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petit matinDehors le soleil se levait et dardait ses premiers rayons au travers de la vitre de la fenêtre. Le chaud rayon lumineux tombait directement sur notre lit.J’avais repoussé la couette au pied du lit et nous exposions nos corps nus à la douce chaleur. J’étais couché à plat dos et te tenais dans le berceau de mon bras droit. Tu te tenais contre moi, couchée sur le côté, tes seins contre mon côté. Ta jambe droite était repliée sur ma cuisse, ton pubis appuyé contre ma hanche.Contre moi je sentais la chaleur de ton corps, la rondeur de tes seins.Nous étions couché et je savourais l’instant. J’étais bien installé, mon corps réchauffé par le soleil et ton corps; et surtout par la douce caresse que distraitement tu me prodiguais.Tu entretenais du bout des doigts mon érection matinale. Les yeux fermés, j’étais perdu dans mon inconscience, ma pensée uniquement fixée sur mon bas ventre. Tes doigts n’étaient pas refermés sur ma hampe pour une masturbation mais courraient sur toute la zone. Ils caressaient entre mes jambes ouvertes ma raie fessière pour ensuite remonter vers mes testicules. Avec douceur ils jouaient avec eux les faisant rouler. Tu les prenais dans le creux de la main les massant délicatement. Puis le bout de tes doigts courraient le long de ma hampe remontant vers le gland que tout aussi légèrement ils excitaient. Tes doigts se refermaient sur ma tige juste sur le gland et, avec délicatesse, tu tirais la peau vers le bas le décalottant. Puis le bout de tes doigts remontaient et empruntaient le sillon du gland m’arrachant un soupir de plaisir et une brusque contraction de mon bas ventre et de mon sexe. Et tes caresses recommençaient encore et encore dans des moments intenses de plaisirs que je savourais. De temps en temps, tu tétais mes tétons, ta langue les excitait les faisant se dresser. Par moment tu déposais de petits baisers dans le creux de mon cou ou tu mordillais le lobe de mon oreille. Par moment, reprenant mes esprits, je déposais de petits baisers sur ton front ou tes lèvres lorsque tu relevais la tête. Par moment, nos bouches se joignaient mêlant nos langues dans de longs et savoureux baisers.Mon bras te tenant enlacé contre moi, je caressais ton dos descendant le creux de tes reins. Mes doigts caressaient le haut de tes fesses et la naissance de ta raie. Le bout des doigts s’immisçaient entre tes monts mais ne pouvant aller bien loin.Cela durait canlı bahis şirketleri un grand moment. Nous étions bien dans l’instant. Nous étions perdus dans nos caresses. Heureux. Relevant la tête, tu me susurrais à l’oreille:Je voudrais que tu me fasses l’amour.oui, bien sur.mais je voudrais que tu me fasses l’amour uniquement par derrière. Dans mon petit trou. tu es sûre? C’est ce que tu veux?oui. J’en ai très envie.Et pour me faire comprendre ton accord entier, tu prenais dans la table de chevet un préservatif. Il avait été convenu entre nous que nous ne pratiquerions la sodomie qu’avec préservatif et uniquement de ta propre volonté. Puis tu ouvrais le sachet et posais la capote sur le gland et avec délicatesse tu la déroulais le long de ma bite en érection.Ensuite, tu te tournais et te mettais à quatre pattes sur le lit, jambes écartées, reins creusés croupe relevée. Je prenais dans la table de chevet un tube de lubrifiant et en déposais un noisette sur le bout de mon doigt. Puis, m’approchant du berceau ouvert de tes jambes, je passais mon doigt entre tes fesses et avec douceur je massais ta petite rondelle. Je ne passais pas uniquement du gel autour de ton petit trou mais j’en introduisais à l ‘entrée afin de lubrifier ton anneau. Pendant un moment je faisais aller et venir mon doigt de plus en plus profond.Enfin, je me positionnais à genou entre tes cuisses ouverte. J’avais vue directe sur ta raie fessière, ton petit trou et dans le prolongement la fente de ton sexe au sein de laquelle étaient nichés le papillon de tes lèvres et ton si mignon clitoris.Bien campé à genou derrière toi, je présentais mon gland à ta petite entrée. J’appuyais mon bout tout contre ton anneau resserré et très doucement, lentement, je poussais en avant. Une certaine petite résistance se faisait sentir. Ce que je voyais et sentais ensuite faisait partie de ce plaisir insondable. Vue et sensation délicieuses.Sous ma poussée, le bout de mon gland, aidé par le lubrifiant, comme une pointe forçait ton anus en l’écartant. Je poursuivais ma pénétration. Je sentais ton anneau enserrer mon gland qui, lentement pénétrait. Petit à petit je voyais mon gland entrer en toi. Ton collier cernait ma tige, le gland était entré dans la chaude douceur de ton fourreau. Puis je poursuivais plus en toi. Tout le long de ma hampe tu me serrais. Plaisir immense que la pénétration de ton si mignon petit derrière. canlı kaçak iddaa Enfin, mon pubis entrait en contact avec tes fesses. Je te prenais par les hanches et lentement je faisais des allers retours. Lorsque je sortais de toi, seul mon gland restait en toi. Lorsque j’arrivais au fond de ton ventre, mes couilles entraient en contact avec ta fente. Te tenant par les hanches, pendant que je bougeais en toi, avec mes pouces je massais le creux de tes reins. De temps en temps, du plat de la main je te donnais une petite fessée d’amour et petit à petit sous les tapes la peau blanche de tes fesses rosissait.Enfoncé en toi, je me penchais et, par en dessous, prenais tes seins dans le creux de mes mains. Je les massais et prenais entre mes doigts tes tétons. Je reprenais mes va et vient en toi tout en caressant ta généreuse poitrine.Je me redressais alors en t’attirant à moi. Je m’asseyais sur mes talons et tu te retrouvais redressée, profondément empalée sur mon sexe dressé. Lorsque tu t’asseyais sur mon sexe, un soupir sortait de ta bouche. La position m’enfonçait au plus profond de ta douce caverne. Un moment nous restions immobile, jouissant de la position. Je t’enserrais dans mes bras. Ma main caressait ton ventre, descendant vers ton pubis épilé. Le bout de mon doigt suivait le sillon de ta fente trouvant le capuchon protégeant ton clitoris. Il avait grossi, bandant. Je le massais doucement, immobile entre tes fesses, tirant de ta bouche des soupirs saccadés de plaisir. Sous les doigts de mon autre main, tes tétons durcissaient.J’aime ce moment où tout semble être en suspend. Planté immobile au plus profond de toi, caressant tes seins, massant ton clitoris, tirant de ton corps des contractions de plaisir et ces petits soupirs d’un orgasme naissant.Je te repoussais en avant te faisant remettre à quatre pattes. Je me sortais de ton petit trou et présentais mon gland à ton sexe. Par en dessous ta main m’empêchait d’entrer.- Non, me disais-tu, ton sexe uniquement par derrière. Pour le reste tu fais comme tu veux.Je te regardais un moment, puis je prenais dans la table de nuit un godemiché.Doucement, je l’introduisais dans ton sexe, au plus profond. Enfin je me représentais à l’entrée de ton cul et te pénétrais de nouveau. J’allais et venais. Par en dessous je titillais ton clitoris qui gonflait sous la caresse. Lorsque je te pénétrais je sentais le long de ma bite, au canlı kaçak bahis travers de tes chairs, la dureté du godemiché.Finalement, j’allumais l’olibos. Les vibrations se transmettaient à tout ton bas ventre et par là même à mon sexe. Au cours de mes pénétrations, alors que j’étais au plus profond de ton derrière, mes couilles entraient en contact avec la base du gode et elles aussi profitaient des secousses. Je me rasseyais sur mes talons et t’entraînais avec moi, t’empalant sur mon sexe bandé. Je continuais ma caresse sur ton clitoris. Puis trouvant ta main, je te guidais vers ton bas ventre. Je déposais ton doigt sur ton clitoris et t’indiquais ainsi que tu pouvais te caresser pendant que j’officiais autrement. Se que tu faisais aussitôt en branlant ton petit sexe érectile. Je me servais aussi du godemiché que je faisais bouger dans ton sexe.Comme un signal silencieux, la montée de nos plaisirs se déclenchait à l’unisson. Je sentais monter du fond de mon ventre des vagues de plaisir qui empruntaient le canal menant à mon gland. Je sentais ton corps entier se contracter par secousses successives. Ton clitoris était gonflé. L’anneau de ta rondelle m’enserrait.Brutalement, ton corps entier se décontractait libérant ma semence qui remontait. Dans une dernière poussée, parmi les vibrations du godemiché, j’éjaculais. Ton ventre se creusait, ton bas ventre était secoué des spasmes de l’orgasme, ta respiration et ton souffle étaient courts. Dans la libération de ton plaisir un long souffle mêlé d’un son rauque sortirent de ta bouche grande ouverte. Et puis brutalement nos corps se décontractaient. Machinalement j’éteignais le gode. Et nous tombions en avant sur le lit. J’étais couché sur toi, toujours te pénétrant. Un moment nous restions là, inertes, sous le coup de nos plaisirs. Je m’enlevais de toi et ôtais le préservatif, tout en laissant le maximum de sperme sur mon gland et mon sexe. Dans le même temps, tu te relevais. Tu regardais mon sexe encore un peu gros. Tu remarquais le sperme. Tu te penchais vers moi et me prenais dans ta bouche. Avec ta langue tu léchais les reliefs de mon éjaculation. Le godemiché était toujours enfoncé dans ton sexe. Pendant que tu procédais avec mon sexe, je jouais avec le gode le faisant bouger au fond de ton sexe. Cela te déclenchait une autre petite vague de plaisir.Tu te couchais posant la tête sur ma cuisse, la main posé sur mon sexe. Tu fermais les yeux et te rendormais. Comme nous étions couché tête bêche, j’avais vue directe sur ton entre jambes. Le gode était toujours en toi. Vue plaisante. Je te caressais et laissant le gode en toi, je te rejoignais dans le sommeil.

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Rocher de la Vierge

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Rocher de la ViergeLe temps est superbe. Il fait grand soleil en ce début mai. Comme c’est un peu hors saison, il n’y a personne à l’endroit où nous nous trouvons.Il fait chaud. Le soleil chauffe nos corps après une saison pleine de pluie, de vent et de froidure.Nous marchons, enlacés sur cette promenade qui domine la mer à Biarritz. De petits chemins piétonniers serpentent entre des buissons d’arbousiers. L’endroit domine la mer de la baie de Biarritz, au dessus du Rocher de la Vierge. Une rambarde court le long du chemin. Au bout du chemin, on accède au Rocher.Le Rocher de la Vierge est une petite île reliée à la terre par une passerelle. Au sommet trône la statue de la Vierge Marie. Le pic est percé au milieu d’un passage, et à l’opposé, une esplanade domine encore la mer et sa furie.Comme il s’agit d’une baie, la mer et le ressac arrivant du large de l’Océan Atlantique bas sur les rochers ceinturant la baie et le Rocher.Tu es vêtue d’une petite robe légère à bretelles fines. Tu ne portes rien d’autre que cette jupe. Pour continuer de me faire plaisir, tu ne portes toujours par de culotte ou de string sous la jupe. Et tu n’arbores par non plus de soutien gorge. Tes pieds sont chaussés d’escarpins à talon haut qui remontent tes mollets, cambrer les reins et ressortir ta poitrine.Je suis habillé d’une chemisette et d’un short. C’est d’ailleurs tout ce que je porte parce que je n’ai pas mis de sous vêtement.Arrivés au bout du chemin, toujours enlacés nous empruntons la passerelle. Au travers du tablier du pont remonte l’air frais de la mer. Quelques embruns remontent eux aussi. Je sens la fraicheur sur mes jambes. Cela doit te faire quelques choses à toi aussi car j’aperçois les tétons de tes seins pointer au travers du tissu léger de ta robe. Nous nous tenons pas la taille et avançons vers le Rocher. Tout à fait en haut, une statue de la Vierge Marie regarde le large, les mains jointes.Nous passons sous elle, par le passage percé dans la pierre. Et nous débouchons sur l’esplanade à l’opposé de la terre. Sur la droite, loin, la plage centrale de Biarritz avec l’hôtel du Grand Palais. Et face à nous, la mer ondulante de cette masse d’eau propulsée de très loin et que rien n’arrête, hormis les rochers en dessous et derrière nous.Cette ondulation se fracasse sur les rochers, faisant trembler la pierre et sonnant d’un coup comme illegal bahis un coup de canon. Lorsque la mer est forte, l’eau frappant sur la pierre jaillit vers le haut en des milliards de gouttelettes d’eau salée qui rafraîchissent l’air lourd et chaud.Nous nous avançons vers le mur de pierre ceinturant cette esplanade. Un moment, nous nous appuyons de nos mains sur le mur et regardons, vers le bas, la mer tapant sur les rocher et bouillonnant de son écume. Nous sommes totalement seul à cet endroit. La Vierge nous domine de sa présence bienveillante.Malgré le soleil, l’air est frais à cause de la mer. Un léger frisson parcours nos corps.Je t’enlace et t’embrasse. A pleine bouche. Nos langues se connaissent, se reconnaissent, s’enlacent, s’étreignent, se mêlent dans un long baiser. Mes mains parcourent ton corps par dessus le tissu. Je caresse ta chute de rein cambrée, descendant doucement vers tes fesses. Tout en continuant notre baiser, je caresse, au travers du tissu, tes deux montagnes fessières. De temps à autre, un de mes doigts longe ta raie, dans une caresse appuyée.Tu ne restes pas inactive. Tes mains me tenant pas la tailles descendent elles aussi vers mes fesses que tu prends au travers du short.Puis nous nous regardons. Je vois tes yeux embués. Pleins d’Amour. Puis nous nous retournons tout les deux vers la mer, regardant le spectacle.Je me met derrière toi, et t’enlace te tenant en une brassée. Au chaud contre moi. En ramenant tes bras derrière toi, tu me tiens par la taille en passant tes doigts dans le passant de mon short. De temps en temps, je dépose de petits baisers dans tes cheveux, dans ton cou.La mer battant d’un mouvement régulier, l’endroit isolé et seul au monde, ma position contre toi, le ressac et son mouvement. Petit à petit, dans mon short et contre tes fesses, je sens mon sexe lentement réagir. Lentement, une sensation court dans mon ventre, se dirigeant vers un seul endroit. Puis cette sensation se transforme et un gonflement de mon sexe qui monte, force, se raidit.Au travers des tissus, je le sens dressé contre toi, le long de ta raie.Par dessus ton épaule, tu tournes la tête et me regardes. Nos regards se trouvent, tournent autour de nous. Il semble que nous ayons la même pensée. La même envie.Tu lâches simplement mon short, te penches en avant et appuies tes deux mains sur le mur en face illegal bahis siteleri de toi. Et tu écartes légèrement les jambes, perchées sur les talons hauts. Je défais la braguette de mon short, et en fait sortir ma bite dressée.Mes mains relèvent le bas de ta jupe et je découvre tes fesses, tendues et ouvertes à moi.Je prends tes hanches par dessous le bas de la jupe, pointe mon dard à l’entrée de ton sexe, et t’attirant à moi je pousse lentement en avant. Je pénètre ton sexe avec délectation, les yeux fermés, dans un instant d’extrême jouissance. Au rythme lent des flots battant contre le rocher, je vais et viens en toi, sortant ma bite de ton sexe pour mieux te reprendre allant au fond de ta caverne. Moments délectables auxquels s’ajoutent l’insolite du lieu et de la situation.Sous mes coups de boutoirs qui doucement s’accélèrent, tes seins, libres de toutes attaches, vont et viennent sous le tissu de la robe. Insensiblement, mes va et vient se font plus rapide. Nos souffles sont à l’unisson. Je sens les muscles de ton sexe se contracter et se relâcher, branlant ma hampe, alors qu’elle te pénètre. Insensiblement, nos plaisirs montent du plus profond de nos êtres.Dans un dernier élan, toujours agrippé à tes hanches, je pousse en avant, t’empalant. J’explose dans ton corps. Je lâche une longue secousse de ma semence. Nous exhalons tout les deux un cri de jouissance dans un orgasme commun.Repus, nous restons là un moment, immobiles. Je te tiens toujours par les hanches, ma bite toujours enfoncée en toi, le corps parcouru des soubresauts de l’orgasme.Reprenant tes esprits, tu te redresses, Te défais de moi. Ta jupe retombe. Tu te tournes et m’enlaçant, tu m’embrasses. Longuement. Amoureusement.Puis, tu t’accroupis devant moi, et tu prends mon sexe à ta bouche. Il a perdu de sa vigueur. Je sens ta langue le parcourir sur toute sa longueur, depuis les couilles jusqu’au gland. Par petites touches, tu goutes les sucs mêlés de ton sexe et des restes de mon sperme. Ta langue habile, lèche mon gland. Puis je sens ta bouche, doucement, lentement, prendre possession de mon sexe. Ta tête va et vient le long, redonnant petit à petit de la raideur à mon sexe. Ma main, tenant et caressant tes cheveux, allait au même balancement que ta tête. Je te regarde, toute à ton plaisir de la fellation.Je vois ma pinne entrer et sortir de ta canlı bahis siteleri bouche. Je sens ta langue caresser, tes lèvres branler, la chaleur humide de ta bouche. Tout va dans le sens de mon plaisir immense. Toute à ton œuvre, tu fermes les yeux.Tu pratiques longuement, jouant avec les montées de mon plaisir. Lorsque tu sens venir, tu arrêtes, me caresses et laisses repartir ce qui est en train de monter. Puis tu reprends.Au bout d’une longue fellation, je sens mon plaisir une nouvelle fois se présenter. Tu t’apprêtes à, une nouvelle fois arrêter, mais n’y tenant plus, je maintiens ta tête contre moi. Tu gardes mon sexe dans ta bouche, où j’éjacule. Je te maintiens contre moi, profondément enfoncé. Je sens ta langue contre mon chibre. Je te vois déglutir et avaler ma crème de vie. Tu ouvres les yeux et me regardes. Puis avec de derniers coups de langues, tu ramasses les derniers restes de mon sperme. Tu lèches mon gland décalotté. Puis de ta main caressante, tu le remet dans mon short dont tu relèves la braguette. Tu te relèves et tu m’embrasses encore. Je goute à tes lèvres le gout de mon sexe. Je te tiens tout contre moi durant ce baiser. Je caresse tes formes au travers de la robe, m’attardant sur tes fesses.Durant ce baiser, je passe ma main sous ta jupe, descendant le long de ta raie. Mon doigt s’insinue entre tes globes cambrés. Doucement, je mouille mon doigt à ton sexe, de ton jus et de quelques gouttes de sperme, et remontant, je masse doucement ta petite rondelle. Mon doigt pousse en avant sur ton petit trou massé et assoupli. Je te pénètre. Tes reins se cambrent un peu plus, t’ouvrant encore, t’offrant plus. Mon doigt va et vient en toi. Tu sembles trouver quelque chose dans cet instant. Tu fermes les yeux, faisant tout pour t’offrir.Je sens une légère contracture de ton petit cul. A ton souffle, je pense que tu viens de prendre un plaisir. Je vais et viens encore en toi durant quelques instants. Je me retire et ta jupe retombe. Je t’embrasse, reconnaissant du plaisir que tu viens de me donner. De l’acte d’Amour, de la fellation, du doigt que tu as accepté.Puis, après une légère tape sur les fesses, nous nous reprenons par la taille et rebroussons chemin. Au débouché du passage sous la statue, alors que nous reprenons la passerelle, nous croisons un groupe de personnes qui arrivent.Nous nous regardons et, sans que ces personnes puissent comprendre quoique ce soit, nous éclatons de rire.Toujours riant, nous poursuivons notre chemin, les laissant à leur ignorance.Je t’aime et jusqu’à maintenant, je ne t’avais jamais fait l’Amour à Biarritz.

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Christophe 2

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Anal

Christophe 2l’année de mes 14 ans, après avoir passé une grande partie de ma puberté a me tripoter devant des films pornos ou des magazines, en pleine découverte des filles et des plaisirs du sexe hétéro, j’étais avide de savoir en la matière.Je me touchais tout le temps , partout,j’adorai ca et j’adore toujours d’ailleurs.Il n’était pas rare que je vois mon ami Christophe ; chez qui je passait quelque fois les après midi, car nous avons la branlette en commun.Par une journée d’automne je me rend donc chez mon cher voisin je suis déjà excité a l’idée du moment sympathique que je m’apprête a passer.Arrivé chez lui, je suis désormais moins tatillon qu’a notre première branlette simultanée,les discutions sont sans détour, on parle cul!direction sa petite chambre et on déballe nos queues sans chichis .Cet après midi la , Christophe était très excité ; cela faisait déjà une bonne demi heure qu’on s’astiquait le manche, au bout d’un moment je remarque qu’il lorgne sur mon sexe , en ralentissant le rythme assez rapide qui est le sien.Il me dit d’une voix basse: “elle a l’air dure, je peux la tâter pour comparer a la mienne ?”J’étais un peu sous le choc,un homme qui va me toucher la bite? dans ma tête c’était tabou, je lui répond:”moi j’aime pas trop ca, ca fait un peu pédé quand même…non?” , lui:”allé , c’est pas comme si on s’enculait!!, je touche juste , après si tu veux tu pourras toucher la mienne” J’hésite car la proposition de palper sa grosse queue de jeune homme m’avait déjà traversé l’esprit une fois ou deux , et il faut reconnaitre que c’est un sacré engin, viril et velu.C’était un jeune homme costaud , trapu de 4 ans mon ainé et plutôt précoce par rapport a moi qui n’avais pas de poils , et étais encore en pleine croissance .Je me prend finalement a son jeu , et lui dis :” ok, vas-y touche la”, légèrement surpris , il s’allonge a coté de moi sur son lit , tout deux le pantalon baissé,et se lance.J’étais a sa gauche , tout en gardant sa queue en main, il tâtât la mienne en la pressant un peu sur l’épaisseur , il se tourne ver moi et en me regardant et dit d’un air sur de lui:”tu vois , ca te fais bander!je t’avais dis que c’était rien.” Tout en serrant mon pénis entre son pouce et son indexe,il exerce un petit va et vient, rendant mon gland presque violacé .A ce moment la je ne pensais qu’a une chose , sa queue!Je veux la toucher sentir comme elle est chaude , et que ca la rende aussi dure que la mienne.Je voyais au visage de Christophe qu’il était en plein excitation , a la manière dont il regardait mon sexe bouger a la cadence de ses mouvements.je me tais et regarde le plafond , me demandant si c’est bien normal de me laisser güvenilir bahis toucher par un homme, et de songer a lui faire de même, puis il me coupe dans ma réflexion en me demandant:” alors ?tu veux la toucher ou pas ?” , il s’appuyât sur ses coudes pour se redresser un peu,sa queue etait droite et avait l’air plus dure qu’un menhir.Je savais qu’il en avait très envie , et a voir mon regard sur son sexe, il savait que moi aussi , même si je restais silencieux et hésitant mais pas moins en érection.Christophe sens que je suis sur le point de refuser par peur, et me dis ” essaye , tu verra bien si t’aime ou pas…”, ce a quoi je répondis ” bon , ok , mais si j’aime pas , on le refait plus , déjà la je trouve qu’on va un peu loin…” Et je m’approche alors de sa si belle queue , et enveloppe ma main autour de ce pieu,je sentais son rythme cardiaque dans sa bite, qui était aussi brulante qu’un café tout chaud , j’étais alors accroupi a coté de lui , mon regard ne décrochais pas de ce spectacle , une sensation m’envahit , j’avais les mains moites , et ma bite était si dure qu’elle me faisait presque mal.Il me dit en soupirant ” vas y , serre la fort ..”Ni une ni deux , je m’exécute tout en me délectant de voir son gland grossir sous la pression de ma poigne,sentant que je lui procure du plaisir , je me met a le branler tout doucement sans desserrer d’un cran .Me voila , hyper excité, je vais jouir en pas longtemps ce coup ci , je le sais déjà c’est trop d’émotion pour mon sexe, je ne peux me retenir plus longtemps , tout en masturbant mon ami,je laisse jaillir de ma lance le délicieux jus, qui se fixe puis coule le long de ma poitrine , d’un mouvement sec Christophe écarte ma main de son sexe,qui se met lui aussi a rependre le liquide du plaisir presque instantanément sur son ventre poilu et masculin laissant s’échapper un ” putain !”léger et plein de satisfaction.J’adorais le voir éjaculer depuis longtemps , ca m’impressionnait, son sperme était aussi crémeux et abondant que celui d’un acteur porno , je l’avais déjà complimenté a ce sujet , bref tout ca pour dire que j’ai découvert une pratique très excitante cet après-midi là, mais je garde quand même un sentiment de culpabilité , d’avoir fais quelque chose d’interdit.Lorsque je suis rentré chez moi j’étais perplexe , je me questionnais encore et toujours sur mes actes , mais le soir dans mon lit , c’est a sa grosse queue que je pensais , et a tout ce jus qui en était sorti a peine quelques heures plus tôt.Ensuite,Nous ne nous sommes plus vu pendant quelques temps, pour des raisons que j’ai oubliées, puis arriva l’été.Un jour je croise Christophe dans le lotissement, sur sa peugeot 103 türkçe bahis sp rouge, il me voit puis s’arrête et me propose d’aller avec lui a la piscine l’après-midi même, j’accepte volontiers , il fait chaud et je m’ennuie donc c’est parfait.JE me rend chez lui comme convenu, sa mère nous dépose a la piscine a 10 km de notre ville, et reviendra nous chercher plus tard a la fin d’après-midi.C’était la piscine municipale d’une petite ville , qui avait déjà fait plus que son temps, autant dire qu’il n’y avait pas foule pour un début d’été dans ce décor un peu vieillot.Je gardais en tête les souvenirs de notre dernière rencontre qui fut un peu plus chaude qu’a l’accoutumée,ce qui rendait le moment différent de quand on va a la piscine sans arrières pensées.Nous passons par le vestiaire , et déjà quand nous nous changions j’ai pu apercevoir l’objet du désir qui pendouillait entre ses jambes, conséquentes et poilues comme celles d’un homme de trente ans .Une fois en maillots, bien serrés évidement car les shorts étaient interdits ,nous passons Sous la douche ,Je distinguais déjà le volume que remplissait sa queue et ses grosses bourses de mâle, dans le slip de bain noir brillant qu’il portait.Entre deux baignades nous allions dehors sécher au soleil sur nos serviettes posées a même le sol,assis a regarder les autres jeunes passer , a des moments Christophe me disait :”regarde j’ai la gaule!”,j’y jetais un œil et m’apercevais que son maillot était tellement tendu qu’on pouvais apercevoir des boules dépasser sur les côtés, je faisais tout comme si ca me faisait rien mais au fond de moi ca m’excitait et souvent rien que me dire ca me mettait une trique du feu de dieu, et je sautais a l’eau pour la cacher, ce qui fini par arriver.Je saute a l’eau espérant y rester assez longtemps pour que mon chibre ré-atteigne sa taille initiale, Christophe me rejoint dans l’eau et,accoudés au rebord nous nous rafraichissions en discutant.il se mit a faire deux aller-retour de droite a gauche avec la tête comme pour s’assurer que personne ne nous observait, et me demande:”tu bande encore là? je l’ai vu dehors” D’entendre ces mots, fit redoubler mon érection au lieu de la calmer, alors discrètement je lui répond “oé, et toi aussi j’ai vu.C’est quoi qui t’a foutu la gaule ?” et pour ne pas le mettre dans l’embarras je rajoute :”c’est les filles la bas hein ?” ce a quoi il répond simplement par un “oé” évasif , soudain je sens ses doigts serrer ma queue comme pour mesurer la force de mon érection , a la manière dont il avait opéré a notre dernier “après-midi branlette”.je lui dis:”Oh! qu’est-ce que tu fais?ya des gens!!”, il me lâche et me dit d’une voix mesurée:” güvenilir bahis siteleri t’inquiètes pas ,personne ne voit,touche la mienne stp..”Je réfléchis un instant et me dis que de toute façon , même si je dis le contraire,je bande et ça trahi mon excitation a ses yeux.Je choisis en une seconde et plonge ma main dans l’eau bleu de la piscine discrètement jusqu’au paquet de mon ami,tout en surveillant du coin de l’œil les alentours du bassin.J’effleure son bas-ventre,je sens déjà sous ma peau que son gland dépasse du slip,puis caresse doucement l’ensemble jusqu’à sous-peser ses couilles et finir par empoigner ce braquemart par dessus le maillot.D’expérience je savais qu’il aimait cette façon d’être pris en main,il me le signifia aussitôt en me palpant a nouveaux et rétorqua:” c’est bon , sors la et branle moi comme chez moi,t’inquiète je surveille”Je me suis dis après tout,c’est vrai personne ne verra rien , et j’ai ainsi libéré sa trique en passant le maillot sous ses boules du jeune homme.Les gens défilaient , mais je continuais a le masturber a son bon vouloir , lui me serrais toujours la queue, je lisais dans ses yeux le plaisir d’être satisfait par mes soins , je frottais sa grosse queue qui semblait alourdie de par sa posture, passais mes doigts dans ses poils et sous ses couille.Il avait l’air d’adorer ca , mais tout a coup nous nous laissons surprendre par un adulte qui nous jeta un regard qui en disait long sur ce qu’il avait vu,de peur nous avons cessé , et somme partis nous changer au vestiaire , l’après midi était presque passé.Nous nous sommes lavés changés nous étions en avance de 10 minutes , avant de sortir , Christophe me téléphone, il était dans une cabine dans lesquelles des gens peuvent se changer, la porte était entre ouverte , il me chuchote:” eh viens voir ” j’ouvre la porte et je le vois là,la queue a la main ,encore et toujours en érection ,la tige sortant de la braguette ouverte de son bermuda,sans tact aucun il dit” vas y comme tout a l’heure, je veux gicler.”je ferme la porte de la cabine, et lui offre encore un peu de plaisir a ma façon commençant a me ressentir coupable, je me tiens debout près de lui sa queue serrée entre mes doigts désirant en accélérant légèrement , pour pas être en retard.Je l’entendais pousser quelques soupirs avec discrétion je savais qu’il n’en avait plus pour longtemps, puis il empoigna sa queue et se vida sur la paroi orange années 70, en quatre énormes giclées qui dégoulinèrent jusqu’au sol laissant percevoir le bruit de son écoulement, dans la résonance du vestiaire désert.Émoustillé par ce nouvel après-midi chargé en découvertes, nous rentrions chez nous comme de gentils jeunes , sans rien laisser paraitre de nos actes.Le désir que j’éprouve pour le sexe de Christophe me laisse pensif une nouvelle fois , est-ce que c’est bien ? est-ce que c’est mal? pourquoi cette sensation de braver le tabou?

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Vie et découvertes 1

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Babes

Vie et découvertes 1Ayant dépassé les quarante ans, je me lance dans l’écriture de certains moments de ma vie. Vous n’êtes pas ici pour lire une histoire banale, mais plutôt une aventure un minimum érotique. Ca tombe bien, j’ai eu la chance de découvrir, expérimenter cet univers et bien plus encore. Mais par quel bout commencer ? Le début évidement !!! Oui mais le reste ne sera probablement pas dans l’ordre chronologique, mais plutôt au grès de mes envies, ou pour faciliter la compréhension de l’évolution de ma vie. Par contre je souhaite être certain que la lecture de mes quelques lignes sont agréables à lire, alors merci de réagir positivement ou non en n’hésitant pas à corriger les fautes.Jeune garçon, j’ai eu ma première éjaculation en regardant des magasines de sorties des cassettes vidéos dans lesquels il y avait les pages spéciales pour les films érotiques. Rien de bien originale, mais il faut bien commencer un jour. Mais j’y ai rapidement pris beaucoup de plaisirs, et toujours essayer de répéter ces instants dès que possible. Vivant à cette époque dans un pays chaud, j’ai vite eu l’envie d’observer les femmes habillées sexy, en vêtements légers … Le soir venu, je pouvais ensuite “penser” à elles dans mon lit.Mais je me souviens particulièrement d’une délicieuse séance, particulièrement troublante pour moi quand j’avais environ 11 ou 12 ans. Mes parents avaient invité un couple d‘amis à eux pour passer quelques jours à la maison. “F”, la femme de ce couple, avait la trentaine, un petit visage toujours souriant, le nez en trompette, les cheveux courts, teins couleurs auburn. La peau toujours dorée, elle avait une silhouette illegal bahis fine et féminine. J’adorais ses seins, bien formés avec de toutes petites aréoles. Les joies de la plage m’avait permis de les admirer, et comme tous jeune garçon la poitrine des femmes nous font tourner la tête.La journée était particulièrement chaude, pendant le déjeuner j’avais eu la joie d’admirer encore ses merveilleux seins par les grandes emmanchures de son petit haut justement sans manche.Le repas fini, mes parents invitent leurs amis à faire un tour, mais fatiguées par la chaleur, “F” veut rester faire une sieste pour pouvoir être en forme le soir pour la sortie restaurant. Elle leurs propose de partir immédiatement, pendant qu’elle range les affaires avec moi, puis se reposera. C’est ainsi que mes parents et l’homme du couple partent pour l’après midi. Une fois le rangement effectué, “F” me demande de la réveiller à un horaire précis. Elle se retire donc dans la chambre d’amis. Étant maintenant seul, j’en profite pour me renfermer dans ma chambre et feuilleter les pages érotiques des sorties vidéo. Ma chambre est voisine de celle de “F”. L’idée me vient d’aller l’observer. Je passe discrètement par le balcon. Les portes fenêtres sont grandes ouvertes pour laisser l’air rafraîchir la température. Les grands voiles blancs volent au vents. J’approche doucement mélanger aux mouvements des voiles. Je découvre “F” allonger en chien de fusil me tournant le dos, complètement nue. Le drap ne recouvre que ces pieds. A cet âge on ne pense qu’au seins des femmes. Mais là, je découvre la beauté des hanches d’une femme, de cette femme, de “F”. C’est illegal bahis siteleri la première fois que je peux observer une femme ainsi. La courbe de ces fesses est délicieusement érotique. Imaginez dans quel état d’excitation je suis. Il n’est plus question de réfléchir à se qui est raisonnable ou non, mes pulsions sont plus forte, je sors mon sexe en érection pour me masturber. Mais “F” ne m’a pas fait seulement découvrir le corps d’une femme , elle m’a inspiré une source de plaisir bien plus puissante que la masturbation frénétique d’un jeune puceau. Je ne saurais expliquer pourquoi, mais j’ai très vite arrêté ma course à l’éjaculation, pour me masturber le plus doucement possible, en faisant des pauses afin de ne pas éjaculer trop rapidement, comme si “F” méritait bien plus qu’un petit coup rapide.J’étais donc en position de voyeur, debout au milieu des voilages blancs, dans l’observation obscène du corps de “F”, en me masturbant délicatement pour faire durer l’instant en l’attendant doucement respirer. Resentir cette femme si prêt de moi était vraiment troublant, je partageais son intimité.D’un seul coup “F” a changé de position en ce tournant sur le dos. J’étais immobile, pétrifié de peur, la main sur mon sexe le short en bas des chevilles alors que “F” pouvait se réveiller à n’importe quel moment. “F” était maintenant allongée sur le dos, une jambe légèrement pliée sur le coté,les bras en croix, et sa tête clairement tournée dans ma direction. Je n’osais plus bouger, ma respiration me semblait trop bruyante, de peur de la réveiller. Le temps était suspendu, mais les pulsions du jeune garçon que j’étais canlı bahis siteleri ne pouvaient en rester là. Non seulement “F” m’offrait de son corps entier, mais en plus, par sa jambe un peu pliée je devinais son intimité, plus que son pubis, je pouvais distinguer la formes de ses lèvres sous sa légère toison. Malgré ma volonté de faire durer cette vision le plus longtemps possible, mon sexe n’a pas résisté, et j’ai éjaculé. Je me souviens être resté la main à la base de mon pénis tendant la peau mon sexe pendant que je sentais pour la premier fois de nombreuses et longue éjaculation, sans même continué la masturbation. Mon esprit avait du mal à revenir à la réalité, mes jambes étaient flageolantes. J’ai remonté mon short, pour partir rapidement chercher une éponge et nettoyer discrètement le carrelage souillé par mon abondante semence.Après un bref passage à la salle de bain, je me suis rendu compte qu’il était l’heure de réveiller “F”. M’approchant de la chambre d’amis, frappait à la porte pour réveiller “F”. Elle me dit de rentrer, mais j’avais peur de la trouver nue sur son lit. Elle avait délicieusement remonté un coin du drap tout en laissant un sein apparent. Je lui proposait d’aller lui chercher un verre d’eau. En lui donnant, je lui demande si elle a bien dormi. Ça réponse : Oui très bien, mais j’ai eu l’impression de sentir une présence.J’ai dû passer de toutes les couleur, mais rien n’a jamais été redit sur cet après midi.Finalement je garde de ce merveilleux moment un souvenir inoubliable. Non seulement “F” était la première que j’ai pu admirer ainsi (j’aimerai la revoir pour partager la réalité de cet instant), mais en plus c’est bien ce jour que j’ai compris que pour rendre le plaisir plus intense, il est nécessaire de le faire durer. Je peux dire aussi que depuis je suis plus attiré par les fesses des femmes que de leur poitrine.mccandco

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betty

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Babes

bettyce soir la , Betty venais diner a la maison , les petits plat dans les grands, la table était dresse dans une lumière tamisée . elle n’allait plus tarde a arriver . quand j’ouvris la porte pour l’accueillir, je la trouvais dans une robe qui mettait a valeur ses formes et laissait deviner de somptueux dessous. elle se dirigea vers le salon, mon regard pose sur ces hanches rondes qui se balance, ses jambes dans de magnifique bas, pour se terminer par des escarpins. tout cela me donnai envie de sauter le repas et de passer directement au dessert. assis sur le canapé nous prenons un apéritif. je ne peux détacher mon regard de son décolleté ,j’ai l’impression qu’ il vas s’ouvrir a chaque de ses inspirations, elle croise ses jambes laissant découvrir ses cuisses jusqu’a la lisière en dentelle de ses bas. délicatement je pose ma main sur sa cuisse, la caressant lentement, sa main rejoins la mienne l’entrainant plus haut dans la découverte, je trouve la dentelle de ses bas, l’attache de la jarretelle ,puis l’arrête….je la sent frissonner, elle fait monter le désir, je dois me faire v******e pour ne pas la prendre, la ,sur le canapé, me jeter voracement sur ce corps, prendre ses lèvres, faire courir mes mains sur ses seins, masser vigoureusement cette croupe qui affole mes sens.nous passons a table non sans difficulté pour masquer mon désir qui est devenu visible. je lis dans les yeux de Betty et sur son petit sourire que cela ne lui a pas échappe, elle s amuse de l’effet qu’elle provoque sur moi .durant ce léger repas, elle ne manque pas de me provoquer, un œil malicieux lorsqu’elle porte a sa bouche sa fourchette, cette façon de jouer de sa langue, de ses lèvres avec la nourriture , le besoin qu’elle éprouve de se pencher en avant même sans raison pour libérer a ma vue sa poitrine, ses yeux plongeant dans les miens comme pour s ‘assurer que mon regard était bien la canlı bahis şirketleri ou elle le voulait….et cette maudite table entre nous qui me fait vivre en enfer…… j’imagine la prendre, coucher a plat ventre sur la table, la croupe tendu, ses fesse offertes a mon plaisir bestial…je ne peux tenir plus longtemps au risque de devenir une bête sans limite……il suffit, elle me cherche , elle vas me trouverje me lève et viens me placer derrière Betty, mes mains sur ses épaules, je les dénude lentement, embrasse son coup, mes mains glissent sur ses seins, les massent toujours prisonniers de leur fourreau, puis descende plus bas, sur ses cuisses, et … je m’empare de la serviette, lui bande les yeux. toujours assise sur sa chaise, je libère le passage pour me mettre face a elle , elle est devant moi , le souffle cour, je lui refuse le droit de prendre toutes initiatives .elle est mienne totalement, je me défait de ma ceinture, me penche sur elle, fait glisser mes mains sur ses bras, jusqu’au mains qui se rejoignent dans son dos, je les attache, lui murmure a l’oreille que ce soir elle est a moi sans concession, mais qu’a tout instant elle peut y mettre fin.elle ne peux plus me voir, ni me toucher a sa guise….je tourne autour d’elle laissant courir mes mains sur son corps, je déclenche des frissons lorsqu’elle passe sur le haut de ses cuisses dans son coup, a la naissance de sa poitrine.je libère ses seins de leur prison de dentelle, m’agenouille pour les prendre en bouche, je les tète, suce les tétons, enfouis mon visage entre, mes mains remontent le long de ses cuisses, passe sous sa robe qui remonte, j’atteins la lisière de sa culotte, je passe mes bras sous ses jambes, l avance sur sa chaise , ma tète entre ses cuisses plonge vers son intimité, j’écarte le tissus qui masque son mont de venus, il est doux , lisse, mon doigt glisse le long, joue avec canlı kaçak iddaa son bouton, ma bouche viens l’embrasser , ma langue titille sont clitoris, passe sur ses lèvres, immisce en elle, elle se cambre pour s’offrir encore plus, me faire entrer plus encore.je me retire de cette douce chaleur que m’offre son corps, la laissant sur sa faim, le souffle cour , elle reprend le dessus . je retire mes vêtements, elle est la , sur cette chaise, sa robe ne forme plus qu’une ceinture sur sa taille, ses seins sortis de leur prison se dressent fièrement, les tétons tendus par le désir. je me déshabille , viens me placer derrière elle, mes mains glissent sur ses épaules, descendent sur ses seins, les caresse, remonte le long de son coup, je passe mes doigts sur ses lèvres, qu’elle essaie d’att****r pour jouer de sa langue avec, ses mains toujours entravées dans le dos , elle sent mon membre libre du bout de ses doigts, essaie de le taquiner , je me rapproche pour lui laisser le loisir de jouer avec mes bourses lisses qu’elle caresse, masse, un fugace moment ou je lui laisse le contrôle de la situation.ma virilité est tendu par ses caresses, je le frotte contre ses tétons, le passe sur ses lèvres, sa bouche s’ouvre pour laisser échapper un petit bout de langue qui viens tourner autour de mon vit, mes mains derrière sa tète la pousse a me prendre, je sent sa langue qui joue avec , je lui détache les mains , elle essaie de m attirer a elle, je résiste, je l’embrasse avec fougue, mon sexe est venu se placer entre ses deux globes si doux, de ses mains elle plaque ses seins pour m’emprisonner, quelle douce prison…..dans la quelle je me fait glisser avec délice, a chaque mouvement elle essaie de donner de petit coup de langue sur cette tète qui sort entre ses douces collines.je veux la posséder la, tout de suite, a l’instant, je l’att**** par les cuisses elle accroche ses bras canlı kaçak bahis autour de mon coup, nos bouches se trouvent , nos langue se mêlent, je la porte jusqu’a mon lit, la couche, ma bouche quitte la sienne ,parcoure son corps, ses mains att**** ma tète la guidant sur sa poitrine, puis sont ventre, mes mains cherchent sa culotte, impatiente de lui ôter, ma bouche glisse sur ses cuisses toujours dans leur atour, je les caresse jusqu’ a ses escarpins que je ne veux pas lui enlever, je redescend pour gouter a son sexe humide de désir, ses jambes sur mes épaules, je me délecte de son plaisir, me redresse, elle att**** mon sexe, le frotte contre le sien , son bassin cherche a le prendre, je résiste, par jeu, c’est moi qui décide, quand et quand c’est maintenant, je me perd en elle d’une pousse, entièrement en elle sans bouger, le bonheur de la possède pleinement, ses jambes s’enroule autour de mon bassin, elle ondule, pour me faire pénétrer au plus profond d’elle.je commence alors de lent vas et viens , de toute ma longueur puis de plus en plus vite , de plus en plus fort, alternant vitesse et force parfois en même temps ou l’un âpres l’autre, elle ne sais pas a quoi s’attendre, un moment de douceur ou un assaut brutal. mes mains soulèvent ses fesses, je les pétris les masse, je veux jouir de cette vue, de ces deux lobes de chair, elle le sent , elle accède a ma requête sans que je ne l’a formule, elle se retourne, me tend sa croupe, je la caresse, je me rue dessus a pleine bouche je la couvre de baiser, je fait glisser mon membre sur ses douces joues, glisse mon bout entre , jusqu’a retrouver la chaleur de son sexe, juste a l’entre de ce paradis, j’att**** ses hanches, et la prend de tout mon être, elle ondule, trouve le même rythme , ses fesse claque contre mon ventre, je la veux encore plus fortement, je m’accroche a son porte jarretelles comme un cavalier au galop s’accroche au rêne de sa monture. la jouissance est proche pour nous, d’un grand coup de rein je me fiche au plus profond d’elle, ma jouissance déclenchant la sienne , nous nous écroulons sur le cote repus de nos corps, vide de nos sens

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Soirée antillaise

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Amateur

Soirée antillaiseLe punch coule à flots. Au rhum, à la noix de coco, au gingembre. Ah, le gingembre… Le buffet regorge d’acras de morue, de chutneys, de crevettes grillées pimentées, de langoustes, d’ananas en carpaccio, de bananes présentées de façon érotique, …Le carton d’invitation annonçait une soirée chaude, chaude… Et ce n’est qu’un début. Mais à propos, à qui devons-nous d’être ce soir dans cette cave, dans cette soirée dont la majorité des participants sont noirs, originaires des Antilles, vêtus de tenues hautement colorées pour les femmes, pantalon blanc et chemisette blanche pour les hommes ?Maintenant que tous les invités ont fait honneur au buffet… et surtout aux punchs, la musique créole monte, monte et les couples vont sur la piste sur ces rythmes syncopés, lancinants, envoûtants. Hélène et moi restons assis prudemment au bar, histoire de récupérer de la dégustation des différents punchs, nous contentant du spectacle de ces couples déchaînés, heureux d’être sur la piste.Comme il fait très chaud, quelques chemises sont prestement enlevées sans aucune impudeur. Hélène, à l’évidence, ne manque pas de s’intéresser à ces corps d’hommes luisants, musclés, pour certains adeptes du body-building. Son regard intéressé attire l’attention d’un superbe Martiniquais dansant avec une plantureuse noire. L’homme nous invite à venir les rejoindre sur la piste. Devant notre hésitation, il prend Hélène par la main et l’emmène avec lui sur la piste.Et me voici embarqué à mon tour par cette superbe Antillaise qui doit bien me dépasser de quelques centimètres et avec une poitrine impressionnante.Nous tentons bien d’adopter une attitude de circonstance, et Hélène sourit de me voir dans les bras d’une si imposante noire. Je souris moins de voir notre Antillais sembler déjà bien familier avec ma petite femme. Il est vrai qu’elle est mignonne, dans cette robe de cocktail aux fines bretelles qui lui moule bien le corps. Mais quand même, de là à lui coller déjà au corps, lui passer la jambe droite dans son entrejambe, lui passer les mains dans le dos le long de la colonne vertébrale…Et cet autre Antillais, une bouteille de punch à la main, qui vient se coller derrière ma femme. La voilà prise en sandwich entre deux hommes, excellents danseurs, mais quand même…Ma cavalière n’apprécie guère que je m’intéresse plus à ma femme qu’à elle, et me voici le visage plaqué entre ses deux seins parfumés d’une eau de toilette capiteuse. Voilà qui me change des petits seins d’Hélène, fermes, canlı bahis şirketleri bien proportionnés, dont les tétons réagissent très vite à mes sollicitations. Mais passer d’un 90 B à certainement un bon 105 E, cela surprend, même si abondance de bien ne nuit pas…Forcé d’oublier momentanément cette pauvre Hélène en perdition, je promène volontiers mes mains le long du corps de Christiane. Elle a bien voulu me confier son prénom. C’est quand même la moindre des choses, vu notre intimité naissante…— Dis-moi, mon petit (la voilà bien familière), pourquoi gardes-tu ta chemise alors qu’il fait si chaud ici ?— Ah ben, bredouillai-je, c’est que je n’ai guère l’habitude d’être torse nu en public… sauf à la plage. Ou alors, si je m’enlève la chemise, tu en fais autant avec ton chemisier !Et pan ! Entendez-vous l’immense éclat de rire ponctuant mon insolence ?— Hé bien, soit. À toi l’honneur, et je te suis.Me voilà dans de beaux draps, si j’ose m’exprimer ainsi. Aucune raison de reculer. Et j’enlève bouton après bouton, en m’efforçant d’être sensuel, avant de me débarrasser prestement de ma chemise.Christiane, à son tour, au rythme de la musique créole, se débarrasse de son chemisier, laissant découvrir le haut d’une guêpière en tissu rouge vif et dentelles, du plus bel effet sur cette peau noire et luisante. Ses seins sont mis en valeur comme il se doit et je n’ai pas dû me tromper sur leur taille. Bon gré mal gré, me voici reparti les visiter, ce qui n’a rien de désagréable, vous en conviendrez.Les deux Antillais, de plus en plus familiers avec ma femme, se sont aperçus du début de strip-tease de Christiane. Et joignant la parole au geste – pourquoi se gêner – entreprennent d’enlever la petite robe de cocktail d’Hélène, qui a dû entretemps goûter à nouveau au punch à la bouteille vu qu’elle ne montre aucun signe de résistance…Christiane nous approche du trio afin de se régaler du spectacle . Et il est vrai qu’Hélène en soutien-gorge noir Aubade tout en dentelles, avec porte-jarretelles et string assortis, bas noirs, cela a de la classe !Le trio s’est installé au milieu de la piste et devient l’ attraction, les autres couples se contentant de regarder le spectacle qui leur est offert.L’homme qui fait face à Hélène l’invite à lui desserrer la ceinture du pantalon, à lui ouvrir la braguette, puis à lui descendre et ôter le pantalon. Comme Hélène se baisse pour compléter sa tâche, l’homme qui était derrière elle en profite pour lui chevaucher les épaules, canlı kaçak iddaa pivoter et lui faire face afin qu’elle lui enlève à son tour le pantalon… Et voici nos deux Antillais, en boxer, qui reprennent position en sandwich autour d’Hélène, non sans avoir à nouveau trinqué de concert.— Et si je t’enlevais le pantalon, me glisse Christiane tout en m’emmenant au milieu de la piste.Aussitôt fait. Sans même en demander la permission, j’enlève la jupe de ma cavalière, ce qui me permet d’admirer sa guêpière rouge avec porte-jarretelles, les bas rouges et le string de même couleur. Quelques poils frisés en dépassent, ce qui n’est pas pour me déplaire.Les boxers des deux cavaliers d’ Hélène ne cachent plus grand chose de leur excitation. J’avoue être impressionné par ces bosses grandissantes. Et même si Hélène n’a jamais eu à regretter la taille de mon sexe, elle porte un regard à l’évidence plus qu’intéressé, d’envie même, sur les sexes en érection. D’autant que le danseur qui est dans son dos ne se gêne pas pour se frotter de plus en plus intimement et se loger entre les fesses d’Hélène. Il dégrafe le soutien-gorge d’Hélène, découvrant ses deux petits seins dont les tétons violacés sont en érection comme je les ai rarement vus… L’homme qui lui fait face s’empresse de rendre hommage aux seins de ma femme. Il les palpe, les lèche, les aspire, les mordille, arrachant un petit cri à Hélène.Afin de ne pas être en reste, Christiane me sort ses gros seins de sa guêpière et m’invite à les honorer. Je les prends volontiers dans les deux mains, je les caresse, les pétris, lui titille ses longs tétons assez volumineux, avant de les lécher, de les laper avec la langue puis de les aspirer avidement. À l’évidence, cela plaît à Christiane qui porte sa main droite sur mon sexe déjà passablement excité, au point que je commence à mouiller mon boxer. Elle le malaxe au point de me faire mal tant mon érection et mon envie de jouir sont fortes. En même temps, elle m’embrasse avec fougue. Je sens sa langue pénétrer ma bouche, virevolter sur ma langue, mon palais. Sa respiration s’accélère. Et je me demande si je suis l’objet essentiel de son excitation ou si c’est le spectacle de ma femme, entreprise par deux Antillais, qui l’excite le plus.Le trio et et le couple que nous formons tous les cinq se sont regroupés au milieu de la piste, et les autres couples nous entourent toujours, visiblement intéressés par le spectacle offert.Je profite de ma proximité avec Hélène pour lui canlı kaçak bahis adresser un baiser fougueux. Qu’elle sache que je l’aime toujours ! Mais cela n’est pas du goût de Christiane qui me serre violemment le sexe, m’arrachant un cri de douleur. Pour se faire pardonner, elle se met à genoux, m’arrache le boxer et me commence une pipe mémorable.Ne voulant pas être en reste, sans même y être invitée, Hélène s’agenouille à son tour et, sous mes yeux, déshabille complètement ses deux cavaliers, dévoilant deux énormes sexes en pleine érection. Après les avoir admirés, caressés, palpés, elle les prend à pleine bouche à tour de rôle, tout en masturbant le sexe libre. Comment fait-elle pour engloutir jusqu’à la garde de telles bites ? Elle y éprouve un réel plaisir. Il faudra qu’elle me raconte…Christiane se régale à l’évidence de me sucer. Histoire de varier les plaisirs, elle me prend le sexe entre ses deux seins. Moi qui ai toujours rêvé de ce plaisir, me voici y goûter en public, alors que ma femme suce avidement deux sexes noirs, sous le regard intéressé d’un public qui ne cesse de nous encourager et qui commence à nous copier.Ma cavalière mène toujours la danse. Elle me fait mettre à genoux, se relève et me présente son sexe dont l’excitation commence à couler abondamment. Son string est complètement mouillé. Je le lui enlève prestement et découvre un abondant triangle de Vénus, tout aussi mouillé. Je le lèche volontiers, tant ce petit goût salé m’excite. Je découvre ses grosses lèvres roses et n’ai aucune difficulté à trouver son clitoris tout excité, au milieu de la forêt de poils frisés. Humm, comme c’est bon. D’autant que Christiane apprécie et réagit par des petits cris de plus en plus rapprochés. Je la suce, je la lèche, j’enroule son clitoris autour de ma langue, lorsque, soudain, une véritable fontaine se déclenche, m’inondant complètement le visage .Une fois remise de ses émotions, elle m’entreprend à nouveau le sexe dans la bouche. Je vais jusqu’au fond de sa gorge qu’elle a profonde. Elle décide elle-même du rythme et je tente de résister le plus longtemps possible.En parfaite symétrie, Hélène accélère les pipes de ses deux cavaliers qui ne tardent pas à jouir sur ses lèvres, dans sa bouche. Comme Hélène ne peut avaler toute la jouissance, elle en asperge ses petits seins toujours aussi excités.Christiane, qui n’a rien perdu du spectacle à côté de nous, embrasse fougueusement Hélène en lui caressant les seins avec passion et en lui rendant ma jouissance.Les trois hommes, nous récupérons tout en nous régalant du spectacle de ces deux femmes qui ne se connaissaient pas il y a deux heures.Les autres couples se sont éclipsés. Nul doute que nous avons dû les inspirer et leur donner quelques idées torrides…

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Douceur obsucre du passager noir

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Amateur

Douceur obsucre du passager noirTu as mis en lumière la part sombre de ma sexualité, libéré mes tensions physique, mais aussi psychologique. Comme si en t’abandonnant dans mes bras (même si ce n’est pas totalement), tu me pompait toutes mes frustrations, refoulements et non-dit… Une espèce de “reset” ou “reboot” mentale.J’ai envie de t’accueillir avec douceur… Nous commencerons par prendre une douche ensemble, ce sera le moment d’échanger quelques premières caresses, de s’attarder sur nos baisers brûlants, petit à petit, sans brusquerie… Chacun savonnant l’autre, nos langues découvrent nos bouches et nos mains s’attardent à proximité de certaines zones et parfois les effleurent…Gourmand, mais mains enserrent ta taille, pétrissent tes seins et tes fesses… La tendresse du début devrait pas tarder à laisser sa place à une sauvagerie enivrante et respectueuse… Lorsque mes mains serrent ton cou, ton souffle devient chaud, je maintient ta tête, mes doigts creusant tes joues, ma langue se veut plus profonde et nos baisers sont tellement mouillés par la salive que nous ne l’avalons plus…Néanmoins, la douceur domineJe cale le pommeau de douche dans son réceptacle güvenilir bahis et pose ta pied sur le rebord de la baignoire… Je te regarde entièrement… Puis me fixe à tes yeux… Je passe ma main devant tes paupières pour les fermer et je descends en même temps le visage au niveau de tes grandes lèvres… Prenant mon temps, j’y passe les lèvres, ma langue exquise tes lignes, sans jamais toucher ton sexe et surtout pas ton clitoris… Tu gémit, te crispe, te cambre… Tu ouvre les yeux par moment mais les referme aussitôt de peur que je te vois les avoirs ouverts… Les caresses de ma langue et de mes doigts s’enflamment, maintenant je te croque de mes lèvres et mes dents glisse sur ta peau… Je griffe délicatement l’intérieur de ta cuisse gauche, en partant de l’intérieur de ton genoux vers ton sexe, plus je monte et approche de tes lèvres, plus je ralentis, te laissant jouir de l’idée de ce que je vais faire…Ta tête est maintenant renversé, contre le mur, la bouche ouverte, tu es comme un instrument de musique, une harpe dont je module les gémissements par mes attouchements, raffermissant la prise de mes doigts par là, croquant les parties de ta peau délicate türkçe bahis par ici et laissant glisser ma langue ici et là…L’intérieur de ta cuisse est rouge, rouge d’envie, de douleur, marqué par le passage de mes ongles… Je te soulage en soufflant dessus mon souffle frais et embrasse les parties les plus rouges… Parfois, j’y ajoute la trace de mes dents… Tu gémit de soulagement après le feu de ce mauvais traitement.Après plusieurs minutes, j’insère le bout de mon index en toi et te masse de l’intérieur… Mon autre main a saisi la peau de ton pubis et fermement, le soulève pour que ma langue joue de tes petites lèvres… Tu te cambre encore, la mélodie qui sort de ta bouche se veut lancinante, tu parle de ce que tu ressens, tes désirs, me demandant même d’arrêter tellement c’est bon… J’aime t’entendre comme ça… Le fait que tu partage ton ressentit me donne plus ardeur… Ma langue insiste sur ton pubis et passe sur ton clitoris. A ce moment, la corde de la harpe casse, un cris se fait entendre, tu serre ma tête ouvre les yeux et jouit.Là, j’enlève ma tête, tu es rouge du front à la poitrine et le reste de ton corps est marqués d’une multitude güvenilir bahis siteleri de couleur. Je te demande “Tu as ouvert les yeux ?”… Gêné, ravi et surprise, tu me réponds en reprenant ton souffle d’une petite voix “oui”… “Tu connais le gage” je réponds… Ta poitrine monte et descend tant tu es essoufflé, je profite que tu reprenne ton souffle avant de répondre pour me redresser… Délicatement, je saisi ta tête, ouvre ta bouche et y enfonce ma langue, partageant avec toi les fluides de ce délicieux parfum… Je répète “tu connais ton gage”Là tu réponds “oui” avec ta petite voix puis poursuit “oui, prend moi”Je reste un gentil et te laisse une porte de sortie “tu es sûre”De là, tu m’embrasse de tes lèvres et me réponds en me regardant dans les yeux “oui, je te déteste alors prend moi”Le verrou est maintenant libéré, nous venons de supprimer une partie de notre modération (il y a plusieurs niveaux, il ne s’agit là que d’une partie) et tu devient mon jouet pour la soirée, ma poupée sombre pour le dîner.J’use ta langue sur moi, j’abuse de ta bouche, tes fesses sont marquées par mes mains brûlantes… Ton visage est trempé, il porte les stigmates de ton avilissement à moi. Essoufflé, je t’ai étouffé de mon sexe. Tes seins sont meurtris par le déferlement de mon orgasme sur tes tétons mordillés… La nuit nous appartient…Rendez-vous au 4ème tout de suite ou tu préfère qu’on se voit plus tard ailleurs

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ma cousine, la plus belle histoire de ma vie (1)

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Amateur

ma cousine, la plus belle histoire de ma vie (1)je m’appelle Sébastien, mon histoire date de plusieurs années et continue de me hanter, j’ai toujours aimé ma cousine Chloé du même âge que moi, une brune superbe de 1m65, nous avons grandi ensemble, nos parents ont toujours été proches et nous passions énormément de temps ensemble et cela depuis que nous sommes née, elle a toujours été comme une soeur pour moi,notre petite histoire à débutée au début de notre adolescence, ou elle me présentais la plupart de ses copines,elle était dans une école privée, à une de ses soirées à l’âge de nos 16 ans, ces parents lui avais laissé la maison pour le week-end pour lui permettre de réaliser sa petite soirée avec ces copines, j’étais le seul garçon, mon oncle et ma tante étais rassuré de me savoir présent ce week end la, ils avaient entièrement confiance en moi, et de plus il étais prévu que je reste jusqu’à leur retour,ce soir la elle était magnifique, un petit pull blanc avec une mini-jupe illegal bahis en jean’s perché sur des bottes à talons aiguilles noir, elle a toujours eu le dont de se mettre en valeur, et de porter des tenues extravagantes,mais dans cette tenue elle me faisait particulièrement craquer et je pense qu’elle le savais à ce moment la, à cette soirée, elle n’arrêtais pas de me mettre en avant auprès de ces amies, de jouer et danser avec moi, comme si je lui appartenais, je trouvais ça amusant et assez excitant, je m’attendais à finir cette soirée tard dans la nuit avec toutes ces filles, mais il n’étais pas prévues que ces amies reste bizarrement, et avant minuit nous nous sommes retrouvé tous les deux seul….nous étions assis sur le canapé l’un en face de l’autre, et à ce moment la je lui ai posé la question:-pourquoi ne sont elle pas restées?-je voulais finir la soirée avec toi!-avec moi comment ça?-ça fait plusieurs années que j’ai envie de te le dire!-me dire quoi?a ce moment la illegal bahis siteleri elle se leva mis une musique douce, et m’invita a danser, je ne pouvais refuser, elle me sera fort contre elle, et je répétais:-dit moi ce que tu tiens tant a me dire?-j’ai peur de ta réaction!-n’ai pas peur au contraireserrer l’un contre l’autre mon excitation était à son maximum, et je ne pu empêcher mes mains de descendre sur ces fesses, le contact de sa mini-jupe me fit un effet que je ne pu lui cacher, j’étais en érection, elle mis son visage en face du mien et me chuchota:-je t’aimeet elle m’embrassa, j’étais fou d’elle, et je n’y croyais pas, nous nous sommes enlacé, je n’arrêtais pas de lui caresser les fesses, après plusieurs minutes de baisées langoureux, elle me jeta sur le canapé, en se jetant sur moi, et elle commença ce petit jeu de va et viens sur moi, le glissement de sa mini-jupe me rendais fou, et je la sentais s’exciter de plus en plus, nos baisées étais de plus en canlı bahis siteleri plus fougueux, elle enleva son pull, et me fit découvrir un bustier de vinyle noir brillant, je n’en croyais pas mes yeux, et je lui fit savoir:-mais d’où sort tu toutes ces tenues?-j’ai pris ça a ma mère et tu n’a pas encore tout vu-mais tu veut me rendre complètement dingue?elle à toujours su que j’avais une attirance pour ce genre de tenue, elle me connaissais par cœur, et nous avons toujours été confident, mais j’étais complètement hypnotisé par elle, et de plus en plus excité, elle m’enleva le jean que je portais et elle commença a me masturber au travers de mon boxer, au bout de quelques minute je me retrouvais nu face à elle, elle se leva et pris un malin plaisir à laisser glisser cette min-jupe qui dessinais parfaitement son corps, elle se balançais sur le tempo de la musique, et elle se mit de dos j’avais une érection terrible, et ses fesse me sont apparu et mon excitation fut encore plus grande quand elle se retourna, elle ne portais rien en dessous, elle étais magnifique, un bustier brillant et une paire de bottes qu’elle garda, elle s’allongea sur moi et la pénétration fut instantanée, nous étions tous les deux tellement excité……….

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une mature délaissée…un soir, dans une boite de nuit, on me présenta une jolie mature de 45ans, bien galbée avec un sourire dévastateur…elle sortait avec sa fille de 20ans et une copine de son age, qui était moins sexy qu’elle mais trés mettable…ces matures étaient mariées et venaient s’amuser le samedi soir en boite de nuit…les deux matures m’intriguaient et j’essayais d’entamer la conversation par des banalités puis je commençais à draguer la plus belle des deux, une belle blonde, cheveux frisé, habillée trés près du corps pour qu’on puisse deviner son corps de reve…dans la discussion, elle m’apprend que son mari est maire d’une petite commune et qu’il travaille beaucoup et qu’il n’avait pas le temps de s’occuper d’elle…au moment des slows, je l’ai invité à danser et on s’est rapproché…je tenais ma mature dans mes bras, elle était collée tout contre moi et je commençais à bander sérieusement…elle s’en est rendu compte et ça avait l’air de l’amuser… à la fin de la soirée, on canlı bahis şirketleri s’est retrouvés sur le parking et on s’est galochés comme des ados, elle m’a demandé de lui donner mon adresse ainsi que mon téléphone et m’a promit de m’appeler dans la semaine…quelques jours passa puis un soir, ma jolie mature m’appela en parlant tout bas et me donnait rdv chez moi le lendemain soir car son mari partait quelques jours en déplacement et qu’elle avait trés envie de me voir…j ‘étais fin excité par son appel et je l’attendais de pied ferme le jour suivant…il était 20h30 et ma belle sonnait à ma porte, elle était habillée d’une robe noire trés sexy, fendue sur le coté…elle avait un joli décolleté pigeonnant qui me faisait loucher et avec ses talons hauts, ses jambes paraissaient immenses…elle voyait bien l’intéret que je portais sur sa façon de s’habiller et me donna un petit baiser sur la bouche pour me dire bonjour…à ce moment, je n’avais qu’une idée en téte, c’était de la canlı kaçak iddaa caresser et de la déshabiller rapidement…elle calma mes ardeurs en me repoussant gentiment puis elle commença par me déshabiller, elle m’enleva tout d’abord le haut puis le bas…à la vue de mon sexe qui était déjà en pleine érection, elle décida de me sucer…j’étais aux anges, j’étais en train de me faire sucer,sur une chaise, par une belle mature chaude comme la braise…au bout de quelques minutes, mon envie de la pénétrer était trop forte, j’étais planté sur ma chaise et ma jolie femme est venue s’empaler directement sur mon chibre…elle avait caler ses chaussures dans les barreaux de la chaise et j’étais à sa merci, elle gérait les vas et viens à son rythme, je n’avais qu’à lui lécher le bout de ses seins et je la caressais en meme temps…elle était déchainée puis au bout de quelques minutes, elle se mit à jouir en poussant un ràle qui s’entendait dans tout l’immeuble… je finis par me lever en gardant canlı kaçak bahis la mature encastrée dans mes parties…je la dirigea sur la table de la cuisine pour une petite séance de pénétration à mon rythme cette fois…elle étais heureuse et me demandait de ne pas m’arreter…pendant l’acte, j’admirais la beauté de ma belle, ses bas, ses portes jarretelles, son décolleté, ses talons hauts…elle savait comment plaire aux mecs et surtout elle savait m’exciter…j’en ai profité une bonne partie de la nuit pour accomplir toutes les positions que je connaissais puis vers le milieu de la nuit, on s’est endormis dans les bras l’un de l’autre…au petit matin, elle était toujours habillé dans sa tenue sexy sans les chaussures cette fois et j’ai pas pu m’empecher de remettre ça…on a eu à peine le temps de boire un café qu’il fallait prendre congé l’un de l’autre…on avait passé une nuit magique et j’ai bien fait d’en profité car son mari a finis par avoir des doutes sur sa fidélité et elle a du faire profil bas pendant quelques temps car elle ne travaillait pas et elle ne voulait pas perdre sa poule aux oeufs d’or alors moi de mon coté je l’ai pas attendu, j’ai rencontré d’autres jolies matures qui feront l’objet d’autres histoires sur xh….

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Maman très chaude, enfants pervers

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Maman très chaude, enfants perversMaman très chaude, enfants pervers.(Saga familiale américaine qui mérite une adaptation à la française. Un remake comme ils disent.)Voici les 4 premiers chapitresChapitre 1 : La mère et le fils se découvrent un point commun.Je viens de prendre ma douche et assise sur mon lit je regarde mon corps nu dans la glace de l’armoire. J’écarte les cuisses pour voir le résultat de mon rasage qui a fait disparaitre les poils autour de mon sexe et de mon trou du cul. Je passe mes doigts sur mes lèvres intimes pour en apprécier la douceur et descendant un peu plus bas je sens mon minuscule petit trou du cul. Depuis mon adolescence j’ai toujours aimé frotter cet endroit peu sale. Mon cœur bat un peu plus fort et avançant au bord du matelas, j’écarte bien mes cuisses pour voir ma chatte parcourue de petits frissons. Je vois mes grandes lèvres entrouvertes et des rosées de cyprine humidifient déjà ma chatte. Plus bas, ma rosette sombre palpite sous cette vision érotique.C’est la première fois que je me regarde de cette façon et la combinaison des lèvres de ma chatte sombre, humide et de ce trou ridé en dessous est très excitante. La vue est tellement érotique que je passe un doigt au milieu de ma fente et le doigt mouillé, je viens titiller mon trou du cul en pinçant un de mes tétons.Je suis surprise par le spasme de plaisir qui traverse mon bas ventre mais ce doigt a l’entrée de mon cul a provoqué une sensation supérieure au frottement de ma chatte. Mes cuisses écartées au maximum, je continue de frotter toute cette zone érogène et j’ai un orgasme assez fort. Après cette perte de conscience je sens que mon trou du cul c’est ouvert et je réalise que mon majeur est coincé à l’intérieur de mon trou anal et que c’est lui qui vient de me donner cet orgasme exceptionnel.Je m’effondre sur le lit, laissant les vagues de jouissance s’éloigner de mon corps.Je suis un peu honteuse à cause de mon éducation et de mes croyances religieuses, mais je ne peux oublier ce plaisir méprisable pour certaine femme car je me sens bien et c’est un des meilleurs orgasmes que je n’ai jamais eu avant.Je suis marié et j’ai une fille et un fils qui vient juste d’avoir 18 ansMon mari et moi ne sommes pas sexuellement actifs. Nous ne faisons l’amour peut-être qu’une fois par mois et il va généralement trop vite pour que j’aie un orgasme. Je me masturbe quand personne est à la maison mais ce n’est pas la même chose qu’avec un vrai sexe qui va et viens en moi.Hier, prés de la piscine, mon fils, qui aime la photographie m’a demander si je voulais bien qu’il prenne des photos sexy de moi. J’étais d’accord en pensant que ça lui ferais plaisir et ça me semblait assez inoffensif. C’était avant qu’il me dise qu’il voulait me prendre en string les seins nus pour faire bisquer ses copains ! J’ai été tellement choqué, que je n’ai pas su quoi répondre.Mais là, devant ma glace, le sexe à l’air et en pensant à mon string et à mon fils qui me prend en photo, j’ai un petit frisson qui parcourt mon corps, une excitation nouvelle jamais ressentie. Je crois que je vais accéder à sa demande.Au déjeuner avec mon fils et ma fille, mon mari étant en déplacement pour 1 semaine, celle-ci me dit qu’elle va voir sa copine et qu’elle passera la nuit avec elle et qu’elle irait en cours directement de chez elle. Je me sens un peu nerveuse et je bois plus que d’habitude pour me relaxer. Avant que je ne m”en rende compte, j’ai bu la bouteille de vin entière.Quand ma fille est partie mon fils me demande si je suis prête à poser pour lui.Très détendue par l’alcool que j’ai bu, je lui dis que je vais me changer et qu’il peut prépare son appareil.Apres avoir enfilé mon bikini, je me regarde dans le miroir. Mon cœur bat très fort quand je vois mon corps ainsi exposé. J’enfile un léger peignoir et je redescends.Eric attend déjà près de la piscine.- Hé maman, je suis prêt, vas prés des transats.Je me déplace et je vais ou il me demande et je me tiens debout comme une débutante ne sachant que faire.- Maman… tu peux retirer ton peignoir…Je prends une profonde inspiration et je laisse tomber à mes pieds mon peignoir.Je vois ses yeux s’agrandir et il retient son souffle. Personnellement, je trouve que j’ai de beaux seins, un 90D, qui est la cause de l’attention de beaucoup d’hommes, quand je sors. Ils sont naturels et toujours bien fermes très légèrement tombant par leur poids et d’une courbe parfaite. Pour l’instant j’ai mis le haut de mon mini bikini mais il faut dire qu’il ne cache pas grand-chose si ce n’est que la pointe de mes seins.Mon bas de bikini est en fait un string avec un minuscule triangle qui couvre ma chatte et un tout petit peu de la région pubienne au-dessus d’elle, mais c’est tout. De fines chaines, montant très haut sur mes hanches tiennent ce bout de tissu pour disparaitre entre mes fesses. Le tissu étant plaqué sur ma chatte mon fils peut voir le contour de mes lèvres avec la fente au milieu.À cause de l’alcool, je ne pense à rien de mal et je suis prête à poser pour lui.- Alors, mon chéri, comment veux-tu que je me mette pour tes photos ?- Mets ton pied sur le bord du transat et détends-toi. Oui… comme ça.Bien sur je fais comme il me demande et bien sur ma position montre un peu plus mon entrejambe à mon fils. Clic, clac…il tourne autour de moi et prend plusieurs photos. En bougeant et me penchant en arrière mon haut de bikini a glissé vers le bas et mes aréoles sont visibles. J’ai vu son objectif s’allonger pour un gros plan et je me doute bien sur quoi il fixe son objectif. Je suis légèrement ivre et je ne fais rien pour arrêter ce jeu dangereux.- Maman, c’est parfait… lève les bras…., tourne…Ouiiiii! Formidable !Tu parle ! En levant les bras j’ai encore dégagé un peu plus ma poitrine. – Maintenant allonge toi sur le transat et prend des poses sexy. Vas-y maman, fait moi plaisir. Attends je vais t’aider.Mon fils vient vers moi rapidement et me tient par le bras pour que je m’allonge sur le transat. Mais mon équilibre n’est pas bon et je manque de tomber. Son autre main att**** ma cuisse pour amortir ma chute quand j’atterris sur le transat les jambes écartées et je vois qu’Eric regarde ma chatte ainsi exposée. Je vois ses yeux briller et son souffle s’accélérer.Alarmée, je regarde entre mes cuisses pour m’apercevoir que le fond de mon string s’est légèrement décalée vers le côté et laisse sortir une de grande lèvre de ma chatte.Mon Dieu, oh non, mon fils voit ma chatte ! Je sais que je devrais me couvrir rapidement, mais je n’ai rien sous la main. N’étant pas en mesure de couvrir ma chatte, j’allonge mes jambes et ensuite je prends des poses comme pour un magazine sexy.Apparemment ça convient à mon fils car il n’arrête pas de prendre des photos.- Eric, mon chéri, ça devrais suffire.- Encore quelques unes, maman. Oui c’est ça, plis une jambe, Ouiiiii, laisse l’autre pendre sur le coté. La vérité est que je me sens très excitée sexuellement. Exhiber mon corps devant un appareil photos est un énorme virage pour moi et ma libido. Je me sens un peu sale…non, un peu salope. Malgré les vapeurs d’alcool qui obscurcisse mon jugement je sens que je manque de sexe et rien que de m’exposer ainsi ma chatte mouille de plus en plus.Je regarde entre mes cuisses et ” horreur !” le bout de tissu de mon string c’est déplacé dans le pli de l’aine et ma chatte ruisselante de cyprine est à la vue de mon fils.- Oh No… Je lève les yeux vers lui pour voir qu’il prend des photos de ma chatte.- Eric… non…cesse de prendre des photos ! Et arrête de faire semblant de ne pas voir mon sexe.- Maman…du calme ! C’est photos sont pour toi et nous pouvons les effacer à tout moment.Clic clac, Clic clac, Clic clac, Clic Clac…Et il n’arrête pas de mitrailler sur tous les plans de vues de mon entrejambe.- Eric, ça ne va pas… Arrête ! Nous ne devons pas faire çà !Mais mon corps est en contradiction avec mes paroles car en lui disant çà, je reste les cuisses écartées avec les jambes pliées et les genoux en l’air.Son regard sombre fixé sur ma chatte humide arrive à se décoller de mon entrejambe pour dire :- Juste quelques unes de plus, maman. Tu es superbe, belle, magnifique. Et je te promets d’effacer les images que tu ne voudras pas conservées.Mon Dieu… je n’ai aucune volonté. J’ai honte mais je n’ai pas envie d’arrêter. Une sorte de plaisir pervers envahi mon esprit et mon corps. Je deviens une salope. La salope de mon fils !Un faible gémissement s’échappe même de mes lèvres quand ma chatte est parcourue par un léger spasme précurseur d’un orgasme si je continu de m’exposer ainsi.Inquiète, je rouvre mes yeux pour voir si il m’a entendu gémir mais apparemment non, car il continu d’appuyer comme un fou sur son déclencheur.Il s’approche et me tendant la main je crois qu’il veut m’aider à me relevé, mais non ! Sa main tire sur les chainettes de mon string et il fait glisser celles-ci sur mes cuisses !Quoi??? Il veut enlever mon bas de bikini??? Non ! Je ne peux pas le laisser faire, c’est mon fils, c’est immoral !!!- Eric…Non… J’entends à peine mon murmure. Pourquoi n’ais-je pas crié. Pourquoi ne pas m’enfuir et stopper tout avant de faire des choses que nous pourrions regretter. Surement parce que mon esprit est confus et sous l’influence de l’alcool que j’ai bu. Mon corps, lui, veux en revanche une plus grande attention. Je le regarde dans les yeux, resserre mes cuisses et quand il passe son doigt sous le tissu je frissonne d’excitation quand je le sens toucher les lèvres de ma chatte. Le contact est très bref et il tire mon string. Sans m’en rendre compte, je décolle légèrement mon cul pour lui faciliter la tache.Il fait un pas arrière pour me regarder. Non, pour m’admirer ! Je le vois dans ses yeux.Je peux à peine respirer, mes jambes tremblent et je peux sentir mon jus de chatte qui commence à couler sur la peau de mes cuisses. Sans même m’en rendre compte j’écarte mes cuisses pour constater les dégâts. – Maman… tu es toute mouillée…là….Comme si il voyait çà pour la première fois dans sa vie.- Eric, aide moi à me lever et arrêtons nos bêtises.Clic-Clac, Clic-Clac, Clic-Clac, Clic-Clac…Il ne m’entend même pas, l’œil fixe sur mon entrejambe tout mouillé.- Maman, soulève tes jambes pour moi…Avec un regard de supplication sur son visage.- Non Eric…Je ne peux pas… s’il te plaît… Arrête !- S’il te plaît maman, tu es tellement belle.Mon esprit est dans la tourmente. Je laisse mon fils voir ma chatte, ma chatte ruisselante de cyprine. Je lui laisse prendre des photos de moi qui pourraient être mise dans une revue porno. Des photos, de maman salope.Dieu…qui a-t-il dans ce mot qui m’excite autant ?- Tu me promets que tu effaceras ces photos tout de suite ?Dis-je en le regardant mais en levant les genoux et écartant les cuisses comme il me l’a demandé.- Promis, maman !Il est devant moi comme un petit garçon sur le point d’obtenir une grosse friandise. Je sens poindre dans mon corps les prémisses d’un puissant orgasme que je ne pourrais arrêter et qui éclaterait devant mon fils. J’att**** mes jambes en dessous des genoux et en écartant bien les cuisses je les ramène sur ma poitrine. – Oh mon Dieu… Clic-Clac, Clic-Clac, Clic-Clac…Je suis sure que mon fils regarde maintenant non seulement ma chatte entrouverte mais aussi mon trou du cul !Je ferme les yeux, j’entends crier et je me rends compte que c’est moi qui geins sous la jouissance.Les jambes complètement écartelées j’ai un orgasme incroyable, tellement fort que tout mon corps tremble pendant plusieurs minutes.Je rouvre les yeux et reprend progressivement ma respiration.Eric est devant moi, très près et il n’a pas lâché son appareil. Je sens mon jus couler vers mon trou du cul et machinalement je porte ma main sur mon sexe pour sentir mes lèvres humides et mon clito sorti de sa gaine protectrice.Mon clito me semble anormalement long et mes lèvres gonflées.Clic-Clac, Clic-Clac, Clic-Clac…- Eric, peux-tu m’aider à… Il comprend je que je veux lui dire et posant son appareil il me prend les mains et me tire vers lui.Je me retrouve dans ses bras les jambes faibles et je sens une de ses mains sur mon cul pour me retenir.- Eric… laisse-moi m’en aller, dis-je d’une voix faible.Il glisse son autre main derrière moi et saisit mes fesses de ses 2 mains.- Eric ! Maintenant çà suffi ! Arrête tout de suite !Et je le repousse loin de moi- Et efface ces photos… maintenant.Je le vois manipuler son appareil avant qu’il dise :- Voila, maman, c’est fait !- Eric, je vais m’allonger… et surtout… pas un mot à qui que se soit !Dans ma chambre, l’esprit tourmenté en pensant à ce que je viens de faire et à l’évolution de mes relations avec mon fils je n’arrive pas à me reposer. Et surtout mon corps garde en mémoire l’orgasme le plus enivrant que j’ai jamais connu sans pénétration. Il faut absolument que j’éclaircisse cette situation avec mon fils.Le soir après le diner, je profite que nous sommes seuls, mon fils et moi, pour aborder ce problème.- Eric, nous devons avoir une petite discussion- Oui, maman, de quoi ? Dit-il en laissant ses yeux descendre et s’arrêter sur mes seins.- Eric, ce que j’ai fait est mal, je n’aurais jamais du te permettre de prendre ce genre de photos de moi.Eric ne broche pas et continu de fixer mes seins.Faut dire que j’ai un petit chemisier qui tient juste par 2 boutons et un décolleter qui montre une bonne partie de mes seins.- Maman, on s’amusait bien ! Et je te fais remarquer que je n’ai pas encore vu tes seins.J’ouvre la bouche, et mon visage vire au rouge.- Eric… – Oh, je suis désolée maman… mais je t’avoue qu’au lieu de me les imaginer ce serait nettement mieux si je pouvais les prendre en photo. Je suis sur qu’ils sont magnifique et qu’aucune autre femme du voisinage ne peut rivaliser avec toi !Je suis surprise mais une nouvelle fois mon corps réagi avant ma tête et ma chatte frémit et s’humidifie.Voyant mon hésitation ;- Ne bouge pas je vais chercher mon appareil.- Eric, non, je ne veut pas!.Ce n’est pas du tout ce que j’avais prévu et je suis sur le point de lui laisser prendre mes seins en photos.De retour il se place en face de moi, à genoux, prêt à prendre les photos.D’une voix faible :- Eric, s’il te plait, range cet appareil.- Maman, peux-tu déboutonner un autre bouton ?- Et je fais ce qu’il me demande.Les 3/4 de ma poitrine sont visible et il prend photos sur photos. Mon fils maintenant positionné près du sol peut surement voir sous ma jupe et je garde mes genoux serrés.- Eric, ce n’est pas la position qu’un fils doit avoir pour prendre des photos de sa maman.- Peut-être, mais tout le monde n’a pas une aussi belle maman comme toi.J’aime ce qu’il me dit et je me penche pour mettre en valeur mes seins.- Maman, enlève le dernier bouton que je fasse la plus belle des photos.-Je ne peux pas, Eric, d’ailleurs je ne porte pas de soutien-gorge.J’ai vraiment le don pour l’exciter encore plus ! Son pantalon prend de l’ampleur au niveau de son entrejambe et je ne peux m’empêcher de penser qu’il m’a l’air sacrément bien monté.- Aller… Maman…juste pour moi…- Ok, mais rien de plusOh mon Dieu, dans quoi je m’embarque encore…mais ce petit salaud m’excite.J’enlève le dernier bouton et j’écarte les pans de mon chemisier pour que mon fils est une vue complète de mes seins avec mes tétons déjà érigés.- Oh maman, c’est génial, j’adore! Qu’elle paire de seins! Splendide!Clic-Clac, Clic-Clac, Clic-Clac…- Maman, je…peux…les toucher ?- Surement pas ! On a dit juste des photos.- Bon…je peux prendre un gros plan de tes tétons?-Oui, vas-yEt ma culotte se mouille un peu plus.Eric se rapproche de moi, son corps fait pression sur mes genoux qui automatiquement se séparent et il glisse eux et je ne suis pas sure que ce soit la meilleure position pour prendre des photos.En écartant mes cuisses ma jupe est remontée autour de mes hanches et ma culotte mouillée est visible.Baissant les yeux Eric baisse son viseur et clic clac… une photo. Eric baise sa tête et je sens sa joue sur mon pubis et il doit sentir mon jus de chatte.- Maman, tu es magnifique et tu sens bon.Rien que le souffle de mon fils sur ma chatte humide me donne la chair de poule. Je suis figée et je ne veux pas que ça s’arrête…je veux continuer ce petit jeu érotique. Mon fils excite mon corps sans le toucher.Il me regarde et doit suspecter que je ne veux pas l’arrêter. Avec un sourire que je sens vicieux il pose ses doigts sur ma culotte au niveau de mon clito et frotte en tournant autour obtenant ainsi un faible gémissement de ma part.- Huuummm, maman… ta chatte sent bon…Ses paroles claque dans ma tète et je prends conscience que je me comporte de nouveau comme une salope. Mon fantasme secret…Ma tête tourne et son pouce fait sortir mon clito de son carquois.- Maman…nous allons voir comment tu mouille…Il me regarda attendant ma réaction et comme je ne dis rien il prend ça comme un accord. Salope…je deviens une salope.Il accroche un doigt sous le tissu de ma culotte et la tire sur le côté, exposant ainsi ma chatte fumante.- Whaou ! Maman… ta chatte est toute mouillée ! Ça coule ! Attends je retire ta jupe pour ne pas la salir.- Maintenant, écarte plus tes cuisses maman, je vais prendre une photo de cette superbe chatte dégoulinante de jus.- Mon Dieu Eric…Je ne devrais pas faire ça…Je suis ta mère…- Aller, maman… je sens que tu en as envie…que tu veux me montrer ton corps. Maintenant étends tes jambes.Pourquoi nier…il a raison. Je veux m’exhiber devant lui, je voudrais arracher ma culotte et être complètement à poil devant mon fils…comme une putain !Clic-Clac, Clic-Clac- Maintenant lève tes cuisses et écarte !Obéissante je lève mes jambes et je mets mes genoux sur ma poitrine. Ma culotte est trempée. Mon fils sur le sol prend ses photos la langue pendante de désir.- La pose convient à monsieur ? Dis-je en regardant l’objectif et passant ma langue sur mes lèvres.Je suis tellement allumée que je ne sais plus ce que je dis ! Ce n’est plus une mère qui parle à son fils mais une salope qui veut l’exciter encore plus. Une salope prête à tout !Mon fils lève les yeux vers moi et je vois qu’il est quand même surpris de m’entendre dire ces mots. Je pense que c’est le ton que j’ai prit qui le surprend le plus. – OH MAMAN…Ouiiiii, je veux tout voir…Je veux que tu retire cette culotte et que tu me montre ta chatte et que tu te caresse !Il tremble. Il sait ce que cela signifie et vers quoi nous allons et que je ne pourrais pas l’arrêter s’il tente quoi que ce soit !- Mon grand garçon veut voir la chatte de sa maman… oh ce n’est pas bien ça… tu veux que je retire ma culotte mouillée…Je deviens de plus en plus salope et levant mes jambes je tire ma culotte jusqu’à mes genoux et les jambes en l’air je lui demande ;- Alors… tu la vois…la chatte humide de ta maman…tu l’aime la chatte de ta maman ?Je viens de jeter de l’huile sur feu et je perds toutes mes inhibitions. Je suis ce que j’ai toujours rêvé, une salope, et la salope de mon fils pour le moment présent.Mon fils semble hypnotisé par ma chatte humide. Je jette ma culotte et je lui dis :- Aaaahhhhh… prend tes photos maintenant bébé… Prends-les… oh Dieu… oui…ici… laisse moi te montrer ma chatte… et qu’en est-il de mon trou du cul… tu peux le voir aussi ?Je tire bien écartées mes jambes levées vers ma poitrine. Je veux qu’il voit tout de moi, mon trou du cul inclus. Je saisi mes fesses et je les écarte avec mes mains. Je peux voir sa bite en érection qui dépasse de son pantalon.- Ooooohhhhh la vache ! Maman, ton cul… ta chatte… tout est trempé ! Je… je peux toucher…maman…- Oh mon bébé…ouiiiii, tu peux toucher… tu peux toucher quoi que ce soit… tu peux même me baiser si t’en a envie! Tu peux tout me faire…Il m’écoute, transfigurer par ce que je viens de lui dire, alors j’en rajoute;- Tu vois mon chéri, je suis à toi. Ta salope personnelle et je ferais n’importe quoi pour toi… Fais ce que tu veux.Il tend la main et touche ma chatte. Rien que de sentir ses doigts sur ma chatte je suis au bord de l’orgasme. Je sens ses doigts qui sépare mes lèvres de chatte et qui se glissent à l’intérieur de mon trou dégoulinant. Je ferme les yeux et je jouis!- AAAAAHHHhhhh, ouiiiiiiiiii… OOooooooohhhhhh, ERIC !Je peux à peine tenir le fauteuil. Ses doigts pénètrent mon vagin. Mon fils me doigte et me baise avec deux doigts. J’aime ça et il pourrait même coller son poing en moi, s’il le voulait. Ma chatte fait des clapotis tellement je mouille sous la jouissance.- OUI MAMAN, jouiiiisssss ! Putain t’es tellement chaude ! Ooooohhhhh, ouiiiii !Et c’est 3 doigts qui vont et viennent maintenant dans mon trou de salope.- maman, tu le pensais vraiment quand…tu m’as dis que tu serais ma salope personnelle…Dit-il en me regardant dans les yeux tout en continuant à doigter et à baiser ma chatte.- Oooh, oui mon chéri… tu veux bien que je sois ta petite salope…- Ses doigts dans ma chatte me rende folle et je dis n’importe quoi du moment que ça peux nous exciter.- Oui maman…J’ai besoin de toi et tu seras ma salope pour tous mes phantasmes. Je te ferais tout ce que j’ai rêvé en te regardant depuis des années. Tu seras ma pute et tu feras tout ce que je te demanderais.- Tu veux bien maman, tu vas être ma salope… ma pute… maman… et je peux t’appeler comme ça ?Oh mon Dieu, sous ses doigts, mon corps tremble et s’approche d’un autre orgasme.- Oui…Oh oui…fils de Pute ! Je ferais n’importe quoi pour toi…Je serais ce que tu veux que je sois…Oh oui…Soudainement il arrête de me doigter, les doigts en moi.- Chéri, non ! N’arrête pas ! Continu de baiser ma chatte ! Baise-moi encore !- OK, mais je pense qu’il faut un doigt de plus la dedans.Je le regarde, alarmée. Je n’ai jamais pris plus de trois doigts avant et maintenant mon fils veut en mettre quatre dans le vagin ! Je le regarde quand il place quatre doigts à l’entrée de ma chatte détrempée.Il les enfonce lentement et je sens ma chatte qui s’ouvre et les accueillent avec plaisir.- Ooooooh, ouiiiii, c’est bon Eric. Continu…baise ma putain de chatte.je pensais que j’aurais eu un peu mal mais je réalise que la pression exercée sur mes chairs intérieur de ma chatte me procure une sensation nouvelle. Un sentiment de plénitude et d’étirement de mon vagin qui amplifie mon plaisir.J’écarte bien mes jambes et je laisse mon fils violer ma chatte- Maman… t’es vraiment serrée, dit-il en regardant ses 4 doigts écarteler ma chatte- C’est parce que… AAaahhhh… AAaahhhh… tu perfore et étire tellement mon vagin… ooooooh, Ouiiiii, c’est boooonnnn ! Aaaahhhhh… ohhhhhhhhh… Je viens de comprendre que j’aime me faire malmener la chatte. Mon plaisir est encore plus fort et j’en viens à souhaiter qu’il mette son poing entier à l’intérieur de ma chatte et bien enfoncé à fond !J’ai essayé de résister à l’orgasme que je sentais venir pour profiter le plus longtemps de cette masturbation mais c’était trop fort et j’ai éclaté de nouveau avec de grands cris de jouissance.Reprenant mes esprits, je tends la main et je tâte cette grosseur à travers le tissu de son pantalon.- A mon tour maintenant ! Couche-toi sur la table.J’arrache son pantalon et… enveloppant mes doigts autour de sa queue ;- Mon Dieu… tu as une sacrée bite mon chéri ! Plus longue et plus grosse que ton père !J’admire sa bite humide par une pré-jouissance, et je la caresse amoureusement. J’aime la sentir… je ferme les yeux et l’enfonce profondément dans ma bouche en un seul mouvement.- Ooooooh, maman… OOOhhhh mon Dieu !J’ai sa bite enterrée complètement dans ma bouche son gland dans ma gorge, mon nez dans ses poils pubiens. J’étouffe, son gros gland est au-delà de mes amygdales, manque de me faire vomir mais je veux cette bite au fond de ma bouche, je veux lui faire voir comment une vraie salope suce une bite comme la sienne.Je tiens aussi longtemps que je peux et je la retire pour prendre une bouffée d’air. Sa queue est couverte de ma salive. Je le regarde dans les yeux.- Tu veux que maman fasse exploser ta bite comme ça bébé… Avec ma bouche ?Il est couché sur la table de notre cuisine et je suis entre ses jambes. Je pompe son pénis et j’attends sa réponse comme une pute affamée.- OOOOH, maman… Oui… ooooooh… ouiiiii fais moi jouir comme çà !Cette fois je le regarde en enfonçant profondément sa bite dans ma gorge. La bite de mon fils doit avoir plus de 20cm de long et elle est très épaisse et elle ferait reculer plus d’une femme. Les yeux dans les yeux, nous profitons de ce moment d’intense intimité.Mo fils nu à partir de la taille, moi sa mère complètement nue entre ses jambes ouvertes lui taillant une pipe d’enfer.Ma gorge tente d’expulser cet intrus mais je ne bouge pas.- Maman…OOoohhhhh…Vas-y suce la bite de ton fils.Et comme dans un film porno je bouffe sa bite de toutes les façons possible, je lèche, je mords, j’embrasse et aspire ses couilles et en cet instant j’aurais voulu qu’une caméra nous film pour garder un souvenir de cet instant magique.Mon fils gémit de plus en plus fort et il à l’air d’apprécier la façon dont je le suce. Est ce qu’une putain ferais mieux… je n’en suis pas sure. Moi aussi je gémi de plaisir, avec toutes ces pensées qui passent dans ma tête.Je sens la bite de mon fils se raidir et il est sur le point de jouir. Je prend une bouffée d’air et je lui fais une gorge profond le nez sur la base de sa bite.- Maman ! Je…je… vais… Ooooohhhhh… ouiiiii…. AAAAAHHHhhhh !Il saisi ma tête pour s’assurer que je ne veux pas me retirer et il jouit dans ma bouche.- AAaahhhh, salope ! T’es une vraie chienne en chaleur ! Tiens avale tout mon foutre ! Maman ! Oui comme ça…Oh putain ! Que c’est boooonnnn !Oh Dieu! Que ses mots m’excitent ! Et ma chatte est parcourue de spasmes incroyables et je jouis avec lui. Je suis surprise qu’un seul mot, dit au bon moment peut me faire jouir. Maintenant j’en suis sure! Je suis vraiment une belle salope, une salope affamée de bite. Je profite de mon orgasme pendant que mon fils m’envoie son foutre directement dans mon estomac et je regrette ne pas gouter à son sperme. Je ne peux pas bouger, je jouis et suis en extase totale.Il me tient toujours par la tête pendant qu’il jouit et soulève même ses hanches comme pour s’efforcer de mettre sa queue plus profondément dans ma gorge à chaque giclée de sperme.Je manque d’étouffer quand enfin il me lâche et je suis prise d’une violente quinte de toux en aspirant l’air trop rapidement- Maman ! Ça va ? Demande t il inquiet.Je m’accroche à sa bite en reprenant ma respiration et Eric me caresse les cheveux et la nuque.- Maman…- Ca va, chéri, je vais bien…Je récupère lentement en attendant que mon ventre et ma chatte se calment en regardant la bite de mon fils qui rétrécit. Et je réalise ce que l’on vient de faire !- Oooh mon garçon ! Mon Dieu ! Qu’avons-nous fait !Et des larmes de honte perlent sous mes yeux.Il me prend rapidement dans ses bras- Maman, s’il te plait, ne pleure pas ! C’est moi qui ai profité de toi. De ta faiblesse et probablement de ton manque de sexe. Ce n’est pas de ta faute.- Peut-être Eric, mais…Je suis ta mère…Je suis l’adulte ici et je dois veiller sur toi !Eric me plaque contre lui entre ses jambes et je sens sa bite qui frotte sur mon estomac.- Maman, tu es la plus belle femme que j’ai jamais vu et…Je t’aime d’amour tellement tu es désirable…. Et ca ne me pose aucun problème de te donner du plaisir… si tu en as envie. Tu es ma mère et tu le resteras toujours…Je veux juste que tu te sentes bien.Un vrai gentleman, après tout ce qui vient de se passer. Je prends son visage dans ma main et le regarde profondément dans les yeux.- Tu veux dire… tu pense que je ne suis pas une salope…- Maman… tu es avant tout ma maman… mais si par moment tu a besoin d’être une salope… moi çà me va bien et j’aime çà. J’ai compris que tu aimes le sexe…et bien moi aussi ! Donc si ma maman se sent en manque… moi je suis à ta disposition par que je t’aime plus que tout ! C’est quand tu veux et ou tu veux !Il pense et dit cela en toute innocence mais je sais bien que ce n’est pas aussi simple que çà.J’embrasse mon fils avec passion dans un long baisé ou nos langues se cherche et se trouve et il me serre contre lui. Je sens sa bite qui commence à se développer, mais je ne peux le laisser continuer. C’est trop dangereux et je le repousse. – OK Mon chéri, moi aussi je t’aime et je ne veux que ton bonheur. Mais j’ai besoin de réfléchir à tout çà.J’att**** mes vêtements et je m’éloigne. Je sais qu’il voit mon cul nu et c’est plus fort que moi ma chatte frémit. Pour une raison que je ne m’explique pas, j’aime m’exposer à lui. Je monte l’escalier et je vais me coucher.Chapitre 2 : Mère nympho, fils pervers. Pendant quelques jours j’évite mon fils. Je fais semblant d’être très occupée. Je ne suis pas en colère, j’essaie juste d’assimiler comment nos relation mère – fils ont évoluées, je devrais dire ” dérapées” et je me demande si je dois continuer sur cette voie qui pourrait aboutir à ma destruction ou m’offrir la possibilité d’accomplir tous mes rêves et mes fantasmes. ce soir nous sommes tous dans le salon et regardons la télé. Bien que le film semble intéressant mon mari et ma fille ne suivent pas vraiment. Mon mari baille et;- Chérie, je vais me coucher, j’ai eu une dure journée de travail, tu m’accompagne ?- Heu… non je veux voir la fin du film.Il quitte le salon et peu après ma fille Aurélie monte également.Eric vient s’assoir prés de moi et nous regardons le film. De temps en temps, je jette un œil vers lui et involontairement mes pensées reviennent sur la relation très intime que nous avons eue. Je m’aperçois que lui aussi tourne la tête et me regarde et j’aimerais bien savoir à quoi il pense.Le feu dans la cheminé est allumé et je me lève pour remettre une buche. Je sens les yeux de mon fils fixés sur mon dos… sur mon cul, quand je me penche pour poser la buche.Mes jambes sont légèrement écartées, une main sur mon genou, je pique le feu. Ainsi penché ma courte jupe, qui m’arrive à mi cuisse en position normale, remonte et dévoile le haut de mes cuisses. Et mon corps prend feu en pensant qu’Eric est en train de ma mâter.Mon Dieu qu’est ce que je fais ! Je ne vais quand même pas commencer notre petit jeu… pas maintenant… pas quand mon mari et ma fille sont dans la maison.- Maman, tu es superbe. Cette jupe te va à ravir et ton chemisier met bien en valeur tes seins.Mon coquin de fils à l’air très sure de lui et ne se pose surement les mêmes questions !- Eric ce n’est pas le moment de penser à mes seins.- Peut-être, mais ta jupe t’irait mieux si tu la soulevais un peu plus.- Eric ! Je ne peux pas ! Ton père…Bon dieu que j’ai chaud entre mes cuisses.- Aller, maman… juste un peu…Je veux juste voir tes cuisses magnifiques… c’est tout.Je rougie. Je me sens comme une petite fille à qui l’on demande de soulever sa jupe pour que le garçon voit sa culotte, mais là, ce garçon c’est mon fils. En ce moment, je me souviens comment sa merveilleuse bite glissait dans ma bouche et que je me nourrissais de son sperme.Lentement, j’att**** les bords de ma jupe. Oh mon bébé je vais te montrer juste un peu… Par précaution, que je regarde vers l’escalier veillant à ce que personne ne nous voit. Le mon cœur battant dans ma poitrine, je regarde en arrière mon fils et je remonte ma jupe jusqu’à ce que le bord s’arrête a la moitié de mes fesses..- Oooh, maman… écarte tes jambes un peu plus.Je sais que maintenant il voit ma culotte transparente et ma chatte déjà chaude devient humide.- C’est vraiment beau ! Tu as un cul superbe, maman ! Oh maman… tu es si belle Il regarde mon cul et j’ai les lèvres sèches. Penchée en avant, je place mes deux mains au-dessus de la cheminée et je me cambre pour faire ressortir mon cul. Ma culotte commence à se mouiller et je me demande si mon fils peut voir cette humidité.- Maman… tu peux… enlever…ta jupe…Doux Jésus… c’est extrêmement dangereux, nous ne somme pas seuls dans la maison.- Oooh bébé, si… ton père descend… ou ta sœur…Il ne répond rien et continu de fixer mon cul les yeux écarquiller. Je regarde vers le haut de l’escalier et je me décide à retirer ma jupe que je laisse tomber à mes pieds.- Maman, ton chemisier s’il te plait.Que se passerait-il si nous sommes surpris dans cette posture ? Que se passerait-il si ma fille me voit comme ça, en culotte et soutien-gorge ou peut-être même complètement nue ? Je respire difficilement à cette pensée, ma fille me regardant nue, à mes seins… à mon cul devant ses yeux…et je suis de plus en plus chaude.Sans m’en rendre compte j’ai déboutonné mon chemisier et me voila en slip et sous tif devant Eric.Je replace mes mains sur le haut de cheminée et j’écarte mes jambes:- Tu veux prendre des photos chéri ?Et voila je redeviens une salope et j’assume car passant la main derrière mes fesses je les écarte et fais disparaitre le tissu de ma culotte entre elles.- Uuuhhmmm… Comment tu trouve ta mère comme ça ? Dis-je en gémissant comme une chatte en chaleur.Je sais qu’il voit la peau plus sombre autour de mon trou du cul et vicieusement je lève ma jambe pour poser mon pied sur une chaise à coté.Je suis tellement en extension que mon slip couvre à peine mes deux trous!Je suis bien passée de mère à salope. Et j’adore…c’est sale mais si excitant de faire çà, dans ma maison, avec mon mari juste à l’étage… me montrer à mon fils, c’est interdit par la moral puritaine mais c’est si bon…je suis en chaleur.- Maman je crois que tu peux faire sauter le soutien-gorge…Je veux voir tes seins.Je vois bien qu’il me teste pour voir jusqu’où j’irais. Il veut me voir nue… complètement nue. Ma chatte coule, je le sens. Je souris légèrement et me redressant je fais sauter l’attache de mon soutient gorge libérant mes seins comprimés.Je laisse le soutien-gorge tomber au sol et je reste immobile, face à la cheminée avec mes mamelons durs, absorbant la chaleur de mon corps. Je l’entends se lever et maintenant je suis impatiente de savoir ce qu’il va güvenilir canlı bahis siteleri faire.Je sens son corps juste derrière moi et ses mains se posent sur mes hanches. Je frissonne à ce contact. Ses mains sont si froide et ma peau si chaude.Elles se réchauffent et il les passe sur mon ventre pour les monter sous mes seins et les prendre en soucoupe et presser mes tétons entre ses doigts.- Huuuummmm…- Putain, maman, tes seins…Je sens son souffle dans ma nuqueIl serre si fort mes mamelons que je pleure sous la douleur.J’aime sentir sa poigne ferme sur mes seins. Il redescend ses mains vers le bas, jusqu’à ma culotte, ses doigts accrochés sur les bords. Je tremble dans l’attente qu’il me la retire. – Dis-moi ce que tu veux Maman d’amour… dit-moi ce que tu as envie de me faire… chuchote-t-il dans mon oreille et en mordillant le globe.Il me manipule ? Ou il joue ? Je devrais arrêter là, mais j’hésite et c’est trop tard. Ses doigts qui courent sur les bords de mon slip me rendent folle de désir. Je jette un coup d’œil vers l’escalier et en gémissant:- Prend ma culotte… enlève là…Ses lèvres touchent mon épaule et il m’embrasse en sortant sa langue qui court sur ma peau.- T’es bien sûre, maman ? Tu veux vraiment que je retire ta culotte ? En principe les mamans ne font pas çà… Seulement les mamans salopes le font.Mon Dieu j’en peux plus. Tout mon corps est en ébullition par cette attente.- Chéri… maintenant je suis ta salope de maman. Alors, s’il te plait… enlève ma culotte.Ses doigts accrochent mon slip et doucement il descend le dernier rempart de mon intimité sur mes hanches et mes cuisses. Je sens qu’il s’agenouille derrière moi, Dieu…son visage est à hauteur de mon cul, mon cul nu. Il tire mon slip sur mes chevilles et je lève mes pieds.Je reste là tremblante, totalement nue, avec mes mains toujours au-dessus du manteau de cheminé. Ses mains prennent mes fesses et il les pétries en les écartant pour son plus grand plaisir. Ooooooh, mais…mon trou du cul… il regarde mon trou du cul. Oh non, et si il me dit qu’il m’a vu me masturber… il… que j’ai enfoncé mes doigts dans ce trou et que je me suis fais jouir ? Oh Jésus, là, mon fils, pourrait dire que je suis une vraie salope.Il me retourne face à lui. Complètement nue je regarde mon fils à genoux en face de moi. Il regarde ma chatte, ma chatte rasée. Toujours à genoux il tend la main et att**** mon cul pour me tire à lui. Me tenant fermement avec ses mains, il met son nez près de mon clito. Il respire fortement, il hume et sens ma moiteur.J’écarte instinctivement les jambes en attente de ce qui va forcément suivre.Il tire sa langue et lèche les lèvres de ma chatte en les repoussant sur les bords pour enfuir sa langue dans ma fente détrempée.Je gémie en fermant la bouche pou ne pas réveiller ma fille ou mon mari.- Uuuuhhhhmmmm… » J’ai gémi.Que sa la langue est douce dans ma chatte. Elle va et vient, tourne autour, tapote le haut ou se cache un petit bouton qui voudrais lui dire bonjour.J’écarte le plus possible mes cuisses en soulevant l’une d’elle en posant un pied sur la chaise.Mon fils est enfoui entre mes cuisses entrain de me bouffer la chatte à la recherche de mon orgasme.- Oh fils de Pute… manger moi… oh ouiiiii mange moi…ohhhhhhhhh…D’une main, je me maintiens et de l’autre je presse un de mes seins en tirant et roulant le téton tout dur. Mon cul est en feu ! Et ce n’est pas la chaleur de la braise de la cheminé.Ma chatte est parcourue de crispations et je suis au bord de l’orgasme. Mon petit salaud de fils le sens bien car il entoure mon clito de ses lèvres et sa langue frotte le bout.- OOoohhhhh… Ouiiiiiiiiii…Salaaauuuudd… je jouiiiissssss !Je jouis comme une dingue du sexe que je suis, debout devant la cheminée, dans notre salle de séjour avec mon mari et ma fille qui pourraient descendre l’escalier à tout moment. Je n’arrête pas de gémir sous cette jouissance que mon fils me donne. J’ai essayé de résister mais cela mais impossible. Je suis une vraie chienne lubrique avec la bouche de mon fils qui lape mes jus intimes.Mes spasmes durent longtemps, mais, finalement quand je me calme et je réalise que mon fils continu d’aimer ma chatte. Il boit mon jus qui coule dans sa bouche. Je passe avec la tendresse d’une mère… non d’une femme satisfaite… mes doigts dans ses cheveux. C’est un beau et grand garçon maintenant, il mange tout seul… il mange sa maman.- Ooh, mon bébé… tu aime ta maman… la chatte de maman ?Il la lâche une seconde :- Maman, tu as la plus délicieuse des chattes et … je pourrais te bouffer toute la nuit !Et il retourne à sa dégustation en collant sa dans mon trou qui n’arrête pas de couler. Je suis entièrement ouverte et j’aime ce qu’il me fait.- Maman ne bouge pas !Il att**** son appareil qu’il avait surement préparé au cas où… et commence à prendre des photos de moi… nue… cuisses ouvertes et chatte béante.Mon Dieu, je dois l’arrêter ! Je ne suis pas une star de pornos… c’est trop dangereux…Je suis sa maman. Que se passerait-il si les photos tombent entre de mauvaises mains, que se passerait-il s’ils les mettent sur Internet ?- Non Eric, mon bébé… s’il vte plaît… arrête… plus aucunes photos… s’il te plait.C’est avec difficulté que je réussi à mettre mon pied par terre mais il a déjà pris des photos de moi, ma chatte ouverte et dégoulinante de cyprine. Mais je dois arrêter de laisser libre cours à ma lubricité.Je quitte la cheminée pour aller vers le canapé avec mes hanches qui se balancent malgré ma volonté.Clic-clac, clic-clac, clic-clac…Il ne m’écoute pas et prend photos sur photos. Je suis assise sur le canapé, mes genoux serrés, dos droit, mains sur mes genoux. Il prend mes gros seins gonflés avec leurs tétons érigés et bien durs.Et je ne dis rien ! Je suis d’accord sur ce qu’il fait ! Même si je me retrouve sur internet ?Salope…mon Dieu…J’aime ce mot. Je vois mes genoux s’écarter indépendamment de ma volonté. Ils vivent leur propre vie.Çà n’a pas échappé à mon fils qui tombe à genoux devant moi et … clic clac, une de plus et en gros plan !Je sais ce qu’il faut que je fasse pour l’arrêter.- Eric viens ici,En lui faisant signe avec mon index replié.Il se lève, obéissant, comme un petit enfant. Il s’approcha de moi, l’appareil photos à ses côtés. Assise tout droite sur le bord du canapé j’att**** ses fesses fermes et tire pour mettre ses jambes près de mon visage.Si il faut faire çà pour qu’il arrête de prendre des photos…Ainsi soit-il…Je tire sur son pantalon d’intérieur et comme ce petit salopard n’a pas mis de slip je prends sa grosse queue bandée en plein visage.J’att**** la base de celle-ci et après quelques caresses je le regarde avec les yeux d’une innocente jeune fille.- Que veux-tu que maman fasse à la grosse bite de son petit garçon ?- OOOhhhh, maman… suce-moi… comme la dernière fois.C’est tout ce que j’attendais. J’ouvre la bouche et j’enfourne sa grosse saucisse dans le four de ma bouche.Je la triture, la déguste, je l’enfonce le plus loin possible à la limite de l’étouffement, je mords en pressant ses grosses boules qui pendent à la recherche de cette vibration précurseur de sa jouissance.Ma chatte remonte en température rien qu’en pansant à ce que je fais et dans l’attente de son jus épais et chaud. J’assimile en même temps que j’aime le sexe, particulièrement le sien, et que je suis restée frustrée pendant des années à ne pas vouloir accepter que le sexe est un besoin indispensable à mon équilibre mental.Certains dirons que je suis une sacrée salope, et i****tueuse en plus, mais je m’en fou complètement en cet instant si merveilleuxIl me prend la tête et c’est lui qui baise ma bouche maintenant. Il l’utilise pour son plaisir. Je le laisse faire en passant ma langue sur ce pieu qui va et vient. Il a levé une jambe et posé un pied sur le canapé et je sens ses couilles frapper mon menton quand il baise ma bouche.Mon fils essaye de ne pas faire trop de bruit mais je l’entends grogner dans mettre le plus possible dans ma bouche et ma gorge. Il retire sa queue pleine de salive et me caresse le visage avec. Je lèche à chaque passage sur ma bouche et il reprend ma tête pour me forcer à reprendre sa bite jusqu’aux couilles.Je suis tombée du canapé et comme une professionnelle je lui taille une pipe. Je suis son esclave, esclave de sa superbe bite si dure et si chaude. Je l’adore !- Maman ! Je vais jouir !- Huuuummmm… Attend mon chéri… tu ne veux pas plutôt me baiser…baiser ta maman…Et je suce seulement son gros gland en levant les yeux pou voir l’extase et le désir sur son visage.- Maman…OOOhhhh, ouiiiii…j’en ai envie…AAaahhhh …de te baiser ! Ouiiiii s’il te plait…Maintenant c’est lui qui implore, qui quémande… maintenant, j’ai repris le contrôle.- Tu veux me baiser… tu veux baiser ta mère… Huuummm… çà ne se fait pas ! C’est défendu ! Et en plus, ici ! Sur le canapé… avec le reste de la famille qui dort à l’étage ?Encore une fois, il m’att**** par mes cheveux et force sa bite dans ma gorge pour me baiser la bouche et me regardant :- Te baiser ! Oui…Je veux baiser ta chatte comme je baise ta bouche et tout de suite !Mon Dieu je suis sa mère, mais il m’utilise … comme une chienne… une prostituée à peu de frais. Doux Jésus, chaque fois que je pense à ce qu’il pourrait me faire je suis prête à jouir, Il me lâche et je rampe vers le haut du canapé, avec mon cul en l’air en écartant largement mes jambes, donnant l’accès à mon fils pour me…baiser…pour baiser sa maman. Je tourne la tête pour le regarder.- Ouiiiii…bébé, baise-moi ! Enfonce ta bite dans la chatte de maman ! Remplit mon trou à bites de ta grosse queue et baise ta maman !Il se positionne derrière moi et écarte mes lèvres trempée par mon jus. Je sens son gland à l’entrée de ma chatte, mais il ne bouge pas. A-t-il peur, a-t-il des doutes ? Je pense à ce qu’il va faire. Oh Dieu… c’est… c’est tellement immoral… si dégoutant… et interdit. Mon propre fils va me baiser… Je recule pour enfoncer un peu sa bite dans ma chatte. Oooh, pourquoi j’ai fait çà ? Je sens la tête de sa bite à l’intérieur de mon trou, et elle écarte mes chairs. Oh non…Je ne dois pas faire cela… c’est mon fils.Ma tête dit “non pas” c’est une bataille interne car mon corps dit “Oui, viens”. Je tourne de nouveau ma tête pour voir qu’il me regarde le regard fiévreux et plein de désir.Je n’en peux plus il me faut sa bite en moi. Je pousse mes fesses vers lui et plus de la moitié de sa longue bite de mon fils est à l’intérieur de ma chatte en feu, ouverte pour lui.- AAAAAHHHhhhh… Ouiiiiiiiiii…Je me retire un peu et je repousse. Peut-être que je vais juste me faire baiser par le bout de sa bite… juste un peu… un petit peu… En poussant un peu plus j’apprécie cette pénétration, ce beau et gros sexe qui envahi mon vagin en le dilatant. Je suis tellement prise pas cette sensation brulante dans ma chatte, que lorsque je sens mon cul rebondir contre son ventre je réalise… Oh mon Dieu… non… pas toute sa bite ! Je retourne la tête pour le voir me baiser et faire aller et venir toute sa longue queue dans ma chatte.Je n’ai rien fait pour l’empêcher ! Au contraire c’est moi qui me suis jeté sur son sexe et qui me le suis enfoncé jusqu’au bout !Je me suis donné à mon fils comme une chienne en chaleur et il baise ma chatte. Il se l’enfonce à fond et la retire ne laissant que son gros gland entre mes lèvres et il recommence. J’entends gémir… c’est lui ou moi ? je ne sais plus! Je suis dans mon monde érotique et i****tueux, je plane dans le ciel de la luxure. Il prend mon cul et pistonne ma chatte de plus en plus vite et de plus en plus fort.Mon fils me baise et j’adore ! Son épaisse bite pénètre dans ma chatte… et Oooh elle va si loin et … ses couilles frappent contre mon clito, et il me fait jouir.- AAaahhhh… ohhhhhhhhh… muuummmmm… Je jouis et ma chatte se referme par des spasmes successifs sur sa grosse queue comme si elle voulait l’avaler et ne jamais la perdre. Et je n’arrête pas de gémir la bouche fermée pendant toute ma jouissance.Il augmente sa vitesse de pénétration et sens qu’il n’est pad loin de jouir. Je ne veux pas qu’il jouisse en moi comme çà. Je veux le voir quand il balancera son foutre dans le vagin de sa mère. Je veux être salope jusqu’au bout!Je me déplace pour éjecter sa bite hors de ma chatte.- Whaou, bébé! Assied toi là !Il a l’air un peu déçu, pense-t-il que çà s’arrête là ?- A moi de me baiser sur ta bite. Non de Dieu qu’elle est grosse!Dis-je en la regardant et la prenant en mainElle est recouverte de mon jus… est ce qu’il est bon ? Sans réfléchir je me penche entre ses jambes et je mets la bite de mon fils dans ma bouche. Oh Dieu quel goût… je goute ma chatte et j’aime… alors je suce sa bite de haut en bas avec cette excitation perverse en sachant que j’avale mon jus intime.C’est la première fois que j’avale autant de jus de femme et en plus c’est le miens! Ce jus que mon fils sait si bien faire couler. Je deviens une salope perverse et je m’en fout complètement.Je sens les mains de mon fils sur mes cheveux, me tirant vers le haut.- Maman, s’il te plaît… ça suffit… baise-moi maintenant.Dit-il tellement désireux de revenir dans ma chatte.Il a raison, ma chatte veut être remplie à nouveau par son énorme sexe. Je me positionne juste au-dessus de sa queue vibrante et, la tenant fermement, je la guide dans mon trou encore bien ouvert. Elle glisse avec aisance tellement je mouille et lubrifie sa bite dans ma descente. Il saisi mes seins qui ballotent devant ses yeux, les masse et les suce. Agrippant le haut du canapé je monte et je descend sur son pieu en m’enfonçant plus profondément à chaque coup! Oh Dieu, c’est fou ce sentiment d’être la putain de son fils ! Sa chienne !Moi je suis de nouveau prête à jouir. Je regarde mon fils en extase qui joue avec mes seins. Pas encore… lui il n’est pas prêt. Je me retire et je suis de nouveau entre ses jambes pour sucer sa bite humide. Je veux retarder ma jouissance ou je veux encore goûter à ma chatte ? Je suis en pleine confusion car je ne me doutais pas que cela serait si chaud… ou si bon ! Je reprends sa bite dans ma bouche pour lui faire une pipe d’enfer et boire mon jus de chatte sur elle. Je me régale ! Est-ce que toutes les femmes ont aussi bon gout ? Le jus de la chatte de ma fille est-il aussi bon ?Mon Dieu ! Comment puis-je imaginer une telle chose ! La chatte de ma fille sur ma bouche ! Non ! Impossible ! Je ne peux pas… mais cela a tellement bon goût !Je me relève et je réintroduis sa bite de cheval dans ma chatte ruisselante et brulante. Je me démène tellement sur cette queue que mes seins rebondissent dans tous les sens et ma chatte me brule carrément.- Maman ! Je vais…jouiiiirrrrrrrrr ! Ouiiiiiiiiii!!Il gémit tellement fort que j’ai peur qu’il réveille mon mari ou ma fille… oh Jésus ma fille… quelle goût elle a ? A-t-elle déjà gouté au jus d’une fille ? Est ce qu’elle aime ? Que se passerait-il si elle goutait au mien ?Oh non…Quel genre de salope suis-je en passe de devenir ? Je ne l’aurais jamais…Je ne pourrais jamais faire cela à ma fille. Je chasse ses pensées plus que perverses et regarde mon fils.- OUII bébé… Jouis dans la chatte de maman…Oh Dieu oui… je sens ton sperme qui m’arrose l’utérus… putain qu’est ce que tu me met ! Et là…je jouis avec lui, avec mon fils qui vide ses couilles dans le vagin de sa mère. Tous les deux, en gémissant pas trop fort, nous laissons nos spasmes de jouissance s’estomper doucement.Tout d’un coup il se raidit et je mets tout mon poids sur sa bite enfouie profondément à l’intérieur de moi. Et miracle de la jeunesse, il gicle encore son foutre à l’intérieur de ma chatte. Je suis remplie de sperme et nos jus se mélangent à l’intérieur de mon corps.C’est comme si j’étais dans un autre monde, j’att**** son cou et je l’embrasse fougueusement, ma langue cherchant toute les partie de sa bouche et je suis de nouveau en jouissance, en extase sur sa bite.Je sens ma sueur courir vers le bas de mon dos, dans la fente de mon cul et mouiller mon trou du cul.Whaoo ! Mon fils m’a fait jouir plusieurs fois comme jamais çà ne met arrivé. Je me retire doucement et ma chatte rejette son trop plein qui coule sur mes cuisses.A genoux par terre je regarde sa bite à demi bandée, tellement humide… mousseuse…splendide, qui me nargue et m’invite. Oh Dieu que je suis une faible femme et une mauvaise mère !Je me penche en me mettant sur son coté et je reprends cette chose qui vient de me faire connaitre la jouissance absolue. Encore une fois, je deviens une chienne qui suce te lèche la bite de son fils mais cette fois elle est couverte d’un mélange de sperme et de cyprine.- Maman, je dois te demander quelque chose…Oh… il peut me demander quoi que ce soit. Il a maintenant tous les droits et je vais sucer sa bite jusqu’à ce qu’il m’envoie son sperme dans ma bouche.- Oui bébé….Je réponds entre deux coups de langue après une gorge profonde.Il pose ses mains sur mon cul et me dit ;- Heuuu, tu sais… l’agence pour modèles de Pub que je voulais qu’aurélie passe voir…Il est de nouveau raide et je l’enfonce profondément pour sentir le plus de cette chair si dure et si chaude. Je recule ;- Oui, Oui…Je me souviens…- Bien…je leur ai monté quelques-unes de tes photos… seulement ceux dans le bikini !Malgré sa bite dans ma bouche, là, je fais tilt ! Que vient-il de dire?Dans le même temps je sens sa main qui glisse et ses doigts se posent sur mon trou du cul. Oh Dieu Éros… que va-t-il faire ? La seule pensée que mon fils joue avec mon trou du cul renflamme ma chatte et ma tête. Ah, oui… les photos… Eric… pourquoi… Pourquoi tu as fais ça !Je pose la question mais je ne lâche pas ma proie sous ma langue tout en le regardant avec inquiétude.- Maman, tu es si belle, tu as un corps magnifique, et tu es probablement la plus chaude… heu, la femme la plus belle du pays… J’ai juste pensé que… que peut-être… d’autres gens devrait le voir.Comment réagir…je l’aime et je suis folle de sa bite ! Que je remets dans ma bouche bien profondément.- Tu aurais pût me demander avant…Le petit salaud…il frotte ses doigts sur mon trou du cul. Ooh, je dois le garder serré et bien fermé. Il ne doit pas savoir que j’adore me tripoté le cul. Il glissé son doigt sur ma chatte humide et encore dégoulinante, le mouille et le repose sur ma rosette pour la graisser de mon jus.- Je sais maman, mais… eux ils ont beaucoup aimé… ils ont adoré les photos de toi.A ce moment, je sens son doigt qui appui sur le milieu de ma rosette qui s’ouvre sans mon autorisation et son doigt glisse dedans. Oooh, mon Dieu…comment puis-je laisser mon fils me doigter le cul ? Mais là encore c’est la salope qui pense car je m’attendais à cela, c’est pour cette raison que je me suis assise dans cette position… avec mon cul vers le haut. Apres tout, je lui ai dis qu’il pouvait tout me faire…alors je ne vais pas m’offusquer pour un doigt dans le cul !Je lève les yeux vers lui. Il me regarde, jugeant ma réaction, essayant de voir si j’allais l’arrêter de violer mon cul. Doux Jésus, s’il savait… il ne sait pas que j’aime en avoir plein dans cul ! Je suis une putain de putain la putain de mon fils.Il fait aller son doigt dans mon conduit anal. Il baise mon cul de son doigt.- Et qu’ont-ils dit quand tu m’as montrée presque nue ?J’aspire son gland et il pousse sa bite dans ma bouche et je commence à le sucer tout en le branlant d’une main.- Maman…Oooohhhh, maman ! Oooohhhh… ils aimeraient bien prendre des photos de toi. C’est des professionnels et ils devraient faire de superbe photos avec une meuf comme toi.Je sens un autre doigt se poser sur ma corolle. Pas question!!! Il ne va pas en mettre un de plus ! Pas mon fils!!!- Eric, je ne peux pas, c’est trop dangereux. Nos rapports doivent rester secrets.Oh le saligaud !! Son doigt pousse un peu sur mon anneau anal… qui s’ouvre un peu plus et … lentement… peu à peu… jusqu’à ce que… voila ! J’ai deux des doigts de mon fils dans mon trou du cul. Oh mon Dieu… un peu de douleur… non, aucune douleur… plus comme de l’inconfort.Je suis quand même un peu tendue car mon trou du cul est fouillé comme jamais je l’ai fait moi-même.- Maman… dit oui. Je leurs ai dis que tu seras probablement d’accord. C’est juste des photos d’une superbe femme en mini bikini.Je ne l’écoute presque pas car je suis polarisé sur mon trou du cul qui commence à apprécier les doigts qui le fouille et qui vont et viennent lui procurant des sensations inédites. Tellement fortes que je suis prête pour un nouvel orgasme.- Eric…AAAAAHHHhhhh… Noooonnnnn… Uuuuhhhhmmmm…Je ne peux pas…Oh mon Dieu… Si ton père nous surprenait… OOOhhhh, ouiiiii… ce serait la fin de mon mariage.Je me remets néanmoins à sucer la bite de mon fils pour le faire jouir. Tout à coup il retire ses doigts… oh ! Quel sentiment de vide…Je veux ses doigts!- Eric…non…s’il te plaît… remets-les dans mon cul…Je lui dis cela comme une mendiante affamée qui fait la mendicité.- Alors dis-moi que tu es d’accord pour aller te faire prendre… en photos.J’ai tant besoin de jouir et envie de sperme que,- Ok…Oh Bébé, Ok…Je le ferai, mais juste en bikini… mais s’il te plaît remet tes doigts.Il glisse ses deux doigts humides dans mon cul. Ils sont rentrés avec facilité, mon trou du cul entrouvert les attendait.Ooh que c’est bon ! J’adore cette sensation différente de celle que j’ai quand il fouille ma chatte. Et en plus, le fait de savoir que c’est mon fils qui me fait ça, je crois que ça amplifie mon excitation malsaine. Je colle bien mon cul sur ses doigts et je lui suce frénétiquement sa bite ! Il me rend folle quand il les enfonce le plus loin qu’il peut et qu’il les retire pour recommencer et m’éperonner ainsi mon trou du cul en feu.Je l’entends gémir et je sens qu’il s’apprête à jouir. Je comprime la base de son nœud et je suce et aspire son gland. Sa bite gonfle dans ma main et je desserre mes doigts. Un geyser de sperme jailli de sa bite et rempli ma bouche assoiffée pendant que je mon corps est secoué par un violant orgasme.Après ce feu d’artifice de spasmes dans nos corps respectifs je me suis effondré sur le canapé et ses doigts ont glissé hors de mon cul. Je regardé l’horloge… 1 heure du mat ! Mon Dieu, on vient de baiser pendant plus de deux heures ! Je me lève et ramasse mes vêtements.- Eric, il est grand temps de se coucher, avant que nous soyons pris en flagrant délit d’i****te. Ne tentons pas le diable !Nous faire prendre ? Un sentiment de culpabilité passe dans ma tête… J’ai fait tellement de choses ce soir… dont certaines assez sales et interdites. Mais ce sentiment est vite chassé par la salope qui est en moi et qui me dit “Tu as encore beaucoup de chose à découvrir et surement encore plus dégueulasse que ce soir mais encore plus excitante…”Pourquoi ces pensées obscènes quand je passe devant la porte de la chambre de ma fille ?Chapitre 3 : Surprises, soumission et voyeurismeCe sentiment de culpabilité reste présent quand c’est la mère qui regarde son fils et pendant plus d’une semaine j’ai refoulé la salope qui est en moi bien que chaque jour je pense à cette soirée, à la façon dont il m’a baisée ou la façon dont j’ai sucé sa bite. Je sais bien quelle erreur j’ai faite, je sais qu’étant sa mère je ne dois pas le laisser recommencer, mais, quand je repense aux moments merveilleux de cet i****te… ces moments de pur plaisir entre moi et mon fils, mon corps réagit et la salope n’est pas loin de réapparaitre.Mon mari devant partir en voyage d’affaires pour quelques jours je décide de lui faire une surprise.Je vais me mettre toute nue et aller le voir dans son bureau pour l’exciter. Ça compensera mon manque de sexe depuis quelques jours et il ne doit partir que dans 1 heure.Il n’est que 6 heures du matin et les enfants dorment encore. Juste en légère chemise de nuit je me faufile vers son bureau et passant la porte je l’aperçois de dos, les pieds sur son bureau devant son ordinateur. J’enlève rapidement ma chemise, avance doucement derrière lui et je m’apprête à mettre mes mains autour de lui et je vois l’écran !Mon cœur s’arrête et je reste figée en état de choc. Sur l’écran des photos de filles nues posent dans des positions sexy. Certaines d’entre elles ont leurs jambes écartées, cuisses ouvertes, certaines d’entre elles s’embrassent ou ont des relations sexuelles orales. L’écran clignote et photos après photos des filles… jeunes… à peine au-dessus de l’âge légal, de l’âge de notre fille, apparaissent dans des positions de plus en plus pornographiques.Là, c’est une jeune fille qui résiste à un énorme gode que lui enfonce une autre fille dans son cul. Je suis choquée mais je dois admettre qu’un petit frisson d’excitation monte et descend dans ma colonne vertébrale. Baissant les yeux je vois que mon mari a sa bite sortie et qu’il se la caresse en regardant l’écran.Il doit avoir senti ma présence car il tourne sa tête et me voit le fixant des yeux avec un air effaré. Écarquillant les yeux et rougissant, il essaye immédiatement de mettre sa bite bandée à l’intérieur de son pantalon et ferme la fenêtre Windows. Ne sachant que dire je fais demi-tour et je sors de la pièce pour aller m’enfermer dans la salle de bain.Après quelques minutes mon mari frappe à la porte, essaye de me parler mais je ne peux pas, encore sous le choc de l’avoir surpris entrain de regarder des jeunes filles de l’âge de notre fille sur son ordinateur. Comme je ne réponds pas il est parti à l’aéroport pour son voyage d’affaires.Toute la matinée je n’arrête pas de penser à ce que j’ai vu ce matin. Mon mari aime regarder des jeunes filles… des gouines…qui se baisent avec un gode. L’image de cette jeune fille enculée par le gode me laisse la bouche sèche. Je revoie ce gros gode enfoncé et déformant salement son trou du cul! Combien de temps a-t-il fallu pour étirer son conduit anal pour prendre un tel gros jouet en elle, je me le me demande.Je suis dans la cuisine, nettoyant mon bol de petit déjeuner quand Eric pointe son nez.- Salut maman, qu’est-ce que tu fais ?- Oh rien chéri, juste du rangement.Je le sens derrière moi et son entrejambe se frotte contre ma hanche. Je me retourne et le regarde dans les yeux…Je ne sais pas pourquoi… c’est comme si sa présence me transporte dans un autre monde.Je sens sa main sur le bas de mon dos et j’avale ma salive en sachant que ce n’est pas le toucher d’un fils sur sa mère.- Maman… Papa est parti…Je me demande… si on… tu vois…tu sais…Rien qu’à voir ce désir qui fait briller ses yeux je sais que je vais le laisser faire ce qu’il veut.Sa main commence à glisser plus bas, sur mon cul. Je ne bouge pas et continue de le regarder. Sa main atteint mon cul, se plaque sur une de mes fesses et il me caresse en faisant de petits cercles.- Dis, maman… je t’ai manqué…Il se penche et m’embrasse sur mes lèvres qui instinctivement s’ouvrent pour laisser passer sa langue. La mienne entoure la sienne et nous échangeons un baiser plein de tendresse… plein d’amour.Sa main passe sous ma petite robe d’intérieur et la soulève sur mes hanches. Je me souviens que ma fille est encore à l’étage et un petit frisson de peur me parcourt. Doucement, je le repousse.- Eric… s’il te plaît…Aurélie est à l’étage…Il n’a pas l’air d’entendre car il me pelote tellement les fesses que le tissu de ma culotte passe dans la fente de mes fesses. Tout en pétrissant mon cul il m’embrasse dans le cou et aspire un peu ma peau entre ses lèvres.J’écoute en regardant le couloir mais non je n’entends rien. Mon fils a glissé ses doigts sous ma culotte et touche mes deux trous. Et je le laisse faire me faire ça! Et pourquoi pas…J’aime quand il me touche, surtout entre mes cuisses… Je sens ses doigts dans ma chatte humide et je fléchie un peu en gémissant.- Oh, maman t’es vachement mouillée ce matin.Mon Dieu… çà va plus loin que ça devrait, surtout que ma fille est encore à la maison et qu’elle ne devrait pas tarder à se lever.Ses doigts sont enfoncés dans ma chatte et je ne sais combien…trois ou quatre peut être. Ma chatte est écartelée mais tellement lubrifié que mon fils peut facilement mette ses doigt et commencer à me baiser avec. Involontairement, je commence à donner des coups de reins sur les doigts qui me baise pour accompagner leurs mouvements de va et vient et je commence à gémir. En faisant çà je sais que je replonge dans l’i****te. Tout à coup, j’entends quelque chose, comme une porte et puis autre chose… des pas… dans les escaliers.- Eric…Eric ! Arrête sauve toi ! Et je le repousse fermement.Nous étions sur le point d’être découvert. Il me lâche et je remets ma jupe en place, juste quand ma fille entre dans la cuisine.- Salut tout le monde… ce qui se passe ?Question innocente, mais qui me fait quand même sursauter. Et je réponds en essayant de contrôler ma voix.- Rien ma chérie… Comment vas-tu ? Que vas-tu faire aujourd’hui ?- Et bien… Jessica vient me voir ce soir donc je reste à la maison et je vais regarder quelques films que je lui ai empruntés et que je voudrais voir.Je regarde Eric et le gros bâton qui déforme son pantalon et je vois qu’il est vraiment déçu, car il est évidemment qu’il comptait qu’Aurélie serait sortie ce soir. Aurélie prends une boisson dans le réfrigérateur et me regarde bizarrement.- Maman…Papa t’a fait le grand jeu ce matin ? Dit-elle en souriant.- De quoi tu parle ?- C’n’est pas un suçon que je vois dans ton cou ?Oh Dieu… mon cou…Eric m’a sucer le cou trop fort et il m’a fait un suçon ! Mais ce que je ne réalise pas c’est que ce suçon est très frais et encore humide. Ma fille le regarde d’ailleurs de plus prés et lentement ses yeux s’élargissent comme si elle vient de réaliser quelque chose.Elle regarde Eric puis moi. Ni l’un ni l’autre n’ose la regarder franchement de peur de se trahir. Lentement, je me tourne et sors de la cuisine, m’arrêtant dans le couloir avec mon dos contre le mur et des crampes d’estomac.- Eric, c’est bien un suçon très récent… il est encore humide…- J’en sais rien moi… Comment le saurais-je…- Eric ! As-tu… fais…- Aurélie ! Ne sois pas stupide !Je me décolle du mur et marche vers l’escalier, en me secouant un peu. Tout se que je peux penser c’est que ma fille a découvert notre secret ; elle allait le dire… peut-être à son père… à mon mari. Entrant dans ma chambre et en me regardant dans le miroir je vois cette marque rouge sur mon cou qui est effectivement encore humide. Je me jette sur mon lit et je réfléchie à ce qui vient de se passé et ce qu’il faut faire à ce sujet quand j’entends ma porte s’ouvrir et mon fils entre dans ma chambre.Il vient vers moi et s’assoit à côté de moi sur le lit.- Maman, tu vas bien ?- Eric elle a compris… elle sait…C’est tout ce que je peux dire.- Mais non, Maman non, elle n’a rien vu…elle ne peut avoir qu’un infime soupçon et çà ne fait pas si longtemps que papa est parti.- Oh mon Dieu, que vais-je faire si elle dit quelque chose à Paul.Je suis vraiment inquiète, la pensée de tout perdre ronge mon esprit. Doucement, il prend ma main et la porte à ses lèvres pour l’embrasser. Il me tire contre sa poitrine et me fait un câlin rassurant. Il sent si bon et me sens mieux, j’avais besoin de çà, j’avais besoin qu’il me prenne dans ses bras.- De toute façon aurélie ne dira jamais rien même si elle soupçonne quelque chose… Fais moi confiance… elle pourrait même te faire elle aussi, un suçon dans ton cou si charmant.En me disant çà ses mains sont passées sous ma légère robe d’intérieur très décolletée et caressent mon dos. Hep ! Qu’a-t-il dit !- Eric que veux-tu dire ?- Et bien… elle passe beaucoup de temps avec Jessica… je crois qu’elles ne font pas de la broderie quand elles sont ensemble. Et comme elles ferment la porte à clé… elles doivent surement faire quelque chose… tu vois… quelque chose de sexy.Ma fille ? Pas possible ! Qu’elle pensée incroyable ! Il est vrai que les deux jeunes filles passe beaucoup de temps ensemble.Pendant ma réflexion mon fils en profite pour prendre en coupe ma poitrine sous ma chemise, laissant mon téton passer entre ses doigts. Oh non… pas encore… il veut me prendre je le sens ! Non ! Je dois arrêter, surtout après avoir faillit été surpris par ma fille. Mais sa main est si douce…- Eric! Stop! On a déjà manqué de se faire prendre.Il n’en a cure et il s’allonge à coté de moi sa tête dans une de ses mains et il tire doucement sur mon téton pour le faire durcir. Et la salope réapparait et je suis en chaleur.-Eric… t’es sûre pour ta sœur ?- Eh bien non, pas vraiment… j’ai juste remarqué qu’elles sont proches et que leurs étreintes sont très proche, vraiment proches.Il déplace sa main vers le bas, elle passe sous l’élastique de ma culote et ses doigts glissent vers le bas, vers ma chatte. Ooooooh, pourquoi je ne l’empêche pas ? Pourquoi je permets mon fils de faire çà à sa mère. Je sens ses doigts sur les lèvres de ma chatte, et il joue avec elles, en les étalant sur les côtés. Je suis déjà haletante, et le regardant.- Eric Qu’est ce que tu fais ?- Je caresse ta chatte maman » me répondit-il simplement, ses yeux dans les miens.Je sens un de ses doigts qui commence à faire son chemin à l’intérieur de mon trou humide.- Oooohhhh, mon fils chéri, je t’aime, mais s’il te plaît arrête…Je suis ta mère…Ooooohhhhh… il me fait gémir de plaisir et je ne fais rien pour l’empêcher.Il ressort son doigt mais immédiatement il en remet deux et mon dieu que c’est bon ! Mais aussi … tellement immoral. Je suis une femme faible pour laisser mon garçon faire çà !- Pourquoi t’écarte les jambes, maman. Je croyais que tu voulais que j’arrête…Je baisse les yeux et il ne ment pas, sans m’en rendre compte j’ai les jambes écartées, donnant ainsi libre accès à ma chatte chaude et humide. Je ne peux résister à ce besoin de sexe et de luxure surtout avec mon fils.Il se penche et m’embrasse longtemps dans un baiser sensuel avec sa langue qui fouille ma bouche pendant güvenilir illegal bahis siteleri que ses doigts me baisent la chatte sans arrêt. Je ne peux que gémir dans la bouche de mon fils en anticipant ce qui risque d’arriver. Il retire ses doigts et les porte à ma bouche. Je suis surprise… que veut-il que je fasse avec eux ?- Je t’aime Maman… toi et ta chatte.Oooh, je sens ma chatte… je vois mon jus sur les doigts de mon fils. Je sais ce qu’il veut ! Comme hypnotisée je tire ma langue et ouvre ma bouche pour sucer ses doigts mouillés. Muuummmmm… c’est si bon… tellement délicieux…J’ai roule des yeux par le plaisir de la dégustation de ma propre chatte qu’il m’apporte sur doigts.- T’es une femelle obéissante, maman. Ooooooh… maman, chaque fois que tu fais çà je bande comme un taureau ! Ouiiiii, suce… Goûte ta propre chatte… oh la vache ! T’es une belle et bonne salope… Encore une fois mon fils m’appelle une salope ! Et j’aime qu’il me traite de salope dans ces moments là ! Je suis tellement excitée que je veux faire quelque chose pour lui dès maintenant. Mais au loin j’entends ; «Maman !» Aaah, non ! Pas maintenant ! C’est Aurélie qui m’appelle. Comment ais-je pu oublier que ma fille est toujours là ? Eric retire ses doigts délicieux de ma bouche, avec de la déception sur son visage.- Putain ! Je rêve de te prendre et… et… Aurélie… nous colle aux basques et en plus elle ne sort pas ce soir! Nous devons sortir… il faut sortir de la maison. Nous allons aller au cinéma ou autre part mais il faut qu’on trouve un endroit où nous pouvons être seuls.- Ok…OK, fils ! Nous trouverons un moyen d’être seul mais lâche moi, je dois descendre car sinon elle va trouver quelque chose de suspect.Je le repousse et je vois sa bite tendue et imprimée dans son pantalon. Oh Dieu, qu’elle une grosse bite… Avec un regard malicieux et hors contrôle, je me penche et tire sur son pantalon pour sortir sa bite. Je la caresse avec ma main, pour sentir cette peau de velours, et en le regardant dans ses yeux.- Je vais te donner un petit goût de ce qui pourrait t’arriver ce soir.Je me penche et je pends sa bite dure dans ma bouche, et je l’avale entièrement. Je le sens se raidir et j’entends son gémissement. Je suce bien sa bite et puis j’introduis son gland dans ma gorge pour le masser en déglutissant plusieurs fois pour ensuite faire des allers retours très profond à chaque fois. J’entends Aurélie crier à nouveau. « Maman ! »Avec beaucoup de difficultés, je lâche la queue de mon fils en regardant sa bite magnifique.J’entre dans la cuisine où Aurélie est assise à la table.- Maman je peux te parler… dit-elle.- Bien sûr que oui ma chérie, dis moi tout ce qui peut te tracasser…- Et bien… c’est au collège, maman… certains garçons font quelques commentaires à mon égard qui me dérange vraiment.Elle se redresse à côté de moi. Elle porte un short court et lâche et une chemise d’intérieur très légère. Cette fois cependant son short semble plus court que d’habitude, ses longues jambes exposées me font penser… Dieu il fait chaud ici ?- Ils me taquiner sur mes fesses… ils disent que… que j’ai un gros cul, maman..Ma fille… un gros cul ? Effectivement ils la taquinent car ma fille à tout simplement un cul parfait. Je la regarde mais dans cette position je ne peux voir quoi que ce soit.- Chérie, ton cul est tout simplement parfait, ne t’inquiète pas de ce qu’ils peuvent dirent. C’est juste pour te provoquer et à mon avis c’est parce qu’ils doivent y penser un peu trop !J’ai beau dire elle doute encore- Maman, tu pense vraiment qu’il n’est pas trop gros ? J’ai vraiment besoin de savoir… s’il te plait soit juste honnête.Et droite sur ses jambes elle se tourne et me présente son cul.Ok, elle a des fesses proéminentes du fait de sa cambrure de reins. Mais elles sont bien rondes et fermes, on voit qu’elle fait du sport.J’admire le cul de ma fille et dans un flash les images que j’ai vues sur l’ordinateur de mon mari obscurcissent ma vision et mon esprit se déconnecte un court instant. Dans ma tête je vois Aurélie qui att**** son short sur les côtés et qui les tire vers le haut sur ses hanches. Le tissu tendu s’enfonce dans la fente de son jeune cul souple exposant ses fesses et ses hanches aux courbes harmonieuses. Oh qu’est ce quelle fait…? J’avale ma salive et bien que je garde mes yeux sur le cul de ma fille, je l’ai vu sourire. Oh Jésus… pourquoi elle sourit… est-ce parce que je fixe son cul presque nu ? – Alors, maman, qu’en penses-tu ? Mon cul est vraiment gros ? demande-t-elle innocemment.Je reprends mes esprits avant de répondre- Non ma douce, il est parfait. Très beau !Je la regarde et remarque ce léger sourire sur son visage, mais il y a quelque chose d’autre… quelque chose dans ses yeux… de l’excitation ? Ce sentiment que l’on obtient lorsqu’on fait quelque chose que l’on n’est pas censé faire ? C’est certainement çà. Je lèche mes lèvres et regarde de nouveau son cul pour voir qu’elle a tiré les cotés de son short encore plus haut et comme elle c’est retournée je vois carrément sa vulve entre ses jambes, car le tissu de son short est mince et fortement pressé contre sa chatte. En plein milieu on a une belle empreinte des lèvres de sa chatte, séparée par une entaille au milieu. Je sais que je ne devrais pas m’attarder sur cette vue au combien érotique mais mes yeux ne quitte pas son entrejambe et ma chatte s’humidifie. Quelle sentiment étrange quand votre propre fille peut vous faire mouiller.Comme si elle en savait assez, Aurélie remet son short en place et se penchant vers moi, son visage juste à côté du mien elle me dit “Merci”. Et elle me donne un baiser apparemment innocent, mais sur les lèvres. Mon Dieu, j’ai toujours le goût de la bite d’Eric dans ma bouche ! Je regarde ma fille dans les yeux pour voir si elle a remarqué quelque chose mais apparemment non et elle s’éloigne en balançant ses ” grosses fesses”.Apres le diner, dans l’escalier, Eric croise sa sœur et je l’entends dire;- Maman… allez…On doit y aller ! Dépêche-toi !Entre mon fils et ma fille je ne sais plus où donner de la tête. Par contre je sais très bien ce qu’Eric veut. Il veut me baiser, il veut me faire sucer sa bite et il c’est impossible d’y arriver ici avec Aurélie autour.Je lui demande une petite heure et je monte dans la chambre d’Aurélie pour la prévenir que nous allons voir un film et je lui demande si elle veut nous accompagner. Elle répond qu’elle préfère rester à la maison.Je prends mon bain et je m’assure avec deux, trois petits coups de rasoir qu’aucun poil disgracieux ne dépare la beauté de ma chatte toute lisse.Pour faire plaisir à mon fils je vais mettre quelque chose de sexy qui mettra en valeur mes seins et mon cul. Mon choix se porte sur une jupe courte que j’enfile sans aucune culotte. Ensuite, je trouve un ancien chemisier un peu trop petit pour moi. Je le passe et je m’admire dans la glace. Mon Dieu ! Il couvre à peine mes seins et le décolleté passe à raz de mes mamelons ! Et comme il est trop court j’ai le nombril à l’air !Il semble que la seule chose qui reste couverte c’est mes mamelons. Je ne voudrais jamais porter quelque chose comme ça en public, mais ce soir, après l’incident avec mon mari et comme je suis tellement excitée… Je m’en fous. Ce Soir…Je redeviens la salope de mon fils, sa chienne….Je m’examine de nouveau dans le miroir et je remonte un peu ma jupe. Oui comme çà c’est parfait ! Je suis sure qu’assise elle va encore remonter un peu et que ma chatte sera visible. J’agrémente le tout d’une paire de talons hauts noirs et je suis prête à partir. Une dernière chose que je fais avant de partir, c’est d’enfiler un long chandail pour me couvrir jusqu’à ce que je sois hors de la maison et de notre quartier.Je descends en bas où je rencontre Eric qui m’attend déjà.- Aurélie nous partons…- Ok maman, amusez-vous bien, à plus tard.- Tu es sûre de ne pas venir avec nous!- Non, passer un bon moment tout les deux.Nous sommes dans la cuisine et Eric s’approche de moi par derrière et saisissant mes cuisses il soulève ma jupe vers le haut.Whaoouu ! Regardez ces jambes… et ces hanches…Je serais ravi de voir ce qu’il y a entre elles. Dit-il, les yeux plein d’excitation.Il glisse sa main entre mes jambes et frotte ma chatte sans culotte. Oooh, il me chauffe déjà et ici dans la maison avec moi qui parle à Aurélie.- Ok, ne te couche pas trop tard, Aurélie.Je peux difficilement contrôler ma voix car il frotte maintenant mon clito en mouvements circulaires. Autant j’aime ce que fait mon fils mais je dois l’arrêter.- Eric s’il te plaît… il faut y aller, murmurai-je.- Mais maman, je veux juste te faire du bien. Je ne fais rien de mal…- Je le sais bien mon bébé…mais… pas ici ! Je te promets de te laisser me baiser de la façon qu’il te plaira et tant que tu veux ce soir mais maintenant on sort de la maison. Et juste avant de sortir je l’embrasse en glissant ma langue dans sa bouche.Il me tient la main pour aller au garage et il m’ouvre la portière de la voiture. Quand je mets mon pied vers le haut pour monter dans la voiture, je sens ma jupe glisser vers le haut sur mes hanches. Je ne peux rien faire pour l’arrêter et elle glisse sur mes hanches exposant mon cul nu. Je me sens tellement sexy que… tellement désinhibé, que j’offre à mon fils une belle vue de mon cul.- Maman, ne bouge pas, reste un instant comme çà !Sur l’instant je ne comprends pas pourquoi, mais le découvre rapidement. Clic-clac ? Clic-clac. Il a pris son appareil sur le siège arrière et il prend des photos de mon cul. Une vraie obsession ! – Eric stp…Je veux que tu arrête de prendre des photos de moi comme ça… c’est trop dangereux, bébé… si tu oublies de les effacer… et que… quelqu’un tombe dessus…Oooohhhh, à cette pensée ma chatte devient humide… Pourquoi est ce que je veux que quelqu’un me regarde comme ça ? Je ne suis pas une putain des rues qui gagne sa croute de cette façon. Encore une fois, mon fils est fasciné par mon corps, et je ne le blâme pas. Ça fait du bien d’être recherchée, d’être admirée, et je me penche pour lui donner une meilleure vue sachant que c’est toujours dangereux de le faire ici dans notre garage avec Aurélie pas loin.”Oh maman… je veux ta chatte pour faire une belle photo, vite montre la moi.- OH ! Le vilain garçon qui veut voir la chatte de sa mère.Je joue avec lui, le taquine. Je lève mon cul pour d’abord lui montrer mon trou du cul. Clic-clac. – pourquoi tu ne pose pas ton appareil pendant que je te montre ma chatte…Il hésite un instant mais dès que je me penche dans la voiture la tête sur le siège entre mes bras, les reins cambrés et la croupe ressortie pour exposer tout mon entre jambe et surtout ma chatte humide il pose son appareil sur le banc de travail à proximité.Je rappelle quand même que nous sommes dans le garage et ce faisant, j’écoute tout signe d’une présence d’Aurélie dans la cuisine et n’entendant rien, j’arque encore plus mon dos pour bien faire ressortir mon cul pour le plus grand plaisir de mon fils qui peut voir ma chatte en chaleur qui laisse couler n peu de cyprine.- C’est ce que tu veux voir mon bébé d’amour ? La position te convient ? En me tordant le cou je vois une grosse bosse déformer son pantalon et instinctivement je lèche mes lèvres qui souhaiteraient autour de sa queue. J’écarte plus les jambes espérant que mes lèvres trempée vont s’ouvrir un peu plus et je tremble rien que d’y penser.Je ne sais pas ce que mon fils va faire, je ne m’inquiète pas car il pourrait me baiser là que je le laisserais faire. Ce qui me surprend c’est qu’il ne me touche pas. Au bruit que j’entends je sais qu’il vient de sortir sa bite et qu’il se branle.Je passe une main entre mes cuisses et j’écarte mes lèvres pour insérer 2 doigts dans ma chatte et je fais comme lui. Je me branle !- OOOhhhh, putain maman ! T’es vachement bandante comme çà.J’insère un doigt de plus et de l’autre main j’écarte bien mes fesses et l’air frais sur mon trou du cul me fait gémir de plus en plus fort.- oh…AAaahhhh…OOoohhhhh… AAAAAhHHHH !Je suis entrain de me faire jouir toute seule, dans le garage, devant mon fils et plus du tout préoccupée de se faire surprendre par ma fille. Oh Dieu… quelle sensation d’être entrain de jouir, les jambes écartées et de penser que n’importe pourrait me voir ainsi avec mes doigts enfoncés dans mon trou. Du coup je mets mes quatre doigts dans ma chatte qui accepte cette intrusion et je gémis comme une chienne.- Oh mon…Oh ma chatte… oh oui…AAAAAhHHHH…houuu…putain c’est bon !Et je continue de jouir sous ce puissant orgasme qui fait trembler tout mon corps.Je peux à peine respirer et je me demande ce que fait mon fils. Je me retourne et je le vois qui prenait photos sur photos. Je me demande combien il a réussit à en prendre. Je remets ma jupe en place et je lui demande – Alors… le spectacle t’a plu ?- Euh Oui, je vais ajouter çà ma collection.- Collection ? Eric!!! Quelle collection ! Tu m’avais promis d’effacer toutes ces photos !- J’n’ai pas pu maman, tu es trop chaude dessus et elles sont vraiment magnifique ! Tu verras, quand je te les montrerais tu seras d’accord avec moi. On n’efface pas de telles merveilles. Sans compter que personne ne les verra… à par moi !Je regarde mon fils quand même préoccupée.- Oui mais si elles tombent dans de mauvaises mains, on ne sait jamais, on peut voler ton appareil ou je ne sais quoi…- Pas de danger, elles sont protégées par mot de passe.J’ai quand même peur, c’est très risqué. Mais je ressens le besoin de les voir avec une curiosité malsaine de me voir dans ces poses… posant comme une chienne… comme une star du porno. – Chéri, assures-toi que personne ne les regarde jamais, et je dis bien jamais!Et pour clore cette discussion il me donne un baiser en me serrant très fort en saisissant, bien sûr, mes fesses.- Merci maman, je te promets que personne ne les regardera.- Aller, on part, sinon Aurélie va soupçonner quelque chose.Nous sommes allés voir un film, mais à cause des nombreuses personnes autour de nous, nous ne pouvions pas nous toucher comme nous l’aurions désiré. A part les quinze dernières minutes du film ou mon fils a réussi à glisser sa main sous mon cul et pour me doigter ma chatte a la fin de celui-ci.Pour tout le monde, nous nous sommes juste un couple assis proche l’un de l’autre et non une mère et fils intimement proches dans une relation d’i****te. Après le cinéma, j’emmène mon fils dans un de ces endroits faiblement éclairés ou l’on peut avoir une conversation très privée dans une alcôve sans être déranger. J’y suis déjà venu avec mon mari plusieurs fois au début de notre fréquentation et nous avons passé du bon temps.Heureusement, personne que nous pourrions connaitre n’attire notre regard. Tous juste assis, Eric, immédiatement se penche et me plante un gros bisou mouillé sur mes lèvres en saisissant un des mes seins à travers le chandail léger que je porte. Je suis vraiment heureuse que nous puissions enfin être seuls, même s’il y a d’autres personnes pas loin. Je laisse courir ma main dans son entre jambe pour m’assurer de l’état de sa bite. C’est énorme et bonne fille, je libère le monstre.- muuummmmm…regarde moi ce gros morceau de viande… Huuummm… c’est tout pour moi çà… c’est tout pour ta mère ?Il sait que j’aime sa bite, et je sais qu’il aime quand je lui parle de cette façon.- Maman, cette queue est toute à toi. Mon Dieu, j’aimerais te baiser dès maintenant !Sa main passe sous mon pull et découvre que j’ai un chemisier. Immédiatement, je sens qu’il essaye de tirer mon pull pour tenter de l’enlever.- Hé ! Pas si vite ! Tu ne pense pas que je suis juste une salope à bas prix. Je dis ça mais je lui caresse sa bite dure et de temps en temps je parcours toute sa longueur de avec ma langue tendue. Il me regarde et simplement dit :- Peut-être pas à bas prix car, sur le marché des salopes tu vaudrais très cher, mais je pense que tu es la plus grande des salopes !Il n’a aucune idée combien çà m’allume. Ma chatte envoie du courant électrique dans mon corps et je glisse ma langue dans sa bouche. Je le caresse et lui laisse tirer mon pull au-dessus de ma tête. Il le jette derrière nous et regarde mes seins exposés car en tirant mon pull mon chemisier est passé bien au-dessus de mes seins. Je n’aime pas car nous ne sommes quand même pas très loin du bar ou des hommes sirotent un verre, je me dis qu’ils ne peuvent pas me voir et que je peux tirer sur mon chemisier pour couvrir mes seins à tout moment, mais je ne suis pas sûre que je le veuille !- Maman…regarde tes seins…ils sont tellement énormes… ils sont tellement sexy… comme çà…exposés, il regarde autour comme s’il se rend compte que nous sommes dans un lieu public pour la première fois.Voyant que personne n’est aux alentour, il se penche et commence à sucer mes mamelons. Je jouis presque à la seule pensée que quelqu’un pourrait nous surprendre et ma chatte coule de plus belle. Toutes mes frustrations et mon énergie sexuelle stocké en moi commence à se relâcher quand je laisse mon fils me traiter de cette façon.Une de ses mains écarte mes cuisses et voila de nouveau ma jupe qui remonte et dévoile ma chatte très mouillée.Oh mon Dieu… ma chatte … et mes lèvres de chatte visibles ! Je ne peux pas me retenir de gémir “Uhhhhmmmm… Aaaahhhhh… oh” c’était un orgasme qui éclate à travers moi. Comme si des vagues de lave en fusion traversaient mes veines, je me penche et me retient à la table car mes jambes sont si faible. Je sens les mains de quelqu’un sur mes cuisses. C’est mon fils qui soulève complètement ma jupe à ma taille et qui renifle mes fesses.- maman, hum, tu sens bon… si tu t’asseyais en face moi pour que je te bouffe ta belle chatte bien arrosée de ce jus que j’adore…Dit-il en tapotant sur le bord de la table en face de lui.Complètement déconnectée du monde et le corps en transe je m’assoie sur le bord et les pieds sur la banquette, j’écarte mes cuisses pour lui donner accès à ma chatte.Je regarde mon fils qui fixe ma chatte et il est chaud et heureux de voir que je lui obéis malgré les hommes au coin du bar qui pourrait se douter de ce que nous faisons et me prendre pour une salope. Il est comme moi, çà l’excite !- OOOoohhh bébé… je suis tombée si bas… ta maman est une salope… et t’aime çà…t’aime comme moi, t’exposer ainsi dans ce bar ?- Oui, maman… c’est le pied ! Dieu que j’aime quand tu deviens une salope.il tend ses mains pour écarter mes genoux au maximum et ma chatte sous mon excitation et ce mouvement s’ouvre toute seule.- Oh bébé… mon fils pervers… tu vas manger ma chatte ? Tu vas laver ta mère avec ta langue…Je ronronne et je m’incline en arrière sur mes coudes.Il soulève mes jambes et les passe sur ses épaules. Dans cette position, je suis totalement ouverte et exposée. Il introduit lentement son visage entre mes cuisses et sa langue commence par lécher ma fente de haut en bas poussant mon désir sexuel a son paroxysme. Je ferme les yeux et laisse tomber ma tête en arrière pour gémir et respirer fort. Il le fait encore une fois et encore et encore. Mon jus s’écoule hors de moi, ruisselant sur mon trou du cul jusqu’à la table en dessous. Je me redresse pour regarder et il plonge sa langue tendue mon trou ouvert.- Oooh bébé… Regarde ce que tu me fais… regarde ce que tu fais à ta maman… en public… tu fais de moi une belle salope.- Maman, ta chatte de putain est tellement délicieuse… je ne m’en rassasie pas.Il att**** mes chevilles, plie mes genoux, les pousses vers mes seins et écarte bien mes cuisses. Je sais bien ce qu’il veut ! Il veut voir mon trou du cul !Je ne le quitte pas des yeux car mon phantasme secret allait se réaliser. Combien de fois j’ai fantasmé d’avoir mon trou du cul léché, d’avoir donné accès à mon cul à un étranger, de m’accrocher à lui en le suppliant, impuissante, d’arrêter. Mon fils va réaliser cela pour moi ? Je vois sa langue glisser sur ma chatte et toucher légèrement mon trou du cul. Oh Dieu quelle sensation… il commence à poussé le bout de sa langue en pointe dans le milieu de ma corole sombre… je vais exploser. Ca y est…elle pénètre dans mon cul et je gémis- Huuuummmm… oh mon… mon cul… bouffe mon cul Eric… manger le cul de ta mère… juste comme ça… c’est tellement dégueulasse… mais tu es un sale petit garçon… Aaaahhhhh, ma chatte est en feu et mon cul brule…Et je gémis fort. Heureusement pour nous, la musique est très forte et elle noie mes cris de passion.Eric c’est déplacé vers le bas, presque sous mes fesses et il entre et sort sa langue de mon trou du cul en toute simplicité. Je ne peux croire que cela m’arrive, je me redresse un peu pour obtenir une meilleure vue.- OOOOHHHH, le salaud !Mon fils a sa bouche grande ouverte avec sa langue enterré profondément à l’intérieur de mon trou du cul pendant que mon jus de chatte s’écoule sur sa langue et dans sa bouche. Je vois vraiment un filet de cyprine clair qui s’écoule sur la langue de mon fils qui baise mon cul. S’en est trop. Je jouis et je pousse mon cul pour m’empaler le plus loin possible sur sa langue tendue.- AAAAHHHHhhhhh… ouiiiii… OOoohhhhh Mon corps tremble mais pendant toute ma jouissance je garde mes yeux sur mon fils qui ouvre la bouche pour avaler mon jus. Je vois des étoiles devant mes yeux, ma vision obscurcie, mais je garde mes jambes ouvertes et ma chatte visible à mon fils.Ma jouissance est si intense, tellement plus durables. Je détourne ma tête je vois un homme debout derrière la table d’un billard, à l’angle du mur qui nous regarde, il regarde ma chatte nue et la langue de mon fils qui baise mon cul. Nos yeux se sont rencontrés, et j’ai frémi sous un autre orgasme. Il n’était pas censé être là. Je ferme mes yeux, mais rien quand pensant qu’un inconnu me regarde faire çà avec mon fils, un autre orgasme embrase mon corps.Je me sens toujours la langue d’Eric profondément à l’intérieur de mon cul. Je l’angle du mur et je vois que l’étranger est toujours là, qui nous regarde… me regarde. Mes jambes pivotent légèrement, pour lui laisser la possibilité … de jeter un œil sur moi. Je me dis que je ne dois pas faire çà… mais en ce moment je suis une salope alors…Je regardé mon fils, il a retiré sa langue de mon cul et il suce les lèvres de ma chatte, les aspire à l’intérieur de sa bouche, les tords… les suces, la langue virevoltante. Dieu, je suis dans une telle extase…Je ne veux pas que çà s’arrête…Je ne pourrais pas arrêter même si je voulais…Je laisse cet étranger regarder ce que me fait mon fils. Eric délaisse ma chatte pour s’occuper de mes seins.- Maman…J’ai envie de te baiser maintenant…Je vais baiser ta chatte si chaude…- OH Oui… fait le… baise-moi bébé, maintenant… je te veux en moi, pilonne ma chatte, elle veut ta grosse queue.Je regarde vers le voyeur qui me sourit clairement, appréciant le spectacle que je lui offre. Je le regarde de vas en haut. Il est beau, de mon âge (38), cheveux brun, de beaux yeux. Regardant son entrejambe, je vois un renflement évident dans son pantalon. Oui, il apprécie le spectacle.Mon fils a mis sa queue à l’entrée de ma chatte et il pousse sa queue à mi-chemin. Je suis tellement trempée qu’il n’a aucune difficulté à foutre sa grosse bite dans ma chatte. Je pense même que je pourrais prendre deux bites à l’intérieur de moi. Deux bites… je regarde mon voyeur de nouveau. Il était là, un peu plus près regardant mon fils qui me baise.Oh Dieu que j’adore. Mon fils me baise comme une salope et un étranger nous regarde. Je me sens comme une actrice de porno… comme si j’avais un public… comme si je tournais un film… un porno avec des caméras autour. Oh Dieu ! Voila un autre fantasme qui pointe son nez dans ma tête en feu.Je ne comprends pas pourquoi je suis aussi cochonne. Je me demande si d’autres mères ont des fantasmes comme les miens.- Oh oui maman… tu es une salope parfaite… mais Dieu me pardonne… je t’aime comme çà!La grosse bite de mon fils qui va et viens sauvagement dans ma chatte me fait jouir à nouveau. Il gémit de plus en plus fort aussi et augmente la vitesse avec laquelle il me baise, prêt à répandre sa charge au fond de mon vagin de putain de son fils. Mais la putain que je suis devenue en cet instant à une idée.- Attend bébé, ne jouis pas tout de suite, pas dans ma chatte! Je veux boire ton sperme… J’ai besoin d’y goûter…- Putain, t’es une belle salope comme devrait être toutes les mères!- Oui, mon chéri tu as de la chance et j’aime déguster ta bite à tout momentIl ne sait pas qu’il y a quelqu’un qui nous regarde, il ne sait pas que je tourne un film dans ma tête… pour quelqu’un d’autre. Je ne veux pas lui dire…Je ne sais pas comment il réagirait. Il était près de moi, haletant et gémissant la bite droite comme un piquet. Tout à coup il saute sur moi à cheval sur ma tête.- Et bien, vas-y maman ! Suce jusqu’à ce que je t’envoie mon foutre dans la bouche !Comment lui refuser cela ? J’att**** sa queue humide et je la suce avidement, léchant d’abord mon jus de chatte tout en caressant la base de sa bite d’une main. Je regarde entre les jambes de mon fils pour m’assurer que l’étranger a une bonne vue. Il l’a…donc je continue… à traire mon bébé.Avec mes lèvres autour de son gland et ma langue qui caresse son filet il n’a pas tenu longtemps, il explose envoyant dans ma gorge… Un… deux… trois jets. Je manque d’étouffer tellement c’est important et épais mais j’avale ce sperme chaud… le sperme de mon fils.- Oh ouiiiii… Oui… tiens prends çà dans ta belle petite gueule de salope…Ma belle salope… Ma salope de maman, Avale !J’entends sa voix au loin…et viens de faire jouir mon garçon devant cet inconnu qui a bien vu que moi aussi j’ai jouis en avalant son sperme. Je sais parfaitement que ces pensées que j’ai eues ont provoquées mon orgasme mais je ne peux m’empêcher de penser que c’est parfaitement immoral. Je suis devenu une salope… la salope de mes fantasmes et de ce fait je me dis que ce n’est pas si mauvais que çà, tout le contraire…J’ai adoré. J’aime que mon fils me baise, j’adore sucer sa grosse bite… et j’aime m’exposer à des étrangers. Non seulement je suis une maman salope mais aussi une maman exhibitionniste !Eric retire sa queue ramollie de ma bouche et saute hors de la table, mais reste entre mes jambes ouvertes. Il se penche et m’embrasse sur les lèvres. Nos langues se cherchent et j’embrasse passionnément mon fils. Quand enfin il s’assoit sur le banc en face de moi, je cherche mon inconnu, mais il n’est plus là. Bon, comme çà je n’ai rien à expliquer à mon fils. – Whaou ! Mon bébé, c’est merveilleux… tu sais exactement ce qui me plait ! T’es un amour et je suis prête à recommencer cette expérience.- Maman, je t’aime tellement…J’attendais çà avec impatience… c’était long… et je n’en reviens pas que nous l’avons fait dans un bar où tout le monde pouvait nous voir.- Je sais mais…Je n’ai pas été inquiète… et … çà m’aurait peut-être plu que quelqu’un regarde… pensais-je tout haut me rappelant l’homme qui nous à vus.- Maman ! Tu permettrais que n’importe qui nous voit faire l’amour de cette façon ? Il me dit çà comme un gosse sur le point d’obtenir une friandise.- Oh oui mon bébé… tu ne te rends pas compte…combien je t’aime…et… tout ce que je pourrais faire pour toi… n’importe quoi… tu n’as qu’à demander.Mon Dieu…qu’est ce que je viens de dire! Çà pourrait me conduire vers d’énorme ennuis… mais j’ai aimé lui dire que je veux être sa salope prête à tout pour satisfaire ses phantasmes.- C’est bien vrai, maman…je m’en souviendrais et tu devras tenir ta promesse… pour n’importe quoi ?- Juré ! Et je l’embrasse sur les lèvres.- Mais il se fait tard, et nous devrions y aller.Je tends la main pour ré-enfiler mon pull mais mon fils me retient la main.- Maman, pourrais-tu sortir comme çà sans rien de plus… et sans remettre tes vêtements en place…Dieu… mon fils est un vrai pervers…Je regarde mon fils pour lui dire non, mais le mot ne sort pas de ma bouche car je viens juste de lui déclarer que je ferais n’importe quoi ? Oh Dieu, mon top est au dessus de mes seins et ma jupe roulée à ma taille. Si je sort dans cet état tout le monde verra mes gros seins et surtout ma chatte rasée et mon cul ! Je regarde mon fils qui me jauge…essayant de voir jusqu’où j’irais.OK… aucun problème… je rassemble mon courage et je me lève.- Tu viens mon cœur, on y va…Arrivé au début du bar c’est ma dernière chance de tirer ma jupe vers le bas et… je ne le fait pas… je sors suivi de mon fils… et je bats surement toutes les salopes du quartier. J’ai tout de suite vu les regards des hommes me regardant, choqués de surprise mais enchantés de me voir comme ça. J’entends les sifflets et les commentaires… Commentaires grivois et impolis que n’importe quel autre jour me ferait grincer des dents et foutre une baffe à la personne qu’il le dit. Mais aujourd’hui… j’aime çà…et encore plus… avec les… plus les commentaires sont salaces plus ma démarche est sexy. Au moment où nous arrivons à la porte, je me démène pour remettre ma jupe sur mes fesses et je descends mon chemisier pour couvrir mes seins.C’est alors que tout le bar éclate en sifflets et applaudissements. Je tire Eric vers moi ;- Eric, maintenant il faut faire vite !Eric se retourne et voit 4 hommes se détacher du bar pour venir vers nous.Nous courons vers la voiture et il démarre très vite.Les jours suivant je remarque qu’Eric très intéressé par la photographie, le sujet entrant sans cesse dans nos conversations en famille. Parfois il débat sur ce sujet avec mon mari, pour lui demander des conseils et même en lui montrant certains de ses travaux ce qui me rend vraiment nerveuse. Je sais qu’il ne montrerait jamais à son papa les photos il a réussi à prendre de moi, mais juste l’idée que les images sont dans son appareil me rende folle. Je dois admettre que certaines de ses photos sont vraiment bonnes. Il a pris des photos de tout, arbres, bâtiments, animaux et autres personnes.Ce qui me rend folle d’inquiétude c’est qu’il montre un jour, par bravade une seule de ses photos. Il m’a dit qu’il en a montré à une Agence de casting, mais quelles photos ? Celles de moi en mini bikini ? Même avec ça, le bikini que je portais était tellement minuscule… tellement révélateur.Chaque fois que je pense à çà, mon cœur commence à battre plus vite, mon corps s’échauffe. Chapitre 4 : Maman goûte à une jeune chatte.Un jour que nous sommes sortis faire du shopping, juste moi et mon fils qui voulait des nouveaux vêtements et moi une nouvelle paire de talons. C’était une journée ensoleillée, presque chaude ; le soleil qui tape dur me faisait transpirer dans ma robe de soleil courte, blanche. C’était un de ces jours, ou je ne portais pas de soutien-gorge, je voulais que la brise légère rafraîchisse mon corps moite, et je voulais me sentir libre et détendue. Tellement libre que j’en oublie de mettre un slip !Mon fils est assis à côté de moi dans la voiture, à la recherche de la bonne position et je remarque le petit appareil photo dans sa poche. La photo est vraiment son dada !Je garde mes yeux sur la route, mais je peux sentir son regard posé sur mes seins. Je souri à la pensée de mon fils mâtant les seins de sa maman. -Que vas-tu acheter, maman,- Je cherche une nouvelle paire de talons hauts, pour aller avec ma mini robe noire. Tu vois laquelle…Je l’entends haleter quand il me visualise lentement dans cette robe, talons hauts. La robe est très serrée, épouse chaque courbe de mon corps. Quand mon mari l’a acheté pour moi, je l’ai essayé sur moi, une seule fois, devant tout le monde. Et me voyant dans le miroir, montrant la presque totalité de mes jambes et une grande partie de mes seins, je l’ai immédiatement rangée dans le placard me promettant de jamais la porter. Et…moi, je me vois, dans cette mini robe noire, avec des talons hauts. Elle ferait de moi une belle salope, ce que je suis maintenant pour mon fils.Il trouve soudainement qu’il fait chaud dans la voiture et appui sur la cde de clim.- Maman, tu es magnifique, Et négligemment il met sa main sur ma cuisse exposée.- Eric, ne t’emballe pas ! Je conduis !Mais j’ai apprécié son touché.Il remonte légèrement sa main sous ma robe pour toucher mon pubis avec ses doigts, mais je réagi en saisissant son bras pour qu’il ne va trop loin.- Chéri… que pensais-tu faire faire avec cette main ? – Laisses-toi aller, maman et tu vas le découvrir… je pense savoir ce que tu as envie… t’es chaude et tu veux être un peu salope… et je vois que tu as oublié de mettre ta petite culotte…Je lui donne un coup d’œil. Suis-je vraiment une salope ? La salope de mon fils ? Vais-je le laisser faire ? Dois-je laisser mon fils toucher ma chatte… ici dans la voiture ?Un virage arrive et je dois reprendre ma main pour l’aborder. Il en profite pour immédiatement glisser plus bas entre mes jambes en touchant mon clitoris. Oh Dieu… ma chatte est déjà humide. C’est fou ce que je peux mouiller rapidement sous l’influence d’une excitation sexuelle. Comme je dois me concentrer ma conduite, je laisse mon fils faire ce qu’il veut de moi. Il frotte mon clito et descend son doigt dans mon trou dégoulinant.-Oh oui… tu es tellement humide maman… si chaude…- Peut-être mais tu ne devrais pas faire ça à ta mère quand je suis au volant !Mais qu’elle sensation de sentir ses doigts s’enfoncer lentement à l’intérieur de moi.C’est si bon que j’écarte mes cuisses autant que le permet ma conduite de la voiture. Je regarde aussi si les voitures qui roulent à coté ne peuvent rien voir.- Maman… tu sens ta chatte… j’ai bien l’impression qu’elle aime ce que je lui fais!Tu parles que je le sens ! Elle coule de plus belle !- Oooh, ouiiiii… mais Eric, s’il te plaît… Aaarr…rette… Je conduis.Il insère ses doigts le plus loin possible et moi je glisse mes fesses en avant pour lui facilité la tache. Je conduis mais je ne sais plus ou je vais car il commence à baiser ma chatte güvenilir bahis şirketleri de ses doigts, lentement, tendrement, les faisant aller et venir.- Eric… Eric ! Oh mon dieu…Oh…Ooooooh…- Oui, maman…c’est bon hein ? T’es chaude…Et il frotte mon clitoris avec son pouce tout en me branlant de ses doigts.- Tu veux que j’arrête… ou tu veux être ma salope ?Je le regarde, mes lèvres sèches, ma bouche ouverte. Il ne m’appelle plus maman. Que puis-je lui dire. Je l’ai laissé faire… ça, à sa maman…NON…à sa salope !- Oooh putain de salaud de fils ! Oui… baise ma chatte… ouiiiii encore ! Plus loin…mets tout tes doigts… AAaahhhh… ouiiiii… comme ça !Je suis prête à jouir sur les doigts de mon fils.- Maman ! Ce n’est plus une chatte ! C’est une fontaine ! Qu’est ce que tu mouilles ! Tu veux gouter ?Je suis figée mais ma chatte adore se faire malmenée par les doigts de mon rejeton pervers.Dieu que je l’aime. Il à le don pour me faire jouir en quelques minutes. Et la pensée de lécher mon jus de chatte sur les doigts de mon fils… ici dans la voiture… tandis que je conduis…me rend folle.- Oooh, oui, maman, je crois que tu en as envie !Il retiré ses doigts de mon trou détrempé et les porte jusqu’à mon visage.- Allez, maman lèche ! Goûte ta chatte et ton jus de petite salope… Vas-y…- Eric, non!Trop tard, il a mis ses doigts dégoulinant sur mes lèvres. Dieu, ce goût… cette odeur…Je ne peux l’arrêter, j’ouvre ma bouche légèrement et immédiatement ses doigts plongent à l’intérieur. Je les enveloppe de mes lèvres et je fais tournoyer ma langue, je suce et j’aspire le jus humide….- Oui, c’est çà… suce maman, ouiiiii… Attends je vais t’en donner un peu plus.Il sort ses doigts et les amène vers ma chatte, et les poussant profondément à l’intérieur de moi une nouvelle fois, il me baise avec eux. J’ai un réel besoin de me concentrer sur la conduite, pour ne pas éveiller de quelconques soupçons aux conducteurs des voitures à coté de la mienne.Encore une fois, il sort ses doigts et les porte à ma bouche, cette fois j’ouvre facilement ma bouche pour prendre les doigts de mon fils, en savourant leur goût… le goût de ma propre chatte.- Oui… Belle salope… suce ce nectar de jus de femme… imagine que tu lèche une autre femme.- Salaud… OOOhhhh, Ouiiiii c’est boooonnnn.C’est fou! J’aime ce qu’il me dit. J’aime cette dégustation imprévue. Et il recommence une nouvelle fois et me permet de les goûter encore et encore.Maintenant je ne lui cache plus que j’aime et je gémis de plaisir en les suçant.- Oh oui…Ouiiiii…J’aime…J’aime le goût de ma chatte…Oh Eric…donne m’en encore plus!Il le fait car ma chatte en fabrique continuellement et de plus en plus. Je lèche ses doigts comme une salope droguée par un fluide sexuelle. Mais c’est mon fluide, mon jus, et je suis prête à faire n’importe quoi.- Maman… je suis sûr quand ce moment, tu aimerais lécher la chatte d’une autre femme… Hein, maman…dis-moi la vérité.- Oui…Oh oui fils…Oh par l’enfer ! J’aimerais bien avoir une chatte inconnue sous la langue ! Putain ouiiiii ! Une belle chatte bien ouverte et bien chaude…Je glisse ma main entre mes jambes et je frotte ma chatte ouverte, j’enfonce mes doigts dans ce trou humide, je me baise… là, à coté de mon fils qui n’en perd pas une miette et qui prend même des photos quand je retire mes doigts pou les porter a ma bouche et les sucer comme une bonne salope que je suis.J’essaye d’arrêter, mais je ne peux pas, ma chatte est si chaude… tellement humide… tellement délicieuse. Clic, clic, clic et je continue presque jusqu’au moment de mon orgasme.- Maman, c’est là ! A droite !Je négocie tant bien que mal le virage dans un crissement de pneus et je me gare tout au bout du parking.J’arrête le moteur et j’amène mes deux pieds sur le tableau de bord et rapidement, les cuisses ouvertes, j’insère trois doigts dans ma chatte dégoulinant et je me branle fiévreusement car je sens mon orgasme arriver.- Oh que c’est bon…oh oui… oh mon Dieu… AAAAAhHHHH… AAaahhhh…- Maman, arrête vite, quelqu’un vient !- Oooh, NON… je viens…..- Maman, arrête ! Ils vont te voir.Je sens sa main sur mon genou, je regarde dans le rétro pour voir un couple approcher. Oh non…Pas maintenant… Péniblement, je ramène mes jambes et me remet en place, juste à temps, pour ne pas d’être vue. Je reste assise, encore chaude et frustrée de mon orgasme. Je suis en sueur et ma robe s’accroche à moi comme une deuxième peau. Le couple étant passé je mets mes doigts à la bouche et je les nettoie.- Viens maman je connais un magasin de chaussures qui a sûrement les talons hauts que tu cherche.Il descend de voiture mais je suis trop sonnée pour le suivre. Je me remets de ma frustration et je suis mon fils. Je sens que j’ai l’entre-jambe trempé. Par l’ouverture du décolleté de ma robe à peine retenus par trois boutons je vois le bord de mes aréoles sombres quand je marche. Je me sens tellement coquine… si audacieuse… surtout après cette branlette en voiture que je déboutonne un autre bouton de ma robe l’ouvrir plus. Je baisse les yeux et maintenant mes auréoles sont visibles en permanence et mes tétons apparaissent ou disparaissent suivant mes mouvementsJe passe ma main entre mes cuisses jusqu’à ma chatte. Mon dieu je suis encore trempée ! Je m’essuie avec mes mains et rabat ma robe.Maintenant j’en ai plein les mains et pas de lavabos à proximité. Qu’à cela ne tienne, je les porte à ma bouche et je nettoie consciencieusement tout mes doigts et ma main pour une nouvelle dégustation de chatte.Je rejoins mon fils dans la boutique qui me regarde arriver la bouche ouverte, ses yeux écarquillés, sans doute surpris de l’état de ma robe. – Bonjour, puis-je vous aider? Dit une voix féminine.Je rassemble mon courage et me retourne. Je peu à peine respirer. Je vois une jeune fille, probablement de l’âge de ma fille ou à peine plus de dix-huit ans, debout qui nous regarde. Elle porte une robe de style uniforme simple, boutonnée sur le devant, exhibant ses belles longues jambes. Ses cheveux bouclés, longs, foncés, couvrent ses épaules, et sa peau bronzée naturellement me fait penser qu’elle est d’origine espagnol. Et ses yeux… Dieu ces yeux légèrement en amandes, foncés et brillants me regardent.Je me sens gênée…gênée de me pencher sur cette jeune fille de cette façon… avec ma robe qui colle à mon corps et encore sous le coup de mon excitation récente. Je sens une chaleur me monter au visage qui sans aucun doute, doit devenir tout rouge. Elle me regarde, fixe mes seins et probablement voit mes mamelons et je me demande bien à quoi elle pense.- Bonjour mademoiselle, ma mère cherche une paire de talons hauts pour aller avec une de ses robes.- Votre maman?! répète-elle, surpriseEric… Pourquoi as-tu dis cela ! Je panique… mon cœur bat. Elle va sûrement deviner… Voilà, maintenant je suis mise à nue… maintenant mes désirs, mes fantasmes secrets vont me détruire. Eric semble ignorer mes états d’âme.- Oui… Ma mère a besoin d’une nouvelle paire de talons hauts, pour les mettre avec sa mini robe noire, dit-il fermement.La jeune fille le regarde, puis ses yeux se reportent sur moi… sur mes seins… sur mes jambes… retournent sur Eric et un petit froncement de sourcils apparait sur son front. Je déplace lentement ma main vers le bord de ma robe et instinctivement je couvre mes mamelons. Je ne peux lui laisser croire… je ne veux pas laisser cette jeune fille s’impliquer dans mon escapade sexuelle. Elle est belle, innocente, jeune, et pourrait être ma fille.- Bien sûr, allez vous assoir là-bas à droite et je vais vous montrer certains de mes modèles.Elle nous montre la rangée de sièges face à la vitrine.- Parfait dit Eric, talons très haut et de couleur noire.Elle tourne sa tête vers moi avec un léger sourire.- Et bien… votre fils à l’air de bien connaître vos goûts vestimentaires.Elle part dans la réserve et immédiatement je remet en place ma robe et reboutonne le haut pour cacher mes seins.Ne me sentant pas à l’aise devant cette jeune fille qui, malgré moi m’attire comme un aimant, le dis à Eric ;- Eric, elle se doute de quelque chose… on ferait mieux de partir avant cela ne devienne incontrôlable. J’ai un peu peur de ce qui pourrait arriver, mais surtout, je ne me fais pas confiance quand je suis dans cet état d’excitation. Que se passera-t-il si je vais trop loin avec cette belle jeune fille, face de mon fils!!! Je ne pourrais jamais me le pardonner. Au fond de moi je sais que je voudrais essayer de faire l’amour avec une autre femme, comme mon fils me l’a dit tout à l’heure, mais c’est une toute jeune fille, comme la mienne et mon fils est là.-Maman, nous sommes venus ici pour acheter des chaussures, nous allons donc tout simplement acheter des chaussures. Détend toi, ça va bien se passer. OK…La jeune revient avec des chaussures et elle se met à genoux devant moi.- J’espère avoir prit la bonne tailleJe la regarde quand elle att**** mon pied, sa main délicate s’enroule autour de ma cheville, l’autre retire ma chaussure et elle pose doucement mon pied sur ses cuisses, assise, avec ses jambes recroquevillées sous ses fesses. Rien que de sentir sa cuisse sous mon pied j’ai des frissons qui balayent ma colonne vertébrale. Je me dis que tout va bien, qu’elle ne fait que son travail. La jeune fille lève ses yeux vers moi et elle me sourit avec un sourire désarmant, si innocent.Mon pied glisse vers son entrejambe quand elle se penche pour att****r les hauts talons dans leur boite. Elle ratt**** et soulève mon pied vers le haut pour mettre la chaussure, et fais de mon mieux pour garder mes genoux serrés car je n’ai pas de culotte, et ma robe de soleil s’arrête bien au-dessus de mes genoux.Je suis ses mouvements, son regard et quand elle se penche son regard passe par mon visage, descend lentement sur mes seins, s’arrête un bref moment, comme plus bas dans mon entrejambe. À ce moment ses doux yeux sombres se plissent et sa respiration s’accélère. Le seul fait que cette jeune fille me regarde de cette façon, mon pouls bat plus vite. J’en oublie totalement mon fils, debout à côté de nous, seule cette jeune fille occupe mon esprit et ma vision.- Voila, qu’en pensez-vous ?Demande-t-elle en me regardant et en soulevant doucement mon pied pour que je puisse voir la chaussure. Ce mouvement sépare un peu mes genoux et j’ai tout de suite vu ses yeux fixer le haut de mon entrejambe. Elle essaye de voir un endroit, que moi, j’essaye de garder caché d’elle ? Ce n’est pas possible, pas une jeune fille aussi jeune et innocente ! Lentement, je resserre bien mes genoux ensemble et je me demande si je lui ai laissé le temps de voir ma chatte.- Euh…oui sympa, qu’en est-il de l’autre, vous pourriez mettre l’autre ?L’autre ! Qu’est ce qui ne va pas chez moi ? Pourquoi je ne prends pas ces chaussures et que je sorts de là ? Oh mon Dieu, c’est si difficile… difficile de contrôler mon coté salope. Elle sourit et repose mon pied sur le sol à côté d’elle, au dernier moment elle laisse sa main dans le pli de mon genou, avant d’att****r l’autre chaussure dans sa boite. Ce n’est certainement pas un contact accidentel ; Il y a quelque chose de sensuel dans son touché et dans ses mouvements.Pour att****r la chaussure elle s’approche encore plus de moi. Moi je regarde ses cuisses qui sont de plus en plus exposées par ses mouvements. J’essaye, comme elle, de voir le plus loin possible entre ses cuisses bronzées mais trop tard. Elle a déjà saisi mon autre pied pour le poser sur ses genoux. Dans cette position je ne peux plus garder mes genoux ensemble car i est plus haut que l’autre. Elle met la chaussure en soulevant mon pied et ses yeux s’attardent de nouveau dans mon entrejambe. Je ne fais rien pour l’empêcher et même si je voulais je ne pourrais pas. Ce n’est plus ma tête qui est aux commandes c’est mon corps !Elle est si proche de moi qu’elle va finir par voir ma chatte si j’écarte encore un peu plus mes cuisses. Ca dépasse l’entendement, de savoir que cette jeune fille est à deux doigts de voir ma chatte chaude et humide.Je suis assise là, incapable de bouger, mon genou monte encore un peu et ma robe aussi. Je regarde vers le bas pour voir mes jambes écartées et la jeune fille qui est à la recherche de quelque chose entre elles. Oh…non…dois-je lui permettre ? Elle soulève ma jambe encore plus et la pousse à côté d’elle. Elle est maintenant à genoux entre mes jambes avec mes genoux séparés et ses beaux yeux sombres ne quittent plus mon entrecuisse.- Très belles chaussures…et je fais un mouvement pour me lever pour voir comment je me sens.Elle sourit et lâche mon pied que je repose alors qu’elle est toujours entre mes jambes. Elle a att**** mes genoux pour se lever mais en appliquant une pression qui les écarte de chaque coté et que je ne peux contrôler. Mes jambes écartées, je vois très bien qu’elle fixe ma chatte rasée et humide. Mon cœur saute dans ma poitrine quand mon esprit enregistre ce que je lui montre. Je vois ses yeux s’agrandir et sa bouche s’entrouvre.Ses yeux rivés dans mon entrejambe, elle se redresse lentement, se penche en tenant toujours mes genoux et accentue sa pression sur eux. Je me tourne vers mon fils et je vois qu’il nous regarde. Je reviens vers la jeune fille pour la voir lécher ses lèvres sèches… mon Dieu ! Qu’est-elle entrain de penser… non, ce n’est pas possible… pas elle…pas devant mon fils.Je mets ma main sur la sienne, pour l’aider à se lever. Mais mon geste est doux, sensuel car je veux qu’elle se laisse aller et lui faire comprendre que ça ne me dérange pas qu’elle me regarde, mais que l’on doit arrêter… pour l’instant au moins. La jeune fille jette un dernier coup d’œil profond sur ma chatte et lâche prise. Lentement je me lève et me dirige vers le miroir à proximité pour admirer les chaussures. Dans mon esprit, je veux que cette fille soit près de moi. – Les chaussures son jolies et je me sens bien dedans. Par contre, je pense… que cette robe n’est pas vraiment ce que je vais porter avec.La jeune fille mord à l’appât. Elle s’approche de moi prêt à m’aider.- Quelle robe porterez vous avec ? c’est la même coupe ?- Non pas vraiment, c’est un peu plus révélateur de mes jambes et tres près du corps.La jeune fille se positionne juste derrière moi et parce qu’elle est de la même hauteur que moi, elle est en mesure de regarder par-dessus mon épaule pour voir mon reflet dans le miroir.- Est-elle à bretelles ou simplement en bustier ?- Oh, bustier et très décolleté !J’ai sens ses mains sur mes épaules et regardant dans le miroir, elle att**** les deux bretelles de ma robe qu’elle glisse lentement sur mes épaules. Ensuite, appuyée contre mon dos, et pressant ses seins fermes contre moi, elle déboutonne mon bouton du haut. Oh, la coquine ! Je suis déshabillé par cette jeune fille dans un magasin de chaussures. Je vois aussi mon fils, dans le miroir, qui nous regarde. Bon, je vais juste le taquiner un peu et j’arrête quand je veux. En espérant qu’il ne me fera pas la gueule.- Comme ça… demande-t-elle, de sa voix douce.- Non… avec 2 boutons de moins peut-être…Les mots ne sont pas sitôt sortis de ma bouche que je réalise qu’avec deux boutons en moins mes seins vont être complètements visibles mais, trop tard. Ses petites mains sont déjà en action et ses doigts entrent en contact avec mes mamelons, pour faire sauter les boutons, ce qui rend mes tétons immédiatement durs sous ma robe ouverte très largement sur ma poitrine.Houlala… je respire plus difficilement. Mes Aréoles sont à peine couvertes et au milieu, le fond est maintenant exposé. La jeune fille à droite et très de mon cou halète. Elle regarde mes seins ainsi exposés dans le miroir.- Et là… je suis plus près de la coupe de votre robe noire ? Me murmure-t-elle dans l’oreille.- Huuummm, non. J’ai l’impression qu’elle est plus courte…Murmurai-je légèrement appuyée contre elle.Elle approche ses mains sur les bords de ma robe, une sur chacune de mes hanches qu’elle touche de ses paumes ouvertes. Elle att**** ma robe et la lève de 5 cm environ exposant plus mes cuisses.- Comme çà ?Je sens que je deviens chaude et cette chaleur sexuelle incontrôlable commence à s’accumuler à l’intérieur de mon corps, mais je n’arrête rien. Je ne peux pas regarder dans la direction de mon fils, mais je sais qu’il est là, à me regarder.- Huuummm… non, plus courte…je crois… et j’oublie toute question sur la morale.Je la vois soulever ma robe encore plus, lentement pour s’arrêter au bord… au bord de ma chatte, un peu plus je la voyais dans le miroir. – stop ! Là… là… c’est la longueur, murmurai-je, à peine capable de me contrôler.Sa respiration dans mon cou est lourde. Elle me regarde dans le miroir avec de la déception sur son visage.- Vous êtes sûre… que ce n’est pas plus court ?Mon Dieu, elle en veut plus… elle veut voir… ma chatte, mais je ne dois pas lui permettre… en aucune façon.- Non, je pense qu’elle s’arrête là…Mais sans aucune conviction.- Eh bien peut-être devrions-nous demander à votre fils, vous a-t-il vue dans cette robe ?Quoi !…Oh non, je sais déjà qu’elle va être la réponse d’Eric.- Alors, jeune homme… pensez-vous que la robe de votre mère s’arrête là, ou est-ce plus court que çà ?Eric, les yeux grands ouverts ne se cachait pas pour regarder mes cuisses découvertes et il a une grosse bosse dans son pantalon. Il me regarde dans le miroir, à moitié nue, les seins tres exposés et entre les mains habiles de cette jeune fille.- Il me semble que la robe de ma mère est plus courte que cela.Elle se tourne vers moi, regardant mes yeux dans le miroir.- Apparemment votre fils pense qu’elle est plus courte…Elle soulève ma robe, lentement, centimètre par centimètre… je la regarde et je la laisse faire. Lentement ma chatte est en vue, tout d’abord les lèvres, humides… mouillée, brillantes et légèrement écartées. Le bas de ma robe arrive à hauteur de mes hanches, et ma chatte, mon clitoris… tout est visible, proprement rasé, chaque détail visible. Je la regarde dans le miroir et ses yeux sont fixés sur mon minou. Elle lèche ses lèvres, me regarde. Après quelques secondes, ses yeux dans les miens ;- Effectivement… çà vous va beaucoup mieux comme ça…Elle s’appuie contre moi et une de ses mains déboutonne un autre bouton de ma robe et regardant le miroir je vois mes tétons bien durs apparaitre.Sous son emprise je ne fais rien, impuissante d’empêcher quoi que ce soit. La vue de ma chatte et de mes seins ainsi exposés me fait presque jouir. Je pense qu’elle sait parfaitement ce qui m’arrive et elle s’apprête à ôter le dernier bouton… mais, au dernier moment que se tourne vers Eric.- Pouvez-vous aller verrouiller la porte et baisser la lumière …Je vois mon fils lui obéir pour faire ce qu’elle demande. Cà tourne un peu dans ma tête et je me demande comment j’en suis arrivée là ! Est-ce sa façon de me toucher ? Me rappelle-t-elle ma fille ? Non…non, je n’aurais jamais laisser ma fille me faire ça !- S’il vous plaît, laissez-moi partir… Je ne peux pas faire ça devant mon fils, lui murmurai-je, assez bas pour qu’Eric ne m’entende pas.- Humm, moi je pense plutôt que vous avez envie de le faire… qu’il puisse voir comment sa mère peut se transformer en petite salope…Mon Dieu, comment peut-elle deviner ! Ce mot… elle vient de le dire. Ce mot qui fait sauter toutes mes inhibitions ! J’ai gémi dès qu’elle a prononcé “Salope” et elle a sourit et sciemment, fait sauter le dernier bouton !Ma robe tombe sur les côtés et elle la tire hors de moi dans un mouvement rapide, la jetant à Eric. Immédiatement, elle se presse dans mon dos et met ses mains sur mes hanches.- Oh Dieu… Noooonnnnn… s’il vous plaît ne faites pas çàMais elle ne m’écoute pas, ses mains courent le long de mon ventre à mes seins et s’en empare, écartant doucement ses doigts pour permettre à mes tétons de se faufiler entre eux.- Huuuummmm… Muuummm…Je gémis comme une mendiante et j’approche de mon orgasme, là, debout, sous l’emprise de cette jeune fille qui explore mon corps devant mon fils.Ses mains glissent vers le bas, le long de mon ventre, passent dans le pli de l’aine pour se poser sur ma chatte. Ses doigts touchent mon clitoris et je gémi en mettant mes mains en arrière sur ses hanches, essayant de mieux la sentir. Ses doigts courent entre mes lèvres trempées et le long de mon clito puis tournent autour sur un rythme rapide, pendant que d’autres doigts pénètrent dans mon ouverture glissante pour explorer les parois de mon vagin. Et je jouis !- AAAAAhHHHH… ohhhhhhhhh… ouiiiiiiiiii… oh mon Dieu… Ouiiiiiiiiii…Je cri sous son étreinte quand mon orgasme saisi mon corps, impuissante de la repousser. Elle continue de travailler ma chatte comme seule une femme peut le faire, elle sait déjà exactement quoi faire et quelles zones exciter pour prolonger mon plaisir. Je résiste en gémissant à ses vagues qui balaient mon corps et je la laisse faire ce qu’elle veut de moi. Elle lâche ma chatte et m’attrapant le bras, elle me tire vers la chaise profonde, dans le coin.- Je dois encore vérifier si tout vous convient parfaitement et m’assurer que êtes satisfaite de mon service.Je ne comprends pas… mes chaussures ? Je m’assoie et elle s’agenouille en face de moi et soulève mes deux pieds tout de suite, en les écartant pour se mettre entre mes jambes. Je suis assise inclinée en arrière, les cuisses ouvertes avec cette jeune fille au milieu.Ma chatte est si humide… si chaude… dégoulinante de jus et j’ai envie qu’elle me lèche… qu’elle mette sa langue sur ma chatte.Je regarde Eric, il a son appareil photos en main …Il me regarde…Il regarde ce qui va arriver… ce que sa mère va laisser se produire. Oh…non… il ne va quand même pas prendre des photos de moi avec une autre fille ! Une jeune fille !Je la regarde lâcher mes pieds et mettre ses mains à l’intérieur de mes cuisses en les poussant vers l’extérieur pour se pencher en avant et amener sa bouche sur ma chatte. Sa langue sort comme un petit serpent et passe le long des lèvres de ma chatte, juste au milieu, les séparant pour lécher mon jus qui coule entre elles. Qu’elle est douce cette langue de jeune fille, tellement humide et chaude qu’elle m’envoie des frissons incroyables vers le vers le haut de mon corps.- OOOoohhh, ouiiiii…manger-moi. Aller, je vous la donne, bouffez la bien… Ouiiiiiiiiii…Je ne sais plus ce que je dis et je n’en reviens pas encore qu’elle me suce la chatte comme je le désirais.Je regarde sa langue humide, effleurant mon clitoris qui se dresse entre les lèvres de ma chatte, sa bouche sucer mes petites lèvres à l’intérieur, tellement doucement que je peux à peine respirer. Tout à coup, un flash… je réalise que mon fils prend des photos. Il est tout près avec son appareil qui zoom sur la langue qui lape mon clito.- Eric ! Arrête tout de suite !Mais il ne m’écoute pas et il prend même des photos en rafales. Çà ne dérange pas la jeune fille qui continue de lécher et de sucer ma chatte avec délectation, set sa langue plonge dans mon trou humide pour me branler avecJ’ai très chaud, je ne vais pas tarder à jouir et j’oublie de mon fils prend des photos. C’est tellement jouissif et excitant.Elle pousse mes genoux près de ma poitrine et fait ressortir mon cul qui sort. Elle me dévore et fait courir sa langue de haut en bas sur toute la longueur de ma fente, suce mon clito quand elle arrive dessus. OOOoohhh, là, elle enfonce sa langue dans mon trou, profondément… aussi profondément qu’elle le peut, et elle me regarde. Son visage est rayonnant de perversité et elle me donne une petite claque sur mon cul. Oh Dieu… que c’est bon… j’aimerais même qu’elle le fasse au lieu de remettre sa langue. Comme si elle lisait dans mon esprit, elle claque mes fesses encore une fois et encore et encore tout en me baisant avec sa langue. Ma chatte est en chaleur, mes fesses me brulent et je sens que je ne peux tenir plus longtemps… Et je jouis !J’inonde sa bouche avec ma cyprine. Elle ne se retire pas, au contraire, elle plaque bien sa bouche sur ma vulve et suce comme si c’était ce qu’elle attendait. je ferme les yeux et je crie ma jouissance ;- AAAAAhHHHH…OOOIIIiiiiii ! OOohhhhhhhh, ouiiiii encore… encore… bois ma petite salope !De nouveau capable de respirer je la vois qui lèche doucement ma chatte et mon corps tremble encore sous les derniers spasmes de mon orgasme. En la regardant elle me donne envie de la prendre pour lui faire pareil et surtout de goutter à sa petite chatte d’adolescente perverse.Je ne me soucie plus de ce que mon fils va penser de moi, j’ai aimé la façon qu’elle a eue de me bouffer la chatte et j’ai envie de découvrir le goût de la sienne… d’une autre femme.Je me lève, la regarde et je lis une attente… de l’impatience dans ses beaux yeux.Je lui prends ses mains et la soulève pour coller ma bouche sur la sienne… Huuummm… le goût de ma chatte qui vient d’inonder sa bouche… je l’embrasse avec tout ce désir qui bouillonne dans mon corps, cette envie irraisonnée de gouter à une chatte autre que la mienne, une chatte de jeune fille… comme ma fille…Elle me rend mon baiser et sa glisse dans ma bouche et devant mon fils nous nous embrassons comme deux amantes qui se retrouvent. Je la pousse sur la chaise profonde ou j’étais précédemment et je déboutonne rapidement sa robe que je jette au loin. Je suis surprise de voir que cette jeune fille n’avait rien dessous, ni soutien-gorge ou culotte, elle est complètement nue. J’admire son corps mince, ses jeunes seins fermes, son ventre plat et sa chatte… chauve comme la mienne. Malgré qu’elle soit mince, elle a des hanches pleine aux courbes harmonieuse et des fesses bien rondes et je sens qu’elle doit être délicieuse à croquer.- Attends… Ohhh… attend, avant que je te laisse mon corps et que tu lui fasses ce que tu veux… Je veux te voir faire quelque chose, dit-elle.- N’importe quoi, ce que tu veux mais j’ai envie de toi… maintenant !Je suis perdue dans mon désir et je l’écoute à peine.- Je veux te voir sucer la bite de ton fils.Quoi ! Que vient-elle de dire ? Incapable de dire un mot, je la regarde qui me tient par les épaules avec un sourire quémandeur.- Je… je… ne peux… pas. Dis-je à voix basse.Elle voit ma confusion, ma réaction et elle s’assoie en ouvrant ses jambes. Sa chatte humide, me regarde, m’invite à aller de l’avant.- Tu en es sûre ? J’ai vraiment envie de voir ça, une mère qui suce la bite de son fils…Je pense que çà doit être très chaud !J’ai la tête en feu et je tombe à genoux devant ses jambes ouvertes. Je sens sa chatte qui me rend folle de désir pour cette fille. Elle sait que j’ai envie d’ elle.- Eric, approchez et sortez moi votre bite pour voir si votre mère peut changer d’avis.Je vois Eric se déplacer et s’approcher de moi, pour se mettre juste à côté et il commence à défaire sa braguette.- S’il vous plaît, je ne peux pas lui sucer… sa… pas en face de vous… c’est mon fils. Elle relève ses jambes et les écarte largement en descendant sa main et en laissant ses doigts fouiller sa chatte.- Suce-le ! Regarde comme elle est belle… et grosse ! Et je te donne ma chatte qui se languit de tes lèvres.Je n’en reviens pas qu’elle soit aussi garce à son âge. Elle commence à jouer avec son clitoris en mouvements circulaires. J’ai tellement envie de me pencher et de mettre ma langue que je ferais tout ce qu’elle pourrait me demander.Je tourne la tête pour regarder mon fils mais tout ce que je vois c’est sa grosse bite qui vient frapper ma joue. Oohh non… pas encore ! Avec un tant soit peu de volonté j’aurais pu résister mais rien qu’a voir la superbe queue de mon fils en face de moi, j’ouvre la bouche, prend la base de sa queue et je la guide dans ma bouche grande ouverte. Je ferme mes yeux quand j’enveloppe de mes lèvres son gros gland pour l’entendre gémir. Je commence à le sucer en appréciant le goût et la texture de la bite de mon fils que je commence à bien connaitre.- Eric vient là, assieds-toi à côté de moi et laisse ta mère te sucer ta bite. Sans dire un mot, Eric retire sa bite, s’assoie à côté d’elle. J’ai gardé ma main sur sa bite et dès qu’il est assit je recommencé à le sucer ou faire courir ma langue sur toute sa longue bite et le suce à nouveau. Mes yeux ne quittent pas la chatte de la fille et je vais bientôt la lécher, sucer son clitoris et la faire gémir, mais j’attends comme une soumise qu’elle me le demande.- Ooooooh que regardes-tu… Eric…qu’en penses-tu ? Devons nous laisser ta salope de mère me manger la chatte ?- Huuuummmm, Oooohhhh… attendez ! Attends que je jouisse et après je te la donne !- OOOoohhh, tu veux dire que tu vas lui envoyer ton sperme dans sa bouche, dit-elle en me regardant les yeux écarquillés.J’ai honte de ce que je suis sur le point de faire. Je suce la bite de mon fils ce qui est déjà un grand tabou et qui pourrait me causer un tas d’ennuis, mais boire son sperme ! Juste ici en face de cette fille étrange et perverse ? Peu m’importe combien je voudrais arrêter… peu importe combien j’ai envie de laisser sa bite et commencer à bouffer sa chatte, je ne peux pas arrêter ce que je fais. Avoir une bite dans ma bouche et ne pas la finir , je réalise que je ne peux pas le faire, surtout avec la merveilleuse bite de mon fils !- Et tu vas avaler n’est ce pas ? Oh, ouiiiii… je le lis dans tes yeux… tu vas avaler son sperme… je suis sûre que tu connais déjà son gout. Oh c’est chaud ! T’es vraiment une bonne maman salope, dit-elle en roucoulant et jouant avec sa chatte humide.C’est complètement fou ! En fait, ses paroles augmentent mon excitation et je suce de plus bel la bite d’Eric, avec plus de passion, d’énergie et je l’enfonce le plus profond possible dans ma bouche. La jeune fille bouge et je me rends compte qu’elle a pris l’appareil photos et qu’elle sur braque l’objectif sur la bite de mon fils qui maintenant me baise la bouche.J’essaie de dire non, mais pas facile avec un gourdin qui va et vient dans sa bouche !Je sens la main de la jeune fille glisser sur la mienne pour prendre avec moi la bite de mon fils, pour la frotter sur le dessus de sa chatte humide. Elle mouille presque autant que moi et je sens bien son odeur. J’ouvre ma bouche et reprend la bite de mon fils.Je la suce fiévreusement, avec passion, l’enfonçant profondément et frottant sa chatte en même temps. J’entends les Clic-clac de l’appareil photos mais je ne m’en soucis guère. Je veux juste faire jouir mon fils pour pouvoir brouter cette douce jeune fille.Il ne me faut pas longtemps, Eric ne peut plus se retenir et se raidissant en gémissant bruyamment, il m’envoie sa crème dans ma bouche. Je ferme les yeux et j’avale, jet après jet cette crème blanche qui frappe ma gorge et je fais de mon mieux pour suivre. Sa bite arrêtant de vibrer je lui donne quelques coups de langue et je regarde la jeune fille. Elle est assise les jambes écartées ses yeux me fixant:- Oooh, ouiiiii… j’ai quelque chose de délicieux pour toi.Je rampe entre ses jambes ouvertes.Comme hypnotisée par elle et sa chatte humide, je pose mes mains à l’intérieur de ses cuisses et j’approche mon nez pour inhaler son arôme. C’est différente de la mienne, mais néanmoins doux avec quelques de floral. Ma langue plonge entre ses lèvres pour recueillir son jus et toucher son clitoris. Pour la première fois dans ma vie je lèche une autre femme… je n’aurais jamais pensé que je ferais ça un jour mais je suis entrain de le faire.Je glisse ma langue dans son trou pour me nourrir de son jus qui coule. Je suis étonné de voir comment elle mouille à son âge et sa chatte est brulante. Je ferme les yeux et j’aspire les lèvres de sa chatte dans ma bouche, ma langue virevoltant autour. Elle gémie fortement, un gémissement d’extase sexuel qui m’encourage à en faire davantage.Je constate que j’aime posséder une femme, coller ma langue en elle en écartant bien ses jambes pour avoir un accès facile et bientôt la faire jouir sous ma bouche vorace.Tout mon corps est aussi parcouru de frissons d’extase et personne ne me touche.Je ne sais pas combien de temps je lui broute le minou, Quelques minutes… une demi-heure…Je ne sais pas. Je la sens se raidir brusquement et pousser plusieurs cris :- AAAAAhHHHH… AAaahhhh… oh oui… oh mon Dieu oui, je jouiiiisssss ! AAaahhhh… ouiiiii, encore… AAAAAHHHhhhh….J’ai ma bouche complètement collée sur sa chatte ouverte et ma langue la fouille et la baise pendant sa jouissance. Dans ses derniers cris je sens un flux de cyprine envahir ma bouche. Je bois tout ce qui coule et j’avale se nectar de jeune fille. Je vois dans un nuage qu’Eric a son appareil en main. Mon Dieu, il doit avoir l’appareil photo en mode film ! Je suis enregistré… comme j’aime… comme une star de porno ! J’en gémis de plaisir me surprenant moi-même, car après tout, un film peut être encore plus dangereux qu’une photo.Enfin, la jeune fille se détend et récupère en me gardant entre ses jambes écartées. Je me lève lentement et je la regarde :- Alors, quel est votre nom ?La question semble l’étonner car elle hésite un instant.- Lilly… » Dit-elle doucement.Un prénom qui lui va à merveille, douce et jeune Lilly.- Moi c’est Kate, et je me retourne ver Eric.- Eric, nous devrions vraiment y aller. Rapidement, elle se lève, et debout en face de moi, att**** mes mains.- Je veux juste vous dire merci… merci pour ce que vous m’avez fait. C’était merveilleux et j’ai adoré chaque seconde.Elle semble si sincère que je sais immédiatement qu’elle dit la vérité. Je l’embrasse sur les lèvres avec toute la passion que j’ai ressentie pour cette fille.- Moi aussi j’ai adoré ce que vous avez fait pour moi… je vous remercie également.Eric est prêt et nous nous dirigeons vers la porte. Je me retourne vers elle avant de sortir pour l’entendre murmurer.- Vous redeviendrez… un jour ?Je me suis arrêté à la porte.- Je crains que non… nous prendrons juste cet instant d’égarement pour ce que c’est… une expérience merveilleuse et un souvenir inoubliable !Mais j’aurais voulu lui répondre ;” Oui, oui, je serai là quand vous voudrez et vous pourrez me faire tout ce que vous voulez.Mais je ne sais pourquoi je ne voulais pas qu’Eric sache le véritable fond de ma pensée et j’ai refoulé cette envie au fond de moi.PhantomeD’autres chapitre sont en cours et si ce roman vous plait je posterais la suite

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