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Amateur

SergentGMaintenant en couple, je repense régulièrement à mes aventures bi que j’ai eu durant ma jeunesse. Je n’ai plus eu de rapport avec un homme depuis des années mais je ne peux m’empêcher de me branler en me remémorant les moments de jouissance que j’ai eue avec des hommes. C’est pourquoi, j’ai envie de vous conter quelques une de mes aventures.Dès mon adolescence je me suis mis à fantasmer sur les hommes. Je me souviens de la première fois que je me suis branlé en rêvant d’homme que je suçais. J’ai jouis d’une façon différente qu’en pensant aux femmes. J’ai ressenti un plaisir dans mon ventre que l’on n’obtient pas en faisant l’amour à une femme et mes fesses étaient complétement trempé. Je ressenti aussi l’envie de mettre des sous-vêtements féminin que je piquais soit à mes sœurs (deux plus âgées) ou que je piquais à des mères de copain comme la mère à J. un gars chez qui j’avais dormi dans la chambre de ses parents après une soirée d’ado qui se défie à l’alcool. Je m’en souviens car elle avait une collection énorme de sous-vêtement sexy. Ce soir-là, je me suis branler en petite culotes bas et porte jarretelle qui j’ai emporté ensuite vu que j’ai les couvert de mon sperme tellement j’ai joui abondement.Tout ça pour vous amener à une des relations que j’ai eu pendant quelques mois durant mon armée obligatoire à l’époque. J’avais déjà eu quelques relations cloque grâce au dial téléphonique mais là, j’ai pu réaliser de nombreux phantasme.Je me suis retrouvé dans l’armée de l’air à 19 ans. Après avoir loupé mon bac. Après plusieurs semaines de classe, vous vous retrouvez affecté sur une base aérienne. J’ai été affecté au transport, je véhiculais des passagers de leur avion à leur logement. Ca pendant des permanences de 7 jours avec le week-end que vous passiez bloqué seul dans un entrepôt à attendre des avions qui n’arrivait presque que jamais. Le premier we seul fut très long avec seulement une petite télé pour vous occuper. Un sergent de permanence aussi, passait de temps en temps dans le we pour être sûre que vous remplissiez bien les instructions. C’est ainsi que je me retrouvé un we d’astreinte avec le sergent G, un type que je n’appréciais pas particulière. C’était un type bizarre avec un physique hirsute avec son gros ventre et sa barbe mal rasé et qui n’était pas trop apprécier non plus par ses collègues militaire et très vite je compris pourquoi. Il passa donc un samedi après-midi pour soit disant bricoler sa moto. Après une heure, il passa me voir. Me dit qu’il partait mais que avant il avait un truc à prendre dans son bureau. En partant il laissa son bureau ouvert et me dit qu’il repassera le lendemain. Ainsi, le soir arriva et après un repas au messe et une longue soirée à regarder la télé. Je me mis güvenilir bahis à penser que cela pourrait être intéressant de visiter le bureau du sergent G. Il avait un bureau de militaire avec juste une table de bureau et trois chaises. Il n’y avait pas grand-chose à voir, c’est pourquoi je tombai très vite sur un livre porno dans le tiroir du sergent G. C’était un livre avec un roman photo, en l’ouvrant je pus m’apercevoir que c’était un roman avec un travesti qui jouait le rôle d’une patronne qui récompenser son meilleur employé en le suçant et se faisant mettre à fonds. Mon sexe était déjà gonfler à bloque à la vue de ses images c’était la première fois que je voyais un travesti faire l’amour ou plutôt baiser à fonds. Je l’emmenai très vite dans ma chambre pour me branler. Je joui très vite à la vue de cette patronne bien membrée qui se fit jouir dans la bouche par un employé prêts à faire plus souvent des heures sup. Après mettre calmé, je remis très vite le livre à sa place. Mais toute la nuit, je ne pus dormir tellement ce magazine et ce travesti m’avait excité. Je me voyais à sa place. Je voulais être sa place habillé de bas, maquillait et rasé de partout pour un homme que ça exciterait. C’est là que je me mis à fantasmer sur le sergent G. C’était un vrai mâle avec son autorité et son physique de déménageur. Et je conçu donc un stratagème pour lui montrer que son livre me plaisait. Je me levai, alla dans son bureau, pris le livre dans son tiroir et le posa tout simplement sur sa table. J’étais pressé de voir sa réaction au risque de me faire engueuler. Il passa donc ce dimanche comme prévu. Il me salua et se dirigea vers son bureau. Au bout de quelques minutes, il m’appela, j’entrai donc dans son bureau les jambes fébriles par la peur. Il me montra de suite le livre et me dit : « c’est toi qui à fouiller dans mon bureau ». Je lui dis que oui, d’une voix étranglé. Il répondit « et pourquoi n’as-tu pas remis le livre à sa place ».Moi : « pour que vous sachiez que je l’ai lu »Lui : « Et t’as aimé »Moi : « oui j’ai adoré ». J’étais tellement excité que je crus que mon sexe allé exploser dans mon slip.Lui : « je m’en doutais que t’aimait la bite et vu ton pantalon, je vois que la situation d’excite »Je me mis à rougir et je vu un large sourire apparaitre sur son visage.Lui : « Ecoute moi je suis un actif dominant et j’aime baiser les mecs à fonds alors si c’est pareil pour toi ça m’intéresse pas mais si t un soumis salope ca m’intéresse »Je ne pus que pencher la tête de haut en bas tellement j’étais angoissé et excité. Il me demanda alors de me déshabiller. Je m’exécutai et me retrouver nu comme un ver avec mon sexe au garde à vous.Lui : « putain t très beau »Il s’approcha et me caressa les fesses en essayant türkçe bahis de m’embrasser. Ma première réaction fut de tourner la tête mais il m’attrapa la bouche et introduit sa langue à l’intérieur. Je lui rendis la pareil et je sentis ses doigts me caressait l’anus.Lui »mais putain tu mouilles mon doigts rentre tout seul »A cet instant, je ne pus m’empêcher de mettre ma main sur son entrecuisse. Je sentis son sexe dur sous son pantalon qui semblait être de belle taille.Lui : « Va s’y suce moi »Il ouvra son pantalon et sortit son sexe tout poilu. Il était de belle taille avec un gros bout rouge bien gonflé qui suintait de sécrétion par l’excitation. Je m’agenouillai et entreprit de le sucer. Il râlait de plaisir à mes coups de langue et les allers et venu au fonds de ma gorge. Je prenais un pied terrible, cette situation était trop bonne ? Soudain, il me prit par l’épaule et me releva, il me pencha sur son bureau et se mit derrière, je sentis ses mains m’ouvrir les fesses et sentit sa barbe entre mes fesses. Il me lécha l’anus, c’était la première que l’on me faisait ca et ce fut une révélation. Sa langue experte me fit jouir de nombreuses fois et très vite mon anus s’ouvrit à lui, je sentais ses doigts m’introduire et je me mis à gémir et à dire « oui, oui va s’y ». J’étais complétement à sa merci. Soudain, je sentis son gland à l’entrée de mon anus et s’introduire doucement pour enfin être entièrement en moi. C’est là que je joui analement des papillons parcourais mon ventre. Et une nouvelle-fois « oui va s’y ». Il me baisait maintenant à mort et joui de toute ses forces dans mon cul. Après avoir craché plusieurs jets, il me lima doucement avant de se retirer. Je m’écroulai de suite totalement exciter et m’assis au sol pour me remettre de cet instant. J’étais encore excité et pendant qu’il s’essuyait le sexe avec un kleenex retiré de sa poche. Je me branlai frénétiquement pencha ma tête au-dessus de mon sexe et ouvrit la bouche excité comme j’étais. Je joui tellement fort qu’une giclait atterrit sur ma joue. Une fois calmé, je m’aperçus que le sergent m’observait les yeux écarquillé et me dit.« Putain t’es une sacré salope toi »Nous passâmes le reste de l’après à raconter nos phantasmes et on comprit très vite que nous étions fait pour nous rencontrer. Il était actif dominant moi passif soumis. Il aimait les traves, j’aimais les sous-vêtements féminins. Et il avait l’air d’être un expert et moi un novice. Le soir même, il me demanda de le sucer avant de partir. Ce que je fis immédiatement. C’était bon, il me laissa le sucer pendant au moins une demi-heure. Lui sur le lit et moi à quatre pattes devant lui. Je le léchais, l’avalais entièrement, je lui suçais les boules tout en le regardant. Il était tellement güvenilir bahis siteleri viril que j’étais complétement excité. Enfin, il me dit « attention ». Mais j’étais tellement excité que je ne l’entendis pas et pris une grosse giclée de sperme au fond de ma gorge qui me fit presque vomir. Mais j’étais tellement excité que je me dis de toute façon s’est fait autant allé à fonds et je le suçai jusqu’à la derniére goutte. Par la suite tous les moments de la journée était bon pour une petite pipe. Il m’emmenait faire des travaux dans les hangars et me retrouvé pour que je le suce rapidement ce que je faisais volontiers. J’avais tellement fantasmé en pensant le faire.Deux we plus tard nous allions de nouveau nous retrouver en we d’astreinte ensemble.Et nous avions convenu que je mette des sous-vêtements féminins que je devais récupérer chez moi. C’est ainsi que profitant de quelques jours chez moi je rammena les quelques sous-vêtement féminin que je possédais et surtout la tenus sexy de la mère du copain que j’avais récupérer cette fameuse nuit de beuverie.Le we arriva et je me retrouvai enfin d’astreinte avec le sergent G. Le samedi venu, il arriva vers 13h et me demanda de mettre en tenue. Je mis la tenue sexy de la fameuse mère et une jupe que j’avais empreinté à ma sœur et un t-shirt serré. Une fois prêt je sorti, il me félicita et me tendu une perruque.« Mets ça pour voir »Je réalisais enfin un de mes vieux phantasme me travestir. J’étais complétement excité. Je me mis de suite dans la peau de mon personnage et me trémoussa comme une vrai stripteaseuse.Lui : « tu m’excite trop continu »Il s’approcha et me caressa de nouveau les fesses tout en me roulant une pelle. Je le sentais me pétrir et m’écarter les fesses frénétiquement. Il enleva ma jupe et se mit derrière pour me lécher le cul. Il avait compris que ça me rendait dingue. Et je joui de nouveau, il était un expert dans le cunnilingus et une nouvelle fois il me dilata tellement avec sa langue et ses doigts que sa queue s’introduis sans mal en moi et que chaque coup de rein me faisait jouir pour provoquer un orgasme anale inoubliable. J’étais les jambes écartais qu’il tenait avec ses mains pour les pencher vers ma tête et me baisser comme si j’étais une femme. C’était formidable, je sentis qu’il allait jouir je ne pus m’empêcher de lui demander de me jouir dessus. Ce qu’il fit. Il jouit abondement sur mon visage et m’obligea à les sucer ensuite. Une fois son sexe ramolli, il me prit en charge et me branla. Il me demanda de me mettre dans une position de sorte que mon sexe était au-dessus de mon visage. Tout en m’aidant à me tenir dans cette position, il me branla et me dit d’ouvrir la bouche. Je compris ce qu’il voulait faire et m’exécuta. Je joui son mon visage et ma bouche. J’étais incapable de lui dire non de toute façon.Nous eûmes de nombreux rapports de ce genre. Ce qui me permit d’assouvir ce vieux phantasme et de passer à autres choses.L’armée s’arrêta et ne revis jamais le sergent G.

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beurette mariée dans l avionune rencontre innattendue dans un vol de nuitTrès jeune j’ai quittée mon Maroc natal pour émigrer avec toute ma famille dans la région parisienne, plus tard je me suis mariée avec un homme de mon pays dans la pure tradition musulmane À trente deux ans j’avais un enfant, je ne me plains pas de ma condition, cette année là nous avons réussi à passer huit jours en Grèce, cela a été un peu notre voyage de noce, ma sœur a gardé mon gamin, nous avons donc tous les deux pris l’avion a Orly pour un vol de nuitNos places réservées, je me trouvais prés du hublot, mon mari au milieu, mais celui-ci a une peur bleue de l’avion, il m’a donc demandé de bien vouloir lui laisser la place prés du hublot cela le rassure Ce qui fait que je suis retrouvée coincée entre mon mari et un homme blond très musclé, apparemment allemand, peu de temps après le décollage mon homme ronflait le visage tourné vers le hublotMoi j’ai rabattus la tablette pour ouvrir un magasine que je regarde d’un œil distrait sous la faible lumière Pour ce voyage j’ai revêtue une robe sage au dessous du genou, les cheveux noués sur ma nuque, bien qu’il y a la clim il fait chaud aussi je croise les jambes pour amener un peu de fraicheur entres elles, soudain mon pied heurte la jambe de mon voisin, je m’écarte un peu ….deux minutes plus tard rebelote …avancerait il sa jambe exprès ?Je quitte donc la position croisée pour allonger le plus possible mes jambes sous le siège avant, j’ai compensé en relevant un peu ma robe…maintenant c’est la cuisse de mon voisin qui touche la mienne, les places sont exigües mais quand même… Je me serre au maximum contre mon mari, et çà recommence …. Aucun doute c’est volontaire, bizarrement la chaleur qu’il me communique me fait du bien, je ne cherche plus a m’esquiver au contraire je reprends une position décontractée, les jambes légèrement ouvertesEn plus de la chaleur de sa cuisse c’est maintenant sa main qui vient se poser sur moi, je dois être cramoisie, la tête tournée vers mon mari pour le surveiller, malgré le bruit sourd des réacteurs, j’entends sa respiration régulière, il dort paisiblement Le manque de réaction de ma part est perçût comme un consentement, la main cherche la peau nue en se frayant difficilement un passage sous la robe ample, mon dieu si mon mari vois çà il me jette de l’avion heureusement l’obscurité qui règne me rassureLa main progresse vers güvenilir canlı bahis siteleri ma fourche, la tablette cache les mouvements impatientsLes doigts ont atteints ma culotte, il gratte un long moment celle-ci à l’ endroit da ma vulve qui s’humidifie rapidement, mes fesses s’avancent au maximum sur le bord du siège pour m’offrir a la caresse, l’homme maintenant confiant de mon abandon cherche à s’immiscer sous le fin tissu, ma chatte absente de tous poils est maintenant dégagée totalement, deux doigts trouvent mon clitoris, il doit trouver qu’il manque de lubrification car il descend le long de ma fente pour aller y puiser le précieux liquide au fond de ma chatteJe crois rêver quand il me prend le poignet pour déposer ma main sur une verge énorme qu’il a sortie de son pantalon, machinalement je la serre très fort entre mes doigts qui n’en font pas le tour, je tire sur la peau jusqu’à décalotter ce pieux, le monstre palpite dans ma mainLa douceur de ses doigts passe et repasse sur le bouton sensible, je m’abandonne totalement protégée pas l’obscurité Nous nous masturbons l’un et l’autre pendant très longtemps, la tête tournée vers mon mari mon corps se tend comme un arc je me mords les lèvres pour ne pas hurler de bonheur, je suis secouée de tremblements, mes jouissances n’ont jamais étés aussi fortes Dans mon bonheur j’ai tellement serrée sa queue qu’il en décharge longuement dans un mouchoir préparé à l’ avance, j’en ai plein entre les doigts l’homme essuie délicatement ma mainRepue je me sens bien, décontractée, l’homme appuyé sur un coude tient son menton dans sa main, les doigts sur son nez …Il respire mon odeur de femme, discrètement je porte les miens a mon nez … l’odeur musquée du sperme envahi mes narines, c’est ainsi que je m’endors pour le reste du voyage …..J’ai fais un rêve érotique dans lequel mon voisin me possédait juste à coté de mon mari sans que celui-ci ne s’en aperçoive…A l’atterrissage nous nous sommes retrouvés bloqués dans l’allée, ‘mon allemand’ juste derrière moi en profite pour mes caresser une dernière fois les fesses par-dessus ma robe, je me suis reculée sur la bosse de son pantalon en guise de remerciement et d’adieu, puis nous la foule nous a séparésDirection l’hôtel, quelle ne fut pas ma surprise quand le lendemain matin nous l’avons croisé dans le même couloir que le notre, a cinq chambres de la notre…il s’est avancé güvenilir illegal bahis siteleri nous saluer, sa main a serrée fortement la mienne, je suis devenue rouge comme une pivoine j’avais peur que mon mari ne s’en aperçoive, heureusement toute la semaine nous n’avions pas les mêmes excursions, je l’apercevais seulement de temps en temps au resto de l’hôtel le soir La veille du départ nous avons consacré le matin à refaire les valises et l’après midi piscine de l’hôtel ; allongée sur un transat prés de mon mari, de temps en temps je pique une tête pour me rafraichir, c’est là que je l’ai revus, nageant prés de moi il me dit dans un mauvais français :- Dans dix minutes je vais à ma chambre venezSans répondre je retourne m’allonger, effectivement il est de l’autre coté du bassin, superbe en maillot, taillé en athlète les muscles lui viennent jusqu’au haut du cou, un bassin étroit, son maillot dessine une belle virgule …j’essaie de me souvenir la grosseur que j’avais en main il y a peu de temps ,je suis sure qu’il me détaille lui aussi derrière ses lunettes de soleil Une boule se forme dans mon ventre … que faire ?que décider ?C’est la tempête dans ma tête, soudain il se lève et part vers l’hôtel après m’avoir jeté un dernier regard, machinalement je m’entends dire a mon mari :- Chéri j’ai mal de tête, sans doute la chaleur, je vais a la chambre prendre un comprimé et me reposer un moment, garde ma place je reviendrais – Pas de problème chérie va te reposer je t’attends iciIl m’attend devant sa porte de chambre, j’ai les jambes en coton… – Vient …. Vient ….. Il att**** mon bras, comme une somnambule je le suis, la porte à peine refermée je m’appuis sur le mur les bras le long du corps les jambes en cotons, il passe une main derrière ma nuque et cherche mes lèvres, je ne dérobe pas mais garde les miennes closes Son autre main fait glisser ma brettelle de maillot et dégage un sein qu’il recouvre de sa grande paume faisant rouler mon téton raidit tandis que sa cuisse poilue se fraie un chemin entre les miennes qui s’ouvrentIl ne m’en faut pas plus pour céder, ma bouche s’ouvre nos langues tournoient, lentement il me fait faire les deux mètres qui nous séparent du lit, arrivés là il me dénude complètement sa bouche vient se poser sur mon pubis, il hume ma chatte a pleins poumons, sa langue cherche l’entrée de mon puits, une ultime fois j’essaie de résister güvenilir bahis şirketleri – NON !! NON !! Il ne faut pas….. je n’ai pas beaucoup de temps …Finalement je me laisse tomber sur le lit, allongée, pieds écartés au sol, il ôte son maillot, je n’ose regarder sa ‘chose’ et je ferme les yeux …..Le matelas s’affaisse sous son poids, je sens son souffle sur mon visage, mes jambes s’ouvrent toutes seules pour lui laisser le passage La queue appuie sur mon pubis, d’une main il la guide …. Je ne suis même pas sure de mouiller assez tellement, j’ai la trouille, le gland mafflu écarte mes lèvres de haut en bas, et trouve enfin l’entrée de mon vagin, il pousse, l’air me manque … – Ho non c’est trop gros !!! Ha OUIIIIIIIII !!!!!!- Bon !! Très bon !!!!! Belle petite chatte !!!!!! Good !! Haaaaaaaaaaaaa Il me semble que je vais déchirer tellement je suis écartée, le pieu de chair entre plus loin, toujours plus loin, il se retire presqu’en entier, pour revenir a la charge plus brutalement, cette fois ci je ses poils pubiens qui piquent ma peau rendue sensible par l’absence de poils, je suis emmanchée jusqu’aux couilles Je le ceinture de mes jambes pour l’empêcher de se retirer le temps que ma gaine vaginale se fasse à l’intrusion énorme Il murmure des mots que je ne comprends pas en me caressant le visage, le moindre mouvement qu’il fait crée dans mon vagin des ondes bienfaitrices, lentement il se met à limer, je suis rassurée, je MOUILLE !!! La colonne de chair coulisse a merveille dans ma moule, je lance mon bassin a sa rencontre, nos bassins claquent, je jouie, je JOUIE !!!! Ses deux mains sur mes épaules m’empêchent de glisser en arrière à chaque formidable coup de reins, je mords si fort sa langue qu’un goût de sang envahit ma bouche, il ne bronche pas et se contente de me pilonner encore plus fort , soudain des giclées chaude percutent mon utérus , il jouit mais cela ne l’empêche pas de continuer a me labourer comme un damné Sa queue expulse hors de mon trou son propre sperme mélangé à ma mouille qui coule entre mes fessesJe subis vingt minutes de ce régime, ma chatte est exsangue, enfin il se boque pour me gratifier d’une deuxième ration de foutre, lentement sa queue ramollie glisse de mon vagin détrempé, telle une anguille je me glisse hors du lit pour enfiler mon maillot et courir a ma chambreA peine suis-je sous la douche que mon mari arrive inquiet de ne pas me voir revenir à la piscine- Tu es là chérie ? Je t’ai attendue ! Que se passe t-il ?- Oui ! Je suis là tout va bien … tu me rejoins ?……Je l’ai échappée belle ! Il ma baissée sous la douche fraiche un peu étonné de sentir ma moule aussi ACCUEILLANTE …….. Nos chemins se sont dispersés, je n’ai pas revus mon bel allemand.

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ma cliente 2Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai passé vraiment une bonne nuit, paisible et au coté d’une charmante jeune fille. Je me tourne vers elle pour la regarder, sans plus.Je n’arrive pas a croire qu’elle se trouve pres de moi et dans mon lit, en plus. Et je ne suis pas capable de controler ma queue, je bande. Et v’la qu’elle ouvre les yeux. « Bonjour ,qu’elle me dit avec son beau sourire » « Bonjour, vous avez bien dormi ? » « oui merci, mais est-ce que ca fait longtemps que vous me regardez, car vous me genez? » « Je ne voulais surtout pas ca, mais vous etes tellement belle avec ce petit air angélique » Et la voila qu’elle se met a rougir, et tout en bougeant son corps , sa main vient toucher ma queue toute raide. La c’est moi qui rougis, mais de honte. « C’est moi qui vous mets dans cet état? » « je vous trouve tellement jolie, vraiment je m’excuse de cette situation » Et comme pour désarmorcer la situation, elle vient plaquer sa bouche sur ma joue. Je veux bien , mais ca n’aide en rien mon érection. Et elle s’en apercoit de part ma face. « Bon, vous je ne sais pas, mais moi je commence a avoir un petit creux, qu’elle m’avoue » « D’accord je saute dans la douche, que je dis, et apres nous irons au resto. » « Oh j’aimerais aussi en prendre une aussi, ca me fera du bien » En homme galant, je lui offre d’y aller en premier, ce qu’elle accepte. Au bout d’une quinzaine de minutes, elle sort. Fait-elle expres? ,une splendide belle et jeune fille sort de la salle de bain qu’avec une grande servielle autour d’elle. Je ne la regarde pas, je la déshabille des yeux. Elle me sourit et rentre dans la chambre. Moi je vais me doucher et calmer ma queue a l’eau froide. Plein d’idées et d’image me trottent illegal bahis dans la tete. Au bout de dix minutes c’est moi qui sors et pret pour aller manger. Je retrouve Cassandra debout dans le salon, habillée en sport, jupe-culotte, avec un t-shirt assez ajusté a son corps. Nous prenons place dans la voiture et go pour le resto. Nous y restons une bonne heure pour ensuite aller nous promener dans un grand bois derriere chez moi. Il faut beau et chaud. Nous nous arretons au bord d’une petite riviere, pour faire trempette. On enleve nos chaussures et nos bas et marchons sur le sable. Elle me prend par la main, comme ca . Moi ca me trouble, je suis la avec elle en foret , il ya quelque chose d’immoral, je pense. Ma queue pense le contraire, et fort. « tient, tient je vous fais encore de l’effet, dit-elle en ricanant » je ne sais pas quoi répondre a ca. « Comme j’en suis la responsable, laissez moi vous aidez, si vous me permettez » Comme je reste muet comme une carpe. On s’arrete pres d’une grosse roche. Elle me lache la main, et vient s’agenouiller devant moi. Elle met ses deux mains sur mon short, a deux doigts défait le bouton, baisse la fermeture-éclair, et le baisse. Enfin ma queue peut respirer , bien dure. Elle m’invite a m’assoir et toujours a genoux avance doucement sa bouche vers mon membre qui veut tout simplement exploser. D’une main, elle me masse les couilles gentiment comme si elle flattait un petit lapin. Elle dépose de petits bisous a l’intérieur des cuisses, moi je n’attends qu’elle me prenne la bite en bouche. Mais je sens qu’elle va ma faire languir, la petite. Son autre main vient me caresser les fesses et se promene sur mon torse, vient s’introduire dans ma bouche, illegal bahis siteleri je lui suce les doigts. et elle, elle continue a promener sa bouche partout pres de ma queue qui se lamente, mais sans jamais la prendre. A un moment tout s’arrete, éloigne sa figure de mon corps, leve les yeux vers moi, me sourit et dit: « Je pense que vous aimez ce que je vous, et que par conséquent vous aimeriez plus? » Comme réponse je lui fais un de ces sourires qui en dit long. Alors elle se replace et vient mettre sa bouche a deux pouces de ma queue. Se sort la langue, y dépose mon gland dessus, et gobe ma bite tout entiere. Langoureusement , commencent des mouvements de va-et-vient, qui me font pousser de longs gémissements.Je me jette la tete en arriere mes mains placer sur la roche. Je savoure cet instant magique, surréel meme. Je suis la a me faire sucer par une belle de 18 ans. Pas besoin de dire que je prends pas de temps a laisser couler ma seve dans sa petite bouche qui prend tout. Je pensais ne jamais arreter d’éjaculer, quel bonheur . « Et puis, avez-vous aimez cette petite séance? » « Oh que oui, je pense n’avoir jamais été aussi bien sucer qu’aujourd’hui, et maintenant si vous me permettez, C’est a mon tour de vous rendre la pareil ». Je me leve l’invite a venir s’étendre sur le sable, et je commence a lui déposer des baisers sur son corps tout en la déshabillant. je recommence a bander en découvrant ce corps tout simplement parfait. je lui enleve le t-shirt blanc, de si beaux petits seins avec la pointe bien dure sur lesquels ma bouche se promene de gauche a droite, pour bien les mouiller. Mes mains vont s’attaquer a la culotte short, défaits les boutons, baisse le morceau de canlı bahis siteleri linge pour découvrir qu’elle n’a pas de petite culotte. Enfin, merci a la vie, elle est nue, cette déesse est maintenant la étendue sur ce petit bout de plage QUE POUR MOI. Je laisse aller ma bouche sur son corps, ma langue y va a fond, chaque petite parcelle de sa peau , j’y goutte, plonge ma langue dans sa bouche. Et je commence a la caresser de mes doigts, ils se promenent partout mais commencent a vouloir se diriger vers sa zone érogene, son sexe. Un doigt commence a tiller son clitoris qui ne demandait que ca et se met a durcir. Elle mouille, son corps bouge sur le sable, elle pousse de petits cris. Le doigt descend pour la pénétrer mais que légerement. j’entends un oui qui n’en finit plus. Aller Jojo, vas-y, que je me dis. Je me place au-dessus d’elle a quatre pattes pour un 69. Et je mets a lui lecher la chatte et y introduire ma langue le plus loin possible, tout en frottant le clito. Au bout d’un certain temps, elle se met a s’agiter se crispe et un flot de liquide sort de son sexe. Une quantité fort appréciable, elle est figée par son oragsme, ne bouge plus. Et elle se met a pleurer, a chaudes larmes. Je lui demande ce qu’elle a, elle me dit que c’est la premiere fois qu’elle jouit. Un petit velours pour le bonhomme. Je lui prends la figure a deux mains et lui dit que ce n’est pas fini. Moi je me remets sur le dos, et l’invite a se placer dans le meme sens que moi te venir s’assoir sur ma queue, et d’y aller a son rythme. Elle se place et dirige son sexe sur le mien et d’un coup le prend en entier. Elle ne bouge plus, comme pour savourer le morceau qu’elle vient de gober. Moi, je lui caresse la poitrine, le ventre, le cou, la figure. Des petits mouvements de bas en haut débutent, lentement puis avec plus de rigueur de vitesse. Ce n’est pas long qu’elle recommence ses spasmes et qu’elle verse son liquide chaud. Moi, j’éjacule en elle. Je suis au paradis.

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Amateur

Un weekend de cul à la campagneL’autre jour, ne sachant trop quoi faire de ma peau, je me décidai à aller rejoindre des amis dans un 5 à 7 dans l’un des bars du village gay. Comme toujours, l’endroit était bondé mais par chance, le soleil aidant, nous pouvions profiter de la terrasse. Et ce fut ce jour là qu’on me présenta Denis et Sylvain, un couple bien établi depuis près de trente ans. Leur réputation les précédant, on m’avait déjà vaguement parlé d’eux mais je n’y avais pas vraiment fait attention. On disait d’eux qu’ils étaient riches… et puis? On disait aussi d’eux qu’ils possédaient un domaine… et puis? Ces choses-là m’indiffèrent et c’est sans doute pourquoi je ne m’étais point attardé à ce dont on m’avait dit d’eux. Par contre, on avait omis de me préciser que ces deux mecs étaient tout à fait sympathiques et d’une culture si élargie que rien ne leur échappait lors d’une discussion. Si l’un ne connaissait pas à fond le sujet, on pouvait être certain que l’autre, lui, le possédait jusqu’à la plus petite cellule de son cerveau. Leur quotidien se plaisait à fréquenter des artistes, souvent connus sinon avec un talent certain, des hommes et des femmes d’affaires, des professionnels et pour terminer, des gens comme vous et moi. En fin de compte, ces mecs étaient tout à fait charmants et jamais l’idée d’un jugement sur quiconque ne leur passerait par la tête. Donc, ils me furent présentés. Courtois comme toujours, je leur donner une poignée de main avec mon plus beau sourire. « Wow, laissa entendre Denis. C’est de la force brute cette poignée de main ». Je souris, sachant parfaitement que je venais de l’impressionner. Sans nul doute ce mec bandait-il sur la testostérone des mecs et plus il y en avait, plus il devenait excité. Je me doutais bien qu’en trente ans de vie commune, l’exclusivité n’avait pas dû être au rendez-vous tous les jours cependant, si ce Denis croyait que je terminerais dans son lit, il se trompait royalement. Non pas qu’il était repoussant mais je ne peux dire qu’il est le genre de mec pour qui je ferais des bassesses. Je n’ai jamais aimé les grands six pieds et mince en plus. Non, moi, c’était Sylvain qui pouvait me plaire mais je me disais que s’il avait passé trente ans de sa vie avec un grand mince, ma carrure musclée ne devait certes pas l’intéresser. De toute façon, je n’étais pas là pour me trouver un mec à planter et je n’avais jamais demandé à leur être présenté. Nous discutâmes donc pendant quelques minutes, chacun à tour de rôle me posant des questions sur ma vie, mon emploi, mes loisirs. Je répondais tout bonnement, curieux par contre de savoir le but de toutes ces questions. Je pouvais comprendre qu’ils tentaient d’en savoir plus sur moi mais je demeurais tout de même perplexe. Bien entendu, et par chance, ils avaient trop de classe pour s’informer de ma vie sexuelle car souvent, dans ces bars, quand on fait las connaissance d’un mec, ce genre de questions reviennent plutôt assez souvent. Mais eux, non. Je me décidai donc, à mon tour, à m’informer de leur vie. Ils étaient tous deux dans les affaires. Les affaires de quoi, ça ne m’intéressait point. Ils vivaient dans un condo à Montréal la semaine et les weekends, ils les passaient en Estrie, dans une maison de campagne. Moi, on m’avait dit un domaine mais la représentation visuelle pouvait changer selon les gens. Je ne savais pas s’ils étaient riches comme Crésus mais je voyais bien qu’ils étaient à l’aise financièrement. Et puis? Ne l’étais-je pas moi aussi? Et c’est pourquoi je ne comprenais pas pourquoi les gens capotaient sur eux parce qu’ils étaient riches. Ok, sans doute millionnaires mais après? Tous mes amis paraissaient en émoi devant eux et je ne connaissais nullement la cause de toute cette effervescence. Je voyais bien que tous me lançaient des regards désapprobateurs mais pourquoi? Devais-je leur baiser les pieds et je l’ignorais? Je me surpris à vérifier si l’un d’eux ne portait pas la bague papale ou si leurs veines montraient une couleur bleuâtre. Je sais bien que c’est absurde mais le comportement de mes amis l’était tout aussi, si ce n’était pas plus. Je poursuivis donc ma discussion avec Denis et Sylvain, ignorant les coups de lapidation qui s’opéraient dans les yeux des autres. Le temps passa agréablement et enfin, ils décidèrent de quitter les lieux. Je dis enfin car je commençais à m’impatienter face aux agissements de mes amis. Je peux être patient quand il le faut mais là, j’avais affaire à une ribambelle de fous alliés qui m’entouraient et surtout, qui écoutaient tout ce que je disais comme s’il craignait que je fasse une bêtise. Je saluai donc Denis et Sylvain. Ce dernier, avec un large sourire, me précisa qu’il aimait bien ma compagnie et qu’il espérait qu’on se reverrait bientôt. Je lui répondis que seul l’avenir le savait et ils disparurent, main dans la main. Et tous se jetèrent sur moi comme une mouette sur une frite, me lançant presque des injures quand à ma conduite. « Plusieurs donneraient leur âme au diable pour leur être présenté et toi, tu agis comme un pur imbécile. C’est certain que tu as perdu toute chance d’être leur invité », me lança André, le regard sévère. – Êtes-vous tous tombés sur la tête ou quoi? M’écriai-je, exaspéré par toutes ces paroles qui sortaient de leurs bouches comme un orchestre dans lequel aucun instrument n’était accordé. Ce sont des mecs comme vous et moi, rien de plus.- Comme nous et toi, répéta un ami. Tu ne sais donc pas qui ils sont ou tu n’as pas de cervelle?- Voilà, je ne sais pas qui ils sont et ça m’importe peu, répondis-je en tentant de quitter mais André me prit le bras pour me retenir. – Écoute-moi bien. Ces mecs, comme tu dis, possède un domaine en Estrie où ils donnent des soirées magnifiques et même que souvent, ils invitent pour le weekend au complet. – Et puis? – Tu ne comprends pas. Ce ne sont pas des soirées habituelles, si tu vois ce que je veux dire.- Pas du tout.- Tu es exaspérant. Ce sont des soirées sexuelles à thématique et n’est pas invité qui veut. Ils sont très sélectifs et lorsqu’ils demandent à être présentés à quelqu’un, c’est que cette personne les intéresse pour leurs soirées. – Et puis?- Tu avais une chance de faire partie des invités mais là, avec ton attitude, je ne crois pas qu’ils t’inviteront.- Et puis? Je ne connaissais même pas ces soirées et encore moins ces deux mecs et je me portais merveilleusement bien.- Te connaissant très bien Etienne Guy, tu aurais parfaitement été à l’aise dans ce genre de soirée. Toi qui te passionne pour le sexe et pour les orgies, tu aurais trouvé ton compte, crois-moi, Et tu sais que personne ici même n’a jamais été invité? – Désolé pour vous, dis-je tout simplement, me foutant tout à fait de cette folie qui les entourait quand à ces soirées où des mecs se baisaient sous le toît d’un manoir ou d’un château en Estrie. J’en ai assez entendu. Je suis fatigué alors je vous laisse le bonsoir, dis-je en les quittant, heureux de ne plus me retrouver au milieu de cette aliénation.Maintenant que vous connaissez l’existence de Denis et Sylvain, c’est là que mon histoire commence réellement. Et je dois avouer que maintenant, je suis bien heureux d’avoir plus à ces deux mecs. Quelques jours plus tard, je reçu un courriel, au bureau. Bizarrement, il provenait d’un Sylvain Moisan et l’objet était; invitation pour le weekend du 21 et 22 juin 2014. Je ne connaissais pas ce Sylvain Moisan et comme je n’ouvre jamais les courriels d’inconnu, je vins pour le supprimer mais je décidai de le garder, sans toutefois l’ouvrir immédiatement. Je pris le téléphone et appelai mon ami André qui me dit que ce fameux Sylvain Moisan était tout simplement le conjoint de Denis, s’écriant lorsque je lui lu l’objet de ce courriel. Il m’incita donc à l’ouvrir immédiatement pendant qu’il était en ligne. Ce que je fis. Je commençai par le lire dans ma tête mais André m’obligea à le lui lire. Cher Etienne,Quoi de plus harmonieux que la campagne où les arbres déploient leurs feuilles sous les chauds rayons du soleil. Le weekend prochain, notre domaine prend la forme d’un camp où les plus beaux bûcherons se retrouveront entre eux. Le camp ouvre ses portes samedi le 21 à 10h et fermera dimanche à 17h. Bien entendu, tous les bûcherons doivent porter une chemise à carreaux, illegal bahis un jeans et des bottes de travail. Pour le reste, tout sera fourni. Il ne reste qu’à nous aviser de ta présence par une simple réponse à ce courriel.- Continue, me dit André avec impatience.- C’est tout, répondis-je.- Tu es invité à un weekend en Estrie mon chanceux, cria-t-il.- Mais je ne comprends rien à cette invitation. Pourquoi parle-t-il de bûcheron?- C’est la thématique du weekend. Tu vas te retrouver avec un tas de superbes mecs, tous vêtus comme des bûcherons.- Je crois que j’ai besoin d’explication.- Écoute bien. Il n’y a rien de compliqué. Tous les mecs qui sont invités doivent entrer dans le jeu. C’est comme un jeu de rôle. – Tu veux dire que je devrai faire comme si j’étais un bûcheron?- Tu as compris. – Mais pourquoi?- C’est le thème, s’écria-t-il, exaspéré. Ils auraient pu demander d’être vêtu en cuir, en cowboy, en habit, ça dépend de la thématique. – Je ne comprends toujours pas, dis-je en soupirant.- De toute façon, tu as juste à te vêtir comme demandé et à t’y rendre, c’est tout.- Je ne connais pas l’adresse.- Quand tu auras répondu par l’affirmative, ils t»»’enverront les coordonnées.- Comment sais-tu tout cela si tu n’y as jamais été?- Je connais un mec qui a été invité l’an passé. La thématique était les gars de la construction. Il a baisé des mecs musclés comme jamais. Et la nourriture est quelque chose. Tout provient d’un traiteur et la boisson coule à flots. Et en plus, ils louent des escortes qu’ils mêlent aux invités.- Tu veux dire qu’on ne sait pas si tel mec ou tel mec est une escorte?- En plein ça. Ne me dis pas que ça te choque, je ne te croirais pas. – Pas du tout. Si je récapitule, nous serons tous des bûcherons qui baiserons entre nous?- Et pas n’importe quel bûcheron, je te le dis. Tous les invités sont choisis selon des critères physiques, si tu vois ce que je veux dire.- Serais-tu en train de me dire que je serai au beau milieu de bûcherons musclés?- Yes sir, dit André en riant. Alors là, tu vas répondre tout de suite que tu seras au rendez-vous.- C’est fait, dis-je en appuyant sur “envoyer”. J’ai accepté l’invitation.Le samedi matin venu, je montai dans un camion que j’avais emprunté à un ami. Je ne me voyais pas arrivé là-bas en Mercédès avec mes bottes de travail, ma chemise à carreaux et mon jeans troué. Je roulai sur l’autoroute en direction de l’Estrie et suivit les indications du GPS. Après un peu plus d’une heure, j’empruntai une route bordée d’arbres et là, j’aperçu l’entrée du domaine. Grillagé, il y avait un mec, vêtu comme un bûcheron, qui me fit passer en me souhaitant un excellent weekend. Je repris la route car le manoir, sans doute était-ce un manoir, je ne pouvais m’imaginer rien d’autre, était encore loin. Je roulai et enfin, je l’aperçu. Et oui, c’était un manoir et quand je dis manoir, je dis manoir. Je ne pouvais dire combien il comptait de pièces mais sûrement assez pour jouer à cache-cache pendant des heures et des heures. Deux hommes, vêtus en habit noir de serveur, me firent signe d’arrêter. L’un d’eux m’interrogea sur mon identité et fit un signe affirmatif à l’autre qui m’invita à suivre la route qui me mènerait au camp. Je fronçai les sourcils, me demandant s’il y avait bel et bien un vrai camp de bûcheron. Je jetai un dernier coup d’oeil au manoir, bien malheureux de devoir me rendre ailleurs. Je dois avouer que j’étais curieux de voir l’intérieur de ce gigantesque bâtiment mais je me remis en marche lentement, très lentement. J’observais tout autour de moi; des fontaines d’eau, des jardins magnifiques. On se serait cru dans l’un des châteaux de la Loire… en plus petit, disons-le. Je roulai pendant près de deux minutes, rencontrant un autre employé qui me dirigea vers une route de terre pour enfin arrivé au fameux camp. Et oui, c’était un vrai camp, une grosse cabane de bois d’où sortait de la fumée d’une cheminée en tôle grise. Je descendis du camion et marchai vers la cabane. Étais-je le premier invité sur les lieux car seul mon camion se trouvait devant la cabane dont j’ouvris la porte. Je fus heureux de constater qu’il y avait des mecs, trois pour être plus précis. Ils se retournèrent tous pour me saluer. André avait parfaitement raison; ils étaient tous des mecs bandants au max mais je dus constater que j’étais le plus vieux. Je me dis donc qu’ils devaient être des escortes et que je ne serais pas le seul à l’aube de la cinquantaine. – Choisis-toi une couchette, me dit l’un d’eux. La mienne est juste là, me signala-t-il en la pointant du doigt. Je choisis donc celle à sa gauche, ravi que le mec m’ait signalé son attrait pour moi. Ça commençait bien et je me dis que moi aussi j’avais été invité pour mon body. – Je vais aller faire un tour, le temps que les autres arrivent, leur dis-je en sortant de la cabane pour emprunter un sentier tout juste derrière. Je souris, me remémorant le début du courriel d’invitation: Quoi de plus harmonieux que la campagne où les arbres déploient leurs feuilles sous les chauds rayons du soleil. Et c’était vrai. Le soleil transperçait les feuilles pour se jeter sur moi et je me débarrassai de ma chemise à carreaux. Je marchai quelques minutes jusqu’à ce que j’entende des pas derrière moi. Je me retournai pour voir le mec qui m’avait dit de choisir une couchette. Je m’arrêtai et le regardai s’approcher de moi. – Ça te dérange si je marche avec toi?- Pas du tout, répondis-je en reprenant le pas, sachant qu’il demeurait derrière moi pour me bigler le cul. Je ne doutais nullement du pourquoi de sa présence et, discrètement, je déboutonnai trois boutons de mon jeans. Je me disais que le weekend prenait son ampleur de bonne heure et pour faire aboutir le tout, je quittai le sentier pour marcher à travers les arbres.- Attends-moi, dit-il. Ce n’est pas une course.- Excuse-moi, dis-je en m’arrêtant. Je suis habitué de marcher à cette vitesse. Et je m’appuyai contre un arbre. Tout de suite, il vit que mon jeans était entrouvert et il porta sa main sur son jeans pour me faire voir qu’il était bandé au max. Il s’approcha lentement et, plaquant son corps contre le mien, m’embrassa avec fougue pendant que sa main s’insérait dans mon jeans pour y sortir ma queue. Il s’agenouilla et ouvrit la bouche pour y engloutir ma bite qu’il suçait avec expérience, l’enfonçant dans sa gorge. Je déboutonnai le premier bouton de mon jeans et il le baissa aussitôt, m’incitant à me retourner face à l’arbre. Je sentis alors la chaleur de sa langue entre mes fesses qui cherchait mon troufignon. Je me penchai vers l’avant pour lui laisser tout le loisir de me manger le cul à grands coups de langue humide qui tentait d’enfoncer ma rondelle. Je balançai lentement mon bassin d’avant en arrière et il comprit aussitôt ce dont j’avais envie. Il se releva et, sa queue entre mes fesses, me dit: ” J’aime les salopes dans ton genre. On va avoir un plaisir d’enfer tout le weekend, disait-il en glissant sa queue qu’il humidifiait en crachant dessus. Tu la veux ma queue? Tu aimerais que je te la rentre bien au fond? Tu aimes qu’un vrai mec te laboure à grands coups? Dis-le que tu veux que je t’encule ma salope”.- Entre ta queue bien au fond, dis-je en balançant du bassin, je veux ta grosse queue dure dans mon cul.Il s’exécuta sans trop de précaution mais j’étais si excité que la minime douleur me fit le plus grand bien. Je sentais ses mouvements de va-et-vient, ses grands coups et sa respiration de mâle en rut près de mon oreille. Il me chuchotait que j’étais une salope, une chienne en chaleur qui ne demandait qu’à ouvrir son cul à n’importe qui. Qu’il aviserait tous les autres mecs que je voulais leurs queues et surtout, surtout, qu’il me prendrait de force durant mon sommeil. Toutes ces paroles augmentaient mon excitation et je bougeais mon cul de sorte à ce qu’il me fourre le plus profondément possible jusqu’à ce que je sente son sperme coulé en moi. Ses gémissements s’entremêlaient de ses paroles où je n’étais qu’une salope au cul d’enfer, au cul faite pour des queues de mec et il la sortit pour aussitôt s’agenouiller pour me lécher son foutre qui coulait entre mes fesses qu’il écarta pour mieux tout manger avidement. Il se releva et me fixa quelques instants pendant qu’il refermait son jeans. Il me sourit illegal bahis siteleri et m’embrassa en caressant mon torse en sueur. – Tu sais quoi, dit-il en prenant ma queue dans sa main. Je ne croyais pas trouver un mec dans ton genre en acceptant cette invitation. Dès que je t’ai vu dans la cabane, tout de suite j’ai su que tu adorais sentir une belle grosse queue dure se faufiler dans ton cul qui, j’en conviens, est des plus bandants. Me laisseras-tu te fourrer à nouveau ce weekend?- Avec tous ces mecs, aurai-je le temps?Il me regarda et se mit à rire, m’avouant qu’il m’aimait bien avant de quitter, me laissant seul appuyé contre l’arbre. Mais il s’arrêta et se retourna vers moi.- De toute façon, je te prendrai, de gré ou de force.Je ne répliquai point, sachant bien que je le laisserais me prendre à nouveau sans toutefois me fermer aux autres bûcherons qui devaient arriver au moment même. Lorsque je revins au camp, je comptai douze autres mecs. Avec les trois que j’avais vus à mon arrivée plus moi, nous étions exactement seize. Seize bûcherons, tous aussi musclés les une que les autres, et je fus enchanté de constater que je n’étais pas le seul qui avait perdu ses vingt ans. Quelques uns me regardaient bizarrement et je me dis que le mec avait déjà conté sa petite aventure dans les bois et, si j’étais chanceux, ces mâles examinaient la marchandise en se disant qu’eux aussi pouvaient en profiter. N’étais-je pas là pour un weekend de cul? Soudain, un mec, un bodybuilder, un de ces mâles qui effraie presque tellement il est musclé, entra dans la cabane et se présenta comme le contremaître de ce camp. Il s’assura que tout le monde avait sa couchette et nous signala que les patrons désiraient tous nous voir au manoir… immédiatement. Je savais bien que ce mec tenait un rôle mais je dois admettre qu’il était un excellent acteur car nous le suivîmes tous sans dire un seul mot. Arrivé au manoir, il nous mena derrière, sur la terrasse, où nous attendaient Denis et Sylvain, vêtus que d’un simple maillot de bain. LA PISCINE… Je n’avais jamais vu une telle piscine, pas même dans les plus beaux hôtels du sud. Elle était en serpentin avec des rochers sur lesquels coulait une eau limpide. Et la terrasse était bondée de fleurs de toutes sortes. – Soyez les bienvenus au manoir, dit Denis en se levant de sa chaise longue. Nous vous remercions tous d’avoir accepté notre incitation, nous permettant de vivre un weekend merveilleux en votre compagnie. J’espère que le camp vous plaît mais je vous avise tout de suite que vous n’êtes pas assignés à ce camp. Vous pouvez librement entrer au manoir, vous servir de la piscine et tous les repas seront servis sur cette terrasse, si la température le permet. Comme vous voyez, le dîner est servi alors, mangez avec appétit.Le buffet du tonnerre. On y trouvait de tout, du porc au homard en passant par des salades d’endives. Tout était succulent et nous mangeâmes avec appétit. Une fois terminée, tout ce dont j’avais envie était d’entrer dans le manoir, par curiosité. C’était à couper le souffle. Ces mecs avaient un goût pour la décoration. Rien n’avait été laissé au hasard et tout était richement agencé. Je regardai le grand escalier et me décidai à le gravir, certain d’y trouver des chambres spacieuses mais je ne me doutais pas qu’il y avait autant de corridors. Ça ne semblait jamais s’arrêter. J’ouvris une porte pour y apercevoir une salle de bain immense avec une baignoire couleur ivoire, au beau milieu de la pièce, qui pouvait sûrement contenir six personnes. Je refermai la porte pour en ouvrir une autre; une chambre avec un énorme lit en baldaquin (je n’aime pas ce genre de lit mais il était impressionnant). Je continuai à suivre le corridor, ouvrant une porte ici et là et soudain, derrière l’une d’elle, j’y trouvai deux mecs. Je n’avais certes pas été le seul à avoir été piqué par ma curiosité. Deux bûcherons… je les avais vus se parler lors du dîner. L’un d’eux était sur le lit, en position du chien et l’autre, debout, l’enculait à grands coups. Tout ce que je voyais, c’était le cul du mec qui fourrait et je ne nierai pas que ce fessier bombé me tenta aussitôt. Lentement, je m’approchai, tout en déboutonnant mon jeans, et posai une main sur l’une des fesses. Le mec se retourna pour me regarder avant de me dire: ” Sers-toi à souhait”. Sans me faire prier, je sortis ma queue déjà bandée et l’appuyai contre son cul que j’entrouvris pour y glisser ma bite sur laquelle je crachai. Doucement, j’enfonçai sa rosette pour m’introduire au complet, y allant de légers mouvements pour ne pas le brusquer. Par ses mouvements, il me fit vite comprendre que je pouvais accélérer et j’accélérai et accélérai, tentant de le suivre dans ses mouvements pendant qu’il enfouraillait l’autre mec que j’entendais gémir, me disant qu’il actait peut-être un peu trop mais bon, s’il aimait ça comme cela, c’était son affaire. Moi, de mon côté, je sentais que j’allais venir et je ralentis donc mon action car j’aimais bien la sensation de savoir ma queue dans ce cul bombé, me disant même que je me devais de l’empétarder à nouveau au cours du weekend. Je suis un passif de préférence mais devant un cul comme celui-là, ma queue se laisse très bien diriger vers le trou. Ne pouvant contrôler les mouvements du mec qui prenaient toujours plus d’ampleur, je dus laisser ma bite se libérer de sa mitraille brûlante, lui remplissant le popotin à grands coups de complaintes. Je me retirai et quittai la chambre, les laissant terminer leur activité.Descendant le grand escalier, je me décidai à profiter de la piscine. Je sortis donc du manoir pour me retrouver sur la terrasse. Déjà, des bûcherons se baignaient et ils étaient tous nus, le maillot de bain ne faisant pas partie du costume. Je me déshabillai donc, sentant les regards de Denis et Sylvain sur moi et me jetai dans la piscine. Pendant que je nageais, sans savoir pourquoi, je me demandai s’il y avait bel et bien des escortes parmi nous et si oui, lesquels de ces mâles en étaient. Et le mec que je venais de dauffer, en était-il un? Il était jeune, sans doute mi-vingtaine, musclé, beau bonhomme… Il possédait les caractéristiques pour être escorte. Mais bon, je ne le saurais sans doute jamais. Après quelques minutes de nage, je montai sur un matelas et m’y couchai sur le ventre pour m’y faire bronzer. Les yeux fermés, j’écoutais la douce musique qui sortait de nulle part. C’était du baroque et j’adore le baroque. Oui, c’est vrai que ce n’est pas de la musique de bûcheron mais je ne pourrais dire quelle musique qualifie un bûcheron. un reel peut-être mais je ne voyais pas ni Denis, ni Sylvain écouter de la ruine-babine sur un fond d’harmonica. Donc, je me plaisais à écouter du baroque, les yeux fermés, recevant la chaleur du soleil sur mon corps lorsque je sentis une main me caresser le dos. J’ouvris aussitôt les yeux pour y apercevoir, bien sur, un superbe mec. Les cheveux ainsi que les yeux noirs, des lèvres pulpeuses et aussi rouge que des cerises mûres, une mâchoire carrée. Je lui donnais environ trente ans. Il souriait et le fait que je le regarde ne semblait nullement le gêner de me caresser le dos. – Carlos, dit-il. Je m’appelle Carlos. Je me doutais bien qu’il était Italien. Tu aimes ou tu préfères que j’arrête?- C’est toujours agréable de se faire caresser, répondis-je, ne sachant quoi dire d’autre. – Tu es un mec super sexy mais sans doute te l’a-t-on dit des milliers de fois.- Et toi, tu es un charmeur mais sans doute te l’a-t-on dit des milliers de fois.- Non. On me dit plutôt que moi aussi, je suis sexy, répliqua-t-il en souriant, glissant lentement sa main vers le bas de mon dos. Mais pour toi, je peux être charmeur. Je peux?- Tu peux quoi?- Cela, répondit-il en se mettant à caressant mes fesses. Elles sont très attirantes et j’ai su à travers les branches qu’elles s’ouvraient quand une queue dure s’en approchait. Est-ce vrai ou seulement des suppositions?- Si on le dit à travers les branches, c’est sans doute que les arbres en ont été témoins, répondis-je en prenant un grand plaisir à sentir sa main sur mes fesses.- Bien dit, articula-t-il en approchant son visage du mien. Et crois-tu que ma queue peut devenir assez dure pour prendre l’escalier de service?- Je suis certain qu’elle canlı bahis siteleri est déjà très dure et qu’elle ne pense qu’à me visiter le derrière. Il laissa entendre un rire, juste assez pour me faire comprendre que je n’avais point tort. Mais là, maintenant, tout de suite, ce sont tes lèvres que j’aimerais goûter. A peine avais-je terminé ma phrase qu’il les plaqua contre les miennes, profitant de ce moment pour presser son doigt contre mon moutardier. Sa langue contre la mienne, il appuyait toujours contre mon œillet avec son index jusqu’à ce qu’il le perce. Ce n’était pas une queue mais pour le moment présent, ça faisait l’affaire. La sensation de son doigt qui entrait et sortait était douce et sur ce matelas, à la vue de tous, mieux valait un peu de discrétion. – C’est juste un petit avant-goût. Je vois dans tes yeux que tu apprécies alors, imagine quand ça sera ma queue en entier qui te fourrera, Mais pour l’instant, j’ai autre chose à faire, dit-il avant de se mettre à nager. Je le suivis des yeux, me demandant s’il ne s’était tout simplement pas moqué de moi. Il donnait l’impression d’avoir une confiance absolue en lui mais c’était mal me connaître de croire que je pourrais me jeter à ses pieds, tout bêtement parce qu’il avait une gueule d’ange. Je passai le reste de l’après-midi à la piscine, tantôt à me faire dorer au soleil, tantôt en discutant avec des mecs supers intéressants et non pas que pour leur body musclé. Nous étions tous nus et personne ne semblait mal à l’aise, sauf, bien entendu Denis et Sylvain qui eux, avaient gardé leur maillot de bain. On nous promettait une activité pour le soir venu mais nos hôtes se gardèrent bien de nous la dévoiler. De quelle manigance consistait-elle, sachant bien pourtant que le sexe serait de la partie. N’étions-nous pas là pour cela?Le souper arriva enfin et encore une fois, les plats furent tous délicieux. Rien ne me sert de dire que nous avions revêtu notre jeans et que les hôtes, eux, s’étaient débarrassés de leurs maillots pour un smoking blanc. Ils avaient fière allure mais juraient aux côtés de nous tous avec nos jeans déchirés et nos vestes à carreaux. La boisson coulant à flots, certains terminèrent le souper dans un état assez grisant, ce qui promettait pour la soirée. Moi, ne buvant jamais d’alcool, était plutôt fier d’avoir toute ma tête, ne sachant guère ce qui nous attendait dans quelques heures. On nous demanda de tous retourner au camp où l’on saurait enfin en quoi consistait la fameuse activité. Ce furent donc seize mecs qui suivirent la route et, ralentissant le pas pour tous les laisser passer devant moi, je me plu à observer le cul de chacun et tous, sans exception, pouvait en être fier. Denis et Sylvain avaient bien choisi. Une fois entré au camp, je m’allongeai sur ma couchette et fermai les yeux. Le soleil m’avait quelque peu fatigué et peut-être aurais-je le temps de faire une petite sieste mais, comme j’aurais dû y penser, je fus dérangé dans le temps de le dire. Une main se promenait sur moi, plus particulièrement sur mon jeans, exactement là où ma queue, elle aussi, se reposait. Je gardai les yeux fermés, feignant l’ignorance mais ma bite, elle, ne put jouer la comédie. Cette main qui la tripotait était parvenue à la faire grossir sans trop de difficulté mais je gardai tout de même les yeux fermés. C’était plutôt agréable et je ne bougeai pas plus lorsque le mec déboutonna mon jeans, pas plus que lorsqu’il engloutit ma queue au complet. J’aimais bien le fait de le laisser faire sans broncher; il suçait divinement bien. Et là, j’entendis une voix qui s’approchait, laissant entendre qu’il devait y en avoir pour deux bouches. Dans le temps de le dire, je ne pu compter le nombre de bouches qui se prêtaient ma bite; peut-être quatre, cinq, je ne savais pas trop. Ce que je ne doutais pas par contre, c’était que mon engin allait exploser et sans aviser, je giclai mon foutre dans la bouche d’un mec qui avala tout, ne laissant rien aux autres et tout cela, les yeux toujours fermés. Ils s’éloignèrent, laissant ma bite hors de mon jeans. Je ne bougeai point, feignant toujours de dormir. Ça m’importait peu que tous la voient car, de toute façon, ils semblaient tous s’être mis en accord sur le fait que j’étais la salope du camp. C’est donc à ce moment que je décidai de jouer leur jeu et en plus, je ferai une pierre deux coups; je leur donnerais satisfaction mais plus qu’à moi-même. J’avais accepté cette invitation en sachant parfaitement dans quoi je m’embarquais et si tous ces mâles en chaleur avaient décidé que j’allais être à leur disposition, pourquoi pas? Aurais-je cette chance à nouveau? Je m’endormis donc (pour le vrai cette fois-ci) et je fus réveillé par le contremaître bodybuilder quelques minutes plus tard d’un long cri de gorille. J’ouvris les yeux et il se tenait là, devant moi, les bras croisés, à me regarder sévèrement. « Et monsieur croit qu’il est ici pour dormir? Allez, lève-toi et suis-moi ». Je fronçai les sourcils; il jouait bien son rôle mais là, il dépassait les bornes mais je m’exécutai tout de même, le suivant hors du camp. « Écoutez-moi bien vous tous. Ce cher monsieur croit qu’il est ici pour se reposer, criait-il en me pointant du doigt. Je vais lui montrer qu’ici, c’est moi qui décide et que cette leçon serve à vous tous ». Il se plaça droit devant moi, posa ses larges mains sur mes épaules et m’obligea à m’agenouiller. « Tu vois ce que j’ai là, dit-il en se tripotant la queue par-dessus son jeans, tu vas t’en occuper ». Et il prit ma tête entre ses mains et la plaqua violemment contre lui en se balançant le bassin. Il dézippa son jeans et en sortit une queue mais une queue énorme; elle devait faire 28 centimètres et sa circonférence était telle que même mon cul se serait sauvé. J’ouvris donc la bouche, sachant bien que je ne m’en sortirais pas mais je ne pus la prendre en entier car déjà, elle me griffait le fond de la gorge. Les autres observaient la scène, sans doute jaloux de moi; c’était à eux de faire une sieste. Ma mâchoire me faisait souffrir mais je m’en foutais car cette queue était bonne à sucer. Jamais je n’avais vu un tel mastodonte qui tentait de s’engouffrer au complet mais je n’y parvenais pas et je fus quelque peu soulagé lorsque je sentis son sperme coulé le long de ma gorge. Il était venu et je pourrais retrouver un semblant de mâchoire normale car après cela, je vous jure que mes articulations au niveau de la bouche étaient quelque peu défaillantes. Je me relevai en jetant un œil aux mecs, un large sourire pour leur prouver que oui, j’étais bel et bien la salope du camp et qu’ils pouvaient m’embrocher tant et aussi longtemps qu’ils en seraient aptes. Pendant ce temps, le contremaître, lui, zippa son jeans et partit je ne sais où, sans rien dire. – Alors la plote, tu en as eu pour ton argent, me lança le mec qui m’avait enculé à notre arrivée. Une chance pour nous qu’il ne t’a pas péter la rondelle car nous aurions fourré dans le beurre avec le morceau qu’il a.- Ne crains rien mon beau. Je suis habitué d’en prendre deux à la fois alors, ce n’est pas sa queue qui m’aurait agrandit le trou, lui répliquai-je en lui caressant une joue au passage. – Bien entendu, j’aurais dû y penser. J’ai déjà hâte de voir cela.- Quand tu veux, terminai-je la discussion en allant m’asseoir sur une bûche, non loin de là. – Il est quelque peu barbant ce mec. Je me tournai pour savoir qui me parlait et fus surpris de constater qu’il s’agissait du mec que j’avais sodomisé dans la chambre. Il me sourit. Je m’appelle Éric. Tu sais, je ne crois pas que tu sois une salope comme ils disent. Ils sont tous jaloux de toi car ils savent qu’ils n’auront jamais ton allure lorsqu’ils auront ton âge. – Merci du compliment. Je m’appelle Etienne, en lui tendant une poignée de main. Mais nous avons déjà fait connaissance.- Effectivement et une sacrée belle connaissance. J’en aurais repris mais tu nous as quittés.- A mon âge, je dois me reposer de temps en temps, dis-je en riant, ayant en tête l’image de son petit cul bombé. – Et tu crois que nous aurions le temps d’aller marcher dans la forêt avant l’activité?- Je ne crois pas et crois-moi, je n’ai nullement le goût de me faire réprimander par le contremaître.- Ne me dis que tu as détesté cela.- Non mais j’ai la mâchoire en bouillie. Nous discutâmes encore quelques minutes, jusqu’à l’arrivée de Denis et Sylvain qui, pour l’occasion, s’étaient vêtus comme nous. Nous saurions enfin de quoi retournait cette activité.(à suivre pour la fameuse activité du samedi soir)

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Babes

sa premiere foisQuand vous arrivez à l’hôtel vous vous demandez encore pourquoi vous avez accepté cette invitation. Invitation est un bien grand mot, puisque c’est vous qui lui avez… un peu… suggéré cette séance de domination. Vous le connaissez si peu. Vos jambes tremblent… Vous avez une boule à l’estomac, mais tellement envie de connaître la sensation de livrer votre corps qu’il connaît déjà par des photos. Sensuelles au début, vous avez eu envie de pousser dans la polissonnerie des poses et dans la nudité pour son plaisir renouvelé et pour votre intime excitation. Vous vous êtes longuement préparée. Tous les détails sont importants, jusqu’à vos ongles finement décorés. Votre corps est soigneusement mis en valeur par ces vêtements près du corps qui laissent si bien deviner le galbe gracieux de votre corps. Les règles sont simples : vous ne direz mot, vous obéirez, votre vue sera occultée, vous apporterez votre jouet. Ce dernier point est aussi une idée de cet homme. Les surprises n’en seront que plus grandes et votre désir vraisemblablement décuplé parce que vous ne croiserez pas un regard qui vous mettrez mal à l’aise alors que vous serait totalement à sa merci. Cette idée vous a plu, et votre sexe s’échauffe délicieusement alors que vous approchez de la chambre. D’une main tremblante vous att****z ce petit sac accroché à la poignée de la porte et dans lequel vous trouvez un masque de sommeil noir. Plus efficace, mais moins érotique qu’un bandeau. Vous serez aveugle, les autres sens n’en seront que plus alertés.Vous le placez et frappez doucement à la porte. Des pas… la porte s’ouvre sans bruit, mais vous sentez un léger courant d’air et un parfum, son parfum. Il prend, avec douceur, votre main droite. Vous pénétrez dans la chambre. La porte se referme et vous sentez qu’il passe derrière vous. Ses deux mains vous prennent à la taille. Ses doigts ne peuvent s’empêcher d’imprimer une presqu’imperceptible caresse. Vous frissonnez. Une voix douce, chaleureuse :-Bonjour Madame… votre présence me comble de plaisir… et de désir. Son souffle près de votre oreille… chaud, calme et ses doigts qui ondulent lentement. Votre cœur s’emballe et vous essayez de contrôler votre respiration. Peine perdue, vous soupirez, bouche entr’ouverte.Encore quelques pas. Une main vous libère de votre sac. Deux mains font glisser votre manteau de cuir. Un moment d’inaction. Il vous regarde, vous observe, vous scrute. La question ne se pose même pas. Sait-il que vos mamelons durcissent et que votre sexe se mouille devant cette situation empreinte d’anxiété, de plaisir. Douce angoisse qui serre votre gorge et vous fait déglutir sous l’emprise d’une bouche asséchée. La large ceinture détachée, lentement. Les doigts… agiles. Le pull léger est soulevé depuis la taille. Vous levez les bras pour aider à la libération. Moment d’inaction encore. Vous entendez votre souffle et percevez le battement de votre cœur. La jupe qui glisse. Les mains s’affairent au niveau de vos pieds. Elles prennent vos chevilles pour ôter vos talons hauts et la jupe. Vous sentez le souffle de l’homme contre vos cuisses, près de votre pubis. Vous frémissez. Deux mains sur votre cuisse droite. Elles font lentement glisser votre bas. Les doigts ondulent mêlant un fin massage à la glissade du voile. Vous levez le pied et vous soumettez à la même opération pour la jambe gauche. Les mains montent et descendent le long de vos jambes, de vos cuisses. Lentement. Vous percevez enfin un baiser sur le haut d’une cuisse. Furtif, voleur, canlı bahis şirketleri timide ? Si près de votre sexe. Les mains passent sur votre ventre et vos reins. Chaudes, pointillistes, impressionnistes dans les contacts qui se font le plus souvent avec les bouts des doigts. L’accès à la nudité s’approche. Les doigts veulent dégrafer le soutien-gorge. Il faut dire que vous avez aussi choisi avec soin vos dessous. L’homme est derrière vous quand il abaisse les bonnets et libère vos seins finement galbé et tendu sous l’attente. Il se place face à vous. Il admire votre poitrine parfaite. Que veut-il ? Il faut qu’il fasse quelque chose.Un doigt sous un mamelon. Si proche et si éloigné à la fois. Même ballet sur les deux seins. Les doigts flattent, glissent, s’approchent et fuient vos mamelons presque douloureux, mais tellement épanouis. Votre souffle implore plus. Les doigts serrés vous attendez plus. Enfin, vous ne pouvez contenir un petit gémissement quand la langue se pose sur un mamelon. Elle tournoie, taquine, obéissant à votre respiration. L’autre sein n’est pas abandonné. Deux doigts le pincent, doucement il est vrai. C’est sûr, vous aimeriez bien une deuxième bouche. L’unique présente s’enhardie, voici que les lèvres écrasent votre mamelons. Trop doux. Les dents interviennent en compagnie de la pointe de la langue. Vous laissez fuir un « oooh ! » surpris quand la main libre de l’homme se pose sur votre sexe encore couvert. Votre bassin se déplace malgré vous pour mieux accueillir cette inquisitrice qui se brûle au contact de votre intimité. Les doigts ne bougent pas et vous vous astreignez à ne pas trop vous offrir. Il veut juste vérifier l’effet de ses caresses. Votre bassin est naturellement la prochaine victime de ce « tortionnaire attentif ». Vous ne le voyez pas, mais vous sentez qu’il s’agenouille. Il aimerait peut-être pétrir vos fesses, les serrer, les mordre… Les mains passent sur les côtés et glissent sur vos hanches. Puis, les deux majeurs passent sous les côtés de votre tanga. Elles les écartent. Lentement, très lentement. Trop lentement ? Les minces et magnifiques triangles de tissu glissent le long de votre bassin. Vous vous sentez nue, quand vous savez que votre sexe et désormais offert à son regard. Fut-ce un réflexe ? Vos deux mains tremblantes se joignent pour cacher votre intimité. -Voulez-vous, Madame, me laisser voir votre sexe ? Je pressens…, non, je sais qu’il est humide… ouvert… Vous désirez que je le vois, vous en avez l’envie, n’est-ce pas ? Une voix douce, assurée, rassurante et impérieuse, parce que vous le désirez. Vos offrez votre sexe à la vue de l’homme. Vous le sentez, il regarde et il s’attarde.-Vous êtes nue, totalement nue. Vous êtes offerte à mes caresses et vous les aimez. Jusqu’à présent, il ne s’agissait que de simples contacts, d’effleurements, d’attouchements, de caresses délicieuses. Je vous offre la possibilité de vous laisser soumettre à mes jeux vicieux. Voulez-vous être mon objet ? Voulez-vous jouir de cette situation ? Si vous ne le voulez pas, retirez votre masque. Si vous en voulez encore plus… placez une main sur votre sexe et caressez-le.Votre main gauche se pose sur votre sexe trempé et un doigt glisse entre vos grandes lèvres déjà gonflées. Avez-vous réfléchi à la situation ? Le sang frappe vos tempes et votre ventre brûle. Vos jambes, que vous écartez encore, tremblent-elles ? -Je regarde… Madame, votre doigt caresser votre clitoris. J’aime ce spectacle. Je pense aussi que votre sexe se mouille canlı kaçak iddaa parce qu’il participe à votre besoin de vous exhiber à mon regard. La lumière est forte, vous le sentez peut-être, elle me permet de voir la cyprine humecter votre intimité. Je pense que dans quelques minutes, c’est l’intérieur de vos cuisses qui en sera couvert. Mon but avoué, je peux vous avouer certaines choses… pas toutes… couvrir votre corps en puisant à votre source nacrée.Combien de temps vous laisse-t-il masser doucement votre clitoris. Est-ce une volonté perverse, mais il vous arrête alors que vous êtes au bord de l’orgasme. Délicatement, après être passé derrière vous, il prend vos poignets et les réunis dans votre dos. Docilement, vous le laissez les lier par un cordon, peut-être en soie. Puis il vous prend par la taille, vous fait déplacer jusqu’à ce que vous sentiez le bord du lit.-Agenouillez-vous sur le lit, Madame.Vous prenez soin de vous placer sur ce qui vous semble être le centre de vos ébats à venir. Vous frissonnez, vous aimez. Ses mains sont chaudes. Ils semblent qu’elles vous brûlent. -Ecartez les genoux.Vous obéissez et vous servez de votre souplesse pour approcher un grand écart facial. L’homme bouge. Il att**** quelque chose. Vous sentez un cordon être enroulé autour de votre cheville droite. Il est long, puisqu’il se lie à l’autre cheville. Un autre cordon se lie avec vos poignet est et accroché à celui qui maintien vos chevilles.-Vous êtes toute offerte, excitée, ouverte et ruisselante. Il se place derrière vous. Sa main gauche sur votre ventre. Vous sentez son torse contre vos omoplates. Sa respiration contre votre oreille droite. Et cette main qui se pose sur votre sexe.-J’aime ce bourgeon… gonflé. Laissez-moi le caresser. Un majeur flatte votre clitoris, roule dans un sens, part dans l’autre. Lent d’abord, il accélère. -Votre corps vibre, Madame. Il se tend. Vous soufflez, votre respiration affolée m’inspire les pires pensées. Oh !… Vous jouissez… Abandonnez-vous… Geignez… Flattez mon orgueil de mâle faisant jouir la femme-chienne que vous êtes.Les caresses s’atténuent. La main masse votre sexe. Humide, elle glisse sur votre ventre, vos seins tendus. Elle replonge, s’abreuve sans pénétrer et se place sur votre bouche. Les doigts s’immiscent, vous les accueillez.-Léchez… Buvez…Goûte-t-il lui aussi ? Deux doigts rigides au goût de votre sexe vous invitent à simuler une fellation. Vous vous appliquez à les sucer.L’homme s’éloigne. Vous entendez qu’il ouvre votre sac. Il prend votre jouet. Vous en êtes assurée quand vous le sentez sur vos lèvres.-Léchez la hampe… Taquinez le gland…Il laisse beaucoup de temps entre chaque ordre.-Avalez-le.Sa main se pose sur votre tête et vous invite à vous pencher sur le membre fictif. Le jeu s’arrête. L’homme vous couche en arrière. Il vous déplace afin que vous ayez la tête hors du lit. Une pression sur le front vous invite à pencher votre tête en arrière. Votre jouet revient s’introduire. Timide d’abord, il s’enhardit et s’enfonce de plus en plus profondément dans votre gorge.-Offrez-moi cette gorge profonde. Dégustez cette verge.Une main caresse votre gorge, elle s’attarde ensuite sur vos seins, descend sur votre ventre. Elle fait une pause sur le mont de vénus. Puis deux doigts entrent enfin dans votre sexe pour y commencer un lent va-et-vient. Un bouche lèche et mordille un de vos mamelons. Vous soufflez, vous ne pouvez laisser échapper que quelques sons étouffés. Les doigts accélèrent créant des bruits « humides ». canlı kaçak bahis Votre corps vous échappent, vous vous tortillez, vous vibrez, vous tremblez.-Voudriez-vous jouir de mes caresses, carissima Dona ? Je le pense et j’en ai besoin. Donnez-moi ce plaisir… S’il vous plaît. L’homme retire le jouet afin de pouvoir écouter la déclamation de votre plaisir. Il ralentit le rythme très lentement avant de retirer ses doigts, qu’il passe sur votre gorge, vos joues. L’homme vous déplace à nouveau. Il détache vos chevilles et vous fait placer sur le dos. Il rapproche vos jambes de vos fesses et attache vos poignets à vos chevilles-Ma langue et votre jouet, pour un duo. Le jouet s’enfonce lentement.-Madame, je vois votre sexe s’ouvrir et accueillir la verge. Il aime, il s’offre. Vous sentez-vous dominée ? Vous entez-vous chienne ? Vous sentez-vous salope ?Le silence s’impose quand la langue se met à rouler sur votre clitoris. Les mouvements des deux caresses adoptent le même rythme appliqué, consciencieux. Des décharges fusent vers votre ventre, vos reins, vos mamelons, votre gorge.L’homme fait une pause. Il libère vos poignets. Vous vous placez instinctivement en « chien de fusil », recroquevillée, les jambes serrées. Vous sentez, vous transpirez, vous haletez pendant que les mains de l’homme massent votre dos, vos reins, votre nuque.-Vous êtes belle.Toujours cette voix, douce mais directive. Voilà qu’il vous allonge à nouveau sur le dos et lie vos poignets sur le devant. Votre corps obéit quand il vous fait rouler sur le ventre et plier les genoux. Le visage dans les draps, vos mains entre vos jambes, vous savez que vous offrez au regard votre cul et votre sexe largement ouvert luisant de cyprine. Vous écartez vos genoux… Avec plaisir ? Avez délectation ?-Quel spectacle… Avait-il préparé cet épisode ? Bien sûr. Des liens fixés de part et d’autre du sommier viennent enserrés vos chevilles, vous forçant à écarter vos jambes. Pas trop, la douleur n’est pas invitée. Ils vous empêchent simplement de resserrer vos genoux.Une langue surprend votre anus. Douce et flatteuse, elle devient inquisitrice, fouilleuse, exploratrice. Un véritable petit phallus animé de vie que vous appréciez avec délice alors que deux mains massent avec gourmandise vos fesses, vos cuisses. Puis… un doigt, mouillé d’abord à votre sexe. Un deuxième.-Ouvrez votre cul, chère amie. Votre jouet vous a-t-il déjà enculée ? Ne répondez pas, c’est votre secret. Le voilà qui arrive.Humide, il s’enfonce très lentement, il prend son temps. Rien de bien ne peut se faire dans la précipitation. Il va loin et commence le va-et-vient. Deux doigts entre dans votre vagin et explore votre sexe.-J’ai l’impression qu’un autre homme possède votre cul pendant que je vous pénètre comme un voleur. J’adore… Je prends beaucoup de plaisir à vous tourmenter.Les doigts jouent avec le jouer. L’homme vous fait déplacer vos bras pour se placer sous votre sexe et ajoute sa langue à la valse. Trois sources de plaisir qui vous font jouir encore et encore… Rassasié de votre plaisir, l’homme vous laisse enfin en paix. Il vous détache.-Allongez-vous.Il se place entre vos jambes alors que vous êtes dans un état second et que vous essayez de reprendre votre respiration. Il bouge, vous entendez qu’il semble se déshabiller. Il dégage son sexe prêt à exploser. Il ne lui faut que quelques mouvements avant que vous sentiez le contact chaud de sa semence sur votre ventre et votre poitrine. Son souffle paraît si calme et il est tellement silencieux que vous en êtes surprise. Pendant quelques secondes, vous devinez qu’il observe son sperme maculant votre douce peau, Il se lève. -Je pars, vous n’aurez qu’à déposer les clés quand vous vous en irez.Un baiser sur vos lèvres closes et il vous laisse seule.

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Papa s occupe de moi 1Vacances de skiChapitre 1Je suis divorcé depuis plus de 5 ans et je partage la garde de ma fille Ninon – 16 ans – avec mon ex-femme. Ninon est une très belle jeune fille blonde aux cheveux longs. Elle est assez petite pour son âge, environ 1 m 60. Ses seins sont également tous petits, du 85B. Sa voix est très douce et son apparence est toute timide. Elle est très sérieuse au niveau scolaire et on peut dire qu’elle n’est pas trop du genre fêtarde, mais plutôt du genre à bouquiner toute la soirée.Cette année c’est moi qui ai la garde de Ninon pour les vacances d’hiver. On a décidé de partir faire du ski dans les Alpes. Nous avons loué un petit chalet au pied des pistes. Sur la route, je m’amuse à la taquiner un peu sur sa vie sentimentale qui me semble bien pauvre. Elle argumente son célibat en prétendant que les garçons de son entourage sont tous immatures. Je lui lance ironiquement de tenter l’expérience avec une fille. Elle me répond que ceci la dégoûterait encore plus !! Elle me dit qu’elle ne veut pas se presser et qu’elle attend de trouver le bon pour lui offrir son intimité. J’en déduis donc sans grand étonnement que ma fille est toujours vierge.Arrivés au chalet, nous installons nos affaires ; moi dans ma chambre et Ninon dans la sienne. Pendant que moi je me repose de la route, Ninon décide d’aller skier. Elle se dirige dans sa chambre et en ressort vêtue d’une combinaison moulante. Je lui rappelle les règles de sécurité et la laisse filer. Sa chambre étant restée ouverte je peux apercevoir déjà le bordel. Ses habits sont posés en vrac dans l’armoire et lorsqu’elle s’est changée, elle a tout mis sur son lit. Je ramasse son jean, son tee-shirt, ses chaussettes ainsi que ses sous-vêtements. Elle a un petit ensemble string, soutien-gorge rose en dentelle. Je remarque que son string est légèrement souillé au niveau de l’entrejambe ; chose normale pour son âge. Depuis quelques années, je suis devenu fétichiste des culottes odorantes. Lorsque je me trouve chez des amis, je me débrouille toujours pour aller dans la salle de bain récupérer, dans le linge sale, des culottes portées. Je m’enferme, ensuite, dans les toilettes et me masturbe, tout en respirant et léchant le gousset des culottes. Je les frotte à mon gland puis respire le mélange des odeurs. Je termine en éjaculant à l’intérieur et les remet discrètement à leur place.Je n’avais jamais osé faire ce genre de pratique avec ma fille, mais là, pris d’une pulsion, c’est plus fort que ma morale et je ne peux m’empêcher de porter ce petit string rose à mon nez. Il est encore humide et sent assez fort. Quelques poils blonds sont collés sur la trainée gluante, laissée sur le gousset. Je me dis qu’elle ne doit pas se raser et qu’il doit y avoir du laisser-aller dans sa toilette intime, au vu de la forte odeur qui s’y dégage. Je me masturbe lentement, en pratiquant mes rituels de léchage et reniflage, pour aboutir à une éjaculation abondante. Soudain, je suis pris de honte. Comment ai-je pu faire ça, sur le string de ma propre fille. Je prends une douche, puis je décide de faire une petite sieste.Mon portable se met à sonner, ce qui me réveille. Je suis un peu dans le brouillard, mais soudain, le stress s’empare de moi. Il s’agit d’un pisteur qui vient de m’informer que ma fille est tombée et qu’on l’amène à l’hôpital. Elle se serait, apparemment, cassé le bras. Je fonce, alors, aux urgences pour me porter à son chevet. À mon arrivée, l’infirmière me dit d’attendre car Ninon est en salle des plâtres et qu’elle va en sortir d’ici peu. Peu de temps après, un médecin m’appelle et me convoque dans son bureau. Il m’explique qu’en fait, Ninon ne s’est pas cassé un bras, mais les deux !!! Il me propose alors deux solutions. La première est de laisser Ninon en convalescence à l’hôpital. La deuxième est de la récupérer et soit, de m’occuper, moi-même, d’elle ou soit, de prendre une infirmière à domicile pour qu’elle m’assiste pour ces tâches. Je décide donc d’en parler avec elle et de donner canlı bahis şirketleri ma décision après.Quelques minutes plus tard, ma fille arrive à l’accueil avec deux énormes plâtres aux bras et les yeux remplis de larmes. Elle se jette dans mes bras et éclate en sanglots. Elle s’excuse et s’en veut d’avoir gâché mes vacances. Je la rassure et lui dit de pas s’inquiéter car ce aurait pu être beaucoup plus grave. Je lui parle alors du choix à faire et sans hésitation, elle me supplie de ne pas rester dans cet hôpital. Je me renseigne alors sur les prestations d’une aide à domicile, mais en voyant le tarif et la prise en charge par la sécu, j’y réfléchis à deux fois. Ninon me dit qu’elle ne veut pas, non plus, dépenser de l’argent pour une aide et que je pourrais, moi-même, m’occuper d’elle. Sans trop y réfléchir et me languissant de rentrer au chalet, j’accepte et nous voilà de retour au chalet.La première des choses à faire est de l’aider à lui enlever sa salopette. Ninon se retrouve, devant moi, en sous-vêtements. Je réalise alors que je vais devoir m’occuper de toutes ses tâches quotidiennes, même les plus intimes. Sans mains disponibles, il va falloir l’assister pour toute ses actions. Très vite, le problème se pose. Ninon vient me voir avec un visage rouge de honte :« Papa, comment vais-je faire pour aller aux toilettes ? »Je sens qu’elle va pleurer. Je dois avouer que ce problème me gêne tout autant qu’elle, si ce n’est pas plus. Je réfléchis, mais ne vois pas d’autre façon que de l’assister, aussi, même pour ce genre de chose.« Écoute ma chérie, je suis ton père. Quand tu étais bébé je te faisais ta toilette, t’habillais et changeais tes couches. Certes tu as grandi mais tu es toujours mon gros bébé, alors je ferai comme avant, à moins que tu ne trouves une autre solution. Je conçois que c’est gênant pour toi, mais rassure-toi, ça l’est aussi pour moi ! »Elle cogite un moment, puis accepte, vu qu’il n’y a pas d’autre alternative. Elle est toujours en string lorsqu’elle s’approche de moi et me dit : « J’ai envie… ». Je lui dit d’y aller et de m’appeler quand elle aura fini. Je lui baisse son string et elle part en courant aux WC. Au moment où elle m’appelle, le stress m’envahit. Je tape à la porte et elle me dit d’entrer. Je la vois assise, morte de honte. Je la rassure en lui rappelant que c’est malheureusement la seule solution. Je déroule trois feuilles de papier toilette, les replie et m’agenouille devant elle. Elle écarte timidement les jambes. C’est la première fois, depuis qu’elle a passé l’adolescence, que je la vois nue. Je suis surpris de voir alors une énorme touffe de poils blonds. Je comprends mieux alors l’odeur forte de ses culottes. J’avance lentement ma main entre ses cuisses et essuie délicatement son sexe, en partant de son anus jusqu’en haut de ses poils. Elle tremblote et ferme les yeux pour se rassurer. Je lui remonte le string et tire la chasse. Tout en ayant les yeux baissées, j’entends une petite voix me dire merci !Ses médicaments contre la douleur faisant effet, Ninon s’endort devant la TV. Elle se réveilla vers 18 heures.« Je prendrais bien une douche Papou, tu m’aides ? »Je sens de moins en moins de timidité lors de ses demandes, ce qui me rassure également. Elle se dirige dans la salle de bain et je la suis. Je lui retire à nouveau son string, puis son soutif, ce qui laisse apparaître ses minuscules seins. Elle enjambe la baignoire et je commence à lui faire couler de l’eau dessus en prenant soin de ne pas mouiller ses plâtres. Je prends alors du gel douche entre mes mains et commence à lui savonner la figure. Elle se tourne et je descends sur son dos pour m’arrêter sur ses petites fesses musclées. Elle se retourne et je remonte sur sa poitrine. Je n’insiste guère et frôle à peine sa peau avec mes mains. Je vois, cependant, ses seins pointer. Je descends sur son ventre pour arriver sur son sexe. Je rajoute un peu de gel douche et commence à frotter doucement sa toison. Je glisse en doigt le long de sa fente, canlı kaçak iddaa ainsi que dans la raie de ses fesses. Ninon reste de marbre, comme si de rien n’était. Horriblement gêné, je ne m’attarde pas plus longtemps sur cette zone intime. Après l’avoir rincée je la sèche, puis lui enfile son pyjama. Elle me remercie et part se remettre devant la TV.J’en profite pour prendre ma douche également. Au moment de me déshabiller je suis surpris de voir ma bite à moitié raide. Je ramasse le string de Ninon qui traine et en profite pour me masturber à l’intérieur. Mais cette fois-ci, je n’ai plus honte et repense à mes gestes pratiqués sur ma fille durant la journée. Le soir venu nous allons nous coucher dans nos chambres respectives.« Papa, réveille-toi s’il te plait ! »Ninon est sur les toilettes et m’appelle. Je me lève, un peu dans le cirage et m’approche d’elle. Une légère odeur arrive à mes narines et me fait comprendre que cette fois, elle n’a pas fait que pipi. Plus aucune gêne ne se fait ressentir, ni chez elle, ni chez moi. Je l’essuie naturellement, comme si c’était pour moi. Mes doigts appuient sur le pourtour de son anus et le long de sa fente. Après ça, direction la douche pour sa toilette matinale. Cette fois-ci, je lui demande pourquoi elle ne se rase pas le sexe car je trouve que c’est un manque d’hygiène. Elle me répond que du fait que ses poils sont blonds ils ne se voient pas à travers les maillots et qu’en plus, sa mère lui avait dit que ça faisait plus féminin d’en avoir. Je n’insistais donc pas. Après la douche, elle me signale qu’elle va bientôt avoir ses règles et qu’elle voudrait se mettre un tampon pour éviter toute mauvaise surprise. Elle est assise sur le rebord de la baignoire les jambes écartées. Je n’ai jamais introduit de tampon dans le sexe d’une femme, mais je me doute de la façon d’y procéder. Elle me guide pour la manœuvre.« Tout d’abord, écarte mes lèvres ! Rentre l’applicateur, doucement, dans mon vagin ! Retire-le et tire légèrement la ficelle, voilà ! »Le soir venu, je fais la manipulation inverse. Je retire alors un tampon plein de sang, à l’odeur assez âcre. Mes séances de masturbation solitaire s’accentuaient. La première semaine passa très vite, alternant assistance à Ninon et détente. La deuxième semaine débute, il n’y a, maintenant, plus aucune gêne entre ma fille et moi. Je connais par cœur toutes ses habitudes, manies et surtout, tous ses recoins les plus intimes. Je sens que mes gestes ne sont plus innocents. Je bande, quasiment tout le temps, après sa toilette ou son essuyage intime après être allée aux WC. Sans parler de ses culottes sales, aux mélanges d’urine, de sang et sûrement de mouille. Je me masturbe plusieurs fois par jour, en prenant soin de ne pas être démasqué.Un soir, Ninon se cogne le bras et a très mal. Après une bonne dose d’antidouleurs, elle s’endort immédiatement. Elle est sur le canapé, avec juste un string et un débardeur. Elle dort tellement bien que je peux l’entendre ronfler. Ma main tire doucement son débardeur pour laisser apparaitre son mamelon. Lentement, j’écarte son string pour me laisser entrevoir sa petite chatte. Ses lèvres roses sont apparentes. Ses poils les recouvrent et descendent au niveau de son aine et jusqu’à son anus. Machinalement, je sors ma bite déjà bien tendue. Je tire sur ma queue pour faire apparaître mon gland écarlate. Mes mouvements et l’amplitude s’accélèrent. Je porte mon gland à quelques centimètres de son nez, de sa bouche, de son sein et de sa chatte. Je l’entends toujours ronfler, ce qui me rassure et me met en confiance. Mon gland est maintenant en contact avec sa bouche. Je le fais glisser sur ses lèvres, frotte ses narines et ses poils pubiens.Je vais jouir… Je décharge ma semence sur sa toison d’or. Je réajuste son débardeur et son string sur sa motte remplie de mon sperme. Un peu plus tard, Ninon se réveille et a envie d’aller aux toilettes. En baissant son string, je peux voir la trace laissée par mon sperme. Elle la remarque et tente canlı kaçak bahis de la masquer. Faisant l’innocent, je lui demande ce que c’est. Elle me répond qu’elle a dû faire un rêve érotique et donc, sali sa culotte. Elle me dit que ça lui arrive souvent en ce moment, car ses hormones travaillent. Elle rajoute que, d’habitude, elle se caresse pour limiter ses excitations nocturnes, mais que là, elle ne peut plus à cause de ses plâtres. Alors que je lui essuie la chatte, je l’entends pousser un petit gémissement. Je la regarde, surpris et réitère ma caresse. Elle gémit de nouveau. Je suis tétanisé par la situation et je n’ose pas allez plus loin. Je ramasse son string et l’amène au linge sale.Ninon va dans sa chambre, moi dans le salon. Un peu plus tard, j’entends un grincement provenant de la chambre. Je m’approche et regarde par la serrure. Ma fille est à cheval sur son coussin et se frotte à celui-ci. Mon sexe se dresse immédiatement. Cette fois, c’en est trop. Je décide de rentrer, comme si j’ignorais ce qu’elle fait. Je rentre d’un coup, sans frapper. Ninon est assise sur son coussin. Comme je rentre, elle se jette sur le ventre.« Que fais tu ma chérie ? »Ninon, rouge de honte, m’explique que son sexe la démange. Je lui demande alors de me le montrer de plus près, pour y voir une éventuelle rougeur. Elle se remet sur le dos et écarte ses cuisses. Ses poils sont encore tout collés. Ses lèvres sont grandes ouvertes et baveuses. Son clitoris est tout gonflé et tout rouge.« Tu es sûre que ça te démange ? Ou étais-tu en train de te donner du plaisir ? »Elle hésite à répondre, bégaie un peu, puis m’avoue finalement qu’elle essayait en fait de se masturber. Elle va même jusqu’à s’excuser.« Ne t’excuses pas, ma puce, c’est normal, à ton âge ! Je retourne au salon, tu peux continuer, si tu veux !– Attends papa, je n’y arrive pas seule ! Peut-être, pourrais tu m’aider ?– Hein… !!!!– Ben oui, tu m’as vu nue, tu m’as essuyé le sexe et l’anus. Tu m’as même enfoncé un tampon dans le vagin. Je n’ai plus de secret pour toi, maintenant. Alors si tu pouvais m’aider à me sentir mieux, ça serait gentil de part. Et je te jure que je ne le répéterai à personne ! »Cette fois-ci, c’est moi qui bégaie.« Mais enfin, Ninon, tu te rends compte de ce que tu me demandes. Tu es ma fille. Je ne peux pas faire ça ! »Elle se met alors à écarter les cuisses et se cambre.« S’il te plaît, juste un doigt ! »Je m’avance en titubant. Je pose ma main sur son ventre, descends jusqu’au nombril puis m’arrête sur sa toison. Je frotte cette touffe épaisse de poils blonds. Je la sens se raidir. Je passe mon doigt sur son clito et amène mon autre main sur sa fente. J’ai, désormais, un doigt dans sa chatte et un autre qui joue avec son clito. Au bout de deux minutes, je sens son vagin se contracter et tous ses muscles se raidir. Elle est en train de jouir. Je retire doucement mes doigts et l’embrasse sur le front. Je suis sur le point de sortir de la chambre lorsqu’elle m’appelle. Elle me demande un autre baiser et alors, que je m’approche de son front, elle remonte sa tête et m’embrasse goulûment sur la bouche. Je me laisse faire et apprécie. Elle se retire et glisse en bas du lit. Sa tête se retrouve devant mon sexe qui est en train de forcer l’élastique de mon boxer. Elle passe son nez sur la pointe, puis commence à le mordiller. Sans qu’elle me dise quoi que ce soit, je baisse mon caleçon. Ma bite est énorme. Je sors mon gland et le porte à sa bouche. Elle le lèche, puis l’aspire. Elle insiste sur mon frein, puis avale ma tige complètement. Je suis étonné de la longueur qu’elle arrive à s’enfoncer. Je commence alors à me branler pendant que Ninon me suce. Sentant monter le désir, je la préviens que je vais jouir. Elle se retire et remonte dans le lit.« Éjacule-moi sur la chatte, papou, je suis sûre que je vais adorer ! »Je me branle alors à fond et laisse éclater ma jouissance. J’inonde ses poils et sa fente par de nombreux jets de sperme. Je lui redonne un baiser, puis prends une serviette pour l’essuyer.« Merci papa, je t’aime !– Moi aussi ma chérie ! »Deux jours plus tard, il est temps de rentrer. Sa mère vient la récupérer.La fois suivante où je la revois, elle n’a plus de plâtres et nous n’avons jamais plus parlé de cette aventure !

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Un weekend de cul à la campagne

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Babes

Un weekend de cul à la campagneL’autre jour, ne sachant trop quoi faire de ma peau, je me décidai à aller rejoindre des amis dans un 5 à 7 dans l’un des bars du village gay. Comme toujours, l’endroit était bondé mais par chance, le soleil aidant, nous pouvions profiter de la terrasse. Et ce fut ce jour là qu’on me présenta Denis et Sylvain, un couple bien établi depuis près de trente ans. Leur réputation les précédant, on m’avait déjà vaguement parlé d’eux mais je n’y avais pas vraiment fait attention. On disait d’eux qu’ils étaient riches… et puis? On disait aussi d’eux qu’ils possédaient un domaine… et puis? Ces choses-là m’indiffèrent et c’est sans doute pourquoi je ne m’étais point attardé à ce dont on m’avait dit d’eux. Par contre, on avait omis de me préciser que ces deux mecs étaient tout à fait sympathiques et d’une culture si élargie que rien ne leur échappait lors d’une discussion. Si l’un ne connaissait pas à fond le sujet, on pouvait être certain que l’autre, lui, le possédait jusqu’à la plus petite cellule de son cerveau. Leur quotidien se plaisait à fréquenter des artistes, souvent connus sinon avec un talent certain, des hommes et des femmes d’affaires, des professionnels et pour terminer, des gens comme vous et moi. En fin de compte, ces mecs étaient tout à fait charmants et jamais l’idée d’un jugement sur quiconque ne leur passerait par la tête. Donc, ils me furent présentés. Courtois comme toujours, je leur donner une poignée de main avec mon plus beau sourire. « Wow, laissa entendre Denis. C’est de la force brute cette poignée de main ». Je souris, sachant parfaitement que je venais de l’impressionner. Sans nul doute ce mec bandait-il sur la testostérone des mecs et plus il y en avait, plus il devenait excité. Je me doutais bien qu’en trente ans de vie commune, l’exclusivité n’avait pas dû être au rendez-vous tous les jours cependant, si ce Denis croyait que je terminerais dans son lit, il se trompait royalement. Non pas qu’il était repoussant mais je ne peux dire qu’il est le genre de mec pour qui je ferais des bassesses. Je n’ai jamais aimé les grands six pieds et mince en plus. Non, moi, c’était Sylvain qui pouvait me plaire mais je me disais que s’il avait passé trente ans de sa vie avec un grand mince, ma carrure musclée ne devait certes pas l’intéresser. De toute façon, je n’étais pas là pour me trouver un mec à planter et je n’avais jamais demandé à leur être présenté. Nous discutâmes donc pendant quelques minutes, chacun à tour de rôle me posant des questions sur ma vie, mon emploi, mes loisirs. Je répondais tout bonnement, curieux par contre de savoir le but de toutes ces questions. Je pouvais comprendre qu’ils tentaient d’en savoir plus sur moi mais je demeurais tout de même perplexe. Bien entendu, et par chance, ils avaient trop de classe pour s’informer de ma vie sexuelle car souvent, dans ces bars, quand on fait las connaissance d’un mec, ce genre de questions reviennent plutôt assez souvent. Mais eux, non. Je me décidai donc, à mon tour, à m’informer de leur vie. Ils étaient tous deux dans les affaires. Les affaires de quoi, ça ne m’intéressait point. Ils vivaient dans un condo à Montréal la semaine et les weekends, ils les passaient en Estrie, dans une maison de campagne. Moi, on m’avait dit un domaine mais la représentation visuelle pouvait changer selon les gens. Je ne savais pas s’ils étaient riches comme Crésus mais je voyais bien qu’ils étaient à l’aise financièrement. Et puis? Ne l’étais-je pas moi aussi? Et c’est pourquoi je ne comprenais pas pourquoi les gens capotaient sur eux parce qu’ils étaient riches. Ok, sans doute millionnaires mais après? Tous mes amis paraissaient en émoi devant eux et je ne connaissais nullement la cause de toute cette effervescence. Je voyais bien que tous me lançaient des regards désapprobateurs mais pourquoi? Devais-je leur baiser les pieds et je l’ignorais? Je me surpris à vérifier si l’un d’eux ne portait pas la bague papale ou si leurs veines montraient une couleur bleuâtre. Je sais bien que c’est absurde mais le comportement de mes amis l’était tout aussi, si ce n’était pas plus. Je poursuivis donc ma discussion avec Denis et Sylvain, ignorant les coups de lapidation qui s’opéraient dans les yeux des autres. Le temps passa agréablement et enfin, ils décidèrent de quitter les lieux. Je dis enfin car je commençais à m’impatienter face aux agissements de mes amis. Je peux être patient quand il le faut mais là, j’avais affaire à une ribambelle de fous alliés qui m’entouraient et surtout, qui écoutaient tout ce que je disais comme s’il craignait que je fasse une bêtise. Je saluai donc Denis et Sylvain. Ce dernier, avec un large sourire, me précisa qu’il aimait bien ma compagnie et qu’il espérait qu’on se reverrait bientôt. Je lui répondis que seul l’avenir le savait et ils disparurent, main dans la main. Et tous se jetèrent sur moi comme une mouette sur une frite, me lançant presque des injures quand à ma conduite. « Plusieurs donneraient leur âme au diable pour leur être présenté et toi, tu agis comme un pur imbécile. C’est certain que tu as perdu toute chance d’être leur invité », me lança André, le regard sévère. – Êtes-vous tous tombés sur la tête ou quoi? M’écriai-je, exaspéré par toutes ces paroles qui sortaient de leurs bouches comme un orchestre dans lequel aucun instrument n’était accordé. Ce sont des mecs comme vous et moi, rien de plus.- Comme nous et toi, répéta un ami. Tu ne sais donc pas qui ils sont ou tu n’as pas de cervelle?- Voilà, je ne sais pas qui ils sont et ça m’importe peu, répondis-je en tentant de quitter mais André me prit le bras pour me retenir. – Écoute-moi bien. Ces mecs, comme tu dis, possède un domaine en Estrie où ils donnent des soirées magnifiques et même que souvent, ils invitent pour le weekend au complet. – Et puis? – Tu ne comprends pas. Ce ne sont pas des soirées habituelles, si tu vois ce que je veux dire.- Pas du tout.- Tu es exaspérant. Ce sont des soirées sexuelles à thématique et n’est pas invité qui veut. Ils sont très sélectifs et lorsqu’ils demandent à être présentés à quelqu’un, c’est que cette personne les intéresse pour leurs soirées. – Et puis?- Tu avais une chance de faire partie des invités mais là, avec ton attitude, je ne crois pas qu’ils t’inviteront.- Et puis? Je ne connaissais même pas ces soirées et encore moins ces deux mecs et je me portais merveilleusement bien.- Te connaissant très bien Etienne Guy, tu aurais parfaitement été à l’aise dans ce genre de soirée. Toi qui te passionne pour le sexe et pour les orgies, tu aurais trouvé ton compte, crois-moi, Et tu sais que personne ici même n’a jamais été invité? – Désolé pour vous, dis-je tout simplement, me foutant tout à fait de cette folie qui les entourait quand à ces soirées où des mecs se baisaient sous le toît d’un manoir ou d’un château en Estrie. J’en ai assez entendu. Je suis fatigué alors je vous laisse le bonsoir, dis-je en les quittant, heureux de ne plus me retrouver au milieu de cette aliénation.Maintenant que vous connaissez l’existence de Denis et Sylvain, c’est là que mon histoire commence réellement. Et je dois avouer que maintenant, je suis bien heureux d’avoir plus à ces deux mecs. Quelques jours plus tard, je reçu un courriel, au bureau. Bizarrement, il provenait d’un Sylvain Moisan et l’objet était; invitation pour le weekend du 21 et 22 juin 2014. Je ne connaissais pas ce Sylvain Moisan et comme je n’ouvre jamais les courriels d’inconnu, je vins pour le supprimer mais je décidai de le garder, sans toutefois l’ouvrir immédiatement. Je pris le téléphone et appelai mon ami André qui me dit que ce fameux Sylvain Moisan était tout simplement le conjoint de Denis, s’écriant lorsque je lui lu l’objet de ce courriel. Il m’incita donc à l’ouvrir immédiatement pendant qu’il était en ligne. Ce que je fis. Je commençai par le lire dans ma tête mais André m’obligea à le lui lire. Cher Etienne,Quoi de plus harmonieux que la campagne où les arbres déploient leurs feuilles sous les chauds rayons du soleil. Le weekend prochain, notre domaine prend la forme d’un camp où les plus beaux bûcherons se retrouveront entre eux. Le camp ouvre ses portes samedi le 21 à 10h et fermera dimanche à 17h. Bien entendu, tous les bûcherons doivent porter une chemise à carreaux, illegal bahis un jeans et des bottes de travail. Pour le reste, tout sera fourni. Il ne reste qu’à nous aviser de ta présence par une simple réponse à ce courriel.- Continue, me dit André avec impatience.- C’est tout, répondis-je.- Tu es invité à un weekend en Estrie mon chanceux, cria-t-il.- Mais je ne comprends rien à cette invitation. Pourquoi parle-t-il de bûcheron?- C’est la thématique du weekend. Tu vas te retrouver avec un tas de superbes mecs, tous vêtus comme des bûcherons.- Je crois que j’ai besoin d’explication.- Écoute bien. Il n’y a rien de compliqué. Tous les mecs qui sont invités doivent entrer dans le jeu. C’est comme un jeu de rôle. – Tu veux dire que je devrai faire comme si j’étais un bûcheron?- Tu as compris. – Mais pourquoi?- C’est le thème, s’écria-t-il, exaspéré. Ils auraient pu demander d’être vêtu en cuir, en cowboy, en habit, ça dépend de la thématique. – Je ne comprends toujours pas, dis-je en soupirant.- De toute façon, tu as juste à te vêtir comme demandé et à t’y rendre, c’est tout.- Je ne connais pas l’adresse.- Quand tu auras répondu par l’affirmative, ils t»»’enverront les coordonnées.- Comment sais-tu tout cela si tu n’y as jamais été?- Je connais un mec qui a été invité l’an passé. La thématique était les gars de la construction. Il a baisé des mecs musclés comme jamais. Et la nourriture est quelque chose. Tout provient d’un traiteur et la boisson coule à flots. Et en plus, ils louent des escortes qu’ils mêlent aux invités.- Tu veux dire qu’on ne sait pas si tel mec ou tel mec est une escorte?- En plein ça. Ne me dis pas que ça te choque, je ne te croirais pas. – Pas du tout. Si je récapitule, nous serons tous des bûcherons qui baiserons entre nous?- Et pas n’importe quel bûcheron, je te le dis. Tous les invités sont choisis selon des critères physiques, si tu vois ce que je veux dire.- Serais-tu en train de me dire que je serai au beau milieu de bûcherons musclés?- Yes sir, dit André en riant. Alors là, tu vas répondre tout de suite que tu seras au rendez-vous.- C’est fait, dis-je en appuyant sur “envoyer”. J’ai accepté l’invitation.Le samedi matin venu, je montai dans un camion que j’avais emprunté à un ami. Je ne me voyais pas arrivé là-bas en Mercédès avec mes bottes de travail, ma chemise à carreaux et mon jeans troué. Je roulai sur l’autoroute en direction de l’Estrie et suivit les indications du GPS. Après un peu plus d’une heure, j’empruntai une route bordée d’arbres et là, j’aperçu l’entrée du domaine. Grillagé, il y avait un mec, vêtu comme un bûcheron, qui me fit passer en me souhaitant un excellent weekend. Je repris la route car le manoir, sans doute était-ce un manoir, je ne pouvais m’imaginer rien d’autre, était encore loin. Je roulai et enfin, je l’aperçu. Et oui, c’était un manoir et quand je dis manoir, je dis manoir. Je ne pouvais dire combien il comptait de pièces mais sûrement assez pour jouer à cache-cache pendant des heures et des heures. Deux hommes, vêtus en habit noir de serveur, me firent signe d’arrêter. L’un d’eux m’interrogea sur mon identité et fit un signe affirmatif à l’autre qui m’invita à suivre la route qui me mènerait au camp. Je fronçai les sourcils, me demandant s’il y avait bel et bien un vrai camp de bûcheron. Je jetai un dernier coup d’oeil au manoir, bien malheureux de devoir me rendre ailleurs. Je dois avouer que j’étais curieux de voir l’intérieur de ce gigantesque bâtiment mais je me remis en marche lentement, très lentement. J’observais tout autour de moi; des fontaines d’eau, des jardins magnifiques. On se serait cru dans l’un des châteaux de la Loire… en plus petit, disons-le. Je roulai pendant près de deux minutes, rencontrant un autre employé qui me dirigea vers une route de terre pour enfin arrivé au fameux camp. Et oui, c’était un vrai camp, une grosse cabane de bois d’où sortait de la fumée d’une cheminée en tôle grise. Je descendis du camion et marchai vers la cabane. Étais-je le premier invité sur les lieux car seul mon camion se trouvait devant la cabane dont j’ouvris la porte. Je fus heureux de constater qu’il y avait des mecs, trois pour être plus précis. Ils se retournèrent tous pour me saluer. André avait parfaitement raison; ils étaient tous des mecs bandants au max mais je dus constater que j’étais le plus vieux. Je me dis donc qu’ils devaient être des escortes et que je ne serais pas le seul à l’aube de la cinquantaine. – Choisis-toi une couchette, me dit l’un d’eux. La mienne est juste là, me signala-t-il en la pointant du doigt. Je choisis donc celle à sa gauche, ravi que le mec m’ait signalé son attrait pour moi. Ça commençait bien et je me dis que moi aussi j’avais été invité pour mon body. – Je vais aller faire un tour, le temps que les autres arrivent, leur dis-je en sortant de la cabane pour emprunter un sentier tout juste derrière. Je souris, me remémorant le début du courriel d’invitation: Quoi de plus harmonieux que la campagne où les arbres déploient leurs feuilles sous les chauds rayons du soleil. Et c’était vrai. Le soleil transperçait les feuilles pour se jeter sur moi et je me débarrassai de ma chemise à carreaux. Je marchai quelques minutes jusqu’à ce que j’entende des pas derrière moi. Je me retournai pour voir le mec qui m’avait dit de choisir une couchette. Je m’arrêtai et le regardai s’approcher de moi. – Ça te dérange si je marche avec toi?- Pas du tout, répondis-je en reprenant le pas, sachant qu’il demeurait derrière moi pour me bigler le cul. Je ne doutais nullement du pourquoi de sa présence et, discrètement, je déboutonnai trois boutons de mon jeans. Je me disais que le weekend prenait son ampleur de bonne heure et pour faire aboutir le tout, je quittai le sentier pour marcher à travers les arbres.- Attends-moi, dit-il. Ce n’est pas une course.- Excuse-moi, dis-je en m’arrêtant. Je suis habitué de marcher à cette vitesse. Et je m’appuyai contre un arbre. Tout de suite, il vit que mon jeans était entrouvert et il porta sa main sur son jeans pour me faire voir qu’il était bandé au max. Il s’approcha lentement et, plaquant son corps contre le mien, m’embrassa avec fougue pendant que sa main s’insérait dans mon jeans pour y sortir ma queue. Il s’agenouilla et ouvrit la bouche pour y engloutir ma bite qu’il suçait avec expérience, l’enfonçant dans sa gorge. Je déboutonnai le premier bouton de mon jeans et il le baissa aussitôt, m’incitant à me retourner face à l’arbre. Je sentis alors la chaleur de sa langue entre mes fesses qui cherchait mon troufignon. Je me penchai vers l’avant pour lui laisser tout le loisir de me manger le cul à grands coups de langue humide qui tentait d’enfoncer ma rondelle. Je balançai lentement mon bassin d’avant en arrière et il comprit aussitôt ce dont j’avais envie. Il se releva et, sa queue entre mes fesses, me dit: ” J’aime les salopes dans ton genre. On va avoir un plaisir d’enfer tout le weekend, disait-il en glissant sa queue qu’il humidifiait en crachant dessus. Tu la veux ma queue? Tu aimerais que je te la rentre bien au fond? Tu aimes qu’un vrai mec te laboure à grands coups? Dis-le que tu veux que je t’encule ma salope”.- Entre ta queue bien au fond, dis-je en balançant du bassin, je veux ta grosse queue dure dans mon cul.Il s’exécuta sans trop de précaution mais j’étais si excité que la minime douleur me fit le plus grand bien. Je sentais ses mouvements de va-et-vient, ses grands coups et sa respiration de mâle en rut près de mon oreille. Il me chuchotait que j’étais une salope, une chienne en chaleur qui ne demandait qu’à ouvrir son cul à n’importe qui. Qu’il aviserait tous les autres mecs que je voulais leurs queues et surtout, surtout, qu’il me prendrait de force durant mon sommeil. Toutes ces paroles augmentaient mon excitation et je bougeais mon cul de sorte à ce qu’il me fourre le plus profondément possible jusqu’à ce que je sente son sperme coulé en moi. Ses gémissements s’entremêlaient de ses paroles où je n’étais qu’une salope au cul d’enfer, au cul faite pour des queues de mec et il la sortit pour aussitôt s’agenouiller pour me lécher son foutre qui coulait entre mes fesses qu’il écarta pour mieux tout manger avidement. Il se releva et me fixa quelques instants pendant qu’il refermait son jeans. Il me sourit illegal bahis siteleri et m’embrassa en caressant mon torse en sueur. – Tu sais quoi, dit-il en prenant ma queue dans sa main. Je ne croyais pas trouver un mec dans ton genre en acceptant cette invitation. Dès que je t’ai vu dans la cabane, tout de suite j’ai su que tu adorais sentir une belle grosse queue dure se faufiler dans ton cul qui, j’en conviens, est des plus bandants. Me laisseras-tu te fourrer à nouveau ce weekend?- Avec tous ces mecs, aurai-je le temps?Il me regarda et se mit à rire, m’avouant qu’il m’aimait bien avant de quitter, me laissant seul appuyé contre l’arbre. Mais il s’arrêta et se retourna vers moi.- De toute façon, je te prendrai, de gré ou de force.Je ne répliquai point, sachant bien que je le laisserais me prendre à nouveau sans toutefois me fermer aux autres bûcherons qui devaient arriver au moment même. Lorsque je revins au camp, je comptai douze autres mecs. Avec les trois que j’avais vus à mon arrivée plus moi, nous étions exactement seize. Seize bûcherons, tous aussi musclés les une que les autres, et je fus enchanté de constater que je n’étais pas le seul qui avait perdu ses vingt ans. Quelques uns me regardaient bizarrement et je me dis que le mec avait déjà conté sa petite aventure dans les bois et, si j’étais chanceux, ces mâles examinaient la marchandise en se disant qu’eux aussi pouvaient en profiter. N’étais-je pas là pour un weekend de cul? Soudain, un mec, un bodybuilder, un de ces mâles qui effraie presque tellement il est musclé, entra dans la cabane et se présenta comme le contremaître de ce camp. Il s’assura que tout le monde avait sa couchette et nous signala que les patrons désiraient tous nous voir au manoir… immédiatement. Je savais bien que ce mec tenait un rôle mais je dois admettre qu’il était un excellent acteur car nous le suivîmes tous sans dire un seul mot. Arrivé au manoir, il nous mena derrière, sur la terrasse, où nous attendaient Denis et Sylvain, vêtus que d’un simple maillot de bain. LA PISCINE… Je n’avais jamais vu une telle piscine, pas même dans les plus beaux hôtels du sud. Elle était en serpentin avec des rochers sur lesquels coulait une eau limpide. Et la terrasse était bondée de fleurs de toutes sortes. – Soyez les bienvenus au manoir, dit Denis en se levant de sa chaise longue. Nous vous remercions tous d’avoir accepté notre incitation, nous permettant de vivre un weekend merveilleux en votre compagnie. J’espère que le camp vous plaît mais je vous avise tout de suite que vous n’êtes pas assignés à ce camp. Vous pouvez librement entrer au manoir, vous servir de la piscine et tous les repas seront servis sur cette terrasse, si la température le permet. Comme vous voyez, le dîner est servi alors, mangez avec appétit.Le buffet du tonnerre. On y trouvait de tout, du porc au homard en passant par des salades d’endives. Tout était succulent et nous mangeâmes avec appétit. Une fois terminée, tout ce dont j’avais envie était d’entrer dans le manoir, par curiosité. C’était à couper le souffle. Ces mecs avaient un goût pour la décoration. Rien n’avait été laissé au hasard et tout était richement agencé. Je regardai le grand escalier et me décidai à le gravir, certain d’y trouver des chambres spacieuses mais je ne me doutais pas qu’il y avait autant de corridors. Ça ne semblait jamais s’arrêter. J’ouvris une porte pour y apercevoir une salle de bain immense avec une baignoire couleur ivoire, au beau milieu de la pièce, qui pouvait sûrement contenir six personnes. Je refermai la porte pour en ouvrir une autre; une chambre avec un énorme lit en baldaquin (je n’aime pas ce genre de lit mais il était impressionnant). Je continuai à suivre le corridor, ouvrant une porte ici et là et soudain, derrière l’une d’elle, j’y trouvai deux mecs. Je n’avais certes pas été le seul à avoir été piqué par ma curiosité. Deux bûcherons… je les avais vus se parler lors du dîner. L’un d’eux était sur le lit, en position du chien et l’autre, debout, l’enculait à grands coups. Tout ce que je voyais, c’était le cul du mec qui fourrait et je ne nierai pas que ce fessier bombé me tenta aussitôt. Lentement, je m’approchai, tout en déboutonnant mon jeans, et posai une main sur l’une des fesses. Le mec se retourna pour me regarder avant de me dire: ” Sers-toi à souhait”. Sans me faire prier, je sortis ma queue déjà bandée et l’appuyai contre son cul que j’entrouvris pour y glisser ma bite sur laquelle je crachai. Doucement, j’enfonçai sa rosette pour m’introduire au complet, y allant de légers mouvements pour ne pas le brusquer. Par ses mouvements, il me fit vite comprendre que je pouvais accélérer et j’accélérai et accélérai, tentant de le suivre dans ses mouvements pendant qu’il enfouraillait l’autre mec que j’entendais gémir, me disant qu’il actait peut-être un peu trop mais bon, s’il aimait ça comme cela, c’était son affaire. Moi, de mon côté, je sentais que j’allais venir et je ralentis donc mon action car j’aimais bien la sensation de savoir ma queue dans ce cul bombé, me disant même que je me devais de l’empétarder à nouveau au cours du weekend. Je suis un passif de préférence mais devant un cul comme celui-là, ma queue se laisse très bien diriger vers le trou. Ne pouvant contrôler les mouvements du mec qui prenaient toujours plus d’ampleur, je dus laisser ma bite se libérer de sa mitraille brûlante, lui remplissant le popotin à grands coups de complaintes. Je me retirai et quittai la chambre, les laissant terminer leur activité.Descendant le grand escalier, je me décidai à profiter de la piscine. Je sortis donc du manoir pour me retrouver sur la terrasse. Déjà, des bûcherons se baignaient et ils étaient tous nus, le maillot de bain ne faisant pas partie du costume. Je me déshabillai donc, sentant les regards de Denis et Sylvain sur moi et me jetai dans la piscine. Pendant que je nageais, sans savoir pourquoi, je me demandai s’il y avait bel et bien des escortes parmi nous et si oui, lesquels de ces mâles en étaient. Et le mec que je venais de dauffer, en était-il un? Il était jeune, sans doute mi-vingtaine, musclé, beau bonhomme… Il possédait les caractéristiques pour être escorte. Mais bon, je ne le saurais sans doute jamais. Après quelques minutes de nage, je montai sur un matelas et m’y couchai sur le ventre pour m’y faire bronzer. Les yeux fermés, j’écoutais la douce musique qui sortait de nulle part. C’était du baroque et j’adore le baroque. Oui, c’est vrai que ce n’est pas de la musique de bûcheron mais je ne pourrais dire quelle musique qualifie un bûcheron. un reel peut-être mais je ne voyais pas ni Denis, ni Sylvain écouter de la ruine-babine sur un fond d’harmonica. Donc, je me plaisais à écouter du baroque, les yeux fermés, recevant la chaleur du soleil sur mon corps lorsque je sentis une main me caresser le dos. J’ouvris aussitôt les yeux pour y apercevoir, bien sur, un superbe mec. Les cheveux ainsi que les yeux noirs, des lèvres pulpeuses et aussi rouge que des cerises mûres, une mâchoire carrée. Je lui donnais environ trente ans. Il souriait et le fait que je le regarde ne semblait nullement le gêner de me caresser le dos. – Carlos, dit-il. Je m’appelle Carlos. Je me doutais bien qu’il était Italien. Tu aimes ou tu préfères que j’arrête?- C’est toujours agréable de se faire caresser, répondis-je, ne sachant quoi dire d’autre. – Tu es un mec super sexy mais sans doute te l’a-t-on dit des milliers de fois.- Et toi, tu es un charmeur mais sans doute te l’a-t-on dit des milliers de fois.- Non. On me dit plutôt que moi aussi, je suis sexy, répliqua-t-il en souriant, glissant lentement sa main vers le bas de mon dos. Mais pour toi, je peux être charmeur. Je peux?- Tu peux quoi?- Cela, répondit-il en se mettant à caressant mes fesses. Elles sont très attirantes et j’ai su à travers les branches qu’elles s’ouvraient quand une queue dure s’en approchait. Est-ce vrai ou seulement des suppositions?- Si on le dit à travers les branches, c’est sans doute que les arbres en ont été témoins, répondis-je en prenant un grand plaisir à sentir sa main sur mes fesses.- Bien dit, articula-t-il en approchant son visage du mien. Et crois-tu que ma queue peut devenir assez dure pour prendre l’escalier de service?- Je suis certain qu’elle canlı bahis siteleri est déjà très dure et qu’elle ne pense qu’à me visiter le derrière. Il laissa entendre un rire, juste assez pour me faire comprendre que je n’avais point tort. Mais là, maintenant, tout de suite, ce sont tes lèvres que j’aimerais goûter. A peine avais-je terminé ma phrase qu’il les plaqua contre les miennes, profitant de ce moment pour presser son doigt contre mon moutardier. Sa langue contre la mienne, il appuyait toujours contre mon œillet avec son index jusqu’à ce qu’il le perce. Ce n’était pas une queue mais pour le moment présent, ça faisait l’affaire. La sensation de son doigt qui entrait et sortait était douce et sur ce matelas, à la vue de tous, mieux valait un peu de discrétion. – C’est juste un petit avant-goût. Je vois dans tes yeux que tu apprécies alors, imagine quand ça sera ma queue en entier qui te fourrera, Mais pour l’instant, j’ai autre chose à faire, dit-il avant de se mettre à nager. Je le suivis des yeux, me demandant s’il ne s’était tout simplement pas moqué de moi. Il donnait l’impression d’avoir une confiance absolue en lui mais c’était mal me connaître de croire que je pourrais me jeter à ses pieds, tout bêtement parce qu’il avait une gueule d’ange. Je passai le reste de l’après-midi à la piscine, tantôt à me faire dorer au soleil, tantôt en discutant avec des mecs supers intéressants et non pas que pour leur body musclé. Nous étions tous nus et personne ne semblait mal à l’aise, sauf, bien entendu Denis et Sylvain qui eux, avaient gardé leur maillot de bain. On nous promettait une activité pour le soir venu mais nos hôtes se gardèrent bien de nous la dévoiler. De quelle manigance consistait-elle, sachant bien pourtant que le sexe serait de la partie. N’étions-nous pas là pour cela?Le souper arriva enfin et encore une fois, les plats furent tous délicieux. Rien ne me sert de dire que nous avions revêtu notre jeans et que les hôtes, eux, s’étaient débarrassés de leurs maillots pour un smoking blanc. Ils avaient fière allure mais juraient aux côtés de nous tous avec nos jeans déchirés et nos vestes à carreaux. La boisson coulant à flots, certains terminèrent le souper dans un état assez grisant, ce qui promettait pour la soirée. Moi, ne buvant jamais d’alcool, était plutôt fier d’avoir toute ma tête, ne sachant guère ce qui nous attendait dans quelques heures. On nous demanda de tous retourner au camp où l’on saurait enfin en quoi consistait la fameuse activité. Ce furent donc seize mecs qui suivirent la route et, ralentissant le pas pour tous les laisser passer devant moi, je me plu à observer le cul de chacun et tous, sans exception, pouvait en être fier. Denis et Sylvain avaient bien choisi. Une fois entré au camp, je m’allongeai sur ma couchette et fermai les yeux. Le soleil m’avait quelque peu fatigué et peut-être aurais-je le temps de faire une petite sieste mais, comme j’aurais dû y penser, je fus dérangé dans le temps de le dire. Une main se promenait sur moi, plus particulièrement sur mon jeans, exactement là où ma queue, elle aussi, se reposait. Je gardai les yeux fermés, feignant l’ignorance mais ma bite, elle, ne put jouer la comédie. Cette main qui la tripotait était parvenue à la faire grossir sans trop de difficulté mais je gardai tout de même les yeux fermés. C’était plutôt agréable et je ne bougeai pas plus lorsque le mec déboutonna mon jeans, pas plus que lorsqu’il engloutit ma queue au complet. J’aimais bien le fait de le laisser faire sans broncher; il suçait divinement bien. Et là, j’entendis une voix qui s’approchait, laissant entendre qu’il devait y en avoir pour deux bouches. Dans le temps de le dire, je ne pu compter le nombre de bouches qui se prêtaient ma bite; peut-être quatre, cinq, je ne savais pas trop. Ce que je ne doutais pas par contre, c’était que mon engin allait exploser et sans aviser, je giclai mon foutre dans la bouche d’un mec qui avala tout, ne laissant rien aux autres et tout cela, les yeux toujours fermés. Ils s’éloignèrent, laissant ma bite hors de mon jeans. Je ne bougeai point, feignant toujours de dormir. Ça m’importait peu que tous la voient car, de toute façon, ils semblaient tous s’être mis en accord sur le fait que j’étais la salope du camp. C’est donc à ce moment que je décidai de jouer leur jeu et en plus, je ferai une pierre deux coups; je leur donnerais satisfaction mais plus qu’à moi-même. J’avais accepté cette invitation en sachant parfaitement dans quoi je m’embarquais et si tous ces mâles en chaleur avaient décidé que j’allais être à leur disposition, pourquoi pas? Aurais-je cette chance à nouveau? Je m’endormis donc (pour le vrai cette fois-ci) et je fus réveillé par le contremaître bodybuilder quelques minutes plus tard d’un long cri de gorille. J’ouvris les yeux et il se tenait là, devant moi, les bras croisés, à me regarder sévèrement. « Et monsieur croit qu’il est ici pour dormir? Allez, lève-toi et suis-moi ». Je fronçai les sourcils; il jouait bien son rôle mais là, il dépassait les bornes mais je m’exécutai tout de même, le suivant hors du camp. « Écoutez-moi bien vous tous. Ce cher monsieur croit qu’il est ici pour se reposer, criait-il en me pointant du doigt. Je vais lui montrer qu’ici, c’est moi qui décide et que cette leçon serve à vous tous ». Il se plaça droit devant moi, posa ses larges mains sur mes épaules et m’obligea à m’agenouiller. « Tu vois ce que j’ai là, dit-il en se tripotant la queue par-dessus son jeans, tu vas t’en occuper ». Et il prit ma tête entre ses mains et la plaqua violemment contre lui en se balançant le bassin. Il dézippa son jeans et en sortit une queue mais une queue énorme; elle devait faire 28 centimètres et sa circonférence était telle que même mon cul se serait sauvé. J’ouvris donc la bouche, sachant bien que je ne m’en sortirais pas mais je ne pus la prendre en entier car déjà, elle me griffait le fond de la gorge. Les autres observaient la scène, sans doute jaloux de moi; c’était à eux de faire une sieste. Ma mâchoire me faisait souffrir mais je m’en foutais car cette queue était bonne à sucer. Jamais je n’avais vu un tel mastodonte qui tentait de s’engouffrer au complet mais je n’y parvenais pas et je fus quelque peu soulagé lorsque je sentis son sperme coulé le long de ma gorge. Il était venu et je pourrais retrouver un semblant de mâchoire normale car après cela, je vous jure que mes articulations au niveau de la bouche étaient quelque peu défaillantes. Je me relevai en jetant un œil aux mecs, un large sourire pour leur prouver que oui, j’étais bel et bien la salope du camp et qu’ils pouvaient m’embrocher tant et aussi longtemps qu’ils en seraient aptes. Pendant ce temps, le contremaître, lui, zippa son jeans et partit je ne sais où, sans rien dire. – Alors la plote, tu en as eu pour ton argent, me lança le mec qui m’avait enculé à notre arrivée. Une chance pour nous qu’il ne t’a pas péter la rondelle car nous aurions fourré dans le beurre avec le morceau qu’il a.- Ne crains rien mon beau. Je suis habitué d’en prendre deux à la fois alors, ce n’est pas sa queue qui m’aurait agrandit le trou, lui répliquai-je en lui caressant une joue au passage. – Bien entendu, j’aurais dû y penser. J’ai déjà hâte de voir cela.- Quand tu veux, terminai-je la discussion en allant m’asseoir sur une bûche, non loin de là. – Il est quelque peu barbant ce mec. Je me tournai pour savoir qui me parlait et fus surpris de constater qu’il s’agissait du mec que j’avais sodomisé dans la chambre. Il me sourit. Je m’appelle Éric. Tu sais, je ne crois pas que tu sois une salope comme ils disent. Ils sont tous jaloux de toi car ils savent qu’ils n’auront jamais ton allure lorsqu’ils auront ton âge. – Merci du compliment. Je m’appelle Etienne, en lui tendant une poignée de main. Mais nous avons déjà fait connaissance.- Effectivement et une sacrée belle connaissance. J’en aurais repris mais tu nous as quittés.- A mon âge, je dois me reposer de temps en temps, dis-je en riant, ayant en tête l’image de son petit cul bombé. – Et tu crois que nous aurions le temps d’aller marcher dans la forêt avant l’activité?- Je ne crois pas et crois-moi, je n’ai nullement le goût de me faire réprimander par le contremaître.- Ne me dis que tu as détesté cela.- Non mais j’ai la mâchoire en bouillie. Nous discutâmes encore quelques minutes, jusqu’à l’arrivée de Denis et Sylvain qui, pour l’occasion, s’étaient vêtus comme nous. Nous saurions enfin de quoi retournait cette activité.(à suivre pour la fameuse activité du samedi soir)

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[vue sur le net] toucher le fondLa vie, parfois ne tient pas à grand-chose. Une jolie bourgeoise qui s’ennuie et sirote du champagne au soleil, le long de sa piscine. Elle attend le retour de son industriel de mari. Un jardinier trop beau, trop gentil. Un enfant à l’école qui se plaint de maux de tête. Une directrice d’école qui téléphone au papa. Un papa qui abandonne son usine, prend son fils à l’école et rentre chez lui. Une heure trop tôt… Une jolie bourgeoise, le sexe du jardiner dans sa bouche, voit la porte du jardin s’ouvrir et son mari et son fils se figer à l’entrée…La jolie bourgeoise, c’est moi. Du moins c’était moi… Après, tout s’est enchaîné, comme une marée que rien ne peut arrêter : avocats : divorce, avocats : pension, avocats : déchéance des droits parentaux… Comment expliquer que c’était la première fois ? Comment faire comprendre qu’on peut tout avoir et s’ennuyer ? Que les cages dorées restent des cages ? Qu’un mari absent n’est pas remplacé par des cadeaux luxueux ? J’étais la salope qui trompait son gentil mari avec un jardinier qu’elle suçait en plein air dans le parc du domicile conjugal…Quand la marée a reflué, j’étais sur le sable. Petits boulots de merde, dépression, pension qui permet de ne pas totalement sombrer, alcool, psychologues, services sociaux, ANPE, alcool, dépression…J’ai vu toutes mes « amies » s’éloigner de moi en fronçant le nez. Infréquentable ! Mon fils comme mon ex-mari pensent que je suis, au mieux une grande malade, au pire une pute. En deux ans, j’ai pris 10 kilos. Essentiellement sur le ventre et les fesses. Mes cheveux sont souvent gras. Je m’habille en prêt à porter bas de gamme. Je m’abrutis de télévision et de whisky bon marché…Et je roule ce samedi vers chez mes parents, les seuls êtres humains de « l’ancien temps » que je vois encore. Je pense à mon frère, sa femme, surtout, qui m’a tant jalousée avant et qui m’a tant critiquée ensuite : « ma belle-sœur, celle qui s’est fait surprendre par son mari avec un jardinier » Je visualise parfaitement cette peste avec ses moues de dame patronnesse… Salope !Soudain je n’ai plus envie d’y aller ; il le faut pourtant. Le loyer approche. Seuls mes parents pourront m’avancer un peu d’argent. Mais voir ma garce de belle-sœur et mon faux-cul de frangin, c’est trop.Je m’arrête sur une aire d’autoroute envahie de camions alignés comme à la parade. Il est 19h. Si j’arrive en retard, j’évite le dîner. Toujours ça de pris…Je suis perdue dans mes pensées devant la machine à café triturant ma tasse vide.- Je vous en offre un autre ?Il est assez petit, avec un début de ventre et de calvitie.- Si vous voulez.- Avec du sucre ?- Non, une goutte d’arsenic…Il marque un temps d’arrêt, plisse son front et réfléchit.- Ça n’a pas l’air d’aller fort, la petite dameNon, mon bonhomme, la petite dame ne va pas fort. J’essaie pourtant d’être aimable. C’est sans doute le premier homme qui m’aborde depuis… Ben depuis la catastrophe…- Non, c’est pas top en ce moment…- Venez grignoter quelque chose, ça ira mieuxIl m’entraîne dehors, dans la grande cafétéria à 100 mètres.Nous échouons devant une table qui sent la javel où on nous sert un plat du jour. Est-ce la solidarité des galériens, nous en sommes rapidement à nous confier nos vies de misère. Lui, ses 10 heures par jours, 6 jours sur 7, derrière son volant, ses nuits solitaires dans sa cabine, son gosse qu’il ne voit pas grandir, sa femme qui le tolère sur le divan le dimanche et qui a trouvé de quoi combler ses absences. Moi, mes petits boulots, mes fins de mois qui commencent le 15, ma dépression, ma fatigue…Il commande deux whiskies, puis deux autres. La rencontre de deux loosers ça se fête.- Vous avez déjà visité un camion ?Tu crois que je ne te vois pas venir ? Mais tu es gentil, tu as réglé la note alors…- Non jamais.Il me mène à son camion et me fait monter côté passager. Il m’aide à grimper. Même pas un geste déplacé. Même pas une caresse furtive. Un bon point. Il fait le tour, grimpe derrière son volant. Il semble fier de son royaume. Tout est bien propre, bien rangé. Une photo de son fils trône au milieu du tableau de bord. Un blondinet souriant qui doit avoir l’âge du mien. Il surprend güvenilir bahis mon regard.- Mon fils, confirme-t-il. Vous avez des enfants ?- Oui, non, m’embrouillais-je, ce n’est pas le sujet.- C’est quoi le sujet ?Une impulsion, les whiskies, la lassitude… Je plonge dans l’enfer :- Tu veux que je te suce ?- J’ai pas d’argent- Cadeau !Il recule son siège et ouvre sa braguette. Je l’aide à sortir un sexe mou. Je me vautre sur le siège, la tête près du volant, près de sa bite. Je la mets dans ma bouche. Je ferme les yeux et je commence à le sucer. La dernière fois que j’ai fait cela, c’était au soleil dans mon jardin avec mon jardinier. C’était il y a… un siècle. Le sexe grossit dans ma bouche, son propriétaire respire fort. Je suce, la mâchoire crispée.Soudain la portière passager s’ouvre. Je ne bouge même pas. La fatalité. Une voix :- Salut Marcel, j’ai vu ton cami… La voix s’arrête net. Vu la hauteur du siège il doit avoir le visage à hauteur de mes fesses. Le gars déglutit. Je continue à pomper. Je veux aller au bout de l’ignominie. – Ferme la porte bon dieu… Marcel est inquiet. Il a peur. Il a peut-être encore un honneur, une dignité, lui…L’autre ne comprend pas, il grimpe sur le siège et ferme la porte, coincé entre mon derrière et la portière.- Je peux aussi ? C’est combien ?Lui aussi me prend pour une pute ! Décidément ! Je relâche la queue de Marcel et me redresse. – C’est 100 euros.Boire le calice jusqu’à la lie.- 100 euros pour quoi ?- Tu verras.- Il sort un portefeuille usé de sa poche arrière, en tire deux billets de 50, hésite puis me les tend.Je n’ai même pas de sac à main, il est resté dans ma voiture. C’est de l’amateurisme, ma fille… Je mets les billets dans la poche intérieure de mon manteau. Puis, en me tortillant, je fais glisser ma culotte jusqu’à mes chevilles, puis la récupère et la mets également dans ma poche de manteau.- Tu as des préservatifs, Marcel ?Ma voix le fait sortir de sa torpeur. Il ouvre une boite à gants et en sort un qu’il a tôt fait d’enfiler. Je me tourne vers le passager, ouvre sa braguette et en tire son sexe. Je sens les mains de Marcel, derrière, sous ma jupe. Puis la pointe de sa queue cherche le chemin. Je relève ma jupe jusqu’à la taille, découvrant mes fesses grasses. D’une main, je tire sur la chair intérieure d’une cuisse pour libérer un passage dans lequel il s’engouffre. Son gland trouve l’entrée de mon sexe et, d’une poussée, il me pénètre. Son préservatif est lubrifié. Tant mieux. Je me penche sur le passage et commence ma fellation. Le gars pousse un soupir d’aise. Je me doute que son regard doit être rivé à mes fesses entre lesquelles s’agite son copain Marcel. Je vois la scène comme si je n’en n’étais pas actrice. Un détachement total. Ma belle-sœur serait folle de joie : je fais la pute. Un rugissement de Marcel, un coup de boutoir plus fort que les autres et je le sens qui se vide en moi… Je relève la tête, relâchant le sexe dressé que je suçais consciencieusement. Je prends un préservatif dans la réserve de Marcel et l’enfile au gars qui ne bouge plus. Nouveau demi-tour. Je ramène mes fesses vers lui et ma tête vers Marcel. Le gars ne perd pas de temps et à peine suis-je en position qu’il est en moi. Je regarde le sexe de Marcel qui est sous mon nez, mollasson et toujours habillé du préservatif. Je le lui ôte et jette le bout de latex sur le sol de la cabine. Ah Marcel, il faudra nettoyer demain… Puis je prends son sexe entre mes lèvres. Le goût du sperme envahit ma bouche. C’est dit, ce soir je toucherai le fond. Dans mon désespoir, une pensée gaie. Je pourrais expliquer mon retard à ma belle-sœur par le fait que je suçais des routiers. Me traitera-t-elle de menteuse ?Le sexe de Marcel a maintenant repris de la vigueur, tandis que son collègue semble pris de frénésie. Il me martèle en ânonnant :- Tiens salope, tiens salope, prend ça, et ça…Et ça s’arrêtera là car je le sens exploser dans ma chatte. – Vingt dieux, ça fait du bien par où ça passeUn fin poète. Il me met une claque sur les fesses, retire son préservatif et referme sa braguette. Il ouvre la portière, sort et referme. Je présume que, maintenant, il va téléphoner à sa femme et lui jurer türkçe bahis son amour éternel. Je suis cynique mais la vie ne m’a pas fait de cadeaux. Je relâche la pression de mes lèvres sur le membre de Marcel, me redresse, et me mets à quatre pattes sur la banquette, la tête contre la vitre passager. Je relève ma robe qui avait glissé et offre mon derrière, trop charnu et trop mou, à la concupiscence de Marcel. Il n’hésite pas. Après avoir remis un nouveau préservatif, il se met à genoux sur la banquette, derrière moi. Il écarte mes fesses lourdes et m’enfile sans effort.Je pense à une vieille blague sur notre position : en levrette, tous les culs sont beaux, on ne voit pas la tête du partenaire et on n’est pas obligé de sourire.Sourire, je suis bien obligée de le faire au gros en salopette qui vient d’ouvrir la portière et se trouve nez à nez avec moi.- Il parait que tu suces et que tu baises pour 100 € ? Il a déjà un billet dans la main. En appui sur une main, je prends son argent et le glisse dans ma poche. Mon manteau devient un coffre-fort. L’autre monte sur le marchepied est sort une bite d’un diamètre au-dessus de la moyenne. Je me penche et l’embouche. Marcel continue à s’activer de plus belle… Je suce le temps qu’il finisse son affaire. Je sens ma montée de son plaisir. Je suis d’une totale lucidité. Je n’éprouve rien. Ni honte, ni dégoût. Pas de plaisir non plus. Marcel, lui, atteint son nirvana pour la deuxième fois. Je tends une capote au gros en salopette dont le sexe, maintenant en plein érection, présente des dimensions bien au-dessus de la norme. – Mets-la et descend.Il obtempère…Je descends du camion à mon tour et, une fois les pieds sur le sol, je me tourne, relève une nouvelle fois ma robe et me penche en avant, la tête sur le siège. L’autre vient derrière, présente son gland à l’entrée de ma chatte très visitée ce soir et, d’un coup de rein, m’embroche. Je serre les dents. Il est bien plus gros que les autres… Il me prend par les hanches et me secoue comme un prunier. Par moments, j’ai l’impression que mes pieds décollent du sol. Je regarde Marcel en train de se rhabiller. Le gars qui me martèle est maintenant penché sur moi. Je sens son ventre proéminent appuyer sur le bas de mon dos et son souffle sur ma nuque. J’ai hâte qu’il termine car nous ne sommes protégés des regards que par la porte ouverte. Mais, après tout, je ne risque que l’ignominie. Et j’ai déjà donné. Je donne quelques coups de reins à sa rencontre pour accélérer la venue de son plaisir. Il accélère, grogne et se libère à longs traits dont je peux sentir la chaleur à travers le latex. Essoufflé, il se penche à mon oreille et me murmure :- 200 € si tu viens te faire enculer dans mon camion. Puis il se retire, arrache la capote qu’il jette sous le camion et il s’éloigne sans un mot de plus.Marcel se penche vers moi :- Pourquoi tu fais ça ? Tu n’es pas une pute.- Il faut, des fois, toucher le fond pour rebondir, Marcel.Je vois dans ses yeux une incompréhension totale et je referme la portière. Je cherche à repérer ma voiture. Elle est du côté des voitures particulières. Je traverse le parking des camionneurs en cherchant mes clés dans ma poche où je trouve ma culotte. Ça me fait rire. Alors que je passe devant le dernier camion, un mastodonte bardé de chromes, ses phares s’allument et s’éteignent aussitôt. Par la vitre baissée, le conducteur m’interpelle :- Alors ? Tu as réfléchi ?C’est mon gros client :- C’est non !- 300 ?- Non !- Tu fais ta bourgeoise. T’as pas assez faim…Ces mots m’atteignent de plein fouet. Pour rebondir, il faut toucher le fond… Je fais le tour de son camion et grimpe côté passager. Il verrouille les portes et retire son pantalon. Son sexe repose ridiculement entre ses jambes velues, à l’abri sous sa panse de buveur de bière.- Tu as un coup à boire ?Il cligne de l’œil.- Du bon. Il fouille dans sa contre-porte et me tend une bouteille plate.- 18 ans, il est majeur…Je bois une gorgée directement au goulot. Effectivement ça change du whisky premier prix. Lui, il se branle pour préparer la bête. Je reprends une deuxième gorgée.- Va sur la couchette.Je passe entre les deux sièges. Derrière, se trouve une couchette güvenilir bahis siteleri de la taille d’un lit. Il vient m’y rejoindre, des billets à la main. Il a dû prendre toute la caisse de bord car il y a des billets de toutes valeurs. Mais il y a bien 300€. Réglo. J’ôte mon manteau. – Non, dit-il, à poil.Je fais passer ma robe au-dessus de ma tête, dégrafe mon soutien-gorge et range le tout sur l’oreiller. Il est debout entre les deux sièges et se masturbe doucement. De sa main libre, il caresse mes seins. Puis je me penche, écarte sa main et la remplace par la mienne. Puis je commence à le sucer avec entrain. Il regagne sa rigidité assez rapidement. Je le lâche et il met un préservatif. Je reprends son sexe emmailloté et je me remets à le sucer en prenant soin de l’enduire de ma salive. Quand je le juge à point je me mets en position sur les genoux, croupe basse, la tête sur mes vêtements. De ma main, je recueille de la salive que j’étale sur mon anus. Et, le cul offert, j’attends. Pas longtemps ! Il s’approche à genoux. De mes deux mains, j’écarte mes fesses, dévoilant l’entrée de mon cul. Il pose son gland sur mon anus et se met à pousser. Je serre les dents. Je ne crierai pas. Il continue sa progression. Il est vraiment gros. La douleur me tire des larmes des yeux mais je ne dis rien. Enfin je sens son bas-ventre écraser mes fesses. Il est entré en entier ! Aussi étonnant que cela puisse paraître, c’est la première fois que j’ai une bite dans le cul. Considérant cette pratique d’une vulgarité extrême, j’avais toujours refusé à mon mari l’entrée de mes reins. Reins qui sont aujourd’hui investis par la grosse queue d’un routier inconnu. La vie a de ces facéties…La douleur s’est atténuée, ne reste que la gêne de sentir cette queue dans mon intestin. L’homme se met à bouger. Il se retire presque, puis me réinvestit lentement. Je sens qu’il veut profiter de l’instant le plus longtemps possible. 300 € ! Il en veut pour son fric. Il accélère ses va-et-vient, essayant de profiter de toute sa longueur. J’accompagne mollement le mouvement. A un moment, il sort entièrement de mon anus pour mieux le pénétrer, sans douceur cette fois-ci. Mais mes chairs se sont assouplies probablement. Je n’ai plus de douleur et quasiment plus de gêne. Ce n’est pas agréable, pourtant je suis excitée à l’idée que je me fais enculer par un inconnu et pour de l’argent. Je glisse une main entre mes cuisses et commence à caresser mon sexe vide. Mon partenaire continue à me pilonner le cul et je sens à ses mouvements de plus en plus rapides et à son halètement de locomotive qu’il est proche du plaisir. Je l’excite encore un peu plus en bougeant mes fesses, en les propulsant à sa rencontre et, d’une voix enrouée, je l’encourage :- Vas-y, défonce-moi avec ta grosse bite, défonce mon cul.- Ah salope, ah salope, je viens, je viens.Mes doigts redoublent d’ardeur dans mon vagin et je sens le sexe du gros routier gonfler et exploser en moi. Son éjaculation entraîne mon orgasme, fulgurant, qui me secoue des pieds à la tête. Nous restons un instant sans bouger, mon routier planté dans mon cul. Je sens son sexe diminuer de volume, puis il se retire et me met une grande claque sur les fesses.- Tu es la reine de la sodomie. La vache, 300 € pour la championne de l’enculage, j’ai fait une affaire.Je prends cela pour un compliment et me rhabille. Lorsque je suis prête, il descend de son engin et vient m’ouvrir la portière. Et il me gratifie d’une nouvelle claque sur les fesses, amortie cette fois-ci par mon manteau.- A la revoyure, ma belle…Je remonte dans ma voiture et la démarre. Pendant qu’elle chauffe, je sors ma culotte de ma poche et me contorsionne pour l’enfiler. Puis je change d’avis, la retire et la jette dans la boîte à gants.Je compte les billets : 500 €. C’est plus que mes parents m’auraient prêtés, plus que ce dont j’ai besoin pour le loyer. Pas besoin de subir ma vipère de belle-sœur. Je retourne chez moi me coucher.Le lendemain matin, le téléphone me réveille trop tôt. C’est ma belle-sœur :- Qu’as-tu fait hier ? Nous t’attendions chez les parents !Gros reproche dans la voix…- J’ai été me faire enculer par des routiers…Silence choqué, puis :- Ce n’est pas la peine d’être vulgaire.- La vérité n’est jamais vulgaire et, pour rebondir, il faut savoir toucher le fond.Je raccroche. Je le sais, je vais trouver du boulot, arrêter de boire, faire un régime. La vie m’appelle…

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LA MÉTAMORPHOSE D’UN DIRECTEUR FINANCIMichel avait aussi surpris le commentaire d’Alexis, et il en avait assez entendu pour savoir qu’il devait faire quelque chose à ce sujet. Peut-être que ce ne serait pas une si mauvaise chose que de la muter, a-t-il pensé. Il s’est assis et a écrit une lettre au personnel, puis il a pris une enveloppe avec son chèque et l’a apporté au bureau de Samantha. Elle l’a remercié poliment et lui a donné une note dans le retour. Il a jeté rapidement un coup d’œil sur elle. Il devait encore aller à sa maison dans la soirée.”Qu’est ce que ceci” il l’a regardée incrédule. Elle a ouvert un tiroir et lui a montré une lettre, toute dactylographiée et prête à être expédiée. Elle était adressée au personnel.”Nous avons fait une lettre de plainte et inclus un bel assortiment de vos photos” elle a souri. Il a semblé consterné. “Nous avons quelques tâches spéciales que vous devez accomplir en dehors du travail. Vous pourriez même les apprécier. Quoi qu’il en soit, c’est la première chose. A plus tard alors ?”Avant de partir du bureau dans la soirée, Jade passa voir son fiancée. “Tu travaille toujours? Je me suis demandé si nous pourrions dîner ensemble ce soir ?””Heu, désolé. J’ai du travail à finir ce soir. Prenons rendez-vous plus tard” il menti.”Il semble que tu soit en retard tous les soirs de ces jours-ci”, a-t-elle dit d’un ton déçu. “Pourquoi n’avons-nous plus le temps de nous voir ces jours-ci. Je vous ai à peine vu récemment.””Je sais, chérie, désolé, je suis simplement débordé en ce moment mais je me rendrais bientôt disponible pour vous, je vous le promets” a-t-il souri.——————————————————————————–La soirée chez SamanthaDès que Jade s’en est allé, Michel parti pour la maison de Samantha. Elle l’a güvenilir bahis fait entrer et l’a conduit à l’étage dans la pièce où il s’était endormi il y a quelques jours et où sa situation fâcheuse avait commencé. Samantha n’était pas seule. Quelques unes des filles du bureau étaient arrivées plus tôt, y compris Jolene, Angelina et Myriam.”Nous allons pouvoir commencer. Vos vêtements sont sur le lit. Changez-vous et faites-nous savoir quand vous êtes prêt.”Michel regarda la pile ordonnée des choses soyeuses tout en dentelle. “Oh mon Dieu” a-t-il protesté.”Inutile de protester, merci. Si vous n’êtes pas prêt dans 5 minutes nous serons de retour pour vous aider.” A menacé Samantha.Il a regardé les sous-vêtements féminins étalés sur le lit. Bien, au moins il allait pouvoir se changer en privé mais il n’a toujours pas compris pourquoi elles faisaient ceci. Si elles voulaient lui faire du chantage là il y avait cent manières… pourquoi cette humiliation ridicule ?En attendant, Samantha a appelée Jade. Comme elle s’en doutait, elle n’était pas occupée, et quand Samantha lui a dit qu’elle avait besoin d’elle pour un coup de main pour un essayage pressant de robe, elle a aisément acquiescé. Tout a fait naturellement, et comme toute jeune mariée, elle ne pouvait pas attendre pour voir sa robe de mariage. Samantha a raccroché le téléphone. Son sourire rayonnant disait tout.Avec un profond soupir, Michel étala les vêtements, la guêpière, les bas et les portes jarretelles. Son cœur battait fort pendant qu’il examinait chaque article. Les guêpières en soie chatoyaient dans la lumière tandis qu’ils les tenaient par les courroies en ruban. Il avait déjà vus ces chemises de nuit et des culottes françaises, mais jamais un vêtement qui jouait les deux rôles. Il y avait plein de fleurs türkçe bahis brodées et de dentelles qui décorait l’ourlet du bas et plus de dentelle sur le pourtour élastique des cuisses.Elles seraient bientôt de retour et il ne voulait pas qu’elles l’observent se déshabiller aussi il s’est rapidement activé. Il vérifia le porte jarretelle mais il avait porté des bas seulement une ou deux fois avant et il a trouvé difficile de les fixer. Une fois qu’il les a enfilés cependant, il les a trouvé doux et sensuel à porter et son pénis a commencé à remuer. Rapidement, il enfila la guêpière et l’a remontée. Elle était trop petite pour lui mais la soie fraîche faisait un contact très délicat contre sa peau et son pénis était certainement en train de … Oh non il n’avait pas besoin de cela maintenant !Jolene frappa à la porte. Il avait eu tout le temps. “Êtes-vous prêt là dedans ?” Elle n’a pas attendu de réponse et est entrée. “Oh, comme c’est doux. Mumm, cette guêpière vous va mieux que je le croyais.””Elle est à vous ?” son visage est devenu cramoisi.Elle s’est rapprochée de lui et a fait courir ses mains sur la soie glissante. “Naturellement ce sont mes sous vêtements chéri” a-t-elle ronronné. “Vous portez mes bodys en soie, vilain garçon. Ils sont un peu étroits sur vous mais cela vous rend mignon et très sexy. Très révélateur” elle a ri, une main sur son derrière et l’autre trouvant son chemin vers sa verge.”Mumm, c’est un peu… gonflé, n’est pas mon amour? Vous sentez vous bien chéri ? Vous semblez très excité n’est ce pas ? Oooh oui, c’est très mignon n’est ce pas ?” a-t-elle chuchoté pendant qu’elle frottait instamment son sexe à travers la lingerie légère. Elle pouvait le sentir gonfler et se dresser. Elle se mit à genoux à ses pieds, faisant courir sa langue vers güvenilir bahis siteleri le haut de ses cuisses, se dirigeant vers le renflement de satin. Elle a atteint l’intérieur de la l’ouverture de la jambe entourée de dentelles et a libéré son pénis gonflé de sa prison soyeuse. Soudainement il a senti son souffle chaud sur sa verge et ses lèvres baisant doucement son gland. Ses lèvres douces ont eu un effet immédiat et urgent sur lui. “Pauvre bébé, je ne vous ai pas encore sucé ? Est-ce que le gentil Michel aimerait être sucé ?” a-t-elle taquiné.Son pénis se dressait dehors perpendiculaire comme une hampe et elle a lentement tiré le prépuce en arrière, dévoilant son gland pourpre et sensible. “Voyez ce qui arrive quand vous êtes un bon garçon et portez votre jolie lingerie pour nous” a-t-elle souri, et mis ses lèvres autour du champignon pourpre. “Mmmmmm.”Michel a frissonné et fermé les yeux. Sa langue a joué doucement avec son gland, le plus sensible des endroits, et ensuite ses lèvres s’enroulèrent autour de son gland. Ses yeux se sont fermés pendant qu’elle le taquinait et l’excitait, et puis juste comme elle avait sa longueur entière dans sa bouche, il y eu des coups à la porte.Jolene stoppa net, sa bouche encore prise par son ex-petit ami. Michel reconnu la voix de Samantha “Oh zut qu’est ce qu’elle fait ici “! Il se mit à paniquer.Jolene s’est écarté et s’est rapidement relevé. “Elle doit être là pour un essayage. Oh non, elles vont être ici dans une minute. Vite, cachez-vous sous le lit.””Quoi ?””Et bien, voulez vous qu’elle vous trouve ainsi ?” et en disant cela elle l’a caché sous le lit avec les vêtements qu’il portait lorsqu’il est arrivé. Elle se glissa sous le lit contre son dos et mis son bras autour de lui, recherchant de nouveau son pénis.”Merde, que faites vous ?” s’est il plaint.”Chut. Elles seront ici dans une seconde.” Michel a retenu son souffle lorsqu’il vit deux paires de pieds entrer dans la pièce tandis que Jolene commençait à le branler lentement le à travers la lingerie en soie.

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AudreyIl faisait très beau cet après-midi là et j’avais décidé de me prélasser dans le jacuzzi…j’avais installé une bouteille de vin blanc dans un seau à glaçon et je rêvassais …j’entendis des pas…le jacuzzi était invisible des voisins et du coup, je m’étais “mis à l’aise”…Quelle ne fut pas ma surprise de voir Audrey, ma voisine arriver…Visiblement elle avait un peu bu et cette petite blonde ne tenait pas bien “la marée”…- ah tu es là? Je voulais t’inviter à venir prendre l’apéro…Ludovic n’est pas là…ses courses de voitures tu sais…- c’est gentil, mais si tu veux, j’ai un p’tit coup de Quincy, tu m’en dira des nouvelles…par contre je n’ai qu’un verre…- c’est égal, je pourrai lire dans tes pensées…Elle se servit un verre généreux qu’elle avala quasimment d’une traite…- il est bon dit elle…je peux profiter du jacuzzi moi aussi?- C’est à dire…je n’ai pas de maillot…- ben… moi non plus…Joignant le geste à la parole elle entreprit d’oter sa robe.Rapidement elle se retrouva en soutien-gorge et shorty devant moi. C’était un ensemble en belle dentelle blanche et cela lui allait à ravir…- je voudrais pas les abimer- oui, il y a du chlore en effetD’un geste rapide elle retira le haut puis plus lascivement, me regardant droit dans les yeux, elle fit glisser le bas.- tu me trouves comment?Elle était plantée devant moi, les poings sur les hanches, les jambes légèrement écartées. J’avais une vue imprenable sur sa chatte complètement épilée hormis une petite touffe loin au dessus du clitoris prouvant qu’elle était une vraie blonde. Ses seins retombaient un peu, mais étaient encore jolis quoique petits…- magnifique arrivais je à articuler- canlı bahis şirketleri fais moi une placeloin de se mettre à l’opposé de moi dans le bain, elle vint à mes cotés- c’est marrant ces bulles, j’ai un jet juste sous mes fesses, c’est…excitantsa main avait glissé sur ma cuisse et me caressait le sexe qui avait réagi au quart de tour…- tu n’es pas comme mon mari, je ne te laisse pas indifférent- tu veux dire?- qu’il ne m’a plus touché depuis des mois- quel con!- Tu crois que tu pourrais…je ne dis rien, mais glissais ma main jusque sur sa chatte que je me mis à caresser doucement- pourtant je fais des efforts, je m’épile, je m’habille bien… rien n’y fait!- ben tant mieux pour moi alors…elle se leva assez brusquement, sa jambe droite passa par dessus mon bassin et elle s’assit sur le haut de mes cuisses. Puis elle m’embrassa langoureusement. Son sexe qui touchait le mien me faisait un effet mostre et j’avais une trique d’enfer.- Baises moi!- On serait peut etre mieux sur la terrasseJe me levai, mon sexe était à la hauteur de ses lèvres…Elle déposa un baiser délicat dessus puis se leva aussi. Nos lèvres s’unirent à nouveau puis nous glissames au sol. Mes lèvres descendirent titiller ses seins. Ils durcirent rapidement et elle se mit à soupirer d’aise. Je m’enhardis alors et je vint effleurer son clitoris. Il ne réagit pas tout de suite, engourdi sans doute par tant d’abstinence…je me mis alors à lècher ses lèvres, puis m’insinuais plus profondément dans son intimité…était-ce l’eau du jaccuzzi? J’avais l’impression que son liquide du plaisir perlait déjà…j’insistais donc un peu…- donnes moi ton sexe, je veux te sucer canlı kaçak iddaa moi aussinous nous sommes retrouvé en position de 69- je vais peut etre etre maladroite, Ludovic n’aime pas ça…j’ai pas trop d’expérience du coup…- fais comme tu le sens…en fait elle se débrouillait bien, alternant les longues incursions de mon sexe jusqu’à sa gorge et les peits coups de langue sur le méat…c’était divin. De mon coté, j’avais entrepris de stimuler de nouveau son clitoris. De mes mains je lui avais écarté les lèvres et avec ma langue, je remontais tout son abricot avant de lui titiller le clitoris, puis je redescendais jusqu’à son anus, le stimulant parfois…Elle aimait cela, je le sentais car par moment elle arrêtait de me pomper pour concentrer son attention sur son plaisir. Soudain dans un grand râle, mais sans que rien ne l’ai laissé présager, elle m’aspergea de son nectar de plaisir, et s’effondra sur le coté, secoué de soubresauts…- pardon, je ne sais pas ce qu’il m’est arrivé…- ben tu as joui…goutes, c’est ton nectar…je l’embrassais goulument- maintenant, baises moi…je la positionnai en levrette et la pénétrai vigoureusement. Elle se cambra au départ puis rapidement ses fesses poussèrent vers l’arrière comme pour faciliter la pénétration. Mes mains sur ses hanches, j’imprimais mon rythme. Elle couinait doucement et de doux gargouillis s’élevaient de son vagin liquéfié…- Encules moij’étais un peu surpris, d’habitude les femmes accèdent à cette requète si leur compagnon le demande, mais il est rare qu’elle le demande d’elle-même…Je me retirais donc de son vagin poisseux et y récoltais suffisament de sécrétions pour faciliter canlı kaçak bahis le passage de mon sexe dans l’étroite intimité…Puis je positionnai mon gland à l’entrée de son cul et poussai en douceur …je l’entendis gémir, ses ongles raclèrent le bois de la terrasse puis d’un seul coup, le passage se fit…Elle poussa un cri…Encore heureux que les autres voisins sont partis en week-end…Je continuai alors à pousser…mon sexe entier colonisa son rectum. Elle était toujours poings crispés, mais son visage avait l’air apaisé…j’entamais alors un doux va et vient et je la vit se détendre rapidement.Une de ses mains glissa entre ses jambes et je compris qu’elle se caressait. J’accélérai mon mouvement et ses petits cris de plaisir recommencèrent. Mes couilles battaient contre ses fesses et je sentais que je ne tarderai pas à éjaculer…elle le comprit et encore une fois elle me surprit:- vides toi en moi s’il te plaitSa voix, ou ce qu’elle me demandait eurent raison de ma volonté et je laissai échapper ma semence dans ses entrailles…Elle s’effondra de nouveau frappée par un orgasme…Je me retirai délicatement puis admirai mon sperme coulant doucement de son anus encore dilaté…- tu as aimé? Me demanda t elle- il faudrait etre difficile…- tu sais c’était la première fois pour moi par…le cul…j’ai du te paraitre vulgaire- mais non, j’ai adoré…je l’embrassai à pleine bouche. J’en profitai pour lui titiller les seins- j’aime bien ce que tu fais…quand tu les pinces, ça irradie jusqu’en bas…c’est bon…Elle avait entrepris de me caresser les couilles et rapidement je fus de nouveau “en forme”- ben dis donc, Ludovic, lui il s’endormait sitot le coup tiré…et c’était pas de ce niveau…- tu veux recommencer?- Oui mais dans un lit, c’est un peu rude, la terrasse…Elle me devança dans la chambre, j’en profitai pour admirer son petit cul, d’ou coulait encore de temps à autre une goutte de sperme….

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