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LE CHEPTEL DE MADAME chapitre 3 Hubert suiteLE CHEPTEL DE MADAME chapitre 3 Hubert suiteA près avoir dégusté les plats préparés par le traiteur, les trois femmes retournèrent au salon. L’esclave avait tenté sans grand succès de se déplacer. Marion s’en aperçut immédiatement. « Qu’est-ce que tu ne comprends pas dans NE PAS BOUGER, CONNARD?» en lui cinglant à trois reprises les fesses offertes avec sa cravache.« Il n’est pas encore bien au point comme esclave. »fit remarquer Margot. « Il va falloir qu’on lui explique encore.» « Pitié, non Maîtresse, j’obéirai totalement, pitié, Maîtresse ! » tenta l’esclave d’une voix chevrotante. Sans tenir compte de la supplique de l’esclave, Margot poursuivit « Y aurait-il un endroit où on pourrait le suspendre ? » « Il y a bien les combles avec une charpente apparente… » répondit Madame. « Parfait j’ai ce qu’il faut dans mes affaires, allons-y » dit-elle en prenant sa valise d’accessoires,Marion enleva le mousqueton qui tenait l’esclave en position de hogtie. Elle le fit relever et l’on prit la direction de l’escalier. Ce fut douloureux pour l’esclave obligé de monter les deux étages à genoux avant d’arriver aux vastes combles, surtout que Marion était loin de lui faciliter la tâche. canlı bahis şirketleri Un petit banc traînait dans un coin. « Va chercher ce banc et à genoux bien sûr…»Hubert revint, tenant le banc comme il pouvait entre ses mains entravées. Margot plaça le banc sous une des poutres, défit les menottes des poignets d’Hubert et le fit monter sur le banc. Elle lui noua deux cordes sorties de sa valise aux poignets de l’esclave et les attacha à la poutre à deux mètres l’une de l’autre pour que l’esclave ait les bras étirés en croix. Puis elle retira brusquement le banc. L’esclave était maintenant pendu par les poignets, les pieds ne touchant plus terre.Un vieux poids en fonte d’une vingtaine de kilos muni d’un anneau traînait un peu plus loin. « Voila qui sera parfait » dit-elle en le traînant l’esclave. Elle fit plusieurs tours d’une fine cordelette à la base de ses couilles, fit un nœud serré et attacha l’autre extrémité à l’anneau du poids en tendant la cordelette.« Il est prêt pour une petite séance de fouet » dit Margot sortant trois longs fouets « bullwhip » de sa valise.Les trois femmes se placèrent en triangle à bonne distance de l’esclave qui geignait déjà doucement et commencèrent à jouer du fouet. canlı kaçak iddaa Si les coups de Madame et de Marion moins expérimentées n’arrivaient pas toujours sur la cible, par contre ceux de Margot faisaient mouche à tous les coups.La peau d’Hubert fut rapidement zébrée de longues traces rouges qui s’entre croisaient. Pour échapper aux coups, l’esclave tentait de se tordre en tous sens mais sans grand succès. Par contre tous ces mouvements faisaient que la cordelette tiraillait ses couilles le poids en fonte ne bougeant évidement pas. L’esclave hurlait, geignait, suppliait en vain. Il était prêt de l’évanouissement lorsque son supplice se termina. Les trois tortionnaires étaient en sueur, leurs bras étaient endoloris à force de manier le fouet. Peu d’endroits du corps de l’esclave, couilles et bite y compris, étaient indemnes des traces rouges parfois sanglantes qui commençaient à virer au violet. Il était pantelant, peinant à retrouver son souffle, la tête pendant sur sa poitrine.«Laissons le comme ça un moment, ça va lui donner le temps de réfléchir à sa condition et allons prendre un rafraîchissement bien gagné» proposa Madame. Les trois femmes, ayant rangé les fouets dans la valise, redescendirent canlı kaçak bahis au salon. Le « moment » dura près de deux heures qui parurent une éternité à l’esclave. Il ne savait plus ce qui lui faisait le plus mal de ses poignets, de sa peau, ou de ses couilles et sa bite. Il sanglotait doucement.Les trois femmes ayant bien pris le temps de se rafraîchir et d’évoquer les projets de Madame remontèrent dans les combles. Margot évalua d’un œil d’experte l’état de leur victime. « Voila ce que vous propose : nous allons le dépendre et le ramener dans son placard où il passera une nuit de réflexion. » Hubert fut donc libéré des cordes qui le suspendaient, mais la cordelette resta en place toujours attachée au poids de fonte. Il s’écroula au sol toujours sanglotant comme un bébé. « Relève toi et ramasse ton poids, il va descendre avec nous ».Le quatuor redescendit au rez de chaussée, l’esclave titubant portant son poids, les trois Maîtresses le houspillant pour qu’il accélère sa descente.Arrivé au placard, Hubert posa le poids entre ses genoux. La cordelette fut raccourcie, les couilles de l’esclave touchant presque le poids. Ses poignets à nouveau menottés furent reliés par une corde à un piton planté assez haut dans le mur. La longueur de la corde réglée pour que les bras soient tendus au dessus de la tête faisait que l’esclave ne pouvait s’asseoir. Il allait passer la nuit à demi suspendu dans cette position très inconfortable.A suivre … Chapitre 4 Hubert suite et fin
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