Seconde aventure biarrotte.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

Seconde aventure biarrotte.Je vous ai narré, il y a déjà quelques temps mes aventures biarrotes. Je pense qu’il est temps pour moi d’y ajouter une suite. La voici.Petite précision qui a tout de même son importance, durant tout ce temps, je suis restée en contact avec le couple biarrot.Cette année, encore, je suis partie en vacances chez ma fille et il se trouve que durant ce séjour, s’est déroulée la « Marche des fiertés ». L’occasion est trop belle pour que Delphine n’y fasse pas sa réapparition. Par ce beau samedi ensoleillé, je revêts ma plus belle parure. Une minijupe blanche, un string de même couleur et un chemisier rouge pour être aux couleurs locales. Une coiffe blonde à la coupe garçonne me servit de coiffure. Je chausse mes escarpins à petits talons rouges à lanières blanches. Sur le coup de onze heures, je me rends sur l’esplanade du phare où est situé le lieu de ralliement. Après avoir fait le tour des stands, je vais m’asseoir sur un des bancs situés à l’ombre. J’en suis à observer le va-et-vient des gens qui se regroupent, quand j’entends une voix qui dit : « ne serait ce point notre amie Delphine ? » Je me retourne et je vois arriver un couple de femmes. Quelle n’est pas ma surprise de me retrouver avec le couple de l’aventure précédente. Cependant quelque chose a changé. Il ne me faut que peu de temps pour comprendre ce dont il s’agit. L’homme que j’ai connu est à présent une ravissante jeune femme. Je me lève et vais leur faire la bise, comme si l’on s’était quitté la veille. Très vite, m’est donnée l’explication à cette mutation. Mon amie Maïté me raconte que son homme, Daniel, prenant de plus en plus de plaisirs à se comporter en femme, qu’ils ont entrepris de le faire suivre par un psychologue afin qu’il entame un traitement hormonal pour le féminiser. Les démarches administratives sont lancées pour le changement de prénom et de sexe soient pris en compte par l’administration. Désormais Daniel ne se prénomme plus Danielle comme par le passé mais porte le doux prénom d’Alicia. Je suis d’autant plus heureuse de les retrouver que deux pensées traversent mon esprit : je ne serai pas seule pour participer à cette journée mais en plus que connaissant les deux luronnes, je ne vais pas m’ennuyer de la journée. Il est l’heure de prendre l’apéritif. Nous nous dirigeons vers le bar, commandons une sangria et retournons nous asseoir sur un banc. Tout en sirotant nos verres, nous papotons comme de vieilles amies.Maïté me prend par la main et m’entraîne dans un creux taillé à même le rocher et dissimulé de la vue, Alicia nous suit un pas derrière nous. Je comprends très vite que c’est, dorénavant, sa place quand sa femme est accompagnée comme c’est le cas. Arrivées dans la grotte, Maïté me plaque dos à la paroi, relève ma minijupe et s’empresse de caresser mon clito. Très vite, il prend forme. A ce moment là, elle appelle Alicia et lui intime l’ordre de me sucer. Cette dernière se met à genoux et commence sa douce succion. Tout d’abord lentement, puis en accélérant le mouvement, avant que de ralentir et de ré accélérer. Ce traitement me met rapidement dans tous mes états. Me sentant prête à défaillir, Maïté vient me bâillonner de sa main pour étouffer mes cris de jouissance. Je me répands dans la bouche d’Alicia qui n’en demande pas tant. Je peux constater à cet instant qu’elle ne bande quasiment plus, son clito restant recroquevillé sur lui-même. Voila à quoi se réduit le rôle d’Alicia désormais, elle suce les queues de mes amants ou les chattes de mes amies de cœur, et elle offre sa chatte, me dit Maïté dans un sourire. S’adressant à Alicia, elle lui demande de me présenter sa chatte, pour que je puisse constater l’élasticité qu’elle a acquise. Celle-ci s’exécute sans rechigner, me permettant de palper le galbe de ses petites fesses. Il n’est pas encore midi et les jeux ont déjà débutés.Nous rejoignons la baraque à sandwiches et servies, nous allons nous installer à une table. Nous devisons tout le temps que dure le repas, ne nous interrompant que pour saluer des connaissances de mes amies. Alicia va chercher les cafés que nous dégustons tranquillement. L’esplanade se remplit peu à peu. Pour nous mettre en jambes avant la parade dans les rues de Biarritz, nous avons droit à un concert, au cours duquel, Maïté m’apprend que la Dj est une transsexuelle. Au bout d’un certain temps le cortège se forme et nous voila parties pour une déambulation dans les rues de Biarritz. A l’issue de ce périple, le cortège se disperse après que les organisateurs nous aient remerciés de notre participation et nous rappellent que différents lieux nous attendent pour poursuivre la fête. Maïté me demande alors si j’ai quelque chose de prévu. Ma réponse fuse instantanément « non ». C’est génial, enchaîne-t-elle. Ca te dirait de venir à la maison ? Ne voulant pas m’imposer, je fais semblant d’hésiter, ce que Maïté transforme aussitôt en un oui enjoué. Nous regagnons la voiture. Au moment de monter, Alicia demande la permission de faire un petit pipi. Maïté le lui accorde en lui rappelant quelle doit être sa position. Sitôt dit, sitôt fait, Alicia s’accroupit entre deux voitures et un jet d’urine jaillit de son clitoris et inonde le bitume. Entretemps, Maïté a ouvert le coffre de son monospace et je découvre qu’il est équipé d’une cage. Son pipi terminé, sans dire un mot, Alicia rentre dans la cage. Maïté referme la porte et nous partons.En cours de route, Maïté me caresse les cuisses. Ce geste doux et appuyé à la fois me donne des frissons. Alors que nous sommes arrêtées à un feu, Maïté me dit « j’ai envie de toi, maintenant, je veux que tu me prennes sur le champ ». Elle roule encore quelques minutes avant que d’engager le véhicule dans une allée forestière. Là ; elle se jette littéralement sur moi. En un instant, elle déboucle sa ceinture, descend, en fait le tour, ouvre ma portière, remonte ma jupe et prend mon clitoris dans sa bouche. Je suis collée au siège, jambes écartées, tandis qu’elle me fait une superbe fellation. « Descends et prends moi, baises moi, défonces moi, je te donne tout, ma bouche, ma chatte et mon cul ». Je m’exécute et me voila en train de planter mon clitoris dans sa chatte, déjà bien mouillée. Je m’enfonce en elle. Elle tend ses fesses au devant de mon organe, cherchant à le prendre toujours plus profondément en elle. Je suis obligée de la refreiner pour ne pas exploser immédiatement. Je me désengage de sa chatte, me relève légèrement et viens me planter dans son cul. Cette salope ondule des reins en m’emprisonnant. A présent, c’est elle qui rythme notre rapport. Je sens ses muscles se resserrer. Au bout d’un moment, n’en pouvant plus, je lui dis que je suis sur le point d’exploser. Je me retire d’entre ses reins et c’est dans sa bouche que je finis par jouir. Ma cyprine se répand sur sa langue. Durant un laps de temps, elle joue avec mon jus avant que de l’avaler telle une assoiffée à l’issue d’une traversée du désert. Comme si de rien était, nous réajustons nos tenues pour ne pas attirer l’attention, direction la villa.Dès mon arrivée, je peux constater que les pièces ont été réaménagées. Le donjon, entre autre, est passé d’un coin du salon au garage qui du coup a été agrandi. Il est équipé de nouveaux appareils dont je ne me souvenais pas. Maïté me fait visiter tout en m’expliquant qu’elle reçoit de plus en plus souvent des adeptes des plaisirs sados masos, tout en restant dans la discrétion la plus totale, l’info ne passant que par le bouche à oreille. Dans cette nouvelle fonction de dominatrice, Alicia sert régulièrement de cobaye ou d’assistante selon la demande.Dans l’immédiat, Maïté ouvre une cage dissimulée sous une banquette de molesquine noir dans laquelle Alicia entre sans rechigner. Nous voici toutes les deux. Maïté m’entraîne vers l’étage. Pour toi, aujourd’hui, pas de souffrances, que de la douceur et de l’amour. canlı bahis şirketleri Une porte est ouverte, nous nous engouffrons. Maïté me pousse d’un coup sec et me voila à plat ventre sur un grand lit. Maïté m’y rejoint et me dit « j’ai envie que nous fassions l’amour, que tu me baises avant que je ne te rende la pareille. Cette invitation, je ne me la fais pas répéter. Je me retourne en me redressant et assise, je commence à me dévêtir. Maïté m’interrompt. « Tu gardes ta lingerie, je te veux en dentelles ». « Bien Madame », que je lui réponds. « Pas de Madame entre nous ma chérie, Maïté me suffira amplement, surtout si tu me donnes autant de plaisirs que tout à l’heure dans le bois ». Dans le même temps, elle s’est intégralement mise nue avant que de venir s’allonger à mes côtés. Son corps est toujours aussi magnifique. Elle m’attire vers elle et m’embrasse à pleine bouche. Nos lèvres s’entrouvrent et très vite nos langues se mêlent. Ses mains ne restent pas inactives bien longtemps. Très vite, elles partent à la reconnaissance de mon corps. Pas un centimètre de ma peau n’est oublié dans sa fureur. Mes petites fesses reçoivent caresses, pincements et petites claques. Ce traitement produit rapidement l’effet escompté par Maïté. Mon clito se sent bien vite à l’étroit dans sa prison. En un tour de mains, elle le libère en faisant glisser ma petite culotte le long de mes jambes. « Puisque tu veux que je te baise, ma chérie, tu me laisses prendre la direction de la manœuvre. Commences par t’allonger sur le dos en écartant bien tes belles jambes que je puisse admirer ta petite chatte ». Je rampe vers son objet de plaisirs, tout mouillé de désirs. Mon visage est à présent juste au-dessus de son minou. Je commence par écarter les petites lèvres de mes doigts. Je titille son petit bouton. Maïté se met à onduler du bassin. N’y résistant pas plus longtemps, c’est à présent ma langue qui s’insinue dans sa grotte. Ses mains appuient sur ma tête pour que je m’enfonce plus loin dans sa cavité. Très vite, je ressens sur ma langue le goût de son jus de femme. Je n’en perds pas une goutte, aspirant goulument tout ce jus dont elle me fait don. Je change de position. Je continue de remonter le long de son corps en déposant de petits bisous sur sa peau. Je m’attarde sur ses seins que j’aspire avidement pour en faire durcir les bourgeons. Au moment où ma bouche arrive à hauteur de son cou, je sens que mon clito frappe à l’entrée de sa chatte. Je me redresse, le prends en main pour mieux le guider vers l’intérieur. Une fois en place, tandis que j’entame de lents mouvements, ma bouche retrouve la sienne. A nouveau, nos langues se nouent dans des baisers humides et passionnés. Là encore, ses mains se plaquent sur mes fesses et appuient pour que je me plante encore plus loin dans sa chatte. Quelques longues minutes plus tard, je finis par exploser dans son calice que j’inonde de mon jus. « C’était excellent » me dit-elle « tu baises toujours aussi bien ». Je rougis de plaisir sous le compliment. Il n’en faut pas plus à Maïté pour inverser l’ordre des choses. Elle se lève, ouvre le tiroir de sa table de nuit et en sort un joli gode ceinture dont elle orne sa taille. Je comprends que c’est à mon tour de subir ses assauts. Elle vient se placer devant moi, le gode devant ma bouche. Je commence par le lécher sur toute sa longueur sans oublier de pomper les deux boules. Je continue en prenant le phallus de vinyle dans ma bouche. Par petits coups de reins, Maïté, l’enfonce de plus en plus loin dans mon palais. Un haut le cœur me fait comprendre qu’il vient de heurter le fond de ma gorge. Je deviens folle. Je le pompe bien à fond comme si ma vie en dépendait, tout en étant encouragé par les mots crus que Maïté prononce. Puis vient l’instant que j’attends, elle me fait mettre à quatre pattes, les épaules enfoncées dans les coussins. Elle vient se positionner derrière moi et après avoir tartiné ma rosette de gel, elle présente le gode à l’entrée de ma chatte. Cette dernière fait mine de résister, mais pas bien longtemps, car sous la pression qu’exerce Maïté, elle s’ouvre rapidement pour laisser pénétrer entre mes reins, ce gode avec lequel elle va me donner tant de plaisirs et me conduire vers la jouissance. Tout en exécutant son œuvre, Maïté se fait vulgaire, me traitant de tous les noms. Ce faisant, elle décuple mon excitation. Me sentant sur le point d’exploser, elle se retire un instant et vient passer sa langue sur ma rosette. A cet instant, je pense que je vais défaillir sous ses caresses mais il n’en n’est rien car très vite le gode revient se mouvoir dans mes chairs de femme qui s’abandonne. Cela dure un temps infini. Finalement, après avoir été bien ramonée, je finis par éclabousser les draps de mon jus. Ce jus que nous partageons ensuite, après l’avoir léché, dans des baisers fougueux. Histoire de nous remettre de nos émotions, nous restons immobiles toutes les deux, dans les bras l’une de l’autre. Maïté finit par regarder sa montre et me dit « le début de soirée s’est révélé prometteur, je te propose que nous allions délivrer Alicia pour qu’elle nous prépare un petit remontant avant que de poursuivre nos libations, ailleurs. La soirée ne fait que commencer et la nuit risque d’être longue, fais moi confiance ». Petit passage par la salle de bains pour nous rafraîchir et nous refaire une beauté et nous redescendons. Au pied de l’escalier, Maïté me dit « tu vas libérer notre petite soumise, ma chérie, je te laisse cet honneur ». Je ne me fais pas prier.Je me dirige vers le garage, ouvre la cage, et tandis qu’Alicia en sort, je lui dresse le programme de la soirée. Toujours à genoux, les yeux au sol, elle me demande alors comment elle doit m’appeler, je lui réponds « Delphine » tout simplement. Nous rejoignons Maïté dans le salon.Maïté m’invite à venir m’asseoir à ses côtés tout en intimant à Alicia de nous servir l’apéritif et de préparer quelque chose à manger. Quelques instants plus tard, Alicia revient, portant un plateau sur lequel se trouvent une bouteille de whisky, deux verres, un seau rempli de glaçons et quelques mises en bouche. Je me tourne vers Maïté et lui dit « Alicia ne trinque pas avec nous ? » Maïté me répond « normalement, lorsque je reçois, elle n’est pas admise, je vais donc faire une exception parce que c’est toi qui me le demande ». Se tournant vers Alicia, elle lui dit « tu as entendu, exceptionnellement, et à la demande de Delphine, je t’autorise à venir t’asseoir avec nous ». Alicia remercie Maïté qui ajoute « tu peux également remercier Delphine, c’est à elle que tu dois ce privilège ». « Merci infiniment Delphine » me dit-elle alors avant que de prendre place dans le fauteuil. Je me tourne vers Maïté et lui demande une faveur. « Laquelle » me répond-elle ? Je souhaiterais deux choses. « Lesquelles » me coupe Maïté ? Je prends sur moi et me lance : la première, qu’Alicia se mette entièrement nue devant nous, la seconde, que tu m’autorises à lui rouler une pelle en titillant ses tétons » Maïté acquiesce en me disant « tu es mon invitée, je ne peux rien te refuser » Dès qu’Alicia est déshabillée, je me lève, l’enserre dans mes bras et l’embrasse à pleine bouche. Alicia me rend mon baiser avant que de me laisser la caresser et jouer avec ses petits seins. Pendant ce temps, Maïté observe du coin de l’œil comment se comporte Alicia pour la réprimander le cas échéant. Je sens qu’Alicia est toute émoustillée par mes caresses, aussi, je m’arrête net, la laissant sur sa faim.« Au fait, Delphine », me dit Maïté j’ai quelque chose à te montrer. Elle se saisit de la télécommande de sa télévision connectée, fouille le disque dur, trouve le dossier qu’elle cherche et démarre la lecture. Qu’elle n’est pas ma surprise de me voir apparaître sur l’écran. Elle me regarde et me dit « tu ne te souviens pas que nous avions filmé nos jeux ? » Devant mon canlı kaçak iddaa air ahuri, elle ajoute, « si tu veux, je te fais une copie et j’y rajoute les images de nos ébats de tout à l’heure ». Je suis d’autant plus surprise que je n’ai distingué aucune caméra dans la chambre, mais je ne peux qu’accepter ce présent inattendu. Le premier film est à peine terminé, qu’elle enchaîne avec le suivant. Celui-ci n’est pas monté, je m’en occuperai plus tard. Ces images torrides nous mettent dans tous nos états, d’autant qu’Alicia les visionnent en même temps que nous et qu’elle découvre ce que nous avons fait pendant qu’elle était enfermée dans sa cage.« Et si nous passions à table » dis je. Excellente idée, renchérit Maïté. Nous allons nous contenter d’un repas léger car il faut que nous nous préparions pour notre sortie de tout à l’heure. Quelques charcuteries et un morceau de fromage, arrosés de rosé bien frais, plus tard, nous sommes repues et prêtes pour la suite des réjouissances.Maïté nous conduit vers un immense dressing. S’adressant à moi, elle me dit, « ma chérie, si tu veux te changer, ne te gênes pas, fais ton choix, j’ai tout un tas de fringues dans toutes les tailles, tu devrais pouvoir y trouver ton bonheur. Pour être en harmonie, toutes les trois, il serait bien que tu te choisisse une tenue en vinyle … » Me laissant seule, elle se dirige vers un coin particulier. « Pour toi, je sais déjà comment je vais te préparer » annonce-t-elle à Alicia. Je reste sans voix devant un tel choix. J’interpelle Maïté et lui demande « peux tu me dire où nous allons et si tu as une envie particulière pour ma tenue ? » Elle me répond « tu as entendu les annonces, au moment de la dissolution de la promenade, je te propose d’aller passer une partie de la soirée voire de la nuit dans un sauna, qu’en penses tu, Delphine chérie ? » Je ne peux qu’accepter cette idée. Je me décide donc pour une minijupe, un string, en cuir noir, un chemisier et un soutien gorge ouvert en vinyle noir que je complète d’une paire de bas auto-fixant avant que de choisir une paire de talons à plate forme et talons de 13cm. Cela fait, je demande à Maïté son avis. « Tout cela me parait très bien, ma chérie, mais il va te falloir une autre coiffure que celle que tu portes » Elle ouvre une porte et je découvre toute une collection de perruques. Là aussi, je n’ai que l’embarras du choix. Devant mon hésitation, d’autorité, Maïté en choisit une. Je serai donc coiffée d’une perruque mi-longue, brune. M’examinant, elle ajoute, ton maquillage ne va pas du tout, files dans la salle de bains et refais toi une beauté. Tu prends ce que tu veux. Tout ce qui est à moi est à toi. Je suis sur le point de quitter les lieux quand Maïté me rejoint menant Alicia derrière elle. Je découvre la tenue que porte Alicia. Un bustier en cuir noir à plusieurs attaches la comprime. Celui-ci est agrémenté d’une cage de chasteté qui la maintient en état de contrainte tout en laissant, sur le devant, ses seins libres de toute entrave, et derrière, ses fesses nues et disponibles. Maïté me dit alors « ce soir, nous sommes les heureuses propriétaires d’une pouliche que nous amenons au haras pour qu’elle y soit saillie par tous les étalons qui voudront bien la monter ». Sur l’air de la plaisanterie, j’ajoute « une pouliche ne doit-elle pas porter un mors dans sa bouche pour être guidée ? ». « Tu ne crois pas si bien dire », me répond Maïté. Je libère la place laissant Maïté peaufiner le maquillage d’Alicia. Cela prend quelques minutes mais le résultat est bluffant. Cette dernière porte à présent un harnachement de cuir sur la tête avec un mors qui lui barre la bouche. « A mon tour d’aller me préparer » me dit Maïté et elle ajoute « je te confie notre pouliche, vas la faire gambader dans le jardin ». Il faut un certain temps à Maïté pour se préparer mais quand elle apparaît, elle ressemble à s’y méprendre à une véritable cavalière de concours mais version cuir. A la main, elle tient un grand sac de sport dont elle sort un plug en acier agrémenté d’une superbe crinière noire. « Alicia mets toi en position » dit alors Maïté. Alicia s’exécute en prenant appui sur le montant de la portière, jambes écartées. Après quelques passages bien appuyés sur l’entrée de la chatte d’Alicia, Maïté fait disparaître la partie acier du plug entre les reins d’Alicia ne laissant, pendant de façon visible et obscène la crinière de notre pouliche. Maintenant que tu es équipée, tu montes dans la voiture, comme tu le fais d’habitude. C’est donc couchée sur le ventre, entre les deux sièges qu’Alicia prend place. Je m’installe sur le siège passager. Maïté monte à son tour et tout en bouclant sa ceinture, me demande si je veux bien remonter ma jupe sous mes fesses et garder les jambes ouvertes. N’ayant rien à lui refusé, j’obtempère, ce qui me vaut la réplique suivante « tu es vraiment toujours aussi cochonne, ma petite Delphine que j’aime ». « Le trajet ne doit durer que quelques minutes » me dit ensuite Maïté. Comme un fait exprès, chaque fois que nous arrivons à un feu, il passe au rouge. Maïté s’arrange alors pour se mettre sur la file de gauche de façon à ce que le conducteur du véhicule d’à côté, puisse bien nous voir.Ca y est, nous sommes enfin arrivées au club-sauna. Je suis la première à descendre, en laissant voir, comme me l’a demandé Maïté, le haut de mes cuisses et la lisière entre mes bas et ma peau. Une vingtaine de personnes ont donc tout loisir de m’observer, certaines n’hésitant pas à faire quelques commentaires. Les sifflets fusent quand Maïté sort à son tour. Par contre, le silence se fait quand, après avoir installé une selle sur le dos d’Alicia, et mis en place une plume sur son masque de cuir, nous la faisons sortir. Maïté me tend les rennes, et me voilà, faisant parader notre pouliche sous les yeux ébahis des témoins présents. Maïté lance alors à la cantonade : « cette pouliche est à vous pour la nuit, n’hésitez pas à la couvrir, elle adore ça, messieurs et si vous aussi, mesdames, êtes intéressées, j’ai avec moi quelques godes dont elle est friande » et d’ajouter « pour commencer, elle sera mise en exposition dans la cage puis vous sera livrée sur le sling » Autant dire qu’après une telle présentation, notre entrée dans le club ne passe pas inaperçue, loin s’en faut. Maïté règle le prix des entrées et nous franchissons le sas. L’arrivée dans le bar de notre équipage fait se retourner les têtes. Certains gens présents viennent nous complimenter pour l’originalité de la tenue d’Alicia. Delphine, ma chérie, commandes moi un whisky pendant que je mets notre pouliche en exhibition. Quelques personnes suivent Maïté et Alicia jusqu’à la cage. Maïté me confiera plus tard dans la soirée que si certaines personnes l’avaient félicité pour l’éducation donnée à Alicia, d’autres, au contraire, s’offusquaient de voir « un être » accepter un tel traitement. Les plus intéressés ne se firent pas priés pour palper la croupe de notre pouliche pour certains au travers des barreaux, d’autres n’hésitant pas à entrer dans la cage. Une dominatrice vint demander à Maïté, l’autorisation de prendre des photos d’Alicia, ce qu’elle accepta à la condition d’en recevoir un jeu dans sa broîte mail. Elles échangèrent donc leur adresse respective. Mais revenons à nous deux.Maïté me fait remarquer discrètement qu’un couple ne me quitte pas de l’œil. Je me tourne vers eux et leur adresse mon plus joli sourire. Il prend cela comme une invitation et vient se joindre à nous. L’homme se montre très intéressé par ma personne. La dame n’est pas pour me déplaire. Au fur et à mesure de l’avancée de la conversation, le monsieur se fait entreprenant. Maïté me souffle dans l’oreille que puisque l’affaire se présente bien pour moi, je n’ai qu’à les suivre, elle reste à proximité pour surveiller la pouliche dans son box. J’invite le couple à me suivre dans un des canlı kaçak bahis box situé à l’étage. Il accepte et nous voilà partis. Nous nous enfermons dans une cabine et je m’allonge entre eux. Très vite, les choses s’accélèrent. Je me retrouve à quatre pattes. La femme devant moi, remonte sa jupette, je plonge tête baissée vers sa petite chatte dont les poils dessinent un petit cœur que je trouve du plus bel effet, ce dont je m’empresse de lui faire compliment. Pendant ce temps là, le mari vient se placer derrière moi. Il baisse mon string et dépose des bisous sur mes fesses. Alors que je fais minette à la dame, je sens l’homme qui écarte mes fesses. Je sens le gel qu’il étale tout autour de ma chatte. D’un coup sec, après avoir enfilé une capote, il entre en moi et commence à me limer. Plus le temps passe, plus mes muscles se détendent, ce qui facilite grandement sa présence au plus profond de ma grotte. Son rythme s’accélère. Ses mouvements se font saccadés. Il finit par inonder le réservoir du préservatif et se retire. Il vient se positionner devant sa femme et celle-ci ouvre grand la bouche pour recevoir sur sa langue, tout son sperme. La dame s’allonge alors et me demande de la doigter. Je me positionne et commence par introduire un doigt, très vite suivi d’un second puis d’un troisième. Tandis que son homme nous regarde, elle me fait comprendre que trois doigts ne lui suffisent pas, elle réclame ma main toute entière. N’osant répondre, je me tourne vers le mari qui d’un regard me fait comprendre que je peux y aller, que sa femme apprécie d’être fistée. Je retire mes doigts, j’enduis ma main de gel et délicatement je m’introduis en elle. A l’intérieur mes doigts s’agitent, elle me dit alors « n’ai pas peur, enfonces toi plus loin encore ». Je m’exécute. Je plonge en elle si loin que mon poignet tout entier est avalé par cette moule aspirante. Je la pilonne à présent de mon bras que je plante quasiment jusqu’au coude. Soudain, elle pousse un feulement et se met non pas à jouir comme je m’y attendais mais à délivrer un flot de pisse. Je suis stupéfaite. Jamais jusqu’à ce jour, je n’avais eu à faire à ce genre de résultat. Le mari me dit alors que je ne suis pas au bout de mes surprises. En effet, l’épouse perverse après s’être relevée, se met à quatre pattes et nettoie le sol de sa langue, récupérant ainsi sa propre pisse. Ceci fait, nous nous posons quelques instants. En posant la main sur la queue de l’homme, je sens qu’il est prêt à remettre le couvert. Sa femme ne dit pas non. Nous voilà repartis. Il se positionne devant moi et m’intime l’ordre de lui tailler une pipe. Il va sans dire que je ne vais pas lui refuser ce plaisir. J’aime trop sentir une belle queue dans ma bouche. Madame ne reste pas inactive elle non plus. Elle entreprend de jouer avec mon clitoris. Elle le prend bien en bouche, passant sa langue partout me procurant ainsi des ondes de plaisir. Au moment fatidique, elle se retire et je jouis sur le skaï du lit. Elle change de position. A son tour, elle enduit ma chatte de gel et sans plus attendre, y enfonce trois doigts. Cette action a pour effet de me donner un petit coup de fouet et tandis que je poursuis ma pipe avec plus d’ardeur, c’est bientôt sa main qu’elle m’introduit. Elle n’hésite pas pour m’exciter davantage à m’insulter. Ces propos injurieux à mon égard jumelés à son pilonnage me revigore et retend mon clitoris. L’homme me demande de me retenir car s’il souhaite jouir dans ma bouche, il veut également se régaler de mon jus de femme. Nos libations terminées et contents de nous, nous libérons la cabine et je descends rejoindre Maïté. Je la retrouve dans la pièce où est situé le sling. Alicia y est allongée sur le dos, les pieds coincés dans des étriers, entourée par un groupe d’hommes. Le premier est planté en elle et la pilonne. Deux belles queues se partagent sa bouche tandis que ses mains ne restent pas inactives, s’employant à branler les bites de tout ce qui se présente. Maïté me dit alors discrètement « ma petite salope, j’espère que tu as bien pris ton pied, vu le temps que tu as passé avec eux ». Je lui demande alors « serais tu jalouse, ma chérie ? ». « Pas vraiment, mais j’apprécierai à mon tour de me faire tirer par de beaux mâles bien membrés, sans compter que je compte bien batifoler à nouveau avec toi » renchérit-elle. Peu de temps après, je vis Maïté disparaître à son tour, suivie par quatre jeunes éphèbes. Durant son absence, je prends sa place pour surveiller notre pouliche, qui au vu des commentaires que j’entends s’en tire excessivement bien. Quand Maïté fait sa réapparition, au bout d’un certain temps, si elle est décoiffée, son visage rayonne de bonheur. Je n’ose lui demander ce qu’elle vient de subir mais je devine qu’elle vient de prendre un super pied. De toute manière, je me doute qu’elle va m’en parler plus tard dans la nuit, quand nous serons rentrées. Il se fait tard, le propriétaire des lieux annonce que la fermeture a lieu dans une demi-heure. Nous commandons un nouveau verre et Maïté me propose de finir la soirée dans le jacuzzi. J’accepte volontiers. Verre à la main, nous allons libérer Alicia de ses liens, la dirigeons vers le vestiaire pour qu’elle ôte tous ses accessoires de pouliche. Cela fait, nous la mettons sous la douche. Enfin, toutes trois, nous pénétrons dans le bain bouillonnant. Les bulles venant chatouillés nos sexes respectifs nous remotivent pour d’autres jeux. Maïté vient se coller à moi et me dit à voix basse « tu vas voir ce que je te réserve pour la fin de la nuit ». Ces mots sonnent doux et je me penche vers elle pour lui rouler une pelle. Les derniers clients nous applaudissent avant que de s’éclipser. Nous sommes les dernières à passer par le vestiaire. Maïté jette un manteau sur les épaules d’Alicia et lui donne une paire d’escarpins qu’elle s’empresse de chausser. Nous rejoignons la voiture.Contrairement à l’aller, Alicia est autorisée à s’asseoir normalement sur le siège arrière. Maïté reprend le volant et démarre dès que je suis assise à ses côtés. Le retour à la villa se fait dans le calme avec en fond sonore un cd de jazz. Comme vous devez vous en douter, le reste de la nuit fut courte car nous sommes allées nous coucher, toutes trois, dans le même lit et si Alicia participe peu car elle est fourbue de sa soirée, Maïté et moi ne sommes pas du tout dans le même état. Les jeux de mains, de langues, de sexes, de godes s’enchaînent et le soleil était déjà dans le ciel quand le sommeil nous fauche. Nous dormons une grande partie de la journée. Le soir est déjà tombé quand nous nous levons. Alicia nous précède dans la cuisine et s’affaire pour nous préparer une collation. Après ce frugal repas, Maïté m’entraîne dans la chambre pour me révéler la présence des différentes caméras qui filment la pièce avant que de me montrer le studio de montage vidéo qu’elle a installé dans une autre pièce de la villa. Là, elle s’installe à la table et telle une magicienne aux doigts de fée, elle réalise, en un tour de main, le montage des scènes de la veille. S’estimant satisfaite, elle se tourne vers moi pour avoir mon avis. Je ne peux que la féliciter. Pendant que je te grave une copie pour toi, nous allons boire un verre sur la terrasse car figures toi que j’ai encore envie de toi, ma chérie. Comme elle met dans ses propos des intonations devant lesquelles on ne peut rien lui refuser … Je vous laisse imaginer la suite.En conclusion, cette journée de participation à la Marche des fiertés biarrotes où je ne devais faire qu’une apparition, dura grâce à mes deux amies, un week-end de trois jours de folies. Au moment de la séparation, Alicia me fit deux tendres mais chastes bisous. Maïté, quant à elle me dit, en me donnant les deux dvd, « pour toi, ma chérie, notre porte te sera toujours ouverte » avant que de me rouler une dernière pelle.C’est une fois rentrée à Paris que je prends l’initiative de vous raconter tout ça. J’en préviens par téléphone, Maïté et Alicia. Elles seront mes premières lectrices, je leur dois bien ça. J’espère que, tout comme vous, elles prendront plaisir à lire ces quelques lignes.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Notre premier trio ( vus sur le net )

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

Notre premier trio ( vus sur le net )Marie-laure 42 ans et moi 49 ans sommes mariés depuis 15 ans. Marie-Laure est une belle femme blonde aux yeux bleus sur laquelle se retournent assez fréquemment les hommes. Côté sexe ma femme était restée très conventionnelle et si elle acceptait les fellations elle se refusait toujours à la sodomie et encore plus à l’idée de l’amour à plusieurs. J’avais pourtant bien essayé de lui révéler mon phantasme de la voir faire l’amour avec un autre homme, mais sa réponse était toujours la même… Il n’en ait pas question !Pourtant un soir tout bascula… Ce soir là nous avions invité un ami célibataire de 50 ans bien de sa personne, Bernard.Après un apéritif et un repas bien arrosé nous nous étions réfugiés dans le salon où nous discutions autour d’un digestif. La soirée étant avancée Marie-Laure s’était assoupie sur mon épaule dans le canapé pendant que Bernard assis dans un fauteuil qui nous faisait face me racontait des anecdotes professionnelles. Mon bras autour du cou de mon épouse pendant nonchalamment, ma main à la hauteur du sein gauche de Marie-Laure. C’est alors que je surpris le regard de Bernard sur les cuisses de ma femme. Il faut dire que Marie-Laure aime s’habiller de façon sexy. Ce soir là elle portait un chemisier blanc légèrement transparent laissant entrevoir un soutien-gorge en dentelles de même couleur assorti d’ailleurs à son string, une jupe noire assez courte et des bas et un porte-jarretelles noirs. C’est la lisière de ces bas que la position de mon épouse endormie dévoilait légèrement que les yeux de Bernard fixaient. Je fis comme si je n’avais rien vu et bien au contraire cette constatation eue pour effet de me faire bander. Je continuais donc à converser tout en m’arrangeant pour prendre une position qui permettait à Marie-Laure de mieux s’allonger sur moi dévoilant un peu plus ses cuisses. Bernard avait du mal à rester naturel tant son regard était attiré vers les jambes de mon épouse dévoilées maintenant assez haut pour offrir le spectacle d’une bande blanche illegal bahis juste au-dessus de la lisière des bas. Tout en discutant, je commençais à caresser le sein gauche de Marie-Laure avec ma main ballante. N’obtenant aucune réaction, j’accentuais cette caresse… Toujours aucune réaction de la part de mon épouse, par contre Bernard avait cessé de parler. Je le regardais dans les yeux et délicatement avec ma main droite je défis le premier, puis le second bouton du chemisier de Marie-Laure. Par l’échancrure je passais ma main gauche que je glissais délicatement dans le soutien-gorge afin d’att****r le sein gauche que je fis sortir de son écrin. Ma main droite s’attaqua alors aux deux boutons suivants du chemisier afin de me permettre d’écarter assez le chemisier pour présenter le sein de Marie-Laure à Bernard. C’est alors que j’entendis dans un souffle Marie-Laure me dire « petit coquin »… Je la regardais, mais elle restait les yeux fermés. Délicatement, de ma main je pris son visage, le fis légèrement pivoter et déposais un baiser sur ses lèvres en lui murmurant « Je t’aime ». Elle ouvrit la bouche et sa langue enveloppa la mienne. Je profitais de ce long baiser pour défaire les derniers boutons de son chemisier et l’ouvrir complètement. Je fis ensuite sortir son deuxième sein de sa cachette. Ma main glissa vers le bas de la jupe que je relevais doucement. Marie-Laure se souleva légèrement pour m’aider dans cette manœuvre facilitant le passage de son string que j’avais accroché au retour. Doucement, j’allongeais Marie-Laure sur le canapé, tout en commençant à lui caresser ses petites lèvres. A mon étonnement, je la trouvais humide et accueillante. Mes doigts entraient ou caressaient son bouton. Elle commençait déjà à gémir. Il faut dire que mon épouse est très sensible à cette caresse. Je regardais Bernard, qui ne quittait plus des yeux notre couple. Je lui fis alors comprendre de se déshabiller. Une fois nu, je le fis s’approcher du visage de ma femme qui les yeux toujours fermés semblait apprécier de plus en illegal bahis siteleri plus ma caresse. Je fis agenouiller Bernard sur le canapé afin que son sexe se pose sur les lèvres entrouvertes de Marie-Laure. Elle eut un petit mouvement de recul et détourna la tête.Délicatement, je fis tourner le visage de mon épouse de façon à présenter, à nouveau, le membre de Bernard devant ses lèvres. J’appuyais alors sur sa nuque afin de les mettre en contact. Elle résista un petit peu, puis je les vis s’entrouvrir et centimètre par centimètre la bite de Bernard prit possession de la bouche de Marie-Laure. Pour la première fois, je voyais un sexe autre que le mien dans la bouche de ma femme. Après un léger moment d’attente, je vis la bouche de mon épouse s’activer et le sexe de Bernard ressortir pour à nouveau s’enfoncer.Marie-Laure attrapa alors la bite de Bernard avec sa main droite, sa main gauche s’emparant de ses bourses qu’elle commença à caresser. Je me dégageais alors tout en continuant de regarder mon épouse continuer à sucer Bernard. Elle avait maintenant les yeux ouverts. Sa langue parcourait le membre offert et descendait sur sa hampe pour finir par lui lécher les bourses puis remontait jusqu’à son gland que sa bouche engouffrait. Je profitais de ce moment pour finir de la déshabiller et pour me dévêtir à mon tour. Je lui écartais les cuisses et lui léchais son intimité qui maintenant dégoulinait. Marie-Laure jouit alors très fort. Je me relevais et lui présentais alors mon sexe à sucer. Elle prit alors nos membres qu’elle suça l’un après l’autre. Bernard lui caressait le sein droit et moi le gauche. La glace du salon nous renvoyait cette image merveilleuse. Je demandais alors à Bernard de prendre ma femme. Il se releva et se positionna entre les cuisses de mon épouse. Elle avait arrêté de me sucer et me regardait intensément. Je lui souris et fis signe à Bernard de la pénétrer doucement. Je vis le sexe de Bernard s’approcher de sa caverne. Mon épouse me sera la main. Puis je vis le membre de Bernard s’enfoncer canlı bahis siteleri lentement entre les petites lèvres de Marie-Laure. Je pouvais suivre sa progression à la pression de la main de mon épouse. Enfin les poils des deux sexes se rejoignirent et Bernard dans un dernier mouvement s’enfonça tout au fond de celui de Marie-Laure. Il resta ainsi immobile pour la laisser s’habituer et pour me laisser me délecter de ce spectacle. La glace me renvoyait cette image de Marie-laure prise par un autre que moi. Je bandais comme jamais. Ma femme donna alors le top départ en recommençant à me sucer avec v******e et amour. Bernard la pilonna lui arrachant une seconde jouissance. Je demandais alors à Bernard de s’allonger sur le canapé et tout naturellement ma femme vint d’elle-même s’empaler sur son sexe. Elle allait et venait faisant ballotter ses seins que Bernard caressait ou embrassait à la volée. Je me positionnais derrière et appuyais sur son dos. Elle comprit mon intention et arrêta ses mouvements pour m’offrir ce qu’elle m’avait toujours refusé. Je présentais alors mon gland devant son petit trou. Je l’appuyais et millimètre après millimètre je le fis pénétrer jusqu’à le sentir accepté. Une dernière poussée et j’étais enfin tout au fond de cet interdit tant désiré. Elle se mit alors à nouveau à bouger et je sentis alors le sexe de Bernard se frotter au mien au travers la mince paroi qui nous séparait. Marie-Laure bougeait de plus en plus vite. Maintenant, Bernard occupait son sexe, moi je la sodomisais devant notre glace complice nous renvoyant cette image merveilleusement qui restera à jamais gravée dans notre mémoire.Marie-Laure jouit une nouvelle fois en même temps que nous éjaculions tout au fond de son corps. Après avoir pris une douche, nous avons à nouveau fait l’amour plusieurs fois tous les trois dans la nuit. Marie-Laure acceptant même que nous éjaculions en même temps sur son visage et ses seins ou avalant notre sperme.Ce n’est que le lendemain que Bernard nous quitta non sans avoir sodomisé une dernière fois Marie-Laure devant l’objectif de mon appareil photo qui avait remplacé notre glace.Depuis il nous arrive souvent Marie-Laure et moi de regarder les photographies de cette première soirée (la suite est une autre histoire).

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ludivine – 2 – Un cul dans la nuit

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

Ludivine – 2 – Un cul dans la nuitComme chacune de mes histoires, cette histoire est réelle. Elle a eu lieu lorsque je vivais sur Paris pendant quelques années. Elle n’a pas été arrangée, fantasmée ou déformée. Par soucis de discrétion les prénoms et les lieux ont pu être changé.Après une soirée très chaude et alcoolisé, nous allons finalement nous coucher peu avant 2h du matin. Nous sommes exténués (surtout moi), Ludivine n’a pas pris de vêtement et elle se s’allonge à côté de moi seulement avec son string. De mon côté je dors toujours nu. J’éteins la lumière et moi s’endors très rapidement. Après quelques heures de sommeil, je me réveille petit à en pleine nuit. Je suis persuadé d’être toujours en train de dormir, je dois probablement faire une sorte de rêve érotique car je suis très excité. J’émerge progressivement et j’ouvre les yeux… et je découvre Ma belle, le cul collé à ma bite tendue. Elle frotte doucement son cul à moi, ma bite bien callée entre ses deux grosses fesses bien fermes. J’ai du mal à réaliser ce qui se passe et je reste une quinzaine de seconde sans réagir en me disant que je dois rêver… mais non, elle me branle la queue avec son cul…Je commence à lui toucher les cuisses et montre ma main progressivement vers son cul collé sur le côté à ma bite. Je réalise que me côté de ma bite et mon gland est complètement mouillé. Je touche rapidement sa chatte et je canlı bahis şirketleri l’entends gémir doucement, comme si elle n’était pas consciente. Mes mains se porte à sa poitrine et je commence à malaxer ses seins et l’embrasser dans le cou. Après quelques temps Je positionne ma bite entre ses jambes, juste a en dessous de sa chatte et me frotte à elle sans la pénétrer. Je suis collé à elle sur le côté, ma bite coulisse entre ses jambes en frottant sa chatte et son clito pendant que je l’entends gémir de plus en plus nettement. Après quelques minutes ma queue et complètement trempé et je l’entends me dire.•Qu’est.. *hun* Qu’est-ce que… *huun.. Huumf* T’as.. Han.. T’as fait un test?•Oui je suis clean..•*Han*.. Oo… ook… *han* vasss… *huuum*Mon sang ne fait qu’un tour, j’att**** ma bite et pousse dans sa chatte.•Huuumf, vasss… huum vas-y.. Oh ouii…Je commence directement à lui labourer violemment la chatte sur le côté pendant quelques minutes en agrippant de mes mains, parfois son cul, parfois ses gros seins, puis ses cheveux. Je suis un a****l, elle m’a mis en trans en me réveillant comme ça. J’ai envie de la défoncer comme une chienne.•Han oui oui oui c’est bon putain, j’aime quand tu me baise sans capote, je sens bien ta bite.•T’aime ça hein?•Oh oui vas-y, oui prends moi•Fallait pas me réveiller avec ton cul, maintenant je vais me venger.Je la pousse en canlı kaçak iddaa avant et l’allonge sur le ventre. Je saute sur son cul et pousse ma bite bien profonde dans sa vulve. Je la bourrine comme un dingue, elle commence à hurler.•Putain t’es bonne•Oh vas-y putain vas-y je jouie, je ouiiiiiIl doit-être environ 5h30 du matin et elle hurle dans l’appartement, je prends ses cheveux et lui maintient la tête dans l’oreiller.•Tu vas réveiller tout le monde putain•Huumm , hum hummf.Je l’entends gémir et hurler dans l’oreiller, je suis complètement dingue. Je continue de lui pilonner la chatte en maintenant ses cheveux pendant plusieurs minutes. Je fais pratiquement sortir ma bite entre chaque coup de rein pour replonger bien au fond de son cul à chaque fois. De grand *Clac clac clac* résonne sous l’assaut de ma bite. Elle perd pied et je l’entends gémir et rigoler en même temps, je vais bientôt craquer et je sens mon jus monter. Je lâche ses cheveux pour lui laisser un peu de répis et positionne mes deux mains sur sa chute de rein et j’y vais de plus en plus fort.•Je vais jouir putain.•Jouis en moi, je veux te sentir me remplir de sperme vas-y joui putain jouie !!•Oh putain oui je viens, je vais t’engrosser. Je viens je viens,•Oh oui vas-y vide toi les couilles en moi, vide-toi vas-y•Ohhh aaaahh oui putain je jouiiiJ’éjacule au fond de sa chatte à grand coup de râle pendant canlı kaçak bahis plusieurs secondes, je sens plusieurs jiclés me sortir de la bite avant de m’écrouler à bout de force. Je reste allonger sur elle, la queue visqueuse de sperme encore enfoncé dans sa chatte plusieurs dizaine de seconde, complètement épuisé.Lorsque je me suis dégagé elle m’a embrassé et s’est blotti contre moi et nous nous sommes endormis ainsi, mon sperme encore en elle. On s’est réveillé vers 9h30 environ. Après s’être embrassé et sourit quelques seconde je lui dit :•C’était incroyable cette nuit.•J’ai trouvé aussi… j’aime être réveille en pleine nuit pour me faire baiser, tu m’as tellement excité quand j’ai compris que j’avais ta bite entre mes jambes et tes mains sur mes seins…•Hein? Mais c’est toi qui m’as réveillé, tu me branlais littéralement la bite avec ton cul.•Quoi? Mais non je dormais•….Il y eu un blanc de quelques secondes pendant lesquelles nous nous sommes regardés… puis avons explosé de rire. Elle m’expliqua qu’elle bougeait son cul de façon incontrôlé la nuit quand elle dormait, j’eu du mal à la croire mais beaucoup de signe m’avait fait douter du fait qu’elle était reveillé lorsque je la touchais, comme les faibles gémissements et le manque de réaction. Me comprenant un peu géné par la situation elle ajouta :•Mais j’ai adoré, et j’avais envie de toi dans tous les cas donc faut pas te sentir gêner.•Ouai mais…•Mais tu rigole c’était trop bien, faut pas t’en vouloir.•C’est vrai que c’était dingue…•J’ai aimé te voir dominant et abusé de moi… il faudra remettre ça…Ainsi commença une excellente journée et un long weekend ensemble…

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Mit Silvia in der Sauna…

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Asian

Mit Silvia in der Sauna…Ich besuchte wegen eines Schnupfens eine Sauna. Aber ich dachte nicht, dass ich meine beste Freundin dort treffen würde! Habe ich ihr es vielleicht mal erzählt…? ;)Es war zwar ein schöner, heißer Sommertag, aber irgendwie hatte ich schon seit Tagen ein Kribbeln in der Nase. Ich wusste es nicht, aber es hatte bestimmt mehrere Gründe. Entweder hatte ich die Klimaanlage meines Autos wieder zu kalt eingestellt oder es waren wieder irgendwelche Allergien, die mich hin und wieder mal ärgerten.Ich beschloss also kurzerhand, mir mal wieder einen Saunabesuch zu gönnen und packte meine Tasche, setzte mich ins Auto und fuhr in die Badeanstalt. Da das Wetter eigentlich sehr schön war, würde wohl an diesem herrlichen Tag kein anderer auf die Idee kommen, sich in die Sauna zu setzen!Also konnte ich mir sicher sein, dass ich an diesem Abend die Sauna ganz allein für mich hatte. Ich setzte mich auf die Bank, faltete mein Handtuch fein und legte es neben mir ab. Dann verschränkte ich meine Arme hinter dem Kopf und fing langsam an zu schwitzen. Aber auf einmal öffnete sich die Tür und meine Freundin Silvia stand vor mir. Hatte ich ihr erzählt, dass ich in die Sauna ging?Sie war ein wahres Wunderwerk Gottes und hatte wunderschöne blaue Augen und schulterlange blonde Haare. Sie schaute mich an und sah aus wie ein Engel! Nur mit einem Badetuch bekleidet betrat sie die Sauna. Sie setzte sich mir genau gegenüber! Verlegen und fast panisch versuchte ich, mir mein Handtuch über die Lenden zu werfen, was mir aber so schnell nicht gelang, da ich es schön gefaltet hatte.Sie begrüßte mich, zog ihr Badetuch von ihrem Körper und legte es neben sich hin. Sie sah zu, welch verzweifelten Kampf ich mit meinem Handtuch hatte und ich sah, dass sie anfing zu lächeln. Sie erkannte wahrscheinlich, was ich vorhatte und versuchte, mir den Wind aus den Segeln zu nehmen indem sie sagte, dass ich mich absolut nicht schämen bräuchte. Sie war ein heißes Ding und ihre Brüste waren wohlgeformt.Sie wusste, dass ich sie schon lange sehr attraktiv fand. Ihre Figur war einfach göttlich und ich beugte mich ein wenig nach vorne, damit sie nicht sehen konnte, dass mir langsam das Blut in den Penis schoss! Einfach himmlisch und wie von Gotteshand geformt! Ich schaute verlegen auf den Boden und schloss meine Augen, um mich auf etwas anderes zu konzentrieren.Doch ich konnte meinen Blick nicht von ihr lassen und ich sah, dass ihr Körper von ihrem Schweiß anfing zu glänzen und sie ihre schlanken Beine ein wenig gespreizt hatte. Ich schärfte meinen Blick und sah, dass sich die Schweißperlen langsam ihren Weg über ihre Hüfte zu ihrem Schritt bahnten und durch ihr Liebesdreieck liefen.Ich merkte, wie mein Penis immer größer wurde und war sicher, dass es ihr nicht verborgen blieb. Bei diesem Anblick spreizte sie noch ein wenig mehr ihre Schenkel und gab mir immer mehr den Blick auf ihre Scheide frei. Es machte mich heiß, diesen glänzenden schönen Körper mir gegenüber zu sehen!In ihren Augen sah ich ein Funkeln und ihr hübscher Mund lächelte mich verschmilzt an. Ich erkannte nun, dass sie mich provozieren wollte und sie schaffte es. Sie lehnte ihren nackten Oberkörper an die Rückenlehne und spreizte ihre vom Schweiß feuchten Schenkel noch ein wenig mehr.Ich hatte nun freien Blick auf ihre Scheide und sie wusste ganz genau, dass mich das heiß machen würde, denn ich konnte nun meinen Blick nicht von ihr lassen. Zu gerne hätte ich sie nun verwöhnt, ihren Körper gestreichelt, ihre Brüste geküsst und ihre Pobacken geknetet!Aber irgendwie traute ich mich nicht und sie erkannte es. Dann ergriff sie die Initiative und fragte mich, ob es mir gefällt, was ich da sehe. Diese Frage konnte ich nur mit einem sicheren Ja beantworten und sie sagte zu mir, dass ich “Sie” mir in Ruhe mal aus der Nähe anschauen dürfte, wenn ich wollte. Dies ließ ich mir nicht zweimal sagen, stand auf, ging langsam mit steifen Penis auf sie zu und hockte mich vor ihr. Sie wusste genauso wie ich, dass wir an diesem Abend ganz alleine in der Sauna sein würden.Sie zog ihre schlanken Schenkel hoch und setzte ihre Verse auf die Bank ab. Mit lüstern-verlangenden Augen schaute sie mich an und ich wusste, was ich in diesem Moment mit ihr machen sollte. Ich fasste ihre Unterschenkel, spreizte sie ein wenig und zog ihren Hintern bis zur Vorderkante zu mir.Sie winkelte ihre Beine an, wodurch sich ihre glänzenden Schamlippen ein wenig mehr öffneten. Ganz langsam und wie in Zeitlupe nahm ich meine Zungenspitze und glitt genüsslich von den Innenseiten ihrer Schenkel in Richtung ihrer Scheide.Nach einer Weile drang ich mit meiner weichen Zunge Millimeter für Millimeter in ihre Scheide ein während sie den Kopf in den Nacken legte und aus ihren leicht geöffneten Mund einem kleinen Seufzer entwich. Ich wanderte mit meinem Mund über ihre Oberschenkel und glitt wieder zu ihrer Scheide, wo ich ganz zärtlich an ihrem Kitzler saugte.Sie schloss ihre Augen, legte ihre Hände auf meinem Kopf und zog ihn ein wenig fester gegen ihren Schritt. Ich hatte nun tiefe Einblicke in ihre Scheide und das machte mich umso heißer.Ihr Atem wurde schneller und ich wusste, dass ich das tat, was sie wollte. Ich drang mit meiner Zunge ganz in sie ein und suchte mit meiner illegal bahis Zungenspitze ihren G-Punkt. Dabei ließ ich meine Zunge in sie Kreisen und rieb mit meiner Spitze an ihre Scheidenwand. Sie hob ihr Becken an um meine Zunge noch tiefer spüren zu können. Dabei streichelte meine Oberlippe ihren Kitzler. Ihr Stöhnen wurde immer lauter, ihre Bewegungen immer heftiger und sie krallte sich förmlich in meinen Haaren fest.Ich hob ihren knackigen Hintern an und ließ meine Zunge aus ihr herausgleiten. Mit meinen Lippen leckte ich ihren salzigen Liebessaft von der Scheide und saugte mich wieder zärtlich an ihrem Kitzler fest. Mit meiner Zungenspitze umkreiste ich ihre Knospe und ihr Atem wurde nun beachtlich schneller.Ich löste mich ein wenig von ihr und ließ sie erst mal wieder zu Atem kommen. Dann setze ich meine Zunge unterhalb ihres Poloch an und strich ihr ganz langsam durch ihre heiße Furche. Ich kreiste ein wenig um ihren Anus und wanderte dann weiter durch ihre nassen Schamlippen zu ihrem Kitzler, um ihn dann wieder mit meiner Zungenspitze zu verwöhnen.Der Schweiß unserer Körper tropfte auf den Boden und ich merkte, dass sie zunehmend heißer und verlangender wurde. Ich feuchtete meinen Zeigefinger an und umkreiste zärtlich ihr Poloch während ich sie weiter mit meinen Lippen verwöhnte. Sie warf ihr Kopf in den Nacken und ließ einen lauten Seufzer aus ihren geöffneten Mund. Mit kleinen Flüstereien feuerte sie mich an, nicht aufzuhören und das machte mich zusätzlich heiß.Immer wieder holte ich mir mit meinem Zeigefinger ihren Liebessaft und verteilte ihn auf ihrer Perle. Ich massierte es ein wenig und drückte dann leicht gegen ihren Scheideneingang während ich ihren Kitzler mit meiner Zunge bearbeitete. Ich umkreiste weiterhin ihn mit meinen Fingern und merkte, wie sie meinem sanften Druck nachgeben wollte während sie wollüstig stöhnte. Aber anstatt in sie einzudringen liebte ich es, mit ihrer engen, dunklen Öffnung zu spielen. Dies war ein Ort, den ich bei ihr nicht kannte und wollte ihn nun ausgiebig erkunden.Sie drückte mir ihr Becken entgegen und bewegte sich nun in einem langsamen Rhythmus um meinen Finger ein wenig tiefer in ihrem heißen Körper zu spüren. Ich kniete zwischen ihren Beinen und sie legte ihre Füße auf meine Schulter. Nun konnte ich ihre leicht geweitete Scheide sehen und strich einmal zärtlich mit meiner Zungenspitze zwischen ihren Schamlippen hinauf zu ihrem Kitzler. Auf dem Weg dorthin sammelte ich ihren Lustsaft auf meiner Zunge und schleckte ihn genüsslich auf.Dann widmete ich mich mein eigentliches Ziel und glitt mit meiner Zunge wieder hinunter zu ihrem nassen Eingang. Ich umkreiste ihn sanft mit meiner Zungenspitze und feuchtete ihn somit noch ein wenig mehr an. Ich nahm meine Hände und fasste ihre Oberschenkel, zog sie leicht auseinander.So, dass sich ihre Pobacken und ihre Schamlippen leicht spreizten. Sie schwang ihre blonden Haare zur Seite und ich sah ihre harten steifen Brustwarzen. Dann zog ich mit meiner Zunge von ihrem Anus zu ihrem Kitzler und merkte an ihrem tiefen Atem, dass sie es mochte.Ich setzte meinen Mittelfinger an ihr Poloch an und glitt ganz langsam in ihren süßen Hintern während mein Zeigefinger zeitgleich in ihre Scheide eindrang. Ich merkte absolut keinen Widerstand und sie schien es zu genießen. Mich machte es unwahrscheinlich heiß zu sehen, wie meine Finger mit ihren schönen Körper spielten und begann nun mit sanften Bewegungen meiner Hand. Meine Zunge verwöhnte ihren Körper auf dem Weg von einem Oberschenkel zum anderen. Dabei strich ich immer wieder mit meinen Lippen über ihren Anus und ihrem Kitzler.Ich konnte die dünne Haut spüren, die meine Finger voneinander trennte. Dann zog ich meinen Mittelfinger aus ihren Hintern heraus und betrachtete ihr leicht gedehntes Poloch. Ich drückte die Daumen meiner beiden Hände jeweils links und rechts neben ihrem Anus und zog ihn sanft auseinander während meine Zeigefinger ihre Schamlippen spreizten. Ich nahm meine Zunge und umkreiste erst einmal ihr zartes Poloch.Ich merkte, dass sie sich mir voll hingab und drang nun mit meiner Zungenspitze in das enge Loch ein. Sie versuchte, mir ihr Becken entgegen zu strecken um meine weiche Zunge nun in sich zu spüren. Sie war in diesem Moment nur noch ein zur puren Lust gewordener Körper, mit dem ich in diesem Moment machen konnte, was ich wollte.Sie warf ihren Kopf mit geschlossen Augen und geöffneten Mund von einer Seite zur anderen während sich meine Lippen immer wieder um ihren Kitzler schmiegten und zärtlich an ihn saugten. Dann wanderte ich wieder hinunter zu ihrem Poloch und drang langsam mit meiner Zunge in sie ein. Sie stöhnt leise auf, als sie meine heiße Spitze in sich spürte. Mit jedem Stoß drang ich immer ein wenig tiefer in sie ein bis sie nun ganz in ihr war und ich mit meinen Lippen ihren Anus berührte.Ein wundervoller Nebel der Lust umgab mich, als ich sie anal verwöhnte. Dieses unbekannte Gefühl machte mich wiederum so heiß, dass ich meinen Penis pochen fühlen konnte. Immer und immer wieder drang ich nun zärtlich in sie ein. Dann nahm ich meine beiden Zeigefinger und setzte sie an ihrer Hintertür an. Langsam und wie in Zeitlupe drangen sie in ihrem Hintern ein während die anderen Finger ihre Pobacken illegal bahis siteleri spreizten und meine Zunge für die nötige Feuchtigkeit sorgte.Ich sah, dass ihr der Lustsaft langsam aus ihrer Scheide lief und dass der Weg zu ihrem Poloch nicht weit war. Ich ließ ihn laufen und verteilte den Tropfen auf ihrem Anus. Je öfter ich mit ihr spielte, desto entspannter aber doch nervöser wurde sie. Dann hockte ich mich vor ihr, nahm meinen zum Bersten gespannten Penis in die Hand und führte ihn zu ihrem Poloch. Zärtlich spielte ich mit der Spitze an ihrem Anus.Sie massierte sich nun selbst leicht ihren Kitzler, rückte immer ein wenig näher zu mir und drückte mir ihr Becken entgegen. Ich feuchtete meine Penisspitze an und drückte leicht gegen ihr Poloch. Ich sah, dass meine Eichel in sie eintauchte während ich ihre Hand ablöste und mit meinen Fingern nun zärtlich ihren Kitzler verwöhnte.Ich sah, wie sich ihr Poloch langsam wie ein Samthandschuh meinem Penis anpasste und dachte, es würde sie zerreißen. Aber sie war so heiß, dass sie sich entspannte und ihn in sich aufnahm. Mein Druck blieb gleich, nur sie drückte ihr Becken nun Rhythmisch gegen meinen Penis und schob ihn so immer ein wenig tiefer in sich hinein.Ihre Bewegungen wurden immer ein bisschen schneller während ich mit meinem Daumen und Zeigefinger zärtlich um ihren Kitzler zwirbelten, meine Finger in ihrer Scheide ihren G-Punkt suchten und ihre schönen Brüste kneteten. Ich merkte eine unglaubliche Hitze und einen enormen Druck an meinem Penis, dass ich dachte, sie würde ihn gleich zum Platzen bringen.Während ich mich nicht bewegte, drang mein Penis durch ihren Rhythmus langsam in sie ein. Sie stöhnte, dass es sich heiß anfühlt, wenn ich sie mit meinem großen Penis ausfülle während sie sich an der Bank festkrallte und ich ihre Scheide massierte. Immer heftiger wurden ihre Stöße. Aber dann kam der Moment, wo ich diese Hitze und den Druck nicht mehr aushalten konnte und zog meinen Penis ganz langsam aus ihrem Poloch.Ich nahm meinen Finger und glitt sanft in ihr geweitetes Poloch während meine Zunge ihre Scheide verwöhnte. Wie in Zeitlupe drang mein Zeigefinger nun in sie ein. Mit rhythmischen Bewegungen holte sie sich nun meinen Finger, während ich mit meiner Zunge von ihr abließ und zuschaute, was mein Finger dort machte.Als ich meinen Finger ganz in ihr hatte, bewegte ich ihn leicht und merkte, dass sie sehr tief einatmete und ihn noch tiefer spüren wollte. Mit meiner anderen Hand streichelte und knetete ich leicht ihre großen Brüste und ließ meine Hand langsam ihren verschwitzten Körper zu ihrem Schritt gleiten.Es war nun für sie so erregend, dass sie sich auf die Lippen biss, sie ihr Becken vor- und zurückstieß und sich so meinen Finger immer und immer wieder tief in ihr Poloch drückte. Ich sorgte dafür, dass er durchgehend feucht war und genoss diese Hitze an meinem Finger. Ich musste selbst aufpassen, um mit meinem extrem erigierten und erregten Penis nirgendwo anzustoßen…Aber auch meine Position war für mich auf die Dauer sehr anstrengend und ich zog meinen Finger aus ihrem heißen Poloch, um mich auf die Bank zu setzten. Sie drehte sich zu mir, warf ihre nassen, blonden Haare auf die Seite und schaute mich mit ihren funkelnd-blauen Augen an.Sie beugte sich langsam zu meinem Penis herunter, nahm ihn in ihren Händen und ließ ihren heißen Atem an ihn spüren. Mein Penis wurde dadurch nur noch härter und als sie ihren Mund öffnete und ihre Zunge an meinem Penisschaft entlang zog, wurde mir ganz schwindelig. Dann öffnete sie ihren Mund, nahm ihn ganz auf, schloss ihre Lippen und saugte sich langsam fest. Als sie dann ihren Kopf auf- und absenkte, merkte ich, wie mein Saft mir langsam hochstieg.Mein Atem wurde schneller, mein letztes Blut schoss mir in mein Glied und sie merkte auch, dass mein Hoden immer härter wurde. Ein letztes Mal saugte sie fest an meinem Penis und ließ dann von mir ab. Wenn sie nur zwei Sekunden länger an meinem Penis gesaugt hätte, hätte ich mich nicht mehr halten können. Dann setzte sich mit gespreizten Beinen auf meinem Schoß, nahm meinen Penis und strich sich immer wieder mit meiner Spitze zwischen ihren Schamlippen. Ich fasste ihre prallen Pobacken und glich mich ihrem Rhythmus an.Immer und immer wieder rieb mein Penisschaft an ihrem Kitzler. Ich beugte mich ein wenig nach vorne und nahm ihre harten Brustwarzen in den Mund. Ich saugte genüsslich an ihren Nippeln, die weit vorstanden und ließ meine Zungenspitze um ihren Vorhof kreisen während sie ihren Kopf in den Nacken legte, die Augen schloss und heftig durch ihren Mund atmete. Unsere Körper waren so heiß von der Situation und glitschig vom Schweiß, dass sie wie auf Federn auf meinem Schoss hin- und herrutschte und sie sich meinen Penis der Länge nach durch ihre nasse Furche zog.Ich knetete mit meinen kräftigen aber doch zärtlichen Händen ihren süßen Hintern und massierte mit meinen feuchten Fingerspitzen ihren Anus während sie von vorne meinen Penis in die Hand nahm und ihn zu ihrem Kitzler dirigierte. Ich verstärkte ein wenig den Druck auf ihren Schließmuskel und sie öffnete ihn. Ganz langsam versuchte ich, in sie einzudringen.Aber ihre heftigen Bewegungen brachten meine Finger dazu, gänzlich in sie zu verschwinden. canlı bahis siteleri Ich war nun mit zwei Fingern in ihrem Po und bewegte mich leicht in ihr während meine Lippen abwechselnd ihren Hals und an ihren Brüsten saugte. Dann wurden ihr Atem und ihre Bewegungen so heftig, dass ich von ihr abließ.Sie setzte sich auf, stellte sich vor mir, drehte sich mit dem Rücken zu mir und ließ sich, mit meinem Penis in der Hand, langsam auf meinem Schoß nieder. Sie rieb mit meiner Penisspitze kurz durch ihre Schamlippen und ließ ihn Millimeter für Millimeter in ihre Scheide gleiten.Sie war so heiß und feucht, dass sie ihn ohne Probleme ganz in sich aufnahm. Sie setze sich ganz auf meinem harten Penis und beugte sich leicht nach vorne. Dadurch konnte sie die Tiefe selbst bestimmen und rieb gleichzeitig mit meinem Penisschaft an ihrer Perle. Ich streichelte und knetete ihren zarten Rücken und ließ meine Hände zu ihrem Po gleiten während ihre Bewegungen immer schneller wurden. Ich feuchtete wieder meine Finger an und ließ sie wieder in ihrem Po verschwinden.Sie stöhnte, dass es so geil ist, was ich gerade machte und versuchte, mich selbst in Zaum zu halten, während meine Finger nun tief in ihr waren und ihren Anus leicht dehnte. Nach einiger Zeit der absoluten, sexuellen Hingabe wurden ihre Bewegungen schneller und als ich um ihre Hüfte herum ihren Kitzler berührte, atmete sie noch einmal tief ein und fing laut an zu stöhnen.Ich wusste nun, dass ihr Höhepunkt nicht mehr aufzuhalten war und rieb ihren Kitzler ein wenig schneller während sie sich immer wieder auf meinem Penis warf. Anhand des Zuckens und den unglaublichen rhythmischen Druck an meinem Glied wusste ich, dass sie einen Höhepunkt hatte, der wie ein unglaublicher Vulkanausbruch über ihr kam.Kurz danach wurden ihre Bewegungen langsamer und ihr Atem normalisierte sich. Mit meinem Penis in sich steckend entspannte sie sich kurz, bevor sie ihn langsam herausgleiten ließ.Sie nahm meinen mittlerweile zum Bersten gespannten Penis in die Hand und setzte ihn an ihrem Poloch an. Bei diesem Gedanken wurde ich fast wahnsinnig und sah, wie sie selbst meine Penisspitze an ihrem Poloch ansetzte und wie sich ihr Anus sanft um meine Eichel legte und sich meinem großen Glied anpasste. Sie drückte ihren wunderschönen Körper langsam auf meinen Penis und holte ihn sich immer tiefer. Mit ihren kleinen Bewegungen sah ich, wie mein Penis immer tiefer in ihrem Hintern verschwand.Je tiefer mein Penis in ihr war, desto mehr Luft holte sie. Ich war erstaunt, als mein Penis fast bis zur Wurzel in ihr verschwunden war. Sie war so heiß und eng, dass ich mich nun konzentrieren musste, um mein Saft nicht gleich in ihren Hintern zu pumpen. Ich küsste ihren Rücken und griff mit meinen Händen um ihre Hüfte. Ich wanderte mit meinen Händen zu ihren Schritt und rieb ganz vorsichtig ihre noch gereizte Scheide. Ich merkte, dass ihr der salzige Liebessaft förmlich aus der Scheide lief und fing ihn mit meinen Fingerspitzen auf, um ihn mit meiner Zunge zu kosten.Sie ließ meinen Penis immer und immer wieder aus sich herausgleiten, um ihn dann der Länge nach wieder einzuführen. Nach einer Weile wurden ihre Stöße immer fester, ihr Stöhnen immer lauter und sie musste nun unbedingt von meinem Penis ablassen. Mein Hoden spannte sich und ich merkte, wie mein Sperma durch den enormen Druck und die Hitze auf meinem Penis nun immer weiter höher stieg.Ich sagte ihr, dass ich es nicht länger aushalten könne und sie ließ ihn ganz langsam ein letztes Mal aus ihrem Poloch gleiten. Sie stand auf und ich stellte mich hinter ihr. Ich drückte ihren Oberkörper herunter und sie hielt sich an der Bank fest. Ich streichelte mich von ihrer Schulter herunter zu ihrem süßen, schweißnassen Hintern und hockte mich hin.Ich spreizte mit meinen Händen ihre Pobacken, und leckte ihren Schweiß auf ihren mir zugestreckten Hintern bis zu ihrer nassen Scheide ab. Ich zwirbelte mit meiner Zungenspitze an ihrem Kitzler und saugte ihren Liebessaft aus ihrer Scheide während ich mit meiner Nasenspitze nun stellungsbedingt ihren, von meinem Penis gedehnten Anus, massierte.Sie stöhnte, dass sie es auch nicht länger aushalten könne und stellte sich hin, drückte mich auf die Bank, spreizte ihre schlanken Schenkel und spießte sich förmlich auf meinem Penis. Es folgte ein heißer Ritt und als ich abwechselnd an ihren Brüsten saugte und leckte, konnte sie sich nicht mehr halten.Sie holte noch einmal tief Luft, warf sich noch ein paar Mal auf meinem Penis und explodierte förmlich über mit. Diesen Großen Druck konnte ich nicht stand halten und entlud mich mit sehr kräftigen Schüben in ihr. Ich pumpte mein ganzes Sperma stoßweise in sie und unser riesiger Orgasmus schien nicht mehr enden zu wollen. In unseren Orgasmuswellen verschmolzen wir förmlich miteinander.Es war wie ein gewaltiger Vulkanausbruch, als wir beide gleichzeitig kamen. Unser Rhythmus wurde nach einiger Zeit nun immer ein wenig langsamer, dann brach sie kraftlos zusammen und ließ sich auf meinen schweißnassen Oberkörper nieder, ohne meinen Penis aus sich heraus zu lassen. An ihm merkte ich noch, dass ihre Scheidenmuskeln immer noch enormen Druck ausübten.Aber nach einer Weile glitt mein halbschlaffer Penis aus ihr heraus und sie legte sich ganz auf mich. Sie schwang ihre langen Haare auf einer Seite, lächelte mich mit ihrem süßen Gesicht an und sagte, dass sie so etwas noch nie erlebt hatte. Sie fragte mich, ob ich nun auch öfter in die Sauna gehen würde, was ich bejahte..

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Unglaublich (10/12)

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

Unglaublich (10/12)… oder rund drei Monate im Leben von Peter! Was bisher geschah, siehe hierzu Teile 1-9 sicher zu finden unter meinem Profil. In diesem fortgeschrittenen Stadium der Geschichte ist es extrem sinnvoll, von Anfang an zu lesen.Danke fürs Lesen und die Unterstützung. Es ist ganz bewusst eine andere Art Geschichte, bitte beachtet dies.Warnung:Sexszenen sind nicht der Hauptinhalt dieser Geschichte und dies ganz bewusst!TEIL 10. Die dramatische WendeDieses Mal träumte ich von zu Hause im 21. Jahrhundert und von Mia. Sanft wurde ich gestreichelt und ich dachte: „So ein schöner Traum!“, aber dann erwachte ich und merkte, dass es real war. Katharina strich mir sanft über den Bauch und die Brust. Schlaftrunken drehte ich meinen Kopf zu ihr und küsste sie, ohne viel, zu überlegen auf den Lippen. Von da an konnten wir uns nicht mehr zurückhalten und küssten uns wild. Sie war bereits ganz nackt und ich war alsbald ebenfalls abgezogen. Sie fuhr mit den Fingern hin und her über meine Brust und beugte sich zu ihr hinunter. Mit der Zunge fing sie langsam an die Brustwarze zu liebkosen. Währenddessen streichelte ich ihr die Schambehaarung und meine Finger wanderten dann weiter nach unten zu den Schamlippen und spielten mit diesen. Nicht besonders erstaunlich war, dass sie sehr feucht waren. In diesem Moment realisierte ich, dass ich mich womöglich in eine Frau aus dem 15. Jahrhundert verliebt hatte. Und ein Gedanke durchzuckte mein Gehirn: „Sollte ich bleiben und mit Katharina glücklich werden?“ Ich schob schnell diese Vorstellung beiseite und konzentrierte mich auf Katharina. Mein Glied war steif und drang in die wunderschöne Scheide dieser fremdländischen Frau ein. Ich bewegte mich auf und ab und sie stöhnte bereits, für meinen Geschmack zu laut. Denn ich wollte nicht, dass alle erwachten, und legte ihr deshalb den Zeigefinger auf die Lippen und als dies nichts nützte, küsste ich sie mit einem langen Kuss. Ich bumste sie weiter während Minuten und kam zum Höhepunkt in ihre Scheide. Zum Abschluss küsste ich sie sanft auf den Lippen. Danach versuchten wir beide nochmals zu schlafen.Ich wurde von Schreien unsanft geweckt. Als ich meine Augen öffnete, waren drei Gesetzeshüter güvenilir bahis vor mir. Zwei zerrten mich grob vom Lager hoch und der grauhaarige verkündete: „Im Namen des Gesetzes, sie sind verhaftet!“ Katharina stieß einen Schrei aus. Innerhalb von Sekunden kollerten Tränen bei ihr herunter. Sie versuchte verzweifelt, aber erfolglos mich an den Füßen zurückzuhalten. Ich wurde abgeführt wie ein Schwerverbrecher.Einer der Ordnungshüter folgte zwei bis drei Schritte hinter mir und die anderen zwei eskortierten mich am Arm haltend. Die übrigen Familienmitglieder schauten entsetzt wie ich mich mit den drei Gesetzeshüter entfernte. Wir liefen so zurück in Richtung Markt. Folgerichtig realisierte ich, dass ich in einer außerordentlich misslichen Lage war. Zum Glück wusste ich noch nicht, was alles auf mich zukommen würde. Die Ordnungshüter waren dunkel gekleidet mit schwarzem Mantel. Sie waren ruppig zu mir und riefen: „Komm, lauf schon, schlaf nicht ein“. Da es noch früh am Morgen war, waren die Straßen fast leer. Die wenigen Passanten, die wir kreuzten, ließen mich erkennen, wie tief ich gefallen war. Einer streckte mir die Zunge raus. Ein anderer brüllte: „Weg mit diesem Gesindel!“Wir erreichten die Fraumünsterkirche. Mitten im Wasser sah ich den Wellenbergturm, ein rund 15 m hoher Turm mit pyramidenförmigem Dach. Ich hoffte inbrünstig, dass wir nicht dorthin gehen würden. Wir liefen über die Brücke und auf der anderen Seite stiegen wir eine kleine Treppe herunter zu den Booten. Mit Entsetzen realisierte ich, dass das Ziel der Wellenbergturm war. Zwei Ordnungshüter kletterten mit mir in den Weidling (kleines Flachboot). Der Dritte blieb am Ufer, um Wache zu halten. Die beiden Ordnungshüter ruderten die kurze Distanz von rund 150 m zum Turm. Eine Flucht war chancenlos. Die Sonne leuchtete bereits hell und fröhlich. Die Sicht auf die Alpen war traumhaft wie an nur wenigen Tagen im Jahr. Jedoch ließ mich dies in dieser Situation völlig unberührt. Beim Turm angekommen, stiegen wir aus und die Ordnungshüter übergaben mich den Turmwächtern. Ich wurde grob in Empfang genommen. Meine Habseligkeiten wurden mir sofort abgenommen. Beim Geld und den Goldmünzen schnalzten türkçe bahis die beiden Wächter mit der Zunge und hatten einen gierigen Blick in den Augen. Die kostbaren Tüten mit den Pillen, meinem Freipass für eine Rückkehr, fanden sie auch. Der größere Unsympathische rief: „Was ist das für dreckiges Teufelszeug!“ Und streute diese schadenfreudig zu Boden und zerstörte sie mit raschen kräftigen Fußtritten. In diesem Moment wurde mir speiübel, als ich die Folgen realisierte. Der Kleinere versuchte, mit den Gemeinheiten des Größeren mitzuhalten. Er zerrte mich am Arm und grinste: „Mitkommen, du bekommst unser schönstes Zimmer mit Seesicht!“ Und er lachte dazu hämisch. Es ging eine Treppe hinab und unten war die Luft deutlich kälter und muffiger. Dort öffnete er eine sehr dicke Tür, drückte mir den Kopf runter und stieß mich zu Boden. Ich hörte wie das Tor mit einem lauten Knall zugeschlagen und abgeschlossen wurde. Erster Tag im Verlies:Die Luft war äußerst stickig. Der Raum war fensterlos und deshalb stockdunkel. Plötzlich hörte ich Schreie, ja es waren Schmerzensschreie, die im ganzen Gebäude hallten. Ich murmelte mir zu: „Peter, willkommen im Mittelalter“. Ich hatte meinen Humor noch nicht verloren. Ich saß in einer Ecke an der Wand angelehnt und suchte nach dem Notfallplan auf meiner Festplatte, meinem Hirn. Diesen hatte ich gewissenhaft auswendig gelernt, wie mir Robert der CEO eingebläut hatte. Mit erschrecken stellte ich fest, dass mein Gedächtnis nicht mehr auf die Information zugreifen konnte! Ich wusste aus meinem Medizinstudium, dass eine große überraschende Stresssituation häufig zu einer Art „Blackout“ führt. Schlimmstenfalls waren diese Informationen für immer verloren. Meine Lage schien sich weiter zu verdüstern, war eine weitere Steigerung noch denkbar? Ich versuchte, aufrecht zu stehen, was aufgrund einer Raumhöhe von lediglich etwa 1 m 50 nicht möglich war. Das Stroh am Boden roch nicht gerade frisch und meine Augen tränten, verursacht durch meine starke Heu Allergie. Ich verfluchte mich, dass ich diesen folgenschweren Entscheid an diesem Versuch teilzunehmen, getroffen hatte, trotz der unzähligen Warnlampen und meines negativen Bauchgefühls. „Stopp güvenilir bahis siteleri Peter, Selbstvorwürfe nützen jetzt gar nichts!“, sagte meine innere Stimme. Erklärend fügte sie an: „Du hast vermutlich nur zugesagt als Trotzreaktion nach deiner überraschenden Freistellung!“ Mein Magen knurrte und ich hatte einen riesigen Durst. Nicht verwunderlich, da meine letzte Mahlzeit schätzungsweise zwölf Stunden her war. Entsetzt stellte ich fest, dass der Kerker mit Ungeziefer verseucht war. Die Haut fing an, zu beißen, und ich kratzte mich kräftig. Um die Mittagszeit ging das Tor erstmals an diesem Tag auf und der kleine Wächter schob lieblos ein Napf und ein Becher Wasser in die Zelle. Die Tür knallte wieder zu und wurde blitzschnell verschlossen. Durch den Lichtstrahl hatte ich einen kurzen Blick auf die Wand vor mir werfen können, welche mit vielen erschreckenden Graffiti bemalt war. Ich kroch geschwächt zum Napf und drin waren nur zwei Stück Brot, hungrig biss ich in eines, aber es schmeckte verdorben und ich hielt es an meine Nase. Kein Wunder es roch kräftig nach Schimmel. Aufgrund meines nagenden Hungers aß ich es trotzdem und trank gierig den mit lauwarmen Wasser gefüllten Wasserbecher leer.Zweiter Tag im Verlies: Ich hatte kein Zeitgefühl mehr, meine Lippen waren ausgetrocknet. Es machte den Anschein, dass es nur einmal pro Tag zu essen gab. Mir war langweilig und so überlegte ich mir, was meine Optionen waren. Über dieses Problem brütete ich stundenlang und kam zu folgendem Schluss: Es gab nur drei Möglichkeiten: Freisprechung, eine kurze oder lange Haftstrafe. Was mir vorgeworfen wurde, war mir schleierhaft! Unwahrscheinlich erschien ein Freispruch aufgrund der bisherigen Behandlung und der üblen Zelle. Eine Rückkehr ohne die Pille war unmöglich. Über diese Aussichten und die Tatsache, dass ich Mia und meine Familie nie mehr sehen würde, fing ich an zu weinen. Meine Tränen flossen richtiggehend und benetzten meine Lippen mit einer salzigen Flüssigkeit. So ging es eine Weile bis mein starkes „Ich“ die Oberhand gewann. Dieses verkündete aufmunternd: „Peter, gib nicht auf! Diese Schlacht hast du verloren! Der Krieg ist jedoch nicht entschieden!“ Am Nachmittag wurde ich von den zwei Wächtern abgeholt. Wir begaben uns in einen anderen düsteren Raum, der als Folterkammer genutzt wurde. Der Große sagte dem Kleineren: „Karl, leg ihn mal in Ketten, ich hole die Peitsche.“Fortsetzung folgt©? 2019 bei Schwarm19

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Bootstour….20

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

Bootstour….20Bootstour 20……© By Bi__Jo….* Verschwitzt kuschelten wir uns aneinander und unterhielten leise flüsternd wir einschliefen…*Der Tag danach begann mit Regen und war relativ kühl. Wir duschten, frühstückten nur mit T-Shirts bekleidet gemeinsam in der Küche und beschlossen den Tag in zu Hause zu verbringen. Beim Abräumen griff ich Christa an den Hüften und zog sie auf meinen Schoß während wir uns küssten fing ich an ihre Perle zu streicheln und wir machten uns gegen seitig heiß. „Na Azubi so früh schon wieder geil.“ „Och Ich hab mir sagen lassen, Poppen am Morgen vertreibt Kummer und Sorgen.“ sie lachte und sprang auf. „Komm lass uns erst mal ein wenig klar Schiff im Haus machen bevor wir uns ganz verlieren und wieder im Bett landen. „Ok aber erst möchte der kleine Jo gestreichelt werden.“ Lachend zog sie mich aus dem Stuhl kniete sich vor mich nahm meinen Pint in ihre Rechte und kraulte meinen Hodensack mit der Linken. Von unten sah sie mich an und fragte „Küsschen auch?“ „Wird ihm bestimmt gefallen.“ Mit ihrer geschickten Zunge leckte sie an meinem Bändchen und fing an zu blasen. Als meine Säfte fast am überkochen waren hörte sie auf und gab mir einen Klaps auf den Po. „So jetzt wird erst aufgeräumt und das angekleidet sonst verlier ich auch die Beherrschung.“ „Muss das sein? Immer wenn es am schönsten ist muss man aufhören.“ maulte ich gespielt. Wir zogen uns an und begannen gemeinsam mit der Hausarbeit. Kurz bevor wir fertig waren klingelte das Telefon. Christa nahm ab und kam kurz nach dem Gespräch zu mir. „Tina war dran Werner und Biggi hatten auf dem Weg zur Arbeit einen kleinen Verkehrsunfall und müssen zur Beobachtung ein paar Tage in der Klinik bleiben.“ „Sind sie arg verletzt?“ „Laut Tina nicht aber die Ärzte wollen sich erst ganz sicher sein.“ „Können wir sie besuchen?“ „Ja aber wir sollen bis Morgen warten.“ „Ich glaub den Schreck muss ich erst mal verdauen komm lass uns eine kleine Pause machen und einen Kaffee Trinken.“ bat ich Christa an Biggi, die ich mehr mochte als ich zu gab, denkend.Schweigend saßen wir zusammen in der Küche und hingen unseren Gedanken nach. Nach einer gefühlten Ewigkeit stand Christa auf und trat hinter mich. „ An was denkst du?“ „Wie wir den beiden und Tina helfen können.“ „Lass uns doch nachher mal zu Tina fahren sie sagte mir das sie in der Mittagszeit zu Hause ist.“ „Gute Idee dann lass uns erstmal fertig werden und noch eine Kleinigkeit essen.“ Gemeinsam machten wir den Rest der Hausarbeit fertig und bereiteten eine kleine Mahlzeit vor. Während Christa etwas Rührei mit Schinken machte deckte ich den Tisch und schnitt uns ein paar Scheiben Brot die wir mit Margarine belegt da zu essen wollten. Das Geschirr räumten wir noch schnell in die Spülmaschine und machten uns, mit einem Blumenstrauß, auf den Weg canlı bahis şirketleri zu Tina. Etwas blass im Gesicht öffnete sie die Haustür und ließ uns rein. Sie umarmte uns, stellte die Blumen in eine Vase und wir gingen in ihr Wohnzimmer. Beeindruckt von der modernen Eirichtung und dem offenen Kamin setzte ich mich zwischen die beiden auf das große Sofa. Auf Christas frage wo und wie der Unfall passiert ist, erzählte sie uns das ein Kleintransporter die Vorfahrt der beiden missachtet und sie quer über die Straße gegen einen Baum geschoben hat. Das Glück im Unglück war, das Werners Mercedes so stabil gebaut ist, denn in einem Kleinwagen wären Biggi und er sicherlich schwerer verletzt worden.Auf meine Frage wie es den beiden geht und wie schlimm ihre Verletzungen sind antwortete sie. „Biggi hat einige Prellungen, 3 angebrochene Rippen und ein paar kleinere Schnittwunden. Werner hat ebenfalls einige Prellungen das linke Bein gebrochen und diverse Schnittwunden davon getragen. Wie gesagt Glück im Unglück und alles Dinge die früher oder später verheilt sind.“ „Oh Mann das ist schon heftig.“ „Das kannst du laut sagen Werner lag noch im Op weil der Bruch offen lag und geschraubt werden muss und Biggi wurde ambulant versorgt, als ich im Krankenhaus war und bei Christa anrief. Ich denke mal das beide starke Schmerzmittel bekommen haben und nun schlafen.“ „Gehst nachher nochmal hin?“ fragte Christa. „Ja klar die zwei brauchen ja noch ein wenig Kleidung Waschzeug usw. Würdet ihr nachher mal am Bootshaus nach dem Rechten sehen?“ „ Klar machen wir gib uns die Schlüssel und kümmer dich um deine Lieben.“Wir unterhielten uns noch eine Weile und nahmen Tina mit zu dem Charlottenburger Krankenhaus wo die beiden lagen und fuhren zum Bootshaus durch. Als wir den schmalen Fußweg vom Parkplatz aus betraten versperrten uns einige abgebrochene Äste den Weg die wir so schnell wie möglich wegräumten. Da sich mittlerweile die Wolken verzogen hatten und die Sonne vom Himmel knallte waren wir total verschwitzt als wir endlich am Bootshaus ankamen. Auf dem Dach und der kleinen Liegewiese lag auch noch einiges an kleineren Ästen aber im Großen und ganzem schien alles in Ordnung zu sein. Wir schlossen auf und sahen noch nach, ob das Boot irgendwelche äußerliche Schäden hatte. „Puh zum Glück sieht es hier drinnen normal aus.“ keuchte Christa und setzte sich aufs Bett. Auch ich hatte eine kleine Verschnaufpause nötig und setzte mich zu ihr. „Oh man hier hat´s ja ganz schön gewütet lass uns weitermachen Tina hat im Moment genug um die Ohren.“ sagte ich und wollte wieder aufstehen. Doch Christa hielt mich zurück in dem sie mich küsste und auf den Rücken drückte. Sie schwang sich auf mich, schob ihre Hände unter mein T-Shirt und fing an meine Brust zu kraulen. „Komm ein bisschen canlı kaçak iddaa Ablenkung tut uns beiden jetzt sicherlich gut.“ Noch lag ich ziemlich teilnahmslos unter ihr aber langsam fing mein kleiner Freund an zu wachsen. „He nicht so Traurig die Verletzungen der beiden heilen wieder und es nützt nichts wenn wir auch noch Trübsal blasen.“ Ich sah in ihre Augen und flüsterte. „Irgendwo hast du Recht.“Wie im Rausch rissen wir uns gegenseitig die Kleider vom Leib und liebten uns. Als ich mich in ihr ergossen hatte und wir wieder bei Sinnen waren, schnaufte Christa „Oh man das hat richtig gut getan kurz aber geil“ „Das kannst du laut sagen aber jetzt ruft die Arbeit wieder“ keuchte ich. „Erst brauch ich noch einen kleinen Nachschlag“ grinste Christa mich an und rutschte nach unten um meinen kleinen Freund zu blasen. Der war nach kurzer Zeit wieder voll einsatzfähig und ich rollte mich herum um Christa Doggy zu nehmen. Diesmal ließen wir uns etwas mehr Zeit und kamen beide fast zusammen. Langsam zog ich mich aus ihr zurück und wir kuschelten noch etwas bevor wir uns, nackt dran machten die kleine Liegewiese aufzuräumen.Kurz bevor wir fertig waren sah ich an Christas Oberschenkeln kleine Rinnsale herablaufen und grinste sie an. „Hey was grinst du so frech?“ Ich zeigte zwischen ihre Beine und sagte „Ich überlege ob das Schweiß von der Arbeit ist oder ob du zum Auslaufmodell mutierst.“ „Blödmann schon vergessen wer da zweimal seinen Samen rein gespritzt hat?“ „Jetzt wo du es sagst kommt mir so eine dunkle Erinnerung“ grinste ich. Sie nahm den Zeigefinger ihrer rechten Hand strich über eins der Rinnsale und tippte mir damit auf die Nase um ihn dann in meinen Mund zu stecken. „Stimmt ist kein Schweiß sondern von mir, allerdings muss ich da noch eins, zwei mal nachfüllen wenn du meinen Lebenssaft so verschwendest.“ „Später erst steht mir der Sinn nach einer lauwarmen Dusche von dir.“ Sie kniete sich auf alle vier und streckte mir ihren Po entgegen. „Los komm lass laufen.“ „Ok auf deine Verantwortung.“ Hinter ihr stehend lies ich meinen heißen Strahl von oben nach unten über ihre Wirbelsäule laufen und spritzte ihr Po Loch und die tropfende Möse regelrecht ab. Als ich fertig war ging ich auch auf alle vier und bat sie um den gleichen Service.Es war ein geiles Gefühl als ihr warmer Segen durch die Po Kerbe über meine Hoden lief und dann auf den Boden Tropfte. Danach nahmen wir ein ausgiebiges Bad im Wannsee und spülten nicht nur den Schweiß des Tages ab. Als wir wieder bei Tina vor der Haustür standen um den Schlüssel abzugeben war sie noch nicht zurück und wir fuhren weiter zu Christa. Kaum waren wir bei ihr zu Hause klingelte das Telefon.Als Christa nach dem Gespräch zu mir kam machte sie ein ernstes Gesicht.„Das war mein Göttergatte.“ „Ach daran canlı kaçak bahis hab ich ja überhaupt nicht mehr gedacht wann ist er denn morgen da?“ Ein Grinsen flog über ihr Gesicht als sie antwortete. „ Er hatte einen heftigen Streit mit seinen Stechern und klang ziemlich geläutert. Momentan möchte er aber noch zwei Tage Dänemark bleibe um das ganze zu verarbeiten. Ich soll dich lieb von ihm grüßen und er wünscht uns viel Spaß.“ „Das heißt ja.“ „Genau wir haben noch einige Stunden Sturmfrei und die sollten wir nutzen.“ Unterbrach sie mich lachend und knöpfte meine Shorts auf. „Los du wolltest doch noch mal nachfüllen.“ Es lief ähnlich ab wie Nachmittags im Bootshaus. Heftig nahm ich sie auf dem Wohnzimmertisch und gab ihr während sie die Orgasmuswellen überrauschten mein Sperma. Danach machten wir es uns wieder in der Wanne gemütlich und nach einem heißen Ritt gingen wir in ihr Ehebett um unsere Zweisamkeit zu genießen…..Am nächsten Morgen wachte ich allein auf und war ans Bett gefesselt. Als ich nach Christa rief kam zunächst keine Antwort und ich ergab mich in mein Schicksal. Erst eine halbe Stunde später kam Christa mit einem weißen Kittel bekleidet ins Schlafzimmer und grinste mich an. „Sieht geil aus dich mal wehrlos zu sehen.“ „Aha und wann hast du das mit mir gemacht?“ „Vor ca. zwei Stunden. Du lagst so schön auf dem Rücken und da dachte ich mir jetzt oder nie. Zum Glück hast du noch tief und fest geschlafen.“ Ich grinste nun zurück. „Und wenn ich dir jetzt vor lauter Überdruck ins Bett gepinkelt hätte?“ „Och da ist eh ein Gummilacken als Matratzenschutz unter dem Bettlacken.“ „Aha bist du etwa doch ein Auslaufmodell?“ „ Nö da ich es schon mal nass mag habe ich zu dieser Schutzmaßnahme gegriffen.“ „Also wenn das so ist können wir ja…“ „Genau das haben wir jetzt nicht mit dir vor.“Sie zog die Decken vom Bett und kam zu mir. Nach einigen heftigen Küssen Stand sie auf und holte eine Krankenhaus Ente drückte meinen Wasserharten nach unten und steckte ihn in den Hals der Ente. „So und nun schön laufen lassen.“ forderte sie mich auf. „Wie sie wünschen Schwester Christa.“ ging ich auf ihr Spiel ein und füllte die Ente. „Braver Patient.“ lobte sie mich und brachte die Ente weg um mit einer Wasserschüssel wieder zu kommen. „So dann wollen wir sie mal für die Visite frisch machen.“ Als sie anfing mich mit dem Waschlappen zu Waschen zuckte ich vor Schreck zusammen. „Na hab ich ihnen weh getan?“ grinste sie scheinheilig. „Das nicht aber ihr Wasser ist eiskalt.“ „Das muss so sein ich soll sie ja frisch machen und habe deshalb noch etwas Eis ins Wasser getan.“ Unter meinen Protesten wusch sie mich weiter und drehte mich so weit wie es in den Fesseln ging auf die Seite um meinen Rücken und Po zu waschen zuletzt kam mein kleiner Freund dran. Der war natürlich nicht von dem kalten Wasser begeistert und wurde zunächst zum, Schrumpfgermanen.Nach ihrer Prozedur legte sie eine Decke über mich und ging.PS. wie immer ist ein gewisses Feedback der Lohn für jeden Hobby Autoren und animiert ihn zum weiter schreiben.Euer Jo….

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Gamescom mit Lara Loft

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

Gamescom mit Lara LoftHallo! Mein Name ist Tom und zu dem Zeitpunkt an dem die Geschichte spielt war ich 18 und noch Jungfrau. An sich kann sich mein Körper sehen lassen, aber in Gesprächen mit Frauen lief immer irgendetwas schief, na ja ist ja auch egal. Als ich dieses Jahr auf der Gamescom war, war ich danach noch auf einer Art After-Show Party. Meine Freunde waren schon gegangen, so wie die meisten anderen auch, also saß ich ganz alleine auf einer Art Sofa, als mich auf ein mal eine Frau von links ansprach. “Hey, kann ich mich zu dir setzen?” ich drehte meinen Kopf und blickte direkt in ihren Ausschnitt, auf zwei perfekte pralle Brüste. Ich dachte die Stimme zu kennen und als ich ihr Gesicht sah erkannte ich sie tatsächlich! Lara Loft Streamerin, Youtuberin und immer wieder Gast in meinen sexuellen Fantasien. Natürlich gestatte ich es ihr, sich neben mich zu setzen. Ich hoffte sie hatte nicht gemerkt dass ich direkt auf ihre Titten geblickt hatte, allerdings machte ich es noch öfters während unserem Gespräch und es schien sie nicht zu stören. Während wir uns unterhielten versuchte ich dass sie nicht mitbekam, dass ich wusste wer sie war und schon gar nicht dass ihre Bilder und Videos als meine regelmäßige Wichsvorlage dienten. illegal bahis Sie berührte mich immer wieder leicht, später dann immer häufiger am Oberschenkel in Richtung meines Schritts. Bei ihrem flirten und den Berührungen musste einfach mein Schwanz hart werden, ich versuchte, dass sie es nicht mitbekam. Auf einmal unterbrach sie das Gespräch und sagte etwas, was nicht besser hätte sein können. “Ich und mein Freund hatten Streit und ich hab etwas getrunken, dass heißt jetzt will ich mich an ihm rächen und Sex. Willst du mir vielleicht dabei helfen?” “Jackpot!” dachte ich. Natürlich lud ich sie auf mein Zimmer ein, auf dem Weg dahin hatte ich fast durchgehend die Hand an ihrem prallen Hintern, den sie in eine enge schwarze Jeans gepresst hatte. Auf meinem Zimmer begannen wir mit einander rum zu machen und uns auszuziehen. Es war ein traumhafter Moment, als sie ihren BH auszog und ich auf ihre perfekten Titten gucken konnte, sofort griff ich zu und knetete sie etwas durch. Sie trug nur noch einen knappen schwarzen Slip als sie meinen Schwanz rausholte und anfing zu blasen. Diese prallen Lippen waren unglaublich, so unglaublich dass ich nach ein paar Sekunden ihr eine riesige Ladung in den Mund spritzte. “Fuck!” dachte ich, illegal bahis siteleri damit war meine Chance vorbei, aber es war mein erster Blowjob und gerade von Lara. Wer könnte es mir da verübeln? Sie schluckte alles und hörte einfach nicht auf zu blasen und es funktionierte, ich blieb hart. Vielleicht passierte ihr das öfters, denn sie machte einfach weiter, als wäre nichts gewesen. Nach einer Weile sagte sie “So eine dicke Ladung will ich nachher auch nochmal” während sie meinen Schwanz mit ihren Händen massierte. “Soll ich dich lecken?” fragte ich. “Brauchst du nicht. Ich bin schon den ganzen Abend feucht” sagte sie und zog ihren Slip aus. Ich sagte ihr, dass ich keine Kondome da habe und sie antwortete “Brauchen wir nicht. Mein Freund versucht mich eh vergeblich zu schwängern, vielleicht bekommst du es ja hin!” und zwinkerte. Besser konnte es nicht werden, dachte ich und schon ließ sie mein Ding in sich eindringen und fing an zu reiten. Das Gefühl ihrer nassen engen Pussy und der Anblick ihrer hüpfenden prallen Titten war schon verdammt geil, doch dann noch ihr Stöhnen dazu. Ihre Stimme bekam mich sowieso schon immer hart, gerade wenn sie mal stöhnte, aber das war noch viel intensiver. Nach einer Weile wechselten canlı bahis siteleri wir Stellung und machten mit Missionar weiter. Ich stieß so hart wir möglich zu und massierte ihre Klit dazu, was sie noch mehr stöhnen ließ. Ich griff immer mal wieder an ihre so einladend wackelnde Brüste und spielte ab und zu mit ihren Nippeln. Ich drehte sie in Doggy Position, ihr geiler Hintern hatte bisher viel zu wenig Aufmerksamkeit bekommen. Das Klatschen dieser prallen Backen war unglaublich, besonders wenn ich ihnen immer mal wieder einen Klaps gab. Ihr schien es zu gefallen, denn so wie ich mittlerweile wie ein Tier zustoß, wurde ihr stöhnen a****lisch. Sie schrie schon fast. Ich merkte wie ihre Pussy enger wurde und sich wieder entspannte. Ich hatte es tatsächlich geschafft, sie zum kommen zubringen. Ich wollte, erst probieren es ein weiteres mal zu machen, doch ihre pulsierende Pussy und das Stöhnen ließen mich auch kommen. Ich hatte noch nie so viel abgespritzt, es brauchte eine ganze Weile bis das meiste rausgelaufen war. Erschöpft lagen wir eine Weile da. Irgendwann zog sie sich wieder an und ich musste ihr versprechen dass ich wegen ihrem Freund und so es niemanden erzähle (ups). Was soll ich sagen das war die beste Gamescom überhaupt :D[Ich heiße übrigens weder Tom noch bin ich 18 oder Jungfrau. Das ist die erste Geschichte, also tut mir leid wenn sie noch nicht perfekt geschrieben ist. Die Geschichte ist natürlich ganz meiner Fantasie entsprungen (oder etwa doch nicht ;D)]

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Tante Carolines beste Freundin Anna

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

Tante Carolines beste Freundin AnnaEs ist mal wieder Zeit, Euch von meinen geilen Erlebnissen zu berichten. Ihr kennt mich ja schon, ich bin Sven. Und meine Damenwelt habt Ihr auch schon kennen lernen dürfen. Da wäre zum einen meine Freundin Samira, dann haben wir Ihre Mutter Tamara, Ihr kennt auch schon meine Tante Caroline, aber die beste Freundin meiner Tante, die kennt Ihr noch nicht und die werde ich Euch heute mal vorstellen. Damals hatte mich meine Tante Caroline, nach dem 2. Fotoshooting angerufen und sich nochmals herzlichst bei mir für die tollen Bilder, meinen schönen Schwanz und für das Wichsen und Blasen bedankt. Sie meinte noch, Sie hätte sich das früher nie vorstellen können, so etwas mit Ihrem Neffen zu tun, doch mittlerweile hatte Sie Gefallen daran gefunden und wir sahen uns nun ja echt häufig. Zum einen machte ich Bilder, von Ihr, in Reizwäsche, dann nackt zu Hause und auch in der Öffentlichkeit. Als Dank ging Sie mir regelmäßig an mein Rohr, mit der Hand, mit dem Mund und gefickt hab ich Sie nun auch schon einige Male. Doch bei diesem Anruf war etwas anders. Sie meinte am Telefon: „Na mein geiler Sven, ich weiß, Du machst so gerne Nacktbilder von mir und letzte Woche war meine Freundin Anna hier und ich hab diese Ihr gezeigt. Sie fand die Bilder sehr gelungen und will nun auch welche haben. Ich hab Ihr natürlich gesagt, daß die Fotos von meinem Neffen gemacht wurden und ich auch Dank leisten mußte, was Sie aber nicht abschreckte. Sie will auch unbedingt von Dir abgelichtet werden und Sie würde sich auch bei Dir bedanken. Was hältst Du davon, Sven ?“ Ich mußte nicht lange überlegen und sagte zu Tante Caroline: „Kein Problem, ich werde auch Anna fotografieren, in Reizwäsche und auch nackt. Sie muß bei mir Dank leisten und dafür, daß ich mit Ihr die Bilder mache, wirst auch Du Dich mal wieder mir hingeben.“ Tante Caroline lenkte ein, wußte Sie doch, was Sie an mir und meinem Prügel hatte. Kurz darauf stand der Termin und ich fuhr zu Anna nach Hause. Sie wohnte, genau wie meine Tante, alleine. Jedoch hatte Sie ein großes Grundstück und ein schönes Haus. Zunächst lernten wir uns kennen, dann sprachen wir uns ab, damit ich auch nur die Fotos von Ihr güvenilir canlı bahis siteleri machen würde, die Sie haben wollte. Und heraus kamen Fotos, Ihr glaubt es nicht. Sie verschwand erst einmal im Haus um sich um zu kleiden, kam dann wenig später zurück zu mir ins Wohnzimmer und sagte: „So Sven, ich hab jetzt genau das an, was ich zeigen möchte, auf den Fotos. Ich trage unter meinem Mantel schöne rote Reizwäsche. Wollen wir die Fotos im Haus oder draußen machen ?“ Die Entscheidung war schnell gefunden, denn eine fremde Frau, erst in Reizwäsche und später nackt im Freien zu fotografieren, daß ist doch mehr als nur geil. So verließen wir die Wohnung und gingen hinterm Haus in den Garten, wo ich nach kurzer Suche einen geeigneten Shooting-Platz entdeckte. Ich brachte Anna vorsichtig in die erste Position und begann zu knipsen. Anna war echt eine Klassefrau, ließ sich gekonnt ins rechte Licht führen und hatte keinerlei Schamgefühle, als es daran ging, auch den Mantel zu öffnen und endlich mehr nackte Haut zu zeigen. Ich hab Sie also gebeten: „Los jetzt Anna, mach mal was richtig Scharfes.“ Und dem folgte Sie sofort.Sie öffnete den Mantel und zum Vorschein kamen ein roter Strapsgürtel und hautfarbene Strapsstrümpfe, dazu ein kleiner roter String-Tanga und ein roter BH. Sie lehnte sich an den Mauervorsprung an, spreizte Ihre Beine und zog ganz leicht am Höschen, so daß ich Ihre Schamhaare erblicken konnte. Dazu dann auch noch dieser Blick, irgendwie schamhaft und doch so geil. Es hätte jetzt nicht gleich sein müssen, daß Sie so viel zeigt, aber es verhalf mir, in Schwung zu kommen und in meiner Hose bäumte sich mein Penis auf. Als ich einige Bilder gemacht hatte, meinte Anna, Sie würde sich auch zu gerne ohne Mantel und BH hier knipsen lassen und ehe ich noch etwas sagen konnte, ließ Sie die Hüllen fallen und stand vor mir, voll im Sonnenlicht, beinahe komplett nackt.Ja, mit Schamgefühlen hatte Sie es nicht so und Ihr Körper war beinahe makellos, konnte sich echt sehen lassen. So ein schöner, knackiger Busen, so schöne, kleine, spitze, aufgerichtete Nippel, so ein toller Körper und auch die Beine, ein Traum. Ich machte Fotos von vorne, von der güvenilir illegal bahis siteleri Seite und auch von hinten, wobei mir Ihr knackiger Arsch nicht entgangen war. Sie hingegen hatte wohl längst bemerkt, welch Hammer sich in meiner engen Jeans gebildet hatte. Wahnsinn, heute war mein Schwanz vielleicht wieder hart. Und er sollte kurz darauf auch noch härter werden, denn Anna machte keine Anstalten mich nicht zu provozieren. Im Gegenteil, Sie legte es regelrecht darauf an und meinte in der nächsten Stellung sogar zu mir: „Sven, wenn die Hose zu eng wird, lass ihn ruhig mal raus. Caroline meinte, Du hättest einen richtig geilen Schwanz.“ Was sollte ich von dieser Aussage halten ? Dann diese unfassbare Stellung.Sofort machte ich mindestens 20 Bilder, dann ging die Sonne ein wenig weg und ich zu Anna hin. Mit dem Licht war ich nun nicht so zufrieden und so versuchte ich Anna ein wenig anders zu positionieren. Dabei berührte ich erst einmal ganz locker und leger, Ihre nackten Schenkel, die ich noch weiter spreizte, dann drückte ich Ihr den Oberkörper etwas zurück und ließ es mir nicht nehmen, Sie sanft am nackten Busen zu berühren. Anna lächelte mich dabei an und meinte neuerdings: „Komm Sven, lass ihn raus, ich werde ihm schöne Gefühle bereiten.“ Anna wußte genau was Sie wollte und ich wollte es auch, aber mir fehlte irgendwie noch das ganz besondere Foto. Ich bat Sie dann auf zu stehen und mit mir durch die Wohnung auf die andere Hausseite zu gehen. Dort gab es außerhalb auch einen schönen Garten und eine Sitzbank. Und genau dort brachte ich Sie nun splitternackt in Position. Anna wollte auch gleich die langen Beine spreizen, doch ich bestand darauf, einfach sinnlich da zu liegen und zu posen. Und Anna tat es. Meine Hose war zum zerreissen gespannt und mein Prügel wollte nur noch Eines, nämlich endlich raus an die frische Luft.Als wir wenige Momente später wieder im Haus waren und Sie mich ganz nackt an starrte, mußte ich Ihr einfach mal mein Rohr zeigen. Und als Sie meinen 25cm Lümmel sah, fielen Ihr beinahe die Augen aus dem Kopf. Sie meinte noch: „Sven, um Himmels Willen, was ist das denn ? Sie starrte auf meinen Riesenpenis und güvenilir bahis şirketleri ich sah Sie ganz geil an. Ich hab Sie noch gefragt, ob Sie Lust auf einen Fick hat, aber Sie lehnte, angesichts meiner großen Stange, dankend ab. Trotzdem wollte ich nicht unverrichteter Dinge nach Hause gehen.Ich hab es mir dann anfangs erst einmal selbst gemacht, mir geil meinen riesigen Lümmel sanft gestreichelt und gewichst, wobei Anna große Augen machte und den Mund beinahe nicht mehr zu brachte. Dann trat ich näher an Sie heran und bot Ihr die Möglichkeit, doch mal auf Berührungskurs zu gehen. Schließlich fühlte ich Ihre Hand an diesem geilen Schwengel und Sie rieb mit der Hand die kompletten 25cm ab. Das war echt geil und Sie fand es nun auch nicht mehr so schlimm, daß ich so einen langen hatte. Schließlich hat Sie ihn nicht nur gestreichelt, sondern auch gewichst und Sie hat auch daran geleckt. Nach weiteren 2 Minuten drang dann meine Eichel sogar in Ihren warmen Mund ein und wurde herrlich angesaugt. Sie besorgt es mir Oral etwa 4 Minuten lang, kurz bevor ich kommen würde hörte Sie auf und wollte wissen, ob ich damit überhaupt ficken könne. Ja hab ich gesagt, natürlich geht das und viele Frauen finden es total geil. Auch Tante Caroline fährt auf meine lange Nudel total ab. Anna hat mir dann noch die Nudel weiter gewichst und nach Kurzem kam es mir dann und eine volle Ladung Lebenselexier schoß aus meinem Prügel und traf Anna im Gesicht und auf dem blanken Busen. Sie war total begeistert, hatte nicht damit gerechnet, daß ich 7 Fontänen Sperma verspritzen konnte und sah dann, genau wie ich, wie mein Saft von ihrem Gesicht, über Ihren Busen hinunter Richtung Ihrer nackten Möse rinnte. Zum Abschied versprach Sie mir, nächstes Mal lässt Sie sich von mir nehmen und dann werde ich es Ihr besorgen, wie es noch nie Jemand bei Ihr gemacht hat. Sie meinte weiter, ich solle nicht all zu lange warten, bis ich mich hier wieder blicken lasse und vor Allem, ich solle es nicht zu oft mit Tante Caroline treiben. Was Anna aber nicht wußte, Tante Caroline würde die nächste sein, die mein Rohr zu spüren bekommen würde, denn auch Sie mußte Dank leisten, dafür, daß ich die Fotos von und mit Anna gemacht hatte. Ich weiß auch schon wo und wie ich das machen werde. Ich werde mit Tante Caroline in den Wald gehen, Sie muß sich dort ganz nackt ausziehen und dann werde ich es Ihr dort heftigst besorgen, daß Sie voll aus sich heraus geht, so wie Sie es mag. Tante Caroline ist die heißeste Tante, die es gibt.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Geheimnisse von Nonnenwerder 8

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Babes

Geheimnisse von Nonnenwerder 8Jacqueline_KNachtwacheIrgendwie hatte ich das Gefühl, dass unsere nächtlichen Aktivitäten nicht mehr so geheim waren, wie wir dachten. In der ersten Nacht waren Martin und Johannes noch wie befohlen in meinem Zimmer aufgetaucht und hatten uns alle nach einander beglückt und uns tiefe Einblicke in ihr Können geboten. Aber danach wurde es für sie immer schwieriger, weil sie immer häufiger draußen zwischen dem Anleger und dem Kloster dem Hausmeister über den Weg liefen und der sie wieder zurückschickte. Es war so, als wenn dieser die Insel bewachen sollte.Nun war es auch schon Anfang November und mein Vorschlag, sie könnten doch einfach herüberschwimmen, wurde nicht wirklich begeistert aufgenommen. So hatten wir zwar Freunde und Liebhaber, aber wir kamen nicht an sie heran. Aber wie war das noch mit dem Berg und dem Propheten? Eben. Es musste doch noch andere Möglichkeiten geben, an dem Hausmeister vorbei zu kommen und auf die Insel drauf und wieder runter zu kommen. Nicht nur diese blöde Fähre.Es war wieder einer der Abende, wo wir beobachten mussten, dass der Hausmeister unsere Jungs wieder mit der letzten Fähre von der Insel herunter komplimentierte und am Ausleger darauf wartete, dass diese auch wirklich ablegte. Dann verschwand er von der Bildfläche. Nach etwa 30 Minuten startete auf der anderen Seite ein Auto.„Was für ein Auto hat der Hausmeister?“„Einen VW-Bus T3 glaube ich. Wieso?“ fragte Cloe zurück.„Weil gerade so ein Modell auf der anderen Seite vom Lehrerparkplatz gefahren ist. Fährt noch einer so ein Teil?“„Nein, alle anderen Lehrer sind auch schon nach der Schule weg.“„Okay, wer darf noch auf dem Lehrerparkplatz parken?“„Niemand, da ist eine Schranke davor, da kommt man nicht so ohne weiteres hin.“Ich starte wieder nach draußen illegal bahis in die zunehmende Dunkelheit. Ich war mir sicher, die Gestalt des Hausmeisters auf der anderen Seite gesehen zu haben. Es gab nur drei Möglichkeiten, wie das passiert sein konnte. Erstens war er mit auf die Fähre gestiegen, zweitens er hatte ein Boot oder drittes, es gab noch einen anderen Weg auf die Insel. Ich beschloss, dass wir diesem Geheimnis auf den Grund gehen sollten. Aber wie sollte wir das anstellen.„Dein Zimmer hat die beste Aussicht auf den Fähranleger. Wir wechseln uns ab beim beobachten“, sagte Anna. „Und wir lenken die Beobachter nicht ab.“„Was? Kein Sex?“, maulte Vanessa.„Bist du so auf den Geschmack gekommen, dass du nicht auch noch ein paar tage so auskommst?“ frotzelte Cloe.„Du hast es zwar noch nicht versucht, aber ich kann dir sagen, dass Jacky wirklich total lecker schmeckt.“„Das kann ich bestätigen“, sagte Anna.„Können wir bitte wieder von meinem Geschmack auf den Hausmeister zurückkommen? Der wohnt doch hier auf der Insel, oder?“„Ja. Er ist aber kein Mönch oder sowas“, sagte Cloe. „Es ist eher so, dass er etwas zurückgeblieben ist und deshalb keinen anderen Job bekam. Und deshalb haben ihm die Schwestern einen Job im Kloster verschafft.“„Ich glaube nicht an die Geschichte mit dem Zurückgeblieben“, sagte Vanessa. „Ich habe gehört, dass er ein Abitur hat. Damals in seinem Alter wurde das noch keinem geschenkt. Ich meine gehört zu haben, dass er nach der Trennung von seiner Familie einen Nervenzusammenbruch erlitt und dadurch arbeitsunfähig wurden. Ab da deckt sich die Geschichte wieder mit der von dir.“„Also wohnt er hier aus Barmherzigkeit der Nonnen und ist geistig so stabil, dass er ein Auto bedienen kann. Trotzdem, was macht er nachts außerhalb der Insel illegal bahis siteleri und wie kommt er dahin?“„Wir müssen auch die Jungs auf ihn ansetzen.“So war es beschlossen Sache, dass wir hinter das Geheimnis unseres Hausmeisters kommen wollten. Wir machten einen Plan, wer zu welcher Stunde aufmerksam den Lehrerparkplatz und die Fähre im Augen behalten sollte. Dazu sollte er auch am Tag beobachtet werden, wenn wir keine Schule hatten. So würden wir schon dahinterkommen, wie er es schaffte, von der Insel zu kommen.Als Vanessa die Nachtwache in meinem Zimmer hatte, verbrachte ich die Nacht bei Cloe. Die schien sehr daran interessiert zu sein, dass zu machen, was auch schon die anderen an mir getan hatten, aber sie traute sich auch nicht so wirklich. Sie legte sich zwischen meine Beine genau vor meinen Schritt und schaute mich da die ganze Zeit an.„Warum wird es da so glänzend“, fragte sie nach einiger Zeit.„Die Frage ist ein Witz oder? Warum wohl wird wohl meine Muschi feucht.“„Du findest es geil, dass ich sie nur anschaue?“„Das und die Vorfreude, wenn du dich endlich überwindest.“„Du wirst nur von der Vorfreude darauf geil, dass ich dich dort mit meiner Zunge berühre? Du weißt doch noch nicht mal, ob ich es gut mache.“„Du bist eine Frau. Du weißt, wie es sich anfühlt, wenn ich es bei dir mache. Ich denke, du machst das bestimmt gut.“„Ich weiß nicht.“„Ich aber. Aber es wäre echt toll, wenn du endlich mal anfangen würdest. Wir müssen beide heute auch nochmal auf Wache und es wäre besser, wenn wir davor auch noch etwas schlafen würden.“„Du hast recht“, sagte Cloe und wollte sich aufrichten. Ich schlang meine Beine um ihre Schultern und brachte sie so mit ihrer Nase direkt auf meinem Venushügel zu liegen. Genau in dem Moment kam Vanessa rein. Blitzartig canlı bahis siteleri ließ ich Cloe wieder frei, die sich allerdings nicht wegbewegte.„Er ist wieder da.“„Der Hausmeister?“„Wer sonst, er ist gerade mit seinem Bus vorgefahren und ausgestiegen. Hier ich habe ein Photo mit dem Handy gemacht.“Sie zeigte ein total verpixeltes Bild eines Mannes, der jeder sein konnte.„Und? Hat sie?“ wollte Vanessa wissen und ich wollte gerade mit dem Kopf schütteln, als ich ihre Zunge an meinem Kitzler spürte. So stöhnte ich nur ein Ja heraus.„Dann wünsche ich euch noch viel Spaß, ich gehe zu Anna.“Und damit war sie wieder draußen. Ich holte Cloe zu mir nach oben und küsste sie. Ich schmeckte meinen Geschmack in ihrem Mund.„Entschuldigung, dass ich dich drauf gestoßen habe.“„Dafür musst du dich nicht entschuldigen. Wenn du es nicht gemacht hättest, dann wäre ich sie noch nächste Woche am beschauen gewesen. Und die anderen haben Recht. Du schmeckst wirklich sehr gut.“Wir vertieften das in der Nacht nicht weiter, sondern schliefen uns lieber aus. In den folgenden Nächten bekamen wir immer detaillierter heraus, wo der Hausmeister wann war. Was wir aber nach wie vor nicht herausbekamen, war wie er es schaffte, die Insel zu verlassen. Es war nur klar, dass er es hin bekam und dass er weder ein Boot hatte, noch mit der Fähre fuhr. Es gab also noch einen anderen Weg.Der Grund für seine all abendlichen Ausflüge indes war ein trauriger. Martin hatte herausbekommen, dass er jeden Abend zum Friedhof der Stadt fuhr und dort sich vor ein Grab setzte. Er stellte jedes Mal eine neue Kerze darauf und sorgte dafür, dass es das bestgepflegteste Grab des ganzen Friedhofs war. In dem Grab lag eine Frau mit ihrem sechs Monate alten Kind. Nur der Name auf dem Grabstein passte nicht zu seinem. Aber es waren die neunundsechziger. Vielleicht hatten sie in wilder Ehe gelebt, bevor sie aus dem Leben gerissen worden waren. Wie auch immer konnte ich mir vorstellen, dass dieses Grab der Auslöser dafür war, dass er nun als Hausmeister auf der Insel lebte.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Premiere fois avec mon beau frere, partie 2

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Babe

Premiere fois avec mon beau frere, partie 2Voilà que je me retrouvais seule avec mon beau frère dans sa piscine (et celle de ma soeur, forcément). C’était pas la première fois que je me retrouvais seule avec lui, mais c’était la première fois qu’on profiter de la piscine que tout les deux. La chaleur écrasante et étouffante nous a motivés à se rafraîchir dans sa piscine. Ce fut la même raison qui lui fit sortir quelques bières fraîche. Au bout de quelques heures, si j’avais été raissonable sur la boisson à cause de reprendre le volant plus tard, il descendit plusieurs bières rapidement, n’ayant pas les même contrainte que moi étant déjà chez lui et ne devant pas bouger jusqu’au lendemain. C’est ainsi que je découvrais Pierre loin d’être ivre, mais avec un bon coup dans le nez.C’est ainsi que la discussion se concentra sur moi. Il me dit que j’avais changée et que malheureusement je n’étais plus cette jeune femme docile et soumise. On se rappelait le temps où on était jeune et que je les suivaient à obéir au moindre de leurs désirs. C’est ainsi que j’appris que depuis la naissance de leur premier enfant, le sexe était devenu très rare et encore bien plus rare voir quasi inexistante depuis la naissance du deuxième. Étant très proche de ma soeur, je suis certaine qu’elle est toujours folle amoureuse de son Pierre et qu’elle lui reste toujours fidèle. Cependant la discussion güvenilir bahis avec mon beau frère confirma les confidences que ma soeur m’avaient fait une fois ou l’autre, sur le fait que le sexe, c’est absolument pas du tout son truc. Je la croyais à moitié pensant qu’elle ne voulait pas parler de sa vie intime, mais au final c’est le cas, le sexe pour ma soeur , c’est juste poir la reproduction ou presque (pourtant ma soeur est vraiment une très belle femme, très bien proportionné physiquement. Mais je suis peut être pas totalement objective).Après cette courte confession de sa part sur son manque de vie sexuelle avec ma soeur, il me dit regretter que je sois plus cette femme docile et soumise et que mon mari n’avait pas fait une bonne chose sur se point. Je fus quelque peu honteuse de lui avouer que c’était quelque chose qui me manquait. Que sexuellement ma vie était très loin d’être vide avec mon mari, mais que c’était très monotone malgré ses efforts pour toujours me faire jouir et qu’il manquait se côté merveilleux de se sentir utilisée pour offrir du plaisir. Que je ressentais pas se désir ultime dans les yeux de mon mari et que malgré notre vie sexuelle active (2 fois par semaine environ. Parfois plus parfois moins, même si souvent parfois moins), j’étais quelque peu frustrée malgré mes jouissance.Pierre commença à me parler de mon ex, ressortant türkçe bahis les confessions que je lui avais dit quelques années auparavant. Mon ex était chanceux que chaque jour après le travail, il me voyait me mettre à genoux pour que je le suce à peine rentré etc. Plus il me parlait du comportement de mon ex envers moi, et plus il se rapprochait de moi jusqu’à sentir ses mains se poser sur mes seins. J’étais paralysée entre la peur, l’excitation et la honte. Il sortit mes seins lentement tout en continuant de me parler. Je me suis retrouvée seins nue devant lui, puis il commença à me les caresser de moins en moins doucement que j’ai finir par gémir de plaisir contre mon gré.Il me traita de grosse salope, me disant que je m’étais laissée mettre seins nue et que je gémissais à me faire tordre les tétons. Il m’insulta sans retenue tout en palpant mes seins fortement, m’humiliant sur ma passivité et mes gémissements. Il me fit remarqué que j’étais une femme mariée et que je prenais plaisir avec un autre homme. Que non seulement j’étais en train de rendre mon mari cocu mais que ma grande soeur, celle qui fut toujours là pour moi, qui m’a accueillie et aidée alors que j’étais au plus mal, je la rendais elle aussi cocue à prendre ainsi plaisir avec son mari. Il m’humilia tellement que je commençais à en pleurer à chaude larmes tellement j’avais honte. Pourtant je continuais güvenilir bahis siteleri à le laisser toucher sans retenue ma poitrine.Lorsqu’il passa sa main sur ma chatte, je commençais, entre deux sanglots, à le supplier de me laisser et que cela s’arrête là. Mais lorsque je sentis sa queue me pénétrer lentement, je répétait en boucle “non pitié” jusqu’à que sa queue soitt totalement rentrée en moi. Il se mit à rire, me disant que j’étais ridicule à demander pitié non stop à en perdre haleine, alors que je l’avais pas repoussé une fois, et que, j’avais même écartée mes cuisses pour lui me prendre plus facilement. Il appréciait de plus que je me laisse faire alors qu’il avait pas de capote.Avant de commencer à bouger en moi, il me regarda comme jamais on m’avait regard. Ses yeux étaient remplis de désir et d’amour. Sincèrement, jamais on m’avait regardé avec un tel plaisir, mais peut être ne suis toujours pas objective puisque j’ai toujours été folle de désir pour Pierre. Lorsqu’il m’embrassa, je répondis à son baiser immédiatement. Je le suppliais de me laisser quelques secondes plus tôt car j’avais trop honte de mon comportement qu’il avait décrit, mais j’étais enfin à lui. Mon plus grand fantasme était en train de se réaliser et impatiente de le sentir jouir, je m’accoudais comme je pouvais au rebord de la piscine pour moi bouger sur sa queue. Il éjacula très vite en moi et il comprit que j’avais pas jouie mais que j’étais extrêmement heureuse et comblée de l’avoir fait jouir.C’était que le milieu de l’après midi et il restait encore 3 bonnes heures avant que ma soeur rentre avec ses enfants

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

şişli escort Antalya escort beylikdüzü escort escort eryaman escort demetevler escort Hacklink mamasiki.com bucur.net hayvanca.net lazimlik.net cidden.net By Casino rus escort bahçelievler escort Escort bayan Escort bayan escort ankara sincan escort bursa escort bayan görükle escort bursa escort bursa merkez escort bayan Kartal escort Maltepe escort Pendik escort otele gelen escort anadoluyakasikadin.com kadikoykadin.com atasehirkadin.com umraniyekadin.com bostancikadin.com maltepekadin.com pendikkadin.com kurtkoykadin.com kartalkadin.com escortsme.com Hacklink Hacklink panel Hacklink bursa escort görükle escort bursa escort bursa escort bursa escort bursa escort Ankara escort bayan Ankara Escort Ankara Escort Rus Escort Eryaman Escort Etlik Escort Sincan Escort Çankaya Escort ankara escort bursa escort Escort hurilerim.com bursa escort bursa escort bursa escort bursa escort bursa sınırsız escort bursa escort bayan bursa escort görükle escort antalya escort istanbul travesti istanbul travesti istanbul travesti ankara travesti Moda Melanj türkçe altyazılı porno porno 64 japon porno burdur escort bursa escort çanakkale escort çankırı escort çorum escort denizli escort diyarbakır escort düzce escort edirne escort elazığ escort ankara travesti escort escort escort travestileri travestileri keçiören escort etlik escort çankaya escort