MAITRESSE DE JEU

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MAITRESSE DE JEU- Dis moi Pascal… essayer avec un homme… ca ne t’as jamais traversé l’esprit ?Nous venons de finir de faire l’amour.Pascal fume une cigarette au lit, exceptionnellement. Moi, je me suis calée au creux de son épaule et joue négligemment avec les poils de son torse.- T’as de drôles de questions, toi !- Tu ne m’as pas répondu. Moi, j’ai eu une belle expérience avec Camille, mais toi, de ton coté, ca ne t’as jamais effleuré l’esprit de tenter un truc avec un mec ?- T’es folle !- Allez ! Avoue ! Pourquoi tu rougis ?- Mais non, Eliane, je ne rougis pas ! C’est toi, là ! Avec tes questions à la con !- Tu n’as toujours pas répondu ! Mais peut être as-tu déjà essayé ?Un silence lourd s’installe. Pascal écrase nerveusement son mégot dans le cendrier.Pour le taquiner, je tapote mon index sur son plexus.- T’as essayé ?- Oui, bon ! J’ai essayé ! Mais y a si longtemps ! J’étais ado ! Voilà ! Là ! T’es contente ?- Hihi ! Ne te fâche pas ! Ce n’est pas grave ! Hihi ! Tu me raconte ?- Certainement pas !- Alleeez ! Regarde, j’éteins la lumière, comme ca même si tu es gêné, je ne le verrais pas. Ok ?Il me sait têtue et que je ne lâcherais pas l’affaire, alors, il passe aux aveux.- Je venais d’avoir dix neufs ans. C’était les vacances. Avec des potes, nous avions invité des nanas qu’on avait dragué dans l’après midi. Nous avions organisé un pique nique de nuit sur une plage. On avait fait un grand feu et on s’est bien marrés. On a bien bu aussi, je dois le reconnaitre. Puis, plus les heures passaient et moins il y avait de monde. Les couples s’étaient formés et ils partaient s’isoler dans les dunes, pour baiser tranquille.Si bien que… vers deux heures du matin, je me suis retrouvé seul… avec un mec.- Hihi ! Cool ! Il était homo ? Hihi !- Arrête de rire ou je me tais ! Nous étions assis l’un près de l’autre, et là, il m’a posé la même question que toi. « T’as déjà essayé avec un mec ? » Je lui ai répondu que ce n’était pas mon truc et…Bon, bref…Au bout d’une heure il m’a convaincu et je l’ai laissé me sucer. Voilà ! T’es contente ? On peut dormir maintenant ?Je me blottis contre lui et l’enlace tendrement. Mais ma curiosité l’emporte, et au bout de cinq minutes…- Et… ca t’as plu ? Tu n’aurais pas envi de retenter un truc ?- Eliane ! Merde ! T’as pas bientôt fini tes conneries ?Là, je l’ai bien cherché, il est vraiment en colère.Une semaine se passe et cette petite discussion est oubliée. Du moins pour lui, car moi, je ne pense qu’à ca.J’attends mon heure, le bon moment, pour remettre ca sur le tapis.Et je crois que se fameux moment est arrivé.Nous faisons l’amour depuis plus d’une heure. Nous aimons prendre notre temps, pratiquer d’interminables préliminaires, multiplier les caresses et les baisers.Il est allongé sur le dos et je le suce avec avidité depuis plusieurs minutes. Il a posé une main sur ma tête et donne le rythme de ma succion.Je parviens tout de même à libérer ma bouche juste un instant, pour lui susurrer…- Imagine que c’est un mec qui te pompe !Je m’attends à une réaction virulente de sa part. Mais rien.Au contraire. Il enlève sa main de mon crane pour s’agripper aux barreaux de la tête du lit.Il pousse des râles et donne de petits coups de reins pour s’enfoncer plus profond dans ma gorge.Je suis sur que ma petite phrase a eu un impact et qu’il fantasme comme un malade.Je veux en avoir le cœur net.Délicatement, doucement, j’introduis mon index dans son anus. Je le sais friand de cette pratique. Puis, je cesse ma fellation et le masturbe doucement.Il est à point. Je prends ma voix la plus suave, la plus sexy.- Tu sens sa queue dans ton cul ? Tu veux qu’il te suce encore ?- Ho ouiii ! Hummmm !Encouragée, je reprends ma caresse buccale quelques secondes, puis…- Et toi ? Tu veux le sucer, toi ?Je n’attends pas sa réponse et pose mon pouce sur ses lèvres.C’est drôle, mais je ne suis pas étonnée de le sentir s’enfoncer entre celles-ci.J’applique un mouvement de va et vient à ma main et il suce mon pouce comme il le ferait à une queue.- C’est comme si deux types s’occupaient de ton cas, mon amour.- Hummmm !Il est mûr.J’accélère mon mouvement dans son anus. Le salop mouille du cul. Ca lui plait, c’est sur.Ce petit jeu commence également à m’exciter.- Lui, va jouir dans ton cul et l’autre dans ta bouche, mon amour ! Hummm !- Hummmm !- Et toi ? Tu veux jouir ou ? Dans ma bouche ?- Mouiiii ! Hummm !Et c’est ainsi que ce soir il prend son pied. Il déverse sa semence chaude en longues et puissantes saccades au fond de ma gorge, tout en suçant mon pouce et en se faisant touiller le cul.Le lendemain, je ne lui parle pas de cet événement.Je laisse passer encore quelques jours avant de revenir à l’attaque.En fait, j’ai un plan, un projet et je suis bien décidée à tout mettre en œuvre pour arriver à mes fins.Ce sera le soir de mon anniversaire.Alors, un soir, au moment de faire un gros câlin…- Pascal, j’ai envie d’un truc !- Houlà ! Je n’aime pas ca ! T’es tellement bizarre en ce moment.- Non, je t’assure, ce n’est pas bien méchant.- Bon, ok ! Qu’est ce que tu veux encore ?- Ben… J’voudrais t’attacher ! Je peux, dis ? Je peux ?- Pfff ! T’es complètement cinglée !- Oui, mais c’est aussi pour ca que tu m’aime, non ?Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir et je sors d’un tiroir, des liens que j’avais préparé.Je le fait mettre à quatre pattes sur le lit et je l’attache à la barre du pied du lit.- Heuuu ! Pourquoi, le pied du lit ?- Parce que comme ca, tu me vois dans le miroir de l’armoire.- Humm ! Petite perverse ! Je vois que tu as pensé à tout !- Tu ne crois pas si bien dire, chéri !Et il s’en aperçoit rapidement, lorsque je sors un gode ceinture de ma table de nuit.- Hé ! Ou t’as eu ca, toi ?- Ben tu sais, maintenant, avec internet !- T’as quand même pas l’intention de l’utiliser ?- J’vais gêner ! Mais ne t’inquiète pas, regarde. J’ai également commandé un tube de vaseline !- Bon, allez ! On a suffisamment illegal bahis ris, là ! Détache-moi.- Ha ben non ! Je n’ai pas acheté tout ca pour rien !Il commence à se fâcher. D’habitude, je redoute un peu ses colères, mais là… je m’en fou !- Bon ! ca suffit ! C’est cette pute de Camille qui t’as rendu cinglée ou quoi ?- J’n’aime pas trop qu’on dise du mal de mes amies, chéri !- Une amie ? Une salope ! Une putain, oui !- Une putain que tu as bien aimé sauter, non ?- Bon ! Détache-moi, maintenant.Mais je n’en fais rien. Je m’allonge sur le dos et glisse ma tête entre ses cuisses ouvertes.J’ignore s’il a la trouille, mais en tout cas il bande comme un cerf. Je n’ai même pas besoin de lever la tête pour prendre son gland entre mes lèvres.Je le détends doucement, en le suçant avec application. Je caresse ses cuisses, ses fesses. Progressivement, je me dirige vers sa pastille brune et y introduit mon majeur.- Hummm ! Ma chérie ! Humm ! C’est Boon !- Je sais ce que tu aime mon amour ! Ce qui est bon pour toi ! Tu veux plus profond ?- Ho ouiii ! Enfonce ton doigt plus loin, plus fort !Je ne peux pas imaginer qu’il ait déjà oublié le gode ceinture. Je veux en avoir le cœur net !Je me dégage, me lève et le passe face à lui.- Arrête avec ca ! ca ne m’amuse pas du tout ! Détache-moi !Mais comme seule réponse, je me place face à lui et pose le bout du gland de plastique sur ses lèvres.- Suce-moi, chéri ! Fais ca pour moi ! Suce-moi !Il fait la grimace et ouvre la bouche. J’y vais doucement, lui en donnant quelques millimètres de plus à chaque fois.Je suis surprise. Il joue le jeu. Je ne l’aurais jamais cru.Je l’att**** par les cheveux et baise sa bouche, excitée. Je regarde sa croupe relevée comme celle d’une petite trainée, qui voudrait de la bite.Il en veut ? Je vais lui en donner.Je quitte sa bouche et remonte sur le lit.- Déconne pas Eliane ! Ne déconne pas !Je ne réponds rien et asperge son cul de vaseline. A l’aide de mes doigts, j’en fais pénétrer dans son anus autant que je peux.- Arrête ! Tu vas me faire mal ! Bordel !- Alors ! Je t’explique ! Quand tu veux m’enculer, moi, pour ne pas avoir mal, j’ai trois ou quatre p’tits trucs.- Putain ! Détache-moi !- D’abord, j’essais de me détendre. Puis, je creuse mes reins, je me cambre. Je cherche à respirer profondément, mais doucement.- Eliane ! Je t’en supplie.Je me place à genoux derrière lui et pose le bout du gode sur son trou.- Ensuite, il y a deux écoles. Celles qui toussent et celles qui poussent. Moi, personnellement, j’essaie de faire les deux en même temps. Et toi, tu choisis quoi ?- Elia…..Je crois qu’il pousse.La vaseline est vraiment un produit merveilleux. En trois ou quatre poussées, je suis quasiment entière dans le fondement si fragile de mon petit homme chéri.Il vocifère de moins en moins fort, puis ses injures se transforment en « Hummm ! », en « Ouiii ! ».J’ai gagné !Je laisse ce petit jeu prendre place dans nos ébats amoureux. Aussi, le jour de mon anniversaire, il ne trouve pas à redire, lorsque je le ligote au pied du lit, face au grand miroir.Puis, je le laisse et me rends dans la salle de bain.- Qu’est ce que tu fabrique, chérie ! Viens vite ! Inutile de te nettoyer ! Je ne suis pas contre un peu d’odeur.Ca met du piquant ! Grrrr ! Rhooaaaa ! Je vais te dévorer !Je le laisse mariner encore un peu et reviens dans un accoutrement qu’il ne connait pas.J’ai passé une longue robe noire qui tombe jusqu’aux chevilles. Son décolleté descend jusqu’au nombril, dos nu et fendue jusqu’aux hauts des cuisses, laissant découvrir le haut de mes bas.- Houchhhhh ! Ca, c’est un beau cadeau d’anniversaire que tu t’es fais là! Tu es…. Splendide !- Je te remercie. Mais ca,… ce n’est que le début.Soudain, la sonnette de la porte retentie.- Merde ! Jamais tranquille ! Détache-moi, vite !- Détends-toi, mon amour ! Ce doit être la suite de mon cadeau.- Hummm ! Une belle blonde lesbienne, j’espère !Pour cacher ma honte naissante, j’ai passé un loup noir en dentelle, qui masque mes yeux. De plus, je trouve qu’il va à merveille avec ma robe.Je reviens dans la chambre en tenant par la main…un charmant jeune homme.Mon mari le reconnait de suite et blêmit d’un coup.- Raphaël ? Mais…qu’est ce que… ? Eliane ! Détache-moi ! J’exige que tu me détache immédiatement !Il connait bien Raphaël. Et pour cause. C’est l’homme à tout faire de notre résidence, et il est de notoriété publique qu’il est homosexuel.- Tu ne crois pas que tu n’es pas en situation d’exiger quoi que ce soit ? Calme-toi mon amour. Si tu hurle de trop, je me verrais dans l’obligation de te bâillonner. Ce serrait dommage que je ne puisse apprécier mon cadeau, à sa juste valeur. N’est ce pas Raphaël ?Raphaël est un jeune homme de vingt trois ans. Été comme hiver, musclé à souhait, il se promène dans un marcel blanc et un jeans moulant.J’ai remarqué depuis longtemps l’imposante déformation de son pantalon, à hauteur de son entre jambe.Je le tire par la main jusque devant le visage de mon homme.Je m’agenouille, défais sa ceinture et ouvre son jeans, libérant une bête de chair magnifique.- Eliane ! Arrête tes conneries ! Renvois le et nous n’en parlerons plus ! C’est promit !Je le regarde, souris et fais glisser le sexe de Raphi entre mes lèvres, tout en lui ôtant le pantalon.Très vite, le membre imposant prend du volume, jusqu’à devenir un pieu magnifique.J’en profite quelques minutes, puis je me relève et fais glisser le marcel par-dessus la tête du futur amant de mon mari.Je passe mes bras autour de son cou et lui donne un tendre et fougueux baiser.Pour un homosexuel, je le trouve bien à l’aise avec moi. Il serait bi, je comprendrais mieux.Pascal ne dit plus rien. Il semble résigné. Je vais en avoir le cœur net.Je prends le membre humide de Raphi dans ma main, et le positionne sur les lèvres de Pascal. Il a fermé les yeux et ne bouge pas.Je frotte la queue, la ballade sur son visage, frappe ses joues avec.Et illegal bahis siteleri soudain…sa bouche s’entrouvre.Raphael, pose ses mains sur la tête de mon mari et les referme dans ses cheveux.Un coup de rein et Pascal goutte une bite pour la première fois.Je l’observe et je suis ravie de constater qu’il est en érection. La chose lui plait et il y met de plus en plus de bonne volonté.Je monte sur le lit et joue un peu avec son anus dilaté, lorsque la sonnette retentit une fois de plus.Je sens Pascal paniquer de nouveau. C’est Raphaël qui le rassure.- Ce n’est rien, monsieur Pascal ! Ce n’est rien, je vous assure ! Hummm ! Vous sucez bien ! C’est bon comme ca ! Ouiii ! Continuez ! Hummm !Je vais ouvrir et je reviens avec un homme d’une cinquantaine d’années. Grand, un peu gras, mais bel homme. Il porte un costume, chemise blanche.- Je te présente Lucien, recruté sur internet. Il va compléter mon cadeau.Le regard oblique, mon homme semble ne pas trop apprécier et affiche de nouveau une mine inquiète. Mais difficile de contester la bouche pleine.Je m’occupe du nouvel arrivant. A son tour, il a droit à un baiser passionné. Puis, je lui retire sa veste et sa chemise, et, tout comme pour Raphi, à genoux, je le dégage de son pantalon et lui offre une fellation de bienvenue.Deux minutes plus tard…- Attends ma chérie ! Ne me fais surtout pas jouir ! Le petit cul de ton mari, me plait beaucoup ! Hummm !Je le libère et il grimpe sur le lit pour se placer derrière Pascal.- Vavlevlive ! Hooon ! Vavlevlive ! Vavlevlive !Bien difficile de se faire comprendre la bouche pleine. Toutefois, je comprends qu’il réclame la vaseline.- Pas besoin, mon amour ! Tu mouille comme une jeune femelle ! Hihi ! N’est ce pas Lucien ?- Plutôt, oui ! Il est luisant d’envie ! Je vais me régaler !Il pose son énorme gland sur la pastille brune, puis agrippe les hanches de Pascal.Je comprends à son visage qu’il est concentré. Il tient compte de mes conseils et je le vois cambrer les reins.- Rhunnnnn ! Hurgggg ! Rhinnnnng !Mon pauvre petit chéri, prit comme un agneau à la broche, commente comme il peut, sa… colère ?… Douleur ?… Jouissance ? Finalement, je ne sais pas trop, et peut être vaut il mieux que je ne le sache pas.Lucien semble au ange d’enculer son nouvel amant et l’exprime haut et fort.- Hummm ! Il est bon ton p’tit cul mon joli. Humm ! Tu la sens bien, ma queue ? Hein ? Tu la sens dans ton fion ? Hummm ! P’tite pute !Je retire ma robe, et juste en bas résilles, appuyée contre le mur, je me masturbe frénétiquement en contemplant le tableau que m’offrent les trois hommes.Est-ce du à la fellation ou à ma vue dénudée, Raphaël montre les prémices de sa jouissance toute proche.- Hargg ! Ouiii ! Ho, c’est bonnnn ! Oui, suce-moi vite, comme caaa ! Hummm ! Vous êtes belle, madame ! Hummm ! Haaa ! Je… je viens ! Ouiiiiii ! Hargggggg !Le jeune homme m’excite et je jouis en même temps que lui.Le pauvre Pascal a toutes les peines à assumer une salve de foutre conséquente. Il manque de s’étrangler et deux longs filets de sperme, s’échappent de la commissure de ses lèvres.Il peine à avaler et fait la grimace, mais la quantité étant très importante, il n’a pas trop le choix.Hummm ! D’imaginer le foutre chaud couler dans sa gorge, me déclenche un orgasme extraordinaire. Je fléchie les jambes. Mon dos glisse le long du mur. J’y pose ma tête, légèrement en arrière et je me laisse emporter par mon plaisir, quatre doigts d’une main enfoncés en moi, et deux de l’autre, qui frottent comme des hystériques, un clito gonflé, prêt à exploser.Raphi libère la bouche de mon mari et vient se mettre à genoux devant moi, pour aspirer ma jouissance.Pascal, secoué par les assauts de Lucien, entre deux « Humm ! » et deux « Haaa ! », me jette des yeux remplis de jalousie. Je le sais, me voir avec un autre homme est une réelle épreuve pour lui. Et ca… ca m’excite comme une folle.Je monte et descends sur la bouche de Raphaël, mes mains plongées dans sa chevelure.Puis doucement il se relève, embrassant chaque parcelle de mon corps.Nous nous enlaçons et nous nous embrassons fougueusement.- Haaa ! Hummm ! Elianeee ! Salopeeee ! Hummm ! Arrête caaa ! Haa ! Tout de suitee ! Putainnn ! Salopeeee !C’est Lucien qui lui répond.- Tais-toi, chéri ! On va s’en occuper de ta salope ! Et toi, tu va nous regarder. Mais pour l’instant, tu vas être un brave …garçon et… hummm ! Me laisser hachhhhh ! Te remplir ton cul de cocu ! Hargggggg ! Tiens, prends ca, salopeeee ! Hummmm !Je vois Pascal fermer les yeux, bouche ouverte. Pour la première fois de la soirée, il semble prendre du plaisir. Sans doute de sentir le jus de Lucien, envahir son intestin.L’homme se retire et laisse ma moitié en sueur, tenter de récupérer un semblant de souffle.Nous le laissons ainsi, et nous quittons la chambre pour aller prendre une coupe de champagne.J’imagine aisément ce qu’il doit endurer. Se demander si je ne suis pas en train de me faire sauter par les deux hommes, sur le canapé ou bien le plan de travail de la cuisine. Mille choses douloureuses doivent traverser son esprit et le torturer.Lorsque nous revenons, mon pauvre amour se tord dans tout les sens pour essayer de se détacher. En vain.- Eliane, détache moi, s’il te plait et vire moi ces mecs ! Tout de suite !- Pas tant qu’ils ne m’auront pas prise, chéri. La soirée commence à peine !- Putain ! Salope ! Arrête ca, merde !Sa jalousie m’excite. J’aime le voir se tordre de dépit.Lucien s’approche face à lui.- Tiens, bouffe ca ! Ca t’évitera de gueuler autant ! Et t’avise pas de mordre, il pourrait t’en couter, petite putain !Il lui a planté son dard au fond de la gorge et lui baise la bouche.Je m’agenouille et suce Raphaël pour lui redonner de la vigueur, puis, je monte sur le lit et me place en travers, en levrette.Lucien délaisse mon mari et vient se placer derrière moi, tandis que Raphi reprend possession de ma bouche.Lucien me pénètre canlı bahis siteleri sans effort. Il faut dire que ma chatte est détrempée d’envie et de plaisirs.Pascal a cessé d’hurler et nous regarde grâce au miroir de la glace. Il regarde son épouse se faire besogner sans honte par deux inconnus… ou presque.- Tiens prends ca, sale chienne ! Tu la sens bien ma queue ? Hein ? T’aime ca, toi, te faire sauter ! Hein, putain ? Elle te pompe bien, Raphaël ?- Humm ! Ho oui ! Elle a une bouche de rêve ! Elle est trop bonne, la morue. On ne lui ferait pas une double pénétration ?- Putain ! Ca, c’est une idée ! Je te laisse son cul, je le prendrais tout à l’heure.Lucien se retire de ma cavité brulante et s’allonge sur le dos.- Eliane ! Ne fais pas ca, chéri ! Ne fais pas ca !- Non seulement, je vais le faire, mais tu vas me regarder jouir mon amour. Ca m’excite tant de me faire prendre devant toi. C’est mon anniversaire ! L’aurais tu oublié ? Tu ne peux rien me refuser, non ?- Salope !- Oui, mon chéri. Je suis ta salope, ta putain, ta catin.Dans le reflet du miroir, il me regarde enfourcher Lucien. Il me voit passer ma main entre nos cuisses, pour guider la bite en moi.Je me fais plaisir en baisant une petite minute, le temps que Raphaël s’installe confortablement derrière moi.Pascal, rouge de colère, ne quitte pas le miroir des yeux.Je m’installe à mon tour. Je me replie sur Lucien, offrant ma rondelle à l’homme d’entretien.Il m’encule doucement, avec beaucoup de douceur et mon plaisir grimpe en flèche.Je sens les queues coulisser en moi de façon aléatoire et dans un rythme différent.Je ne touche plus terre.- Ho ouiii ! Hummm ! C’est bonnnn ! Oui, baisez-moi biennn ! Ho ouiii ! Hoooo ! C’est bonnnn !- Eliane, t’es folle ! T’es qu’une pute, bonne à faire le trottoir ! Tu me dégoute ! Trainée !- Ho oui, mon coeuuuur ! Je ferais la pute pour toi ! Mon Pascal, d’amourrr ! Hummmm !Lucien jouit le premier. Son foutre se jette contre mon utérus avec force, me provoquant un orgasme de grande magnitude.Grand seigneur, il ne bouge plus, laissant Raphaël finir de me travailler l’anus, avant de jouir à son tour.Toute la nuit, ils me prendront à tour de rôle, sollicitant parfois Pascal, pour les faire rebander, grâce à sa bouche.Au petit matin, dégoulinante de sueur et de foutre, je raccompagne Raphaël jusqu’à la porte.- Vous croyez que ca va aller ? Il n’avait pas l’air très content, quand même.- Ne t’en fais pas Raphi ! Je le connais bien et je suis sur qu’on se reverra, bien avant mon prochain anniversaire.Je l’embrasse tendrement sur le bas de la porte et il disparait dans l’escalier.- Oui ! Ouiii ! Hummm ! C’est bonnnn ! Ouiii ! Hoooo ! Vas y fort ! Hummmmm !Je m’arrête et reste discrète dans l’angle de la porte de notre chambre.- Oui, vas-y ! Défonce-moi ! Ouiii ! Hummm ! Hoooo !Je passe la tête dans le chambranle et quelle n’est pas ma surprise de voir mon homme, jouissif, réclamant de la bite, en poussant des cris d’extases.Lucien lui pilonne le cul avec rudesse et sans douceur. Il m’aperçoit et me fait un clin d’œil.Je m’approche interloquée de mon mâle. Je suis tellement heureuse de le voir ainsi, que je l’embrasse de longues minutes, de façon primitive. Puis…mon envie de le rabaisser reprend le dessus.- Tu m’as bien dis que tu n’étais pas contre un peu d’odeur ? Tiens ! Bouffe !Je me dresse sur la pointe des pieds. Je l’att**** par les cheveux et lui plonge le visage dans mon vagin souillé et odorant.Je le fais me sucer pendant quelques minutes. Le salop semble apprécier.Lucien se dégage de l’anus de mon mari.- Allez, viens là, putain ! C’est ton tour ! Mais détache ton mec, avant.Pascal est ravi de se retrouver enfin libre.C’est lui-même qui m’invite à retrouver Lucien sur le lit.- Viens chérie ! Là ! Fous-toi en levrette ! Donne-lui ton cul de pouffiasse de merde !Je m’installe et il écarte mes deux hémisphères à mon amant du moment.- Vas-y Lucien ! Défonce ma morue ! Fais lui regretter ce que je viens de subir. Explose-lui le cul à cette salope !Et c’est ce qu’il fait. Il me pénètre avec force et d’un coup. Mais dommage pour mon amour, mon cul bien préparé ne se fera pas exploser.Il me pilonne comme un malade.Pascal, ivre de liberté et emplit de rancœur, plante sa queue au fond de ma gorge.- Tiens salope ! Voilà des heures que j’attends ce moment. Tu vas vomir mon foutre, je te le jure.Il semble en effet décidé à se venger. Il viole ma bouche, et y plonge à en boucher ma trachée. A plusieurs reprises, il me semble étouffer. Mais le plus dur est de sentir son estomac remonter.Mais je ne vomirais pas.Lucien explose ses couilles sur mon vagin, à chaque pénétration.Il semble transporté par le spectacle de la bite de mon homme qui disparait intégralement dans ma bouche.- Hummm ! Putain ! Quelle suceuse ! Un vrai garage à bite, ta pouliche ! Hummmm ! Merde ! Elle m’excite trooop ! Haaa ! Hooorrrr ! Merde ! Je jouiiiiiis ! Hargggggg ! Hummmm !Je sens sa semence s’insinuer dans mes intestins, en plusieurs giclées chaudes.- Putain ! Moi aussiii ! Je vais la faire boire jusqu’à la dernière goutte ! Tient ! Bois ca chériiiie ! Hummmmm !Son jus est expulsé directement dans mon œsophage. Enfin, il se retire avant que je ne meurs étouffée.Je me couche sur le flan pour récupérer.J’entends Pascal raccompagner Lucien et revenir dans la chambre.- Petite salope ! Tu vas me payer tout ca !- Rien du tout mon p’tit chéri. C’est mon anniversaire, je fais ce que je désire ! Et désormais, ce sera ainsi tout les ans ! Alors, tu te tais et tu t’allonge immédiatement ! Je n’en ai pas fini avec toi ! Compris ?Je n’ai jamais levé le ton contre lui. il me regarde, interloqué, puis un peu perdu sans doute, il s’allonge sans broncher.Je monte à mon tour sur le lit et l’enfourche.Je pose directement mon cul sur sa bouche.-Si tu veux une coupe de champagne pour fêter dignement mon anniversaire, il va te falloir me nettoyer de fond en comble, mon gentil chéri ! Hihihi !Il tire la langue et entame la récupération du foutre qui m’encombre.Je crois que notre couple s’engage dans une nouvelle direction.Ce qui est certain, c’est que désormais, une fois par an, je serais reine.

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Ass

Petit désagrément pas si désagréableEn temps normal, comme je l’ai déjà raconté dans d’autres textes parfois, je préfère rencontrer des dames plus mûres. Je les trouves bien plus attirante. Mais cette fois ci, c’était avec une fille un tout petit peu plus jeune que moi que j’avais rendez vous. Une fille de 21 ans, originaire de madagascar.On avait commencé à discuter sur une appli de rencontre. Elle m’avait rapidement confié être en besoin d’affection, donc nous avions convenu d’un rendez vous chez moi peu de temps après.Après une douche et une petite préparation en règle pour la recevoir dans les meilleurs conditions, j’entendis la sonnette retentir. Je ne m’attendais pas à la voir arrivé comme ça.. Elle était plus petite que je ne le pensais, avec une tenue absolument basique, sa doudoune rouge et son jean n’avait rien de sexy, et surtout elle paraissait très timide, voir gênée, absolument l’image qu’elle dégageait lorsque l’on discutait.Je m’installe dans le canapé, lui proposant de venir aussi. Les débuts n’étaient pas facile, elle s’est assise loin de moi, et ne répondait à mes question que par des réponses en oui ou non, ne développant jamais et semblant vouloir écourter ce moment.J’ai donc ramené la conversation au sujet qui nous avait réunit, et lui ai demandé si elle avait toujours envie d’affection. Elle a laissé un petit blanc et a finalement hoché la tête avant de dire que oui. Comprenant qu’elle était bien trop mal à l’aise pour faire le premier pas, je me suis approché. Elle ne bougeait pas. J’ai approché lentement ma main de sa cuisse pour voir sa réaction, elle semblait toujours aussi stoïque, cependant elle a laissé échappé un gémissement et a écarté un peu les cuisses lorsque j’ai commencé à caresser son jean. J’ai donc poursuivit en l’embrassant. Ses lèvres étaient illegal bahis très épaisses et assez sèches; rien de particulièrement désirable, surtout qu’elle n’embrassait pas particulièrement bien. Ces premières minutes n’étaient pas ce à quoi je m’étais attendu. J’ai remonté ma main le long de sa cuisse, pour arriver à sa zone intime. Je sentais au travers du jean que c’était déjà plus chaud, j’ai donc rapidement essayé d’insérer ma main dessous, mais c’est là que tout a basculé.J’ai sentis sa main agripper mon poignet pour l’empêcher d’aller à l’intérieur de sa culotte.J’ai donc tout arrêté, et me suis décalé pour lui demander si j’avais fait quelque chose de mal ou s’il y avait un problème. Elle a attendu un peu sans rien dire, puis a dit que c’était gênant. J’ai de suite compris ce qu’elle cherchait à dire, mais je n’osais pas lui demander: je ne voulais pas la mettre plus mal à l’aise. Au lieu de ça, j’ai attendu aussi, puis une fois prête, elle m’a confié être vierge…Un peu frustré, je lui ai cependant expliqué que ce n’était pas grave, qu’on arrêtait, et que si elle se sentait prête une autre fois on réessaierait. Mais elle n’était pas du tout de cette avis, elle en avait très envie. Je lui ai donc dis de prendre les commandes, de me guider en fonction de ses envies pour ne pas la brusquer. Elle a alors pris mon visage entre ses mains, elles aussi très sèches, mais cependant étonnamment douces en même temps, et a recommencé à m’embrasser. J’ai passé une main dans ses cheveux rêche, et elle a pris ma seconde main pour l’écraser sur son sein, par dessus sous tshirt. J’ai compris au touché que sa lingerie ne serait pas plus sexy que sa tenue, ma main était sur son tshirt mais je pouvais deviner une soutiens gorge tout ce qu’il y avait de plus basique. Cependant l’excitation illegal bahis siteleri était bel et bien entrain de monter en moi, je sentais ma verge se compresser sous mon jean, et sa main qui commençait à me caresser la cuisse n’arrangeait pas les choses…Nos langues se découvraient, l’une et l’autre se caressant délicatement, nos lèvres toujours plaqués l’une contre l’autre. Et sa main se baladait le long de ma cuisse, caressant doucement le dessus, puis l’intérieur de celle-ci. J’aurais aimé que ça aille plus vite, j’avais envie de la pénétrer désormais, mais vu la situation, je ne pouvais qu’attendre. Je me suis cependant permis de glisser ma main sous son t shirt, sortant son sein du soutient gorge pour tripoter son téton. Ca lui a donné le déclic pour en faire de même avec ma verge. Elle a enfin déboutonné mon jean, et a passé sa main directement dans mon caleçon. Elle avait la main froide, le contact de la paume contre mon sex a été terriblement excitant, et les mouvement de va et viens qui commençaient me donnait de plus en plus envie de la sauter. J’ai donc arrêté de caresser son téton pour descendre ma main sur ses hanches. Et comme pour valider mon entreprise, elle a pris sa main libre pour descendre la mienne vers son jean. J’ouvre un bouton, abaisse la braguette, et pose mes doigts sur sa culotte. Elle n’est pas rasée. Je le sens vite vu la quantité de poils que je devine à travers la culotte. Par contre sa culotte est trempée, elle doit avoir sacrément envie désormais. Moi aussi en tout cas, je ne tiens plus, mais je dois me contenir, je dois y aller à son rythme, et je pense qu’il va falloir encore un petit moment…Mais je me trompe!A ma grande surprise, elle baisse son jean, sa culotte, puis enlève son tshirt et son soutient gorge. Je n’ai pas canlı bahis siteleri compris pourquoi elle a tout enlevée d’un coup, mais elle est là, entièrement nue devant moi, et elle me fait savoir que c’est le moment : elle me tire contre elle, pour quelle soit allongée, avec mon corp par dessus le siens. Je n’ai pas le temps de réagir que je la sens faire des mouvements de bassin, son bas ventre collé à ma bite. J’att**** donc rapidement un préservatif dans une étagère à coté de mon canapé et l’enfile. Je m’insère en elle. Elle est si mouillée, le début rentre bien. Cependant, je sens rapidement que je ne peux pas m’insérer plus loin, son hymen me bloque le chemin.. Elle continue ses mouvements de bassin, pendant que je fais de petites insertions, puis je la voit grimacer, au moment ou je m’insère plus loin. Je viens de craquer son hymen et ça ne lui déplaît pas, sa grimace a laissée place à un murmure de plaisir, et moi je ne peux plus tenir.. J’explose en elle, je voudrais retenir l’éjaculation, lui offrir un orgasme avant de cracher, mais l’idée de l’avoir dépucelé m’excite trop. Je sens toute ma semence partir alors que j’émets un grognement.Je me retire, mais je ne veux pas la laisser sur sa faim. Je descend ma bouche sur son sein, le croque, et depose ma langue sur son téton. Il est tout dur. Elle en a encore envie, elle attend cet orgasme. Alors je descend encore plus mon visage. Je me retrouve face à sa chatte, poilue comme je l’avais deviné, sentant un mélange de cyprine et de l’arôme du préservatif. Ce n’est pas très attirant, surtout que je peux voir un peu de sang qui a coulé; mon canapé est taché. Mais c’est sa première fois, et je veux qu’elle en garde un bon souvenir. Alors j’approche ma langue de son bouton des plaisirs, et heureusement pour moi, elle vient extrêmement vite.Je remonte, et elle vient se coller à moi. Je la sens nue contre moi, heureuse d’avoir vécue ça. Peu de temps après elle est partie, me faisant savoir qu’elle avait envie de tester d’autres choses… Alors on s’est revue plusieurs fois déjà…

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Folies au sex-shopAllongée sur le lit, la lumière des rayons tamisés du soleil projettent sur mon corps nu des collines, des forets….. Jambes écartée, Alain me prodigue un merveilleux cunni. La pièce n’est emplie que de doux gémissements et du bruit mouillé et érotique de ma délicate chaire léchée par mon homme. Alain interrompt brusquement la douce caresse. En se pourléchant les lèvres, il me regarde. Je pose ma main sur sa tête pour qu’il continue son œuvre. Mais il s’amuse de ma frustration et je tente de ramener sa tête entre mes jambes, sans succès. Dans un soupir plaintif, je le supplie: «T’arrête pas chéri c’est trop bon ! Fais-moi jouir avec ta langue !»Je suis proche de l’orgasme. Tout mon corps est parcouru de frissons incontrôlables. Je me cambre et me tend comme un arc, signe immanquable pour mon homme que je vais bientôt jouir. Espiègle, Alain me tourmente en me demandant d’une voix neutre :« Tu veux vraiment que je continue? »« Oui, bien sûr que oui! » Mais il me pousse à bout et me dit :«OK ! J’ai une proposition à te faire.. »« Tout ce que tu veux ! Mais bordel ! Fait moi jouir !!! »Il sourit et me répond :« Non, tu as raison, » Alors, tout en m’enfonçant deux doigts dans ma grotte d’amour chaude et humide, il effleure de son pouce mon clitoris. Tout mon corps se cambre. Il le titille quelques secondes de plus, jusqu’à ce que je soit à nouveau au bord de l’extase et s’arrête de nouveau. Je retombe sur le matelas haletante. Je suis toute entière au bord de l’orgasme mais il me le refuse. Je porte ma main à mon sexe pour enfin me laisser aller mais Alain la repousse. Je pousse un cri rauque de frustration. Alain est ravi de voir à quel point ses caresses m’affectent. Un sourire vicieux s’affiche sur son visage où brille ma cyprine. Il reprend calmement :« J’aimerais tout de même que tu écoutes ce que j’ai à te dire. »Chacun de ses mots est ponctué d’un rapide coup de langue sur mon clitoris gonflé et sensible. A chaque coup de langue, je ne peux retenir un petit cri de plaisir.« J’ai une idée pour agrémenter notre sortie de demain. Tu veux l’entendre? » Dit-il en me faisant canlı bahis şirketleri languir.« Oui ! Oui ! Mais enfin fait moi jouir !!! »« Non, non, je te ferais jouir si tu m’écoutes ! » Répond-il en prenant un air faussement songeur. Il replonge la tête entre mes cuisses pour me tirer de nouveaux cris de plaisir. Ce doux salop m’emmène une nouvelle fois au bord de l’orgasme pour, une nouvelle fois, s’arrêter à la limite. De cette douce torture, je n’en peux plus. La tension crée par un tel traitement commence à devenir douloureux. Alain reprend comme si de rien n’était :« Voilà mon idée. Je te propose un petit jeu, une sorte de défi pour nous amuser quand nous serons chez mes parents demain. On devra, chacun notre tour, trouver une façon originale pour faire jouir l’autre en leurs présence. Qu’en dis-tu? »Afin de me déboussoler complètement, Alain continue à agiter ses doigts en moi, entrecoupant son discours de petits coups de langues discrets. Il espère obtenir ainsi mon assentiment grâce à la contrainte du plaisir que j’ai accumulé. Frustrée et excité douloureusement au plus haut point, je suis incapable de penser à autre chose que ma délivrance prochaine et dans un cri de délivrance je lance :« Ouiiiii !!! Fait moi jouir salop ! Ouiiii !!! C’est Ok ! »Alain jubile de ma supplique et applique ses lèvres sur mon clitoris pour le suçoter délicatement. Sans surprise, je me met à hocher frénétiquement de la tête. J’émets un feulement de bête quand sa main entière entre dans mon vagin. Je referme brusquement mes cuisses, sur cette main inquisitrice, ne laissant aucune échappatoire à cette dernière. Des spasme violents m’envahissent. Mon orgasme est d’une v******e inouïe, douloureux et salvateur. Je suis cambrée comme un arc hurlant ma jouissance pour retomber sur le lit demi inconsciente. Alain se redresse et admire son travail. Il a le visage sa main maculé de cyprine. Son pénis en érection, forme un angle droit sur son ventre. Alors que je suis à peine remise de cet orgasme et que je tente de reprendre ma respiration, il enfonce son dard dans ma bouche. C’est avec un bonheur canlı kaçak iddaa non fin que je me met à le sucer avec gourmandise. Avec mon expertise, il ne tarde pas à tout me lâcher au fond de la gorge. J’avale avec délectation sa semence amoureuse.Alain me dit alors en regardant sa montre :« Il est sept heures. Je dois y aller ! »Dans ma jouissance, je ne me rappelle que par bribe du jeu qu’il veut me faire jouer chez ses parents.« Hein … Je … Mais quoi ? Tu ne restes pas? » Lui demandais-je encore essoufflée.« Je dois aller bosser chérie ! »Je reste nue sur le lit. Abasourdie par tant de plaisir, un goût de sperme dans la bouche. Je n’arrive toujours pas à croire à ce que je viens d’accepter. Ce qu’Alain désire, Alain l’obtient toujours. Je me lève enfin et vais prendre une douche avec toutes ces idée qui tournent dans ma tête. Toute la journée,je ne peux m’empêcher de penser à ce défi stupide dans lequel il veut m’entraîner. Que vais-je faire demain ? Des ébauches de scénarios se forment dans ma tête, mais rien de précis. En faisant mes courses, j’essaye d’échafauder divers plans. Peut-être que sous la spontanéité du moment ? Sur le chemin du retour, arrivée à un carrefour, je m’arrête hésitante et me demande :« Il veut un défi. Soite. Allons au sex-shop trouver des idées ! »Devant la devanture de l’établissement, je respire profondément et entre dans la boutique. L’ambiance est très feutrée et érotique. Quelques hommes traînent entre les rayons et me regarde du coin de l’œil. La vendeuse me propose gentiment de m’aider dans mes choix. Je parcoure les rayons cherchant des idées originales et découvre des gadgets que je ne connaissais pas. Dans le coin lingerie, je flashe sur une tenue très sexy. Je vais dans une cabine d’essayage en me disant qu’Alain ne pourra pas résister en me voyant dans cette tenue. Alors que je l’enfile, la vendeuse ouvre le rideau pour me demander si le modèle me plaît en me regardant de la tête au pied. Cette tenue ne cache rien de mon anatomie. Les client, peuvent deviner ma tenue avec ce rideau grand ouvert. Sans me le demander, elle se met à me caresser canlı kaçak bahis et à m’embrasser fougueusement. Les client de la boutique s’attroupe et regarde ce curieux spectacle. Au lieu de me rebeller, je réponds à son baisé. Ses doigts glissent sur mon ventre et s’insinuent dans ma fente déjà trempée. Très vite, sa bouche se plaque sur ma chatte qu’elle commence à déguster divinement bien. Je renverse la tête en arrière et ferme les yeux pour profiter au maximum de sa langue sur mon clito.C’est alors qu’un des client, plus hardi que les autres, s’approche de nous la queue à la main. Quand j’ouvre les yeux, je suis subjuguée par cette grosse verge tendue. Je suis si excité par ma brouteuse de minou que je fais signe au mec d’approcher pour le sucer. La vendeuse est douée avec sa langue et mon orgasme est proche. Elle quitte ma chatte, me laissant avec la queue de l’inconnu dans la bouche pour aller quérir un objet dans l’un des rayons. Quand elle revient elle me dit :« Mets-toi à quatre pattes ! »Je me mets en position. Elle m’enfonce alors un gode dans ma chatte et tout en me faisant une feuille de rose, elle s’amuse avec l’engin dans mon vagin. Elle fait des vas et viens rapides. Elle sort le gode de ma chatte pour me l’enfoncé dans mon anus. Le jouet, bien lubrifié par ma mouille, glisse presque tout seul bien au fond de mon conduit étroit. Puis, moi toujours la queue du client dans la bouche, elle s’empale sur ce double dong. je vous laisse imaginer l’état des voyeurs de la boutique qui s’astiquent comme des malade devant nous. S’il avaient pensé à un moment à avoir un spectacle gratuit en entrant ici….Nous sommes collées, cul à cul dans un va et viens torride et cet homme qui utilise ma bouche.Dans ce délire érotique, l’homme n’y tient plus et se vide dans ma bouche. J’ai avalé une partie de son jus et partagé le reste avec la vendeuse. Nous nous finissons dans un 69 nous menant à l’orgasme. Dans notre extase féminin, les voyeur se lâchent aussi nous aspergeant de leurs semences.Reprenant mes esprits, je suis honteuse de mettre exhibée dans cette boutique devant ces inconnus. Je me rhabille vite fait et règle mes achats sous le sourire narquois des clients. En m’enfuyant vers ma voiture, je n’en reviens pas d’avoir sans pudeur sucé un inconnu et baisé avec la vendeuse devant ces obcédés. Mais il faut l’avouer, j’ai pris mon pied.

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Cat – ToujoursJe me rends compte de la chance que j’ai eu avec le cul, en y repensant. Les femmes que j’ai rencontrées étaient certaines de ce qu’elles voulaient et savaient le dire, à des degrés variables. Rendez-vous compte de l’importance que ça a : le sexe décomplexé est une des clés d’une vie heureuse, et quand il n’y a aucune ambiguïté sur les désirs de l’un et de l’autre, tellement de limites peuvent être transcendées.Je me souviens de mon été chez les parents de Cat, à la fin de notre premier semestre. Ils nous donnaient une marge à proprement parler incroyable, et quinze ans plus tard je m’aperçois de l’effort que ça leur a demandé. Leur fille hébergeait son mec dans sa chambre, sous leur toit. Ils n’avaient même pas à se poser la question : ils savaient que nous nous envoyions en l’air.C’était excitant tout de même, nous pensions le faire à leur nez et à leur barbe. Nous tentions de faire le moins de bruit possible, tout en nous donnant un maximum de plaisir. On s’explorait, on se disait des choses sales, on se désirait. A ce stade-ci, je me sentais comme un dieu du cul, tellement elle en redemandait.Je ne m’apercevais pas que ce n’était que partiellement de ma faute. Grand maximum, canlı bahis şirketleri 50% de sa gourmandise était de ma faute. J’étais un accessoire dans l’exploration de ses sens, et j’avais l’esprit aussi pervers qu’elle, et j’en étais devenu un allié précieux. Un jour, ses parents nous avaient laissé la maison et il allait de soi que nous allions baiser dans toutes les pièces. Je ne comptais plus les orgasmes, je ne comptais plus les sodomies, je me souviens surtout de la chambre de ses parents. Elle était vêtue de sa robe de chambre, et rien d’autre. Ses seins lourds se dessinaient à travers son peignoir, et alors que nous montions les escaliers vers le dernier endroit à salir de la maison, son cul se dessinait. Je (re) durcissait à l’idée désormais très claire de ce que j’allais voir, et alors que nous poussions la porte ma main était déjà logée entre ses jambes par-derrière, et je jouais de mes doigts sur ses orifices. L’idée me traversa la tête que j’étais en train de l’att****r comme une caisse de bière, et je rigolai doucement alors qu’elle ralentissait face à ce geste, attrapant un des montants du lit pour se stabiliser et m’offrir de nouveau son corps.« Je me sens comme une salope, canlı kaçak iddaa » me dit-elle. Je ne savais pas comment lui répondre. Devais-je encourager ça ? « Je suis tellement une grosse pute. » gémit-elle. Son ton contredisait ses propos. Je continuais, muet.« Traite-moi comme une pute. Baise-moi fort. Utilise mes trous. » Dit-elle sans hésitation. Elle se saisit de mon poignet et le tirait vers son corps, alors qu’elle montait à quatre pattes sur le lit. Je me focalisais sur son cul, et rentrait un doigt en plus. Malgré le nombre de sodomies de la journée, elle était redevenue serrée. Elle gémit à gorge déployée, et fouetta son dos de ses cheveux. Je lui attrapais les cheveux pour les tirer, et elle recula instinctivement contre mes doigts. Elle avait l’air d’adorer. Un troisième doigt. Elle poussait toujours aussi fort. J’allais la fister. Son corps allait se déformer pour mon plaisir, et j’allais la toucher à l’intérieur. J’en bandais tellement dur que s’en était presque douloureux. Je me mis sur son flanc, tirant ses cheveux et lui mettant à peine mon 4e doigt. Elle serrait la couette dans un poing crispé, et ses bras tremblaient. J’y allais un peu plus doucement, mais son cul m’acceptait. canlı kaçak bahis Ces bras cédèrent, et elle s’abaissa, laissant son cul incroyable en l’air. Elle bavait légèrement, son menton était humide. Je poussai ma main, et son cul n’en pouvait presque plus. Je poussais ma main, et elle je la regardai rentrer jusqu’au pouce. J’étais en extase. « Je veux ta queue là-dedans. » Je m’exécutais. Alors que je retirai ma main (à ma grande surprise, pas plus sale que ça), et que j’y glissai ma queue, je me sentais fort. Je me sentais son maître. C’était purement inconscient, mais je la sodomisais avec une vigueur renouvelée. Elle chevaucha autant ma queue que je la pénétrais, mes yeux braqués sur ma queue turgescente, veineuse, disparaissant dans son corps.Je n’ai pas tardé à jouir. Je me sentis me vider, et je regardais ma queue pomper mon sperme dans son orifice. Je m’écroulais, à bout de forces. Cet orgasme m’avait tué. J’haletais sur le lit de ses parents, et j’entendais gémir à côté de moi. Je tournais la tête, et je la vis prostrée, ses mains glissant le long de sa peau luisante. Ses mains trouvaient le chemin de sa chatte, et je compris à ce moment-là que le mythe que les hommes en veulent plus que les femmes, était exactement ça : un mythe.Ravi, je retournai au charbon, une nouvelle érection puissante, un peu plus douloureuse pour la dernière – mais je m’en foutais. J’oubliais tout quand j’avais ma queue dans son cul.

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un dimancheEncore un repas de famille comme tant d’autres, qui finit par des discussions politiques pour les hommes avec un bon cigare et des discussions féminines autour d’une tasse de thé. Ce jour la Sébastien mon cousin m’avait demandé de le rejoindre après le repas dans la petite chapelle située à 200 mètres de la maison. Je laissais mes hôtes prétextant une balade dans la forêt et me rendait donc à la chapelle. La neige avait recouvert le sentier et rendait ma progression difficile, et je n’étais pas mécontente de rentrer dans l’édifice abandonné afin d’être enfin au chaud. Il faisait sombre, et même si la température était plus agréable que l’extérieur, la bâtisse restait froide et poussiéreuse. Sébastien m’attendait assis sur une caisse.- Dépêche toi cousine on n’a pas trop de temps, et il fait froid ; Vient réchauffer ma grosse queue avec ta bouche- Tu es obliger de me la jouer aussi vulgaire ? Je suis pas une de tes copines de facs Seb !!!- Tais toi et suce moi salope, t’es surement pas une copine de fac mais pendant 30 minutes tu vas être au niveau de mes copines de trottoir. Allez ouvre ta belle bouche…Il enfourna son membre dans ma bouche, et me saisie par les cheveux. Je m’appliquais à le sucer, enchainant les mouvements de langue sur son gland ou faisant remonter ma le bout de ma langue tout le long de son membre. J’adore le gout de son sexe. J’adore être son jouet. En fait j’adore qu’un jeune de son âge puisse avoir autant de désir pour moi. Je suis son fantasme, je l’excite, de part mon attitude faussement offensée.- J’adore quand tu t’habilles tout en noir, ça m’excite encore plus. Relève ta jupe maintenant que je vois ton gros cul pendant que tu me suces.Je relevais ma jupe, et recommençais à le sucer. Je connaissais ses limites, et quand je devais ralentir afin qu’il ne jouisse pas trop vite. illegal bahis Je voulais moi aussi profiter de son sexe, quand il déciderait de s’enfoncer en moi. Il releva mon pull noir afin de laisser échapper mes seins emprisonnés dans un SG Lise Charmel noir. Il plaça son sexe d’autorité entre mes grosses mamelles et se branla, me forçant de happer son gland à chaque mouvement. Il replaça son membre dans ma bouche quand un flash éclaira la chapelle.Je me relevais rapidement me couvrant la poitrine de mes bras. Sébastien fit de même. Claudine, sa belle mère se dressa devant nous, son téléphone en main.- Et bien bravo, j’ai enfin la preuve que je cherchais depuis si longtemps- Claudine, que fais tu la, ce n’est pas ce que tu crois, mais qu’as-tu fais, tu nous as espionné et pris en photo- Oui et quelle photo, ta grosse bite dans la bouche de cette trainée, cela vaut son pesant d’or…- Claudine, je ne vous permets de me traiter de la sorte. La situation est ambigüe je vous l’accorde mais en aucun cas je ne peux tolérer…- Tais toi salope, ou je lui demande de remettre sa bitte dans ta bouche- Ecoute Claudine, tu sais j’aime ta fille, mais bon de temps en temps tu comprends…- Je comprends que cette grosse pute te manipule, et c’est une honte. Elle se sert de toi, sans se préoccuper du mal qu’elle peut faire à ton couple. Mais on peut toujours s’arranger, qu’en penses tu Sébastien ?- Humm, que proposes tu Claudine ?- TU partages ton jouet avec moi, et je ne dis rien à ma fille- Non mais vous êtes pas bien, vous pourriez peu être me demander mon avis !!!!- Sophie, calme toi, de toute façon on n’a pas trop le choix, et puis ce n’est pas la première fois, allez s’il te plait sois sage…J’étais prise au piège, une fois de plus, et allais devoir me soumettre aux caprices de ces 2 dégénérés. Claudine releva sa illegal bahis siteleri jupe, laissant apparaitre des bas soutenus par des portes jarretelles, dont je jugeais la qualité médiocre. J’avais toujours trouvé un brin de vulgarité chez cette femme. Elle s’assit sur une caisse écartant les jambes, ordonnant à Sébastien de me faire approcher. Sébastien me poussa la tête entre ses cuisses.- Gouine moi maintenant, montre moi ce que tu sais faire avec ta langue- Allez cousine obéis tu n’as pas le choix de toute façon. Je peux m’occuper de son cul pendant qu’elle te suce ?- Vas y mon beau fils profite de cette belle jumentMa tête plongée entre ses cuisses, elle écartait sa culotte et ses grandes lèvres débordantes s’ouvraient devant moi. Elle m’attrapa par les cheveux et me plongeât vers elle. J’enfonçais ma langue entre ses cuisses et m’appliquais à la lécher. Je sentais très vite sa réaction, les mouvements de son bassin s’accélérant et venait au devant de moi. Elle me tenait sévèrement par les cheveux et s’appliquait à commenter la scène avec des propos les plus dégoutants. Pendant ce temps Sébastien s’était placé derrière moi et s’affairait à s’occuper de ma croupe. Il m’avait pénétrait, en abaissant ma culotte à mi cuisse et me pistonnait comme un taureau. Comme à chaque fois qu’il s’occupait de moi je perdis rapidement tout contrôle et sentait venir des orgasmes de toute part. Mon corps ne me répondait plus, je devais l’avouer, j’étais drogué par ses coups de bittes, et je ne pouvais plus me passer de son sexe. C’était pour moi une véritable addiction.Sébastien ordonna à Claudine de se retourner afin que je lui lèche son anus. Elle obéit, et je lui fourrais donc ma langue dans son anus, tout en lui masturbant l’entre jambe avec mes doigts. Elle avait son souffle fort, et je sentais sous mes canlı bahis siteleri caresses qu’elle jouissait intensément. Sébastien sorti son membre et le dirigea vers mon petit trou. Il me sodomisa, entrant doucement en moi.- Viens ici Claudine, je veux que tu suces mon sexe pendant que je l’enculeElle obéit à nouveau, elle était maintenant sous son emprise. Sébastien avait pris l’ascendant, et se retrouvait avec deux jouets de chair dont il allait abuser tout à son aise.Je sentais la langue de Claudine rentrait en moi. Elle était positionnée en dessous de Sébastien, et jouait avec sa langue entre mes cuisses ou suçant le sexe de Sébastien quand il sortait de mon anus. Tenant son sexe entre ses mains elle le dirigeait soit vers mon sexe béant soit vers mon anus, s’appliquant à le rentrer bien au fond, tout en ma claquant le cul. Je sentais Sébastien au bout, il allait venir et jouir. Il nous força à nous agenouiller toutes les deux, nous demandant de nous embrasser en jouant de nos langues. Pendant que nos langues s’entremêlaient, il se masturbait au dessus de nous tapotant son gland sur nos langues. Il nous demanda enfin de sortir nos gros seins afin de jouir dessus. De grands jets se répandirent sur nos poitrines et nous lui nettoyais son sexe avec nos bouches avec gourmandise. Claudine se jeta à nouveau sur moi en m’embrassa fougueusement rentrant sa langue en moi et me caressant les seins avec rudesse.Ses doigts rentrèrent en moi pour une ultime jouissance.- Regarde-moi avec tes grands yeux de biches apeurés pendant que je te doigte, je veux te voir jouir. Depuis le temps que j’en rêve. Ca fait des années que tu me snobes avec ton gros cul, mais maintenant t’es à moi.Sébastien la laissa se déchainer sur moi pendant plusieurs minutes, jusqu’à ce que des flashes retentissent à nouveau.- Arrêter mes 2 salopes, on doit rentrer maintenant. Claudine j’ai bien sur effacé tes photos de ton téléphone mais je garde celles la en souvenir.Sans un mot et honteuses, nous nous réajustèrent et le suivirent vers la maison comme deux esclaves soumises à leur maitre.

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Soumise Charlotte 6Chapitre 6Cette fois-ci, j’eu besoin d’une bonne semaine pour me remettre. Il faut dire que pour un premier gang-bang, huit mecs pendant plusieurs heures c’était beaucoup. Quand des flashes back de la soirée avaient commencés à me revenir, j’avais d’abord eu une pointe de colère car je savais très bien que je n’étais pas dans mon état normal et j’avais une idée de ce qui l’avait causé. Cependant, je m’étais fait une raison. Ça ne m’avait pas vraiment déplu. Je n’aurai jamais osée en temps normal, mais c’était quelque chose qui m’attirait. Indéniablement. Un sentiment de honte persistait quand même. Surtout qu’Alex était dans notre classe. Contrairement aux autres hommes présents, j’allais le revoir cinq jours sur sept. Comme pour monsieur Cooper, j’étais maintenant gênée en sa présence. Ce qui l’amusait beaucoup, de même que Julian. Surtout que je ne l’imaginais pas du tout comme ça. Lui qui paraissait si gentil… « Bon, maintenant que tu t’es remise, on va pouvoir reprendre nos activités. »Nous étions jeudi soir, et quasi deux semaines avaient passées depuis ma soirée mouvementée. Je hochais la tête.« Tant que tu ne me refait pas ce coup. »Il éclata de rire tout en ouvrant la porte de l’appartement. Son père était déjà rentré. Mais ça ne posait plus vraiment de problème qu’il soit là ou non. Julian se plaisait justement à créer des situations pour me mettre dans l’embarra quand il était là. Il me donna son sac de cours.« Va enfiler les habits qui sont sur le lit. » Ordonna-t-il avant de se diriger vers le salon.J’allais donc dans sa chambre, déposais nos sac près du bureau et m’approchais du lit. Comme je le craignais, très peu de tissu. Le haut blanc comportait un grand V dans le dos et un autre à l’avant qui laissaient très peu d’imagination. Quand je l’enfilais, même le bas de mon dos était visible et l’ouverture à l’avant laissait apparaître le haut de mon ventre en ne cachant même pas la totalité de mon soutien-gorge. La jupe quand à elle était noire et non moulante, mais très très courte. On devinait le bas de mes fesses sans que je n’aie besoin de me baisser. Je m’examinais dans le miroir tout en espérant qu’il ne comptait pas me faire sortir comme ça, quand la porte s’ouvrit.« Parfait. » Fit Julian avant de se planter devant moi.Il me plaqua contre lui et m’embrassa langoureusement tout en laissant ses mains se balader sur ma peau exposée. De mes épaules à mes reins, en passant par mes cuisses et mes seins, finissant leur course sur mes fesses. Je gémis tandis qu’il les pétrissait. J’étais trempée. Mais il s’écarta.« On a pas mal de devoirs à terminer pour demain, on ferai mieux de s’y mettre. »J’acquiesçais, frustrée, et m’assis à mon tour au bureau. Ça nous prit une heure, durant laquelle je ne cessais de gigoter sur ma chaise, en proie à une forte envie de sexe. Presque deux semaines sans rien faire, ça commençait à faire long. Mais Julian restait concentré et il ne me jeta pas un coup d’œil durant tout ce temps. Je failli gémir de frustration quand son père nous appela pour manger.« Je vais vraiment devoir y aller comme ça ? » Demandais-je à Julian alors que nous nous levions.« Pourquoi pas ? »Et il sorti de la chambre. Je soupirai, tirai sur la jupe pour tenter de couvrir un peu mes fesses et allait les rejoindre dans le salon. Son père me détailla de haut en bas sans se cacher jusqu’à ce que je sois assise à côté de son fils. Puis nous commençâmes à manger en parlant de toute et de rien, la télé en bruit de fond. « Ce soir il güvenilir bahis y a match. Tu le regarde avec moi ? » « Bien sur, je ne vais pas rater ça. » Répondit Julian.Je senti sa main se poser sur ma cuisse, et la chaleur qui c’était calmée reparue aussitôt. Je me surpris même à écarter les cuisses. Un sourire se dessina sur le visage de Julian tandis que sa main remontait lentement vers ma chatte. Je fis tous les efforts du monde pour continuer de manger normalement et ne pas lui demander qu’on aille dans la chambre. Lui continuait de parler tranquillement avec son père du match qui allait commencer. Ces doigts effleurèrent enfin mes lèvres trempées et gonflées et commencèrent leurs caresses. Je n’en pouvais plus, j’étais en feu et j’aurai voulu qu’il me prenne tout de suite. Mais il se contentait de m’effleurer doucement, sans approfondir.Monsieur Cooper frappa dans ses mains, me faisant sursauter.« Bien ! Maintenant au match ! Dit-il en se levant. Charlotte, je te laisse débarrasser. »Julian retira sa main et se leva à son tour pour suivre son père jusqu’au canapé.« Rejoint nous une fois que tu auras terminé. » Me dit-il.Le canapé étant en face de la table, je sentis leur regard sur moi tout le temps que je mis à débarrasser, ne me laissant du répit qu’une fois que je disparaissais dans la cuisine. Je maudissais intérieurement Julian de me faire porter cette tenue. Je pris le temps de mettre la vaisselle dans le lave-vaisselle pour tenter de me calmer un peu. Rester assise à côté de Julian pendant tout un match, qui ne m’intéressais pas, alors que je n’avais qu’une envie, c’était baiser, allait être difficile. J’allais néanmoins les rejoindre et prit place à côté de Julian, au bout du canapé. Les lumières étaient éteintes, si bien que la pièce était seulement éclairée par la télé. Je n’en gardais pas moins les cuisses serrées à cause de cette foutue jupe. Même quand Julian posa à nouveau sa main sur ma cuisse. J’espérais qu’il n’allait pas reprendre ses caresses alors que son père était juste à côté. Je sentis néanmoins sa main écarter mes cuisses au bout de quelques minutes. J’obtempérais, car j’étais certaine que la situation allait se retourner contre moi si je ne le faisais pas. Je les écartais donc docilement, et ses doigts reprirent là où ils c’étaient arrêtés pendant le repas. Je jetais des coups d’œil au père de Julian mais il était concentré sur le match. Je me détendis, et les doigts me fouillèrent un peu plus profondément. Je fermais les yeux et fit un effort pour ne pas gémir et écarter d’avantage les cuisses. Puis les doigts se retirèrent, remplacés par quelque chose de dur qui entra lentement en moi. Un œuf vibrant. Je rouvris les yeux et regardait Julian, dont le regard était fixé à la télé. Il retira sa main et les vibrations commencèrent. Je resserrais les jambes et étouffait un gémissement. Il avait tout prévu. Mais j’en avais trop besoin. Aussi me laissais-je aller contre le dossier du canapé, les vibrations s’intensifiant. J’allais même jusqu’à descendre une main pour remplacer celle de Julian. Il fallait vraiment que je jouisse. Contrairement à lui, je laissais mes doigts fouiller profondément mes chairs, pénétrer dans mon vagin et pousser l’œuf encore un peu plus loin. C’était tellement bon. Je sentais monter la pression familière qui m’avait tant manquée. Encore un peu. Juste un peu…« Regardez moi ça ! Charlotte, quelle dépravée ! »Je rouvris brusquement les yeux. Monsieur Cooper était debout, devant moi, les bras croisés. türkçe bahis Je sentis le rouge me monter aux joues et détournais la tête sur le côté, vers Julian, qui semblait très satisfait. Je le fusillais du regard et me levais pour partir dans la chambre. Une main me rattrapa par le poignet.«Reste ici jeune fille. Te voir te tripoter m’a donné des envies. »Je frissonnais. Il ne c’était rien passé avec lui depuis l’épisode de la cuisine. Je craignais de connaitre ses fameuses envies. Mais il me tirait déjà en arrière.« A genoux sur le canapé, les bras sur le dossier. » Ordonna-t-il d’une voix autoritaire.Je regardais Julian, qui se contenta de se lever à son tour du canapé. Je m’exécutais donc, non sans une certaine réticence. Les vibrassions de l’œuf n’avaient pas cessées, si bien que je ne pus me retenir de cambrer mon cul de plaisir. « Regarde-moi comme elle mouille cette chienne. »« Presque deux semaines sans sexe. Elle est bouillante. »Julian avait raison. J’étais bouillante. J’avais vraiment besoin de sexe et luttais pour ne pas me tortiller. On me claqua violemment une fesse et je criais, tandis que l’œuf s’arrêtait. Un gémissement de frustration m’échappa.« Reprends tes caresses. » M’ordonna le père de Julian.J’eu une seconde d’hésitation, qui fut soldée par une nouvelle claque retentissante. Je m’empressais de porter timidement une main à ma chatte trempée, et commençait à me caresser.« Tu étais moins timide tout à l’heure. Doigte-toi. Profondément. »J’obtempérais et fit pénétrer deux doigts en moi, allant de plus en plus vite, poussant l’œuf un peu plus profondément. La pression revint, et j’accélérais encore. « Maintenant, retire l’œuf et met toi le dans le cul. Tu l’a tellement trempé que tu n’a pas besoin de lubrifiant.»J’arrêtais tant bien que mal mes vas et viens pour sortir l’œuf et faire ce qu’il me demandait. Je poussais doucement contre mon trou, grimaçant sous la douleur. L’œuf entra d’un coup et je poussais un petit cri. Les vibrassions commencèrent aussitôt, et je sentis des doigts pénétrer ma chatte, s’amuser à toucher l’œuf à travers la fine paroi qui les séparait. Je me mis à gémir. L’orgasme n’était pas loin. Inconsciemment, mes hanches se mirent en mouvement pour aller à la rencontre des doigts, pour accélérer le rythme. Mais les doigts se retirèrent.« Fin de la pub. » Fit monsieur Cooper en me donnant une claque sur les fesses.« Va nous chercher des bières Charlotte. »Je me relevais difficilement du canapé et, les jambes tremblantes, allait chercher deux bières dans le frigo. Quand je revins, aucun des deux ne me regarda, concentré sur le match. Mais ça n’empêcha pas Julian d’augmenter les vibrassions.« Met toi en levrette devant nous. Le haut du corps sous la table basse. » M’ordonna-t-il.Je m’exécutais. C’était encore plus humiliant que sur le canapé. La tête au sol sous la table et le cul en l’air, m’exposant entièrement à leur vue sans rien leur cacher, j’étais morte de honte. Je sentais de temps en temps une main me caresser les fesses, les vibrassions diminuer ou s’amplifier mais rien de plus. Je commençais à avoir mal aux genoux de rester dans cette position. L’œuf m’excitait, et je sentais que ma chatte était humide. Connaissant Julian, il était capable de me laisser comme ça et de m’interdire de me toucher pendant la nuit.Je sursautais quand quelque chose de froid s’immisça entre mes lèvres et commença lentement à me pénétrer. « On va refroidir cette chatte en feu. C’était le père de Julian. Tu t’es déjà pris une güvenilir bahis siteleri bouteille ? »Je gémis quand il l’enfonça un peu plus profondément et qu’il changea l’orientation. Je sentis un peu de liquide frais s’écouler tandis que les pieds de Julian passaient devant moi avant de disparaître.« On va s’amuser un peu. » Dit-il en revenant.Les vibrassions redoublèrent, de même que les vas et viens de la bouteille. Au même moment, je sentis quelque chose de froid glisser contre mon cul et des doigts me pénétrer. Je gémis et me tortillais sous ses nombreux assauts. Et je tentais de ne pas me crisper quand Julian remplaça ses doigts par ce que je supposais être la seconde bouteille de bière. Le goulot rentra assez facilement grâce à la bonne préparation.« Regarde moi ça comme elle prend du plaisir à se faire baiser par des bouteilles de bière. Une vraie salope.»Je criais quand la bouteille de ma chatte fut échangée contre une chose glacée qui fut poussée profondément. La sensation était plus qu’étrange, surtout avec l’écart de température. Je compris qu’il s’agissait d’un glaçon, qui fondit heureusement assez vite, ma chaleur chassant le froid. Mais Julian en inséra deux autres avant de remettre la bouteille et de reprendre les vas et viens. Je gémissais maintenant sans interruption. Toutes les sensations combinées me faisaient perdre la tête. Je n’en pouvais plus.« Retire-lui l’œuf. »Le père de Julian s’exécuta, et tout s’arrêta. Je grognais. Mais bien vite je sentis autre chose se présenter contre mon cul. Une boule, qui entra d’un coup, comme l’œuf. Puis elle fut suivit de plusieurs autres. Et d’un glaçon. Je sentais l’eau glacée s’écouler de plus en plus profondément en suivant les boules. « Tu pense qu’on a assez refroidit ses ardeurs ? »« Non, je ne pense pas. »J’ouvris la bouche pour protester, mais une bouteille fut à nouveau insérer dans ma chatte, et du liquide froid s’en écoula, me remplissant lentement. Puis le goulot fut retiré lentement. Je m’empressais de contracter mes muscles pour empêcher le liquide de sortir. Sauf que les vas et viens commencèrent, et je ne pus bientôt plus rien contrôler. Je m’abandonnais totalement à toutes ses sensations en criant. La bière coulait entre mes cuisses écartées alors que la bouteille me pénétrait de plus en plus profondément. Il n’y avait plus seulement le goulot, la partie large était aussi rentrée et me démontait avec de violents vas et viens. Quand en même temps le chapelet fut retiré brusquement de mon cul, je ne pus retenir le cri qui vint en même temps que mon orgasme. Je m’écroulais au sol, le bas du corps dans la bière encore tiède, tremblante. L’orgasme avait été tellement violent que j’étais certaine d’avoir eu une brève absence.« Ou tu va comme ça ma jolie. On a pas terminé. »Je sentis des mains me redresser dans la position où j’étais, et presque aussitôt on me pénétra.« Un cul d’enfer. Même après ce qu’il a subi il reste bien serré. »La table basse fut poussée, et on me redressa à quatre pattes, avant de me présenter une queue. Celle ce Julian. J’ouvris la bouche et il s’y engouffra pour attaquer de vigoureux vas et viens. Au même rythme que ceux de son père. Ils éjaculèrent assez rapidement et en même temps, Julian s’enfonçant profondément pour répandre son sperme chaud au fond de ma gorge. Ils se retirèrent et m’aidèrent à aller jusqu’à la salle de bain, où Julian s’occupa de me doucher. Je m’étais endormi avant même que l’eau ne coule sur moi.__________________________________________________________________Voilà un nouveau chapitre. Si tout se passe bien, je posterai un chapitre par semaine :)J’espère qu’il vous plaira, et n’hésitez pas à donner votre avis ;)__________________________________________________________________

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La petite asiatique et l’écrivainCurieusement, à cette époque, je n’avais jamais fantasmé sur des filles d’origine asiatique. Et en acceptant de répondre au questionnaire de celle avec qui j’avais rendez-vous ce jour-là, je ne pensais pas que l’envie me viendrait. Elle s’appelait Mia. Elle était coréenne. Elle m’avait contacté par mail pour me dire qu’elle était en première année de fac de lettres modernes et qu’elle devait faire un exposé sur le métier d’écrivain. Je ne croulais pas sous le travail à ce moment-là, alors nous avions fixé un jour et une heure où elle pourrait venir chez moi et me poser ses questions.C’était un mardi, à 10h du matin. C’était le printemps et il faisait doux. Mia fut ponctuelle et je l’invitai à entrer, puis à s’asseoir dans le canapé de mon salon. Elle accepta de prendre un café. Elle était assez grande, très mince. Ses cheveux noirs, longs et très fins, lui arrivaient presque aux fesses. Elle portait une petite laine vanille, un chemisier crème, uni, une jupe en daim marron, assez courte, et des bottines également en daim, mais noires. Ses jambes étaient bues et ses yeux bridés m’évoquèrent des petites meurtrières horizontales. Sa peau très claire de son visage ne portait pas la moindre trace de maquillage.J’ai déposé deux tasses sur la table basse et me suis installé dans un fauteuil situé en face du canapé où l’étudiante avait ouvert une chemise rouge cartonnée dont elle sortit deux ou trois feuilles blanches. Je suivis tous ses gestes sans rien dire. J’avais déjà répondu aux questions d’autres étudiants par le passé, et c’étaient bien souvent les mêmes qui revenaient. C’était assez ennuyeux, mais il me semblait important de consacrer un peu de temps aux jeunes en phase d’apprentissage. Je fus surpris par la première question de Mia :« Vous vivais seul ? »« Oui, dis-je. »« C’est un choix ? »« Oui. J’ai besoin de calme pour travailler. Besoin de disposer de tout mon temps et de tout mon espace. »Elle écrivit quelques mots en haut d’une feuille, puis dit :« Cela fait-il de vous un être associable ? »« Non, je ne crois pas. Vous ne seriez sans doute pas assise en face de moi si c’était le cas. »Elle me retourna un discret sourire et j’ajoutai :« Et je suis souvent invité sur des salons du livres qui me confrontent à beaucoup de monde et de bruit. Mais j’aime rentrer chez moi et retrouver ma solitude. »Elle nota tout cela et je l’observai pendant ce temps. Ses cuisses étaient serrées et elle ne portait aucune bague à ses doigts qu’elle avait longs et fins. Elle releva les yeux güvenilir canlı bahis siteleri :« Cette solitude a-t-elle un impact sur votre vie affective ? »« Vos questions sortent de l’ordinaire, dis-je. »Elle sourit un plus franchement et répondit :« J’ai récemment eu l’occasion de lire des questionnaires d’étudiants des années passées. Je les ai trouvés franchement rébarbatifs, pour ne pas dire chiants à mourir, et j’imagine que c’est aussi le cas des profs de la fac, alors j’ai essayé de faire quelque chose de différent. »« Pour le moment, c’est réussi, dis-je. »« Et donc ? dit Mia. »« Et donc, non, ça n’a pas vraiment d’impact sur ma vie affective. »Elle écrivit et posa sa question suivante sans relever les yeux :« Etes-vous marié ? »« Non. »« Etes-vous divorcé ? »« Oui. Depuis trois ans. »Elle nota et continua :« Avez-vous des enfants ? »« Non. »« C’est un choix ? »« Oui. J’ai 47 ans et j’ai vécu avec deux femmes de façon durable, mais ce n’est pas mon truc. Ni le couple, ni les enfants. Mes enfants, mes bébés, ce sont les romans que j’écris. »Elle hocha la tête en guise d’approbation et écrivit.Elle avait posé sa chemise cartonnée sur ses cuisses. De temps en temps, ses genoux se séparaient brièvement, mais pas assez pour m’offrir l’occasion d’entrevoir le moindre indice de culotte. Je me suis surpris à me faire cette remarque au stade de notre entretien. Je me suis aussi surpris à avoir très envie de caresser la peau d’une fille d’origine asiatique, pour la première fois.Par le passé, j’avais couché à deux reprises avec des filles blacks. La première avait 22 ou 23 ans, mais on lui en aurait facilement donné 16. Elle était stagiaire au sein de l’équipe organisatrice d’un salon du livre où j’étais invité. La deuxième avait une petite trentaine, elle était bibliothécaire. Elle avait de superbes nichons qui tombaient fièrement.Je m’étais envoyé une seule fille du Maghreb, de plus ou moins 30 ans également. Une lectrice venue me dire sur un autre salon du livre qu’elle avait été particulièrement saisie par ma façon de décrire les comportements de mes personnages. Une superbe nana, légèrement plus grande que moi. J’ai gardé en mémoire l’exquis parfum épicé de sa peau et le souvenir de sa langue qui s’enroulait autour de mon gland tandis que je suçais son anus sucré.Mia releva les yeux et dit :« Ce choix a-t-il un impact sur la fréquence de vos relations sexuelles ? »J’ai ravalé ma salive et pris ma tasse de café pour l’engloutir d’un trait.Puis j’ai répondu :« Vous allez inclure güvenilir illegal bahis siteleri ce genre de question à votre exposé à la fac ? »« Oui, mais votre nom ne sera pas cité. C’est anonyme. »J’ai répondu en faisant une moue :« Bien… Mais pouvez-vous être plus précise dans votre question ? »Mia s’est raclée la gorge avant de dire :« L’énergie que vous consacrez à l’écriture a-t-elle une incidence sur celle qu’exige une relation amoureuse ? »J’ai soupiré en regardant ailleurs. « J’imagine que oui. Certainement. Vos questions sortent décidément de l’ordinaire, mademoiselle. Quel âge avez-vous ? »« Je viens d’avoir dix-neuf ans, dit-elle. »« Vous ne les faites pas. »« Ah ? Vous m’auriez donné quel âge ? »J’ai haussé l’épaule et dit :« Quinze ou seize. »« Merci. C’est gentil à vous de me dire ça. »« Avez-vous lu mes romans avant de me rendre visite ? »« Non, dit Mia, je suis désolée, je n’ai pas pris ce temps… »« Ce n’est pas grave, dis-je. Je vous pose cette question, car dans mon premier livre, il est question d’une relation entre une adolescente et un voisin à elle qui lui donnent des cours de français. Il a plus ou moins mon âge. »Elle hocha la tête. Elle me regardait attentivement.« Et ? dit-elle. »« Et ils font l’amour chez lui, deux fois par semaine. J’avoue que le film Noces Blanches m’a beaucoup inspiré. L’avez-vous vu ? »« Oui, il n’y a pas très longtemps. »« Qu’en avez-vous pensé ? »Elle détourna le regard pour chercher les mots de sa réponse dans le décor de mon salon, puis elle dit :« J’ai eu ce genre de relation quand j’étais au lycée, en seconde. Avec un professeur de maths. Je déteste les maths. Il était un peu plus âgé que Bruno Cremer dans le film. Et vous, avez-vous déjà eu ce genre de relation ? »« Oui, dis-je. Ça m’est arrivé. »« Avec une fille mineure ? »« Oui, elle était en première. »« C’était dans le cadre d’un exposé à rendre ? »« Non, c’était une simple lectrice venue me voir sur un salon du livre. Elle avait précisément apprécié mon premier roman. »« J’aimerais le lire. »« Il doit m’en rester deux ou trois exemplaires dans un coin. Je vais vous en offrir un. »« C’est très gentil à vous. Je le lirai et je reviendrai vous voir pour vous dire ce que j’en ai pensé. Où se trouvent vos toilettes, s’il vous plait ? »Je lui indiquai la porte des toilettes, puis elle se leva et je la regardai quitter la pièce. Je bandais. Je repensais à la fois à cette lycéenne avec qui j’avais couché, à la fois au petit cul de Vanessa Paradis dans le film, mais aussi à celui güvenilir bahis şirketleri de Mia et aux questions qu’elle m’avait posées.J’avais écrit une dédicace à cette fille, quatre ans auparavant, et elle l’avait lue en ma présence. J’y faisais référence à son agréable sourire et à ses yeux magnifiques. Elle les avait relevés aussitôt après avoir lu, en rougissant. Puis elle m’avait dit :« Merci beaucoup. »Et elle était partie, mais je l’avais recroisée en fin de journée, au café du salon du livre. Elle était seule à une table et je m’étais approché d’elle. Je lui avais offert un verre et nous avions parlé pendant un moment. Elle m’avait rejoint, le soir, après le repas organisé pour les auteurs. J’avais eu très peur de lui briser le cul en la pénétrant en levrette sur mon lit.Je connaissais un autre écrivain qui aimait s’envoyer des jeunes de cette façon, quand l’occasion se présentait. Nous en avions parlé un soir ensemble, après avoir bu quelques verres.Un ancien pote de lycée, devenu prof de philo, m’avait aussi raconté qu’il se tapait des lycéennes de temps en temps. Et même une fille de troisième, une fois. Il m’avait donné des détails, cet enfoiré.Dans mon premier roman, les scènes de sexe étaient décrites de façon plus crue qu’elles n’étaient montrées à l’écran dans le film Noces Blanches. Il y avait notamment une fellation qui durait vingt lignes, mais elle en faisait quarante initialement. Mon éditeur m’avait demandé de la raccourcir. Une scène de sodomie était un peu plus courte que ça, vers la fin du livre. J’avais écrit ce roman à la première personne du masculin, du point de vue du prof en question. A la sortie des toilettes, Mia me dit :« Excusez-moi, j’ai été un peu longue, je me suis masturbée. »Il était presque 11h.Je ne lui ai pas laissé le temps de se rasseoir en face de moi. Etant donné le ton de ses questions, je n’ai pas eu trop de scrupules à lui dire :« Veux-tu faire l’amour, Mia ? »Elle a souri.Elle a mis ses mains dans son dos, puis elle a dit :« Pourquoi pas, ça nous fera une petite pause. »Je l’ai invitée à me précéder dans ma chambre, et je n’oublierai jamais le moment où elle fit glisser sa culotte le long de ses cuisses en me tournant le dos. Ni celui où elle monta sur moi à califourchon pour s’empaler sur ma queue qui était raide comme un bout de bois. Ni celui où elle ouvrit son cul au-dessus de mon visage avant de prendre mon gland entre ses lèvres pour le lécher en bavant dessus. Ni ses minuscules seins. Ni sa petite touffe discrète sur laquelle je déchargeai violemment en embrassant cette fille asiatique sur la bouche, et en lui disant :« Reviens me voir quand tu auras lu mon livre. »Elle est revenue le lendemain soir. Elle avait dévoré le livre.Elle est restée dormir avec moi cette nuit-là. Contre moi. Son corps était bouillant et le sperme collait entre nos ventres.:::

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Massages : Avec KarineUn de mes premiers émois date d’il y a plusieurs années. Je revenais de l’entraînement de foot auquel je participais chaque mercredi après-midi. En arrivant à la maison, sans même avoir le temps de me doucher, ma mère qui est dans le salon me montre une sorte de grosse trousse de toilette qui est sur la table basse et me demande la rapporter à son amie Karine qui l’a oubliée. Karine est la meilleure amie de ma mère et lui fait aussi profiter de ses talents d’esthéticienne à domicile pendant que je vais au foot et que mon père est au travail.— Mais j’ai même pas eu le temps de prendre une douche !— Tu le feras en revenant, je te demande juste d’aller déposer ça chez elle, elle l’a oublié et en a besoin pour son travail.C’est donc encore suant de la séance de sport que je mets la trousse sur mon porte-bagage et pédale jusque chez Karine. Heureusement, elle n’habite pas très loin, dans un des nouveaux immeubles qui venaient d’être construits à Didier. Un quart d’heure après, encore essoufflé par la course, je sonne à la porte de son appartement. J’entends des pas : « Qui est-ce ?— C’est Francis, le fils de Mathilde. Je t’apporte ta trousse.— Ha oui, merci beaucoup d’être venu si vite dit-elle en ouvrant la porte.J’ai déjà vu Karine, mais là elle porte seulement un paréo en tissu blanc très fin qui fait ressortir sa peau très foncée, et le nœud sur sa poitrine pour faire tenir le vêtement, lui comprime les seins mais les fait aussi ressortir. Je suis fasciné par la pointe de ses tétons, qui me paraissent énormes et que le tissu souligne plus qu’il ne les dissimule. Karine me tend sa joue et je suis obligé de me pencher légèrement pour l’embrasser, mais un brusque mouvement de sa part fait que je me retrouve à lui baiser les lèvres. Je me recule rapidement : « Désolé », dis-je.— Ce n’est pas grave. Suis-moi. Viens poser la trousse dans le salon, dit-elle en me tournant le dos pour me guider à l’intérieur de l’appartement. Évidemment mes yeux regardent alors ses deux grosses fesses qui roulent devant moi, cachées par le tissu qui s’arrête à mi-cuisse. Son paréo est tellement mince, que je me rends compte rapidement qu’elle ne porte aucun sous-vêtements. L’érection que j’ai depuis qu’elle a ouvert la porte devient encore plus forte, et je me demande comment je vais pouvoir la dissimuler.L’appartement n’est pas très grand, mais moderne et lumineux. Dans le salon une table de massage est installée ainsi que plusieurs boites ou trousses comme celle que je porte.— Tiens, pose ça à côté des autres. Tu veux boire quelque chose après avoir couru comme ça ?— Oui, un coca si tu avais ?— Non, pas du tout, désolée. J’ai de la Didier ou bien un jus de maracudja que je viens de faire.— Le jus, ça ira très bien, merci.Elle va de l’autre côté du bar de la cuisine à l’américaine pour chercher le jus dans le frigo.— Ta mère ne m’a pas menti.— Sur quoi ?— Tu es vraiment devenu jeune homme.— Merci.— Tes copines doivent être contentes.— Heu…— Tu as des copines quand-même ? dit-elle en revenant vers moi avec deux verres de jus dans les mains.— Heu… pas vraiment.— Tu es comme tous les mecs, tu veux garder ta liberté.— Oui, c’est mieux, je préfère.— Assis toi, tu seras plus à l’aise.— Merci.Karine s’assoit elle aussi. Dans le fauteuil en face de moi. Elle écarte les jambes et j’ai alors une vue plongeante sur la fente de son sexe. Ma confusion grandit, et mon sexe qui s’était un peu calmé pendant la conversation regonfle de plus belle.— Tu vas bien ? Tu as l’air tout drôle.— Non, non ça va, merci.— Tu reviens du sport c’est ça ? Tu fais du foot ?— Oui, c’est ça, dis-je, les yeux fixés sur ce sexe dont je voyais nettement l’ouverture rose entre les cuisses couleur chocolat.— Tu fais un massage après l’entraînement ?— Heu, non.— Tu devrais pour éviter les courbatures. Si tu veux je t’en fais un.— C’est vrai ?— Pour te récompenser güvenilir bahis de m’avoir apporté la trousse.— D’accord, merci.— Très bien, finit ton verre et va prendre une douche, je vais finir de préparer la table de massage.Je bois le reste du jus d’un trait et me lève pour aller dans la salle de bain. J’entends Karine derrière moi : « Surtout ne prends pas de l’eau trop froide. » La salle de bain est moderne comme le reste de l’appartement, la cabine de douche à l’italienne est spacieuse et l’on pourrait facilement tenir à deux dedans. Je me déshabille et ouvre les robinets, l’eau tombe à travers une très large douchette, comme une pluie. Je ferme les yeux en espérant débander sous l’action de l’eau, mais il m’est évidemment impossible de penser à autre chose qu’au sexe de Karine.— ça va ? Tu as trouvé les serviettes ?La voix de Karine me fait sursauter et ouvrir les yeux. Elle regarde mon sexe bandé avec un petit sourire aux lèvres.— Tu veux que je t’aide à te savonner le dos ?— Oui, merci, dis-je en me tournant, encore plus confus que tout à l’heure.— Détends-toi. Profite. Tout va bien se passer, dit-elle en posant ses mains savonnées sur mes épaules.Ses mains sont douces, elles caressent ma peau savonnée et mon érection devient de plus en plus forte. Karine frotte doucement mes épaules, puis descendent peu à peu sur mon dos par de lents mouvements circulaires. L’eau chaude qui continue à couler rend la chose de plus en plus excitante. Ses mains sont maintenant sur mes fesses qu’elles caressent doucement, puis je sens la droite faire le tour de mon bassin pour se saisir de ma queue bandée. En même temps, je sens la poitrine de Karine se coller à mon dos et son souffle se rapprocher de mon oreille pour me dire : « Je suis sûre que tu vas beaucoup aimer ça. » Elle commence à caresser mon dos avec ses seins pendant que ses mains s’activent sur ma queue, mes couilles et mon ventre.Je suis tellement excité que je sens rapidement le sperme monter dans ma bite et malgré mes efforts pour ne pas partir, je jute à gros jets sur le carrelage de la douche.— C’est bien, dit-elle, tu seras plus détendu pour profiter du massage. Mais ça devait faire un certain temps que tu n’as pas fait l’amour pour juter de telle quantités ? Je n’ose lui dire que je m’étais encore branlé ce matin-même. Je me retourne, elle est maintenant entièrement nue. Ses seins sont comme je les imaginais, bien ronds avec de larges auréoles de gros tétons.— Tu ne me trouves pas trop vieille pour toi ?— Pas du tout, tu es magnifique, dis-je, avec d’autant plus de sincérité qu’elle tenait toujours ma queue en main et la branlait doucement.— Parfait. Je vais finir de te rincer et puis on va aller sur la table de massage.Elle laisse alors ma queue toujours bandée pour prendre du savon et commencent à me savonner tout le corps. Ses mains sont douces et fortes. Elles passent dans tous les recoins de mon corps, y compris au plus profond de mes fesses qui à ma grande surprise trouve très agréables d’être ainsi caressées. Évidemment, je ne débande pas une minute malgré le fait d’avoir récemment éjaculé. Elle me rince avec la douchette et je suis fasciné par ses seins qui s’agitent devant moi à cause de ses mouvements.— Tu peux les toucher si tu veux.Mes mains se posent alors sur les deux globes, doux et souples, instinctivement mes doigts jouent avec ses tétons qui se raidissent rapidement.— Toi aussi tu me fais de l’effet. Viens, dit-elle en enlevant doucement mes mains de ses seins, on va aller faire le massage.Elle se tourne et en me tenant la main m’emmène dans la salle. La table de massage est toujours là, mais maintenant une espèce de natte épaisse est sur le sol. La pénombre due aux volets baissés et la musique douce que diffuse son ordinateur font une ambiance très apaisante.— Finalement, je pense que nous serons plus à l’aise si je te fais un massage türkçe bahis au sol. Couche-toi à plat ventre.Je m’exécute et m’allonge sur le matelas.— Je préfère masser nue, c’est plus agréable. J’imagine que ça ne te dérange pas ?— Non pas du tout.— Tant mieux.— Tu masses tous tes clients nue ?— Oui, je préfère, c’est plus agréable pour eux aussi s’ils sont entièrement nus que je le sois.— Et ma mère aussi ?— Bien sûr.L’idée que de ma mère entièrement nue, massée par Karine dans la même tenue me trouble, mais m’excite aussi profondément. Mon érection qui avait un peu baissé repart de plus belle, je sens mon sexe grossir sous mon ventre.— Allez, détends-toi, dit Karine en commençant à me frotter les épaules. Ses caresses sont douces, mais fermes et je sens peu à peu mes muscles s’apaiser. La tension sexuelle diminue aussi et ma bite se ramollit. Je profite du massage. Karine masse mes épaules, mon dos, puis mes jambes, mes cuisses qui en avaient bien besoin après l’entraînement de foot. Je suis vraiment détendu.Je sens que les mains de Karine se rapprochent de mes fesses. Elles les massent doucement et s’insèrent aussi entre mes cuisses. Je les écarte légèrement pour leur faciliter le passage et en remontant, ses doigts effleurent mes couilles. La tension sexuelle remonte d’un coup, mais Karine continue à me masser dos, cuisses et fesses. Elle me maintient excité en s’approchant de mes couilles et en les touchant comme pas inadvertance. Ses doigts semblent aussi s’égarer entre mes fesses et me caressent aussi légèrement la rondelle. Pour lui montrer que j’apprécie cette caresse toute nouvelle pour moi, je soulève légèrement mon cul pour aller au-devant de ses mains. Cette position a aussi l’avantage de donner plus d’espace à ma bite pour bander.— Soulève-toi encore un peu, dit-elle alors, en glissant un coussin sous mon ventre, puisque tu as l’air d’aimer ça, je vais te faire plaisir.Mon cul est maintenant légèrement en hauteur et elle écarte mes cuisses. Ses mains continuent à caresser ma queue, mais aussi mes couilles, mes fesses et surtout mon petit trou. L’excitation est vraiment très forte.— Tu devrais raser tous ces poils, ce serait encore mieux. La prochaine que tu viens je te le fais si tu veux.— D’accord.— Tu aimes ça que je te caresse le petit trou ?— Oui beaucoup.— C’est vrai, j’ai l’impression que tu mouilles du cul. Tu veux bien que je te mette un doigt ?— Oh oui.— Tu vas beaucoup aimer ça dit-elle alors que je sens un de ses doigts se glisser doucement dans mon anus pendant qu’elle continue à me caresser les couilles et la queue. La sensation est très excitante, et contrairement à mes craintes, je ne ressens aucune douleur. Au contraire, le plaisir semble devenir de plus en plus intense. Je sens un deuxième doigt rejoindre le premier dans mon cul. Je sens mes organes massés de l’intérieur est vraiment une sensation nouvelle. Une forte chaleur viens de mon cul et j’ai soudain l’impression d’un orgasme comme je n’en avais jamais ressenti auparavant.Il me semble durer très longtemps avant de se calmer et je sens maintenant les mains de Karine qui continue à me caresser, mais semble-t-il plus pour m’apaiser que pour m’exciter.— Mon petit doudou, tu viens d’expérimenter un orgasme prostatique, j’espère que ça t’a plu ?— Oui, énormément. Mais comment tu as fait ?— Très facilement, il suffit de caresser ce petit organe de l’intérieur, et aucun mec ne résiste. Par contre, il y a quelque chose qui ne va pas.— Quoi donc ?— Je t’ai fait jouir deux fois, mais moi je n’ai pas encore eu d’orgasme.— Je peux arranger ça, mais laisse-moi le temps de reprendre des forces.— Je pensais plutôt à autre chose que ta queue. Allonge-toi sur le dos, ça va être très reposant pour toi.J’obéis à Karen et m’installe sur le dos. Elle commence alors à remonter le long de mon corps d’un doux mouvement de reptation, puis se met güvenilir bahis siteleri sur les genoux en positionnant son sexe juste au-dessus de mon visage.— Je n’ai rien contre jouer avec une bite, mais je préfère qu’une langue me lèche mon petit chéri. Alors essaye d’être aussi doué que ta maman.— Ma mère te lèche aussi ? Dis-je très surpris.— Bien sûr, elle c’est le contraire de moi, elle préfère une bonne bite, mais après une épilation ou un massage, elle n’a rien contre s’amuser entre filles.Imaginer ma mère et Karine se gouiner me refît presque bander.— Je vois que ça t’excite petit vicieux, mais vas-y, fait moi jouir et je te raconterais d’autres choses si tu veux.Karine abaissa doucement son bassin pour mettre sa chatte au niveau de ma langue. Comme je l’imaginais, elle est lisse, très douce, et l’odeur d’excitation et son jus sont enivrants. En fait, je n’ai pas grand-chose à faire si ce n’est de bien sortir ma langue et la bouger lentement. Karine remue pour que je lui caresse aussi bien la délicieuse rondelle fripée cachée entre ses deux fesses bien rondes, que la fraise de son clitoris qui est de bonne taille, en tout cas beaucoup plus gros que celui de mes copines. Son corps se fait de plus en plus lourd sur mon visage et je sens ses mains caresser mon torse et ma bite de nouveau dressée. Ses mouvements de bassins sont de plus en plus rapides et j’entends sa respiration accélérée et devenir plus forte. Soudain, elle appuie de tout son poids sa fente sur ma bouche et je sens un liquide encore plus abondant envahir ma bouche. Je l’avale avec délice et pendant qu’elle reste assise sur moi, je m’enivre des délicieuses odeurs intimes de Karine.Après quelques instants, elle qui mon visage et se tourne vers moi : « Hé bien mon petit chéri, tu as encore à apprendre, mais tu te débrouilles très bien.— Merci.— Viens, je vais te rincer, dit-elle en me prenant la main pour m’aider à me lever et me guider vers la salle de bain.Nous entrons tous les deux sous la douche, elle règle l’eau, puis soudainement me pousse contre le mur et commence à me lécher le visage.— J’adore le jus de chatte, même si c’est le mien, et tu en as encore plein sur le visage, dit-elle en descendant de mon visage vers mon cou.Puis Karine descend lentement le long de mon torse. Elle suce mon téton droit, puis le gauche. Évidemment, ma queue qui avait molli se redresse aussitôt et l’eau tiède qui coule sur moi aide encore mon érection. La langue de Karine parcourt maintenant mon ventre, elle s’attarde sur mon nombril, puis je sens sa bouche se refermer sur ma queue. Le bout de sa langue lèche doucement le trou de ma bite, puis elle enveloppe toute la longueur de ma queue. Je sens peu à peu ses lèvres avancer le long de ma bite, puis son nez touche mon pubis. J’ouvre alors les yeux et me rend compte que Karine a pris toute ma queue dans sa bouche. Elle lève alors les yeux au ciel pour me regarder puis écarte doucement sa tête de mon corps pour faire sortir ma bite de sa bouche. Quand mon gland a repassé ses lèvres, elle continue à lécher mon méat avec la pointe de sa langue.— Tu es merveilleux mon doudou, tu as déjà joui deux fois et tu restes encore bien dur.— C’est toi qui me fais cet effet-là, c’est pour ça. Mais je croyais que tu préférais les filles ?— Oui, mais une jeune bite, grosse et dure comme la tienne, c’est toujours un plaisir.Pendant qu’elle me reprend en bouche, ces mains caressent doucement mes couilles, puis sa langue vient à son tour me lécher les testicules pendant que sa main caresse ma queue. Au bout de plusieurs minutes de ce manège, je jute une dernière fois. Les quelques gouttes de sperme qui sortent de ma queue viennent s’écraser sur les gros seins noirs de Karine. Elle remonte alors les deux globes noirs pour les lécher.— C’est délicieux quand c’est toi doudou, mais je préfère les filles.— Pas de problèmes.Karine m’aide à me savonner puis à me sécher et à m’habiller. Avant de quitter son appartement, elle m’embrasse goulûment.— Si tu reviens la semaine prochaine, j’aurais une surprise pour toi.— Il faudra que je demande à ma mère.— Je pense qu’elle dira oui.

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Les dunes…Samedi avec mon chéri, nous sommes allés nous promener en bord de mer, sur les dunes dans un coin où l’on sait qu’il y a parfois des voyeurs.On a aperçu un coupe d’hommes qui se suçaient alors on s’est mis à une vingtaine de mètres, on a mis plusieurs serviettes au sol et on s’est mis nus tous les 2. Paul s’est mis debout et j’ai commencé à le sucer à genoux, en jetant un regard vers les 2 types plus loin. J’étais très excitée et quand j’ai surpris le regard de celui qui se faisait sucer, j’ai fait un signe de mains qu’ils nous rejoignent.Ca a pris plusieurs fois avant qu’ils viennent vers nous.On s’est salué, je leur ai demandé s’ils voulaient qu’on suce ensemble.Ils se sont positionnés puis on était 2 à genoux à sucer les 2 mecs dont le mien.Après quelques minutes, on a interverti les bites, j’ai sucé l’autre homme. Il avait une belle bite bien dure avec un gros gland et mon homme semblait aimer la pipe de l’autre.Comme sa bite était bien grosse, je lui ai enfilé une capote et je lui illegal bahis ai demandé de prendre mon mari.Paul s’est mis à 4 pattes puis le mec a commencé à lui préparer l’anus et à s’y introduire.Aux gémissements de mon mari, j’ai compris que la bite était bien grosse et lui plaisait.L’autre homme m’a prise en levrette, mais rapidement je lui ai demandé de passer dans mon petit trou.Sa bite était assez fine et c’était très agréable de sentir mon petit trou s’ouvrir doucement avec cette bite fine.Rapidement il a senti qu’il venait et je lui ai demandé de se lacher sur mes seins.Je l’ai pris en bouche pour qu’il jouisse et il m’a inondée de sperme chaud sur mon visage et mes seins, il y avait du volume.Ca a excité l’autre qui ramonait mon homme, car il a laché un “donne moi ton cul salope” puis il m’a prise sans ménagement.Une vraie bonne bite bien dure dans mon cul. J’ai bien compris le sens du mot “se faire défoncer” Pareil au bout de quelques minutes, il a joui sur mes seins.Il ne restait que illegal bahis siteleri Paul qui n’avait pas joui, le mec à la bite fine l’a sucé quelques minutes, pendant que l’autre me bouffait la chatte.Je pense que Paul a du jouir (en fait dans la bouche de l’autre) car il est venu me sucer un sein, et l’autre homme l’autre sein.Je me suis totalement abandonnée à la langue de cet homme qui me faisait vraiment du bienJ’ai joui assez bruyamment et en me redressant, j’ai compris qu’il y avait 4 voyeurs autour de nous qui se branlaient.Le grand s’est mis de côté et à pissé, je lui ai demandé de faire sur moi et il s’est approché, j’avais envie juste sur le ventre et les seins, mais sans pouvoir trop rien dire j’en avais sur les cheveux et le visage et partout. Paul a eu la même envie et ne s’est pas trop fait prié car je sais que ça l’excite et qu’on fait ça moins d’une fois par an et encore.A peine fini, un des mecs qui se branlaient s’est approché de moi, m’a attrapée par les cheveux canlı bahis siteleri et a joui sur mon visage, j’en avais sur le front, sur la joue et sur les lèvres.Je me suis engouffrée comme une goulue sur la bite à côté et j’ai sucé le premier mec, puis l’autre d’à côté.Dans l’excitation on ne se rend pas forcément compte de ce qu’il se passe mais à un moment, j’ai repris mes esprits et je me suis demandée ce que je faisais là, j’avais une bite dans la bouche, j’en branlais une de chaque main, j’avais 2 ou 3 doigts dans le cul qui me fouillaient l’anus, j’avais une bouche sous ma chatte qui me léchait (c’était mon mari) et surtout je sens cette odeur de pisse et de sperme mêlés. J’ai pensé en moi même “je suis vraiment une grosse salope”Puis j’ai chassé ces mauvaises idées de ma tête et j’ai continué à sucer ces bites.Au bout d’un moment et de quelques centilitres de spermes sur moi, nous nous sommes retrouvés tous les 2 avec mon chéri, il avait aussi du sperme dans sa barbe, ça nous a bien fait rire et nous sommes rentrés à la maison.Le chemin entre les dunes et la voiture, j’avais cette odeur de sperme et pisse mêlés, et nous avons croisés plusieurs hommes qui semblaient incrédules et me fixaient lourdement, j’ai trouvé ça tellement excitant.

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1 er jour de dominationIrina était une jeune femme qui savait ce qu’elle voulait et ce qu’elle ne voulait pas. Depuis des années, elle s’était refusée d’avoir des relations amoureuses, trouvant les garçons trop gamin et sans intérêt. Elle préférait se consacrer à ses études et elle m’était un point d’honneur à être la première de la classe depuis sa première année de collège. Cela lui a permis d’avoir son bac avec un an d’avance avec plus de 18 de moyenne. Cette très bonne moyenne qu’elle ne pensait pas atteindre, lui a fait perdre un pari qu’elle avait fait avec sa meilleure amie. Clélia en avait marre de cette petite fille modèle à qui tout réussie. Elle avait décidé qu’elle devrait passer 2 semaines chez une amie à sa mère, non pas comme une petite fille modèle mais comme une femme sous la domination d’une autre femme.Mais avant de perdre le pari, Irina avait rencontré Virginie, pour faire connaissance. Virginie était une très belle femme de 37 ans. Comme Irina souhaite faire du journalisme après son bac, il avait été décidé qu’elle devrait raconter sous forme de reportage et les publier sur un compte de réseaux sociaux. Cela avait été l’occasion aussi à Virginie d’expliquer dans les grandes lignes mais en laissant beaucoup de mystère. Malgré tout, Irina savait qu’elle passerait du temps avec Virginie mais aussi qu’elle aurait le temps nécessaire à écrire des reportages de qualités.Comme lui avait demandé Virginie, elle arriva uniquement avec son PC et quelques affaires. Même si les rôles de dominante/dominée étaient bien établis, Virginie ne voulait pas qu’elle l’appelle Maitresse et préférait rester sur les prénoms.Irina arriva le matin comme prévu dans la maison de Virginie. Elle avait préparé un bureau pour qu’elle puisse travailler tranquillement avec imprimante et internet. Après son installation et visite des lieux, Virginie demande à Irina de venir dans la chambre et de se mettre nue afin qu’elle puisse récupérer ses affaires qu’elle récupérait à son départ. Irina sur la retenue était un peu pudique et les 10 ans qui les séparait la gênait. Virginie lui indiqua qu’elle n’avait pas le droit de refuser ce qu’elle demandait. Vu que c’était la première fois elle n’en tiendrait pas compte mais que cela ne devrait pas se reproduire. Une fois nue Virginie pu constater la présence d’une pilosité qui ne plaisait pas à Virginie.Toutes le 2 vont dans la salle de bain pour régler ce fait. Elle commence par passer un coup de tondeuse pour enlever la grosse partie. Dans un second temps elle enduit le pubis ainsi que les jambes d’un gel anesthésiant. Le temps que celui-ci agisse, elle fait enfiler un pantalon et une veste de kway. Au bout d’une heure, Virginie emmène güvenilir canlı bahis siteleri Irina dans la salle de bain où elle avait fait couler un bain bien chaud. Irina se glisse dans le bain, et se relaxe quelles que minutes. Dans un second temps, Virginie commence à épiler la totalité de la pilosité d’Irina sous l’eau pour être moins douloureux. Même si le gel avait bien fait son effet, elle ressentait l’arrachement de certain poil. Le résultat convenait à Virginie qui ne voyait plus aucun poil sur les jambes, pubis et sous les bras. Irina n’avait jamais été épilée et se trouvait toute nue.Une fois sèche, Virginie donne sa première tenue, qu’elle avait composée d’un body string noir en satin, d’une paire de bas autofixant noir, d’une robe en cuir et d’une paire de cuissarde en cuir noir à talon. Une telle tenue était une nouveauté pour Irina, qui était un peu prude. Elle ne voulait pas porter de string, et là Virginie lui demande de mettre un body sans dessous qui est de plus de type string très échancré. Mais le jeu étant, elle l’enfile sans rien dire.Par contre Irina était agréablement surprise de voir que tout était à sa taille. Lors de sa première visite, Virginie avec pris toutes les mesures nécessaires à donner des vêtements à la taille exact d’Irina. Virginie n’aimait pas un vêtement non ajusté à un corps. Cela n’avait pas évident car elle faisait du 32/34 avec une toute petite poitrine, mais de longue jambe. Virginie aimait beaucoup la morphologie d’Irina. Fine avec des yeux vert et des cheveux blond très lissent lui arrivant sous les fesses, Irina avait beaucoup de charme, malgré une absence de fesse. Mais Virginie lui dit qu’elle avait fait faire toutes ses tenues sur mesure pour être sûr qu’elle soit exactement comme elle voulait.Quand elle a enfilé les cuissardes, elle trouva une sensation agréable de sentir la jambe galbée par le cuir et maintenant la jambe jusqu’à mi-cuisse. Quand elle se mit debout, elle prit la dimension des 4 cm de plateforme associé au 10 cm de talon. De son 1m69 elle se retrouva à 1m83 mais était encore plus petit que Virginie qui dominait de son 1m80 mais toujours avec des talons de plus de 10 cm. Même si elle n’avait jamais de tel talons, comme c’était un talon carré, elle n’avait pas trop de mal à marcher avec. En se regardant dans la glace de la chambre elle pût voir que cela lui allait bien, même si la robe lui paraissait trop courte en lui arrivant juste sous les fesses.Dans un second temps Virginie invita Irina à déjeuner. Virginie était une perle en cuisine et préparait de très bon plats et à chaque repas commençait par une coupe de champagne. Pas trop habituée, Irina buvait doucement, mais güvenilir illegal bahis siteleri Virginie faisait attention de ne pas lui en mettre trop dans son verre.Après le déjeuner, Irina a été travaillé une bonne heure sur son reportage. Virginie qui était curieux, lui avait demandé de lui faire lire les débuts de son reportage. Elle avait pu constater qu’elle maitrisait très bien la méthode de rédaction et que cela était un plaisir à lire, mais aussi la discrétion sur les personnages.Dans l’après-midi, Virginie propose un thé à Irina avec des petits gâteaux sec. Même si Irina savait qu’elle était le Maîtresse et qu’elle doit obéir sans rien dire, elle pouvait aussi constater la dimension humaine de Virginie, Car elle se sentait dominée mais en même temps libre.Suite au thé, Virginie prend la main d’Irina pour l’emmener dans la chambre pour sa première expérience de dominée. Virginie commence par lui bander les yeux, avant de lui retirer la robe et le body, puis lui attache les mains dans le dos. Suite à cela Virginie ouvre le bas de sa combinaison cuir pour positionner un stapon dans son intimité et le tenir en refermant les zips autour le maintenant en place. Une fois prête, Virginie l’allonge sur le lit et demande à Irina de la chevaucher. Pour cela elle l’a fait monter sur le lit et la guide pour mettre ses genoux autour de son corps. La nudité et les petites formes d’Irina excitaient fortement Virginie. La tenant par la taille elle la guide et positionne son intimité à l’extrémité du gode. Irina réagi naturellement en se remontant sur ses genoux. Virginie recommence mais tient plus fermement les hanches ne lui permettant plus de réagir comme précédemment. Virginie regarde avec beauté le gode pénétrer cette intimité vierge et pur. Une fois bien au fond, elle commence le mouvement de va et vient et laisse Irina continuer d’elle-même. Virginie pouvait sentir le plaisir montée en Irina rien qu’à la force et vitesse de plus en plus forte. A chaque mouvement, Virginie ressentait aussi le mouvement de gode dans son intimité ne tardant pas à la faire jouir en silence. De son côté Irina continuait et laissa partir un cri plus fort tout mettant tout son poids sur le gode. Au bout de quelles que secondes, Virginie entreprend la masturbation du clito d’Irina tout en restant au fond et en lui interdisant de bouger. Irina avait le souffle coupé par la sensibilité de son intimité déjà à son maximum et luttait contre une seconde montée de jouissance qu’elle ne peut retenir à la grande joie de Virginie.Après avoir repris son souffle Virginie libère Irina qui avait les jambes coupées avec les 2 jouissances. Cette première expérience pour Irina, güvenilir bahis şirketleri loin de ce que peut espérer une jeune femme, avait été comblée et au-delà de ce qu’elle imaginait. Une fois debout Virginie enlève le bandeau et la détache, par contre en punition d’avoir résisté, elle devra rester dans sa tenue jusqu’à la fin de la journée. Virginie invita Irina à aller écrire sur cette première expérience. Le soir venu, Virginie alla dans la cuisine pour préparer le dîner. Pendant ce temps, Irina était fortement inspirée dans ses écris, mais les bonnes odeurs qui venait de la cuisine ne la laissait pas indifférente, la poussant à arrêter ce qu’elle faisait pour rejoindre John à la cuisine.Virginie était en train de préparer un petit lapin avec une sauce champignon accompagné de riz en plat. Pour aider, Irina de se propose de faire l’entrée, mais Virginie propose dans ce cas d’accompagner les différentes occupations de chacun par une coupe de champagne. Pendant qu’ils étaient dans la cuisine, Virginie prenait plaisir à caresser le corps dévêtu d’Irina, qui restait sans réaction, afin de jouer son rôle de dominée. Pour être sûr de cela, Virginie prend un glaçon et passe dans un premier temps sur son clito avant de l’introduire dans son intimité. La réaction des cuisses était beaucoup plus marquée, mais elle continuait à préparer son entrée sans rien dire. Virginie était très contente de cette attitude et recommence 2 fois. Pour la récompenser, elle lui autorise de remettre sa robe sans rien en dessous.Vers 22h, Virginie décide d’aller se coucher et propose à Irina de prendre une douche avant de se mettre lit. Une fois terminée, elle la rejoint dans le lit. Elle enlève son peignoir et vient se glisser dans le lit toute nue. C’était une première pour elle qui avait plus l’habitude de dormir avec un pyjama mais aussi ne s’était jamais couché avec une femme. Le lit qui fait 1m60 avait aussi un sur-matelas, qui donnait la sensation de s’enfoncer dans du coton. Une fois la lumière éteinte, Irina sent la main de Virginie se positionner au niveau de son intimité et commence à la caresse, puis elle se met sur le côté afin de remonter aussi sur la poitrine. Au bout d’un bon quart d’heure de caresse, Virginie s’approche d’Irina et lui prend la main pour qu’elle lui caresse son clito. Après plusieurs minutes, Virginie prend un gode dans la table de nuit pour le mettre dans son vagin et guide la main d’Irina pour lui faire le mouvement de va et vient. Dans un second temps, Virginie vient se mettre sur Irina pour la pénétrer. La pénétration était plus forte que le matin et surtout Irina sentait bien quand elle butait dans le fond de son vagin, mais également le poids de Virginie sur son corps ainsi que le contact des poitrines. En peu de temps, Virginie arrache un premier orgasme à Irina, mais n’en reste pas là et continue pour lui déclencher un second orgasme, épuisant Irina. Complètement épuisée par ce double orgasme, elle ne bougeait pas du lit et s’endormi très rapidement.

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