Histoire 5- La belle mère

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Histoire 5- La belle mèreNotre escapade aux stripteaseuses nous a amené à vivre des trucs insolites, bizarre, déplacé pour certain, selon le point de vue.Je dois vous expliquer un peu notre background à Véro et moi, un ami à moi, Axel, me présente Patricia un jour, Patricia étant la sœur de Véro, plein de discussions érotique, pleins d’avance de part et d’Autre mais jamais rien de concret, puis Patricia rencontra son mec, Karl, avec qui elle fait vie commune depuis 5 ans, et comme elle m’aimait bien elle me présenta sa sœur, qui vivait une grave peine d’amour.Il y a maintenant 4 ans maintenant que je suis avec Véro. Denise la maman de Véro est une belle femme, son ventre et son cul c’Est un peu mou, mais elle a de faux seins, et toujours bien habillé, elle laisse toujours un peu de place pour son décolleté plongeant, et j’Aime bien.Véro a compté tous nos aventures à sa mère, j’avais un peu de me faire juger au départ mais j’Ai vite compris que la belle-mère es aussi salope que la fille.Véro parle des Stripteaseuse à sa mère, elle dit que ça pourrais etre un beau cadeau pour Derek son copain, il va avoir 55 ans bientôt, et elle n’Est jamais allé avec lui aux Stripteaseuse.JE propose donc à Véro d’Amener sa mère avec nous un soir, Denise es visiblement gênée de la situation, mais après quelques consommations, la gêne se tasse peu à peu.« On ne fait que regarder les filles qui danse sur la scène ? » demande Denise.« Non il y a des isoloirs, ou tu paies pour que la fille te touche, pour toucher la fille, et ainsi de suite, sauf que la plus part de place il n’y a pas de contact directe avec les organes génitaux » réponds Véro.« Il peut y avoir des contacts? » riposte la belle-mère« Oui, mais pas ici, il y a des clubs ou il y de la prostitution, mais ici les filles ne font qu’aguicher, et se frotter » j’Ai répondu cette fois.« J’Aime bien ça, juste aguicher, je ne suis pas sûr de vouloir voir mon homme avec une autre femme, mais pour le faire bander ça me va » dit-elle d’un rire nerveux.Je vais donc aux toilettes, et à mon retour, ma femme et sa mère sont disparu, un des portiers de la place es venu me voir.« Elles sont dans la deuxième boite, avec Sandy si tu veux aller les rejoindre »Je ne savais pas trop quoi faire, ma belle-mère avec une danseuse, je trouvais ça un peu bizarre comme situation, mais après tout j’ai vu pire.Je pars donc les rejoindre, Véro es assise à côté de sa mère, pendant güvenilir bahis que Sandy caresses ses seins, ma belle-mère regarde le spectacle, qui se déroule sous ses yeux, sans trop savoir quoi faire, elle ne sait pas où placer les mains, je suis derrière la danseuse, et regarde le tout.Ma belle-mère me voit et rougi de honte. Ça semble l’Excité de voir sa fille avec une autre femme, puis Sandy lâche Véro un peu, et embrasse ma belle-mère, lui passe la main, sur la chatte, son legging es détrempé ma salope de belle-mère mouille pleinement.Puis Sandy baisse le top , un chandail tube rose, de ma belle-mère et expose sa généreuse poitrine, un malaise se fait sentir, alors que je vois la belle poitrine de ma belle-mère, elle est encore plus rouge de honte, mais se laisse faire au jeu, Sandy lèche les bouts de seins de Denise, et se touche en même temps, puis elle dit , « merci pour ce bon moment, c’est une première fois pour moi la mère et la fille » Puis me demande « c’Est 40 dollars tu veux que ça continue ou j’Arrête ici? »Véro et Denis se sont rhabillée je comprends donc que ça sera tout.On retourne à notre table, on boit encore un peu, Denise retourne seule dans l’isoloir, avec Tammy, alors que Sandy reviens nous voir « ça vous dit un autre danse avec moi ? »Véro ne semble pas vouloir, car elle s’inquiète pour sa mère, on demande donc la permission au portier d’aller chercher Denise dans l’isoloir, ce dernier accepte.Tammy es assise sur une chaise et se doigte la chatte, devant elle, Denise les jambes grandes ouverte les seins nu, un doigt dans le cul et les deux se gicle l’une sur l’autre.Denise surprise de nous voir fond en larmes, et se rhabille, et nous demande d’Aller la reconduire chez elle.Derek n’Est pas là ce soir, il travaille hors de la ville, il ne peut donc pas venir la chercher.Je suis le conducteur désigné, Véro et Denise semble avoir pris quelques verres de trop.15 minutes de routes, on arrive chez Denise, ses deux gros chiens, SAM et PATOU sont à la porte et grogne, jusqu’à ce qu’il voit la maitresse, ils sont heureux de la voir.J’Entre le dernier, les chiens viennent me renifler, puis ils s’en retournent, coucher sur le sofa.Denise va au toilette, Véro me demande si je suis ok pour rester un peu, veiller sur Denise, elle ne sent pas très bien.Aucun problème, Denise s’en va à la chambre, Véro l’Accompagne, j’écoute donc la télé, les nouvelles sportive, les derniers türkçe bahis résultats.Plus de vingt minutes passe, les chiens ont quitté le salon je suis complètement seul, je me demande ce qui se passe, as t’elle vomit? Se sent elle bien? Je vais donc voir ce qui se passe.J’ouvre donc la porte, Denise fait un défilé de lingeries devant Véro.« J’ai acheté ça pour Derek, tu crois qu’il aimera? » demande Denise, qui ne semble pas savoir que je suis là.« Oh oui il appréciera beaucoup tu es sublime » ai-je répondu, les deux se retournent vers moi visiblement surprise.Je voyais bien qu’elle était encore gênée, « J’ai vu tes seins plutôt, j’Ai vu ta chatte et ton cul, j’ai même vu que tu es une femme fontaine, ne soit pas timide Denise » je lui lançai avec un sourire.« Simon a raison maman, défile devant lui, c’est un homme il pourra te dire la vérité » répliqua Véro.Hésitante, ma belle-Mère défile donc devant nos yeux, se dandine de gauche à droite, et tente de faire comme les stripteaseuse du clubs un peu plus, tôt, son corset rouge et noir, avec se jarretelle , ses bas collant en filet rouge et ses escarpins noir, elle est ravissante.Elle se retourne pour nous montrer ses fesses, un peu molle, mais encore un beau cul pour une femme de son Age, elle se penche, et comme la porte n’étais pas fermé PATOU son berger allemand entre et lui renifle le cul.« Pas ce soir bébé on a de la visite » le repousse ma belle-mère, Véro me regarde d’un air étrange puis regarde sa mère « pas ce soir ?, donc si je comprends bien tu fais lécher par le chien? » Demande Véro.« Derek pars sur la route 12 jours par mois, quand j’ai envie de sexe PATOU et SAM me saute » nous répond-elle sur un air coquin.« Tu n’A jamais essayé un chien, ma fille, aucun homme ne peut te faire ce qu’ils font » réplique belle-maman.Véro me regarde comme pour me demander la permission, j’Acquiesce de la tête, SAM entre dans la chambre à son tour.« LA langue de PATOU es tout simplement formidable » de dire la belle-mère.Véro enlevé sa jupe, et son string, puis se positionne de façon à ce que PATOU ai accès sa chatte, le cabot renifle l’entre cuisse de Véro, Denise s’installe a cote d’elle et lui caresse les seins.Un spectacle étrange mais divertissant, ma femme se fait lécher par un chien pendant que sa mère lui suce les seins et la caresse.PATOU semble avoir une bonne langue, Véro, se sent honteuse d’avoir du plaisir par un chien, SAM güvenilir bahis siteleri le golden retreiver tourne en rond dans la chambre il attend son tour je crois.Je regarde la fille et la mère, je bande grave. Je prends un risque et plonge ma bouche sur la chatte de Denise.Surprise elle tente de me repoussé mais se s’abandonne au plaisir que je lui donne, sors ses seins du corset, se pince le bout des mamelons. Véro cris encore plus fort a cote de nous.PATOU fait aller sa grosse langue partout sur l’entrecuisse de ma douce.« Lâche moi deux secondes » me demande Denise, puis elle prend PATOU par le collet, et tasse le gros berger allemand. Puis appelle SAM qui tourne en rond, et ordonne à VÉRO de se placer à quatre pattes.Véro se place comme sa mère le dit, SAM lui renifle le cul, un petit coup de langue, et grimpe sur ma femme, maladroitement, je suis attentif au spectacle, Denise guise le gros engin du chien vers la chatte de ma femme, il se fait aller comme aucun homme ne peut faire, Véro, es prise entre la honte et le plaisir. « Couche-toi sur le dos » me dit Denise, je m’exécute, la belle-mère se penche doucement, le cul sur ma bit bien raide, elle s’Empale au complet, et se roule la bille en même temps, PATOU s’approche d’elle et lèche sa chatte, et ma queue en même temps, une langue rugueuse, longue et maladroite, mais très plaisante en même temps.J’encule ma belle-mère, pendant qu’un chien me lèche les couilles, et que ma femme se fait baiser par un autre chien.Ma belle-mère éjacule sur sa fille et SAM qui baise au sol. Le jet touche même le plafond de la chambre, PATOU deviens fou il lèche partout les murs, le tapis le dos de Véro.SAM éjacule dans la cavité de Véro, et y reste un moment, Véro es en extase totale, la belle-mère se lève, je me lève aussi et met ma queue dans la bouche de Véro, cette dernière goute au cul de sa mère, cela m’Excite au plus haute point, j’éjacule dans sa bouche, SAM quitte au même moment sa monture et va se coucher sur le canapé.Denise se penche alors derrière Véro et lui demande de pousser tout le sperme du chier en dehors, Véro fait ce que sa mère lui dicte, Denise lèche, tout le jus qui sors du vagin de sa propre fille. Et avale tout le sperme de l’a****l.« Allez partez, je vous ai assez vu pour la soirée » nous dit Denise.Véro et moi se rhabillons, et montons dans la voiture.Pas un mot en route, Véro ne dit rien et je n’ose pas rien dire non plus.Un malaise es présent maintenant chaque fois que la belle-mère nous rends visite, le malaise es encore plus intense quand Derek es présent.Les 55 ans de Derek arrive le mois prochain, je me demande bien si nous irons aux Stripteaseuse ou non.

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DOUCHE

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DOUCHEChantal m’avait prévenu que ce soir elle avait une réunion et qu’elle rentrerait plus tard.J’ai donc fait mangé les enfants,préparé le repas pour nous et je me suis servi un apéritif en attendant.Vers les 22h Chantal n’était pas rentrée,j’ai donc mangé et je suis monté dans la chambre pour regardé la télé dans le lit.Je fus réveillé à 3h par du bruit,c’était Chantal qui rentrait.Elle me dit qu’elle allait prendre une douche,je lui fis remarquer qu’elle allait réveiller tout le monde et qu’elle vienne se coucher.Elle insistait pour prendre cette douche,je lui ai dis de venir sur le lit et de m’expliquer pourquoi elle tenait tant à prendre une douche.Elle c’est assise sur le lit et m’a dit, ma soirée a été mouvementé.Elle m’a expliqué qu’après la réunion il y avait eu un pot et que Cindy sa collègue avait un peu abusé.Elle lui a proposé de la ramener chez elle,une fois arrivé elles ont repris l’apéritif.Cindy commençait à etre un illegal bahis peu saoul et c’est à ce moment que son copain et un collègue à lui sont rentrés.Ils ont tous pris un autre verre,le copain de Cindy (Marc)profitait de la situation pour lui caresser les jambes,passer des mains sur sa poitrine sous sa jupe.L’autre invité (Didier) était assis en face de Chantal et n’arretait pas de la regarder.Au bout d’un moment Cindy avait sa jupe remonté sur les hanches et la main de son copain dans son string qui jouait avec son sexe.Je me suis levée pour partir et les laisser tout les trois,mais Marc m’a dit de rester que Cindy était trop saoul pour s’occuper d’eux,j’ai dis que je n’avais pas envie,je ne voulais pas de sexe sans toi mon amour.Didier est venu se poser à coté de moi sur le canapé et à mis une main sur ma cuisse,je l’ai repoussé mais il à recommencé et là Marc est venu de l’autre coté pour faire la meme chose.Cindy rigolait illegal bahis siteleri et m’a dit de me laissé faire,les garçons me caressaient les cuisses,les mollets,une main à déboutonné mon chemisier,je sentait ma chatte s’humidifier.Didier a fait sortir mes seins de mon son soutien gorge et sa bouche est venue jouer avec mes pointes,Marc me caressait de plus en plus haut et mes cuisses s’écartaientt comme si je ne les controlais plus,j’ai meme soulevé les fesses pour que Marc m’enlève ma jupe.Marc embrassait mes jambes,sa bouche allait des mollet à mon string sans lécher mon sexe,puis il à rentré deux doigt dans ma grotte les a retiré pour que je goute à mon jus.Mon string a été retiré Didier m’a présenté son sexe à sucer,Marc maintenant avait collé sa bouche sur mon sexe et jouait avec mon clito,il m’a remis deux doigts dans la chatte,puis un autre et un autre il m’a prévenu qu’il allait me fister comme une chienne.Ces canlı bahis siteleri quatre doigts rentraient et sortaient sans difficulté tant j’était mouillé mais quand il à mis son pouce j’ai eu une douleur et le pire à été le passage de son poignet qui m’a fais pousser un cri de douleur,sa main dans mon sexe me fouillait et m’ a fais jouir.Après les garçons ont voulu me baiser,Didier c’est allongé sur le tapis,je me suis mise sur sa queue,mais j’étais tellement dilaté que je ne sentais rien,Marc lui est venu derrière et sans ménagement il m’a sodomisé.Les deux ont jouit dans mes orifices voila pourquoi je veux prendre une douche.J’ai embrassé Chantal et ma main est parti directement sous sa jupe,je me suis accroupi pour embrassé ses cuisses je suis monté lentement vers son sexe qui dégageait une forte odeur,j’ai fais glisser son string le long de ses jambes,il y avait des traces de son aventure.Ma bouche est venue sur son sexe gonflé et je l’ai nettoyé avec ma langue Chantal m’a dit de ne pas oublier son petit trou et je l’ai aussi nettoyé.Après j’ai présenté mon sexe à sa bouche et elle m’a pompé avec plaisir,nous sommes enlacés pour dormir,Chantal m’a dit qu’elle m’aimait.

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Adultère au séminaire – 1

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Adultère au séminaire – 1Jour -20 .Quand le chef m’a appris que j’étais désigné volontaire pour le prochain séminaire des chargés de projet, j’ai fait grise mine, j’appréhendais déjà la soupe à la grimace qu’allait me faire ma femme quand je lui apprendrai que je la laissais seule pendant une semaine à gérer la maison, les deux enfants en plus de son boulot.Quand, en plus, il m’annonça que ça se passerait dans un bled paumé de Provence, j’ai caché ma joie, la Provence, chouette mais début novembre, bof !Quand enfin il m’apprit que je partais avec un collègue et que ce collègue s’appellait Caroline, là j’ai repris des couleurs, c’était une compensation appréciable et la seule bonne nouvelle de la matinée. Il faut dire que ladite Caroline est, dixit mon collègue Gilbert : « la seule gonzesse baisable de l’agence ». Bon, Gilbert ne brille pas par la finesse de ses propos mais je dois admettre que sur ce point, il a raison : 27 ans, mignonne, élancée, pas très grande (1m 65), les cheveux blonds-roux coupés en carré long, les yeux bleux-gris, je la qualifierais de « beau petit lot ».Par ailleurs, elle a oublié d’être idiote et s’avère d’un naturel gai et dynamique. Partir à ce séminaire en sa compagnie serait donc un moindre mal car même si mon cœur est pris (le sien aussi d’ailleurs) et que je n’avais aucune intension de la draguer, se serait toujours plus agréable qu’avec n’importe quel autre collègue – même gilbert !Jour 1, Dimanche.Pour des raisons de mesquines économies nous n’avons pas eu droit à l’avion et avons dû prendre ma voiture pour nous rendre à Gréoux Les Bains, charmante bourgade des Alpes de Haute Provence. Charmante, certes mais quand même à 800 bornes de Paris, ce qui nous a obligés a partir la veille du séminaire.Sur la route, nous avons parlé un bon moment de tout et de rien, elle prenant des nouvelles de ma petite famille et moi de son mari que j’avais eu l’occasion de rencontré une fois ou deux et qui, détail amusant, se nomme comme moi : D’Ernemont. Ce qui fait que sans avoir aucun lien de parenté, nous portons Caroline et moi le même nom ce qui ne manque pas de créer la confusion et de souvent nous amuser car beaucoup nous prennent pour mari et femme (si on s’était appelé Martin, Dupont ou Lefevre ce serait peut-être moins arrivé).Certains, et là ça m’amuse en général moins, nous croient père et fille. Il faut dire à leur décharge qu’avec son petit nez à la retrousse et ses taches de rousseur elle paraît bien moins que son age et en revanche, mes cheveux prématurément poivre-et-sel me vieillissent au-delà de mes 35 ans mais il n’empêche que cela me démange de montrer à ceux-là mes tablettes de chocolat et de leur demander si comme moi ils courrent leur 40 kms par semaine.Au bout d’un certain temps, Caroline m’a demandé si ça ne me dérangeait pas qu’elle dorme un peu pour récupérer de son week-end fatigant. J’ai donc continué à conduire en silence tout en l’observant à intervalles réguliers pendant son sommeil. C’est là que j’ai regrété qu’on ne fut pas en été. En effet, à cette saison, Caroline porte souvent des jupes plutot courtes mettant en valeur le galbe parfait de ses jambes et des hauts echancrés qui provoquent des divergeances oculaires chez ses interlocuteurs qui ont bien du mal à la regarder dans les yeux.La fraicheur de novembre l’avait au contraire poussée à enfiler un jean des plus classiques et un pull cachant le principal relief de son 85 B (parole de connaisseur).J’entends déjà certains objecter que pour un homme qui se prétend mari fidèle et contenté, j’ai plutôt le regard un peu lubrique d’un gros matteur.Je leur répondrais par une devise de Gilbert : C’est pas parce qu’on a déjà mangé qu’on a pas le droit de regarder le menu » (et oui, c’est une de ses plus fines).Je me contentais donc d’admirer son profil parfait et d’imaginer ce que j’aurais pu deviner au hasard de ses multiples changements de position si la température avait été plus clémente : le haut d’une cuisse bronzée, un tatoo intime, le bord d’une culotte blanche ou le bout d’un sein diaphane.Nous sommes arrivés à destination en début de soirée, après avoir traversé rapidement le bourg, nous nous sommes présentés à la réception de l’hôtel que nous avait réservé la société.Il y avait foule et en faisant la queue je me demandais pour qu’elle raison on avait organisé un tel rassemblement dans un lieu aussi reculé (je me le demande toujours d’ailleurs).Lorsque notre tour est venu, j’ai fais part au réceptionniste de mon étonnement de voir autant de monde : – C’est que vous n’êtes pas les seuls, vous tombez en même temps qu’un congrés d’agent d’assurance, un colloque de médecins et les conseils d’administration se succèdent à cette période, sans parler des curistes habituels car Gréoux est une ville balnéaire réputée » déclara –t’il fièrement, « Estimez-vous heureux d’avoir pu réserver dans un hotel du centre, il n’y a plus une chambre de libre à 20 kms à la ronde cette semaine… Monsieur et Madame D’Ernemont, chambre 127, la Direction vous souhaite un bon séjour . – Et ? – Je vous demande pardon ?- Chambre 127 et …, il y a bien deux chambres de réservées n’est-ce pas ?- Désolé Monsieur, je ne vous suis pas, il y a une chambre réservée au nom de M. et Mme D’Ernemont.Cette dernière réponse fit éclater de rire Caroline (je vous ai dit qu’elle avait un naturel gai), moi ça ne me fit pas rire du tout, la fameuse confusion avait encore fait des siennes.Le moment n’était pas à chercher d’où venait l’erreur mais à trouver une solution de rechange. Hélas le réceptionniste nous confirma qu’aucune chambre n’était güvenilir canlı bahis siteleri libre dans l’hôtel, qu’il pouvait à la rigueur nous confier des coussins supplémentaires pour que l’un de nous (devinez qui ?) utilise au mieux le canapé disponible dans la chambre et nous laissait peu d’espoir de trouver une chambre dans un autre établissement.Nous avons donc rejoint la 127 et au premier coup d’œil j’ai vu qu’il y aurait un problème. Le canapé était bien trop petit pour que je puisse y loger mes 184 cms et la galanterie (foutue galanterie) m’interdisait de le laisser à Caroline. Etonament, cette situation la rendait hilare, elle me dit qu’on trouverait un moyen de dormir confortablement quand-même.Je la laissais defaire ses bagages et sortait au plus vite vérifier les dires du réceptionniste et le taux de remplissage des hôtels du voisinage. Au bout d’une heure j’ai dû convenir qu’il avait raison et je suis rentré passablement abattu.Caroline était en train de se doucher et je commençais à faire contre mauvaise fortune bon cœur en essayant d’arranger au mieux le canapé rouge.Lorsqu’elle est sortie, j’ai eu droit au premier lot de consolation de cette situation ubuesque : Elle était en nuisette descendant à mi-cuisse sous laquelle pointaient deux petits tétons revigorés par la douche.Cette vision me remit de bonne humeur et je repris mes activités de déballage (pas de mon petit matériel, rassurez-vous) tout en lui narrant mon expédition de la dernière chance et en ne manquant pas, dés que possible, de jeter un regard rapide sur ses formes avenantes. Elle parassait à son aise et semblait trouver la situation tout à fait naturelle, déambulant en toute simplicité dans la pièce, séchant ses cheveux à l’aide d’une serviette ce qui faisait se trémousser ses petits seins rendus à leur liberté. Elle finit par s’asseoir en tailleur sur le lit et comme je continuais à m’affairer je pu, sous un certain angle, nettement distinguer le blanc d’une chaste petite culotte de coton couvrant son entre-jambes. Mon coté épicurien trouvait ce soir là une bonne occasion de sépanouir.Après ma douche nous avons décidé d’un commun accord d’éteindre très vite la lumière pour récupérer un maximum. Dans le noir j’essayais d’optimiser ma position dans le canapé sans grand succés.A ma première chute (au bout d’un quart d’heure) Caroline pouffa et dit « je compatis », à ma deuxième chute (dix minutes plus tard et non intentionnellement je le précise), elle me dit plus sérieuse « A ce rythme, tu ne va pas dormir de la nuit, c‘est ridicule Christophe, le lit est assez grand pour nous deux, on est des adultes responsables, ce n’est pas parce qu’on va s’alonger côte à côte que l’on va se jeter l’un sur l’autre comme des ados post pubères.J’ai un T-shirt et une culotte, tu gardes ton caleçon, on ne va pas se toucher, on va dormir chacun de son côté ».Elle avait raison, je me suis alongé à coté d’elle, elle m’a tourné le dos et éteint la lumière.Je n’aurais pas su dire si j’étais déçu ou rassuré par sa tirade, toujours est-il que j’étais harrassé et que je me suis endormi d’un bloc aux cotés de mon beau petit lot.JOUR 2 – Lundi.J’ai dormi comme une souche ; au petit matin mes sensations m’envoyaient des signaux contradictoires : d’un coté je me demandais où j’étais, d’un autre je ne me demandais pas avec qui j’étais puisqu’une tête blonde habituelle dormait sur mon épaule. En quelques secondes, mon cerveau fit la mise au net et je réalisais que la tête blonde n’était pas du tout habituelle mais que caroline dormait effectivement la tête dans le creux de mon épaule, un bras en travers de ma poitrine et une jambe sur mon bas ventre, me compressant la vessie.La soudaineté de la révélation me fit me redresser légèrement ce qui réveilla Caroline. Elle eut visiblement les mêmes difficultés pour se situer et soudain elle écarquilla les yeux, s’écarta vivement.- Oh merde ! Désolée.- Y’a pas de mal, bien dormi ? – Pour des gens qui ne devaient pas se toucher s’est raté.- C’est pas grave, on est des adultes responsables n’est-ce pas ? Nous nous sommes préparé chacun de notre coté, avons pris le petit déjeuner ensemble, comme si rien de particulier ne s’était passé et nous avons pris le chemin des salles du séminaire.Pendant la journée, nous n’étions pas forcément dans les mêmes ateliers et nous ne nous revîmes que le soir pour un dîner en tête-à-tête.La discussion porta surtout sur le boulot et sur le séminaire puis glissa peu à peu sur nos vies respectives et étant donné notre relative intimité, nous avons abordé des thèmes plus personnels tels que nos relations de couple.Apparemment, ça marchait fort avec son mari et ils envisageaient d’avoir un enfant dans l’année. De mon coté, je lui racontais comment tout allait bien pour nous (c’est la vérité) et cela sembla la rassurer. D’un commun accord, nous avons cependant décidé de cacher à nos conjoints respectifs le fait que nous faisions lit commun, il n’était pas nécessaire d’exacerber la jalousie naturelle de ma Dorothée alors que tout cela se faisait en tout bien tout honneur.Nous avons d’ailleurs décidé de garder le secret vis-à-vis de tout le monde et notamment au bureau où je n’avais pas envie de subir pendant dix ans les allusions graveleuses de Gilbert.Nous avons passé la fin du repas à parler des joies ( parfois toutes relatives) de la paternité et de la maternité et avons décidé de nous couché tôt pour assimiler une première journée fatigante et préparer la suivante qui promettait de l’être tout autant.Au retour dans la chambre, j’ai eu droit, comme la veille, güvenilir illegal bahis siteleri à mon petit défilé de nuisette que j’appréciais toujours beaucoup, je pense qu’elle s’en est aperçue mais elle a continué de vaquer à ses occupations, j’étais apparemment devenu un bon pote. Je pus donc reluquer ses ganbettes presque librement en faisant à peine mine de lire un bouquin (que j’avais quand même mis dans le bon sens).Ensuite extinction des feux, chacun de son coté, comme un vieux couple.Seulement, étant moins mort de fatigue que la veille, j’ai eu un sommeil un peu plus léger et j’ai pu me rendre compte qu’elle avait, elle, le sommeil agité, parlant, sursautant, se tournant, se retournant. A plusieurs reprises, je me suis fait réveiller par une main, un bras ou une jambe arrivant sur moi. Au milieu de la nuit, elle me caressa la poitrine en gémissant « chéri ». Je restais de marbre. Quel gentleman ce Christophe.JOUR 3 – Mardi.Le deuxième réveil fut moins vaseux mais tout aussi agréable. Caroline était de nouveau collée à moi mais plus bas : La tête sur le coté de ma poitrine, un bras sur mes abdos et une jambe sur une de mes jambes.Il avait fait chaud dans la nuit et les draps étaient tous tassés au fond du lit, de plus, à force de se retourner sans cesse, sa nuisette était remontée jusqu’au niveau de sa taille, dans le jour naissant je pus donc contempler à loisir la courbe somptueuse de ses petites fesses gainées dans une petite culotte rose cette fois-ci.De ma main libre, j’osai lui caresser très légèrement ce qui était à ma portée : les cheveux, son coté, sa hanche puis la jambe qui m’enjambait. Je goûtais la douceur exquise de sa peau.Elle commença à s’agiter et je pensai qu’elle allait se réveiller mais au contraire, elle se mit à nouveau à murmurer « chéri » et sa main commença à me caresser le ventre puis glissa sur mon caleçon où elle entama un pétrissage très doux de mon appareil 3 pièces. Le principal intéressé n’en demandait pas tant et j’affichais rapidement une érection de première catégorie qui ne demandait qu’à s’échapper du caleçon.Elle arrêta assez (trop ?) rapidement, sa main tomba sur le drap et deux minutes plus tard, elle s’éveilla pour de bon : Elle écarquilla les yeux, se recula en rabaissant sa nuisette :- Oh merde ! Désolée. (Tiens ! comme hier)- Y a pas de quoi, tout le plaisir était pour moi.Son regard s’arrêta sur mon caleçon tendu comme une toile de tente et en souriant :- Oui je vois, vous êtes vraiment tous les mêmes les gars, au réveil c’est le garde-à-vous.Je ne crus pas nécessaire de préciser qu’elle était à l’origine de mon embarras et la laissai se lever et se préparer dans la salle de bains en attendant que ça passe.Après une douche rapide, j’étais en plein rasage manuel lorsqu’elle frappa à la porte de la salle de bains que je n’avais pas verrouillée et entra avant que je n’aie eu le temps de lui répondre.- Excuses-moi, j’ai oublié ma brosse.- Ne te gène surtout pas !- T’inquiètes pas, j’ai déjà vu des mecs à poils.Puis regardant mon coté pile avec insistance :- Dis-donc t’es plutôt bien conservé pour ton age !- Vas-y appelles-moi pépère pendant que tu y es ! Dégage voyeuse !- Mais non je plaisantais mon chou ! Et elle sortit en me mettant une main aux fesses.A nouveau, je me demandais si cette ambiance de vestiaire de foot me rassurait (pas de tentation avec un pote) ou me décevait (j’étais tenté d’être tenté).La seconde journée de masturbation intellectuelle se déroula comme la première.Lors des deux dernières heures, je me retrouvais dans une salle quatre à cinq rangs derrière ma colloc du moment.Mon œil fut attiré par un étrange manège, Caroline n’arrêtait pas de gigoter sur son siège, changeant de position toutes les cinq minutes.A la fin de la session, je lui demandais ce qu’elle avait.- J’ai failli me ramasser dans les escaliers ce matin, je me suis rattrapée de justesse mais j’ai dû me froisser quelque chose, j’ai un mal de dos infernal qui n’a pas cessé d’empirer tout au long de la journée, à la fin je n’en pouvais plus.- Puisque c’est fini profites-en pour aller t’allonger jusqu’au repas (des collègues de province nous avaient invités à nous joindre à eux ce soir là).Je l’accompagnai jusqu’à la chambre.- Tu devrais consulter un médecin, il y a toute la gamme à disposition qui squate tous les hôtels de la ville, je suis bien placé pour le savoir.- Non ça va aller, une bonne nuit et demain je pète le feu, par contre, tu peux me décommander pour ce soir, j’ai pas faim, de toute façon on mange trop dans ces stages.- D’accord, mais je te conseille au moins de prendre une longue douche très chaude pour te relaxer.- OK- Si tu veux, je peux te faire un massage du dos, il paraît que je suis très doué pour ça.- C’est vrai ? Tu ferais ça pour moi ?- Et avec plaisir en plus !- Alors là t’es un amour, j’adore les massages et je suis sûre que ça me ferait un bien fou.- Pas de problème, pendant que tu prends ta douche, je file décommander les provinciaux, m’acheter un sandwich et chercher une huile de massage à l’arnica dans une pharmacie.(Je réponds d’emblée aux moqueurs que j’entends déjà : non je ne lui ai pas proposé le massage uniquement pour pouvoir la mater presque nue et pour pouvoir la peloter à volonté. J’ai un réel don, la suite vous le prouvera. Mais bon, je n’allais pas le faire les yeux fermés et avec des gants, vous commencez à me connaître).A mon retour, elle m’attendait à plat ventre sur le lit, parlant à son mari au téléphone, habillée d’une petite culotte bleu pâle, un oreiller coincé sous la poitrine et un autre güvenilir bahis şirketleri sous les hanches.Je m’arrêtais une minute pour contempler le tableau : tout simplement divin. Cette seule vue suffit à m’émoustiller les hormones. Elle était magnifique : alanguie, offerte. Sous la lumière tamisée, ses courbes étaient un appel à la caresse… et plus si affinités.-Bisous mon amour, à demain. Elle raccrocha.Je repris mes esprits, me mis à mon aise (T-shirt et pantalon de sport), m’installai à coté d’elle, lui dégageai doucement les cheveux qui cachaient sa petite nuque et glissai deux doigts sous l’élastique de la culotte pour d’autorité lui surbaisser ladite culotte de trois bons centimètres afin d’avoir accès à tous les lombaires (j’aime accroire qu’elle a eu peur que je lui baisse entièrement, elle a eu un léger sursaut mais a laissé faire le « professionnel »). Enfin je lui versai quelques gouttes d’huile sur le dos et laissai mes mains commander la manœuvre.Elles allaient et venaient sur toute la surface de son dos, de la nuque à la naissance des fesses, de son flan droit à son flan gauche, alternant les pressions fortes des paumes avec les caresses légères du bout des doigts, les mouvements rapides puis lents.Je n’ai pas besoin de préciser l’effet que me faisait cette séance. D’ailleurs, le massage lui fit de l’effet à elle aussi car, dés le début, elle se mit à pousser des petits grognements de contentement.Je délassais ses muscles endoloris, relaxais ses ligaments, pétrissais sa peau douce avec un plaisir grandissant.A plusieurs reprises, je glissais mes doigts sous l’élastique de sa culotte déjà plutôt basse pour caresser un peu plus loin ses petites fesses, elle ne sembla pas s’en offusquer.Ses grognements s’accentuaient, elle soufflait quelques mots : « Oh oui », « c’est bon », « plus haut », « plus bas » , « là oui », « plus fort », « oui comme ça » et son préféré : « Hummmmmmmm ».Je me disais que si quelqu’un écoutait à la porte, il serait convaincu que nous faisions l’amour.A un moment, elle m’a dit : – Hummm, tu es un dieu du massage, tu sais que tu as raté ta vocation.- Merci, on me l’a déjà dit.Je continuais le massage pendant de nombreuses minutes sans que cela me semble interminable, j’aurais pu continuer toute la nuit comme ça.Ses grognements se doublèrent petit à petit de gémissements et étonnamment, alors que le massage avait pour but de la détendre, elle se mit à se tendre par à-coups puis brusquement son bassin fut agité de soubresauts, se calma puis trembla de nouveau et cela recommença à deux ou trois reprises.Ou je n’y connaissais rien ou bien ma patiente venait de connaître un bel orgasme.C’était la première fois qu’un de mes massages avait un tel effet et j’en n’étais pas peu fier, même si je la soupçonnais de s’être aidée de ses doigts grâce à la main qu’elle avait glissée sous elle.Mes mains continuant leur office, Caroline murmura « merci » et au bout de quelques minutes, s’endormit.Il était 21 H 30, j’étais à genoux à coté d’une fille superbe quasiment nue et endormie, avec un gourdin à vous faire exploser le slip. Qu’auriez-vous fait à ma place ?J’ai laissé mes mains courir lentement sur son corps, préférant les parties n’ayant pas eu droit au massage : ses jambes magnifiques et ses fesses fermes. Je m’attardais sur l’intérieur des cuisses, là où la peau est la plus douce.Cela dû la chatouiller car elle remonta une de ses jambes et me donna l’occasion de plonger mon regard sur le petit bout de tissu masquant son intimité. Ce que je vis confirma mes déductions : un sillon plus foncé trahissait l’humidité qui y avait régné quelques minutes plus tôt. La dame avait pris son pied.Me déshabillant pour la nuit, j’attendais ensuite ce qui ne manquerait pas d’arriver compte tenu de sa propension à gigoter pendant son sommeil : Qu’elle se retourne.Un quart d’heure plus tard, je pouvais librement admirer son coté face : De son visage serein se dégageait une impression de pureté, d’innocence, ses lèvres fines, sans artifice, étaient un appel au baiser. Ses petits seins pales et fermes, posés haut, montaient et descendaient lentement au rythme calme de sa respiration. La peau veloutée de son ventre était barrée sur 3 ou 4 centimètres d’une cicatrice, trace d’une ancienne opération qui devait peut-être lui donner des complexes mais qui ne faisait que souligner la perfection du reste. Plus bas, la culotte surbaissée plus tôt par mes soins laissait dépasser quelques poils pubiens blonds-roux ; Cette blonde était une vraie blonde.Il m’est difficile de décrire l’état dans lequel j’étais devant cette créature. Ma petite voix de la raison essayait péniblement de me rappeler que j’étais marié à une femme elle aussi superbe, ma petite voix de la déraison m’incitait à faire fi de tout ça et de profiter du moment présent, de la caresser, l’embrasser et la lécher. Après l’avoir longtemps caressée des yeux, le coté obscur l’emporta et je laissais mes mains épouser la rondeur de ses seins, ils étaient chauds et doux sous mes paumes, leur aréole blonde surmontée d’un joli téton fièrement dressé. Je caressais ensuite lentement son ventre de velours tout en louchant sur le triangle de coton bleu légèrement bombé, dernier rempart m’empêchant d’admirer son Mont de Vénus. Je mourrais d’envie de franchir le Rubicon : glisser mes doigts sous l’élastique de sa culotte afin d’atteindre, en direct, sa toison dorée.A ce moment là, la voix de la raison repris le dessus en me disant que même si son sommeil semblait profond, si par malheur, elle se réveillait en me trouvant la main dans son slip, j’aurais droit à une baffe monumentale et un retour direct et définitif vers le canapé.Cette dernière pensée me coupa dans mon élan, j’ôtai mes mains, persistai encore longtemps à regarder le fruit défendu qu’était son petit corps offert puis arrêtai le supplice, me levai pour aller me soulager dans la salle de bains.

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La directrice de lycée.

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La directrice de lycée.Encore une fois je relate dans mes textes des histoires vécues, étant un véritable érotomane je m’efforce de vivre des situations très perverses.Je suis un homme de 37 ans, ni beau, ni moche, mais je m’intéresse aux femmes et elles me le rendent bien……………………….Une fois de plus je me retrouve en soirée sur un grand site de rencontres amoureuses, celui sur lequel 250 ou 350 personnes se rencontrent par jour…Ma préférence allait a ce moment la vers les femmes plus âgées que moi, je filtre donc et recherche des femmes de plus de cinquante ans. Je dois me rendre compte que la tâche ne sera pas facile car ces femmes la sont méfiantes et pas si facile à aborder que cela. Je parviens tout de même à parler à une dame divorcée, qui n’a aucune confiance en elle, qui se trouve moche et repoussante.Nous parlons comme cela pendant plusieurs soirs, j’apprends qu’elle est la directrice d’un des plus grands lycée de ma ville.A partir de ce moment précis, toute sorte de fantasme m’envahit l’esprit, la directrice d’école, celle qui est en principe, impartiale, sûre d’elle, me fait ressentir quelle n’est en fait qu’une femme perdue…Je la pousse a la rencontrer prétextant que je voulais la découvrir. Elle me proposa un rendez vous un dimanche midi chez elle dans une petite bourgade près de Narbonne, petit lotissement qui respire la bourgeoisie, toute les maisons sont plus belles les unes que les autres. Arrive devant un portail en fer forgé de grande classe, je sonne…Le portail électrique s’ouvre, je rentre, elle m’attend sur le pas de porte. Je vois la une femme mûre, cinquante cinq ans minimum, elle avait du mentir un petit peu sur sa fiche. Vêtue d’une robe d’été qui lui arrive sous les genou, et des claquettes. Elle est assez grande, et charpentée, brune, les cheveux courts. Effectivement rien de très attirant. De plus elle n’esquisse même pas un sourire. Je me revoyait a 15ans au collège devant la directrice qui allait prononcer sa sanction.Je passe outre cela, je pénètre dans la maison, luxueuse, bien décorée, elle me fait visiter, me montre sa piscine, son jardin. Moi je ne pense qu’à une chose, c’est de la dominer…Nous buvons un café sur sa terrasse est je ne vois pas d’issue pour la convaincre a pratiquer un quelconque exploit sexuel.Au bout d’un moment, je lui dis que je n’ai pu me doucher ce matin la, pensant arriver trop tard chez elle, et que de fait je me sentais salle.Sans hésiter, elle me propose sa douche, et m’accompagne même vers illegal bahis ce lieu ou j’allais pouvoir tenter une approche.Je rentre dans une pièce immense avec baignoire et douche, les murs sont en marbre noir, tout est impeccable.Elle part je ne sais ou chercher une serviette, j’en profite pour rentrer dans la cabine de douche, le sexe demi bande, lorsqu’elle revient j’étais face à elle, elle fit comme si elle ne regardait pas et me déposa la serviette.Douche prise, je passe cette serviette autour des hanches, et je sors pour lui demander si elle n’a pas du déodorant, elle se leva de son canapé et partit voir dans sa chambre si il ne lui en reste pas de son ex mari partit depui un an déjà.Une fois derrière elle je fais tomber la serviette, elle se retourne et assiste a la scène, elle me dévisage, des pieds a la tête, ne dit plus rien, et commence a enlever sa robe démodée,elle n’a rien dessous, elle a un sexe très poilu, on peut imaginer que personne ne la touche depuis longtemps…Elle me prit dans les bras comme son enfant, très tendrement,mais cela ne dura pas, elle se mot à genoux et goba mon sexe testicules incluses, je n’avais jamais vu cela, surtout que l’on m’a toujours félicite sur la taille de mes castagnettes, et s’en étouffe…Suce et suce encore comme une chienne en chaleur soumise a son maître…Je sors un préservatif, l’enfile rapidement, et je la pénètre d’un coup un seul en levrette sur son grand lit.Elle hurle, se traite de salope, qu’elle est affamée, je ne pensais pas tomber sur une telle femme.Fin classique je lui éjacule en bouche, elle avale et me dit merci…Elle a des attitudes qui ne trompent pas c’est évident, cette femme a du être soumis son mari qui devait en iLife son objet, son vide couille, e devait même être lui qui lui a irait perdre cette confiance en elle. Vite retrouvée tout de même…Le second rendez vous fut encore plus hard, elle me présenta ses jouets, de gros godes noirs, je me suis amusé à la pénétrer toute une après midi, son anus est aussi large que son vagin, c’est impressionnant, elle a une capacité d’absorption phénoménale, je ne tente même pas de la pénétrer elle ne sentirait même plus mon pénis.A partir de la je décide de passer la vitesse supérieure, via internet je lui soumet de s’habiller sexy, surtout au travail, elle s’exécute, le lundi d’après elle arrivais au lycée en tailleur ouvert sur le côté et décollette. Cela lui fit plaisir car ses collègues de travail lui firent des compliments. Je continu alors de la illegal bahis siteleri travailler et lui impose de ne plus mettre de sous vêtements pour travailler et de mettre des jupes en dessus du genoux. Elle le fit, et s’amusa a me dire que certains élèves la regardaient d’un autre œil maintenant…Je continuais a la baiser chez elle, jusqu’au jour ou je me suis présente à son bureaux, accompagne de sa secrétaire. Elle resta de marbre, allant même à dire devant son assistante qu’elle m’attendait et me présenta comme une personne ayant postulé comme homme d’entretien. Et quel entretien…Je rentre dans son bureau et lui demande dessuite de le sucer, moi assis a la place du proviseur, elle refuse en bloc. Se sentant en position de force dans son bureau. Je sors alors mon sexe, et lui dit de sucer dessuite, elle s’exécute, a genoux devant son bureau, elle me dit que je sens mauvais. Tout a fait normal, je venais de bosser, et pas eu le temps de me laver. Je lui éjacule rapidement en bouche. Elle se relève et me dit, je suis ta pute, je suis ta salope, c’était bon, merci.Je l’invite à s’assoir à la place de l’élève et moi a la sienne.Elle s’exécute, et la je lui demande si elle veut aller plus loin, elle répondit que oui.Ma proposition la laissa de marbre, elle ne s’y attendait pas, je lui demande de convoquer un élève majeur qu’elle trouve mignon, et de le baiser dans son logement de fonction.Elle refuse me disant que ce n’est pas déontologique et qu’elle risquait sa place. Ma réponse fut catégorique, c’est ça, ou j’arrête de jouer. Elle fait partie de ses femmes cérébrales, ma proposition la faîte réfléchir, et elle m avoue une semaine plus tard avoir fantasme sur un ou deux élèves, qu’elle en avait honte, mais que ça lui a procure un plaisir immense.Nous en parlons, réfléchissons a comment établir le plan. En effet c’est la fin de l’année, elle ne risque pas Gand chose, la plupart des élèves majeurs quitteront le lycée dans une ou deux semaines.Je lui trouve une idée, j’ai remarqué que ses élèves venaient tous en voitures et pour la plupart roulent des mécaniques devant l’établissement en faisant rugir les moteurs et radio de leurs autos. Je lui propose de faire un tour des parkings, repérer un jeune plaisant qui la regarderait et de le convoquer pour tapage suite a des plaintes.Cet exercice ne lui fit pas peur, pour réprimander des jeunes elle était forte, mais la elle devait en plus sélectionner un jeune mâle.Le mardi même a 16h45 a la fin des cours elle partit canlı bahis siteleri sur le parking, repéra une voiture ou jeune homme était seul et commençait a accélérer de façon à exiter son voisin, pour une hypothétique course de voiture. Elle l’interpelle, le réprimande, et lui dit suis moi au bureau, ça montrera l’exemple à tes camarades.Le jeune homme sort alors de sa voiture stupéfait. Mais il la suit. Pour ma part j’étais caché dans le bureau a côté du sien, tous les dirigeants ayant désertes le lieu a 17h. Il ne reste dans l’établissement quelle, moi, le jeune et des femmes de ménage.Le jeune la suit dans les escaliers, elle ayant remonté sa jupe au maximum de façon à ce qu’il puisse admirer le haut de ses cuisses.Ils rentrent dans le bureau, je distingue par le trou de la serrure un jeune homme de 19 ans maximum, mince, de petite taille, maximum 1m60. Je me dis mais pourquoi la t elle choisi a lui. Elle fantasmait sur un apollon.Elle vient s’asseoir a l’angle de son burea, dévoilant ses genoux, le jeune homme est lui dépite, limite terrorise, ne faisant que s’excuser. Elle est fort autoritaire, elle le saigne le pauvre et pour rien en plus…Elle fit fort pour faire basculer la situation, elle dit au jeune homme quelle va donner un avis défavorable a sa demande d IUT, et qu’elle va tout faire pour qu’il redouble sa terminale. Le jeune en a les larmes aux yeux, il se tient la tête a deux mains…Et la elle enclencha la manœuvre, elle stoppe le jeune, et lui dit qu’en plus il arrête de latter ses jambes et ses seins. Le jeune n’en peut plus,il ne sait plus ou donner de la tête. Et d’un coup d’un seul, il reprend sur lui, et rejette a la directrice quelle ne fait que se trémousser devant lui et qu’il restait un homme. Elle hotmail son haut et lui demande alors si cela lui plait.Ni une ni deux, le jeune se lève, baisse son pantalon et dévoile un sexe démesuré, lui de petite taille a un pénis au repos dau moins 19cm et fort épais.Elle lui dit alors, eh Beh mon petit vous devez faire plaisir à vos copines… Elle s’avança vers lui, et lui caressa le sexe pour le bander, le jeune se laissa faire, lui,imposa de se mettre à genou, elle suça ce membre sans un mot, le jeune ne réussit pas a tenir, il lui éjacule alors en plein visage. Elle se relève, lui demande prendre congés. Le jeune lui demande alors inquiet pour sa sanction, elle lui dit reviens me baisser tous les jours, n’en parle a personne et tu seras envoye ou tu le désires l année prochaine. Le jeune soulage si l’on prit dire, accepta le deal.Elle mavouera plus tard avoir entendu parler de ce jeune par l’infirmière du lycée qui l’avait examiné et qui avait détecte son membre proéminent. Ils la baisa jusqu’à la fin de l’année, mon aventure avec elle s’arrêta la.

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Le lit d’hôpitalhttp://histoirespornos.blogspot.comRésumé : Immobilisé sur son lit d’hôpital, un patient regarde impuissant sa femme se faire empaler par deux médecins mieux dotés que lui. Mots-clés : Cocu Soumis Bisexuel Voyeur Inconnu Vieux PlusGros GrosSexe Sale Humiliation Hopital************************************************************ D’aussi loin que je me souvienne, je n’ai jamais eu une bonne santé. Adolescent, j’ai eu la varicelle la semaine où je devais coucher pour la première fois avec une fille… bien entendu ma copine de l’époque m’a laissé tomber avant que nous n’ayons le moindre rapport. Pour mon mariage j’ai eu une gastroentérite aigue … j’ai dû passer tout le repas sur les WC … c’est même mon vieux copain Louis qui a ouvert le bal avec mon épouse, Nadia. Cette fois encore, j’étais cloué sur un lit d’hôpital. Mis en quarantaine pour des oreillons très contagieux, cela faisait trois semaines que ma femme n’avait pas eu le droit de me rendre visite. Finalement le virus avait fini par s’affaiblir, et le médecin m’annonça que Nadia pourrait passer me voir dans l’après-midi.Ma femme arriva dès le début des horaires de visite. Tout de suite, j’ai senti qu’elle était excitée. Cela faisait trois semaines que nous n’avions pas baisé et elle était chaude comme de la braise. Ses joues étaient rouges en permanence. Apres avoir sorti quelques banalités, elle commença à me caresser en disant « J’ai envie de toi. » Un peu fatigué, j’essayai de lui faire comprendre que je ne savais pas si je serais à la hauteur, mais elle réfuta « C’est aujourd’hui ou jamais ! J’ai pris ma température ce matin et je suis au maximum de mon cycle fertile » Ça faisait quelques mois que nous essayions d’avoir un enfant mais en vain, résigné, je la laissai continuer. Elle comprit que j’étais trop fatigué pour l’aidé et prit les choses en main. Après avoir vérifié que personne n’était là, elle glissa sa main sous les draps de mon lit d’hôpital et commença à me masturber. Ses mouvements étaient agréables mais j’avais encore des courbatures à cause de la fièvre. Mon sexe restait mou et froid. De toute façon les docteurs m’avaient bien dit que le virus pouvait avoir affaibli d’autres organes, comme les testicules par exemple. Soudain, un homme en blouse bleu ciel entra dans ma chambre. Nadia eut juste le temps de retirer ses mains sans que l’intrus ne se doute de rien. C’était mon médecin, un pakistanais moustachu avec des mains aussi grosses que des gants de baseball. Depuis quelques années, dans le cadre d’un programme d’interchange avec le Aga Khan University Hospital de Karachi, l’hôpital de Perpignan accueillait du personnel Sindhi en formation. Apres s’être enquis de mon état, le docteur me prit la température, puis demanda à ma femme de sortir car il devait me prodiguer quelque soin. Bien entendu, Nadia qui connaissait mon corps par cœur s’y refusa. Le médecin m’expliqua, dans un français parfait, l’objet de son examen « Vous avez encore de la fièvre. Je voudrais vérifier si vous ne soufrez par d’une orchite ourlienne » Comme il voyait que je ne comprenais pas, il continua « L’orchite est une inflammation chronique des testicules provoquée par les oreillons. Pour la diagnostiquer, je vais devoir observer votre appareil génital. Ensuite nous procèderons à un examen bactériologique de votre urine. »Il souleva le drap et mis ces deux mains poilues sur ma jambe. Cela faisait trois semaines que j’étais couché sans voir le soleil, ses doigts épais et basanés sur ma jambe famélique et blafarde offraient un contraste curieux. Il commença par me toucher l’aine. « Ça vous fait mal là ? » Je ne ressentais aucune douleur. Son massage était d’ailleurs illegal bahis plutôt agréable. Je sentis mon sexe tressaillir et tentais de me contrôler… en vain … voilà que j’avais un début d’érection … celle que j’avais refusé à ma femme quelques instant plus tôt. Il fit mine de ne pas s’en apercevoir et prit ma verge entre son index et son pouce. Celle-ci continuait à durcir. J’étais honteux « Ne vous inquiétez pas. » dit-il en riant « J’en ai vu d’autre, et puis c’est un signe de bonne santé. Votre érection est un symptôme que votre appareil génital fonctionne correctement. J’ai aussi l’impression que votre scrotum va bien, il n’a pas l’air enflé » Avec son autre main il commença à me soupeser les bourses. Mon pénis en érection pointait vers le plafond. Nadia me regardait avec une étrange expression que je n’arrivais pas à déchiffrer clairement, à la fois coquine et frustrée. J’avais hâte de me retrouver seul avec elle dans la chambre. Je fermais les yeux et essayais de contrôler ma respiration. Le médecin continuait de palper mes testicules pleins de spermatozoïdes accumulés au cours des trois semaines de chasteté. Un peu de liquide séminal perla sur mon gland Pour obtenir une meilleure adhérence il agrippa fermement mon pénis. Le frottement de ses doigts contre mon gland dur et sensible me fit frissonner. Il serrait mes testicule en disant « Tout va bien, ils ont l’air sains » Le toucher de sa main rugueuse sur mes couilles était différent de la douce main de mon épouse. Il y avait un feu d’artifice dans mon cerveau. Je pus à peine réagir « Docteur !!! » criais en lâchant quelques éjaculation dans l’air. Ma femme ne perdait pas une miette du spectacle. Elle avait les yeux grands ouverts la bouche bée et les joues encore plus rouges que tout à l’heure. Un de mes jets atterri directement sur l’entrejambe du médecin. « Oh non ! » cria t’il. Il avait soudainement perdu sa bonne humeur. Il montra les petites goutes blanches accrochées au pantalon de son uniforme. « Que vais-je faire, tout le monde va voir que c’est du sperme ! » Sans rien dire, ma femme s’agenouilla et commença à lécher mon foutre pour nettoyer son pantalon. J’étais interloqué et lui demanda « Lève-toi ! Qu’est-ce que tu fais ? » Elle me répondit sèchement « Je fais ce que je suis venu faire ici. Si tu n’es pas capable d’assurer, il faudra bien que quelqu’un d’autre s’occupe de moi !» Je protestais vivement depuis mon lit quand j’aperçu quelque chose de long et épais se déplacer sous la toile du pantalon du docteur. La bosse qui grossissait dans ses vêtements m’intimidait. Même quand la blouse fut propre, mon épouse continua d’astiquer l’entrejambe du docteur. A ce moment, un autre médecin pakistanais entra dans la chambre. Il avait plus de la cinquantaine. Son crâne rasé, ses moustaches blanches et sa carrure de déménageur lui donnait un air de Gandhi qui aurait joué au rugby. Il avait l’air choqué et dit quelque chose que je ne compris pas. Le jeune docteur lui expliqua en anglais, l’accident qui venait de lui arriver. Ce nouvel gêneur s’approcha de mon lit, ramassa un peu de sperme de mon torse et avec son doigt l’étala sur l’entrejambe de son pantalon « Moi aussi je suis taché, tu ferais mieux de me nettoyer. » Nadia incontrôlable se tourna vers lui et commença à promener sa langue autour de sa queue cachée sous le fin pantalon. Je regardais le spectacle passivement, j’étais complétement désolé. Pendant ce temps, le plus jeune ouvrit sa braguette et sorti un chibre noir et épais qui me faisait penser aux boudins que ma mère m’avait forcé à avaler pendant mon enfance. Son gland obscur luisait de liquide séminal. Il prit une autre goutte de mon illegal bahis siteleri sperme et se le barbouilla sur le bout de sa grosse bite. Il se plaça à côté de son collègue et dit en menaçant mon épouse de son gourdin d’ébène « Je crois que j’en ai là aussi» Puis il poussa sa queue massive dans la bouche de ma femme. L’autre profita de ce moment de répit pour sortir sa bite dure de son pantalon. Elle n’était pas aussi longue que celle de son compatriote mais restait bien plus grande que la mienne. Elle avait de larges veines bleues et une belle peau mate. Il s’approcha de moi et la posa sur mon oreiller. J’eu un geste de recul et il me dit en souriant « Bon, j’insiste pas, mais j’aurais demandé ton aide. Tu ne pourras plus te fâcher de ce qui va se passer … il va bien falloir que je fasse quelque chose avec ça » Il se plaça derrière ma jolie moitié pliée en deux pour sucer la grosse bite noire. Il leva sa robe. À ma grande surprise, Nadia ne portait pas de culotte. «Ta femme est vachement humide » Dit-il en mettant trois doigts dans sa chatte. « Je vous en prie, ne la touchez pas » L’implorai-je. Nadia interrompit mes lamentations « C’est aujourd’hui ou jamais ! Je suis sure que sa grosse queue va arriver à faire ce que ton petit haricot n’est pas capable. J’ai besoin d’un homme, un vrai ». J’étais abasourdi. Elle était féconde et elle allait laisser ce membre érectile s’introduire dans sa vulve.L’athlétique étranger repris « Regarde ses lèvres épaisses, regarde le jus qui coule et qui dégouline sur ma main. Elle est prête à se faire enfiler par n’importe quel étalon. C’est une invitation pour ma grosse bite. Je vais la baisser comme une pute bon marché. » Il frotta sa queue contre sa vulve « Waou, elle englouti ma trique facilement. C’est comme si je mettais ma main dans un gant » Il continua de la pistonner pendant un moment en faisant des commentaires salaces. Puis ce fut le tour le plus jeune. Il s’assit sur mon lit sans faire attention à mes jambes puis souleva Nadia et l’assit sur son membre encore plus épais qu’avant. Il me dit « Que c’est bon ! Sa chatte est tellement serrée autour de ma bite ! Je la sens palpiter … Ta femme est une salope ! … Je vais la défoncer avec ma grosse queue, après ça, sa chatte sera trop étiré pour ta bite paresseuse » Mon épouse, couchée sur son estomac, haletait de plaisir. C’était très érotique de la voir faire des efforts pour contenir ce pieu turgescent. Parfois elle me regardait en disant « Prend des notes, c’est de ça dont j’avais besoin, pas de ton sexe rachitique. » Le second docteur, incapable d’attendre plus longtemps se plaça derrière elle et poussa sa queue veineuse entre les lèvres de mon épouse. Les deux grosses bites s’enfonçaient ensemble dans la vulve ma femme. Le lit bougeait de plus en plus violement et moi avec. Nadia criait de plus belle. J’avais le sentiment que j’allais la retrouver complétement distendue, et que plus jamais je ne serais capable de la satisfaire. Dorénavant, elle aurait toujours besoin d’énormes queues pour apaiser sa chatte en feu. Les gémissements de Nadia et les râles des deux pakistanais emplissaient ma chambre. Un membre du personnel chargé de l’entretien de l’hôpital, fut attiré par le bruit. Le curieux, qui devait sans doute passer la serpillère dans le couloir, entrouvrit la porte et pénétra dans ma chambre. C’était un homme à la peau grise, peut-être était-il aussi pakistanais. Il avait largement dépassé l’âge légal de la retraite. Il avait l’air sale et n’avait plus beaucoup de dents. Quand il prit connaissance de la situation, ses yeux sautèrent de leur orbite. Derrière lui, il ferma la porte à clé. Sans ne rien demander canlı bahis siteleri à personne, il enleva sa salopette et libera son sexe. Sa queue énorme pendait jusque à mi-cuisse. Elle était longue, noueuse et ridé. Jamais je n’en avais vu de pareille, ni dans les vestiaires de mon gymnase, ni dans les revus de mon adolescence. Elle était sale et hirsute ; ses poils clairsemés poussaient presque jusqu’à son gland. Il s’approcha de moi et sans aucune forme de procès, commença à gifler mon visage avec son membre flasque. Uns drôle d’odeur émanait de sa grosse bite moite, un peu comme quand vous vous grattez l’anus et que vous vous reniflez les doigts. Il avait dû baiser un trou du cul plein de merde et ne s’était pas nettoyé la queue ensuite. Je pouvais aussi voir le fromage blanc qui s’était accumulé sous son prépuce. Il empoigna sa bite dans une main et la promena devant mon nez. J’essayai de reculé mais j’étais bloqué par le poids des trois autres qui baisaient su mon lit. « Renifle ma grosse bite, sale pédé ! Sent comme elle pue ! » Ordonna t’il en écrasant son gland contre mes narines. L’odeur envahit mon esprit. Je pensais que je serais dégouté, mais mon pénis commença à durcir tandis que je respirais l’odeur musquée de sa vielle bite sale. Il frotta son prépuce boursouflé sur mes lèvres. Inconsciemment, je léchais les plis charnus de ce morceau de peau fripé. Le goût acidulé et légèrement amer avait un effet aphrodisiaque sur mon esprit engourdi. Je continuais de sucer sa queue qui durcissait à chaque coup de langue. Un liquide transparent coulait abondamment de son méat. Pendant quinze minutes je lapais son gland et avalais cette liqueur collante.Pendant tout ce temps, les deux médecins pilonnaient ma femme. Le plus vieux des deux grogna, il poussa sa bite à l’intérieur de Nadia et lâcha sa puissante semence dans le vagin de mon épouse. Une fois qu’il avait tout déchargé, sa queue glissa a du trou en faisant un « Plop ! » Le plus jeune continua de pénétrer sa chatte fertile pendant 5 minutes, puis il enfonça sa bite jusqu’à ce que les deux pubis se touchent. Le corps de ma femme vibrait tandis que le jeune docteur se vidait complétement en elle. Ses spermatozoïdes étaient déjà sans doute à l’orée de son ventre, prêt à la féconder et lui laisser un bébé pakistanais dans le tiroir. Je sentis que la bite du vieil agent tremblait, il n’allait pas tarder à venir lui non plus. Il retira sa gosse queue de ma bouche et mis debout derrière ma femme qui s’était affalé sur mon lit. De ses vieux doigts il écarta l’anus de mon épouse et commença à enfoncer sa bite majestueuse « Comme son cul est étroit ! Tu es vierge ? » En effet, c’était une première et il allait la déchirer avec son pieux monstrueux. Nadia hurlait de douleur, mais poussait son bassin pour aller à sa rencontre. Le vieux la pilonna comme un bourrin pendant peu de temps puis éjacula pendant une bonne minute. Ces couilles poilues s’agitaient nerveusement tandis qu’il versait toute sa purée dans les entrailles de mon épouse. Ma femme se leva et se plaça à califourchon sur mon visage. Elle plaça ses mains sous ma nuque et souleva ma tête. Sa chatte dégoulinait sur mon nez. Le jus poisseux des trois étalons me brulait la peau. Le plus jeune des trois me dit « Tapette ! Nettoie ta femme ! » Ensuite, tout en écrasant ma figure contre ses lèvres et son anus Nadia ajouta « Avale tout tant que c’est chaud ! » Je buvais tout le foutre mélangé des employés de l’hôpital. Sa chatte était complètement mutilée. Malgré ma bouche pleine j’essayais de le lui faire comprendre. « Ne t’inquiète pas pour moi » me répondit-elle « Tu ne l’utilisera plus. Je suis déjà enceinte, je le sens ! » Elle avait raison, les mois suivants son ventre s’arrondis. Elle dû retourner souvent à l’hôpital pour faire des échographies. Je ne me suis pas inquiété je sais qu’elle était suivie de près par deux médecins … Date : 20/06/2013 20:55

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Mon voisin de palier

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Mon voisin de palierJe vis dans un appartement au 6ème étage d’un immeuble haussmannien. Avec ascenseur. Il y a deux apparts sur le palier, le mien et la porte en face, c’est un couple assez sympa. On se croise, on se dit bonjour. Elle est ravissante, et lui plutôt sexy, un très beau cul, un beau sourire, un peu petit à mon goût, je préfère les hommes plus grands que moi, mais il est très costaud. Ils ont un bébé tout neuf, ils viennent d’aménager.Il y a quelques semaines, je me retrouve sur le palier avec lui le matin. On attend l’ascenseur, on parle de tout et de rien, je le taquine un peu parce qu’il baille à s’en décrocher la mâchoire, il explique que le bébé pleure beaucoup… et qu’il dort peu. Quelques jours plus tard, même scénario, autre dialogue « Vous avez l’air moins fatigué, le bébé fait ses nuits ? » « Oui… enfin, non, mais sa maman dort avec lui dans une autre chambre » je ne peux pas me retenir « C’est sympa pour la vie de couple » il soupire « C’est sûr ! » et moi : « ça ne vous manque pas ? » il a l’air surpris par ma franchise et ma question directe, hésite puis répond « Si, je suis hyper frustré, j’aime ma femme mais ne plus faire l’amour depuis des mois… » Je saute sur l’occas « Si je peux faire quelque chose pour vous, n’hésitez pas. » et je me colle à lui en lui caressant le sexe à travers la toile de son jean. « Qu’est ce que vous…? » J’appuie sur le bouton STOP, me mets à genoux devant lui, déballe son membre déjà raide et l’enfourne dans ma bouche… quelques minutes plus tard, il a déjà giclé dans ma gorge, j’ai avalé son jus parfumé… Je débloque le STOP, l’ascenseur reprend sa course… Arrivé en bas, il est souriant, il me dévisage, stupéfait et heureux…. « Est-ce que… » « Oui, demain, même endroit, même heure ? » Il souffle « Oui. » Pendant plusieurs jours, nous nous retrouvons tous les matins dans l’ascenseur où je le suce. Il a une très belle queue pas très longue mais trapue, comme lui, elle me remplit la bouche complètement, et sa jute est très bonne, un peu sucrée. Après une semaine de ce régime, il prend son temps pour gicler, cela dure plus longtemps, c’est délicieux et quand je sors dans la rue, je suis mouillée comme une chatte en chaleur. Je passe mes soirées à me masturber en pensant à lui, à sa bite… je me branle avec vibro ou gode, j’attends chaque matin avec impatience. Une semaine passe et je fais faire un double de mes clés. Le matin suivant, pas de pipe. Je lui donne les clés et, pendant que ma main s’active dans son pantalon, je lui explique ce que je veux. Je veux qu’il vienne chez moi dès qu’il le veut, dès qu’il le peut, et qu’il m’encule diret. Il part bosser avec ses couilles pleines et ma clé dans sa poche.Le soir, je m’endors après une petite séance de vibro, chatte et cul en alternance, j’ai jouis mais de cette jouissance un peu frustrée que provoque la masturbation… J’aime tellement être surprise, prise par une force mâle, j’aime me sentir envahie par une chaleur palpitante… Donc, ce soir-là, je m’endors… et je suis réveillée par le bruit de la clé dans la serrure de mon appart…. Mon güvenilir bahis cœur accélère, j’ai l’entrejambe trempé en moins de deux… je dors à plat ventre, nue… je bouge un peu, et remonte les genoux vers ma poitrine, la tête toujours posée sur mon oreiller, quand il entre dans la chambre, je lui offre mon cul en l’air « allez, viens, encule-moi… » et quelques secondes plus tard, il enfonce deux doigts dans ma chatte pour récupérer mon jus, l’étale sur ma rondelle, pose son gland sur mon entrée serrée et pousse jusqu’à ce que mon cul s’ouvre et prenne sa queue entière… Je gémis de me sentir pénétrée aussi fort, sa queue est vraiment grosse… et je l’encourage… « Viens, prends-moi, défonce –moi. » « Je peux… ? » « Oui, prends tout ce que tu veux. » Et il se met à aller et venir, à élargir mon petit trou qui se dilate, la douleur du début fait place à un plaisir intense, il va et vient, ressors entièrement sa queue pour mieux s’enfoncer à nouveau, il accélère ses mouvements, je jouis violemment, bruyamment… puis je sens mon cul se remplir de jets brulants, un dernier coup de rein, il se retire et je lui murmure « Merci, à plus tard. » La porte se referme derrière lui, je reste le cul en l’air, sa semence qui commence à couler entre mes fesses. Je bascule sur le coté… je finis par m’endormir, satisfaite. Le lendemain matin, petite pipe dans l’ascenseur.Pendant plusieurs semaines, il vient quand il veut, il entre chez moi, m’encule, gicle et repars… Plusieurs fois le matin au réveil, le plus souvent la nuit quand je dors. Nous nous entendons à merveille, nous parlons peu mais suffisamment pour que je l’apprécie beaucoup. Les choses sont claires entre nous : il aime sa femme, je ne veux pas briser une famille, il satisfait mes désirs, je satisfais les siens. On ne fait rien d’autre que de baiser : fellations et sodomies.Mon anniversaire arrive. Je lui en parle et lui propose de m’organiser une petite fête. « Tu as bien des collègues, des amis qui pourraient être intéressé par mon joli petit cul et ma bouche gourmande ? J’aimerai que tu m’organises un moment spécial, SM » Il hésite « je n’ai jamais fait çà », puis accepte. Le soir arrive, nous avons choisit un weekend où sa femme et le bébé sont dans la famille. Il vient dès que j’arrive du boulot le soir, me soulève la jupe, écarte ma culotte et me sodomise debout dans le couloir… puis il me conseille d’aller prendre une douche et prépare la tenue qu’il souhaite me voir porter, une combinaison toute simple en résille, ouverte sur mon sexe bien sûr et laissant aussi un accès direct à mes seins. Des cuissardes noires à talons de 10 cm… Il me demande de relever mes cheveux pour découvrir ma nuque. Quand je sors de la salle de bain, il m’attend avec un sac à coté de lui sur le lit. Il commence par me faire tourner sur place pour m’admirer puis il se place derrière moi, m’attache les bras dans le dos, chaque main au niveau du coude, avec un jeu de bracelets de cuir ; puis il écarte mes fesses et m’enfonce un plug dans l’anus. Je suis un peu surprise, pour quelqu’un qui ne connait rien… mais türkçe bahis je ne suis pas à la fin de mes surprises. Il me fait faire un demi tour, sort du sac un accessoire métallique que j’ai à peine le temps de voir, il m’embrasse à pleine bouche (c’est la première fois !) et quand il se recule, il m’installe avec une agilité stupéfiante un écarteur de bouche ; c’est la première fois que je porte ce type d’accessoire et cela me flippe un peu, mais je lui fais confiance et, de toutes façons, c’est trop tard pour reculer. Pour finir, il sort deux jeux de pinces de son sac à malice, pose le premier sur mes tétons, des pinces menottes qu’il serre au maximum, elles sont reliées par une chaîne, puis il pose le deuxième jeu sur mon sexe : la première pince sur la grande lèvre de gauche, la deuxième sur celle de droite, les deux pinces étant aussi reliées par une chaîne mais celle-ci passe autour de mes hanches et quand il tire dessus, mon sexe s’ouvre comme une fleur… Il fait quelques essais. Il a l’air content de lui. Je suis là, debout, offerte, soumise entièrement à ses fantasmes, l’excitation et la peur me font mouiller. Il m’explique qu’il a recruté des hommes sur un site de rencontre, il les a rencontré, leur a expliqué la situation et leur a expliqué ce qu’il attendait d’eux. Ils les a choisit plutôt séduisants, il sait que j’aime les beaux mecs, mais il a surtout guidé son casting sur leurs mensurations imposantes. Je ruiselle. La sonnette retenti, c’est parti ! Ils sont deux. Ils commencent par me reluquer en commentant « putain, elle est canon, tu l’avais dit, mais là… » « elle mouille déjà la cochonne » « dis donc, tu nous l’as bien préparée… » Mon voisin leur demande de faire un tour à la salle de bain, d’y laisser leurs vêtements. Quand ils ressortent tous les deux ont la queue dressée, deux gros morceaux. C’est sûr, ça va être ma fête !Ils commencent par jouer avec moi, ils tournent autour de moi, l’un tirant sur la chaîne autour de ma taille pendant que l’autre admire la vue et en profite pour me doigter allègrement en tirant sur la chaîne reliant mes tétons, l’autre rejoint les doigts déjà dans ma fente et ils me branlent à deux, me soulevant quasiment du sol. Quand je jouis une première fois, ils ont l’air satisfaits de leur efficacité, mon voisin m’att**** par la nuque et me pousse à genoux, la bouche écartée, il s’enfonce en moi et me baise jusqu’à ce qu’il envoie la sauce, j’avale tout ce que je peux, j’ai à peine fini qu’un des mecs me pousse brutalement en levrette, retire le plug et m’encule sauvagement, je hurle de surprise et de douleur mais mon cri est vite étouffé par l’autre qui s’enfonce dans ma bouche… ils s’en donnent à cœur joie et j’ai l’impression que je suis une poupée gonflable, que crois m’évanouir quand celui qui m’encule tire d’un coup sec sur la chaine sur ma taille et écartèle mon sexe pendant qu’il me détruit le cul… Les deux giclent presque en même temps, le premier dans mon cul, le deuxième dans ma bouche… son sperme a un goût horrible et j’ai du mal à avaler… Je commence à avoir mal à la mâchoire, güvenilir bahis siteleri je ne sais pas si mon voisin s’en rend compte ou s’il (se) sent (que je suis) débordé(e) mais il me libère la bouche en expliquant que je suce mieux sans, puis il m’aide à me relever. Mon cul dégouline de jute. Il donne des cravaches à chacun d’entre eux et ils commencent à me frapper… doucement d’abord, chacun s’occupe d’une zone : mon voisin de ma chatte qu’il n’a jamais prise, celui qui vient de m’enculer se place devant moi, att**** la chaîne et frappe mes seins en les tirant vers le haut, le bas, vers lui… le dernier lascar s’occupe de mes fesses dégoulinantes, les coups tombent en rythme, je couine et sursaute… mon voisin demande à celui qui est derrière moi de tirer sur la chaîne sur ma taille « vas-y, plus fort, oui, comme ça » j’ai la chatte écartelée, et les coups de cravaches me brulent le sexe, mon clito est gonflé, rouge… je supplie « non, non… » Mes larmes coulent et je tremble mais soudain une jouissance inconnue monte et me submerge, je hurle de plaisir… Ils se réjouissent « regarde comme elle prend son pied la salope… quelle chienne » « putain ça m’excite, je peux l’enculer ? » Il att**** ma nuque, me dirige vers mon lit et me couche dessus, genoux au sol. Il me sodomise avec un plaisir ouvert « il est vraiment bon ton cul ma belle, il s’est déjà resserré. Hum, je suis bien dedans, t’es une belle enculée p’tite salope » pendant qu’il me démonte le cul, mon voisin détache mes bras et viens s’assoir devant mon visage, jambes écartées, je me relève en appui sur les coudes et englouti immédiatement sa belle queue, je le suce au rythme des coups de boutoir entre mes reins, ma langue le titille, mes mains le guident, je caresse ses couilles, glisse un doigt dans son cul serré et le doigte pendant que je le pompe… le troisième est entre les deux et a attrapé mes seins, il les malaxe et joue avec, il tire sur les pinces accrochées à mes tétons, tellement fort qu’un téton se libère, meurtri, violacé, énorme, je pivote un peu sur le coté, il gobe mon sein, il tête ce téton gigantesque, et si sa langue adoucit la douleur, ses morsures sont des électrochocs ! La tête posée maintenant sous moi, je lui donne la tétée, il se branle en même temps et il est le premier à jouir dans ses mains, le sperme coule entre ses doigts, puis je sens les giclées dans mon cul, j’entends les râles du jouisseur… Quelques coups de tête plus tard, je retrouve le bon goût sucré de mon voisin, je n’en perds pas une goutte…Couchée sur le lit, épuisée, repue, rassasiée, satisfaite, débordée… je ferme les yeux et reprends ma respiration, je souris. Les deux mecs reprennent leurs fringues et se rhabillent. Sur le pas de la porte, ils demandent « on pourrait remettre ça bientôt ? » Mon voisin répond « Non. Pas avant l’année prochaine, peut-être. Je garde vos numéros ».Il me porte quasiment jusque dans la salle de bain, me douche, me savonne, dévisse le pommeau de la douche et glisse le jet puissant, d’abord dans ma chatte, puis dans mon petit trou totalement dilaté qui accepte ce petit tuyau sans mal, l’eau est tiède et bienfaisante… Il me sèche, je me glisse sous ma couette, il enlève le dessus de lit souillé de sperme… il se penche vers moi, m’embrasse dans le cou et chuchote « Bon anniversaire… »

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femme mûre arabe marocaine : khadija 41 ans,LU sur le net : Voici l’histoire de khadija N., 41 ans responsable des imports-exports dans une firme internationale du Maroc.”Je voyageai beaucoup depuis ma nomination au service des imports-exports de ma boîte. Ma famille en souffrait surtout mon mari qui ne me voyait que 4 mois sur 12, mais je n’avait pas le choix, étant payé grâce ment. A mon arrivée, je fus convoquée au bureau notre directrice générale (une suissesse de 56 ans). Je retrouvai Hamed dans le bureau. Hamed était un employé hors du commun. Il était d’une grande beauté et avait un franc succès auprès des femmes de la firme. Le bruit courait qu’il en avait sauté une bonne part. J’eus droit à ses avances mais lui interdis, à contre coeur, de ne plus m’importuner. Une amie et collègue de travail à qui je me suis confiée sur la question me traitèrent d’idiote n’arrivant pas à croire que j’ai décliqué les avances d’Hamed alors qu’elle brûlait d’envie de se faire sauter par lui. Je reconnais que j’éprouvais un profond désir pour ce coureur de jupon, mais je craignais de mettre la vie de mon couple en danger. Hamed était l’amant de mes fantasmes. Il m’arrivait, pendant que je faisais l’amour avec mon mari, de l’imaginer en moi. J’en jouissais comme une folle (et mon pauvre mari qui croyait être le meilleur des amants). Bref, je fus étonnée de le voir en pleine conversation avec madame Francine R. Il semblait avoir une complicité entre les deux. La directrice m’annonça que pour ma prochaine mission, je serai accompagnée d’Hamed. Je restai hébétée à la nouvelle. Ma réaction surprit madame Francine qui me demanda sans détour si je voyais un inconvénient à effectuer ce voyage avec mon collègue. Je balbutiai que tout était bien, qu’il n’y avait pas de problème. Mon coeur battait canlı bahis şirketleri la chamade et j’eus du mal à me concentrer sur les instructions de ma supérieure. Le voyage était prévu pour le lendemain au matin. Hamed me regardait, un sourire ironique sur les lèvres. mon compte était bon. Nous sortions de chez la directrice et je me précipitai dans mon bureau, ignorant les appels d’Hamed.Ce fut l’heure de la descente. Un à un, tous les employés désertèrent l’immeuble. Je devrai rester pour préparer les dossiers du voyage. Après une heure de travail, je sortis dans le hall me dégourdir les jambes. Je marchai pieds nus sur l’épaisse moquette quand je vis Hamed rentrer dans le bureau de madame Francine. J’étais intriguée car je voyais mal ce qu’ils pouvaient faire en dehors des heures du travail. Je voulus en avoir le coeur et me dirigeai avec précaution vers le bureau managérial. J’entendis la directrice dans une étrange conversation avec Hamed. Elle lui disait qu’il lui manquait depuis la dernière fois. J’arrivai à temps pour les voir s’embrasser avec ardeur. Madame et le Hamed étaient donc amants ! Le jeune homme la couvrait de chauds baisers et la parcourait de caresses. La patronne semblait ravie et le suppliait de continuer. L’autre la déshabilla entièrement, malaxant ses fesses et les seins pendant qu’elle lui massait la bite en travers du pantalon. Madame fit surgir une énorme queue et la fourra dans la bouche après s’être agenouillée devant mon collègue. Hamed était monté comme un cheval! Il accompagnait les sucions de madame en lui maintenant la tête et s’agitait lentement dans la bouche. Je ne pouvais pas réaliser qu’il puisse éprouver pareil plaisir avec une dama qui pouvait être sa mère. Lui n’avait que 30 ans, et madame Francine 54. Il la canlı kaçak iddaa releva et la fit assoire sur le bureau, écarta grand ses cuisses et plongea dans sa chatte d’un seul coup. Madame cria de plaisir. Les vas et viens commençaient, aussi puissants que réguliers. Je ressentais une douce chaleur dans le bas ventre. Cette scène m’excitait aussi. Je me mettrai bien à la place de ma patronne à recevoir la grosse queue d’Hamed. Hamed, je comprends pourquoi il avait tant de succès dans l’entreprise. La directrice râlait à chaque coup de boutoir porté dans son ventre. Elle était ravie, la tête reversée, les yeux révulsés. Je relevai ma jupe et commençai à me masser la chatte. Elle était dégoulinante de mouille. Je ne quittais pas le couple adultère des yeux. Mon plaisir montait aussi. J’astiquais à toute vitesse mon clitoris et jouis sur le coup. Je glissai sur la moquette terrassée de plaisir.Hamed se retira de la chatte de Francine et la place en levrette. Il s’enduit abondement la queue de salive et la plaça plus haut sur la raie des fesses. Il mit un certain temps à la pénétrer et je compris qu’il essayait de la sodomiser. La directrice était une véritable cochonne. La bite s’enfonça profondément en son anus. Il l’enculait bien et elle en pleurait de plaisir. C’était beau de voir Hamed s’agiter aisément dans le cul de ma patronne. Il la maintenait ferment. La sodomie dura près de 5 minutes et Hamed ne semblait plus se contenir. Il accéléra et dans un cri explosa dans les fesses de madame Francine. Elle s’écroula ivre de plaisir son bureau accompagnant Hamed dans sa chute. Le cinéma était fini. Je retournai donc pour me réfugier dans mon bureau quand je tombai nez à nez sur Nasir un jeune gardien de 25 ans. Il devrait se trouver là depuis un moment et absorbée canlı kaçak bahis par la scène insolite, je ne l’avais pas remarqué. Il me saisit comme une malpropre qu’on expédiait d’une salle pour m’emmener au fond du couloir. Je fuis tellement surprise par son attitude que je restai bouche cousue. arrivée dans le pénombre, le jeune m’expliqua qu’il m’avait surpris entrain d’épier la patronne et qu’il allait lui en parler. Je risquais vraiment mon emploi et le priai de ne rien dire car je savais que la directrice était sa marraine. Il me rassurait mais exigea de me sauter. Je faillis lui foutre une bonne baffe, mais me retins. Mon avenir dans l’entreprise se jouait. Sitôt, il me poussa dans une pièce encombrée de fournitures de bureau et me serra dans ses bras. Passé le dégoût (il avait l’âge de mon fils), je l’enlaçai à mon tour cherchant sa langue qui me fouillait la bouche. Il embrassait vraiment bien le jeune Nasir. Il me lécha dans le cou, ma malaxa les gros seins. Je baissai sa braguette pour en sortir sa queue qui formait une bosse impressionnante sous le tissu de son uniforme. Elle était grosse et longue, parsemée de veines. Je m’agenouillai devant lui pour prendre la bite dans ma bouche. Elle était bien grosse! Je suçai ce jeune employé comme une pute. Il me flattait de mots tendres et me tenait la tête d’une main ferme. Nasir me dit qu’il voulait me baiser. Je lui répondis moi aussi et me penchai les mains en appui contre le mur, lui offrant mes grosses fesses. Il les caressa un moment et sans m’y attendre m’enfuis d’un coup sa grosse queue dans le ventre. Je criai mon bonheur, remplie par cette queue qui commençait à se mouvoir en moi. Oh qu’il me baisait bien ce jeune Nasir. Il me pilonnait la chatte, me tenant fermement. Je jouissais sans arrêt, le suppliais d’aller plus profondément en moi. Jamais mon mari ne m’avait procuré un plaisir aussi puissant. Je perdais la tête et me retrouvai à 4 pattes. Mon amant ne m’avait pas lâché. Nous étions en sueur, soudés l’un à l’autre par cette queue qui me ravageait.

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Anne 1Paul imagine Anne depuis de longues semaines et voudrait bien la rencontrer mais il a peur… Peur de quoi s’intérroge-t-il? Il a la frousse de s’apercevoir qu,elle n’est pas aussi jolie que dans ses fantasmes les plus fous ou bien une peur panique de briser à tout jamais cette magie tissées aux fils des semaines. A bien y pensé il a peur de ses réactions… Saura-t-il tenir promesse à Nicky?Paul enfile un jeans et un polo tout en réfléchissant comment douce Anne réagira en le voyant ….. lui sautera-t-elle au cou, mieux encore elle trouvera un moyen bien à elle de le séduire à nouveau. Traversant l’appartement d’un pas décidé; il ferme la porte d’un grand cou sec sans même penser à la barrer. A grande enjambée il dévale l’escalier pour ensuite immédiatement s’accrocher les pieds dans la plate-bande de fleurs.Il saisit quelques lys pour l’offrir à Anne.Marchant d’un pas alerte il se dirige vers ce petit bistro où ils se sont donnés rendez-vous. A l’entrée de la porte une femme sort précipitement et fonce sur lui. Il la regarde et lui souri. Anne le regarde et lui rends la pareille. Dès canlı bahis şirketleri que leurs yeux se rencontent ils savent tout les deux que cela n’est pas un hasard alors sans un mot il marchent enlacé l’un à l’autre jusqu’à l’appartement de Paul.Quelle ne fut pas sa surprise losque ses pieds touchèrent le seuil de sa porte. Assis au beau milieux du salon Nicky est là toute sanglotante parmi le désorde qui y règne. Paul se dis: “merde j’ai oublié de verrouiller la porte”. Anne s’avance doucement vers Nicky et la serre dans ses bras. Paul se place derrière Nicky et lui caresse les cheveux du bouts des doigts. Anne lève doucement la tête de Nicky et lui donne de doux baisers sur ses joues toutes rempli de larme. La jeune compagne de Paul souri à Anne et se retourne vers son compagnon et dit ” fais l’amour à Anne moi je ne veux que regarder”. Anne et Paul sursautent en l’entendant mais se regardent avec soulagement puisqu’ils ont une si grande soif l’un de l’autre.Anne tire Paul vers elle et se moule à lui avec une rage jusqu’alors insoupçonnée. Paul sent son souffle haletant sur canlı kaçak iddaa sa nuque. Il s’autorise à relever sa robe jusqu’a ses cuisses. Quelle jolies jambes! Paul masse les cuisses entre ses mains et les écartent avec une infinie douceur. Les lèvres sont aussi roses et tendres que son teint. Il se penche vers celles-ci et les embrassent sans se lasser tant elles sont douces. Lorsqu’il se releve il voit dans ses yeux tout la douceur sensuelle dont Anne est habitée. Ces yeux bleus aux paupières à demie closes le font fondre. Anne le déshabille lentement en embrassant chaque parcelle de peau puisqu,elle veut faire durer le plaisir. Le pénis de Paul se tends si fort dans son slip qu’elle le libére à l’aide de ses dents Elle masse ses fesses en même temps qu’elle happe son pénis à grands coups de langue. Il n’aurait suffit qu’un geste pour le faire jouir mais cet état d’excitation presque insupportable fait sourire Anne et elle se retire rapidement. Voyant Nicky se caressée elle l’invite à se joindre à eux.Elle se jete par-terre et rejoint Paul et Anne moitié rampant moitié à quatre canlı kaçak bahis pattes. De longues mèches de cheveux courent le long de ses seins comme des serpents. Anne commence à la caresser avec audace et curiosité. Sous l’effet des caresses Nicky cambre les reins et Anne glisse sa langue jusqu’à son pubis. Tantôt tout autour du clitoris, puis tout autour des lèvres et à l’entour de son sexe. Paul ébloui par ce spectacle enivrant glisse son membre dans le sexe d’Anne d’un seul coup de rein tout en lui pétrissant les seins. C’était un tel bonheur que les trois amants échapèrent de petits cris de plaisir. Il était aussi habile qu’Anne avait rêver. Anne sent son pénis dur la transpercer, il revient en sens inverse semant sur son passage un déferlement de plaisir magique. Anne sent Paul jouir dans son corps avec un plaisir rare. La chatte de Nicky a un goût de miel. Anne connaît l’une des plus délicieuse émotions de sa vie. La jolie Anne se retient pour de pas gémir de plaisir puisque Nicky jouis de sa langue. Maintenant Anne se met à gémir et à haleter. Les contractions de l’orgasme se propage de l’intérieur vers l’extérieur de son corps. Anne s’effondre sur le corps de la magnifique blonde tout en l’embrassant sur la bouche avec douceur. Paul se blottit contre elles et tout trois s’endorment rapidement à cause de la fureur sexuelle partagées.

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AGNES 55 ans, je me découvre nymphomaneLU SUR LE NET Je m’appelle Agnès, j’ai 55 ans et je tiens un magasin de tabac-presse à Lyon. Avec mon mari nous habitons dans un appartement situé en haut de mon bureau de tabac. Mon mari, Georges, a 62 ans. Il y a 12 ans il s’est mis à boire et depuis il est devenu impuissant. En retraite, il passe ses journées à jouer aux cartes avec ses amis et à boire. Je ne l’intéresse plus et il me dégoûte de plus en plus. Pourtant je souffre de cette situation car j’aime beaucoup séduire. Malgré mon âge, je suis très bien conservée. J’ai un corps mince et ferme, dont je prends beaucoup de soins en fréquentant un club de gym et des séances d’U.V. pour rester toujours bronzée, et j’ai surtout une poitrine opulente que j’aime mettre en valeur. Etant en contact avec le public toute la journée je ne cesse pas de séduire. Les regards avides des hommes qui louchent sur mon décolleté très échancré m’émoustillent et me rassurent. Je dois avouer que je suis surtout attirée par les jeunes hommes d’une vingtaine d’années. Quand j’en vois un mignon, je fais tout pour l’allumer et ça m’excite beaucoup de voir le désir dans ses yeux (et parfois dans la bosse de sa braguette !). Mon arme principale pour séduire ce sont mes gros seins que je découvre au maximum par une robe décolletée ou un corsage dont le haut est négligemment déboutonné. Je porte souvent des bas noirs et un soutien gorge à balconnet en dentelle noir. Il y a parfois des petits jeunes qui reviennent quatre ou cinq fois dans la journée et à chaque fois ils partent plus excités qu’avant. Je mouille rien qu’en les imaginant en train de se branler en pensant à moi et à mon corps. Pourtant je dois avouer que jusqu’à l’été dernier je n’avais jamais trompé mon mari. Au mois de juillet de l’année dernière j’ai goûté pour la première fois aux délices de l’adultère et, croyez-moi, je ne suis pas prête à m’arrêter. Mes aventures extraconjugales m’ont fait découvrir à moi-même sous un jour différent : aujourd’hui, je dois reconnaître que je ne me suis vraiment épanouie qu’à 55 ans mais, comme on dit, vaut mieux tard que jamais ! Depuis, mes tabous sont cassés et je suis devenue, sous mes apparences respectables de femmes mûres, mariée et honnête commerçante, une affamée de sexe. Jusqu’à l’année dernière j’étais une simple allumeuse qui n’avait jamais osé aller plus loin, maintenant je suis une vraie salope qui adore sucer son jeune amant et se faire jouir dessus, une salope perverse qui s’est découvert, à 55 ans, un goût insolite pour les jeux d’urine. S’il m’arrive encore d’avoir parfois d’insupportables crises de culpabilité je dois avouer qu’en lisant votre revue et surtout en vous écrivant sans retenue je me sens libérée de tout sentiment de culpabilité et de toute contrainte morale et capable d’assumer mes désirs : je raffole de sucer une belle queue, je ne pense plus qu’à ça, je prends mon pied avec ça et j’en suis heureuse. Et voilà l’aventure qui m’est arrivée l’été dernier et qui a pratiquement tout déclenché dans ma tête et dans ma vie.Ce jour là il faisait très chaud à Lyon. Je portais mon tailleur beige qui est assez échancré et j’avais pour tout sous-vêtement un slip et des bas noirs. Ce tailleur est mon seul vêtement avec lequel je ne porte jamais de soutien gorge car je trouve ça peu élégant. Il est entré peu après l’ouverture du magasin et m’a acheté un paquet de cigarettes Il était jeune, autour de 24 ans, brun, assez petit, il avait de petits yeux qui lui donnaient un air vicieux mais un visage très mignon. Dès l’instant où il est entré au magasin son regard, audacieux et timide à la fois, s’est posé sur ma poitrine opulente qui déformait le haut de ma veste. J’étais ravie et amusée. Pour lui rendre la monnaie je me suis penchée au maximum sur le tiroir caisse lui offrant ainsi une vue très plongeante sur mes seins. Il est revenu 20 minutes après sous prétexte qu’il avait oublié d’acheter un briquet et puis, toute la matinée je l’ai vu passer et repasser devant le magasin ; prétextant regarder les articles qui se trouvaient dans la vitrine, il me regardait discrètement. Il est repassé l’après-midi pour acheter encore des cigarettes et je me suis encore sentie déshabillée par son regard insistant et timide chargé à la fois de désir et d’une sorte de résignation. Son regard m’intriguait de plus en plus, on aurait dit qu’il me suppliait, qu’il m’implorait du regard et cette sensation ne me laissait pas indifférent. J’avais envie de le provoquer encore plus. Ce manège dura une dizaine de jours, il passait me voir plusieurs fois par jour sous des prétextes différents et, toujours timide, il ne me disait pas un mot, par contre j’avais l’impression que son regard me parlait, me conjurait me saoulait en m’avouant son envie. Il commençait à me plaire et au bout de quelques jours j’ai commencé à penser à lui les soirs dans mon bain. Je l’imaginais en train de se masturber devant moi en fixant mes seins avec son regard enfiévré. Je l’imaginais avec illegal bahis un beau et gros sexe érigé qu’il frottait contre mes seins et mon sexe et je finissais chaque soir par me masturber dans mon bain en repassant ses images dans ma tête. Un jour il est arrivé quelques minutes avant midi et après avoir acheté des cigarettes s’est dirigé vers le présentoir des journaux, et s’est mis à feuilleter des revues érotiques qui se trouvaient sur le rayon tout en haut. Moi j’attendais avec impatience qu’il finisse de choisir sa revue pour pouvoir fermer la boutique et aller manger mais le jeune homme n’était pas pressé. Je le voyais de profil et à chaque fois qu’il se levait sur la pointe des pieds pour prendre une revue sur le rayon du haut je pouvais deviner son sexe bandé à travers le tissu mince de son pantalon, il devait faire un peu exprès pour me montrer qu’il bandait. Je distinguais tout le contour de son sexe qui longeait en haut de sa cuisse. Son sexe me paraissait gros et long. Regarder des revues de femmes nues à deux pas de moi devait drôlement l’exciter. C’était peut-être sa façon à lui de me parler de me faire part de ses désirs. Une façon de communiquer bien maladroite qui ne manquait pourtant pas de m’amuser car j’avais le sentiment d’avoir un grand pouvoir sur ce garçon, pouvoir de le mener par le bout du nez et de le dominer totalement. La situation avait quelque chose de piquant, de pervers qui m’attirait. Tout ça me donnait l’envie de l’allumer, de le provoquer encore. Discrètement, j’ai défait deux boutons du haut de ma veste. Je ne portais pas de soutien gorge et il suffisait que je bouge un peu pour qu’on puisse voir mes seins dans l’échancrure de ma veste. Je bombais le torse et je lui lançais sur un ton impatient : “Monsieur, il est midi dix, je vais fermer” Il s’est présenté devant la caisse avec une revue de femmes aux gros seins et deux numéros de Lettres Magazine. Je me suis baissée pour prendre un sac en plastique pour ses revues et je suis resté un moment comme ça, feignant chercher le sac. Mes seins pendaient et ballottaient à chacun de mes mouvements et à travers le haut de ma veste déboutonnée il pouvait tout voir. Lorsque je me suis redressée il était rouge d’émotion et son regard, m’implorant plus que jamais, a croisé le mien. Sous le poids de son regard, si vif et si chargé d’émotion, j’ai senti une bouffée de chaleur envahir mon corps, je crois que j’ai rougi, je me suis sentie toute mouillée et j’ai serré fort mes cuisses. Il est parti, j’ai fermé le magasin et je suis allée dans le restaurant d’en face manger comme d’habitude avec Paulette qui tient une mercerie pas loin de chez moi. Au retour, vers 13 heures 30, il m’attendait devant mon bureau de tabac. D’une voix tremblante il m’a demandé d’emblée s’il pouvait m’offrir un café. Sûre de mon pouvoir sur lui et attendrie de le voir obligé de faire tant d’efforts pour m’aborder si maladroitement, je lui ai répondu que j’allais me faire un café et je l’ai invité à entrer et le prendre avec moi. Après tout je n’ouvrais le magasin qu’à 15 heures et j’avais bien une heure et demie devant moi pour faire marcher avec ce petit gamin. J’avais envie de le provoquer encore et de voir ses yeux débordant de désir m’implorer et me supplier. On est entré. J’ai refermé la porte à clé et j’ai passé devant lui pour le diriger vers l’arrière boutique qui me servait également de cuisine. J’ai mis en route la cafetière et on a commencé à discuter. Il m’a dit qu’il était étudiant et qu’il vivait dans le quartier. Il avait 23 ans, 32 ans moins que moi ! En me parlant son regard descendait sans cesse de mon visage vers ma poitrine et fixait la raie entre mes deux globes de chair. Il m’inspirait de plus en plus confiance. Il devait être quelqu’un de très seul. Tout en continuant à le questionner sur un ton faussement maternel je suis allée servir le café. J’avais le dos tourné vers lui lorsque je l’ai senti derrière moi, avant même de pouvoir me retourner il s’est collé à moi, je sentais nettement sa virilité arrogante qui cherchait à se caler dans la raie de mes fesses et ses mains ont empoigné mes seins à travers ma veste. Il se serrait contre mon dos et ses mains pelotaient énergiquement mes gros seins qu’elles avaient du mal à contenir. Je sentais son souffle, puis ses lèvres et sa langue sur ma nuque. Pour la première fois depuis des années je sentais mon corps se presser contre celui d’un homme. Il me parlait sans cesse, il me disait qu’il me trouve sexy et sensuelle, qu’il a toujours rêvé d’une femme comme moi, qu’il n’arrête pas de penser à moi depuis qu’il m’a vue. Le jeune homme timide s’était transformé en un mâle en rut. Tout cela s’est passé en quelques secondes et dans ma tête l’idée de le repousser a vite cédé la place à une sensation de chaleur et de bien être. Une forte envie me serrait le ventre et mon cœur battait la chamade. J’ai commencé à onduler des hanches de plus en plus vite pour mieux sentir son sexe dur se frotter contre mes fesses. illegal bahis siteleri Il y avait quelque chose dans la situation qui m’excitait énormément et que je ne sais pas expliquer. Peut-être était-ce sa personnalité timide ou son âge ou le fait que je trompais pour la première fois mon mari mais toujours est-il que j’avais tout le corps en feu. J’ai retroussé ma jupe et alors que ma main droite s’activait dans ma culotte, j’ai passé la main gauche derrière moi et j’ai empoigné sa queue. Quelle délicieuse sensation que de sentir ainsi entre les doigts l’effet que peut faire une femme de mon âge à un jeune homme de 23 ans. Quant à lui, il avait déboutonné ma veste et, tenant mes seins des deux mains les malaxaient vigoureusement. Je me suis retournée et prenant sa tête entre mes mains je l’ai embrassé à pleine bouche. Un baiser fou et enflammé : je frottais mes lèvres contre les siennes, je les mordais, je léchais ses lèvres et son visage, je fouillais sa bouche avec ma langue. Il répondait avec fougue à mon baiser, sa langue glissait frénétiquement sur ma peau, il léchait mon cou, mes épaules, mon visage puis nos langues et nos salives se mêlaient dans un baiser fougueux. Je mouillais abondamment et je me frottais contre sa cuisse. Il s’agitait comme un fou sur ma poitrine, il suçait mes seins, les pelotait, y frottait son visage. Je n’y tenais plus, je me suis baissée et j’ai ouvert sa braguette, son sexe a jaillit, fièrement érigé en courbant vers le haut, il était gros et long. C’est difficile à expliquer mais dans l’état d’excitation où je me trouvais c’était comme si je découvrais pour la première fois un sexe d’homme. C’était moins l’idée d’avoir ce sexe en moi que celle de le toucher, de le humer, de le sucer et de le découvrir qui m’excitait. Je le branlais lentement pour bien sentir sa chaleur et sa douceur. Sa queue palpitait sous le mouvement de mes doigts. Comme une jeune fille qui touche pour la première fois un sexe d’homme j’étais curieuse de connaître les secrets cette belle colonne de chair. Je n’avais pas assez de la toucher je la mettais en contact avec ma peau, je la frottais contre mon cou, mes épaules, mon bras, mes seins et mon visage. Je l’embrassais amoureusement en la prenant entre mes lèvres et je la léchais sur toute sa longueur, puis je la frottais encore et encore contre mon corps, contre chaque centimètre de ma peau. Il gémissait fort et se baissait sans cesse pour palper mes seins. Je n’avais jamais connu un tel plaisir et un tel degré d’excitation. Tout était cérébral, tout était dans la situation. L’idée de lui procurer du plaisir, de l’entendre et sentir jouir me tournait la tête comme si j’étais ivre. Je ne pensais qu’à ça, qu’à le faire jouir. Il s’est baissé et s’est mis à se branler entre mes seins. Sa queue allait et venait entre mes deux globes de chair que je maintenais des deux mains. Ses mouvements étaient hâtifs, on aurait dit qu’il voulait tout essayer tout goûter avant que ça finisse. Il a frotter sa queue contre mes seins, avec son gland violacé et luisant il écrasait mes tétons. Ensuite je prenais sa queue dans ma bouche et je la suçais énergiquement. Je voulais qu’il jouisse dans ma bouche mais d’un seul coup il a sorti sa queue et s’est mis à se branler vigoureusement sur mes seins. Une grimace a déformé son visage et il a crié. Il a éjaculé abondamment sur ma poitrine, j’ai reçu quelques gouttes sur le visage. Mes yeux ne quittaient pas sa queue qui s’agitait follement et lorsque son sperme chaud s’est écrasé sur ma peau j’ai eu un orgasme. Des ondes de plaisir m’ont secoué de la tête aux pieds, un feu d’artifice, des frissons interminables, et une sensation de chaleur a traversé tout mon dos de la nuque jusqu’aux reins. Un plaisir cérébral que je n’avais jamais connu. Un agréable sentiment de bien être m’enveloppait. Il a étalé son sperme sur ma poitrine. Le spectacle de mes seins barbouillés de son foutre crémeux et visqueux devait lui plaire car il les a ainsi massés un long moment. Mes seins et ses doigts dégoulinaient de sperme, il m’en a mis partout, sur le ventre, sur les hanches, sur le cou. Il a léché les quelques gouttes de sperme sur mon menton et mes joues puis m’a embrassé à plein bouche pour me les passer. J’ai avalé le mélange de salive et de sperme qui m’emplissait la bouche. Ensuite il m’a fait lécher et sucer ses doigts pleins de foutre. Je m’y suis appliquée comme si chacun de ses doigts était une bite. Le goût de son foutre et la sensation formidable de me sentir toute barbouillée de sperme m’excitaient encore. Décidément ce garçon était fait pour moi, pour m’exciter. Je me suis nettoyé juste le visage et j’ai remis ma veste. Je voulais garder son foutre sur moi, je voulais être sale, souillée, barbouillée et ça me plaisait. Jean-Luc (c’était son nom) est parti et j’ai ouvert le magasin. Toute l’après-midi l’image de sa queue se frottant à moi m’obsédait. Chaque cellule de ma peau avait gardé le souvenir du passage de sa queue, de sa canlı bahis siteleri langue et de ses mains et en redemandait. Je ne me reconnaissais plus. Comment ce jeune homme de 23 ans avait pu me faire un tel effet et me bouleverser à ce point ? L’odeur de son foutre séché sur mes seins qui me remplissait les narines me rappelait instamment que je n’avais pas rêvé. A 19 heures j’ai fermé le magasin et je suis remontée chez moi. Après avoir dîné avec mon mari je l’ai abandonné comme d’habitude devant sa télé pour aller prendre une douche. Dans la salle de bain je me suis regardée nue dans la glace, je me trouvais belle et rajeunie. J’étais bien. Je me suis caressé les seins, j’en ai pris un dans ma main et je l’ai remonté, puis baissant la tête je l’ai léché sur toute la surface. Le goût du sperme de Jean-Luc s’est ravivé dans ma bouche. Je léchais le foutre séché sur mes seins et l’envie de sa queue devenait de plus en plus forte. Je voulais qu’elle m’arrose encore de foutre, qu’elle me salisse le corps. J’ai ressenti une envie de faire pipi et soudain une idée bizarre et excitante m’a traversé la tête. Et si j’arrosais mon corps avec mon urine ! Rien qu’en y pensant mon cœur s’est mis à battre très fort. L’idée était salace et perverse et elle m’excitait. Je me suis couchée sur le dos au fond de la baignoire, j’ai relevé très haut mes jambes et je me suis mise à pisser en m’arrosant partout même sur la figure. Je dégoulinais d’urine. Ca coulait sur mon corps, c’était chaud et son odeur m’enivrait. En même temps je me touchais et j’ai joui très fort. C’était merveilleux.Le lendemain et les jours suivants j’ai revu Jean-Luc. On se retrouvait entre midi et 15 heures et on faisait l’amour comme des bêtes. Le reste de la journée je ne pensais qu’à une chose : retrouver Jean-Luc, prendre sa queue dans ma main, la toucher, la sucer et la faire gicler. Lui, de son côté il était obsédé par ma poitrine et il me disait attendre impatiemment tous les jours le moment de les peloter, de les lécher et téter. Aujourd’hui ça fait un peu plus d’un an qu’on se connaît et on se retrouve toujours avec la même fougue. Nous sommes devenus très proches, maintenant il connaît mon goût secret pour les jeux de pipi et ça l’excite terriblement. Il sait que j’aime l’amour mouillé et que plus c’est sale plus je perds la tête et je m’excite. Un jour quand il est arrivé, il a sorti sa queue, m’a serrée contre lui et s’est mis à pisser. Il a du faire des efforts car il bandait déjà et ça ne venait pas facilement. Son pantalon et ma jupe étaient tout mouillés et son urine chaude coulait merveilleusement sur mon ventre et mes cuisses. Ensuite je me suis déchaînée sur sa bite, je l’ai branlé et sucé comme une dingue et il a joui sur mes seins. Je me rappelle que ce jour là je ne me suis pas nettoyée, j’ai juste changé mes vêtements trempés et lavé le sol de la cuisine et l’après-midi j’ai repris mon travail toute trempée de pipi et de foutre de Jean-Luc. Le soir je me suis encore branlée au fond de ma baignoire en m’arrosant de pipi. Un autre soir alors que mon mari dormait et moi je lisais un numéro de QQ Magazine dans la cuisine, j’ai été prise d’une forte envie de pisser. Et toute excitée que j’étais par la lecture de votre revue, je me suis laissée aller. J’ai pissé comme ça assise sur ma chaise. L’urine coulait sur le siège puis sur le carrelage et formait une grosse flaque par terre. J’y ai trempé mes doigts et je les ai portés à mes seins puis à ma bouche pour les sucer comme une bite. Ensuite, tremblante d’excitation, je me suis déshabillée et je me suis roulée toute nue sur le carrelage dans la flaque de pipi. Je me suis branlée couchée par terre, toute trempée d’urine et j’ai joui alors que l’odeur d’urine me remontait les narines.Et enfin, je n’oublierais pas le jour où Jean-Luc, connaissant bien mes fantasmes, a littéralement couvert mon buste de crème chantilly et s’est mis ensuite à se frotter à moi et me lécher. Il en a mis aussi sur sa queue que j’ai léchée avec gourmandise. Nous étions tous les deux barbouillés de crème chantilly et nous n’arrêtions pas de nous caresser pour bien l’étaler, de nous lécher partout et de nous amuser en nous frottant l’un à l’autre. C’était très excitant. A la fin je me suis régalée en avalant un mélange de son sperme et de crème chantilly. C’était délicieux.Pour terminer ma lettre je vous avoue que depuis quelques jours j’ai un fantasme qui me travaille de plus en plus et dont je n’ai pas encore parlé à Jean-Luc. Je m’imagine en train de branler et sucer trois hommes à la fois. Je m’imagine à moitié dénudée et assise par terre entourée de trois hommes qui frotte leurs grosses queues sur mon corps. Alors qu’un des hommes me caresse la nuque et le dos avec sa queue, je prends les queues des deux autres dans les mains et je les frotte l’une contre l’autre avant de les sucer comme une hystérique. Je finis par faire jouir deux des hommes sur ma figure et mes seins. J’étale bien leur foutre et ma poitrine et mon visage se trouvent ainsi couverts de sperme chaud et gluant (rien que d’y penser j’ai le ventre serré et je mouille). Le troisième éjacule dans ma bouche. Je garde son sperme un instant dans la bouche pour bien le délecter puis je l’avale. Quel délice !

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dans les jardins publicsFlâner dans les jardins publicsfleur de sexe* * * Aux moindres rayons de soleil printanier, dès que la température était assez douce, je dis à ma femme : « allez, habille-toi sexy, jupette, bas à coutures, escarpins… on va aller se balader au jardin des plantes ».Je savais qu’il y avait toujours des vicelards en quête de zyeutages de cuisses, d’escarpins, de dessous ou de petites culottes dévoilées soit par inadvertance, soit faussement volontairement. J’en avais même vu certains se masturber derrière des taillis en reluquant des jeunes mères de famille faussement ingénues qui montraient leurs cuisses ou leur culotte en lisant négligemment sur les bancs publics ou assises à même l’herbe genoux remontés ou encore en s’agenouillant ou s’accroupissant auprès de leurs bambins, tout en jetant un petit regard dérobé au voyeur embusqué qui se rinçait l’œil des cuisses écartées…généreusement.Ma femme choisit à mon grand plaisir des bas très fins beige foncé… mais, sublime raffinement sexy, à coutures avec des escarpins à talon relativement haut… vernis noirs. Le tout recouvert d’une simple et sage ( ? ? ?) tailleur style femme d’affaires avec une jupe gris beige mais bien ajustée (bien plaquée à ses fesses). Je sais c’est ce qui rend les mecs fous.Une fois arrivés dans ce jardin public, je savais que ce n’était pas une émeute que nous allions provoquer mais bien plutôt un essaim de mateurs « à l’affût » de l’affaire du jour. En effet, à peine avions-nous franchi les grilles que le résultat ne se fit pas attendre. Lorsque nous déboulons dans l’allée centrale, moi avec ma femme à mon bras se déhanchant légèrement sur ses escarpins –il fallait éviter de laisser s’enfoncer les talons dans la terre meuble et le gravier-, tous les mecs esseulés n’eurent plus d’yeux que pour elle (ses jambes et sa jupette étaient devenues le point de mire numéro un du jardin) et se mirent en gravitation –plus ou moins discrète- autour de nous. Leurs pensées devaient être du genre : « tiens, voilà du beau linge ! peut-être une nouvelle proie… ? voyons voir… » et les mecs s’empressèrent de rappliquer pour ne rien manquer d’un spectacle éventuel, mieux, d’une « occase » !Ma femme s’en rendit bien compte mais ne dit pas un mot (peut-être était-elle flattée ? doutait-elle encore de son pouvoir de séduction ?). En tout cas, moi, je savais que les types n’avaient pas souvent l’occasion d’avoir à partir à un safari-images d’un tel niveau et que ma femme ainsi apprêtée en femme bcbg mais avec des bas à couture et des escarpins à talons hauts allait forcément déclencher une mini curée. Ceux que nous croisions, après nous avoir quelque peu incrédulement dévisagé à l’aller faisaient un rapide demi-tour après notre passage… surtout à la vue des admirables coutures des bas fins, des escarpins vernis noirs qui font fantasmer les mecs… et ne nous lâchaient plus, l’œil rivé sur les chevilles de ma femme l’endroit érotogène d’images où les coutures des bas rejoignent l’escarpin. Rien que de me rendre compte de ces regards appuyés et d’imaginer la furia qui s’emparait de leurs bites dans les pantalons me procurait un plaisir et une émotion intenses, au point que j’en bandais moi-même et que mon excitation fébrile m’envahissait.Pour mieux donner le change et bien « ferrer » ces vicelards de tous âges, je proposais à ma femme de nous asseoir sur un banc, tout en dégustant une crêpe. Les types s’interrogeaient –je le devinais à leur attitude. Devaient-ils passer comme si de rien n’était ? Pouvaient-ils s’asseoir sur un banc proche ? Devaient-ils mater avec insistance ou à la dérobée ? Venir la draguer ? Ma femme devait percevoir aussi pas mal de tout cela en mangeant sa crêpe car elle jetait de petits regards furtifs à droite et à gauche, tout en croisant et décroisant ses cuisses, laissant battre la chamade à un de ses deux magnifiques escarpins suspendu dans le vide.Les techniques des -plus ou moins vieux- mateurs étaient très diverses pour se régaler des aperçus tentateurs, bas, escarpins, jupette remontée sur cuisses croisées et décroisées, décolleté plongeant. Un vieux s’était installé sur un banc en face assez loin certes mais, du coup, se délectait sans retenue : il devait avoir une sacrée vue perçante. Trois types « discutaient » debout dans l’allée et régulièrement lorgnaient les visées que ma femme leur donnait en pâture… à petites doses. Ma femme n’avait pas pu ne pas remarquer le manège de ce binoclard boutonneux entre deux âges qui passait et repassait devant nous très très lentement à un rythme de promeneur avec son imper plaqué par ses pognes dans les poches… pognes qui devaient activer sa bandaison à l’intérieur de son futal. En effet, cette coquine changeait de position entre chaque passage du reluqueur, croisant de plus en plus haut ses cuisses, dévoilant le liseré des bas sur le côté quand il approchait d’elle, faisant semblant de serrer les genoux pieds joints – ou plutôt escarpins joints- ce qui laissait un angle de vision fugace mais fabuleux sur ses cuisses, le haut de ses bas, un peu de chair au-dessus et le mystère de la culotte « apercevable ».Pour tous, elle frottaient de temps en temps ses genoux l’un contre l’autre et les gars debout dans l’allée devaient percevoir comme moi le très érotique crissement du nylon des bas. Dans tous ces mouvements aussi sexy que –faussement- discrets, sa jupette ajustée n’en finissait pas de remonter insensiblement. Le promeneur binoclard voyait maintenant nettement la chair blanche sur le côté de la cuisse au-dessus du bas. A un autre moment, lors d’un passage nonchalant d’un autre reluqueur, au contraire elle avait resserré ses genoux, dévoilant du coup généreusement ses deux belles cuisses gainées par ses bas, la jupette remontée haut… permettant à l’œil exercé et rapide de capter un instant le « v » de la victoire, l’image de rêve : la vue sur la culotte au bout des cuisses. Et cela la faisait sourire… coquine va !Une fois la crêpe finie, ma femme essuya quelques miettes et traces blanches de sucre sur la jupe de son bel ensemble chic. Evidemment, en faisant ces gestes apparemment anodins, elle offrit quelques prises de vue aux mateurs enchantés de l’aubaine et plus ou moins discrets.Ce petit jeu dura une bonne vingtaine de minutes et m’affolait de plus en plus. L’essaim de reluqueurs se chiffrait à la bonne demi-douzaine. Il y en avait bien un binoclard qui était venu tenter une mini-drague mais à part quelques banalités et minauderies, canlı bahis şirketleri rien. J’avais envie d’aller plus loin.Vu que sur notre banc nous n’étions pas tous seuls et que la situation ne se prêtait pas à une aventure poussée, je me risquais :« Si on allait se promener un peu par là ? » dis-je en me levant et lui montrant une butte boisée où, après un petit pont sur un étang, un petit chemin serpentait en montant entre des massifs d’arbustes assez épais. Ma femme emboîta mon pas immédiatement et, là, me prit de court :« oui, allons par là, ça sera mieux, il y aura moins de monde… tu vas voir tu vas te régaler… t’as vu ? il y a plein de types qui me matent… et l’autre binoclard, il m’a dit que j’avais de belles jambes puis il a bredouillé un peu en me reluquant de près… ».Heureusement surpris et enchanté à cette idée, prenant ma femme par le bras d’une manière la plus naturelle, je l’entraînais vers le petit pont de pierre qui donnait accès à ce talus excentré et boisé. Jetant rapidement un coup d’œil en arrière, je vis bien que les mateurs suivaient à distance.C’était gagné ! Arrivés sur le pont, nous marquâmes un premier temps d’arrêt et ma femme s’accouda, penchée en avant, faisant mine de scruter le petit plan d’eau et d’être intéressée par les prouesses des cygnes et des canards. Du coup, sa jupe se tendit contre ses fesses offrant une belle vue de son cul moulé par le tissu seyant et surtout sur les coutures de ses bas, prolongeant de manière hyper érotique la finesse des talons des escarpins. Lentement, quelques uns des mateurs passèrent un par un dans notre dos, sans que ma femme ne se détourne un seul instant, et purent admirer à loisir ce paysage magnifique. Je croisai deux ou trois regards envieux et appuyés et j’esquissai un léger sourire pour bien leur faire comprendre que cela ne faisait que commencer. En même temps, en bas au-dessous de nous, deux autres types « flânaient » près de l’étang en levant les yeux à chaque fois qu’ils passaient et repassaient sous le pont. Ils devaient avoir une belle vue en contre-plongée sur les jambes et les bas de ma femme qui -quelle coquine !- de temps en temps, prenant appui bras tendu sur le montant du pont, se reculait un peu pour prendre une pause encore plus verticale, laissant la jupe s’égayer autour du haut de ses cuisses, dévoilant ainsi encore plus sa chair blanche au-dessus des bas et probablement sa culotte… les mecs d’en bas devaient s’affoler.C’était plus que probable car elle me dit soudain :« t’as vu ? les deux vieux en bas, ils se rincent l’œil en matant sous ma jupe, regarde-les ces vieux cochons… tu aimes qu’ils me matent ? »Je bredouillais un « ouais, ouais, bien sûr, j’adore ça »« Je vais leur en montrer un peu plus, tu vas voir ! »Et à nouveau, elle se détacha du bord du pont, écarta même un peu plus ses escarpins pour leur donner encore un meilleur angle de vision de sa culotte sous sa jupe. L’un des deux vieux mateurs s’était positionné juste en dessous d’elle et se massait consciencieusement la queue par-dessus son pantalon, alors que l’autre, légèrement décalé sur le côté un peu plus planqué sous le pont, avait lui carrément sorti sa bite et se branlait lentement en passant sa langue sur ses lèvres. Ma coquine de femme avait bien repéré leur manège et elle en rajoutait, prenant quelques poses cambrées ou laissant virevolter sa jupette en jouant avec ses escarpins. Le mec en bas bandait de plus en plus fort et maintenant fixait ostensiblement ma femme en lui montrant bien sa bite bien droite qu’il continuait d’astiquer la bouche entrouverte d’extase. Alors, elle se passa la main entre les cuisses, remontant sa jupe, et ses doigts appuyèrent sur sa chatte moulée par le nylon de la culotte. Du coup, le vieux s’enhardit aussi et sortit sa queue de son futal pour se masturber un peu. Sentant le coup, un troisième larron se pointa sous le pont et vint aussi reluquer ce spectacle fabuleux, en se branlant à son tour. C’était super ! ces trois types qui se branlaient, bite au vent, à peine à deux ou trois mètres de nous en contre-bas et ma femme qui leur exhibait ses escarpins, ses bas, ses cuisses, sa culotte et même les affolait en se caressant. J’étais aux anges et j’eus même envie d’aller voir l’effet produit :« Reste là, je descends, j’ai envie de voir comment c’est d’en bas ».Prestement, je rejoignis les trois vicelards et je réussis même à faire quelques clichés fabuleux au cœur de l’action. Passé un petit moment de réprobation (les mecs crurent un instant que j’allais casser leur plaisir), les trois types reprirent de plus belle leur branlée quand ils comprirent que tout était possible, d’autant plus que ma femme, me voyant en bas, en rajouta encore en écartant un peu sa culotte, bien campée sur ses escarpins sexy, et dévoilant entièrement sa chatte à nos yeux (car j’étais dans le camp des mateurs maintenant, j’étais leur complice) et ils m’adressèrent quelques compliments sur les bas, la culotte, la beauté de ma femme ! « putain, qu’est-ce qu’elle est belle ! ouah, qu’elle m’excite !»« elle va nous faire décharger si elle continue. »« ces bas, ouah ! on lui voit la moule et sa culotte ! ahh ! c’est beau !»Ce qu’elle n’avait pas prévu –et moi non plus- c’est que, profitant de l’aubaine un autre manant s’était en silence approché d’elle sur le pont. Prestement il se plaqua contre elle et se mit à la palucher en règle, frottant sa queue contre la jupe et son beau fessier offert. Ma femme, sans toutefois se dérober totalement, eut un petit geste visant à écarter le gars… ou du moins, à le maintenir à distance, plutôt parce que je n’étais plus auprès d’elle pour contrôler des dérapages éventuels et parce que l’endroit était à découvert, que par ce que lui montrait et lui faisait sentir le nouveau venu de son excitation manifeste.Rapidement, je remontai sur le pont et, sans faire fuir son nouveau frotteur ni les trois types du bas ni deux ou trois autres mateurs moins hardis qui s’étaient rapprochés, j’entraînais ma femme vers le petit chemin qui montait en serpentant dans le talus boisé et plus discret. De temps en temps le manant ventru tentait une approche et venait essayer de palucher un peu ma femme, qui ne se laissait pas vraiment faire mais ne le décourageait pas totalement dans ses tentatives, relevant un peu sa jupe pour lui montrer ses bas de plus près.D’ailleurs, comme pour rassurer la meute à nos trousses, ma femme fit quelques haltes dans la montée pour bien leur montrer ses canlı kaçak iddaa bas à coutures, sa culotte et ses fesses, comme pour mieux les inciter à poursuivre leur ascencion vers elle et ses atours. Un moment, elle s’accroupit, écarta le compas de ses cuisses et leur montra bien ses bas et sa chatte. Plus loin elle laissa sa jupe se soulever sur ses fesses cambrant son cul…Elle leur offrit plein d’angles de vision les plus érotiques les uns que les autres.En effet, une fois arrivée en haut, elle s’accouda à une rembarde et prit successivement une multitude de positions les plus sexy les unes que les autres, jouant avec ses bas, ses escarpins, ses longues jambes, sa culotte, sa jupe relevée et même sa veste totalement ouverte dévoilant ses seins.L’invitation était plus que lancée et peu à peu tous les types rappliquaient, ceux qui étaient de l’épisode du pont et aussi d’autres. D’abord, elle s’installa sur un banc et les asticota en croisant et recroisant ses jambes. Un des gars s’enhardit et vint l’attaquer sur le banc. Au vu et au su de tous les autres, elle se laissa butiner par le mec enchanté et même un peu fier. Elle plongea sa menotte dans sa braguette et alla flatter la queue du mec qui n’en pouvait mais. Devant les autres, elle se laissa un peu dépoiler et elle plongea même sur la queue du type enchanté et se mit à le sucer. L’essaim se reforma peu à peu et elle fut vite encerclée. Alors, elle se leva au milieu de ce groupe de vicelards. Bien vite une dizaine de pognes des manants s’affaira sur ma femme la paluchant de tous côtés, les queues ressortirent des braguettes et les mecs s’astiquèrent à nouveau. Ma femme contempla toutes ces bites et commença à se saisir de celles qui étaient à la portée de ses menottes.Ce fut un signal de folie !« Ah ! ouais, branle-nous, oui »« Oh ! oui, oh !oui, c’est bon, caresse ma queue »« Hmmm ! ces bas que c’est doux ! »« Tu mouilles hein ? elle est trempe ta chatte cochonne ! »« Putain que tu m’excites là ! »« Tiens ma queue, branle-moi moi aussi, je bande, ouf ! »« vas-y, vas-y, vas-y, branle bien nos queues oui ! »Je devenais dingue avec tous ces commentaires.Encerclée de bites, ma femme avait du mal à répartir ses aumônes dispensées par ses doigts doux aux glands de plus en plus envahissant. C’était même une belle bousculade pour être masturbé par elle, pour palucher seins, culotte et bas ou tenter de l’embrasser.Alors, elle s’accroupit au milieu du cercle et entreprit de commencer à sucer ces bites qui maintenant tournoyaient autour de son visage. Les ventres gros et dénudés se pressaient autour d’elle, l’étouffant presque, et propulsaient les queues en direction de son visage pour se faire sucer.Elle pompa tous les dards de tous les types, non sans arrêter d’activer ses deux menottes sur d’autres tiges qui se relayaient. De temps en temps, des mecs s’accroupissaient aussi pour l’empoigner par les seins, pour mieux doigter sa chatte profondément par en dessous, palucher ses cuisses et ses bas. Elle était belle ainsi, accroupie, jupe relevée à la taille, ses genoux légèrement écartés pour favoriser sa stabilité, dévoilant bien ses cuisses gainées par ses bas, ses escarpins assurant un bel équilibre, une ou deux bites en bouche, une autre queue dans chaque main, des pognes sur chaque miche et d’autres bites momentanément délaissées qui s’astiquaient dans ses cheveux.Au bout d’une demi-heure de pipes et de paluchage en règle, probablement un peu fatiguée par la position accroupie et aussi un peu relachée par les mecs qui se sentaient prêt à partir, ma femme se releva. Le cercle se détendit un instant, les types marquant une pause y allèrent de leurs commentaires élogieux et salaces, tout en contemplant ma femme fabuleusement belle comme une pute bcbg de jardin public, sa jupe retroussée, ses longues cuisses, ses jambes gainées de bas et ses escarpins exposés. Tous l’admiraient, tout en maintenant doucement (certains devaient pas être loin de gicler) leur bandaison en forme. « Que t’es belle ! là, ouaouh ! »« Ah ! ouais, tu suces comme une reine ! »« Ouf ! putain que c’est bon une belle femme comme toi ! »« Ah ! ouais que t’es sex ! »« J’ai jamais rien vu d’aussi beau ! »Un des gars s’appuyant alors contre la balustrade l’attira vers lui et la fit venir sucer à nouveau sa pine tendue, elle buste aplati et jambes tendues. Du coup ses fesses s’offrirent aux autres et rapido un des mecs l’enfila en levrette debout. Là encore ce fut une belle bousculade mais peu à peu les mecs s’organisèrent et vinrent à tour de rôle la bourrer ainsi, escarpins écartés, jambes tendues, cul en arrière fesses à l’air car sa culotte avait été enlevée et jupe retroussée à la taille !C’était un vrai essaim autour d’elle. Les gars se passaient sa chatte tendue et offerte aux queues car, aussi bien tous voulaient la prendre et se sentir en elle et tous se préservaient pour ne pas éjaculer trop tôt et profitaient.Le spectacle était fabuleux : ces sept ou huit mecs, des gros, des moches, des vieux, un jeune vicelard boutonneux, un très vieux binoclard… à moitié à poil dans ce « square » isolé de ce jardin public butinaient ma femme en bas, escarpins et porte-jarretelles, jupe troussée à la taille, seins à l’air bien dégagés par-dessus son balconnet et toujours avec une bite à sucer et deux autres qui se laissaient branler en attendant leur tour dans la file qui s’activait sans arrêt. Tous la pinaient, certains lentement et en douceur, d’autres plus brutalement, la traitant de « pute » et de « salope », la saisissant fermement, violemment pour certains, par les hanches, écartant bien ses fesses offertes, caressant ses bas, le replat de son cul. D’autres accompagnaient le baiseur du moment en l’attrapant par les hanches pour mieux la visser sur la pine active, appuyant sur son dos, agaçant ses tétons agités, caressant ses joues quand elle suçait. Une vraie usine à sexe en plein air, l’extase pour moi, qui applaudissais en silence, me régalais de voir le défilé de queues, de la voir répondre aux coups de boutoir répétés et profond, de contempler sa bouche déformée par les glands sucés et les tiges avalées…« Viens là » dit un gaillard d’un certain âge. Appuyé à la balustrade, il fit en effet se relever ma femme qui venait de bien le sucer. Il la fit s’empaler à califourchon sur sa grosse queue, qui s’enfonça d’autant mieux qu’il avait saisi ma femme par les cuisses et l’avait attirée contre lui, ses escarpins décollés du sol pour qu’elle vienne encore mieux canlı kaçak bahis s’enfiler sur sa verge. Cela dut faire un ‘tilt’ chez elle car elle enserra ses épaules et son cou, tout en s’empalant sur le gros dard et lui roula une galoche appuyée.Evidemment, ce changement dans l’action suscita d’autres convoitises. Sa chatte pilonnée par le dard était visible de tous, lèvres trempes et bien limées, ses cuisses généreusement ouvertes avec ses seules jarretelles comme habit et ses escarpins battant l’air et surtout son beau cul blanc, bien écarté par les gros doigts de son baiseur qui la tenait plaquée contre sa queue, attirait le regard, les pognes des autres. Ils caressaient ses fesses pour accompagner le ramonage vertical, ils semblaient vérifier la fermeté des muscles actifs, certains encourageaient même avec leurs doigts les couilles de son baiseur. Toujours quelques pognes s’attardaient sur ses bas ou venaient soupeser ses seins. Un doigt inquisiteur et délicat s’immisça dans son conduit étroit, une langue dardée vint fouiller son trou du cul en l’humidifiant davantage. Elle était prête… et elle le savait. Le groupe s’affairait autour de son cul.Quand enfin un premier gland se présenta à l’entrée de son cul, elle suspendit un instant ses montées et descentes frénétiques sur la vaillante pine, qui la ramonait. La saisissant par les hanches le gars enfonça très lentement sa pine entre les fesses écartelées.« Vas-y, encule-la cette salope, ouais »« Fourre-la dans le cul oui »« Chopez-la à deux, elle aime ça deux bites cette chienne ! allez ! »Et sous mes yeux ébahis et enchantés, une nouvelle sarabande s’organisa.« On va tous l’enculer cette pute ! »« Ouais, ouais, on va tous se la faire en sandwich »« Elle en veut des queues, elle va en avoir »« Allez, passez nous-la un peu les gars »Et ma femme fut ballottée de queue en queue, les gars se relayaient soit dans sa chatte, soit dans son cul, la faisant valser sur leurs bites dures qui entraient et sortaient en cadence et à tour de rôle. C’était un essaim et ma femme était prise en permanence par deux pines qui s’activaient en elle : les gars la limaient profond, avec force, avec douceur, en la traitant de pute, de salope, de cochonne… elle ne manquait pas aussi de branler des tiges tendues qui passaient à la portée de ses mains libres. Elle gémissait, s’agitait en tous sens très excitée par toutes ces bites qui la prenaient.« Han, han ! on va la faire jouir cette chienne »« Ouais, on va la faire gueuler, tiens ! » dit un gars en la pilonnant bien fort comme un soudard affamé (ce qui était un peu le cas !).Et elle, gémissait de plus en plus fort.« Tu la sens hein ma queue cochonne ? »« Putain qu’elle est bonne, elle les prend nos queues oui ! »« Allez ! tiens, tiens, humchhh !» et le gars y allait à grands coups de boutoir dans son cul tendu et offert.« Allez, passez-nous la un peu cette salope »Les « injures » pleuvaient, les mecs limaient de plus en plus fort en la traitant de « pute » :« T’aimes ça hein salope ? te faire mettre par des inconnus ? »« Putain qu’elle est bonne les mecs ! »Tous les types sans exception baisèrent ma femme dans la chatte et dans le cul se relayant à un rythme effréné. Mieux, sans qu’elle s’en rende compte, moi-même je me mêlais au groupe et je l’enculais un moment pendant qu’une autre tige ramonait sa chatte et qu’elle suçait un autre mec grimpé sur la balustrade, tandis que ses deux mains branlaient deux queues à sa portée. Je connus enfin la merveilleuse sensation double de limer ma femme par le cul et de bien percevoir la présence d’une autre bite dans sa chatte.Surexcité par sa dernière bourrée frénétique, un des types se retirant brusquement d’un de ses trous, la repoussant au milieu, se mit à beugler :« Putain, j’en peux plus, je vais décharger, je vais l’arroser cette pute ! »Aussitôt, un cercle très resserré se forma autour d’elle, les mecs approchant leurs bites exacerbées, les glands rougis et luisants :« Allez les gars, on va la couvrir de foutre cette chienne »« Tiens, branle-nous un peu salope pour nous finir » « Suce ma queue, que je te crache dessus »Heureusement que nous étions seuls ou presque (deux ou trois types arrivés trop tard pour pouvoir la baiser s’étaient approchés en astiquant leurs tiges) car ça devenait vraiment hard.Le foutre commença à gicler de toutes parts. D’entrée elle en prit plein la gueule d’un binoclard qui se branlait à dix centimètres de son visage et par celui qu’elle avait sucé pour le finir. Le sperme s’écoula aux commissures de ses lèvres et finit de s’écraser à la base de son nez, pendant que l’autre décorait ses joues et maculait son front. Les branlés crachèrent sur ses bas, ses seins, ses cuisses ouvertes. Un vieux la retourna et offrant son cul à la vision de tous déchargea puissamment sur ses fesses, imité par deux ou trois autres types qui vinrent essuyer leurs glands dégoulinants sur les bas nylon. Un autre type l’empoignant par les cheveux se fit sucer trois secondes et remplit sa bouche menaçant de l’étouffer. Elle ruisselait de foutre. Les glands giclaient, chaque type y allant avec deux ou trois bordées plus ou moins maîtrisées. Elle en avait partout !Un des derniers arrivés, un vieux vicelard très moche et bedonnant, la chopa trente secondes par les hanches, la prit en levrette sauvagement et, hurlant son plaisir, lui remplit la chatte illico : « putain les mecs, ahhh ! je lui décharge dedans ! con qu’elle est bonne sa chatte, quel cul ! ahhh !» et il la passa à un de ses complices, qui l’imita en se vidant aussi rapidement en elle comme un soudard, les yeux hagards.Je me régalais de voir ces visages de types jouissant sur et dans ma femme, de voir leur plaisir alors qu’ils se pâmaient en astiquant leurs queues et déchargeant sur et dans elle. Alors qu’un des mecs s’essuyait la bite dans sa jupe roulée à la taille, un autre vint finir de décharger dans un de ses escarpins qu’il avait en partie déchaussé et qu’il remit aussitôt à son pied, rempli de foutre.Un dernier type s’approcha d’elle, la saisit par le menton, présenta sa queue face à elle : « tiens, regarde, prends ça » et il se mit à lui éjaculer en pleine figure ; elle en prit jusque dans les cheveux et dans les yeux, sa bouche fut à nouveau décorée et ses joues zébrées de foutre.Rassasiés, les gars se réajustèrent et s’éclipsèrent un à un.Je saisis ma femme par le bras, elle remit un semblant d’ordre dans sa tenue et, à travers les allées du jardin, nous repartîmes. Le foutre ornait tous ses vêtements, dégoulinait sur ses jambes. Les types que nous croisèrent se retournèrent sur notre passage et manquèrent de s’étrangler à ce spectacle, probablement très déçus de ne pas avoir pu participer à la fête !Une autre fois peut-être ?

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