Test : à quel point es-tu gay ? … Réponses

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Test : à quel point es-tu gay ? … RéponsesTest : à quel point es-tu gay ?Tous les bi, les gays et les curieux de XHamster peuvent copier/coller ce test dans leur profil en répondant aux questions :Étape 1=======1. Aimes-tu la pornographie impliquant des transsexuels ? OUI2. Quand tu regardes du porno hétéro, est-ce que tu préfères les vidéos de masturbation, de fellation ou de pénétration ? PENETRATION3. T’es-tu déjà demandé quel goût a le sperme ? OUI4. Quand tu regardes du porno, est-ce que tu t’es déjà surpris à regarder avec insistance la queue d’un mec malgré la présence d’une fille excitante ? OUI5. Es-tu déçu quand tu regardes une vidéo porno et qu’il n’y a pas d’éjaculation à la fin ? NONSi tu as répondu OUI à au moins deux de ces questions, tu pourrais bien être bisexuel et tu peux continuer le testÉtape 2=======1. As-tu déjà sauvegardé une photo ou une vidéo d’un transsexuel pour la regarder güvenilir bahis plus tard ? OUI2. As-tu déjà visité la catégorie « gay » d’un site porno juste pour voir ce qu’on y trouve ? OUI3. As-tu déjà joui dans le creux de ta main avec l’intention de goûter à ton sperme mais finalement tu as eu peur et ne l’as pas fait ? OUI4. As-tu déjà regardé une vidéo bisexuelle impliquant deux hommes et une femme, même si les mecs ne faisaient rien ensemble ? OUI MAIS PREFERE AUSSI MECS ENSEMBLE5. Aimes-tu regarder des compilations d’éjaculation ? NONSi tu as répondu OUI à au moins deux de ces questions, tu es probablement bisexuel et tu peux continuer le testÉtape 3=======1. T’es-tu déjà masturbé sur du porno gay ? Jusqu’à l’orgasme ? OUI2. Tu regardais beaucoup de porno hétéro mais ça ne t’excite plus comme avant. Maintenant, tu aimes le porno impliquant les transsexuels et les bi. OUI3. Tu as déjà goûté türkçe bahis ton sperme ? OUI MAIS VOUDRAIS GOUTER AUTRE4. T’es-tu déjà connecté à un site de rencontres gay juste pour voir ce que tu pouvais trouver dans ton voisinage ? OUI5. Est-ce que voir une queue cracher son jus t’excite ? OUISi tu as répondu OUI à au moins deux de ces questions, tu es au moins bisexuel et tu peux continuer le testÉtape 4=======1. Est-ce que tu te masturbes plus sur du porno gay que sur les autre formes de porno ? OUI2. Est-ce que tu aimes les vidéos éducatives, où une femme humilie un homme en le traitant de gay ou de tapette ? NON3. As-tu déjà eu une expérience gay avec un homme au téléphone ? OUI4. Lèches-tu souvent ton sperme au creux de ta main ou t’arrive-t-il de jouir dans ta bouche ? NON5. As-tu déjà porté des sous-vêtements féminins ? OUISi tu as répondu OUI à au moins deux de ces questions, tu es peut-être güvenilir bahis siteleri gay et tu peux continuer le testÉtape 5=======1. Est-ce qu’une queue te fait plus d’effet qu’une fille nue ? OUI2. Est-ce que tu as déjà pris la queue d’un autre mec dans la main ou dans la bouche ? OUI3. Est-ce que tu t’es déjà mis quelque chose dans le cul (doigt, gode, objet, etc.) pendant que tu te masturbais et ça t’a fait jouir super fort ? OUI4. As-tu envie d’embrasser un mec et de sentir son corps nu contre le tien ? NON5. Est-ce que ça t’exciterait si ta copine refusait de faire l’amour avec toi, ramenait un autre mec à la maison et t’obligeait à le sucer ? OUI OUI6. Si un mec sortait sa queue devant toi, là maintenant, est-ce que tu le sucerais ? OUI7. Est-ce que ton fantasme ultime est d’être à quatre pattes avec une queue dans la bouche et une autre dans le cul ? OUI8. Serais-tu prêt à abandonner les femmes pour les hommes ? NONSi tu as répondu OUI à au moins deux de ces questions, tu es complètement gay, une vraie tapette. Admets-le et commence à cherche une queue à sucer.Question bonus : est-ce que ce test t’a fait bander à mort ? OUI OUI

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Les voisines éphémères (1)

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Les voisines éphémères (1)Voici l’histoire qu’il m’est arrivé l’année dernière.L’appartement qui possède le jardin en bas de chez moi est occupé par un couple et leurs deux jeunes enfants, c’est donc mon quotidien d’entendre jouer ou de voir des déjeuners familiaux quand je suis sur mon balcon, mais depuis quelques jours c’est le calme plat et pour cause nous sommes au mois d’Aout et ces derniers sont en vacances. J’avais toutefois remarqué que l’appartement était resté occupé par une fille dans les 22 ans.Un dimanche matin alors que je rentrais d’un footing et que je terminais mes étirements sur mon balcon au soleil je remarquais que ma “nouvelle voisine” était en train de se faire bronzer avec une amie. Rien de bien excitant car tout l’immeuble pouvant les voir elles n’allaient pas se risquer à de l’intégral, mais sur le ventre les bretelles des maillots de bains détachées laissaient deviner de belles paires de seins surtout pour son amie. Alors que je me faisais sécher les dernières gouttes de sueur au soleil avant d’aller prendre une douche fraîche, les deux filles me remarquèrent et commencèrent à me lancer “bel effort par cette chaleur !”. Nous commençâmes à engager la conversation, et après quelques banalités je leur lançait que le barbecue qui chauffait promettait un déjeuner sympa. Sur quoi elles se parlèrent à l’oreille en riant et je vis l’une d’elle acquiescer, ma voisine me dit alors “vous voulez vous joindre à nous”, sans réfléchir je leur répondis d’accord en leur demandant si je pouvais apporter quelque chose, j’entendis alors “votre sourire” suivi de petits rires, j’ajoutais alors que du rosée serait un bon début. Une douche plus tard je sonnais à leur porte juste vêtu d’un bermuda, d’un t-shirt et d’une paire de tong.Nous fîmes connaissance et déjeunèrent sur leur terrasse elles s’appelaient Mathilde pour ma voisine éphémère et Karine pour son amie. Après le déjeuner on s’est allongé pour discuter et Mathilde me confia m’avoir déjà observé depuis le jardin de son oncle et sa tante, il est vrai que je ne fais pas attention quand je me lève et je vais souvent à ma cuisine nu ou je fais parfois mes étirements torse nu. Je lui demandais discrètement si ce qu’elle avait vu lui avait plu ? elle baissa les yeux en souriant et me dit qu’elle ne pouvait pas se faire une opinion sur un simple aperçu. C’est alors que Karine prétexta de devoir aller travailler pour nous quitter, Mathilde lui dit qu’elle allait rester là tout l’après midi pour buller, en me faisant un clin d’oeil. Mathilde me dit alors qu’elle allait prendre un douche et me dit de ne pas hésiter à venir l’aider car le soleil ayant taper fort elle allait avoir besoin de crème. Je lui souris et lui dit ok, je termina mon verre et me dirigea au bruit de la douche vers la salle de bain, je passais devant la chambre que devait occuper Karine (que je croyais déjà partie) et l’aperçu en train de se changer pour le travail, elle était nue, et c’est alors que je vis güvenilir bahis ses seins magnifiques (je pense du 95C) et sa toison épilée en ticket de métro. Ne voulant pas commettre d’impairs je retourna dans le salon et attendis le départ de Karine, la porte à peine fermée je fila dans la salle de bain, découvrant Mathilde juste vêtue d’une serviette.Je lui proposa un service de crémage avec un petit sourire en coin sur quoi elle accepta mon offre seulement si mon service était professionnel, je lui dis qu’elle serait seule juge. Je la suivis jusqu’à sa chambre qui s’avérait être la même que celle de Karine (?), je lui demanda si elles partageaient la même chambre (celle de son oncle et sa tante), elle me dit que oui car les autres n’avaient que des lits d’enfants. Elles s’allongea sur le lit et écarta timidement sa serviette laissant découvrir une paire de fesse superbe et un grain de peau magnifique, je commença à lui appliquer de la crème sur le dos et glissa jusqu’à ses fesses, puis je descendis sur les jambes d’où je pouvais avoir une vue magnifique sur son entrecuisse qui semblait totalement imberbe. Mes main s’aventurèrent très lentement entre ses cuisses, et j’attendis de voir sa réaction, celle-ci ne se fit pas attendre, un petit gémissement me confirma que je pouvais continuer, mon doigt effleura ses lèvres et je sentis sa petite chatte humide, j’enfonça un doigt et elle continua de gémir. Je passa mon pouce sur son clito déjà tendu et le massa pour la faire réagir, elle se cambra aussitôt pour accentuer la pression de mon doigt et faire rentrer mon majeur dans sa chatte, je l’entendais qui haletait, je l’embrassais dans le cou c’est alors qu’elle se retourna pour m’embrasser, découvrant une jolie paire de seins (plus petits que ceux de Karine) et sa minette intégralement épilée. Je tenta le coup et lui dis qu’elle n’avait pas la même coupe que Karine (l’allusion aux seins me paraissant déplacée), elle s’interrompit dans son baiser pour me demander comment je savais cela, je lui expliqua l’épisode précédent, elle rigola et me dit qu’elle avait essayé de la convaincre d’adopter la même épilation mais Karine avait répondu qu’elle préférait sa petite ligne de poil pour le moment, je lui demandais comment elles avaient abordé ce sujet et elle me confia que comme elles dormaient toutes les deux nues, elles parlaient souvent de leur intimité. Mon excitation était à son comble les imaginant toutes les deux dans ce lit, nues à parler d’épilation intime… mais je gardais cette pensée pour plus tard, voulant profiter de l’instant présent.Elle se redressa et tout en m’embrassant, ses mains ouvrirent mon bermuda et cherchèrent ma queue, la tâche fût aisée dans le mesure où comme parfois je ne portais rien sous mon bermuda. Je la vis sourire en découvrant que mon sexe était aussi épilé intégralement, elle me dit que nos sexes allaient bien s’accorder et plongea sa bouche sur ma queue déjà bien dure. Elle me fit une pipe incroyable, türkçe bahis passant sa langue autour de mon gland, descendant sur mes couilles, sa salive coulant entre mes cuisses, de mon côté je lui doigtais sa chatte et son petit trou non sans lécher mes doigts pour les lubrifier et sentir son goût sucré. Elle me fit allonger sur le dos, me pris les jambes pour les redresser et plongea son visage entre mes cuisses pour passer sa langue sur mon cul, utilisant la salive qui avait précédemment coulé pour pousser sa langue à l’intérieur, j’étais aux anges, elle me branla de son autre main. Je me redressa pour la projeter sur le lit et me ruer entre ses cuisses pour dévorer sa chatte et son trou du cul, je glissait mes doigts à l’intérieur, lui crachant dans sa fente, je la retourna pour la positionner en levrette et dévorer son petit trou, elle n’arrêtait plus de haleter, me disant qu’elle adorait, je rentrais carrément ma langue dans son petit trou pour la faire tourner à l’intérieur. Je lui prit le bras et lui fit une clé pour l’immobiliser et me mis à lui mettre une fessée, elle me dit qu’elle aimait cela, qu’elle était ma chienne. Je me remis à lui lécher son entrecuisse en lui tirant les cheveux, je sentais sa main qui cherchait ma queue pour la branler, elle cracha dans sa main pour rendre la caresse plus douce. Ne voulant pas venir trop vite je me retira de sa main, et lui demanda si la prestation lui convenait jusqu’à maintenant, elle répondit que tout était à la hauteur de ses attentes mais qu’elle était une cliente très exigeante, je lui dis que mon offre visait à satisfaire tous les désirs de ma clientèle, je l’entendis me répondre “alors défonce ma petite chatte s’il te plait”.Je planta ma queue dans sa chatte trempée et je l’entendis hurler, respectant sa demande je me mis à lui défoncer sa chatte ruisselante, me retirant de temps en temps pour lui faire sucer ma queue trempée de son jus. Je la mis en levrette en lui prenant les deux bras pour la maintenir et je la défonça de plus belle, je lâchas ses bras pour pouvoir lui mettre un doigt puis deux dans son anus déjà bien dilaté, elle tourna la tête et me dis que j’étais un sacré cochon, puis me demanda “tu veux me la mettre dans le cul ?”, sur cette phrase je lui dis qu’elle avait failli me faire décharger, elle me répondit que ce serait dommage si tôt puis elle se retira pour sucer ma queue et descendre sa langue entre mes fesses, ce qui eut pour effet de m’apaiser un peu. Sur quoi elle se mit en levrette et écarta ses fesses en se doigtant l’anus, puis elle me dit d’y aller doucement au début, je posa mon gland à l’entrée de son petit trou et la sentis qui poussait pour m’accueillir, je la pénétra le plus doucement possible pour ne pas lui faire mal et finis par être au fond de son anus bien en butée, elle se mit à onduler elle même pour s’habituer à ma queue dans son cul. Au bout d’un instant les mouvements s’accentuèrent et l’amplitude grandit, je lui dis qu’elle güvenilir bahis siteleri n’était qu’une petite salope, qui méritait juste de se faire enculer, ce qui eut pour effet de l’exciter encore plus, je vis sa main entre ses cuisses qui tournait sur son petit bouton, elle gémit en me demandant de continuer. Je retira ma queue et regarda son anus bien ouvert puis glissa ma langue dedans, elle se mit à sucer ma queue en me disant que je la rendait salope et qu’elle aimait ça. Elle s’allongea sur le dos, écartant ses cuisses et me présentant son cul grand ouvert, elle me dit de venir dedans au plus vite, je me planta dans son anus à peine refermé et commença à la limer, elle hurlait qu’elle adorait, me griffant le dos, me giflant en me traitant de salop, je lui mis ma main dans la bouche pour lui ouvrir et lui cracha dedans, elle me colla contre elle en ondulant et enfonça sa langue dans mon oreille, se fut trop pour moi et je lui dis que j’allais décharger, elle me dis de venir dans son cul, je ne me fis pas prier et me laissa aller dans son petit trou en hurlant ma jouissance, lui remplissant son intimité de ma semence, je sentais son anus se contracter autour de ma bite et m’extirper les dernières gouttes. Puis elle ouvrit les yeux et me dis qu’elle ne regrettait pas d’avoir fait appel à mes services, puis elle se retira de ma queue pour venir la sucer et la rendre toute propre.Je lui demanda si son anus n’avait pas trop souffert, elle me dit qu’elle devait aller aux toilettes, je la suivi et elle me demanda ce que je faisais, je lui demanda si cela la gênait que je la regarde, elle me dit pourquoi pas. Elle s’assit à l’envers sur les toilettes pour que je vois bien son cul et commença à pousser, je vis un long filet de mon sperme couler de son anus, je passa mon doigt pour en récupérer et lui mettre dans la bouche, elle se mit à le lécher en me regardant droit dans les yeux. Elle me dit que nous méritions une bonne douche, je lui dis que j’avais d’abord envie de faire pipi, elle me dit que cela attendrait bien la douche, ce fût elle qui cette fois me demanda si cela me gênait, je lui répondis au contraire que cela m’excitait. Elle entra dans la baignoire et me dis qu’elle commençait en premier, elle me fit asseoir dans la baignoire et écarta les cuisses pour me projeter un jet dorée sur ma bite, puis ce fût mon tour de lui arroser la poitrine et je la vis baisser le visage et tirer la langue pour gouter mon urine, nous terminâmes par une bonne douche en se savonnant.Elle me confia qu’elle avait beaucoup apprécié notre après midi, et enfila un string magnifique en dentelle rouge, alors que je la complimentais sur ses sous-vêtements et elle me répondit que c’était celui de Karine, elles aimaient s’échanger leurs sous-vêtements et sentir les sécrétions de l’autre, puis elle me prit par la main et allât jusqu’à la cuisine en me demandant si j’étais libre ce soir, je lui dis que oui, elle me demanda si je pouvais lui fournir mes services à nouveau vers 21h histoire de bien dormir après, je lui répondis oui avec grand plaisir. Je luis demandas si Karine ne risquait pas d’être rentrée de son travail, elle me répondit que si, avec un peu de chance elle serait là…

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Lettre à Alain

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Lettre à AlainLettre à un ami sur le comportement de ma femme.Salut Alain,Je viens, comme promis, te raconter notre week-end à Bordeaux.Nous avions rendez-vous samedi après-midi.Le vendredi, Sylviane me dit :- Tu sais, il y a un certain William, un black, qui a répondu à notre annonce. Il est à Toulouse, ses photos sont «intéressantes». On pourrait peut-être s’y arrêter pour «un rendez-vous de contact»…Rendez-vous de contact !!! Je la connais…Nous prîmes contact avec le William, qui nous donna rendez-vous dans un bar de Toulouse pour 22h, vendredi soir.Nous quittons donc plus tôt la maison, et, à 22h, nous sommes au rendez-vous.Will est là, sympa, assez beau garçon, on boit un pot, on discute de notre annonce, de lui, de tout ce qui nous intéresse, propreté, pas de brutalités, hygiène… (Il nous fournit et nous lui fournissons un certificat des plus récents pour garantir l’absence de séropositivité); donc il nous propose une invitation chez lui pour «visiter et goûter son whisky !!».Sylviane n’a pas beaucoup parlé pendant le pot. Elle a les joues rouges; je devine qu’elle est excitée et mon sexe durcit dans mon pantalon.Durant le trajet en voiture elle me serre fort la main…Arrivée chez Will. Appart bien, whisky bon. Il ne quitte pas Sylviane des yeux… Tu sais comme elle est jolie et «appétissante», plantureuse quoi, ce genre de femme que la quarantaine et quatre ou cinq kilos de plus que la «norme» rend extraordinairement désirable.Elle s’est mise dans une tenue sexy, robe noire (un peu trop) courte, Dim-up et chaussures à talons hauts (Elle se trouve trop petite !). Cela met sa cambrure en valeur…Il s’asseoit à côté d’elle sur le canapé.Sylviane est réservée comme toujours. S’il ne fait pas les premiers pas, elle ne bougera pas.Je décide de lancer la machine, et je lui dis :- Comment trouves-tu mon épouse ?- Très jolie, encore plus que je l’imaginais, nous dit-il.- Veux-tu la prendre comme «fiancée» pour la soirée ?La réponse est rapide : il s’approche de Sylviane et attend son approbation. Elle le regarde tendrement et il commence à l’embrasser passionnément. Ses mains courent sur les formes rebondies de ma femme, à travers le tissu de la mini-robe noire.Il la fait asseoir sur ses genoux et commence à glisser ses mains le long des cuisses, arrachant des soupirs à ma femme, elle se tortille sous les caresses, écartant ses cuisses laissant aux doigts la pénétration de son intimité. Les gémissements sont plus rapides.Elle demande à William de la déshabiller, elle retire elle-même sa ceinture et laisse le type dégrafer sa robe, qui tombe au sol, le soutien-gorge est à son tour par terre, libérant la poitrine généreuse.William fait glisser ses mains sur les hanches de Sylviane et fait rouler le petit slip qui rejoint au sol le reste. Elle garde les bas et les chaussures, ce qui met en valeur sa splendide cambrure (Dire qu’elle trouve ses fesses trop grosses !)Pendant ce temps, Sylviane s’est attaquée au polo, qui a viré et est en train de défaire la ceinture et la braguette de William, qui continue à caresser les gros seins de ma femme d’une main et de l’autre à pétrir ses fesses…Sylviane fait glisser le slip et ce qu’elle avait imaginé est enfin devant elle.Elle est magnifique, longue, épaisse, d’un beau noir mat…Elle caresse amoureusement cette queue qui ne demande qu’à se lever, ses doigts glissent sous les couilles qu’elle malaxe lentement, les yeux fermés.Je ne sais pas, Alain, si c’était les caresses de William sur elle ou celles qu’elle faisait qui l’excitaient le plus.Le type n’en peut plus, il la fait doucement s’agenouiller devant lui et Sylviane ouvre la bouche pour absorber l’énorme engin. Will est heureux de profiter de cette bouche pulpeuse.Elle se masturbe langoureusement tout en lui administrant une fellation de rêve…Après cinq minutes à ce régime, William ne peut résister et libère sa semence dans la bouche de ma femme. Elle s’applique à tout avaler et finit de sucer cette longue tige pour la nettoyer et lui redonner une bonne forme !Grâce au savoir-faire güvenilir canlı bahis siteleri buccal de Sylviane, le sexe de William retrouve une forme plus intéressante pour celle-ci.Il lui dit :- Viens, on va dans la chambre.Et la pousse devant lui. Dans la chambre, il la fait glisser sur le lit, lui écarte les cuisses, admire un moment cette chatte offerte à son désir et il entreprend de la lécher (Ce qu’elle aime beaucoup).Les gémissements de ma femme sont plus rapides, elle fait bouger son bassin pour aller au-devant de la langue de William, qui court sur le clitoris et les petites lèvres. Il passe les mains sous ses fesses généreuses et les pétrit. Quand il lui pénètre l’anus d’un doigt, Sylviane ne résiste pas et jouit à grands cris, une première fois sous la langue de son partenaire.Il en profite pour s’installer à genoux, entre les cuisses largement ouvertes et présente son gland à l’entrée du vagin qui attend avec impatience la prise de possession. William commence une lente pénétration, déclenchant des rictus de satisfaction de Sylviane, et des Ho ! admiratifs. Contre toute attente, c’est Sylviane qui lance un coup de reins en avant, faisant pénétrer un peu plus l’immense tige en elle.Je suis subjugué par ce que je vois, cette belle tige noire mate, est maintenant luisante de la mouille de ma femme, prouvant à quel point Sylviane est réceptive.William lance un va et vient qui fait gémir Sylviane. Il la prend ensuite sur le coté. Il lui caresse le clitoris d’une main et de l’autre effleure le bourgeon d’un de ses seins…Elle me regarde et annonce, les yeux vitreux :- Je vais jouir, je vais jouir…Elle pousse un cri et se laisse aller à des spasmes de plaisir. William, endurant du fait de son récent premier orgasme, se met sur le dos et la fait s’empaler sur lui. Elle est ravie, et se redresse, ses gros seins gigotant à chaque poussée de son mâle. Il lui prend les fesses et les malaxe, j’entends le doux clapotis de leur accouplement.Elle lui sussure à l’oreille :- Mets-moi un doigt derrière…Elle est tellement trempée qu’il n’a aucune difficulté à enfoncer son majeur dans son cul.Je me masturbe en les regardant et je sais que je ne vais pas tarder à jouir de ce spectacle. Ses fesses un peu grassouillettes se couvrent de chair de poule. Je sais qu’elle est près d’un nouvel orgasme.Elle crie, il accélère ses mouvements.Elle dit :- Enfonce ton doigt, je vais jouir…Quand son doigt disparaît dans le cul de ma belle, nous jouissons tous les trois ensemble. Je recouvre son dos et ses fesses de sperme…Nous reprenons notre souffle, puis il se retire d’elle, nous propose à boire et moi j’en profite pour m’approcher de Sylviane et je l’embrasse tendrement. Elle est belle en train de récupérer après ce rut intense, à plat ventre, les cuisses écartées, offerte sur ce lit.- Tu es heureuse ?- Oui mon chéri, me souffle-t-elle, et toi, ça te plaît ? Ca t’excite ??- Moi, j’adore, c’est un spectacle ravissant… Tu veux continuer ?- Oui, me dit-elle presque timidement, il nous reste des choses à essayer avec Will…- Tu veux essayer par derrière ?Elle rougit et aquiesce.Notre hôte revient avec des boissons.Nous buvons un coup et Sylviane en profite pour caresser la bite de Willy. Je sais qu’elle est impatiente d’aller plus loin, de se faire sodomiser par ce type. Elle aime ça et il sera, à mon avis, content de pouvoir sodomiser une femme qui se laisse faire et surtout qui aime !Comme elle est allongée sur le ventre, sa croupe offerte, je surprends le regard de notre hôte sur ses fesses…Je chuchote à Willy :- Aimerais-tu prendre ses fesses ?Il est écarlate :- Oui !- Alors vas-y, elle adore ça !!!Sylviane, qui a compris de quoi je parlais, repenche la tête vers l’entrecuisse de Willy et le suce un moment pour être sûre de la rigidité.Il la met d’abord sur le ventre et admire la croupe rebondie de mon épouse, puis malaxe ses fesses.Il mouille avec un peu de salive le petit œillet et rentre sans difficulté son majeur. Elle se tortille, poussant ses fesses au devant güvenilir illegal bahis siteleri du doigt qui fouille son rectum. Elle geint doucement.Elle me regarde :- Chéri, tu as amené ce qu”il faut ?Je sors de notre sac un tube de lubrifiant.Elle dit à Willy :- Attends, mon mari va me préparer, ce sera meillleur…Willy se caresse doucement pendant que j’introduis une généreuse dose de lubrifiant sur la rosette de mon épouse. Je ne résiste pas à faire pénétrer mon doigt en elle, et elle se tortille d’aise.Quand il présente son sexe à l’entrée, Sylviane bouge son cul pour faciliter l’intromission. Le gland pénètre tout doucement son rectum. Elle geint… Je contemple la scène, en n’osant pas me masturber trop fort : je suis à deux doigts de jouir devant ce spectacle délicieusement érotique.Lorsqu’il est entré à demi, il stoppe sa progression et c’est elle qui pousse en arrière afin de recevoir la tige de son amant plus profondément dans ses fesses. Il commence à aller et venir de plus en plus profondément, ce qui fait trembler un peu son généreux fessier (Tu sais que Sylviane a la taille fine mais le cul rebondi et cambré, un peu grassouillet ce qui est terriblement excitant).Après quelques va-et-vient, la longue tige est enfin absorbée, les coups de boutoir font gémir ma femme, les couilles de Willy caressent sa chatte, Sylviane a passé une main en dessous pour les caresser, ce qui doit exciter le Willy, qui pousse un grand cri, libérant son plaisir dans les profondeurs intestinales de Sylviane. Les jets qui doivent inonder ses entrailles la font jouir.Elle crie son orgasme, elle est belle et je l’aime !Ils restent soudés l’un à l’autre un moment puis rompent la possession. Ils vont tous les deux à la salle de bain se nettoyer et se rafraîchir.Au retour, Willy demande ce que l’on compte faire, si l’on repart de suite sur Bordeaux. Je lui dis que l’on va prendre une chambre dans un hôtel et que l’on repartira demain.Il nous dit que l’on peut rester, si l’on veut, il va mettre le canapé en place dans le salon. Du coup, je lui dis :- Tu veux Sylviane pour le reste de la nuit ??- Heu, oui, avec plaisir… dit-il, le coquin!Avant de se coucher, elle prit son sac de voyage, disparut un moment dans la salle de bains et réapparut enveloppée dans un peignoir de William.Lorsque celui-ci bâilla un peu, je pus voir qu’elle était dessous en guêpière et en bas! (Je savais qu’elle avait amené ses tenues érotiques, au cas où, mais tout de même cela me provoqua une décharge d’adrénaline…)Elle me souhaita bonne nuit en m’embrassant sur la joue, tel un ami !Elle me sussura suavement:- Dors bien, moi je vais rejoindre mon chéri…Nous nous séparâmes, moi sur le canapé, Sylviane et Willy dans la chambre.Nous avions laissé la porte de communication entrouverte, ce qui me permettait, moi voyeur, d’aller régulièrement voir ce qui se passait dans la chambre, sur le lit, si j’entendais un bruit !Au bout de cinq minutes, dans le silence de la soirée, j’entends des frôlements, des froissements de tissu, des corps en mouvement sur un lit.Le cœur battant, je décide d’aller voir dans la chambre ce qui se passe, je glisse ma tête le long du chambranle de porte et capte, à travers la lumière diffuse, que l’on a exprès laissée, le corps blanc de ma femme qui chevauche celui black de Willy. Elle est fichée sur le long sexe noir, elle fait des allers et retours, qui enfonce le pieu de chair au fond de son intimité, lui faisant faire des grimaces de satisfaction.Je suis excité étrangement par le fait qu’ils semblent tous les deux tenter de ne pas faire de bruit, comme des amants illégitimes qu’ils ne sont pas vraiment…Elle avait abaissé les bretelles de sa guêpière de manière à ce que ses seins sortent. Willy avait tendu les bras et pétrissait à pleines mains sa poitrine généreuse (Tu sais que je ne te mens pas !). Elle était arc-boutée, vers l’arrière, les lèvres pincées, gémissante.Willy descend une main vers la fente de Sylviane et commence, du pouce, à masser le clitoris. Ma femme güvenilir bahis şirketleri se déchaîne et, bientôt, ne peut résister à la vague de plaisir qui la submerge, elle jouit !Willy, qui a déjà déchargé trois fois, est moins impatient de se vider en elle et il la retourne, la met à plat ventre, la tête dans l’oreiller, écarte les fesses et la sodomise puissamment. Le trou ayant déjà été agrandi tout à l’heure, il n’y a pas trop d’efforts à faire, le mandrin disparaît au fond des entrailles de ma femme, et se met à la perforer de grands coups de reins, lui arrachant des gémissements et des petits cris en partie arrêtés et étouffés par l’oreiller. Sa croupe est mise en valeur par la guêpière. Ses ongles rouges griffent les draps.Il s’arrête un moment et lui dit :- Tu sais que ton mari doit être en train de nous mater?Elle répond d’une voix étranglée :- Oui je sais c’est bon, c’est trop bon…- Dis ce que tu fais, alors…On peut dire que William avait tout compris à notre «jeu de rôle» et à l’excitation qu’on y prenait…Elle dit :-Je suis en train de me faire sodomiser par William, il est gros, énorme, j’aime qu’il soit dans mes fesses.Plus elle parle, plus elle tortille son beau cul blanc à la recherche du membre qui la fouille. Il la tient par les hanches, leur excitation monte (La mienne aussi, mon sexe est dur comme du granit).Ils grognent de plaisir, Sylviane perd les pédales et crie :- Tu m’encules, mon mari est cocu!Elle se branle le bout des seins.Il répond :- Je vais jouir dans ton gros cul, je viens, je jouis.Et ils hurlent tous les deux leur plaisir, et moi, je répands ma semence partout…Vers 3h30, je me réveille, alerté par des bruits de succion. Doucement, je m’approche de la porte de chambre, et qu’est-ce que je vois?Devine, Alain…Sylviane est accroupie entre les jambes de Willy, en position foetale, en train de le sucer, pour le réveiller en douceur et le mettre en forme, car elle en veut encore !!!Elle joue de la langue sur la tige de chair et sur les couilles qu’elle tient à pleine main. Je la vois ensuite enjamber Willy et s’installer sur la queue, qu’elle fait disparaître au fond d’elle, puis elle commence de lents va-et-vient qui la font jouir…Je m’approche doucement. M’apercevant à la porte, il me dit :- Viens avec moi, on va la prendre tous les deux!Je ne me fais pas prier, je grimpe sur le lit, m’allonge et fait venir Sylviane sur moi.Le con est bien large, je n’ai aucun problème pour rentrer. Willy la reprenant dans le cul, je sens les chairs se distendre pour laisser passer l’énorme engin. Nous agitons nos membres dans ma femme qui m’embrasse et qui gémit des :- C’est bon ! Ouiiii allez-y à fond, j’aime !!Nous ne résistons pas longtemps et bientôt nous crachons presque en même temps notre semence dans les profondeurs de Sylviane, déclenchant un profond orgasme à celle-ci.Après quelques instants, nous quittons ce corps tout chaud pour nous nettoyer et boire un coup, puis tout le monde décide de dormir.Je dis à Sylviane de rester dormir avec Willy (Des fois qu’ils aient des envies dans la nuit !!)Nous nous couchons et tout le monde s’endort, épuisé.Au petit matin, vers 7h, entendant des soupirs, je me relève, je n’en crois pas mes yeux! Ils sont insatiables ! Elle est couchée sur le ventre en travers du lit et il la sodomise doucement (Encore une fois ! Cela doit être son fantasme favori…)Elle est splendide, sexy avec ses dessous, en train de se faire prendre par derrière… Par moments, je vois le sexe de William ressortir de son anus entièrement pour y replonger avec délices….Sachant que c’est la «der des ders», je m’approche en catimini et présente mon sexe à sa bouche.Lorsqu’ils jouissent, je me vide entièrement dans sa bouche accueillante…Elle se lève, va prendre une douche…Pendant ce temps Willy me dit:- Ta femme est géniale ! C’est ça qui est bien avec les femmes de la quarantaine, elles n’ont peur de rien, elles sont bien en chair, bien dans leur peau! et en plus certaines ont des maris très…. compréhensifs ! J’espère vous revoir un de ses jours !Puis il va préparer le café, et une demi-heure plus tard nous reprenons la route.Voilà Alain comment s’est passé notre week-end, qu’en penses-tu?Bon je te quitte pour aujourd’hui. Naturellement, ce que je viens de te raconter est confidentiel, ce que je te dis sur ma femme reste entre nous.

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Le neveu de Rameau

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Le neveu de Rameauvoir l’en-tête completJe ne suis pas du genre farouche. Je me surprends pourtant à céder desfois à quelque inconséquence. Mettons cela sur le compte des hormones.Il est vrai que l’âge n’arrange rien. J’ai passé allègrement lacinquantaine. Je me désole parfois de passer aux yeux d’autres pour unevraie salope. Terme peu flatteur auquel j’ai cru longtemps échapper. Eneffet je n’étais pas assez sévère dans ma jeunesse pour juger de cesfemmes perdues qui s’offrent indistinctement aux mâles jeunes etvigoureux et qui peut les rassurer quant à leur séduction. Je suismaintenant plus indulgente à leur égard. Leur vice m’est familier. Amesure qu’on avance dans la vie on perd ses illusions.Ce dernier épisode est allé en ce sens. Je m’en veux un peu d’avoirperdu là-dedans toute dignité et d’avoir compromis une famille. J’ai vugrandir mes neveux. Il m’est apparu que certains d’entre eux étaientimpressionnés par ma personne. Leur tante devenant trop objet de désirou de fantasme. J’ai toujours été une coquette. Ainsi allumais-je entoute innocence. Les regards et propos réprobateurs des autres femmes dela famille ne gagnaient qu’à m’émoustiller davantage. Je ne voyais paspourquoi je devais renoncer à une réputation de femme fatale. C’était làma force, mon péché mignon. Je regrette un peu tard de n’avoir faitmontre de plus de décence et de n’avoir épargné les plus jeunes.Armand et son jeune frère Camille écarquillaient des yeux à monencontre. A l’époque concernée ils avaient atteint vingt ans. Majeursvaccinés, ils avaient goûté à la femme. Du moins Camille plus jeune etsans ambages me racontât la chose. Il était sorti avec une prof depiano, jolie blonde quadra. Il en avait été bouleversé. Œil béât, ilm’assurait n’avoir jamais goûté de fellation plus délicieuse. Rien encomparaison de celles prodiguées part ses copines. Durant un mois, ilavait couché et beaucoup appris avec cette personne. Il déploraitqu’elle eût planté pour un autre. Manifestement cette garce était unecouguar. J’osais user du terme malheureux. Fort mal placée en cela.J’en voulais à cette femme d’avoir consommé mon cher Camille ce si jolibonbon. Il avait les traits d’un prince charmant. Son apparence candideexcitait manifestement la lubricité des femmes. Ces dernières ne sontrien moins que flattées que d’initier et de débaucher un jeune. Jedécouvrais avec dépit que Camille passablement corrompu cédait à detelles avances. J’avais été précédé. Ce jeune homme à la façon dont ildévorait encore mes cuisses me pouvait laisser espérer qu’il céderaitbientôt. A partir de ce jour j’abandonnais mes mimiques suggestives pourdes gestes et propos peu équivoques. D’un ton mutin notamment je lefélicitais qu’il fut mieux bâti et d’un style plus viril.Au dernier réveillon. Celui du jour de l’an je consentis à danser deux,trois fois avec lui. Il y eût entre autre un slow plus long dans lapénombre où je laissais sa main descendre et caresser ma fesse. Avec macuisse plusieurs fois pus-je m’assurer que le coquin bandait. Tout celafinit en un coin de porte où nos bouches se collèrent. J’eus le temps derompre et de lui signifier désolée que nous faisions là une bêtise güvenilir canlı bahis siteleri àcause de l’alcool ou autre. Je n’en pensais rien. Ce n’était que rusegrossière de sorcière. Je savais avoir mis le feu à la plaine. Toute lasemaine je fus harcelée de SMS. Que faire ? J’attendais qu’il fut àpoint. Je ne savais alors qu’Armand son frère nous avait vu.Autant Camille était blondinet et gracieux autant Armand était brun,carré et d’un style plus revêche. Il n’en dégageait pas moins un charmecertain. On lui savait une foule de conquêtes. C’était un Don Juan à sonjeune âge. Au contraire de Camille je le fuyais plutôt. Il m’avait cesderniers temps fait des avances furieuses qui eurent offensé une plusprude. Je n’en étais pas moins blessée qu’il usa avec sa tante deprocédés de corps de garde. Non pas que je dédaignas qu’une citadellefut prise mais je me souvenais qu’Armand été mon neveu et fils de monfrère. Je n’étais là pour ajouter aux désordres d’une famille. Mon frèrepouvait espérer que je raisonnas plutôt son fils.Mon frère tenait un cabinet d’avocats fameux. Ses deux fils voués à leremplacer y effectuaient régulièrement des stages. J’avais uncontentieux grave avec un de mes locataires. Ce dossier était sur lepoint d’aboutir et je pouvais escompter un succès. Rendez-vous fut prisavec mon frère une après-midi pour régler maints détails. Je reçus lematin cependant un SMS du frangin comme quoi, il devait assurer unecourse imprévue et que cependant son fils Armand pouvait largement leremplacer. Ce ne serait que l’affaire d’une petite heure. J’en fuschagrinée outre que je doutais des compétences du neveu je savais quecelui-ci abuserait de l’occasion. J’hésitais longtemps à tout annuler.Finalement je vis que cela ajouterait au délai du règlement del’affaire. Je voulais passer à autre chose. Je me proposais de renvoyerdans les cordes, le garnement s’il se comportait mal. En fait j’arrivaisce jour-là au bureau l’esprit empli de tout autres considérations.J’oubliais en effet que mon frère fut absent. Aussi fus-je un peuinterloquée de découvrir la mine réjouie du neveu. Le gredin s’excusaitque la secrétaire ne fut là et qu’il avait du lui-même ouvrir. Jesoupçonnais qu’il l’avait envoyé faire une course. Je ne pouvais detoute façon reculer. Je m’en voulais d’avoir arboré une jupe de cuir,des bas et des escarpins. C’était mon ordinaire de garce. Sauf quec’était ici peu approprié.Le début de notre entretien fut digne et professionnel. J’eus mêmel’impression qu’il voulait expédier l’objet de l’entrevue. Je pusmesurer que mon frère avait raison. Armand était brillant et maîtrisaitsur le bout des doigts son sujet. Celui-ci me fit paraître que monproblème était d’une simplicité biblique et pouvait pour cela êtrefacilement résolu. J’étais aux anges. J’allais faire la peau à ce gredinde locataire et recouvrer tout mon argent. J’étais ravie. Armandmanifestement voulait m’amener à ce point de contentement. J’en oubliaisles préventions à son égard. C’est à ce moment qu’en un sourire sadique,il choisit de me doucher. Il lança : “Tu sais, je t’ ai vu l’autre foisavec Camille.”Un instant abasourdi de güvenilir illegal bahis siteleri ce propos, je me repris et affectais de ne pascomprendre d’autant qu’il pouvait s’agir d’autres choses que ce que jecroyais. Il insista. Il précisa. Il nous avait vu durant et après leslow de la St Sylvestre. Je ne pouvais nier. Son ton d’avocat accusateurne tolérait nulle échappatoire. Nous avions été pris la main dans lesac. Constat quasi d’adultère. En d’autres circonstances j’eus ris maislà il s’agissait de moi et de mon honneur. En fait je vis que sajalousie voulait savoir si nous avions couché. Cela le rendait fou. J’enprofitais pour reprendre un peu d’avantage et par l’ironie l’écraser demes mépris.Le cher à présent perdait tout contrôle. Il s’était mis en tête que jelui cachais la vérité. Le soupçon était fort qu’il y eu quelque choseentre son frère et moi. Il était furieux. Jusqu’alors il s’était employéà souffler toutes les filles à ce frère. Il s’en vantait volontiers.Cette fois une victoire lui échappait. Je le trouvais ridicule àgesticuler devant moi. Il représentait tout ce que j abhorrais : un condragueur et qui ne supportait pas qu’on lui refuse. J’étais trop contentqu’il s’enferra seul. Il vit mon sourire. Une lueur passa dans son œil.Soudain il se rasséréna. Je pressentis là une chose de terrible. Reprisde sang froid il ressortait en effet ses griffes.Me matant de côté il lança : “Je veux bien n’en plus parler et le garderpour moi. Notamment je ne dirais rien au père. Cela le blesserait. Il sefâcherait avec mon frère.” Je fus parcourue d’un frisson. Le salaud memenaçait. Il me faisait chanter. Il était capable de faire fuiter. Enune seconde je vis la proportion que pourrait prendre une catastrophe.Je n’avais jamais voulu que le jeu dégénéra. En ces occasions je cogitevite. Je suis près à tout jusqu’à sauter d’un train en marche. Il mefallait considérer ce que voulait ce petit con et lui accorder sipossible. Nous nous jaugeâmes à la façon de canailles. Il ne voulait niplus ni moins que me sauter. Chose simple et banale.En ces moments on ne maîtrise pas tous les détails. Il s’agit d’unelutte entre serpent et mangouste. Tout passe notamment par le regard.Les autres gestes s’ensuivent. Je dus trahir mon émoi. La peur se lit.Je me vouais déjà à être une victime expiatoire et déjà consentante.Surtout mon logiciel garce m’embarquait dans une conduite d’échec et desoumission inexorable. Je ne peux cacher en même temps que tout celam’excitait. Trop souvent un mâle m’obtint ainsi. N’ai-je pas succombé endes circonstances scabreuses et avec des hommes de peu de valeur dontj’eus du avoir honte plus tard ? Il n’y a pas longtemps je m’offris dela sorte sur une autoroute à un vieux routier.Il n’y avait rien à redire à ce que je fus prise maintenant sur le grandbureau dont la surface plane semblait me requérir. Croisant mes cuissesdavantage dans un sot réflexe de défense j’aggravais en sorte mon cas.Cela sonna comme un hallali. Je découvris ce jour-là du jeune hommequ’était mon cher neveu. On ne m’avait guère menti quant à ses façons degarnement et de voyou. Un instant il s’éloigna vers güvenilir bahis şirketleri la grande baievitrée pour y passer un coup de fil. Je compris globalement qu’ildonnait quelques autres consignes à sa secrétaire comme pour différerson retour. Nous étions ainsi assurer d’être tranquille pour une bonneheure.Maintenant il s’était installé vis-à-vis de moi assis sur une chaise. Samain benoîtement me tapotait le genou, l’œil malicieux. Il m’assuraitque nous étions formés du même métal et que nous devrions nous entendre.Sa main remontait allègrement sous ma jupe. Un frisson sicaractéristique déjà me traversait. Je n’ai jamais pu résister aucontact d’une main d’homme. Pour seule défense je fermais les yeux melaissant faire. Nos visages durent se rapprocher car mes lèvress’ouvrirent au contact des siennes. Il était si empressé. Je cédaisd’autant de terrain. Langues mêlées je consentais à ma reddition. Lereste n’était que formalité.Il se releva ouvrant sa braguette. Je savais l’étape obligée de lesucer. J’adorais cette entrée nécessaire sans lequel il n’est point debon repas. Armand était bien monté. Je pouvais être fière de ce neveu.Il grogna subitement que son frère ne pouvait en prétendre autant.L’imbécile persistait dans l’erreur que j’eus sucé ce dernier. Vaine etpuérile rivalité entre eux. Je n’en savourais pas moins longtemps saqueue dans la bouche. Il découvrait le talent de sa tante. Je ne luiavais jamais offert de comparable cadeau. Mes scrupules s’étaient tout àfait envolés. Je mettais un point d’honneur à satisfaire un mâle.le chéri manifestait ostensiblement son plaisir. Monsieur prenait sonpied. Je passais haut la main mon début d’examen. Ne voulant être enreste il me retira prestement la culotte jetant celle-ci au loin. Jepris en bonne part ce geste. Une baise doit conserver son caractèreludique. A présent assise sur le bureau cuisses tout écartées, jelaissais le jeune homme avec sa langue me lécher. Je dus admettrerapidement de la dextérité de celle-ci. Je demeurais perplexe qu’à sonâge Armand put être déjà si vicieux. Sans mentir il se révélait bonamant. Quoiqu’il en soit j’avais envie qu’il me foute. Sa queue déjà mepilonnait.Je n’avais cure que le coït fut ponctué des insultes classiques. Le motsalope résonnait juste à mes chastes oreilles. Il m’importait peu qu’unneveu put qualifier ainsi sa tante. De toute façon il avait maints foisrêvé de me baiser. Tout entrait dans l’ordre. Je l’exhortais à mebourrer sans ménagement. Je goûtais l’entrain viril. Sans ménagement ilme jeta à quatre pattes sur la moquette et m’encula. Ce dédain, cetirrespect me chaviraient. J’étais aux anges. Depuis longtemps je n’avaisété foutue de la sorte. D’une bouche goulue il dévora la mienne tandisque s’exhalait son foutre au fond du cul. Armand était un parfait amant.Il obtint en titre de reconnaissance une dernière fellation. De la sorteje lui marquais ma reconnaissance. Nous convînmes de nous revoir.J’aurais m’assura-t-il l’honneur de sa garçonnière. J’y succédaisassurément à d’autres salopes. Loin de m’offusquer ce dernier point meflattait. Cependant pour davantage l’exciter je lui laissais accroireque son frère avait encore mes faveurs. De cette sourde compétition jesavais augmenter le désir du jeune homme pour moi. Toute une année nouseûmes une relation torride. Cela prit fin d’étrange façon. Lors d’unsoir il me baisa avec le concours d’un copain. De concert il fut décidéque celui-ci deviendrait désormais mon amant.

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Harry à l’école des Sorciers (1)

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Harry à l’école des Sorciers (1)Je tiens à préciser que tous les personnages de cette histoire sont majeurs.—————————————————————— Prologue : Il y’a 6 ans, Harry Potter avait appris qu’il était le fils de 2 sorciers et qu’il était célèbre partout dans le monde des sorciers. Il avait déjà passé de nombreuses années à Poudlard, la meilleure école de sorcellerie en Grande Bretagne. Il a aujourd’hui 19 ans (âge modifié par moi pour des raisons qui, je l’espère, paraîtront évidentes) et entre en 6e année d’étude et avant-dernière.Il avait déjà acheté tout son matériel sur le chemin de traversé et avait rejoint Ron et Hermione au Terrier, la maison des Weasley. Il passa donc les deux semaines qui lui restait à jouer au quidditch et à faire ses devoirs de vacances.Le 1er septembre, Harry, Hermione et toute la famille Weasley se rendirent au quai 9 ¾. Arthur et Molly Weasley restèrent sur le quai et leur dirent au revoir. Le voyage dura longtemps mais il finirent par arriver à Poudlard. La cérémonie de répartition se fit rapidement puis les élèves mangèrent. Ils allèrent ensuite se coucher car les cours commençaient tôt le lendemain. Puis, les cours se déroulèrent sans imprévus, ni quoi que soit d’autre.———————————————————————————Trois mois plus tard, c’était 2 semaines avant Noël. Harry, Ron et Hermione sortait d’un cours de botanique. Ils allaient dans la grande salle pour manger quand ils croisèrent Ginny, du haut de ses 1,69 m et de ses 18 ans tous frais. Harry la trouva encore plus belle qu’à l’ordinaire. Elle était habillée complètement de rouge, la couleur de Gryffondor : petites bottes rouges, robe de sorcière rouge, écharpe rouge. Elle leur sourit, dévoilant des dents éclatantes, et continua son chemin. Les trois amis se rendirent donc dans la grande salle et s’installèrent. De la nourriture se matérialisa dans leurs assiettes et ils commencèrent à manger. Durant tout l’après-midi, Harry bedava bahis ne put s’empêcher de penser à Ginny : ses beaux cheveux flamboyants, sa bouche délicate… Il était définitivement tombé amoureux d’elle. Pendant le cours de potion, il était tellement plongé dans ses pensées qu’il ne remarqua pas que Malefoy lui avait versé quelques pincées d’Esadamantine©, une poudre qui dissolvait littéralement tout corps liquide. Il se retrouva donc avec un chaudron vide. Le Pr. Slughorn attribua ça à une fatigue excessive, due aux entrainements de quidditch, le match de Serpentard-Gryffondor étant seulement le samedi suivant. Une fois les cours finis, Harry se rendit dans la salle commune de Gryffondor, où il n y avait personne. Il monta dans son dortoir et prit son éclair de feu afin de s’entraîner pour le match de samedi, qu’il ne fallait absolument pas perdre. Il descendait les marches quand il entendit un bruit dans la salle commune. Quelques instants auparavant, il aurait juré qu’il était seule. Il jeta un coup d’œil en bas de l’escalier et vit quelque chose qui le sidéra : Ron traversait la salle en tenant la main de… Lavande Brown. Son ami détestait que sa sœur Ginny bécote Dean Thomas en public et voilà qu’il avait une petite amie ! Intrigué, Harry se retira dans sa chambre. Il voulait en savoir. Il prit sa cape d’invisibilité et la vêtit puis se terra dans un coin du dortoir. Quelques instants après, les amoureux entraient dans la chambre. Lavande était très belle avec sa robe de sorcière et un joli décolleté laissant apercevoir généreusement ses seins. Ron avait une main sur ses fesses et la langue dans sa bouche. Il ferma la porte à clé et ils s’allongèrent sur le lit de Ron sans décoller leur corps. Harry remarqua que Ron avait une bosse au niveau de la ceinture qui déformait son pantalon.Lavande enleva langoureusement la robe de Ron pendant qu’il faisait bedava bonus de même. Ils se retrouvèrent donc en tenue de moldus, à s’embrasser. Les amoureux enlevèrent leurs chaussures et leurs chaussettes, puis Lavande décolla lentement sa bouche de celle de Ron et se recula. Elle baissa les bras et enleva lentement son haut. Son corps se révéla lentement au yeux de Ron (et de Harry !). Lavande avait une peau très claire et était très mince. Elle acheva de retirer son habit et dévoila ses seins, tenu par un soutien-gorge en dentelle rouge. Elle faisait au moins du 95C car ses opais étaient très impressionnants. « Elle doit les grossir par magie, pensa Harry, toujours caché ».Ron se leva et défit le soutien-gorge de sa petite amie. Une fois qu’il eut fini, les seins de Lavande tombèrent doucement contre sa poitrine du fait de leur poids. Elle avait des petits tétons, ce qui renforce l’idée qu’Harry venait d’avoir. Ron porta Lavande pour la poser sur le lit et lui dit :« Je peux sucer ? »« Oui, bien sûr ! ».Ron se pencha sur la poitrine opulente et commença à triturer doucement les tétons. Lavande se retenait de gémir de plaisir et prit la tête de Ron pour le pousser vers ses seins. Il mit donc en bouche un des seins pendant qu’il malaxait l’autre à deux mains. Il continua ce manège pendant une dizaine de secondes puis passa à l’autre sein. Les tétons de Lavande étaient maintenant tout durs. Quelques minutes plus tard, Lavande jouit de plaisir. Heureusement pour eux que le dortoir était insonorisé, car sinon, toute l’école l’aurait entendue.Lavande se remit peu à peu de ses esprits puis se releva. Elle demanda à Ron de s’allonger. Celui-ci s’exécuta et ferma les yeux. Lavande s’approcha de son pantalon et défit la braguette. Elle plongea la main dans le boxer et en ressortit une petite bite d’une dizaine de centimètres. Heureusement que Ron avait les yeux fermés, car deneme bonusu sinon, il aurait remarqué la petite moue de déception de sa petite amie. Elle fit tout de même son office et avala le bout de chair minuscule.Elle commença un va et vient avec sa bouche, tout en malaxant les testicules. La bite de Ron commença légèrement à se dresser. Un instant plus tard, elle se dressait de toute sa [petite] hauteur. Le pénis atteignait maintenant une douzaine de centimètres. Lavande parut essayer de se convaincre de continuer et dû réussir car elle fit une gorge profonde. Ron hoqueta de plaisir. Lavande reprit sa respiration et accéléra ses mouvements. Ron était maintenant tout rouge et s’efforçait de ne pas éjaculer.Lavande s’arrêta un moment pour donner du répit à son ami puis reprit son manège. Ron tenu seulement vingt secondes avant de jouir. Lavande, surprise de l’éjaculation si rapide, retira le pénis de sa bouche et se prit les giclées de sperme sur le visage et les seins. Harry se demanda comment une si petite bite pouvait produire une telle quantité de sperme. Soudain, un bruit retentit. Quelqu’un toquait à la porte.Paniquée, Lavande nettoya rapidement le pénis de la semence qui coulait dessus et se releva. Elle sortit sa baguette magique, prononça un sort et le sperme se volatilisa. Ron remit sa ceinture et se mit debout. Lavande se rhabilla et se cacha sous le lit de Ron et ce dernier alla ouvrir. Hermione entra.« Ca va ? » dit-elle. « Très bien ! Je dois juste écrire deux parchemins de composition pour demain en défenses contre les forces du mal avec Rogue. Sinon, ça va ! » Répondit-elle.Hermione perçut l’arrogance dans ses paroles et répondit : « Ah ! Tant mieux pour toi ! Mais tu as oublié que l’on doit maîtriser la métamorphose d’escargot en grenouille pour demain !Et, elle sortit de la chambre. Ron attendit quelques instants et fit signe à Lavande de sortir. Celle-ci retourna dans la salle commune et Ron prit son balai pour l’entraînement de Quidditch. Une fois son ami parti, Harry retira sa cape en pensant : « Il faudrait que j’aide Ron pour sa bite. Un sort d’amplification fera l’affaire ! ».Et il sortit pour aller au terrain de Quidditch.

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Laure, Virginie, et Yan – Part2

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Laure, Virginie, et Yan – Part2Suite de https://fr.xhamster.com/stories/une-semaine-de-vacances-sex-et-soleil—chapitre-607534@ Aux lectures, aux lectrices, merci de laisser un commentaire, ça fait toujours plaisir et motivant de les lire (V-coquinette) Au petit matin Yan va chercher des croissants et prépare un petit déjeuner en terrasse avec jus d’orange, croissants, pain, confiture, beurre et même du jambon. Le petit déjeuner apprécié par tous commence une journée bien ensoleillé et chaude. Le matin reste tranquille et c’est plus lecture et bain de soleil. Yan prépare tranquillement le repas et s’occupe d’organiser les affaires qu’il n’a pas fait la veille. Après le déjeuner, vers 15h, Virginie s’allonge sur le transat nue pour faire bronzette. Laure arrive quelles que minutes plus tard, tandis que Yan était sur l’ordi. Il fait chaud aujourd’hui, dit Laure. Oui, mais avec le petit brin d’air, tu n’as pas la sensation de griller. Ce n’est pas pour ça qu’il ne faut pas se mettre de la crème. Généralement je ne suis pas sujet au coup de soleil, mais je mets quand même de la crème comme toi. Bon alors, aujourd’hui tu enlèves quoi?? le haut, le bas ou les 2?? Je n’avais pas prévu d’enlever ni le haut ni le bas. Allez enlève au moins haut. Allez, je vais essayer. Laure enlève le haut et se mets de crème, y compris sur la poitrine. Mais elle s’allonge sur le ventre. Au bout d’une heure, Virginie se lève pour boire en verre et en revenant demande à Laure si elle veut de la crème dans le dos. Oui je veux bien. Virginie passe de la crème sur le dos, ainsi que les cuisses, puis Laure se retourne. Je vais faire le devant. J’ai commencé, je continue, puis après c’est toi qui me mettra de la crème. Si tu veux. Virginie commence par mettre de la crème sur les jambes, puis sur le ventre et au-dessus de la poitrine. Puis commence à l’étaler, y compris sur la poitrine. Surprise dans un premier temps, Laure laisse faire Virginie. Ça te fait des choses?? Je n’ai pas l’habitude qu’une fille me touche ma poitrine, mais c’est plus doux qu’un homme. Tu sais, mais c’est aussi la première fois que je touche une poitrine de femme, dit-elle en rigolant toutes les deux. Maintenant c’est à toi de me mettre de la crème, dit Virginie en se mettant sur le ventre. Laure commence par les jambes, puis s’occupe du dos et descend sur les fesses avec un peu d’hésitation. Puis Virginie de retourne. Elle recommence par les jambes, puis s’occupe du haut. D’abord le ventre, avant d’en mettre au-dessus de la poitrine. Et timidement, elle passe sur la poitrine. Je crois que tu as oublié une partie. Virginie mets de la crème au niveau de son pubis, puis prend la main de Laure pour qu’elle étale la crème sur tout le pubis y compris les lèvres du sexe. Laure laisse Virginie guider sa main, sans savoir s’il elle doit l’enlever ou faire naturellement ce que demande Virginie. Une fois terminée elle s’allonge en silence sur son transat. Tu as la main très douce. Merci. Tu sais que ce geste m’a complètement retournée. Comment ça?? C’est la première fois que je touche le corps d’une femme de cette façon, et je ne sais pas si je dois dire que j’ai bravé l’interdit ou si j’ai aimé. C’est-à-dire. Quand j’ai touché ton intimité, mon corps s’est mît à réagir comme si j’avais eu envie de faire l’amour. Tu es attirée par les filles, tu es une sacrée cachetière. Je n’ai pas dit çà. En même temps, il n’y a rien de mal. Et toi, çà ta fait quoi?? Moi j’aime bien me toucher, et j’adore aussi que Yan me touche, mais c’est vrai que là c’était différent mais comme toi illegal bahis ça ne m’a pas laissé indifférent. Surtout quand j’ai senti ton toi hésitant toucher mon clito. Toi aussi. Oui, et je peux te demander si à mon tour je peux te toucher de la même façon. Tu crois que c’est bien?? Il n’y a pas de mal à découvrir l’intimité d’une autre femme. Et Yan en pensera quoi. Yan ne sera pas jaloux de la situation, car il sait que tu es ma meilleure amie et qu’il existe une très grande confiance entre nous, dit-elle en passant la main sous son maillot de bain et laissant son index toucher doucement les lèvres puis le clito de Laure. Cela ayant pour conséquence de couper la respiration de Laure sous l’effet du geste qui ressemblait à une petite masturbation. Mais Virginie arrête rapidement et enlève sa main. Je n’avais jamais fait cela de ma vie, et je suis comme toi, cela ne me laisse pas indifférente. Mais c’est quand même fou que nous ayons envie de faire l’amour rien qu’au touché, dit Virginie en se remettant sur son transat. Je suis d’accord avec toi, car généralement il m’en faut plus pour avoir envie. Même si j’ai déjà eu envie de faire l’amour avec une fille, je ne pensais pas qu’un simple touché puisse être aussi excitant. Hormis le fait que moi je n’ai jamais eu l’envie d’être avec une autre fille, je partage ton sentiment. Virginie et Laure restaient silencieuses suite à cette expérience des plus déroutantes. Après une heure, Yan rejoint les filles très silencieuses. Virginie était dans ses pensées et Laure dormait sur le ventre. Ça fait longtemps qu’elle dort?? demande Yan en chuchotant. Oui. J’ai reçu un coup de téléphone du bureau et doit faire un aller/retour sur Paris. Ça faisait longtemps, et c’est quoi le problème. Toujours la même chose, un client insatisfait suite à une livraison mal préparée. Donc demain après-midi j’ai rendez-vous avec le client pour établir du plan d’action à mener. Au passage je ferai la mise au point qui est nécessaire. C’est comme d’hab. Sauf que là ça commence à être fatiguant, donc à la rentrée je vais faire du ménage et mener des actions appropriées pour que tout cela change. Alors ça te fait partir quand?? Je prends le TGV demain matin vers 9h30 et je rentre après-demain vers 14h. Bah, vu que je n’ai pas le choix, je te ferai le taxi. Le lendemain, Virginie et Laure emmène Yan à la gare. Maintenant qu’il est dans le train, que faisons, demande Laure. Nous sommes des filles, j’ai la carte bleue et nous sommes en centre-ville, donc nous pouvons faire les magasins. Sachant en plus que nous avons la voiture, nous pouvons remplir le coffre. C’est très caricaturé mais j’accepte ton idée. Les 2 filles partent en vadrouille dans le centre et commence à faire tous les magasins. Après 2 h de shopping, la carte bleue avait chauffée modérément. Vu l’heure où veux-tu manger?? Pas trop d’idée. J’ai vu une crêperie, ça te va. Parfais En début d’après-midi, elles sont de retour à la maison. Pour commencer, elle vide la voiture avant de boire un verre et d’aller se mettre sur le transat. Que penses-tu d’une petite sieste sur le transat pour se reposer de ce matin. Très bonne idée. Tu veux bien me mettre de la crème comme hier, demande Virginie à Laure en se mettant toute nue. Oui si tu veux. Après je m’occuperai de toi. Virginie s’allonge sur le ventre pour que Laure fasse le dos en premier puis se retour. Laure fait le devant avec moins d’appréhension que la vielle et fait même le pubis sans que Virginie lui tienne la main. Je te fais de même. Oui dit Laure en enlevant le haut et en illegal bahis siteleri s’allongeant sur le ventre. Je t’enlève aussi le bas, sinon ça ne sera pas pratique. Euh, ce n’est pas obligé. Ne t’inquiète pas et essaye. Moi je dis toujours que pour juger il faut tester. Bon si tu veux, répond Laure en se laissant enlever la bas du maillot. Vu les jolies petites fesses blanches, je crois que c’était nécessaire de que tu les fasses bronzer, dit-elle en lui passant la crème sur le dos, les cuisses et sans oublier les fesses et la raie de fesses. Crois-tu qu’il est nécessaire de mettre autant de crème à cet endroit. C’est pour te protéger, dit Virginie avec un petit sourire. Maintenant tu peux te retourner. Tu sais que le reste de ton corps est aussi joli que tes petites fesses Je te remercie, mais le tiens est aussi très joli. Disons que nous sommes 2 femmes qui prenons soins de leur corps, toi plus dans le domaine du 36 fillette et moi plus sur le 90C, réplique Virginie en passant sur la poitrine de Laure et mettant également de la crème sur son pubis naturel. Tu devrais faire comme moi et pratiquer une épilation intégrale l’été pour te protéger plus facilement. Je ne l’ai jamais fait, mais pourquoi pas. Si tu veux je pourrai te le faire tout à l’heure, tout en continuant à mettre de la crème et volontairement passer son indexe entre ses lèvres qui fait réagir Laure en serrant les cuisses. Je ne suis pas certain que là tu ais besoin de mettre de la crème. C’était pour voir ta réaction. L’après-midi se passe entre bronzette et piscine. On a un souci. Ah, quoi?? Quand Yan est là, nous avons notre cordon bleu pour nous préparer apéro et dîner, mais là on fait comment?? Je veux bien essayé de faire à dîner, mais je ne suis vraiment pas une bonne cuisinière. Dans ce cas plan B et nous allons au resto.?Nous ne sommes pas responsables de l’absence du chef cuistot. Va pour le resto. Nous avons juste le temps de prendre une petite douche, mettre une robe et des chaussures, et fermer la maison. Donc va pour la douche. Nous la prenons toutes les deux, comme çà je te fais ton minou. Une heure plus tard, elles sortent de la salle de bain. Moi perso, je te trouve plus mimi comme çà. J’ai l’impression d’être toute nue. Techniquement parlant tu étais déjà toute nue avec, donc pour moi ça ne change rien. Enfilons une petite robe et apéro, dit Virginie en enfilant sa robe. Tu ne mets rien en dessous?? Non, et d’ailleurs toi non plus?! Tu rigoles, pas plus que l’autre soir quand je t’ai envoyé dans l’eau. Si tu veux on va prendre ta robe la plus longue. Même si Laure ne semblait pas enthousiasmée au fait de ne pas porter de dessous, elle cède fasse à Virginie qui obtient généralement ce qu’elle veut. Leur sortie au restaurant se passe très bien. Tout en restant raisonnable au niveau alcool, elles ne se privent pas de prendre apéro et vin au repas. De retour assez tardivement à la maison, elles se dirigent vers leurs chambres. Laure, je n’aime pas dormir toute seule dans une maison que je ne connais pas, tu veux bien dormir avec moi?? Je n’osais pas te le demander, car moi non plus je ne suis pas rassurée. Quand Yan est là, on se sent en sécurité, mais là, pas trop. Alors direction ma chambre, le lit est plus grand. Juste le temps de prendre ma chemise de nuit et j’arrive. Virginie enlève sa robe et ses chaussures, passe par les toilettes avant d’aller se coucher. Laure arrive en chemise de nuit et vient se mettre dans le lit. Tu dors toute nue?? Oui toute l’année, et vu le temps qu’il fait, je pense que tu aurais canlı bahis siteleri pu t’abstenir de mettre la tienne. Enlève là, comme çà nous serons toutes les deux dans la même tenue. Laure sans trop contredire enlève la chemise de nuit, puis s’allonge de nouveau, tandis que Virginie se mets sur le côté en regardant Laure. Vu que nous sommes toutes deux dans le lit, j’aimerai que nous reparlions de nos sensations mutuelles que nous avons eu quand nous nous sommes misent de la crème à bronzer. Que veux-tu que nous ajoutions. Si tu préfères, moi cela m’a procuré des sensations, qu’aujourd’hui reste à découvrir. C’est-à-dire?? Après avoir bien réfléchi à tout ça, tu sais que je suis une personne qui aime découvrir de nouvelles choses dans ce domaine, et je ne te cache pas qu’aujourd’hui j’ai envie de faire l’amour avec une femme pour savoir exactement ce que cela fait. Mais cela je ne le ferai pas avec n’importe qui, et j’aimerai le faire avec toi. Tu es ma meilleure copine, toi aussi tu as eu des sensations, alors qu’en penses-tu?? Je n’ai jamais fait l’amour avec une femme, et je ne sais pas ce que cela pourrait m’apporter. Mais faire l’amour toutes les deux, ça serait tromper Yan?? Non ce n’est pas trompé Yan, car hier soir j’en ai parlé avec lui. Il m’a dit que si je voulais découvrir la sensation avec toi que je le fasse. Comme il m’a dit, tu ne pourrais pas rivaliser avec son charme masculin. Oui c’est sûr. Mais ta vision est assez particulière, mais c’est toi qui sais. Perso je suis célibataire, donc je ne me pose pas cette question. Le temps que Laure finisse sa phrase, Virginie se tourne sur le côté et fait remonter sa main entre les cuisses de Laure, ayant pour effet de finaliser la conversation. Je crois que nous avons toutes les deux envies de découvrir ce plaisir féminin, dit Virginie en enlevant le drap recouvrant Laure puis en s’allongeant sur elle pour lui faire face. Leurs bassins étaient en contacts, ainsi que leurs poitrines. Laure restait dans un premier temps sans réaction. Mais très vite, elle monte ses mains sur les fesses de Virginie qui s’empresse de répondre en l’embrasant. Cette positionne dura plusieurs minutes avant que Virgine descend embrasser la poitrine de Laure dans un premier temps et lui mordiller les tétons dans un second temps. Virginie adore quand Yan lui mordilles les tétons ayant toujours pour effet de les faire durcir et d’augmenter son envie. Mais Laure ne semblait pas coutumière était plus dans la réaction de douleur. En même temps Virginie ne savait pas si elle faisait de la même façon que Yan. Après s’être bien occupée de sa poitrine, Virginie continue au descendre au niveau de l’entrejambe avant de se retourner et positionner son entrejambe dessus de la bouche de Laure. Virgine entreprend un cunis pour la première fois. Laure réagit normalement à cela, mais est quand même attirée par l’envie de faire de même. Les filles se mettent en 69 permettant à chacune de s’occuper de l’intimité de l’autre. Elle met les mains sur les fesses de Virginie pour lui commencer à lui faire la même chose. Virginie apprécie également. Laure est la première à avoir un orgasme, mais Virginie continu sans s’arrêter entrainant Laure à lui faire de même, puis jouie également, libérant quels instants après Laure. Pour une première fois, je n’arrive pas à qualifier comment c’était, tellement j’ai apprécié et découvert de nouvelle sensation. Je partage ton avis, car je ne pensais pas que la découverte de l’intimité féminine soit aussi agréable. Je te remercie de ce moment que n’oublierai pas de sitôt. Sans rien dire de plus, les filles s’endorment nues toutes les deux côtes à côtes. Le matin venu, elles réveillent doucement en même temps que le lever du soleil. Elles se préparent pour aller chercher Yan dans la matinée.

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À la plage !!Histoire complètement sortie de mon imagination :Je suis une jeune fille de 20 ans. Je suis assez grande (1M71), ronde, j’ai se qu’il faut où il faut (95D).Aux dernières vacances, je suis partie dans une maison en bord de mer avec mes amis. Cette « maisonnette » pouvait accueillir une 15aine de personnes. A la fin de la première semaine de vacances, ma cousine et ses amis sont venus nous rejoindre. Ne connaissant que très peu ses amis et elles les miens, nous avions décidés de faire une petite soirée sur la terrasse.Tout se passait très bien, je discutais avec Marie une amie de ma cousine. A un moment elle me dit :-« Je pense que tu as tapé dans l’œil de quelqu’un ce soir. » Ne comprenant pas ce qu’elle me disait je la regardais et lui demandais pourquoi elle disait ça. Elle me répondit :-« Depuis que nous sommes arrivés, y a Axel qui ne fait que de ne fait que de te regarder et je ne l’ai jamais vu comme ça !- Comment ça ?- Ca fait 10 ans que je le connais, et il n’a jamais regardé une fille comme il te regarde. Il ne t’a pas lâché des yeux depuis notre arrivée et j’ai bien vu que quand tu lui as fais la bise, il ne savait pas quoi dire alors que d’habitude c’est un beau parleur avec les filles. »Suite à ces mots je me suis retournée discrètement pour voir si Marie disais vrai. Et effectivement Axel était entrain de me fixer. Lorsqu’il vit que je le fixais également, il baissa le regard et se mis à discuter avec une de mes amie. »Je me retournai vers Marie et lui dit qu’Axel était vraiment beau et que c’était totalement mon style.-« Va lui parler. Je suis sûr qu’il n’attend que ça.- J’irai surement plus tard, je profite de vous et de ma cousine d’abord. »Nous passons à table. Une fois le repas fini, et l’alcool aidant, nous allons nous mettre en maillot de bain pour profiter de la piscine, du jacuzzi et de la plage. Je me suis mis en maillot de bain une pièce qui me faisait un décolleté du tonnerre de dieu. Nous passons la fin de la soirée et les ¾ de la nuit dans l’eau. Vers 5h du matin, la plupart des mes amis étaient parti se coucher. C’est à ce moment qu’a choisi Axel pour venir me voir.-« Hey ! Ca te dit de venir avec moi sur le sable ?- Je ne sais pas trop… Non.- Ha Ok bah à plus tard alors. »Axel s’en alla vers la maison. Marie qui a tout vu et tout entendu viens vers moi, me met un coup de coude et me dit que je devrai le suivre et que ça en valait la peine. Je réfléchi encore quelques secondes et me décide à le rejoindre. Je rentre dans la maison et je le trouve assis sur le canapé un verre à la main. Je m’approche de lui :-« Aller viens on y va ! »Il me regarde, me souris et att**** la bouteille illegal bahis qui se trouve sur la table basse pendant que j’att**** 2 plaids. Je le suis alors vers la plage. Nous nous éloignons de la maison pour ne pas être dérangés. Une fois assis sur le sable nous commençons à discuter. Au bout d’une heure de discussion, je lui propose d’aller se baigner. Il refuse de me suivre, j’y vais donc seule.Je cours alors vers l’eau seule et je profite de l’eau qui caresse ma peau, l’odeur d’iode qui rempli mes narines. Je sens son regard sur moi. Et après quelque secondes je sens Axel se rapprocher de moi. Il pose ses mains sur mes hanches et se penche vers mon cou qu’il effleure du bout des lèvres. Ce petit contact me fait frissonner. Je me retourne vers lui et je croise son regard. Je peux voir ses yeux briller de désir.Je reste face à ces yeux si foncés sans pourvoir aligner deux mots. Il se penche pour coller son front au mien. Comme si une force invisible me poussait vers lui, je colle mes lèvres aux siennes et nous échangeons un baiser tendre et doux. Après plusieurs secondes il s’écarte de moi et me dit qu’il n’a eu d’yeux que pour moi depuis le début. Je ne lui réponds pas et l’embrasse de nouveau mais cette fois avec plus de fougue.Il s’agrippe à mes hanches, moi à ces cheveux. Comme si nous étions deux aimants, nous nous collons à l’unisson l’un contre l’autre. Je laisse ses cheveux et promène mes mains sur le corps de mon amant du soir. Il accélère son baiser, nos bouches ne veulent plus se décoller, nos langues dansent ensemble dans une certaine harmonie. Je sens ces mains remonter vers mon ventre, mes seins, mon cou. Il écarte mes cheveux de mon cou et libère ma bouche pour venir embrasser ma joue, ma mâchoire, mon cou. Ce qui me fait frissonner. Je sens une vague de désir monter dans mon bas ventre.Il ne s’arrête pas à mon cou, il vient embrasser mon décolleté et la naissance de mes seins. Cette sensation m’électrise, je me cambre en avant pour lui faciliter l’accès à mes seins. Je m’accroche avec force à ses bras car je sens mes jambes qui flanchent. Il me caresse les seins de ses mains au travers du maillot de bain. Il att**** mes tétons à travers mon maillot et les mordille. Je n’ai jamais été très sensible des seins mais la, je ne peux retenir des gémissements.Je sens contre mon bas ventre son membre gonfler. Je lâche ces bras pour caresser son torse, son ventre, et descendre jusqu’à l’élastique de son caleçon. Je l’entends grogner contre ma peau. Je joue avec son désir, je passe ma main sur son caleçon puis je passe ma main dedans le caresse du bout des ongles et ressort. Après quelques minutes de ce illegal bahis siteleri petit jeu, il descend ces mains sur mes hanches et viens agripper avec fougue mes fesses. Je l’embrasse passionnément, tout en empoignant son sexe au travers de son caleçon. Je commence un lent va et viens et lui, caresse mes fesses et passe ses mains sous l’élastique pour être au plus près de ma peau.Alors qu’il passe ses mains sur mon pubis, je décide de faire descendre son caleçon afin de l’empoigner avec douceur et commence un lent va et viens mais cette fois sa peau et au contact de la mienne. Je le sens frissonner contre moi, il me mordille la lèvre inférieure. I se recule et me regarde dans les yeux, je sens alors se mains écarte mon maillot de bain pour pouvoir venir titiller du bout des doigts mon clitoris. Dans un mouvement incontrôlé, je me cambre et écarte mes jambes afin de lui faciliter l’accès. J’accélère mes va et viens autour de sa verge. Je sens l’un de ses doigts venir aguicher l’entrée de mon vagin. Il me dit à l’oreille :-« Waouh, je te fais autant d’effet que ça !- Pas plus qu’un autre, lui dis-je. Même si je savais que c’était absolument vrai.- Ce n’est pas ce que dis tes yeux et ton humidité. » Il me dit ça en introduisant son doigt dans mon vagin ce qui me fait lâcher un gémissement de surprise mais aussi de pur jouissance. J’accélère mes va et viens sur sa hampe et la serre un peu plus fort.Soudain il m’att**** derrière les cuisses et me soulève afin que je passe mes jambes autour de lui, étant encore dans l’eau, le geste est simplifié. Il empoigne son sexe et le dirige à l’entrée du mien pour s’enfoncer avec une lenteur presque insoutenable. Il me pénètre jusqu’à la garde, s’arrête pour m’embrasser avec fougue. Il ressort lentement jusqu’à ce qu’il ne reste que son gland en mon être. Et il recommence à faire de lent va et vient pendant quelques secondes. N’y tenant plus, Je prends appuie sur ses épaules pour me défaire de son étreinte et l’invite à me suivre sur le sable pour que nous puissions nous installer sur le plaid. Je lui prends la main afin qu’il me suive. Arrivés sur le plaid il s’assoie. Je me poste devant lui et retire mon maillot de bain le plus lentement et sensuellement possible. Lorsque je l’ai complètement retiré, il att**** mon bras avec force et m’oblige à me coucher sur le côté. Il se colle dans mon dos et me dit que mon petit strip-tease l’a encore plus excité. Il m’embrasse dans le cou et me pénètre avec v******e. Il m’att**** les hanches fortement et commence de rapide vas et vient qui me font jouir très fortement. Il me chuchote à l’oreille que je ferai mieux de crier moins canlı bahis siteleri fort si je ne veux pas que nos amis nous entendent. Il continue ses va et vient et je l’entends grogner dans mon cou. Il ralenti légèrement et sort de mon antre.Je décide alors de me retourner et de le pousser afin qu’il soit sur le dos et de le chevaucher. Je m’assoie sur lui et ondule des hanches sans pour autant qu’il ne me pénètre. Je le vois fermer les yeux, sa respiration s’accélère. Après plusieurs minutes je me décide enfin à enfoncer son sexe en moi. Il pose ses mains sur mes hanches mais je lui retire et les maintiens au dessus de la tête et lui murmure à l’oreille que c’est à moi de prendre les rênes. Il me souri, je l’embrasse tout en faisant de lent va et vient de plus en plus rapide. Je l’embrasse sur la joue, la mâchoire, et mord la peau de son cou afin de laisser une marque puis deux.Au bout de plusieurs minutes, je sens l’orgasme pointer le bout de son nez et je libère ses mains. Je jouis plutôt fort et profitant de mon moment d’euphorie, il me soulève de lui, me pousse et me demande de me mettre à genou. Je m’exécute. Lorsque je suis à genou, il me penche en avant en appuie dans mon dos afin que je me cambre au maximum. Il se met à genou derrière moi et me pénètre d’une traite avec v******e jusqu’à ce que ces poils pubiens collent à mes fesses. Il se penche, s’écrase sur moi et me dit que c’est à lui maintenant de prendre les commandes. Je me laisse donc faire puisque je trouve ça plutôt excitant. Il s’accroche fortement à mes hanches et commence ces va et vient. Au fur et à mesure qu’il accélère, je l’entends grogner de plus en plus fort et mon orgasme commence à revenir. Il accélère encore pendant quelques minutes et je sens ça queue se contracter en moi, se qui m’emmène au point de non retour. Je jouis comme rarement j’ai pu jouir durant ma courte vie sexuelle. Je le sens se déverser en moi et s’écrouler sur mon dos se qui me fait flancher. Je me retrouve allonger sur le ventre avec Axel allongé sur mon dos mais je m’en fiche je suis encore sur mon petit nuage; Lorsque nous sortons tout les deux de notre torpeur, il se retire de moi et s’allonge à mes côtés. Le soleil est entrain de se lever quand nous nous installons. Je me déplace pour l’embrasser et je pose ma tête sur son torse. Il me caresse les cheveux et commence à dire:- “Je n’aurai jamais pensé que des vacances pouvaient aussi bien commencer.- Et moi je n’aurai jamais pensé que l’on puisse en arriver la aussi rapidement. – Et moi je n’aurai encore moins cru que le sexe sur la plage pouvait être aussi bon.- Moi non plus je ne m’en serai jamais douté.”Je le regarda, il me souris et m’embrassa le front. Je me rallongeai sur lui et il commença à me caresser les cheveux. Je ne mis pas longtemps avant de trouver le sommeil, mais je sentis tout de même Axel déposer un autre plaid sur nous et me remercier tendrement.

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Ma St SylvestreLes fêtes de fin d’année me suscitent toujours un sentiment mélangéd’allégresse et de devoirs mondains à accomplir. Autant Noël peutressouder les liens de la famille autant le réveillon de l’an nouveaurevête un caractère de corvée car relié à quelques obligationsprofessionnelles. En effet mon mari avait voulu que nous acceptionsl’invitation de son patron. Il avait balayé d’une main ma suggestiond’aller nous encanailler chez l’une de mes copines. Il trouvait plusprestigieux de suivre sa piste. Le beau monde lui agréait mieux que mamodeste clique.Ce qui m’agaçait n’était pas tant le couple qui allait nous accueillir,car celui-ci était des familiers mais les autres invités. Ce seraientassurément des bourgeois fort guindés. Je ne hais rien tant que lesnobisme. Je serais assurément fusillée du regard par ces dames dontcertaines ne devaient ignorer ma réputation. Cette pression fut-ellesurfaite et imaginaire me gâchait un peu la fête. Mon mari tachacependant à me rassurer. L’alcool aidant il n’y paraîtrait plus.Celui-ci a le don d’égaliser les conditions. Je n’aurais qu’à êtremoi-même.Le couple d’hôtes était du genre libertin de la plus pire espèce.Monsieur patron de mon mari avait obtenu de celui-ci que je lui accordesouvent mes faveurs. Il me sautait sans vergogne notamment quand monmari partait à l’autre bout de la France. Il y avait dedans une sorte desadisme à user de la femme d’un de ses employés. Je ne pouvais faireautrement dans l’intérêt de mon homme. En même temps et à mon grandétonnement cette situation eut l’heur de m’agréer. En fait je pris monpied dès le premier jour. Son patron me traita sans vergogne en putain.Ces riches ne savent comment pimenter leurs vies. L’ennui les menacesans cesse. Tel un seigneur à l’égard de ses serfs ils ont besoin defaire éprouver leur joug. J’éprouvais à l’égard du patron un sentimentd’amour-haine. Je le détestais pour ce qu’il nous humiliât moi et monmari et cependant lorsqu’il me baisait et m’insultait ces mêmessentiments me prodiguaient une sensation contraire et positive dejouissance. Je n’en disais rien à mon mari lui faisant accroire que jem’adonnais à une simple formalité. Il savait pourtant que je nedédaignais aucune queue.Je dus pour la soirée me mettre sur mon 31 bien davantage que j’eus faitpour la fête de la copine. Je dus notamment m’infliger de hauts talonset me maquiller avec le dernier raffinement. Cependant je ne pouvaisrivaliser avec les toilettes de marque des autres dames. Mon marin’avait pas le pognon nécessaire. Il ne tenait qu’à moi pourtant qu’ilobtint un peu plus et des augmentations de salaire. Un peu timide audébut je me réfugiais en un coin tâchant d’attendre et d’observer. Jelaissais un vieux me draguer. Ma robe moulante avait du l’attirer.Pour m’étourdir un peu j’avais résolu d’avaler tout le champagnealentour. Le vieux avait commencé à me caresser. Je dus d’être sauvéepar l’intervention du fils. Je veux dire celui des hôtes. Un prétentieuxnotoire non moins tordu que ses parents. Le vieux m’avait susurré àl’oreille de le suivre dans un couloir. Je me voyais le sucer déjà . Lefils dut deviner cela et s’amusât à couper l’herbe sous les illegal bahis pieds duvieux. A présent j’étais embarqué dans un slow avec le môme. Il meserrait fort. Le con était éméché. Ses mains au su de tous parcouraienttout l’orbe de mes fesses.La pénombre était propice à toutes sortes de caresses. Mon cul ne futpas épargné. Peu à peu gagnée par l’ambiance j’avais envie d’un homme etme laissais embrasser par ce petit morveux dans un coin de porte.Il se vantât d’avoir sauté il y a peu une de ses tantes dans unevoiture. Il aimait mon genre de femme. Son père lui avait tout raconté.Il me savait salope et toujours partante. Je ne pouvais raisonnablementle démentir. Je trouvais juste qu’il parlait trop au lieu de s’exécuter.Enfin il m’entraîna dans une sorte de sous-sol. Ses mains étaient plusintrusives.Dans la pénombre il m’embrassa davantage soulevant prestement ma robejusqu’au bas des reins. Il put s’assurer réjoui que je n’avais pas deculotte. il pouvait pétrir à pleine main mon cul. Cela me procura commeun orgasme. L’air frais de la proche cave courant dessus. Un déluged’insultes résonna dans mes oreilles. Le mot de pute revenait souvent.J’ai toujours adoré ce genre de musique. Je fus bientôt à genoux tout àl’usage de sa queue que je recueillis dans la bouche. Il allait éprouvermon talent fameux. C’était ma première bite de soirée.Je connaissais la fougue des jeunes mâles. Celui-ci ne dérogeait pas àla règle. En un tour de main je fus bourrée debout par derrière.Régulièrement dans les vestiaires du club de gym, des mômes s’amusaientainsi avec moi. Je goûtais notamment le foutre abondant dont ils sedéchargeaient. Celui-ci m’en macula le cul. J’avais consenti qu’il mefinit par le petit trou. Son père lui avait assuré que je raffolais decela ce qui était vrai. Il m’invectiva encore plus. J’étais la pire destraînées. Il moquait notamment mon mari de s’être acoquinée avec moi. Jeprotestais faiblement.Un peu honteuse d’être méprisée par ce gosse je n’avais de cesse derejoindre maintenant les autres et la salle emplie de musique. Nombreavaient du relever notre absence. Tandis que je nettoyais mes fesses aulavabo le petit gredin m’assurait que mon mari serait sûrement gratifiéd’une bonne prime grâce à moi. En tout cas il était sur les rangs pourme sauter outre son père. Je fis en sorte de ne le contredire. Il meraccompagna en m’enlaçant par parodie et m’embrassant maintes fois surla bouche avant que nous ne parvînmes au salon au milieu des autres.L’heure suivante trois types dont le vieux précédent m’attrapèrent dansdes coins de chambre. De toute façon on baisait un peu partout. J’eussoupçon que mon bonhomme devait en faire autant. Cela tournait àl’orgie. Il eût juste une halte et le répit de minuit pour fêter labonne année. Mon cher mari daignât m’embrasser sur la bouche puis ilm’abandonna à un vieux qui s’ingénia à vouloir m’enfoncer un goulotentre les fesses. Pour m’en débarrasser je lui suggérais de me sodomiseravec sa queue. Il fallait demeurer pour la nouvelle année dansl’orthodoxie.Sur les coups de trois heures j’étais rompue. Je ne savais plus combiende types s’étaient amusés avec moi. Je songeais raisonnablement illegal bahis siteleri audépart et à rejoindre tranquillement mon lit avec mon mari aussi nefus-je pas peu étonné que celui-ci en conversation avec son patronm’appela avec la mine sardonique je ne lui aimais guère. En un éclair mefut exposé leur projet. Il avait été convenu que je dorme avec monsieuret madame. Mon mari se voulait reposer seul en son lit pour ce jour del’an. J’avais été troquée, vendu telle une marchandise.Le ciel me tombait sur la tête. je n’avais pas prévu le coup. Mon marim’avait déjà jeté dans les bras d’un autre mais point de la sorte etavec tant de solennité et quasi au su de tous. De loin je vis leur filsqui ricanait. J’eus comme un sentiment d’abandon. Que mon mari m’avaitvendu à des pirates barbaresques pour un bon prix. N’allais-je paséchouer au mieux en une sorte de sérail. Au pire dans un bordel desbords d’Égypte. Curieuse façon d’inaugurer son année. Résignée je vis lavoiture de mon mari disparaître au fond de l’allée.Je n’avais pas vraiment goûté l’échange entre mon mari et son patron. Cedernier avait quasiment sommé mon homme de lui abandonner pour cettenuit son épouse au motif saugrenu que sa femme aussi voulait goûter demoi et voir si réellement j’étais la salope tant renommée. Cette mise enscène n’était que pour rabaisser mon couple. J’aurais voulu que mon marimanifesta un peu de fierté et rembarra ces gens qui se croyaient toutobtenir. On devrait régulièrement fomenter des révolutions pour leurfaire rendre gorge. J’allais être sautée toute cru.Leur chambre était au bout d’un long dédale de couloirs. On eût dit à lafois le château de Barbe bleu et celui du marquis de Sade. J’étais lasseet n’aspirais qu’à dormir. L’alcool entre autre se vengeait de moi. Jedisais avec quelque sincérité à mes bourreaux qu’ils obtiendraient fortpeu de moi. Tour à tour comme par jeu ils m’enlaçaient etm’embrassaient. Les baisers étaient goulus et avaient destination à mesouiller. Avec effronterie je mélangeais ma langue avec la leur. Maréputation de lubricité était à ce prix. La pute se rebiffait.Je dormis fort peu. Monsieur était insatiable et son épouse point enreste. C’était souvent le même scénario. Ainsi monsieur me sodomisaitsauvagement tandis que madame requérait que je lui léchas le cul ou lachatte. En cela manifestement hostile à mon égard elle m’insultait et mecrachait au visage pour à la fin m’embrasser avec une feinte tendresse.Je réagissais stoïquement à ces baisers. Je voulais paraître invaincuemalgré qu’elle voulut me rabaisser cette nuit-là. De toute façon sonmari m’avait maintes fois baisé au cours de l’année. Ce souvenir lafaisait enrager.J’étais fourbue, effondrée dans ce lit entre ces deux gredins. Madame nedaigna même pas me dire au revoir et me remercier me montrantostensiblement son cul. Monsieur me raccompagna mine chagrine. Ilaffectait de m’avoir trouvé un peu mollassonne. Il ne voulut pas que jefis de toilette et enleva un peu sperme dans mes cheveux. Il ditsentencieusement au chauffeur qui allait me raccompagner : “Marcelramenez cette pute à son mari. Je vous enjoins à vous servir de même decette créature. canlı bahis siteleri La putain est gratuite aujourd’hui.” J’étais humiliée.Dans le rétroviseur il m’observait la mine narquoise. Sans fard ilreconnut que ses patrons étaient deux gros salauds et que j’avais dumérite à être demeurée une nuit avec eux. Finalement cet employé modesteme réconciliait avec l’Humanité. Tout le monde n’était pas pourri.Cependant il n’en voulut pas moins une pipe. Je la fis volontiers.L’homme m’était sympathique même si dans sa jouissance il ponctua demots insanes son propos. Il me dit qu’une autre fois avec du temps qu’ilm’enculerait. Je sortis du véhicule emplie de cette promesse.J’étais pas folichonne à voir. J’avais la bouche encore emplie du spermedu chauffeur. Celui-ci avait fort insisté que je ne recrache rien sur labanquette de sa substance. Il était le genre maniaque. Il m’avait jetésans ménagement hors du véhicule de peur qu’on ne le vit avec une femmede mauvais genre. En effet à m’examiner on eût remarqué outre mon cheveuen bataille, des parcelles de foutre maculant tout mon visage et puiscoulant hors des orifices sur toute la longueur de la cuisse. Mesvoisins s’exclamant :”On ramène la pute !”Je n’étais pas cependant au bout de mes peines. Je n ‘aspirais qu’à unedouche et à entrer dans mon lit. Aussi crus-je renaître sous l’eauchaude du jet. Il me fallait effacer tout le péché de la nuit. J’avaisenvie de me pelotonner auprès du mari qui ronflait là-bas. Chancelanteet la tête engourdie je dus admettre qu’il y avait à côté de mon mari,une autre personne. Ce devait être une femme. Je reconnus malgré lapénombre cette autre immonde salope qu’était sa secrétaire. Il avait eule front de d’amener ce jour, cette pécore dans notre lit. J’enrageais.Sans ménagement je réveillais monsieur. Sans crier gare, je pris sonsexe dans ma bouche avec une avidité hors du commun. Je n’avais cure quecelui-ci sentit la chatte de sa voisine, la maudite secrétaire. Vingtminute plus tôt je suçais la bite du chauffeur. Cette nouvelle annéedébutait sous de joyeux auspices. Mon mari au départ interloqué souritdevinant manifestement mon ire à l’égard de l’autre couchée à ses côtéset qui à présent émergeait. Celle-ci sourit de même reconnaissant sousmes traits une épouse. Elle voulut participer.Ce fut ainsi une orgie improvisée dans la lumière blafarde de l’hiver.Mon mari tout en me traitant de pute m’enculait tandis que sa secrétaireaprès que m’avoir dévoré la bouche avec la sienne, m’offrait sa chatteet son cul à lécher. J’étais au summum de la jouissance. Tout était sansdessus-dessous. J’étais pris de vertige. Nous baisâmes une heure durantnous écroulant enfin en combattants vaincus, repus. Relativement épuiséepar ces émotions je m’endormis. La garce en profita pour s’enfuir. Jecrois que revenue à moi elle aurait pâti de ma fureur.A mon éveil je vis un mari de bonne humeur. Il m’avait préparé un repascomme pour se faire pardonner. De même et afin que je ne m’engageas pasdans des reproches il me demanda à lui conter ma nuit avec le patron.Par là il me signifiait qu’il avait voulu compenser le prêt de sonépouse par l’accueil d’une maîtresse dans son lit. Match nul. Je dusconvenir et sourire que cela nous ferait des souvenirs. Que je n’avaisguère était autant sauter en si peu d’heures. Ma réputation était sauve.Je confirmais pour finir qu’une prime lui serait échue. Tout était bienqui finissait bien.

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Histoire d’un fantasme

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Amateur

Histoire d’un fantasmeIl était dans l’autre pièce … J’avais tellement envie de le rejoindre … J’ai tout fait pour résister mais en vain.Je sortis de ma chambre et me glissa à côté de lui.Il se releva d’un coup en me demandant ce que je faisais la.<>, lui dis-je d’un air espiègle.<> me répondit il.Je n’en pouvais déjà plus ! Mon corps était en feu et le fait de le voir simplement vêtu de son boxer me mettait dans tous mes états.Il était si beau avec son air tiraillé entre le fait qu’il avait clairement envie de moi (vu la bosse qui était bien visible malgré son unique vêtement) et le fait qu’il avait une femme.Sa peau frémissait d’excitation et cela faisait encore plus ressortir ses pectoraux …Je décidais de me mettre à califourchon sur lui et de l’embrasser à pleine bouche. Il n’y mettait pas du sien au début, puis je sentis une main venir pousser délicatement contre ma nuque et nos deux langues vinrent s’entrelacer. Il glissa sa deuxième main sur ma fesse tandis que je glissait la mienne sur son caleçon déformé par le désir …<> me dit il à l’oreille.<> lui répondais je avec un illegal bahis petit sourire.Puis je quittais ses lèvres pour son cou que je mordis délicatement et sur lequel je laissais courir ma langue ce qui lui donna de petits frissons.Je continuais mon exploration et j’attaquais maintenant son torse …Je caressais ses pectoraux musclés et lécha ses tétons. Je continue à descendre et arrive à l’objet de mon désir … Ce boxer était décidément de trop !Une fois son unique vêtement enlevé je vis son engin droit comme un I mon sang ne fit qu’un tour et je l’engloutit d’un seul coup !Je repris mes esprits et essaya de me calmer un peu. Je faisais de lents et longs va et vient qui avaient vraiment l’air de lui plaire. Il me regardait faire et m’afficha un sourire tendre qui me fit lui en rendre un plus radieux encore.Puis je pris son sexe en main et commença à le branler tout en l’embrassant puis je me servis de mes mains pour moi. Tout en le suçant je me caressais le clito de plus en plus rapidement. J’étais trempée !Je continuais mes va et vient tout en tournant ma langue autour de son gland. Il me caressait les seins en même temps et pinçait doucement mes tétons, ce qui avait pour effet illegal bahis siteleri de m’exciter encore plus.J’accélérais le rythme et sentis son chibre devenir encore plus dur !Il glissa ses mains sous mes bras et me fit remonter vers lui. Il m’embrassa de nouveau à pleine bouche.<> me dit il le regard fiévreux de désir.Je m’allonge donc sur le dos et le laisse faire ce qu’il veut de moi … Il marqua une petite pause devant mon corps nu offert à lui.Il était si beau, droit devant moi, les yeux remplis d’excitation.Il m’embrassa tendrement et descendit sur mes seins. Il lécha mes tétons et les mordilla ce qui me fit avoir un frisson dans tout le corps.Il descendit plus et arriva devant mon sexe ouvert et commença à lécher doucement mon clito. Puis entendant mes gémissements il accéléra le rythme, je me cambrais et frissonnait d’excitation, il me retint par les cuisses et j’attrapais ses mains dans les miennes.Quelques secondes plus tard, j’avais joui. Il était vraiment doué avec sa langue !Il revînt à ma hauteur et me fît me goûter en m’embrassant et mon dieu, cela m’excita encore plus !Il s’assit sur le canapé et je me mis de nouveau à califourchon canlı bahis siteleri sur lui. Il positionna son sexe à l’entrée du mien et je m’y empalais dans un râle de plaisir ! Je commençais à monter et descendre sur son énorme engin quand je sentis ses mains venir me plaquer sur son torse pour ensuite aller sur mes fesses. Il prenait les choses en main !Il fit de très rapides et puissants va et vient, ce qui me fis jouir à une vitesse incroyable. Afin que je ne fasse pas de bruit, il me fit comprendre qu’il voulait mes lèvres. Il m’embrassa et me mordit la lèvre inférieure. Je lui rendit l’attention un peu plus fort. Il me fit un sourire presque carnassier ce qui m’excita encore davantage. Mon dieu, je n’avais jamais autant mouillé !<> me dit il d’une voix suave.Je me mis à quatre pattes et attendit de sentir ce vide en moi être comblé par sa grosse bite. Il ne se fit pas prier et me pénétra d’un coup sec, ce qui m’arracha un petit cri.Il fit de rapides aller retours et cette brutalité soudaine n’était pas pour me déplaire, bien au contraire. Je pris son rythme et me mit à donner des coups de reins pour qu’il aille au plus profond de moi. Il m’attrapa par les cheveux et ramena ma tête vers son visage. Il m’embrassa tout en continuant de me ramoner. Lorsque je sentis son sexe gonfler je me retirais de son sexe pour le prendre profondément en bouche. Il déversa sa semence dans ma gorge. C’était tellement bon !FIN

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VU SUR LE NET: L’asservissement De Laure EP7

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VU SUR LE NET: L’asservissement De Laure EP7L’asservissement De LaureEpisode 7: Dans Les VestiairesPar Master Freeze(Episode écrit en collaboration avec Etienne.)Le réveil résonna dans sa tête. Il était l’heure de se lever. Laure émergea sans joie d’un sommeil sans rêve. Elle se souvint du jour de la semaine et son cœur se serra. Le vendredi était arrivé. En fin de matinée aurait lieu le prochain cours de gym. Le premier depuis qu’Orane l’eut surprise dans les vestiaires, il y’a de cela quinze jours maintenant. L’incroyable soulagement éprouvé lorsqu’elle avait appris que le cours de la semaine dernière était annulé s’était complètement estompé. Mme Jacquet, sa professeur d’EPS était rétablie de sa grippe, et à présent aucune échappatoire n’était possible. Elle allait devoir exhiber face à toute la classe son sexe rasé.La veille au soir, Orane lui avait téléphoné. Laure, effondrée, avait tenté sans grande conviction d’infléchir la volonté de sa maîtresse, en lui demandant si elle pouvait se faire désormais porter malade pour les cours d’éducation physique. Mais la réponse l’avait immédiatement remise en place :” Pour qui tu te prends, petite chienne ? Tu crois être en position de négocier ? ” Elle n’avait pas oublié les paroles de la perverse asiatique. ” Il faut te rendre à l’évidence : c’est demain que ta nouvelle condition éclatera aux yeux de tous, et je compte sur toi pour être à la hauteur. Tu n’as pas intérêt à te dérober. Essaie de cacher le moindre détail, et j’exhibe les photos que tu connais. “Laure ne put s’empêcher de balbutier bêtement :” Mais comment je vais expliquer ça quand les autres filles me le demanderont ? ” Orane éclata de rire. ” Tu tiens à raconter que c’est moi qui t’ai épilée dans le cadre de ton dressage ? ” Laure rougit à cette seule évocation : ” Non, avait-elle humblement répondu, je ne préfère pas, si vous m’en laissez le choix. ” Orane avait répliqué, avec une pointe d’impatience qui fit frissonner son esclave : ” Alors t’as qu’à leur raconter que tu as fait ça pour exciter les mecs. ” Les larmes vinrent aux yeux de Laure quand elle s’entendit protester : ” Mais… tout le monde sait qu’en ce moment, je n’ai pas de petit copain. ” La réponse fut un aboiement exaspéré : ” Mais qu’est-ce que tu peux être gourde, c’est pas croyable ! Incapable d’inventer le moindre mensonge ! Et puis qu’est-ce que tu veux que ça me foute, c’est ton problème après tout. Enfin… puisqu’il faut tout te dire… tu expliqueras que t’as perdu au strip-poker contre des copines et que comme gage t’as dû te laisser raser la foufoune. “Laure sursauta à cette évocation : c’était plus humiliant que tout ! Elle voulut demander à Orane de revenir à sa première option, mais les mots se bloquèrent dans sa gorge lorsqu’elle entendit sa maîtresse lui lancer :” Ce week-end, je vais te donner cinquante coups sur tes grosses fesses, ça t’apprendra à faire ta mijaurée et à importuner ta maîtresse pour des détails. “Toute velléité de résistance quitta Laure, qui, se souvenant de son statut et de son contrat, répondit doucement :” Merci de veiller à mon éducation, Mademoiselle. “Elle entendit Orane ricaner, ce qui la soulagea. C’était le signe que sa Maîtresse était satisfaite et ne chercherait pas dans l’immédiat à majorer sa sanction. Puis cette dernière ajouta :” Dès demain matin, tu amèneras toi-même l’instrument qui me permettra de marquer ton cul. Et tu n’as pas intérêt à te foutre de moi : si j’estime que tu n’as pas choisi quelque chose d’assez cinglant, je t’envoie cul nu dans un sex-shop pour acheter un martinet. ” Laure répondit, comme mue par un automatisme : ” Bien Maîtresse. ” Orane poursuivit sur sa lancée : ” Je te conseille de t’épiler convenablement pour demain. Que je voie un seul de tes poils de cul dans le vestiaire, et je garantis que tu le regretteras. Au fait, pour l’occasion, tu enfileras l’une de tes grosses culottes de coton, tu sais, les blanches à pois roses, ça coïncidera mieux avec ton sexe de petite fille. “Laure subit une nouvelle bouffée de honte. Orane, qui avait intégralement fouillé sa lingerie, était tombée sur deux de ses vieux slips de gamine qui traînaient au fond de son armoire depuis plusieurs années, et qu’elle avait oublié depuis. A cette découverte, l’Asiatique avait longuement plaisanté les goûts vestimentaires de son esclave, avant d’ordonner :” Ne les jette pas, garde-les. Tu les mettras quand je te le demanderai, ça me fera trop marrer de te voir te dandiner comme une gourde avec ces grosses culottes. “A présent, il allait falloir en porter une devant toutes les filles de la classe avant de leur montrer son sexe glabre ! Laure en fut d’autant plus bouleversée que, vis-à-vis de ses camarades, elle s’efforçait toujours de soigner sa lingerie.Pour clore la communication, Orane avait ajouté :” Pas de soutien-gorge non plus ça complètera ton portrait de petite fille, je veux voir tes grosses loches partir dans tous les sens pendant tout le cours de gym, pour que ça attire l’attention sur toi. Et estime-toi heureuse que je ne te fasse porter aucune inscription sur ton cul, ton sexe ou tes pis de vache. ” Laure remercia et raccrocha. Elle espérait au fond d’elle que la nuit lui porterait conseil.Mais à présent le matin était venu sans qu’elle ait trouvé la moindre échappatoire. Elle se disait que le seul moyen de se soustraire à l’emprise d’Orane serait de fuir la ville, mais elle n’avait nul endroit où aller, et ne se sentait pas non plus le tempérament d’une fugueuse. De plus, elle tenait à obtenir son bac, ce qui ne serait pas possible si elle quittait brusquement son lycée. Enfin, elle se voyait mal expliquer la situation à ses parents ou à ses amies. Si Orane apprenait sa délation, ou constatait son départ, elle distribuerait à tout l’établissement ces photos si compromettantes. Laure n’oserait plus jamais revenir dans la région, et elle manquait de perspective, d’imagination, pour projeter de mener sa vie ailleurs. Sa jeunesse dorée ne l’avait jamais préparé à cela. Le pis-aller était d’attendre patiemment l’échéance du bac.Elle avait toutefois puisé suffisamment de courage au fond elle pour tenter une dernière fois de convaincre Orane de la laisser proposer l’explication de son choix quant à son épilation. Elle voulait s’inventer un mystérieux petit ami, et laisser les filles croire qu’elle avait cela pour lui, par amour. C’était à ses yeux la meilleure option. Cela n’empêcherait pas les ragots de circuler, mais la plupart de ces camarades étaient d’incurables romantiques convaincues que l’on pouvait tout faire pour l’ ” Homme de sa vie “… Oui, c’était indéniablement la solution la moins catastrophique pour son image.Mais il restait à convaincre sa tyrannique maîtresse. canlı bahis şirketleri Pour cela, elle avait longuement répété dans sa tête le petit speech qu’elle lui récita à la grille du lycée, avant le début des cours : ” Bonjour Mademoiselle, je vous ai apporté la… cravache que j’utilise pour l’équitation. La minable traînée que je suis espère que cela vous conviendra pour marquer mon gros cul. Je… Je vous suis très reconnaissante po… pour ces cinquante coups… qui m’aideront à être une chienne plus dévouée pour sa Maîtresse. ” Malgré sa détermination, Laure ne put empêcher sa voix de trembler. Elle savait que la morsure de la cravache était particulièrement douloureuse. Elle craignait de ne pas pouvoir en supporter autant. Orane sentit ce trouble chez la jeune fille. Elle comprit rapidement que si cette petite garce cherchait si vilement à lui plaire, c’est qu’elle avait quelque chose à lui demander. En souriant, elle demanda à Laure d’ouvrir son cartable et de lui monter l’instrument : ” Bien, cela va te faire très mal, tu t’en doutes… Et qu’oses tu espérer en retour, pauvre petite pute ? ” Laure fut déstabilisée en un clin d’œil d’être aussi transparente devant la belle Asiatique. Elle ne put que bredouiller piteusement sa requête, les larmes aux yeux, en suppliant :- Je vous en supplie, Mademoiselle, s’il vous plait, je serais sage, je vous le jure, je serais une gentille chienne…Laure entendit ces mots comme quelqu’un d’autre les prononçait. Les yeux baissés, elle entrevit le sourire moqueur d’Orane.- Soit, lui annonça-t-elle à sa grande surprise, je suis de bonne humeur ce matin. Tu pourras t’expliquer à ta guise.- Oh, merci ! Merci, Mademoiselle- Mais de rien, Laure, tu auras l’occasion de me remercier de ma bonté après le cours d’EPS. En nettoyant mes baskets. Avec ta langue, bien sur, paillasson ! – Je… Oui, Mademoiselle, ce seras fait… Avec plaisir. Merci.Laure garda la tête basse tandis qu’Orane s’en alla rejoindre le cours de Philo. Elle était loin d’être soulagée, la facilité avec laquelle Orane avait cédé l’inquiétait. Elle se rendit en classe lentement, se demandant quel coup tordu lui réservait sa perfide ” camarade de classe “.La jolie lycéenne eu beau avoir toute la journée pour s’y préparer, le cours de gym de dernière heure fut encore pire ce qu’elle attendait. Le temps s’était radoucie, et toutes les filles de sa classe s’étaient mises en tee-shirt. Orane l’avait encouragé d’un regard noir à faire de même, et on pouvait deviner l’auréole sombre des tétons à travers son fin maillot blanc. Comble de malheur, Mme Jacquet avait prévu pour exercice une séance de stepping, et chaque mouvement faisait bouger outrageusement sa lourde poitrine libre. Tous le monde se rendit ainsi compte qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, et elle surprit quelques garçons échanger des commentaires en ricanant à voix basse. La lycéenne ressentait une douleur lancinante au niveau de ses épaules et de seins malmenés par ce traitement. Orane s’était placée à ses côtes, et l’encourageait discrètement à ne pas mollir : ” Allez, gosse vache, du nerf ! Suis bien le rythme, n’ais pas peur d’agiter tes mamelles. “A la pause, la jeune fille était écarlate, autant à cause de l’effort que de la honte qui la submergeait. C’était la première qu’elle connaissait une telle humiliation en public. Elle avait le sentiment d’avoir été exposé comme une bête de foire. Lorsque sa professeur d’EP la prit un instant à l’écart durant la pause pour gentiment lui conseiller d’adopter pour la gym des sous-vêtements de maintien adaptés, la ravissante déléguée souhaita disparaître dans un trou de souris. Elle ne put qu’opiner, la tête rentrée dans les épaules. Mme Jacquet lui fit un petit sourire, étonnée de la voir ainsi et la changea d’activité sportive pour le reste de l’heure. Pour ses professeurs, elle gardait l’image d’une fille de bonne famille hautaine et un peu prétentieuse qui ne pouvait s’empêcher de critiquer ses enseignants à chaque conseil de classe. Laure fut sincèrement reconnaissante de la compréhension dont semblait malgré tout faire preuve sa prof, mais cela ne lui laissait qu’un répit avant le pire. Et lorsque la cloche sonna, Laure se dirigea vers les douches avec le sentiment d’aller à son propre enterrement.Les vestiaires étaient une pièce carrée dont trois des murs étaient occupées par des bancs et des portes-manteaux. Laure se dirigea vers une place libre, à l’opposée de la salle des douches. Le front empourpré, elle se mit face au mur et commença à retirer son tee-shirt. L’adolescente pouvait sentir les regards braqués dans son dos. Au milieu des brouhahas des conservations, elle perçut distinctement un bref raclement de gorge. Orane la rappelait à l’ordre, et lentement son esclave se tourna face à ses camarades de classe. L’Asiatique jubilait de voir sa rivale de toujours aussi désemparée, froissant nerveusement son maillot en tentant d’éviter les regards des autres filles. C’était encore mieux que dans ses rêves les plus fous. Bien sur toutes les filles mourrait d’envie de savoir pourquoi leur déléguée n’avait même plus un soutien gorge à se mettre pour le sport, mais personne ne faisait encore la moindre remarque. Laure était encore connue pour avoir la répartie facile, et il ne valait mieux pas se la mettre à dos si l’on espérait encore être invité à une fête lycéenne. Mais même les membres les plus fervents de sa petite cours d’autrefois, comme Nathalie ou Ludivine semblait se poser des questions. Toutefois, lorsque Laure enleva son short et qu’elles aperçurent cette fille toujours si élégante boudinée dans une culotte blanche à pois rose visiblement destiné à une enfant, ce fut trop. Ce fut d’abord quelques timides ricanements, mais bientôt toutes les occupantes du vestiaire se mirent à rire franchement. Claire, une jeune rouquine constellée de taches de rousseur lui demanda si sa garde-robe avait flambé. Laure ne sut que répondre, elle semblait avoir perdu tous ses moyens. A présent, les jeunes filles s’étaient toute dévêtue et se dirigeaient vers les douches. Orane lui assena le coup de grâce :” Et tu comptes le garder pour te laver, ça fait aussi maillot de bain ? “Les lycéennes se remirent à rire, et tous les regards se braquèrent vers elle. En retenant ses larmes, Laure se tortilla pour retirer sa ridicule petite culotte. Comme Orane lui avait ordonné, elle ne fit pas un geste pour se dissimuler. Et l’hilarité générale repris de plus belle.- A mon avis, il n’y a pas que sa garde robe qui a flambé se moqua Samia,- Tu m’étonnes repris une autre fille, elle en a même perdu tous ses poils dans l’incendie !- Je comprends mieux la culotte de petite fille, maintenant reprit Claire. – Non, sérieusement, canlı kaçak iddaa pourquoi tu as fais ça ? questionna Nathalie, un peu gênée de voir cette fille qu’elle admirait ouvertement en si mauvaise posture.Laure prit sur elle pour sortir son boniment d’une voix claire et ferme. Orane la laissait dire en silence, et Laure, mise en confiance, broda à l’envie sur un nouveau petit ami tellement beau, attachant et sensible qu’elle n’avait pu refuser ce ” petit plaisir ” au ” nouvel amour de sa vie “. Au fur et à mesure de ses enjolivements, la jolie déléguée reprit confiance et retrouva ses attitudes d’autrefois. A force d’arguties et de jolies tournures, elle se sentait presque capable de retourner la situation, et en effet, ses camarades avaient fini de plaisanter à son sujet, et Laure retrouvait même dans certains regards une lueur de compréhension, et même d’envie pour cette ” si jolie romance “.” Mais au fait, demanda soudain Samia, qui est cette perle qui mérite tant de sacrifice ? ” Aïe, Laure n’avait pas prévu ça. Elle chercha à toute vitesse un nom quelconque, mais Orane lui coupa l’herbe sous le pied.” Moi je sais, dis la jeune asiatique jusque là silencieuse, c’est Richard Thomas ! Je les ai surpris ensemble il y’a 15 jours, ici même. “Laure comprit en une fraction qu’Orane l’avait joliment piégé. Richard est un gros garçon boutonneux, si laid et si bête qu’il était la honte du lycée (et probablement aussi de sa famille). Il était devenu une telle tête de turc pour les autres élèves que ses parents avaient été obligés de le changer d’établissement en cours d’année. Les réactions ne firent évidemment pas attendre : – Quoi ! Ce gros porc abject ! tu te moques de nous, Orane, fit claire, visiblement sidéré- Oui, allez Laure, dis-nous la vérité reprirent Ludivine et Nathalie en chœur.- N’est ce pas la vérité, Laure ? Vas tu me traiter de menteuse ? la défia l’Asiatique, prenant à parti toutes les autres filles.Laure était tétanisée, incapable de dire un mot. Elle comprit en un éclair à quel point Orane l’avait berné. Déjà, elle voyait sa rivale faire un pas vers son sac, d’où dépassaient les coins d’une large enveloppe kraft. Les photos. Si elle démentait, Orane n’hésiterait pas un instant à les montrer.” Je… Non… Heu, je veux dire… Si, c’est… C’est vrai lâcha-t-elle tristement. “C’était un cauchemar pour la jolie étudiante. Il était de notoriété publique que même si Richard Thomas était le dernier homme sur Terre, toutes les filles du Lycée préfèrerait devenir gay et laisser l’espèce humaine s’éteindre plutôt que de coucher avec lui. Elle-même avait beaucoup fait voir à ce pauvre garçon. Et maintenant, toutes les filles de sa classe pensaient qu’elle trouvait cette larve obèse ” irrésistible “, et était même aller jusqu’à se raser la chatte pour mieux l’exciter. D’après ses propres paroles. Elle comprenait mieux maintenant pourquoi Orane l’avait laissé sortir son beau baratin romantique. Comme une chasseuse cruelle, elle lui avait laissé entrevoir une porte de sortie avant de l’exécuter froidement. Du grand art.- J’en reviens pas ! s’esclaffa Claire, c’est lui ton ” prince au regard renversant “, un type qui porte des lunettes double foyers.- Incroyable, fit Nathalie avec une moue dégoûtée, tu es amoureuse du gros porc !- Après tout ce que tu lui as fait endurer, c’est dingue ! reprit Ludivine- Comme quoi, l’amour, la haine, c’est du pareil au même, ria une autre fille- Qui se ressemble finit par s’assembler ! Ou l’inverse, je ne sais plus.Les filles rirent tellement fort que Mme Jacquet passa la tête par la porte afin de leur demander de se calmer. Elle ne remarqua pas Laure, mais les rires reprirent du coup de plus belle. La professeur secoua la tête, résignée, avant de les laisser seules à nouveau. Maintenant, presque toutes les filles l’entouraient, se moquait d’elle. Nue, rasée, l’adolescente ne se sentait que plus vulnérable à leurs plaisanteries. Sa situation empirait à telle vitesse qu’elle se demanda si elle n’aurait pas mieux fait de laisser Orane montrer les photos, et de s’enfuir d’ici à toutes jambes. Mais encore une fois, elle s’était laissé porter par les évènements, et se maudissait de son manque de réactivité. Et lorsque Samia repris la parole, elle sentit que les choses allaient encore empirer. La beurette avait un caractère farouchement indépendant, et avais toujours vu d’un mauvais œil le côté ” reine du bal ” de la déléguée.- Moi je me souviens d’une fois où Laure nous avait proposé à Claire et à moi de rigoler un peu avec le gros porc…- Oui reprit Claire, je me rappelle. On l’avait coincé en salle de sciences, et Laure l’avait faussement accusé de lui avoir mis une main aux fesses et menacer de le dénoncer aux autres garçons.- Qui l’aurait sûrement massacré, ce pauvre gros.- Eh ! bien, il faut croire que maintenant elle aime ça, se faire peloter par Richard se moqua l’Asiatique- Oui, faut croire ! reprirent les autres. En attendant, le gros avait paniqué, et était prêt à tout pour éviter la correction. Alors Laure lui a fait faire le tour de la pièce, à quatre pattes, en grognant comme un porc. Couik, Couik ! C’était tordant.- Incroyable, alors comme ça Laure, tu lui as fait du chantage, toi, ironisa Orane en la fixant dans les yeux. Laure ne put que baisser encore plus la tête.- Ouais, acquiescèrent les lycéennes, c’est vraiment ignoble de faire ça à quelqu’un. Même si c’est Richard Thomas- En tout cas, maintenant, le gros porc a trouvé une amoureuse reprit Samia. Au fait, Laure, la fiancée du cochon, c’est pas la truie ?Ce fut le déluge, toutes les filles riaient, l’appelait ” Laure, la truie ” en imitant le cri de l’a****l. Samia et Claire se firent un clin d’œil, et l’empoignèrent avant le pousser dans les douches : ” Allez, la truie ! C’est l’heure du bain. ” Ainsi, bousculée, Laure tomba au sol. Deux de ses camarades la maintinrent à genoux en lui appuyant sur les épaules.” A ton tour de faire la cochonne, reprit méchamment Samia. Comme ton petit ami avant, ça me paraît normal, non ? Qu’est ce que vous en penser, vous autres ? “Toutes les filles acquièrent en riant. Laure commença à prendre peur. Les dernières révélations de Samia avaient définitivement retourné l’ensemble des filles contre elles. Déjà fusaient les insultes et les exhortations à obéir. La pauvre Laure craignait sincèrement qu’elles ne finissent par en venir aux mains. Elle n’arrivait plus à penser tant cela lui paraissait irréel. Comment toutes ses soi-disant copines pouvait-elles lui faire ça ? Comment avait-elle pu être déchu si vite ? Paniquée, elle ne voyait aucune issu, a part se plier à leurs exigences avant qu’elles ne lui fassent vraiment mal. Alors elle s’appuya sur les mains et canlı kaçak bahis commença à avancer autour des douches. Un coup lui cingla les fesses : une des filles avait roulé sa serviette de bain pour la fouetter. ” En couinant, la truie ! ” De surprise, Laure lança un petit cri perçant qui provoqua un enthousiasme général. Les filles formèrent une haie autour de son parcours, et chacune lui gifla les fesses d’un coup de serviette à son passage. Laure se pressait à 4 pattes pour éviter les coups, et au fur et à mesure que ses fesses lui cuisaient, elle couinait de plus en plus fort. Ses ” Hoink ! hoink ! ” stridents se perdaient au milieu des cris et des rires.Ses camarades de classe finirent par l’abandonné en larmes dans un coin des douches. Nathalie fut une des dernières à la quitter, la toisant de façon méprisante : ” Vraiment, je ne comprends pas comment on a pu traîner avec toi. Tu peux oublier mon numéro de téléphone, tu es vraiment trop nulle, en fait. “Laure resta recroquevillée sur elle-même pendant que les adolescentes se lavèrent et s’habillèrent, quittant peu à peu le gymnase. Elle continua de pleurer ainsi durant un long moment. Elle entendit soudain un bruit qui la fit se redresser. Orane la contemplait en silence, appuyer désinvoltement contre l’encadrure de la porte.- Elles sont toutes parties, si c’est ce que tu attendais dit finalement l’Asiatique.- Qu’est ce que tu veux encore ! lui cria Laure, laissant enfin exploser sa colère. Tu peux être contente, dès demain, tous le lycée sera au courant de ce qui vient de se passer. Ma vie va être un enfer ! Tu peux montrer les photos, si tu veux, je ne t’obéirais plus ! De toute façon, je ne vois comment cela pourrait pire, après ça !Pendant que Laure se libérait de sa colère et sa frustration, Orane s’approcha d’elle en la fixant des yeux, sans un mot. Lorsqu’elle fut tout près de Laure, celle-ci fit un geste pour le repousser. L’Asiatique s’empara de ses poignets et plaqua vivement sa bouche contre la sienne. En sentant la langue chaude et fine d’Orane envahir sa bouche, Laure se débattit plus férocement. Mais malgré son corps gracile, l’Asiatique était vive et énergique. Sans cesser de l’embrasser, elle réussit à immobiliser les bras de Laure dans son dos. Laure lui donna alors quelque coup de pieds, et réussit à la faire trébucher. Orane s’agrippa alors plus fortement à elle, et l’entraîna dans sa chute. Plaquée au sol, Laure ne put de nouveau empêcher Orane de l’embrassée. Imperceptiblement, elle cessa peu à peu de se rebiffer. Malgré elle, son corps réagissait à se baiser passionné. Orane relâcha son étreinte pour caresser le bas de son dos. Elle continua de picorer de baiser son visage, et lui caressa tendrement les seins. La jolie déléguée ne luttait plus, au contraire, son corps allait au devant des gestes doux de l’Asiatique. Elle sentit son ventre s’allumer d’un coup, se libérant brutalement l’excitation accumulée dans la journée. Orane lui murmura quelques mots à l’oreille : ” Tu n’as pas encore compris, n’est ce pas ? Ce n’est pas à cause des photos que tu m’obéis. Ce n’était qu’un prétexte pour libérer ce que tu cachais au fond de toi. Ce que tu avais si peur de t’avouer à toi-même que tu t’es protéger derrière un vernis de suffisance de prétention. Ce besoin de te sentir dominée, asservie, esclave… ” Laure essaya de protester, mais elle put lâcher qu’un long soupir de plaisir. ” J’aime te sentir comme ça, ajouta Orane, complètement fragile, complètement abandonnée ” Jamais Orane ne lui avait parlé d’une voix si chaude et douce. Encore sous le choc de ce qui venait de se passer, elle avait désespérément besoin de tendresse et d’affection. Et que ce doux réconfort vienne précisément de la personne responsable de ces tourments la troublait encore davantage. Oui, sa rivale avait raison. Malgré tout ce qu’elle pouvait dire, les épreuves de cette journée l’avaient terriblement excité.La tête d’Orane se glissa lentement entre ses cuisses, sans cesser de l’embrasser. Le simple fait de sentir la pointe de la langue de l’Asiatique se poser sur son clitoris déclencha en elle un orgasme violent. Orane accentua encore sa caresse, et Laure s’allongea sur le dos, la tête renversée, et s’abandonna sans plus aucune honte au plaisir qui continuait de l’envahir. Orane lui fit véritablement l’amour, sans aucune v******e, rien exiger d’elle. Laure fut traversée par des vagues de jouissance fantastiques. Quand elle fut enfin repue, elle se laissa délicatement laver en silence par son amante sous la douche. Laure était complètement déstabilisée par ses sentiments envers l’Asiatique. Elle avait éprouvé tellement de haine envers elle il y’a seulement un instant, et à présent… Elle se sentait reconnaissante, elle souhaitait lui plaire pour la remercier du bonheur qu’elle venait de lui offrir. Et le sourire mutin d’Orane qu’affichait en la dévorant des yeux n’arrangeait rien.” Tu commences à admettre l’évidence, n’est ce pas ? ” lui demanda-t-elle. Sans lui laisser le temps de répondre, Orane enchaîna : ” Je vais donc te rendre les photos, quand dis tu ? Puisque tu m’as dit ne plus vouloir me servir, elles ne me servent à rien. Reprends les, et tout sera fini entre nous. “Laure en resta sans réaction. Elle n’avait qu’à les reprendre et cela serait terminé. Plus d’ordre, plus d’humiliations. C’était une chance inespérée. Pourtant la déléguée ne fit pas un geste pour s’en saisir. Car cela signifiait aussi ne plus avoir de relations avec Orane, ne plus connaître les plaisirs de la soumission. ” J’ai envie de t’aimer, ajouta Orane en lui caressant le visage, de te donner du plaisir, que tu m’en donnes, mais aussi que tu me montres jusqu’où tu peux aller, que tu me montres que tu peux aller plus loin encore pour moi. J’ai envie de te faire mal quand je devine ton envie d’avoir mal. ” Cette déclaration acheva d’enflamma la lycéenne. Elle connaissait Orane depuis l’enfance, et pourtant elle ne l’avait jamais regardé ainsi. Elle était remplie de vénération pour cette fille si belle, autoritaire, intransigeante et douce à la fois. Toujours nue, elle se mit à genoux, les mains dans le dos.- Vous avez raison, Mademoiselle. J’aime être une esclave, votre esclave… Je… Je crois que je vous aime. Je suis fière de vous appartenir.- C’est bien, il est bon qu’une esclave aime sa Maîtresse lui souri Orane. Je suis satisfaite de ton comportement, tout à l’heure. Tu as déjà bien été punie, je vais donc lever ta sanction. Tu ne seras pas cravaché. Mais, par contre, j’espère que tu n’as pas oublié ta promesse de remerciement ?- Non, Mademoiselle. Laure parue hésiter un instant puis ajouta : Aurais la permission de vous lécher après, s’il vous plait Maîtresse ?- On verra rit Orane, si tu as bien travaillé, peut être…Et c’est avec un air gourmand que Laure rampa lécher les baskets de Mademoiselle pour les nettoyer. Lorsque les deux adolescentes quittèrent enfin le gymnase main dans la main, la nuit était tomber depuis longtemps.

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