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A l’internat du lycéeA l’âge de19 ans, j’étais en internat dans un lycée dans une petite ville de province, située assez loin de mon domicile. De ce fait, j’y restais pour les week-ends et les congés de courte durée. Pendant ces périodes, nous étions très peu nombreux et c’est le surveillant général qui assurait la garde des étudiants. C’était un homme d’une cinquantaine d’années, assez trapu, à demi chauve et au visage sévère. Il avait la réputation d’être très autoritaire avec ses subordonnés et faisait régner l’ordre dans l’établissement.J’avais remarqué qu’il me saluait et me regardait lorsqu’on se croisait au hasard des couloirs. Je n’avais pas trop fait attention à cette marque d’intérêt qu’il semblait me porter, cependant j’étais toujours un peu ému quand cela arrivait.Pendant les vacances de la Toussaint, c’est lui qui assurait la surveillance des dortoirs. Le mien était en fait une grande chambre de quatre lits, avec une porte non fermée, pour en faciliter la surveillance. J’étais le seul occupant de la chambre. A l’extinction des lumières, je me couchais. De mon lit, je pouvais voir les allées et venues dans le couloir et je remarquais que le surveillant passait et repassait souvent, qu’il ralentissait sa marche à proximité de ma chambre et que parfois il s’arrêtait près de la porte…J’étais quelque peu surpris et fis semblant de dormir. Soudain, je sentis une légère secousse contre mon lit…j’ouvris les yeux et vis que le surveillant se tenait près de mon lit. Il me regardait fixement. Je le voyais distinctement, grâce à la lumière d’un réverbère situé à l’extérieur du bâtiment. Il porta sa main sur sa braguette, ouvrit son pantalon et sortit un sexe bien raide güvenilir bahis et de bonne taille. Il commença de lents mouvements de va et vient sur sa tige. Parfois, il décalottait son gland lisse et volumineux. Il passait aussi sa main sous ses volumineux testicules. Il les soulevait pour les exposer, pour bien me les montrer.J’étais un peu gêné mais très excité par ce spectacle et par cette présence. Je respirais fort. Les mouvements brusques de la main du surveillant sur son sexe secouaient mon lit. Il savait que je le regardais se branler et que j’étais attiré par le spectacle qu’il m’offrait.Il s’approcha encore plus du lit et vint présenter son sexe près de mon visage. Je respirais son odeur forte et regardais le gros membre surmonté de son gland lisse qui se dirigeait tout droit près de mes lèvres. L’homme prit fermement ma main et l’appliqua sur son gland…la sensation fut très forte, j’ouvris mes doigts pour saisir ce zob qui m’était offert. Mon excitation était à son comble…J’étais le jouet d’un homme qui me désirait, qui bandait dur pour moi.Finalement, il poussa son gland contre mes lèvres qui s’ouvrirent pour l’accueillir. Ma langue s’affaira tout autour comme sur une glace qu’on lèche. L’homme se mit à gémir discrètement, puis je me mis à téter son gros gland lisse tout en branlant son membre délicatement.Soudain, il sortit son membre de ma bouche, le remit dans son pantalon car il y avait du mouvement dans le couloir….le surveillant s’éclipsa en me faisant un signe de la main….J’étais très excité par ce qui venait de m’arriver, la sensation de m’être soumis ainsi à un homme sans chercher à lui résister. Il est vrai que l’homme était autoritaire et türkçe bahis je m’étais laissé vaincre sans même tenter de combattre, de lui refuser. Je n’arrivais pas à trouver le sommeil, et un peu plus tard, je vis le surveillant pénétrer de nouveau dans la chambre, et d’un pas déterminé, s’approcher de mon lit. Il souleva la couverture et saisit mon pyjama qu’il baissa d’un geste brusque. Il me retourna sur le côté d’un geste. Il commença à me caresser les fesses que j’avais bien rondes, larges et profondes. Il fit pénétrer sa main entre elles jusqu’à titiller mon anus avec ses doigts. J’adorais cette caresse à la fois douce et ferme. Je relevais légèrement mes fesses pour lui en faciliter l’accès…il restait silencieux de peur d’alerter le voisinage…je gémissais doucement, la tête dans l’oreiller…il s’était penché sur mon dos et je sentais son souffle chaud me balayer la nuque.Il avait bien écarté mes fesses. Je sentis que, maintenant, il faisait aller et venir son gland chaud tout le long de ma raie, de bas en haut…le lit était haut, l’approche en était facilitée. J’étais couché sur le côté, en chien de fusil, l’homme était debout, penché sur mon dos. Par moment, il appuyait fermement son gland contre mon anus, il forçait, tentait de le pénétrer…il se retira, mouilla son gland et mon anus avec sa salive, copieusement, puis recommença ses tentatives. Je me laissais faire, j’avais envie qu’il m’ouvre, me pénètre… J’avais assez mal et il forçait en donnant des petits coups de bite. Je sentais que, peu à peu, son gland pénétrait, que cet homme me prenait. Il m’avait saisi les hanches, me serrait fort comme dans une tenaille. Enfin, son gland passa la porte étroite güvenilir bahis siteleri qu’il avait déjà bien dilatée. Je sentis son sexe bien raide rentrer profondément d’un coup, il coulissait en moi, glissait. Je sentais ses gros testicules frapper mes fesses. Je reculais pour l’avaler encore et encore…Soudain, je sentis son sexe se raidir encore plus, il le sortit de mon corps et je sentis de puissants et abondants jets de sperme chaud m’arroser entre les fesses et jusque sur mon dos. Il remit rapidement de l’ordre dans sa tenue et disparut prestement dans le couloir.Je restais dans cette position sur le côté, sans bouger, de peur de rompre les sensations que cet homme m’avait procurées. Je passais mes doigts entre mes fesses toutes poisseuses, gluantes. J’aimais l’odeur forte de sperme qui régnait maintenant dans la chambre. Je m’endormis dans cette position, découvert.Dans la nuit, je sentis que quelqu’un me saisissait par les hanches. Je me réveillais en sursaut et vis le surveillant accompagné par un autre homme, le chef de l’intendance. C’est ce dernier qui me tenait fort par les hanches. Il avait sorti son sexe et tentait de le glisser entre mes fesses offertes. Je ne cherchait pas à me débattre pour l’empêcher…je savais que c’était peine perdue, le surveillant était là, me tenant par les épaules…finalement, je me laissais bien faire, je remontais mes fesses pour l’aider. Je sentis son sexe dur appuyer sur mon anus dilaté et lubrifié par le surveillant et me pénétrer à son tour. Il glissa bien à fond et il me pistonna pendant plusieurs minutes bien profondément. Je sentis des soubresauts agiter son membre qui cracha de nombreux et abondants jets de sperme chaud. L’homme grogna de satisfaction et se retira en m’embrassant dans le cou.Les deux compères disparurent dans les ténèbres, discrètement.Depuis cette mémorable nuit, je suis devenu leur salope soumise et docile, leur « vide-couilles ».

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Femme BCBG, escorte, non pute….(5)Note du nègre : Afin de ne pas alourdir le texte, toutes les scènes de sexe sont toujours protégées par des préservatifs.Des petits baisers sur mes yeux, mon nez, me ramènent à la réalité. Je les ouvre, mon petit amour me prodigue ses baisers. Nous nous étreignons de nouveau après la soirée que nous avons passée. Anne porte une main à ma chatte et fait entrer deux doigts sur les bords de mes lèvres. Je me mets sur le dos, j’ouvre les cuisses pour que sa petite main puisse progresser en moi. Anne hésite à aller plus loin, faisant comme elle l’a fait pour elle hier au soir, j’empoigne son poignet et le pousse en avant. Elle arrive au plus large de son poignet, elle insiste un peu et mes parois vaginales s’écartent pour laisser passer ses doigts. Le sexe en ébène que Virginie m’avait introduite a déjà écarter ma vulve, mais cette main, même petite me procure une sensation bien différente, elle est chaude, elle bouge, elle est humaine, elle est celle de ma petite poupée. — Va au fond mon amour.Aussitôt elle donne le dernier coup de poignet et, par la même, déclenche en moi un orgasme montant du centre de mes entrailles. Nous ne faisons plus qu’une par l’intermédiaire de cette main. — Je peux écarter les doigts ? — Oui, c’est si bon, n’hésite pas, je veux sentir ce que tu as senti hier. — Ses doigts s’ouvrent, mes parties intimes se distendent et je repars vers les étoiles que je viens à peine de quitter. Elle attend que l’équilibre se refasse dans mon corps et commence à bouger sa main, elle la sort de presque la moitié pour la replonger au fond de ma grotte. Je jouis, je jouis, je jouis encore… Mon corps n’est plus qu’une jouissance, mon cerveau est déconnecté. Le temps s’arrête, je viens encore de franchir une étape dans mon éducation sexuelle. Ma puce arrête de bouger sa main, vient jusqu’à la hauteur de mon visage et pour la première fois nos bouches se trouvent, s’ouvrent, nos langues se tournent, se retournent. Elle finit par sortir sa main et comme pour elle un bruit de succion ce fait entendre. J’att**** cette main, la monte vers nos bouches et chacune nous léchons mes sécrétions émises par ma petite chatoune.Anne se blottit dans mes bras, les yeux dans les yeux, nous nous regardons amoureusement.Subitement un rire nerveux arrive à mes lèvres. Anne, forte étonnée, me regarde avec incrédulité pensant certainement avoir fait quelque chose de mal.— N’ait pas peur, tu n’y es pour rien. Comme toi, j’ai été trahi par mon homme, qui avait un tout petit sexe qu’il faisait entrer dans ma chatte. Après la séance que nous venons de vivre toutes les deux, je voyais sa verge se perdre au centre de mon corps. Elle éclate, elle aussi de rire. — Tu viens à la piscine ? Elle est d’accord, nues toutes les deux, main dans la main, nous plongeons ensemble dans cette eau agréable, la température étant énormément montée dans les dernières minutes entre nous.Après le bain, nous mangeons et elle part rejoindre sa fille non sans oublier de me donner un tendre baiser. Virevoltante, elle s’éclipse, me laissant seule dans cette grande maison.Ne sachant pas à quel moment Virginie va revenir, je m’installe devant la télé et lance le CD porno.Une heure plus tard, c’est là que Virginie me trouve. Le film est fini, je n’ai rien eu le temps de voir, je me suis endormie comme une masse en deux minutes. Les folies que j’ai faites avec mon corps ont eu raison de ma résistance.Lorsque je me réveille, Virginie est nue près de moi sur le canapé. — Je ne t’ai pas entendu arriver. Anne n’est pas là ? — Elle est partie, il y a quelques minutes pour rejoindre sa fille. — Comment vas-tu, as-tu fais bon voyage ? — Ta soirée, c’est bien passé ? — Comment était-t-on rendez-vous ? — Avant embrasse-moi. Nous-nous étreignons, retrouvant nos bouches qui se sont manquées depuis deux jours. Repue de nos baisers, j’attends qu’elle me donne quelques renseignements sur son voyage à Londres. — Tout c’est bien passé ? J’ai retrouvé la capitale Anglaise pour une fois sous le soleil. A la sortie de la gare, j’ai pris un taxi qui m’a conduit à l’hôtel. Ma chambre était magnifique. Je me suis reposée quelque temps, nue sur mon lit. Alors que j’allais me préparer, quelqu’un a frappé à la porte, j’ai ouvert dans le plus simple appareil. C’est un chasseur qui m’apporte un exceptionnel bouquet de roses sur lequel un bristol est tenu par une agrafe. Les yeux du chasseur sont exorbités. Il est rouge de confusion, ne sachant pas où poser son regard. Les fleurs placées dans le vase sur la table, il prend le chemin vers la sortie. —— Attendez ! Je saisis mon sac et récupère un billet. Obligé, à mon appel, de se retourner, il ne peut échapper à la vue de mon intimité qui se trouve dans l’axe de ses yeux.Rapidement il l’att**** et détalle le plus vte possible.Après son départ, je me saisis du bristol. Quelques mots écrits en anglais d’une écriture raffinée « Je m’appelle Patrick, je suis irlandais je vous attends à vingt heures au bar de l’hôtel » A l’heure prévue, je pénètre dans le bar où de nombreuses personnes sont présentes. Je m’installe le carton à la main. Je n’attends que quelques secondes et un homme très élégant approche.— Vous êtes Valérie ! Nom dont je me sers lorsque je rencontre des clients.— Oui bien sûr !— Vous êtes française, nous pouvons parler votre güvenilir bahis langue, je la pratique assez bien et cela me servira pour progresser. Il m’entraîne vers une table ou deux autres couples sont installés. Patrick fait les présentations. — Que voulez-vous boire ?Lorsque je suis en mission, je ne prends jamais d’alcool. Je commande un cocktail aux fruits. Patrick a déjà, en bon Irlandais, un double whisky dans son verre. Il m’explique que tous sont réunis pour fêter son anniversaire et comme il est seul dans sa vie, ses amis lui ont offert ma présence. — Tu sais depuis que j’ai commencé à être escorte girl, tu ne peux pas savoir le nombres d’hommes seuls, fêtant leur anniversaire offert par leurs amis ont passé la soirée avec moi.Ayant repris une autre tournée de whisky, nous partons vers un restaurant très chic. Repas de haute qualité que je déguste fidèle à mon habitude arrosé d’eau minérale.Patrick continue à « carburer » au whisky. Les deux couples semblent légitimes. Ces dames sont très agréables et élégantes. Elles m’expliquent que les trois hommes ont un cabinet de gestion d’entreprise à Dublin. Le repas terminé, nous prenons le chemin d’une discothèque très moderne.Patrick commande une bouteille de whisky et une bouteille d’eau pour moi. Nous dansons jusqu’au bout de la nuit. Patrick a de plus en plus de mal à tenir debout. J’ai vu défiler une, deux, trois bouteilles de whisky. Vers quatre heures, les femmes me disent de rentrer me coucher. Elles assureront le retour des trois hommes. Elles ont commandé un taxi qui m’a conduite à la porte de l’hôtel.Je prends un bain et me couche en pensant à toi. Que faisais-tu avec Anne ? Je me suis endormie jusqu’à onze heures, heures anglaises.On frappe à la porte, j’ouvre le chasseur de la veille m’apporte une enveloppe.Dommage je suis déjà habillée. Son regard marque sa déception. Il tourne les talons. J’ouvre l’enveloppe, quelques mots « Sorry, bon retour en France. Patrick » J’ai repris le train pour la France. Avant Paris, mon téléphone sonne, il faut que je passe à une adresse donnée déposer mon passeport pour que l’on s’occupe de mon visa. — Je dois me rendre en Russie pendant trois jours à partir de mercredi.— Je prendrais un vol aux environs de 14 heures depuis Roissy Charles de Gaules. Vol direct pour Moscou. Je dois retrouver un monsieur « Igor » avec qui j’ai déjà passé des soirées.— Et toi, qu’avez-vous fait toutes les deux, raconte moi ?. Rouge de confusion, je bredouille quelques mots. Elle m’arrête.— Parle librement, je peux tout entendre. Je reprends mon souffle et je me lance, je lui explique que la petite a voulu faire un sauna, où je l’ai rejointe. Je lui raconte l’initiative que j’ai prise pour la première fois de ma vie en lui mettant ma main sur son mollet. L’initiative de faire monter ma main jusqu’à son genou. Celle qu’elle a prise, faisant tomber sa serviette, en saisissant mon poignet et en plaçant mes doigts au contact de sa petite chatte de poupée couverte d’une toison très noire. En disant ses mots, mon cerveau fait repasser les images devant mes yeux, je sens que ma chatte mouille.Le passage de mes doigts dans sa vulve, la pénétration de mes phalanges, de la partie épaisse du poignet sont autant d’images qui seront gravées à vie dans mon cerveau.L’écartement de mes doigts lorsque j’atteins le font de sa grotte, les mouvements d’avant arrière et ses cris lorsqu’elle a joui.Tout en expliquant ces moments intenses à Virginie, ma main s’est posée sur sa fente. Elle se laisse pénétrer par deux de mes doigts. Elle mouille, elle aussi.Je lui conte notre nuit et notre réveil. La main de la petite au bord de ma vulve, ses doigts, son poignet, la pénétration maximale et l’écartement de ses doigts. Mon premier orgasme, sa main et son poignet coulissant librement. Mon ventre tendu à l’extrême et pour finir les râles de plaisir émis venus du fond de mon corps.Virginie est aux anges en entendant mon récit. — Anne et toi vous avez, seules, découvert le « fisting ». Vous savez, cette pratique sexuelle est utilisée par de nombreuses femmes. Elle- même a eu une expérience de ce genre mais n’en a pas conservé un souvenir impérissable.J’enlève mes doigts, lui fais sucer. Je prends sa tête et la conduits jusqu’à mon abricot qui n’est plus doré après le traitement d’Odile. Elle me lèche, me fouille avec sa langue, je jouis. Le lendemain, nous reprenons le chemin de l’institut. Mon portable sonne, l’avocat du divorce m’appelle pour me faire savoir que l’appartement est vendu. Il peut donc démarrer la procédure de conciliation au palais de justice et d’ici quelques jours le juge nous convoquera. Je lui donne l’adresse de l’institut pour qu’il fasse suivre les papiers et les lettres de convocation.La journée se passe rapidement, rentrez cher nous Virginie prépare ses affaires pour son départ le lendemain.Le mercredi, elle part au début d’après midi vers l’aéroport. Vu mon travail, je ne peux l’accompagner. Je l’embrasse et la regarde s’éloigner les yeux embués.A la fin de journée, je prends le chemin de l’auto-école. J’ais mon premier cours de code. Je m’y rends avec Odile.Virginie, Anne ne pouvant pas passer les nuits à Chennevières, lui a demandé de m’emmener chez elle pour que je ne sois pas seule isolée. Stéphane m’attend, nous passons dans la salle de projection où türkçe bahis nous travaillons studieusement pendant une heure.Le cours terminé, Odile et moi, prenons un taxi pour nous rendre à Montrouge où elle habite. Il nous dépose devant un immeuble de construction récente.Nous prenons l’ascenseur jusqu’au quatrième, elle ouvre sa porte et entrons. Une voix masculine se fait entendre. — Tout va bien ma chérie ? Un homme apparaît, Odile me présente Alain, son mari. Je tombe des nues. Lorsque j’ai accepté de venir, personne ne m’a dit qu’Odile était mariée. Bel homme, trente à quarante ans, il enlace mon amie et lui donne un baiser à la hauteur de son amour. Il nous entraîne dans la salle à manger où le couvert est mis pour trois. Voyant mon étonnement, Odile me dit qu’après que Virginie lui ait demandé de me recevoir, elle a téléphoné à son mari pour le prévenir de mon arrivée. Odile m’installe dans la chambre d’amis et me montre la salle de bain.Je fais un brin de toilette et les retrouve au salon. Nous prenons l’apéro, passons à table. Alain est un vrai cordon bleu, le jambon salade est savoureux, le plat magnifiquement présenté. Nous prenons le café et devant nous lever de bonne heure, surtout lui, nous regagnons nos chambres. Je rejoins la salle de bain et prends une douche avant de retrouver mon lit douillet. J’entends des bruits d’eau pendant quelques minutes. La porte de ma chambre s’ouvre, Odile m’apparaît nue.— Je peux entrer ?J’ouvre le drap du lit, l’invitant à me rejoindre.— Et ton mari ? Elle rigole.— Nous sommes un couple libertin et vivons selon nos envies. Je t’expliquerai plus tard. Elle m’embrasse, me caresse surtout les seins qui semblent pour elle une source de plaisir intense. J’entends la porte s’ouvrir, je me retourne Alain est là, nu. — Accepte-tu qu’il nous rejoigne. Tu sais nous nous disons tout et il sait ce qu’il s’est passé entre nous dans la cabine de l’institut. J’ai un moment d’hésitation mais j’ouvre le drap pour qu’Alain prenne place à côté de moi. Je sens pour la première fois depuis longtemps une peau d’homme le long de la mienne. Une peau d’homme et surtout une tige qui grandit le long de ma hanche. Alors qu’il embrasse sa femme, elle prend ma main et la pose sur la verge de son homme. Celle-ci se développe encore et je peux contempler son membre puissant.Me souvenant du film vu au pavillon, je me penche et embrasse son gland. Le sexe d’ébène était légèrement plus gros mais cette verge ne manque pas de charme. Pour la première fois je prends une queue en bouche, je la suce, l’embrasse sur toute sa longueur et finit par la faire pénétrer jusqu’au fond de ma gorge. Contrairement à la première fois avec le gode, je ne m’étouffe pas.Pendant ce temps, Odile a rejoint ma chatte qu’elle suce méticuleusement. J’ai hâte de sentir cette belle verge au fond de mon vagin. Ne connaissant que la position du missionnaire, je m’allonge et écarte les cuisses.— Non, viens t’empaler sur moi ! Voyant mon désarroi, Odile me fait pivoter au-dessus de son homme. Elle empoigne sa verge et la guide dans mon vagin. Que c’est bon, que c’est chaud, que ça me remplit bien. — Maintenant, fais coulisser en toi cette tige qui va te donner beaucoup de plaisir.Je prends un rythme lent et rapidement mon plaisir monte en moi. Pendant que nous copulons, il m’embrasse les seins principalement mes tétons qui sont gonflés au maximum.Que c’est bon une bonne queue bien grosse, bien tendue au fond de mon ventre !Alain m’arrête.— Je veux vous prendre toutes les deux. Odile, fais voir à notre nouvelle amie comment se mettre en levrette. Elle prend la position me demande de faire de même, côte à côte, nous sommes à quatre pattes. Alain passe dernière nous et prend mon amie par les hanches et plonge son sexe dans sa vulve. Il la laboure rapidement, Odile me regarde avec les yeux déjà troubles. Nos bouches se trouvent, je sens sa première jouissance arriver sur mes lèvres. Alain se retire, m’empoigne à mon tour et me cloue avec son mandrin. La sensation est bien différente de ce que je connaissais, son sexe va et vient à vitesse soutenue. Ses testicules viennent battre contre mon clitoris qui se trouve ainsi bien stimulé. Il m’empoigne les seins si fortement, que j’ai l’impression qu’il veut me les arracher. Je jouis. Il me quitte et poignarde Odile. Il fait des aller- retour en chacune de nous de plus en plus rapidement. J’ai l’impression que sa queue est en permanence en moi. Une immense jouissance nous saisit toutes les deux au même moment. Il passe devant nous et pressente sa tige à nos bouches. Nous la suçons chacune à notre tour ou, nos langues se retrouvent le long de cette verge. Odile lui malaxe les boules, je l’imite, il faut bien apprendre.— Je vais partir. Vous êtes prête ? Odile lâche la verge et ouvre sa bouche, je l ‘imite, joue à joue, un, deux, trois jets de sperme partent vers nous. J’ai la chance qu’un de ces jets arrive au fond de ma gorge. Chacune notre tour, nous reprenons en bouche l’intimité de notre partenaire. Il pousse des râles de plaisir que j’entends aussi distinctement pour la première fois. Pierre, lui, lorsqu’il déchargeait dans ma chatte, fermait hermétiquement la bouche, son éducation l’empêchait de faire apparaître son plaisir. Voyant Odile avaler le sperme de son homme avec envie, je l’avale moi aussi .Le goût güvenilir bahis siteleri un peu fade, n’est pas désagréable.Vidés, surtout Alain, nous sombrons dans un repos bien compensateur.Le matin le réveil sonne. Je constate que discrètement notre homme s’est levé et est parti travailler.Nous nous préparons et nous prenons le chemin de l’institut.La journée passe rapidement, vu la charge de travail. Je reçois simplement un appel de la momie de Pierre, bref de l’avocat. Je vais recevoir la convocation au palais pour le mardi après midi suivant, mon ex étant à Paris ce jour là.Le soir, nous faisons ensemble le chemin de Montrouge avec Odile.Avant de monter, nous passons dans une charcuterie acheter le repas du soir.Alain n’est pas encore rentré, nous préparons la table, il arrive, nous embrassent et nous mangeons rapidement.Il nous propose de rejoindre la chambre.— Acceptes-tu de devenir notre esclave, dans le respect de ta féminité et de ton honneur ?Odile me dit d’accepter, je ne le regretterais pas.— Faites de moi ce que vous voulez.Odile me couvrir les yeux avec un loup. Je ne vois plus rien. Pendant ce temps, Alain me déshabille, Il m’installe sur le lit et m’attache les mains avec une cordelette douce comme du velours au montant de lit. Je ne peux plus m’échapper.Es-je vraiment envie de m’échapper ?Suis-je vraiment leur esclave ?Ne suis-je pas simplement à la recherche de mon moi intérieur ? Est-ce que je ne suis pas simplement dans l’attente de savoir jusqu’où mon corps est capable de rejeter mon éducation rigoriste ?Lorsque je ne peux plus me défendre, est-ce bien sûr la cordelette est si fine ? Je suis persuadée que si je tire dessus, elle cédera, je pense que ce ne sont que des liens psychologiques.— Odile, va trouver dans la rue, un inconnu qui a envie d’une cochonne !Un instant je me crispe, mais l’envie de casser mes barrières, me fait accepter la situation.La porte claque, Alain est seul avec moi, il me prend immédiatement avec son sexe.Les mouvements dans ma vulve, liés à l’attente q’un inconnu arrive à son tour pour me prendre font rapidement monter en moi un premier orgasme.— Place-toi en levrette petite femelle, il va arriver !Peu de temps s’est écoulé quand le bruit de la porte se fait entendre.— Enter ! Alain s’est retiré, mon sexe est en attente.— Déshabillez-vous, elle vous plaît ? Un grognement semble dire oui.— Tu verrais le beau morceau bien tendu que je prends en bouche mon cœur. Allez- y elle est à vous !Mon ventre n’en peut plus d’attendre, qu’il vienne vite, je l’attends, même si mon cerveau se demande, comment est-il, grand, petit, gros, maigre, beau ou laid. Je sens un mouvement sur le lit, deux doigts fouillent ma vulve. D’un coup, je sens un mandrin écarter mes grandes lèvres et pénétrer aux tréfonds de moi. Quelle sensation ! Ses mains se posent sur mes hanches en appuyant légèrement pour que je me cambre, mon sexe s’ouvre un peu plus, il gagne quelques millimètres.Un inconnu me fouille, pourtant, je l’admets, la quête de mon plaisir me fait accepter bien volontiers cette situation.La verge dans mon con, a des mouvements d’avant arrière très lents comme si l’homme qui me besogne voulait, me donner du plaisir et faire durer son plaisir. N’a-t-il pas beaucoup de chance de baiser cette jolie femme ! Une bouche vient à la hauteur de mon visage et une langue me lèche amoureusement, le nez, les oreilles.Je sens Odile à coté de moi, son parfum arrive à mes narines.— Alors qu’en penses-tu, c’est bon de se faire prendre par un inconnu ?La boule qui monte dans mon ventre me confirme que la situation qu’ils me font vivre est exceptionnelle.Je jouis, plus que cela, je n’ais jamais senti une telle jouissance dans ma vie. La verge se retire.— Alain, reprends la, pendant que sa vulve est chaude, ne laisse pas retomber son plaisir. !Aussitôt il s’exécute, je sens bien les mouvements de mon premier amant plus forts, plus virils que ceux de l’inconnu. Les deux verges qui se succèdent son relativement de même taille. En maîtresse de nos jeux, Odile commande.— A vous monsieur, reprenez là.l’inconnu me ré enfile.Aussitôt les mouvements plus lents dans mon vagin recommencent. Que c’est bon ! Que je jouis, jouis, jouisssssssss.— A toi Alain ! De nouveau son sexe remplace l’autre et reprend son mouvement plus rapide. — A vous ! Changement de sexe, avec en plus de la pénétration et les mouvements plus doux, des caresses sur mes hanches, mes fesses, sa main entoure mon corps et ses doigts viennent stimuler mon clitoris. Une fois de plus un, deux, trois orgasmes me dévastent. Ma chatte est en feu. Enfin, celui qui est en moi pousse un cri de jouissance et je sens les jets de spermes venir taper mes cloisons vaginales à travers le préservatif.— Veux-tu que je te libère ?— Oui ma chérie ! Elle m’enlève les cordelettes et le loup. Quelques secondes je ne vois rien.Pourtant je souhaite voir cet inconnu qui a été si doux avec moi, je me retourne, surprise !Alain et Odile sont seuls derrière moi. Une fraction de seconde je suis triste que l’inconnu soit parti si rapidement.— J’ai vécu la même situation, et ai ressenti la même frustration. Nous n’avons toujours été que trois dans la pièce. Alain a joué le double rôle de ton amant et de l’inconnu. Un simple jeu de vitesses, rapide ou lente, lorsqu’il te faisait l’amour t’a donné l’illusion qu’ils étaient deux.Je tombe dans leurs bras, je les embrasse avec tellement d’amour dans les yeux.Nous-nous endormons rapidement. Dans mes songes, un homme tronc sans visage me donne du plaisir jusqu’à ce que mon cerveau déconnecte.

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Rencontre avec un black en discoJe suis sorti ce samedi soir avec ma copine en discothèque, nous sommes depuis 8 ans ensemble et en matière de sexe, nous avons déjà pas mal fait de truc ensemble , mais toujours à deux . Elle portait ce soir là une jolie robe noire courte sous laquelle elle avait enfilé un mini-string noir à ficelles latérales et un petit triangle noir au-dessus de fesses. Je venais de lui offrir le matin même ainsi que des bas noirs à grosses mailles auto fixant .Elle portait également un soutien-gorge qui recouvrait seulement la partie basse de sa poitrine, ce qui fait que ses tétons sont collé directement contre le tissu de la robe. En fait, elle s’était faite super sexy et bien maquillée pour moi, mais en fait elle aura fait tourner plus d’une tête pendant la soirée et ce ne sera pas moi qui en profiterai !Nous avions trouvé juste une place sur les tabourets au comptoir faisant dos au comptoir, donc tournés vers la salle, la musique était forte et les rythmes effrénés latinos faisaient tout vibrer. Nous avions commandé deux cocktails alcoolisés .La robe de Sandrine lui remontait jusqu’à mi-cuisse laissant apparaitre le haut de ses bas. Tous les hommes qui passaient devant nous ne se gênaient pas pour lui mater les cuisses, elle croisait les jambes.Certains repassaient plus ou moins discrètement plusieurs fois pour reluquer ma belle .Pendant que j’observais le manège des messieurs, un grand black très baraqué vint se poster au comptoir juste a coté de nous, ou plutôt de Sandrine .Je ne le vis pas de suite. Quand je m’aperçu de sa présence, il était tourné comme nous, mais debout.Je voyais alors ses yeux rivés en alternance entre le décolleté de ma bien aimée et ses cuisses .Je devinais alors une boursoufflure dans son pantalon, le salaud bandait en matant Sandrine ! Je lui fis remarquer dans le ceux de l’oreille qu’elle arrête de faire bander les hommes ! Elle fronça les sourcils pour me faire comprendre “Comment?”, je lui fis de la tête en direction du black à côté. Elle se tourna vers lui et ses yeux étaient presque à la hauteur du sexe du monsieur, elle me regarda ensuite en faisant des grands yeux .puis se retourna de nouveau vers lui pour contrôler si elle avait bien vu et leva la tête vers la sienne, à ce moment je vis le noir lui sourire, un sourire qu’elle lui rendit aussitôt.Il reçu sa consommation et il alternait les matages de cuisses-décolletés et les gorgés de sa boisson, je remarquais qu’il essayait de se faire très discret car il avait remarqué que j’étais avec elle. Mais je m’aperçu qu’il ne débandait pas. Il avait l’air d’avoir un très gros sexe, comme apparemment c’est coutume chez les noirs. Je sais que Sandrine aime les gros sexes et j’observais qu’elle était un peu troublée. Elle me dit alors effrontée qu’elle mouillait ! A ces mots je senti comme une excitation dans le bas ventre.Arriva une série de slows. Le black se tourna vers nous et nous demanda s’il pouvait danser avec madame, je fus surpris et tétanisé, à tel point que je ne pu répondre et Sandrine semblait enchantée se jeta pratiquement dans ses bras. Il fût surprit, mais ca n’eu pas l’air de lui déplaire.Arrivés sur la piste, le black posa ses grandes mains sur les hanches de Sandrine et elle posait ses mains sur ses épaules. Le black la tira à lui de fait qu’ils étaient très collés. Je pu m’apercevoir, malgré l’obscurité relative que le black lui disait des choses dans le creux de l’oreille pendant les slows et elle rigolait. Par moments la lumière se faisait güvenilir canlı bahis siteleri plus clair et je pu voir que la main du cavalier de Sandrine avait légèrement descendu de la taille et se retrouvait à présent au niveau de son coc xis et il avait l’air de s’y attarder, comme s’il cherchait quelque chose.Après le troisième slow la deuxième main du noir avait franchi un cap et se retrouvait tout simplement sur la fesse gauche de ma bien-aimée qui ne protestait pas de moins. Je sais qu’elle est très sensible dans cette région là (fesses et bas du dos). Ils terminèrent la série de slow ainsi avant de regagner leurs places respectives. Je demandais alors à Sandrine si ca allait, elle me répondit que oui et lorsque le noir sembla regarder dans un autre coin, je lui demandais ce qu’il lui avait dit quand elle a rigolé. Elle m’avoua qu’il lui avait dit qu’elle était très sexy et qu’avec une femme comme ca il danserait bien toute la nuit, si elle voyait ce qu’il voulait dire … Elle me dit dans la foulée qu’il n’avait pas arrêté de jouer avec la ficelle de son string au travers la robe pendant la danse. Je lui dis que j’avais remarqué quelque chose. Elle ajouta ensuite discrètement qu’il avait l’air d’être un chaud lapin. Elle avait aussi senti son énorme attribut qui ne ramollissait pas contre son ventre durant tous les slows. Je lui demandais alors qu’est ce que ca lui avait fait comme impression, elle me dit que ca l’avait à la fois flatté et excité.Le black qui s’étant présenté comme étant Désiré me demanda si je n’aimais pas danser, je lui répondis que non, que j’aimais être dans des endroits comme ici, mais que je ne dansais pas. Il me dit alors que ca ne devait rien me faire s’il continuait à danser avec ma partenaire durant la soirée, je lui répondis un peu troublé que non. Sandrine me dit ensuite qu’elle devait aller aux toilettes, elle s’éloigna alors en passant devant Désiré qui lui matait le popotin comme s’il n’en avait jamais vu …Sandrine revint après quelques minutes s’assis à côté de moi et me glissa quelque chose sous la table dans la main. Je sentais un bout de tissus tout mouillé et regardais discrètement, c’était son petit string trempé de son excitation. Elle me fit un clin d’œil en se levant sous une musique antillaise suivi de près par Désiré qui semblait ravi. Ils dansaient cette fois avec un peu plus de distance, mais je voyais Sandrine qui se déhanchait d’une façon très équivoque en se baissant parfois les fesses tendu vers le sexe de Désiré comme le font souvent les danseuses des caraïbes et lui posait ses mains sur ses hanches à elle comme pour simuler l’acte de copulation a****l. La scène me troublait.Après une bonne vingtaine de minutes de ces déhanchements, alors qu’ils semblaient vouloir regagner leur place, recommença une nouvelle série de slows. Désiré pris alors directement Sandrine par les fesses, elle était collé contre lui. Il remonta alors une main qui semblait chercher de nouveau quelque chose et remarqua que ce n’était plus là … Il regarda alors mon amie droit dans les yeux en fronçant les sourcils prenant l’air étonné et Sandrine lui sourit, d’un air ravi de l’avoir surprit. Il reposa aussitôt sa main sur sa fesse et lui glissa un mot à l’oreille. Elle se mordit la lèvre inférieure et ils continuèrent à danser.Après quelques instants, il lui dit à nouveau quelque chose à l’oreille, elle le quitta aussitôt, je pensais qu’elle était vexée ou fâchée, elle me rejoignait, prit son sac et se dirigea vers güvenilir illegal bahis siteleri les toilettes. Elle revint après quelques deux, trois minutes me laissa son sac et repris le chemin de la piste de danse vers Désiré. Je décidais alors de jeter un œil dans son sac et je découvris avec stupeur son soutien-gorge ! Je jetais un regard vers elle qui s’enlaçait dans les bras de Désiré. Il lui dit alors quelque chose et elle leva les bras en l’air en souriant. Ma petite amie était désormais sans sous-vêtement dans les bras d’un grand noir qui la serrait tout contre lui, avec juste le mince tissu de sa robe qui séparait ces grandes paluches d’ébène et la peau blanche et tendre de ma chérie et de son 95C.Je le vis qu’il tenait un sein dans sa main l’autre main s’occupait des fesses de Sandrine. Le contact était torride, érotique et langoureux. Cela ne déplût pas à mon amie qui adore les hommes virils et entreprenants, mais celui-là il y allait sans gêne !Après que les slows soient terminés je les vis tous les deux se rapprocher de moi pour s’assoir et Désiré qui ne pouvait pas cacher son excitation me demanda si nous serions d’accord pour aller chez lui maintenant, Sandrine me lançait un « oui » du regard, je répondis alors par l’affirmative pour ne pas la décevoir, de toute façon j’étais de la partie donc elle ne risquait rien.Nous arrivions après vingt minutes de route, nous dans notre voiture et lui dans la sienne, dans un quartier où se trouvaient plusieurs immeubles. Nous montons dans son appartement dont l’ambiance sentait bon l’air africain. Il nous pria de nous assoir et alla dans la cuisine, il revint après quelques minutes avec trois cocktails, nous étions surpris de la qualité visuelle et de la rapidité avec laquelle il les avait concocté. Il s’assit alors de l’autre côté de Sandrine sur son grand canapé et en prenant un air très à l’aise trinqua avec nous à une nouvelle amitié. Son cocktail avait un goût fabuleux, mais après la première gorgée je sentais un coup de fatigue, je fis ensuite semblant de boire car je supposais qu’il avait mis quelque chose pour m’endormir dans le verre. Après quelques minutes je fis semblant de m’assoupir et je gardais un œil légèrement ouvert pour observer la situation.Sandrine semblait étonnée que je me sois endormi et Désiré lui répondit que je ne faisais pas la fête, mais que j’étais déjà tout de même fatigué. Il ne perdit alors pas une seconde et dit à Sandrine qu’elle lui avait fait mal toute la soirée, elle lui demanda comment cela et il lui dit qu’elle l’avait fait bander et que ca lui avait fait mal dans le pantalon tellement son sexe était coincé. Il lui dit alors qu’elle devrait payer cette souffrance et la prit alors par le bras pour la faire se mettre à genoux devant lui. Je le vis ensuite ouvrir son pantalon et sortir une matraque déjà au garde-à-vous. Il lui dit alors, maintenant tu va me sucer !Je fus ensuite témoin d’une scène incroyable, voyant la femme que j’aime, qui ne veut jamais me faire une fellation, parce que c’est dégelasse, comme elle dit, prendre ce monstre noir en bouche comme si c’était une habitude. Je la vis lui faire une fellation comme seules sont capable de le faire les actrices pornos dans les films X. Elle le léchait, le serrait entre ses lèvres et jouais avec sa langue autour du gland et de la verge, il bandait dur comme du roc, elle devait faire 25cm sur 7 de large, elle ne pouvait tout prendre en bouche et pourtant il lui percutait la gorge avec son gland güvenilir bahis şirketleri turgescent, ce qui lui fit presque vomir á plusieurs reprises. Sandrine ne semblait pas gênée et reprenais d’assaut ce braquemart qui lui tendait la bouche au maximum. Je voyais cette énorme verge luisante qui s’engouffrait dans la bouche de ma copine, j’étais à la fois sidéré, admiratif et excité, je n’étais même pas jaloux. Je bandais à mon tour comme un âne.Désiré se releva, prit Sandrine par la main et l’allongea sur le canapé. Il lui remonta la robe au-dessus du bassin et découvrit alors une petite chatte qui semblait très étroite surmontée d’un léger duvet blond. Un petit minou qui luisait de cyprine tellement ma belle avait été excitée toute au long de la soirée. Son amant lu écarta les cuisses doucement et commença avec sa langue gigantesque à lui lécher la partie la plus intime et sensible de son anatomie. Je vis ma belle se tortiller de plaisir et je l’entendais haleter irrégulièrement, il lui suçait, tirait sur ses lèvres elle écartait d’elle-même ses cuisses au maximum et commença à pousser des cris de plaisir. Elle le suppliait de ne pas s’arrêter, elle mouillait comme une folle, mais Désiré lui fit comprendre que c’était lui le maître et qu’elle n’avait rien à lui ordonner, qu’il ferait d’elle ce qu’il voudrait, elle lui répondit alors qu’elle lui appartenait et qu’elle ferait tout ce qu’il veut !Il l’a prit alors dans ses bras et s’en alla en direction de ce qui semblait être la chambre, je ne les voyais plus. J’entendis qu’il la jeta sur le lit et qu’il lui demanda se déshabiller complètement. Je me levais et alla en direction de la chambre où la porte était resté ouverte et je vis ma Sandrine couchée sur le dos, nue, les jambes écartées et les genoux remontés et Désiré qui terminait de se dessaper pour ne plus se retrouver qu’en tenue d’Adam. Il avait un beau corps musclé et j’aperçu son pénis en érection, tendu et prés à exploser me semblait-il avec un énorme gland luisant qui prenait le chemin de l’entrée du vagin de ma tendre aimée. Alors que je pensais qu’il allait la pénétrer d’un seul coup et directement, il joua à frotter son gland contre son clitoris et ses lèvres et j’entendis Sandrine lui dire tout bas : -«Prends-moi »Il lui demanda de répéter, elle lui répondit :-« Baises-moi », il lui dit alors que c’est lui qui décidait si oui ou non il l’a baiserait. Elle l’attrapa par le cou en avançant son bassin en avant, comme pour provoquer la pénétration Il lui dit alors que s’il la baise, il voudrait après la baiser tous les jours et même plusieurs fois par jour, elle le supplia de la pénétrer. Il commença alors á tenir son pénis en direction de l’entrée du vagin, fit pénétrer le gland en stoppant tout mouvement, elle lui dit viens en moi et il s’enfonça totalement en elle. Elle poussa un cri de surprise, de victoire et de douleur mêlée au plaisir. Il se retira aussitôt complètement d’elle pour la pénétrer à nouveau plus rapidement et avec plus de force.Il s’en suivit une longue série de va-et-vient où je voyais ses grosses couilles pleines taper contre les fesses de ma fiancée. Cela dura au moins vingt minutes, Sandrine eut de multiples orgasmes et lui poussait des cris de bête en rut, je réalisais alors que cet homme encore pour nous toujours inconnu la besognait sans préservatif. Je les entendis alors crier leur orgasme et je voyais ce colosse noir-africain qui se vidait les couilles dans l’intimité de ma blanche chérie pendant plus d’une minute. Je vis ensuite Désiré se retirer assez rapidement et ma copine qui gisait littéralement là les jambes écartées, exténuée, avec des flots de sperme épais qui coulaient de son entrecuisse. Il lui dit alors qu’elle était un bon trou à sperme, un bon vide couille comme il aimait et que la nuit n’était pas finie…

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Confessions d’une femme médecin

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Confessions d’une femme médecinJe m’appelle Marie-Claire et je ne vous dirai pas mon âge car c’est celui où l’on commence à le cacher. Je vous indiquerai simplement que j’ai un mari et deux enfants et que j’exerce la noble profession de médecin généraliste dans le quartier populaire d’une grande ville du sud de la France. Un boulot prenant qui ne laisse pas beaucoup de place au loisir et offre une vue plongeante sur les misères de la société. Les corps n’ont plus de secret pour moi : jeunes, vieux, beaux, laids mais presque toujours malades. Le fait de commercer en permanence avec la maladie (et la mort) impose un rapport différent avec le physique et le psychique. Je ne vais pas me lancer dans la psychologie de bazar mais disons que ça donne le goût de vivre et de jouir.Dans ce contexte, le sexe a toujours constitué pour moi une part importante de mon existence. L’amour, je le réserve à l’homme de ma vie qui ne m’a jamais quittée malgré mon boulot de dingue et mon tempérament de feu. Il sera quasi absent de ce texte. Il y a en moi une version a****le qui demande à s’exprimer en dehors de l’amour. J’ai eu assez tôt dans ma jeunesse la conscience que j’avais un besoin vital de sexe. C’était pendant mes études de médecine. Les carabins sont réputés pour être de chauds lapins et je confirme. Dès la première année d’études, une soirée un peu arrosée dans l’appartement d’un copain dégénéra en partouze et je m’aperçus que j’aimais être prise par un, deux, trois hommes à la suite, voire deux à la fois. Une révélation. Très vite, ma réputation fut faite : j’étais une femme à hommes. Une baiseuse. Une chaude du vestibule, cette partie du sexe féminin que connaissent les gynécos. Certains disaient même une nympho, ce que je trouve très exagéré. On peut aimer baiser sans être une salope, non ? On comprendra donc pourquoi je ne me suis pas mariée avec un médecin, mais avec un homme simple et vrai, d’une condition sociale inférieure à la mienne, éloigné du monde médical, ignorant tout de mon passé un peu tumultueux. Ou faisant mine de.Bien que très attachée à lui, je lui ai vite été infidèle, mais seulement physiquement. L’inconvénient d’être très occupée par mon boulot me fournit en contrepartie des opportunités de galipettes ici ou là. En médecine généraliste, on ne voit pas que des femmes enceintes, des vieux anémiés ou des gosses enrhumés. Il arrive qu’un homme, jeune et bien fait, franchisse la porte du cabinet pour une affection mineure, notamment des sportifs. J’avoue être sensible aux corps minces, aux ventres plats, aux jambes longues. Et surtout aux slips bien remplis, derrière comme devant…Je me souviens d’un jeune athlète venu passer une visite médicale de formalité pour obtenir sa licence et dont les parties génitales copieuses débordaient littéralement du léger coton. Il avait l’air coquin et dégagé du gars qui connaît le succès auprès des femmes, et j’y fus aussitôt sensible. Après l’avoir ausculté sans doute d’un peu trop près, je ne résistai pas à un trait d’esprit en désignant son entrejambe :— Ça ne vous gêne pas pour courir, tout cet attirail ?Le gars était bien du genre spirituel.— Détrompez-vous. Tenez, soupesez, c’est léger comme tout.Je me marrai franchement mais le jeune homme me prit la main et me la mit carrément sous son scrotum. Je suis incapable de résister à une belle paire de couilles et ma main s’attarda sur le petit sac de chair. Bien entendu, le mec se mit à bander. Sans réfléchir, dans le feu de l’instant, je laissai ma bouche envelopper son gland, dense et brûlant, et entrepris une fellation d’autant plus frénétique qu’elle était totalement imprévue. Au bout de quelques minutes, après m’être longuement intéressée à son méat, le pénis se mit à palpiter et je reçus une énorme giclée qui fouetta ma glotte, déborda sur mes joues et coula sur mon menton. Je m’essuyai avec le rouleau de papier recouvrant la table d’examen et lâchai :— Eh ben dis donc, tu peux faire tes offres de service aux inséminations artificielles, tu as le matériel et le contenu adéquats.Inutile de vous dire que le jeune type reçut l’avis favorable pour la licence. L’objectivité m’oblige à préciser qu’il revint le lendemain à un horaire creux et que, cette fois, c’est moi qui fus nue sur la table d’examen pendant que le gaillard me pilonnait avec une ardeur qui m’enthousiasma. Craignant pour la durabilité de ma table chèrement acquise, nous poursuivîmes nos échanges à même le sol. Je m’imposai de mon plein gré une séance de pal en position accroupie qui mit la résistance de mes cuisses de skieuse à l’épreuve mais me permit une pénétration vertigineuse. Comme quoi le ski a du bon. L’heure des rendez-vous sérieux approchant, je fus toutefois dans l’obligation de prendre mon pied, le garçon ayant rempli son latex avec des grognements de satisfaction.Deux jours après, je recevais une visite d’un copain de la même équipe. J’ai tout de suite vu le piège où je risquais de m’enfoncer : le gars repartit avec son certificat médical, mais sans pipe. Je m’efforçai dès lors d’éviter les parties de jambes en l’air à mon cabinet, sans toutefois y parvenir à tous les coups.Avant de poursuivre, je dois vous préciser que celle qui vous écrit n’a rien d’une beauté de magazine. Je suis grande (1,78m) et charpentée (74 kg), avec de solides cuissots forgés par une pratique hivernale et estivale de la montagne en compagnie de mon mari. Mes hanches sont larges et accueillantes aux étroits bassins masculins. Mes fesses charnues appellent la main de l’homme, qui les palpe et les écarte volontiers. Si mon visage aux forts maxillaires peut paraître un peu joufflu, je suis assez fière de mes seins, larges et lourds, que mes amants adorent empaumer. Mais je m’efforce de les dissimuler derrière de vastes chandails qui effacent également la rondeur de mes fesses. On ne rencontre pas toujours la fine fleur de la société dans un cabinet médical et mieux vaut éviter les tentations de viol. Cela s’est vu. Néanmoins, je crois pouvoir dire que j’ai un regard, une voix… un style, quoi, qui plaît aux hommes. Et quand ils me plaisent, je sais le leur montrer… et les convaincre. Pour dire les choses vulgairement, comme un carabin, je leur mets cérébralement la main aux couilles. Et parfois plus que cérébralement.Je discerne assez vite ceux que j’appelle les « bons coups ». Lesquels, d’ailleurs, ont vite fait de débusquer en moi la femelle bienveillante derrière le médecin généraliste. Mon léger toucher en a électrisé plus d’un. Encore faut-il nouer connaissance de manière plus approfondie. Mon expérience de la gent masculine m’a appris à la diviser en deux grandes catégories : celle qui, illegal bahis en érection, a la pine droite, et celle qui l’a légèrement incurvée. Je n’ai pas réellement de préférence, même si je me dis parfois qu’une forme courbe va chercher des zones plus secrètes et plus jouissives de mon intimité.Quand la connivence s’est installée, il n’est pas très difficile à un médecin motorisé de croiser la route d’un monsieur motivé en rase campagne. Pour tout vous dire, j’adore baiser en pleine nature, du moins quand il fait beau, et je traîne toujours avec moi une espèce de tapis qui est comme ma relique à plaisir. Si mon partenaire y met suffisamment de conviction, j’exprime volontiers verbalement tout ce qui me passe par la tête au risque de faire rougir les arbres.Parmi mes expériences érotiques, beaucoup se sont produites au domicile de mes malades… ou supposés tels. Je me souviens notamment d’un couple d’âge mûr qui m’avait appelée en urgence pour la femme. Quelle ne fut pas ma surprise de la trouver chez elle vêtue de cuir alors que son mari, entièrement nu, me tendait un martinet, m’expliquant qu’il adorerait me voir fouetter son épouse. Je dus lui expliquer avec ménagement que cette thé****utique n’était pas reconnue par le serment d’Hippocrate. Plus émouvante fut la requête d’une mère qui réclama mes services pour son enfant handicapé mental, âgé d’une vingtaine d’années. Expliquant combien son fils se montrait frustré de ne pouvoir assouvir ses pulsions sexuelles, elle me demanda de le masturber. Après lui avoir expliqué qu’il n’était pas nécessaire d’avoir fait sept années d’études pour cet exercice dans les cordes d’une certaine catégorie de professionnelles, son désespoir me fit craquer et le jeune homme eut droit à une branlette de doctoresse. Un cas unique, je m’empresse de le préciser.En revanche, je dois reconnaître que j’ai rendu parfois visite à un monsieur pour d’autres raisons que médicales. Il faut dire qu’il possédait un art consommé du cunnilingus. Le jeu consistait à ce que je m’installe sur la table de sa cuisine, délestée de mon pantalon, de mon slip, de mes chaussettes et de mes chaussures, mais en gardant le haut. Mon hôte, assis sur la chaise, déjeunait de ma vulve, nullement rebuté par une toison brune et luxuriante. J’ai toujours été très sensible à une langue bien placée et cet homme-là (que je retrouve encore parfois pour cet exercice spécifique, quand je suis dans le besoin) avait le don de trouver l’endroit précis où mes terminaisons nerveuses étaient les plus sensibles. Ce qui est remarquable, c’est qu’il ne m’a jamais pénétrée, comme si son pénis, c’était sa langue.Cependant, j’ai quand même besoin de temps à autre d’être fouillée par autre chose qu’un petit bout de chair rose. Pour ce faire, j’ai une adresse régulière : un cabinet d’infirmiers avec lequel je ne suis pas qu’en relations professionnelles. Il est tenu par deux gars qui, tout comme moi, ont besoin de temps à autre d’oublier la misère humaine dont ils font commerce. La première fois que j’entrai en contact avec l’un d’eux, je sus d’emblée que j’allais bientôt l’avoir entre les cuisses. J’avais reconnu en lui le queutard et lui avait décelé en moi la baiseuse. Le lendemain de notre première rencontre, en début d’après-midi, à l’heure creuse des infirmiers, j’étais pliée en deux sous lui, les talons sur ses clavicules, ses grosses couilles battant mes grosses fesses, son chibre épais fouillant mon vagin comme une tête chercheuse. Une véritable et solide histoire de cul médicale commençait.Elle connut un nouvel épisode quelque temps plus tard quand, notre rapport s’étant développé plus que de coutume ce jour-là, il fut provisoirement interrompu par l’entrée du collègue de l’infirmier en question, venu chercher sa trousse. Comme je connaissais fort bien l’intrus, une certaine gêne se fit jour mais mon partenaire eut le talent de la dissiper très vite en invitant son collègue à se déshabiller et nous rejoindre, ce qu’il accepta sans rechigner. J’eus alors droit, entre autres friandises, à une double pénétration remarquable qui me ramena au temps de mes soirées d’étudiantes, quand je passais pour une spécialiste de cette figure acrobatique. On rajeunit comme on peut. J’ajoute que cet infirmier se sentirait déchoir si une de nos parties de baise devait se dérouler sans sodomie, son péché mignon. Je ne sors jamais de son cabinet sans sentir un peu la vaseline, dont il possède des stocks impressionnants.Mais je manquerais à tous mes devoirs de confession si je ne mentionnais pas mon meilleur amant le pompier. Pas n’importe quel pompier : un capitaine. Oui, je sais, ça fait un peu cliché tout ça mais sachez, mesdames qui me lisez, que les pompiers sont parmi les hommes en uniforme les plus portés sur la chose que je connaisse, et j’en connais un rayon. J’ai fait la connaissance de mon capitaine sur un incendie nocturne où j’avais été appelée en urgence pour suppléer à une défaillance provisoire du SAMU, un vieux monsieur étant salement intoxiqué dans son taudis. C’était l’été, je m’étais habillée à la hâte, j’avais enfilé un pantalon vite fait et revêtu un chemisier à même la peau, boutonné à la diable. Même la nuit, aucun homme ne pouvait ignorer mes deux obus en liberté sous le tissu. Le capitaine me regardait d’un drôle d’air sous son casque. Je vis tout de suite que je l’avais ému pendant que je posais le masque à oxygène sur le vieux monsieur, mes seins tout près de s’échapper par l’ouverture du corsage. De l’oxygène, c’est lui qui en aurait eu besoin, ma parole !Le lendemain, il m’appelait au téléphone pour je ne sais trop quel prétexte officiel. En fait, il voulait me revoir et je savais bien pourquoi. Rendez-vous fut pris à mon cabinet entre deux malades. Je vois encore la tête des bonnes femmes dans la salle d’attente, lorsqu’elles virent débouler cet homme majestueux en grand uniforme et képi. Moi-même, j’étais assez intimidée au début. Pour débloquer la situation, j’offris au capitaine de lui prendre sa tension, comme ça il ne serait pas venu pour rien. Il ôta sa veste et sa chemise, dévoilant un torse velu et grisonnant. Je commençais à devenir fébrile et faillis manquer son bras avec le stéthoscope. J’avais à peine commencé à presser la poire qu’il m’attrapa par les épaules et me roula une pelle comme je n’en avais pas eue depuis le lycée. Je lâchai tout et lui rendit la pareille dans un état second pendant qu’il me pétrissait les seins à travers mon soutien-gorge. Je me retrouvai sous lui sur ma table d’examen, une nouvelle fois mise à rude épreuve et voulus me dégager dans un éclair de lucidité. Mais il était super costaud et je le sentais illegal bahis siteleri durcir. Moi-même, je devins toute molle et me surpris, dans un curieux réflexe, à écarter les jambes alors que j’étais encore en pantalon.Ce fut le signal. Sans un mot, il se leva, se débarrassa de son uniforme, libérant un phallus digne de l’antique cependant que je me débattais avec mon jean et envoyais chemisier et soutien-gorge sur mon ordinateur. Mais pompier ou pas, je fouillai mon tiroir pour sortir une capote à peu près adaptée à son format. Maintenant qu’il était arrivé à ses fins, il n’était pas pressé. Il me fit languir en me léchant du front aux orteils, suçotant ici, mâchouillant là. Je ruisselais de désir sur le papier de ma table, me demandant quand il allait enfin soulager mon bas-ventre de ses contractions. Quand enfin il me pénétra, je miaulai, en me fichant complètement de ma salle d’attente. Heureusement que mon cabinet est bien insonorisé ! En appui sur les montants, il cognait littéralement ma vulve de son pieu, m’arrachant de petits cris de joie dans cette position dite du missionnaire qui n’est pourtant pas celle que je préfère. Mon doigt fouisseur lui massait la prostate, ce qui le rendit fou. Il me besogna ainsi pendant un quart d’heure avant de s’effondrer, en nage, sur mon corps également ruisselant de sueur. Et dire que je n’avais pas de douche dans mon cabinet ! Pas très hygiénique, tout ça…À lire ce qui suit, on pourrait déduire que je me suis surtout polarisée sexuellement sur le corps médical, ou proche de celui-ci. De même pourrait-on croire que je néglige sexuellement mon époux, ce qui n’est pas vrai non plus. Les vacances restent un moment privilégié de notre couple, sur tous les plans. Mais puisque j’ai fait vœu de sincérité dans cet écrit, je dois admettre une infidélité estivale survenue il y a quelques années dans une station balnéaire de l’Atlantique. Les circonstances, il est vrai, étaient particulières. Alors que nous étions sur la plage en famille, un incident survint au large. Un baigneur s’était aventuré trop loin et avait bu une grosse tasse avant d’être récupéré par les CRS. N’écoutant que mon devoir de médecin, je m’étais précipitée pour porter secours au malheureux et aider le tandem de maîtres nageurs sauveteurs.Dans ma hâte, j’avais simplement oublié un détail : je ne portais qu’un minuscule slip de bain spécial bronzage dissimulant à peine mon pubis et deux tiers de la raie des fesses. J’avais les nichons à l’air pendant que je maniais la bouteille d’oxygène, ce dont je ne m’aperçus qu’en interceptant le regard troublé des deux CRS. Heureusement, le bonhomme ventripotent sauvé des eaux revint à lui et fut transporté par les pompiers qui, entre temps, étaient arrivés. N’empêche : j’avais tapé dans l’œil des deux costauds, qui m’invitèrent le lendemain à boire un coup dans leur cahute. Je dois dire d’emblée que je demandai à mon mari de m’accompagner mais il refusa, n’ayant pas de prédilection pour la police nationale, même en maillot de bain et tee shirt.Je m’y rendis donc, cette fois en tenue décente et on sympathisa. L’un des deux était vraiment beau mec. Je n’étais pas insensible à son regard mâle et ses pectoraux saillants. N’étant pas sexuellement en manque (mon mari assure très bien l’été, merci), je n’éprouvai pas le besoin d’approfondir le sujet. Je commis toutefois l’erreur de revenir dans la cahute deux ou trois jours plus tard, sans y avoir été invitée. J’avais remarqué que le CRS de permanence sur la chaise n’était pas l’un de mes deux potes, qui devaient donc être à l’abri en train de siroter une bière. J’entrai presque sans frapper, non sans avoir entendu au préalable un bruit bizarre, ou plutôt des voix, et même une voix de femme. Le spectacle me cloua sur place : l’un des deux CRS besognait une Anglaise à peau rose sur la couchette devant mon pote et un autre type qui se masturbaient en regardant le couple. Si je précise que la femme était Anglaise, c’est parce qu’elle répétait « fuck me, yeah, fuck me hard, don’t stop please » pendant que son partenaire la régalait de ses coups de queue.Le spectacle de cette bite tendue entrant et sortant de ce vagin ruisselant me mit aussitôt en émoi et mon CRS (celui qui se branlait) s’en aperçut, le salaud. En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, mon bikini voltigea et je fus allongée sur la table pour un cunni royal, en dépit de mes vives protestations. Elles auraient évidemment été plus convaincantes si je n’avais pas écarté largement les cuisses et agrippé la nuque de mon lécheur, comme pour l’inciter à poursuivre. Celui que je supposai être le mari de l’Anglaise m’offrit sa bite à sucer et dans l’état où j’étais, il ne risquait pas de se voir opposer un refus. Bref, je fus pénétrée, forée, fouillée, fouaillée par la police montée, et même bien montée. Le gars m’avoua qu’il en avait eu envie dès le premier jour après qu’il eut joui sur mon ventre et le mari de l’Anglaise idem sur mes seins. Je quittai la cahute la tête à l’envers et le cul en feu. La mer bienfaitrice me permit de retrouver une contenance avant de retrouver mon homme sur la natte familiale. Mais je vous l’avoue, ce jour-là, je ne fus pas très fière de moi. N’empêche que j’avais joui. L’Anglaise passa devant nous avec son mari et nous adressa un petit « hello » coquin, que mon mari ne comprit pas, heureusement. Elle me parut tout à coup assez mal fichue avec son gros cul et ses petits seins. Franchement, je suis mieux.Une année sur deux, je me rends à un congrès de médecine de ville. On sait ce que valent les congrès. C’est pour la plupart l’occasion de faire la fête sans être embarrassé par leur conjoint. Pour certains, c’est aussi l’opportunité de bonnes parties de cul en toute impunité et sans lendemain. Je peux vous dire que le viagra pour les messieurs et les hormones lubrifiantes pour les dames ne connaissent pas un usage restreint, d’autant que les prescriptions sont inutiles avec tout ce que nous donnent les labos. Avec ma collègue Arlette, divorcée et totalement libre, nous prenons toujours une chambre double (obligatoire) ensemble. Nous passons l’essentiel de la première des trois journées à chasser le mâle. De préférence jeune et fraîchement issu de l’internat. Et s’il est mince et musclé, c’est le rêve. Les autres, ceux qui nous connaissent déjà, et qui se sont arrondis avec le temps, on leur fait la bise, c’est tout. On se les garde en cas de pénurie.Mais c’est bien le diable si dès le premier soir, l’une de nous deux n’amène pas un mec potable dans la chambre. Quand il est seul, on se le passe et on lui file du viagra pour qu’il puisse assurer, s’il canlı bahis siteleri se sent un peu juste. À deux contre deux, c’est beaucoup plus jouissif. Arlette est une petite bonne femme rondelette avec un bagout incroyable et un cul monté sur roulements à billes. Baiser à côté d’elle, l’entendre couiner et déblatérer des mots crus, c’est un supplément d’excitation. Elle a une curieuse façon de jouir, en jappant comme une petite chienne (“aw ! aw ! aw !”). Mais le type a intérêt à être à la hauteur, sinon elle le met minable.On a étudié des petites scénographies avec nos amants. Par exemple, on se place côte à côte sur un des deux plumards et on invite ces messieurs à nous posséder ensemble en levrette. On regarde nos nichons ballotter entre nos bras, et on se marre en prenant notre pied. Ou mieux encore, on se met face à face pour lire le plaisir dans nos yeux et voir nos mecs se dépouiller pour nous faire jouir, du moins quand ils y arrivent car il y a des déceptions. Il arrive qu’une de nos conquêtes refuse la partie à quatre mais c’est rare. En général, ces messieurs sont trop contents de sortir du ron-ron des rapports conjugaux, qui plus est avec des collègues, ce qui les excite encore plus. Arlette étant une fan de la double pénétration, c’est devenu un passage obligé dans notre chambre et je m’y plie moi-même sans rechigner, bien que préférant la sodomie classique. Quand on revient du congrès, on a le cul endolori et les yeux cernés, on n’a pas appris grand-chose de médical mais on a pris du bon temps et on peut attaquer la semaine avec le moral. C’est sans doute l’essentiel.Je me souviens particulièrement d’un congrès dans la région lyonnaise où j’avais levé dès le premier jour un jeune et splendide confrère de Fort de France qui m’avait paru intéressé par mon décolleté plongeant mis spécialement pour la circonstance. Dans ces cas-là, pas besoin de se parler longtemps, entre adultes consentants on se comprend très vite. Il s’agissait de griller ma copine Arlette car je n’avais pas trop envie de partager ce morceau de reine. Le chocolat au lait m’a toujours inspirée. Justement, Arlette se trouvait coincée par un atelier toute la soirée et j’emmenai mon Martiniquais dans ma chambre après le café. À poil, ce mec était sculptural, noueux comme une corde, une vraie aubaine pour une femme comme moi qui ne suis plus vraiment une jeune fille.Nous étions en train de faire connaissance par un 69 particulièrement appliqué quand la porte s’ouvrit et Arlette surgit. Elle avait eu vent par une collègue (la garce) de notre escapade et m’engueula fortement pour avoir joué perso, tout en se mettant elle-même à poil, histoire de se présenter à ma conquête dans les meilleures dispositions. J’intimai l’ordre à Marius (c’était son prénom) de poursuivre l’exploration de mon intimité et de ne pas s’occuper du reste pendant qu’allongée sous lui, j’embouchais son gland dodu. Et voilà qu’Arlette se mit à lui bécoter les fesses (il est vrai ravissantes), à les écarter et à lui loger la langue dans l’anus, profondément, comme un sexe. On ne lui avait jamais fait un truc pareil, à Marius, surtout aussi vite, et il en oublia ma chatte pour s’intéresser à cette femelle en chaleur, aux courbes italiennes. Arlette lui saisit la queue et là, je compris que j’étais mal barrée. Elle a en effet une manière très particulière de sucer, ou plutôt d’emboucher, engloutissant le pénis comme une avaleuse de sabre, jusqu’aux couilles, et sans vomir. Pas un mâle ne résiste à un exploit pareil. Je dus la bousculer pour avoir ma part de gâteau et m’empaler sur le chibre somptueux en cherchant les bourses derrière mon dos pour les flatter, pendant qu’elle même chevauchait sa bouche. Je ne voyais même pas mon partenaire, totalement masqué par ma copine. Le lit n’était que bruits de succion, de clapotis et de gorge.Mais je pris ma revanche en sortant mon grand numéro de danseuse tahitienne. Je dispose en effet d’une souplesse de hanches qui me permet des circonvolutions croupières auxquelles aucun homme ne résiste. Expulsée par celui qui voulait profiter visuellement de mon mouvement perpétuel, Arlette contre-attaqua en lui offrant son anus et je vis à nouveau le gland luisant quitter mon intimité pour les profondeurs abyssales du postérieur de mon affamée collègue. Ce petit jeu de concurrence dura une bonne partie de la nuit, insatiables que nous étions toutes les deux. Le médicament qui fait bander vint à notre secours et au petit jour, le pauvre Marius avait le méat et le prépuce rouge vif. Il partit dormir dans sa chambre mais il était tellement crevé qu’il en rata l’avion du retour. Quant à nous, on a séché la dernière matinée en restant dormir dans notre chambre.J’ai l’air de m’amuser mais en ce moment, je ne fais pas très bonne figure. Il y a quelques semaines, en descendant un escalier après une visite, j’ai trébuché et en voulant me ratt****r, je me suis fracturé la clavicule. Le coup dur pour un toubib, obligé de se trouver une remplaçante, et à fréquenter le kiné pour la rééducation. Alors, j’ai du temps pour écrire. Pour baiser, c’est plus compliqué, mais on y arrive. Vous allez dire que je suis incorrigible mais j’ai un jeune kiné tout mignon qui s’occupe de moi dans la thalasso que je fréquente. Dans la rééducation, il est prévu divers trucs pas agréables mais ce que je préfère, c’est le gros jet qui vous masse des pieds à la tête avec un flot d’eau salée. Au début, c’étaient des filles qui me massaient. Puis un jour, mon petit kiné s’est occupé de moi. De sentir son jet sur le creux de mes reins, sur la raie de mes fesses, entre mes seins et sur mon ventre m’a procuré une émotion érotique, comme si c’était son sperme qui m’arrosait. Il a fini par s’en apercevoir. Il est vrai que j’ondulais et me masturbais pendant qu’il m’inondait le dos. Quand il a fermé sa lance, je me suis avancée tranquillement vers lui, toute mouillée et me suis collée contre sa blouse comme une sangsue en l’embrassant sur la bouche. De la folie furieuse. Mais il m’a rendu mon baiser et je lui ai tâté les parties, histoire de voir à qui j’avais affaire. Il était mûr.Quelques minutes plus tard, nous étions nus dans ma chambre en train de nous flairer comme des animaux puis je le chevauchai avec ardeur, position qui me faisait le moins mal au dos. Il faut reconnaître qu’il avait une capacité étonnante à me faire sauter en l’air avec sa queue et ses reins. On aurait dit un marteau-piqueur inversé. J’oserai dire un marteau-niqueur. Mais il était quand même encore un peu limité en inventivité et maman a dû lui apprendre des choses. Par exemple, à me mettre un doigt dans l’anus tout en me baisant. Au début, il n’a pas compris et j’ai dû lui expliquer que j’adorais ça. Je peux vous dire qu’en ce moment, il prend des cours intensifs et il sortira de mon séjour plus averti qu’avant. Au fond, pour l’éducation sexuelle, rien ne vaut un médecin.

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Surprise pour Patou

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Anime

Surprise pour PatouJe suis avec Patou depuis presque 20 ans. Nous avons tous les deux 45 ans, sommes tout deux hétéros et résidons en Bretagne. Elle fait 1m64, plutôt mince, blonde naturelle et dotée d’un 85 b. Patou est du genre à s’habiller très classiquement sans provoquer ou exhiber les parties intéressantes de son anatomie. Elle n’est pas du genre féminine à se pomponner ou a attacher beaucoup d’importance à son physique. Mais quand elle le fait, elle arriverait à faire bander un saint. Et cette salope le sait. Parfois elle porte des décollettes relativement bas qui lui moulent sa poitrine, et l’effet et plutôt rapide, beaucoup de mecs se retournent quand d’autres ne détournent pas les yeux une seconde quand il passe devant. Nous avons une sexualité très épanouie bien qu’insuffisante pour moi, en perte de vitesse. Nous sommes tout deux adeptes du sexe hard. Je lui demande de porter des tenues de pute avec des talons le plus haut possible, le string qui dépasse de la mini jupe et du maquillage à outrance. Je lui achète des faux ongles roses ou rouges, des faux cils pour qu’elle ressemble réellement à une bimbo, une salope pouffiasse sans aucun amour propre qui fait le tapin. J’adore quand elle se pavane tel un vulgaire prostitué, une pute de bas étage, un garage à bites. Je lui demande de faire la pute, de sucer le foutre des capotes, de s’amuser avec mon sperme, je l’humilie en lui écrivant des mots genre « garage à bites », « pompe à foutre », « salope offerte » et autres grosses pute, chienne … Nous pratiquons le SM (soft) parfois. Elle aime se faire attacher et malmener, être bâillonnée avec les boules ball gag. Je prends des photos d’elle et je la filme enl’insultant de tous les mots avant de lui caler ma bite au plus profond de sa bouche. J’ai toujours rêvé de l’exhiber sur internet ou de lui faire du chantage. « Si jamais tu ne suces pas tous les mecs dans les chiottes du bar, ou tous les routiers de l’air de repos j’envoie les photos et les vidéos à ta famille, tes amis, tes collègues de bureau et tout ton face book. » Je me suis fait des films où je la possédais et où elle m’appartenait et devait consentir à toutes mes envies sexuelles les plus perverses. Jusqu’ici je ne l’ai jamais fais mais l’idée trotte pas mal dans ma tête. Patou adore pomper, c’est une vraie passion chez elle. Pomper et le sperme. En plus elle arrive les gorges profondes. Pour imiter un bukkake je lui renverse du lait concentré sur la gueule et sur les seins. Le lait concentré à la même texture que le sperme bien qu’ayant une teinte plus jaune. Elle adore s’en renverser sur le corps et sur le visage, imitant des jets de foutre qui viennent s’abattre sur son visage de catin. Mais depuis un an déjà je fantasmais à l’idée de la voir avec d’autres hommes en même temps. De se faire prendre, soumettre et défoncer par d’autres m’excitait au plus au point. J’ai toujours souhaité la partager, offrir cette grosse pute à une bande de mecs qui la défoncerait, l’humilierait et lui montrerait qu’elle est vraiment la dernière des putes.Du coup je ne pouvais plus tenir, j’avais tout essayé. Je lui ai proposé des rencontres avec des amis, d’aller dans les bars ou dans les boites pour trouver quelqu’un (ou plusieurs personnes) pour elle. Je lui ai soumis l’idée de tester des boites libertines et je me suis même inscrit, avec son accord et son aval, sur un site de rencontre en ligne pour trouver des gens intéressés pour sauter cette petite salope. Je dis petite car tant qu’elle ne se fera pas peter le cul par une dizaine de blacks en ruts pour finir la gueule recouverte de foutre et l’estomac remplit de sperme elle ne sera jamais une grosse pute. Du coup après un an d’attente je me suis décidé. Elle n’a plus le choix, je vais la mettre devant le fait accompli et elle ne pourra plus faire marche arrière. Je savais au fond de moi même qu’elle ne protesterait pas en plus et pour un peu qu’elle soit éméchée elle adorerait et voudrait recommencer. J’ai donc contacté 5 mecs, bien bâtis dont un black pour les inviter chez moi un soir de semaine. Je leur ai imposé deux règles, qu’ils ne se branlent pas jusqu’à la date fatidique, pour que ma salope soit entièrement recouverte de sperme, et qu’ils se cassent dès l’affaire finie Un jeudi, je leurs donne donc rendez vous chez moi vers 18h en sachant que Patou finit plus tard. Les 5 mecs arrivent en même temps, nous faisons les présentations puis connaissance. Nous balançons les lieux communs les plus évidents, puis autours de verres de bières et de whisky je commence à leur exposer les règles. Je leur dis d’être sympas, attentionnés pour une première fois. Commencer doucement, y aller crescendo et finir dans un déluge de foutre et d’hormones. Ils étaient sympas et semblaient tout à fait comprendre. Nous commencions à être pas mal imbibés quand elle arriva dans l’appartement. Elle portait une jupe quelconque sur des doc’ martens et avait un débardeur où on pouvait voir la naissance de ses seins, mais rien de très bandant. Elle fut surprise de voir autant de monde, et que des hommes. J’avais fais exprès de me mettre dans un coin où elle ne pouvait pas s’asseoir à mes côtés et trouva la seule place entre deux mecs sur le canapé. Nous discutions de tout et n’importe quoi, je présentais les hommes comme des collègues du bureau et au fur et à mesure des verres je voyais que son œil commençait à s’égailler et qu’elle devenait un peu grise. Je percevais les regards lubriques des mecs sur son débardeur. Tout le monde savait ce pourquoi nous étions là sauf elle. Nous commençâmes à parler de cul, des expériences de chacun pour déboucher sur le gang bang. Je voyais qu’elle prenait du plaisir à en parler. Elle parlait de ses expériences à l’étranger où elle suçait tous les soirs un gars différents. L’idée faisait son chemin. Puis la main du type à sa gauche commença à lui effleurer la cuisse. Je fus surpris de voir que loin d’être choquée elle décroisa les jambes pour que le mec remonte plus haut. Le mec à sa gauche fit la même chose puis commença à lui caresser l’épaule pour descendre malaxer son sein. Elle canlı bahis şirketleri comprit très vite la situation, et au bout de quelques minutes me lança un regard qui semblait dire, ah, tu l’as fais sans mon accord mais tu as eu raison au final. Les deux mecs n’arrêtaient pas de la tripoter et je commençais à bander comme jamais. Je voyais également que les 3 autres mecs avaient le pantalon déformé par une bosse au milieu de l’entrejambe. Puis elle se leva d’un coup et parti aux toilettes. Nous continuâmes donc à parler de cul et certains me firent beaucoup de compliments sur la petite salope que j’avais à ma disposition et sur le fait que j’étais chanceux. Puis au bout de 5 minutes elle ressortie des toilettes. Ah, je l’avais bien dressée cette salope, elle a très bien compris. Elle ressortie avec des escarpins roses aux talons très fins et hauts, une robe manche longe qui lui arrivait aux fesses. Ses jambes quasi nues étaient exposées à toute l’assemblée. Elle avait un décolleté qui ne cachait pas grand chose, on voyait ses deux petits nibards. . Et pour finir elle s’était mise du rose sur les joues, du rouge à lèvre lui faisant une bouche de pompeuse de queues, du fard à paupières noirs et eyeliner noir lui faisant un regard de salope. Je regardais les mecs en train de baver sur elle, et la bosse de leur gaule encore plus grosse. Elle était magnifique la pute. Elle vint s’asseoir au même endroit entre les deux mecs sur le canapé et là toutes les flatteries fusaient. – waouh, t’es vraiment trop bonne comme ça- dis donc tu as de petits nichons sympa ? – putain t’as de la chance d’avoir une salope pareille … Les deux mecs ont recommencé à lui peloter les nibards. les pétrissaient aux travers de la robe. Un fit sortir son téton qu’il commença à titiller et à lécher puis le pincer en lui embrassant le cou. La pute n’était pas farouche elle non plus et j’étais surpris par de tant de spontanéité. Certes elle était ivre mais elle prenait des initiatives. Pendant qu’on s’occupait des ses nibards ses deux mains se sont déployés de chaque côté et ont commencé à caresser l’entrejambe des mecs. Un troisième mec et arrivé derrière le canapé, le caleçon baissé et la bite à l’air et présenta à ma salope sa queue, de taille moyenne à la bouche. La salope ne se fit pas prier et tout en déboutonnant les jeans de ses voisins elle léchait la bite du mec derrière. Le spectacle commençait. Ma copine, face à moi en train de sucer un mec pendant que chacune de ses mains branlait une bite. Les deux autres n’étaient pas en reste, ils ont sorti leur engin et on commencé à se branler sur le spectacle qu’offrait une telle chienne, qui semblait affamée de bites. Elle alterna entre les queues pendant que ses deux seins étaient sortis de la robe et que des pairs de mains s’employaient sur ma belle, à lui caresser le clitoris, lui enfoncer des doigts dans le cul ou lui malaxer les seins. Des doigts lui fouillaient la chatte, Les bites s’enchaînaient dans sa bouche de pompeuse de queues. Ses mains branlaient celles qu’elle ne suçait pas. Ils se masturbaient sur elle, la biflant parfois ou la gratifiant d’un :- salope t’es vraiment qu’une pompe à jus, t’as du en sucer des kilomètres de queues pour sucer comme ça – quel garage à bites putain elle t’avale le chibre en entierPlus les insultes étaient salaces plus elles semblait aimer et être excitée. Je commençais à sortir ma queue et me branler, toujours assis en face. Je la voyais changer de queues, bouffer la première qui se présentait devant elle sans chercher qui en était l’heureux propriétaire. Je la voyais alterner entre les couilles et les glands. Elle remontait le long des hampes pour venir bouffer littéralement les bites, et gober les couilles. Elle semblait jouir par la bouche cette putain. – Allez sort ta langue pour venir me lécher les couilles. C’est bien t’es une bonne chienne. T’auras tout mon jus à gagner. – Putain je vais la recouvrir cette pouffiasse. Allez dis le que t’es une salope dis le que t’aimes les queues salope on t’entend pas.- Oh oui ! répondit-elle comme si elle jouissait, abusez de moi je ne suis que votre salope, un vide couilles, une éponge à foutre. Videz vous sur ma gueule ou dans chacun de mes orifices. Je ne l’avais jamais vu comme ça, j’étais estomaqué. Je savais que c’était une salope mais là, à ce point, se lâcher comme ça, dès le premier soir, j’étais ravi et excité. Je n’avais jamais bandé aussi dur et je sentais mes couilles prêtes à exploser. On la retourna, elle se mit a genoux sur le canapé, remonta le bas de sa robe jusqu’aux hanches et présentant sa croupe encore moulé dans son string, bien en évidence pour se le faire défoncer. Elle continuait à sucer une queue les mains malaxant les couilles pendant que ses seins se balançaient au rythme des coups de queue que lui imposait le type. Il lui baisait littéralement la bouche. Il lui maintenait la tête avec sa main, et elle faisait des petits bruits et semblait adorer être un objet sexuel, être une telle pute offerte. Il ne mit pas longtemps à jouir, soit trop excité soit car cette pompe à bites faisait bien son travail. Le mec lui déchargea sur la gueule. Le sperme coulait de son front jusqu’au cou. – Tiens prends ça s’pèce de banque à sperme. Cria t’il en jouissant. Le sperme alla s’écraser sur son visage en différents jets. La douche de sperme commençait. Une des mecs se positionna derrière elle, étira son string sur le côté, tapota son sexe contre la chatte suintante de ma copine devenue une catin et y enfourna sa bite d’un coup sexe jusqu’aux couille. Patou fut surprise mais ne pouvais dissimuler qu’elle adorait ça et qu’elle l’attendait. De la cyprine coulait de l’orifice d’où rentrait et sortait une grosse queue. Maintenant elle se faisait prendre par les deux bouts. Une bite lui baisant la bouche l’autre la chatte et chacune de ses mains branlait une bite, dont celle du black qui était vraiment impressionnante. Ca lui faisait une toute petite main en comparaison de l’autre. On lui tira le string le long des jambes, on enleva sa robe pour la mettre complément nue. Elle canlı kaçak iddaa était a poil, ses seins jaillirent. Un troisième se branlait sur elle. Il approcha sa queue du visage de ma copine. Sa bite gonflait et devenait veineuse. Je voyais ma pute sourire puis tendre la langue pour recueillir tout le foutre. Elle en eu pour son grade la pute. Quand j’avais demandé aux mecs de ne pas de branlait je ne m’attendais pas à ça. Le mec lui inonda la gueule, ça sortait par torrent se rependant sur ses cheveux, sur son visage et dans les yeux, ça coulait sur ses seins. Et ça lui inondait la bouche. L’éjaculation a du durer 30 secondes et elle se prit une dizaine de jets blancs et juteux sur le corps. Le mec se finit sur sa langue et dans sa bouche. Elle avait la bouche remplit. Il sortit on téléphone portable et lui dit maintenant avale tout pauvre chienne. Je l’aurai pensé choquée, anéantie, honteuse ou scandalisée par se faire filmer dans un tel état de dégradation mais pourtant elle ne se fit pas prier et sembla même apprécier. Elle était couverte de sperme et continuait à pomper des queues. Le mec lui pilonnait la chatte en lui assenant des gifles sur le cul, elle a eu un orgasme. – Alors petite souillon on aime ça se faire défoncer, sale morue. Tu la sens ma grosse queue ?- Oh, oui venez me péter le cul avec vos grosses bites, je veux être remplie par tous les orifices et qu’on se vide sur moi. Je mouille comme une pute. – T’inquiète petite salope, en temps et en heure. Maintenant bouffe moi le cul sale chienne, lèche moi le trou du cul dit un troisième gars présentant ses fesses sous le nez de Céline. Elle hésita quelques secondes puis elle obéit, comme la bonne grosse pute soumise qu’elle est. Elle déploya sa langue et vint lécher le trou du cul du mec pendant que sa main lui branlait la queue par devant. Elle lui nettoyait l’œillet et rentrait à l’intérieur avec sa langue. Un des mecs la prit par le cou et l’obligea à fourrer tout son visage à l’intérieur pour lui nettoyer le cul. J’étais la en spectateur passif, et je bandais comme un taureau. Je vins vers elle la pris par les cheveux, la tira, elle gémit un peu et poussa quelques cries, puis me faisant face je lui crachais à la gueule et la remis dans cet endroit qui avait l’air de lui plaire tant. Le mec poussa des râles. Il se retourna d’un coup lui pris la tête avec les deux mains et fourra sa queue au plus profond de sa bouche pour déverser tout son foutre à l’intérieur de la gorge de salope. Il semblait y avoir des litres, tant et si bien qu’à la fin elle ne put tout avaler. Sa semence ressortait des coins ses lèvres et venait perler sur ses seins et couler le long de son menton. – Allez on avale tout sale pute et on dit merci !- Oh merci, dit-elle dès qu’on lui eu retiré la bite de la bouche- Et maintenant on me nettoie la queue salope. Repris le type. Elle s’y employa magnifiquement bien et avant qu’elle eu pu terminer le gars s’essuya dans ses cheveux. Un autre vint placer sa bite devant sa bouche et elle l’aspira comme une bonne pute, elle tira sa langue et goba ses couilles pleines de foutre, comme une bonne pompe affamée, ce sperme épais et chaud qui allait lui recouvrir la gueule. Les bites ses succédaient dans sa chatte, on l’a prise dans tous les sens. Moi je m’approchais de temps en temps pour lui faire bouffer ma queue, puis je m’éloignais un peu pour regarder la scène. J’avais sorti mon appareil photo et je filmais la scène. Elle ne protestait pas. Le black sortit aussi son téléphone et mitrailla de photos et de vidéos. Il les envoyait à ses potes qui ne semblaient pas du tout dessus. Puis le black se plaça à l’entrée de l’œillet, et après avoir inséré quelques doigts à l’intérieur de l’orifice il lui planta son énorme bite. Ca avait du mal à rentrer. Sa bite était très impressionnante, épaisse et longue, toute veineuse. Quand il l’avait foutu dans la bouche de ma copine je me souviens de ces joues déformées par la taille de l’engin. Elle semblait suffoquer et manqua de s’étouffer mais semblait adorer. Un autre gars vint se placer en dessous et lui enfourna sa bite dans la chatte. Les trois autres retrouvèrent la forme et se présentaient devant sa bouche. Les commentaires allaient bon train – bourre la cette pute, éclate le cul de cette pouffiasse- Défonce lui le cul à cette connassePatou gueulait et criait de plaisir et d’extase comme une truie quand sa bouche n’était pas investit par une queue ou une autre. On lui palpait les nibards, on lui malaxait les seins, on abusait d’elle et elle aimait ça. Elle était la recouverte de foutre, du maquillage coulant plein la gueule, les trois trous de remplit. Elle était empalée sur le mec du dessous qui s’employait à lui filait des coups de butoirs dans la chatte, la bouche baisée par une bite qui lui touchait les amygdales et faisait s’étier la peau de son cou et l’énorme bite du black qui sortait et rentrait de son cul comme un piquet. Dans chaque main elle branlait une queue, et moi j’immortalisais le spectacle par une vidéo. Je n’avais jamais autant bandé. Elle pompait dans tous les sens, insatiable, avidement. Un mec lui agrippa les cheveux pour lui faire bouffer sa queue à son rythme. – Alors pétasse ça fait quoi d’être un objet à queues ? Une souillon ? Lui demandais-je.Elle détourna le regard pour me regarder et je la voyais, reprendre son souffle, adorer ce faire soumettre dans ces conditions. Elle semblait jouir à chaque fois qu’une paire de couille venait frapper son trou du cul ou ses lèvres. Elle pleurait de plaisir, et hurlait avant d’être prise de spasmes quand le black déchargea de son cul. – Je vais jouir dans ton cul, salope !Des filets de sperme coulaient tout le long de son trou, elle était remplie de foutre et semblait adorer ça. Elle poussa un grand râle, son corps se raidit, frappé par un orgasme foudroyant. Le black se retira et laissa le trou du cul dilaté de ma copine rempli de sperme qui coulait. Le troue béant était énorme.- t’es vraiment une sale conne a défoncer. Lui dit le black en finissant de s’égoutter sur le dos de ma belle. Putain je vais t’emmener canlı kaçak bahis dans une cave de la cité pour te faire sauter par tout le bloc tu vas aimer…L’idée m’excitait et je songeais déjà à l’offrir à une vingtaine de racailles qui abuseraient d’elle et l’humilieraient comme il se doit. A peine, la bite du black sorti un autre s’engageait déjà dans la voie. Céline poussa un petit crie mais la scène était beaucoup moins impressionnante tant l’engin était de taille inférieure. On l’encula comme ça une bonne demie heure, et elle hurlait de plaisir. Ils la retournèrent dans tous les sens, la baisèrent par tous les orifices. On ne lui laissait aucun répit. Les mecs se succédaient et lui limaient la chatte, la bourrant sauvagement dans tous les sens. Elle est essoufflée et halète. Un mec sort de son cul pour lui enfoncer sa bite dans la bouche. Elle ne protesta pas et la lui bouffe comme une salope, le pompant et le branlant avec vigueur, en lui malaxant les couilles. Un autre vint placer sa bite dans sa bouche. Les deux bites faisaient du va et viens simultanément dans la bouche de ma copine, qui ressemblait désormais a tout sauf à une bouche, déformée par la grosseur des deux queues. Sa mâchoire était distendue. Puis après la bouche se fut le tour de son cul, le premier mec n’eut pas trop de mal à insérer sa queue dans le trou encore largement ouvert de ma Céline. L’autre mec, qui avait une queue fine mais très longue, se plaça à coté du premier et la pénétra aussi. Elle jouissait encore. – alors sale pute ça fait quoi de se faire fourrer par deux grosses queues salope ? demanda l’enculeur. Elle ne pouvait répondre, un des autres mecs étant en train de lui forcer la bouche. Du coup le mec qui lui ramonait le cul entrepris de redoubler la cadence et de venir frapper ses couilles le plus fort possible dans le petit orifice. Le second type qui l’enculait l’accompagna. Elle était là à quatre pattes se faisant défoncer le cul par deux bites. Elle recommençait à hurler de plaisir et se libera de la queue dans sa bouche. Du coup le type repris de plus belle.- Alors pompe à foutre je t’ai posé une question. T’aimes ça te faire péter le cul par deux queues ça fait quoi ? Je paris que c’est la première fois pour toi. (et c’était le cas)- Ohhhh, c’est trop bon. Répondis t’elle complètement dépassée par les évènements. Sa voix était faible mais sincère. Elle était en extase. Je veux boire votre foutre et vous videz les couilles. Je suis une pompe à jus.Ces mots dans la bouche de ma belle sonnaient comme du miel à mon oreille. Enfin cette salope était satisfaite. Non seulement elle était traitée à sa juste valeur mais elle le reconnaissait et y prenait du plaisir. On la fit s’agenouiller sur le sol et on se plaça tous autours d’elle. Six bites qui l’entouraient pour le recouvrir de foutre. – Videz vos couilles sur ma gueule allez y, je peux avaler si vous me le demandez.- T’inquiète petite salope, mon jus de couilles arrive. Répondit un des mecs en train de se branler près du visage de Céline.- Quelle garce quand même j’avais pas idée que ça pouvait exister. Renchérît un autre.Elle était comme ça à poil, à genoux par terre comme la chienne qu’elle est, déjà maculée de foutre des éjaculations précédentes. Le bassin et la poitrine en avant, le cul bien en arrière comme si elle cherchait encore une queue pour se faire piner la rondelle. Elle était en position pour une douche de sperme, et en plus, elle tirait la langue. Le premier jet ne m’y pas longtemps et venir recouvrir le visage de ma copine. Deux autres avaient sorti leurs appareils photos et la mitraillait de flash. Elle ne disait rien comme un bon réceptacle à foutre. Le sperme s’abattait sur sa gueule de partout. Un vrai bukkake. Même dans les pornos je n’avais jamais vu autant de sperme. Elle était couverte de partout et devait finir de nettoyer les queues avec sa langue. Le sperme ruisselait, son visage était recouvert d’une crème épaisse. Ses gros seins aussi. Un des mecs déchargea au moins un demi litre de sperme dessus. Elle pris ses obus entre ses mains, les resserrant en se touchant les tétons pour ne pas en perdre une goûte. Le foutre coulait dans son nombril et finissait sur ses cuisses, un torrent s’abattait sur elle, et cette salope souriait, satisfaite et insatiable. Je continuais de filmer la scène avec l’appareil, l’ayant rapproché au plus près du lieu de l’action. Les trois mecs qui avaient déjà jouis avaient encore des ressources et ont recouvert de semence une seconde fois sur ma salope de copine offerte qui léchait les couilles et les bites qui l’entouraient. Le sperme arrivait en jets saccadés sur son corps, c’était magnifique.Au fur et à mesure que chacun éjaculait, et comme on l’avait convenu, les gars qui avaient déchargeant se rhabillait et partait. Le premier lui cracha à la gueule avant de partir en me demandant si je pouvais lui laisser son numéro de téléphone. Que les gars du chantier dans lequel il bossait ne seraient pas contre se taper une blonde aussi chienne. Je refusais en lui disant que cette chienne m’appartenait et que c’était moi qui l’offrais. L’idée du chantier m’intéressant je pris quand même son contact.Le second la bifla, lui étala le foutre sur la gueule avec son gland.- Lèche moi salope, lui dit-t-il, le gland couvert du foutre qu’il venait de récupérer.Elle ne se fit pas prier et lécha le liquide pour le faire disparaître dans son estomac. Elle fit claquer son palais et ouvrit la bouche en grand pour bien montrer qu’elle venait de tout avaler.- Quelle salope ! dis le gars en prenant une dernière photo avant de partir. Les autres lui emboîtèrent le pas. Ils tapotèrent leurs queues sur son visage. Le black la gifla gentiment me demandant si on pouvait remettre ça à l’occasion. Qu’il pouvait trouver des scénarios ou que son idée de gang bang dans une cité tenait toujours. Je lui promettais de le tenir au courant. Quand la porte fut refermée et le dernier partenaire parti, je demandais à Céline son ressenti et ses impressions. Elle m’avoua qu’elle planait encore, qu’elle n’avait jamais eu autant d’orgasmes, ce que je n’eu peu de peine à croire vu son état et son comportement de tout à l’heure. Elle était encore recouverte de foutre qui continuait de ruisselait, et de son cul coulait une liquide chaud. J’imaginais les litres de sperme dans son estomac.

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Odile

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Babes

OdileOdile, 50 ans, vivait à l’extérieur de la ville dans une petite maison. Son mari est parti dès qu’elle eut son deuxième enfant. Dès que Antoine et François eurent 14 et 16 ans, la mère de Odile, Renée, 69 ans, vint vivre avec eux trois dans la maison minuscule. Odile n’avait pas d’emploi et vivait d’aide sociale. Elle avait un problème, elle était un peu attardée mentale, mais les services sociaux ne s’en étaient pas aperçus. Les deux garçons allaient au collège et avaient de brillants résultats. Ils dormaient dans leur chambre car la deuxième était occupée par Odile et Renée.Les discussions concernant le sexe n’avaient aucun cours à la maison. Les deux garçons apprirent à l’école les mystères du sexe. Un soir, ils ramenèrent une cassette vidéo qu’ils installèrent dans leur magnétoscope de leur chambre et regardèrent un film porno. Ils en profitaient pour assouvir leurs fréquentes pulsions normales à leurs âges en se branlant de concert dans leur lit.Mais un soir, Odile pénétra dans la chambre pendant le spectacle, croyant ses enfants devant un film normal pour ramener le linge propre dans l’armoire. Elle vit les deux sexes de ses enfants pointant vers le haut et leurs regards fixés sur l’écran. Elle regarda à son tour et vit une femme faisant l’amour à un homme.François, le plus âgé prit rapidement la parole :Maman, tu nous déranges !Pardon…dit-elle. C’est la première fois qu’elle voyait les sexes de ses enfants en érection.Ca vous plaît de regarder ce genre de film ? demanda-t-elle.Mais oui, répondit Antoine, ça détend…François eut une idée derrière la tête :Tu veux me branler, maman ?Tu crois qu’une mère doit faire ça à son fils ?Mais oui, maman, toutes les mères à l’école branlent régulièrement leurs fils…Ah bon ?Mais oui, dit François, viens poser ta main sur mon zizi…Ne sachant que faire, Odile s’approcha du lit de son fils et s’assit sur le côté, à hauteur de son corps et tournant le dos à la télévision.Tiens, prends ma bite dans ta main, sens comme elle chaude…Effectivement, la queue de François en main, Odile sentit la chaleur s’en dégager. Elle commença un court va et vient sous le regard bienveillant de son fils. Le bruit des bracelets entourant son poignet rythmait la course vers le plaisir.Continue, je sens que je vais venir et après, je vais pouvoir dormir…Soudain, ce fut l’explosion, le sexe de François se contracta et cracha trois longs jets dont un vint s’écraser sur le visage de sa mère. Finalement elle était satisfaite d’avoir donné du plaisir à son fils aîné. Elle changea de lit illegal bahis et vint s’asseoir à côté de Antoine :Tu veux la même chose ? demanda-t-elle.Oui, maman, s’il te plaît.De nouveau, elle branla la queue de son autre fils et l’amena à l’éjaculation. Quand ce fut fait, elle s’essuya le visage et embrassa ses deux enfants. François coupa le film et ils s’endormirent ravis.Durant un mois, tous les soirs, alors que Renée attendait dans le salon, Odile branlait ses deux enfants. Mais un soir, ils demandèrent plus :Maman, est-ce que tu pourrais nous branler en top less ?C’est quoi top less ?Les seins nus, maman…Mais pourquoi les seins nus ?C’est plus excitant…Odile enlevant son pull par-dessus la tête, ainsi que son tee-shirt et son soutien gorge et mis sa grosse poitrine à jour. Pour les deux ados, c’était la première fois qu’ils voyaient les seins de leur mère se balancer sous leur nez. Ils n’étaient pas fripés, blancs mais pendaient un peu. Les auréoles étaient plus beige et les bouts tous petits disparaissaient dans les auréoles.Odile s’approcha de François et en lui saisissant le sexe bandé le branla doucement, faisant tinter ses bracelets. François, ne tenant plus, saisit avec sa main droite le sein gonflé de sa mère. Il le malaxa sous son regard interloqué :Que fais-tu ?Je te touche les nibards du temps que tu me branles, maman, c’est plus excitant ! Je peux ?Oui, si tu veux…répondit Odile.Elle entendit un froissement de drap derrière elle et sentit une autre main lui empaumer l’autre sein. Il s’agissait de Antoine qui venait lui aussi réclamer son dû. Odile se tourna et vit le sexe en érection de Antoine qui brillait attendant lui aussi sa caresse. De sa main libre, elle lui attrapa son vit et le branla à son tour. Regarde les bouts ! Dit François à son frère. Ils grossissent, ils sont énormes !C’est vrai ! dit Antoine. On te fait pas mal, maman ?Non, non, les enfants…Odile sentait une douce chaleur au fond de ses reins se réveiller. Le fait de se faire triturer les seins par ses enfants alors qu’elle-même les branlait, réveillait une douce plénitude. Soudain, une langue se posa sur un mamelon trituré et Odile se tordit de plaisir, alors que François lui aspirait goulûment son sein droit. Puis se fut au tour de Antoine, et la pauvre femme se retrouva avec deux bouches entrain de lui bouffer les seins. Elle leva les yeux et vit le film de cul qui passait à l’écran et une femme qui se prenait une double pénétration et semblait avoir le visage figé sur une prière muette de souffrance. Sa chatte mouillait illegal bahis siteleri comme une fontaine et le feu commença à sourdre dans son antre de plaisir.Elle ne pouvait plus lutter. François la coucha en travers sur le lit. Il lui fit descendre son pantalon de survêtement aux chevilles. Il lui agrippa sa culotte couleur chair et lui fit faire le même chemin. La chatte touffue maternelle voyait le jour sous les regards des deux ados. François posa la main sur le vagin et sentit la chaleur humide à travers les poils. A son tour, Antoine caressa l’abricot de sa mère, glissant un doigt entre les lèvres brunes. La sensation de l’intérieur du sexe rose le fit frissonner. Odile, se rendant compte que cette situation singulière commençait à lui échapper, souffla :Doucement…Il ne faut pas…Tu es tellement belle, maman, dit Antoine.Antoine sentait la chaleur de cette chatte et cela le rendait fou. Il se pencha et posa sa langue sur ses lèvres intimes et les aspira comme il faisait pour ses seins. Odile se cambra et laissa échapper un cri. Mais elle laissa ses jambes ouvertes pour que l’adolescent poursuive cette caresse. Elle continuait de le branler et sentait cette queue vibrer. Elle ne voulait plus à présent que cela s’arrête, son corps réclamait un orgasme.François se mit au niveau de la tête de sa mère et l’enjamba. A genoux, il glissa sa queue entre les deux gros seins et la fit coulisser en les serrant fermement. Il voyait la langue de son frère écarter les lèvres intimes et la sève lui couler dans la bouche.C’est bon ?C’est une fontaine, lui répondit son frère.Ooooh ! Mes enfants, qu’est-ce que vous me faîtes ?…. Soyez gentils, arrêtez…Mais Odile ne voulait plus qu’ils s’arrêtent, elle sentait poindre son orgasme et les caresses des deux ados l’amenaient ostensiblement vers son désir immédiat le plus cher.François frottait son membre dur entre les deux globes laiteux et marbrés de traces rouges et brillants de plaques de salives. Il sentait entre ses pieds la tête de sa mère osciller de droite à gauche. Il prit les deux bouts de seins et les torsada entre ses doigts, lui arrachant des gémissements.Puis, n’y tenant plus, il se pencha en avant et dirigea son sexe bandé vers sa bouche. Il tâtonna un peu et força doucement les lèvres pour enfoncer son gland dans la bouche. Une chaleur brûlante envahit son sexe :Oooooooh putain ! dit-il.Antoine leva la tête et vit le sexe de son frère déformer la bouche de sa mère. Il faisait de petits va et vient pour ne pas l’étouffer. A son tour il se canlı bahis siteleri redressa et vint coller son gland à l’entrée de la vulve maternelle. Il poussa d’un petit coup de reins et s’enfonça délicieusement dans cette grotte humide et brûlante. Il sentit le corps de sa mère se tendre sous la pénétration et crier un « Oh ! » d’étonnement, mais il continua jusqu’à ce qu’il soit au bout. Il regarda son frère qui lui sourit, ce dernier s’étant couché sur le côté et se servant de la bouche de sa mère comme d’un sexe. Elle referma ses jambes derrière le dos de Antoine.Odile fermait les yeux, elle ne savait plus où elle en était. Des ondes de plaisir arrivaient de partout. Elle venait de réaliser que son enfant avait enfoncé son sexe dans le sien, qu’il la baisait et qu’elle aimait ça. Elle ne savait plus si c’était mal ou non. Ce ne devait pas être mal puisque elle en avait du plaisir. Mais elle n’arrivait plus à réfléchir tellement elle goûtait ce moment là.Plus un homme ne l’avait touchée depuis plus de dix ans en raison de sa laideur et ce sont ses enfants qui lui faisaient redécouvrir les plaisirs charnels de la vie.Et cet orgasme arrivait comme un train lancé à l’assaut de ses faibles résistances et lui fit perdre connaissance dans une explosion d’étoiles. Elle s’entendit crier mais elle ne crut pas à ça venant d’elle. Son corps se détendit, elle se sentait comme dans du coton, son premier orgasme depuis un bout de temps.Ses deux enfants accueillir eux aussi cet orgasme avec joie, preuve que leur mère était comme toutes les autres et pouvait profiter de la vie.On tourne ? demanda François.Elle fut mise à quatre pattes par terre, François se rapprocha d’elle par derrière et glissa son sexe dans le vagin bouillant. Il s’enfonça jusqu’au bout sans que sa mère ne bronche. Il envoya ses mains en avant et commença la cavalcade en pétrissant ses seins.Antoine, s’allongea par terre et se fit sucer son sexe en érection.Des grognements, des cris et des claquements de peau sortaient de la chambre des enfants. Renée, qui était assise dans le canapé du salon entendait tous ce qui se passait dans la chambre, étant à moins de cinq mètres des protagonistes. Dans la chambre, Odile avait mal à la mâchoire à force de sucer :Je ne peux plus sucer, j’ai trop mal ! dit-elle en retirant le sexe d’Antoine de sa bouche.C’est pas grave, maman, dit Antoine, je me finirai dans ta chatte…Oui, si tu veux…François n’en finissait pas de s’enfoncer dans ce vagin soyeux et humide. Il sentait venir la jouissance et se retira. Il s’approcha du visage de sa mère, du temps que son frère prenait sa place, et gicla en de longs jets en criant de joie.Antoine ne fut pas bien long lui non plus à venir et sous les hourras de son frère et de sa mère, il gicla sur le cul bombé maternel.

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Lucie & Léa – Part. 2

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Amateur

Lucie & Léa – Part. 2Je vais, à présent, vous faire un résumé lapidaire de la suite. Sachez seulement que rapidement, Léa a investit une partie de son héritage dans l’achat d’un petit pavillon de banlieue dans lequel nous avons emménagé en temps que mère et fille. J’ai continué mon travail et de temps à autre Léa y participe. J’en arrive au présent.Il y a quelques jours, elle m’a demandé mon avis pour aller voir un psy pour un suivi médical afin de devenir réellement femme. Dans mon for intérieur, je me demandais si elle allait aborder le sujet. Mon réponse fut spontanée. « Puisque tu me le demandes, non seulement je te donne mon aval mais je vais tout faire pour t’accompagner ». Dans la foulée, je pris contact avec un médecin qui accepta de nous recevoir. Ce que je ne savais pas, c’est qu’il avait des gouts sexuels quelque peu particuliers. Le jour venu, nous nous sommes donc rendues au cabinet. Pour l’occasion, je m’habille d’une tenue relativement classique tandis qu’elle tient à dissimuler sa lingerie sous une tenue de garçon, ce qui me fit beaucoup rire car elle ne porte quasiment plus jamais de vêtements masculins. Donc, pour ce premier rendez-vous, elle porte un jean, un tee-shirt et des baskets pour dissimuler un soutien-gorge, une petite culotte, un porte-jarretelles et des bas. Comme sa bite ne lui sert plus qu’à pisser, elle est enfermée dans une petite cage de chasteté et son cul est garni par un joli petit rosebud. Dès notre entrée dans son bureau de consultation, canlı bahis je sens poindre, chez Léa, un léger malaise. Du fait de la taille du plug qui lui emplit le cul, elle a du mal à s’asseoir et le docteur s’en aperçoit très vite. Je fais au médecin un rapide résumé de notre histoire. Il se montre autant intéressé qu’excité. Il lui demande de se déshabiller devant lui ce qu’elle fait malgré tout avec une certaine appréhension. Elle retire son t-shirt et son jean. Il l’invite à se tourner. Il mate son petit cul et sa cambrure. Il constate la présence du plug entre ses fesses. Il se lève et vient tâter. Je distingue au travers du tissu de son pantalon, une bosse significative. Ma main s’aventure sur sa braguette. Il me fait un clin d’œil. Je lui demande s’il a besoin d’aide. Il me dit de sortir sa bite. C’est pour un test. Je m’empresse de lui obéir en m’agenouillant. De son côté, il le lui retire, tandis que j’ôte la cage de mon clito. Très vite, son pantalon tombe sur ses chevilles. Il lui demande si elle aime les hommes. Je le lui confirme avant que de prendre sa belle queue entre mes lèvres. Ma bouche de salope confirmée se referme sur sa longue tige. Voyant ça le dard du docteur durcit. J’entame une série de va et vient sur sa bite. Il dit à Léa que c’est à elle de le sucer maintenant pour voir. A regrets, je laisse la place en disant à Léa : « fais honneur à l’éducation que ta maman t’a inculqué ». « Bien maman » me répond-elle. Elle commence par lui bahis siteleri lécher le gland. Je sors de mon sac, un godemichet. Je le prends en bouche pour l’humidifier. Léa me regarde tout en suçant sa queue. Voyez docteur comme elle s’excite, ma petite salope de fille dès qu’elle voit une bite. Oui je vois madame mais maintenant, il faut voir comme elle réagit quand on l’encule. Je vous l’assure docteur, elle adore ça. Il finit de la déshabiller, se me met nu et lui dit de se mettre à quatre pattes sur la chaise. En bonne fille, elle obéit sans rechigner. Je me présente devant elle après avoir sanglé le godemiché à ma taille. Regardez docteur comme elle aime sucer … même des godes ! « Ben oui, Madame, je vois ça » dit il en mettant de la vaseline sur sa verge. J’insiste en disant « Pour moi, c’est une bonne fille. Une vraie chienne avide de bites ». « Attendez » dit-il, en enfonçant sa grosse bite dans son cul ouvert. « Il faut dire que je l’ai bien élevé, dans le stupre et la perversion » que je rajoute. « Tu m’as toujours dit que je suis une fille maman » croit-elle bon d’ajouter. D’une voix autoritaire, je la reprends : « Contentes toi de tendre ton cul et de donner du plaisir au docteur ». « Ooooooooooooooooooooh je sens sa grosse bite en moi. Elle me prend bien ma chatte. Il me ramone ». Je suis tellement excitée de vous voir baiser que je commence à me donner du plaisir en me caressant. A la surprise du docteur, je retrousse ma jupe et je sors ma bite de bahis şirketleri ma culotte. Et oui, docteur, je suis moi aussi une transsexuelle. Cela l’excite encore plus que m’étant débarrassé du godemichet, je me fais sucer par Léa, pendant qu’il l’encule. « Mesdames, vous tombez bien, j’adore baiser des salopes dans votre genre » dit alors le docteur. Ma petite Léa est comblée, une queue dans chacun de ses trous, elle est aux anges. Le docteur s’adresse à moi et me dit « je vais vous prendre aussi, chère madame ». Il nous intime l’ordre de changer de position. Nous nous retrouvons toutes les deux côte à côte, par terre à quatre pattes. Il passe d’une chatte à l’autre tandis que nous nous roulons des pelles bien baveuses. « Oh maman je t’aime”. Je ne sais pas toi, mais moi, je déguste ». Il s’interrompt quelques instants et va à son bureau d’où il revient avec une paire de menottes. Nous voici menottées l’une à l’autre. Il décide alors de nous administrer une fessée. Très vite, nos fesses prennent une couleur rouge bien prononcée et nous chauffent. Comme deux chiennes en chaleur, que nous sommes, nous tortillons du popotin sous ces claques. Il nous dit de nous lever. Nous obéissons, soumises. Il se met à genoux devant nous et nous suce à tour de rôle. Intérieurement, je le trouve très doué. Après s’être vidé sur nos visages, il nous annonce qu’il est d’accord pour nous diriger vers un psy qui pourra nous recevoir. Il rédige un courrier qu’il me charge de donner au psy lors de notre premier rendez-vous. Il y met une condition. Que nous acceptions de devenir ses esclaves sexuelles. Désormais, chaque fois qu’il aura envie de nous, nous devrons répondre présentes et lui obéir.A suivre …

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Un nouvelle an très chaud !

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Blonde

Un nouvelle an très chaud !Je vais raconter le chaud nouvelle an que nous avons passé Marc et moi.Cette année, le nouvelle ans ce passait chez nous avec de nombreux amis. Nous étions une petite vingtaine avec la présence de Laure (l’amie que j’ai offert à Marc http://xhamster.com/user/bibimarc/posts/368093.html ). Pour ce réveillon on c’est tous mis sur nôtre 31, pour ma part je me suis habillé avec une petit robe bleue assez sexy, des bas noir histoire de titiller mon mari qui adore çà et pour finir des talons haut. Bref, je voulais être la plus belle mais forcé de constater que mon amie Laure à mis tous les messieurs de cette soirée à ses pieds avec une robe moulante rouge très courte, des talons aiguille assorties et un décolleté abyssale ! La soirée commence classiquement on mange, on boit, on s’embrasse à minuit, on danse… je vous passe les détails. Bref, dans la soirée je me suis éclipser avec Laure dans notre chambre. J’avais besoin de lui raconter les conséquences de notre aventure au Hammam ( http://xhamster.com/user/bibimarc/posts/361910.html ). Il est clair que cette petite aventure a redonné un certain élan à notre couple et que nous réfléchissons à de nouvelles aventures sexuelles. Comme à son habitude Laure voulu plus de détails coquin et illegal bahis notre discussion est devenu torride, l’alcool dans notre sang aidant.Sans même m’en rendre compte je me mis à caresser les jambes de Laure. Puis inutile de vous dire que ses mains on commençais à faire de même… Très vite, j’ai sentie sa main remonter vers le haut de mes bas. Je vis Laure me faire un grand sourire et pour la première fois ma main fit de même sur ses jambes. Nos têtes se rapprochèrent délicatement, puis nos lèvres se touchèrent avant que nos langues s’unissent pour exécuter une danse des plus érotiques. Plus la main de Laure montait sur mes cuisses et plus la mienne en faisait de même sur les siennes. Puis vient le moment où sa main arriva sur mon string et la mienne sur ses lèvres. Hé oui comme d’habitude la belle avait volontairement omis de porter des sous vêtement. De chaque cotés un va et viens s’installa tout en s’embrassant de plus belle. Humm quel délice, j’en étais trempé tous comme elle.Soudain Marc est rentré dans la chambre. Sans réfléchir j’ôtais ma main de l’entre jambe de Laure, alors qu’elle la laissa. Marc visiblement bien alcoolisé fus d’abord surpris avant de nous lancer : “Je vois qu’ils y en a qui ne s’embêtent pas”. Laure lui répondis avec illegal bahis siteleri un sourire ravageur “Pour commencer l’année c’est pas mal, non !”Mon mari lui répondis alors : “Pas mal ! Il te faudrait quoi pour que ce nouvelle an commence parfaitement ? “. Du tac au toc, Laure lui répondit qu’elle avait mal au pied avec ces talons et qu’un massage des pieds lui ferais le plus grand bien. Je m’invitais dans cette discussion chargé de sexe et me plaignis également de mes pieds douloureux.”Ok mesdames” nous répondis Marc avant d’ajouter “Mais j’aurais quoi en échange ?”.Laure lui dit alors de façon très coquine, ne laissant aucun doute sur ces intentions futures “Ne t’inquiète pas, masse nous les pieds et on verra plus tard”.Voilà donc Marc à nos pieds en train de nous masser, alors que Laure et moi reprenons comme-ci de rien étais nos petit jeu de langues et bientôt de mains.Au bout d’un moment, Marc arrêta et nous dit :”A mon tour maintenant”. Laure lui répondis alors d’une voie sensuelle “Tu veux quoi ? Que l’on te masse les pieds ou tu préfères autre choses ?”.Totalement désinhibé par l’alcool, Marc sorti sans complexe son sexe et nous le présenta.Toute excitée, je le pris directement dans ma bouche sans que Laure n’eut le temps de réagir. canlı bahis siteleri En moins de deux son sexe grandis dans bouche, Laure plaçant sa main dans mon entre jambes.Un pur moment de bonheur, d’un coté sucer son mari et de l’autre sentir le va et vient de la main de Laure.Puis alors que je suçait goulûment mon mari, Laure me dit impatiemment “Et moi ! Tu m’oublies”.Et ni une ni deux, la voilà directe en gorge profonde en train de sucer mon mari.Marc était sur le cul, mais prenait un sacrer pieds le salaud. Au bout de dix bonnes minutes de pompages sans pause, la porte c’est ouverte. C’était un pote de Marc, mais trop bourré il n’a rien compris et s’en alla aussi vite que venue !Je profitais de l’occasion pour reprendre mes droits sur mon mari et l’engloutir au plus profond de ma gorge à mon tour.Sous mes coups de langues, je sentis sa queue se tendre de plus en plus. Et alors qu’il allait éjaculer, il demanda à Laure de revenir le sucer ce qu’elle fit sans hésiter. Le salaud, il voulais jouir au fond de sa gorge. Elle prit le sexe de Marc à nouveau au fond de sa gorge et le suça sans relâche jusqu’à l’orgasme. Elle a prit tout le sperme dans sa bouche et l’a avalé avec délectation. Par gentillesse, elle finit par me rouler une pelle, histoire de partager un peu le jus de mon mari. Au fond cela n’étais pas si dégueulasse. Marc est reparti au salon et Laure et moi avons continué à « discuter » encore quelque minutes, avant de revenir à notre tour au salon.Cette nouvelle année commence bien …

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Un réveil chaud et humide

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Un réveil chaud et humideNouvelle : Un réveil chaud et humideC’est le jour filtrant à travers les volets clos qui m’éveille. Je m’étire langoureusement et goûte à travers cet instant la plénitude de mon corps et de mon esprit dans le doux et chaud abri de mon lit… Des instants langoureux., rien que pour moi… seule…que rien ne vient précipiter….Mais il faut se lever… Je sors de mon lit, et en me préparant un café me connecte sur xH pour consulter mes messages privés suite au chat coquin fait la veille avec mon amie virtuelle… Le message que j’y trouve illumine mon visage d’un sourire” Ce matin je me suis réveillée humide, la tête encore remplie des rêves extatiques virtuels que j’ai eus avec toi cette nuit… J’ai rêvé que tu me plaquais contre le mur, que tu m’arrachais ma robe, que lentement, tu faisais glisser ma coquine petite culotte le long de mes jambes et que tu me prenais dans une étreinte sensuelle. J’ai rêvé de cette illegal bahis étreinte, je sentais ton corps tout contre le mien, t’ai respiré, ai goûté ta peau, c’était si doux… Je te laisse avec ces images mon cœur. Penses-y !… peut être à tout à l’heure !….c’est mon souhait !” Il n’en faut pas plus pour que mon envie, assouvie la veille et cette nuit par des orgasmes violents resurgisse… Alors je retourne vers mon lit… J’ôte mon pyjama… En retirant le haut, ma main gauche effleure mon sein droit dont le téton est déjà érigé. Je le caresse… Il durcit … J’aime cette sensation qui se propage vers mon bas-ventre …….Quelques minutes plus tard je me retrouve nue dans mon lit à me caresser… Tout doucement… de mon épaule à ma cuisse pour éveiller mon corps…. Je m’arrête sur mes seins que je masse… en caresse les tétons durcis de la paume de la main pour les faire encore grandir et du bout des doigts pour les faires durcir illegal bahis siteleri un peu plus…Je les pince fort, plus fort encore, presque violemment pour que l’onde vibrante descende jusqu’à mon sexe…Ma chatte… lèvres épilées et légère toison sur le pubis… est après ton message, gonflée… humide… chaude…palpitante… Je sais que si j’y glisse un doigt je le trouverai trempé mais … j’attends…..pour faire durer mon plaisir et ne pas venir trop vite. Je caresse l’intérieur de mes cuisses, mon pubis, je remonte sur mes seins, les tétons, que je re-pince. Mon corps, mais surtout ma chatte mouillée se languit… Je redescends… frôle mes lèvres d’une caresse, mes cuisses se referment sur ma main comme une invitation puis s’ouvrent à nouveau … Je joue avec mes deux mains maintenant . De chaque côté de ma grotte … J’écarte ce sexe trempé et luisant qui coule de mon plaisir…doucement j’enfonce un…puis deux canlı bahis siteleri doigts que je coulisse avec douceur…je les ressorts pour gouter mes propres sécrétions…hummm, C’est bon… j’aime mon gout…une de mes mains redescend et mes doigts repartent ce-coup ci a l’assaut de mon clitoris que je caresse de haut en bas… puis en cercle… de plus en plus vite, tandis que de ma main libre je me masse fortement les seins et me pince les tétons……je sens que je viens… …je sens les contractions de mon vagin… …je suis au maximum de ma jouissance …je sens des picotements dans tout le vagin et…… une boule qui monte dans mon ventre… … et explose……je me cambre, les yeux révulsés … Et……je pars dans un orgasme violent qui me secoue comme un tremblement de terre et m’arrache …un long gémissement…. suivi d’un râle puissant… …je me relâche complètement… …Je reste allongée sur mon lit, les jambes écartées, ma chatte luisante de mouille et les yeux fermés, quelques instants, pour reprendre mon souffle …Je suis passée d’un réveil chaud et humide à une semi-conscience bouillante et trempée.Merci à mon amante virtuelle pour ce réveil coquin ….

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TimieTimie se décida à sonner. La porte s’ouvrit sur un couloir où elle ne vit personne. Une voix lui parvint :- Entre, Timie. Dépêche-toi !Les jambes tremblantes et l’angoisse au cœur, elle avança vers la pièce éclairée. Il était là, assis dans un fauteuil de cuir, vêtu d’un jean et d’un sweat, grand et mince, avec des yeux inquisiteurs et un regard sombre, dur et inquiétant. Il n’était pas seul. Près de lui se tenait, l’air goguenard, un jeune homme du même âge, trapu, le cheveu coupé court et le menton fuyant.- C’est Michel, un as de l’autofocus ! Dit l’autre en mimant le geste du photographe. Le sang reflua du visage de Timie. La voix de Monsieur, autoritaire et sans réplique retentit :- Avance au milieu de la pièce, tiens-toi droite et écoute sans rien dire !- Ecoutez, je…- Tais-toi ! J’ai dit. On a des photos de toi très édifiantes, tu le sais. De quoi intéresser ta famille, tes amis… Alors cet après-midi, tu vas nous obéir au doigt et à l’œil. Tu vas faire tout ce qu’on te demande, sans rechigner et sans protester. On veut profiter pleinement de ta personne, tu comprends ? L’avant-goût que tu nous as donné nous a mis en appétit…- Juste un après-midi, à dix-sept heures, tu seras libre, on te redonnera les photos et les négatifs.Elle rougit violemment, incapable de soutenir leurs regards vicieux. Elle aurait dû s’enfuir, mais elle restait là, flageolante, à écouter ces propos insensés. Le jeune homme reprit :- Je veux t’entendre dire oui !Elle imagina la réaction de son mari, de ses amis s’ils recevaient les clichés, incrédules et scandalisés. Un moment d’égarement allait briser son foyer, sa réputation… Elle baissa la tête et murmura :- Oui.- Oui qui ?- Oui Monsieur.- C’est mieux, ça… Tu m’appelleras Monsieur, tu promets de nous obéir ?- Je vous le promets, dit Timie, des sanglots dans la voix. Mais promettez-moi de me rendre les photos.- Évidemment… C’est le marché, non ? Tu nous obéis puis tu as les photos. D’accord ?Elle commençait à imaginer ce qu’ils allaient exiger d’elle. A la façon de la déshabiller du regard, elle ne pouvait se tromper sur leurs intentions. Une bouffée de chaleur lui monta à la tête. Elle dit, soudain pressée d’en finir :- Bien, Monsieur, je suis d’accord…- Bien, tes vêtements sont super, mais on est curieux de savoir ce qu’ils cachent. Déshabille-toi !Elle souffla bruyamment, désespérée et résignée. Devant eux, mais sans les regarder, elle ôta sa veste, puis dégrafa sa jupe qu’elle fit glisser, dévoilant ses bas gainant ses jambes fines.- Jolies jambes… Continue comme ça, ma belle !Timie dégrafa son corsage blanc et se retrouva en soutien-gorge devant eux…Elle passa ses mains dans son dos pour dégrafer le sous-vêtement. Ses seins ronds et fermes apparurent, projetés en avant par son attitude, les pointes érigées, à sa grande honte.- Sensibles, ces nichons ! Ne bouge plus, qu’on admire. Tire-toi les pointes, qu’on voit l’effet…Elle se mordit la lèvre, porta ses mains à ses seins. Sous le pincement, elle les sentait se gonfler malgré elle. Les pointes étirées durcirent sous ses doigts. Elle avait beau essayer de se maîtriser, elle ne pouvait rien empêcher. Son corps la trahissait. L’ordre claqua :- Tire plus fort, qu’ils soient bien à l’horizontale !- Vers le haut maintenant !- Ne fait pas semblant de pincer, écrase-les biens sous tes doigts, sinon c’est moi qui vais les pincer, et là tu verras la différence.Timie, les larmes aux yeux, serrant les dents, obéissait. Ses seins étirés vers le plafond lui faisaient mal, mais comment ne pas obéir, la menace était d’importance…- Reste comme ça, je te dirai lorsque tu pourras arrêter.Monsieur resta ainsi plusieurs minutes à la dévisager et à profiter du spectacle. Il tourna plusieurs fois autour d’elle afin de profiter de la perspective qu’elle affichait sous tous les angles.Timie avait des difficultés à rester ainsi, la douleur était de plus en plus lancinante. Enfin, Monsieur se décida.- Le slip maintenant !Maladroitement, Timie ôta son slip qui rejoignit ses autres vêtements par terre. Ses seins la lançaient, mais au point où elle en était, elle se sentait capable de tout…Elle ne portait plus que ses bas, son porte-jarretelles et ses chaussures, il lui dit de ne garder que ses chaussures. Elle croisa ses mains sur son ventre pour tenter de cacher ses poils blonds, sachant combien sa fente était visible…- Tu vois, ce n’est pas difficile. Mets donc tes mains sur la tête !Elle n’eut pas la force de résister. Elle obéissait sans réagir à ces ordres, elle s’exécutait sans aucune volonté.Elle était nue, offerte. Ses bras levés la cambraient. Son ventre et ses seins étaient exposés sans pudeur. Les larmes aux yeux, elle serra les cuisses.- C’est fini, cette attitude de mère la pudeur ? Tiens-toi bien droite, jambes écartées, mains dans le dos et regard baissé ! Allez, obéis !Résignée, elle prit la pose indiquée.- C’est ça. Voilà comment tu es : une femelle sans pudeur, que ça excite de s’exhiber à poil. Je n’ai pas raison ?Elle hésita. Il répéta sèchement :- Ce n’est pas vrai, madame l’hypocrite ?- Si… si Monsieur.Michel n’avait pas dit un mot. Il sortit de la chambre. Monsieur ordonna :- Accroupis-toi, cuisses écartées… montre ta fente. Je parie que tu es mouillée !Il lui fit tirer sur ses poils, ouvrir ses lèvres intimes. Elle dut s’approcher et il se pencha.- Ta moule est toute brillante ! Montre mieux ton trou, salope !Elle obéit, hoquetant de honte. Il avait raison, son ventre s’alourdissait, une humidité impossible à cacher ramollissait ses chairs. Et ses tétons dardaient, mauves et durs. D’autres ordres claquèrent, et elle exécuta tous les mouvements que Monsieur pouvait imaginer pour accroître sa honte et son trouble.Debout, jambes bien écartées, elle dut se pencher en avant, langue tirée, et s’écarter les fesses à deux mains, exhibant le plus secret de son intimité. Il lui fit mettre un doigt dans l’anus, puis deux, puis quatre. Il lui demanda d’écarter le plus possible afin de montrer l’intérieur de ses muqueuses.Il la fit se coucher sur le dos, jambes relevées et grandes ouvertes, lèvres du sexe bien exposées. Les ordres étaient précis, maniaques, accompagnés de commentaires humiliants.Puis lui demandant de se relever, il lui ordonna de se toucher le sexe devant lui et de se faire jouir, elle fit non de la tête. C’était au-dessus de ses forces. Il se leva, marcha vers elle et lui donna une claque retentissante sur la joue. Elle vacilla, le souffle coupé, tremblante de peur. Elle fit alors ce qu’il exigeait, se caressant en pleine lumière, enfonçant deux doigts dans son vagin et massant du pouce son clitoris. Elle pleurait et gémissait. Elle était trempée… Elle mit plusieurs minutes avant de se cabrer par le plaisir qui montait dans ses reins.Timie comprit qu’elle n’en serait pas quitte en s’exhibant sous toutes les coutures. Elle se résigna à la suite, privée de volonté. Elle dut humblement “solliciter” l’autorisation d’embrasser Monsieur, lui livrant docilement sa bouche. Elle se laissa fouiller par la langue avide. Elle fut obligée d’enfoncer sa langue à son tour, de mimer un baiser passionné. Elle se répétait qu’elle était contrainte, mais son corps réagissait, elle haletait. Cela empira quand il la toucha, palpant ses seins, son ventre, son cul… Elle frissonnait et ravalait ses sanglots.Il explora tout son corps, ses endroits les plus secrets. Il allait de son sexe à son anus, y enfonçait ses doigts en tournant, comme s’il voulait les y visser. Il explora l’intérieur de son sexe, du clitoris qu’il agaçait de ses ongles au périnée qui séparait celui-ci de son anus. Après s’être repaît de ses orifices, il força sa bouche de ses doigts afin de lui faire goûter ses propres sécrétions. Il tritura ensuite ses seins, s’amusant à les étirer et à les voir ballotter quand ils se libéraient. Il pinça chaque extrémité, de plus en plus fort, guettant ses réactions, testant sa résistance. Timie ne pouvait empêcher les larmes couler de ses yeux, la douleur, ne fut supportable que quelques instants. Un cri sortit de sa bouche. Monsieur diminua la pression. Il recommença à la toucher, palpant son sexe, agrippant ses petites lèvres, les pinçant à leur tour. La douleur fut plus rapide à arriver. Timie essaya de se reculer, mais elle était prisonnière des doigts qui la faisait souffrir. Il se lassa de ce petit jeu, pour en reprendre un autre. Il sélectionna le clitoris qui dardait en haut de la fente, l’attrapa entre pouce et index et serra. Un flot de mouille sorti du sexe de Timie en même temps qu’une jouissance explosa dans le bas de ses reins. Monsieur avait réussi à la faire jouir par la douleur.Elle se retrouva à genoux devant lui.- Alors, Timie, tu as aimé ?- Oui, Monsieur, j’ai aimé, avoua-t-elle vaincue.- As-tu donné le meilleur de toi-même ?- Oui, Monsieur.- Tu crois en être quitte avec si peu ? Tu te trompe ma belle. Viens ici !Il la fit mettre à quatre pattes sur une table basse, et d’une main au creux de ses reins, il la força à se cambrer.- Tripote-toi encore.Elle porta à nouveau sa main entre ses cuisses et il ordonna :- Tire les lèvres, enfonce ton doigt, plus loin…Elle le sentit s’installer derrière elle, peser sur ses reins pour l’amener à la bonne hauteur…Il guida ses doigts sur son clitoris pour qu’elle le presse, et poussa sa queue dans sa fente. La poussée brutale la fit crier, mais le membre s’enfonça sans difficulté, buttant au fond de son con. La prenant par les cheveux, il lui releva la tête tout en la limant à fond.Brusquement, il se retira presque entièrement et lui enfila un doigt dans l’anus, tournant pour lui assouplir le muscle.Elle se cabra, résista en vain à la pression du gland qui remplaçait le doigt et l’écartelait.Elle vit sur le plateau de la table se refléter ses seins pendants, sa fente et ses fesses ouvertes, et la queue qui la pénétrait lentement.- Regarde-toi bien te faire enculer, dit Monsieur en lui courbant la nuque.Ses yeux allaient du dessus de verre à la grande glace du placard qui occupait tout le fond de la pièce, en face d’elle.Timie sentait et voyait le sexe l’envahir progressivement, jusqu’à disparaître entièrement dans son rectum. La douleur la figeait. Il la prit par les hanches et commença à la pistonner puissamment, ressortant sa queue jusqu’au gland, puis replongeant. Se servant d’elle comme d’une poupée gonflable. Au bout de quelques minutes, Timie sentit un picotement remonter le long de ses reins pour éclater comme une boule de feu dans sa tête. Monsieur avait réussi à la faire jouir à nouveau et de la manière la plus honteuse.Quelques instants plus tard, il s’enfonça au plus profond de ses reins, elle le sentit se vider en elle. Il resta ainsi quelques instants, profitant du moment. La queue ressortit, raide et gluante, d’entre ses fesses. Son anus bâillait, l’air s’y engouffrait.- C’est bien Timie, tu es accueillante, mais il reste encore beaucoup à faire…Hébétée, elle fixa la pine qui se balançait devant sa bouche.- Me nettoyer, par exemple…Elle eut un haut-le-cœur. Il lui saisit les cheveux et força ses lèvres.- Applique-toi, montre que tu peux être experte dans l’art de la pipe.Il lui expliqua comment il fallait agir, lui sucer le gland en mouillant suffisamment avec sa langue, tourner autour de la tête, puis plonger en apnée au plus profond jusqu’à ce que la queue cogne au fond de sa gorge.Elle sentit le sexe reprendre de l’ampleur, son apprentissage était rapide mais efficace. Son maître était à la hauteur…Après quelques minutes de ce traitement, sentant sa jouissance arriver. Il lui maintient la nuque afin de s’enfoncer au plus profond de la gorge accueillante et se vida par à-coups.Bon, comme tu t’es bien acquittée de ta tâche, tu vas pouvoir repartir.- Mais, les photos…Un froncement de sourcils lui fit rectifier : – S’il vous plaît, Monsieur, rendez-moi les photos.- c’est le marché, n’est-ce pas ? Michel !L’autre jeune homme reparut, la dévisageant d’un air vicieux. Elle prit les photos et les négatifs que Michel lui tendait, les fourra sans les regarder dans son sac à main.- Tout y est, assura Monsieur en riant. Mais on va se revoir sans tarder, ma belle.Elle le toisa, reprenant son assurance et pressée de s’en aller, a présent qu’ils avaient eu ce qu’ils voulaient.- Y a intérêt, je n’ai pas été gâté, moi, dit Michel en se glissant derrière elle.- Vous m’avez promis…- Tu as les photos, on ne t’a pas menti, mais nous avons autre chose à te montrer. Viens !Michel la poussa vers le fond de la pièce et fit pivoter la grande glace qu’elle avait prise pour un placard mural. Elle découvrit derrière un petit salon meublé d’un fauteuil de cuir, d’une table bar et d’un téléviseur grand écran. Elle fixa hébétée le verre vide et le caméscope fixé sur un pied.La paroi vitrée se referma, Timie sursauta en voyant à travers elle la pièce où elle venait de vivre un après-midi de cauchemar.L’écran de télé s’alluma et elle comprit que cela ne faisait que commencer.Une glace sans tain et un petit bijou pour te filmer, expliqua Michel. Du beau travail, regarde-toi un peu.Elle se vit en gros plan, cuisses écartées, ouvrant sa fente devant Monsieur.- Joli, non ? Une cassette réussie, deux heures de grand spectacle ! Jubila Michel.Tout était là, depuis que Michel avait quitté la pièce, en couleur et en détail. Celui-ci manœuvra la télécommande, il fit défiler le film en accéléré. Timie se vit enchaîner les positions les plus impudiques en accéléré. Un arrêt sur image la figea sur l’écran en train de se tripoter, puis un autre, l’expression égarée. Et d’autres encore où elle se livrait à la bite de Monsieur, lui ouvrant son cul, jouissant sous lui léchant sa queue maculée.- Tu vois, c’est autre chose que des photos, plus vivant ! Rigola Michel. De quoi remplir une salle et faire bander ceux qui te connaissent. Ou plutôt ceux qui te connaissent mal !Flageolante, elle se retenait au dossier d’un fauteuil, le visage livide.- Salauds ! Bredouilla-t-elle.Deux gifles lui marbrèrent les joues. Monsieur la tira violemment par le poignet.- On n’a pas seulement envie de s’amuser quelques heures avec une bourgeoise vicieuse, dit-il. On veut une belle pute obéissante et dressée à notre entière disposition. Tu piges ?Elle baissa les yeux, terrorisée.- Oui… oui Monsieur, murmura-t-elle, effondrée.- Tu as bien réalisé ta situation ? Voilà les nouvelles règles, écoute bien et retiens-les. Tu nous dois une obéissance absolue et une disponibilité totale, à partir d’aujourd’hui. Mets-toi à genoux !- Je reprends : obéissance absolue et disponibilité totale. Présentation toujours impeccable et soignée. Tu ne porteras plus de sous-vêtements, ni slip, ni soutien-gorge… Tu vas t’épiler la chatte, dès demain. Je la veux nue, bien lisse. Tu entends ?- Oui… Monsieur- Et tu achèteras un collier de cuir noir et une laisse pour chien, continua Michel. Cela t’ira très bien.- Tu comprendras à l’usage, dit Monsieur. On va te dresser !- Tu viendras demain à quatorze heures, vêtue comme on te l’a dit et épilée, avec le collier et la laisse. Compris ?- Oui Monsieur.- Suce-moi, dit Michel, avant de filer !Les doigts de Timie tremblaient tellement qu’il déboutonna lui-même sa braguette, plongeant sa queue épaisse et courte dans sa bouche. Il la prit par les oreilles et fit coulisser sa tête, dédaignant ses plaintes étouffées. Le nez contre les poils bruns, elle sentit le sperme fuser presque aussitôt contre son palais et dut l’avaler, suffoquant, les larmes aux yeux.- Rhabille-toi, tu peux partir. Et sois à l’heure demain.- Oui Monsieur.Le goût âpre du sperme dans la bouche, elle remit ses vêtements. Ils l’accompagnèrent à la porte, l’ouvrirent. Sur le palier, Monsieur la rappela. Elle dut trousser sa jupe sur son cul nu, s’écarter les fesses à deux mains et entendre leurs rires tandis qu’elle fuyait.La nuit de Timie fut très agitée. Elle repensait sans arrêt à l’après-midi qu’elle venait de vivre.Se montre nue, devoir obéir sans aucune restriction, la bouleversait. Elle avait honte de subir cela, et sa soumission la révoltait. Elle se répétait qu’elle n’avait pas d’autre choix.Le matin suivant, elle se rendit chez une esthéticienne, dans un quartier qu’elle ne fréquentait pas pour se faire épiler.Elle trouva dans le même quartier un petit magasin pour animaux et acheta la laisse et le collier.A quatorze heures, elle sonna au domicile des jeunes. Comme convenu, elle ne portait aucun vêtement sous son tailleur gris.- Bonjour Timie. Ponctuelle, c’est bien. Tu ne dis pas bonjour ?- Si pardon. Bonjour Monsieur.- Ce n’est pas cela, dire bonjour. Je vais t’apprendre, tâche de retenir. Tu dois te précipiter dans mes bras pour un vrai baiser d’amoureux, sortir ma queue, la caresser avec tes mains, la branler, puis tu te mets à genoux pour me sucer. A ce moment là tu peux dire “Bonjour Monsieur”. – Compris ? Alors exécution !Il ne plaisantait pas. Elle eut peur de son regard, tendit sa bouche et s’exécuta en fermant les yeux. Il la lui fouilla longuement de sa langue. Comme elle ne s’exécutait pas assez vite, il lui mit sa main sur sa braguette. Elle sortit son sexe et tomba maladroitement à genoux. Quand le gland heurta sa bouche, elle ouvrit les lèvres et s’appliqua de son mieux. Il jouit rapidement dans sa bouche et elle dut tout avaler.Michel arriva à ce moment là.- Dis-lui bonjour comme tu viens d’apprendre, lui ordonna ce dernier.Elle répéta les mêmes gestes. De nouveau sa bouche fut accaparée longuement, fouillée et malmenée. Le jeune homme jouit très vite et elle dut avaler à nouveau le sperme tiède.Ensuite ils lui ordonnèrent de retirer ses vêtements pour se présenter nue. Debout devant eux, elle retira son tailleur, leur dévoilant ses seins d’abord, puis son sexe lisse.- Tu as obéi, dit Monsieur… Je me demandais si tu oserais…A genoux devant eux elle dut sortir de son sac le collier et la laisse et les donner à Michel. Celui-ci se fit un plaisir de lui mettre le collier et d’y accrocher la laisse.- Sur les instructions de Monsieur, tenue en laisse, elle se mit à marcher à quatre pattes dans le salon, en ouvrant bien les cuisses et en levant bien la tête, le dos cambré.Après un petit moment, Monsieur tenta un petit jeu afin de tester sa docilité.- Prends le panier qui est sur la table, et portes-le moi !A l’intérieur son contenu laissa Timie interloquée. Des épingles à linge de toutes couleurs tapissaient le fond.- Att****s-en une, et installe-là sur la pointe de ton sein droit, allez exécution !- Mais c’est trop douloureux se plaignit-elle !- Obéis, ou je t’attache et les placent moi-même.Impressionnée par l’expression de Monsieur, Timie att**** une pince et la place avec précaution sur son mamelon, prenant soin de la lâcher doucement. Malgré cela la douleur fut à peine soutenable.- Recommence sur l’autre sein !Timie les larmes aux yeux s’exécute sous les rires de Monsieur et de Michel.- Très bien, maintenant, plus difficile…Tu vas écarter les jambes et en placer sur chacune de tes grandes et petites lèvres ! Au moins deux sur chacune…Sentant que ce serait insoutenable, celle-ci dit :- S’il vous plaît, je ne le supporterais pas, ne m’obligez pas à faire ça !- Dernier avertissement, ma belle. Si tu ne fais pas tout ce que l’on exige, je te jure que je te tanne le cul à coups de cravache !Au comble du désespoir, les pointes des seins en feu et les larmes plein les yeux, Timie s’exécute. La douleur est maintenant omniprésente et irradie dans tout son corps.- Allez, une dernière sur le clitoris et on te laisse respirer.Celle-ci placée sur l’endroit le plus sensible de son corps la fit crier aussitôt posée.- Bien, maintenant, tu vas nous tourner le dos, jambes écartées. Tu te penche en avant et tu t’écarte les fesses à deux mains.Docilement elle se mit aussitôt en position, Monsieur s’approcha d’elle et commença à lui toucher l’anus en faisant le tour avec son index tout en le sentant palpiter. De son autre main, celui-ci jouait avec les pinces à linge, ce qui procurait des élancements dans les seins et le sexe de Timie qui grognait de douleur.Se positionnant enfin à la bonne hauteur, il enfonça d’un coup son sexe dans les reins de sa victime et commença les va et viens brutaux.Afin d’accélérer sa jouissance, Monsieur saisit les pinces des seins et les tira à la limite de les décrocher, ce qui produisit dans la poitrine de Timie une douleur insupportable. Celle-ci pleurait à chaudes larmes.Il arracha les deux pinces en même temps qu’il lui inonda les reins.Hors d’haleine, les seins, le sexe et les reins douloureux, Timie, se sentait vidée. Elle se demandait quand finirait ce cauchemar.- Comme tu as été bien obéissante, tu as le droit de passer à la douche. C’est Michel qui va te frotter.- Merci MonsieurAspergée d’eau froide, Timie poussait des cris de souris, Michel attrapa un gant de crin pour la réchauffer, aucune partie de son corps ne fut oubliée. Elle ressortit écarlate de la tête aux pieds.- Bon, te voilà bien propre. Mais les bourgeoises de ton espèce oublient toujours de se laver l’intérieur. Aussi nous allons t’administrer un lavement, que je puisse me servir de toi sans me salir.- Mais…- Pas de mais, en chienne sur la table !Elle se mit en position. Michel lui fixa les poignets et les chevilles à la table à l’aide de sangles. Une autre sangle lui entoura les reins, serrée de telle manière qu’elle se trouva plaquée à la table, seins écrasés contre le bois, fesses cambrées, cuisses largement béantes…- Deux litres, ça ira ? Fit Michel en revenant.- Très bien !Monsieur prit la canule et l’enfonça dans le cul dilaté de Timie, qui ne voyait plus rien de ce qui se passait derrière elle.- Allez, avale, prends tout.Le liquide tiède envahit ses entrailles malmenées. Elle tressaillit, se contracta en vain.Ses intestins se remplissaient, son ventre se ballonnait, prêt à éclater. Le lavement dura un bon quart d’heure. Quand Monsieur retira la canule, un liquide brunâtre commença à s’écouler de l’anus distendu.- Il me faudrait un bouchon…- Attends, dit Michel en lui passant un gode à ceinture. Mets-lui ça !- Parfait !Il l’introduisit sans difficulté, puis délia Timie, lui ordonna de descendre de la table et de marcher dans la pièce, tenue en laisse par Michel. Son ventre énorme la faisait souffrir, mais elle serrait les dents, soucieuse de ne pas déplaire.Au bout d’un moment, Monsieur lui dit de se mettre en position accroupie, güvenilir bahis les cuisses écartées, les mains sur la tête.Aussitôt en position, il lui dit de relever les reins, puis de les baisser sans se poser sur les fesses.- Allez, un petit moment de gymnastique !- Bon, lui dit-il au bout de quelques flexions, maintenant marche en canard autour de la table.La position inconfortable, le liquide dans ses reins et le gode qui la distendait contribuaient à lui faire perdre ses dernières forces. Au bout de quelques tours, elle s’écroula sur le tapis hors d’haleine.Elle eut le droit d’aller chercher une cuvette, de s’accroupir dessus, de retirer son gode et de se soulager devant eux.Cela lui sembla durer une éternité… Elle pissa en même temps, morte de honte et résignée…- Te voilà une petite pute bien soumise, maintenant, lui dit Monsieur. Mais voilà on en veut plus encore !- Att****-moi l’objet qui est rangé dans le tiroir de la table basse.Timie se baissa et pris entre ses mains la cravache qu’elle trouva là. Incrédule, ne sachant quoi en faire, elle regardait Monsieur, puis Michel, ne pouvant pas croire que l’on pouvait l’utiliser contre elle.- Alors, tu me la donne !Timie lui présenta.- Bon, dit Monsieur. Comme je vois que tu hésite encore, tu vas être punie. Tu vas recevoir la cravache sur les endroits les plus sensibles de ton corps. Je n’excepterais rien.- Je n’ai jamais été battue, je ne le supporterais pas, je vous en supplie, n’exigez pas cela de moi.- Comme c’est la première fois et que tu n’as pas l’habitude, Michel t’attachera. Acceptes-tu ?- Non, je vous en prie…- Je l’exige !Michel l’att**** par les bras et commence à la rapprocher d’une barre sur laquelle est fixé un anneau à chaque bout. Celle-ci est accrochée à une corde suspendue au plafond de la pièce par l’intermédiaire d’une poulie qui permet de la tirer vers le haut. Timie se débat avec le peu de forces qui lui reste en jetant des cris.Michel lui place une courroie à chaque cheville et une fois attachée, il commence à la suspendre par les pieds en tirant sur la corde.Timie, la tête en bas, ne peut plus se défendre. Elle implore ses bourreaux qui rient de la voir ainsi à leur portée.Monsieur, se positionnant derrière elle se prépare. Le premier coup l’atteint sur la fesse droite alors qu’elle ne s’y attendait pas. Tout son corps s’est contracté, mais il lui est impossible de s’y dérober. La cravache laisse sur la peau fine une profonde marque rouge.Timie se cabre, hurle, se tord dans tous les sens, mais elle est si nue, que rien ne peut la protéger. Monsieur, avec une lenteur sadique attend que celle-ci s’épuise un peu afin de mieux viser et frappe à nouveau sur l’autre fesse. Puis avec ardeur et sans s’arrêter, il frappe comme s’il voulait enlever la poussière d’un tapis, changeant de rythme et d’endroit à chaque fois de façon très désordonnée afin que Timie ne puisse pas se préparer au coup suivant. Les fesses en feu, à bout de forces, Timie pleure sans retenue.- Je vais te frapper maintenant entre les fesses, sur ton petit trou, si tu te laisse faire sans bouger, j’arrête et je passe à un autre endroit. Sinon je continue au même endroit jusqu’à ce que tu te laisse faire. Es-tu d’accord ?- Je vous en prie, finissez-en répond Timie entre deux sanglots.Visant le centre de la raie, Monsieur assène un coup sec et méchant en plein milieu des fesses, et comme la position la tête en bas et les cuisses écartées de Timie la met au maximum à sa portée, le coup s’avéra impossible à supporter sans bouger. Celle-ci hurla, se cabra, se tortilla comme un ver au bout de ses attaches puis retomba épuisée.- Tu as bougé lui dit Monsieur, tu as droit à un autre coup…Et celui-ci lança à nouveau sa cravache en plein sur l’œillet fragile qui commençait à enfler. Cette fois, Timie ne bougea pas, mais sous l’effet de la brûlure, elle poussa un cri rauque sorti du plus profond de son désespoir.- Bien, te voilà domptée ma pouliche. Nous allons voir si tu vas supporter le même traitement sur ton sexeChaque coup porté sur les lèvres de son sexe lui fit l’effet d’une décharge électrique. Elle les encaissa à chaque fois en hurlant, elle suppliait, leur promettait de faire ce qu’ils voulaient d’elle, qu’elle était prête à tout s’ils arrêtaient. Mais cela eut tendance à les exciter encore davantage.Monsieur se délectait de ses souffrances, à chaque impact sur les lèvres roses, celles-ci changeaient progressivement de couleur, jusqu’à devenir violettes.Il se lassa enfin de ce jeu pour en essayer un autre non moins douloureux. Il visa les tétons de Timie et y porta ses coups. Comme celle-ci avait les mains libres, elle s’en protégea immédiatement.- Enlève tes mains et mets-les derrière ton dos, sinon ce sera terrible pour toi. Allez un petit effort, plus que quelques coups.Celle-ci obéit en se disant que c’était le seul moyen d’en finir vite. Aussitôt elle reçut un coup sur son sein droit qui le fit ballotter de façon très érotique. Elle cria à nouveau, mais garda la position. Un dernier coup sur l’autre sein marqua la fin du supplice.- Bon comme te voilà bien dressée, nous allons pouvoir te détacher. Mais avant tu vas nous faire une petite gâterie à tous les deux.Michel s’approcha de ses lèvres et enfonça sa queue dans la bouche accueillante. La petite séance qui venait d’avoir lieu l’avait tellement excité qu’il déchargea aussitôt.Monsieur pris la place et s’enfonça au plus profond de sa gorge tout en la tenant par les cheveux. Il jouit rapidement lui aussi.Michel la descendit et la détacha.Après quelques instants de repos, Monsieur lui dit :- Tu vas pouvoir retourner chez toi, mais demain viens à 8 heures, nue sous ton manteau. Tu sonneras et tu te déshabilleras dans l’entrée. Ensuite tu pourras venir nous dire bonjour comme tu l’as appris.Michel s’approcha d’elle et lui dit :- Mais avant on va te faire un petit cadeau. Il sortit d’un tiroir un accessoire original. Celui-ci était composé de deux godes de belle dimension, d’une chaînette et d’un cadenas.- Viens que je te les place.- Mais ils sont trop gros, gémit-elle !- Tu apprendras à les supporter, de toute façons tu n’as pas le choix…- Allez, jambes écartées, penchée en avant et tu t’écarte les fesses à deux mains.Bien qu’ils lui aient fait subir toutes les humiliations possibles cet après-midi, celle-ci ne pouvait s’y habituer. Il est vrai que plus ils abusaient d’elle, et plus elles se sentaient excitée, elle commençait à se demander si elle ne devenait pas masochiste. Rien que l’idée de se pencher à nouveau pour leur montrer son trou du cul, la faisait mouiller. Elle s’exécuta donc.Monsieur lui enfonça d’abord un gode dans son sexe, c’était le plus gros, elle se sentit remplie comme avec un sexe d’homme. Le second fut plus dur à entrer, Monsieur poussa lentement.- Pousse comme si tu voulais chier, ça rentrera mieux.Une fois en place, ils attachèrent la chaîne qui passait entre ses jambes pour se raccorder à une autre autour de la taille. Celle-ci se fermait avec le cadenas. Ils la firent se redresser et évoluer dans la pièce.Timie n’arrivait pas à fermer les cuisses, chaque pas était un exploit. Cette présence incongrue dans ses orifices la dilatait au maximum.- Tu peux maintenant te rhabiller. N’oublie pas de nous montrer ton cul en partant.Timie ne ferma pas l’œil de la nuit, la présence des godes d’abord agréable s’avéra très vite douloureuse. Surtout depuis qu’une envie d’aller aux toilettes s’imposa à elle.A 8 heures, celle-ci sonnait à la porte de l’appartement, vêtue de son seul manteau et de chaussures à talons hauts. La porte s’ouvrit, elle se déshabille et entre. Monsieur l’attendait, assis dans un fauteuil en fumant une cigarette.Elle s’approche, l’embrasse longuement sur la bouche comme il lui avait appris, puis déboutonne sa braguette. Elle sort son sexe et se met à genoux pour le sucer. Elle lui lèche le gland doucement, faisant le tour avec sa langue afin de bien le mouiller, ensuite elle prend la hampe entre ses lèvres, remontant jusqu’aux couilles. Ouvrant grand la bouche, elle enfourne le sexe, s’enfonçant doucement jusqu’à ce qu’il cogne au fond de sa gorge. Puis de plus en plus vite elle remonte puis redescend à fond, veillant à ce qu’il cogne à chaque fois au plus profond de sa gorge malgré les nausées qui montent de son estomac.Il déchargeât alors qu’elle était enfoncée jusqu’à la garde en lui disant de tout avaler.- Bon, comme je te vois bien disposée aujourd’hui, je ne te battrais pas, sauf si tu ne m’obéis pas. As-tu passée une bonne nuit ?- J’ai mal dormi, je n’ai pas encore l’habitude des godes.- Ce n’est pas grave, tu t’y feras… – S’il vous plaît, Monsieur, puis-je les enlever, j’ai besoin d’aller aux toilettes.- C’était prévu, mais tu pisseras devant moi.- Je ne pourrais jamais, j’ai trop honte…- Mais si, tu verras, sinon je te laisse les godes et ce sera pire lorsque tu ne pourras plus te retenir. Allez va chercher une bassine à la cuisine. A quatre pattes et rapporte-la entre tes dents.Timie s’exécute, non sans honte, mais les ordres de Monsieur la fait mouiller déjà. Elle revint lui porter la bassine à ses pieds.Monsieur lui montre une barre fixée à un mètre cinquante de haut et lui dit de la tenir à deux mains, bras et jambes écartées sans jamais la lâcher sous aucun prétexte. Aussitôt en place, il lui sort les godes. Elle grimace de douleur… Il lui met la bassine entre les cuisses de manière qu’elle tienne toute seule.- Bon, tu peux pisser maintenant.Morte de honte, Timie qui ne peut plus attendre urine longtemps, sans pouvoir s’arrêter.Enfin, Monsieur lui enlève la bassine puis commence à la toucher. Il explore son sexe, son anus et ses seins, mais ne lui fait aucun mal. Timie se sent fondre sous ses caresses, sa mouille commence à couler entre ses jambes.- Je vois que tu commence à aimer ton sort, n’est-ce pas Timie ?- Oui, Monsieur, j’aime ce que vous me faites…- Bon, comme tu as le feu au cul, je vais te refroidir un peu.Il sort un seau à glace du réfrigérateur qui est dans la pièce à côté et s’approche de Timie.- Je vais te caresser avec des glaçons, tu m’en diras des nouvelles. Tu as intérêt à garder la position !Monsieur att**** un glaçon de la taille d’un œuf de pigeon et commence à le promener sur les tétons de Timie qui frissonne aussitôt. Des larmes d’eau froides coulent le long de son ventre et lui donnent la chair de poule. Il descend jusqu’à son nombril, insistant dans le creux de celui-ci, puis descend encore. Lorsqu’il arrive à son sexe, un gémissement sort de ses lèvres, elle remue les cuisses sous l’effet de la brûlure du froid. Il insiste, promenant le glaçon d’un bout à l’autre de la fente, lui arrachant de nombreuses plaintes et quelques mouvements désordonnés.- Reste sage, garde la position.- J’ai froid et ça me brûle…- Tu sais que tu es excitante comme ça, tu me plais de plus en plus. Ne bouge pas, supporte sans rien dire, je n’accepte que les gémissements.Monsieur reprend ses mouvements avec le morceau de glace, il continue dans la fente en direction de l’anus. Lorsqu’il atteint celui-ci, Timie serre les fesses pendant que l’anneau de chair s’ouvre et se ferme spasmodiquement.- Desserre les fesses, offre-moi ton trou, de toutes façons tu vas le prendre dans le cul ce glaçon. Allez, un petit effort…Timie fait un effort surhumain pour se décontracter. Son anus lui fait mal et elle tremble de froid. Mais elle sent qu’il appuie de plus en plus fort et que le cube de glace se fraye un chemin dans ses reins. Elle crie lorsqu’il l’enfonce dans ses intestins.La progression du froid lui donne aussitôt l’envie de pousser pour expulser l’intrus, mais très vite un sentiment qui ressemble à la colique s’empare de son ventre et elle fait un effort désespéré pour tout garder. Monsieur qui avait suivi la progression du glaçon avec son index enfoncé jusqu’à la garde dans l’anus de Timie, sent les convulsions de celui-ci et s’en amuse.- Tu sais que tu as des muscles terribles, je t’apprendrais à t’en servir lorsque je te prendrais par là. Allez, on continue…Monsieur prend sur une table près de lui une sorte de ceinture élastique, sur laquelle est fixé deux demi coques. Il fixe celle-ci autour des seins de Timie à la manière d’un soutien-gorge qui aurait des balconnets en forme de réceptacle. Il met plusieurs glaçons dans ces coquilles, de sorte que les tétons soient en permanence en contact avec le froid intense qu’ils dégagent.Timie sent sur ses bouts de seins une douleur lancinante, elle grogne à nouveau, ce qui fait sourire son tortionnaire qui, continue avec un nouveau glaçon d’agacer le sexe et tout particulièrement le clitoris de celle-ci.Timie n’en pouvant plus lâche une main pour la porter à son sexe.- Je t’avais dit de ne jamais lâcher la barre, tu vas être punie pour ce geste !Remettant sa main sur la barre, celle-ci lui bredouille :- Excusez-moi, je n’en peux plus, c’est au-dessus de mes forces.- Mais non, mais comme tu me désobéis, je vais te donner le choix de te racheter : C’est toi qui va t’enfoncer les glaçons dans la chatte et dans le cul. Ou sinon, je les remplace par d’autres deux fois plus gros. Que décides-tu ?- Je ferais ce que vous voulez, Monsieur !- Puisque tu as lâchée une main, c’est celle-ci que tu vas utiliser. Prends un glaçon, enfonce le dans ta fente, allez, exécution !Timie prend le glaçon, le porte à son sexe en se mordant les lèvres lorsqu’il entre en contact avec sa fente, puis hésitant encore un peu, elle le pousse lentement à l’intérieur du bout de son index.- Serre les cuisses maintenant afin qu’il reste où tu l’as mis, lui dit Monsieur. Pendant ce temps, il s’installe sur une chaise qu’il place juste derrière elle de manière à ne rien perdre du spectacle qu’elle lui offre.- Prends-en un autre, enfile-le dans ton cul !Elle obéit en faisant la grimace, elle à froid, son corps est douloureux et lorsqu’elle met le nouveau glaçon sur son anus, un frisson la parcourt toute entière. D’un effort surhumain, elle l’enfonce doucement en le poussant de son doigt. Elle a vraiment l’impression maintenant qu’elle ne pourra pas retenir longtemps ses intestins tant ils sont douloureux. Monsieur lui ordonne de s’en mettre encore quelques-uns, tantôt devant, tantôt derrière et surtout en prenant tout son temps.Maintenant, Timie n’en peut plus, elle a une dizaine de glaçons dans le corps, elle serre les cuisses tant qu’elle peut, mais anesthésiée par le froid, elle sent que ses sphincters ne pourront tenir plus longtemps. Elle gémit maintenant en permanence.Monsieur lui replace la cuvette entre les jambes en lui demandant de se retenir encore un peu, puis se place juste derrière elle. Timie fait des efforts désespérés, mais maintenant qu’elle a les cuisses à nouveau écartées, elle ne peut plus se retenir et lâche dans la cuvette une eau marron en pissant en même temps.- Reste comme ça, sans bouger, je vais te prendre par derrière afin de sentir le froid de tes intestins, pour voir comment ça fait.Il lui enlève la cuvette, puis présentant sa bite au bord de l’anus, il l’enfonce d’un coup de toute sa longueur, aidé par l’humidité de ses reins. Timie crie sous la poussée brutale et serre de ses muscles le sexe de l’homme. Celui-ci enlève la ceinture qui enserre encore la poitrine de la jeune femme puis lui att**** les pointes des seins encore congestionnées par le froid. Il lui écrase les tétons tout en lui donnant de grands coups de reins. Maintenant Timie crie en permanence, mais de crainte de nouveaux tourments elle reste les mains serrées sur la barre.- Fait marcher les muscles de ton cul, je veux les sentir me presser la bite.Excité par les pressions successives ainsi que par la séance précédente, après quelques va et viens brutaux, il se répand dans ses reins.Ne bougeant plus, Monsieur garde la position, savourant le plaisir du contact charnel. Timie, toujours les bras en l’air, accrochés à la barre attend la suite. Quelques minutes plus tard, elle sent quelque chose de chaud qui se déverse dans ses reins. Mettant quelques secondes à comprendre, elle réalise enfin qu’il est en train d’uriner dans ses intestins.- Ne bouge pas, prends tout dans ton cul, ça te réchaufferas.Puis la délaissant, il lui dit d’aller se nettoyer dans la salle de bains. Il la suivit afin de surveiller ses ablutions.Lorsqu’elle eut fini, il lui demanda de le suivre dans le salon. Il la fit mettre à genoux alors qu’il s’asseyait dans un large fauteuil. Il lui demanda de prendre sa queue entre ses lèvres afin de le sucer comme elle avait appris. Pendant que sa langue s’activait, il lui dit :- Tu as sûrement remarquée que Michel n’est pas là aujourd’hui, je vais te dire pourquoi : Il est parti à la campagne afin de ramener une autre fille. Comme tu es devenue obéissante et qu’en plus tu as l’air d’apprécier ce que l’on te fait, on voudrait te faire gouiner avec une autre fille que l’on a dressée avant toi. Mais attention, elle est encore plus soumise que toi, et elle accepte vraiment tout. Je te demanderais d’en faire autant, sans jamais rechigner. Le veux-tu ?- Oui Monsieur, j’accepterais tout.- Bon, continue à me sucer, et avale tout comme une bonne pute.Timie s’active de plus belle, le prenant bien entre ses lèvres tout en parcourant la queue de sa langue. Elle s’enfonce bien à fond comme elle a appris. Puis elle avale la semence jusqu’au bout lorsqu’il éjacule entre ses lèvres.- Il est 5 heures, Michel ne devrait pas tarder. Tu vas l’attendre sur le tapis prête pour lui. Tu écarte les jambes, dos à la porte, penchée en avant et de tes mains, tu écarte tes fesses afin de bien lui montrer ton trou du cul. Souviens-toi bien de cette position, je t’en apprendrais d’autre. Celle-ci s’appelle « trouduc ». Tu t’exposeras ainsi chaque fois que je te le demanderais. Compris !- Oui, Monsieur.- Lorsque Michel arrivera avec ta nouvelle compagne, tu l’embrasseras comme tu sais, après qu’il t’ai tripoté les fesses, ensuite tu feras connaissance de Nadège de la même manière. Comme ça, tu connaîtras son goût. OK !- J’obéirais, Monsieur.Dix minutes plus tard, la porte s’ouvrit, Michel était dans l’encadrement, tenant Nadège en laisse. Il resta un instant sans bouger à contempler Timie dans la position obscène où elle était. Il s’approcha ensuite d’elle et commença à lui palper les fesses, la pinçant par endroit, puis il attrapa ses lèvres intimes et les tira jusqu’à la faire gémir. Il toucha ensuite sa poitrine, prenant les tétons entre ses doigts et les triturants. Il les écrasa ensuite entre pouce et index jusqu’à ce qu’elle crie.Michel lui fit signe de se relever afin de lui dire bonjour. Elle exécuta le rituel comme elle avait appris, l’embrassant avec passion, puis lui sortant sa queue, elle le fit jouir rapidement et avala tout.- Dit bonjour à Nadège maintenant, elle sera désormais ta compagne, mais aussi ton bourreau et ton esclave, selon nos désirs. Allez, montre-lui que tu es bien dressée !Timie s’approcha de Nadège, la prenant dans ses bras pour l’embrasser sur la bouche d’un fougueux baiser. Nadège bien dressée répondit avec ardeur à ce baiser qui n’en finissait plus. Puis se mettant à genoux, Timie releva la jupe courte de Nadège. Mais comme celle-ci gênait elle l’enleva, ainsi que son bustier. Elle apparût aussi nue que sa compagne. Celle-ci était d’une beauté à couper le souffle, mince, les seins magnifiques et bien fermes, les fesses superbes et une chatte bien lisse, épilée elle aussi avec un clitoris turgescent que l’on pouvait apercevoir entre ses lèvres intimes. Timie avança la langue afin de les lui lécher. Puis sélectionnant le clitoris, elle l’attrapa entre ses lèvres jusqu’à la faire jouir sous la brûlante caresse.- Bien, maintenant c’est Nadège qui va te faire jouir, comme cela vous connaîtrez chacune le goût de l’autre.Nadège s’exécuta aussitôt, comme elle était experte et que Timie était déjà excitée, celle-ci jouit presque immédiatement.- Bon, comme vous avez fait connaissance, nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses. Dit Monsieur qui était resté silencieux depuis un moment.- Nous allons passer dans la salle de dressage, mesdemoiselles.Michel tira sur la laisse de Nadège, attrapa celle de Timie sur la table basse et lui mis le collier autour du cou.- A quatre pattes maintenant, les reins relevés le plus haut possible, jambes écartées.Les tenant toutes deux par la laisse, Michel les guida jusqu’à une salle inconnue de Timie.Timie eut un frisson en entrant dans cette pièce, celle-ci ressemblait à une salle de tortures. Des fouets, des cravaches, des cordes, des croix de saint André et de nombreux instruments de toute sorte étaient disséminés dans tous les coins.Nadège, l’air habitué ne fut pas surprise. Timie pensa qu’elle devait déjà connaître les lieux.Monsieur approcha Nadège d’un anneau fixé au mur, il lui fit relever les mains et les attacha à celui-ci. Il lui fit écarter les jambes au maximum afin de tendre les bras au-dessus de sa tête.- Approche Timie, j’ai besoin de ton aide pour corriger Nadège. Tout en lui disant cela, il lui mit un martinet dans les mains.- Tu vas la fouetter sur tout le corps, si tu t’applique bien, tu ne seras pas punie, sinon !- Mais je n’ai jamais fait ça, pourquoi lui faire mal ?- Tu n’as pas à poser de questions, tu obéis, de toutes façons, elle est comme toi, elle ne jouit que lorsqu’on la tourmente. Allez applique-toi.Timie lève le bras, hésite un peu, puis frappe Nadège sur les cuisses. Celle-ci réagit d’un léger frémissement.- Frappe plus fort, et vise les endroits sensibles !Cette fois, le martinet lancé avec plus de force vient frapper sur le ventre, juste au-dessus du pubis. Puis plus haut, sur le nombril. Timie hésite encore un instant puis frappe en plein travers des seins. Nadège se tord, mais garde la position. Après plusieurs coups sur les mamelons, Nadège pleure, Timie la frappe maintenant à l’intérieur des cuisses, là où la peau est la plus fine. De plus en plus excitée par les tourments qu’elle fait endurer à sa compagne, les coups se font plus vifs. Maintenant, elle vise l’entrejambes, frappant de bas en haut afin de lancer les lanières de toutes ses forces sur le sexe de Nadège qui pleure à chaudes larmes et qui essaie d’éviter les coups en se tortillant de façon très érotique.- Tourne-toi, maintenant dit Monsieur à la suppliciée, tu va prendre sur ton cul. Ecarte bien les jambes que Timie türkçe bahis puisse viser ton petit trou.Nadège obtempère, non sans craintes, mais elle sait qu’elle doit obéir.Timie lance les lanières avec v******e en travers du fessier rebondit, puis vise la raie et meurtrit Nadège en plein sur l’œillet fragile qui enfle de plus en plus.Au bout de cinq minutes, Timie est en sueur, fatiguée par l’effort, elle laisse tomber le martinet. Nadège est en larmes, écrasée de douleur. Elle pend dans ses liens, les fesses et l’anus en feu.- Très bien, comme tu t’es bien acquittée de ta tâche, tu vas pouvoir la consoler. Mets-toi à genoux derrière elle, et baise-lui les fesses.Nadège se met dans la position demandée et commence à lui embrasser les fesses et à passer sa langue sur les endroits où elle à frappé.- Continue comme ça, lèche-lui le petit trou, et enfonce ta langue à l’intérieur.- S’il vous plaît, Monsieur, n’exigez pas cela de moi !- Comment ! Tu refuse… – Tu seras punie pour ça. Et en disant cela, Monsieur lui assène un grand coup de cravache en travers des fesses.Timie crie sous l’effet de surprise, puis s’exécute. Elle lèche avec précaution le fond de la raie, s’attardant sur l’anus palpitant, puis mettant sa langue en conque, elle lui enfonce dans le trou. Sous la caresse brûlante, Nadège se tortille de plus en plus. Timie excitée lui entre et sort la langue très rapidement, jusqu’à ce qu’un râle de jouissance sorte de la bouche de Nadège.- Nous allons faire un nouveau jeu, dit Michel en détachant Nadège, mettez-vous face à face, nous allons tester le « tir à la corde» afin de voir laquelle est la plus endurante.- Allez, mains dans le dos, cuisses écartées !Il att**** des pinces crocodile qu’il adapte sur les seins de chacune, les faisant crier en les posant, puis d’autres qu’il installe sur les lèvres intimes de chacune d’elle, et enfin une dernière sur le clitoris Puis attachant une cordelette sur chaque pince, il tend celles-ci entre elles deux, de façon à les relier l’une à l’autre tout en laissant une distance de trois mètres entre elles. Il disposa ensuite sa cravache au sol au milieu des fils tendus.- Le but du jeu, est de montrer laquelle est la plus forte, vous allez tirer chacune de votre côté afin de faire dépasser la cravache à votre adversaire. Il est bien entendu que ce sera très douloureux pour vous, mais très érotique pour nous. La perdante sera bien entendu punie de façon exemplaire. Allez, commencez !Timie et Nadège commencent à tirer avec précaution, mais par l’effet de la tension des ficelles, leurs seins et leurs lèvres intimes s’étirent, faisant entrer encore plus profondément les dents des pinces crocodiles dans leur chair. Elles crient, geignent, font des efforts surhumains pour tirer. Les yeux pleins de larmes, elles ne savent plus si elles arrivent à faire avancer ou reculer leur adversaire. Les pointes de seins tendus à l’extrême semblent vouloir s’allonger encore. Quant à leurs lèvres intimes, elles s’allongent de plusieurs centimètres. Leur clitoris tendus aussi par le tiraillement de ces maudites pinces leur font un mal terrible. Timie sent ses forces l’abandonner, la douleur est trop forte, elle avance de plus en plus vers la cravache, puis la dépasse.- Bravo Nadège, tu as gagné ! C’est Timie qui sera punie. Vous allez vous reposer un moment en attendant la suite.Michel leur enlève les entraves, mais leur laisse les pinces et leur dit :- Vous pouvez garder ces adorables pinces, elles vous garnissent de façon très esthétique. En plus elles vous rappelleront en permanence votre soumission.- En attendant la prochaine épreuve, dit Monsieur, je vais vous apprendre les positions que je veux que vous preniez spontanément sur l’ordre de Michel ou de moi-même.- La première s’appelle « trouduc », vous la connaissez déjà. Allez en position !Aussitôt en place, Monsieur fait le tour, corrige un peu la position de chacune d’elle, les faisant se cambrer un peu plus et écarter les cuisses au maximum. Il se met entre elles deux afin de leur tripoter le trou du cul.- Voilà la position idéale pour vous enfiler par derrière, mesdemoiselles, et en disant cela, il leur entre un doigt dans l’anus.- Faites marcher vos muscles du cul, que je sente l’effet sur mes doigts.Elles obéissent docilement, faisant fonctionner leurs sphincters en cadence.- « En chienne » maintenant ; à quatre pattes, jambes écartées bien cambrées et langue sortie.Aussitôt dans la position décrite, Michel se place derrière elles et se penche afin d’admirer la perspective des deux culs offerts. Dans cette position, leur chatte est grande ouverte, et le clitoris bien visible avec la pince pendante.- Très bien, position suivante : Couchée sur le dos, genoux aux épaules, cuisses écartées et fesse ouverte à deux mains.Timie et Nadège prennent docilement la position, sans rechigner, domptée comme des chiennes. Dans cette position, elles exposent leur sexe et leur anus de façon très indécente, sans pouvoir cacher quoi que ce soit de leur intimité.- Cette position s’appelle : « grenouille », elle est parfaite pour la cravache, je vous promets de prendre plaisir à vous l’administrer de cette façon. La suivante est « garde-à-vous », ce sera la position que vous prendrez de façon naturelle et chaque fois que vous n’aurez aucun autre ordre. Debout, les jambes écartées, les mains croisées dans le dos bien cambrées et le regard au sol. Exécution !Elles se mettent toutes deux en position face à Monsieur. Michel en profite pour les approcher et tâter leur poitrine, faisant bouger les pinces toujours posées sur leurs tétons, puis ils les tournent méchamment. Les larmes coulent de leurs yeux aussitôt, mais elles ne bougent pas de crainte de subir d’autres tourments. Il leur enfonce plusieurs doigts dans le sexe, attrapant la pince du clitoris et la tournant elle aussi. Sous la douleur, elles se tortillent, Nadège arrive à garder la position, mais Timie porte les mains à son sexe pour le faire lâcher.- Sage, tu ne bouge pas ! Reprend la position ! Ton châtiment sera encore plus dur que prévu, tant pis pour toi…- En chienne ! Immédiatement.Michel att**** deux godes de forte taille, plus gros que ceux que Monsieur avait fait porter à Timie et commence à lui mettre en place. Le premier enfoncé dans son sexe la fait gémir. Pour le suivant, Michel prend la précaution de le lubrifier afin de ne pas la déchirer. Il lui pose le bout sur son anus et commence à pousser. Timie force de son côté le plus possible afin de s’ouvrir au maximum. Dès que la tête en forme de gland pénètre, elle pousse un cri, elle pense qu’elle sera tellement ouverte qu’elle ne pourra plus se refermer. Mais Michel pousse encore et fait pénétrer doucement la totalité du gode. En bout de chaque gode, est fixé un petit anneau dans lequel il fait passer une cordelette. Celle-ci remonte devant et derrière en plein milieu de la raie. Une ceinture en cuir complète son équipement, il s’en sert pour attacher les deux bouts de la corde. Ainsi les godes ne peuvent plus sortir.Puis attrapant la laisse, il la guide jusqu’à une sorte de siège. Celui-ci est constitué de deux planches en forme de V très ouvert qui permet de poser les cuisses et d’une planche droite qui fait office de dossier. Des lanières sont installées sur le bas des pieds de devant et sur la planche de dossier. Il installe Timie sur ce fauteuil et l’attache. Elle se retrouve assise, les cuisses écartées et les bras attachés dans le dos. Dans cette position, elle ne peut plus bouger.Monsieur donne maintenant à Nadège un appareil muni d’une électrode et d’un bouton électrique. Un fil relie cet instrument à une batterie.- C’est toi Nadège qui va punir Timie, avec cet appareil, tu va lui envoyer des décharges électriques partout où ça fait mal, allez à toi de jouer ! N’épargne aucun endroit sensible.Celle-ci autant sadique que masochiste ne se fait pas prier, et elle commence à caresser les seins de Timie avec cet instrument, guettant ses réactions. Puis sentant que sa victime se détend, elle appuie sur le bouton alors que l’électrode est en contact avec la pince du téton droit. Timie se cabre et hurle, la décharge est si forte qu’elle a l’impression que la pointe de son sein est arraché. La décharge n’a duré que quelques secondes, mais la douleur est insupportable. Déjà Nadège porte la pointe sur l’autre sein. Timie se tortille mais ne peut en aucun cas parer le mouvement et à nouveau l’insupportable douleur irradie dans tout le mamelon.Vicieusement, Nadège approche maintenant l’instrument de son sexe et effleure les grandes lèvres en envoyant une impulsion électrique, puis sélectionne le clitoris. Là, la brûlure la fait cabrer dans ses liens, Timie pense qu’elle va mourir de douleur, mais Nadège est habituée et connaît exactement quand il faut s’arrêter. Elle laisse souffler un instant Timie, mais c’est pour repartir ensuite vers l’anus. La décharge sur cet endroit précis la fait se crisper spasmodiquement sur le gode toujours en place. Les larmes plein les yeux et le corps humide de transpiration, Timie à l’impression de devenir folle de douleur, elle crie, implore, se tord dans tous les sens, mais rien n’y fait, sa tortionnaire est inflexible et l’horrible instrument est promené de nouveau sur ses endroits les plus fragiles. Au second passage sur son clitoris, un voile noir passe devant ses yeux et elle perd connaissance.Lorsque Timie rouvre les yeux, c’est Nadège qui se trouve sur le siège aux supplices, attachée comme elle l’était elle-même tout à l’heure.- Te revoilà parmi nous, Timie ! Allez, dit Monsieur, c’est ton tour de jouer.- Non, c’est trop atroce, jamais je ne pourrais lui faire ça…- Mais si bien sûr, de toutes façons, tu sais bien qu’elle est consentante, elle est encore plus maso que toi, elle ne comprendrait pas tes faiblesses. Dis-lui Nadège.- Venge-toi sur moi comme je l’ai fait avec toi, sinon je t’en ferais baver !Timie piquée au vif, prend l’instrument entre ses mains, puis vicieusement envoie une longue décharge électrique sur le clitoris de Nadège, sachant que c’est l’endroit le plus sensible, et que là, la douleur est insupportable. Celle-ci se cabre, crie et se tortille dans tous les sens pour échapper à la morsure du courant, puis retombe épuisée lorsque Timie lâche le bouton.Puis sadiquement, elle parcourt tout le corps de sa compagne, ravie des grimaces que celle-ci fait à chaque décharge.- Bon, c’est fini maintenant. Vous allez vous reposer toutes les deux. Repas et sieste, je vous laisse tranquille jusqu’à ce soir.- Michel doit partir. Cette nuit, vous dormez avec moi, toutes les deux, je vous veux à la hauteur.A vingt et une heures, Monsieur les fit venir dans sa chambre. Après avoir pris un bain avec elles deux, profitant de l’aubaine pour se faire savonner et pour les frotter à son tour. Il leur dit :- Cette nuit, je vous veux comme deux chiennes en chaleur, la plus performante sera récompensée.- Allez, Nadège tu me suce la queue pendant que Timie me léchera le trou du cul.Nadège experte dans l’art de la pipe, prend doucement le gland entre ses lèvres, faisant courir sa langue tout le tour. Puis elle descend doucement le long du membre continuant d’une caresse aérienne. Elle att**** ensuite les bourses de la pointe de sa langue et les mouillent sur toute leur surface. Elle revient ensuite au gland qu’elle att**** entre ses lèvres et s’enfonce la queue au plus profond de la gorge, jusqu’à buter sur ses amygdales.Pendant ce temps, Timie à genoux derrière Monsieur, parcourt de sa langue le sillon fessier, s’arrêtant un instant sur l’anus, le dépassant, y revenant pour enfin faire pénétrer sa langue au plus profond du trou palpitant.Les caresses des deux femmes faisant rapidement leur effet, Monsieur ne tarde pas à se vider dans la bouche accueillante.- Mettez-vous en soixante neuf sur le lit, je veux vous voir vous gouiner.Elles se mettent sur le lit, Nadège dessous et Timie tête bêche sur elle. Elles commencent à se lutiner l’une l’autre, s’arrachant des râles de plaisir. Monsieur s’approche d’elles, s’étendant à côté et commence à les caresser.Il parcourt les deux corps, s’attardant sur le derrière potelé de Timie, glissant ses doigts entre les deux fesses et jouant avec l’anus mignon.Les deux femmes commencent à prendre leur pied et gémissent doucement. Timie la première est secouée par un orgasme foudroyant, précédant de peu sa compagne.Monsieur s’installe alors derrière Timie, excité à nouveau par le charmant tableau et dit alors à Nadège :- Tu vas prendre ma queue entre tes mains, et tu l’introduis dans ta bouche, ensuite dans le sexe de Timie et enfin dans son cul puis tu recommence, en changeant à chaque fois.Nadège att**** le sexe qui se présente devant sa bouche, le prend jusqu’au fond de la gorge, puis après le retrait, le place face au sexe de Timie où celui-ci s’enfonce jusqu’à la garde et enfin le mouvement suivant l’envoie au plus profond des entrailles de son amie. Les mouvements se succèdent de plus en plus vite arrachant des gémissements aux deux femmes. Enfin le sperme fuse dans les reins de Timie – Bon maintenant on dort ! Demain réveil à 8 heures, vous me réveillez avec une pipe pour l’une, l’autre devra me présenter son cul écarté, je veux le voir en premier en m’éveillant.Docilement, elles l’embrassent tour à tour sur la bouche avec passion puis elles se placent de chaque côté de Monsieur, la tête sur ses épaules et les mains sur son sexe. Prêtes pour un sommeil réparateur.Le lendemain, peu avant 8 heures, Timie réveille doucement son amie, et très lentement, Nadège se met en place, les pieds de part et d’autre des flancs de Monsieur, les fesses tournées vers son visage en position accroupie. Pendant ce temps, Timie s’approche du bas ventre de Monsieur et prend son sexe entre ses lèvres. La douceur de la caresse l’éveille peu à peu, mais avant d’ouvrir les yeux, celui-ci reste un instant à savourer son plaisir. Puis ouvrant les paupières, sa vue se porte aussitôt sur le paysage charmant que lui offre Nadège. Il reste ainsi dans cette contemplation quelques instants, puis avance les mains vers le fessier rebondit afin de le caresser. De sa langue il parcourt le sillon, s’attardant sur l’anus qui palpite sous la caresse. Puis il lui enfonce à l’intérieur le plus loin possible. Excité par ces attouchements il jouit rapidement dans la bouche docile.Les deux femmes l’embrassent tour à tour, comme deux épouses fidèles et amoureuses. Puis Nadège, habituée aux lieux, se lève et va préparer un petit déjeuner consistant.Après le petit déjeuner et une douche, Monsieur leur demande d’aller dans la salle de la veille qu’il nomme « donjon » et de l’attendre en position « trouduc », face à l’entrée, Michel devant arriver d’un moment à l’autre.Une demi-heure plus tard, elles entendent la porte s’ouvrir. Mais dans la position où elles se trouvent, elles ne peuvent voir qui arrive. Leur position devenue pénible depuis un moment les font tanguer doucement, leur dos les fait souffrir ainsi que les muscles tendus de leurs jambes. Quelques instants plus tard, Michel et Monsieur se présentent devant elles, leurs bites entre les mains, présentées devant leurs bouches. Dociles, elles ouvrent les lèvres afin de les caresser avec leur langue.- Très bien, mes petites putes, leur dit Monsieur, et pendant que vous nous faites des gâteries, nos amis, venus avec nous vont vous défoncer la rondelle.Timie et Nadège surprises de l’intrusion de nouvelles personnes qu’elles n’avaient pas entendues, frissonnent en sentant les nouveaux venus s’approcher et commencer à les caresser.Les deux hommes présentent leurs bites au milieu de la raie, et comme elles s’écartent toujours les fesses de leurs deux mains, l’introduction du sexe de leurs nouveaux partenaires en est facilitée. Les prenant bien à fond, ceux-ci les défoncent avec rage. Les deux femmes râlent sous la poussée, n’étant pas lubrifiées à cet endroit, la pénétration est douloureuse. Prenant tout leur temps, les quatre hommes s’agitent en cadence, entrant et sortant leur sexe tour à tour. Celles-ci ballottées en tout sens sont soumises à rude épreuve. Mais d’être prises de cette manière exacerbe leurs sens, et avant que les hommes prennent leur plaisir, elles sont secouées par leur propre jouissance. Leurs partenaires les suivent de près et elles se trouvent inondées en même temps.- Bon après cette présentation, dit Michel, nous allons profiter de vous deux, de façon, disons… piquante. Si vous subissez les épreuves docilement, ce sera plus court, sinon vous n’en verrez pas la fin.- Allez, debout, mains sur la barre que vous connaissez bien maintenant, cuisses écartées.Monsieur se munit d’une cravache tressée, et se poste devant elles.- Restez immobile, sinon je frappe. Bien sûr, je vise les endroits sensibles si vous lâchez la barre ou si vous essayez d’éviter votre châtiment !Les invités s’approchent alors, Paul tient avec des gants une brassée d’orties qui fit frémir les deux filles.S’adressant à Timie, Monsieur lui dit :- Paul va maintenant te réchauffer avec ces charmantes plantes, et la menace que je viens de faire tiendra tout le temps où il va te caresser avec.Paul passe alors doucement les orties sur les fesses de Timie, celle-ci ressent tout d’abord comme une caresse, mais après quelques secondes, une brûlure intolérable se répand sur toutes les parties frottées. Celle-ci se tortille sous la douleur, geignant, essayant d’échapper à la cuisante brûlure en serrant les fesses et en avançant le bassin.Monsieur, frappe alors en plein sur le sexe afin de la faire reculer. Timie jette un cri.- Je t’avais prévenu, ne bouge pas, tu as juste le droit de geindre, compris !- Oui, Monsieur, j’obéis ! Répond-elle en pleurant.Les feuilles urticantes sont alors passées sur les seins, insistant sur les pointes, puis elles descendent lentement vers le pubis pour passer entre les jambes le long de la fente. Timie faisant des efforts surhumains pour ne pas bouger jette des petits cris. Elle pleure à chaudes larmes puisque elle ne peut se défendre autrement.Son tortionnaire en profite, sadiquement il insiste entre les cuisses, sur les muqueuses irritées. Puis saisissant quelques feuilles, ils les frottent sur les lèvres intimes et finit par les enfiler dans le sexe. La brûlure qui irradie maintenant à l’intérieur de son corps semble encore plus forte. Timie n’en peut plus et geint en permanence, poussant des grognements de douleur.Paul est de plus en plus excité par les efforts que la fille fait pour ne pas bouger, il entreprend alors de les frotter entre les fesses et plus particulièrement sur l’anus. Puis il introduit plusieurs feuilles à l’intérieur. Le cuisant supplice est au-dessus des forces de Timie, qui serre à nouveau les fesses en bougeant de façon très érotique son bassin.Monsieur en profite alors pour envoyer quelques coups de cravache sur le sexe et sur les seins de Timie.Celle-ci se calme doucement, prenant sur elle autant qu’elle peut. Paul en attendant a confectionné un petit bouquet avec de nouvelles orties fraîches qu’il lui enfile dans le trou du cul comme s’il s’agissait d’un vase. La petite touffe obtenue qui ressemble à une queue toute verte, les fait rire aux éclats.S’asseyant alors tous deux dans de larges fauteuils, ils disent alors à Timie de venir les sucer à tour de rôle afin de les remercier de cette frottée, ils lui disent de se tortiller les fesses pendant tout le temps de la fellation, la prévenant de ne perdre aucune feuille et lui interdisant de se toucher où elle est irritée.Pendant ce temps, Michel et Jean se sont approchés de Nadège, Michel s’est muni de la cravache et se campe devant elle pour surveiller les réactions de celle-ci.Jean approche alors avec à la main un sac contenant une multitude de pinces en acier bleuit, il en att**** une et la passe devant le nez de Nadège afin de bien lui montrer.- Ce sont les plus dures que j’ai pu trouver, elles pincent très fort, tu ne seras pas déçue ! lui dit-il. Je te rappelle qu’il t’est interdit de bouger, mais on aime bien quand vous geignez, alors ne t’en prive pas.En disant cela, il approche la pince des seins de sa victime, sélectionne la pointe d’un mamelon, frottant la pince sur celui-ci afin de lui faire sentir le froid de l’acier. Le bourgeon se dresse sous l’effet de cette caresse. C’est ce qu’il attendait pour la positionner et la lâcher brusquement. Nadège pousse un cri, le pincement est atroce, elle à l’impression que son mamelon va éclater sous la pression. Mais voilà déjà son tortionnaire qui lui montre à nouveau un autre objet de son supplice. Il touche l’autre sein, attendant que la pointe érectile se gonfle afin de positionner la pince puis la place aussi. Un nouveau grondement de celle-ci surgit, elle grince des dents sous l’effet de la douleur, elle voudrait tellement lâcher la barre pour se débarrasser de ces horreurs qui la font souffrir. Mais aucun geste ne lui est autorisé.Une autre pince apparaît, pour être placée immédiatement sur une grande lèvre, puis une sur l’autre. Nadège ne peut s’empêcher de se tortiller, peut-être pour atténuer la douleur, Michel saisit l’occasion pour frapper en plein travers de sa poitrine, en faisant bouger les pinces en place.- Sage ! Tu les supporteras toutes sans broncher, sinon on les remplace par des épingles, compris ?- Oui ! Monsieur Michel, je ne bouge plus. Dit-elle entre deux sanglots.La pince suivante placée sur le clitoris la fait hurler, son cri se répercute dans toute la pièce, mais au lieu d’émouvoir ses bourreaux, ils rient tous de bon cœur.Une autre est mise sur le bord de son anus, là où la chair est si sensible, entre le sexe et le trou mignon. Nadège se tortille d’avant en arrière sous l’effet de cette nouvelle agression, comme dans un coït satanique. A nouveau Michel lui lance la cravache sur les seins et les cuisses, jusqu’à ce qu’elle se calme. Jean en prend alors plusieurs qu’il place de chaque côté de l’anus, puis d’autre dans le gras des fesses. Il complète ensuite le long des cuisses, sur le ventre, le pubis, tout le tour des seins, le long des bras, sur les lobes de chaque oreille, sur le nez, la langue et termine enfin avec une sur chaque doigt de pieds.Nadège a maintenant des pinces partout, la douleur est omniprésente, chaque pincement lui fait l’effet de milliers d’aiguilles qui lui güvenilir bahis siteleri martyriserait sa chair. Elle pleure en gémissant, jamais aucune douleur endurée n’a été équivalente. Mais en bonne esclave, elle subit sans se révolter.Pendant ce temps, les quatre hommes contemplent leur œuvre en prenant autant de plaisir que leurs victimes n’a de douleur.Ils vont eux aussi s’installer dans des fauteuils afin que Nadège leur fasse une fellation sans enlever la pince qu’elle a sur la langue, ce qu’elle vient faire sur leur ordre en s’approchant à quatre pattes. Lorsqu’elle les a bien excités, les quatre hommes demandent alors à Timie de se débarrasser des feuilles d’orties et de venir près d’une table où Monsieur est appuyé, et de se laisser pénétrer le sexe. Michel se place ensuite derrière elle afin de l’enculer pendant que Paul montant sur la table lui présente son sexe à sucer. Jean quand à lui se met dans ses mains. Nadège doit pendant ce temps leur caresser les fesses et leur lécher l’anus.Timie est secouée de toute part, jamais on ne l’a prise ainsi de tout côté. La cadence est infernale, pendant que l’un s’enfonce devant, l’autre la perfore par derrière. L’irritation des feuilles d’orties se rajoute à celle de cette pénétration sauvage, elle ne peut même pas crier, car elle a la bouche pleine d’un autre sexe.Elle est rapidement inondée, les hommes excités par la séance précédente ne pouvant plus se retenir.Le lendemain, Monsieur et Michel décidèrent d’emmener Timie et Nadège à la campagne. Possédant une propriété clôturée d’un grand mur à l’abri des regards indiscrets, celle-ci est très adaptée pour le dressage des filles.Aussitôt arrivés, les deux jeunes femmes durent se déshabiller complètement et ne garder que des chaussures à talon carré haut de dix centimètres. Le port de ces chaussures les obligeant à se tenir cambrée.Tenues en laisse par leurs maîtres, celles-ci firent d’abord le tour de la propriété, à quatre pattes, les reins le plus élevé possible, jambes écartées. Elles passèrent près d’une mare, puis d’un potager ainsi que certains endroits moins entretenus où poussent des ronces et des orties. Timie se rappelant l’épisode de la veille frissonna en les voyants.Pour terminer, elles firent un tour dans le petit bois proche de la maison avant d’entrer dans celle-ci. Tout dans cette demeure était prévu pour leur dressage. Elles étaient loin de s’imaginer à quel point.Arrivées dans la salle principale, Monsieur leur présenta un harnachement particulier. Celui-ci étant composé d’un bâillon boule traversé par une tige en acier brillant terminée par des anneaux. Sur cette tige, s’adapte une grande lanière. Autour de la taille une ceinture large en cuir avec un anneau de chaque côté.Leur demandant de se mettre en position « trouduc », Michel leur enfonça un gode de bonne taille terminé par une touffe ressemblant à une queue de cheval. Ce gode renflé à son extrémité – juste avant la queue – tient en place seul. La tenue est complétée par des œillères qui leur restreint le champ de vision et enfin deux pinces munies de clochettes aux mamelons et une sur le clitoris qui les fait gémir au moment de la pose.Revenant dehors, les deux hommes leur fixent les fins brancards d’une petite charrette – appelée sulky – aux anneaux de la ceinture. Puis leur faisant croiser les bras derrière leur dos, ils les attachent serrés. – Voilà mes pouliches, vous êtes maintenant équipées pour faire la course. Leur dit Monsieur en s’installant dans le sulky, une cravache dans une main et les rennes dans l’autre.- Première leçon : la marche ! Vous relevez les jambes bien haut, en décomposant le mouvement et en frappant le sol de vos souliers, comme des chevaux de cirque.Le mouvement demandé fait bouger les pinces, et leur fait ressentir douloureusement le gode enfoncé au plus profond de leurs entrailles. Mais les deux pouliches improvisées tirent doucement leur charge tout en s’appliquant.Les guidant avec les rennes, ils leur fait faire le tour du parc, corrigeant la position de quelques coups de cravache bien dosés sur les fesses. Puis voulant un peu plus de sensations, Monsieur leur dit :- Deuxième leçon : le trot ! Même mouvement, mais plus rapide, en sautillant légèrement.Celles-ci s’efforçant de ne pas déplaire, accélèrent le pas. Ce qui a pour effet de faire balancer les pinces et d’accentuer la douleur sur leurs pointes de seins et sur le clitoris. Le mouvement faisant tinter les clochettes de façon harmonieuse. Elles eurent droit à un nouveau tour du parc en gardant l’allure.- Troisième leçon : le galop ! Trois tours de parc, la première arrivée se reposera un instant.Les deux filles tirent de toutes leur forces, en courant à perdre haleine, ce qui n’est pas facile les mains dans le dos. Heureusement que le sulky les maintient, sinon elles tomberaient en avant. Les cavaliers exigent que le galop se fasse en faisant des mouvements amples des jambes, chaque fois que celles-ci trébuchent ou ralentissent, un coup de cravache dans le gras des cuisses ou sur les fesses les reprennent. L’irritation du gode devient pénible, ainsi que les pinces qui mordent leurs pointes de seins sous l’effet du balancement des clochettes qui y sont fixées. Le souffle court, transpirant, elles arrivent presque ensemble au terme des trois tours, Nadège en tête, Timie la suivant de très près.- Bon Timie, comme tu as perdu, petit détour par le roncier ! Lui dit Monsieur qui ponctue sa phrase d’un bon coup de cravache sur la croupe de sa pouliche.Arrivés près de celui-ci, Monsieur remarqua à quelques pas, une touffe de chardons, de ceux qui poussent au ras du sol pour finir en fin de saison par monter jusqu’à plus d’un mètre de haut et former une magnifique fleur mauve bordée d’épines.Monsieur descendit du sulky, équipé de gants en cuir et un couteau à la main. Prestement, il coupa le chardon à la base puis s’approcha de Timie effrayée. Munie de cette redoutable arme, il lui dit :- Première punition, ma petite, je vais t’étriller avec ce chardon ! Ecarte les jambes et ne bouge pas !Paniquée, celle-ci obéit en tremblant de crainte. Monsieur entrepris alors de la corriger. Au premier coup, Timie ressentit l’effet des épines en plein travers de ses seins et hurla dans son bâillon. Puis ses fesses eurent droit à plusieurs coups. A chaque impact, Timie geignait par l’effet de la douleur, incapable de pousser un cri avec le bâillon-boule. Il s’acharna ensuite entre ses cuisses, visant bien là où la chair est tendre et finit enfin en frappant plusieurs fois sur son sexe. Maintenant, elle pleurait à chaudes larmes, la poitrine secouée par les sanglots, le corps meurtri par les minuscules épines qui se sont incrustées dans sa peau, restant plantées comme des milliers de points d’acuponcture.Remontant dans le sulky, Monsieur lui dit de rejoindre Michel au trot.Trouvant la promenade trop gentille, ils essayèrent de leur faire faire du tout-terrain. Les deux filles guidées par les rennes sortent alors du chemin, marchant au pas afin de ne pas faire tomber leurs cavaliers. Sinuant entre les arbres du bosquet, mais sans pouvoir éviter de se piquer aux ajoncs qui poussent ça et là. Puis avisant la mare, Michel guide sa monture dans cette direction.- Allez au bain les pouliches, en faisant doucement de ne pas renverser la charrette, nous ne voulons pas être mouillés !Celles-ci hésitent un peu, sachant que l’eau de la mare est glaciale, mais résignées, elles y pénètrent doucement. Arrivées au milieu de celle-ci, l’eau leur arrivait à mi-cuisses, les sulkys quant à eux n’en ont qu’au milieu des roues, ce qui laisse de la marge aux cavaliers.- A genoux maintenant ! Trempez-vous le popotin.Timie ne se fit pas prier, endolorie par les épines du chardon l’eau lui rafraîchit le corps.- Bon, retour à l’écurie ! Leur dit Monsieur en riant et en leur montrant le chemin de la maison.Aussitôt arrivées, ils leur enlevèrent les brancards des sulkys et les pinces avec les clochettes, leur laissant l’harnachement et les guida dans la pièce principale.Au milieu, trône une sorte de cheval d’arçon, celui-ci très court possède sur le dessus deux godes de bonne dimension. Les faisant monter dessus, le gode enfiché dans le sexe, ils installent entre elles deux une planche, couverte de fines pointes. Une ceinture passée autour de leur buste les rapproche, mettant en contact leur poitrine avec celles-ci. Ils finirent l’installation en leur attachant les chevilles aux pieds du cheval d’arçon.Les deux filles, penchées en avant, joue contre joue, la poitrine martyrisée, avec un gode dans les reins et un autre dans le sexe souffrent énormément dans cette position. Elles geignent et pleurent dans leurs liens, ce qui n’émeut en rien leurs tortionnaires.- Une heure de répit dans cette position va vous mâter le caractère. A tout à l’heure mes poulettes !En revenant une heure après, les deux hommes ont trouvés les filles épuisées, elles geignaient en permanence, meurtries dans leur chair. Ils les détachèrent, enlevèrent la planche qui avait laissée la trace des pointes dans les seins des deux malheureuses d’où perlaient quelques gouttes de sang par endroit. Ils les aidèrent à se sortir des godes qui les maintenaient en place puis les guidèrent à la salle de bains afin de leur faire prendre un bain moussant.Deux jours que les filles sont dans cette maison, et leur dressage est maintenant au point. Que Monsieur ou Michel leur demande quoi que ce soit, et les voilà qui obéissent sans jamais rechigner, pourtant ils leur mènent la vie dure, mais celles-ci ont pris goût à leur sort. D’ailleurs, Monsieur a remarqué qu’elles sont aussi masochiste l’une que l’autre. Pourtant coincées au départ, jamais il ne pensait pouvoir aller aussi loin avec elles.Ce matin encore, dès son réveil, elles se sont occupées de lui comme deux chattes en chaleur. Pendant que l’une lui suçait avidement le sexe, l’autre lui présentait son derrière afin qu’il puisse profiter de la vue de son trou mignon. Comme la veille, il parcourut le sillon fessier de sa langue, s’attardant sur l’anus qu’il lécha goulûment tout autour et à l’intérieur du trou. L’érotisme de cette séance le fit rapidement éjaculer dans la bouche accueillante.Après le petit déjeuner et un brin de toilette, il les sortit toutes deux dans le parc à quatre pattes et tenues en laisse. Celles-ci étaient accrochées à une chaînette qui reliait des pinces crocodiles installées sur chacun de leurs tétons. Chaque fois qu’elles trébuchaient ou ralentissaient la marche, les pinces étiraient cruellement leurs pointes de seins. Après avoir fait le tour du propriétaire, Monsieur s’arrêta au potager. Il arracha deux navets d’environ quatre centimètres de diamètre et quinze centimètres de long et leur dit :- Nez au sol, les fesses écartées à deux mains que je vous garnisse !Les deux filles s’exécutent, posant le haut de leur buste à même le sol, les seins et le visage dans la terre humide du matin. De leurs mains, elles écartent leurs fesses afin de présenter leur anus à Monsieur. Celui-ci commença par Timie et pointa la partie effilée de la racine au bord du trou présenté, puis poussa doucement pendant qu’elle geignait sous l’effet de l’étirement de ses muscles intimes. La totalité du navet entra, ne laissant dépasser que la touffe de feuilles qu’il avait laissé en décoration. Nadège passant en second, se retrouva elle aussi garnie de la même manière.- Bon, ce matin vous allez me faire un peu de jardinage : désherbage, élimination des cailloux et bêchage, puis plantation. Vous me réserverez d’ailleurs un endroit pour cultiver quelques orties et chardons bien sélectionnés.A quatre pattes dans la terre, Nadège et Timie commencent à arracher les mauvaises herbes, s’abîmant les ongles en grattant. Une fois ceci finit, elles entreprirent de sortir les cailloux qu’elles regroupèrent en petits tas. Monsieur accrocha des sacs en plastique en bout de chaque laisse et leur dit de les remplir avec ces pierres. Les sacs pleins, ils les firent tirer toujours à quatre pattes jusqu’au fond du jardin afin de les vider. La manœuvre s’avéra douloureuse, les sacs contenant trois à quatre kilos de cailloux devant être tirés de la pointe de leurs seins par l’intermédiaire des pinces. En gémissant, elles arrivent à faire deux ou trois voyages chacune avant de tout éliminer.Le bêchage fut plus facile, sachant que Monsieur leur donna un outil à chacune, mais de la taille de jouets, ce qui les obligeait à s’appuyer sur une main pendant qu’elles frappaient le sol avec l’outil tenu dans l’autre.Pendant ce temps, Monsieur profitait de la vue de leurs deux postérieurs garnis des feuilles de navet qui tremblaient à chaque impact de la bêche.Lorsqu’un bon carré de terre fut préparé, elles durent aller chercher à pleine mains des orties avec leurs racines et les planter en rang. Puis à l’aide d’un outil approprié, elles arrachèrent quelques chardons pour les repiquer plus loin. Enfin pour l’arrosage Monsieur exigea que Timie se mette à cheval sur les reins de Nadège pour passer entre les rangs un arrosoir à la main.Ce jardinage étant fini, il guida les deux filles vers un endroit boueux, en leur demandant de se rouler dans les flaques afin de bien s’enduire de terre collante. Dès qu’elles furent bien maculées de boue, il leur proposa un nouveau jeu, celui-ci consistait à enlever le navet enfoncé dans les reins de l’autre. Bien sûr, celle qui aura perdu la première ce gode improvisé sera punie. Tous les coups étant permis, la bagarre promettait d’être sévère.Nadège plus rapide attrapa Timie par les cheveux, en essayant de la retourner, ce qu’elle réussit à faire. Elle empoigna les feuilles du navet et tira. Timie ne voulant pas perdre serra les fesses le plus possible, ne laissant dans les mains de Nadège qu’une poignée de feuilles arrachées. Elle profita de la surprise de sa compagne pour empoigner à son tour les tiges dépassant de l’anus de celle-ci. Mais fort de l’expérience de son amie, elle la plaqua au sol, un genou appuyé dans son dos et pinça de sa main libre le joli postérieur présenté. Nadège sous l’effet de la surprise en oublia un instant de serrer les fesses, ce qui permit au légume de sortir. Fière d’elle, elle le présenta à son Maître.- Bravo ! Nadège, tu es la plus forte, tu peux enlever le tien maintenant. Tu as gagnée le droit de punir Timie. Mais auparavant, une douche s’impose. Mettez-vous en position « Trouduc » !Prenant le tuyau d’arrosage et réglant le jet au maximum, il le dirige vers les deux filles. Visant les seins, insistant sur les pointes toujours munie de leurs pinces, puis il dirige le jet vers les culs présentés. L’eau arrive en cataracte au milieu de leur fente, projetée avec force. Le froid et la v******e du jet les fait gémir. Il enfonce ensuite brutalement l’embout du jet dans le vagin de Timie qui crie sous l’effet de cette douche glacée. Puis il fait de même à Nadège. Enfin il présente l’embout contre son anneau serré. Une eau mêlée de merde sort de l’anus, pendant que son ventre se ballonne sous l’effet de la pression.- Serre les fesses, garde tout lui dit-il.Il met ensuite le jet sur l’anus de Timie et la remplit de même. Il les fait se relever, le ventre ballonné, puis marchant comme des femmes enceintes, il les tire avec la laisse jusqu’à la maison afin qu’elles se vident les intestins chacune sur le visage de l’autre, enfoncées au fond de la baignoire. Ensuite, elles eurent le droit de se savonner copieusement l’une et l’autre, insistant à l’intérieur du sexe et de l’anus, où elles devaient s’enfoncer plusieurs doigts.Une fois propres, il les emmène dans le « donjon » en faisant mettre Nadège en position « grenouille » sur un tapis de sol. Il s’installe ensuite, les genoux de part et d’autre de la tête de celle-ci, la queue entre ses lèvres, Timie face à sa fourche, une cravache dans les mains.- Punit Nadège, en visant bien sa chatte, son cul et ses seins, pendant ce temps, elle va me faire une pipe.Timie commence à frapper. Chaque impact sur la peau fragile fait frémir Nadège qui ne peut se plaindre, la bouche occupée par le membre qui grossit de plus belle. Excité par les pressions des lèvres qui se contractent sous la douleur, Monsieur est aux anges.Les mains toujours crochées sur ses fesses afin de les écarter et les présenter à sa tortionnaire, Nadège accuse chaque coup sur sa fente ou son anus par des grognements. Timie d’ailleurs ne l’économise pas, elle frappe très fort, faisant rougir la peau tendue.Abandonnant provisoirement cette partie, Timie se lance à l’assaut des seins, cinglant avec v******e les mamelons qui deviennent violets en bougeant de façon très érotique à chaque coup. Puis revenant au sexe, elle lance ses coups en plein au milieu, sur le clitoris fragile. Puis quelques autres l’atteignent sur l’anus qui se met à enfler et change lui aussi de couleur.- Att**** des bougies et allumes-les on va l’arroser de cire chaude.Prenant tous deux une bougie allumée, ils les penchent pour en faire couler des gouttes brûlantes sur le corps malmené.Visant les mamelons, Monsieur les enrobent dans une gangue de cire. Nadège frémit à chaque goutte. Pendant ce temps, Timie en fait couler sur sa fente, de haut en bas puis sur l’anus qui palpite sous l’effet de la chaleur. Elle lui enfonce ensuite la bougie allumée dans l’anus et reprend la cravache.Chaque coup porté enlève un peu de cire. Lorsque tout est parti, Timie s’arrête et éteint la bougie. Il était temps, la flamme s’était rapprochée très près de la peau. Le troisième jour étant passé dans cette maison, Monsieur et Michel sentant les deux filles prêtent à tous leurs caprices décidèrent de les utiliser d’une manière plus rémunératrice.S’adressant à elles, Monsieur leur dit : – Vous allez maintenant gagner un peu d’argent, il ne serait pas normal que je vous entretiennent longtemps ainsi. Nous allons vous amener des clients qui exigeront tout de vous. Aucun refus ne sera toléré. La moindre rebuffade sera assortie d’une punition extrême. Donc, gare à vous mes jolies !- Vous recevrez les premiers au « donjon », mains sur la barre et les yeux bandés afin de conserver l’effet de surprise.Celles-ci se rendent dans la salle des supplices et se mettent dans la position demandée après s’être mises mutuellement un bandeau sur les yeux.Quelques minutes passèrent avant d’entendre du bruit autour d’elles. Plusieurs hommes étaient là et parlaient doucement.Timie se sentit soulevée par deux paires de bras qui la prenait par les jambes afin de les relever au niveau de son bassin, puis on les lui écarta. Elle se cramponna à la barre afin de ne pas tomber en avant. Elle sentit ensuite un sexe s’insinuer dans le creux de ses reins. Elle força afin de faciliter la pénétration qui se voulait brutale afin de faire mal. Les coups de boutoirs la prenait avec v******e et elle geignait sous le choc. Son violeur en profitait pour lui att****r les seins à pleine mains en écrasant bien les deux fraises fragiles des tétons. Une main se fraya alors un chemin entre ses cuisses, puis une autre. On lui attrapait les petites lèvres entre pouce et index en tirant afin de l’écarter. Une douleur fulgurante éclata subitement en son sexe et la fit hurler. Elle ressentit une multitude de piqûres à l’intérieur de son vagin. On venait de lui enfoncer brutalement un goupillon. De ceux que l’on utilise pour nettoyer les bouteilles. Cette pénétration sauvage faillit lui faire lâcher la barre, mais dans un réflexe, elle se rattrapa. Le goupillon manié par la main sadique commença quelques allers-retours, comme si on prenait son sexe pour une bouteille à nettoyer. Chaque mouvement de cet instrument lui égratignait l’intérieur et la mettait à vif. Jamais aucun sexe ne l’avait ramonée de cette manière. Au comble de la douleur elle s’évanouit, s’empalant encore plus profondément sur le sexe qui la prenait.Son réveil ne fut pas mieux, elle revint à elle par l’effet d’une vive douleur en son fondement. Profitant de son état, un de ses violeurs l’avait prise par les jambes, les soulevant de manière à les disposer sur ses épaules afin de la pénétrer lui aussi par son petit trou. Deux sexes de bonne taille lui écartait l’anus à la limite de la rupture du périnée. Chaque coup de boutoir l’empalait douloureusement. Enfin les deux hommes se répandirent en elle ce qui lui fit l’effet d’une crème apaisante à l’intérieur de ses intestins. Ils la laissèrent à demi consciente affalée sur le sol.Une heure se passe sans que personne n’entre dans la pièce, Timie s’était endormie, Nadège de son côté était restée dans la position initiale, les mains sur la barre. Personne ne l’avait touché et elle en était la première surprise. Elle entendit à nouveau plusieurs personnes qui entraient et elle commençait à se tenir sur ses gardes. Sans un mot, un homme lui sorti les mains de la barre pour la guider en position à genoux et les bras croisés dans le dos. Elle sentit que Timie l’avait rejoint et devait se trouver dans la même position. Une queue se positionna devant la bouche de chacune et celles-ci comprenant ce que l’on exigeait d’elles l’ouvrit largement. Après que celles-ci eut pris de la consistance, elles entendirent un ordre : – Vous allez avaler ces queues jusqu’à la garde et rester le plus longtemps possible ainsi, la première qui se recule pour respirer se souviendra longtemps de cette gorgée d’air. Allez, exécution !Les deux sexes prirent possession de l’arrière gorge des filles, leur faisant monter des nausées du fond de l’estomac qu’elles retiennent avec peine. Les deux hommes leur tenaient la tête par la nuque, les empêchant de se reculer. Les filles commençaient à manquer d’air, elles n’arrivaient pas non plus à déglutir et le gland qui repoussait leur luette les irritaient. Dans leur effort pour rester le plus longtemps possible, et dans l’affolement du manque d’air, le fond de leur palais palpitait de plus en plus vite, excitant par la même occasion les deux membres. Déjà 45 secondes de passées et elles commencent à changer de couleur. Une minute ainsi et les voilà à bout. Ce supplice sadique ne leur laissait aucune chance, il fallait qu’elles tiennent et par tous les moyens. A une minute trente, Nadège s’étouffa, elle repoussa de ses deux mains l’homme qui était devant elle, elle toussait, en essayant de reprendre son souffle. Timie tenait encore, elle était plus sportive et ses performances en piscine devaient l’aider grandement. Son record fut de deux minutes. Après avoir repris leur souffle, elles durent reprendre la fellation et la mener à son terme pour tout avaler.

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