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Bdsm

Plan q12h00, j’ouvre les yeux , rien de prévu pour aujourd’hui …Pourquoi ne pas allumer des mecs sur le net ?Je me connecte sur trois sites et aborde pas mal de gars …Pas énormément de réponses intéressantes …Sur le chat de travesti je repère un profil intéressant: ” grossequeue “, 25ans , 30km…Une belle queue un peu courbe en photo de profil…J’ai 28 ans , tres mince , tout à fait lisse, les yeux bleus et les cheveux clairs …Je l’aborde simplement , lui demandant ce qu’il recherche . Ces réponses ce font attendre quelques minutes à chaque fois , il cherche “réel” , refusant de me faire voir d’autres photos de sa queue ou de son corps… “Juste en réel si je veux voir …”J’essaye de le chauffer en lui envoyant quelques photos de mes jambes , de mon cul en string ,mini jupe et bas .Il a l’air un peu plus intéressé , ca m’excite, je me caresse, me branle et me doigte en me forçant à ne pas jouir : j’aime rester dans cet état d’excitation et me sentir femelle , me sentir salope …Il veut en savoir plus sur mes motivations , je lui parle de mon innexperience , de mon envie de sucer un homme, d’être sa salope … Il veut voir mon visage et aimerais que je le reçoive le soir même chez moi … Je refuse prétextant la discrétion… Plus de réponse !Je reste tres excitée , m’interdisant toute jouissance, tandis que j’allume des mecs à tout va sur les chats.Les conversations ne s’éternisent pas , les mecs comprennent vite que je suis là pour fantasmer …Je mange un bout , relançant mes amants virtuels , je suis très excitée …Las d’attendre des réponses qui tardent , je file à la douche , j’ai passé l’après-midi à chatter dans le vent comme d’habitude…Je me nettoie soigneusement , intérieur et extérieur , me rase quelques repousses pileuseuses, me caresse et me doigte son l’eau chaude … M’arrêtant à deux doigt de la jouissance. J’ ai vraiment envie d’une queue!!!Bonne surprise en sortant de la douche : ” grossequeue ” me donne rdv le soir même à 20h dans un atelier dans sa ville de résidence . Nous discutons des modalites , ces réponses ne se font pas attendre , il kiffe mon cul et veux me baiser …Je lui explique que je suis pas tres chaude pour , que je suis vierge et qu’on avisera selon feeling pour ne pas le faire fuire.À vrai dire j’espère que ma bouche suffira , je ne me sent pas prête pour me faire prendre .Je le chauffe en affirmant que je serais docile voire tres soumise s’il sait etre entreprenant. Ca lui va tout à fait, il aime diriger le plan…Nous convenons que je peux venir habillée en mec , qu’il laissera une pièce allumer pour me changer en pute, qu’une fois sapper, il m’attendra dans une pièce aménager avec un canapé , pas de blabla, j’entre et je fais ma salope ! Trop excitée pour reculer cette fois ci tandis que je leche avec gourmandise le liquide pre-ejaculatoire recuperer du bout de mes doigts …Le rdv et pris pour 20h , il est 18h30 quand il me fourni l’adresse.Escarpins, jupe en jeans, lunettes illegal bahis de soleil et rouge à lèvres dans un sachet plastique … Bas , string et haut dos nu moulant sur moi… Un jogging par dessus tout ca et ses baskets … Brossage des dents, coupe garçonne , parfum d’échantillon Féminin … Le temps passe très lentement et n’y tenant plus , je décolle à 19h00 pour pouvoir rouler tranquille… Le GPS de mon telphone m’indique la route à suivre et le compte à rebour des minutes de trajet restant m’excite encore…Le trajet se passe bien , j’apprécie chaques minutes qui me rapproche de cette expérience excitante , j’ai quelques doutes tout de même mais je ne veux pas faire demi tour. Arrivée à destination , je suis dans une zone industrielle , je ne trouve pas l’adresse exacte et j’ai 20minutes d’avance …Je fais deux fois le tour de la zone quasi déserte et rougit alors les deux trois passant doivent se demande qui s’est perdu à cette heure ci…Je décide de me garer , je fume une clope et recontacte mon futur amant par l’application sur mon téléphone , lui signalant ma présence sur place et ma difficulté à trouver l’adresse exacte … Les minutes passent , peut-être que c’était un faux plan? Je fini ma clope , me laisse encore cinq minutes avant de laisser tomber, déçue … Nous reprenons enfin contact, je lui donne le model de ma voiture , lui de la sienne et me précise que l’entrée de l’atelier se situe près d’une benne bleu sur un parking… “Ok”Je redémarre et refais un tour … J’aperçois une benne bleue, me gare et lui envoie une photo de cette dernière … C’est la bonne , il m’attends à l’intérieur …Il me reprecise que je rentre, je me change et que je fais ma SALOPE !Je laisse mes objets de valeurs dans la voitures et file ouvrir une porte vitrée avec mon sachet en mains…J’arrive dans un atelier garage, une voiture demi bâchée doit être en réparation, j’hésite ne connaissant pas les lieux, avançant a pas de louve.Je tente un “ya quelqu’un ?” Qui peine à sortir de ma gorge , excitation et appréhension me troublant au plus haut point…”Change toi dans la pièce éclairée et rejoins moi à côté ” J’avance vers la lumière, un petit vestiaire avec douche, lavabo et miroir , le tout dans deux mètre carré …Je vire mon jogging, enfile ma jupe , mes escarpins dont je ferme la boucle, ajuste mes bas … Je me sens pute qui s’apprête à travailler sauf qu’il ne me payera pas… J’aime ca !Un coup de rouge à lèvre, mes lunettes sur le nez et me voilà passant dans l’autre pièce , sourire aux lèvres , en équilibre sur mes talons hauts par manque d’habitude… Je les entends encore résonner dans la pièce au rythme de ma démarche mal assuré …J’entre dans se qui doit être une salle de repos , canapé , table en bois , il y fait assez sombre…Il est assis sur le sofa, jeans et t-shirt et ponctue mon entrée d’un “wwouuaa!”Je ne sais pas s’il aime se qu’il voit ou s’il est déçut… Je ne réfléchi pas , je m’avance vers lui , illegal bahis siteleri m’accroupie à ses pieds et plonge mes mains et ma tete contre sa braguette… Je sent sa bosse à travers le tissu et tandis que j’abaisse sa braguette, il se redresse un peu pour faire sauter sa boucle de ceinture et abaisser son jeans. Je frotte mon visage sur sa queue juste séparée par le tissu de son boxer et lui retire assez rapidement très impatiente de decouvrir l’objet de mon désir …Je découvre sa queue semi décalotter au repos contre son ventre accompagnée d’une belle paire de couille lisses. En bonne salope , je décide de ne pas utiliser mes mains et descends directement lécher ses couilles avec délice avant de remonter doucement par de petits coups de langues rapides le long de sa queue jusqu’au frein et de la gober entièrement . Sa bite était molle et le gland tout frais et je fus rassurée de sentir le sang affluer dans ce membre apres quelques va et viens et de le sentir durcir autant que je l’aspirais. Je continuai sans les mains à l’aspirer usant de ma langue pour titiller son gland… Je sentais qu’il appréciait ma bouche à sa respiration plus irrégulière et à ses abdos qui se contractaient …. Je le suçais avec gourmandise tant et si bien que ma bouche débordait de salive …Je le sortit de ma bouche en profitant pour baver le trop plein … Je l’ai branler très doucement , le décalottant au maximum et referment de ma main avec la plus grande douceur , mes yeux admirant cette belle tige courbe ornée d’un beaux gland que je ne mis pas longtemp à reprendre en bouche , juste son beaux gland que je suçotais comme une sucette qu’on veut éroder rapidement , je caressais ses couilles de l’autre mains , les lechouillaient puis tapotait son gland sur ma langue sortie… J’hesitai plusieurs fois à retirée mes lunettes et à le fixer droit dans les yeux mais je n’y suis pas arrivée … (Mon seul regret)Il m’invita sans un mot à me mettre à quatre pattes à ses côtés pour continuer.il pu de cette manière en profiter pour soulever ma jupe et me malaxer les fesses sans retenues.ca m’excitais et je tentai de lui faire savoir en me cambrant d’avantage . Il m’écartait les fesses a deux mains et me caressait mon petit trou vierge tandis que je le suçait plus intensément en lui faisant entendre ma respiration pour lui signifier mon excitation . J’étais aux anges à me faire ploter avec une queue bien profond dans ma bouche… J’engagerai alors les bruits de succions et lâchait quelques gémissement à peine audible en bonne salope que je suis. Il me releva et me fis lui tourner le dos, lui assis et moi debout, bien penchée en avant pour qu’il profite un max de la vue. Il me ploya bien comme il faut et m’atira à lui pour que je m’assois sur sa queue. Je me dandinai maladroitement pour l’exciter encore… Sentant sa queue entre mes fesses et son gland frotter mon trou…(Avec le recul, je pense qu’il voulais me prendre à ce moment-là, mais sans canlı bahis siteleri capote, sans lubrifiant?ca ne me bottait pas)il me saisit doucement la queue et tanta de me branler avec douceur tandis que j’étais assise sur sa queue dure. Dans mon état, je n’allais pas tarder à jouir alors je me suis relevé et j’ai repris ma pipe… Il m’a chuchoté quelques choses que je n’ai pas compris… J’ai essayé de le sucer au plus profond que je pouvais, faisant cogner son gland au fond de ma bouche… J’appréciais vraiment de sucer cette queue et la gardait bien au fond pendant quelques secondes avant de reprendre mes va et viens… J’avais envie qu’il m’appuie sur la tete, qu’il me baisse la bouche en profondeur et tentai de lui faire comprendre en posant sa main sur ma tete tandis que je cessai tout va et bien…. Il saisit mes cheveux quelques secondes mais rien… Alors je l’ai sorti de ma bouche et m’appliquai à de petits coup de langues rapides sur son gland espérant secrètement qu’il perde patience et qu’il me lime la bouche comme je le méritais mais il n’en dis rien et se releva…. Je fus assez surprise ne sachant pas trop quoi faire, un instant, il me traversa l’esprit de lui offrir ma bouche en m’allongeant sur le dos, tete renversé dans le vide sur la table(difficile d’y grimper en talon) ou sur le canapé (dans quel sens? Va-t-il comprendre?) Il me demanda à l’oreille s’il pouvait jouir sur mon cul…Hors de question ! Me dis-je intérieurement, je voulais goûter son jus, le sentir dans ma bouche et sur mon visage…Je m’agenouillai à ses pieds et repris ma pipe de plus belle…déçue de retrouver une queue qui avait perdu un peu de vigueur (ce moment de battement avait dû le contrarier, il aimait diriger le plan m’avait il dit… Pas assez sur de lui pour moi… Peut-être que “jouir sur mon cul” était un prétexte pour m’avoir en bonne position et pouvoir me baiser … Tampis pour moi s’il n’a pas oser me brusquer et tant mieux s’il comptait faire ca à sec et sans capote… Avec le recul, j’aurais bien aimé qu’il me depucele doucement puis qu’il me prenne comme ca chienne, je le méritais…)Du coup il me retira sa bite de la bouche pour se branler histoire de bien redurcir, ne servant plus à rien, je décidais de m’occuper de ses couilles à grands coups de langues, il m’appuyait légèrement sur la tete ( enfin!) pour que j’y reste bien collé… Ensuite, il alterna bifles et branle à mon plus grand bonheur , bouche ouverte et langue tirée pour recevoir ses coups de glands baveux… Il mettait du temps à jouir, je tentais de le reprendre en bouchant mais il m’en empêcha me laissant tout de même bouffer ses couilles… Apres encore quelques séance de cinqs six bifles rapides, je sentis une pluie de sperme chaud gicler sur mon visage et couler un peu dans ma bouche… J’appréciais de tout mon etre le goût et surtout l’odeur de son jus qui me souillait la figure…il fini de se vider en tapotant de nouveau son gland contre mes lèvres entre ouverte … J’en profiter pour aspirer les dernières goutte et nettoyé sa queue qui ne ramollissait pas.Il me tendus de quoi m’essuyer le visage, ce que je fis avant de partir sans un mot. Une fois changer je repris la route, heureuse.

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Mon premier sauna libertinAu départ, les endroits libertins me faisaient un peu peur… Ayant découvert le libertinage tardivement, j’imaginais que ce serait assez trash dans le sens où on me toucherait sans forcément que je sois consentante ou que ce serait difficile de repousser des personnes un peu lourdes. Par contre, cela me faisait fantasmer, surtout le sauna libertin.J’aimais l’idée de rassembler la détente avec le spa et le sexe. J’avais envie de pouvoir me prélasser dans un bon jacuzzi nue, de caresser monsieur discrètement dans le sauna tout en matant des gens…Un jour, nous avons décidé de franchir le pas après quelques recherches sur internet car je voulais que ce soit, pour notre premier sauna, un lieu bien réputé par les internautes dans un premier temps.J’avais mis une robe noire moulante, des bas, des talons. Sur le chemin de l’allée, j’avais des papillons dans le ventre tant j’étais excitée et stressée en même temps.Arrivés au guichet, une blonde au décolleté plus que généreux nous a accueilli. Elle avait l’air sympa. Elle était souriante et nous a expliqué le principe et les lieux.C’est là que je me suis rendue compte que la robe et les bas bahis firmaları ne me servaient à rien… ;)J’étais dans les vestiaires, à côté de ceux des hommes. C’était joli. Il y avait différents accessoires pour se recoiffer, des miroirs, etc.Je mis ma serviette autour de moi, tout en gardant mon string en dessous. Assez rapidement, je l’ai enlevé.Avec mr, on s’est assis dans un fauteuil. On a bu un verre, on regardait discrètement les autres, on discutait.Puis, nous avons fait le tour des lieux. Au début, il y avait peu de personnes. Cela nous a permis de nous imprégner de l’ambiance et des lieux. C’était détendu. Les gens étaient souriants et bien. On a pu y croiser des personnes faisant un trio au travers d’un petit hublot, un homme qui doigtait avec délice sa femme sur un fauteuil, des hommes se masturber face à un couple qui baisait sur un grand lit rond… Les gémissements se faisaient bien entendre… La télé face à nous diffusait un porno…J’ai oublié ma gêne que j’avais à l’entrée.Vous voulez savoir ce que l’on cherchait ? Un homme pour un trio bien sûr ! De préférence BM ou TBM…Nous avons donc commencé par l’espace détente avec une séance kaçak iddaa dans le jacuzzi. Des personnes allaient et venaient, les regards s’échangeaient et se cherchaient, mais c’était des couples. Ensuite, nous avons testé le sauna puis le hammam. Dans le hammam, on cherchait la lumière car c’était très sombre. D’un coup, j’ai entendu une voix grave, pleine de charme…Mon moi intérieur fût d’un coup assez curieux de découvrir qui se cachait derrière cette jolie voix.En sortant du hammam, mr a interpellé cet homme. Il était grand, mince et paraissait très studieux, très sérieux.Après avoir discuté avec lui, nous nous sommes rendus compte qu’il était sympa et intéressant et nous lui avons proposé de commencer par un passage dans la salle de cinéma dans un premier temps.Durant le visionnage du film, je caressais ces deux messieurs pendant que d’autres nous mataient. Il n’était pas TBM, mais son charme me faisait quand même de l’effet.Nous sommes donc allés dans une pièce ouverte où nous avons commencé nos ébats. Des personnes nous regardaient de l’entrée de la pièce, certains s’y masturbaient, gémissaient. C’était excitant.Chacun leur tour, ces acolytes me faisaient kaçak bahis plaisir et c’était réciproque. Le temps de se chauffer entre nous, de se faire du bien avec quelques gâteries, on part aussitôt dans un pièce fermée avec des miroirs histoire de bien voir ce qu’il se passait pour plus d’intimité :)Ils se sont occupés de moi de façon attentionnée et sensuelle. Le regard de mon homme en disait long sur son excitation. J’aime quand il me regarde comme ça… ça me donne envie de me donner encore plus.Après un bon et long moment à trois, on avait besoin de repos et c’est là que le spa était le bienvenu.Pendant la première partie de notre trio, l’un des hommes qui se masturbaient en nous regardant s’est joint à nous dans le jacuzzi. Nous nous sommes ainsi retrouvés à quatre. Mon homme me caressait de temps en temps dans l’eau et j’appréciais la douceur, le respect et la gentillesse de mes interlocuteurs masculins.Suite à cela, j’ai décidé de ne pas donner suite lors d’un nouvel ébat car toutes ces émotions m’ont assez fatiguée et j’étais comblée et satisfaite.L’établissement allait bientôt fermer et nous avons décidé de partir, le sourire aux lèvres.Le souvenir que j’en garde est au final très bon. On était aux anges à la sortie. L’a priori que j’avais était totalement faussé et au final, je ne me suis jamais sentie autant respectée. J’ai très envie d’y retourner ! 🙂

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Ma vengeance. chapitre1: ma tante

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Ma vengeance. chapitre1: ma tanteJe m’appelle Daniel. Les seize premières années de ma vie furent très heureuses. Mon père Hervé 45 ans, banquier de son état était un très bel homme d’1m85. Il était très amoureux de ma mère superbe blonde de 40ans. Nous vivions dans une très belle villa à proximité de Versailles. Maman ne travaillant pas pouvait se consacrer totalement à sa maison, son mari et son fils.La foudre tomba brutalement sur nous. Maman fut emportée par un cancer foudroyant nous laissant désemparés. Papa se renfermait sur lui-même et nos échanges devenaient de plus en plus lapidaires. Je suis un plutôt beau garçon. J’ai hérité du côté sportif de mon père avec une musculature plutôt impressionnante pour mon âge et les traits fins de ma mère. A 18 ans avec mon 1 m 85, je ne passe pas inaperçu.La situation à la maison n’était plus gérable. Papa se laissait aller. Le ménage n’était plus fait. Dès qu’il rentrait, il s’enfermait dans sa chambre. Plus aucun contact avec lui n’était possible.Ma tante Eliane la demi-sœur de ma mère qui passait de temps en temps, le voyant dépérir, lui proposa de s’installer provisoirement à la maison et d’engager du personnel de maison.Ma tante s’était beaucoup rapprochée de ma mère au cours de sa maladie. Elle était née d’un premier mariage de mon grand-père. C’était une très belle femme de 45 ans, brune, élégante avec de très longues jambes et une forte poitrine. Elle était veuve depuis 8 ans. Elle avait vécu au Canada une vie güvenilir bahis disait-on dans la famille, dissolue. Ma mère lui avait demandé de passer la voir dès son retour en France. Elles s’étaient ensuite revues régulièrement.Je ne l’aimais pas beaucoup car elle était très autoritaire, désagréable au possible avec moi. Au fur et à mesure que la santé de ma mère déclinait, elle avait pris l’ascendant sur mon père m’accusant de tous les maux. J’étais régulièrement puni, privé de sortie. Elle faisait le vide autour de moi. J’avais depuis deux ans une petite amie, Brigitte, qui avait pris l’habitude de venir me voir. Elle avait cinq ans de plus que moi. C’est elle qui m’avait déniaisé, profitant d’un week-end où mes parents s’étaient absentés. Elle aimait faire l’amour. Comme j’étais très bien monté, elle profitait au maximum de son « joujou favori ». Elle avait de gros seins avec de gros tétons que j’aimais travailler et étirer. Lorsqu’elle était sur moi, je jouais beaucoup avec son cul que mes doigts pénétraient régulièrement. Elle aimait cela. Un jour alors qu’elle était à quatre pattes et que je lui avais bien élargi la rondelle, je lui présentais ma queue à sucer. Quand elle fut bien lubrifiée, je quittais sa bouche et la présentais devant son anus et commençais à la pénétrer doucement. Lorsque mon gland réussi à forcer le passage et mon sexe l’embrocher complètement elle poussa un cri de douleur. Je la laissais s’habituer à la présence de mon vit et commençais türkçe bahis mes mouvements de va et vient. La douleur laissa vite place à des petits cris de jouissance. J’aimais beaucoup dans cette position lui att****r les seins, les pétrir et en titiller les bouts. J’accélérais le mouvement et avec un grand cri je me déversais en elle.J’aimais beaucoup la sodomiser. Elle avait de très belles fesses et un cul vraiment accueillant qui s’était habitué à mon sexe. Elle suçait divinement bien. Je n’aurais pas pu avoir meilleure initiatrice. Elle aimait aussi jouer avec mon petit trou et me pénétrer de ses longs doigts. J’appréciais cette caresse.Peu de temps après l’installation de ma tante, mon père et elle s’absentèrent pour la journée. J’appelais Brigitte qui se précipita à la maison. En fait ma tante nous avait tendu un piège. Elle ne supportait pas la présence de mon amie. La porte s’ouvrit alors que Je la sodomisais. Ma tante entra en s’exclamant: « je te l’avais bien dit ». Mon père me regardait d’un air méprisant. Je me dégageais du cul de Brigitte. Ma tante récupéra nos vêtements et nous demanda de nous tenir debout l’un à côté de l’autre. Elle nous gifla plusieurs fois profitant au passage pour tordre et pincer violemment les tétons de Brigitte qui hurla sous le coup de la douleur. La méchanceté se lisait sur son visage. Brigitte n’en menait pas large car ma tante menaçait de porter plainte pour détournement de mineur car nos relations avaient commencées güvenilir bahis siteleri alors que je n’avais pas seize ans. Elle alla chercher la ceinture de mon peignoir et se mit à nous cingler le corps de coups violents. Elle voulait vraiment nous faire mal. Elle s’acharnait en particulier sur mon sexe.Prenant Brigitte par la main, elle la conduisit à la porte de la maison et la projeta nue à l’extérieur avec ses vêtements. Elle voulait l’humilier et casser notre relation.Mon père m’enferma dans ma chambre et décida de me mettre en pension. Nous étions en milieu d’année scolaire et le seul établissement de valeur disponible était aux environs de Genève. Les jours précédant mon départ furent terribles. Mon père ne me parlait plus et ma tante me regardait d’un air méprisant. Quand mon père était absent, un sourire de satisfaction apparaissait sur son visage. Elle me signifiait par là qu’elle avait gagné. Brigitte ne voulait plus avoir aucun contact avec moi. Sa présence me manquait car j’étais devenu accroc au sexe. Je n’arrêtais pas de me masturber et les traces que je laissais après moi, augmentait l’attitude méprisante de ma tante.La veille de mon départ, un couple se présenta pour se faire embaucher. : Julien 35 ans plutôt bel homme et Marie une belle brune de 30 ans à l’allure garçonne. Ils semblaient bien connaître ma tante.Le nouvel homme à tout faire me conduisit au pensionnat « Les oiseaux » à 30 km de Genève. Ma tante lui avait certainement parlé de moi car il n’arrêtait pas au travers d’allusions graveleuses, de montrer qu’il connaissait ma situation. Mon père ne s’était même pas déplacé pour me dire au revoir. Je jurai de me venger de cette garce qui était responsable de mon exil.

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Petite Escapade à L’îlot (2)

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Petite Escapade à L’îlot (2)En arrivant sous le Faré, Jérémie et Christelle nous regardais déjà d’un air assez moqueur (), Jérémie et Christelle étaient le seul couple parmi notre petit groupe d’amis. Christelle étais une belle vietnamienne métissé tahitienne aux cheveux brun et aux yeux un peu vert et gris. Elle faisais a peu près ma taille comparé a Caroline qui étais un peu plus petite. La moitié des mecs du Lycée avaient envie de se la tapé, et j’avais même entendu qu’elle s’étais déjà fais défoncer la chatte, dans une salle de cours par son ex () mais malheureusement c’était la copine d’un de mes meilleurs pote donc c’était tout simplement impossible. Du moins c’est ce que je pensais. x)18h passé, avec les garçon nous avions finis la grillade, pendant que les filles préparer les nattes, les assiettes et les salades, nous commençons donc à manger, après le repas, Christelle nous proposa d’ouvrir les boissons et de commencer a boire, on avais déjà bu quelques bière durant la grillade, mais nous étions partant pour tous boire. On vidé 3 bouteilles d’alcool, et 10 pack de bière. bahis firmaları Caroline était un peu pompette donc venais se coller a moi et commençais a me faire des câlins devant tout le monde.. Sa ne me gênais absolument pas vue que apparement tout le monde s’en doutais. Et je vis Christelle nous regardé en se mordant la lèvre, sa m’as excité comme un malade donc je commençais a caresser un peu Caroline. Elle nous regardais toujours. 23h tout le monde étais tomber KO, et je commençais a m’endormir quand je sentais une main venir et commencer a me caresser la bite par dessous mon bermuda. Je ne bougeais pas et resté les yeux fermer je me laissé faire. Et d’un coup elle tiras ma braguette et en fit sortir mon sexe, elle commença a me pomper goulument : – « Oh oui Caro, j’adore continue.. »- « Ouvre tes yeux mon coco, c’est pas Caro. »J’ouvris les yeux et vis Christelle en train de me branler la bite, mon dieu que j’aimais sa ! – « Mais qu’est ce ?! Christelle ! On peut pas, t’es folle ! Qu’est ce que Jérémie va dire, et puis sa va pas il est juste endormi là a coté»- « Humm Je sais kaçak iddaa mais Caroline m’as tout raconte, je veux que tu me défonce comme elle.. »« Laisse toi faire, et viens on va sur la plage on sera plus tranquille pour faire tout ce qu’on veux »Caroline qui nous avais entendu, se réveilla d’un coup, elle nous demandais ou on allais. Je lui dit qu’on allais prendre un peu l’air, et Christelle lui répondit, – « Viens avec nous si tu veux chou »- « Ok Je vous suis »Je commençais a avoir un peu peur, j’étais en compagnie de deux fille pour qui j’avais une attirance de malade. arrivé sur la plage il faisais nuit mais les lumière du Faré parvenais un peu sur la plage, juste ce qu’il fallait pour qu’on y vois un peu mieux. Christelle surement toujours sous l’emprise de l’alcool, se tourna vers Caroline et lui dit :- « Hey Chou, Embrasse moi. »- « Hein, mais t’es folle hihihi..() » – « Mais aller chou, c’est pas comme si c’était la première fois. »- « Mais Alex est juste derrière, Chou»- « Humm Tu crois vraiment que sa va lui déplaire » ()Et la faisant comme si je n’étais pas là, je kaçak bahis les voyais, commencer a s’embrasser toute les deux, sa commençais a me faire bander de les voir se caresser ainsi. Donc je sorti ma bite () et commençais a me branler en les regardant. D’un coup Christelle me vit et me dit. Chris – « Humm Attend moi là un peu, tu croyais que j’allais te laisser faire sa tout seul ? Viens là que je te suce ! »Caro – « Attend moi, on as qu’as le sucer toute les deux hmmm regarde comment il bande, le petit salaud »Elle se sont donc approcher de moi et Caro commença a me sucer, pendant que Christelle se précipitais sur mes lèvres, je commencé a la déshabiller, et commençais a toucher cette poitrine que je rêver tant de caresser, toujours en l’embrassant. Elle s’agenouilla et avec Caro elles me pompèrent la bite, je sentais la petite langue de Christelle se glisser sous mes couilles. – « Hawwwnnn Lèche moi bien les couilles, j’aime sa »- « Hummm T’aime sa petit Salaud, et si tu nous baisé un peu envie de sentir ta bite dans mon petit minou.. » Me répondit-elleJe la mis a 4 pattes sur le sable et commencé a lui enfoncer ma queue dans sa petite chatte, pendant que Caroline se déshabillais et allât s’assoir, devant Christelle, qui commençais donc a lui lécher la chatte. Caro – « Hummm j’adore t

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Sonia et sa salope de mère (I)….

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Sonia et sa salope de mère (I)….Sonia est la fille avec qui j’ai ouvert les yeux sur le sexe, ou plutôt nous avons ouvert les yeux ensemble, grâce, à une «Encyclopédie du Sexe», trouvé dans les affaires de sa mère, que nous avons lu en cachette sans perdre la moindre ligne, nous avons tout appris, du regard coquin et du passage de la langue sur les lèvres, jusqu’à programmer la perte de sa virginité, qui s’est passée, il faut le dire dans le plus grand plaisir pour nous deux.Ces heureux souvenirs de notre jeunesse, sont réapparus soudain, à la rencontre de Sonia dans une gare. J’arrivai d’un voyage et elle devait partir. A la rencontre, plus que le passé, toutes les émotions ont refait surface, au point de se coller l’un à l’autre d’une manière plus que troublante.-Viens, on va chez nous,Elle a lancé cette phrase, en me tirant par la main vers la sortie-Et ton voyage-Qu’importeDit-elle, en haussant les épaules. Elle m’a dit après qu’elle devait aller voir un homme qui avait plus confiance dans ses godes que son propre organe.-Allons chez moi, on sera plus à l’aise-Non, je préfère mon lit,Elle marqua un temps d’arrêt, et me dit avec un baiser amoureux :Notre lit, le lit de ma virginité,Je devais dans ma voiture suivre la sienne, j’avais peur de la perdre, même si on allait vers le quartier de ma jeunesse.Sonia, était une fille admirable, grande de taille, beau corps, mais un peu plein, avec des cheveux d’un noir très foncé. Chose, qui donnait une allure de reine.Dans l’escalier, elle riait en dirigeant le regard vers mon sexe :-Toujours la bonne taille ?On a ri et je demandais :-Toujours la bonne toison noire ?De son rire j’ai compris qu’elle n’avait pas changé, depuis qu’elle a vu un très beau sexe de femme poilu dans cette fameuse «Encyclopédie».-Maman coucou, Elle a lancé en rentrant dans l’appart qu’elle occupait avec sa mère. Il faut dire que la mère de Sonia était le vice concentré. Aussi belle que sa fille, mais avait un visage moins innocent, plutôt sexuel avec une bouche un peu plus grande, qui ne peut faire penser qu’à une fellationSa mère portait une robe tablier sans manches, presque transparente, qui laissait voir güvenilir canlı bahis siteleri un corps encore intact.-Tu le reconnais ?-Et comment ?La mère marque un temps d’arrêt puis ajoute avec un ton enchanteur :-Celui qui a rendu ma fille innocente femme, et lui a offert ses premiers plaisirs.Je fus surpris par les paroles de la mère, qui m’a pris dans ses bras, et s’est même collée à moi, sans oublier de me prendre très fort dans ses bras, puis m’a pris par la tête entre les mains et me plaça un baiser rapide mais fort sur la bouche.Sonia riait, en se dirigeant vers l’intérieur de la maison.Il faut dire que l’appart est devenu un loft, avec un forme de coin avec deux grand lits, l’un pas loin de l’autre, car la fille et la mère, on transformé l’appart en atelier de confection, et ont limité leur espace privé à un petit coin au tournant, derrière une poutre.-Généralement, je vais jouer au Bridge avec mes copines, Elle marque un temps d’arrêt puis ajouta avec un ton rieur et provocateur.-Mais avec toi, je t’ai vu grandir, vous ne devez pas vous gêner de ma présence…Un rire général éclata et entre les deux lits, Sonia a commencé à m’enlever ma veste.-Elle est chaude la garceLa phrase de la mère était pleine d’envie, et elle quitta le coin avec amertume au visage. Seuls, Sonia devient sérieuse et me dit entre prière et fermeté :-Envie d’une fellationElle me poussa sur le lit et ajoute en portant la main vers ma ceinture :-Jamais je n’ai fait l’amour, ou même à la masturbation, sans jamais penser à toi.Je ne savais si elle me parlait à moi, ou à mon sexe, mais rien que le souvenir de ses fellations, et l’envie en moi, ont presque fait éclater la braguette.Elle ouvre le pantalon et le baisse un peu, de quoi dégager le slip, et va embrasser et mordre délicatement, j’étais assis, elle a genoux, chacun trouvait ses plaisirs, surtout ses gémissements de jument, mais aussi sa respiration forte.Elle a passé un temps que je peux imaginer à mordre et embrasser le slip, puis a fait dégager le sexe qui coulait de son liquide transparent. Avec sa gorge profonde, elle paraissait ne pas fournir trop d’efforts, pour l’enfoncer güvenilir illegal bahis siteleri à fond ou presque.Une sensation indéfinissable, mais essentiellement le retour d’une adolescence et des longues heures à lire l’Encyclopédie et pratiquer à l’image de deux étudiants en médecine qui ne voulaient rater un examen.En levant la tête, j’aperçois sa mère qui nous regarde avec un sérieux déconcertant… Au début, je ne savais quoi faire, la mère aussi, tant elle était dans un angle presque mort, et ne voyais du spectacle que le dos de sa fille.J’ai vite compris le vice de la mère, mais j’avais confiance en Sonia qui ne pouvait dans cette position refuser une demande.Je fais de la main à la mère comme une invitation à prendre place sur l’autre lit. Sonia était plus qu’absorbée dans sa fellation.La mère ne s’est pas faite prier, mais avançait très lentement, je ne sais si elle avait peur d’un éventuel refus de sa fille, ou de troubler sa concentration.Assise, la mère paraissait plus que troublée, elle ne savait si elle devait suivre du regard sa fille engloutie dans une fellation ou mes yeux qui n’ont cessé de la regarder.Soudain, Sonia marqua un temps d’arrêt, leva la tête, et nos regards. Le temps paraissait interminable, mais Sonia s’est levée, et comme elle ne voyait pas sa mère, se débarrasse de sa robe et me dit en se mettant sur le lit en deux pièces et encore avec ses talons :-Suce-moiJe ne peux qu’obéir rien que pour dégager ce blocage des regards, au moins le mien et sa mère…Sonia paraissait plus à l’aise, avec ma bouche qui léchait son string, sous le regard de sa propre mère.Pris par cette délicieuse tache, j’étais comblé et même au summum du plaisir. Ce beau sexe, ou plutôt mon premier sexe de femme, que j’ai léché vierge, a fait revivre en moi des lointains souvenirs…Je voulais ne pas arrêter de sucer et lécher, mais tellement curieux de voir cette scène : une fille en deux pièces allongée sur un lit, avec un homme qui lui bouffait la chatte à travers son string, et une mère assise à moins de deux mètres, à regarder avec envie le spectacle.-Tu peux enlever ta robe,La voix me paraissait entre l’ordre güvenilir bahis şirketleri le plus intransigeant et la douceur la plus sensuelle, j’entendais la mère se lever et se débarrasser de sa robe.Entre la folle envie de sucer et lécher, et la curiosité de voir la mère, la main de Sonia est venu caresser ma chevelure et surtout immobilier ma tête dans cette délicieuse tâche….Je ne peux qu’imaginer le regard entre les deux femmes, et soudain comme un petit coup sur le matelas :-Viens à côté de moi,J’ai senti une personne, la mère de Sonia qui prenait place à côté de sa fille, tellement proche que la cuisse de la mère s’est collé à mon épaule :-Tu aimes ?-OuiiiiiiiiiiiiLa voix de Sonia était malicieuse et celle de sa mère concentrait toutes les envies du monde.Un rire a éclaté entre les deux femmes. Là, j’ai compris que le jeu était ouvert, et mon vieux fantasme de jeunesse avec Sonia allait voir le jour.Ma main allait chercher la cuisse de la mère qui s’est ouverte au contact de ma main, j’ai senti une cuisse pleine et moelleuse Quel homme peut imaginer ou espérer une situation meilleure : la bouche dans le sexe la fille, et la main qui commence à tripoter le sexe de la mère….A ma main sur le sexe de la mère est venue s’ajouter, la main de Sonia, qui a vite fait enlever son string et le slip de sa mère.-Enlève-lui son pantalonToujours de la même voix douce et intransigeante, Sonia semblait avoir pris le dessus sur mère, qui commença par enlever mes souliers, retirer mon pantalon et me débarrasser de ma chemise.Sonia s’est mise debout et a dit :-VenezDebout, comme par magie, nous partions dans un long baiser triangulaire, où nous se sont mêlés nos trois langues, mais aussi le gout du sexe de Sonia, qui s’est détachée pour se mettre au lit. Mes mains ont fini de libérer les deux femmes de leurs soutiens :-VenezOn ne pouvait qu’accepter, assis sur le bord du lit, elle me demanda avec son air doux :-Suce-làSa mère a vite fait de m’offrir ses cuisses, Sonia a repris mon sexe, et bien évidement la mère s’est chargée du sexe de sa fille. Nous restâmes un long moment dans ce plaisir. Sonia ne pouvait oublier notre code, pincer deux fois son cou pour lui faire savoir que mon volcan de zeb est arrivé à éruption. Chose qui s’est faite sur sa généreuse poitrine :-Viens lécher salopeLa mère comme si elle n’attendait que ça, est passée avec sa langue sur mon précieux liquide, sans oublier mon sexe qui laissait échapper des gouttes…

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Chantage à l’opticienne (5)Ce week end, fut une immense orgie à la romaine, façon Calligula et Messaline les esclaves passerent a tour de rôle de culs en bite. La mienne plus précisément.. Conchita sous les ordres de Stéphanie et de Carole humilièrent Valérie toute la journée de Dimanche qui prenait fin. Caroline était partie en début d’apres midi pour rejoindre un anniversaire, et Stéphanie avait donné l’autorisation a Conchita de rejoindre sa fille souffrante. Nous nous retrouvions avec Martine et Valérie, la mère et la fille. Elles étaient épuisées, sur le canapé, elles regardaient la télé. Martine pleurant régulièrement sur son pauvre sort, j’avais décidé de rejoindre mon bureau pour travailler un peu. Au bout de quelques minutes, on frappa a la porte, c’était Valérie. Petite culotte, seins dehors, maquillée elle attendait ma réponse.-Oui ?-Puis je rentrer Monsieur ?-Bien sur ! Que puis-je faire pour toi ?-Voilà Monsieur, j’ai bien réfléchit toute la journée. J’accepte votre domination. J’accepte d’être votre esclave. Je n’ai pas le choix. J’ai besoin d’argent pour mon couple, et j’ai besoin de travailler.-Et ?…-Et j’ai un marché à vous faire…Je vous offre ma mère et ma sœur, et en échange vous me garder à la boutique avec augmentation de salaire plus un petit service.-J’ai déjà ta mère…-Non pas à 100 % Elle sera votre chienne je vous le promets. Elle sera humiliée encore plus par moi. Elle ira au bout d’elle-même.-Ta sœur ?-J’ai de quoi la faire chanter-Et le petit service ?-En échange je vous demande l’autorisation de me venger sur Autilia et sa fille !-Je vais réfléchir-Laissez-moi vous prouvez ma motivation. Maman !!!Martine arriva dans la pièce-Oui Valérie ?-Et ta tenue salope ! Tu ne vois pas que Monsieur est avec nous ?-Valérie, mais comment tu me parles ?-Ecoute moi bien salope, tu sors tes putains de nichons de ton soutif ! et tu viens me voir !Martine s’exécuta et s’approcha de Valérie un peu sonnée-Mais Valérie ?-Ferme ta gueule !Et Valérie commença a rentrer sa main dans la culotte de sa mère !! -Alors comme cela Maman tu joues la bonne mère de famille dans la vie et la pute dans la vraie vie avec Monsieur ? Tu le sens mon doigts dans ta chatte sale pute ? tu le sens ? Oh oui ! reponds salope ! T’est une bonne pute non ? -Arrete valérie ! répondit tremblante bahis firmaları Martine-Allez Maman ! réponds moi ! Montre à Monsieur qui tu es vraiment dans la vraie vie !-Non arrête !!-Colle-toi contre le mur ! Accroupis vite ! Monsieur elle est a vous ! Baisez lui la bouche ! Je vous la tiens.-Mais ca ne va pas non Valérie !Je m’approcha de Martine, ma bite juste a hauteur de sa bouche, sa fille lui tenant les bras et la tete, il n’y a avait plus qu’a rentrer ma bite dans sa bouche.-Allez y Monsieur, baisez lui la bouche, plus vite, plus profond, vas y salope ! avale sa bite ! Si on en est la c’est a cause de toi ! Alors avale sa bite ! jusqu’au bout !Je baisais sa bouche avec délectation et de plus en plus rapidement et profondément. Martine cria, elle avait des hauts de cœur, mais ma bite viola sa bouche de plus en plus ! Mes couilles arrivèrent jusqu’à son menton ! Elle étouffa plusieurs fois , respirant avec son nez ! Il y avait de la salive partout !-Allez Maman, encore un effort, tu vois ses couilles de près dis donc ! Avale sa bite ! encore plus dans ta gorge de salope ! allez maman ! encore un effort ! il vas jouir dans ta bouche et tu vas rester bien sage ! Monsieur quand vous voulez !A ce moment precis, Valérie bloqua le tète de sa mère contre le mur en emprisonnant ses épaules. Moi je collais au plus profond de sa gorge ma bite en ejaculant abondamment ! Elle cria s’etouffa ! Et avala malgré elle ! Elle tomba par terre, en pleurant.-C’est bien Maman, bravo ! Maintenant j’ai un marché avec Monsieur, c’est moi qui te chaponnera désormais et te dira ce qu’il faut lui faire pour lui faire plaisir tu es d’abord sous mes ordres. Regarde-moi maman, relève toi ! A genoux, voilà, ça va mieux ? C’est bien ! Oh regarde le gros cul que j’ai ! Tu sais si j’ai un gros cul c’est grâce a toi ! J’ai honte de mon cul ! il est si gros ! depuis toute petite déjà on m’appelait gros cul a l’ecole ! A cause de toi maman ! Un petit corps et un gros cul ! la vie est mal faite ! bon je ne t’en veux pas ! En revanche tu vas lécher mon cul !-Mais Valérie !-Ta gueule ! Tu vas lécher mon cul avec ta lange de haut en bas de droite a gauche , tu écarteras mes fesses et tu me lécheras le trou du cul ! Allez salope ! c’est maintenant. C’est le début de ma vengeance. Vous pouvez nous laisser kaçak iddaa Monsieur si vous le souhaitez, je termine avec ma mère…Le lendemain matin, je me rendis a la boutique, toute l’equipe était présente, Mylene la vendeuse avec son jolie sourire, Martine honteuse qui baissa les yeux, Valérie et enfin Laurence. Tres distinguée avec une robe de marque, forte poitrine, même cul que sa sœur mais pas un sourire. De la peur dans ses yeux.-Bonjour Monsieur-Bonjour, venez dans le bureau avec votre sœur.Une fois dans le bureau les filles s’installèrent devant moi.-Et votre mère ?-Ah c’est vrai ! Maman tu viens ?Martine rentra avec son pantalon beige clair et un pull col V cachant au minima sa poitrine.-Alors Valérie, je te laisse la parole.-He bien voila Monsieur, j’ai parlé a ma mère et a ma sœur. Comme je vous l’ai indiqué hier chez vous, nous acceptons le marché. Meme ma sœur.-Comment as-tu convaincu ta sœur Laurence ?-Laurence a des problemes de couple depuis pas mal de temps. Nous avons un parking en bas de l’immeuble. Je l’ai surpris plusieurs fois sans qu’elle le sache en train de sucer le gardien qui est assez beau gosse. J’ai pris des photos sans qu’elle le sache, et ce matin en arrivant a la boutique je lui ai montré les photos. Nous avons un accord elle n’est au courant de rien pour maman. Si elle ne fait pas ce que lui dit, je montre les photos a son mari. C’est simple.-Qu’en pensez vous Laurence.-C’est purement et simplement degueulasse. Je vous hais. Maintenant dites moi ce que je dois faire pour supprimer ces photos !-Mais comment tu parles salope ! Pas devant Monsieur ! Tu vas pas commencer a te la péter ? D’accord ? on va te montrer un peu ce que tu dois faire ! Maman ? Mets toi ten tenue et sors la bite de Monsieur ?-Comment cria Laurence ? Mais tu fais quoi la ?-Ta gueule répondit sa sœur et regarde.Sa mere enleva délictament son pull puis son pantalon elle sortit ses nichons du soutif et enleva sa culotte . Elle s’approcha de moi et ouvrit ma braguette.-Maman ! mais tu fais quoi la ?-Ta gueule salope ! alors maintenant grosse pute tu te mets en tenue comme notre pute de mere !-Mais ca va pas non !Un gifle violente arriva sur le visage de Laurence !-Ta gueule poufiasse et obeit au ordres , n’oublie pas les photos !!Laurence commenca a se deshabiller sa joue gauche kaçak bahis encore très rouge. -Allez depeche toi ! Vite !! sors tes gros nichons de pute ! Tire les bien ! approche toi de Monsieur !-Maman grosse pute vient ici et leche moi la chatte, je vais mouiller de voir Laurence a poil s’occuper de Monsieur.Laurence s’approcha de moi, elle avait vraiment une grosse et belle poitrine ! -Que voulez vous Monsieur ?-Une pipe ma chérie ! une belle pipe. Venez vous mettre debout a mes coté et me sucer je veux voir vos nichons ! enlevez moi votre soutif !-Maman plus profond ta langue ! Vas y Laurence ! Mouille la bite de Monsieur ! il va cracher dans ta bouche de pute. Tu en as l’habitude avec le gardien ! Laurene se pencha et commenca ma pipe, j’en profitais pour malaxer ses gros nichons et lui mettre un doigt dans le cul -Vas y Vas y enfonce ta bouche lui repetais je ! Martine vient ici.Martien se rapprocha. -Martine , comme avec Valérie ! Encouragement et puissance !Et pendant qu Martine posa la main sur la tete de sa fille pour bien l’enfoncer sur ma bite elle l’encouragea de plus belle !-Allez Laurence ! Vas-y ! Vas-y ! Un peu plus dans ta bouche Laurence ! Vas-y ! Vas-y un peu plus dans ta bouche. Soutient le rythme ! Soutient le rythme ! La cadence un peu plus dans ta bouche un peu plus dans ta bouche Laurence ! Un peu plus dans ta bouche ! Continue ! Continue. Profond Profond tres profond ! on recommence ! Profond ! Profond ! Caresse tes seins ! suce le plus vite ! Suce le plus vite ! Plus rapidement ! Allez ! Allez ! Allez ! Ma chérie ! Allez oui comme ça Laurence ! Oui comme ça ! Comme ça ! Continue ! Continue ! Continue ! Continue…-Valérie, viens derrière ta sœur mets lui un doigt dans le cul ! -Avec plaisir Monsieur ! -Ahhh cria Laurence !-Ta gueule sale pute ! Maman approche toi de moi enlève ta culotte.Martine se rapprocha et Valérie lui mit un doigt dans le cul a elle aussi !-Allez mes putes cria Valérie ! Toutes ensemble ! cria Valérie en me faisant un clin d’œil.-Martine a mon OK tu bloques !-Bien Monsieur me répondit Martine entre deux rales-Attention Ok !!Martine prit ses deux mains qu’elle appliqua sur la tete de sa fille ainée pour la forcer a prendre entièrement ma bite. Je jouissais dans sa bouche remplissant sa gorge. Elle avala de travers.-Super les putes ! Good job ! Martine repart a la boutique tes filles restent avec moi.-S’il vous plait non répondit Laurence -On continue Monsieur repondit Valérie ?-On continue repondis je. Je n’en ai pas terminé avec vous.

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stepJe revenais de la plage avec mon pote chez qui je passais des vacances. La chaleur était épouvantable. Nous avions passé l’après-midi à mater les filles en train de bronzer. J’en aurais bien abordé une ou deux mais Stéphanie, la sœur de mon pote, n’arrêtait pas de me coller. Il suffisait que je veuille me baigner ou acheter une glace pour qu’elle s’en trouve l’envie aussi. Je ne pouvais pas faire trois pas sans qu’elle me demande où j’allais. J’ai même réussi à la traîner devant les toilettes des hommes pour lui fiche la honte. Rien du tout, elle m’a attendu devant, tout juste si elle ne me parlait pas au travers de la porte. Le soir approchant, il était temps de rentrer. J’avais quelques légères brûlures due au soleil mais rien de grave. N’ayant rien à faire, je me proposais pour préparer le dîner. Cinq minutes seulement après, Stéphanie apparut dans la cuisine.- Tu aurais dû me dire que tu faisais à manger, dit-elle.- Je ne savais pas que tu étais fan de cela- Tu cherches le grand plat, il est dans le placard. Tiens, le voilà.- Super, merci. Heureusement que t’es là.Pas moyen d’être tranquille. Ensuite, elle voulait que je vienne dans sa chambre pour regarder ses posters. Comme si j’avais que cela à faire. En plus, sa chambre était dans un désordre indescriptible. Des livres et ses vêtements traînaient par terre. Des petites culottes et des collants débordaient des tiroirs à moitié ouverts. Un nounours tout déglingué trônait au milieu du lit.- Regarde, c’est lui mon préféré ! dit-elle.- Ah oui ! Le chanteur ?- Il est trop cool !- Euh, je crois que le dîner brûle, Stéphanie. Je reviens.- Attends ! Je voulais te montrer autre chose.- Bon, alors fais vite.Elle restait là, debout, sans bouger. Puis, tout rouge, elle sortit une tenue sexy de dessous son lit. Un ensemble en dentelle noire dont l’étiquette était encore visible.- Je voulais avoir ton avis. Comme tu es un mec. Mes copines, canlı bahis ce n’est pas pareil.- Stéphanie ! Dis-je.- Si tu veux, je l’enfile et tu me diras.- Pas maintenant. Il faut que je m’occupe du dîner, voyons !- Je serais très rapide !Stéphanie, encore plus gênée, enleva son haut de maillot de bain. Ses petits seins qui tenaient fièrement en l’air étaient déjà plus intéressants que les posters. On aurait dit deux petites poires bien fermes. Je me demandais si elle allait aussi retirer le bas. Après avoir croisé les bras sur sa poitrine quelques secondes, elle baissa son slip jusqu’en bas de ses jambes, laissant apparaître son triangle noir. D’un pied, elle envoya valser sa culotte vers un tiroir et resta là, un bras tenant l’autre, cachant son ventre, attendant ma réaction.- Et alors, cette tenue ? Demandais-je.- C’est celle-là que je voulais te montrer.- Ah !Elle avait baissé les yeux. A présent, ses bras pendaient le long du corps, suivant le mouvement de son bassin. Je la détaillai pendant quelques minutes. En remontant mon regard, je vis que sa mine était toute triste.- Je ne te plais pas ? dit-elle, tremblante.- C’est-à-dire que si, mais…- Montre le moi !- Comment ça, je te le montre ?- Si je te plais, je veux te voir bander. Vous les mecs, quand une nana vous plait, vous bandez. Je veux te voir bander pour moi.J’hésitai quelques instants. Elle n’avait pas tort. Je bandais. De là à lui montrer… Je sentais que ça allait mal finir, cette histoire.- Montre le moi ou je crie ! dit-elle plus fort.- Du calme, du calme. Je vais te le montrer.Je baissais mon pantalon d’été et mon slip dans le même mouvement. Stéphanie avait les yeux rivés sur mon sexe jaillissant de sa prison. Elle ouvrit la bouche, laissant échapper un soupir muet. C’était mon tour d’être gêné. Elle s’avança et le prit dans sa main qui était légèrement froide. La sensation raviva mon érection. Mon sexe était à la verticale, bahis siteleri collé à mon nombril, dur et gonflé.- Serre-moi contre toi ! dit-elle.- Stéphanie, ton frère peut arriver d’une minute à l’autre. – Il est parti acheter le journal télé.Elle se colla contre moi. Sa peau était douce et ferme. Mon sexe se plaqua délicieusement contre son ventre. Ses seins pointus vinrent s’écraser doucement contre ma poitrine. J’avais soudain envie de lui toucher les fesses, de les lui caresser. Ma main glissa dans son dos, glissa encore jusqu’à sa raie. J’entendais Stéphanie respirer plus fort. Ses bras m’enserraient au niveau du cou. Son parfum délicat me ravissait les narines.J’avais envie d’elle. Mon sexe perlait à son bout.- Viens en moi, dit-elle dans le creux de mon oreille.- Stéphanie, il ne vaut mieux pas.- Je prends la pilule. Ne t’en fais pas. Viens en moi, dit-elle encore. J’en ai envie.Elle me quitta pour aller s’allonger sur le lit. Ses cuisses s’écartèrent légèrement me laissant admirer son sexe sous un nouvel angle. Ses seins étaient cachés par l’affreux nounours qu’elle serrait contre elle. Je m’allongeai sur elle, lui mordillant un sein au passage. Son vagin, ses cuisses étaient parfaitement lubrifiées. Mon sexe tendu par le désir glissa en elle irrémédiablement, se frayant un passage étroit. Le ventre de Stéphanie se contractait lors de mes va-et-vient. Ses yeux étaient fermés. Elle se laissait aller, au fil des minutes, soupirant de plus en plus fort. Le nounours me gênait mais elle ne voulait pas le lâcher. Il fallait compter avec.Je la pris de plus en plus fort, ne répondant plus qu’à mon irrésistible envie de jouir. Sous mes profondes pénétrations, elle décolla en plusieurs vagues de plaisir. De mon sexe jaillit ma semence, brûlante, épaisse, lui irradiant l’intérieur du ventre. Elle me regarda droit dans les yeux et jouit une seconde fois, dans le même temps. Je bahis şirketleri pus enfin virer le nounours du lit et prendre Stéphanie entièrement dans mes bras, me collant tout contre elle, profitant de sa chaleur, de son souffle. J’embrassai chaque centimètre de sa peau, découvrant les endroits lui procurant des sensations. Puis, je me laissai rouler sur le dos, à côté d’elle.- Je vais aux toilettes, dit-elle. Je reviens.- Je vais en bas, surveiller le dîner.Stéphanie, du pas assuré de la femme épanouie, se dirigea vers les toilettes me laissant admirer son postérieur en mouvement. Mon sexe s’était à nouveau dressé mais je préférai ne pas en tenir compte. J’enfilai mon slip et mon pantalon et descendit les marches des escaliers quatre à quatre.Dans la cuisine, tout était cramé. Je jetai le repas à la poubelle, ouvrit la fenêtre et entreprit de cuire autre chose. Une clé tournait dans la porte d’entrée. Mon pote revenait. C’est alors que Stéphanie surgit derrière moi en me prenant les côtes. Je sursautai malgré moi.- Qu’est-ce que tu nous fais de bon, après cela ?Elle portait une robe rouge. Sur ses épaules, je reconnaissais le haut de la bretelle de l’ensemble noir. Je l’embrassais sur la bouche, une dernière fois, entendant le bruit de la porte d’entrée se refermant. Mon pote nous trouva rapidement. Il n’avait qu’à suivre l’odeur de brûlé.- Je pars dix minutes et c’est la catastrophe, plaisanta celui-ci.- Il n’a pas voulu que je l’aide et voilà le résultat, mentit Stéphanie.Je ne suis rien répondre car Stéphanie m’avait agrippé le sexe au travers de mon pantalon. Elle se débridait complètement et osait tout. Son frère ne remarqua rien, heureusement. Quant à moi, je pinçai les fesses de sa jeune sœur dès que celui-ci fut retourné au salon.C’est d’un commun accord que je décidai, quelques jours plus tard, de prolonger mes vacances pour encore une semaine ou deux. Tout le monde en fut ravi, moi le premier. J’allais pouvoir profiter de Stéphanie encore et encore, ou elle de moi (ce n’était pas clair). Bien sûr, vous vous demandez qui de moi ou du nounours a eu le dernier mot… ça, je ne le vous dirais pas.

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SAM (première partie)1. SAMJe m’appelle Sam, diminutif de Samantha, j’ai 51 ans, je suis mariée à Paul 52 ans, j’ai 2 enfants. Je travaille dans un établissement lié à la justice en tant qu’assistante juridique.Mes enfants ont 20 ans pour ma fille Océane et 24 ans pour mon aîné William, dit Willy…Ma vie est monotone, entre mon travail, les enfants qui ont des problèmes soit de couple, bien qu’aucun ne soit marié, soit de travail, ils sont diplômés sans emploi fixe… Nous n’avons pratiquement plus d’intimité avec mon mari depuis 8 ans…J’ai une amie fidèle depuis 30 ans, Mylène, avec qui je partage mes samedis, entre courses, shopping, qui est un peu dans le même cas que moi…Nous avons tout échangé, de nos flirts, de nos mariages, puis de nos angoisses de mère, nos problèmes de couple et l’éducation des enfants, surtout ados…Elle sait qu’après mon mariage, j’eus mon premier enfant après mes 30 ans, la seconde 4 ans plus tard…Et depuis je traîne ma vie de mère et d’épouse, avec de gros coups de spleen, de doutes, voire pire… Comme cet anniversaire…a. L’anniversaire de WillyNous avions décidé de fêter les 16 ans de Willy, nos amis étaient là avec notre famille proche – une sœur pour moi, Claudie mariée à Gilbert et un frère pour Paul, Thomas marié à Agnès – Deux enfants chacun…Cette soirée était magique, nous avions fait les choses en grand, nos parents étaient logés tant bien que mal dans notre chez nous, nous avions poussé les meubles, les murs, ajouté des lits pliants ou gonflables, les enfants étaient répartis entre le salon et le bureau, les parents dans les chambres de nos enfants… Mes 2 ados avaient 12 et 16 ans, Marie, Freddie, Charles et Laurent avaient entre 8 et 13 ans…Nous avions fait en sorte de séparer les sexes pour pallier au manque d’intimité pour les deux nuits… Quant à nos amis ils habitaient la région et ne restaient qu’une soirée…Nous avions l’habitude de nous inviter, aux anniversaires, ou parfois rien que pour la fête entre amis. Nos parents proches connaissaient nos amis à quelques têtes près…Il nous arrivait souvent de passer des soirées chez nous en plus petit comité, avec l’un ou l’autre, profiter de la piscine, chez nous ou chez eux, seul le couple Thomas / Agnès restait en dehors.A part quelques entrées froides et un buffet, le traiteur avait tout livré en temps et heure, il ne restait qu’à réchauffer et servir…Un superbe gâteau d’anniversaire terminait le repas. Nous avions prévus le jardin, il faisait beau et assez chaud en cette soirée de Mai, et j’avais couvert la piscine toute la journée, elle affichait 23 degrés…Mes amies se composaient de Mylène qui était venue m’aider dès le matin sans son époux, avant que la famille n’arrive. J’avais invité Paule qui était passée aussi le matin, avec son mari Jean ; Alicia et Dominique des collègues avec lesquels je marchais le samedi matin.Paul avait tenu à avoir Frédéric et Sonia, 2 anciens collègues, qui s’étaient remariés ensemble, après avoir refait leur vie et étaient restés très proches de nous, s’étant connus ici après notre mariage…Plus 3 célibataires : Lou et Camille, 2 jeunes femmes qui travaillaient dans mon service et qui vivaient en couple, et Antoine, un ami de mon mari.b. La soiréeLa soirée avait débuté avec un apéritif servi près de la piscine. Détendus, un fond de musique, les jeunes se baignaient, nous discutions, nous remémorant de vieilles histoires, racontant des blagues, refaisant le monde pour certains…Le repas chauffait dans les fours, les bouteilles refroidissaient, je n’avais rien de plus à faire qu’à surveiller mes invités, les servir et passer les plats au fur et à mesure…- Tous au bain ! Allez, les vieux !Les enfants n’ont plus de respect… Je m’insurgeais sur ce fait en faisant la morale aux miens, aidée par ma sœur… Les hommes riaient en plongeant pour nous narguer…J’avais acheté un maillot deux pièces, très échancré de tous côtés et un peu minimaliste, dessinant mes fesses et mes seins…Nous étions entre amis, je ne m’en étais pas préoccupée…- Tu as mis ta tenue de scène Sam ?- Tu crois que c’est trop court ?- Mais non, tu es magnifique, profites-en…- Ah, tu es en chaleur ma poule ?- Joli, on en mangerait…- Tu t’es trompée de taille ma chérie, le 10 ans est trop juste…- Tu as l’intention de fêter ta résurrection ?- Tu veux séduire qui dans le tas ?- Celles qui parlent dans mon dos parlent à mes fesses…Je n’étais pas inquiète sachant que ça ne pouvait venir que de la belle-sœur de Paul, Agnès, une femme mal servie par la nature, acariâtre et sans enfants…J’invitais mes amies à me rejoindre et envahir la piscine pour le droit des femmes et leur libération sexuelle…En chantant, en criant, nous nous miment à scander « Bon anniversaire Willy ! » en dévoilant nos poitrines… Sauf une…Les hommes n’en crurent pas leurs yeux, nous étions effondrées de rire, l’apéritif avait sans doute fait effet sur plusieurs d’entre nous…Au sortir du bain, je croisais le regard de mon fils qui me regardait d’un drôle d’air…Nous servîmes le repas, les commentaires allaient bon train, Paul vint me rejoindre dans la cuisine…- C’est de toi, l’idée ?- Collégiale, pourquoi ?- J’ai aimé, mais je suis le seul de ma famille à part mon frère qui te bade depuis vingt ans…- Oh, c’était un clin d’œil à notre jeunesse… On en profite pendant que nous sommes consommables…- Les enfants te regardaient bizarrement…- Pourtant, je prends souvent des bains de soleil, torse nu… Mais ils ont les yeux rivés sur leur téléphone…- Je sais, cela ne me dérange pas, mais en société, ça surprend…- Vous êtes vieux jeu… Et puis depuis que tu ne me touches plus, j’ai des pulsions…- Oh… Profite… Tu vas vers la cinquantaine à grands pas…- Je plais encore ! La preuve, il y a des jalouses… Et je ne t’ai pas vu fermer les yeux sur les seins de mes copines…Il a rebroussé chemin, prétendant un problème de cave…c. La ruptureNous dansions un peu plus tard, nous éclatant sur les airs des années 70 et 80, espérant perdre déjà ce que nous avions ingurgité durant le repas….Paul organisa une partie de boules derrière la maison, avec son frère, Antoine son copain, sa sœur et un de nos amis. Les enfants étaient dans leurs chambres, sauf les 2 ados, avec leurs smartphones, tablettes, et consoles… Ma petite dormait à poings fermés… Ma soirée commençait…Je me délassais allongée sur un transat entourée de mes amies…- C’était merveilleux Sam, tu nous as gâtés…- C’était fait exprès ma Mylène adorée…- Comment tu vas Sam ?- Mieux maintenant Claudie… Pour le reste, je ne sais pas… Je vis ma pauvre vie, il part le matin, on se croise, on dort ensemble…- Il te trompe ?- Je ne sais pas, je ne veux pas savoir. S’il le fait, je le ferai aussi. Et toi ?- Pareil, tu vois il est gentil, attentionné, mais je ne le sens plus comme avant. Il ne me touche que rarement, vite fait, pour l’hygiène… Comme Mylène… Elle va divorcer ?- Non, qui t’a dit ça ?… On va servir le gâteau et les cadeaux…Je dresse une table, les invités y déposent leurs cadeaux et surtout des enveloppes, il préférait que de se retrouver avec des doublons…On rassemble tout le monde, on allume les bougies, Willy est radieux, souffle très fort et balaie toutes les flammes… Bravo, puis on distribue des parts à chacun, le champagne coule, nous chantons…Les danses reprennent, je danse avec tout le monde, hommes, femmes, dont je reçois les remerciements…Pour les slows, j’invite mon petit, mon Willy en premier, seul ado sur la piste… Il est heureux, il a eu une somme lui permettant de changer sa console, et peut penser à sa future moto ou scooter… Il me dit que les autres sont dans leurs chambres, ils dorment pour la plupart.Lou et Camille, mes deux copines de travail l’entraînent pour le battre sur un nouveau jeu…Le frère de Paul, Thomas, me sourit et me prend dans ses bras…Il me remercie, ils se sont régalés, bon et bien arrosé…Nous dansons un moment, au slow suivant, dissimulés par un bosquet, il m’attire contre lui, essaie de m’embrasser, mais j’esquive avec tact, je pense que l’apéritif lui a fait de l’effet…- Tom !…- Ma femme est folle, vieille dans sa tête, je suis malheureux… Toi, tu es si belle, mon frère ne sait pas le trésor qu’il possède…- Oh ! Ton frère ne me possède plus souvent… Il me délaisse…- Je sais… Je vois, j’ai des yeux…- Viens cette nuit dans le garage, vers une heure…- Je…- Chut… Je dois te mettre au courant… J’ai entendu ma femme, la garce…Je reste pantoise… Lui… Bof…Sitôt dans l’allée :- Eh bien, tu ne t’en fais pas, nous on a soif et toi tu flirtes dans les fourrés…Je descends à la cave sans éclairer les escaliers, comme à mon habitude.J’entends des voix, des gémissements…Paul est en train de trousser celle dont on vient de parler…Les seins à l’air, renversée sur le bureau, cuisses écartées, il la prend avec hargne, ils ne m’ont pas vue, n’ayant pas encore franchi le seuil pour éclairer, j’ai le doigt sur l’interrupteur…La salope ahane chaque coup de queue, accrochée à son cou… Elle se rejette en arrière en s’offrant…- Oh, oui… Prends-moi…Je vais lui en foutre du prends-moi à cette pute rafistolée…- Oh ! Oui !… Encore !… Viens !… Baise-moi comme une chienne…Je vais lui foutre ma main sur la figure, ça va calmer sa libido… Tiens, au fait, je ne savais pas qu’elle était si chaude la grognasse, comme quoi, on peut se tromper…- Oui !… Oh !… Plus vite !… Je viens !… Je veux jouir avec toi… Donne-moi ton foutre… Ton frère ne bande plus pour moi… Alors fais-moi jouir ! Oui !… Oui !… Oh ! Viens !… Oh, c’est bon !…Le bureau craque, grince, tape contre le mur…Il s’agrippe aux hanches de la pouffiasse, et la remplit de sperme, comme une pute…- Oh !… Que c’est bon !… Tu es si viril, j’ai joui comme jamais !… Oh, j’en ai plein la chatte… Passe-moi un mouchoir, ça coule sur la table… T’as pas baisé depuis 3 ans… Oh, que c’était bon Paul… Ça tient toujours pour ce soir, on remettra ça… Oh, quelle queue !… Approche-toi, je vais la sucer…J’en suis remuée, tremblante, le salaud me trompe chez moi ! Presque dans mon lit… Il va voir…Je remonte… Lentement…Je vais dans la salle de bains, dans ma chambre… L’eau fraîche me fait du bien…Ma culotte est trempée… J’ai joué les voyeuses… La voir jouir devant güvenilir canlı bahis siteleri moi m’a émoustillée…Je vais me venger et pas plus tard que cette nuit… Ah, il se fait ma belle-sœur !… Cette mochetée aride… Je n’aurai pas de scrupules à m’envoyer son frère au garage, ça restera dans la famille !Je remets mon deux-pièces ravageur, je descends les escaliers et plonge directement dans la piscine, pour me remettre les idées en place…L’eau est terriblement bonne, ils me regardent nager, je reviens vers le petit bain, prends la pose au milieu, jambes écartées, l’eau jusqu’aux cuisses…Ils prennent des photos, ils rient, je suis de nouveau seins nus, mon soutien-gorge n’a pas supporté le plongeon, ma culotte est tourneboulée, passée entre mes fesses comme un string qui sur le devant serait plus que légèrement enroulé, découvrant mes plus secrets trésors…Le retour sur terre est très dur… Je m’excuse… Ils sont comblés…- Tu peux recommencer Sam, je n’ai pas eu le temps de filmer…- Et si c’est elle qui avait raison, allez, on se fout tous à poil, dans la piscine et on éteint…- Ouais ! Dans le noir !… Chic, on va se régaler, à tâtons… Allez les mecs, à poil…- On chasse la femelle les mecs…- Venez mes bons, vous allez rendre l’âme, si on vous att****, vous êtes hors-jeu…- Attention, pas de triche, avec douceur et tendresse, tout est permis…- Sauf si on n’est pas consentante, alors on crie et vous venez tous au secours de la belle…- D’accord Gilbert, tout est permis sauf le viol…Je ne me démonte pas, j’enlève tout et replonge… J’entends d’autres « plouf », je ne vois plus rien, quelqu’un a éteint…Je sens des mains qui me frôlent, effleurent mes fesses…Il se plaque contre moi, dans mon dos, bloque mes bras, empaume mes seins, caresse les bouts, pince, tourne, malaxe… Il descend sur mon ventre, remonte sur ma poitrine, caresse encore et encore… Oh !… Je coule… Il me soulève par les hanches… Il est derrière moi, son sexe tape sur mes fesses, dur ; il semble à point… Je passe une main vers le membre… Je le serre, le coulisse, des lèvres frôlent mon cou, j’halète de désir…En quelques secondes, le sexe est énorme, je suis excitée, tremblante…J’attends le loup qui va me manger… Viens mon loup, je me suis tant caressée ces derniers temps, que j’ai des pensées érotiques, je ne crierai pas !…Il me soulève pour que je m’appuie sur la margelle, il écarte mes cuisses… Sa main caresse mon intimité béante et ruisselante, il trouve mon bouton qui double de volume, ses doigts tournent, m’excitent, découvrent mon puits d’amour, glissent…Je crie de surprise lorsqu’un doigt me pénètre, je n’en peux plus… Je m’offre à lui, remontant mon bassin vers lui, écartelée… Je jouis… Il me masturbe, je jouis… Son gland ouvre sa voie, effleure, me goûte, puis enfin, doucement, me possède en entier. Il me soulève, je m’empale sur le pieu, sentant ses attributs buter à la porte… J’aimerais savoir qui il est… C’est un phénomène… Je jouis sans relâche, toujours dans la pénombre, frôlés par d’autres corps qui nagent et se poursuivent autour de nous en riant aux éclats, il me prend jusqu’à l’extase, plongeant et replongeant en moi, pilonnant ma chatte délaissée depuis des mois…Il continue à masser mes seins, je pleure, je gémis, mes râles se perdant dans le clapotis…. Il glisse un doigt sur mon anus… Je jouis encore, il pousse sa phalange qui écarte ma chair, un orgasme me submerge, lui aussi…Il se déverse en moi, libérant son foutre dans mes entrailles en terminant par un râle…Je suis accoudée sur la margelle, face au massif d’arbustes, personne ne nous voit dans cet angle protégé du bassin… Il relâche sa contrainte, épuisé, vidé…Je me retourne lentement prête à lui ouvrir mes lèvres… Il aurait pu continuer encore un peu…Je crie…Un cri qui déchire la nuit, un cri qui me glace, un cri d’effroi, j’ai mal, je m’évanouis…2. Mylène mon amie…a. Le lendemainJe ne me souviens pas de la fin de la soirée, il me semble avoir dit au revoir à mes amis.Ce matin, j’avais la bouche pâteuse, je me sentais absente, comme étrangère en terre inconnue.Je restais au lit, je crois, la famille nous quitta peu à peu, Mylène revint me voir après avoir téléphoné plusieurs fois…- Alors ?- Je ne sais plus, je n’arrive pas à me souvenir…- Tu nous as fait peur ! On t’a trouvée au bord de la piscine, inconsciente… Paul est venu m’aider avec Gilbert pour te sortir de l’eau, tu étais nue puisqu’on jouait dans le noir à s’att****r… On t’a portée dans ta chambre, on t’a réchauffée, habillée pour la nuit, tu t’es endormie rapidement, nous sommes partis, j’étais inquiète pour toi… Paul m’a répondu ce matin, tu avais bien dormi, mais tu restais prostrée…- Les autres sont tous partis ?- Tes amis avec nous, après qu’on ait rangé et je pense que ta famille est repartie ce matin, te laissant reposer…- Les enfants ?- Hier soir les petits dormaient, je n’ai pas croisé ton fils, ta fille était toujours dans le bureau, elle ne m’a pas vue.- Donc, personne ne m’a vue hier soir dans l’eau ?- Pas que je sache… Il faisait quasiment noir, ce n’est que lorsqu’on a éclairé, à la fin du jeu, les femmes avaient gagné, que l’on t’a vue accoudée, prostrée. Tu avais pieds. Mais tu ne bougeais pas, accrochée à un skimmer… J’ai essayé de te parler une fois rentrée et séchée, tu semblais paisible, tu n’avais pas froid, j’avais envie de rester à ton côté, mais Paul m’en a dissuadé, vous étiez nombreux et allaient veiller sur toi…b. Le réveilJe revois… Paul avec la pouffiasse… Des bribes, la cave, j’ai chaud…- J’ai surpris Paul en train de sauter sa belle-sœur… Ça me revient…- Je me souviens que tu as traversé la terrasse avec ton maillot affriolant et que tu as plongé. En ressortant tu étais presque nue… C’est là que les hommes ont dit que tu avais raison, « Tous à poil, on se baigne dans le noir », les enfants étaient couchés, on pouvait s’amuser entre adultes…- Oui, sans doute, je me souviens, je les ai vus baiser, l’autre pute les cuisses ouvertes à crier et jouir, j’étais hors de moi… Je me suis dégrisée dans ma salle d’eau, j’ai remis mon nouveau maillot, et hop, l’eau m’a fait du bien, mais mon plongeon a quelque peu malmené ma tenue de bain, j’ai eu honte et rageais encore plus…Les images me reviennent… Salaud, sous notre toit, avec nos amis et nos enfants…- Je comprends maintenant, tu as du avoir un choc….- J’ai sauté à l’eau à poil, ils ont suivis…- Oui, j’y étais, je me suis régalée… On s’est éclatées avec nos amies, on riait, on courrait dans l’eau pour échapper aux hommes… On ne voyait rien du tout, j’ai senti des mains de partout, j’ai vibré, j’ai goûté, tâté, hommes, femmes… On m’embrassait, on me caressait… Je m’échappais… Je recommençais un peu plus loin avec un ou une autre…Peu à peu, en parlant, les images reviennent, des sons, des cris, le jeu… Un sexe…Un sexe qui vient me délivrer de ma chasteté forcée… Recluse depuis des mois, on me caresse, on est tendre, on me tient… Je vibre, je me donne, je m’offre… Il me baise, me fait crier de plaisir, j’ai un orgasme… Il éjacule… Je suis ivre, heureuse, j’ai joui, lui aussi, il m’a pilonnée, comme Paul avec la salope, j’ai ma revanche…Je n’ose pas le lui avouer… Des larmes coulent sur mes joues, je me mets à pleurer, à gémir…- J’ai joui aussi, j’ai baisé pour le punir, je me suis offerte à mon amant d’un soir, cachée dans le petit bain… Je n’avais pas fait l’amour depuis près d’un an… J’ai explosé… Il m’a tout donné, il m’a épuisée, c’était un feu d’artifice… Je ne l’ai pas vu, il est parti…- Non ? Mince… Il t’a caressée, tu t’es offerte au lieu de te refuser, juste un baiser…Il ne t’a pas forcée, tu l’as encouragé, il t’a prise et il est parti, mais c’était le but du jeu ma chérie… Refuser la caresse, juste un petit bisou, puis repartir en courant ou en nageant… Mais si tu t’es offerte, si tu l’as caressé aussi…- Oui, je crois…- Tu ne l’as pas reconnu, pas un indice, sa voix ?- Il m’a accoudée à la margelle en bloquant mes bras, il m’a pelotée, il m’a caressée… Oh ! Que c’était bon !… J’ai joui, joui… Son sexe cognait sur ma cuisse, je l’ai câliné dans ma main… Il me caressait de partout, j’ai explosé de désir, il m’a prise, j’ai joui, il a continué, m’a pilonnée… J’ai eu un orgasme… Je voulais l’embrasser, le revoir, lui dire…Je ne pouvais pas lui avouer, ça ne sortait pas, pas maintenant…- Tu as eu un orgasme ravageur… Je t’envie… Je ne sais plus ce que c’est…c. L’aveuÇa allait mieux après cette discussion… Je revenais à moi, mais ce secret allait me hanter… Des années…Non il faut que je l’avoue à mon amie et que je parle à mon fils.Elle resta une bonne partie de l’après-midi, j’eus plein de coups de fils, je les rassurais, je m’excusais, je ne supporte pas la boisson…Je m’étais assoupie… Paul était rentré… Mylène me dorlotait…- Tu vas un peu mieux, tu me veux cette nuit, tu veux me parler encore ?- J’aimerais parler à Paul, qu’il dégage… Je vais le faire maintenant, te sentir dans la chambre me rassurera.Je descends au salon, il regarde la télé…- Bon, t’es gonflé…- Pourquoi ?- Je t’ai vu sauter ta pouffiasse dans la cave, j’étais là quand elle a joui : « Prends-moi, baise-moi, je jouis ! »…Il devient cramoisi…- Tu as le culot de faire ça sous notre toit, avec nos enfants, nos amis…- Je… Elle m’a eue, elle m’a embobiné… Elle m’a rejoint en douce, je l’ai sentie se frotter contre moi, elle s’est découverte, s’est offerte, elle a fait glisser sa culotte elle a posé mes mains sur ses seins… Je n’ai pas pu résister, elle a baissé mon froc, elle a sorti mon sexe, l’a sucé et hop, elle a écarté les cuisses en s’asseyant sur la table, la foufoune à l’air, dégoulinante de désir… Elle était pétée… Elle m’a tiré vers elle, je suis entré comme dans du beurre, elle était chaude… Tu as vu la suite sans doute, mais je te jure que c’est la stricte vérité, elle m’a violée…- Tu te fous de moi, tu ne pouvais pas l’envoyer chier !…- Je… Non…- C’est la première fois que tu la montes ?- Oui…- Mais encore, la vérité…- On a flirté un soir il y a deux ou trois ans, un peu comme ce soir dans l’eau…- Flirté ?- Oui, quelques baisers, et deux trois caresses, chez eux, à la dérobée, dans la cuisine…- Je ne veux plus te voir ni te toucher, güvenilir illegal bahis siteleri tu me dégoûtes ! Va dormir dans le garage, cette nuit, Mylène me tiendra compagnie… Tu vois je vais mieux, mais je n’ai pas encore fini de retrouver la mémoire…- Si tu veux… Remets-toi… Je te demande pardon…Il a les yeux hagards, abasourdi il se tourne vers moi et me regarde monter les escaliers…- Tu prendras tes affaires demain, en attendant, ce soir, sers-toi de la douche de la piscine…Je monte en sautillant, je suis plus légère….- Dis-donc, qu’est-ce que tu lui as mis ! Bravo, tu as bien fait… Je vais prendre des cours pour virer le mien… Tiens au fait je lui téléphone que je reste avec toi.Je songe à cette soirée… Qu’est-ce que je fais ? Est-ce que je me confie à ma seule véritable amie ? J’éliminerai un peu de stress sans doute… Nous avons l’habitude d’être sérieuses et de parler ouvertement et sans tabou de nos soucis, de sexe, de fantasmes, enfin nous sommes amies…- Tu veux manger ? je vais nous préparer 2 bricoles si tu veux, reposes-toi, tu veux du vin ?- Non, oui, avec des restes dans une assiette, de la viande, du dessert et c’est tout.- OK, je fais vite, on se mettra au lit pour discuter… Tu as sans doute encore des choses à dire, il faut que tu te libères de tout ça…- Tu es adorable, une amie véritable…Elle ouvre la porte de la chambre…Je fais le numéro de Willy, sans réponse, il saura que c’est moi… Je laisse un message, je suis inquiète pour lui, je ne dirai rien, il me manque…Je ne sais pas si c’est la bonne méthode, je parle en tant que maman, je ne sais pas où il est, depuis hier soir…Un SMS me dit succinctement « Ne te fais pas de souci, je suis chez Lou et Camille depuis hier au soir. Je m’excuse, je ne dirai rien non plus, j’ai honte.»…En même temps je constate que 2 SMS étaient arrivés sur mon téléphone dans la nuit, Lou et Camille…- Allo ?- Lou ?- Oui, Willy est chez vous je viens de le joindre et n’avais pas vu vos messages… Tout va bien, j’aimerais qu’il revienne, au moins demain soir…- Ça va bien ?- Oui, je vous raconterai, Mylène est avec moi, j’ai jeté Paul hors de mon lit, il m’a trompée ouvertement ce soir, je pense que je n’ai pas supporté…- Ah, bon !… Oui, Willy était hagard hier soir, tu étais malade, il voulait partir… On l’a pris sous notre aile, il était choqué de t’avoir vue inanimée…- Bon, OK. Merci à toutes les deux…Mylène remonte avec deux assiettes et deux verres de vin…Nous dînons et je l’informe de mes coups de fil…- Ah, bien, je ne pensais pas à tes amies en couple… Il ne risque rien alors…- Je pense… Il a été choqué de me voir inanimée…Il est fragile, mais sa queue l’est moins…. Baiser sa mère !… Je bouts…Je n’en peux plus… On se met au lit rapidement après avoir tout rangé, elle est venue avec un survêtement qui la moule à ravir, je plaisante…- Dis Mylène…- Oui ?- Je n’en peux plus, je dois le dire, pardonne-moi… Je suis épuisée, j’ai trop de haine contre moi, trop de sentiments qui m’angoissent, je me sens sale, je me maudis, je ne sais que faire… Hier soir dans la piscine c’était Willy !- Mon dieu !Son visage se ferme, elle me fixe, les idées tournent dans sa tête, elle bredouille…- Tu… Tu l’avais reconnu alors ?- Oui, mais je n’ai pas feint mon évanouissement… Au moment fatidique, je me suis tournée vers lui pour embrasser mon amant si tendre, je venais de grimper aux rideaux, il avait joui en moi, il me relâchait… J’ai tourné la tête pour l’embrasser, voilà, j’ai crié… De honte, de peur, de surprise, tout ça mélangé, je n’ai pas supporté…- Il y a de quoi, ma chérie… Mais ce n’est pas de ton fait, il t’a violée en sorte, dans la nuit… Est-ce qu’il savait que c’était toi ? T’avait-il reconnue, l’a t’il fait exprès, ne t’as-t-il pas confondue avec une autre ?- C’est pour cela que je veux parler avec lui, savoir dans sa tête. Je me sens salie, mais c’est mon fils, ma chair, c’est un i****te… Heureusement nous n’avons pas échangé de caresses plus intimes, dans l’eau c’était difficile et puis, j’avais tellement envie d’un homme que je me suis abandonnée immédiatement, dès les premiers attouchements, sans me poser de questions… Et nous sommes allés directement au but, 2 à 3 minutes ont suffi pour me faire planer, ouvrir mes cuisses, m’abandonner, cherchant son sexe dans mon dos, le caressant, le dirigeant vers moi… J’ai adoré… Je me sens conne, trompée, le fait de Paul en plus qui m‘a poussée à me venger… L’occasion immédiate de solder les mois sans plaisir… Maintenant je me sens salie, sale, j’ai horreur de moi, je ne veux plus me regarder en face, je suis une dévoyée, dépravée, j’ai fait l’amour avec mon fils !d. Le pardonElle me calme, caresse mon visage en me disant des mots apaisants, de tendresse, d’amitié… Elle se colle contre moi, me serre dans ses bras, essuie les larmes qui se mettent à se déverser, je craque… Je suis à deux doigts de la crise de nerfs…- Ne le prends pas comme ça. Pleure… Tu as subi, tu as été trompée, ton corps a réagi, aidé par ton cerveau qui pensait encore à Paul… Tu as fonctionné comme une épouse bafouée, comme une femme battante, comme une amante délaissée, blessée… La première occasion de ressentir de l’émoi, la possibilité d’une vengeance, tu n’as vu que ça, quelqu’un s’intéresse à toi, on te désire, tu lui plais, tu partages, tu te donnes, tu jouis… Le mécanisme est très simple, tu n’as fait qu’être toi, une femme sensible, belle, une libido réfrénée…Tu t’es libérée avec le premier venu, c’était magique, ton désir à tout emporté, ton plaisir, ton corps, de tout ton être tu t’es donnée, pour combler ces temps de pénurie…Elle est penchée sur moi, embrasse mes joues, lèche mes larmes, me serre dans ses bras.- Tu es belle, Sam, tu es femme, tu es sensuelle, attractive, depuis des années que je te connais j’ai envie de me fondre dans tes bras, dans ton corps… De ressentir du plaisir avec toi, d’essayer…Je reste sans voix, immobile, pétrifiée… Sa main sur mes cheveux, ses lèvres qui embrassent mon visage, qui se rapprochent, qui se collent aux miennes… Un baiser long, éternel, baigné de tendresse et d’amitié, d’amour…Sincérité, passion, elle a été touchée par mon aventure, elle me pardonne, elle a fait fondre mes tourments, en les analysant, en les expliquant… Désirée, mais autrement…Je lui rends ce baiser, elle caresse ma poitrine qu’elle découvre largement, sa bouche sur mes seins, mon sexe me picore… Je suis lesbienne maintenant…Elle retire son survêtement, se met nue contre moi, elle retire aussi mes vêtements un à un… Je l’aime, je l’ai toujours aimée… Je la trouvais belle aussi, si désirable, si sensuelle… On parlait de sexe, on en parlait en amies… Elle ouvre mes cuisses et je frémis de plaisir, ses mains glissent sur ma peau, elle m’emporte dans un nouveau monde de caresses, de féminité, de sensualité que je vais découvrir avec elle…Sa langue fouille mon intimité, je griffe les draps, mon plaisir monte, monte encore, je caresse ses seins, ronds, fermes, légèrement plus petits que les miens, elle vient sur moi, collant sa vulve à la mienne, déjà bien détrempée… Je sens mon plaisir arriver, je jouis d’elle, de moi… C’est doux, léger… Elle se glisse entre mes cuisses, j’obéis… C’est divin, je laisse filtrer quelques râles, je glisse ma main dans sa chatte, elle s’ouvre, m’enjambe… Ce 69 entre femmes restera dans ma mémoire, gravé à jamais, tout le plaisir que je ressens, le plaisir de la sentir vibrer sous ma langue, puis sous mes doigts, je n’avais jamais touché une autre femme… 40 ans, je me libère enfin… Elle roule sa langue autour de mon clitoris, un doigt déjà en moi, un doigt qui réveille toute ma sensualité, tous mes souvenirs, de mes premières masturbations, à ceux de Willy… Ceux-là sont magiques, elle me prend, je le lui rends… Nous roulons sur le lit, impudiques, emboîtées…- Oh, oui !… C’est magique !… Prends-moi comme un homme, fais-moi vibrer, fais-moi jouir, encore et encore…- J’aime tout de toi, tu me fais jouir aussi, continue, je t’aime…Je râle en ondulant mon bassin autour de ses doigts qui me possèdent, je les serre dans mon vagin, je profite encore plus de la vague qui me submerge… Je lèche sa vulve, son clito ressort, tendu, je le masse, elle jouit en me rendant ma caresse…- Tu es folle, tu me fais l’amour comme je n’en avais jamais rêvé, oui… Je jouis…- On est folles, on est amies, on est amantes… Oh, oui !… Viens !…Je m’envole encore, je me sens partir, mon ventre se vide… Elle retombe sur moi, dans mes bras, elle se tourne abandonnant notre position inversée… Elle m’embrasse tendrement, les lèvres trempées de nos sucs, on s’endort dans les bras l’une de l’autre…Je suis une autre, libérée de tout, je suis sur un autre nuage, je suis belle, jeune, fière… Je pense à mes deux amies lesbiennes, je les comprends maintenant…Mylène respire contre moi, nue… Qu’elle est belle ! Je tire le drap sur nous, et m’installe dans mon rêve étoilé…e. WillyQuelques heures plus tard, Paul est parti chez un de ses amis pour faire le point et me laisser reprendre mes esprits.Willy rentre, me sourit, me dit bonsoir, va dans sa chambre… Je l’appelle…- Oui, maman, j’arrive.Il est là devant moi, j’en suis toute tremblante. Rassurée de voir qu’il a repris sa vie de lycéen, et que sans doute, mes amies l’ont entouré, lui faisant oublier l’incident.- Il faut qu’on parle de l’autre soir…- Il n’y a rien à dire, j’ai pété un plomb, j’étais camé !…- Quoi ?- Oui, au cannabis… J’en prends de temps en temps, mais rassure toi, ni je conduits, ni je travaille. Et cela reste exceptionnel. J’ai besoin d’aide pour aller de l’avant, dans tout, mes études, ma vie avec vous, mes amis qui m’offrent des plans foireux, il faut que je sorte, que j’oublie…- Mais pourquoi moi, il y avait d’autres femmes…- Je ne sais pas… J’ai eu une sorte de pulsion en te touchant, j’ai senti ta peau, ta chaleur, je ne t’ai pas choisie, je me suis retrouvé contre toi, tu étais tournée et j’ai craqué…- Tu m’as tout fait, jusqu’au bout !… Mais, pardon, une première question, j’espère que tu seras sincère… Où en est tu du sexe ? As-tu eu des rapports, des aventures, des liaisons, avec des filles de ton âge ou plus âgées, comme moi, comme güvenilir bahis şirketleri mes amies ?- Ben, ouais, c’est normal, j’ai eu 16 ans, et depuis l’âge de 12 ans, j’ai fait ce qu’il fallait… Je sentais une envie dans mon sexe… Et puis on en parle, on regarde des vidéos, on flirte en broîte ou en voiture et puis un jour, on le fait pour la première fois en vrai… Moi c’était en vacances à l’hôtel où on était en Vendée…- Ah, oui…- Elle était belle, libre la journée, on l’a fait dans sa villa, ses parents étaient absents… J’ai adoré, elle aussi, on s’écrit encore…- Et tu n’as pas osé me demander quoi que ce soit, ni partager ?- Non, j’étais à l’école, on parlait assez de sexe avec les potes, avec les profs aussi, après les cours, on recevait les infos du médecin, ses mises en garde, le Sida, les capotes…- Et les autres ?- Oh, il n’y en a pas eu des centaines. Après Agnès, j’ai eu envie de femmes avec expérience… Un soir on est allés aux putes avec un collègue… Je n’ai pas trop aimé, trop vite, trop la honte, trop cher, trop mécanique…Elle nous avait fait un prix, pour deux, l’un après l’autre, on regardait…Puis quelques mois plus tard, ici, j’ai flashé sur Mylène. Elle était restée quelques jours pour nous garder… Elle se baignait souvent, se séchait partout, se baladait dans la maison en maillot, si elle ouvrait ses cuisses, on devinait sa chatte, quand son tee-shirt baillait lorsqu’elle se penchait, ses seins libres me faisaient bander… Lorsque ma sœur dormait, j’allais la surveiller… J’avais envie d’elle, je me masturbais quand elle était dans la salle de bains, je l’imaginais nue… Elle m’a surpris justement en sortant rapidement, m’a regardé dans les yeux et disant que c’est de mon âge, elle avait les lèvres humides, ses seins pointaient son tee-shirt, son regard ne se détachait pas de mon sexe… J’ai compris que j’avais ma chance, qu’elle me découvrait jeune homme.La nuit d’après, je suis allé dans sa chambre, elle dormait, je me suis glissé dans son lit… Elle était nue, je l’ai embrassée tendrement, j’ai caressé ses seins, son ventre, elle n’a pas dit non… Elle a guidé ma main dans sa chatte, m’a montré comment faire monter son plaisir, doucement, attendre, l’embrasser, la rassurer, la porter vers l’insoutenable, jusqu’à ce qu’elle s’ouvre à moi, se donne… Alors la pénétrer doucement, lentement… Longtemps, tendrement, la faire jouir, me retenir, changer de position, comprendre ou lui demander ce qu’elle aime, la caresser encore, les seins, toutes ses zones érogènes, la faire jouir, chercher son clitoris, attendre un orgasme, puis à la fin, éjaculer en elle, en la sentant vibrer de plaisir, crier parfois son orgasme ultime, libérateur de sa libido, devenir son amant… On n’en a jamais reparlé, même pas le matin, comme si ce n’était pas arrivé, comme samedi, comme dans un rêve, je ne prenais pas de drogue alors, mais ce fut pareil…- Eh bien, elle ne m’en a jamais rien dit… Tu as dû te régaler, elle est belle…- Oh, laisse là… Elle était peu fière de s’être tapé le fils de son amie… Elle pleurait lorsque je suis sorti de sa chambre…- Ensuite, il y en a eu d’autres que je connais ?- Ah, oui… Le week-end d’avant, j’étais allé chez tes amies les filles, tu t’en souviens sans doute, pour les aider à nettoyer la piscine, tailler quelques arbres… Finalement je suis resté souper, puis on a joué à la console, elles sont fortes… Je t’ai téléphoné que je restais chez elles le dimanche, je n’avais pas fini… Voilà… On a joué, puis elles se sont baignées, elles profitaient de l’eau propre et fraîche. Quand je suis sorti du salon, il faisait noir, je me suis approché lentement car je n’entendais plus rien, elles s’embrassaient, nues, elles se caressaient… Je n’en pouvais plus, je suis rentré… Puis je suis ressorti, elles avaient fini, elles m’ont invité… On a joué au ballon, elles étaient nues… Elles me regardaient… Elles m’ont demandé ce que j’avais, je leur ai dit qu’elles étaient belles et que je les avais vues se caresser… Elles m’ont demandé si ça m’avait plu ? Bien sûr, je suis un homme… Elles m’ont posé des questions, on a fait un deal…J’ai accepté. On a mangé, puis on s’est baignés ensemble. Elles m’ont initié… Je me suis mis à bander comme un âne en les regardant, on est sortis de l’eau, elles m’ont sucé à tour de rôle, Camille surtout, Lou la masturbait, elle gémissait de plaisir, elle voulait que je la prenne, elle s’est écartelée, je l’ai prise, tandis que Lou se faisait sucer la chatte au-dessus de sa tête, en criant, en jouissant…- J’étais déchaîné, elles aussi… On a pris des substances, on a fumé… Lou s’est assise sur moi, écartelée, ouverte, elle a enfoncé mon membre dans sa chatte, c’était dément, j’ai adoré, elle menait le bal disait-elle, ondulant son bassin, puis serrant mon membre avec son vagin… J’ai joui presque tout de suite tellement c’était bon…- On a continué une partie de la nuit, dehors, dedans sur le canapé, par terre… On a fumé. Au matin, j’étais devenu un homme, leur amant, je les avais faites jouir toutes les deux…- Alors ça t’a donné envie de moi ?- Non, pas du tout… Je n’ai jamais pensé à ça avec toi… Lou et Camille, oui… On était seuls tous les trois à un moment dans le bureau avec la console… Elles se touchaient devant moi… Alors moi aussi… J’ai envoyé du sperme sur le clavier… On était pliés…- Bon, que tu te tapes mes copines, je m’en fiche, quoique je préférerais pour ton équilibre que tu sois plus attiré par les jeunes filles de ton âge… Pour Mylène c’était une occasion, dont elle a profité dans l’intimité…C’est de ton âge, d’essayer. Pour les deux gouines, tu étais chez elles hier et aujourd’hui…- On, n’a presque rien fait… Elles m’aiment bien, elles peuvent se payer un homme sans avoir peur… Ce n’est que du sexe, je suis resté seul avec Camille l’après-midi… Elle m’a montré des trucs de femme, elles ont des jouets intimes, j’en avais jamais vu. Elle m’a fait une démo… Camille joue l’homme, elle a été mariée, elle m’a montré la sodomie… Je l’ai défoncée… Elle beuglait dans toute la villa que j’avais une bite d’enfer… Elles se sont engueulées quand Lou est arrivée, elle l’avait entendue… Je suis parti, Lou pleurait, comme si elle était trompée…- Bon, et puis je m’en fiche… Si tu veux les sauter, vas-y tu as ma bénédiction et c’est de ton âge. C’est du sexe gratuit et propre…Mais dès qu’il y a quoi que ce soit, tu m’en parles, ta mère c’est moi, je suis aussi ta confidente, je suis ouverte, tu es mon enfant, même si tu as grandi, je peux t’aider, vraiment, sans contrepartie et je n’ai pas besoin de stupéfiants pour te montrer le bon chemin…- Toi alors…- Bien, on a fait le tour. Tu vois, j’ai compris. Je t’excuse, mais si je te reprends avec un joint, je te fous dehors, c’est bien clair ? Et si je trouve du sperme séché sur mes culottes, ou quoi que ce soit du genre, si je te surprends la bite à l’air, je te la coupe…- Oui, d’accord, si tu m’aides, je serai cool…- Il y a maintenant autre chose, une raison à mon abandon de l’autre soir où j’ai craqué, sauté dans la piscine à poil…- C’était marrant…- Oui, jusqu’à un certain point… Juste avant, j’avais trouvé ton cher papa, en train de sauter sa pouffiasse de belle-sœur, ta chère tante Agnès, dans la cave… Elle ne prenait pas des leçons, c’est elle qui menait le bal, elle est vieille et décharnée, mais la vache mouille comme une salope quand elle a bu…Inutile de te dire que ça a bardé avec ton père et je ne veux plus le croiser pendant quelques temps, plus qu’il me touche, tu me comprendras, il est sali, souillé.- Oh !… Ici !… Chez nous… Tu as raison…- Voilà une réaction intelligente… Oui ! Ici… Un coup de poignard dans notre contrat, déjà qu’il ne me faisait plus rien depuis plusieurs mois, et que je pensais être cocue…- Ah… Mylène m’a demandé si vous, enfin si vous vous entendiez bien encore…- Ah !… Elle s’en fait pour moi… Je te dirai un truc après… J’aimerais savoir comment ta sœur a traversé sa puberté, elle ne m’en a pas parlé, elle va attaquer l’adolescence et toutes les questions existentielles chez une jeune fille, donc un peu de surveillance de ta sœur qui n’a que 12 ans ne serait pas superflue…- Oh, elle est en avance pour ça… Elle m’a demandé à moi…- Ah ?- Euh…- Mais encore ?- Elle a voulu que je lui montre un soir…- Quoi ?- Mon sexe… Elle voulait en voir un de près…- Et alors ?- Je le lui ai montré, elle touché avec sa main, elle a eu peur quand elle a vu que ça doublait de volume… On a ri… Elle voulait connaître les noms, mettre les mots. Je lui ai tout dit, tout montré sans qu’elle ne… Enfin qu’elle…- Oui, j’ai compris. Et alors ?- Bien, maintenant elle sait ce que veut dire : masturber pour un homme, elle savait pour la femme, comme clitoris et même point G, vive internet… Pipe, fellation, jouir, enculer, sodomiser… Couilles, testicules, boules… Sexe, bite, chibre, pieu, membre, vit, engin, pénis… Orgasme, éjaculer, vagin… Elle connaissait, même utérus… Jouir, s’éclater, prendre son pied, s’envoyer en l’air… Elle aimerait comprendre et tester avec une femme, j’en ai parlé à Camille et Lou…- Quoi ?- Mais non, je plaisante… En tous cas Océane est au courant de tout depuis qu’elle a eu ses règles, je crois même qu’elle est allée un peu plus loin en flirtant avec ses copains plus âgés qu’elle…- Bon, je suis tranquille alors, je lui parlerai un jour pour faire le point…- Maman ?- Oui ?- Je t’aime… Mais d’amour filial, et même plus. Tu es si belle, ouverte, sincère dans tout ce que tu fais, tu nous gâtes, tu nous enchantes, tu es une mère adorable… Alors, pardonne-moi… Je suis un ado foufou… Je cherchais des réponses, sans avoir encore les questions… Fais ce que tu veux de ta vie, on te suivra, fous-le dehors, baise avec qui tu veux, tu en as besoin… J’ai senti combien tu souffrais de manque d’amour…- Je… En fait, tout ce qui m’est arrivé en deux jours… Je suis sortie avec Mylène, j’avais besoin de réconfort,de pleurer sur une épaule… Elle m’a sauvée de moi, tu étais parti, ton père, heureusement Océane ça va…- Tu es sortie ?- Oui, on est devenues amantes… Je découvre, je suis heureuse car avec elle je ne risque pas de me cabosser… Ça durera peut-être, peut-être que non, je rencontrerai un homme, un vrai, un amant… Je referai ma vie, je suis encore jeune, ça veut dire divorce, et tout et tout, mais n’ai pas peur, tout ça j’assume et je vois que tu comprends, que c’est pour mon bien, pour vous aussi, je veux que vous soyez dans le bon chemin, je veux que vous soyez des gens bien……Fin de la première partie….

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Tapón del Darién – 8

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Babes

Tapón del Darién – 8Ici, on doit remercier quand on s’est fait fouetter!L’homme donne son fouet à Hildegarde.Oh, que oui, je vais remercier!C’est elle la patronne ici et elle a un fouet en main. Des hommes et des femmes et même des chiens qui lui obéissent.Alors, j’ambrasse sa grosse vulve poilue et mouillée. Elle est très excitée, fouetter une fille sans défense c’est son truc!On est loin de la mer, mais elle sent bien la marée pas fraîche! Malgré qu’elle soit entourée de femmes toutes prêtes à lécher la patronne…Pas besoin d’une grande technique, au point elle est. Je fais un peu frétiller ma langue sur son clito, puis je le suce doucement… J’enfonce deux doigts dans son vagin, un gémissement m’encourage. Bon, j’en enfonce trois, puis quatre… Pas besoin d’enfonce ma main complètement, ni l’autre, ni mes pieds… car elle jouit en collant mon visage contre sa chatte.Au secours, je vais étouffer et me noyer!Non, elle me repousse! Elle a jouit, point. Elle dit, “Debout!”, tout en envoyant un coup de fouet sur mes fesses meurtries. “Va rejoindre les autres!””Aaaiee! Oui, Maîtresse!” Même pas la reconnaissance de la chatte!Elle fait signe à un gars que j’arrive.Mon royaume (c’est une façon de parler) pour une lingette, pour m’essuyer le visage! Ils sont assez loin, mais j’entends un garde donner un ordre et un grand chien coure vers moi! 50 ou 60 kg de muscles avec des mâchoires bourrées de dents, quand ça vous fonce dessus, ça fait de l’effet!Qu’est ce qu’il veut ce monstre??Il vient se mettre derrière moi et il aboie. Je comprends bien le message, “grouille-toi ou j’te mord le cul”.Ok je cours… J’ai mal dans tous le bas du corps du haut des fesses aux mollets!Il court derrière moi mais n’aboie pas. J’arrive chez le garde, haletante.Il me montre une grossière paire de sandale, que je mets aussitôt.Un peu plus loin, une série de femmes en rang retourne la terre d’un champ. Ce qui est surprenant c’est que ce sont toutes fines et belles! Elles ne ressemblent en rien à des ouvrières agricoles!Il y a des gardes qui les surveillent et ils sont bien sur armés des mêmes fouets qui pincent cruellement mais ne blessent pas.Derrière, ce champ il y en a du coton arrivé à maturité. C’est beau!Le garde me confie à une femme.Elle me demande mon nom, ensuite elle me donne un panier et appelle une des filles qui travaille. Celle-ci arrive aussitôt.Ce illegal bahis n’est pas une négresse (comme on dit, ici), mais un mannequin blond! C’est surprenant!”Une nouvelle. Montre-lui comment faire.””Oui, Madame.”Je vais avec la fille dans sa rangée. Elle m’explique, “Tu prends délicatement la touffe de coton et tu la mets dans ce panier. Tu ne mets ni feuilles, ni branchettes, ni insectes, bien sûr.”Je lui murmure, “Ce n’est pas trop dur ici?””C’est dur, mais il y a de loin pire. Travaille parce que sinon tu vas te prendre des coups de fouet!Elle ajoute, “Fais le au rythme des autres pas plus vite parce qu’on travaille de l’aube au crépuscule, ici.”Charmant!!J’ai un moment de répit, quand la chef me donne des vêtements de travail comme en portent toutes les files. Il n’y pas de tailles, ils vont à tout le monde.Il s’agit d’un morceau du tissu qui sert à faire les ballots de coton. On fait un trou au milieu pour passer la tête et voilà un beau vêtement seyant. Facile à retrousser, si on veut fouetter ou baiser une fille!Les deux premières journées sont éreintantes! On met le coton dans de grands paniers. Quand il est plein on va le déverser sur une grande table où des filles le compresse puis en font des ballots!On mage et on boit. Le matin, le midi et le soir.Tant qu’il fait clair on travaille, et non, il n’y a pas de syndicat pour aller se plaindre de ces horaires.La nuit on est enfermées dans une longue cabane rudimentaire. On a des matelas improbables remplis de déchets de cotons qui ont été écartés. On dort bien, malgré les courbatures…On parle un peu entre nous, j’apprends que les filles défilent ici. Elles sont punies pour différentes raisons : prostituées (de luxe) pas assez obéissante, employée qui ont fait une bêtise, épouse insolente… et mêmes quelques étudiantes 18+qui ont ratés leurs examens et que leurs parents envolent ici!Le travail est de 7 h du matin à 7 h du soir, soit 12 h, avec quelques petites pauses. Après ça, plus aucune prostituée ne lèvera son nez sur la bite malpropre d’un client, aucune épouse ne traitera son mari de poivrot, aucune employée n’oubliera de ranger son bureau et aucune étudiante ne ratera un examen!Et moi?? Qu’est ce qu’elle attend cette garce de Caitlin? Même à son service, je serai mieux qu’ici, au soleil à respirer des filaments de coton et à prendre un coup de fouet quand, illegal bahis siteleri soi disant, je lambine!Les gens qui ont envoyés les filles, ici, peuvent venir deux fois par semaine se distraire et s’exciter en voyant la façon dont on est traitées.Parents, patrons, souteneurs, époux… C’est à ce moment là qu’on se prend le plus de coups de fouet sur les mollets, les cuisses et les fesses.Le troisième jour je vois arriver une voiture… pas une 4X4, mais une élégante calèche tirée par deux chevaux blancs. On s’arrête un moment de travailler pour regarder, mais la chef gueule, “Travaillez!”Du coin de l’oeil, je vois qu’il y a un cocher et derrière une femme habillée à la mode du 19ème siècle, longue robe, chapeau… Et je les connais! Le cocher, c’est le régisseur du domaine et la jeune femme, c’est Catlin! Elle est très élégante, surtout par rapport à nous qui n’avons qu’un morceau de tissus avec un grand trou pour la tête et pleins de petits trous, car on emploie du tissus abîmé!Elle descend de la voiture, aidée par le régisseur.La maîtresse du domaine vient inspecter ses ouvrières, ou plutôt, ses esclaves. Elle discute avec la chef. Celle-ci crie, “Susie, aux pieds!”Catlin vient sans doute me rechercher.Je me dépêche d’aller les rejoindre.Je dis poliment, “Bonjour Mademoiselle, je suis contente de…”.Mais, elle me coupe et dit au régisseur, “Je veux une servante qui rampe!J’ai l’impression qu’on les dorlote, ici!”Ça c’est trop fort! Je lui dis, “Mais, non, on travaille sans arrêt de…”Elle me coupe, “Et elle parle sans autorisation! Bientôt elle va me donner une claque dans le dos! Je suis très mécontente, monsieur le régisseur.”Deux personnes sont bien emmerdées, moi d’avoir parlé et lui d’être accusé de “dorloter” les filles!”Je vais m’en occuper, Madame. Il y a un champ qu’il faut retourner, on n’y met que les filles qui n’obéissent pas. Là les elles en bavent, je vous assure.””Bien… Je reviendrai dans quelques jours et si elle est encore aussi… insoumise, mon futur mari prendra des mesures!”Alors, ça!! D’abord, moi, insoumise, elle est folle! Ensuite, elle va se marier? J’espère qu’il va lui en faire baver!!!La future mariée remonte dans sa calèche… et s’en va droit en enfer, si les voeux se réalisent!! C’est ce que je souhaite à cette sorcière!!La chef, me montre un champ assez loi et me dit, “Va la bas.”D’accord… canlı bahis siteleri Mais, je vais en profiter pour m’enfuir.Ou pas, car elle dit au chien, “Va avec elle!” Et il comprend. Il m’accompagne dans mon nouveau bagne.***Dans le champ il une série de jeunes femmes qui retournent la terre avec des bêches. Pour les surveiller il y a un homme assis d’ans un énorme fauteuil… Une “bergère” avec des accoudoirs. Tout a fait inattendu de voir cet énorme fauteuil, ici!L’homme est assez gros lui aussi, et très, très laid! Il est chauve sur le dessus de la tête, mais il plaque de longues mèches sur le dessus de son crâne. Ses yeux son gros et exorbités, sa bouche ressemble à deux grosses saucisses de francfort toutes luisantes de sauce. Il ressemble à un vilain crapaud. On s’attend à voir une longue langue sortir de sa bouche pour aller gober un insecte! Il a une chemise ouverte sur un ventre poilu. Bravo, on ne pouvait trouver mieux que lui pour s’occuper d’une section dure!Qu’il ne soit pas beau, ce (‘est pas un problème, mais il a l’air très négligé aussi. Vous me direz un crapaud, ça ne se lave pas. Assurément…N’écoutant que… ma peur, je me mets à genoux devant lui et lui dit, “On m’a envoyé ici Maître.”Le titre lui plait. Il me dit, “Ma femme?”Greta est sa femme?? Ben, s’ils s’accouplent faudra pas me garder un petit!!”Oui, Maître.””Pourquoi, elle envoie ici?””C’est… euh… Mademoiselle Caitlin qui veut me prendre comme… esclave de maison et qui….””Caitlin, c’est la nouvelle pute du patron?”Je bredouille… “… euh… oui Maître. Et on a été vendues ensemble et…””Je vois… enlève ce truc.”J’enlève mon unique vêtement.Quand je suis nue il dit, “Debout et viens plus près.”Je vais entre ses jambes. Il m’examine… pince le bout de mes seins, puis il caresse mes fesses en disant, “Joli cul… “”Merci, Maître.””C’est pas pour ça qu’on ne te fouettera pas.””Oui Maître.”Il ajoute, ce que tous les hommes qui ont un peu de pouvoir disent à leurs subordonnés, “Embrasse mes couilles!”Enfin, en général, ils disent, “Suce moi la bite mais ça revient au même!””Oui Maître”Est ce que je vais obéir? Oh oui, je veux devenir sa favorite! La maîtresse de crapaud. N’importe quoi sauf le fouet! Les bites sales, j’ai déjà donné avec les guérilleros, de plus lui doit se faire sucer souvent, ça le lave en quelques sorte.Je m’agenouille entre ses cuisses.Sa braguette est ouverte, je dégage avec précaution, 10 kg de couilles malodorantes! Je les embrasse avec… passion…Il murmure, “Et, elle ne la trouve pas assez soumise? On se demande, ce qu’il lui faut?”A suivre.

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Evelyne 2 (Première fois)

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Amateur

Evelyne 2 (Première fois)Je passais l’année à trimer pour avoir mes examens, ce que je réussis, il me restait alors juste un an pour terminer mes études et commencer une carrière sportive en équipe de France si possible…Je n’eus aucune relation cette année-là, j’avais arrêté la pilule et me contentais de mes livres, de ciné, de sorties au grand air, de marche, parfois avec un copain, mais je n’ai pas franchi le pas…. Juste quelques baisers…J’eus plusieurs occasions pourtant, mais je revoyais Max, sa douceur, sa voix, me disait de l’attendre…Il me contacta sur Facebook, il avait retrouvé mon mail… On échangea quelques mots, boulot, musique, derniers livres, voyages que l’on aimerait…Puis le trimestre fila, à Noël, il me souhaita de bonnes fêtes et une Bonne année, il partait au ski avec des cousins…Je me doutais que j’étais en train de le perdre et j’eus quelques larmes en revivant notre étreinte…Ma sœur, fréquentait un jeune homme depuis 3 mois, un record… Elle le présenta à mes parents, j’assistais à la scène avec un pincement au cœur…. Il était pas mal, grand, l’air gentil, ouvert, parlait bien, se prénommait Marc, et habitait à deux pas de chez nous… Il avait 2 ans de plus, soit mon âge, avait le permis et conduisait la voiture de sa mère… Il allait à l’université de droit, en deuxième année. Il dîna avec nous, mes parents étaient ravis… Nous sortîmes tous les trois au cinéma, ils n’arrêtèrent pas de s’embrasser, de se toucher, j’avais du mal à me concentrer… J’entendis ma sœur soupirer de plaisir, j’aperçus une main insidieusement passée sous sa jupe…- On va dans la voiture, tu nous rejoindras ? Prends ton temps…Ils disparurent dans la pénombre… Je reçus un message de Max…- Panne de voiture, on revient des Alpes, je pense passer vers chez toi demain, tu es là ?- Oui, suis en vacances deux jours, tu peux t’arrêter ? Tu coucheras à la maison, on a une chambre d’amis…- Alors d’accord, mes cousins me largueront Dimanche soir en passant et je prendrai le train pour remonter Mercredi sur Lyon… Ça nous fait 2 jours… Tes parents seront d’accord ?- Je suis majeure, j’ai presque vingt ans… Je suis certaine qu’ils seront d’accord…Je sortis du ciné avant la fin de la séance et me dirigeais vers la voiture que j’eu du mal à retrouver dans ce vaste parking… Ils l’avaient déplacée et elle était à l’écart… je compris pourquoi en m’approchant… Ma sœur les seins à l’air, les cuisses écartées, se faisait ramoner par la verge énorme de son copain… Elle jouissait, poussant des râles de plaisir à chaque fois qu’il s’enfonçait en elle…Je ne sus que faire… Ils ne me voyaient pas… L’ambiance était torride et j’eus chaud de partout…Le visage d’Aline était merveilleux, elle était belle, elle fermait les yeux, laissant le garçon mener la danse…Retors, coquin, il la prenait lentement, savourant ces instants comme un vieil amant, retenant son plaisir…Je voyais les lèvres d’Aline murmurer…. Je compris qu’elle lui parlait, lui décrivait sa jouissance, le guidait…Je sentis mon ventre grogner, mon sexe et mes seins subirent un gonflement irrémédiable… J’eus envie de me caresser, ce que je ne faisais que très rarement…J’appuyais sur mon pubis, mais ce ne fut que temporaire et je sentis couler ma chatte… Ma main glissa dans ma culotte… Je me caressais en les regardant comme une ado boutonneuse, incapable de résister à l’appel du loup… Mais qu’est-ce que c’était bon… Mes doigts glissèrent, palpèrent, titillèrent mon bourgeon… je sentis monter mon plaisir…Elle jouissait maintenant, écartelée, montant son bassin vers lui, elle pleurait de plaisir…Je me donnais le coup de grâce, et osais un doigt, le monde bascula, je me doigtais comme une pro, mon plaisir arriva brusquement, j’avais le doigt entier en moi, qui tournait, qui poussait, qui appuyait sur mon utérus, comme un sexe bandé… L’orgasme me submergea, j’eus le temps de voir ma sœur exploser, puis le garçon arriver à ses fins à grands « Han » de bûcheron…Ils tombèrent dans les bras l’un de l’autre pour un baiser délicieux de tendresse…Je ne m’étais jamais caressée avec autant de passion, et surtout si profondément… Je remis tout en ordre en vitesse…- Ah, tu es là ?- Oui, j’arrive… Je vous ai cherché un moment…- Oui, on voulait un peu d’intimité, tu comprends…- Je vois oui… C’était bon ?- Tu ne peux pas savoir, Lyne, Marc est un bon amant tu sais…- Tu prends la pilule ?- Bien sûr, depuis un an…- Ça fait un an que vous…- Oui… Tu vois, je suis fidèle… Enfin depuis trois mois…- Moi aussi je suis fidèle, Lyne, Aline est super au lit…- Ah, au fait mon copain arrive demain soir, il couchera à la maison dans le chalet…- Pourquoi pas avec toi ?- Ben… Parce que… On n’a pas…- Tu es toujours vierge…- Non, presque plus… On n’a pas, mais on a fait tout ou presque, sans …Ils partent d’un grand rire et je m’aperçois que je viens de bredouiller des âneries…- Tu sais Marc, ma sœur est une grande sportive et une étudiante avant tout, elle bosse pour arriver et elle arrivera, même si elle doit se priver….- Bon, mais il faut vivre. Si tu tiens à ton ami, invite-le dans le chalet, maman et papa ne diront rien, ils l’ont fait avant nous…- Tu crois ?- Bien sûr, vas-y, fais l’amour dans un grand lit, pas comme moi, juste une fois…- Quoi ?- Ah, tu ne savais pas ?- Non…- Quand tu étais à Paris, j’avais la maison pour moi… On a couché dans mon petit lit au chalet… Je l’ai dit à maman après… c’était plus correct…- C’est vrai, ta sœur a beaucoup de respect… Et elle baise bien…- Salaud, ma sœur est vierge et tu viens …- Mais tu nous a vus c’est ça ? Dehors, tu nous observais ?- Je… Un peu…- Ah, la coquine… Tu t’es chauffée toute seule alors…- Lyne !…- Pardon, mais quoi, on est entre nous là… Tu t’es masturbée en nous regardant baiser… J’espère que ça t’a plu ?- Beaucoup, car je t’avais canlı bahis şirketleri entendue jouir au ciné…- Ah ???? J’ai fait du bruit… Je suis impossible, il faut que je m’exprime…- Je confirme, une vraie tigresse… et elle me pompait en même temps…- ???- Oui, je le masturbais avec ma main, je ne pouvais pas lui faire une pipe…- Lily ! C’est vulgaire !- Non, c’est dans le dico… Ou presque… Tu préfères fellation ?- Oui… Enfin, je ne sais pas…- Ah, tu n’en as jamais fait ?- Non…- Oh, là, là… Mais tu es nunuche à 20 ans… C’est ce que les gars préfèrent, ça ne m’étonne pas que tu sois seule à ton âge…- Tu l’as masturbé au moins ?- Oui…- Et lui, il t’a caressée ?- Oui… Sans me pénétrer, je ne voulais pas…- Eh bien… Pauvre garçon… On va devoir t’aider, mais comment ?- Je saurai, j’ai vu des vidéos sur internet, c’est facile, on le prend et on suce…- Mais non ! Un sexe d’homme, un pénis, une bite, c’est sensible, ça vit… Ta main doit le cajoler et ta bouche le gober, comme s’il était en toi… Il faut alterner… Tiens, viens, je vais te montrer. Allez Marc, sors ton bazar…- Mais non… Pas là…- Et où ? Pas toi, tu es ma sœur !… On ne va pas baiser, je ne suis pas gouine, je te montre, je t’instruis…Ce disant, elle att**** la verge rabougrie de Marc et commence par la bercer dans sa main…Je la vois grossir à vue d’œil, c’est magique… Il n’ose pas me regarder dans les yeux, reste fixé sur Aline… Elle se penche sur lui, passe sa langue sur le gland (j’ai étudié la chose…), puis promène ses lèvres doucement après l’avoir lapé, puis décalotté… Elle le glisse entre ses lèvres, il ferme les yeux… Elle me regarde… Fais quelques allers-retours sa bouche glissant sur la hampe de chair gonflée de désir…- Approche…Elle me fait une place, je vois les veines proéminentes… Mon dieu !… J’aurais peur que ça éclate, j’ai rien vu de tel sur Internet…- Tu vois maintenant… On est là pour ça…- Oui, je ne savais pas que c’était plein de sang, les veines prêtes à jaillir…Elle le reprend en bouche et glisse ses lèvres lentement, de haut en bas… Puis ressort le membre… Il grogne…- Il faut bien saliver au début, après c’est naturel… Tiens, viens, essaie…- Non !…- Mais ça ne mord pas, c’est une copine qui m’a initiée, tu sais…Et ce n’est pas lui qui va dire non !…Elle me laisse la place, j’avance mes lèvres, ma langue le touche… Chaud… Mon ventre grogne, mon sexe se met à être jaloux…- Aide-toi de ta main…Je le prends et le porte entre mes lèvres, je salive, puis promène ma langue sur le gland, où perlent quelques gouttes de liquide transparent… Je lèche, descend vers le bas, remonte… Il me regarde…Je le mets dans ma bouche, je n’en peux plus…. Ma main passe sous ma culotte, je me touche et en même temps glisse mes lèvres, frôlant la peau brûlante, glisse, jusque dans ma gorge… Il souffle…- Bien tu lui fais de l’effet… A toi aussi ça te fais de l’effet, on dirait…- Elle regarde ma jupe relevée, ma main qui caresse… je repars en longs mouvements, mes lèvres glissent, je les serre légèrement…- Ah… Hou… je vais jouir comme ça… Encore… Tu suces super… Oh !….- Vas-y, pompe le à fond, il en a envie et toi aussi, je te le prête…Je continue doucement, lentement, refaisant des allers-retours, sentant le membre se raidir…- Plus vite maintenant, viens !Aline prend ma main et la guide, je le masturbe, ouvrant ma bouche, elle accélère, ma main s’affole, je garde la bouche ouverte…- Vas-y toute seule, fais-le gicler dans ta bouche….Je le coulisse au maximum que je peux, il remue, se tourne, glisse entre mes lèvres, je sens la chaleur du sperme, sur ma langue, contre mon palais…- Tu peux l’avaler tu sais, ce n’est pas mauvais, on l’appelle le jus d’homme…Je fais glisser le tout au fond de ma gorge et avale… pas de goût particulier que cette odeur me révélait… Ils me sourient tous les deux, la main de ma sœur vient enlever quelques gouttes sur mon visage avec un mouchoir…. Je m’aperçois que ma culotte est baissée, que ma foufoune est ouverte… Je viens de me faire jouir encore une fois…- Tu sais, il suce bien, si tu en as envie…- Non, Max sera là… Demain sera mon jour J… C’était bien… J’ai joui de le faire… De le sentir arriver, exploser… C’est la nature, mais c’est bon… J’aime le sexe… Merci à tous les deux pour cette initiation… J’ai aimé… Tu as de la chance Lily, ton ami est super gentil, très doux…Demain est un autre jour…Le lendemain… MAXJ’ai attendu, comme quand j’étais petite et que j’attendais la venue de Papa Noël…Je n’arrêtais pas de monter dans ma chambre, descendre, porter une serviette dans la salle de bains du chalet, regarder si rien ne clochait… Le lit était fait, tout était en place… Il nous attendait…Mon père n’avait pas sourcillé, ni maman, lorsque je leur ai dit :- J’ai un ami qui vient demain, je le connais bien depuis un an, et je voulais vous le présenter… Max, il a mon âge et est en faculté de droit. Je suis avec lui, on correspond depuis 1 an, on ne se voit pas souvent, mais on, enfin, on vivrait ensemble si on le pouvait. Donc je vais le recevoir dans le chalet ces deux jours…- Parfait, tu es majeure, Lynette… Tu n’avais pas arrêté la pilule ?- Oui, mais je prends une nouvelle qui est pour un mois…- Et vous couchez souvent ?- On couche lorsqu’on se voit, comme vous le faisiez, parfois dans la journée au campus.- On était fiancés…- Oui, bien on va éviter les frais pour l’instant. Je l’aime, il m’aime donc on vit ensemble, ici…- OK ma fille tu es chez toi chez nous… Il aime manger quoi ?- Oh, il est français, beau, grand, je… Je ne sais pas… Tout…- Donc tu ne le connais pas tant que cela…- Bien… Si, mais on mange rarement à part des sandwiches…- Bon… On fera un rôti pour ce soir, avec des patates frites. Demain, on avisera… Si vous restez ici à midi…- Vous êtes des parents en or, je vous canlı kaçak iddaa remercie.- On sait que tu fais des efforts énormes pour tes études, le sport, et que tu oublies ton propre plaisir, les copains, les sorties, les week-ends… Ta sœur ne s’en prive pas et son copain est très bien tu as vu…- Oui, j’ai vu…Je pouffe… En aparté…- Maintenant on couche bien plus vite, on a des moyens de contraception et les mœurs ont évolués…- Oui… C’est tout de suite…- Et tu l’as fait ?- Bien… Oui…- Avec lui ?- Pas qu’avec lui, je suis moderne, je sors, je m’amuse un peu lorsque je ne suis pas ici… Avec mes copines, on se défoule.- On sait que tu es prudente et que tu n’as pas vécu ton adolescence… fais attention tout de même, les hommes sont retors pour arriver à leurs fins…- Mais oui, maman, je sais tout ça…- Vous ne parlez jamais avec ta sœur ?- Si on communique par texto, souvent, on se dit nos idées, on se raconte nos histoires de cœur…- Bon, et bien sois heureuse avec ton Max… Marc, Max, décidément…Le coup de sonnette me surprend, Aline n’est pas rentrée…Il est là, superbe avec son anorak, par 12 degrés…- Tu vas bien ?- Oui, et toi ?- Super, je suis heureuse que tu sois là.- Moi aussi… Je t’ai attendue tu sais, pas d’autre femme, rien… Et toi ?- Oh regarde, ils font la queue dehors…. Entre, ils seront jaloux…Les présentations faites, je lui fais visiter la maison, le jardin, puis le chalet dans le jardin qui nous sert de chambre d’ami. Il y pose son sac, me sourit… Il m’embrasse… je fonds dans ses bras…- Ils sont super tes parents… gentils, charmants… J’ai un cadeau pour eux, je vais le prendre… Une bouteille de là où on était…- C’est gentil… Et pour moi ?- Une autre surprise, pour ce soir…- Oh…Il m’embrasse encore en essayant de me caresser… Mais je lui adresse un chut péremptoire…Nous retournons dans la maison au moment où ma sœur et Marc arrivent.Nous prenons un apéritif au salon, la bouteille de Max a fait de l’effet à mon père, un vieux whisky irlandais… Après les questions de rigueur, les réponses évasives, les silences pesants, nous passons à table, le rôti étant cuit à point, obéissons….Le dîner se déroule parfaitement, les parents sont contents de voir leurs deux filles rire ensemble et être complices…Nous bavardons jusqu’à une heure avancée, l’ambiance étant montée d’un cran avec l’alcool et la bonne humeur de tous, sans compter la verve de nos amoureux puis nous nous retirons dans nos chambres.Le chalet comporte tout le confort d’un studio indépendant, WC, salle de bains avec douche. C’est dans une maison silencieuse quand je me mets au lit, il m’attend depuis 20 minutes…J’ai gardé ma culotte avec une nuisette…Le premier contact contre sa peau douce sur la mienne m’électrise… Allongée sur le dos, c’est lui qui se penche pour un premier baiser… Nous n’avons pas trop parlé depuis son arrivée, juste l’essentiel pour le mettre en confiance et lui dire ce que j’avais dévoilé à mes parents…Mais je suis trop nerveuse pour penser à autre chose. Le moindre bruit me fait sursauter, je m’abandonne dans ses bras, ses mains deviennent thé****utiques, je ronronne…Nous parlons de ces mois écoulés loin l’un de l’autre, tout en découvrant lentement nos corps.Nous passons à la phase 2 après un long baiser, le silence, un contact plus précis de son sexe m’indiquant que l’heure approche…Je monte sur lui, m’allonge en épousant son corps, mes seins sur sa poitrine, nos bouches rivées…Que de tendresse dans cet échange, ses bras dans mon cou, dans mes reins, qui glissent sur mes fesses… Il me retourne sur le dos, descend le duvet, se penche et contemple ma poitrine à la lueur de la lune…- Que tu es belle…Ses mains volent sur mes seins, effleurent, entourent, massent… Je fonds déjà de désir…Ses lèvres viennent lécher et mordiller, mes tétons durcis… Une main s’avance sur mon ventre, glisse, remonte…- Tu veux le faire, tu es certaine ? Tu as pris ce qu’il faut ?- Oui… J’ai juste eu le temps, en deux jours…Ses mains sont partout… Mes seins me font mal, mon ventre se tord, mon sexe se met à couler de désir…Ma culotte descend, descend… Le duvet la suit, imité par ma nuisette et nous sommes nus tous les deux…Il me tourne, me relève, vient entre mes cuisses… Sa bouche se pose sur mon intimité…Son souffle m’électrise… Je soupire… Je gémis… Sa langue vient de se poser… Lape, lèche, soulève mes chairs intimes, écarte mon duvet de poils blonds, transparents…Il me savoure… Encore une étape franchie… Je me donne à lui, je lui ouvre mon intimité. Il salive de bonheur… Il relève mes cuisses écartelées, je lui offre mon sexe…Sa langue continue à explorer, ses doigts arrivent en renfort…Mon clitoris devient énorme, se tend, mes lèvres se gonflent… Ma respiration devient plus rauque…Je défaille, je gémis d’un coup, il vient de me faire connaître un premier truc, un orgasme ?Il vient d’aspirer mon sexe…Il continue à explorer ma chatte ouverte, dégoulinante de salive et de sucs mêlés… Je ne sens plus mon ventre, il ouvre sa voie, sa langue plonge en moi, ses lèvres pincent tendrement mon clitoris et sa langue le titille, puis replonge dans mes trésors…Quelques larmes coulent sur mes joues, je jouis de plaisir…Je sens mon enfance partir, s’en aller, perdant mon insouciance et entrant de plain-pied dans le monde adulte…Je cherche son sexe, à tâtons… Il est contre ma cuisse, dur, bandé. Ma main se referme, ressent sa chaleur, elle lui fait un fourreau, qui le sent coulisser…Il vient de poser un doigt et tourne sur mon bouton, je m’envole… Mon ventre se soulève vers lui, je serre son membre dans ma main…Il se relève et vient quérir un baiser… Nos langues s’emmêlent, son doigt continue de tourner lentement… Mes cuisses s’ouvrent seules, tout mon être le réclame…Il se repenche entre mes cuisses, un doigt pénétre canlı kaçak bahis mon vagin…Cela me rappelle ma caresse de l’autrefois, lorsque je regardais ma sœur et Marc…Il entre doucement, lentement… Je ne bouge plus… Je suis tendue…- N’aie pas peur.Le doigt est en moi, je le sens tourner, onduler, trempé de mes sucs…On change de position, on s’embrasse tendrement, on vit cet instant comme je l’avais imaginé, un moment de tendresse pure, mon corps qui se laisse posséder, je sais que je ne serai plus la même après…Je me penche sur lui et le prends délicatement dans ma bouche, mes lèvres autour de ce pieu de chair gonflée, veinée… Je revis les moments passés à répéter cette caresse avec ma sœur et Marc… Je la lui prodigue comme il vient de me le faire, doucement, avec amour, mes lèvres glissent, secondées par mes doigts, et ma langue qui tourne sur le gland découvert…Je salive, je descends mes lèvres petit à petit, il ferme les yeux… Ses mains cherchent mes mains, prennent mes seins… Je le garde dans ma bouche, lové au fond de ma gorge, je le sens vibrer, grossir encore… Puis il ressort lentement, et là, mes lèvres glissent le long de cette hampe trempée de salive… J’entends son souffle, il jouit doucement… Je recommence, un peu plus vite, en le serrant… Il grogne de plaisir… Mes doigts prennent ses bourses, je le pousse entièrement dans ma gorge, prenant soin de ne pas le blesser avec mes dents… Puis encore, comme une vague, je le ressors et le reprends, encore et encore jusqu’à ce qu’il m’arrête avec sa main, bloquant ma caresse… Je comprends que je suis allée loin, très loin et qu’il demande un instant de répit, sinon…Je me remets sur le dos, il vient sur moi m’embrasser, là où se trouvait son sexe, il en partage les senteurs, les sucs…Je me sens femme de l’avoir poussé au bout… Mais mon ventre a compris, tout mon être le réclame…Il a écarté mes cuisses, et tandis que l’on échange un long baiser, ses mains malaxent mes seins, jouent avec la pointe qui durcit…Je suis tendue, excitée, mon sexe coule… Mon ventre ondule, mes cuisses s’écartent pour le laisser venir au plus près…Le pénis bat, vibre contre ma cuisse, se place contre mon sexe… Il tend ses bras, je m’offre, je me soulève, soulève mes cuisses écartelées…Le gland touche ma vulve détrempée d’excitation, je plane, je le veux, je jouis… Me soulève, crie, pleure, parle, marmonne des « viens !»…Il est là, se faufile lentement entre mes grandes lèvres, puis entre les pétales de ma rose qui s’ouvrent, qui l’accueillent, je n’ose plus rien faire, rien dire, j’ai peur…Il entre lentement, ressorts après quelques millimètres… Rentre encore, plus loin, je ne sens plus que du plaisir entrer dans mon ventre…Il accélère un peu ses allers-retours… La vague m’inonde… Je jouis encore et encore, je le sens doux, qui me prend, qui m’ouvre comme un papillon qui butine sa fleur… Son dard boit mon suc dans mon sexe… Il est en moi, tendre et me serre contre lui, dessinant les larmes qui coulent de mes yeux… Je jouis de bonheur, je suis inondée de plaisir qui m’a submergée d’un coup…On s’embrasse, il pousse en moi, encore, plus fort…Ca y est, il est entré, il m’a déflorée comme on dit… Je le sens gros, chaud…Il me sourit, je lui souris comme pour lui donner mon approbation…Lorsqu’il se retire, tout mon ventre se vide d’un coup, je crie… Il s’arrête ayant eu peur de me blesser…Mais non, c’est moi qui prends ses fesses et le pousse en moi…Il me reprend, cette fois toute entière, je suis si heureuse, si ouverte qu’il n’a aucun mal à me pénétrer et je présume que mes séances de gymnastique y sont pour quelque chose…Il revient encore et encore comme un soc qui laboure mon ventre… Je pleure, je gémis tendrement ce moment intense, je m’ouvre encore plus, m’écartèle, puis je fais le grand écart, il plonge et replonge en moi plus vite, plus intensément…Une vague plus belle, plus haute, arrive du creux de mes entrailles, m’envahit, me submerge et m’emporte…Cette fois mon plaisir résonne dans la pièce…On se cherche, on se veut, on s’embrasse encore, longuement…Il me caresse partout, je le reprends dans ma bouche, il revient à lui, vite très vite, grand, gros, luisant de salive, prêt…Oui, il me change de position, je me mets sur le côté et son sexe vient se glisser dans le mien naturellement, j’ouvre mes cuisses, il enserre mes seins, je suis aux anges, je le veux encore, plus fort, plus sexe… Ah ! C’est ça que ma sœur me disait…Il me possède tendrement, comme au début, puis devient plus viril…Il grossit, il me veut, il veut jouir en moi…Je n’ai pas voulu de capote, il m’a assuré qu’il était sain, moi aussi…Il me lutine jusqu’à ressentir la plus belle récompense pour une femme, un orgasme merveilleux, où je vois des étoiles, où je perds conscience du temps…Il me tourne sur le ventre, fesses ouvertes…J’ai peur de la sodomie, je crie… Mais non, il se glisse dans mon vagin, autre sensation… Il m’écrase, me plaque, me besogne… je jouis encore et encore….Il se relève et m’invite sur lui…Je ne connais pas de plus belle sensation que de me laisser glisser pour engloutir son membre et à mon rythme…Je jouis encore, une autre sensation, nouvelle, très féminine… Il doit m’arrêter…Il est énorme, je le prends en main, le tâte, le caresse… Je me mets sur le dos et lui dis : « Viens, prends-moi maintenant… »Je m’offre à lui, écartelée, impudique, il me prend lentement… Je tremble…Il me pousse, me pousse, m’ouvre, accélère, encore, plus profond, plus vite, plus raide, plus… Je sens une nouvelle vague m’emporter, il va et vient comme un dingue, le lit pleure, je pleure :- Oui ! Viens, prends-moi ! Fais-moi l’amour pour la première fois…Loin de mes craintes d’adolescente, loin de ma peur de souffrir, je perds conscience, soulevée par un orgasme si intense que la chambre se met à tourner, j’entends un cri rauque, un cri de mâle et tout mon ventre se met à brûler.Je le sens exploser en moi, je jouis encore, ivre de joie, ivre de sexe, sur mon nuage…Ma première fois, une extase… Cette date va me suivre toute ma vie…

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