DELPHINE La mère pute.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

DELPHINE La mère pute.Elle s’était rendue à la traditionnelle réunion parents profs. Elle était habillée d’un pantalon en cuir noir qui lui moulé son cul, elle n’a pas mis de sous vêtement (histoire d’exciter un peu les profs ca peu toujours servir) avec des talons. Elle avait mis en haut une chemise blanche qui laissait voir son soutif rouge. Habillé ainsi, elle espérait peut être remonter la moyenne de son fils.Arrivant au lycée, le jeune qui servait d’hôtesse d’accueil lui demanda :- Bonjour que puis je faire pour vous ? » Tout ceci sans quitter des yeux ses seins.- Euh….je cherche la salle polyvalente »- D’accord, une petite visite des lieux ? Peut être ? »- Oui, pourquoi pas »Il la laissa passer, il pu ainsi regardez son cul moulé dans son pantalon en cuir.Delphine se laissa donc portée par le jeune, elle savait que qu’il était en train de la mater. Son fils étant en BEP, il avait donc un vestiaire pour se changer.- Et voila le vestiaire »Le vestiaire puait, on aurait dit que plusieurs rats étaient en décompositions.- Il n’y a pas eu beaucoup de femmes qui sont venus ici ? »- Vous êtes la première »- Quel honneur »Il commença à se rapprocher, à se rapprocher jusqu’à ce qu’elle sente le contact de sa bosse du pantalon sur ces fesses.- HO, HO, Tu fais quoi là ? »- Vu comment vous êtes habillée, je sais que vous êtes là pour ca »- Oui mais c’était pour les profs, pas pour les élèves, je pourrais être votre mère Tout en commençant à la peloter il lui répondit :- Et alors j’suis pas difficile »- Juste une petite pipe alors ? »- Bien sur, c’est ca, tu vas passer à la casserole, ma vieille »Peu farouche, elle se mit à genoux et commença à toucher la bosse du pantalon, lui enleva son pantalon et son caleçon. Elle branla un peu son chibre et se le mit en bouche.- T’aimes ca finalement, et t’as de l’expérience »Elle répondit en acquiesçant. La pipe terminée, elle se mit en levrette, elle laissa le jeune lui baissé son pantalon. Elle sentit la langue, lui nettoyer son vagin.- Tu mouilles en plus, t’es une vraie chienne »- Oui »Il continua son cunnilingus, Delphine jouit tellement qu’elle expulsa un jet de cyprine en plein sur le visage du jeune- C’est pas grave, je te pisserai dessus »- D’accord, traite moi comme une chienne, j’aime ca »- T’acceptera tout ce que je demanderais ? »- Oui »Il enfonçait maintenant sa bite dans le vagin lubrifié de la mère de famille. Au fur et à mesure des va et vient, les cris de Delphine augmentèrent.- T’aimes ca crier, hein. »- Oui….Oui….. »Comme il lui avait promis, il se vida littéralement sur elle. Delphine reçut un flot de sperme mélangé avec de la pisse.- C’est bon tu peux te rhabiller »Elle avait la main sur la poignée quand il lui dit :- Je t’ais pas dit de partir, tu vas mettre ça sur tes yeux et tu vas attendre en position levrette »Il lui tendit un vieux chiffon et elle le mit consciencieusement sur ses yeux et se mit à quatre pattes sur le banc. Delphine resta dans cette position au moins un quart d’heure puis elle entendit la porte s’ouvrit et une voix s’exclamer :- Whoa, quel cul »- Qui c’est, vous allez me faire quoi ? »- Elle a quelle âge, elle n’est pas de première mains »- T’as quel âge ? »- 36 ans ….vous allez me faire quoi »- Vu comment on vient de baiser, tu vas aimer ca »Elle entendit encore la porte s’ouvrir et des cris de joie. Elle allait servir de vide couille pour un groupe de jeunes en rut. Et le pire c’est qu’elle allait aimer.- Vous êtes combien ? »En guise de réponse, on la prit par les cheveux et on lui enfonça une bite dans la bouche. Elle prit énormément de plaisir à être traitée ainsi. On la tira encore par les cheveux et on la fit passer à une bite. Elle compta cinq queues avant qu’on la fasse assoir sur le banc. Les mains couraient sur son corps, on lui arracha sa chemise et on lui pelota ses seins à travers son soutif. Certaines mains lui touchèrent son vagin à travers son pantalon. Elle poussa un cri à chaque fois qu’elle jouit.- T’est vraiment une grosse cochonne »- Baisez-moi maintenant »- Doucement, doucement, on a pas terminé »Ils firent encore jouir Delphine 3-4 fois. Elle était déjà cuite et les jeunes encore en forme quand ils baissèrent son pantalon. Elle écarta les cuisses et se baissa pour laisser voir ses partie intimes a la vue de tous. Elle sentit toute une main rentrée dans sa chatte.- C’est bon les mecs, sa chatte est prête, passons a son anus »Cette fois ci il n’enfonce que deux doigts.- Putain, toi t’as l’habitude de te faire enculer »- Oh …..Oui, enculez-moi »Étant sans repère, Delphine ne put pas savoir d’où allez venir la première bite. Elle poussa un cri de surprise, Ils avaient décidés de commencer par son cul. A tour de rôle, ils l’enculerent. Elle se laissa faire, sans broncher. Elle aimait ca.- On a finit avec ton cul, mets toit a quatre pattes sur le banc, comme la chienne que tu es »- Oui…..traitez moi comme une chienne »Une fois, en levrette sur le banc. Elle se prit une bite dans l’anus, dans sa chatte et dans sa bouche. Des qu’un jeune avait fini il se déchargeait sur le visage de Delphine.- T’es couverte de sperme, donne nous ton MSN, histoire de rester en contact Des que les jeunes avaient tous quittés le vestiaire, elle retira son bandeau. Elle était toute collante, elle retrouva son pantalon et sa chemise, ils avaient aussi éjaculés sur ces vêtements, elle ne les essuyait même pas. Elle regarda sa montre.- Merde, j’suis en retard »Elle sortit du vestiaire en boitant et dégoulinante de foutre.…………………………………………….Les Desperates Housewives du cul.Depuis qu’elle s’était fait prendre dans les vestiaires (voir précédente histoire), Delphine n’avait qu’une envie c’était que les jeunes reprennent contact et recommencer. Son souhait fut exaucé, un des jeunes l’avait contacté.- Ah ma vieille cochonne préférée, on est quelques potes à avoir les couilles pleines, ca te dirait de nous les vider »- Oui, venez chez moi Samedi, j’ai hâte » elle donna son adresse.- Ramène deux copines »- D’accord »Elle savait qui elle aller appeler. Sylvie une copine (la mère du meilleur ami de son fils) qui vivait seule et était très libertine. Séverine sa sœur, divorcée et comme Sylvie très libertine. Elle n’eut aucun mal à les convaincre, une baise avec des jeunes était une offre assez alléchante.Le Samedi soir, Delphine était habillée d’une robe bleue quasiment transparente qui laissa voir ses seins et sa chatte. La première arrivée Escort Bayan était Sylvie, elle était habillée comme une pute. Un corset blanc pour mettre ses seins en valeur, une mini jupe qui s’arrêtait au ras de ses fesses et qui montrait son string rouge et avec ça des bas résilles sans oublier des bottes noires, bref elle était partie pour faire le trottoir. Séverine était elle habillé d’un débardeur et d’un legging noir qui était beaucoup trop petit pour elle et du coup son cul débordait de tous le cotés.- Tu l’as pris à ta fille, ton leggings »- Ouais, faut bien que je mette mon cul en valeur »- Mettez vous dans le salon et mettez les bandeaux sur vos yeux »Les jeunes ne se firent pas attendre, une fois les deux coups sur la porte passés, Delphine ouvrit la porte (tant bien que mal).- Ma vieille pute préférée, putain t’es vraiment bonne, tes copines sont là ? »- Oui dans le salon, elles vous attendent, entrez tous »En guise de salutation, on la fouilla de partout, elle sentit les mains courir sur son corps. Quand elle entra dans le salon, elle était déjà nue et bien chaude.Le leader des jeunes prit la parole :- Trois belles salopes, on va se régaler avec vous, pour commencer vous allez vous mettre à quatre patte vos fesses face a nous, histoire qu’on tâte la marchandise »Les trois femmes se plièrent volontiers à l’ordre, ravies de leur situation elles mouillèrent abondamment. Ils commencèrent par Delphine, elle sentit des doigts, des mains fouillée son corps. Sa chatte était mise à rude épreuves, un doigt puis deux puis toute la main. A chaque fois qu’elle se faisait fistée elle jouissait. Pour son anus il y eu un traitement particulier :- Pour ton trou du cul, on va demander à la salope au string rouge de s’en occuperSylvie fut prises par les cheveux et on fourra son visage dans les fesses à Delphine.- Et maintenant ouvre nous ca, on va s’occuper de ton casSe faire traiter comme une chienne plaisait beaucoup a Sylvie, elle mouillait abondamment, son string était détrempé. Elle lécha consciencieusement le petit trou de sa copine. Puis elle enfonça son doigt, elle sentit Delphine se cambrer sous l’effet de la mini sodomie.- Oui……Vas-y……..continue Sous les ordres de Delphine, elle enfonça un second doigt puis elle continua comme ca jusqu’à avoir toute la main enfoncé dans le cul de la mère du meilleur ami de son fils. Delphine cria puis ses cris se transformèrent en gémissement. Sylvie essaya de récupérer la cyprine de son amie. Elle sentit un liquide chaud coulé sur ses fesses, un des jeunes n’a pu se retenir de jouir en voyant la scène. Sans se rendre compte des risques qu’elles encouraient elle s’en alla a un commentaire.- Quoi ………Déjà »- Qu’est ce qu’elle dit la pute ? elle l’air d’avoir une grande bouche, voyons ca répondit un jeune surement l’éjaculateur précoce. On l’a prit par les cheveux, elle se mit a genoux.- On va te la remplir ta bouche, tu vas voir » Il fit signe a un mec de venir. Sylvie sentit qu’une bite essaya de forcer l’accès a sa bouche, docile elle ouvrit sa bouche mais elle ne pus voir la deuxième arrivée. On lui maintenait la tête pour qu’elle puisse avaler les deux bites. Sa bouche était déformée jamais elle n’avait eu deux bites dans la bouche. Il avait peut être éjaculé assez vite mais il était endurant, elle reçu un torrent de sperme qu’elle dut avaler.- On l’entend plus la salope, maintenant » le chef reprit la parole et dit :- Toi celle au gros cul coincé dans ton pantalon, tu vas t’occuper de cette salope, on s’occupera de ton arrière train, et celle qu’on a baisée dans les vestiaires t’as des godes ? »- Oui, dans ma chambre, le dernier tiroir de commode avec mes sous vêtements Pendant ce temps la, Sylvie et Séverine s’embrassaient langoureusement, les mains de Sylvie entouraient le cou de Séverine et les siennes malaxaient le cul de Sylvie. En voyant cette scène, les bites des jeunes étaient sur le point d’exploser. Delphine elle, était amenée dans sa chambre.4 jeunes étaient en train de fouiller dans le tiroir, les sous vêtements étaient mis sur le lit, les petites culottes, les strings, les soutifs, les bas et les collants de Delphine étaient ainsi exposés quand elle arriva.- Mets toi en levrette, et attend ton cadeau »Elle se mit a quatre pattes sur le lit, sur ses sous vêtements.- Hey mais, vous faites quoi avec mes fringues »- Ta gueule, on va te baiser sur tes strings, tes culottes » Pour la faire taire, elle eut une bite dans la bouche, qu’elle avala goulument.Les jeunes trouvèrent enfin leur bonheur, tout au fond du tiroir il y avait deux godemichés, l’un était long une quarantaine de centimètres, épais de 2-3 cm rose et a chaque extrémités une forme de gland, l’autre était plus court une vingtaine de centimètres mais beaucoup plus épais au moins 7 cm le gode était très réaliste les nervures le gland toutes les aspérités d’une bite était présentes, il était de couleur noir. Des sifflements se firent entendre dans la chambre.- Et, bah dis donc, tu dois bien d’amuser avec ca » dit le chef de la bande, stupéfait.- Humpf…….humpf…..humpf » Le filet blanc qui coulait sur son menton et la déglutition signifiait que Delphine venait de se faire éjaculer dans la bouche et qu’elle avait tout avalé.- C’est bon t’as bien manger alors dis moi ce que tu fais avec ces trucs »- Le long me sert pour ma chatte et mon cul ou pour les filles que j’amène ici, le gros me sert pour mes plaisirs personnel, la chatte, le cul et la bouche »- T’es vraiment une cochonne, le long va servir aux deux pétasses, le gros va compter comme une cinquième bite » Delphine commença à se doigter la chatte- Oh……oui……prenez moi……tous…. »- Au fait c’est quoi ton prénom, espèce de garage a bite » demanda t-il en mettant une claque sur son cul- ……Delphine…… »Sylvie et Séverine était nues et en plein 69.- Allez les salopes, on arrête les gouinages et on passe aux choses sérieuses, votre copine Delphine nous a donné un truc qui pourrait vous faire plaisir » Il enfonça le premier bout dans la bouche de Sylvie, fit 2-3 va et vient et enfonça le deuxième bout dans la bouche de Séverine. Les deux salopes avaient chacune un bout du gode.- Vous avez 20 cm de gode a avaler pour vous retrouver et vous embrasser »Au début hésitantes, elles avalèrent le gode goulument, manquèrent de s’étouffer mais malgré 20 cm de plastique dans la bouche, elles s’embrassèrent, de la bave coulaient de la commissure de leurs lèvres.- Bayan escort Bon maintenant, on passe a l’anus »Elles recrachèrent le gode, manquèrent de s’étouffer puis elles dirigèrent le gode vers leurs anus. Séverine gémit.- Vas y pousse……pousse….. »Les deux femmes étaient maintenant cul à cul, criant de plaisir. Deux jeunes s’approchèrent et enfoncèrent leurs bites dans la bouche de Sylvie et Séverine. Elles mouillèrent abondamment. Sylvie était chauffée à blanc.- Ohhhhhhhhh oui…….baisez moi……….. » Sur ces mots elle se retira du gode et s’assit sur le canapé, écarta les cuisses, se doigta et attendit.- Prenez…….moi………insultez moi………vite »- A tes ordres, salope » Quatre jeunes se rapprochèrent de Sylvie, un se mit dans sa bouche, un autre dans sa chatte et les autres se faisaient branler par la femme.- Humpf……humpf…. »En entendant les insultes des jeunes, ses orgasmes furent multipliés, au moment de leurs éjaculations, le bonheur de Sylvie fut énorme et ce n’était pas finit. Ceux qu’elle branlait prit la place des autres et la reprenait pour sa plus grande satisfaction.Séverine était avec deux jeunes, un lui pilonnait l’anus, l’autre était en dessous et lui prenait la chatte, comme Sylvie ou Delphine elle aimait ca se faire traiter comme une chienne et lors de son orgasme, elle hurla comme une démente.Delphine entendit les cris de ces copines, elle comprit qu’elles avaient atteint l’orgasme, elle aussi n’allait pas tarder à l’atteindre également. Deux bites dans sa bouche, une dans l’anus et deux dans la chatte, elle se faisait goder en même temps. Les premiers à éjaculer furent ceux dans sa bouche, une fois sa gorge libérer, elle put crier son bonheur.- OH……oui…encore….prenez moi ……..éclater moi………. »Sur ces invectives, les jeunes la pilonnèrent encore plus fort. Son orgasme fut un ouragan, on a du l’entendre dans tout l’immeuble. Ils éjaculèrent en même temps, Delphine était quasiment inconsciente, deux durent la ramener dans le salon, ils la posèrent entre les deux autres qui étaient également complètement cuite.- Bon nous on va se reposer avant la grande éjac finale, vous les 3 salopes vous allez lécher le sperme que vous avez » Sylvie et Séverine se mirent à lécher Delphine qui était recouverte de foutre.Plus tard:« Bon les salopes, on va bientôt s’en aller, mais avant de partir on va vous arroser » Les trois filles se mirent a genoux, bouche ouvertes en attendant l’offrande. Les 10 jeunes se regroupèrent des trois corps et lâchèrent les vannes. Un véritable torrent de sperme déferla sur les trois femmes, une véritable douche de sperme.- C’est bon c’est finit, vous enlever vos bandeaux seulement quand vous entendez la porte claquez »Ce qu’elles ignoraient c’est qu’elles avaient été filmées pendant leurs baises et que cette vidéo allait être le point de départ d’une histoire plutôt glauque pour Delphine et Sylvie.La porte claqua.Elles enlevèrent leurs bandeaux et se regardèrent, leurs visages étaient marqués, leurs lèvres boursouflées, leurs orifices laissaient couler un mélange de sperme et de mouille. Pour finir elles s’embrasèrent. Delphine prit la parole:- Bon, les filles on se rhabille et je vous ramène »Leurs vêtements avaient pris cher, ils étaient recouverts de foutre, de mouille, de pisse. Le collant de Séverine était déchiré, le string de Sylvie avait disparu. Elles se rhabillèrent tant bien que mal, en partant, Séverine prit le gode a double a tête.- Ça peut toujours servir » et elles partirent.Et effectivement il servit, à peine rentrée dans la voiture Sylvie et Séverine se godait déjà. Delphine s’arrêta en lisière de forêt mais elle oubliait que ce bois est réputé pour ces voyeurs et ces branleurs. Ça ne manqua pas, à peine arrêtée, 4-5 voyeurs ouvrirent les portes de voitures et baissèrent les trois femmes.…………………………Retrouvailles familialesJean le fils de Delphine rentra chez lui le dimanche matin vers 10h30, la soirée avait été longue. L’appartement était différent, il sentit un relent de sperme et de sexe, dans le salon il y avait des espèces de flaques d’eau et toujours ce vieux relent de sexe. La porte de la chambre était ouverte il décida d’entrer. Sa mère était allongée sur le coté, sur ses couvertures, elle avait une espèce de robe bleue qui lui servait de robe de nuit et qui était complètement transparente, ce qu’il lui surprit c’était tous ces sous vêtements sur son lit, des strings, des petites culottes, des porte jarretelles, des bas etc…etc…, pour lui c’était clair sa mère venait de baiser pendant une bonne partie de la nuit. Il n’était pas si loin de la vérité.L’état de sa mère au réveil le confirmait dans son impression, elle boitait, son visage était boursouflé, son maquillage coulait sur son visage. Sa robe bleue était totalement transparente et laissait voir sa chatte.- Et bah dis donc tu as fait quoi cette nuit, y a une odeur bizarre dans l’appart – Mêle toi de tes affaires, je suis ta mère je fais ce que je veux »Il n’eut pas le temps de répondre, son téléphone se mit à sonner. Il consulta le message :“ Il faut absolument que je te montre quelque chose, j’arrive tout de suite “ Marc un de ses amis venait de lui envoyer ce message. Sa mère était partit sous la douche. Marc arriva.- Salut Jean, tu vas bien, Ta mère est la ? »- Dans sa chambre elle fait un peu de ménage, pourquoi ? »Il lui tendit une clé USB- Regarde ce film d’abord »Jean brancha la clé sur l’ordinateur et ouvrit le fichier.La vidéo montrait un groupe d’une dizaine de jeunes dans une cage d’escalier, tous beurs et noirs qui parlaient d’un vidage de couilles sur trois blanches. Ils grimpèrent les escaliers et tapèrent à une porte. Quand il vit qui ouvrit Jean poussa un cri et faillit tomber de sa chaise. Sa mère venait d’ouvrir la porte, les dix étaient venus pour baiser sa mère. Enfin ce qu’il restait de sa mère, elle avait les yeux bandé et une robe bleue qui laissait tout paraitre, à peine rentrés les jeunes commencèrent à la peloter, elle se laissa faire. Jean n’était plus sur que d’une chose, sa mère était devenu une salope qui couchait avec n’importe qui. Il n’était pas au bout de ses surprises, la vidéo continuait les jeunes était entré dans l’appartement, Delphine était déjà nue au milieu du groupe avec des mains qui fouillaient son corps. Mais elle n’allait pas être la seule à se faire tringler deux autres femmes était sur le canapé une avait un leggings noirs, l’autre Escort avait une mini jupe qui laissa voir son string rouge et ses bas résilles. Les deux femmes subirent le même sort que sa mère et comme Delphine elles étaient consentante et aimait ça. Il pu voir le visage des deux femmes et fut encore surpris, celle qui avait un string rouge était Sylvie la mère de son meilleur pote l’autre en leggings n’était rien d’autre que sa tante Séverine. Les jeunes firent subirent les pires outrages aux trois femmes, sodomies, double fellation, double pénétrations, fistage, godage. Leurs visages étaient défigurés par le plaisir et pour grand final, elles reçurent un torrent de sperme. A la fin de la vidéo, Jean eu du mal à trouver ses mots…..- Ouais…ouais….ouais pourquoi tu m’as montré cette vidéo ? »- Déjà pour te montrer que ta mère est une vraie salope et puis aussi pour me vider les couilles »- Tu veux baiser ma mère, c’est ça gros dégelasse »- Allez fais pas ton faux-cul et avoue, elle t’a plu la vidéo, voir ta mère et ta tante se faire baiser comme des chiennes ou la mère de Mathieu sucer deux bites en même temps. »- Oui elle était pas mal mais c’est pas dit qu’elle soit d’accord, elle à l’air fatiguée et de mauvaise humeur »- Tu m’étonne avec tout ce qu’elle s’est prise dans le cul mais ça vaut le coup d’essayer, on a rien à perdre »- On a rien à perdre, tu parles, ce n’est pas ta mère que tu vas baiser, de nos jours on appelle ca l’i****te »- T’es gentil mais ta mère ce n’est pas un modèle de vertu, elle est attirée par la bite que ce soit la tienne, celle d’un inconnu ou même celle d’un clebs c’est la même pour elle, et puis vous êtes tous les deux majeurs et vaccinés, c’est que du sexe après tout »Jean décida qu’il avait raison et appela sa mère. Delphine portait moins les stigmates de la soirée d’hier, à part les cernes sur le visage et le fait qu’elle boite. Elle s’était changée, elle portait maintenant un tee shirt sans fioriture et un pantalon marron qui était moulant et qui laissait deviner qu’elle n’avait pas de culotte. Il se mit à parler :- Ah maman, j’ai quelque chose à te montrer, viens assis toi »- Jean, j’ai vraiment pas le temps »- Mais si t’as le temps »- Bon d’accord »Elle s’assit entre les deux garçons, Jean lança la vidéo. Au début elle ne comprit pas puis elle se vit en train d’ouvrir la porte et elle eu un déclic.- Oh mon dieu, ils nous ont filmés »Marc lui répondit- Et oui, ils t-on filmés, je ne savais pas que t’avais les talents d’une actrice de cul »- Pourquoi vous me montrez la vidéo ? »- A ton avis, ton fils et moi on veut profiter de tes talents et après on ira voir la mère de Mathieu, tu sais celle qui t’as lécher le cul et après qui t’a enfoncer sa main dans ton petit trou »Jean avait déjà sortit sa bite et commençait à se branler- Allez, salope tu ne vas pas le laisser tout seul »Delphine se mit a quatre pattes sur le canapé-lit de son fils et rapproche ses lèvres du gland de son fils, elle l’embrassa, ouvrit la bouche et avala la bite, elle commença les va et vient et entendit Marc parler, elle comprit vaguement qu’il disait qu’elle n’était qu’une salope et que pour elle toutes les bites se ressemblait. Elle adorait se faire traiter de pute et n’être qu’un garage de bite ou une vide couille. Avec sa main gauche elle se toucha l’entre jambe a travers son pantalon, ce qui fit réagir Marc- Ahhh, la salope a chaud à la chatte, attends je vais le faire »Avec sa main il frotta le tissu avec la chatte, sentir le tissu en contact avec son clito et les lèvres de sa chatte décupla l’orgasme de Delphine, elle ne put se retenir et jouit dans son pantalon, la mouille s’était écouler dans tout son pantalon.- Humpf…..Humpf….Humpf »- Regarde cette salope, elle s’est pas retenu, elle a jouit dans son pantalon, on dirait qu’elle s’est pissée dessus »Elle continua d’avaler goulument la bite de son fils, au moment ou son fils allait jouir elle essaya d’enlever sa tête mais Marc la retenait et son fils éjacula dans sa bouche.- Hum…c’est bon le sperme de ton fils, allez suce moi maintenant »Et Delphine recommença, tout comme son fils Marc éjacula dans sa bouche et elle avala.- Allez maintenant on va voir l’autre cochonne et là on va vous baiser »- D’accord, j’ai le temps de me changer ? »- Ah, Ah, Ah, non tu vas y aller comme ca »Et ils partirent chez Sylvie. Une fois arrivée chez sa copine, Delphine lui expliqua la situation :- Sylvie, on a un problème, tu sais la soirée d’hier »- Oui, bien sur, qu’est ce que c’était bon, toutes ses bites, je me suis régalée »- Ouais mais on a un problème, on a été filmée »- T’es sérieuse, t’as vu la vidéo »- Oui, on me la montrer et je t’ai amenée la vidéo »- On va pouvoir la regarder ensemble »- La aussi on a un problème »- Quoi, encore ? » répondit Sylvie impatiente de regarder la vidéo- C’est ton fils qui doit la regarder »- Hein, mais c’est quoi cette histoire »- Ces deux la te répondront mieux que moi »Marc et Jean sortirent de l’ombre et Marc prit la parole :- Mais dites moi c’est la salope au string rouge et au fait il est passée où ton string ? »- Quoi mais comment? » répondit Sylvie interloquée- C’est simple on est venu ici pour prévenir ton fils que t’es une salope et peut être s’il est d’accord te baiser, on a déjà convertit ta copine, maintenant ca va être ton tour » En disant cela Marc et Jean se sont rapproché de la mère de famille et commencèrent à lui peloter le cul.- Dis donc il y a de quoi faire avec ton cul »- Laissez-moi ….. »- Fais pas ta mijaurée, on a vu la vidéo on sait bien que t’aime bien t’en prendre plein le cul »- C’est quand même mon fils »- Arrête ton baratin, t’es comme Delphine, pour vous toutes les bites se ressemblent, que ce soit celle d’un inconnu, celle de ton fils ou celle d’un clebs c’est la même pour vous du moment qu’elles vont dans vos culs, de toute façon vous êtes tous les deux majeurs, hein Delphine ? »- Oui c’est vrai » répondit Delphine- T’as vu elle reconnait que vous êtes des chiennes »- Bon très bien je suis d’accord, au fait Delphine qu’est ce qui t’es arrivée avec ton pantalon ? Cette fois c’est Jean qui répondit :- A ton avis, on l’a fait jouir »Marc reprit la parole- Sylvie pour mieux profiter de ton cul tu vas te changer, pour ce qu’on va te faire un soutif, un string et des bas auto-fixant suffiront »- Très bien »- Delphine tu vas aider Sylvie et nous on s’occupe de convaincre Mathieu »- Oui »Sylvie et Delphine partirent en direction de la chambre, Marc et Jean partirent eux vers la chambre de Mathieu. Ils tapèrent à sa porte :- Salut les mecs, vous allez bien ? » demanda Mathieu- Écoute, tranquille, on a un film à te montrer dans le salon »répondit Jean- Ok j’arrive.Nous aussi …. A suivre

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

My Shy colleague, ex-student and emergency sec par

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Babes

My Shy colleague, ex-student and emergency sec par(See part one for the warm up).Her fingers are making a sopping sound. Her pussy is literally dripping. One hand is pulling her nipples. I never have seen a girl this horny. And can’t get my head around that I’m staring at my shy colleague and ex-student. She slows down, trying to catch her breath and avoiding a first orgasm. She gazes at me and her shyness is back. Can we forget that this is real? Pleease? Betty whispers. It’s just that… It’s my turn to shut her up. I run my foot over her leg and in between her thighs. My big toe finds her clit easily as it still proudly stands out, glistening with her juices. I start tapping it gently and she squeezes her legs, twisting her hips back and forth. In return she runs her feet up my legs and clasps my cock. I always have a hard time not cumming too quickly so try to peel her feet away as I want this to last a bit longer. You don’t like it? No, no, I love it but I want this too last much longer. She gets up and takes my hand. Come, I know a place to cool down. She throws on her shirt and we run through the house, up the stairs to the rooftop. There is no moon, it’s chilly and a slight breeze. She’s shivering and cuddles up to me pushing me back against the wall. She’s cold and her nipples are even sharper now poking my chest. It makes me hard again and my dick is pushing against her belly. She holds on to my shoulders, stands on the tip of her feet and lowers herself on to my dick. I can feel my cock disappear between two warm wet lips. She slowly starts sliding back and forth, squeezing her legs as tight as she can. Our lips find each other and the kiss is electrifying. We both shiver but this time it’s the excitement taking over. She bites my ear and she hisses softly . Fuck me please. All those nights, when Escort Bayan I heard you jerk off, i was so close to knocking at your door. It has been too long. I need it. You’re driving me crazy every night. FUCK ME. knowing myself, i need to drag this a bit further. I grasp her head, smile and whisper back not yet. We’ll get there. I push her away, turn her around, pick my t-shirt and tie it in front of her eyes. Her hands protect her pussy as I push her further out to a place on the roof where our neighbors could potentially see her. I move away and hold my breath. This is an incredible sight. her curves are amazing and her boobs jiggle back and forth on a tight body. Where are you? Please don’t leave me. Shhhh trust me. I grasp her hands and lead them to an overhead bar we use to dry clothes and tie them to it. It is slightly too high so she needs to stretch her body. I push her legs apart. She shivers again as the wind is picking up. I let my fingers walk,over her body, pinching a nipple from time to time. She moans softly each time I do it. I try to pinch a bit harder and she leans back suddenly, letting out a short scream as I pull her back up with the tip of my fingers. My fingers continue their journey and circle around her pussy. She moves her hips as much as she can trying to guide me between her legs. I move back. I pick up a broom stick and push it between her legs. She curls and twists an in no time does she manage to suck it up her pussy. She starts riding it vigorously. Her juices are dripping down the stick. I can’t help but stroking my cock at this time. This is hotter than the best fantasy I ever had. I pull it out. Can you please fuck me NOW. I want the real thing. I want your cock. While I ponder what to do, I see the door to the rooftop open slightly. I see Bayan escort the shadow of my other male colleague masturbating. Nick startles when he sees me. I wave him to come over without making a sound. This can’t get any better. His cock is bigger than mine and has an incredible nice head. I free her from the bar and help her into a doggy position. I can see her pussy wide open between her amazing butt cheeks. I motion him to stand in front of her, grasp his dick and lead it to her mouth. Her lips part immediately and I can see his cock slide in and out. She goes deep and gags, surprised by the length. I position my self at the back and push my dickhead between her pussy lips. She freezes and yells. Who is this? No need to know I hiss and shove my cock as deep as I can and immediately pick up speed. She is so horny by now and pushes back as hard as she can, while holding on to the dick of our colleague and trying to catch his dickhead with her mouth. Her cunt is tight and she manages to control her pussy muscles, squeezing every time I pull back. This is not the shy girl I know. She is completely loosing control now and I can see an orgasm building up. She’s starting to moan and scream louder and louder, begging me to fuck her hard. I try to muffle the sound but she bites me hard. He has stepped away and is jerking of fast just next to her face. The sounds must have been loud as the door opens again. Now it’s one of the other girls stepping out. Lisa freezes. She’s wearing a see through pijama. She’s the one in the house with the biggest boobs, teasing us always with sufficient cleavage to lift the trousers. I lie down and move my ethiopean Beauty on top off me, facing the other way. The sight of my dick moving up and down her ass is amazing. lisa has stepped out further Escort now. She steps over my legs, lifts her pijama and position her pussy in front of Betty’s face. I take her blindfold off. She looks back for a second but does not hesitate and buries her face in Lisa ‘s cunt. Nick feeling left out is edging closer and kneels down positioning himself to cum all over us. I’ve never seen another cock up so close. This is emergency sex flashes through my head . All is allowed. Nobody cares. We will all behave as if nothing happened in the morning. Before I realize, I grab his cock by the shaft and let my lips slide over his dickhead. I’m surprised by the feeling. It’s soft and rock hard at the same time . Nick pulls back his hands and trusts forward. Things are really getting out of control now. I jerk and suck his cock as hard. Betty is still buried in Lisa s cunt, who is also edging closer to an orgasm. Betty arches back, stares at me. Fuck me harder, I want you to cum in me, NOW. I grasp her hips, lift her as high as I can without slipping out and shove her down, faster and faster. She manages to turn around and puts her nails in my chest. Her boobs are swaying back and forth violently now. I had no clue she would be the type to like it this rough. Lisa is still standing over me, now with three fingers up her pussy with her thumb rubbing a massive clit. We are all working towards our climax. Betty takes control. Cum fucking cum in 10. We all speed up as she counts down. I feel my load shooting up her pussy, while Liza squirts right into betty’s face and nick dumps his load right into mine. Betty bends over and I feel,her tongue scr****g up his cum, while I bury my nose in Liza s juices dripping of Betty’s face. We all fall back and lie still staring at the stars. None of us looks side ways. I feel left and right and find two pussies, still open and sensitive, while I feel two hands picking up my dick, trying to bring it back to life . I have no clue how long we’ve been lying there but I remember cumming once more amidst the sound of soft moans. Fell asleep and woke up alone …

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Marivaudage et jupe plissée

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

Marivaudage et jupe plisséeJe venais de négocier mon faux licenciement économique, ou plus exactement, une préretraite dorée, à cinquante-quatre ans, avec une confortable prime de départ. Mon épouse avait emménagé chez une copine divorcée, en ville. J’étais libre de tous mes agissements et déchargé de la gestion de notre couple déliquescent – doux euphémisme !Ce jour-là, comme tous les jeudis matin, je me rendais à un discount teuton pour faire le plein de Bourgogne au très bon rapport qualité-prix et de quelques babioles domestiques ou de bricolage. Le soleil était de la partie en ce milieu du mois d’Août, dans une région où la carte météo ne fait apparaître que des nuages et de la pluie, juste avant la frontière avec la Belgique. Sur la route de campagne, je suivais une Mercedes plus toute jeune, dont le pot d’échappement ne tenait plus qu’à un support, jusqu’à ce que la marmite s’affale sur le macadam. Un jet d’étincelles accompagna la chute suivie du bruit de la ferraille heurtant l’asphalte. Une compagnie de perdrix s’envola, outrée de cette pollution aussi sonore qu’incongrue.Après mes appels de phares, la Mercedes s’immobilisa sur une aire déserte de stockage de betteraves sucrières. Une dame d’un certain âge, affolée, sortit du véhicule. Très bronzée, avec un léger accent italien, les avant-bras encerclés de multiples bracelets, la mamie se lamentait en constatant les dégâts. Elle portait une longue jupe plissée blanche. Son débardeur, rouge écarlate, donnait un peu de jeunesse à sa tenue classique et démodée.Le contenu de la caisse à outils, que je n’avais pas encore débarrassée de mon coffre, me permit de rattacher, avec du fil de fer, la première fixation de l’échappement. Je dus étaler une vieille couverture au sol pour m’allonger et atteindre le second point d’ancrage de l’échappement. La dame, gênée de me causer tant de tracas, m’éclairait sous la Mercedes. Accroupie, sans avoir la moindre notion de sa position involontairement indécente, elle cherchait à se rendre utile, en m’avançant la pince et le fil de fer. Toujours allongé au sol, la tête à hauteur de la brave dame, il eut été peu élégant de ma part de l’avertir qu’entre l’arrière de sa jupe traînant au sol et l’avant de sa jupe posé sur ses cuisses frêles mais béantes, j’avais une vision imprenable de son intimité. Je crus d’abord qu’elle portait une petite culotte blanche, mais la surface claire correspondait à la trace d’un maillot de bain. Son minou, aux crêtes sombres, semblait parader entre ses jambes entrouvertes, peut-être ravi d’avoir enfin un spectateur. À peine cachée par une toison grise et clairsemée qui vagabondait sur le renflement du pubis, la fente charnue arborait sa parure vieux rose.Alors que je me rangeais devant le magasin allemand, j’étais encore en train de résoudre cette énigme angoissante : mais, pourquoi donc cette dame ne portait-elle pas de culotte sous sa jupe plissée ?Dans le magasin, la grande Brigitte, mon ancienne voisine de palier avant l’achat de ma vieille maison campagnarde, fouillait dans un bac de sous-vêtements féminins. Elle en sortit un slip en coton blanc, côtelé, qui semblait lui convenir. Un peu gênée, elle me fit la bise tout en gardant la petite culotte dans la main.— Ton mari serait d’accord avec moi pour que ce genre de lingerie immonde soit interdite à la fabrication, définitivement.Je venais de commettre une énorme bourde, la première grosse gaffe de la matinée.— Mon cher Pierre, mon mari a quitté le domicile conjugal, avec armes et bagages, il y a huit mois. Dès que ma sœur a perdu son époux, il s’est installé chez elle. Leur liaison durait depuis dix ans et tout le monde l’ignorait. C’est la vie !… Parlons d’autre chose, que fais-tu de beau aujourd’hui ?Comme Brigitte avait les larmes aux yeux et que je me sentais coupable, j’ai menti.— Je vais faire un tour en Belgique, acheter des cigarettes, boire une bonne bière sur la grand-place de Bruges et visiter l’exposition de peintres flamands. Si ce programme t’intéresse, je t’emmène volontiers dans mon escapade.— Catherine travaille ?— Je n’en sais fichtre rien, vu qu’elle habite maintenant en ville chez sa copine, pour échapper au vide de notre vie conjugale… dont je suis bien sûr responsable !— Si tu n’as pas de nouvelle copine jalouse, je suis partante d’autant que je rêve de moules-frites et d’une bière pression depuis belle lurette…Brigitte m’abandonna sur la grand-place de Bruges, attablé à la terrasse d’un bistrot, devant une sensationnelle bière artisanale. Elle allait acheter la traditionnelle boîte de chocolats pour sa maman. Son pantalon, en tissu fleuri, avait une coupe qui faisait flotter le tissu sur ses fesses trop plates. Brigitte avait maintenant un petit ventre rebondi qui tendait la ceinture du vêtement. Ses seins ne semblaient pas énormes mais, ils tendaient quand même, de façon arrogante, son chemisier écru.Quelques risées de vent marin, capricieuses, traversaient la place pavée. Les calèches, alignées, attendaient les touristes désireux de sentir le crottin authentique de plus prés. Une jeune maman, le buste incliné, conseillait son gamin en langue flamande pour qu’il arrive à escalader tout seul les hautes marches du véhicule. Le papa immortalisait la scène avec sa caméra. Un coup de vent soudain souleva la jupette plissée bleue marine de la jeune maman et découvrit, l’espace de deux secondes, son sympathique petit derrière. J’ai pensé que son mari avait prévu quelques prises de vue coquines, lors de leur visite, car la flamande avait négligé le port d’une petite culotte.Décidément, c’était la loi des séries ! La même journée, je venais de constater que sous les jupes plissées, ces dames ne portaient pas de culotte… Peut-être venais-je de découvrir l’existence d’un groupuscule sectaire qui militait pour l’abolition du slip, en liaison avec les farouches porteurs de kilts écossais ?Notre journée se passa très agréablement ; on savourait tous deux la dernière bière, avant le retour. Brigitte, les lèvres mousseuses, me fixa malicieusement.— Tu es devenu un vrai mufle ou tu trouves vraiment que j’ai pris un coup de vieux avec mes quelques kilos superflus ? Tu ne m’as même pas proposé de finir notre escapade dans l’intimité d’une chambre !— Que nenni ma douce amie… (Elle ne pouffa pas…) Je te trouve toujours aussi désirable mais, comme j’étais persuadé de ton refus, j’ai préféré m’abstenir pour éviter une humiliation que je savais certaine.— Décidément, les hommes ne comprendront jamais Escort Bayan rien à la psychologie féminine…Je m’abstins de lui répondre que j’en avais autant à son service et que, certaines femmes, en particulier la mienne, avaient autant de psychologie qu’une brouette.Bien que chacun de nous se fût réjoui à l’avance de cette parenthèse où notre corps aurait dû exulter, nous restâmes sur notre faim. Brigitte avoua sa déception, elle s’attendait à plus de romantisme, à des petits mots doux susurrés au creux de l’oreille… Mon amertume était beaucoup plus prosaïque : d’entrée je constatais que les bonnets de son soutif étaient bourrés de coton pour faire croire que… Ensuite, alors que je m’appliquais à lui brouter le minou, avec toute la maestria nécessaire, elle poussa un cri d’horreur. Elle m’ordonna de retirer, sur le champ, mon index que je venais d’introduire avec délicatesse dans son orifice anal. Je venais de surmonter ma honte mais la grande folle m’acheva : madame me refusa une fellation. Elle ne voulait pas goûter « ce bout de viande qu’elle trouvait inesthétique, gluant et nauséabond ! »On se quitta quand même bons amis mais aucun de nous ne proposa de renouveler l’expérience… Le jeudi suivant, Brigitte ne se rendit même pas au magasin.Par contre, la famille Merle était là. Monsieur, bedonnant, dans un splendide survêtement, sang et or, du Racing Club de Lens et Madame, dans un jogging en tissu éponge, rose bonbon. Elle me fit un discret clin d’œil car on se croisait régulièrement dans un chemin creux de mon village. Moi je montais promener mon berger belge et elle descendait du siège passager d’une grosse BMW conduite par un mec aux cheveux blancs. J’avais gardé secrète cette découverte car son mari était vraiment un gros beauf et il méritait son infortune conjugale.Je venais de ranger mon caddie sur le parking du discount quand une jeune dame vint me demander mon aide. Il fallait charger, dans sa voiture, un petit meuble en pin, qu’elle venait d’acheter en solde. Son break Kangoo était neuf et une gamine était arrimée dans son siège bébé, s’amusant avec sa peluche. Je l’aidais à rabattre la banquette arrière et elle monta dans le véhicule, par une porte latérale. Elle se mit de profil en s’accroupissant pour m’aider à tirer cette acquisition lourde et encombrante.La jeune dame ne me remercia pas, elle pivota sur sa position pour me faire face. Toujours accroupie, elle remonta sa jupe en jean très haut, sur ses cuisses, qu’elle ouvrit largement. Un slip léopard, à un franc six sous dans un supermarché, cachait son intimité. Sa main droite écarta l’élastique latéral. La jeune mère était complètement rasée et un tatouage de scorpion surplombait son entrejambe béant.— Les messieurs d’un certain âge sont toujours généreux avec moi ; tu viens chez moi, papy ?Je ne l’ai pas accompagnée. Me qualifier de papy alors que je n’avais aucun poil blanc dans les cheveux et, seulement quelques-uns, isolés, dans ma somptueuse moustache !J’avais complètement oublié ma fumeuse hypothèse qui semblait établir un lien entre le port d’une jupe plissée et l’absence de petite culotte. Des événements en décidèrent autrement.Ma vieille mère insista lourdement pour que je serve de taxi à son aide ménagère, qui devait faire un examen médical au CHR. J’étais libre de toute occupation et cette dame était d’un dévouement exemplaire pour ma maman.J’arrivai donc chez Ginette un peu en avance, au cas où…Fort heureusement car la brave femme venait de laisser échapper une boucle d’oreille dans le lavabo de la salle de bains et essayait de la récupérer avec un fil de fer. Elle était maquillée et coiffée mais portait encore une robe de chambre en pilou, pas de première jeunesse. Le temps qu’elle me prépare un café, j’avais démonté le siphon et récupéré le bijou.Dans la salle de bains, ses vêtements étaient préparés sur une chaise : des bas couleur chair ; un ensemble soutien-gorge-culotte vert amande, décoré d’horribles fleurs jaunes ; le chemisier recouvrait le dossier et, accroché à un cintre à pinces, une jupe plissée, gris foncé. Adieu mon mémoire sur les jupes plissées qui aurait dû interpeller les sociologues et les anthropologues contemporains ! J’étais vraiment niais d’avoir échafaudé un tel délire : Ginette porterait un slip sous sa jupe.J’en rigolais encore quand la copine de ma mère me rejoignit dans la salle d’attente. Elle était euphorique vu que la tumeur présumée s’avéra être un troisième rein atrophié qu’elle portait depuis la naissance. J’étais aussi ravi qu’elle, pour ma maman qui l’adulait, pour son mari super sympa et pour ses enfants.Dans le long couloir menant à la sortie elle me demanda une seconde, le temps de se débarrasser dans les toilettes d’une petite culotte qui l’insupportait. Elle attendit l’intimité de la voiture pour m’expliquer que les slips synthétiques l’irritaient et qu’elle trouvait ceux en coton trop hermétique pour une hygiène saine. Bref, Ginette ne portait une culotte qu’exceptionnellement, chez le docteur ou à la messe mais, le reste du temps, elle s’en passait volontiers. Bien sûr, son mari était au courant et en profitait même quelquefois pour remplir ses devoirs conjugaux dans des endroits et à des moments disons… inhabituels !Mes données scientifiques étaient encore nettement insuffisantes pour élaborer l’ombre d’une étude rigoureuse mais je gardais un optimisme en béton armé.Ma boîte me rappela en catastrophe pour dépanner une machine, d’une ancienne génération, que le jeune ingénieur qui m’avait remplacé ne connaissait pas du tout. Tous frais payés, avec un ordinateur portable en cadeau, je ne pouvais décemment pas refuser. On m’avait retenu une chambre dans une pension de famille paumée, dans la France profonde, à proximité d’une station thermale réputée pour soigner les rhumatismes.La réparation ne posa pas de problème majeur. Je me retrouvais donc le soir, dans la salle de restaurant, à côté des touristes de passage et au milieu de couples de petits vieux, bien propres sur eux et fort sympathiques. On m’avait déjà retenu pour le tournoi de belote, après le repas. J’eus la chance d’éviter le veau aux olives réservé aux pensionnaires. Je finissais mon pavé de Charolais saignant quand des cris affolés perturbèrent mon extase. Un octogénaire, rouge cramoisi, était en train de s’étouffer à table. La patronne de l’hôtel, paniquée, lança un tonitruant :— Est ce qu’il y a un médecin dans la salle ?J’avais passé récemment un Bayan escort diplôme de secouriste de la protection civile, au cas où il arriverait quelque chose à mes petits enfants, dont j’allais avoir la garde après la classe. Je préférais cependant laisser la place à un professionnel. Tout le monde se dévisagea dans le restaurant mais, personne ne bougea. Le mec allait y passer, à coup sûr. Alors je suis intervenu. Je l’ai soulevé, je lui ai incliné le buste et j’ai frappé trois fois, du plat de la main entre ses omoplates. Catastrophe, ça ne marchait pas. J’ai alors pris l’initiative d’utiliser la méthode Heimlich, le poing sur le nombril, en remontant fermement au thorax. À mon grand soulagement, papy cracha son noyau d’olive immédiatement. C’était la première fois qu’on m’applaudissait ! Les dames pleuraient, les hommes me congratulaient.Du coup, j’eus droit à une promotion, c’est la patronne qui prit la place du jeune stagiaire pour me servir à table. La propriétaire devait avoir un problème d’hormones car, à quarante ans, elle faisait bien le quintal pour un mètre soixante. Je venais de terminer mon dessert quand elle vint, tout sourire, s’appuyer au rebord de ma table, à mes côtés. La friponne obèse baissa suffisamment son buste pour que son décolleté dévoile les dentelles rouges qui emprisonnaient une poitrine curieusement menue, par rapport au reste de sa personne. Dans cette position, j’avais aussi un aperçu de la partie supérieure d’un string ficelle, rouge aussi, qui débordait de son jean brodé. Je ne savais pas que les strings dépassaient la taille cinquante !— Est-ce que le docteur serait content que je lui rende une petite visite dans sa chambre, vers onze heures, histoire de faire plus ample connaissance ?Elle ne manquait pas d’air la bougresse, je faillis éclater de rire et lui rétorquer que je n’avais pas le permis poids lourd mais, maman m’avait bien élevé…— Je suis flatté mais votre mari est un homme vraiment charmant et je ne voudrais pas du tout lui faire du tort.— Mais mon mari sera là aussi, docteur, je ne suis pas une femme légère (sic). Edmond adore me voir faire l’amour avec d’autres hommes et ça l’excite de me filmer en pleine action. Moi aussi d’ailleurs, j’aime bien me revoir dans les vidéos. Nous n’avons pas eu d’enfant et ça met un peu de piment dans notre vie, dans ce trou pourri. Rassurez-vous, personne d’autre ne verra le film…Je maintenais quand même mon refus avec le plus de diplomatie possible. La patronne, un peu dépitée, s’éloigna de quelques pas et revint à la charge.— Je suis certaine que mon mari sera d’accord pour faire une exception à notre règle. C’est le seul que j’autorise à me… comment dit-on dans le grand monde ? Ah oui, sodomiser. Je serais heureuse de vous faire plaisir vu l’épine que vous nous avez enlevée du pied tout à l’heure avec l’olive.Pour échapper poliment à cette ogresse, je mentis, lui affirmant que j’étais encore fou amoureux de mon épouse et que mes principes religieux m’interdisaient toute incartade, même avec une ravissante dame. Je ne sais pas si elle me crut, mais je m’en sortais élégamment.Durant le tournoi de belote, je fis des bêtises mais personne ne m’en tint rigueur :— C’est pas grave, Docteur, on peut pas être bon partout.Les curistes disaient ça avec tant de gentillesse et d’admiration que je ne me sentais pas le courage de leur avouer que je n’étais qu’un modeste secouriste. En plus, je partais le lendemain. C’était quand même surprenant le prestige qui auréolait le titre de médecin auprès du troisième âge. Si les diplômes étaient un signe d’intelligence, ça se saurait depuis longtemps, non ?Au moment de regagner nos chambres, j’eus droit, de la part du patron et du groupe à une bouteille d’alcool local accompagné d’un :— Bonne nuit, Docteur et de la part de nous tous un grand merci de nous avoir sauvé Eugène.Une dame, les cheveux bruns coupés très court, entre deux âges, me fit une bise très appuyée, les larmes aux yeux. Elle me fixa intensément du regard et me demanda curieusement à quelle heure je comptais prendre mon petit déjeuner, le lendemain. Bien qu’elle eût un visage ingrat et les chevilles un peu fortes, c’était une belle plante : poitrine généreuse, large croupe moulée dans un pantalon d’un blanc immaculé. Elle prit par le bras un homme plus âgé, avec une canne, et l’aida à gravir les marches de l’escalier qui menait aux chambres.Ma valise était prête quand je descendis prendre le petit déjeuner. Un groupe de seniors montaient dans la navette du site thermal, les autres partaient en balade pédestre. Ils me saluèrent tous joyeusement. Je m’apprêtais à déjeuner seul mais la dame aux cheveux courts m’attendait, assise, sirotant un café. Elle m’accueillit avec un regard intense. Holà ! Visiblement le titre de docteur poussait à s’encanailler avec les dames sur le retour. D’entrée elle m’expliqua qu’elle accompagnait son frère en cure, chaque année, vu qu’il était veuf et incapable de se déplacer sans aide. Je n’en étais quand même pas encore réduit à m’envoyer des mamies. J’étais donc sur le point de le lui expliquer en termes choisis pour ne pas lui faire de peine, quand elle se leva pour m’approvisionner en croissants. Elle portait une jupe plissée, de couleur abricot, très mûr !Dans l’intérêt de mes recherches en sociologie, on se retrouva donc dans ma chambre. Il fallait que je me garde le suspense de la confirmation de mon hypothèse le plus longtemps possible. Je ne lui ai laissé que sa jupe et je me suis donc occupé de ses seins, longuement, pour retarder l’échéance. Ils étaient certes un peu affaissés mais moelleux et volumineux. Monique semblait ravie et me laissait me goinfrer de ses mamelles en fermant les yeux. Quand je me fus mis nu, elle voulut se débarrasser de son dernier vêtement.— S’il te plaît, pas tout de suite, on a tout notre temps.Elle a souri, s’est assise sur le lit et son petit doigt m’a invité à me rapprocher. La fellation fut divine. Monique emprisonnait mon sexe dans sa bouche et observait le plaisir se dessiner sur mon visage. Elle me laissa déterminer la fin de ces préliminaires érotiques. Nu, Le membre raidi, j’étais face à Monique qui attendait paisiblement la suite des événements. Le moment crucial arrivait.Je lui ai demandé de relever doucement sa jupe plissée. Espiègle, elle l’a remontée jusqu’à la limite de ses bas puis l’a rabaissée, puis la coquine l’a relevée un peu plus haut, puis encore plus haut. J’étais si obnubilé Escort par son épaisse toison brune et frisée qui envahissait le pubis pour descendre encercler son minou dodu que j’en oubliais, un instant, le but de ma débauche. Bingo, c’était confirmé une fois de plus, pas de culotte sous les plis de la jupe. Monique se montra surprise de mon euphorie mais ne me posa aucune question.Quand elle me vit m’allonger sur la moquette, la tête entre ses jambes, elle comprit immédiatement mes intentions. Elle se débarrassa du vêtement superflu avant de s’accroupir au-dessus de mon visage. Sa croupe était si volumineuse que j’étais dans l’obscurité, agrippé à ses grosses fesses, la bouche vagabondant ici et là. Elle me fit juste remarquer, alors que je léchais son petit trou avant de visiter le site avec mon index, que j’étais un toubib très cochon mais, que ça n’enlevait rien à l’estime qu’elle avait du corps médical !Peut-être que j’en fis trop, lors de cet instant privilégié, car la lumière du jour me réapparut. Ma partenaire venait de se relever soudainement et de se presser vers le cabinet de toilette. Visiblement c’était urgent car elle ne prit ni la peine de refermer la porte ni celle de rabattre la lunette des W-C. Légèrement fléchie sur ses jambes, elle se libéra. Une cascade limpide prit naissance de sa toison dense et frisée pour s’éparpiller dans la cuvette. Soulagée mais honteuse, elle s’excusa longuement en baissant la tête. Je lui pardonnais d’autant plus volontiers qu’elle se retourna pour se passer le minou à l’eau claire. Le buste incliné, elle m’offrait le spectacle de sa croupe béante d’ou émergeait la foufoune dodue et velue. Je ne pouvais refuser cette invitation au vice et je me permis de conclure, dans la salle d’eau, par une levrette flamboyante, qui sembla parfaitement convenir à ma partenaire cramponnée au lavabo.Monique me raccompagna à ma voiture en me laissant ses coordonnées à Rouen, au cas où j’aurais envie de venir au rendez-vous exceptionnel de la Grande Armada. Je venais de démarrer lentement quand je croisai la patronne, en bigoudis, qui allait pendre les nappes du restaurant contenues dans son panier. Je m’arrêtai pour lui faire mes adieux. Elle me désigna de la tête Monique qui s’éloignait :— Je déteste cette cliente, docteur, elle n’a aucun sens moral et aucune dignité. L’an dernier, elle a fait croire au jeune conducteur du minibus des thermes, que le monsieur handicapé qu’elle accompagnait était son frère et qu’elle était veuve et malheureuse. Du coup, le jeune gars, un peu demeuré et très sensible, l’a consolée, si vous voyez ce que je veux dire, tous les jours, sur la banquette arrière de son véhicule. C’est une vraie salope, mais une cliente régulière !ÉpilogueSi je voulais alimenter mes statistiques, il fallait nécessairement que je trouve beaucoup de dames qui portent des jupes plissées. Mais ce n’était plus la mode, même chez les citadines d’un certain âge. Mon hypothèse farfelue n’avait aucune chance de se finaliser. C’était foutu, exit mon intervention à la Sorbonne, mon passage à la télé…Comme je payais le loyer de ma charmante épouse et toutes les charges du couple, quelques problèmes financiers vinrent perturber mes premiers projets de vacances, en tant que célibataire. Alors que j’évoquais ce sujet avec ma maman, c’est son aide ménagère, celle aux trois reins, qui me proposa une solution. Le groupe des retraités du village organisait un voyage de dix jours en Andalousie, hors saison. Il fallait qu’ils trouvent encore plus de clients, pour avoir un prix de groupe défiant toute concurrence.Je me pointais donc illico presto chez le couple d’enseignants retraités, responsables du périple espagnol. Je fus accueilli à bras ouverts, d’autant qu’ils avaient un problème de connectique informatique. Déformation professionnelle oblige, le monsieur avait prévu, pour une réunion d’information sur le voyage, un diaporama PowerPoint. Il fallait juste que je relie son ordinateur portable et le vidéo projecteur emprunté à la mairie. Son épouse chaussa ses lunettes et s’assit aux commandes du PC en attendant mon intervention. Les problèmes techniques étant en bonne main, l’instituteur demanda qu’on le rappelle dés le début de la projection et il quitta la pièce pour remplir mon dossier d’inscription. J’invitai mon hôtesse, assise devant le clavier, à un essai préliminaire. Il s’avéra parfait.Son mari avait fait un boulot certes scolaire mais impeccable. J’en félicitais son épouse qui me répondit que le long travail accompli par son mari lui avait permis de respirer un peu. Depuis son opération de la prostate son mari était devenu insupportable, mêlant journellement des périodes dépressives avec des scènes de ménage pour des broutilles domestiques. Je me permis timidement de lui faire remarquer que la perte de virilité chez l’homme était une catastrophe difficile à encaisser.— Vous ne pensez qu’à vous les hommes… Ah, l’éternel égoïsme masculin ! Nous aussi on souffre, les femmes, la sexualité féminine ne s’arrête pas à la retraite, que je sache. Les caresses que je me fais sous la couette sont un bien piètre pis-aller à mes envies de sensualité sauvage !La tirade avait été si violente que j’en restais muet, estomaqué. La petite dame bien propre sur elle, si effacée, dont la seule touche colorée était ses cheveux teintés d’un roux rouge flamboyant, venait d’extérioriser ses états d’âme.— D’ailleurs, je suis bien conne, après tout on n’a qu’une seule vie. L’Andalousie va voir naître une nouvelle Jocelyne, ça je vous le promets !La jeune retraitée se leva, trifouilla la ceinture de son élégant pantalon et le baissa à mi-cuisse. Son shorty court en satin blanc était charmant. Sans hésiter elle le fit glisser aussi pour me faire découvrir une fente rose d’adolescente mais surtout une touffe de poils d’un roux divin.— Vous êtes intéressé ? Je ne suis plus un perdreau de l’année mais vous en aurez pour votre argent, j’ai du retard d’affection à ratt****r… Au fait, je n’ai, à priori, rien contre la fellation mais, si vous essayez de m’enculer, je vous arrache les yeux avec mes ongles ! Quoique… je ne veux pas mourir idiote, faudra bien que j’essaie un jour. Accord conclu ?Le groupe écoutait religieusement l’instituteur et son épouse détailler les étapes, les visites. Il y avait plus de dames que de messieurs dans l’assemblée, statistiquement normal chez les retraités. J’étais ravi de partir en Andalousie et en plus j’aurais une petite coquine rousse qui viendrait me rendre visite, dés que son mari ronflerait. Tous mes futurs compagnons de voyage se levèrent pour déguster la Sangria de l’amitié.Pas moi : je restais sur le cul, au sens propre et au sens figuré…Au moins un tiers des bonnes femmes du groupe portaient… des jupes plissées !!!

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Community College Professor

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Blonde

Community College ProfessorI was 45 and still in decent shape. I live in south Florida and I was happily married. I worked in the tele-communications field when it disintegrated. I found myself unemployed with most of the industry.I lived off our savings as long as I could, my wife left soon after I lost my job.We sold the house and she quickly found another guy.I moved into an apartment and decided I had to accept a llower paying job.I eventually found a job teachign business at the local community college. The pay isn’t good but I’m employed.They way these schools work you start out as an Instructor util they find out if you can teach. I applied myself and was accepted as an associate Professor. I eventually made it to full Professor.Once you make Professor you can relax a bit. I have established myself as a competent instructor that is a bit on the hard side of grading.This semester I was a bit surprised by one of my struggling students. She is very cute, brunette, lean and about 5’6″, 115 lbs. She attended periodically and she was close to flunking.This particular day she was sitting in the front row; maybe she’s trying to improve, I thought.I noticed she was staring directly at me a couple of times, really making eye contact. Then to my surprise I noticed she wasn’t wearing panties, I could see her pussy.I quickly looked away, I wasn’t sure if she was aware of the fact she left her panties off, I didn’t want any accusations hurled at me.A few minutes later I noticed she was once again looking striaght at me.I clouldn’t help it I glanced at her crotch- yup no panties. I was closer to her this time and I could see more detail. She has a beautiful little beaver, shave and tight little lips. I found it hard to look away and I think she pulled her skirt up a little more.Nancy (her name) looked at me with a smile as class was over.Later that week I gave the mid-term exam. She sat in the same place and I could look at her kitty the entire period. She smiled again as she handed in her exam.You guessedit, she didn’t score very well.I was so impressed with her tactic, I changed the answers and she passed the exam with an A.As each assignment approached for the rest of the semester, Nancy sat in Escort Bayan front and gave me a great view.Wod must get around the school. within a couple of weeks I had two or three girls each class giving me a great view of their pussies.One thing south Florida doesn’t lack is pretty girls.I fantasized at night about these cute young things flashing me in class.Some of the chubby girls did the same thing but I didn’t give them any extra credit.Late in the semester a girls approached me as class let out, I had never seen her before.”Mr. Simmons, she said, I need to talk to you about my grade.””What is your name?””Gina Smith”I looked up her records. She hadn’t attended any classes and hadn’t turned in any work”You haven’t turned in anything”The class was thinning out, most of the students had left.Gina leaned over and I could see most of her tits.”That’s why I need to talk to you”This gal is stunningThe class is now empty.”My parents have a place in the keys and I’ll be there by myself all weekend,” she smiled”Here’s the address and directions”She smiled, made sure I was looking at her awesome cleavage and dturned around. I watched her beautiful ass as she walked out.I didn’t know what to do, ginvg a girl a good grade that has attneded is different than completely falsifying someone’s grades.Friday afternoon I found myself laying at the pool. There were many women laying out alsoThe more I looked around the clearer it becam that one of them approached Gina in beauty.I found myself driving to the keysIt’s about 90 minutes from Miami to the keys, it took me some time to find her place, it was very secludedI drove into the place, a modest sized house with a dock in the back yyardI rang the door bell, I saw the curtains move in the second floorA minute later she answered the door wearing a man’s shirtGina is 5’&” 115 lbs, long dark hair and a beautiful tan.l I wasn’t sure if she had naything on under the shirt”Come in Mr. Simmons””Can I call you Robert or Bob?””Let’s keep it Mr. Simmons for now””Very well. Would you like a drink?””Are you old enough?”She just gazed at me”Whiskey okay?””Sure”She made me a whiskey with water and ice and handed it to me. I ttok Bayan escort a long pull, this is dangerous territory”Come on in and have a sit”Gina led me into the family room. I sat down next to her on a couch. Nothing under the shirtI gu;lped more of the whiskey, Gina noticed I had finsished it and made me another oneAs she returned to the couch she sat down closer. I gulped more whiskey”Mr. Simmons, you look tense””I am”She leaned over and rubbed my chest”Why so nervous Mr. Simmons” she unbuttoned my shirt and ran her hand inside”I shouldn’t be here””But I just wanted to disucss my grade, I need to know how to improve it”Gina unbuttoned her shirt- she is stunning. Firm medium tits, tanned all over and a tiny waistMy eyes must have been popping out of my head”I think I can do something about your grade””mmmmmmmmmmmmmmmmmmm”Gina leaned over and undid my belt and then slid my pants down. I was fully erectShe leaned over and took me in her mouth, I gaspedShe looked up at me and smiledShe took ahold of my shaft and starting giving me probably the best blow job of my lifeI came quickly”Wow, I’m sorry””About what””I didn’t want to come that quickly””That’s okay, we’ll hve to do better next time””Let me show you around Mr. Simmons”Gina got up and started ginving me a tour of the two story house, she never got dressedGina has a tiny beautiful athletic ass. She is tanned all over and her pussy is simply stunning. Her tits don’t sag, even when she’s walkingWe went to the second floor where the bedrooms areIN the master bedrrom the jacuzzi was already filled. Gina walked righ inI dropped teh rest of my clothes and joined herGina came right over and we embraced. I couldn’t belive I was holding this stunnning college girl in my arms, her itis against my chest adn erection bumping her againShe noticed my hardness and grinnedI picked her up and set her on the edgeof the tub. I didn’t was a repeat of my quick ejaculatonI spread her legs and moved into her pussyYoug pussies taste great. I told myself I could eat her forever. I gave her the best licking I knew how. She eventually clamped my head between her legs as she shuddered and came”Whew”I just stared at this young Escort beautyShe lookd at my hardness again and walked to the bedI followed. She lay back on the bed and I moved inI pulled her legs up and took a minute to examine her bodyHer fimr tits were capped by eraser like nipplesHer wais is tiny,sahe has a deep tan. Her pussy is small and her lips are tightI spread her legs and moved in for actionShe guided me inside herShe has the tightest pussy I’ve ever fuckedI thought I might come againI concentrated on other thoughts so I could last longer. I slid in and started a slow stroking- wow what a tight pussyI lloked down at her and she had her eyes closed, she was moaning with pleasureI increased teh speed of my action and she arched her back to meet my effortWe both came with intensity. I thought I would push my dick through her.We both panted and lay there on the bedI woke up and the sun was comoing in the windowI heard Goina coming up the stairs carrhing a tray”I brought you some orange juice””Awesome”She still wasn’t wearing any clothes- I gazed at her as I enjoyed the juice”Want to go boating?””Uh sure””This way”She handed me a robe and she put one onWe walked down the stairs and out her back door, there was a 30′ boat next to the dockShe started making the engine preparatins and had me un=hook the boat from the dock. We took off into the oceanONce we were away from the shore Gina opened the throttle- what a thirllWe went off shore about 5 miles and she knew where there was aa small sand bar. We anchoredShe dropped her robe and I dropped mineShe dove into the water and I followed. It was like our own private beachWe swam, tanned and ate fruit all morning long”Are ou tired?””No why?'”We haven’t done it this mornig”I didn’t need any more urgingWe did it in almost every position in the sand. The water was about inches deep, just enough to cool us offWe headed back to the boat”Would you like some pictures of me?””Sure “You have to take them with my camera, I don’t want them on the internet””Yeah”I had no idea she meant nude picsShe posed for me any way I wanted, I snapped away on her cameraWE then went back to her parent’s place”Mr. Simmons, I have to get ready for a dinner engagement now””Yeah, sure. Thanks for the great time””We never really disussed my grade””Gina, I don’t know if you could get away with this in all of your classes but you have an A. I’m very sure you are going to be successful in whatever venture you pursueShe had a big smile”Thanks Mr. Simmons”

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

On line lover

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Babes

On line loverI met Rob on line,I knew he had a girlfriend but as time went on and we talked and joked more,I realized I really didn’t care. He was sweet and funny and sent me jokes to brighten my day. As my Dad got sicker I found I look forward to our laughs even more.We lived across country from each other so I knew it was a safe friendship. My heart had been broken too much and I wasn’t looking for anyone anymore. I could (and did) fantasize about him freely. Then one day he told me he was flying into town to see relatives. I was excited but nervous to meet him. I knew this would be my one and only chance to live out my fantasy.I Meet him at the door in lingerie,as i hung his coat up he pinned me from behind. I feel his crotch against my ass and his breath on my neck. His lips and teeth grazing against my shoulder..he Escort Bayan whispers in my ear that he’s going to have fun with me. He grabs me and turns me around and kisses me,our tongues duelling. As he feels my tongue stud he wraps his hand in my hair and force me to my knees. I watch him 1 handed unzip and as i go to move he pulls on my hair and slaps my face with his hard cock. I take him in my mouth gently but when he feels the stud he pushes deep into my throat causing me to gag. Both his hands are gripping my hair as he pumps at my mouth and i greedily try and keep up,sucking as he skull fuck me hard. He lifts me up and half drag half carrys me down the hall. He kicks my bedroom door open and throws me on the bed…I watch him drop his pants and I move up the bed but he Bayan escort grabs my ankle and pulls me back to the edge and as i open my mouth to talk he slowly starts pumping my mouth again. I’m groaning wanting him deeper but he pulls out and sits on my mouth. My tongue darts out tasting his balls and slowly circling his ass hole as i feel his mouth on my clit piercing. God! I’ve dreamt of this for so long! I moan and he bites down sending me over the edge…Rob climbs up on me and slides into my hot pussy feeling my wetness engulf him. He tries to go slow but I’m pulling him deeper,rising up to meet his thrusts. My nails digging into his ass as i start to cum…he feel me squirt and cover us both in my hot juices. He’s pounding my pussy hard and i feel his balls bouncing off my ass Escort and I know hes close. I hear and feel him cum and he collapses onto the bed but when he see me smiling he laughs and crawls onto my stomach and sticks his cummy cock in my mouth. As he starts to get hard again he reaches down and wraps my massive Kk’s around his cock and rides my tits. I’m in heaven sucking his tip but he pulls away and flips me over. I feel Rob’s strong hands shoving my head into the pillow and feel him reach down and feel his cum in my pussy. He starts rubbing my ass with his cum and i feel his finger slide into my ass. I reach back and spread my ass as he suddenly rams into my ass. Rob is growling in my ear how I’m his dirty slut and my ass grinds back against him needing him deeper in me. He sits up and grabs my ass and pounds it harder and harder til were both yelling out..exploding together. We collapse together and then he stirs and i feel gentle kisses on my bruised pussy. He lays down beside me and slowly kisses me with his cum covered tongue.Rob’s gone now but I’ll always remember that afternoon.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

DEPUCELE PAR LA FEMME DE MENAGE

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Asian

DEPUCELE PAR LA FEMME DE MENAGELU SUR LE NET Je vais vous raconté comment j’ai perdu mon pucelage il y a maintenant 3 mois de cela.Je suis un jeune homme de 20 ans plutôt bien à se que dise mes amies, avec une carrure de sportif et un joli visage. Je suis monté d’un sexe de 15 cm qui jusqu’à ce jour ne m’a pas beaucoup servi à part lors de mes longues séances de masturbations sur internet.J’ai un énorme problème avec les filles, ce n’est pas que je les repousse bien au contraire mais je suis attiré uniquement par les femmes bien plus âgées que moi. Bref ce petit problème psychologique fait que je me retrouve vierge à plus de 20 ans et l’éternel ami des filles de mon âge. Pour combler ce manque sexuel, je passe de nombreuses heures sur internet en essayant de chercher des sites avec des femmes d’âges mûres. J’avoue fantasmer sur la majorité des mères de mes amis qu’elles soient belles ou moches. Combien de fois je me suis retrouvé chez mon meilleur ami à fouiller la corbeille de linge sale et à me masturber en imaginant sa mère me faire une pipe.Bref, l’histoire que je vais vous raconté s’est passée il y a trois mois, alors que je passais du temps pour ma branlette traditionnelle du jour sur un site de mature women.En fait, ce jour là je me suis fait surprendre Escort Bayan par ma femme de ménage. C’est une femme de 48 ans pas vraiment jolie et d’origine portuguaise. Cette dernière à la pilosité très développée. Cette femme est presque devenue l’amie de la famille vu qu’elle travaille pour nous depuis plus de 12 ans. En gros elle m’a vu grandir et évoluer. Je dois bien avouer m’être branlé une ou deux fois en pensant à elle mais sans plus. Bref, ce jour, je regardais des photos d’une femmes de 60 ans entrain de se faire enculer par un black de 30 ans, j’avais le queue en main et l’agitait lorsque Helena la femme de ménage jaillit dans ma chambre. Quelle ne fut pas ma stupeur et ma honte de voir cette femme débarquer, moi la queue à la main et elle confuse de gêne. J’essayai de lui raconter n’importe quoi sur ce que j’étais entrain de faire et elle ne savait pas quoi dire. Je rangeai vite mon sexe, et m’excusai envers helena. Cette dernière s’excusa d’être entrée dans la chambre sans frapper, puis me demanda pourquoi je faisais cela. Je lui dis que je n’avais pas de copine et que le manque se faisait ressentir. Elle me répondit que c’était bien dommage et que ça l’étonnait au vue de mon physique. – Les filles sont bien difficile Bayan escort de nos jours me lança-t-elle, moi si j’avais 20 ans de moins, je n’hésiterais pas une seconde. Sa phrase me fit tilt. C’est vrai je vous plaît ? – Oui malheureusement tu es bien jeune pour moi et je doute qu’une femme de mon âge t’intéresse, en plus mon mari est très jaloux.Je lui répondis en la flattant, que je la trouvais fort belle et qu’elle ferait le bonheur de beaucoup de garçon de mon âge. A ce moment là, elle rougit et me fit une proposition. – Si tu me promets de ne rien dire à personne, on pourrait prendre du bon temps tout les deux.Je réfléchis un court instant et me dis que c’était l’occasion rêvée de concrétiser un rêve qui me hantait depuis des lustres. Ok, mais je dois vous dire que je suis vierge et que je ne connais pas grand chose aux femmes. A ce moment là, elle s’approcha de moi et me roula une délicieuse pelle. Elle s’écarta et me sourit tout en déboutonnant mon pantalon. Bientôt je me retrouvais sans rien en bas et mon sexe dressé devant le visage de ma femme de ménage. Elle commença par me donner des petits bisous le long de mon membre avant de faire disparaître mon sexe en entier dans sa gorge. Elle me suça comme une déesse, mais Escort malheureusement au bout d’une minute, je sentais la semence arrivée. Je lui dis et elle s’écarta mais juste un peu trop tard et elle prit trois longues giclées sur le visage avant de me nettoyer le sexe à grand coup de langue. Elle me regarda un peu déçue. Elle me gronda et me dit que pour satisfaire une femme, il fallait se retenir. Elle se releva et se déshabilla entièrement. Elle était encore bien conservée pour son âge, avait une belle paire de seins et une énorme touffe de poils.Elle me dit que c’était à moi de lui donner du plaisir et m’attira mon visage entre ses jambes. Je me mis à la recherche du clitoris perdu dans cette forêt de poils et ne mis pas trop longtemps à le trouver. Je le lui léchais comme une bête et ses réactions ne mirent pas longtemps à venir, elle se tortillait dans tous les sens et criait des mots dans une langue étrangère. Cette petite partie de léchouille me redonna de la vigueur et elle me bascula sur le dos avant de venir s’empaler sur mon pieu de 15 centimètres. Elle bougeait dans tous les sens et je sentais que l’éjaculation ne tarderais pas. Je me retins et lui demanda de se mettre en levrette histoire de faire comme sur toutes ces photos qui m’excitaient tant sur le web. Là je n’ai pas pu lui donner plus d’une dizaine de coup de bitte avant d’exploser en elle. Elle se retourna et me roula une gigantesque pelle en me disant que je me débrouillais encore pas trop mal pour une première fois mais que des progrès étaient à faire..

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Clara Bow’s Academy For Would-Be Ladies: Part

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Creampie

Clara Bow’s Academy For Would-Be Ladies: PartPeter had had no choice in the matter from an early age. As he car drew up to the huge ivy clad castle-like building, having entered through electronic gates in a ten foot wall, he felt doomed yet excited. His cock was erect in the tight panties his Stepmother has chosen for his introduction, his anus tingled and gripped the soft rubber plug she’d also chosen for his first day. His stepmother had allowed his soft ginger hair to grow to shoulder length already, and his dosage of hormones had been already been increased. He had been suitably attired in a gingham dress with pink socks and red sandals; a pink bow in his hair to make him feel extra girly. Stepmother sneered with delight as she saw him adjust his little bra which contained his rudimentary breasts, as the great front door of the house swung open like a prison gate.“If you think you’re girly now, just wait until you’ve had six months here; I will have seemed like a fairy godmother compared to the treatment you’ll receive here. Clara Bow and her associates will cane the boy from you forever.” Tears welled up as a stern looking woman with hair in a bun, tight pencil skirt, cane in hand, marched out from the house wearing an equally stern expression. She was accompanied by a young lady of about 18 who looked equally strict, and a pretty fluffily dressed girl of about Peter’s age. They stepped out from the car and the assertive looking woman eyed the new internee up and down with contempt before addressing Stepmother.“You must be Ms Penderton, and this pretty girl must be Peter.” The stern girl giggled audibly as the sissy squirmed in discomfort at this immediate humiliation; now everyone present was assured he would be put firmly in his place. Stepmother smiled wickedly.“Oh no, from this day onwards, this is ‘Pepper Penderton’; I trust that your academy will ensure she is the perfect lady when I next darkhack.org come to see her.” Pepper’s cock was rigid as she eyed the wicked cane the woman carried; she thought how it would stripe her soft bottom so much easier than Stepmother’s, it was much more vicious than ay cane she’d had used on her. The stern girl gripped Pepper’s hand like a vice as the fluffy girl carried her case from the car; Stepmother smiled and quickly drove off as though she had simply dropped her off at the shopping mall or day school; she would not see Pepper again for several months. Pepper’s ass tingled about the plug as she watched the car disappear through the gates, which closed with clang as if to confirm entrapment, and the stern girl’s grip tightened on her delicate little hand. Clara Bow smiled with satisfaction and flexed her cane as she saw the bewilderment on the new sissy’s face. She turned to the fluffily dressed girl who held Pepper’s case.“Lead your new friend to the dorm Tomkins. Grace, ensure our new girl is gowned and brought to see Nurse Wykett and I for inspection as soon as her things are placed.” The stern woman strutted off, her mature pussy swelling at the thought of inspecting the new sissy; it always gave her a thrill, the promise of a new bottom to cane, another male to feminise completely. She so loved to cane sissies to complete submission; the guardians who left their transgendered wards in her keeping, were glad to be shot of them and cared little about their treatment. Clara Bow was very popular woman with certain sections of the community; many a sissy was introduced to extra-curricular activities with such people.High in a tree overlooking the academy beyond the wall, Bruce Janner grunted with pleasure as his stiff cock sent loops of white semen sailing over the wall. The tree waved precariously in the breeze as he held a branch for dear life whilst working hack forum his cock urgently with the other. Bruce loved sissies; especially ginger ones. He gritted his teeth in ecstasy as he shot another pulse of hot semen in honour of the new arrival; he was captivated by her already, even at that distance and after only seeing her for five minutes. Bruce had contacts within the academy and knew how the ‘girls’ were treated; he wanted to comfort the soft ginger sissy as soon as he could.Pepper was marched inside the staid looking academy, which was richly decorated inside; oak panels gave it a feel of a mansion house, though everywhere there were umbrella stands filled with rattan canes to remind the inhabitants that this was a place of learning, where discipline was no doubt a large part of the agenda. Tomkins minced ahead with the case as the two followed, oblivious to the snivelling sissy who stood naked apart from a white crop top, all too apparent to Pepper. The sissy waited by an office door, her hands above her head which held a cane; her white bottom already striped with red, her little cock in a transparent plastic cage finished with a pink ribbon in a bow. The stern girl tugged at Pepper’s hand as she slowed a little, mouth agape. Grace smiled contentedly.“Evidence of masturbation without permission no doubt. Disobedient sissies who do so are caned by their respective Head-Girl, caged for one week and caned each day for that week; this sissy is waiting by matron’s office; she’ll have a final caning from her and her pathetic dick will be released. The irony of the punishment is she’ll be aching to come after a week of canings, so Matron will take her to Mistress Bow’s office and she’ll be made to masturbate before her as a final humiliation.” Pepper’s anus clenched at the plug and her little cock stiffened at Grace’s words; her enjoyment and approval of the scenario was all too evident in her tone, and the thought of a caning, and then being made to masturbate before such a stern woman gave the sissy a submissive thrill as she took in the foreboding atmosphere of her new home Tomkins took them up several flights of stairs until she reached a long corridor in the apex of the roof of this part of the huge building; she opened a door to a room within which were four double beds; Pepper had only a single at home, and wondered why such a luxury would be offered students at such an otherwise austere establishment. On one of the beds was a card; ‘Penderton’ was written across it. Tomkins placed Pepper’s case upon the bed and curtsied to Grace, who then opened a wardrobe and pulled out a white gown which she tossed to the bed also. She crossed her arms in dominant fashion and looked down at Pepper.“Clothes off; You have an appointment with Mistress Bow and Nurse Wykett, you can sort out your things when you get back” She smiled wickedly as Pepper began to undress in full view of her. She waved the fluffy girl away to her bed.“I’ll call you to come and fetch her when she’s done Tomkins.” Pepper tried her best, but could not hide her excitement completely; she exposed more of her hairless milky white and freckly flesh as she discarded each item, and fought hard to tame her erection as she removed the tight panties. Grace gave a look of contempt as Peppers little hairless cock and balls poked rigidly out.“Mistress Bow will be so pleased to see that; she’ll soon have it between your legs. Now get the gown on and follow me.” Pepper followed the strutting girl obediently back down the stairs. As they passed the matron’s office the sissy had gone; Pepper’s cock poked forward in the loose gown as she heard the whoosh of a cane and the cries of the sissy as punishment was served. Grace looked back at Pepper with a broad smile as the cane cut the air again, and the sissy howled anew. She was then led across a large carpeted hallway to a gilded door; the wicked sound of the cane still audible.Grace knocked, the door opened, and a very timid Pepper was ushered into the room.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

pure fantasy

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ass

pure fantasyI’m all alone in the house laying on the bed reading a book, there’s a storm going on outside and the thunder and lightning is getting closer but I don’t mind because I like storms, the book is getting raunchy and I reach down and put my hand between my legs and slowly slide a finger between my lips, the hero in the book has dragged the heroine from her horse and is taking her body she pretends to fight him off but wants him badly, I put the book down and slide 2 fingers into my wet pussy it feels good my other hand is caressing my boobs and rubbing my clit I feel the orgasm approach and rub harder and faster the orgasm comes and waves of ecstasy course through my body, I moan out loud as the sensation subsides its good but I want more I reach for the bedside cabinet where my private toys are excited at the thought of the orgasms to come, as I pull open the draw I hear a noise from downstairs it must be the cat but when I look I see her asleep on the dresser chair, I get up slightly afraid but I still have to go downstairs to see what the noise was creeping down the stairs I slowly look in the kitchen and all seems to be ok I go to the living room and slowly put my head round the door I see the open window and the lamp that has fallen from the table relief runs through me as I realise the wind from the storm has blown the lamp over crossing the room I close and bolt the window thinking I was sure I had closed it earlier I turn round to go back upstairs to my private pleasures and he’s standing there he’s dressed all in black and wearing a ski mask.I open my mouth to scream but he’s faster he puts a large hand over my mouth and I can feel the hard skin on my soft lips and the smell of nicotine on his fingers he pulls me to him and holds hack forum me to him with an arm around my back I struggle but he’s too strong and holds me easily a mocking smile on his lips he looks into my eyes with dark blue piercing soulless eyes and says “shh I don’t want to hurt you but I will if I have to” I stop my struggle his eyes seem to see into my soul he sees my fear and smiles he reaches down and puts his fingers into my panties with a quick tug he has ripped them from my body he brings them up to his masked face and sniffs them this seems to please him they are wet from my orgasm in the bedroom he rubs them on my cheek then removes his hand from my mouth and pushes them into my mouth and says “well keep them there for a bit don’t take them out” I just nod.He turns me round and pushes me towards the settee I feel his strong hands on my shoulders I walk fearful of what he will do if I resist he turns me round and pushes me on the settee I close my legs and try to curl up but he kneels before me places his hands on my knees and opens my legs exposing me to his gaze I place my hands between my legs to cover myself but when he says move them I do he moves in closer and sniffs a murmur of approval comes from his throat and he looks up to look me in the eye I close my eyes as his tongue comes from his lips and slowly starts to lick at the lips of my pussy I try to think of other things but cant as I feel his long hard tongue penetrate my body he pushes it in and licks me then moves up and licks at my clit I don’t want him to do it but cant ignore the sensations from my clit his tongue is strong and he knows how to lick I feel an orgasm approach but don’t want it to happen but its no good the orgasm racks my body and a shudder courses through me he smiles and stands up “you loved that you little slut didn’t you” I shake my head but he laughs and calls me a liar “its my turn now and you had better be good” he unbuttons his jeans and pushes them down I look to see the biggest cock I have ever seen its slowly rising and getting bigger he tells me to sit up and pulls my panties from my mouth putting his hand round the back of my head he grabs my hair and tells me to open my mouth I obey his cock is now fully hard and I wonder how I will get it into my mouth, he pushes roughly into my mouth I feel the head at the back of my throat I gag but he doesn’t care and slowly fucks my mouth he tells me to use my hands on his cock so I reach up and slowly move my hand on his shaft while gently rubbing his big heavy balls he lets go of my hair and tells me to take it out and lick it up and down I obey and he tells me I’m a good girl, his cock is in my mouth and I feel it begin to swell his breathing is getting faster and I hope it will be over soon but he pulls it out and pushes me back onto the settee he kneels between my legs and rubs the hard head of his cock on my pussy lips and clit then rubs it on my belly he tells me this is what I want and he’s going to fuck me hard, he pushes into me stretching my lips apart a slight pain before I look down and see it sliding into me I gasp as he pushes all the way in before slowly pulling out so just his head is inside me and I wonder how I could take such a huge cock, he puts his hands behind my knees and pushes my legs up so my knees are near my armpits and begins to fuck me in long slow strokes my body longs for his hard shiny cock but my mind says its wrong, he pushes faster into me and I feel his heavy balls slapping on my ass and without noticing I begin to push against his thrusts beginning to enjoy the sensation of being filled by this huge cock, his thrusts are faster now and his breathing heavy he puts a large finger in my mouth and without thinking I suck on it, its never felt this way before when I’m being fucked and I don’t want it to stop I reach forward and try to pull him in me harder and faster “you love that big cock don’t you” he snarls I cant say anything I feel an orgasm approach and reach down to rub my clit I need to orgasm and feel this cock fuck me to it, I moan out loud as another orgasm rips through me he pulls out of me and only needs a few tugs before long jet of cum spurts from the end of his huge cock, it splashes onto my face and so does the next he moves his cock and the next spurt goes across my tits and onto my hard nipples I can feel his hot cum on my body and at last he sighs and looks down at me, I sit up and feel his cum run down my face I stick my tongue out and lick his salty stickiness from my lips and look down to what seems like an impossible amount of cum on my body I lift my swollen nipple to my mouth and lick as much of as I can before rubbing it all over my body.He smiles and stands and pulls up his jeans his deflating cock still showing through the tight material I just look at him my mind hating myself for enjoying the wonderful sensations he has given me and wanting more at the same time he goes back to window smiles then he’s gone and I’m alone, the telephone rings but I cant move to answer it something is wrong but I don’t know what its all a bit strange, I look down and the book is next to me the cat is still on the chair and the phone is ringing I’m still half asleep as I reach for the receiver hello I say and my mother says “are you alright dear” , “eh yeah I’m fine I must have fallen asleep you just woke me”

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

sodomie à sec

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Dick

sodomie à secaprès une soirée bien arrosée entre amis, il se faisait tard et comme d’habitude, le cul était souvent un sujet de discussion trés animé…avec l’alcool, les esprits devenaient plus que chauds et j’observais ma compagne mature du moment, qui était trés receptive voire meme trés chaude…je n’avais qu’une envie, c’était de calmer ses ardeurs…après quelques bouteilles plus tard, marie-françoise était plus que gaie et il ne fallait pas grand chose pour la faire démarrer…il était environ 5h du mat et les premiers invités commençaient à partir, moi ainsi que ma mature déchainée, avions pris congés avec les vapeurs d’alcool qui nous envahissaient l’esprit…une fois rentrés, je mattais ma chienne de mature de haut en bas comme Escort Bayan un chien en rut, elle était belle avec ses talons hauts, ses bas noirs, ses beaux seins encore biens fermes pour son age(48ans), son beau cul bien large avec des petites hanches, pratiquent pour la maintenir pendant la levrette… elle marchait devant moi et je bandais en pensant à ce que j’allais lui faire…je l’ai pris par la taille, soulevé sa jupe, puis je l’ai pénétré directement sur la table du salon…elle était toute trempée et elle gémissait à chaque coup de buttoir, on a baisé tout habillé, et je dois dire que si c’était pas un viol, ça y ressemblait, bref, ma mature était aux anges et moi avec… elle est venue sur moi par Bayan escort la suite et nous avons continués nos ébats sur le canapé…c’était sa position prèfèrée, elle sur moi, elle pouvait maitriser les gestes, la profondeur, la vitesse de la pénétration avec la précision d’une experte ce qui lui permettait d’obtenir des orgasmes fulgurants, accompagnés de cris ressemblants à ceux d’une louve dans la nuit… je sais pas pourquoi, mais ce soir là, j’avais décidé de la punir, parfois, j’ai des envies de dominations et particulièrement ce soir là… je lui ai ordonné de rejoindre le lit et de se retourner puis elle exécuta mon ordre sans rien dire puis la voyant à quatre pattes sur le lit encore habillé, je Escort suis venu la rejoindre et d’un coup sec, sans prévenir, je me suis mis à la sodomiser, elle aimait ça…pour la première fois, j’enculais ma mature aussi profondément que je pouvais alors que d’habitude, c’était pas vraiment son truc, mais ce soir là, c’était le moment, la situation s’y prétait et je m’en donnais à coeur joie, pendant l’acte, j’arretais pas de lui dire, c’est ta punition,tu t’es mal conduit ce soir et tu vas le payer et ma mature devenait ma chose, elle acceptait tout dans la limite du raisonnable….après de multiples vas et viens dans son orifice gonflé par le désir, je lui demanda de se retourner puis dans le jeu de role, rien de plus naturel que d’éjaculer sur la face de marie-f…elle ne bougeait plus et se laissait badigeonner par mon liquide chaud que j’étalais sur son visage, mieux que de la crème nivéa…après ça, nous étions fatigués puis nous nous sommes endormis avec le sentiment d’avoir passé une bonne soirée…

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Three For All

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Asian

Three For AllStephen sounded a little drunk. It was almost midnight and I was surprised to get his call. He was inviting me over to have a couple drinks with him and Emily. I was awake and not doing anything else, so I went.When I got to their house he and his wife were dancing to old disco hits in their living room. They looked like they had come home from some fancy dinner or something. He was wearing half of a nice suit. She had kicked off her heels and her skirt was riding up her thighs.”Heyyyyy…come on in!” they both slurred at me as I came into the room. Stephen poured me a large glass of whiskey and then took a big sip from his own glass. Emily was drinking champagne straight from the bottle. They started to dance around me in a drunken grind, with Emily dr****g her arms over my shoulders. “Steeeephen…go turn on the hot tub. I wanna get wet.”Stephen leered at her and then stumbled up the stairs. While he was gone, Emily pressed herself against me, dancing slower and slower until she was just leaning on me and breathing into my ear. Stephen called from upstairs. “Are you guys comin’ or what!?”Emily dragged me up to their palatial bathroom. The rest of Stephen’s clothes were on the floor. Stephen and the bottle were in the Escort Bayan tub. Emily got naked without hesitating and jumped in with him. They both looked at me. “C’mon buddy,” Stephen said. “Emily wants to get wet!”Soon we were in the tub, Emily wedged in between me and Stephen. They were making out like teenagers, but under water her hand was in my crotch. She grabbed my cock as her husband kissed her neck and chest. Then Stephen looked up for a second and said, “Hey. Do you wanna fuck my wife with me?”I did.Emily climbed out of the tub, pausing as her ass cleared the water line. As she bent to grab a towel, Stephen leaned in and buried his face in her crack. She lifted a leg and set her foot on the ledge of the tub and I saw my opening. As Stephen licked her pussy from behind, I bent in kissed her glistening muff. I could feel Stephen lick my chin as he went for her clit. Emily moaned.”Oh god. Two tongues feels so good on my pussy.”As we both licked his wife’s cunt, Stephen scooted over toward me and d****d his leg over mine. I felt his hard shaft brush against my own. He moved closer and soon our balls were pressed together. I slid my tongue as deep into Emily’s pussy as I could. Stephen said, Bayan escort “I want to see your cock in my wife’s wet pussy. Now!”We got out of the tub and toweled each other off. Emily led us by the hand to their king size bed. I laid down and she straddled me in a 69 position, with my legs dangling over the edge of the bed. I went back to licking sucking her clean wet pussy while she slobbered on my hard cock. Stephen stepped in between my legs, pressing his cock against mine. Emily took turns licking each of our shafts, and then tried to fit them both in her mouth at once. She couldn’t do it, so Stephen got down on his knees and licked my balls while his wife sucked my dick.”Emily baby,” he said. “Turn around so he can fuck you.”She did as she was told. As she pressed her chest to mine, she licked my lips and went in for a deep kiss. I felt Stephen’s hand grab my cock and rub it through his wife’s wet slit. He said, “Oh man, that is hot. I love watching his cock rub all over your pussy baby.””Please slide it in,” Emily said. “I want his dick inside me.”Stephen pushed my cock into his wife’s wet and waiting cunt. She slid up and down my shaft slowly, taking me all the way inside. Stephen stepped Escort in between her legs as we fucked, embracing her from behind and pulling my hips into his wife. His fuzzy thighs rubbed against mine. Our balls pressed together with a sticky smack each time I slid out of his wife’s wet pussy.Then Stephen said, “Slow down a second. I want to come in too.” With that, he pressed his cock against mine and together we slid our hard dicks into Emily’s pussy. Slowly we began to fuck his wife at the same time. The sensation was amazing. I could feel her wet cunt all over me, and at the same time I could feel our dicks rubbing together. Stephen leaned in close and slid his tongue in between our lips as Emily and I kissed.Then Stephen said, “This feels too fucking good. I don’t think I can last. I’m gonna cum all over your cock.” As he spoke, I heard a groan building in his throat. Then I felt his warm, wet cum wash all over our cocks. He collapsed against Emily’s back and his dick slipped out of her cunt.Emily pressed down into me and began to grind herself on my cock. Her pussy was soaking wet and filled with her husband’s cum. She whispered into my ear, “Fuck my wet pussy with your hard cock. I want your cum inside me too. Slide your hard dick into my cum filled pussy. Fuck me. Fuck me!”She moaned loudly and we came together in waves. I felt cum dripping down my balls. My cock popped out of her vagina and Stephen dropped to his knees to suck me clean. Then he climbed onto the bed with us and promptly passed out.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

şişli escort Antalya escort beylikdüzü escort escort eryaman escort demetevler escort Hacklink mamasiki.com bucur.net hayvanca.net lazimlik.net cidden.net By Casino rus escort bahçelievler escort Escort bayan Escort bayan escort ankara sincan escort bursa escort bayan görükle escort bursa escort bursa merkez escort bayan Kartal escort Maltepe escort Pendik escort otele gelen escort anadoluyakasikadin.com kadikoykadin.com atasehirkadin.com umraniyekadin.com bostancikadin.com maltepekadin.com pendikkadin.com kurtkoykadin.com kartalkadin.com escortsme.com Hacklink Hacklink panel Hacklink bursa escort görükle escort bursa escort bursa escort bursa escort bursa escort Ankara escort bayan Ankara Escort Ankara Escort Rus Escort Eryaman Escort Etlik Escort Sincan Escort Çankaya Escort ankara escort bursa escort Escort hurilerim.com bursa escort bursa escort bursa escort bursa escort bursa sınırsız escort bursa escort bayan bursa escort görükle escort antalya escort istanbul travesti istanbul travesti istanbul travesti ankara travesti Moda Melanj türkçe altyazılı porno porno 64 japon porno burdur escort bursa escort çanakkale escort çankırı escort çorum escort denizli escort diyarbakır escort düzce escort edirne escort elazığ escort ankara travesti escort escort escort travestileri travestileri keçiören escort etlik escort çankaya escort