre seconde, considérant qu’à la plage aussi, j’étais la première à me faire dorer au soleil sans soutien et avec le slip le plus minuscule possible… dès lors, quel gêne pouvait-il y avoir à m’exhiber ici en toute sécurité?! J’avais donc gardé ma petite culotte de soie blanche lorsque Jennifer s’approcha de moi en disant: Janet, je t’en prie, j’aimerais que tu sois complètement nue, j’ai très envie de faire l’amour avec toi!!Je n’étais pas sûre d’avoir bien entendu ce qu’elle venait de me dire mais j’en eus l’immédiate confirmation lorsque je constatai qu’elle s’était déjà entièrement dévêtue et plaquait maintenant sa bouche sur la mienne pour m’embrasser profondément… Ce baiser langoureux me fit naître de drôles de sensations… bien plus intenses que celles de son chaste bisou sur mes lèvres de tout à l’heure… Je sentais sa langue agile qui s’enroulait autour de la mienne, à travers sa salive, je retrouvais le parfum du vin que nous avions absorbé en abondance… Ses mains vagabondaient partout sur mon corps; j’étais électrisée! Hum, tu es délicieuse, Janet chérie; je t’adore! me dit-elle pleine de passion.Je ne savais plus trop quoi faire ou répondre… M’étant doucement dégagée, je décidai de me laisser prendre au jeu… Je m’approchai d’elle et commençai alors à lui caresser les seins… Ah, fit-elle, je vois bien que tu es aussi une belle gouine, allonge-toi que je prenne possession de ton entrejambe!Je n’ai jamais été exclusive; ni dans mon comportement, ni dans mes relations sexuelles… S’il est clair que je préfère les hommes, je ne refuse cependant jamais une partenaire féminine; surtout si celle-ci est douce et attentionnée… et si je pressens qu’elle m’apportera beaucoup de sensualité et de plaisir. Ce fut le cas avec Jennifer qui m’inspira confiance et dans les bras de qui j’eus tout de suite l’envie de me laisser aller… Pour cette excitante expérience homosexuelle féminine, j’avais donc décidé de m’abandonner totalement à ses caresses et son savoir-faire!! Fais ce que tu veux de moi, Jennifer, je suis toute entière à toi!! dis-je lascivement à ma tendre amie…Super, ma chérie, il y avait si longtemps que j’avais envie de toi, Janet, tu ne vas pas le regretter! Tout naturellement, je m’étendis donc sur le dos. Jennifer commença par m’enjamber et vint se positionner entre mes cuisses… Nue elle aussi, je sentais la douceur et, déjà, l’humidité de son sexe sur le mien… Elle m’avait demandé de garder mes bottes car elle aimait conserver les siennes et s’en était justifiée en expliquant: J’adore faire l’amour à la cow-boy; c’est sauvage et très intense, tu sais ma chérie!!Nos jambes imbriquées comme la fourche de deux compas l’un dans l’autre, nous nous caressions mutuellement les seins et nous embrassions à pleine bouche; elle était vraiment délicieuse! En imprimant à ses hanches un lent et persistant rythme d’avant en arrière, caressant mon sexe avec le sien, elle provoqua rapidement de douces et délicieuses brûlures de plaisir sur ma chatte! Ce petit jeu de préliminaires dura de longues et passionnantes minutes. Au contact de ses chairs intimes sur les miennes, je me sentis défaillir et lui demandai sans plus attendre de s’occuper de mon minou… Elle s’appliqua donc à poser sa bouche sur ma fente et à en écarter les grandes lèvres pour venir me lécher l’intérieur… L’application qu’elle déploya à me faire minette eut le don de mettre mon bas-ventre en fusion… déjà, mon petit clito était en pleine érection; j’avais envie qu’elle m’emmène le plus vite possible au 7ème ciel! Oh, Jennifer, Jennifer chérie! Mange-moi toute entière! Mange-moi encore, je vais jouir!! lui avouai-je dans un souffle chaud entre deux longs râles de plaisir.Elle ne répondit rien mais continua à enfoncer sa langue de plus en plus profondément entre mes jambes; jouant à titiller du güvenilir illegal bahis siteleri bout de la langue mon joli bouton d’amour! Le résultat ne se fit pas attendre: sans la moindre gêne, je criai ma jouissance et me lâchai complètement en sentant l’intérieur de mes cuisses recevoir l’abondante vague de cyprine qui coulait de mon sexe. Visiblement très satisfaite de pouvoir recueillir mon jus d’amour, Jennifer leva les yeux vers moi et me dit avec ferveur: Mmmmm, tu as déjà joui et tu mouilles comme une vraie salope en chaleur! Laisse-moi te mettre un doigt dans ta petite chatte trempée, tu vas beaucoup aimer!!Je n’eus pas beaucoup à protester car, c’est vrai, j’avais terriblement envie de recevoir autre chose qu’une langue entre mes cuisses! Véritable experte en plaisirs lesbiens, Jennifer enfonça donc sans hésitation son index dans mon vagin et entreprit de me caresser de la manière la plus lascive qui soit… plongeant toujours plus profondément dans mon ventre! Constatant que j’appréciais tout particulièrement de me faire doigter de la sorte, elle s’empressa alors de m’introduire un deuxième puis un troisième doigt dans la vulve! Tu aimes te faire bourrer la chatte, hein ma salope?!Oui, Jenny, mets-moi tout, je t’en supplie!! C’était si excellent que je devenais folle de plaisir et en espérais toujours plus de sa part… À ce massage intérieur, je ne pus résister très longtemps: il me fallait autre chose, plus long, plus gros, plus efficace! Elle se releva précipitamment et s’enfuit vers le chalet. Ne bouge pas, j’arrive! me dit-elle en s’éloignant.S’éloignant, elle se retourna et me lança encore: Je t’apporte de quoi jouir comme une folle; en attendant, tu peux continuer à te branler toute seule; il faut que tu restes bien chaude!!Ça, elle n’avait vraiment pas besoin de me le préciser car je m’étais déjà mis deux doigts dans la chatte qu’elle venait d’abandonner… Jennifer revint moins de cinq minutes plus tard, munie de plusieurs godemichés! Maintenant, je vais vraiment te faire plaisir; me dit-elle avec grande assurance.J’étais toujours étendue sur le dos, jambes largement écartées; une main s’activant en-dessous du Mont de Vénus. Retire tes doigts, me demanda-t-elle sans ménagement, je vais te coller un beau vibro entre les jambes!Et de fait! Elle présenta à l’entrée de mon vagin un splendide gode en plastique d’au moins 30 cm de long. Elle n’eut aucune difficulté à l’introduire, puis à le faire glisser jusque tout au fond de mon canal. Une fois bien en place, elle déclencha le petit moteur à piles qui fit vibrer et tournoyer sur lui-même le bout arrondi de l’engin qui venait cogner dans le fond de mon trou! Tu aimes cela? me demanda-t-elle.Oui, j’adore me faire défoncer comme une putain! dus-je lui avouer, terriblement excitée maintenant par ce gros ustensile vibrant… Soucieuse de m’accorder le plus de plaisir possible, elle tourna la petite molette afin de régler l’engin sur la vitesse maximum. Les sensations procurées par ce gros morceau de plastique qui gigotait dans mon ventre me firent passer d’intenses moments d’un plaisir réel que je ne me privai pas de crier bien fort. Alors que je pensais lui demander de laisser ce truc me branler automatiquement pour me permettre de en même temps, elle vérifia que le gode était bien mis, le repoussa encore un peu (car il avait tendance à sortir sous l’effet des vibrations) et vint tout naturellement s’asseoir sur mon visage; offrant enfin à ma bouche gourmande l’accès à son intimité! C’était vraiment une excitante position! Avec Jennifer assise sur moi, j’étais couchée sur le dos, accompagnant d’une main les mouvements du vibro dans mon ventre, cherchant de mon autre main les parties du corps de Jennifer que je pouvais att****r… Ce petit jeu ne se prolongea pas très longtemps car, cette fois, c’est elle qui arriva au plaisir avant moi: Tu vas me faire jouir, jolie coquine! Attends un peu….voilà; je t’inondes de mes sécrétions…tiens!C’est ce qu’elle me dit juste avant de me décharger une belle coulée de cyprine en pleine figure; je n’eus d’autre recours que güvenilir bahis şirketleri celui de plaquer ma bouche à sa fente et d’aspirer du plus fort que je pus afin de ne pas gaspiller la moindre de goutte de son nectar… Ainsi abreuvée, je ne tardai pas à me laisser aller à ma deuxième jouissance de l’après-midi. Après avoir ainsi pris mon pied, je ressortis de mon vagin le vibro trempé, lui aussi… Jennifer me l’arracha des mains pour le porter à sa bouche en me disant: Je veux vraiment te goûter toute entière!Nous nous sommes ensuite réservées quelques instants de repos pendant lesquels nous avons bavardé, plaisanté sur nos situations respectives, complimenté nos corps; tout en continuant à boire du vin rosé… Loin d’être rassasiées par nos premiers ébats – et toujours d’avantage grisées par la boisson -, nous eûmes très rapidement envie de! Les choses devinrent à nouveau rapidement sérieuses. Jennifer m’obligea à m’abaisser devant elle qui se tenait toujours debout. Elle me dit: Nous sommes deux femmes seules ici, mais je vais maintenant te baiser comme le ferait un vrai mec!Elle prit alors un gigantesque gode-ceinture dont elle se ceint la taille. L’impressionnant mandrin de caoutchouc avait la taille et le diamètre d’un vrai phallus; celui d’un homme jeune et au mieux de sa forme! Suce-moi la queue, salope! m’ordonna-t-elle en me présentant le gros machin à avaler.Je ne me fis pas prier pour exécuter son ordre et m’appliquai du mieux que je pus. Agenouillée devant elle, je pris la tige de latex en mains et la suçai avec ferveur et application; l’avalant au plus profond de ma gorge et la léchant généreusement pour qu’elle soit parfaitement lubrifiée… Au bout d’un moment, elle décida d’arrêter cette splendide fellation et me fit mettre à quatre pattes pour lui présenter mes fesses; d’un geste sûr et adroit, en levrette, elle m’enficha le gode dans la moule: c’était divin! Elle se démenait en moi comme l’aurait fait un amant dans la force de l’âge, allant et venant, changeant de rythme; me limant comme un homme! Elle se courbait sur moi, je pouvais alors sentir ses beaux seins dont elle me caressait le dos… Voyant que j’étais à nouveau aux portes de l’orgasme, Jennifer décida subitement de changer de position et, d’un geste brutal, me fourra l’engin un rien plus haut; dans l’anus! J’eus assez mal au moment où le rouleau de latex força l’entrée de mes sphincters; mais quelles sensations délicieuses lorsqu’elle entreprit de l’enfoncer plus profondément dans mon étroit passage de derrière! Je ne pus réprimer mes cris de joie, hurlant! Tu voudrais être remplie des deux côtés, n’est-ce-pas, me demanda-t-elle en continuant à me ravager l’arrière-train.Oh oui, Jennifer, continue à me bourrer comme cela, c’est vraiment excellent… Elle empoigna alors le vibro qui nous avait servi auparavant et, d’autorité, me l’introduisit par devant! Ainsi branchée, avec le vibro devant et le gode derrière, je sentais Jennifer se démener sur moi comme une vraie tigresse… il y avait bien longtemps que je ne m’étais pas fais prendre en sandwich comme cela! Évidemment, je ne mis pas beaucoup de temps à jouir; cette fois complètement anéantie par les successives vagues de plaisir qui déferlèrent dans mes entrailles… Je décidai de rester passer toute la nuit auprès de mon amie retrouvée. Tour à tour, nous prîmes chacune l’initiative de nos jeux érotiques ou nous laissâmes aller aux mains expertes de l’autre… Je fus ainsi initiée aux joies du fist (après y avoir mis un, puis deux et trois doigts, Jennifer parvint à introduire toute sa main dans mon vagin; assez effrayant au début, mais terriblement excitant par la suite!!) ainsi que j’expérimentai pour la première fois le fameux qui consiste à uriner de manière non dégradante sur le sexe et/ou le visage son (sa) partenaire… Autant de pratiques jusqu’alors inconnues pour moi; mais au combien jouissives depuis lors! Nous nous sommes encore adonnées à bien d’autres jeux aussi originaux que pervers; pendant de longues heures de plaisir ininterrompu! Je retiendrai de cette fantastique expérience que l’amour en pleine nature est manifestement délicieux… même si, en ville aussi, on peut prendre son pied de manière fantastique! J’ai déjà invité Jennifer à venir me rejoindre le week-end prochain dans mon petit appartement pour prolonger nos inoubliables ébats de ce magnifique après-midi à la campagne.

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Sous le soleil exactement…Bonjour,Voici le récit d’une petite aventure vécue il y a quelques mois de cela. Je vous en fais profiter maintenant. EN espérant qu’elle vous plaira et suscitera d’autres aventures de ce genre.”En mai dernier j’étais en vacances dans le nord de la Vendée.D’expérience, je connais une plage naturiste, où des couples coquinent parfois, cachés dans les dunes. Un soir, vers 17h30, j’ai pris mon vélo et je me suis rendu sur cette plage. Mon vélo attaché, j’ai arpenté la plage et la dune, sans rencontrer de personnes “bienveillantes”.Le temps était magnifique, un grand soleil de fin de journée avec une petite brise venant de l’océan. Pensant rebrousser chemin, j’ai vu un joli couple de 45 ans environ, qui marchait, main dans la main et allait s’installer derrière une dune. J’ai continué à me promener sur la plage puis suis revenu sur mes pas. Je me suis posé pas loin du joli couple de façon à pouvoir les observer discrètement, car je les trouvais beaux et souriantsIls étaient nus et posés l’un à côté de l’autre, lisant et profitant du soleil. Je commençais à me dire que j’allais repartir quand j’ai vu la dame commencer à caresser son homme. C’était une jolie brune, bronzée avec une très belle poitrine et des fesses bien rondes. Le monsieur, bronzé lui aussi, crâne rasé était plutôt baraqué. Elle lisait tout en tenant le sexe de son homme dans sa main et le caressait doucement. Son érection augmentait et son sexe se décalottait progressivement en se durcissant.Du coup je suis resté… Au bout d’un moment je me suis rapproché, je m’étais également complètement dénudé. J’ai vu qu’ils m’avaient remarqué et que cela ne semblait guère les gêner que je les regarde. Elle a continué à caresser son homme pendant dix minutes et je commençais à m’ennuyer…Je me suis finalement lancé. Je me suis approché d’eux, je leur ai dit bonjour et j’ai demandé si la dame aimerait un massage…Ils ont paru surpris mais la dame a accepté avec un grand sourire.J’ai commencé à lui masser les pieds, longuement, professionnellement…Elle était sur le dos, du coup je pouvais admirer son dos et ses fesses musclés. Des pieds, je suis remonté aux mollets et aux cuisses. En lui massant les illegal bahis cuisses, je lui écartais doucement les jambes et je voyais apparaître son petit trou, joliment strié. Elle était bien rasée et je devinais son sexe sous le sillon de ses fesses, avec un peu de sable sur la peau. Je suis remonté le long de son dos, ses épaules, son cou, ses bras, ses mains. J’ai gardé ses fesses pour la fin. Elle ne caressait plus son homme, qui matait mais semblait un peu frustré d’avoir été abandonné par sa tendre.J’ai commencé à masser les fesses de la jolie brune, en les lui écartant de temps en temps pour regarder son joli trou du cul. Cela faisait un bout de temps que je bandais… Je passais le tranchant de ma main et mes doigts de temps en temps dans la raie de ses fesses, ce qui n’avait pas l’air de la contrarier, bien au contraire !Je prenais soin de faire prendre le soleil à son petit trou et cela m’excitait beaucoup.Je lui ai proposé de se retourner. Sa belle poitrine bronzée m’est apparue. Couleur caramel avec les aréoles et les tétons plus foncés. Elle a repris le sexe de son homme dans sa main et a recommencé à le branler. Nous étions seul et tranquilles derrières les dunes. J’ai commencé à lui masser doucement la poitrine. Puis le massage s’est transformé en caresses. Je partais de ses aisselles pour remonter doucement vers ses tétons. Je dessinais des cercles concentriques sur sa peau du bout des doigts. Puis, arrivé au centre je prenais chaque téton entre deux doigts et je m’attardais en le massant un peu plus fort. Sa respiration changeait et elle avait du mal à son concentrer sur le sexe de son homme, excité de voir sa femme se faire caresser par un autre.J’ai approché ma bouche d’un sein et j’ai passé ma langue sur sa peau. Puis mes lèvres ont entouré son téton et j’ai commencé à le sucer pendant que mon autre main poursuivait ses caresses. C’était bon de sentir son téton durcir dans ma boucheMa main a glissé sur son ventre, s’est attardée sur son mont de Vénus et est venue se glisser entre ses cuisses. Elle a ouvert ses cuisses pour mieux me laisser y glisser ma main. Elle avait le sexe lisse et doux. Un joli petit sexe, avec de toutes petites lèvres intimes délicatement illegal bahis siteleri découpées et saupoudrées de sable.Je sentais sa chaleur et elle était déjà tellement humide que j’ai pu glisser un doigt en elle. J’ai commencé à à caresser son clitoris en glissant un doigt en elle de temps en temps pour mieux le lubrifier. Mes lèvres ont quitté sa poitrine et se sont rapprochées de son sexe.J’ai commencé à goûter sa peau salée avec ma langue. Je sentais une légère odeur a****le qui me rendait fou d’excitation. Je me suis aidé de mes doigts pour ouvrir son sexe tirer légèrement sa peau sur le haut de son pubis pour tendre son clitoris et j’ai commencé à lécher son petit bouton. Je l’entendais gémir de plaisir et d’excitation. Le doigt qui caressait son sexe a pris la direction de son beau cul, large et ferme.Parti à l’aventure il s’est glissé dans son sillon, l’a parcouru et, encore humide de sa cyprine, il a commencé à se frayer un chemin dans son petit trou. Je l’ai enfoncé entier dans son anus. Je lui faisais faire un va et viens pendant que ma langue s’activait sur son clitoris. Je lui caressais et stimulais l’anus tout en la léchant. Elle avait du mal à se concentrer sur le sexe de son homme.Pendant ce temps, un jeune homme, s’était rapproché et nous matait. J’étais totalement nu et je bandais comme un âne… Elle s’est mise sur le côté pour prendre le sexe de son homme dans sa bouche. J’en ai profité pour écarter ses fesses et y enfouir mon visage. J’ai passé ma langue dans la raie de ses fesses, de haut en bas et j’ai commencé à lui titiller l’anus du bout de la langue elle avait un goût salé et une forte odeur a****le. Le mateur, un peu malingre, a demandé s’il pouvait se rapprocher et elle et lui ont acquiescé. Son homme s’est allongé sur le dos, la verge pointant vers le ciel et elle est venue s’empaler dessus.Elle nous a dit de nous rapprocher et a pris nos sexe dans chaque main, elle nous branlait pendant que son homme la limait, mais elle avait du mal à rester empalée sur son homme. Elle ne semblait pas vouloir nous sucer…Pendant qu’elle me branlait, je lui caressais le sein le plus proche de moi. Je le serrais, le caressais, promenais mes canlı bahis siteleri doigt sur sa peau, pinçais son téton…Elle prenait du bout d’un doigt le liquide qui perlait au bout de ma verge et s’en servait pour mieux faire glisser sa main en me caressant. Son homme s’est relevé et l’a mise en position de levrette. Il l’a tenue par la taille et a commencé ses mouvement de vas-et-viens, elle gémissait et ne pouvait plus nous prendre dans ses mains car elle devait s’appuyer dessus. Je passais mes mains sur sa peau, sur ses seins, sous son ventre pour descendre vers son sexe et lui caresser le clitoris pendant que le sexe de son homme allait et venait en elle. Un de mes doigt est allé se fourrer dans son anus et je sentais la bite de son mec à travers sa chaire. Son mec m’a demandé si j’avais des capotes. J’en avais.Il s’est dégagé et m’a fait signe de prendre sa place. J’ai enfilé une capote, je me suis placé derrière elle, son cul ouvert laissait apparaître sa chatte où perlait un peu de son humidité. Mon sexe s’est glissé en elle doucement et facilement j’ai commencé à bouger tout en la prenant par les hanches. Je la serrais très fort. Elle essayait de sucer son homme mais je la faisais trop bouger et elle avait besoin de respirer et de gémir. Tout en bougeant en elle, je lui écartais ses larges fesses et faisait apparaître don anus. Je le voyais se contracter et se détendre, comme une invitation. Je me suis léché un doigt pour le lubrifier et je l’ai glissé dans son anus. C’est mon sexe que je sentais maintenant à travers la paroi de son cul. Je la sentais folle d’excitation et de plaisir. Je sentais mon plaisir monter. Une main sur ses hanche, l’autre a glissé sous son ventre, allant de son clitoris à son sein. J’avais du mal à me retenir plus longtemps. Ma respiration s’est accélérée et j’ai joui en lui serrant les hanches très fort. Je suis ressorti d’elle, elle est restée dans la même position et son mec est venu reprendre ma place mais, il s’est introduit en elle par son anus, que j’avais si bien préparé. Il n’a même pas eu besoin de lui caresser le trou du cul, qui était déjà bien ouvert et détendu… J’ai regretté à ce moment de ne pas avoir profité de cette « préparation » pour que son anus goûte à mon sexe. A ce moment, je me suis rendu compte qu’il était déjà bien tard… Je les ai remercié, j’ai embrassé la dame et je suis parti en les laissant continuer leurs ébats sur le sable, cachés entre les dunes…”

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Huston conference ch 1 Tequila and a thongIt had been a long day at a work conference in Huston, and i was utterly drained. How many ways could you hear the same thing, and then hear them again from other much more excited men at the bar located at the hotel. After some quick farewells i made my way back up to my room, where i had planned on just laying in bed and relaxing the rest of the night. Well that was the plan until Fred a buddy from my office text me and said “tequila?”. I should have said no but of course i didn’t “sure why not” i replied back to him. “On my way” was his reply. When i made it in my room i did a quick check around to make sure nothing that shouldn’t have been seen was. So that when freed knocked on my door i was confident that everything embarrassing was well hid. “Thank fucking god” he said walking in behind me after i opened the door for him. “Tell me about it. I could only last half an hour down there with those fuckers.” I said pulling out two glasses from the counter and sliding then to him. He filled them up and we chugged them down. We did 3 rounds back to back before breaking to sit around the small table i had in the room. “So what did you think of that. Bullshit today?” He asked “it was the normal physc up garbage. Dude that was presenting looked like he was a fucking coke head. Could not get past that no matter what he said” i commented starting to feel rather better. So during our rants of how stupid the conference was we took another 2 shots. “Dude i swear ever since Jackson left these things have been boring as fuck.” He said. Casually pouring another round of shots. “Who was Jackson?” I asked after downing my shot. “Oh he was this guy who was a blast to hang out with. He made these things so much better?” Fred said pouring out another round. “You are going to have to explain that. How the hell can you make this better.” I asked before shooting the tequila he had poured out. “Look if i tell you this you cant say a word.” He said all serious. “Dude i never say shit. You know that.” I said to him. “Well my man Jackson was a bit of a freak. I mean we would have this rolling from room to room until 1 or 2 in the morning. Then we would all slide into the meetings like nothing ever happened. Best conference hoe we ever had.” He said pouring out another round of shots. By now i was really feeling the tequila hitting my brain hard so i was a little out of it “damn really” i said all the time thinking how much better a real cock would feel compared to my dildo hidden away in my suitcase. “Yeap” he said after downing his shot. “It actually didn’t start out like that.” He said looking at me “it started with him wearing thongs and shit to work.” I must have looked shocked because he said “we didn’t mind or think anything of it. Just like when you try to sneak around in them.” Let just say lead balloon implanted itself in my gut. “Wait what” i said spluttering “aw relax no one cares. We are just waiting to see if you turn into just a big of a freak as Jackson. güvenilir canlı bahis siteleri Personally i like your ass better anyway. Thicker wider more to get a hold of.” He said pouring an extra large shot in my glass “here take that and relax my man no one cares.” I literally downed the entire glass full of tequila in one shot as my head spun. O was sitting there dazed when he said “don’t go passing out on me damn. Relax my man.” And he got up and started rubbing my shoulders “look just relax brother and chill.” He said in a softer tone “it aint like anyone is going to say anything.” “What the fuck man” was all i could say. “Bro face it you got you a little feminine freak in there. I bet you got something good locked up in that suitcase just waiting to be put on.” He said rubbing a little harder. Again i was speechless “look man you ever had a real dude all up inside you.” He asked sliding back to his chair “no ” i said seeing some of this was futile since he seemed to know my secret. “You should try that shit then.” He said pouring another couple of shots. “Don’t knock it till you had some big black dick inside you. You never know you may just be a bigger freak than Jackson was. And trust me if you are, shit i got brothers all around who would love to nail a sweet ass like yours.” He said casually. “I guess” was all i could muster having serious flash backs of the night before where i rode my dildo in the shower for an hour. “Bro don’t even try to front you know you thought about it at some point.” He said rubbing his hand down his leg “big thick black cock sliding up in you slapping that thick ass of yours. I bet you will go full cock whore. “he said continuing to rub the growing line going down his leg. “Maybe but that’s it.” I said trying to evade and save what ever i could. “Really like thinking of that big cock doesn’t want to make you want to go get what ever toy you brought and start riding it.” He said still rubbing that large line running down his leg “shit if you like me that tequila makes you horny as fuck. I can barley hold this shit in my pants.”He said looking down at his cock. Then slowly sliding his down his cock. “Maybe” i said sheepishly “you ever watch another man play with his cock?” He asked when i shook my head he poured out two shots and said “want to?” “Go ahead” i said taking the glass from him. “Why don’t you go put on that thong you got and let me see what you working with.” By this point i was well passed the point of being able to think and he was right i was hornier than hell. Between my cock getting hard and my butthole twitching i wasn’t sure what exactly i wanted other than an orgasm. “Okay but hand me your phone.” I said to him. He gave me a quizzical look but then handed it over. I took it and put it in the bathroom before going to my suite case. Fred walked over to watch and when i pulled it open he stared at the contents. “Damn this is what you play with.” He said holding up my 8 in black dildo. “Yeap” i said pulling güvenilir illegal bahis siteleri out the black thong i had stashed away in there. “And you can take it all?” He asked with a shocked look on his face. “Yeap unless i haven’t done it in a while then i have to work at it. But last night i fucked it for an hour in the shower.” I said pulling off my shoes and socks. “God damn you fucked this thing for an hour last night” he said rolling it around in his hands “Yeah” i said pulling down my pants and boxers “Damn it how the fuck haven’t i fucked with you before. ” he said walking over to the table and slamming it down in the middle then turning back to me and saying “were going to table that, but god damn look at that ass.” I was pulling up the thong around my ass while he was talking. Once i had them in place and my manhood tucked away i stood there in front of him. “So what do you think.” I asked “fuck” was all he would say sitting down in the chair and downing a shot. He gave a twirl with his finger and said “turn around for me” so i turned in a slow circle. He grabbed my leg after i made a complete circle and placed a kiss on my left thigh, and slapped the fuck out of my ass. “so is that a yes” i said laughing at him. “Fuck yeah” he said unzipping his pants and pulling out his big massive cock. He started sliding his hand up and down the shaft. “Like what you see” he said sliding his hand down to the base of that massive cock and holding it pointed straight at me. “Oh yeah you like it.” He continued grabbing my hand and pulling me closer to him. “Here just start” he didn’t get to finish because i had wrapped my hand around it and started to slide up and down. “Oh yeah that’s it” he moaned as i picked up the pace a little. “Give it a taste” he said slowly applying pressure to the back of my shaved head. So i did i opened my mouth and slowly slide the tip and part of the shaft in. I mean at this point what did it matter, and the fact my cock wasn’t getting hard told me i wanted some anal so bad it was literally driving me crazy. “Oh fuck yeah that’s it suck on my cock.” He moaned as he leaned his head back while i licked and suck as much of his cock as i could get in my mouth while still stroking the better part of his shaft. He was fucking huge he easily over topped my dildo which i knew from practice o could almost take completely before i started to gag. I had worked months on that. But i wasn’t even half way down and i was spitting up tequila. “Oh yeah baby don’t stop” he moaned at me as i began to start tasting something salty coming from his big thick head. Something about playing with his huge cock or maybe it was his moaning that got me hornier and hornier to the point i was aching to have something inside of me. So i stood up and grabbed the end table pulled it over to where he was sitting and grabbing the dildo from the center of the table i slammed it against the side of the small end table. All 8 inches hung there waiting for me. I grabbed some güvenilir bahis şirketleri lube out of my bag and began putting some on the dildo. “Oh fuck yeah i love it.” He said stroking his cock while i worked. I poured out two more shots and after downing mine pulled off mu shirt so all i was wearing was my black lace thong. Then got on my hands and knees in front of him. And guided the tip of the dildo into me. I worked my back on it as i took his cock from him and started to suck on it again. Oh god that dildo in my ass felt good and it didn’t take long for me to get into a rhythm of sucking and fucking. “Oh fuck yeah bitch that’s it suck on my big black cock.” He moaned sliding down in his chair a bit. Faster and faster i banged my ass against the table forcing the fill length of the dildo in me as he watched me with his cock in my mouth. He slide off the chair and was on his knees in front of me gripping that huge base and pulsing his hips to my movements forcing more and more of his cock down my throat. He was well into my throat when i felt his cock begin to tense and a warm feeling sliding down my throat. When i began pulling him out i tasted the warm sticky cum covering his shaft and licked it up finding i loved how it tasted.He leaned back letting me lick all the cum of his big pulsing cock moaning the whole time. When i was done he just sat there watching me ride my dildo stroking his cock. “Damn how long you going to ride that thing” he asked continuing to stroke his soft cock. “Just trying to get off.” I said sliding back and forth on the shaft. He watched me go for a while before he began to get hard again “come here bitch let me show you what this cock can do.” He said grabbing my waist and pulling me off the dildo. I turned around and put my ass up to his waist and he sank that huge tip into me. Oh god it hurt, and when he started pushing into me deeper i practically fell to the floor, but he didn’t stop. In and out slowly working his way into what i thought was an already open hole, but it wasn’t ready for this monster. Deeper and deeper i felt his massive head push in. Blessedly i finally felt his balls touch my aching ass. “Damn bitch i love your ass” he said giving it a slap before he really started pounding it in. Hard and fast. I couldn’t hold it in i was moaning “fuck, oh god, fuck me fuck fuck” but as he sped up the pain began to transform into rolling waves that crashed through my body. “Oh fuck yeah oh god yes” i began to moan trying my hardest not to yell. I bit my hand to keep me from yelling as i began to cum. It slowly trickled out of my tucked away cock, but then exploded out in a river. Hard and fast he continued to beat up my insides as i practically laid on the floor with his hands holding my ass the only way it was still up in the air. “Oh fuck i am going to cum.” He moaned as he slammed his cock deeper into me. A huge surge of warmth filled me as a huge expansion filled me. Leaning over on me he breathed heavily “oh fuck yeah” he said pushing it in just a little more. “Fuck yeah.” He moaned pulling his throbbing cock slowly out of me giving my ass a hard grip as the head plopped out of my ass. After he left i was laying in bed noticing how i wasn’t as drunk as i should be anymore and wondering “what the fuck is going to happen tomorrow” to myself.

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sylvie du mac do de l entrée de st maloj ai eu une dominée de 26 ans que je visitai parfois à st malo, je l ai intitiée à la sodomie, elle s appelle sissi et elle travaille au mc donald à l entrée de st malo, quand je me rend chez elle à l improviste, je la met direct en 69 , aprés je l empallle avec un gode que je lui ai acheté, ensuite je la prend en levrette, et je l encule jusqu a la garde en la fessent,je fais ça la fenetre ouverte pour q u on l entende couiner sa jouissance … je l ai revue il y a 2 ans en allant chez max do à st malo, elle avait bien grossie, quel dommage,je l avai si bien initiée !!c est moi qui l ai depucelée du cul, j en ai fait des trucs avec elle, seul probleme elle aimait pas trop sucer, bien dommage, elle avait un fameux cul, un anus tres accueillant, on s est separé a cause de sa mere qui était jalouse d elle ! à l epoque j avais du quitter st malo internet casino et vivre à st cast à 30bornes, c etait chiant , je la ramenai de temps en temps avec moi la bas, je commençai à la carresser en bagnole, elle enlevait son slip, elle arrivait donc cul nu à mon appart, elle prenait une douche en arrivant, apres on faisait un 69, et ellle finissait sodomisée, c etait bon, au petit matin elle s empalait elle meme sur ma queue sur le canapé, puis je la raccompagnait à st malo, une autre fois on gardait une nuit une maison d un ami à st malo, une fois encore ça a été un festival, elle enleva encore une fois son slip dans la voiture, arrivée dans la maison je l ai prise dans les escaliers, et le matin elle a fini en levrette au soleil du jardin , qu est ce qu elle etait bonne sissi !!!!!ça a terminé betement car sa mere voulait sortir avec moi, et moi non! dommage , j canlı poker oyna adorai aller la voire ou elle habitait apres dinard dans une petite piaule attenante à une maison,invariablement on se foutait à poil immediatement , je la suçai chatte et cul, ensuite elle s empallait,et je finissait toujours par l enculer, de temps en temps je lui mettai une bouteille dans sa chatte,ou bien encore elle me branlait frenetiquement. une fois je lui ai demandé de se raser integralement, j ai fait de meme, c etait bon, en pleine nuit(on etait au rdc) on a ouvert la fenetre, c etait encore plus exitant,je l ai enculée en levrette…pour finir je l ai bien initiée,c est un autre qui en profite aujour d hui, mais qu est ce que je voudrai bien encore la prendre ! elle a grossie c est dommage ça doit etre le manque de sexe je pense !!quand je repense à tout ça j ai tout le temps la trique, poker oyna elle a pris gout avec moi à la domination, j arrivais & toute heure elle etait open comme une station service, j aurai voulu avoir 2 queues pour la prendre en double penetration,je me revoi encore à stcast ou elle me chevauchait à l envert des le matin, elle en a pris des litres de foutre, à chaque fois qu on se voyait je la sautai au minimum 3 fois et je la suçai en 69 , son cul aimait ça , quel dommage !!!!!une autre fois je lui demandai de se branler la chatte devant moi , elle l a fait et a crié sa jouissance !! c etait bon !!!! j avait quelqu un d autre à st cast, une cavaliere qui aimait bien aussi se faire enculer , elle s appelait sophie, elle aimait que je l encule par devant, ou sur son balcon, elle avait un beau cul elle aussi, ça m arrivait d aller sauter sylvie dans la journée et puis de sauter sophie le soir tellement j etais exité par sylvie, sophie quand à elle aimait bien me sucer et avait une nette preference pour la sodomie, tout à une fin ! tout ceci s arreta en 2007, j ai pas retrouvé d aussi bonnes baiseuses que ces 2 là !!!

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Une apprentie fisteuse ….. Brunette44

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Une apprentie fisteuse ….. Brunette44L’histoire que je vous conte ici est tout à fait réelle…..Je me déplace beaucoup… il y a quelque semaines, je reçois une demande d’ami de Brunette44 (j’ai changé le pseudo biensur…).Après quelques jours, elle me contact par message privé :- ” Salut, j’aime beaucoup tes vidéo, surtout celles avec les godes “- “Merci 🙂 heureux que tu apprécie 🙂 “- “De rien, tu as un beau corps sexy “- ” je vais rougir à force 🙂 “Le dialogue se poursuivit ainsi quelques jours, elle m’apprit que le 44 ne signifiait qu’habitait Nantes, en fait elle a 44 ans et habite prés de Nancy. Elle est mariée mesure 1m 68 et pèse 56 kgs, fait du 90C… mais elle n’a pas de photo sur son profil ….Aprés ces premières présentation elle me dit que son mari est souvent absent et que leur vie sexuel est un peu en berne…” mon mari est plus âgé que moi, et il me demande des choses canlı bahis şirketleri que je ne veux par faire jusqu’à maintenant…”C’est ainsi qu’elle finit par m’expliquer que sont mari voudrait qu’elle le gode, voir qu’elle le fist, mais qu’elle n’a jamais voulu répondre a ses attente. De ce fait leur relation sexuelle est en panne et elle a peur que son mari finissent par la tromper.Je me dis… me voila parti à jouer les confident et auditeur de vie de couple…..pfffffffMais les choses ont vite changées quand elle m’a dit : “tu peux peut être m’aider ?” …En fait elle voulait me rencontrer pour que je lui apprenne à fister un homme !!!c’est ainsi que j’ai retrouvé Aline un soir du mois de Septembre à une terrasse de café à Nancy:La description était conforme, belle brune aux cheveux long et bouclés , bien faîte et… toute timide.Le début de notre conversation toute banale canlı kaçak iddaa me fit rapidement penser que la rencontre allait se limiter a une causerie….Et puis le sujet a glissé sur ce qui suscitait son intérêt…Elle précisa qu’elle ne faisait pas cela pour tromper son mari, mais bien parce qu’elle voulait lui faire plaisir, mais qu’elle ne voulait pas commencé avec lui .Moi j’étais tout a fait ok pour être le cobaye de son premier fist… et au bout de 45 mnts nous sommes parti à l’hôtel tout proche ou j’étais.nous y sommes allé doucement comme deux adolescent débutants car je la sentais trés tendu, et puis petit a petit elle s’est laissé aller…sa main me caresser les fesses et elle avait un petit sourire vicieux. le plus étonnant c’est que le plaisir qu’elle refusait a son mari semblait provoquer son excitation.Je sortie ma collection de godes et à ma grande surprise elle me canlı kaçak bahis dit : ” j’ai bien regardé tes vidéozs, alors on commence par le plus gros “Sitôt dit sitôt fait, la belle, maintenant dévergondée se mis a me goder avec application… timidement au depart, mais elle y pris vite gout et le godage se fit de plus en plus vigoureux et profond.Puis vint le moment ou elle me proposa de lui apprendre a” mettre sa main dans une chatte d’homme “Aprés avoir enfilé un gant de latex sur chacune de ses mimines et lui avoir fait une petite explication théorique de la technique et de l”utilisation du lubrifiant, elle passa au travaux pratiques.Ce fut très bon , elle était très appliqué et en fait très vicieuse, elle s’est ” entraînée” au fist pendant plus d’une heure.Après une douche, nous sommes redescendu à la terrasse du café, elle était radieuse détendue et pleine d’humour.Elle me remercia et me dit- ” si tu reviens, on pourraient recommencer ?”-” oui avec plaisir, mais dis moi ce ne serai plus pour apprendre et faire plaisir à ton mari dans ce cas ? ” :)-” non… c’est pour un cour de perfectionnement… ” :)Voila… affaire à suivre…

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Double Delight – Pt 1 (Mom Seduces Son On His Birt

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Double Delight – Pt 1 (Mom Seduces Son On His BirtThis happened when I was eighteen and my mother was around forty. From c***dhood, I never called my mother ‘mom’ or ‘maa’ or ‘mummy’. I always used to call her by her name Neetu (her name is Neeta). That was because she was youngest in the family at her generation and I was used to listening to everyone calling her ‘Neetu’.Now, coming to the actual story.As my eighteenth birthday was approaching, I could observe a distinct change in the behaviour of mom, especially with me. These days, she used to come closer to me, hug me, kiss me on my cheeks, and caress my hair, face, back and all. I never understood the reasons for this change.On the eve of my birthday, while having dinner, mom asked me as to what I wanted for my eighteenth birthday. I told her that I had everything and that I did not want anything more. I just told her that I needed her love forever. Mom said, “Sonny, I love you and will always keep loving you.” I could hear a particular emphasis on her words ‘love’ and ‘loving’. But I did not understand the relevance.After having dinner, we both watched TV for some time and retired to our respective rooms for the day. As usual, I removed all my clothes and got into my bed naked. This was my habit, which probably no one knew.Halfway through the night, I was shaken awake. I rubbed my eyes. I saw mom standing near my bed in a sheer white negligee. Her black colour bra and underwear was clearly visible. But I ignored. I asked her, “Neetu, what is the matter? Are you alright?”Mom smiled and said, “Sonny, look at the clock, it’s five minutes to twelve midnight. It’s your birthday. You said you wanted nothing for this joyous occasion but I had already arranged for a chocolate cream cake, which you so much like. Now get up and cut the cake. Surprised?”I fully opened my eyes and said, “Certainly yes, Neetu, I am surprised. But can you leave me alone for a moment?”Mom asked, “Why, it is close to midnight. I don’t want to miss the stroke of twelve. Come on, get up and let’s cut the cake.”I avoided her eyes and said, “Neetu, I am in my birthday suit. I have nothing on me. Let me put on clothes. It won’t take time.”Mom said, “Doesn’t matter, Sonny. I have seen you naked a number of times since you were a small k**. What is the difference? I haven’t seen you naked for long. And I will be happy to see you that way, for old times’ sake. Please get up and don’t waste time.”When I hesitated, mom pulled away the sheet on me and said, “I have made it easier for you. Now, will you?”I was left with no choice. Stark naked, I got up. Mom drew the side table in front of me, on which she had kept the cake. She handed over the knife to me and sat beside me.The moment I moved the knife near the cake, mom came close, put her hand on my shoulder, and held my hand in which I was holding the knife. I could feel the warmth of her body. I slowly cut three/four pieces of cake. I took one and inserted it Mom’s open mouth. Mom, instead of leaving my finger, sucked it.She bent forward, picked another piece of cake, inserted in my mouth and said, “I love if someone sucks my finger.”We both kept of sucking our fingers. I was getting an erection. Mom looked down and said, “My little Sonny is growing slowly. It was so small when you were a k**. Now it is big. How nice to see you naked again!”We were still sucking each other’s fingers. Mom touched my cock with other hand and said, “Hmmm, it is getting hot and hard.” She moved her hand all over my dick staring at it all the time.Now I know what mom wanted. She wanted me to fuck her. I was overjoyed. I had never had this feeling about my mom in the past. But it is that what she wanted, I was happy to oblige her and have a sexual experience with my mother.I asked her, “Neetu, now I know why you woke me up in the midnight and why you have put on your sexy attire. You want me to fuck you, right?”Mom laughed and said, “You are very clever, son. You have hit the nail. That’s illegal bahis exactly I had in mind for days. I was waiting for your eighteenth birthday. It’s the moment. Let’s enjoy, Sonny!”While playing with my cock with one hand, she moved her hand over her breasts, once in a while pressing them and touching her nipples. She pulled the string of her negligee and shook her body. Her negligee was open, exposing her melons, bumping in her black bra.I kept staring at her half exposed melons. Mom pulled my hand and moved all over her half exposed melons. She asked in a low voice, “Like it, Sonny?”When I nodded vigorously, she said, “They are for you. You can touch them, press them and play with my boobs the way you like.”I cupped my mom’s breasts and started pressing them hard. Mom moved her hands all over my body. After a while, I asked, “Neetu, I am hungry. Let me drink your milk. I am sure that you used to breastfeed me when I was a k**.”Mom said, “Normally a k** is fed till he is eight or nine months old. But I used to feed you till you were two or three years old. Thought there was no milk, you loved sucking. And you know what? Your dad used to watch you sucking my nipples. He used to get excited and we used to have sex after you were asleep. He used to like the wet sensation of my nipples. Oh darling, I would like you to suck me again.”Mom then pulled one side of her bra up. She made me lay in her lap. She bent and inserted her nipple in my mouth. I hungrily started sucking her nipple.While I was sucking her, she started pressing her other boob hard. Her nipple in my mouth was now hard and jutting out. I lightly bit her nipple. Mom screamed. I immediately pulled my mouth aside. Mom again inserted her nipple in mouth and said, “Son, I was not hurt. The scream was of sheer joy. I told you, they are all yours. You can do whatever you want. I love you, Sonny.”I kept on sucking her nipple, encircling my tongue around it and biting it a bit occasionally. Mom was already moaning.After some time, Mom said, “Sonny, now the other.”I moved up in her lap. She pulled down her bra over her boob I was sucking and pulled up the other side. Again, I started sucking her other nipple. My cock had gained full erection by this time. It was pulsating. I sucked her nipple hard until it became hard and was jutting out. Her other nipple, which I have sucked earlier, was clearly seen jutting out. I kept on sucking her nipple for the next 5-10 minutes.Then I left her nipple and said, “Neetu, I want to see your lovely melons. Please remove your bra.”Mom unhooked her bra and threw it on the bed. There was my mom, half-naked in front of me. Her slightly sloppy melons were a feast for my eyes. She bent back and rested her body on her hands. Her body arched. I was so excited that I kept or staring at her boobs.Mom said, “Hey, Sonny. You are happy just by staring at it? Or do you want to play? Come on darling, my boobs are dying for your manly touch. Crush them.”I made mom stand in front of me. Her melons were dangling in front of my eyes. I grabbed them and started pressing them, crushing them hard. Once in a while, I pinched her nipples. Mom moved her hand in my hair, over my face, and over my back.After a while, Mom said, “Son, let me feel the warmth of your handsome body. Get up.”I got up. Mom pulled me neat and embraced me. Her hard nipples were pressed against my chest. I moved my hands all over her back. Mom moved her tongue on my cheeks and swirling it over my earlobes once in a while. It was so exciting.I held her close and moved her hand down. I started caressing her buns first and then pressing them. Mom’s body was hot now. She pressed her front on my already pulsating cock.I put my hand inside her underwear and slowly moved the back side down. Mom moaned again. I then pushed down her underwear and mom was completely naked in my arms. I could feel the heat of her body. Mom brought her one hand down, grabbed my cock and started moving it over her cunt.The illegal bahis siteleri precum was already oozing out my cock and I could feel that mom was also wet down there. She moved my cock up and down over her cunt. I said, “Neetu, I want to kiss your sweet mouth.”Mom raised her head. Our lips were locked immediately. We kept on kissing each other, with me touching her everywhere her naked body and her rubbing my cock. It was impossible for me to bear further. I whispered, “Neetu, it’s difficult to hold on further.”Mom again kissed me hard and said, “Same here, Son. Let’s go to the bed.”We went to bed and mom lay on her back. She pulled a pillow and kept below her buns. She spread her legs and said, “Come, Sonny. Now the real enjoyment.”I bent on my knees and placed my hands on her sides and moved forward. Mom took my cock in her hand and guided it inside her wet pussy.Mom said, “Come in all the way, Son. Let me have all your meat inside.”I gave a slight push and I was completely inside her velvety softness. I pushed my cock hard inside her and waited for a while. Mom started moving her hips.I started stroking her slowly. I wanted to feel her velvety softness as much as I could. The walls of her pussy were quite tight. I could feel the friction when I started stroking her. I increased my speed gradually. Mom raised her hips as if to take more and more of my cock inside her. My cock was already touching the back side of her pussy.Mom said, “Sonny, my darling, It’s so good. Fuck me hard.”I started fucking her with quick and fast strokes. Mom kept on saying, “Harder, my darling harder. Don’t stop. Oh! What a manly meat you have. Ahhh, I am in seventh heaven. Faster, Sonny, faster, don’t stop even for a moment.”My speed reached the zenith. I now had the feeling that I was going to discharge. I could hardly ask her, “Neetu, I am through, I suppose. I am going to release.”Mom pulled me on her, held me tight and whispered, “Sonny, my darling, don’t hold back. Come all the way inside me. I want to have every drop of your cream inside me. Come on darling, give me a few more strokes and release.”With last 5-6 hard strokes, I released. My cream was spattering inside her in heavy loads. I pressed my cock deep inside her. Mom raised her legs and pulled me down with her lets.I kept on spattering. When I was completely empty, I slowly released myself from her arms. My cock was getting softer and smaller. Mom released my hips and relaxed her legs. I pulled my soft cock out of her and fell on her side.We both were spent and exhausted. Mom’s eyes were half-closed. I could see a great amount of satisfaction on her face. Looking at the ceiling I asked her, “Neetu, were you happy, satisfied?”Mom turned her head to me and said, “Oh, son! Happy, it’s much more than that. I have no words to express. I have reached a shattering climax after years. Ah, I am so happy, so satisfied!”Mom turned on my side, pulled me closer to her with her hand beneath my head, and asked, “Sonny, what about you? Are you happy?”I snuggled my face in the middle of her melons and said, “Oh, Neetu, what are you asking? Today is the happiest day of my life. My god, I never knew this joy and pleasure. It was incredible. I love you, Neetu, I love you so much. And a very big thank you for this heavenly experience. Fantastic, beyond words.”We slept close together, holding each other. I was happy feeling her soft body.I was feeling sleepy. I asked mom, “Would you please stay here for the night? Or you need to go back to your room?”Mom popped her body on her hand and said, “Silly question. I am going to sleep here, right beside you, the whole night. But we must clean ourselves and the bed sheet, which you bugger have soiled!”We got up and went into the washroom. She first cleaned her pussy and then my cock with a wet cloth. We both went inside the room. Mom threw away the soiled bed sheet and put on a fresh bed sheet.We lay side by side. Mom pulled a rug over us and we canlı bahis siteleri felt fast asleep in a matter of minutes.I woke up first in the morning. The wall clock showed it was 8 am. Mom was lying on her side facing me, still, fast asleep. Her one hand was below her head and the other on her hips. The sight of melons resting over each other aroused me again.I very slowly pushed her shoulder, making her lie on her back. Mom did not wake up. She was lying with her hands on her sides. Her naked melons were inviting.I bend on her and started moving my tongue around her nipple. Mom immediately woke up. She said, “Sonny, come on, again?”I said, “Yes Neetu, again. I cannot forget the last night. I want to have that fun again. I want to fuck you again.”Mom smiled and said, “As you wish, Sonny! You are a darling. Just the thought of you fucking me is getting me wet”.While I was playing with her melons, she started caressing her pussy. She inserted her finger inside her pussy, moved it in and out and showed her wet finger to me saying, “Look, I am already wet. Come, let’s not waste any more time. I have a day’s work ahead. Let’s fuck.”Again, she kept a pillow under her buttocks. I mounted her. This time, I needed no guidance. My hard, hot cock went inside her velvet easily and at once.This time, I fucked her very slowly, enjoying every stroke. Mom also was relaxed. She held her legs high to expand her pussy. She kept her legs over my shoulders. Her pussy fully expanded, I started fucking her slow and steady. Mom closed her eyes.I kept on increasing the speed of my strokes. I fucked her for fifteen minutes or so and mom said, “Sonny, I am already through. How long are to you going to take?”I said, “What’s this, Neetu? Let me enjoy. What’s the hurry?”Mom smiled mischievously and said, “You crook, you have all the time, but I don’t. I have the day’s work to do. Darling, don’t trouble me this way, please. Be done with it.”I said, maintaining my tempo, “Okay Neetu. But then I need to kiss you while I fuck.”Mom said, “Then kiss me. What are you waiting for, Sonny?”I bend and took her lips in my mouth. Mom inserted her tongue into my mouth. I sucked her tongue, giving her hard and fast strokes. I kept my lips locked with hers and started fucking her hard. With the sensation of her sweet lips, I came close to orgasm. Mom was already dripping, reaching climax.With a few hard bangs, I let go. My cum started spattering hitting her inside. I was empty in a matter of seconds.When my cock went soft, I pulled out. Neetu got up and said, “A good start for a special birthday of a very special handsome young man. Ah, I am so happy, for us both. Now, let me go, get fresh and cook. You too get ready. I have a plan for you today. I will tell you when we both are ready. Okay?”I kissed mom on her lips again and said, “Yes, madam. I am all yours, at your disposal. Whatever you have planned.”Mom put on her bra, underwear, and negligee and went to her room.I again lay back on the bed recollecting every moment of enjoyment I had today, as my birthday gift. I was just wondering what next was in offing later. I was sure, mom had planned properly for another surprise for me. I went to sleep again.When mom woke me up, it was already half past eleven. Mom had put on her tight slacks and t-shirt. Mom said, “My dear, how long are you going to sleep? Now, get ready. Food is ready.”I got up, went near mom and kissed her. Mom pushed me back and said, “Enough. We have had our fun twice. It’s time to get ready and have some rest.”I laughed and went to the bathroom. Mom left the room. I had a leisure bath. I dressed in shorts and t-shirts and came to the drawing room. The dining table was not yet set. I said, “Neetu, I am hungry. Can we have lunch?”Mom said, “Not here. We are going to our farmhouse right now. We will have our food there. I have kept the tiffin ready. We will stay overnight and return tomorrow morning. I have packed my overnight bag. You also take one. By the time you are done, I will bring our car in the porch. Now be quick.”I went to my room, packed the overnight bag, locked the door of our bungalow. Mom had brought the car in the porch. The engine was running. I hopped into the car and started off.

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Tic ! Tic ! – 1Une nouvelle aventure de Paul et MarieMontréal, 31 octobre 2015Une pluie torrentielle s’abattait sur Montréal en cette nuit froide de la fête Halloween. Portée par des vents violents venus du Grand Nord qui soulevait la poussière et faisait tourbillonner les feuilles mortes, cette pluie se transforma rapidement en verre-glas qui crépitait maintenant aux fenêtres des maisons et des immeubles de la ville, recouvrant tout d’une mince pellicule de glace.Au fond d’un cul-de-sac discret dans l’un des cartier les plus riches de la ville, au pied du Mon-Royal, les arbres centenaires entourant le musé Lemieux, un ancien cabinet des curiosités, fermer au public depuis des années 50, commençait a ployer sous le poids de la glace et de grosses branches cassait net. La grande maison de 35 pièces, bis centenaire, habiter par un couple célèbre, avait fait la joie des enfants plutôt en soirée, avant que la pluie ne commence. Tous les petits montres passant l’Halloween avec leurs parents avaient été émerveiller par cette grande demeure de style victorien qui avait tout de la maison des horreurs classiques, surtout à la tombée de la nuit ; avec ses murs recouverts de lierre, sa grande tour surmonter d’une girouette en forme de chauve-souris, ses nombreuses fenêtres sombres et mystérieuses et sa promenade au sommet du toit en pignons. De plus il y avait une multitude de décorations d’Halloween installée par la propriétaire sur la pelouse et l’immense véranda qui faisait tout le devant de la maison. Citrouilles, squelettes, zombies et sorcières grimaçantes se côtoyaient pour la plus grande joie des enfants. Ceux-ci avait tous été surpris de voir la vedette du petit écran en personne Marie Lemieux et son mari Paul Tremblay venir leur ouvrir pour leur donner des bonbons et même les parents en avaient profiter pour se faire poser avec eux. Ce que Marie et Paul faisaient toujours avec le sourire. Les soirs d’Halloween, c’était la maison la plus courue de tout le cartier, surtout parce qu’elle avait la réputation d’abriter de vrais fantômes, de vrais squelettes, de vrais dinosaures et un vrai Sasquatch naturaliser ( du moins, c’est ce que ce disait les enfants ) et bien d’autres choses étranges apparemment. Mais vers 10 h, à la nuit tombée, une fois les petits monstres rentrer chez eux, occuper a dévorer leurs montagnes de bonbons avant de tomber malade et la pluie commencer, un taxi stoppa devant la grande demeure pour débarquer une passagère et repartit aussitôt. Une autre vedette du petit écran abrité sous un grand parapluie noir, qui alla sonner à la porte du musée. Un très joli petit bout de femme avec de longs cheveux noirs au reflet bleuté, en jean moulant et manteau gris, qui dit a la maîtresse de maison en prenant un petit air coquin quand celle-ci ouvrit :— Bonsoir, Madame, je peux avoir des bonbons.— Oh, la belle jeune fille, fit Marie en riant ( une grande femme dans la cinquantaine, mince aux cheveux roux, en blouse blanche et jean moulant, ancien mannequin, toujours d’une grande beauté et qui pouvait encore se permette de poser en maillot pour des magazines illegal bahis de mode ) et elle rajouta ; vient, entre ma belle, mon mari se meurt de te montrer son gros bonbon.— Gros bonbon mon œil, répliqua rapidement Marie-France amuser ( la meilleure amie de Marie, ) en franchissant le porche tout en fermant son parapluie et le secouant pour en faire tomber la pluie, mon ex avait un gros bonbon, Paul, c’est… c’est du bonbon raisonnable. Monsieur Zombie va bien ?— WAIS, monsieur Zombie va bien, fit Marie en riant de plus belle, et il avait hâte qui tu arrive je te jure. Elle prit ensuite le manteau de son amie et son parapluie pour l’accrocher a une panthère antique. Puis les femmes, après s’être assuré qu’elles étaient seules au rez-de-chaussée du musé, s’enlacèrent aussitôt sous les yeux du fameux faux Sasquatch empailler de 3 mètres de haut adossé à un mur, pour se donner un long baiser qui se transforma rapidement en un vigoureux combat de langue de quelques minutes, accompagné de soupirs et de mains baladeuses pressant fesses ou seins avec passion. Visiblement, elles attendaient ce moment depuis longtemps. Dans une télé-réalité, ce petit moment intime aurait sans doute fait exploser l’audimat. Mais ce qu’elles ne pouvaient savoir ce soir la, c’était que le système de caméra surveillance du musé avait été piraté.Quelques minutes plus tard, la porte d’entrée fut barrée à double tour, la lumière de la grande véranda s’éteignit, tout comme les décorations d’Halloween. L’ancien cabinet des curiosités plongé dans le noir avait maintenant l’air plus sinistre que jamais à cette heure tardive surtout avec les grands arbres dépouillés de leurs feuilles qui l’encerclaient. Leurs branches ressemblaient dans la nuit à de grands bras squelettiques s’étirant vers celle-ci comme pour la protéger. À peine une heure plus tard la pluie se transforma en verre-glas et un concert de rires et de soupirs se fit entendre de la chambre des maîtres au deuxième étage ou deux grandes fenêtres fermées par des rideaux opaques venaient de s’éclairer.Au même moment, à l’intérieur du musé, sur le même étage à peine éclairer par quelques lampes de sécurités, la chose sortit de l’ombre, avançant silencieusement sur ses quatre pattes pour stopper devant la pièce d’où provenaient ces soupirs et ces gémissements de plus en plus forts. Elle tendit l’oreille, puis s’assit sur le derrière et attendit, patiemment, que le silence se fasse dans la chambre en fixant le mince rayon de lumière filtrant sous la porte. Une fringale nocturne peut-être ?Un trioJe baisais la meilleure amie de ma femme dans notre lit avec toute la fouge que mes 55 ans me permettaient. C’est à dire en soufflant comme un phoque asthmatique poursuivit par un épaulard affamé et la sueur au front. Marie-France, avait le visage déformer par le plaisir, les yeux révulser et les dents serrer, mais même la, elle restait magnifique. Une jolie petite brunette au visage pâle et harmonieux, une beauté unique qui faisait fantasmer tout ses fans, dont je faisais partie depuis fort longtemps. Elle gémissait en lâchant des ( ah oui ! ah oui, illegal bahis siteleri oh Paul ! Hum, c’est bon ! ) vraiment excitant avec sa voix au timbre si particulier que tous les amateurs de télé connaissaient bien. Coucher sur le dos, accrocher à mon cou, pieds croiser sur mes reins, nos pubis se tamponnaient de plus en plus vite ce qui secouait rudement ses beaux petits seins que j’avais tant embrasser et caresser quelques minutes plutôt, avec ma femme. On l’avait littéralement attaqué dès que l’on s’était jetés sur notre grand lit tous les trois après s’être déshabillé à toute vitesse. D’abord les seins, puis le sexe et le cul en duo avec les doigts et la langue jusqu’à ce que Marie-France se pâme de plaisir en plein orgasme en rougissant. Ensuite les femmes m’avaient pratiqué une double fellation – grandement appréciée – avant que je ne saute entre les cuisses de Marie-France, fou de désir, ne pouvant plus me retenir. Faut dire qu’elle était particulièrement belle et excitante, une femme enfant, d’une grande beauté comme je le disais, avec de longs cheveux noirs à la japonaise. Mince et sexy, Marie-France ne semblait pas vieillir, tout comme ma femme, pourtant, elles allaient fêter leurs 50 ans cette année toutes les deux. Marie-France était l’un des plus gros fantasmes télévisuels du Québec avec ma belle bombe rousse. J’eus beau essayer de me retenir je n’en pouvais plus, j’allais jouir, surtout avec Marie qui maintenant me léchait le derrière et celui de son amie ou me mangeait les couilles en agitant la langue avec un doigt dans le cul de l’un ou de l’autre. Seigneur ! Belle et vicieuse toutes les deux, le paradis !Marie ce contentait maintenant de nous caresser en sachant très bien à quel point cela m’excitait d’être avec elle et sa meilleure amie au lit, mais surtout de baiser Marie-France. J’en avais tant rêvé depuis que je savais qu’elle et Marie étaient des amies d’enfance et qu’en plus, elle baisait ensemble depuis leur jeunesse. Et depuis quelques semaines, ça y était, on baisait tous les trois. Depuis que, malade, intoxiquer par de la poudre à zombie, j’avais pris Marie-France pour ma femme un matin en m’éveillant dans notre chambre plongée dans le noir à cause des rideaux tirés en sentant un corps chaud coucher sur le flanc à côté de moi. Prit d’un désir violent je l’avais enlacer en frottant mon sexe déjà dur contre ses fesses. Elle m’avait empêché de toucher ses seins, bien plus petits que ceux de Marie se doutant bien que je la prenais pour ma femme, et avait roulé sur le ventre, la face dans l’oreiller en écartant les jambes. Charger de veiller sur moi en l’absence de Marie, partie en voyage a Chicoutimi pour un tournage, Marie-France c’était endormi dans le lit et avait eu une sacrée surprise quand je m’étais mis a me frotter contre elle comme un petit chien. Je lui avais arraché sa petite culotte avant de la pénétrer sans ménagement coucher sur elle, mais sous le coup de l’excitation, quelques minutes plus tard, mon sexe était sorti du vagin pour glisser sur l’anus étroit et serrer, et j’ai compris que je l’enculais. Comme Marie canlı bahis siteleri me refusait rarement ce plaisir et que mon sexe était glissant de sécrétions vaginales j’avais continué a m’enfoncer lentement dans le rectum serrer jusqu’aux couilles encourager par un Hummm… étouffé dans l’oreiller. J’avais tout de même demandé en m’étendant sur elle ; ça va Marie ? Et j’avais entendu, toujours étouffé par l’oreiller ; hum hum ! Marie-France s’était laissé faire en gémissant à chaque fois que mon ventre heurtait ses fesses, en sachant très bien que Marie ne ferait qu’en rire. Mais quelle surprise cela avait été quand, tandis que je lui jouissais dans le rectum, elle avait tourné la tête et rit dans le noir avant de dire ; gène toué pas mon Paul, viens moué dans le cul en plus. Tabarouette !En reconnaissant sa voie unique, j’en étais resté figé, étendu sur elle à finir de me vider les couilles.Imaginer que vous avez un gros fantasme sur Avril Lavigne par exemple et que vous réalisez soudain que c’est elle la belle fille que vous venez de sodomiser sans le savoir ! Hum ? Et depuis ce temps, quand elle venait faire de petits tours quand elle pouvait faire garder ses trois enfants, ce n’était plus juste pour baiser avec Marie, comme avant, mais a trois, et Popa ne s’en plaignait pas, mais vraiment pas. Elle non plus d’ailleurs, surtout en se moment. Je grogner subitement en stoppant tout en poussant ma bite le plus profondément possible dans le vagin humide pour jouir un bon coup, ma joue contre son oreille si fine et délicate.— Ah non, Paul, pas déjà ! se plaignit Marie-France les joues toutes rougies, tabarouette… j’allais jouir encore.J’entendis rire Marie qui me tapota les fesses avant de venir s’étendre à côté de nous sur le ventre en disant à son amie ; t’inquiètes pas ma belle, moi je vais te faire jouir encore. Je pense que je devrais nous en trouver un plus jeune, un homme.— Je pense aussi, répondit Marie-France en riant. Pauvre Paul, son bonbon ramolli déjà.Les v’là cramper de rire tandis que je me retirais pour m’étendre à mon tour, pas mal essouffler à part ça. Je venais de donner mon 110 % 100. Mais c’était quoi encore que cette histoire de bonbon.— T’as bien dit ( jouir encore ) Marie-France ? lui dis-je en bayant aux corneilles.— M’wais, un orgasme et demi, c’est pas si mal Paul… —…— Paul !—…— Paul ! Seigneur ! Y dort déjà Marie.— C’est toujours comme ça, répondit Marie en riant tout en grimpant sur son amie pour l’embrasser avec fougue langue en avant tandis que celle-ci lui pressait les fesses, avant de se descendre doucement pour s’occuper de ses seins un bon moment lui léchant et suçant les mamelons avec passion. Puis, sa langue glissa jusqu’au nombril creux pour l’agacer, arrachant de petits soupirs a Marie-France qui adorait ça, ensuite Marie mordilla tendrement son pubis le nez chatouillé par les poils noirs lisses et parfumés avant de s’attaquer à pleine bouche à la vulve gonflée tandis que son amie relevait les jambes encore en gémissant de plus belle.— Humm… fit Marie-France commençant a plané et a grimacé a nouveau. Aller Marie, l’a langue dans le vagin et un doigt dans le derrière comme dans le bon vieux temps… oh, shit ! oh oui ! Oui… Ouiii….Derrière la porte, l’a****l étrange gémit faiblement comme s’il pouvait être jaloux celui-là, mais toujours très patient.

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