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Chap. VI – “Premier Mec — Fin d’un granD’autres histoires vécues a lire : http://bisoumidomi.unblog.fr— Chap VI —Après l’affaire « Sandrine » , Sonia et moi ce fut un rêve, un régal. Notre complicité était sans pareille, nous allions au-devant des désir de l’autre de façon innée ou presque. Si la découverte de la bisexualité de Sonia avait été une sacrée surprise, la soirée qui s’en était suivie est certainement une des plus mémorables qui soit et encore aujourd’hui tout est gravé dans ma mémoire jusqu’à d’infimes détails.Nous étions assez inséparables avec Sandrine au point qu’il ne se passait pas une semaine sans que nous nous retrouvions tous les trois réunis. Invariablement cela se terminait au lit, enfin au lit pas forcément car nous avions une certaine propension à faire l’amour là où nous nous trouvions ce qui donna parfois de curieux résultats. Ce trio était basé sur le sexe mais aussi sur l’amitié/amour que se portaient les deux coquines et ma mon amour pour Sonia et la sincère amitié que j’avais conçu pour Sandrine qui restera sans doute la seule femme pour laquelle j’avais une amitié comparable à celle qui peut exister entre hommes. Sandrine était devenue un « pote » on parlait cul ensemble comme le font deux hommes, on chahutait chose que je n’ai jamais reproduit avec d’autres femmes.N’allez pas croire que nos relations étaient uniquement centrées sur le sexe, si c’est une part importante et incontournable que j’ai voulu narrer au fil de ces pages, ce n’était pas notre seule préoccupation quand même. Rapidement après cette première soirée a trois et compte tenu du plaisir que nous y avions pris, Sonia mais aussi Sandrine qui faisait partie de la famille, avaient une idée en tête les parties a plusieurs dont j’avais avoué maintenant avoir une certaine habitude.. en fait l’habitude, surtout des trios mais il m’était arrivé d’emmener une amie. Sonia éprouvait une forte curiosité mais se posait quelques questions sur ma réaction, si je la voyais dans les bras d’un autre homme. Autant elle comprenait que j’acceptais de la voir dans les bras de Sandrine, mais elle redoutait de me donner le spectacle d’une femme qui s’abandonne dans les bras d’un autre. Pour moi, dans ma tête je ne voyais pas de problème à jouer de cette façon. Il n’y avait pas de sentiments donc cela ne me posait aucun problème. Je lui disait que elle, ne concevait aucun doute envers moi alors que je faisais l’amour a Sandrine, que moi j’étais dans le même état d’esprit.Sandrine n’avait aucun problème existentiel avec l’idée de participer à ce que l’on peut nommer une partouze. Elle ne voyait là que le moyen de prendre du plaisir. Cela me gênais vis à vis de son statut de femme mariée, de l’entrainer dans ce genre de choses. J’en parlais longuement avec elle, et je fini par en conclure que son mariage ne la satisfaisait pas, qu’un jour ou l’autre elle se séparerait de son mari c’était a peu près inéluctable. Elle ne crut pas à cette éventualité, elle aimait son mari véritablement, s’effaçant devant les impératifs de sa carrière au détriment de ses besoins propres et de sa vie à elle. C’était l’explication de son attachement à Sonia et maintenant à notre couple, elle trouvait avec nous ce qu’elle aurait aimé trouver auprès de son mari.En fait elle n’eurent pas à me convaincre, mais je voulais être sur que Sonia et Sandrine avait la vision de ce qu’allait impliquer ces nouvelles aventures. Sandrine toujours impatiente aurait aimé être de la première expérience, mais Sonia voulait que cette première fois se passe entre deux couples et non notre trio et un couple. C’était à la limite plus conventionnel si j’ose dire. Sandrine bouda quelques minutes mais nous fit jurer qu’on lui raconterais tout, ce qui de toute façon était évident. Sonia insistais aussi pour que la première rencontre ai lieu chez nous. J’étais assez amusé par les petites réticences de Sonia, elle qui pourtant n’était pas timide peu s’en faut..Je repris contact avec M & M , hé oui c’était leur surnom clin d’œil sur les initiale de leurs prénoms Michelle & Marc, ces derniers furent enchantés d’avoir de mes nouvelles après plusieurs mois. Je leur expliquait ma nouvelle situation, que j’avais rencontré la femme de ma vie, et qu’elle avait vu d’un œil intéressé la possibilité de nous amuser à plusieurs. Marc en plaisantant me demanda si maintenant j’avais envie de m’amuser avec un homme, ce à quoi je répondis qu’a priori c’était pas prévu avant la prochaine aire glaciaire. Il était décidé que le prochain week-end nous le passerions ensemble.Sonia fut fébrile toute la semaine, impatiente mais aussi inquiète. Elle avait une appréhension que je ne comprenais pas. Je finis par lui faire avouer que c’était de faire l’amour avec un autre homme devant moi qui l’angoissait. Peur de trop prendre de plaisir et que j’en soit jaloux, peur de faire mauvaise impression, de passer pour une salope devant l’autre femme. Des préventions incroyables compte tenu de ce que nous avions vécu avec Sandrine. Mais pour Sonia, avec Sandrine ce n’était pas pareil, comme si Sandrine et elle c’était la même chose. On faisait les pires folies avec elle, dans la bonne humeur et avec naturel comme si le sexe a trois était une chose normale, mais la perspective de se retrouver avec un autre homme pour faire en fin de compte les mêmes folies lui causait un peu d’angoisse. Oh ce n’était pas énorme comme malaise mais il était là, un peu de trac en fin de compte.Quand arriva la fin de semaine, Sonia avait tout prévu, nous avions trouvé plus sympa de commencer par faire connaissance pendant un bon repas, mon petit ange avait mis les petits plats dans les grands et une fois tout réglé elle c’était mise à se pomponner et à se mettre en valeur. Et même si bien sur j’étais amoureux donc aveugle, je dois admettre que c’est sans doute la plus belle de toutes les compagnes que j’ai eu, et ce soir là.. Mon dieu qu’elle était belle, je retombais amoureux une deuxième fois.Michelle et Marc arrivèrent, je faisais les présentations, Sonia était un peu tendue ne sachant pas vraiment quelle attitude avoir serrer la main ou faire la bise elle ne savait que faire.Michelle détendit la situation en lui faisant la bise d’entrée de jeu et en disant en me montrant du doigt..« Lui je le connais trop bien, je sais ce que tu endure avec lui .. Il te fait grimper au rideau à chaque fois.. Hein? C’est çà ma pauvre chérie»Sonia éclata de rire et dit« Ah oui vous.. enfin …tu le connais bien je vois çà..Mais je le garde maintenant !! »« Ah au moins sur terre il y a deux mecs heureux.. toi et moi » dit Marc« Regarde les femmes magnifiques que l’on à… » puis s’adressant a Sonia« Tu est vraiment superbe, il m’avait dit plein de bien de toi mais il a toujours eu très bon goût.. la preuve il aime beaucoup ma femme … comme moi.. »Le ton était donné, Sonia me jeta un petit regard en coin et un sourire qui en disait long. Elle était souriante et se détendait tout irait bien.. Michelle aussi était superbe, elle n’avait plus ses cheveux bouclés mais une coupe courte un peu garçonne et une teinture très rousse, un chemisier blanc diaphane qui ne cachait rien de ses seins, une jupe en skaï très ouverte également. Je remarquais qu’elle portait un collier de cuir fin autour du cou, très seyant et très coquin.Nous avions attaqué l’apéritif et les conversations allaient bon train. On évoquait le plaisir que nous prenions à nous amuser en groupe. J’évoquais la soirée surprise de ma rencontre avec l’amie de Sonia il y avait une quinzaine de jours.. naturellement j’avais demandé a Sonia si elle voulais bien qu’on évoque cette soirée torride.Michelle et Marc étaient aux anges. Je savais qu’ils avaient apprécié notre rencontre et qu’ils cherchaient un couple complice. Cette fois ils étaient presque certain d’avoir trouvé la perle rare, nous. Michelle et Marc étaient simples et ne cherchaient pas de choses compliquées. Bonne humeur, bonne chaire et jeux sexuels sans complication pas question d’être super beaux, super performants mais il faut aimer, partager, donner du plaisir. Quoi d’autre? Voilà une vraie relation qui marche. Ils sentaient que avec Sonia et moi ca marcherait. Je taquinais Marc qui ne quittait pas Sonia des yeux.. « C’est pas de ma faute, elle est trop belle non? » disait il a l’attention de Michelle.« Bien sur qu’elle est belle et moi elle me plait beaucoup, je crois que tu aimes les femmes Sonia? » demanda Michelle.« Oui oui j’aime les femmes mais aussi les hommes, et le tien est assez craquant je trouve » répondit Sonia en souriant à Marc.« Alors tu veux bien que je t’embrasse » dit Michelle en se levant et s’avançant vers SoniaSonia se leva et prenant les mains de Michelle elle se rapprochèrent lentement, souriantes toutes les deux.. Leur lèvres se frôlèrent, puis elle s’entrouvrirent, pour se souder en un long, très long baiser. Leurs mains désunies maintenant se posaient sur leur fesses, les caressant doucement. Marc et moi étions sous le charme. Elles étaient belles nos femmes.Le baiser cessa. Elle s’assirent, les yeux brillants.« Ouahh » dit Michelle « tu embrasse super bien.. c’était vraiment chaud ça m’a tout excitée »« Merci » répondit Sonia « Mais tu est aussi très douée, j’ai adoré, moi aussi j’ai chaud »Elles avaient chaud mais Marc et moi on était chauds bouillants même..« Hé les garçons vous ne vous embrassez pas? » dit Sonia la mine réjouie et faisant un clin d’œil à Michelle.Cela m’aurais étonné que Sonia ne lance pas se genre de défi, car elle m’avait sondé tous les jours ou presque pour savoir si je n’aimerais pas qu’il se passe quelque chose avec un homme.. Je savais maintenant ce qu’elle espérait. Moi je n’étais pas du tout convaincu ni prêt à çà. Je ne l’imaginais même pas. Marc lui était partant.« C’est bête, nous on ose bien » insistait Sonia.J’étais piégé, roulé, reculer ou faire la mauvaise tête risquais de foutre en l’air la soirée même si j’en avais pas envie au fond de moi ce n’était pas si terrible.. au fond.. Je finis par dire oui..« Viens là ma beauté, ma petite chérie » dit Marc goguenard. Je riais jaune, mais je riais quand même.Sonia et Michelle s’étaient levées et approchée de nous deux.. Le pire c’est que j’avais du mal à rester sérieux, ne pas éclater de rire. Même Marc prenais çà a la rigolade. Nos bouches s’approchaient, finirent par se toucher, j’ouvrais mes lèvres et la langue de Marc repoussa la mienne dans un baiser enflammé, mécaniquement il n’y a aucune différence entre un baiser d’homme ou de femme, mais dans la tête c’est deux mondes.. Nous nous roulions une sacré gamelle.. Ce n’était pas si désagréable mais je n’y prenais pas de plaisir. Par contre quand je sentis la main de Marc entre mes cuisses caressant ma queue, là cela me fit de l’effet et je bandais instantanément. Je lui rendais la pareille, pas de raison.. Et là je fut troublé car alors que je sentais sa queue qui était gonflée également sous ma main. Je me rendis compte que çà me plaisait. Le baiser non mais les caresses oui.Notre baiser cessa sous les applaudissement de nos deux belles qui chacune nous prodiguèrent un baiser de remerciement.« Ils sont trop choux nos petits hommes, ils font tout ce qu’on leur demande » dit Michelle.« Mais c’est parce que vous êtes des cochonnes toutes les deux.. vous êtes mêmes deux belles salopes mesdames » dis-je.En en cœur elle répondirent d’un air lascif « Oui on est des salopes mais on aime çà »La soirée était sur les rails.. Le courant passait super bien entre nous tous, je savais déjà que avec moi ca ne posais pas de problème et Sonia avait été adoptée alors que plusieurs amies que j’avais entrainé avec les M&M ça n’avais pas été aussi spontané et relax.L’apéritif dura un moment pendant lequel on parla de tout, voilà ce que c’est que les partouzes, on est libre de s’amuser mais on ne se saute pas dessus.C’est épicurien, hédoniste. Contrairement aux idées reçues ce n’est pas vulgaire, cela peut l’être sans doute avec des gens mal choisis, mal assortis. Tout ce qui se passe est fait dans le plus grand respect de l’autre. C’est un grand moment de plaisir.Durant tout le repas les discussions roulèrent sur divers sujets et bien sur le sexe, les parties a plusieurs. Sonia curieuse posait plein de questions et elle était de plus ne plus a l’aise et rassurée. Marc la dévorait des yeux mais il n’avais pas encore eu le moindre geste familier. Alors que Michelle me caressait la main, ou me taquinait et que les filles n’hésitaient pas a s’embrasser.Marc se pencha vers moi et me dit doucement« Bon sang qu’est ce qu’elle est belle »puis« J’ai hâte d’en voir un peu plus » avec un clin d’œilIl ajouta ensuite« Dis donc, tu à l’air chaud pour qu’on s’amuse entre mec.. tu changes mon vieux!! »Je lui dit que peut être ça se ferait, mais que pour embrasser franchement c’était pas mon truc.. JE lui demandais si lui il aimait embrasser un mec. Marc était partagé, il aimais plutôt mais ce n’était pas indispensable non plus.. Une nouvelle qui me soulageait dans l’éventualité ou l’on se lancerait. Mais je pressentait que ça allait arriver.. ce soir peut être ou plus tard mais maintenant cela me semblait inéluctable. Et soyons clairs, Sonia m’avait fourni le prétexte pour que je franchisse le pas. Ce que je n’aurais peut être pas fait sans son envie de me voir, avec un homme.Le repas était excellent, nous avions évoqué aussi et raconté par le menu notre aventure avec Sandrine. Nous avions aussi annoncé que cette dernière avait très envie de s’encanailler avec nous dans des aventures multiples. Michelle et Marc étaient ravis et on commençait déjà à faire le compte des week-end possibles.Au moment du café, j’avais demandé discrètement a Sonia d’être très sensuelle avec Marc qui étrangement semblait un peu coincé avec elle. JE vis qu’elle glissait quelque chose à l’oreille de Michelle puis après avoir servi le café à tout le monde, elle s’assit directement sur les genoux de Marc. Michelle s’était approchée de moi et me caressait le cou en regardant la scène entre Sonia et Marc. Ma belle Sonia était bien installée sur Marc qui semblait un peu surpris. Elle passa sa main dans les cheveux de Marc puis doucement lui prit la main et la glissa doucement dans son décolleté en lui disant.« Tu est sur que je te plais? Ou tu est timide? Moi je croyais que vous étiez des bêtes de sexe et tu à l’air tout impressionné. » puis elle prit son visage et lui posa un énorme baiser sur les lèvres.Michelle avait glissé sa main dans ma chemise et me caressait les tétons tandis que ma main remontait le long de ses cuisses. Marc caressait les seins de Sonia, son décolleté étant plus que profond elle avait maintenant les deux seins exposés. La voir ainsi me faisait de l’effet. J’étais déjà très tendu avec les mains de Michelle sur mes tétons c’était impossible de résister.« Elle est géniale ta copine » me glissa Michelle à l’oreille.Sonia était à l’aise et souriait en me regardant, ses mains étaient en train de défaire la ceinture de Marc qui faisait tout pour lui faciliter la tâche.De mon côté j’avais glissé mes doigts dans la culotte de Michelle et je sentais la moiteur de sa chatte. Tandis qu’elle avait ouvert mon pantalon et sorti mon sexe tout gonflé.Il était impossible de rester sur les chaises dans la salle à manger, a moitié déshabillés je donnais je signal pour que nous passions au salon.Le temps de faire les 3m qui nous séparaient des canapés, les filles avaient laissé tomber robes, jupes et chemisiers. Marc et moi avions déjà tout tombé, même les chaussettes. Et lui comme moi on était en pleine forme. Michelle et Sonia s’étaient installées côte à côte sur le canapé, elles étaient enlacées et nous regardaient. Sonia avait glissé quelque chose à l’oreille de Michelle qui avait ostensiblement acquiescé en hochant la tête. Sans qu’elles aient dit un mot je sentais le coup venir. C’est Michelle qui prit la parole :« Les hommes, vous avez fait un gros baiser tout à l’heure c’est un début, maintenant ma nouvelle copine et moi on aimerait en voir plus… »Et me regardant plus précisément« En plus elle m’a dit que de temps en temps tu te faisait prendre par elle…Tu aimerais peut être autre chose que du plastique non? »« Petit cachotier » me dit Marc en me plaçant une belle claque sur les fesses.. Puis« Écoutes c’est comme tu veux, on en a déjà parlé si tu en a envie pu que tu veux juste essayer c’est le moment… Mais personne ne t’en voudra si ca le fait pas. Même les deux cochonnes là te consoleront. »puis il ajouta..« J’aurais préféré m’amuser avec Sonia.. mais toi ça faisait un moment que j’avais envie aussi.. alors.. »« Mais je m’occuperais de toi après » dit Sonia « Pour le moment, on va profiter du spectacle et on se fera du bien toutes les deux » renchérit Sonia.Cette fois.. je n’y couperais pas. Au fond de moi même j’admets que l’idée avait fait son chemin et il ne manquais que l’élément déclencheur. Maintenant, restait à savoir si j’allais aimer ou détester, c’était quand même pas évident. Heureusement Marc avait de la pratique avec d’autres amis bisex.« Au moins j’aurais pas besoin de te faire bander, une autre s’en est chargée.. » dis-je pour masquer mon appréhension.Ce fut un grand moment de solitude.. Je ne savais pas quoi faire par quoi entamer les hostilités.On était debout en face du canapé, à poil, la queue dressée. Marc me sauva la mise en prenant ma queue dans sa main. Le contact me fit frissonner. Il avait pris mon sexe dans sa paume. Il resserra ses doigts et avançant sa main vers mon ventre il me décalotta a fond. Je poussais un gémissement. Et fermais les yeux. La caresse était agréable, très agréable. Je compris à cet instant qu’un homme saurait bien mieux qu’une femme ce qui me fait grimper aux rideaux. Et là en me décalottant de cette façon il avait réussit à me donner envie d’aller plus loin. Les filles nous mataient, elles se caressaient mutuellement les seins.Je goutais avec délice la caresse de Marc, ma queue palpitait dans sa main. Il jouait le jeu allant et venant avec une extrême lenteur et prenant soin d’aller loin en arrière. Tous les hommes savent à quel point c’est bon une fois bien décalotté d’aller un poil plus loin. Je ne voulais pas en rester là et copiant sa caresse je prenais son sexe dans ma main. Il eut un frisson au moment où je le touchais et ou comme lui je commençais à le branler doucement. Il gémit également quand pour la première fois je le décalottais à fond et il murmura « C’est bon… ».Ce que jamais je n’aurais imaginé seulement quelques mois avant était en train de se produire. Je me laissais caresser par un homme et je le caressais. Et j’y prenais plaisir. Dans ma tête même je voyais ce que j’avais envie de faire mais j’étais encore un peu trop mal à l’aise avec la situation. JE sentais confusément que sous le regard de nos deux femmes les verrous allaient sauter. C’était une question de minutes.Nous ne pouvions pas rester debout toute la soirée.. Marc sciemment ou pas s’assit sur le fauteuil, ce qui m’obligea à me baisser pour pouvoir continuer à le caresser et qu’il reste lui aussi en contact avec moi. Ce faisant je m’étais approché de lui.Les filles n’avaient plus de culottes et se caressaient la chatte sans vergogne. Les cuisses bien ouvertes, je devinais plus que je ne voyais qu’elles étaient déjà bien humides. Mais elles ne voulaient pas perdre une miette du spectacle.« Allez c’est super excitant, suce le maintenant mon chéri » C’était Sonia qui venait de faire cette proposition, que Michelle appuya bien évidemment.C’était un autre défi… Se caresser la queue mutuellement, c’est pas bien dur.. même si c’était nouveau.. Mais me retrouver a genoux, avec une queue dans la bouche c’était autre chose. Assez surpris je me sentais soulagé par cette demande. En fait je devais en avoir envie et je n’osais pas. Je m’agenouillais, Marc avait lâché comme à regret mon sexe gonflé. Mes mains sur ses cuisses que je caressais légèrement je remontais vers son sexe. Je n’avais pas eu souvent cette vision aussi près et sous cet angle d’une queue. Je bougeais lentement, observant le sexe que j’allais dans quelques secondes prendre dans ma bouche. Marc bandait bien, son gland était gonflé, lentement avec mes doigts en anneau à la base de sa queue je décalottais le gland, étirant le frein et faisant gémir Marc qui avança son bassin vers moi. « Oui continues… ».. Maintenant j’en avait bien l’intention. JE sentais l’engin palpiter sous mes doigts, par petits sauts. Je sortais ma langue et la passais, le long de la tige, remontant lentement vers le gland. Quand elle heurta l’arrière ou se trouve les petits capteurs les plus sensibles, regardez deux petits excroissances plus claires comme de tous petits boutons. Marc poussa un gémissement et murmura « Putain c’est bon çà »Moi je goutais , j’avais un peu peur, de l’odeur, de la saveur que pouvais avoir la queue d’un autre. Au fond rien de transcendant, pas plus que si on lèche le doigt d’une autre personne.. du moins pour le moment.. un peu de salinité due sans doute à la sueur légère qui est omniprésente.. La texture douce, ce qui est incroyable c’est la palpitation incessante d’une verge ainsi sollicitée. Du coin de l’œil je vis les filles qui s’embrassaient a bouche que veux tu les doigts bien occupés à pénétrer doucement leur chattes ouvertes. Je léchais le gland de Marc, avec mes doigts toujours serrés à la base de sa queue je remontais le long de la tige, modulant la pression. Et je vis alors se former une petite perle translucide au bout de sa queue. Perle qui grossit au fur a mesure que mon pouce appuyé sous la verge la faisait remonter dans le canal. Je savais exactement la sensation qu’il éprouvait. Je l’avais tant de fois ressentie. Marc appréciait et je le regardais durant cette opération, il me regardait également. Je voyais dans ses yeux qu’il prenait du plaisir dans cette situation. Il avait posé ses mains sur ma tête. Maintenant une grosse perle transparente et épiasse avait pris naissance au sommet du gland. Elle commençait à vouloir couler le long de sa queue. Du bout de la langue je la récupérais. Je ne savais pas a quoi m’attendre, c’était épais, chaud, salé mais absolument pas désagréable.« Salaud » dit Marc en m’appuyant légèrement sur la tête « Vas y suces moi »J’arrondis les lèvres et lentement je gobais le gland, ma langue le cajolais tournait autour, puis je me mit à engloutir sa queue, mais lentement en l’humidifiant le plus possible, j’avais déjà eu la désagréable surprise avec quelques femmes de me faire sucer par des bouches trop sèches c’est même parfois douloureux.Je m’appliquais, je mouillais sa queue, je n’avais aucune idée de jusqu’où je pourrais la prendre. J’étais surpris de la facilité avec laquelle je faisais cette fellation, comme si j’avais toujours su le faire. Je descendais toujours, j’avais avalé plus de la moitié de la longueur je sentais cette queue qui tressautais dans ma bouche. Marc avançait son bassin pour que je l’avale plus loin encore. J’aimais cette sensation, j’avais une incroyable impression de contrôle, de puissance sur lui. J(étais à la commande et il subissait en fait ma loi. C’est moi qui dispensais le plaisir. C’était bien plus sensible qu’avec une femme. Sans doute j’arrivais plus facilement a m’identifier et je savais précisément quelles sensations je faisais naître. J’étais moi même extrêmement excité. Ma queue dure frottait contre mon ventre, et je sentais que mon gland devait être humide. J’avais maintenant sa queue entière dans ma bouche, son gland était dans ma gorge, et il palpitait. Marc gémissait chaque fois que je tentais d’aller plus loin. D’une main je serrais sa queue dans l’anneau de mon pouce et mon index, augmentant la pression je faisais gonfler le membre, saillir les veines. Mon autre main était maintenant autour de ses couilles que je malaxais lentement faisant rouler ses burnes l’une contre l’autre. Je relâchais sa queue pour la reprendre a fond. Je le pompais comme j’aimais qu’on me le fasse. Sa tige luisante de salive était vraiment un objet de désir. Je suçais avec plaisir ce sexe brulant, palpitant, qui réagissait à chacune de mes caresses.« Putain c’est bon …. tu me suces comme une salope… » dit Marc en me prenant la tête pour accélérer le mouvement.Les filles se caressaient en me regardant pomper la queue de Marc. Elles semblaient excitées elles aussi et poussaient de petits gémissements, mais elle restaient scotchées sur le spectacle. Marc était aux anges, moi j’adorais sucer cette queue et je pensais bien que d’autres seraient aussi agréables. Bizarrement toute la préventions que j’avais eu c’était envolée.. Je me rendais compte que les caresses entre hommes étaient aussi du pur plaisir. Il fallait juste s’affranchir du blocage psychologique. J’avais fait voler cette barrière en éclat.. et dans ma tête ça tournait à 100 à l’heure.. J’étais partagé entre l’envie de continuer à sucer Marc jusqu’à la conclusion logique, et voir si au moment où il jouirais comment j’allais gérer ces nouvelles sensations, j’avais un avantage c’est que je savais quel goût à le sperme pour avoir gouté le mien très souvent dans des chattes offertes, sur des lèvres qui venaient de me faire jouir, sur les doigts qui venaient de me masturber.. Donc je savais a quoi m’attendre.. Je n’avais jamais senti la soudaineté de l’assaut, les giclées et toute cette dynamique au moment de l’orgasme donc je ne savais pas ce qui pouvais se passer.Je n’eus pas en fin de compte à avoir de dilemme pour choisir. Marc lui aurais bien aimé que j’aille au bout.. Mais les filles en avait décidé autrement.Toutes les deux très excitées, le rouge au joues ainsi qu’au creux des seins elle réclamèrent ma mise à mort.. Elles avaient envie de me voir pris par Marc. Ce non choix me satisfaisait, j’ai un côté parfois très soumis et j’aime que l’on me guide ou m’impose certaines güvenilir bahis choses.. Nous aurons l’occasion d’en reparler plus tard.Elles étaient maintenant à genoux toutes les deux près de nous. Sonia se laissait caresser par Michelle qui avait ses doigts dans le minou de ma belle. Je me plaçais a genoux, cambré, j’avais l’habitude puisque Sonia aimait à me prendre avec un god. Je sentais Marc derrière moi. Je bandais de plus en plus. Michelle vint même m’att****r la queue, en remontant vers mon gland elle se mouilla les doigts dans la liqueur qui s’en écoulait comme souvent quand je suis dans cet état. JE sentait la queue de Marc contre mon anus, il se frottait c’était dingue les sensations, j’aimais çà avec un god alors là avec une queue, chaude, souple, vivante c’était super. Sonia écarta Marc, pour venir me passer sa langue et m’humidifier me préparer, je sentis la point de sa langue qui forçait ma rondelle. Puis Marc revint à la charge, cette fois, je sentis nettement son gland qui poussait sur mon anus. Je me décontractais et Marc fut si surpris que sa queue entra de moitié avec facilité. Bon sang que c’était meilleur que cette queue en latex. Les sensations étaient décuplées, je sentais palpiter son engin, je le sentais s’enfoncer en moi.« La salope il m’avale toute la queue » dit Marc« Baise, moi encule moi bien » dis je vraiment à bout.Je n’avais qu’une envie le sentir aller et venir en moi. Il commença à me besogner, plus fort. Je suivais les mouvements, m’empalant moi même sur cette queue qui vibrait dans mon cul. Je mouillais du gland, je sentais couler ma queue qui se frottait a mon ventre tellement je bandais. Sonia était maintenant plaquée dans le dos de Marc se frottant contre lui accompagnant ses mouvements. Alors que Michelle était passée sous moi, léchant mes couilles et ma queue, en profitant pour agacer celles de Marc également.« Tu est grand ouvert mon salaud » me dit Marc.En effet aucune sensation de gêne sa queue coulissait en moi avec aisance. Je sentais toutes les aspérités, tous les tressaillements de son sexe. A ce moment je mesurais ce que peut ressentir une femme qui se fait prendre. Et c’est jouissif croyez moi.. Et j’aime qu’on me prenne, j’adore çà. Jamais je n’aurais pensé que cela pouvait être aussi bon. Dans ces moments, notre part de féminité ressort avec force. Je n’ai pas honte de le dire dans ces moments où je suis passif je me sent et m’assume très femelle. J’aime qu’on me traite de salope, de putain de chienne et je suis tout cela. J’aime être baisé. Mais ce soir là j’avais encore à connaître la sensation ultime.. quand Marc allait jouir.. Depuis que j’écris ses lignes certains doivent se dirent mais jamais il n’utilise de capote? Non.. jamais dans ma vie j’ai utilisé cette chose que 2 ou 3 fois pour le fun ou pour essayer.. C’était une autre époque, on ne pensais pas comme maintenant à tout ce qui peut arriver.. j’ai vécu dangereusement? Sans aucun doute, j’ai eu de la chance oh oui certainement compte tenu du nombre d’aventures, de partenaires souvent multiples homme ou femmes voir… enfin on verra çà plus tard.Mais Marc commençait a donner des signes de la jouissance proche.« Je vais pas tarder à partir » grogna Marc et il commençais à se retirer sans doute pour jouir sur mon cul. D’une main je l’attrapais à la cuisse pour lui signifier de rester en moi.. en disant« Non gicle moi dans le cul.. bourre moi »Michelle appela Sonia« Viens Sonia viens voir .. c’est dingue il est en train de se vider goutte à goutte»En effet je sentais a chaque coup de rein de Marc , ma queue laissait échapper une quantité de plus en plus importante de cette liqueur transparente qui précède l’orgasme. Puis petit a petit c’était devenu laiteux, puis plus épais mon sperme montait et coulais sur la poitrine de Michelle Par moment je lui mangeais le minou qui était trempé, mais tout a mon plaisir c’était vraiment par petites touches.. Marc eut une idée de génie, il me redressa en passant son bras autour de mon cou, et m’obligea a me redresser.. J’étais a genoux, lui derrière moi également a genoux me prenant le cul. Michelle et Sonia se mirent a genoux devant moi, Michelle avait la poitrine luisante de ce que j’avais laissé couler sur ses seins et son cou. Marc était sur le point de jouir, quand il passa son autre bras autour de mes reins et pris ma queue dans sa main.. Il soufflait et dans un dernier coup de rein il poussa un cri. Je sentis alors sa queue gonfler dans mon cul, puis distinctement je sentais le sperme brulant se déverser dans mon ventre, la palpitation de son sexe, la chaleur de ce qu’il déversait en moi.. Sa main d’un coup sec me décalottant a mort.. Et je me mis a gicler moi aussi de longues giclées que recevaient Sonia et Michelle, sur le ventre, puis sur le visage quand elles s’approchèrent de ma queue pour finir par la lécher et en extraire la moindre goutte. Marc se retira me laissant ouvert au point que je sentais son sperme maintenant s’écouler entre mes fesses et couler le long de ma cuisse. Emporté par la fougue il me prit par le cou et me fit un gros baiser avant de rire en disant « Tu vois c’était pas désagréable.. »« Non c’était génial tu veux dire.. »Marc et moi étions encore sous le coup de notre jouissance.. il me donna un coup de coude.. en me désignant les filles.. toujours a genoux. Elle était couvertes de sperme, et se l’étalait mutuellement sur tout le corps en se roulant des pelles et en se branlant mutuellement.. C’était superbe.. elle eurent chacune un violent orgasme presque en même temps. C’était vraiment beau de vois ces deux superbes femmes dans cet état. J’ai toujours été sensible à l’image, à certains détails. Les corps luisants de sueur, les coulées brillantes de foutre, les bouches mi-closes qui soupirent, le bruit humide des doigts fouillant les sexes. Et les cris de jouissance, les baisers langoureux après le plaisir.. Inutile de dire.. que j’avais encore la queue en l’air.. « Bordel tu fais comment!! » me dit Marc.. alors que je résistais à l’envie de me branler sur nos deux belles. « Bon sans regarde moi j’ai le popaul qui regarde le plancher et toi tu as la queue en l’air.. c’est pas juste!! »Marc était un peu jaloux du fait que même après un orgasme je ne reviens pas au repos avant au minimum 15 minutes et bien sur si on me sollicite durant ce laps de temps je repart pour un tour. Nous avions tous pris du plaisir même si les filles avaient privilégié le spectacle, elles semblaient avoir apprécié. Un peu de calme ferait du bien et on ouvrit une seconde bouteille de champagne. Pas questions de se rhabiller il est certain que l’on va encore avoir envie de s’amuser, il n’est pas très tard. On profite de ce moment pour reformer les couples, c’est aussi important. Sonia est venue se blottir contre moi dans un fauteuil tandis que Michelle et Marc sont installés dans le canapé. Elles n’ont même pas pris la peine d’essuyer les traces de sperme sur elle. Et c’est assez troublant de bavarder ainsi avec sur le corps de nos belles les traces visibles de notre plaisir.Sonia est vraiment heureuse d’avoir osé l’amour a plusieurs et trouve l’expérience extrêmement agréable. Elles ont adoré me voir faire l’amour avec Marc, elles ont trouvé que j’étais très très féminin par moment dans ma façon de me comporter. Tous semblent surpris de la facilité avec laquelle j’ai basculé dans la bisexualité. Depuis ce jour j’assume parfaitement. Et même aujourd’hui faire l’amour avec un ou une partenaire me procure autant de plaisir. La nature du plaisir est différente, selon que l’on soit actif ou passif, selon que l’on donne ou reçoive le plaisir, sa nature, son essence même est totalement différente. Il est plus ou moins cérébral. Quand je fais l’amour à une femme c’est très physique, je satisfais mon corps, mon sexe. Quand je fais l’amour à une homme c’est physique certes, mais aussi extrêmement cérébral car dans cette configuration je satisfais aussi mon mental qui à certain moment à envie d’agir au féminin. C’est sans doute la dualité parfaite. Mon rêve ce serait de pouvoir changer de sexe a volonté. Être homme à un moment, femme à un autre ce serais idéal. Si on pouvais exaucer ce souhait une fois seulement ce serais génial.. Hélas c’est un rêve. Je suis persuadé que ma bisexualité m’a fourni des atouts encore plus grand auprès des femmes. C’est tout simplement le fait de savoir quelles sont les sensations que procure certaines actions qui me donne cet avantage. Par exemple combien d’hommes regrettent que madame refuse la sodomie, alors qu’ils n’ont pas idée de combien ca peut être désagréable si c’est mal fait. Moi je le sais, il m’est arrivé qu’on me fasse un mal de chien lors d’une sodomie et je comprend la femme qui s’y refuse après une expérience ratée.La sodomie peut être quelque chose de totalement délicieux si elle est pratiquée avec douceur et doigté. Peu importe au fond la taille, tant qu’elle reste raisonnable, pour cette pratique. Ce qui importe c’est la préparation et la patience. Le maitre mot « Décontraction » la moindre crispation ou appréhension et on fait mal, on se fait mal. Second incontournable la lubrification, pour les deux partenaires c’est vrai il faut lubrifier.. Si on n’utilise pas de gel, la salive, un petit passage dans un sexe mouillé permet de palier à la sécheresse. Et surtout lentement. Laisser sa/son partenaire se décontracter. Par reflex les muscles vont tenter d ’empêcher la pénétration et plus la poussée et la vitesse seront importante plus le réflexe des muscle sera violent. Avec un peu de pratique on peut accompagner la pénétration en forçant l’anus a s’ouvrir en poussant légèrement. Une fois le muscle franchi pensez toujours a ne pas aller trop vite pour qu’il n’y ai pas de phénomène d’échauffement. On pallie à cela en lubrifiant abondamment. Vous seriez étonné de la capacité d’un anus à accepter certaines choses.. Mais on en parlera plus tard.Nous étions donc en train de bavarder de notre premier « round »Je digérais ma première expérience bi. Marc était étonné de la facilité avec laquelle il m’avait pris. On expliqua que Sonia aimait me prendre avec un god et que la pénétration pour moi n’était pas un problème.Par contre je leur disais que j’avais eu envie de pousser ma fellation jusqu’au bout car j’avais envie de connaître ces sensations.Nous avions la chance Marc et moi d’avoir des femmes que la pipe menée a son terme ne dérangeaient pas et même qui adoraient nous vider les couilles dans leurs bouches, mais ce n’est pas toujours le cas loin s’en faut..A mon tour j’avais très envie de savoir ce qu’elles ressentaient..Sonia particulièrement aimait me faire jouir au fond de sa gorge et c’était extrêmement agréable. Michelle aussi aimait çà mais n’arrivait pas à prendre les queues aussi loin dans sa bouche et appréciait que notre calibre ne soit pas trop gros.Marc lui avait beaucoup apprécié la pipe, il avait du mal a croire que c’était la première fois, pour lui c’était aussi bien que les filles.. Il avoua qu’il aurait bien aimé que j’aille au bout.. je lui promettais de lui en faire une a fond pendant ce week-end . Mais je posais mes conditions.. on faisait un double 69 en parallèle.. les garçons d’un côté les filles de l’autre.. et un classement celui qui jouissais le premier était dernier et ainsi de suite. Ce fut adopté avec des applaudissements.J’étais vraiment heureux que cette soirée se passa aussi bien. Je m’inquiétais auprès de Sonia pour savoir ce qu’elle pensais de tout çà et elle était emballée. Elle trouvait Michelle et Marc adorables, pas de prise de tête, le naturel était présent. Elle craignait un peu un truc du style baise non stop et au revoir.. Alors que nous passions une soirée entre amis disons normale avec des intermèdes coquins. Elle avait vu que Michelle avait commencé à un peu caresser Marc et qu’il commençait à donner des signes d’excitation évidents..« Je me suis occupée de notre invitée, maintenant au tour de notre invité » dit Sonia et elle alla s’installer à côté de Marc« Tu me le prête un peu » dit-elle à Michelle.Marc avait un grand sourire réjoui et hochais la tête..Michelle en riant et se levant pour me rejoindre.. dit« Je m’en moque je te pique le tiens.. lui il a toujours la queue en l’air je suis gagnante »Sonia se laissa glisser sur le canapé de manière à pouvoir happer la queue de Marc qu’elle engloutit d’un seul trait comme elle aimait à le faire. Marc poussa un gros soupir qui en disait long sur ce qu’il pensait de la bouche de Sonia. D’une main il lui caressait les fesses, puis la chatte quand elle ouvrit les cuisses pour le laisser investir son minou.De mon côté je glissais ma main entre les cuisses de Michelle qui aussi les ouvrait largement. Je sentis que sa chatte était trempée, même les grandes lèvres étaient glissantes, humides.« Dis donc tu est drôlement mouillée ma douce » dis je en lui caressant la joue de l’autre main.« C’est vous qui nous avez excitées comme çà… C’était super quand tu a jouis sur nous deux.. On à joui mais on a encore envie et ta chérie est comme moi.. En tout cas elle est adorable et cochonne » me répondis Michelle en m’enjambant et en guidant ma queue vers sa chatte.« Ouhh c’est bon allez baise moi bien » ajouta ma belle amie en se laissant empaler par mon engin .Elle était brulante, ruisselante. Elle venait a peine de s’empaler que je sentais déjà son humidité couler sur mes couilles. Elle frottait ses tétons durcis sur mon visage, tant et si bien que je les happais, les suçais tour a tour alors qu’elle rejetait sa tête en arrière les yeux mi-clos. Sonia était en levrette pendant ce temps et Marc la prenais avec fougue lui tirant moult gémissements et petits cris de bonheur. Une idée me vint. Je l’expliquais à Michelle au creux de l’oreille. Elle alla se placer en 69 avec Sonia.. qui ondulais sous les coups de reins de Marc. Une fois installée, Michelle pouvait lécher le clito de Sonia, et je pouvais prendre Michelle tout en prenant la bouche de Sonia. J’adore qu’une partenaire gémisse alors que je l’embrasse cette sensation est très stimulante pour moi surtout si son plaisir est du à un autre que moi. Et Sonia paru extrêmement réceptive à notre combinaison. Nous étions vraiment entrain de nous donner du plaisir à 4. A un moment Marc vint même me prendre les tétons alors que Sonia léchait le clitoris de Michelle.C’était un moment de pur plaisir, rien d’autre n’existait. Michelle ruisselait littéralement. Ma queue se couvrait d’une crème épaisse, bien que je n’ai pas encore joui en elle. C’était son plaisir qui ruisselait ainsi. C’est encore une chose qui m’excite au plus haut point, plus une femme est humide, plus j’aime jouer avec son sexe. Sonia également mouillait beaucoup et a cet instant c’était Michelle qui recevait tout son nectar en lui léchant le clito. Sonia était sur le point de jouir, sous les coups de boutoir de Marc et sous la langue de Michelle, elle rendait les armes.. se laissant aller au plaisir. Elle était superbe, bouche entrouverte, soupirante les lèvres humides.. les yeux mis clos qui commençait à papilloter et à se retourner.. ses mains me tenait les avants bras elle me serrait convulsivement. Ce fut soudain et d’une rare v******e.. Totalement cambrée.. elle se mit à jouir en hurlant et en convulsant. Sa salive coulait le au coin de sa bouche, on aurait cru qu’elle souffrait.. mais elle jouissait.. Et à un moment elle m’a regardé les yeux grands ouverts.. j’ai pu y lire tout le plaisir qu’elle ressentait à ce moment.. Presque aussitôt Michelle serra ses jambes autour de moi , stimulée par l’orgasme de Sonia qui lui avait largement salé la bouche, Michelle partit elle aussi dans un orgasme rageur et bruyant, plus nerveux, moins profond que Sonia peut être mais tout aussi bon à ce qu’il semblait..Ni Marc ni moi n’avions joui.. Les filles étaient écroulées encore en position de 69 mais totalement anesthésiées par leur jouissance.La conclusion s’imposait d’elle même.. Marc s’allongea sur le dos je vint en 69 sur lui .. et comme nous venions de prendre nos femmes nous eûmes le plaisir de retrouver le goût de leurs chattes sur nos sexes.. Je suçais goulument la queue de Marc.. j’avais envie de le sentir jouir.. de prendre dans ma bouche toutes les giclées de sperme qu’il allait me donner.. Je retardais mon plaisir.. pourtant il me suçait comme un fou aspirant mon gland avec art. Nous étions en sueur, moi qui suis velu mes poils étaient collés par la sueur sur mon torse, mes bras, je sentais couler cette sueur le long de mon dos et de mon torse.. Marc aussi était trempé et c’était excitant nos peaux humides se frottant. Sa queue qui tressaillait, bientôt elle s’agita violemment.. je serrais la base de son sexe et je tirais lentement.. les tremblement de son membre se firent plus amples et soudain je reçus la première giclée alors que j’avais sa queue presque au fond de la gorge.. Marc de cambra et m’enfonça encore plus sa queue dans la gorge alors que partais la seconde giclée.. Je crus que j’allais étouffer.. c’était chaud, brulant presque, épais mais délicieux à la fois fade et légèrement salé. Je réussis a déglutir avalant le jus bouillonnant. Puis d’autres giclées suivirent.. que j’aspirais et avalais avec un plaisir non dissimulé.. il y en avait un peu trop et une coulée descendit le long de son membre.. Tout a ma fellation la bouche pleine de sperme je sentais Marc tressaillir en lâchant les dernières gouttes quand je sentis une main qui me relevait la tête.. Michelle , ses petits yeux espiègles. Elle dit « Partage avec moi » Je compris sans autre palabres. Elle posa sa bouche contre la mienne et nous avons alors partagé le sperme qui restait dans ma bouche. Marc était hs.. et avait cessé de me pomper.. Tout le monde avait pris son pied mais pas moi.. j’avais la queue tendue a m’en faire mal.. Et je sentais que comme il m’arrive parfois quand je retiens trop longtemps la jouissance j’allais avoir du mal à partir heureusement c’est peu fréquent et uniquement quand je fais un long effort pour ne pas jouir.. Je bloque .. Sonia savait ce qui se passait et savais comment y remédier. Pour me libérer il lui fallait me masturber avec force, très rapidement. Ce qu’elle se lança a faire immédiatement. Je me tendais, me tordais sur le sol, la queue cramoisie, les veines gorgées de sang. Mes couilles me faisait mal et semblaient peser 2kg chacune.. Sonia avait remarqué que si elle me parlait crument dans ce moment ma libération arrivait plus facilement elle me traitait de salope, de pute… Moment étrange ou le plaisir et la douleur véritable sont intimement liés.. Mais cette fois cela tardait.. j’avais des fourmis dans les mains, mes lèvres aussi me picotaient.. il semble que ce soit les mêmes symptômes qu’une crise cardiaque.. Sonia avait mal à la main.. Michelle vint spontanément l’aider.. prenant le relais.. Je n’en pouvais plus, vraiment.. Sonia me prit les tétons dans ses doigts et me les tritura fortement ,pinçant écrasant les bouts tendres. Un éclair blanc, éblouissement, je me libère enfin.. je gicle, les jets montent haut me retombe sur le torse, sur le visage, d’autres s’éparpillent sur les filles, au sol sur les meubles.. je suis en transe, j’ai perdu la notion d’espace et de temps.. je ne suis plus qu’une queue qui s’épanche dans le cosmos.. je suis réduit à l’état de sexe pensant.. ne pensant qu’a une chose jouir.. C’est fort, douloureux.. on a envie que ca dure, que ca s’arrête.. Enfin le plaisir reflue au bout de quelques minutes durant lesquelles je suis sonné..Je restais sur la moquette totalement anéanti. Sonia et Michelle un instant se demandèrent si j’allais bien. Elles me cajolaient comme un bébé, me caressant les joues et le front.« Vous m’avez tué les filles » dis je.« Toi aussi tu m’a vidé complètement » me dit Marc puis aux filles« Si vous voulez améliorer votre technique pour faire des pipes, demandez lui de vous faire un cour.. »Pour sa première expérience avec un autre couple, Sonia avait assuré et elle avait vraiment aimé. A la suite de cette soirée, il y en eu un grand nombre d’autres, il arrivait plus que souvent que nous ayons ce genre de soirée 2 a 3 fois par semaine, avec Michelle et Marc très souvent mais aussi avec d’autres amies et amis que nous rencontrions le plus souvent grâce au minitel toujours puis une fois constitué un cercle d’amis suffisant par le truchement de ceux que nous avions rencontrés.. Souvent la soirée avait lieu avec un autre couple, mais notre couple à nous incluait le plus souvent Sandrine. C’était assez amusant d’ailleurs de prendre contact avec des gens et de leur avouer que tout compte fait notre couple était plutôt un ménage à trois. Ceci était un atout de taille, plus d’une fois ceci suffit à décider des couples intéressants mais parfois un peu timides ou avec quelques réticences. Nous étions une bénédiction pour les couples dont madame avait envie de relations au féminin mais qui n’osait pas trop.C’est avec Sonia et Sandrine que j’ai commencé à fréquenter des boites échangistes. Ces boites ne sont pas la meilleure façon de découvrir l’échangisme ou du moins le mélangisme. Mais une fois qu’on a gouté aux plaisirs à plusieurs ce sont des lieux très intéressants. Se lancer d’emblée dans une boite échangiste pour essayer les relations multiples c’est le fiasco assuré ou presque. La clientèle de ces boites est pour la plus grande majorité des couples déjà pratiquants et qui cherchent l’aventure immédiate et pas le jeu de la découverte. Il vaut mieux dans ce cas rencontrer des initiés pour éviter les pertes de temps.Ayant déjà une certaine habitude nous nous sommes facilement intégrés aux jeux dans ces boites. Et finalement nous avons rapidement apprécié les boites disposant d’un espace commun. Il faut expliquer un peu.La plupart des boites échangistes proposent les services des boites de nuit, dans, bar etc.. Ces espaces classiques sont là pour la rencontre. Ensuite viennent les espaces dédiés à la consommation sur place, soit salons plus ou moins privatifs ou à thèmes selon la classe de la boite. Mais il y a aussi souvent un espace qui est dédié à l’exhibe et à la partouze générale. C’est le plus souvent ces espaces qui nous branchaient. Sonia et aussi Sandrine adoraient ces espaces ou tout le monde, du moins ceux qui appréciaient partageaient caresses et plus. Certains broîtes réservaient à la demande ces espaces pour ceux/celles qui voulaient se mettre en avant et s’offrir à la clientèle de la boite. Sonia elle raffolait de cet exercice, être le centre d’attention de la soirée était pour elle un aphrodisiaque puissant. Elle s’abandonnait à tous ceux hommes et femmes qui avaient envie d’elle et parfois il y avait foule. Moi si au début j’avais une petite réticence quand il y avait beaucoup d’hommes autour d’elle, après quelques soirées j’appréciais aussi de la voir succomber de plaisir sous les assaut de 7, 8 voir une douzaine de mâles en rut et souvent de leur épouses..Au départ je restais en retrait, observant les assauts. Puis rapidement j’étais entrainé dans la sarabande orgiaque qui naissait. Allant de l’une à l’autre, parfois tombant sur un autre homme aimant les hommes, mais c’était plus rare surtout au vu et su de tout le monde. Beaucoup d’hommes sont bi, mais peu acceptent de le montrer sauf en petit comité. Moi cela ne me gêne pas voir j’aime un peu provoquer et m’exhiber dans ces moments.. On verra plus loin que ce n’étais là que des amuses gueules et que plus tard j’allais pousser beaucoup plus loin dans le genre.Chose amusante, après ses soirées en général le week-end et bien sur pas tous les week end non plus. Notre trio, car Sandrine était plus ou moins toujours là se trouvait dans un état d’excitation tel que toute la semaine qui passait, après une soirée en boite, était hyper chaude au point que souvent nous étions trois au lit la plupart du temps sauf quand le mari de Sandrine était à la maison ce qui était assez rare il faut l’avouer.Ce phénomène de sur excitation et de besoin insatiable de sexe je l’ai toujours constaté. Si on sent que en duo le désir baisse , une petite soirée a 4 ou 3 et c’est reparti. Comme si on capitalisait, on se ressourçait en partouzant pour retrouver un désir accru avec sa partenaire. Je reste intimement persuadé que si les couples pratiquaient plus l’amour en groupe, il y aurait beaucoup moins de mésententes au lit et sans aucun doute moins de couples qui se défont.Nous avions pris l’habitude de jouer avec nos désirs, les envies de chacun. Souvent nous aimions faire l’amour dans des lieux insolites, là ou l’on pouvait nous découvrir, voir nous observer. On aimais par exemple faire l’amour dans les toilettes des restaurants, dans les parkings le soir. En ville la nuit sous des portes cochères. Je ne compte pas le nombre de fois ou j’ai pris Sonia ou Sandrine dans une moindre mesure car si elle participait souvent elle n’était pas non plus tout le temps avec nous, dans un coin de porte a 3 heure du matin. Dans des parcs, sur des bancs publics. Il nous est arrivé de nous faire pincer même par la police.. En général ca se passe pas trop mal .. c’était une autre époque et ce genre de « délits » faisais plutôt sourire les gaillards.. maintenant ca se terminerait sans doute en garde a vue « o tempora o mores ». Je préfère avoir eu mes 20 ans à cette époque que de nos jours.. Et puis il y avait les trucs marrants.. comme une fois ce brave homme d’une quarantaine d’année qui nous observais dans un parc, alors que Sonia me faisais une pipe mémorable, je m’apperçu qu’un monsieur très convenable a priori était un peu plus loin dans l’ombre et observais la scène avec beaucoup d’attention. Je le dis à Sonia et tous deux nous lui firent signe de s’approcher. Un peu surpris il allait s’éclipser mais je l’appelais carrément le plus sympathiquement possible en l’invitant à nous rejoindre. Et ainsi türkçe bahis Sonia put déguster deux queue au lieu d’une.. Ce brave homme pris un pied que sans doute il n’arrivait pas a prendre à la maison.. et reparti dans l’ombre comme il était venu. Il y eut aussi les trucs pas marrants.. mais qui après nous faisait rire.. comme le seau d’eau jeté d’une fenêtre par une vieille chouette insomniaque qui avait repéré notre couple dans l’ombre de sa porte.. Et Sonia et moi fûmes trempés et injuriés de belle manière.. Le plus désagréable était la douche car la température n’était pas énorme.Et j’ai eu aussi des idées.. saugrenues.. comme la fois ou j’ai eu cette envie de me faire prendre par Sonia avec un god mais dehors .. une fille c’est pas compliqué.. on ne met pas de culotte.. on lève la jupe et hop.. un mec on est plus handicapé.. le pantalon a part faire un trou c’est pas top.. le baisser c’est pas facile à remonter si on se fait surprendre.. Mais j’avais cette envie.. et on a réussi a conclure.. J’étais tellement excité qu’il n’a pas fallut longtemps pour que je jouisse.. et bien sur tout est parti sur le pantalon.. je vous dis pas les tâches..Ah les tâches.. tout un poème.. La pipe ça va.. en général.. tout est mangé et avalé.. mais parfois ca déborde et ca tombe toujours là ou il ne faut pas.. la tâche est visible.. et c’est pas facile a masquer.. ou alors on rempli une petite chatte ou un petit qui en profite ensuite à la première occasion pour tout laisser partir si on n’y prend pas garde.. re tâche sur la jupe le pantalon .. car en général .. pas de culotte.. bien sur. Et puis il y à les inondations, avec Sonia j’ai commencé à découvrir le plaisir, car c’est un plaisir d’inonder ou de se laisser inonder par sa partenaire. En un mot plus terre à terre se pisser dessus.. Beurk ferez vous mais essayez et vous y reviendrez. Cela fait partie de ces plaisirs interdits.. Mais oh combien agréables et bénins. Pourquoi prendre autant de plaisir à ces jeux? Au fond je ne sais pas peut être une réminiscence de la petite enfance.. qui sait? Mais en fait c’est à mon avis plus cérébral, la sensation de l’urine chaude qui vous asperge est excessivement sensuelle. Viens ensuite si on pousse plus loin les sensation olfactives et gustatives si on ose.. Je conviens que selon les fois on peut avoir des moments moins agréables. Quand on manque d’habitude à ce jeu, on ne choisit pas forcément le bon moment. Il faut bien comprendre que selon ce que l’on a mangé et bu l’urine à une odeur et un goût plus ou moins prononcé plus ou moins fort. Il faut préférer les moments qui suivent une plus ou moins importante libation. Éviter aussi les fortes chaleur quand la transpiration draine le maximum d’eau du corps, dans ce cas l’urine est concentrée et ce n’est pas franchement toujours agréable. Mais de toute façon c’est un petit risque qu’il faut accepter. Par contre le plaisir est au rendez vous..Avec Sonia la première expérience humide est arrivée à la fin d’une après-midi passée à faire l’amour à nous dépenser copieusement. Nous prenions une douche commune comme très souvent ce qui avait pour effet de nous remettre en forme pour un dernier round coquin en général. Sonia ressenti soudain une envie pressante et voulu sortir de la douche je la retint.. Et lui demandais de se laisser aller sous la douche.. au début prise par son envie elle refusa puis comme je la retenais elle dit en riant « je vais te pisser dessus » C’est sans même réfléchir que je m’agenouillais, alors qu’elle lançait son ventre vers mon visage en tenant ses lèvres écartées, alors avec un soupir de soulagement elle se laissa aller, un jet puissant vint s’écraser sur ma poitrine. C’était très excitant de la voir se soulager ainsi, sous cet angle particulier , je ne pu m’empêcher de baisser la tête, de prendre le jet en plein visage, c’était chaud, a peine odorant, j’ouvrais la bouche et recueillais le jet dans ma bouche, je ne savais a quoi m’attendre et au final rien de dégoutant, douceâtre chaud, enfin tiède mais rien de rebutant. L’action de prendre cette urine dans ma bouche était excitante.. C’est plus une posture intellectuelle qu’une attirance physique. Mais se dire je suis en train de boire l’urine de ma compagne et l’action prend une autre dimension.. Là elle était dictée par la curiosité, ma perversité naturelle peut être.. Mais le jeu était excitant. Surtout sous la douche ou toute trace est effacée rapidement. Sonia s’amusait comme une petite folle a m’asperger.. Mais la source se tarit.. Et je vis qu’elle était troublée.. d’une petite voix timide elle me dit « Fais le maintenant ». Je compris qu’elle avait envie de jouer à son tour.. J’avoue que je ne m’attendais pas à cette réciprocité. Le seul souci c’est que comme toujours ma queue était plutôt raide et l’excitation qui naissait dans ces jeux humides n’arrangeait rien. Mais je finis par lancer un premier jet qui lui éclaboussa la poitrine, puis je remontais le long du cou, Sonia me regardait intensément et ouvrit la bouche. Le jet doré s’écrasa sur sa langue, elle gouta et revint placer sa bouche devant le jet dru que je n’arrivais pas à contenir. Une deuxième fois elle empli sa bouche et sans me quitter des yeux avala carrément l’ondée avant de venir me prendre dans sa bouche alors que je continuais à me vider la vessie. Elle avalais rejetais ce qui s’écoulait tout en commençant une pipe dont elle avait le secret. Je finis par inonder a nouveau sa bouche mais cette fois de sperme bouillonnant. Après cette première folie nous avons assez souvent usé de ces jeux. A deux ou plus, en extérieur assez souvent mais aussi en intérieur.. ce qui occasionnait parfois des séances de nettoyage homériques.Fous direz vous? Non.. curieux, pervers sans aucun doute mais pas fou. J’aime ce genre de chose pour la simple raison que j’ai essayé et que j’ai tiré un certain plaisir de ces jeux hors norme peut on dire mais si bénins à côté d’autres .. Je n’ai jamais rien fait que je n’aimais pas, du moins j’ai essayé et décidé ensuite si j’aimais, si j’en tirais un frisson ou une satisfaction.Sonia et moi nous entendions à merveille, Sandrine était aussi dans la plupart de nos mauvais coups. En fait nous formions une sorte de ménage a trois, même si nous adorions nous retrouver à deux pour vivre notre amour. Nous étions vraiment amoureux, et nos escapades érotiques loin de nous séparer nous rapprochaient. Nous avions confiance l’un dans l’autre, et moi qui à toujours été d’un naturel volage, je n’ai jamais trahi la confiance de Sonia, jamais, pas une seule fois. Notre façon de vivre nous permettait de vivre nos fantasmes, Sonia et moi avions la latitude de changer de partenaires sans mensonge, sans faux semblants. Ce n’était que jeux sans sentiments, avec les amis que nous voyions souvent il y avait bien sur une réelle amitié et une complicité. Avec les partenaires occasionnels c’était la complicité dans la recherche du plaisir. Je ne nie pas que parfois sentant qu’il pouvait y avoir plus entre moi et une partenaire, je prenais mes distances pour ne pas tomber dans le piège, le risque est toujours présent mais tout a fait maitrisable.Une soirée mémorable, fut sans aucun doute l’anniversaire de Monique, une jeune femme que nous avions rencontré avec son ami Jacky dans une boite parisienne. Nous avions vraiment sympathisé et nous nous fréquentions assez régulièrement soit pour aller en boite soit plus simplement passer une soirée à 4 ou 5 selon que Sandrine était avec nous. Lui était photographe de presse, elle travaillait dans une agence de presse également. Monique avait 25 ans, et Jacky pas loin de 60. Couple atypique mais extrêmement joueur, en tant que photographe Jacky réalisait des clichés de Monique en pleine éxhib dans tous les coins de Paris au petit matin ou la nuit. Et ce fameux week-end nous étions réunis pour l’anniversaire de Monique, dans l’appartement à deux pas de la tour Eiffel nous étions une joyeuse bande Monique et Jacky, Sylvie et Franck un autre couple d’ami de nos hôtes, Virginie et Thierry ainsi que Sandrine, Sonia et moi. Tous bien sur étions échangistes, nous avions eu l’occasion de croiser Sylvie et Franck en boite mais nous ne connaissions pas Virginie et Thierry, de même que les deux charmantes filles Ève et Lily que Jacky avait cru devoir inviter en plus.. la peur de manquer sans doute..Le Week End était placé sous le signe de la bonne humeur et de la sensualité. Les filles avaient toutes fait assaut d’élégance coquine et plus que dans une réunion d’amis on avait plutôt l’impression de se retrouver au salon de l’érotisme.. Entre décolletés qui ne cachaient rien, transparences révélatrices et résilles indiscrètes nous les hommes paraissions emmitouflés alors que nos gracieuses compagnes se dévoilaient aux yeux gourmands de tous les convives. Ajoutons que par chance l’assistance dans sa totalité était bisexuelle, vous avez une petite idée des possibilités offertes. Toutes les femmes étaient charmantes et plutôt jolies, pas de super top modèles dans la bande mais de beaux brins de filles. Monique notre hôtesses était brune avec de très long cheveux qui lui caressaient les reins, une petite poitrine ferme aux tétons durs et foncés, un abricot rebondi et imberbe promettait des moments agréables.. Et je savais pour avoir déjà tenu Monique dans mes bras que lui faire l’amour était une expérience assez torride car la belle était volcanique et expansive appréciait la sodomie et les doubles pénétrations, adorait que je lui mange la chatte mais c’était le cas de toutes celles que je côtoyais. Jacky ne paraissait pas approcher de la soixantaine, assez athlétique, pas très grand il était un peu comme moi toujours prêt a en découdre et bien pourvu largement plus imposant que moi par exemple.. J’aimais beaucoup qu’il s’intéresse a moi et qu’il me prenne, et de son côté il adorait ma bouche, disant que je suçais bien mieux que Monique ce qui était vrai car elle n’était pas très douée pour cet exercice qui pourtant ne lui répugnais pas. Sylvie était une belle plante, bien en chair, d’un blond roux assez peu commun elle avait une poitrine de rêve avec des aréoles roses grandes comme des sous tasses, de petits tétons très sensibles, sa peau laiteuse était d’un douceur de soie, sa chatte très large soulignée d’un petit buisson blond peu fourni, était accueillante et toujours humide, on pouvait la toucher a tous les moments elle était moite au minimum et dans les moments intenses elle était inondée. Nous avions rencontré Sylvie et son mari en compagnie de nos hôtes dans une boite le courant était tout de suite passé et nous avions craqué pour elle Sonia et moi. Franck très sympa était plutôt un contemplatif, adorant regarder sa femme se faire prendre et se joignant aux groupes presque juste pour prendre son pied au dernier moment.. Son sexe était amusant, long très long mais très fin il était amateur de masturbation et avec homme et femme. Franck était aussi sec et maigre que Sylvie était rondelette. Virginie était une fille magnifique, très typée puisque métisse, une peau cuivrée, de grand yeux noirs, une coupe courte à la garçonne, ses seins paraissait plutôt menu mais la transparence de sa tenue laissait apparaître des tétons d’une longueur et d’une grosseur peu commune d’un brun si foncé qu’il paraissaient noirs, sa croupe semblait très africaine cambrée, rebondie Virginie mettait le feu aux mecs en les regardant, un seul coup d’oeil et elle semblait promettre le paradis.. et elle tenait ses promesses.. Thierry petit, rondouillard et toujours amusé et amusant contrastait avec sa compagne. On ne pouvait pas deviner quel amant il était, Sonia je suis sur s’en souviens encore. Un des rares types que j’ai connu avec lequel on faisait des concours de broutage de minou et une queue dont il savait et aimait se servir.. Ajoutez y un goût prononcé pour la sodo quand il était avec un ami.. et vous avez fait le tour succin du personnage.Venait donc s’ajouter à notre troupe les deux filles. Ève une rousse aux longs cheveux, des très beaux yeux verts foncés, une poitrine superbe mais pas très naturelle, de longues jambes encore allongées par des talons d’une hauteur indécente, une démarche tellement suggestive que l’on se posait invariablement la question.. est ce une pro.. de plus Ève était facilement vulgaire et aimait la vulgarité. Lily petite au longs cheveux bruns, demi asiatique enjouée, avait peu d’atouts, petite poitrine, petites fesses, un physique de gamine, mais un tempérament bouillant. Une fille impossible à satisfaire ou presque je m’en rendis compte durant le WE.Comme toujours ces parties démarraient bon-enfant, gentiment par l’apéro, puis un repas.. au fur et à mesure les quelques barrières des convenances tombaient et avant le dessert on se retrouvait plus ou moins à poil. Chacun racontant une histoire, une anecdote, en général excitante alors on posait la main sur la cuisse de sa voisine qui répondait à nos caresses en général avec empressement. Souvent en fait on attendait le dessert avec impatience car c’est à ce moment que l’on se lâchait.. et que les choses sérieuses commençaient.. Oh n’allez pas croire qu’entre apéro et dessert il n’y avait pas quelques orgasmes ou ou moins des gémissement très sonores qui faisait rire tout le monde et surtout appelait la remarque « Mais vous êtes si pressés!! Y’a des hôtels pour çà » ou encore « Mange ta soupe tu pourra baiser ma femme après. »En tout cas, c’était vraiment des moments inoubliables.. Quand on à jamais eu ce genre d’expériences on ne peut imaginer le plaisir que l’on ressent, ce sentiment de liberté et peut être un peu de toute puissance.. Qui n’a jamais rêvé sur un signe faire approcher une belle femme pour lui caresser un sein, prendre sa bouche ou son sexe et devant tout le monde. Un parfum de décadence romaine peut être, mais plus surement des moments acceptés par tous, sans tabou, entre gens assez intelligent pour comprendre que le plaisir se partage qu’il n’est pas souhaitable de vivre replié sur soi même que personne n’appartient à personne et que l’amour vrai ce n’est pas avoir l’exclusivité des caresses de l’autre.. La fidélité ce n’est pas se réserver que pour les caresses de l’autre, c’est aimer, avoir ce sentiment unique pour une personne sans vouloir posséder que pour soi son corps ou être l’unique objet de ses caresses.. Aimer c’est vouloir que l’autre puissent jouir de tous les plaisirs dont il à envie. Aimer c’est aussi voir l’autre recevoir du plaisir non pas par l’être aimé mais par d’autres mains. Je crois que je ressentait tout l’amour que j’avais pour Sonia quand elle prenait du plaisir sous mes yeux, pas forcément avec moi. Ce qui m’émeut c’est de voir sur un visage le plaisir , le vrai, quand on s’abandonne totalement. Cela peut être difficile a comprendre, mais si vous aviez senti la main de celle que vous aimez se serrer sur la votre alors qu’une autre personne lui donne du plaisir vous comprendriez.. Ou bien ce regard les yeux mi-clos qu’elle vous lance alors qu’elle est au sommet du plaisir et que dire du baiser que vous déposez sur ces lèvres alors que les râles de la jouissance monte de sa gorge.. Ces instants restent gravés, ces instants sont des pépites d’or, des diamants bruts qui restent dans nos mémoires bien longtemps après. C’est sans doute la force de toutes ces sensations qui me permet de retrouver aussi vif tous ces souvenirs.. La mémoire est extraordinaire.. Je retrouve les visions, les sensations, le gout et les odeurs de ces moments.. Oui les odeurs.. et le goût.. C’est étrange mais si vrai. Chaque peau, chaque sexe à sa saveur, son odeur en rien comparable à une autre et ces détails vous marquent. Enfin moi c’est imprégné dans mon être indissociable de l’une ou l’autre de mes compagnes, du moins de certaines, celles qui ont vraiment marqué ma vie. Les amies de rencontre laissent des souvenirs mais l’empreinte est moins forte. Sans doute que plus on a vécu des moments forts avec un autre être plus ils vous marquent.. la marque est profonde, c’est parfois une blessure, une plaie béante qui ne se referme jamais.Pour le moment je n’ai évoqué que des moments agréables, des choses un peu futiles. Mais parfois le souvenir fait mal, très mal. Je sais que j’arrive a des souvenirs qui me feront mal, souffrir, sans doute beaucoup un peu comme si je rouvrais à loisir de vieilles blessures pour me rappeler que je suis vivant et que tout cela n’est pas un rêve.Revenons à cette fameuse soirée d’anniversaire.. Comme toujours dans ce genre de soirée.. on craque un peu plus sur l’une ou l’autre des participantes.. Cette fois j’avais craqué pour Lily, ses yeux en amandes son physique de gamine semblait me faire de l’effet. Durant tout l’apéro nous avions été un peu loin l’un de l’autre mais, nous avions pu bavarder et nous rapprocher un peu. L’attirance semblait réciproque, curieuse et intelligente elle aimait rire et comme j’adore plaisanter sur tout elle appréciait. Elle faisait partie de ces personnes qui ne savent pas parler sans toucher leur interlocuteur, c’est donc avec plaisir que je sentais sa petite main se poser sur la mienne, ou sur ma cuisse. Je ne me gênais pas non plus pour placer quelques attouchements sur ses bras et surtout ses cuisses , elle portait, un haut noir totalement transparent qui mettait en valeur ses petits seins aux tétons dressés, une micro jupe en skaï noir, des bas blancs qui contrastaient avec sa peau assez cuivrée et sous sa jupe pas la moindre trace de culotte juste une belle chatte gonflée et imberbe. Monique me dit même s’approchant de moi et mettant sa main entre mes cuisses.. « Dis donc je crois que Lily te fait de l’effet » je lui déposais un bisous sur le nez en disant « Mais toi aussi ma chérie tu me fait toujours de l’effet tu sais bien ». L’apéritif fut parfait, et a part comme je le faisais avec Lily quelques petites caresses volées tout le monde se tenait tranquille. Sonia et Sandrine piaffait d’impatience et avait une folle envie de gouter à Virginie la belle métisse, moi aussi mais j’avais surtout envie de Lily.. et c’était réciproque, la belle faisait tout pour rester en ma compagnie. Au moment de passer à table elle alla dire quelques mots à Monique qui en passant derrière moi me souffla « Je ne te sépare pas de ta conquête mon nounours (c’était le petit nom qu’elle me donnait) »Et de fait je me trouvais à côté de Lily à table, Sonia était en face de moi à entre Jacky et Virginie ce qui ne lui déplaisait pas du tout loin de là. J’avoue que a part cela je n’ai plus en mémoire le plan de table. Mais je me souviens bien de la présence de Lily à mes côtés.. Je ne sais plus qui était à ma gauche, un homme je crois mais ceci n’est pas important. Je ne vous narrerais pas non plus le menu.. je ne me souviens que du dessert et vous comprendrez pourquoi plus loin.Bonne humeur et amitié voilà ce qu’il reste dans ma tête de ces réunions entre amis très proches.. ceci bien sur en mettant a part les galipettes à répétitions qui étaient plus ou moins le but .. Je dis plus ou moins car en y repensant il y eu des réunions je ne dirais pas sages mais durant lesquelles c’était le plaisir d’être ensembles, libre de faire ce que l’on voulait. Et cette liberté incluait de faire l’amour ou pas avec plusieurs partenaires, d’être à l’aise , se câliner tout simplement.Mais cette fois là .. c’était beaucoup plus chaud. Déjà je ne saurais dire pourquoi j’avais flashé sur cette Lily sans doute que son exotisme m’attirait, mais elle avait un côté femme enfant que j’aimais particulièrement, ses yeux m’avaient conquis dés le premier regard. Elle avait une grâce naturelle évidente. Le plus étonnant était qu’elle aussi était attirée par moi, et je l’avais senti tout de suite. Pendant le repas elle était sans cesse collée contre moi, un peu comme une chatte qui se frotte contre vous. Elle avait de délicates attentions, ses lèvres venait souvent effleurer mon oreille, ou elle prenait ma main et me baisait le bout des doigts, et même me léchais le bout des doigts avec des regards édifiants… Je savais que pour l’instant elle me léchait les doigts mais que bientôt.. on passerait a d’autres petits bouts de moi.. Elle avait un parfum enivrant, prononcé, fleuri mais profond et entêtant le genre de parfum qui laisser un sillage derrière celle qui le porte. Dans l’assistance on sentait naitre au fil du repas une tension agréable, petit a petit les désirs s’aiguisaient et des indices fugaces indiquait ce qui se passerais après. Sonia me souriait en posant sa tête sur l’épaule de Virginie et en lui prenant la main. Celle ci lâcha à haute voix à mon attention. « Ta copine ne me quitte pas et elle a les mains douces… ». Les tenues étaient de plus en plus débraillées.. On voyait pointer des bouts de seins, des mains qui les frôlaient. La température était montée d’un cran.Ma main était posée sur la cuisse de Lily et elle me caressait le cou du bout des doigts. Dans mon pantalon ma queue était déjà tendue depuis un moment et Lily y posa sa main me serrant doucement la tige, elle me regardait et avec des yeux pétillants elle dit« Ouah tu est déjà tout dur.. Pourtant je t’ai rien fait.. »« Mais tu me fais bander ma douce.. » répondis-je.Sonia qui nous observais de l’autre côté de la table se pencha en avant vers Lily et lui dit« Je te le prête mais il faudra me le rendre.. Et tu ne sera pas déçue c’est un sacré bon coup »« Surtout laisse le te manger le minou » renchérit Monique qui avait tout entendu.On décida d’aller prendre le dessert dans le salon, les canapés et les fauteuils seraient plus indiqués pour ce qui allait arriver on le sentait bien..Le champagne fusa, nous avions un beau morceau de gâteau, un magnifique fraisier, nous portions un toast à notre hôtesse Monique à ses 25 ans tout neufs. Elle déballait ses cadeaux, et déjà certains hôtes déballaient un autre genre de cadeau. Monique sur l’une des tables du salon commençait à essayer justement l’un de ces cadeaux sous les encouragement de tous… il faut dire que le god était de belle taille, et que c’était plus par jeu que pour le prendre véritablement qu’accroupie sur la table la jupe troussée elle le frottait contre sa chatte.Un peu plus loin Sandrine et Sonia étaient enlacées avec Virginie dans un trio de fille qui était l’attraction dans ce coin. Ève avait entrepris de sucer deux des garçons.Et moi j’avais enlacé Lily sur le canapé, sa micro jupe lui servait de ceinture.. Et contrairement à mon habitude je l’embrassais comme j’embrasse seulement mes vraies amantes. Mais avec cette fille je craquais..Elle était souple comme une liane et elle se collait à moi. Fiévreuse, le souffle court, elle répondais violemment à mes assauts. Sa main s’affairait a me retirer mon pantalon, tandis quelle frottait les pointes de ses petits seins contre ma poitrine, il faut dire qu’elle m’avait littéralement arraché ma chemise. Elle avait au moins dix mains.. Ses yeux étaient noirs comme du charbon, plein de vivacité, un regard de braise.Tout son être aspirait à une chose que je la prenne.Et elle me le disait la voix rauque, sa respiration était saccadée« Vite prend moi, prend moi défonce moi je te veux je te veux »Elle se renversa soudain sur les cousins, cambrée les pieds sous ses fesses, elle guidait ma queue vers sa chatte. D’un coup sec je m’enfonçait en elle, ce fut à la fois douloureux et divin. Douloureux car elle était étroite, mais divin tant son sexe était brulant, et doux une fois que je fus en elle..« Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!! » râlait elle..Les yeux mi clos, agrippée a mes épaules. Je plantais mon sexe dans cette chatte de gamine.. Elle était d’une souplesse incroyable Ses hanches ondulaient elle se pressait contre moi s’écartait se cambrant, tendue comme un arc avant de revenir contre moi et de manger ma bouche.Mes mains malaxaient ses petites fesses, qui était musclées en diable.La fougue qu’elle mettait dans cette étreinte était incroyable. Et je répondais également à cette fougue. Autour de nous c’était il faut bien l’avouer l’orgie. On n’entendait plus que les gémissements amoureux, les râles de plaisirs et ces petits bruits humides qui semblent anodins, mais qui sont tellement excitants.J’apercevais, Sonia et Virginie embarquées dans un 69 qui semblait exquis, Jacky était prés de nous prenant Monique a quatre patte à côté du canapé ou Lily et moi nous ébattions. Si prés que Monique nous caressait tous deux. Elle souriait et gémissait. Le sexe de Lily était agité de spasmes, je la prenais fort, brutalement presque car je sentais que plus je donnais de grand coups dans ce sexe plus elle réagissait. J’avais glissé ma main entre nos deux ventres, et du pouce je caressais son clitoris durci, petite bille de chair vibrante. Chaque fois que mon pouce je caressais de bas en haut Lily poussai un râle et enfonçait ses ongles dans ma peau. Ses yeux papillotaient, ils se retournaient laissant voir que le blanc.« Fort , baise moi fort, défonce moi chéri » Ahanait Lily, je redoublais mes coups elle était ballottée,comme un fétu de paille, elle pesait sans doute a peine 45kg je la soulevais avec facilité. J’ »tais a genoux sur le canapé, elle empalée sur ma queue, je sentais mon sexe trempé, ses sucs nous mouillaient tous les deux. Elle m’enlaçait, je sentais venir le moment ou j’allais jouir, et elle aussi était vraiment au bord de l’orgasme. Ce fut d’une v******e inouïe, elle se mit a hurler, se pliant en deux, les reins cassés contre mes bras à sa taille tout son buste rejeté en arrière. Elle tremblait, son sexe m’écrasais la queue ni plus ni moins. Je ne pouvais pas tenir plus longtemps et vraiment au paroxysme je poussait à mon tour un cri qui fit de nous le centre d’intérêt alors que je giclais dans sa chatte brulante, et je me vidais littéralement, j’avais eu envie d’elle toute la soirée.. C’était vraiment d’un güvenilir bahis siteleri force assez peu commune. Agités tous les deux de spasmes, de frisson de plaisir nous finîmes par nous laisser tomber sur le canapé. Nous avons alors échangé un baiser dont je me souviens encore, il dura longtemps. Tout le monde nous regardait, nous eûmes même droit a des applaudissements. Lily rouvrit les yeux et se frottant contre moi me susurra à l’oreille.« C’était vraiment génial.. tu m’a fait jouir comme peu de fois on m’a fait jouir »Monique qui avait elle aussi pris son pied s’approcha et nous dit« C’était super de vous voir, je crois que c’est vous qui m’avez fait prendre mon pied »Jacky a son tour vin plus près et posant sa main sur mes fesses me dit« J’ai failli laisser tomber Monique pour venir t’enfiler.. ça me faisait envie »Voyant le regard de Lily.. il ajouta..« Oui oui il est comme çà à voile et à vapeur.. Mais tu as vu c’est un sacré baiseur »Lily me sourit, et dit« J’espère bien voir çà se soir… »« Moi aussi, tu sais avec Jacky quand on est réunis ça fini toujours par arriver, tu m’aidera pour le mettre en forme, ce serais amusant de le sucer tous les deux non? » ajoutais-je« Maintenant? » dit elle« Non attends un peu.. » je lui posais un bisou sur la bouche et j’allais voir Sonia qui venait de terminer son 69 avec Virginie..Je l’embrassais langoureusement, goutant sur ses lèvres humides, les effluves du sexe de la belle métisse.« humm tu sent bon ma chérie… j’ai l’impression que c’était pas mal non » à cet instant je sentit une pression dans mon dos, c’était Virginie qui du bout de son orteil m’interpellais.. JE me retournais, elle était alanguie sur le sofa, la chatte et l’intérieur des cuisses luisants, son sexe baillait rose, trempé une vision de rêve.« Ta femme est géniale, elle m’a mangé comme jamais on l’avait fait… mais elle dit que tu est encore meilleur qu’elle, tu viendra me montrer dis oui s’il te plait » Sonia vint se coller contre mon dos et dit à Virginie « Promis ma chérie il va t’envoyer au ciel je lui rappellerais »…Puis revenant a moi elle me dit « Ça avait l’air bien avec la petite .. Lily c’est çà.. tu t’est bien amusé je crois » Ce n’était pas un reproche, juste pour savoir, tout en parlant Sonia me tripotait la queue, et naturellement je me retrouvais au garde a vous… Elle fit signe a Lily d’approcher.. et sans rien dire elle eurent un sourire.. Et Sonia me poussa sur le dos, j’avais la tête contre les jambes de Virginie.. qui récupérait. Lily et Sonia se mirent à me sucer en tandem. Se passant et repassant ma queue gonflée, elles profitaient des moments ou leurs lèvres étaient proches pour échanger des baisers enflammés. Thierry, Ève et Sandrine jouait un trio enflammé, Thierry enfilait avec ardeur le petit cul de Ève tandis que Sandrine toujours le museau dans une chatte léchait celle qui lui était offerte avec application. Franck sur un fauteuil se laissait lui aussi déguster par Monique tandis que Jacky s’occupait de la petite chatte de Sylvie.. enfin pas si petite que çà car la belle Sylvie était plus que plantureuse et possédait une chatte bien grassouillette et large.Tandis que les filles me suçait javais doucement commencé à caresser les jambes puis les cuisses de Virginie, qui doucement s’était approchée de moi. Trois femmes pour moi c’était Byzance.. J’avais envie de manger ce con luisant dont j’avais déjà eu un aperçu du goût sur les lèvres de ma Sonia. Finalement Virginie vint placer sa chatte au dessus de mon visage. Sa peau foncée de métisse contrastait avec le rose nacré et emperlé de liqueur de son sexe, ses lèvres noires rehaussait le tout. Son clito était dur et saillant sous son capuchon je le tétais tirant à la belle des soupirs profonds.. tandis qu’instantanément son minou se mettait à palpiter. Ma langue lapait le suc qui s’en écoulait, transparent il se faisait au fil de mes coups de langue de plus en plus épais et laiteux, crémeux..Sonia et Lily me travaillaient avec art et fougue, je bandais comme un carme, ma queue gonflée, les veines saillantes était dure et noueuse comme un pied de vigne. Au bout d’un moment, Sonia très excitée décida de s’empaler sur ma queue dressée, voulant profiter de tous les plaisirs elle guida mon gland vers son anus qui s’ouvrit avec facilité. Je glissais dans son cul avec un plaisir que je ne pouvais cacher, et Lily se mit a manger le minou de Sonia que je sentais couler sur me couilles.Avec une lenteur calculée, pour ne pas me faire jouir trop vite, Sonia se mit à monter et descendre sur ma queue, tandis que Lily la lapais avec de grands bruits humides..La chatte de Virginie ruisselait dans ma bouche maintenant, elle se tortillait se cambrait, criait quand j’aspirais son bouton durci, elle était agitée de spasmes se cramponnant à mes avant bras qui enserrait ses cuisses pour tenter de maintenir son sexe sur ma bouche. Son sexe s’ouvrait et se fermait dégouttant chaque fois un peu plus de son jus laiteux, j’en était barbouillé, du nez au menton. Sonia se mit à jouir sous les coups de langue de Lily et également par le ramonage intense qu’elle s’imposait.. J’étais moi également au seuil de l’orgasme. Je sentais mes couilles se contracter Sonia après un puissant orgasme et une bordée de cris, se laissa glisser rompue par ce plaisir.. laissant ma queue tendue à l’extrême.. Sans hésitation, Lily repris mon sexe dans sa bouche , sans se soucier de l’endroit ou il se trouvait précédemment. Virginie explosa littéralement dans ma bouche, m’inondant le visage, sa jouissance était si forte qu’elle se relâchait totalement, en femme fontaine qu’elle était elle se laissait aller entièrement a son plaisir en long jets, elle ruisselait sur ma bouche, dans ma bouche mouillant totalement le canapé… Cette soudaine humidité me galvanisa et je ne put me retenir de jouir à mon tout dans la bouche de Lily qui me pompai avec art, je poussais a mon tour des cris qui exprimaient mon plaisir, je fais partie de ces quelques hommes qui s’expriment véritablement et ne retiennent pas leur souffle au moment de jouir.. moi je crie, je hurle je dis au passages quelques insanités également. C’est pour moi indissociable du plaisir.. Et cette fois je gueulais vraiment tout en lâchant de grosses giclées dans la bouche de cette belle gamine aux yeux bridés.. Lily prenais un plaisir pervers, à ralentir l’écoulement de mon sperme en serrant ma queue violemment et en me laissant couler au rythme qu’elle choisissais.. C’est terriblement éprouvant quand on gicle et que le sperme s’accumule bloqué à la base de la verge et qu’on le laisse s’épancher lentement.. Mais c’est également un vrai délice.. enfin pour moi..La soirée se prolongeait, nous avions du prendre un peu de repos, tout le monde avait donné et bien une coupe de champagne nous rafraichissait Sonia et Lily étaient lovées contre moi, tout le monde était à poil et on riait bien se moquant de l’un ou l’autre, qui avait été bruyant, avait fais une drôle de trombine des trucs de gosses presque mais c’est tellement agréable. Virginie étaient gênée de inondation qu’elle avait provoquée. Elle n’avait pas eu le temps de prévenir, de me prévenir qu’elle était de ces femmes qui sont de vraies fontaines.. et se lâchent totalement dans certains moments forts.. Elle n’arrêtais pas de dire que jamais on ne l’avais mangé aussi bien, que jamais on ne lui avait procuré un tel orgasme juste en lui léchant la chatte.. Sonia riait et elle qui profitait de mes « talents » journellement n’était pas peu fière.. Sylvie qui avait déjà profité de ma langue par le passé me rappela que ce soir elle n’avait pas eu droit à un coup de langue.. Je le lui promis.. Mais j’avoue que j’avais une envie qui me tenaillait à cet instant, envie d’un homme, un ou plusieurs.. Et sans honte je le disais tout haut« Bon moi, je me suis pas mal amusé avec les filles, mais de les voir sucer des queues.. ca m’a donné envie.. de faire pareil.. hein les gars pas vous? »Lily me donna un coup de coude.. et me glissa à l’oreille« Je t’aide avec Jacky comme on à dit? »Je me levais, suivi de notre belle aux yeux en amande, et arrivé devant le fauteuil ou se trouvait Jacky je m’agenouillais devant lui, posant les mains sur ses cuisses.. je les laissais remonter vers sa queue pas tout a fait endormie.. Mes doigts se refermèrent sur ce sexe épais, le décalottant doucement, mon ami ferma les yeux, et avec un petit soupir se laissa aller en arrière. Lily s’installa près de moi et tandis que le tenais la queue bien fermement, elle arrondit ses lèvres et goba le gland.. Elle mouillait abondamment la tige qui durcissait a vue d’œil et elle laissa ressortir l’engin de sa bouche me laissant la place. C’est avec un plaisir non dissimulé que je léchais déjà le gland luisant de salive, puis doucement je posais mes lèvres sur le somment et laissais ma bouche s’ouvrir pour l’avaler lentement, centimètre par centimètre. Je sentais les muscles de Jacky se tendre, sa queue gonflait encore plus, ma langue s’attardait sous le gland, léchant le frein cajolant cette chair palpitante et brulante. Bon sans quelle queue, épaisse je l’enfournais plus loin encore maintenant je sentais le gland contre ma glotte, je poussais encore enfonçant cette queue dans ma gorge. Si Jacky avait des frissons, moi aussi et déjà je bandais aussi fort que lui. Remontant je laissais maintenant à ma complice le soin de reprendre en bouche la queue rougeoyante de Jacky. Elle le fit avec plaisir elle s’amusait comme une folle, et le lui léchais l’oreille, la joue, la commissure des ses lèvres tendues sur l’engin. Quand elle relâcha la queue nos deux langues s’amusèrent a se poursuivre autour du gland palpitant. Avant que nous échangions un baiser au dessus de cette queue que nous partagions. Jacky soupirait comme un fou, il posait ses mains sur nos têtes, nous cajolant et nous invitant à ne pas le délaisser..« Vous me rendez dingue tous les deux… » dit il d’une voix rauque.Toute l’assistance nous observais, à ce moment nous faisions le spectacle. Monique derrière le dossier du fauteuil, avait mis ses mains sur la poitrine de Jacky agaçant ses tétons, les triturant les pinçant lui tirant de petits râles de plaisirs qui s’ajoutaient à ceux que nos deux bouches déclenchaient.Je sentis soudain une caresse entre mes fesses, une main s’y promenait, suivi d’une bouche et d’un langue qui se mit à humidifier mon anus.. Ce ne pouvait être que 2 personnes.. et c’était Sandrine, qui me connaissait bien et qui savait ce que j’attendais maintenant que Jacky était dans une forme éblouissante.. Je ne peux nier que j’avais une envie folle qu’il m’encule, me fouille avec cette queue et se répande à l’intérieur de moi. Sandrine d’ailleurs glissait deux doigts dans mon cul. Lily me caressais le dos en me susurrant à l’oreille« Tu va te faire prendre, j’ai envie de te voir, tu aimerait que je te mette mes doigts aussi? » J’acquiesçais tout en suçant la queue de Jacky de plus belle. Lily rejoignit la main de Sandrine et se joignit à elle, pour me caresser l’anus..Sandrine voulut lui laisser la place mais je leur fit comprendre que toutes les deux pouvaient jouer avec moi.. Et je senti les doigts de Lily rejoindre ceux de Sandrine, leurs petits doigts me fouillaient me travaillaient la rondelle.. Soudain l’une d’elle atteignit le point sensible, instantanément je sentit ma queue commencer à couler alors que les doigts massaient cet endroit, difficile de faire comprendre les sensations, on sent parfaitement le contact contre cette boule qu’est la prostate, le massage déclenche des vagues de sensations et surtout chez moi au moins l’écoulement très important de cette liqueur transparente que les anglo-saxons nomment « precumm », selon les individus c’est plus ou moins important et selon aussi les hommes on arrive à l’orgasme par cette caresse presque exclusivement.. ou pas.. Pour ma part.. j’atteins selon l’excitation l’orgasme rien que par pénétration. Sans avoir besoin d’être masturbé par exemple.A cet instant j’avais envie que les filles m’enfilent encore plus.. je me tortillais laissant mon anus se dilater le plus possible.. J’entendis Sandrine murmurer quelque chose à Lily, qui presque aussitôt approcha son visage du mien et me dit« Tu est une grosse salope, tu aime çà hein? »« Oui j’aime çà défonce moi Lily » dis jeAussitôt elle agita plus fort ses doigts, ma queue suintait, dégouttant lentement la liqueur. A ce moment Jacky releva ma tête m’arrêtant dans ma fellation, et me regardant dans les yeux avec un sourire me dit « Moi je vais te faire crier ma salope, tu va aimer, donne moi ton cul ,Viens Grimpe sur moi.. empales toi »J’étais conscient que tout le monde nous regardait depuis un moment, j’assurais l’animation mais j’étais justement très excité par la situation. Sur les fauteuils et canapés je ne voyais que des corps nus des cuisses écartelées, des chattes luisantes, des sexe dressés et leurs yeux qui nous dévoraient Jacky et moi. Je me levais, puis tournant le dos je prenais sa queue, la guidait contre mon anus, et je me laissais descendre sur son gros braquemart. Ah je savais par expérience que Jacky était bien monté, mais jamais je ne l’avais pris aussi facilement. Je m’assis presque naturellement, alors que sa queue me pénétrait. Mon sexe dur, le gland totalement décalotté pointait face a ce public d’un soir. Je me cambrais, quand sa queue atteint mon point sensible et aussitôt un long filet translucide et épais coula au bout de mon gland s’étirant en un long filament que la loi de la gravité faisait descendre. Cette vision fit frémir l’assistance et je perçus des murmures , vis des regards.. Mais j’étais maintenant ailleurs.. Je sentait le membre me fouiller, je montais et descendais lascivement, il paraît que je peut être très « femme » quand je me fais prendre ainsi. Et si je ne me sent pas femme, c’est vrai que j’apprécie sans doute que l’on désire mon corps mes caresses comme moi je désire celles des femmes.. Et je suis vraiment bien dans ma peau.. envie de me donner de faire et prendre du plaisir. La queue de Jacky épaisse me ramonait littéralement. Les allez-retours contre ma prostate accéléraient l’écoulement pourtant déjà plus qu’abondant , maintenant plusieurs longs filaments dont la plupart tombaient au sol pendaient au bout de ma queue ou s’écoulaient le longe de la tige totalement tétanisée. Comme toujours quand c’est extrême le plaisir et une certaine douleur son intimement liés. C’était le cas.. a ce moment, Jacky aussi était tendu a mort, je sentais parfaitement sa queue palpiter en moi et il était à deux doigts de jouir.Lily et Sandrine étaient devant moi à quelques dizaines de centimètres, assises par terre au pied du fauteuil, en face j’apercevais ma Sonia sur le canapé qui se caressait en me regardant me faire baiser par mon ami. Et nos autres comparses étaient aussi au cinéma n’en perdant pas une miette mais d’échauffants aussi. Thierry était en super forme aussi, Virginie avait sa main sur sa queue et le branlais lentement.Est-ce un regard que je lui lançais ou une envie trop forte, mais il se leva et s’approchant de nous, il vint proposer sa queue à ma bouche, je ne pouvais mieux espérer. Enculé, une bite dans la bouche j’étais en transe. Surtout que Thierry avait tellement été chauffé par Virginie qu’il explosa dans ma bouche en moins de 2 a 3 minutes me remplissant la bouche d’un jus épais , qui venais en grosses giclées s’écraser dans ma gorge.. C’était fort, la dose énorme et j’avais un peu de mal à avaler assez vite.. mais c’était trop bon. Le sperme coulait sur mes lèvres, et mes joues. Thierry venait de se vider et fourbu se laissait tomber sur le canapé à côté de Sonia, quand je vis une autre queue à quelques centimètres de ma bouche. Franck avait craqué, je savais qu’il aimait avant tout la masturbation et j’empoignais sa queue dans ma main et le branlais, léchant son gland, l’aspirant de temps en temps..Jacky était sur le point de jouir je sentais qu’il se retenais, ralentissant mes mouvements.. Moi j’étais largement ouvert, parfois je remontais un peu trop et je sentais la queue de Jacky échapper à mon anus mais elle y rentrait avec une facilité .. déconcertante.. je devais être bien ouvert.A cet instant j’eus un spasme au moment ou le gland gonflé titilla ma prostate, un spasme et je laissais échapper deux ou trois giclées de sperme qui finirent sur les gnous de Lily toujours prés de l’action.. Mais je n’étais pour autant pas libéré je n’avais pas joui vraiment juste sans doute laissé partir le trop plein.. Mes couilles totalement remontées me faisait un mal fou. Ma queue tendue frottait contre mon ventre maintenant que j’étais un peu plié pour branler et sucer Franck.. Il poussa un cri et m’aspergea le visage de son foutre, j’en avais partout dans les yeux, la bouche le nez.. il tremblait de tout ses membres et du se laisser tomber par terre assis pour éviter de vraiment tomber.Et je senti alors Jacky empoigner mes hanches et m’enfiler a mort.. jamais il n’avait été aussi loin en moi et c’était divin.. il gueulait la bouche contre mon dos, il se vidait je sentais nettement les giclées chaudes dans mon anus qui je le sentais s’ouvrait et se fermait spasmodiquement. Une averse qui dura longtemps, c’est du moins la sensation que j’en ai eu.. Mais moi je ne jouissais pas, j’étais a deux doigts de l’explosion mais ayant joui la bite de Jacky ne me stimulait plus suffisamment. Sandrine me connaissait aussi bien que Sonia elle comprit ma détresse, et laissant Lily empoigner ma queue alors que je tombais a genoux, Sandrine glissa sa main entre mes fesses et enfonçant ses doigts dans mon cul, trouva rapidement l’endroit idoine et se mit a me masser furieusement l’intérieur.. avec je ne le sut qu’après 4 doigts seule le pouce était resté dehors.. Mais j’étais hors de moi, en sueur.. Lily m’astiquais furieusement pendant que ma petite Sandrine me défonçait littéralement l’anus. Je finis par jouir comme un fou, giclant sur le corps de Lily qui rapidement fut dégoulinante de sperme.. Ce moment est un peu flou car j’ai eu a ce moment un orgasme très fort, pas les plus intense d’autres le surpasseront. Mais déjà là j’étais anéanti et c’est sous les bravos de toute notre petite bande que je me laissais aller dans les bras de Sonia venue à mon secours après avoir pris son pied en me regardant jouir.. La soirée ne s’arrêta pas là mais pour moi ce fut le point culminant.Voilà une soiré d’anniversaire dans mon petit monde de pervers.. Bien sur allez vous dire ca baise a couilles rabattues… où est la convivialité? Je ne vais pas vous narrer nos discussions, nos petites attentions pour l’une ou l’autre. Les fous rire.. Car souvent on faisait l’autocritique de nos galipettes..et tout cela finissait par un gros dodo, souvent on dormait avec celle que nous lutinions quand le sommeil nous emportait.. J’eus beaucoup de chance quand je m’éveillais j’avais trois belles avec moi Sonia, Lily et Sandrine.. croyez moi se réveiller entouré de trois femmes nues et belles c’est un vrai plaisir.. l’homme est par nature polygame.. mais la société en décide autrement.. hélas.C’est un bon aperçu de ma vie avec Sonia, nous nous entendions très bien, il est vrai que c’était plus un ménage a trois qu’une vie de couple.. Sandrine était si souvent présente, je n’en concevais aucune gêne. Mais parfois j’adorais son absence, être deux nous rafraichissait un peu.Mais, un jour qui est resté gravé dans ma mémoire il se passa une chose que pas un homme ne peut oublier. Du moins je ne sais pas comment on peut.. Moi 30 ans après j’entends les mots, je revois les expression de son visage.. Ça me fait toujours le même effet.Ce samedi, nous étions en couple, Sandrine n’était pas là déjà empêtrée avec son couple qui commençait à battre de l’aile. Mari toujours absent obnubilé par sa carrière. Son envie d’un bébé qu’elle n’arrivait pas a obtenir de son mari .. Bref la pauvre galérait. Certes notre situation avec elle était étrange mais c’était notre quotidien.Sonia avait depuis quelques jours une mine peu enjouée, quelque chose la tracassait ou n’allait pas comme elle le désirait. Après 2 ans de vie en commun.. il est facile de savoir si l’autre ne vas pas bien. Je redoutais un ennui sérieux car elle qui habituellement ne cachait rien et s’ouvrait de tout dés que je lui demandais, elle restait fermée et silencieuse. Nerveuse, irritable en diable. J’avais décidé de ne pas brusquer les choses je la sentais mal dans sa peau.. et je lui faisait confiance quand elle aurait besoin de moi elle me raconterait tout.Et ce matin là nous paressions un peu au lit, j’avais tenté de faire l’amour au réveil comme il m’arrivait fréquemment de le faire.. Mais mes avances étaient restées lettre morte.. c’était pour le moins anormal..Je revois encore son visage se tourner vers moi, ses yeux se poser sur moi, je vis instantanément qu’elle était au bord des larmes. Elle me dit alors« Chéri, il faut que je te dise quelque chose de grave, surtout ne te fâche pas »« Mais non pourquoi je me fâcherais? » dis je de plus en plus inquiet.Ma première idée fut de me dire.. elle va me quitter et j’avais déjà une boule au fond de la gorge.« Mais dit moi »« J’ai pas eu mes règles, je viens de faire le test, je suis enceinte » dit elle de grosses larmes coulant sur ses joues..Je m’attendais à tout sauf a çà.. instantanément la boule disparut remplacée par un emballement de mon cœur.. en un instant je voyais notre vie future, un bébé, moi papa une superbe femme que j’aime, un enfant je fus surpris du bonheur qui m’envahissait. Je n’avais jusqu’à cet instant jamais vraiment pensé que ca pourrait arriver.. Du moins je ne mesurais pas ce que pouvais vraiment inspirer une telle annonce.. Maintenant je savais, j’étais aux anges.. un sourire me vint illuminant sans doute mon visage et en réponse à mon expression sans doute béate je vis le visage fermé de Sonia elle me regardait comme si j’étais un demeuré qui ne comprenais rien..« C’est génial ma douce, pourquoi tu avais peur que je sois en colère? » lui dis-je« Attends tu a bien compris, je suis enceinte, un bébé tu crois que c’est bien, que c’est une bonne nouvelle? Avec notre vie, on peut pas avoir un bébé »Douche froide, glacée.. incompréhension.. le petit garçon avec son beau ballon qui éclate.. L’instant de bonheur total qui m’avait envahi se transforme en hiver glacé, mon cœur se serre, je ne comprend pas.. Elle devrait être heureuse, on devrait sauter de joie et elle pleure le visage tordu par les larmes un rictus moqueur comme si moi l’idiot je n’avais toujours pas compris.« Mais.. » tentais je« Non on peut pas avoir un bébé et puis je ne veux pas je ne saurais pas m’en occuper.. plus tard peut être mais maintenant non ce n’est pas possible. »« Attends calme toi on va en parler »« Non, non, non je ne veux pas de bébé tu comprend? »Jamais je n’avais vu Sonia sous ce jour, elle était si douce, toujours enjouée. J’avais en face de moi une autre que je ne connaissait pas. Une étrangère, dure et égoïste.Je pense qu’a cet instant le ressort c’est irrémédiablement brisé. Nous étions en désaccord. En un bref instant je venais de comprendre que pour moi cette nouvelle était sans doute la plus belle annonce le plus beau cadeau que m’ait fait la vie. Pour elle c’était la cata, la remise en cause de notre façon de vivre, le bouleversement de notre train train égoïste. Moi j’étais prêt a abandonner nos folies pour faire de la place à un petit bout de chou. Je poussais les murs, de mon cœur en chassait toutes les galipettes, les sorties, les perversions et j’accueillais la pureté d’un petit a venir, le fruit d’un amour véritable. Jamais Sonia à la folie, j’aurais tout donné pour elle. Quand elle avait annoncé son état j’avais visualisé en un instant, son gros ventre la plénitude de la grossesse, l’accouchement, lui tenir la main dans ce moment douloureux mais si beau.J’avais l’impression qu’elle venait de me poignarder par ce non catégorique et froid.Même si je n’ai à l’époque jamais voulu me l’avouer notre amour est mort ce samedi matin quand elle m’a asséné « non non non je ne veux pas de bébé »Certes après elle m’a convaincu, du moins j’ai fini par accepter ses arguments. J’ai accepté avec dans l’idée que plus tard elle aurait envie d’un bébé. Là en effet c’était un accident. Elle se retrancha derrière notre vie de débauche pour dire, ce n’est peut être pas de toi.. c’était vrai on ne savait pas trop quand il avait été conçu. Mais nous ne partouzions pas en permanence non plus.Je finis par accepter l’avortement la mort dans l’âme et aujourd’hui encore j’ai un peu la sensation de n’avoir pas su être convaincant, d’avoir laissé cette décision s’imposer..Aujourd’hui je paye peut être pour cette faute, j’ai mal ca fait encore mal, ce matin là j’ai perdu mon enfant et celle que j’aimais.Nous avons continué encore pas loin de 6 mois, mais une chose c’était brisée, et nous nous sommes éloignés l’un de l’autre, entre nous il y avait cet enfant qui ne verrait jamais le jour, il a grandi en un mur infranchissable.Peut être aussi déçu je n’ai pas su ou pas voulu recoller ce qui s’était brisé, pourtant même si parfois je me moque gentiment d’un ami qui 10 ans à attendu espérant que celle qui l’avait abandonné reviendrait.. espoir déçu bien sur. Hé bien j’admets que moi aussi j’ai eu longtemps espoir qu’un jour… Elle serait revenu vers moi j’aurais ouvert les bras et j’aurais tout pardonné…Bizarrement je l’ai revue il y a peu croisée par hasard, j’ai eu la surprise de sentir mon cœur battre plus fort.. D’autres sont passées, des malheurs sont arrivés.. mais je me demande même si Sonia ma Sonia ne pourrais pas mettre encore aujourd’hui du baume sur mes blessures.. Je t’aimais Sonia.. non… je t’aimes toujours admet le pauvre idiot…Et toi mon ami tu te reconnaitras bien sache que j’écris et je pleure sur cet amour et cet enfant perduJe me suis éloignée d’elle, elle s’est encore rapprochée de son amie. Elle aimait les femmes et elle fit le choix d’une femme, celle qui partageait nos nuits, nos jeux pour en faire sa compagne.

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Chap. XVI “Dressage de Viviane 2”

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Chap. XVI “Dressage de Viviane 2″Chap XVIIpetit rappel : ces histoires sont vécues même si parfois cela parait sur réalisteViviane semblait avoir trouvé en moi le complice idéal pour assouvir ses désirs, au passage j’assouvissais aussi les miens, du moins je découvrais et j’assouvissais des penchants que je n’avais pas totalement soupçonné. Avec Patricia je m’étais découverts des envies masochistes assez poussées que j’assumais parfaitement. Me livrer aux mains d’une femme experte qui me faisait subir des sévices même parfois un peu extrêmes ( je pensais alors qu’ils étaient extrêmes.. je compris plus tard que c’était bénin) était pour moi un plaisir assumé. Par contre j’avais plus de mal à assumer le fait que de devenir le maître, l’exécuteur était un peu plus difficile pour moi. Non pas que je n’appréciais pas, bien au contraire je sentais confusément que j’aimais trop cette relation. Mais j’avais du mal à accepter que je frappais une femme, chose que je n’aurais jamais envisagé sans doute si je n’avais pas rencontré Viviane. Mais j’étais amoureux fou d’elle. Nos jeux prenaient de plus en plus de place dans notre vie, Viviane avait toujours au creux du ventre cette envie de subir, c’était une seconde nature. Elle trouvait tous les prétextes possibles pour prendre des coups, pour souffrir. Elle réclamait sa dose quand par hasard elle ne l’avait pas eue. Je me rendis bien vite compte que sans cette drogue qu’était la v******e elle ne prenait pas de plaisir, du moins elle n’atteignait pas les sommets qu’elle recherchait.La douleur était une composante incontournable du plaisir pour Viviane, bien sur nous faisions l’amour disons normalement sans accessoires ou liens d’aucune sorte. Mais je savais que si je voulais qu’elle prenne son pied à un moment ou un autre je devrais la cogner, donner quelques gifles, lui torde les tétons ou l’étrangler. Et moi je savais que quand je serais en train de lui faire subir ces sévices mon plaisir allait enfler. Petit à petit nous ne savions plus à qui ces jeux violents étaient nécessaires.. Pire il m’arrivait de ne même pas avoir besoin de lui faire l’amour, la travailler, la pousser dans ses retranchements suffisait assez fréquemment à me faire connaître le plaisir. Je ne compte plus les fois où j’arrivais à l’éjaculation sans même la moindre caresse.. Petit à petit mes désirs évoluaient et c’est au travers de la souffrance et de l’humiliation de Viviane que je prenais mon plaisir car elle atteignait elle aussi des sommets de l’extase. Viviane était plus physique que cérébrale, si la mise en scène, l’humiliation, la sensation d’être un objet contribuais à son plaisir, c’était bel et bien la douleur qui lui procurait les frissons et les orgasmes. Viviane, me fit connaître un monde que j’avais commencé à entrevoir avec Patricia mais là j’allais me plonger, m’immerger dans cette autre vie. J’allais faire des rencontres, découvrir jusqu’où l’on peut aller, jusqu’où l’homme peut être capable d’aller chercher une forme déviante du plaisir. J’avais un temps espéré que Viviane si elle aimait être soumise aurait aimé aussi me soumettre mais il n’en était rien.. Si elle acceptais de pratiquer certaines choses, comme la sodomie ou le fist jamais elle ne consenti à me fouetter par exemple. Elle n’appréciait guère non plus de me voir soumis, mais là elle n’avait pas le choix dans certaines soirées et c’était mon désir qu’elle assiste à mes tourments. Plus le temps passait et plus j’entrais dans les délires de Viviane, plus j’allais au devant de ses désirs, parfois même allant au delà. Au début de notre relation j’avais joué le jeu, je prenais plaisir à la voir souffrir.. Puis petit a petit j’avais besoin de sentir sa souffrance, sentir qu’elle acceptais tout ce que je lui demandais, j’avais l’impression de la pousser au delà de ses limites alors que c’était elle qui insidieusement me poussait à toujours plus de cruauté. J’aimais particulièrement la fouetter, de toutes les activités SM c’est une de mes préférées sans doute, car une femme liée, recevant le fouet, les contorsions de son corps, les marques qui naissent sur la peau, simples traces roses, virant au rouge puis au grenat pour finir dans un entrelac de petites plaies d’où sourdent quelques gouttes de sang c’est pour moi une vision idylique. C’est souvent lors de séances de flagellation qu’il m’arrivait souvent de jouir sans avoir besoin de la moindre caresse. C’est hypnotique, d’autant plus quand on à déjà été à la place de la victime. Je sais, je sent comme elle la mrosure du fouet, les sensations qui irradient dans tout le corps, l’attente , attendre le prochain coup, se tendre dans l’espérance de la douleur. Viviane jouissait de l’attente, de la description des sévices que j’allais lui infliger. Je l’ai vue un nombre incalculable de fois agitée de tremblements, parfois avoir des orgasmes dans l’attente des coups. Souvent elle me suppliait de la frapper, encore et encore quand elle était aux portes du plaisir elle demandait des coups quand elle jouissait il fallait la frapper le plus fort possible, sa capacité à supporter la douleur quand elle avait un orgasme était incroyable.. décuplé est un faible pronostic. Quand Viviane était en plein orgasme je pouvais lui faire ce que je voulais, la mutiler , la couper la bruler elle acceptais tout et jouissait encore plus.. LE retour sur terre était le plus souvent difficile à supporter car la douleur qu’elle pouvait accepter dans l’orgasme elle avait beaucoup de mal à la supporter dans le reflux du plaisir et souvent c’était une réaction violente à la limite de la crise de nerf ou également des pertes de connaissance. Ajoutons que pour dépasser ses limites Viviane usait et abusait d’alcool et de drogues douces ou dures. J’ai vécu toute cette période avec une épée de damoclés au dessus de la tête.. Allions nous allez trop loin vers des choses irréversibles, allait elle tenir le coup.. Certaines syncopes on duré plus que de raison. Il est vrai que nous étions dingues et que nous jouions avec la vie,sa vie. La situation devint de plus en plus difficile quand Viviane fut submergée par son désir d’auto destruction.. Elle réclamait explicitement une mise a mort réelle mise en scène, une souffrance de plus en plus forte dont le point culminant serait sa mise à mort la plus horrible possible, la plus douloureuses possible. Il arrivait fréquemment que nous fréquentions des boites spécialisées, des clubs privés, mais également certaines séances étaient totalement improvisées et parfois disons sur le domaine public. Elle me fit également rencontrer des amis qu’elle avait connu avec son précédent « maitre/amant » En particulier un couple d’âge mûr, Peter le mari était très soumis et maso,également bisexuel, elle Flora était surtout dominatrice en particulier avec les femmes, mais également les hommes qui aimaient vraiment souffrir et elle était gâtée avec son mari. Ils étaient ont peut le dire de vieux routiers du sado-maso et aimaient les soirées à 4 ou plus. Viviane me présenta également Marina une belle femme, la quarantaine qui était elle une professionnelle du SM du moins elle en avait fait son fond de commerce.. Prostituée? Si on veut oui mais elle exerçait uniquement dans le SM ce qui n’implique pas forcément de rapports classiques. Ses proies favorites étaient les hommes masochistes. Les femmes c’était pour elle une affaire privée. Avant que je ne rencontre Viviane, quand la pression devenait trop forte c’était avec Marina qu’elle assouvissait ses désirs et je me rendis vite compte que Marina était non seulement experte mais poussait ses sujets au bout de leur ressources, pour avoir vécu entre ses mains des heures à la fois douces et terribles qui me font encore aujourd’hui bander et frissonner. La première soirée très hard est rapidement arrivée, en compagnie de maitresse Flora et de Peter. Soirée à quatre, pas encore une soirée avec une douzaine de personne cela viendrait plus tard. J’avais déjà fais connaissance avec eux, sans qu’il ne ce soit rien passé, soirée au restaurant plein de discussions autour du SM mais rien de concret. Ce soir là nous étions invités chez Flora et Peter, viticulteurs ils habitaient une superbe maison dans un petit village, hauts murs, grande propriété discrète ce qui permettait de tenir des réunions et de pratiquer en plein air parfois. Également qui dit viticulture dit cave, le cadre parfait pour le SM, cave aménagée avec tout le confort pour maitres et esclaves. Viviane était magnifiquement apprêtée, ses longs cheveux nattés soigneusement, un maquillage parfait mettait en valeur ses yeux gris limpides, autour de son cou elle portait un collier de cuir clouté qui lui serrait la gorge, le fait de glisser un doigt sous le collier la faisant suffoquer. La laisse pendait au mousqueton du collier. Elle portait une longue robe noire, largement fendue sur chaque hanche, décolletée jusqu’au nombril et le dos nu. Dessous elle ne portait que son porte jarretelle et ses bas, plus une paire de pinces reliées à une chainette, les pinces écrasait ses tétons et la chainette se balançait entre ses seins, visible dans l’échancrure de son décolleté. Avant de partir, je lui avait enfilé un plug de 4cm dans l’anus et une paire de boules de même taille dans la chatte. Les quelques km de trajets avait largement suffit à la chauffer suffisamment pour qu’elle soit aussi en chaleur qu’une chienne. J’avais avant de descendre de voiture vérifié tout cela, et son clitoris était saillant, son entrecuisse chauffé à blanc était déjà moite et les lèvres de sa chatte ourlées d’écume. Viviane était prête à tout accepter, on avait parlé le long du chemin et elle m’avait dit ce qu’elle attendait de la soirée, son désir était au plus fort, elle voulait subir tout ce qu’elle pourrait supporter et même plus. Nous avions comme toujours notre mot qui mettait fin à toute choses « Rouge ».Au moment ou nous passions la porte, Viviane savait qu’elle devenait uniquement mon esclave et non ma compagne. A partir du moment ou nous entrions chez nos hôtes le jeu commençait. Et il commençait également pour Peter qui lui était le soumis de Flora. La soirée en fait c’était ma rencontre avec Maitresse Flora et nous étions chacun accompagnés de nos esclaves.Flora avait une cinquantaine d’années, on remarquait de suite chez elle sa chevelure rousse flamboyante, qui n’était pas naturelle mais qui lui allait comme un gant. Ses yeux bleus marine semblaient ne jamais ciller, son regard avait une dureté naturelle en parfait accord avec le rôle qu’elle aimait tenir. Sa plastique pour son âge était plus que flatteuse, un peu forte, une poitrine généreuse et des hanches larges faisait d’elle une parfaite dominatrice. Ajoutons que le maquillage outrancier qu’elle affectionnait en faisait presque une image d’Epinal. Sa tenue était en adéquation avec la soirée qui nous attendait. Un bustier de cuir extrêmement serré à la taille faisait pigeonner ses seins lourds, on apercevait même la naissance des aréoles foncées. Une longue jupe de cuir fendue jusqu’à la taille laissait voir des jambes bien faites perchées sur des bottines aux talons d’une hauteur vertigineuse. De longs gants de satin noir lui donnait une élégance raffinée. Elle avait un sourire carnassier en observant la chienne que je tenais en laisse. Elle avait déjà plusieurs fois gouté à mon esclave. En fait j’étais il faut bien le dire plus ou moins en apprentissage. Je l’avoue j’étais excité et cela se voyait, ma queue était tendue et la bosse qu’elle faisait naitre n’était plus invisible. Je suis comme çà, mon esprit va plus vite, s’emballe je vis parfois à l’avance les moments a venir. Je pressentais que les heures a venir seraient exceptionnelles… et elles le furent.Une fois à l’intérieur, Flora s’installa dans un large fauteuil de cuir fauve, m’invitant à m’installer dans celui qui lui faisait pendant de l’autre côté de la cheminée. J’indiquais à Viviane sa place, à genoux à côté du fauteuil. Elle obéis instantanément, et elle croisa ses mains sur sa nuque comme elle devait. Peter le mari et esclave de Flora fit alors son entrée. Il faut quelques explications. Peter effectivement est soumis et esclave de Flora, mais c’est uniquement dans le cadre de nos jeux sexuels. Dans la vie de tous les jours c’est un entrepreneur, responsable et loin de la vision qu’on à d’un soumis ou un esclave. Il est difficile pour qui ne connais pas ce milieu de faire le distinguo. Il arrive certes que la soumission déborde du cadre sexuel. Dans ce cas j’aurais tendance a trouver cette ambiance malsaine. Viviane dans la vie courante n’étais pas soumise, mais notre problème est que peu à peu les jeux sexuels ne s’arrêtaient plus la mettant dans un état de soumission permanent et dans une recherche de sensations de tous les instants.Peter fit donc son entrée, sa tenue était sans équivoque, cagoule de cuir noir, torse nu, une chainette et des poids accrochés aux anneaux qui perçaient ses tétons très gros pour un homme. Il portait un string en cuir qui masquait tout juste son pénis. Peter était glabre mais pour le moins dodu, la soixantaine il était doté d’un « durillon de comptoir » , une bedaine sans doute un cadeau de la bonne chaire et de la bière. Entravé, un collier autour du cou, il déposa un plateau avec deux coupes de champagne, avant de s’agenouiller auprès de sa maîtresse. Flora et moi avions engagé la conversation de la façon la plus mondaine qui soit sans nous préoccuper de nos soumises et soumis respectifs. J’avais un peu de mal à dissimuler non pas mon émotion mais mon excitation. Flora en était parfaitement consciente et rapidement m’indiqua que je serais mieux si j’étais à l’aise. Elle ordonna à Viviane de me mettre à l’aise. Ce qu’elle fit dégrafant mon ceinturon et ouvrant mon pantalon. Ma queue était gonflée et dure, je bandais déjà comme un malade. « Tu est en forme » me dit Flora en voyant ma queue dressée« Comment ne pas l’être? « Répondis-je« C’est vrai, regarde ta petite salope elle a envie de te manger la queue. »En effet Viviane ne quittait pas ma verge tendue du regard. Je savais pourquoi. Je fis signe à Viviane d’approcher encore elle comprit immédiatement. Elle engloutit ma queue et descendit lentement m’avalant a fond dans sa gorge. Je posais mes mains sur sa tête la pressant contre mon bas ventre. « Regardez elle adore étouffer comme çà. » Dis jeViviane s ‘étouffait sur ma queue. Je maintenais la pression pour qu’elle ne puisse pas s’échapper. Les contractions de sa gorge massaient mon gland, je donnais de petits a coups pour pénétrer plus loin. Viviane commençait à baver, son nez coulait les yeux baignés de larmes. Flora avait écarté les cuisses et ses doigts caressaient sa fente que je devinais déjà très humide.Elle se leva et approchant de nous elle posa ses doigts sur mes lèvres. Ils étaient bien humides et odorants. Je léchais le bout de ses doigts. Elle vint appuyer sur la tête de Viviane qui émettaient des gargouillis de plus en plus prononcés. Elle m’inondait les bas ventre de salive, son nez faisait des bulles. Elle étouffait vraiment, suffoquait, n’arrivait plus à reprendre son souffle.« Elle va te faire jouir j’en suis sure » dit Flora en me regardant.« Je crois oui dis-je dans un souffle »En effet dans mon état d’excitation, le massage de mon gland par les contractions de sa gorge m’avait amené pas loin de l’explosion. Tandis que je maintenais la tête de Viviane, Flora ouvrit ma chemise. Elle avait l’expérience des hommes, en tout cas de ceux qui aiment les choses à la marge. Flora passa doucement ses doigts sur mes tétons tendus. Je suis hypersensible des bouts de seins, autant voir plus que certaines femmes. Les doigts de Flora s’emparaient de mes tétons, instantanément je sentis ma queue durcir encore plus, mon anus se resserrer. Elle me regardait avec une mine de chatte gourmande, se délectant de mes mimiques. Ses ongles maintenant s’incrustaient dans la chair tendre de mes pointes. On passait de l’agacement à la douleur. Flora avait senti qu’elle pouvait me maltraiter. Les ongles vrillaient mes pointes, je sentait la chair céder sous leur emprise. J’avais vraiment mal au point de crier. Viviane était étouffée et agitée de spasmes. Si ce jeu continuais plus longtemps elle ne le supporterait peut être pas. Je sentis un peu de chaleur le long des mon torse. Flora avait tellement bien œuvré que mes tétons étaient en sang. C’est quand je sentis et vis les traces rouges du sang sur ma poitrine que je me libérais.. C était un orgasme violent, un soulagement.. Ma queue tendue me faisait mal et je giclais dans la gorge de Viviane.Elle s’étouffait sur ma queue j’avais heureusement relâché mon étreinte quand j’ai jouis car Viviane était au bord de la perte de connaissance. Flora semblait satisfaite d’elle. Elle se pencha vers moi et me souffla dans l’oreille «  Il faut qu’on se trouve illegal bahis un petit moment tous les deux… j’aimerais bien t’avoir comme soumis.. je suis sûre que tu aimerais çà »Viviane reprenait ses esprits doucement, elle était haletante, mon sperme avait empli sa bouche et maculé ses joues, ses yeux étaient noyés de larmes son maquillage était parti en longues traces noires sur ses joues et sous ses yeux. Mais dans ses prunelles je voyais danser cette flamme annonciatrice des pires extravagances. Et avec Flora aux commandes c’était sans doute une soirée d’enfer que nous allions connaître.Peter avait assisté à toute la scène sans broncher.. Du moins pas sans rester indifférent. Je glissais ma main dans son cache sexe, sa queue était dure et serrée, je l’extirpais de sa prison. Son gland était décalotté, gonflé et humide il portait un anneau de belle taille qui entrait par le méat et perçait le dessous du gland. Je descendais le long de la tige et empoignais ses couilles et les serrais fortement. Il se mit à geindre, je serrais plus fort il se mit a grogner et à se tasser sur lui même. Son gland oscillais et je voyais qu’il se formait une jolie perle. « Ah mais tu aimes aussi les hommes?? »dit Flora« Je ne déteste pas les queues soumises et a faire éclater des couilles » répondis-je en accentuant la pression sur celles de Peter avant de les lâcher. Flora prit l’anneau entre ses doigts étirant la queue de Peter avant d’assener un coup de poing aux couilles gonflées. Il poussa un cri rauque et presque instantanément un long fil se mit à couler de son gland.« Il aime çà en tout cas.. »dis-je « Je suis sure que toi aussi… »lâcha Flora en me regardant avec intensité. Pour toute réponse je me plaçais devant elle écartait légèrement les cuisses. Elle sourit devant ma queue encore dressée et luisante. Mes couilles étaient dures. Un petit regard en coin et elle lança son poing dans mes valseuses. Le coup me coupa la respiration, j’eus l’impression que mes couilles était rentrées dans mon ventre, la douleur irradiait mais je sentais monter le jus dans ma tige. Flora comprit que ce ne serait pas juste une ondée limitée mais bien plus car mon gland lâcha un filet de sperme continu. Elle me frappa à nouveau cette fois déclenchant une éjaculation copieuse. Je manquais de tomber tant mes jambes tremblaient. Flora experte me donna un troisième coup moins fort mais tout aussi salutaire qui me vida les couilles cette fois. C’était la première fois que j’avais un orgasme de cette manière et je dois dire ce ne fut pas le dernier.« Debout petite pute » dit Flora à l’attention de Viviane. « Allez venez on va s’amuser »Flora nous guida vers la salle des tortures. Cave voutée, mais ambiance chaleureuse, pas d’humidité suintante le long des murs. Brillamment éclairée la salle était parfaitement équipé et ressemblait trait pour trait mais en plus cossu à celle de Pat. J’avais digéré mon orgasme à coup de poings, même si franchement ma queue et mes couilles surtout me faisait mal. Flora était surprise qu’après çà j’avais toujours la queue en l’air. Certes pas autant qu’a certaines occasions mais je n’avais pas débandé et ce n’est pas l’activité que nous étions prêt à déployer en ce lieu qui arrangerait les choses.Flora trainait presque Viviane par les cheveux, elle la malmenait vraiment. J’observais avec délice mon esclave dans les mains de cette maitresse experte. Il faut bien avouer que j’étais alors un novice. Elle gifla violemment Viviane avant de lui ordonner d’ouvrir grand la bouche et de lui cracher sur la langue. Sa main se serrait sur la gorge de Viviane qui tremblait de tous ses membres. Bien plus que quand j’étais à la manœuvre. Flora me demanda de l’aider à attacher Viviane. Bracelets aux poignets et aux chevilles, puis elle assura les mousquetons au chaines venant du plafond et celles fixées au sol. Flora manœuvra un petit treuil et Viviane fut écartelée, les membres tendus.. Offerte à toutes nos envies.Puis elle installa Peter sur une croix de saint André, pieds et poings liés sur le grand X. Elle avait ôté le cache sexe de ce dernier.. qui maintenant offrait à la vue et à nos mains sa queue et ses couilles. Elle lui plaçait un anneau qui enserrait son paquet et sa queue .. puis elle posa des anneaux en fait un montage mécanique en deux parties très lourd qui enserrait et allongeait son scrotum Ses couilles étaient hyper tendues lestées par cette appareil qui les éloignais. Elle prit ensuite une paire de pinces à un ratelier fixé au mur. Elle me donna l’une des extrémités et nous placions les pinces sur ses tétons, Peter grimaça et poussa un gémissement. Puis nous suspendîmes des poids importants à ses pinces.. Les tétons de Peter étaient gros et longs ils se courbèrent et s’allongèrent sous le poids. Cette fois il gémit longuement. Je savais combien ca faisait mal.. mais je voyais aussi commet sa queue était agitée de soubresauts. Flora lui plaça même une claque sur la tige. Pourquoi le nier.. à cet instant j’enviais un peu Peter.Viviane était totalement offerte, et se sentir ainsi entravée avait commencé à alimenter son désir. Je commençais à bien connaître mon esclave, elle jouissait d’une capacité à fantasmer la suite des événements que rien que la placer dans une posture, l’entraver ou bien lui décrire ce qu’elle va subir là met dans un état de transe. Plusieurs fois même elle atteignait l’orgasme sans que rien de vraiment physique ne lui ai été imposé.En fait Flora avait envie de me montrer ce qu’il fallait pour commencer à pousser Viviane dans ses retranchements, atteindre les limites.. Elle avoua pourtant que jamais Viviane n’avait utilisé le safe word pour arrêter une séance. Elle me souffla à l’oreille «  Il faut faire très attention avec elle, tu pourrais aller trop loin sans qu’elle dise un mot. Méfies toi, tu sais bien que celui qui dirige en fait c’est le ou la soumise, pas toi. Ta petite salope est tout a fait capable de te faire faire des folies. Promet moi de faire attention. JE l’aime beaucoup et vous êtes vraiment bien ensembles.» Sur le coup le pris le conseil à la légère, je mesure maintenant toute la portée des conseils de FloraNous étions deux à tourner autour de Viviane, sa respiration était rapide et saccadée on voyait sa poitrine se soulever de façon accélérée. Je passais mon pouce sur ses lèvres. Avec un regard de biche aux abois elle se mit à téter le bout de mon pouce. Flora lui attrapa les cheveux et tira sa tête en arrière au moment ou je la giflais violemment. Elle poussa un cri et je profitais de cet instant pour cracher ma salive dans sa bouche. Instantanément elle se tut, me regarda avec cet air abandonné mais teinté de défi.. l’air de me dire .. ose faire plus.Je passais ma main entre les cuisses de Viviane, ses lèvres pendantes étaient trempées, Flora me passa une paire de pinces que je plaçais sur les petites lèvres. Quand la première se ferma sur la crête de chair humide, Viviane poussa un long grognement, puis un vrai cri quand la deuxième se referma sur sa chair. Levant les yeux je vis son regard qui se vrilla dans le mien.. Sans rien dire, elle annonçait la couleur.. je devais continuer.. elle était dans le trip.. il fallait maintenant que je ne flanche pas.. Je tirais la chaine reliant les pinces vers le haut.. entrainant les lèvres qui se distendaient.. Avant de lâcher brusquement la chaine, le poids aidant la tension imposée aux petites lèvres de sa chatte fut brutale et forte. Elle ouvrit la bouche pour crier mais rien ne sortais.. qu’un petit souffle de douleur. Je crachais à nouveau dans sa bouche, avant de gifler ses seins. Ils commençaient à rougir. Flora s’accroupit et plaçà un poids à la chainette. Les lévres de son con étaient maintenant horriblement distendues. Les petites lèvres de Viviane étaient longues et souples, leur bord étaient assez foncé ce qui donnait un contraste avec le rose du reste de sa chair. Là elle était totalement tirées vers le bas la peau fine semblait prête a craquer. Ce qui n’empêchais nullement Viviane de distiller une mouille épaisse qui devenait au fil des minutes plus laiteuse.Flora alla chercher 2 cravaches au bout assez large. Elle m’en confia une et se posta à droite de Viviane, je me plaçais à sa gauche. Un premier coup tomba sur l’intérieur de sa cuisse, je répliquais par un coup au même endroit sur l’autre cuisse. Il faut savoir une chose c’est que les coups dans ce contexte doivent être équilibrés, jamais s’acharner sur un seul endroit un seul côté là c’est vraiment une horreur, j’ai subis parfois ce genre de chose et là on ne tiens pas 10mn alors que si on est frappé intelligemment on peut tenir longtemps on peut compter en heures.. Bien sur la force des coups entre en ligne de compte. La plupart du temps ils sont moins fort au début et on monte crescendo. Au moment de l’orgasme le corps sécrète tellement d’endorphines qu’on peut supporter l’insupportable vous le verrez à plusieurs reprise plus tard. Flora et moi nous partagions le corps de Viviane qui se tordait de douleur dans ses chaines.. Cette vision m’excitait énormément et ma queue gonflais un peu plus à chaque coup. Je vis que Flora n’était pas insensible et avait souvent la main entre ses cuisses. Moi je ne me touchais pas de peur d’éjaculer mal à propos. Peter qui ne perdait rien de la scène avait aussi la queue dressée.Les coups tombaient sur Viviane, l’intérieur de ses cuisses était rouge vermillon. Les cravaches laissaient une empreinte visible à chaque fois. Viviane agitée de tremblement, de spasmes criait de toutes ses forces les poids qui distendaient ses lèvres avait un mouvement de balancier qui était certes douloureux mais également les lèvres ainsi agitées massaient également son clitoris. Sa tête allait de droite à gauche, comme pour dire non.. Mais elle adorait le traitement en fait.Elle criait mais entrecoupait ses plaintes de « oui encore » ou de « plus fort ».Flora cessa, puis elle passa sa main entre les cuisses de Viviane. Elle ressortit des doigts luisants de liqueur. « Tu mouilles!! petite pute!! ah tu aimes çà te faire cogner!! Tu va en prendre encore tu va voir!! Allez suces!! lèche mes doigts goutte ta chatte!! » hurlais Flora.Viviane suçait les doigts avec avidité. J’avais entrepris de mon côté de prendre ses seins dans mes mains de les presser remontant vers les tétons que je pris entre mes doigts. Je serrais et tournait les pointes arrachant à Viviane un véritable hurlement. Elle adorait se faire travailler les tétons mais elle souffrait énormément à chaque fois. Son regard me transperça. Elle quémandais un peu plus encore.. A nouveau je tordais les pointes dans l’autre sens. Elle se cabra, lançant son ventre dans une danse heurtée. Viviane était presque parvenue à jouir sous mes doigts. Flora me fit un petit signe et nous nous replacions chacun d’un côté de Viviane. Cette fois nos cravaches tombèrent sur les fesses et le dos de mon esclave. Rapidement elle fut couverte de belles marques rouges. Son corps ondulait sous les coups.. sa peau se couvrait d’une fine sueur qui faisait luire son corps. Entre les coups elle restait agitée de tremblements. Parfois nous la faisions attendre et son tremblement augmentait jusqu’à une quasi tétanie qui l’amenait le plus souvent au bord de l’orgasme. En fait Viviane ne cessait de tenter d’avoir ce premier orgasme. Flora et moi guettions les signes pour justement lui refuser.. Ensuite nous allions la travailler plus précisément en lui ordonnant de se retenir de ne pas jouir.En fait j’avais presque le même problème qu’elle car ma queue tendue laissait couler quasi en continu un fil épais. Flora l’avais vu et s’approcha de moi Elle prit soin de ne pas toucher mon sexe mais du bout du doigt elle recueilli la liqueur qui s’écoulait.. Elle approcha son doigt de la bouche de Viviane qui s’ouvrit avide de recueillir cette preuve de mon plaisir. Viviane adorait lécher cet avant goût de mon sperme, souvent elle allait elle même le chercher. En effet dés que je suis fort excité je mouilles énormément du gland.Flora s’approcha de moi et à l’oreille me dit «  Il faut vraiment que je t’ai pour moi.. je sent que je vais m’amuser avec toi… »C’était clair Flora avait envie de me dominer. Je dois dire que si elle avait décidé de m’attacher aux côtés de Viviane j’aurais accepté. Mais nous étions là pour nous occuper de nos esclaves. Comme Viviane était maintenant visiblement tellement sous pression qu’elle risquait de jouir à chaque instant.. Nous décidions de nous occuper de Peter.Flora tourna un instant autour de Peter, puis d’une main elle souleva les poids qui tendaient la chaine des pinces à tétons. Puis regardant Peter dans les yeux elle sourit. Celui ci savait ce qui allait arriver Il secouait la tête comme pour dire non.. Flora hocha la tête et lâcha les poids.. La gravité fit son office en tombant les poids tendirent la chaine a fond et les pinces se serrèrent plus encore sur les tétons martyrisés. Il poussa un grand cri, sa queue se dressa presque contre son ventre avant de reprendre la position à l’horizontale. L’anneau qui perçait son gland était couvert de mouille qui pendait comme moi au bout du sexe gonflé. Ses couilles étaient lourdes gonflées et la verge noueuse les veines ressortaient bien étranglé qu’il était par les anneaux. Oh je connais cette sensation et j’adore les anneaux qui enserre la queue.. Je bande déjà très dur avec les anneaux c’est une folie.« Surtout tu ne jouis pas!! esclave!! » ordonnait Flora.Elle s’empara des couilles gonflées de Peter et se mit à les presser fortement. Il grogna ses genoux fléchirent . Son sexe oscillait comme si il allait gicler. J’avais une envie folle de le prendre dans ma main et de le finir.. J’aime voir gicler une queue, et celle là avec son anneau au gland me fascinait.. J’avais envie de la sentir dans ma bouche et même très envie de sentir la queue de Peter me défoncer la rondelle.Flora tordait les couilles avec force, Peter s’affaissait sur ses jambes. Flora me tendit alors un god de belle taille en latex noir. Pas besoin de me faire un dessin. J’allais le lubrifier quand Flora me fit signe que non.. Elle mima simplement une introduction violente. Comme Peter avait les genoux ployés son anus était assez visible. Je posais le gland du god sur son oeillet et je poussais d’un coup sec. L’engin entra de plus de la moitié alors que Peter poussait un soupir. Je vis alors un long filament laiteux couler de son gland.. Ma queue se tendit encore un peu plus et moi aussi je senti couler une grosse larme au bout de mon sexe. Flora passa derrière Peter et installa une tige sur laquelle se fixa la god que je venais d’enfiler.. dans ce cul. Ainsi Peter serait empalé et nous pourrions retourner vers Viviane.Peter est empalé et il remue doucement son cul. J’observe sa queue qui coule de plus en plus.. Je doute qu’il tiennent longtemps avant de partir. Viviane était toujours en proie à des tressaillements, de petits soubresauts. Ses yeux grand ouverts paraissaient un peu fous. Ce regard me hante ses yeux me disait le plaisir qu’elle prenait à être ainsi offerte, le désir qu’elle avait d’être frappée, torturée même. J’ai du mal à expliquer à montrer ce qu’était ce regard mais quand on est face à un tel appel on ne peut pas résister. Viviane m’a toujours envouté avec son regard me faisant faire les pires folies.. Je lisait dans ses yeux la gratitude qu’elle avait quand j’accédais à ses désirs malsains.Flora lui assène deux claques magistrales sur les seins. Puis elle va chercher deux bougies de grosse taille qui brulent depuis que nous sommes arrivés dans la pièce. Elle font 8 ou 9 cm de diam et autour de la mèche c’est créé un puis qui contient de la cire fondue et brulante. Je frémis ma queue se dresse. J’ai déjà vu dans des films mais jamais testé. Flora montre la bougie a Viviane, passe devant son visage, puis elle promène la flamme prés des seins, dessous elle pousse le vice jusqu’à laisser la flamme lécher le téton tendu . Viviane pousse de petits cris rauques. Je fais la même chose de l’autre côté. Manquant de pratique je laisse la flamme un peu trop longtemps immobile et le cri de Viviane est éloquent. Je viens de lui bruler le bout du sein cruellement, une cloque apparaît même rapidement. Je suis hésitant prêt à arrêter les frais « C’est rien dit Flora. ».. Elle gifle Viviane dont la tête dodeline. Puis elle incline la bougie au dessus du sein.. La cire se met a ruisseler sur le haut du sein, dessine des rigoles suivant les courbes.. Viviane pousse des cris puissants. Je fais de même de l’autre côté. Viviane se débat dans les chaines. La cire ruisselle sur sa peau en longue coulées qui glissent en se solidifiant sur son ventre. Avec application nous vidons toute la cire.. les tétons sont vite englués dans une gangue de cire.. presque toute sa poitrine est couverte de cire.. Viviane à les larmes qui illegal bahis siteleri coulent le long de ses joues. Je caresse sa bouche de mes doigts, puis je profite d’un soupir pour investir sa bouche. Elle lèche mes doigts, les mouille. Je pousse mon exploration plus loin enfonçant 3 doigts dans sa bouche, sa langue s’agite, je parviens dans sa gorge.. Elle à un haut le cœur et je sort mes doigts.. Flora me tend un martinet elle en tient un autre dans sa main. Elle commence à frapper les seins de Viviane qui tressautent sous le coup, en fait les lanières couvre la surface des deux seins. Et nous alternons les coups.. jusqu’à ce que la cire finisse par avoir disparue. Ses seins sont striés de marques roses qui virent au rouge sombre.Viviane pousse des cris qui me vrillent les tympans.. Elle se débat dans les chaines.. Elle se tend se cambre, lance son ventre en avant.. Soudain elle pousse un vrai hurlement.. les pinces qui mordaient les lèvres de sa chatte viennent de ripper.. en fait une seule a ripé.. et tous les poids sont supportés par la petite lèvre droite de sa chatte. Là c’est violent.. elle à vraiment très très mal. Je m’agenouille pour enlever la pince .. la chatte de Viviane est ruisselante, pleine de crème son clito est saillant luisant rouge vif. Flora est passée derrière Viviane et de sa main ganté elle pousse 2 doigts dans l’anus de Viviane qui se cambre cette fois de plaisir. Flora me fait signe de prendre le vibro sur la petite table. C’est un vibro secteur une manche avec un interrupteur et une tête ovoïde un peu plus petite qu’une boule de pétanque. Je le pose sur la chatte de Viviane qui se met à se frotter dessus, en fait elle cherche et m’appelle à la pénétrer. Il n’est pas question de lui donner satisfaction. Viviane le sait et tente d’arriver au plaisir. Flora lui fouille le cul avec 4 doigts maintenant et je promène le vibro sur sa chatte qui ruisselle maintenant plus que jamais. Elle gémit lance son ventre en avant. Son clito est totalement décalotté saillant comme une petite queue. Je fais attention de ne pas poser le vibro contre lui car Viviane aurait de grandes chances de jouir sur le champ. Moi je suis aussi limite qu’elle et je pense que Flora également, accroupie de l’autre côté de mon esclave ses genoux écartés me laissent voir sa chatte, elle est trempé, les lèvres baillent et me laisse voir l’antre rose tout inondé de rosée. De mon côté j’ai la queue tendue à mort, le gland totalement décalotté est gorgé de sang, les veines sont de plus en plus saillantes, mes couilles sont lourdes mais remontent petit à petit à la base de la tige. Je regrette de ne pas avoir mis d’anneaux car maintenant ma queue serait étranglée prête à exploser et j’adore cette sensation et surtout voir ma queue dans cet état extrême. J’ai mal je ne le cache pas mais c’est une délicieuse douleur. Flora cesse de défoncer l’anus de Viviane car celle ci est au bord de l’orgasme. J’arrête également. C’est un vrai apprentissage en fait Flora me guide pour que à l’avenir je puisse tirer le maximum de plaisir du corps de Viviane. D’ailleurs elle m’avait raconté déjà que Flora arrivait à la mener à des sommets, Viviane disait elle arrive à me rendre folle.Et je commençait à comprendre. J’avais souvent été bien trop vite, il est indispensable que les tourments durent, que l’on refuse la jouissance à l’esclave le plus souvent possible pour que la pression monte. Viviane semblait avoir perdu la notion de ce qui l’entourait, son regard était embrumé, sa respiration hachée, saccadée, son corps était en permanence tremblant et secoué de spasmes. Elle semblait avoir perdu le tonus dans ses jambes et se laissait pendre par les poignets. Sa chatte ruisselait l’intérieur de ses cuisses était strié de fins ruisseaux de liqueur. Entre les lèvres une mousse onctueuse était née. Quelques gouttes de mouille avait taché le sol et de longs filaments glaireux pendait de son con en ébullition. Son corps luisait comme s’il avait été enduit d’huile, mais ce n’était là qu’une fine sueur. Entre ses seins et les aisselles de grosses gouttes de sueur faisait de longes marques brillantes. Son front était emperlé également ainsi que sa lèvre supérieure. Qui ne cessait de vibrer.Je devais me retenir pour ne pas la prendre là tout de suite. Flora le sentit et s’approcha de moi pour me murmurer à l’oreille.«  Je suis sure que tu à envie de la baiser là maintenant »Je hochais la tête.« Attends, prend ton temps, tu va voir on va la faire danser un peu plus encore… » dit Flora avec un sourire carnassier.J’avais envie de toucher cette maitresse .. Ma main glissa le long de sa cuisse, et remontant j’arrivais à son con trempé. Elle lança son ventre en avant.. Mes doigts se perdaient dans les profondeurs brulantes de sa vulve.Elle posa ses lèvres sur les miennes et dans un murmure me dit«  Pas tout de suite… mais j’ai envie aussi.. » Et elle se sépara de moi avec un sourire. Je jetais un œil à Peter qui était toujours empalé sur le god, sa queue était gonflée prête a exploser aussi. Il matait et se défonçait le cul lentement.Flora avait ouvert un petit meuble et sorti un panier rempli de papiers à première vue. Je compris seulement quand il fut posé sur la petite table. En fait il était repli d’aiguilles médicales. Flora me jeta un coup d’œil amusé. Je ne pensais pas que cela irait si loin. « Tu va pas….. » commençais je.. « Oh si mon chéri!! Je vais.. et tu va voir que ta femelle adore… » dit elle.Dans le même temps Viviane hochais la tête pour signifier son acceptation. Elle n’arrivait plus à parler.« Tu vois elle dit oui.. mais quand je vais approcher elle va secouer la tête pour dire non.. elle va crier même.. supplier pas çà.. C’est normal.. Mais elle ne prononcera pas le safe word.. tu va voir. »Elle rit une première aiguille, fine d’au moins 5cm de long. Elle s’approcha de Viviane et posa la pointe de l’aiguille sur le sein, la promenant, griffant la peau avec l’acier froid. Viviane semblait terrorisée, regardant l’aiguille se promener sur sa poitrine. Ses mains avait agrippé les chaines de ses poignets. Ses articulations étaient blanchies tellement elle serrait. Les yeux de Viviane étaient braquées sur ce petit morceau d’acier qui dessinait des arabesques sur son sein droit. Flora arrêta de promener l’aiguille, puis regardant Viviane dans les yeux elle posa la pointe au dessus de l’aréole et poussa doucement. La peau se déforma un instant puis l’aiguille pénétra Flora poussai lentement et l’acier pénétrait la chair. Viviane haletait regardait l’aiguille pénétrer son sein. Sa gorge émettait une plainte continue. Enfin Flora lâcha l’aiguille qui était totalement entrée seul le plastique dépassait incongru de la peau.La poitrine de Viviane se soulevait au rythme saccadé de sa respiration. Je remarquais qu’une goutte de sang était nichée dans l’aiguille au débouché dans le plastique.Voir en live cette aiguille entrer dans le sein de Viviane m’avait excité à mort. C’était à moi d’officier.Je déballais l’aiguille, la débarrassais de son capuchon de plastique. Viviane ne me quittait pas des yeux. Cette fois ce n’étais pas l’aiguille qu’elle regardait mais mon visage. Son sourire m’engageait à continuer à la torturer, elle prenais plaisir à ces instants. Son bassin était agité elle mimait une pénétration, son pubis allait et venait comme si elle était empalée sur ma queue. Sa gorge laissait passer de petits râles. Elle rejetait sa tête en arrière comme si elle allait jouir. Elle frissonna quand ma main gauche se referma sur son sein. De la droite j’approchais l’aiguille. Taquinais de la pointe son téton. Elle crut un instant que j’allais lui percer le téton elle se tendit et fit non de la tête.. Les yeux disaient oui.. mais sa tête demandais grâce. Je posais la pointe au dessus de l’aréole. Et je me mis à pousser sa peau se déroba un instant puis céda. Ses yeux me scrutaient, ils était intenses me demandait de ne pas faillir, elle voulait que mes mains la fasse souffrir. C’est dur de pousser une aiguille dans un sein, plus dur que je ne le pensais. Mais aussi plus intense en sensations.. Je sentais comme un léger crissement alors que l’aiguille entrait dans la chair, sa respiration accélérait, elle s’agitait sa gorge râlait doucement. Enfin j’arrivais au plastique, l’acier était en elle. Ma queue n’arrêtais pas de tressauter comme si j’allais gicler.. Mon gland suintait comme jamais. J’avoue que le fait d’avoir fait pénétrer cette aiguille dans son sein m’a excité prodigieusement. Flora s’approche de Viviane, passe ses mains sur les seins rougis et martyrisés. Elle me glisse à l’oreille. « Vas y je te laisse faire occupe toi de ses tétons.. passe au travers elle adore.. »Je sentis ma queue se dresser à l’énoncé de ce conseil. Je n’étais plus moi. Honnêtement tout cela j’avais l’impression de le regarder de l’extérieur. Jamais je n’aurais pensé que je prendrais autant d plaisir à ces agissements extrêmes. Et pourtant.. je bandais comme un âne à l’idée de transpercer les tétons de celle que j’aimais. Et je savais qu’elle n’attendait que çà. Flora restait près de moi, pour m’assister ou m’arrêter si je m’y prenais mal. Elle m’avait conseillé de parler de dire à Viviane ce que j’allais lui faire.« Tu vois cette aiguille.. salope ? Je vais te percer les tétons avec.. » dis je en montrant l’aiguille nue à Viviane. Elle faisait non de la tête, sa bouche ouverte aspirait l’air comme un poisson jeté sur la rive. Je prenais son téton droit entre mon pouce et mon index. Je serrais le bourgeon charnu. Viviane gémit profondément. J’étirais le petit bout de chair, je posais l’aiguille bien droite contre sa peau. Viviane tremblait, ses yeux allant des miens à son bout de sein tendu. Je poussais lentement, la chair céda et l’aiguille pénétra profondément.  C’était plus douloureux, elle cria puis haletante regarda l’aiguille «  Oh non… j’ai mal!! non!!! »Encore une poussée et l’aiguille commença à étirer la peau sous le téton. C était hypnotisant voir la peau se tendre de plus en plus, puis d’un coup je sentis la résistance cesser.. Viviane poussa un cri et grimaça quand l’aiguille transperça le bout. Une petite goutte de sang perlait sur le haut de son téton. Viviane me regardait avec un regard ou se mêlait la douleur la satisfaction et l’admiration. Elle avait une grosse larme qui coulait au coin de son œil.« C’est bien petite pute… tu en veux encore? » demandais je.« Ouiiii encore » dit Viviane dans un souffle.Je pinçait son autre téton et je piquais l’aiguille. Cette fois ma main plus assurée transperça la chair tendre du téton d’un seul mouvement. Viviane se cambra, lançant son ventre en avant. Elle toucha ma queue tendue. Cela me fit l’effet d’une décharge électrique. Flora gloussa.. et susurra « Ouh.. tu est bouillant.. j’ai cru que tu allais partir… »Je lui jetais un regard en biais… Elle avait raison j’étais au bord de l’orgasme. J’étais dans un état un peu second.. ma queue était agitée de spasmes de plus en plus violents et rapprochés.. Je sentais monter la sève.Flora m’engagea à poursuivre.. Viviane était haletante, son ventre dansais elle s’agitait provoquant un frottement des lèvres de sa chatte qui ruisselait de plus en plus. De longs filaments laiteux pendaient entre ses cuisses et son nectar glissait le long de ses cuisses. Je pris une aiguille et je perçais cette fois le téton à l’horizontale. Elle poussa un long cri quand l’aiguille rencontra celle qui le perçait verticalement. Ce cri fit monter le plaisir dans ma queue.. Je sentis que je coulais un peu plus.. un coup d’œil je vis un long fil blanchâtre qui pendait de mon nœud.. « Retiens toi ne jouis pas tout de suite » me murmura Flora.Facile à dire.. les cris, les contorsions de Viviane, les aiguilles qui la perçaient tout concourrais à mon excitation. Viviane était méconnaissable, son visage grimaçait de douleur elel semblait près de la perte de connaissance.. Mais elle réclamais encore « Perce moi encore… maitre.. perce moi »Je pris encore une aiguille et prestement je perçais l’autre téton.. Cette fois j’eus du ma a passer au travers.. Forcé de sortir l’aiguille et de percer à coté. De la première tentative naquis un perle de sang qui se mit à couler sur le globe du sein. Voir ce sang aurais du me mettre mal à l’aise.. au contraire.. j’étais heureux et excité.. Viviane avait la même réaction.. voir son sang la mettais en transe. Flora me donna alors deux aiguilles plus longues et plus grosses. Et me montra comment les enfiler. Cette fois c’était plus étrange encore. Longue d’une douzaine de cm l’aiguille allait pénétrer le mamelon de façon frontale. Viviane est dans un état incroyable, ses yeux papillotent et ses pupilles se retournent par instants.Son sexe ruisselle vraiment, le sol est constellé de tâches humides. Je prend l’aiguille et pose la pointe sur le mamelon droit. Viviane elle même pousse pour faire pénétrer l’aiguille Elle me regarde et donne des accoups qui font entrer l’acier dans sa chair. Je pousse a mon tour et cm par cm elle entre plonge au centre du tétons. Viviane halète, crie, ses yeux sont révulsés.. un filet de bave au coin des lèvres donne la mesure de son état. Ma queue saute de plus en plus. L’aiguille est entrée presque totalement et dépasse incongrue au bout de son sein.Je passe ma main sur sa joue, elle me regarde et dit simplement « Enfile l’autre… »Je pique l’aiguille dans le téton gauche. Elle entre lentement. Viviane est de plus en plus évanescente. La douleur est intense. Flora lui libère une main. Instantanément Viviane la met entre ses cuisses et se caresse. Tandis que j’enfonce la dernière aiguille a fond..Flora me tends un martinet. Détache l’autre poignet de Viviane qui s’effondre à genoux, se branlant comme une folle. Elle laisse aller son buste en arrière, rejetant la tête. Flora me fait comprendre que je dois frapper.. ses seins. Je m’exécutes totalement hors de moi.. je me regarde frapper les seins de Viviane qui tressautent, elle hurle demande que je frappes plus fort. Je cognes comme un sourd les aiguilles sont bougées, enfoncées, retirés .. Rapidement de chaque orifice une fine rigole de sang se met à sourdre. Je frappes pourtant, les seins de Viviane sont écarlate maintenant. Flora me retire le martinet des mains et me dit « Prend là!! »Je me jette sur Viviane. Elle me sent écarte les cuisses.. je n’ai pas besoin de chercher ma queue la pénètre sans effort.. Je suis dans un antre bouillonnant. Elle ruisselle, son con est agité de convulsions je donne des grands coups de reins. Mes mains se plaquent sur les seins de Viviane qui crie et se débat. J’appuie sur les aiguilles, je me pique même mais je malaxe ses seins… un moment. Puis tout en donnant des coups de reins je retire les aiguilles une a une.. C’est incroyable.. le sang qui coule m’excite les longues aiguilles sont dures à oter.. Viviane tremble et s’agite.. Elle est maintenant tendue, arc boutée sur les épaules elle jouis comme une damnée. Je sent d’un coup une pression sur mon anus.. C’est Flora qui glisse ses doigts dans mon cul.. C’est le signal pour moi.. je gicle à gros bouillons dans la chatte de Viviane. Un éblouissement.. un éclair.. je me retrouve affalé sur Viviane, mes mains sont rougies de sang, je lui barbouille le visage de sons sang qui coule toujours des blessures de ses seins. Elle à les yeux toujours révulsés et son sexe palpite follement enserrant ma queue. Je lèche ses seins, je goute son sang, ce goût cuivré est je le découvre enivrant. C’est dantesque. Viviane jouis toujours secouée de spasmes, se tétanise pour retomber sur le sol. Moi je me vide jets après jets en elle. Nous finissons par retomber inertes sur le sol. Mon visage est contre celui de Viviane.. elle ouvre lentement les yeux.. me regarde avec une lueur de feu qui danse dans ses prunelles. «  Merci oh merci c’était bon bon bon.. » susurre t-elle.Je reprend lentement mes esprits. Viviane aussi .. Toujours dans le jeu elle s’agenouille, le buste bien droit, assise sur ses talons les genoux écartés, les mains posées sur les genoux paumes vers le haut. La pose de l’esclave qui attend le bon vouloir de son maitre. C’est impressionnant. Elle à les seins écarlates a cause des coups mais aussi a cause du sang qui à coulé des blessures infligées par les aiguilles. En fait peu de sang à coulé mais avec mes mains je l’ai étalé sur elle. J’ai aussi toujours son goût sur mes lèvres et j’aime çà. Ce constat est inquiétant, cela me fait peur.. Je sent confusément que nous avons fait un pas en avant, tomber un tabou et que cela ouvre des possibilités que je ne sais pas si je vais apprécier.Flora n’avait pas jouis encore. Elle s’installa sur un grand fauteuil, cuisses écartées et commençait à se branler enfonçant un god noir qui vite fut ceinturé d’un ruban d’écume laiteuse qui marquait la profondeur à laquelle il pénétrait. canlı bahis siteleri Peter était très proche et il s’empalait comme un beau diable sur son god.. Sa queue ruisselait littéralement de longs fils laiteux pendaient depuis l’anneau qui perçait son gland. Approchant d’elle j’avais encore la queue tendue. Je lui pris le god des mains et je la prit assez violemment, enfilant ma queue jusqu’à la garde . Elle poussa un cri et agrippa mes épaules. Sa chatte était large, elle était douce et pleine d’une mouille grasse et épaisse. Rapidement ma queue était couverte de yaourt. Flora se frottais le clito avec force. Je m’emparais de ses bouts de seins tendus et les pinçais fortement, je jouais avec ses seins tandis qu’elle avait renversé la tête. Je ressortais ma queue et profitais de sa positon dans le fauteuil pour l’appuyer sur son anus. Un coup de rein et j’encule Flora qui apprécie. Je suis plus serré c’est bien meilleur. Sa chatte est béante.. j’y glisse mes doigts trois pour commencer.. Je sens ma queue au travers de la fine paroi qui sépare son sexe de son rectum. Flora ne parle pas, elle gémis, grogne, mes doigts la fouille profondément Maintenant 4 doigts sont engloutis.. Elle ruisselle vraiment.. chaque poussée fait jaillir un petit jet d’urine. Flora ne se retient plus. Ma main s’enfonce dans la cavité vaginale sans aucun effort. Ma queue laboure son cul tendit que ma main lui dilate la chatte. Sous mes doigts je sent le col de l’utérus je joue avec du bout des doigts.. Mon index taquine l’entrée de ce temple. Je sent qu’il palpite, s’entrouvre tandis qu’elle est de plus en plus agitée. Je pousse légèrement mon doigt entre légèrement ce qui tire un grondement à Flora.. « Oui oui enfile pousse!!! » me dit elle sa voix est cassée par l’excitation.. Je pousse un peu mon doigt entre sans doute pas très loin.. mais c’est incroyable.. son orgasme se déclenche instantanément. Elle hurle cette fois, ma mains est comme mâchée par son sexe.. C’est violent, puissant.. Tellement excité par cette réaction.. je gicle a mon tour.. c’est assez bref.. mais très fort.. Un instant j’ai un éblouissement. Ma main qui est dans sa chatte se ferme.. et je la retire assez vivement.. dilatant le sexe au maximum.. Rugissement de plaisir de Flora et dans un nouvel orgasme elle m’inonde, elle se vide la vessie en un seul jet ou presque qui s’écrase sur ma poitrine , sur mon visage puis passe au dessus de moi avant de retomber en pluie sur Viviane qui se trouve a 2 m derrière nous. Le pauvre Peter est complétement hors de lui. Il se donne a fond sur le god, sa queue est presque bleue tellement il est serré et bande. Il fait des efforts désespérés pour enfin jouir. Mais il n’y arrive pas. Flora est évanescente et tente de récupérer. Je fais signe a Viviane de venir et lui ordonne de sucer Peter. Elle ouvre la bouche largement et avale le gland annelé. Je prends dans ma main les couilles de Peter et les presse. Il pousse un cri de douleur quand j’insiste. Mais je sent qu’il apprécie. Viviane pompe la queue avec ardeur. Je la stoppe un instant et je prend la queue dans ma bouche. J’avais envie de sentir ce gland et cet anneau qui le perce sur ma langue. Et j’aime beaucoup la sensation. Peter mouille abondamment, en fait c’est son sperme qui s’écoule en un filet continu. Je le sors de ma bouche et presse la queue en remontant vers le gland, ramenant un gros grumeau de sperme que Viviane prend du bout de la langue. Flora est venue nous rejoindre. Elle s’occupe des tétons de Peter. Viviane et moi nous faisons un duo de langue sur sa queue. C’est un régal. Je sent soudain la queue de Peter se dresser et tressauter. Ses couilles ne peuvent remonter et ca lui fait mal.. elles se contractent. Et il pousse un cri en s’empalant à fond sur le god. Viviane reçoit l’ondée dans sa bouche grande ouverte. Je suis a quelques centimètres, je vois les grosses giclées épaisses tomber sur la langue de Viviane qui garde tout dans sa bouche. Flora est venue murmurer quelque chose à l’oreille de Viviane. Je n’ai pas compris. Viviane à la bouche pleine de sperme, elle se relève. Se place face à Peter et crache violemment tout le sperme sur le visage de Peter. Qui se pâme à nouveau. Lâchant même quelques petites giclées qui arrosent le ventre de Viviane.La fatigue se fait un peu sentir, mais Flora n’a pas dit son dernier mot. Elle libère Peter qui commence à avoir des sérieuses crampes ca fait pas loin de 2h qu’il est accroché là.Elle att**** Viviane par son collier et approche son visage de sa chatte en lui ordonnant de la lécher.Puis elle me confie le martinet et me demande de fouetter cette chienne. Viviane se met à laper la grosse chatte ouverte de Flora. De mon côté avec le martinet je fouailles sont dos, ses reins ses fesses qui se marquent rapidement car je n’ai plus la retenue que j’avais toujours eu quand je donnais des coups. Cette soirée m’avait un peu décoincé et maintenant j’agissais conformément aux espérances de Viviane. Flora semblait apprécier les coups de langue de Viviane. La chatte de flora était large et charnue. Les petites lèvres à peine marquées, cernaient un cratère rose, béant. On pouvait voir dans cette chatte le col de l’utérus agité de spasmes, et son méat très dilaté qui palpitait au haut de cette vulve. Soudain Flora ordonna.. « Ouvre ta bouche petite pute!! » Elle laissa gicler un long et puissant jet d’urine pile dans la bouche de Viviane.. « Avales!! bois!!! » Flora se vidait dans la bouche de Viviane. A ce moment j’aurais bien pris sa place.. je continuais à frapper Viviane qui commençait a trembler.. je voyais sa main s’agiter entre ses cuisses.. La salope se branlait. Je prenais alors le collier et la fit choir sur le dos. Sa main ne s’arrêtait pas.. sa chatte moussait pleine de crème. Son clitoris saillant était l’objet de toutes les attentions de ses doigts. Je levais le martinet et frappais entre les cuisses qu’elle gardait écartées. Le premier coup la fit bondir et hurler de douleur. Les autres également mais c’était des rugissement de plaisir et de douleur. Elle était au bord de l’explosion. Quelques coups plus tard.. Viviane se tétanisait, jouissant violemment et expulsant à son tour le contenu de sa vessie. Viviane est encore agité de spasmes.. Ma queue est raide et je m’agenouille prés d’elle en me branlant comme un fou.. J’ai envie de gicler dans sa bouche alors qu’elle est ruisselante.. En peu de temps l’orgasme monte.. je glisse ma queue dans sa bouche et la pénètre jusqu’à la glotte.. ou je finis par gicler abondamment.. Viviane étouffe.. recrache le sperme qui coule le long de ses joues.. Je me laisse tomber sur Viviane.. qui est essoufflée.. totalement dans les vaps.. moi aussi en fait.. la tête me tourne.. Après que nous ayons repris nos esprits.. Flora calme le jeu.. On boit un dernier verre salutaire.. Nos esclaves ont quitté ce rôle mais sont comme nous restés nus. Viviane est enchantée.. pourtant elle a le corps marqué. Les lanières ont tracé un lacis de marques roses et rouges parfois boursouflées. Les coups sur les seins ont laissé de grandes marques violettes de ci de là quelques plaies ouvertes Mais les aiguilles n’ont pas laissé de marques visibles a moins d’être le nez dessus. Par contre les coups sur la chatte que je lui ai donné.. ont laissé des traces visibles. Les petites lèvres sont tuméfiées et rouges sang. Le clito a pris une lanière de plein fouet et il est gonflé et tuméfie. Viviane plaisante disant que pour le reste de la semaine elle pensera forcément à moi quand elle se branlera.Flora, me fait encore une avance.. disant qu’elle aimerait m’avoir à elle pour un soir.. Viviane en accepte l’idée.. mais ne semble pas enthousiaste.Flora nous guide à notre chambre, et nous précise que nous ne sommes pas forcés d’être sages. Elle n’en , à pas l’intention car Peter à été un peu oublié durant notre séance. J’avoue que j’aurais été tenté mais Viviane avait assez dégusté. Une fois la porte fermée je trouvais Viviane devant la glace de l’armoire à contempler les marques qui couvrait tout son corps.Elle avait une mine réjouie.«  Merci c’était génial!!! » dit elle en se pendant à mon cou. Je posais mes mains sur elle lui tirant une grimace.. « Tu à vu dans quel état tu est ma chérie? » dis je« Oui j’adore ca prouve que je suis a toi tu fais ce que tu veux de moi.. et tu m’a fait jouir comme une folle.. et regarde toutes les marques de ton amour » dit elle en tournant sur elle même.Que répondre à çà? Et puis comment ne pas avouer que j’ai pris un plaisir plus qu’intense à la torturer appelons çà par son vrai nom. J’ai pris mon pied à enfoncer des aiguilles dans ses seins.. j’ai pris mon pied à voir couler son sang, à le lécher.. C’est comme si j’avais fait un cauchemar mais c’est vrai.. et en plus évoquer cela me fait bander. Et voir Viviane devant moi nue, marquée par les coups me donne envie de recommencer. Elle me regarde.. et dit «  Tu m’aime comme çà… j’ai senti que tu aimais ce que tu me faisais.. Et moi j’ai adoré.. On pourra faire mieux encore.. Tu sais il y a eu des moments ou je n’arrêtais plus de jouir.. »Elle était devant la glace se mirant je m’approchais d’elle me pressais contre sa peau brulante des coups passés. Je mis ma tête sur son épaule et la contemplait un instant.« Oui tu est magnifique chérie, je t’aime comme çà.. tu m’excite d’ailleurs » dis je« Je le sent.. tu est tout dur contre mes fesses.. » dit elle.Elle avait le poing fermé, elle le monta à hauteur de mon visage et ouvrit la main. Dedans une poignée d’aiguilles….« Je les ai chipées en passant… on les utilise? » Elle me regardait intensément.. Ses hanches se balançaient frottant mon sexe contre ses fesses.Je hochais la tête. J’avais envie de voir de sentir encore une fois le métal percer sa chair.. C’était obsessionnel presque. Ce jeu est un de mes préférés.. J’en ai usé et abusé parfois.. C’était mes premiers pas dans un SM dur.. et encore ces quelques aiguilles c’était une broutille.Une idée me vint.. cruelle.. perverse.. « TU va les utiliser.. Moi je veux te regarder.. Tu va te percer toute seule.. moi je vais me branler en te regardant.. Attends viens ici.. » Je m’assis sur le lit, allongeait ma jambe droite.« Viens frotte ta chatte sur ma jambe pendant que tu te perce ..salope »Viviane avait les yeux qui brillaient.. Docilement elle se mit à genoux, posa son sexe contre ma jambe et commença à se frotter à petit coups de reins. Moi la main sur ma queue gonflée.. je m’astiquais doucement.Je tendis la main pour récupérer les aiguilles, ainsi Viviane aurait les mains libres. Il y en avait une douzaine. Je vis les lèvres de Viviane qui tremblaient, signe de son état d’excitation. Parfois une grimace quand elle faisait aller et venir son sexe car ses petites lèvres étaient tuméfiées et elle souffrait. Mais elle mouillait aussi car je sentais une humidité grasse sur mon tibia.Viviane prit une première aiguille.. Elle dessina des arabesques sur son sein droit a part les marques laissées par le fouet.. on ne voyait plus les piqures.Viviane d’un geste vif planta l’aiguille au dessus de son mamelon mais la retira aussitôt.. laissant perler une goutte de sang vermeil… Elle pressa son sein pour faire couler la goutte le long de son sein.« Tu aimes mon sang? Moi j’aime quand il coule pour toi.. » dit elle d’une voix rauqueJe me penchais en avant et léchait la fine coulée rouge. Viviane avait planté à nouveau l’aiguille mais cette fois elle l’enfonçait jusqu’à la garde. Les 4cm d’acier étaient entrés dans son sein. Viviane prit une nouvelle aiguille. Le lent mouvement de son sexe contre ma jambe portait ses fruits.. Viviane par instant frissonnait. Ma main allait et venait sur ma queue, lentement je serrais fort ma tige et remontant je faisait jaillir les gouttes translucides qui perlaient sur mon gland. Une grosse goutte commençait à couler le long du gland, le long de ma queue. Sur mes doigts. L’aiguille était posée sur le téton droit. Viviane pris une inspiration et avec lenteur entrepris de percer le téton. La peau résista un instant, se creusant autour de la pointe acérée. Puis elle céda. Viviane se mordait la lèvre inférieure pour ne pas crier. Elle continua à pousser plus fort.. Je voyais la peau se tendre sous le téton avant de céder et de laisser passer le métal. Viviane avait poussé un gémissement quand l’aiguille avait transpercé le petit bout de chair tendre. Elle prit une nouvelle aiguilles dans ma main et avec force et rapidité se transperça le téton gauche de haut en bas. Elle poussa un petit cri tandis que je sentais sa chatte de plus en plus humide sur ma jambe. C’était irréel. Voir cette magnifique créature que j’aime s’infliger des souffrances pour arriver au plaisir.. C’était incroyable. Je n’étais plus dans le monde réel.. C’était autre chose on était hors du monde.. Dans ma tête se bousculais des idées plus ou moins perverses plus ou moins horribles.. J’inventais des tortures.. je voulais la faire souffrir lui donner ce plaisir qu’elle recherchait avec avidité. Ce n’était pas une vue de l’esprit.. Viviane aimait souffrir, aimait la douleur et par dessus tout aimait souffrir pour moi et par moi. Maintenant elle tremblait de tous ses membres.. chez elle ce tremblement s’accentuait jusqu’à la délivrance. Elle émettait une plainte continue du fond de sa gorge, ce son modulé par les gémissement que lui tirait la douleur était comme un chant de sirène. A la fois cela m’excitait comme un malade mais également une peur sournoise s’emparait de moi. Je sentais que tout pouvait arriver.. même le pire. Je tentais de freiner mes pulsions mais c’était difficile déjà à ce moment. Viviane continuait à se percer les seins. Ses tétons étaient maintenant une pelote d’aiguilles. La dernière aiguille placée une pulsion brutale me fit tendre la main vers les aiguilles, je m’emparais d’un des talon en plastique et je tirais pour faire aller et venir l’aiguille. Je faisait coulisser le métal dans sa chair.Les mains de Viviane se posèrent sur mes cuisses.. ongles en avant.. elle se cramponnait. La tête rejetée en arrière elle souffrait, acceptait la douleur que je lui infligeait. Son bassin lançait son sexe au contact de ma jambe.. Maintenant je sentais sa liqueur couler le long de ma peau. Elle mouillait tellement. J’avais les doigts trempés de ma propre liqueur qui s’écoulait lentement de mon gland violacé. Voir Viviane se tordre, onduler les seins martyrisés me mettait dans un état dingue. « Maitre.. faites moi saigner… je vous en prie » dit Viviane.Je compris qu’elle voulait que j’ôte les aiguilles comme je l’avais fait peut de temps auparavant. D’une main je commençais à retirer les aiguilles.. lentement et en les faisant coulisser plusieurs fois avant de les retirer. Cette fois le sang coulais plus abondamment.. Quand j’ôtais une aiguille.. une grosse goutte vermeil naissait sur sa peau.. puis elle dévalait le long de son sein.J’avais le plus grand mal à ne pas gicler.. Mon gland coulais mes couilles me faisaient mal. Tendu à l’extrême je faisais des efforts pour ne pas jouir. Le jeu continuais.. chaque aiguille laissait un petit ruisseau de sang s’échapper. Viviane haletais je sentais l’humidité ruisseler sur ma jambe. Ses yeux papillotais et se révulsais par instant. Comme moi Viviane était au bord de l’orgasme. Les aiguilles étaient retirées.. Elle et moi étions sur la limite.. mais nous n’avions pas encore jouis.. Je n’osais plus toucher ma queue.. Je pris deux aiguilles que je plaçais à hauteur de ses tétons. Je lui dit « Viens!! » Elle comprit sans autre explication. Elle s’empala sur les deux aiguilles. A cet instant ma queue tressauta et gicla sur sa poitrine, son visage, de longues giclées qui me tirèrent un cri tandis que tétanisée elle jouissait sur ma jambe donnant de grand coups de bassin. Viviane s’étaient emparée de mes mains et les pressaient contre sa poitrine.. comme pour enfoncer plus loin les aiguilles dans ses tétons.Je basculais sur le dos. Viviane vint s’allonger sur moi. Se pressant contre moi.. ses seins écrasés entre nos deux corps les aiguilles plantées dans ses tétons. Je sentais sur ma peau les embouts en plastique qui bougeaient sans cesse. Viviane était en sueur et tout son corps était sensible. Au point que le lendemain rien que le tissu léger d’une robe presque transparente lui faisait souffrir le martyr.Ce soir là j’étais devenu le vrai maître qu’elle désirait. Elle savait que je pouvais la punir avec v******e, la faire souffrir. C’est ce que désirait Viviane et elle me le dit clairement, si je n’avais pas été à la hauteur de ses espérances notre histoire se serait arrêtée bien que les sentiments qu’elle avait pour moi étaient sincères. Mais l’amour, les sentiments ne suffisait pas. Il fallait que je soit assez fort.. assez fou pour entrer dans ses délires.. dans ses désirs. Elle me dit également qu’elle sentait que je prenais vraiment plaisir à faire d’elle une chose.. un objet.. un quartier de viande c’était son expression favorite.. et j’avais en horreur cette façon de se décrire.Je me rendis compte qu’après que nous commencions une descente aux enfers.

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Anal

Ma derniere aventure en date….04Effectivement, cette situation totalement inattendue, éveilla en moi une excitation inconnue jusqu’alors. Je me sentais prisonnière, d’abord de ces hommes, et surtout prisonnière de cette envie d’explorer le monde de la jouissance. Comment m’en défaire ???Cette main qui vint se poser sur mon sein droit, me rappela la présence du deuxième bonhomme. J’avais oublié sa présence à celui là tellement concentré sur ses doigts explorateurs de l’humidité de mon entrejambe.-Fais attention…… On peut nous voir !-T’inquiète ! Avec cette pluie qui tombe en ce moment, il y a pas grand monde dans les rues ou devrai – je dire qu’il n’y a personne ! En me malaxant ferment le sein il rajout, j’ai l’impression que cette petite chienne en chaleur, en redemandera une fois qu’elle aura vu le plaisir que nous lui administrera ! Hummmmm…. Elle est plus que bandante !Après 5mn ou 10 ou 15, j’en sais rien, car j’étais dans mes réflexions, la voiture s’arrête, j’entends le bruit d’un moteur d’une porte. J’en conclus que nous sommes enfin arrivé, à la demeure réserver à me faire vivre les jouis le ces messieurs.La voiture redémarre, franchi le portail de la demeure, c’est une maison qui se trouve sur un terrain d’au moins 2mille m². Une belle maison. C’est vrai que le maître de maison n’a pas eu la galanterie de me faire le tour de la propriété, mais c’est ce que j’ai réussi à apercevoir lorsqu’on m’a retiré mon bandeau (bien plus tard !!).La voiture s’arrête enfin, les portent s’ouvrent et on me fait descendre.-Garde ton bandeau ! me dit – on quand j’ai fais le geste de vouloir me l’enlever.La pluie avait cessez de tomber. escorté par les deux hommes, nous rentrons dans la maison. A peine le pas de la porte franchi, qu’on me délesta de mon manteau, puis nous reprîmes notre marche, vers le salon.-Salut à vous messieurs ! Voilà le cadeau que cette belle île de Djerba renferme ! Délicieuse non ? Cria mon ami.-Hummm ! Tourne toi un peu pour que l’on puisse t’admirer dit une voix que je ne connaissais pas.Je m’exécutais, mais avec une peur au ventre, car si je compte bien…. 3….. + 1….. 4 mecs !-On est combien ? Ose – je demandé.-Tu la sixième ! Me répondit mon Boutty.-Que voulez vous boire ? Dit une autre voix que je ne connaissais pas.-Un Whisky pour moi ! Répondit canlı bahis şirketleri Philippe.-De même pour moi, mais un bien serré ! Répondit mon ami.-Et pour cette dame ? me demande – t – on.-Euh… Euh… Rien pour le moment !Le temps qu’on leurs verse leurs boissons, je sens des corps qui me tournent autour. M’auscultent, comme s’ils soupesaient de la viande chez un bouché.Tout un tas de compliments furent exprimés sur ma plastique.-Allons, ne perdant pas de temps ! Dit mon ami.Il me tira par le bras, me mis au milieu du salon et me dit :-Montre à mes amis que tu aime tu faire prendre, montre leurs qui tu es toute mouillée rien qu’à l’idée de les faire joui ! Penche toi en avant et montre leurs que tu es dégoulinante, que ta chatte n’attend que leurs zob pour te faire grimper aux rideaux !Hypnotisé, que j’étais je me suis exécuté sans brancher. J’avais honte de moi d’être traité ainsi. Je me penche un peu.-Penches toi plus salope ! Et écarte tes fesses ! M’ordonne-t-on.-Reste comme ça ! ME dit – on lorsque je pris la position voulue.-25 !-50 !-150 !-210 !-…-210 une fois ! 210 deux fois !…….. 210 adjugé ! Bravo Patrick, c’est à toi de commencer.Commencer quoi me suis – je posé comme question.La réponse ne tarda pas à venir. Patrick, s’avança et me planta sa queue dans la bouche en m’ordonnant de le sucer. Ce que je fis de peur que quelque chose de fâcheux ne m’arrive.-Oh que c’est bon ! Elle sait s’y prendre les gars ! Vous….. Vous conseil d’essayer !Après lui avoir astiqué du mieux que je pu cette grosse queue qui emplissait ma bouche, Patrick me fis pivoter sur moi-même, s’accrocha à mes hanches, frotta sa bite sur les lèvres humides de mon minou, et d’un coup me planta son zob bien au fond le mon chatte.Je ne pu étouffer un cri de douleur et de surprise lors de cette pénétration.Patrick me donna des coups si profonds, que je sentais ces ouilles frappés les lèvres (humides) de ma chatte.Cela fut rapide, en quelques allées et venues, alors que je commençais à avoir ses frissons dans mon bas ventre, il s’est retirer et à libérer ton son jus sur mon dos.Tous les assistants étaient pliés de rire.-Hé Patrick ! C’était rapide ! On te connait plus résistant !!-Attendez de gouter à cette chatte et vous verrez qu’on ne résiste pas bien longtemps !Ils canlı kaçak iddaa étaient tous partis en fou rire. Moi je me sentais…… Bizarre. Je souriais à leurs blagues débiles, des blagues de macho. Les yeux dans le noir, des tas de questions se bousculaient dans ma petite tête. Quesque j’ai bien pu faire de si mauvais pour me retrouver ici ? Et c’est quoi cette histoire de vente aux enchères ? Et c’est quoi ce groupe que fréquente mon ami ? Quel sera mon devenir avec tous ces mecs ? Vais – je les satisfaire ? Pourrai – je les combler ?….. Et où est mon ami ??-Boutty….. Ya Boutty ! Hija hné (viens ici NDLR) !En moi de deux seconde, une main se pose sur mon épaule :-Oui Douda, que se passe t – il ?-J’ai quelques questions ? (en arabe dans le texte !! NDLR)-Je t’écoute !-Tu m’as vendu aux enchères?-Non, c’est pour alimenter la caisse de nos soirées ! Celui qui offre le plus aura le privilège de baiser tout seul, la fille que nous ramenons !-Vous en ramenez beaucoup de filles ?-Une à deux par mois….. Des fois plus !!!-Et maintenant ???-Ben tu vas avoir droit aux autres zobs !-Tu leurs dis, pas de pénétration sans capote !-Il va sans dire……….. petite salope !J’ai failli avaler de travers quand j’ai entendu ses mots ! Jamais il n’a osé me dire une chose pareille.-Et tu sais ce qu’elle te dit la salope ? lui répondis-je après réflexion……… N’oublis pas d’immortaliser ses moments…… Puis je me tus en ravalant ma colère.Il me fit un smack et parti (je suppose) rejoindre ses amis (je vous rappel, pour celui qui ne suit pas, que j’ai toujours le bandeau sur les yeux !)%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%J’étais là debout comme une conne à siroter une vodka – orange que l’un de ses messieurs m’avait bien gentiment donné. Et après quelques secondes, j’ai senti que les hommes se mettaient debout et se rapprochaient de moi. Une main me pris le verre alors qu’une autre main pesait sur mon épaule et on m’ordonna de me mettre genoux à terre.C’est alors que je senti toutes ses queues qui n’attendaient que ma bouche pour les revigorer.-Hummmm c’est vrai qu’elle suce bien cette coquine !Je passais d’une queue à une autre, et à chacune j’essayais de lui appliquer le meilleur massage que j’ai en réserve.J’entendais les voix au dessus de ma tête qui jugeaient mon action que je prodigué canlı kaçak bahis et quelques vannes de gros macho o tout simplement des soupirs de bienêtre (c’est le son de voix que j’aime le plus).Je ne sais pas au bout de combien de minutes, qu’on me prit par les aisselles (ouf commençais à avoir mal à la mâchoire) pour me conduire vers une chambre et on me poussa sur le lit qui s’y trouvait.Me retrouvant à quatre pates, un des messieurs commença à me lécher la moule. C’est une caresse qui ne fit que raviver la flamme de mon puits d’amour, alors qu’un second me colla son zob sur les lèvres, et je n’ai eu d’autre solution que de l’ingurgiter est lui appliquer une bonne fellation.-Regarde – moi ce cul…… Regardez comme elle suce, cette salope…. Va s’y Patrick, fais la jouir, fais la mordre les draps ! Entendis-je tout autour de moi.Je sentais une chaleur qui montait de mon arrière train (c’est un terme qu’on utilise pour les animaux… et chienne je suis !) pour venir exploser dans ma tête.Je ne savais plus où donner de la tête ! Une deuxième queue se présente à petite mon bouche qui délaisse la première bite pour l’engloutir profondément et joyeusement je dois dire !Patrick (je suppose que c’est lui qui me bourrait la chatte) se retire pour laisser la place à un autre membre qui combla assez rapidement l’espace délaissé par la queue de Patrick.Mon baiseur, s’accrocha fermement à mes hanches et à chaque que de queue qu’il m’infligea je criais mon plaisir qui était étouffé par la bite que j’avais entre les lèvres.Puis je sentais qu’on me claquait les fesses, une fois, deux…… trois…. Après la dixième j’ai arrêté de compter. Je sentais que mes fesses devenaient toutes chaudes.Je voulais crier d’arrêter mais aucun son ne sortait de ma bouche. On me bascula sur ma droite, mes lèvres laissaient échapper la queue qui comblait l’espace vide de ma bouche. On me releva les jambes et c’est avec grande douceur que je senti un membre bien raide pénétrer ma chatte toute chaude et dégoulinante de jus d’amour.Après les premières introductions en douceur, celui qui prit possession de ma cave à bite, accéléra la cadence. A chaque coup de queue, je sentais mille feus envahir ma grotte. C’était une succession de jouissance que j’étais entrain de vivre et de déguster !Je crois que toutes les bites me sont passés dessus, j’ai été tourné et retourné à mainte reprise, que j’en ai perdu le compte. Car il ne m’importait plus de faire l’inventaire de mes amants.Je me suis surtout concentré sur ma jouissance, mon plaisir et l’instant présent.

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Selam herkese bez azeri beycandan katiliorum sizleri hikayenizi seyr ediyorm neyse hikayiy e kecelim.Ben 17 yashindaydim amca kizi da 16 yashinda nasil olsa bizde kaliridi ara sira ben onun kloduna bakmak icn minlerce tum sheyler yapardim amma goremeyince hayal edib 31 cekerdim.bir gun yine evde yalnizdim bana ne haber neden teksin dedi .bende evde yalniz kalmaq istedim sen nereye boyle xnaim kizz olmushsuzn artiq dedeim ee yani sen beni en sandin lan bel kocaman kiz oldum bak gouslerimde iri artiq .bende guzel bana hava atiysan dimi dedeim yox oyle bir shey amma canim bir shyeler ister dedi ne yani oynamaqmi , gulmekmi eylenmekmi dedei hayir hic birsi yoxbana bilqisayardan bir shey oyretrmisin tamam dedim oo zaman acalim bilgisayari benn tam olaraq onu bilqisaya oyretince bilmediyi bir ozel yere girdiyinde parno vidolari isledi ben hemen kecirdim.olmaz bursa escort onlara bakmak sen kucuksun hale dedeim ya yaa ben gormedim merak etdim onlar ne ? bende dedeim tamam oo zaman bax amma ben cikarim neyse bende bakmayim oo zana onda yoxxx dedim kiz sen bak isteyrsin oki tamam oo zaman izleyilim bax bir az bakmishdi gulumsundu abi dedi bana oo ne oylee ilginc shey dedei dedeim sen hic yashamatinmi dei hayir peki sen dediem evet bir kezz nasil olur kizlar agrimiyrmu dedei dedeim zevqalir kizlar yox yaaa dedei canim agriyo dedi bana oyla shey olsa tabii>:PP neyse sen ishine bax hadi dedeim oan bana sordu abi sana bir soru daxabenim canimi acitmadan yapa bilirmisin :evet yani burda ne var ki sen isde ben yapiyim tamam oo zaman yapp dedi aaaaaa. bu aradan kizin adi zeynep 16 yashinda iri gozlu hemde irir gotlu kizzz amina halee eyni tukler gelirdi. ben iyince bursa escort bayan sikimi cixkardim o ne oyle abi bu nasil da boyle iri kac sm dedi 22 vardi nerdese bende deim goruotmusun bunu tamam al agzian yala iyice tamamda bunasil agzima alicam ben dediem kolay cnaim soyusn sen hele tamam tanqa ile ic chamishr kaldi onda onu yatagima yatirimiyice opmeye bashladim abi ben kendimi tutamiyorum bana na oluyur hic guzelim bana bax hadi sende beni op bu zmaan bu boshal di ne oldu dediem abi benden kanmi akan ne olee dedeim kis sen boshaldin hadi bana soyle boyle zevgaldinmi hayir dedi bana soxacasun dimi abi yaragi hadi sonuna kadaq kocaman sikini icmde hiss etmek isterim olmaz sne kisiz ne olsun al da canimikurtar yeter ki bniii sondur ami iyice kizmishdi dilimle yalarkaen abiiii hadiiiiii allll kizligimi ohhhhh of hadi cnaim seni seviyiorum ben abi escort bursa sen oldur beni sok bana abi yalvariyorum men tamam sen acele etme kizim kafam aminda idi gotunu iyice yumshaltdim yaragimi dayandim gotune kafasini sokmushdum iyiceee ah abiiiii oldum hadi sok dibine kadarde cildirtma benii al kizligimi ben ordanda zevk almaq istiyorum hadi all tamam ben de sikimi gotundencixacaqdim ki boshaldim hadi oo ne gotumden akiyor deim dole dole mi af agzima boshalsaydin yutardim onu bende dedeim olur bu zamankini agzian boshalaram oki nyese amini etkrar yaladiqdan sonra bu da menim yaragi agzian dayandi abi sok hadi ne olur sok bana shahashqlarinida sokaciqsun diyi mi hadi artiq abiiiiiii goriyim snei sok mende acele etmeden yaliyordum amini artiq zamani gelmizshdi kizin almaq zorundaydim ami o kadar dardi ki iyice girmedi tukurledim ve sonda bashardim icinedeydim arqi inildemelerrr ah men gitib geldikce kanlarda akiyordu beni sen mutlu etdin sonunda abiii diyerek boshalidii ben de oo zaman boshaldim icne veee oo gunden beri her gun gunde iki kez azindan sikishiyoruqqGönderen: 123456

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Selam ben tolga size hatay?dan yazıyorum ben şu an 24 yaşındayım. Hikayemin geçtiği dönemde 14 yaşındaydım. Babam bir tekstil fabrikasının terzihane bölümünde çalışan 40 yaşında sıkça içki içen dünyayı umursamayan adamın biriydi. Annem de aynı fabrikanın paketleme bölümünde çalışan 32 yaşında kocasıyla aile baskısıyla evlenmiş bu yüzden gözü dışarıda olan dolgun göğüsleri ve yuvarlak çıkık kalçalarıyla harika bir fiziğe sahip olan bir kadındır. Annemin işveli tavırları çevresindeki bir çok erkeğin bakışlarını üzerine çeker beğenilmek ise annemin hoşuna giderdi fakat babamın annemi sıklıkla dövmesi annemde bir korku yarattığı için isteklerini dışarı çıkaramazdı. Bir keresinde annem iç çamaşırı bölümünde çalıştığı için elinde siyah bir iç çamaşırını paketlerken bölüm sorumlusu anneme bunu üzerinizde görmeyi çok isterdim dediğinde annemin gülerek teşekkür etmesinden cesaret alan adam ortamın kuytuluğundan yararlanarak annemin kalçalarına bir şaplak attı ve eli annemin kalçalarındayken bu kalçalarda çok güzel durur dedi. Annem kenara çekilerek teşekkür ederim ama lütfen bir daha bunu tekrarlamayın dedi ve işine devam etti adam özür dilerim kendimi alamadım ama insan kendine engel olamıyor kalçalarınız gerçekten çok güzel dedi ve tekrar annemin kalçalarına tekrar vurdu elini annemin kalçalarının üzerinde biraz gezdirdi ve annem tam bir şey diyecekken sanki kontrole gelmiş gibi aferin yıldız hanım kolay gelsin dedi ve arkasını dönüp gitti. Adam bunu alışkanlık haline getirmişti. Kimseye çaktırmadan geliyor gidiyor annemin kalçalarını avuçlayıp duruyordu. Annem rahatsız oluyordu ama tatsızlık çıkarırsa babamın duyacağını kendisini döveceğini biliyordu. Annemin ses çıkarmaması ise adama cesaret veriyordu. Adam işi ilerletmişti artık annemin yanına geliyor kısa süreli okşuyor sıktırıyor gidiyordu. Babamın şimdiye kadar annemin güzelliklerini hiç dile getirmemesi içip içip eve gelmesi ve bağırarak annemi becermesi bu oyunu annem için de zevkli kılmıştı ama babamdan annem kadar fabrikadaki herkesin korkması adamın da ileri gitmesine engel oluyordu. Fakat adam fırsatları sonuna kadar zorluyordu fabrika çok büyük olmadığı için paketlemede 4 kişilerdi bina içinde sigara içmek yasak olduğu için diğerlerinin sigara içmeye çıktığı bir anda annem atölyede tek başınayken adam geldi ve bakın yıldız hanım size daha pratiğini göstereyim dedi annemin arkasına geçti ellerini annemin kollarının altından geçirdi ve çamaşırı katlarken usulca önünü annemin arkasına sürtünmeye başladı annem lütfen şimdi biri gelecek dedi adam lütfen yıldız hanım bana iki dakika verin dedi vealetini annemin kalçalarını arasına sokmaya çalışıyordu aslında annemin de hoşuna gitmeye başlamıştı. Annem sesini çıkarmayınca adam ellerini geri çekti ve annemin kasıklarına koyup annem in arkasına sürtünüyordu istediğini yaptı ve aletini annemin kalçalarının arasına soktu ve aşağı yukarı sürtünüyordu annem yeter artık dediğinde adam çok az daha dedi ve annemin kalçalarını sıkmasını istedi annem birinin geleceği korkusuylabir an önce bıraksın diye her istediğini yapıyordu adam ellerini annemin göğüslerine attı okşayıp sıktırmaya başlamıştı annem sevilmeye hasret olduğu için boşalmaya başlamıştı adam da boşalmak üzereydi gitgide hızlanmıştı ki ayak seslerinden çalışanların yaklaştığını anlayınca şüphe çekmemek için işini yarım bıraktı atölyenin diğer kapısından kimseye yakalanmadan dışarı çıktı. Adam artık her fırsatta dilediği gibi anneme sürtünüyor okşuyor mıncıklıyordu. Günler böyle geçiyordu adam zannedersem arkadaşlarına anlatmış olacak ki anneme yanaşmaya korkan kapıdaki güvenlik görevlileri herkes gibi annemi de giriş çıkışlarda güvenlik odasına alıyorlar çantalarını ve detektörle üstlerini arıyorlardı ama sonraları mesafe olması gerekmesine rağmen detektörü annemin göğüslerine kalçalarına sürtüyorlardı ama dışarıda sıra olduğu için daha ileri gidemiyorlardı. Annem ve babam kapıda buluştukları için servise geç kalmışlardı ve sıkış tepiş olan serviste ayakta kalmışlardı oturanların çoğu bayanlara yer verdiği için ayaktakilerin hemen hepsi erkekti annem ve babam minibüsün ortasında yüzleri birbirlerine dönük konuşarak gidiyorlardı. Kapıdaki güvenlikçilerden bir tanesinin vardiyası bittiği için herkesten sonra o da minibüse bindi annemin arkasında bir yerlerde duruyordu elini birden annemin kalçalarının üzerine koydu annem rahatsız oldu ama babamın sorun çıkartacağından korktuğu için tepki veremiyordu.Babama çaktırmadan eliyle engel olmaya çalışırken durumu fark eden birkaç kişi arkadaşlarını yalnız bırakmamış annemin kalçalarını okşamaya başlamıştı bir sürü el annemin bursa escort kalçaları üzerinde geziniyordu annem birine engel olsa birine olamıyordu. Sonra güvenlikçi olan babamı yeni görmüş gibi oo rıza ağabey nasılsın ya diyerek babamla konuşmaya başladı yününü babama dönmesiyle annemi önüne almıştı şimdi annem babam ile tanımadığı bir adamın arasında kalmıştı. Adam ilk başta hafifçe değdirirken aletini iyice annemin kalçalarına dayayıp sürtünmeye başladı annem dayanamadı ve rahatsızlığını babam belli etmeye çalıştı ama babamın konuştuğu adamın her akşam birlikte içki içtiği arkadaşı olduğunu aralarındaki akşam şöyle içeriz böyle sıçarız gibi sözlerinden umutsuz vaka olduğunu anladı ve çaresiz durumu kabullendi adam aletini annemin kalçalarının arasına sokmaya çalışıyordu.Sonunda amacına ulaştı ve aletini kumaş pantolonu ve annemin bol eteği sayesinde annemin kalçalarını arasına sokmuştu. Bütün gücüyle dayanıyor sonra kendini geri çekip tekrar dayanıyordu. Bir taraftan babamla konuşuyor bir taraftan anneme sürtünüyor bir taraftan da bir eliyle tutacaktan tutarken diğer elini aşağı sarkıtıp annemin baldırlarını kalçalarının yanlarını okşuyordu. Durum böyle devam ederken inecekleri yere gelmişlerdi annem ve babam inerken adam babama akşam buluşacaklarını söyledi anneme de iyi akşamlar yenge deme pişkinliğinden de geri durmadı. Eve doğru yürürlerken annem babama bu adamı hiç gözünün tutmadığını söylediğinde babam annem sus ulan salak karı o benim en güvendiğim tek arkadaşım hatta izin ayarladım önümüzdeki hafta köye gitmem gerek sizi ona emanet edeceğim tamam mı dediğinde anneme çaresiz tamam demek düştü. O gün öyle geçti ertesi gün annem biraz rahatsızlanmıştı izin aldı ve erkenden çıktı. Nizamiyedeki annemi görünce gülerek güvenlik odasına aldı. Akşam otobüsteki adam oradaydı. Annemin çantasını aradıktan sonra detektörü eline aldı camdan dışarı baktı mesainin yarısı olduğu için gelen giden olmadığını görünce aklına bir şeytanlık geldi ve detektörü annemin üzerinde gezdirirken çaktırmadan bir düğmeye bastı ve detektör sinyal vermeye başlayınca kolpadan lanet makine yine bozuldu mecbur elle arayacağım dediğinde annem asla olmaz dediğinde siz bilirsiniz ama rıza abinin hatırına aratmak istemezseniz aramayacağım için akşam rıza abiye sorun çıkarttığınızı söylemem gerek siz bilirsiniz dediğinde annem çaresiz tamam dedi adam annemin ellerini duvara dayadı ayaklarına içten vurarak bacaklarını ayırmasını sağladı. Annem bacaklarını ayırınca adam aramaya aşağıdan başladı. Annemin bacaklarını arama bahanesiyle okşadıktan sonra birden annemin kalçalarını pardösünün üzerinden avuçladı annem sesini yükselterek sen ne yaptığını sanıyorsun be der demez adam annemin saçlarını başörtüsünün altından saçlarını çekerek sakın bir daha işime karışma yoksa sorun çıkardığını rıza abiye anlatırımbana ne kadar güvendiğini bilmezsiniz sadece üzerinizde elbise kaçırıp kaçırmadığınızı kontrol ediyorum şimdi tekrar ellerini duvara daya dedi annem dediğini yapınca ellerini tekrar annemin kalçalarını üzerine koydu ve sıktırmaya okşamaya başladı. Sonra pardösünün eteğini yukarı kaldırıp etek üzerinden okşamaya başladı. Bir elini kalçalarının ortasına koydu ve bir parmağını annemin kalçalarının arasına soktu ve aşağı yukarı yaparak annemin kalçalarının arasını okşuyordu. Bir süre sonra da annemi ters çevirip sırtını duvara yasladı. Ve annemin pardösüsünün düğmelerini çözdü annemin göğüslerini gömlek üzerinden okşadıktan sonra birden iki yana çekerek annemin gömleğini düğmelerini kopartarak açtı annem adamın karşısında sutyenle duruyordu. Adam annemin koca göğüslerini avuçlarının arasına alarak sıktırmaya başladı sonra eğilip annemin göğüslerini emmek istedi ama annem izin vermeyince adam ellerini aşağı indirdi veannemin eteğinin içine soktu annemin eteğini beline topladı annemin kalçalarından tutup birden kendine çekince adam aletini annemin önüne dayadı annem kurtulmak için geri çekilince adam da ileri gitti ve annemi duvara dayayıp annemin ellerini tuttu ve başının üzerinde tuttu ve annemin önüne sürtünmeye başladı annem kurtulmaya çalışıyor ama biri duyar diye bağırmaya cesaret edemiyordu. Adamın iyice gözü dönmüştü annemin ellerini bırakıp annemin külotunu aşağı çekmeye çalışıyordu ki birden kapı açıldı ve fabrika müdürü içeri girdi ne yazık ki gelen araba sesini duymamışlar fabrika müdürü dışarı çıkarken kapıda kimseyi görmeyince içeri girmeye karar vermiş. Neyse içeri girdi ve annemle adama bağırmaya başladı ve ikisinin birden işine son verdiğini söyledi ama annem yalvar yakar durumu anlattı ve eğer duyarsa kocam beni öldürür diyerek ağlamaya başladı müdür bursa escort bayan insaflı çıktı tamama kızım ağlama dedi ve adamın işine son verirken annemi yarın odasına beklediğini söyledi ve annemi eve kadar bırakıp gitti. Ertesi gün annem müdürün odasına gitti ve anlatmaya başladı. çevresindeki herkesin annemi rahatsız ettiğini ama annemin babamın yüzünden sesini çıkartamadığını falan anlattı. Müdür tamam kızım sen merak etme bundan sonra burada idari kısımda çalışacaksın getir götür işlerine, temizliğe falan bakarsın dedi. Annem kabul ettikten sonra anneme yeni çalışma elbiselerini verdi temizlikçi elbisesi olmasına rağmen siyah, dar ve dizlerin biraz üstünde biten bir etek ve beyaz gömlekten ibaretti. Annem teşekkür ederim ama kocam bunları giydiğimi görürse beni keser dedi müdür o zaman üzerini burada değiştirirsin deyince annem fabrikada da görür deyince müdür personel şefini arayıp babamın işine son verdi annem ne olduğunu anlamamıştı bile her şey akışına gidiyordu. Günler böyle geçerken babam neden işten çıkarıldığını bile anlamamış, gece gündüz içki içiyordu galiba bazı şeyler sarpa sarmış, kaş yapalım derken gözden olmuşlardı ama dönüş yoktu. Birkaç gün böyle devam ettikten sonra bir gün annem işe biraz geç kalmış o yüzden aceleyle giyinmiş gömleğinin üst düğmelerini kapatmayı unutmuştu annem müdüre çay götürdüğünde bardağı koymak için eğildiğinde müdür fark etmiş ve annemin yakasından göğüslerine bakıyordu. Annem hala farkında değildi müdür anneme hep eğileceği işler veriyor annemin göğüslerini izliyordu annemden masasını silmesini istedi annem masanın diğer tarafından sildikten sonra müdürün tarafına geçti müdür koltuğunu geri çekerek annemin masayı silmesine yol verdi müdür önünde eğilen annemin kalçalarına bakıyordu. Anneme seni taciz edenler haklılar galiba çok güzel bir kadınsın dedi annem teşekkür ettikten sonra müdür lütfen kızma dedi ve koltuğu biraz ileri iterek annemin kalçalarına yumuşakça dokunmuştu annem müdür bey ne yapıyorsunuz dediğinde müdür tekrar özür dilerim ama beni bu yaştan sonra ereksi yon ettirdin söz ileri gitmeyeceğim bunca fedakarlıktan sonra bana bu zevki çok görme dedi. Annemi koca korkusundan sonra işsiz kalma korkusu sarmıştı. Annem sessiz kalınca müdür iyice annemin kalçalarını okşamaya başlamıştı. aslında koskoca fabrika müdürü tarafından beğenilmek hoşuna gitmişti. Müdür ellerini aşağı indirdi annemin bacaklarını okşadıktan sonra elini yuları çıkardı ve annemin eteğinin içine soktu annemin kalçalarını eteğin altından külotun üzerinden okşamaya başladı fakat ya daha fazla dayanamadı ya da annemi ürkütmek istemedi kısa süre sonra teşekkür ederek annemi bıraktı. O gün öyle geçti ertesi gün babam köye annem ise işe gitti. Müdür işe gelir gelmez annemi yanın çağırdı annem odasına gittiğinde annemin yanına çağırınca annem masanın diğer tarafına müdürün yanına geçti. Müdür anneme akşam evde karımla kavga ettim ben çok istesem de artık kendine dokundurmuyor bile izin ver sana güveneyim çok güzelsin izin ver sana dokunayım söz istemediğin hiçbir şey yapmayacağım dedi. Annem müdüre karşı çıkamıyordu. Eğer müdürse her şeyi yapabilir fikri vardı. Annem sesini çıkarmayınca müdür ellerini annemin bacaklarının üstüne koydu okşayarak göğüslerine kadar çıktı ve annemi göğüslerini gömlek üzerinden okşuyor sıktırıyordu. Müdür coşmuş annemin göğüslerini iyice sıktırmaya başlamıştı annem müdür bey canımı acıtmaya başladınız dediğinde müdür anneme arkasını dönmesini söyledi annem dediğini yaptığında müdür ellerini yine annemin bacaklarına koydu ve okşayarak yukarı çıkmaya başladı kalçalara vardığında ilk başta nazikçe okşarken annemin kalçalarını sıktırmaya avuçlamaya ve şaplak atmaya başladı annem tekrar canının acımaya başladığını söylediğinde müdür lütfen biraz daha dedi ve birkaç dakika daha okşadıktan sonra tamam gidebilirsin dedi annem odadan çıkarken müdür anneme kaç beden etek giydiğini sordu. Annem söylediğinde tamam çıkabilirsin dedi öğle arasında müdür anneme pantolon almış. öğleden sonra müdür annemi yine odasına çağırıp bundan sonra bunu giyeceksin dedi annem poşeti açtığında parlak siyah streç tarzı pantolonu gördü sağ olun ama ben bunu giyemem dedi. Müdür neden artık kocanın görmesi gibi bir derdin de yok deyince annem kocam zaten köyde de mahalledekiler el alem falan deyince müdür ya sen gelirken pardösü giymiyor musun dediğinde annem evet deyince müdür tamam o zaman konuşma bitmiştir ayrıca bu bir emirdir deyince annem kabul etti. Ertesi gün müdür işe bayağı stresli geldi ve hemen annemde çay istedi annem çayı götürdüğünde anneme bu gün çok önemli bir toplantım var çok gerginim rahatlamam escort bursa gerek gel buraya dedi ilk defa rica etmemiş emir vermişti müdür rahatlamam deyince annem asla olmaz deyince müdür yanlış anladın mabedin senin hemen gel buraya dedi. Annem yavaş adımlarla müdürün yanına gittiğinde müdür ayağa kalktı ve annemin başörtüsünü çıkarmadan saçlarını çekip dudaklarını öpmeye başladı annem ne istekli ne de karşı çıkmak için hiçbir tepki göstermiyordu. Müdür bir eliyle annemin kafasını tutarken diğer eliyle annemin kalçalarını okşayıp sıktırmaya başladı. Sonra birden annemi ters çevirip ellerini masaya dayamasını sağladı. Kendi eğildi ve annemin kalçalarını okşamaya başladı sonra ellerini annemin bacak arasına atıp annemin önünü avuçlamaya başladı annem bir ara irkildi ama müdür şist sakin ol dedi ve okşamaya devam etti. Biraz okşadıktan sonra ayağa kalktı eliyle masanın üzerinde ne varsa savurdu annemin omuzlarından tuttu ve öne iterek göğüslerini masaya dayadı ellerini annemin koltuk altlarından geçirerek omuzlarından tutup geri çekince aletini annemin arkasına dayadı. Sonra adam kendi pantolonunu çözdü ve çıplak aletini sürtmeye başladı. Adam aletini annemin bacaklarını arasına soktu ve sanki beceriyor gibi ileri geri yaparak sürtünüyordu. Bir taraftan sürtünüyor diğer taraftan baldırlarını kalçalarını yanlarını okşuyordu. Bir süre sonra annem ters çevirdi annemin sırtını duvara dayadı annemin bir bacağını beline doladı. Ve annemin kalçalarını avuçlayarak aletini aşağıdan yukarı annemin önüne sürtmeye başladı sonra bir elini annemin göğsüne çıkardı şimdi hem sürtünüyor hem bir eliyle kalçalarını sıktırırken diğer eliyle de göğsünü sıktırıyordu.Bir süre sonra adam daha fazla dayanamamış olacak ki geri çekilmesiyle yere boşalması bir oldu. Müdür annemden kimse görmeden bir bez alıp yerleri silmesini istedi. Annem dediğini yapmak için dizlerinin üzerinde eğilince yani domalınca yukarı kalkan kalçaları daha bir davetkar duruyordu. Müdür annemin arkasına eğildi ve önce kalçalarını okşadıktan sonra aletini annemin kalçalarına sürtmeye başladı annem domalmış vaziyetteyken müdür arkadan dayanırken annemin gömleğinin altından elini soktu ve annemin göğüslerini sutyen üzerinden sıktırmaya başladı. Bir süre sonra annemin kollarını tutup yana çekince annemi yüzüstü yere yatırdı annemin bacaklarına oturdu ve annemin kalçalarını okşamaya başladı elini annemin bacak arasına soktu ve annemin önünü sıktırmaya başladı annem sırılsıklam olmuştu müdür bunu fark edince anneme seninde hoşuna gitmesine sevindim dedi annem hiç ses çıkarmıyordu. Müdür annemin pantolonunu aşağı çekmeye başlayınca annem lütfen müdür bey deyince müdür anneme sesini çıkarma seninde hoşuna gidiyor dediannem kocamdan başkasıyla yapmadım yapmam da dedi müdür o zaman kocana ait olan yine onun olsun dedi ve annemin pantolonunu dizlerine kadar indirdi annemin kalçaları siyah dar külotunun içinde müdürün önünde bütün ihtişamıyla duruyordu müdür elini annemin kalçalarına atıp külot üzerinden okşamaya başladı elini tekrar bacak arasına soktu ve dört parmağıyla annemin önüne baskı yaparken baş parmağıyla da annemin arka deliğine baskı yapıyordu.Kısa bir zaman sonra müdür tekrar pantolonunu çözdü ve annemin üzerine yatarak çıplak aletini annemin kalçalarına annemin külotu üzerinden sürtünmeye başladı. Kısa süre sonra müdür daha fazla dayanamamış olacak ki bir elini annemin sırtına koyarak hareket etmesini engellerken diğer eliyle annemin külotunu aşağı çekmeye çalışıyordu annem lütfen yapmayın diyerek ağlasa da adamın umurunda değildi. Annemin külotunu dizlerine kadar indirdi sonra annemin üzerine yattı ve bir elinin yardımıyla aletini annemin deliğine ayarladı ve bir hamlede bütün aletini annemin içine soktu annem lütfen yapmayın diyerek bağırırken istemeden o da zevk almaya başlamış olacak ki yavaş yavaş inlemeye başlamıştı müdür bundan cesaret alarak annemi sırt üstü çevirdi bulusunu sıyırdı ve annemin göğüslerini sutyen üzerinden okşamaya başladı sonra tekrar annemin üzerine yatarak aletini annemin içine yerleştirdi hızlı bir şekilde gidip geliyordu. Gidip gelirken elleriyle de annemin kalçalarını sıktırıyordu. Müdür giderek hızlandı annem tahmin etti ve hayır kesinlikle içime olmaz dese de müdür kendine hakim olamadı ve bütün menilerini annemin içine boşalttı ve annemin üzerine yığılıp kaldı. Müdür soluk soluğa anneme teşekkür ederken annem ağlıyordu müdür neden ağladığını sorduğunda annem kocamdan başkasına daha önce hiç yaptırmadım dedi müdür daha iyi ya ayyaş kocanın yerini müdürün aldı daha ne istiyorsun. 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Evet arkadaslar sizleri bu hikayemi anlatmadan önce kisaca kendimden bahsetmek istiyorum, ben 184 cm boyunda esmer bi delikanliyim yasim 24 dogma büyüme berlinliyim. Simdi size hikayemi anlatmak istiyorum, benim bi babaannem var kendisi 10 yildir dul dedem vefatindan sonrada hic evlenmedi 1,60 boyunda 80-85 kilo o arada bisey yani tombul etine dolgun esmer ve türbanli ve 50 yaslari civarinda. Simdi hikayeme dönüyorum ben birgün kendisini ziyarete gittim ve yalniz oturdugundan kafama göre yolum düserse ugruyordum, aklimda onunla hicbir kötü düsünce yoktu, tabi bu siteyi takip ettigimden kafamda söyle bi hayaal ediyodum ama ciddi bi gelisme yoktu. Neyse ben yine ankara escort yaz aylarindan birisinde ona ugramistim evi 1 oda 1 mutfak 1`de banyosu vardi, o gün mutfakda yemek pisiyordu üzerinde bol etek bol gömlek türü biseyler vardi bende tam arkasi bana dönük sekilde onu izliyordum sohbet ediyorduk o ayakda ben oturuyordum. Yasli oldugndan cabuk yoruluyordu ve bana omuzlarini ovmasini söyledi bende kalktim hic itiraz etmeden o corbayi karisitiriyor bende omuzlarini ovuyordum. Aklimda hic kötülük yokken ben önüm birden kabarmaya basladi hazir masajda yapiyordum sihbet falan derkene benim ufaklik hafif hafif temas ediyordu tabi babaannem hic orali bile olmuyordu ben masaj escort ankara yapmakdan parmaklarim kopmustu ama müthis zevk aliyordum o yastik gibi göte dayamakdan. Neyse ileri geri derken ben iyice zevke geldim babaannemde ustubunu hic bozmadan corbayi karistirmaya devam ediyordu. Aklima seytanlik geldi ve babaanneme bi teklif yaptim ona dedimki söyle sirtina güzel bi masaj yapiyim o da vallaha ogul hicde fena olmaz bayadir agriyio duruyo zaten. Neyse ben iceri odaya gectim oda hemen arkamdan geldi yere yorganini serdim halinin üstünde yüzü agrimasin diye. Gömleyinin üstünden yavas yavas oksarkene gömlegini cikarmasini söyledim oda hic itiraz etmedi hemen cikarmisti, ankara escort bayan simdi ellerimi iyice kremledim sirtini oksuya oksuya masaj yapiyordum sütyenini altinda elimi gezdiriyordum o ara bi göz attim kadin resmen gözlerini kapatmis zevk aliyordu, bende üstüne oturdum öyle masaja devam etmek istedim, tabi sikimi tam kalcalarini arasina yerlestirdim ve ileri geri hareket ediyordum ben iyice zevke gelmistim altimda kari inlemeye basladi bile iste neolduysa o an oldu ben sikim cikardim etegini yukari cektim donunu assagyia siyrdim kilodunu zorluyodum babaannem hadi oglum sok artik yillardir hasretim bu yarraga diye inliyodu türbani hala kafasindaydi ben kilodum indirmisdim ve onu sirt üstü yatirdim simdi o islak amina yavas yavas sokuyodum benim 16ligi, bakire siker gibi zevk aliyodum, müthis biseydi en az o gün 3-4kere bosaldim, babaannem kilolu olmasina ragmen cok zevk aldim. Gönderen: berlin65

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Merhaba ben izmirden tuncay. Ablam benden iki yaş büyüktür ve vücududa tam 90 60 90 dır. Tam bilmiyorum ama heralde tüm arkadaşlarımda benim gibi ablamı sikmeyi istiyordur.

Bir gün artık ablamınn o koca götüne dayanamamış nasıl dayayabilirim diye düşünüyordum. Ben odamdayken annemlerde arkadaşlarına gitmişler. Bende bundan faydalanıp ablamı odama çağırdım ve hadi top oynayalım dedim oda beni bakırköy escort kıramadı ve tamam dedi.

Ben ona ben senden topu almaya çalışcam ama sen bana kaptırmıcan dedim oda kabul etti ve topu saklamaya başladı bende arkasına geçtim ve göte çaktırmadan dayamaya başladım ve aletim taş gibi kalktı ve iyice göt deliğine girmeye başladı ama o hala tam anlamamıştı ben etiler escort daha fazla dayanamayıp ileri geri gitmeye başladım baktım bu bişey demiyo iyice açıldım.

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çok yumuşak götü vardı hemen boşalıverdim sonra amını yalamaya başladım ablam deli gibi azmıştı ve kızlığımı boz artık diye bağırmaya başladı ve amına aniden salladım 18liği ve amı kanamaya başladı sonra banyoya gittik orda beş dakika saksodan sonra göte iki ama bir porsiyon yollayıp işi bitirdik.?

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Merabalar.İsmimi vermek istemiyorum kendimi biraz tanıtayım ben 17 yaşında 1.75 boylarında çok hafif balık etli bir erkeğim.Lisede okuyorum ve okul otobüs şöförüyle olan ilişkimi anlatıcam sizlere.Ben genelde kızlardan hoşlanan biriyimdir fakat her porno izleyişimde keşke bi erkek yarrağı yesem diye iç çekerdim genelde 31 çektikten sonra boşalınca kendi dölümü yutarım veya evdeki bazı uygun eşyalarla kendi götümü siktiririm ama buna rağmen deliğim yeterince açık değil fazla acı verdiği için tam açamadım ama tam bi yarrak hastasıyım diyebilirim eğer fırsatım olsa hemen bir erkeğe verebilirim gizli tutulması şartıyla tabi.Herneyse bi gün okuldan okul otobüsüyle dönüyoduk ben eve gidince duş alıcaktım sabırsızlıkla 31 çekmeyi planlıyodum eve ulaştığımızda ben en arkada oturduğum için inmeyi bekliyodum herkes inmişti ben de bağcığımı bağlayacaktım şöför ender abi veda ediyodu çocuklarla ben de bağcığımı bağlayınca ender abiyle biraz konuşayım dedim abi nasılsın nasıl gidiyo falan diye sordum iyi nolsun dedi biraz sohbet ettik bana acelen yok galiba dedi bende aslında var eve gidip biraz porno izliyip attırcam dedim güldü dediki manitan yokmu onunla yap falan diye bende dedimki nerde o günler abi ya bu okulda herkes bi utangaç dedim o da al benden de o kadar dedi sikicek birileri lazım falan dedi bulsam birini şimdi bile sikerim o derece dedi bende bi an heyecanlandım acaba söylesem mi diye çünkü adam ayırt etmiyorum direk yarrağını yiyebilirdim ender abinin ender abi de genelde vücudumla alay eder beni tahrik ederdi göğüslerim etli ve iriydi çünkü o günler aklıma gelince oturdum dedimki abi aramızda kalıcaksa ben seni tatmin ederim dedim nerdeyse hiç mi hiç şaşırmadı valla bana uyar dedi peki nerde yaparız abi dedim burdada olur benim evdee de olur dedi ben burda olsun dedim tamam dedi ve arabayı bi ara sokağa parketti ve arabanın perdelerini iyice kapattık ben heyecandan titremeye başlamıştım ender abi de farketmişti perdeleri kapattıktan sonra arabanın en arkasına 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[vue sur le net] camping anal— Et si tu venais avec nous camper, la semaine prochaine ?À son âge, 22 ans, Sophie, blonde, cheveux au carré, lunettes double-foyers cachant ses grands yeux bleus aurait, en temps normal, refusé l’invitation de ses parents. Mais là, c’était pas la forme. Sophie venait de rompre avec son petit ami. Eh oui, avec son physique plus que moyen, ses rondeurs quoique plutôt légères et son air nunuche, Sophie avait un petit ami depuis presque un an. Il l’avait quittée parce qu’elle se refusait à lui céder la primeur de son sexe. Cela ne se faisait pas dans la famille de Sophie : une femme se devait d’être pure jusqu’au mariage. Sophie ne se sentait pas capable de désobéir à ses parents, surtout sa mère, une femme autoritaire et très croyante, genre « famille de France », limite catholique intégriste, voire facho sur les bords.C’est pourquoi elle accepta d’accompagner ses parents à l’unique condition – afin de se préserver un peu d’intimité – de planter sa toile de tente à côté du mobil-home des parents.Ils arrivèrent à la mi-août au camping du Bois-Joli, situé sur l’île de Noirmoutier. Un super camping trois étoiles avec piscine et tout ce qui va avec.Sophie remarqua tout de suite le couple qui était installé dans la caravane face à l’entrée de sa tente. Ils devaient avoir tous deux la cinquantaine : lui, plutôt grand et quelque peu bedonnant, yeux bleus, cheveux gris et elle, grande mince aux cheveux châtains coupés court, lunettes sur ses yeux marrons. Sophie était étrangement attirée par ce couple somme toutes très banal.Elle eut l’occasion de les connaître un peu mieux dès le premier soir car ils s’approchèrent au moment de l’apéritif afin de se présenter à leurs voisins de vacances. Lui s’appelait Jacques et elle, France. Ils étaient très sympathiques et s’entendirent très bien avec les parents de Sophie, à un tel point que sa mère les invita à dîner avec eux. Pendant le repas, Sophie remarqua que Jacques la regardait d’une drôle de façon. Cela la mit un peu mal à l’aise, mais cela passaassez vite lors du repas.Ils partirent vers 23 heures et Sophie alla se coucher. Au bout d’une demi-heure, Sophie entendit un drôle de remue ménage dans la caravane de Jacques et France. Elle comprit ce que ce bruit signifiait, leurs voisins étaient en train de copuler. Sophie fut troublée par ces bruits. Discrètement, elle sortit de sa tente. Elle vit que ses parents étaient couchés, elle s’approcha de la caravane où la lumière était restée allumée. Elle avisa une fenêtre entrouverte sur le côté et se posta pour observer ses voisins, toute honteuse de cet espionnage. Les rideaux étaient tirés mais elle bénéficiait d’un petit espace entre le bas de la fenêtre et celui du rideau. Sophie n’oubliera sans doute jamais ce qu’elle vit à l’intérieur. France, seulement vêtue de son tee-shirt, était assise au bord du canapé, la mâchoire écarquillée par l’énorme sexe de Jacques qui, lui, se tenait debout, nu, devant elle. Il l’encourageait en termes crus tels que :— Vas-y, suce-la bien, oui, comme ça… Hummm… Maintenant je vais t’enculer…Il se retira de la bouche de France qui, elle s’allongea sur le dos, les fesses au bord de la banquette. Jacques s’agenouilla et vint présenter son sexe conséquent entre les jambes relevées au maximum de sa femme. Il posa son gland contre l’anus de France et poussa. Sophie vit France grimacer jusqu’à ce que le chibre mobilbahis güvenilir mi trouve le passage étroit de ses fesses. Cette grimace se transforma en une drôle expression quand le sexe la pénétra en profondeur.C’en était de trop pour Sophie qui envoya sa main dans son caleçon pour se caresser. Jacques allait et venait maintenant dans le cul de France qui, la tête rejetée en arrière, les yeux mi-clos, ronronnait de bien-être. Les mouvements de Jacques devinrent de plus en plus rapides. France se cambrait, se tendait de plus en plus. Sophie, quant à elle s’astiquait frénétiquement le clitoris, toute tremblante de plaisir. D’un coup, France se tendit comme un arc en poussant un cri aigu, Jacques se plaqua aux fesses de sa femme et se mit à pousser des grognements sourds.Sophie s’éloigna un peu trop prestement et renversa le tancarville où séchaient les serviettes de plages du couple vicieux. Cela fit un bruit monstrueux. Sophie s’enfuit dans sa tente et eut juste le temps de rentrer avant que Jacques ne sorte pour voir d’où provenait ce bruit. Il eut juste le temps d’apercevoir la jambe de Sophie qui entrait dans sa tente. Il rentra avec un drôle de sourire aux lèvres…Sophie se masturba un bon moment en se remémorant ce qu’elle avait vu. Elle se fit jouir ainsi, avant de sombrer dans un demi-sommeil entrecoupé de rêves salaces où elle se voyait sucer le sexe énorme de Jacques. Vers sept heures du matin, Sophie se réveilla en sursaut, toute troublée par son dernier rêve où Jacques forçait l’entrée de ses fesses. Elle lutta un moment avant d’envoyer ses doigts caresser son anus. Sophie ne trouva pas cette caresse désagréable et se mit, de l’autre main à se caresser le clitoris. Elle entra son index entre ses fesses et partit presque aussitôt dans un orgasme dévastateur. Elle se rendormit, comblée, pour ne se réveiller que vers onze heures.La journée se passa sans histoires si ce n’est qu’elle crut percevoir un clin d’œil de Jacques quand il passa saluer ses parents.L’après midi, Sophie prétexta un coup de fatigue pour s’éclipser dans sa tente.Elle attendit que ses parents partent pour la plage pour commencer un drôle de petit jeu.Elle se débarrassa de son short et de son slip et elle se mit à quatre pattes. De ses mains, elle écarta les deux globes laiteux de son cul et se mit à onduler du bassin en murmurant. Sophie s’imaginait présenter ses fesses à Jacques, elle gémissait :— Viens… prends mes fesses.Elle se saisit de sa brosse à cheveux et présenta le manche contre son anus. Cela lui faisait un peu mal mais elle réussit, tout de même à s’insérer le gode improvisé entre les fesses. Les yeux fermés, elle se mit à le faire tournoyer entre ses fesses en s’imaginant que c’était le sexe de Jacques qui lui explorait le fondement. Elle trouva cela délicieux mais ne réussit pas à entrer complètement dans le délire. Il lui fallait quelque chose digne de la taille du sexe de Jacques.Elle prit alors le maillet lui ayant servi à monter sa toile, elle considéra un instant le manche de plastique noir, se demandant s’il n’était pas risqué de s’enfoncer un objet aussi gros dans les fesses. Elle se décida en se remémorant le spectacle de la veille, France avait pris le gros sexe de Jacques dans les fesses sans problème alors pourquoi pas elle ? Elle versa une bonne dose de crème solaire sur le manche. Sophie s’agenouilla, calla mobilbahis le maillet entre ses pieds, le manche en l’air et, doucement, envoya ses fesses à la rencontre de l’outil. Quand elle le sentit contre son anus, Sophie marqua un temps d’arrêt. À voix haute elle dit :— T’inquiète pas, ta grosse bite, mon cul va l’avaler.Elle se laissa aller doucement. L’anus de Sophie résista à l’intromission. Elle pesa un peu plus sur le manche. C’était plutôt douloureux. Dépitée, Sophie pensa qu’elle n’y arriverait pas. Alors, serrant les dents, tentant le tout pour le tout, elle pesa de tout son poids sur l’engin.Jacques, qui somnolait dans sa chaise-longue devant sa caravane, sursauta en entendant le cri de Sophie. Il s’approcha de sa tente pour lui demander si elle avait besoin d’aide quand il l’entendit gémir:— Oh… Mon dieu… C’est gros ta queue… Attends… Je bouge… Oh ? Ouah… c’est génial ce truc… tu m’encules, hein ? Ooohhh… Ouiiii… C’est… C’est bon…Jacques était surpris, ainsi la petite voyeuse de la veille, la petite sainte nitouche était en train de s’envoyer en l’air avec un mec dans sa tente, pendant l’absence de ses parents. Il n’eut pas le temps de penser plus car il entendit subitement Sophie pousser un long râle de plaisir. Ça y était, cette petite cochonne venait de prendre son pied, et par derrière de surcroît.Il retourna dans sa chaise et attendit qu’elle sorte afin de voir la tête du petit veinard qui avait eu la chance de sodomiser Sophie.Dans sa tente Sophie, toute collante de sueur, considérait le manche du maillet. Elle se demandait encore comment un truc pareil avait réussi à lui procurer un plaisir si fort. Elle le prit du bout des doigts, prenant soin de ne pas se souiller, elle l’enroula dans une serviette et le cacha sous son duvet. Elle enfila son maillot de bain et prit sa voiture pour rejoindre ses parents à la plage.Jacques fut surpris de la voir partir ainsi seule, il s’attendait à la voir accompagnée. Il attendit un bon quart d’heure avant de s’approcher de la tente. Il demanda si il y avait quelqu’un et, n’obtenant pas de réponse, il s’enhardit à ouvrir… Personne…Il sourit en réalisant qu’elle s’était fait un petit film. Il se demanda comment elle s’était fait jouir. Un petit coup d’œil aux alentours pour vérifier si personne ne le regardait et il entra. Une forte odeur de sueur régnait dans la tente. Il se mit en quête de l’objet du plaisir. Peut-être que cette petite vicieuse avait un godemichet ? Il trouva assez facilement le maillet et fut presque ému par cette trouvaille.Il rangea l’objet à sa place et, excité à l’extrême, il alla retrouver France qui dormait nue, allongée sur le ventre en travers du lit. Elle fut réveillée par le poids de son mari sur elle. Elle n’eut pas réellement le temps de réaliser que déjà, le chibre de son mari lui investissait le vagin. Il se mit à la pilonner en racontant ce que faisait la petite voisine. Elle fut très excitée par ce récit et ne fit aucune difficulté à être profondément sodomisée.Sophie rentra en même temps que ses parents, Ils furent invités à prendre l’apéritif avec Jacques et France. Sophie observait Jacques à la dérobée. Tout se passa bien jusqu’à ce que Jacques, sourire aux lèvres sorte une réflexion qui faillit se faire étrangler Sophie.— Notre auvent a besoin d’être réparé, le problème est que j’ai perdu mon maillet. Sophie, tu ne pourrais pas me mobilbahis giriş prêter le tien ?Sophie rougit et balbutia qu’elle l’aiderait le lendemain après-midi.Vers 23 heures, Sophie se posta près de la caravane. Elle ne fut pas déçue. Ce fut une véritable orgie qui se déroula sous ses yeux. Dopés par l’idée d’avoir une spectatrice, Jacques et France se déchaînèrent.Sophie réitéra sa sodomie au maillet dès son retour dans sa tente et en tira de nouveau un grand plaisir.Le lendemain, Sophie se présenta à la caravane et prêta son maillet à Jacques. Il lui promit de lui ramener quand il aurait fini.Comme il faisait froid et qu’il pleuvait, Sophie alla faire une sieste dans sa tente.Elle fut réveillée par le bruit de la fermeture de la porte. Il la trouva allongée sur le ventre, seulement vêtue d’un slip de coton blanc et de son petit pull gris à col roulé. Il lui dit de ne pas se déranger pour lui. Il entra à demi dans la tente pour glisser le maillet dans la poche à rangement. Il en profita pour envoyer sa main caresser les fesses de Sophie. Celle-ci ne dit rien, elle se contenta de lui lancer un regard appuyé par-dessus son épaule. Il comprit aussitôt qu’il avait gagné. Il sortit son sexe de son short et vint s’allonger sur elle. Sophie sentait le gros sexe appuyer dans la raie de son cul à travers son slip.Ils jouèrent un instant à se frotter ainsi. Il lui souffla à l’oreille qu’il allait la sodomiser. Il fit glisser le slip de Sophie et s’empara du tube d’huile solaire que Sophie lui tendit. Il pressa le tube sur l’anus de Sophie qui tressaillit en sentant la fraîcheur de la crème. Il lui demanda de s’écarter les fesses et présenta son gros gland contre l’orifice graissé. Il poussa avec une infinie douceur. Sophie serra les dents pour ne pas hurler de douleur. C’était horrible, cela n’en finissait pas. Elle allait lui demander de cesser cette torture quand, d’une ruade, il réussit à forcer la porte étroite. Sophie poussa un drôle de cri en se sentant perforée et pénétrée en profondeur. Elle avait l’impression qu’une bête bougeait dans son ventre. Il s’enfonça jusqu’aux couilles en elle et attendit, immobile que la douleur de Sophie s’estompe. Il la sentit se détendre peu à peu, son rectum s’habituant à la présence du pieu de chair, avant d’aller et venir en mouvements amples en elle.Sophie était sur un petit nuage. Cette sodomie lui procurait un plaisir divin, une certaine sensation de bien-être… Il allait et venait de plus en plus facilement entre les reins de Sophie qui hululait carrément de plaisir. Sophie ne put résister plus longtemps au divin ramonage. Elle fut subitement traversée de spasmes désordonnés tandis que sa bouche s’ouvrait en un cri muet. Les contractions du ventre de Sophie précipitèrent la jouissance de Jacques qui se répandit en elle en la traitant de petite souillon.Elle ressentit comme un vide quand il se retira de ses fesses. Il l’embrassa tendrement et repartit.Il fit part de cette aventure à France qui le supplia de le sucer afin de connaître le goût de cette petite vicieuse.Sophie, quant à elle, s’endormit d’un sommeil réparateur jusqu’à l’arrivée de ses parents qui la trouvèrent très détendue.Le lendemain après-midi, France vint inviter Sophie à venir boire le café.C’est sans trop rechigner que Sophie accepta d’être sodomisée par Jacques sous le regard ému de France…Sophie passa une quinzaine de vacances formidables.En rentrant, elle entreprit d’inviter son ex « pour discuter ». Il vint un dimanche matin alors queSophie était seule chez ses parents. Elle lui offrit ses fesses à sa plus grande joie. Ils passèrent la Journée dans le lit de Sophie. Il ne fut plus jamais question de rupture…

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La mère supérieure 4-5-6/10LU SUR LE NET La mère supérieure -4-Le lendemain matin, lorsque Sœur MARTHE rentra dans mon bureau, elle s’approcha de moi et me fit un petit baiser sur la joue en me disant bonjour. Rien de plus..Vers 11.00, je dus l’appeler car elle devait me donner des indications pour un encodage à l’écran. Elle se mit contre moi, moi assis, elle debout, penchée sur mon épaule pour voir l’écran. Au bout de quelques minutes je n’y tint plus de la sentir ainsi contre moi et je glissai ma main sous sa jupe large. Encore une fois, je sentis la rugosité du bas de coton avant d’arriver à la cuisse nue. Elle se laissait faire. J’atteignis rapidement son slip, qui avait la forme d’une culotte assez lâche. Après ce qui s’était passé hier, je n’hésitais pas à y introduire la main et d’atteindre sa belle chatte poilue. Négligemment, je jouais avec ses longs poils. La religieuse ne bronchait pas et continuait, comme si de rien n’était, à me donner des indications verbales pour l’encodage.Mes doigts fureteurs s’introduirent dans le site accueillant de son entrejambes et atteignirent vite le petit bouton de son clito que je fis rouler comme si c’était une cerise. Je sentis, une abondante féminité se former et couler sur mes doigts. Cette salope jouissait sans le savoir. !! Je continuais ainsi longtemps à des parcours audacieux entre sa chatte et son cul, le tout solidement humidifié.Finalement, je retirai mes doigts et je les essuyai à son slip.Elle me dit : ” Comme c’est gentil de me rendre ainsi contente le matin ! Je n’avais jamais connu cela. Vous êtes bien certain que ce n’est pas pêché que de faire ainsi ? ” Je lui répondis que c’était, au contraire, tout à fait naturel et que personne ne pouvait reprocher à une femme de céder aux vibrations de son corps. Elle approuva !Avant de partir déjeuner, elle dit, friponne ou inconsciente, ” A quelle heure prenons-nous notre douche ce soir ? ” J’en restais ébahi… ainsi, elle y prenait goût !!Le soir venu, nous nous sommes retrouvés à la douche et, comme la veille, nous nous sommes savonnés, explorés, essuyés et encore explorés.Revenu dans la salle d’habillage, Soeur MARTHE me dit : ” Hier vous avez introduit cet objet (elle montrait ma verge dressée !) derrière pour bien me laver intérieurement. Ne faut-il pas le faire devant aussi ? Ne croyez-vous pas ? ” J’en tombai assis !! Je lui répondis évidemment par l’affirmative mais l’avertis que cela risquait de lui faire un peu mal (je craignais le passage de sa virginité). Elle rétorqua : ” Il faut souffrir pour être propre ! ” ; Elle était tout à fait à côté de ses pompes !!Elle était nue devant moi. Je lui fit mettre un pied sur un banc pour bien ouvrir sa chatte et, très doucement, j’entrepris de faire pénétrer mon sexe dans cet antre encore inviolé. Ma pénétration était douce. Une de mes mains parcourait sa poitrine, tandis que l’autre lui caressait les fesses et l’anus.Très vite, ma queue butta sur son hymen. Je poussais un peu et très facilement je franchis l’obstacle et eut accès total à son vagin.Soeur MARTHE au moment de la rupture de son hymen mordit sur sa lèvre inférieure mais ne dit pas un mot, acceptant la petite souffrance.Son vagin était abondamment lubrifié et je me mis à un va et vient pas trop violent pour ne pas la heurter. Petit salaud que j’étais, je lui dis : ” Vous allez voir comme cela va être bien propre à l’intérieur “. Elle sourit sans répondre. Elle avait les yeux à demi fermés et profitait visiblement intensément du moment.C’est longuement que je la ramonais ainsi. Sur le point d’éjaculer, n’ayant pas envie de lui faire un enfant !!!, je retirai ma queue et lui dis : ” Regardez, cela va sortir !!! “. Je jouis de nouveau sur elle, inondant bien les poils de sa chatte.Elle jouait maintenant avec mon sexe débandé comme avec une peluche d’enfant. Je m’enhardis encore et lui dis, ” Couchez-vous sur le banc, je vais sentir si tout est bien propre “.Elle s’allongea. Je lui ouvris largement les jambes et approchai ma langue de sa chatte. Je dis ” je vais finir le nettoyage avec ma langue “. Je lui fis un splendide cunnilingus, buvant tout le miel qui coulait. Cette religieuse jouissait à répétition, sans même le savoir.Je vis que pendant que je la léchais, elle jouait avec ses tétons bien durcis. Elle commençait à prendre goût au sexe, dirait-on !J’en profitai pour l’enfiler encore une fois avec ma verge bien dure. Ayant compris le fonctionnement, elle avait, cette fois, très fort ouvert les cuisses, elle-même. Epuisés, tous les deux nous nous sommes relevés. Voyant de l’extase au fond des yeux de Soeur MARTHE, j’approchais ma bouche de la sienne et, tout en jouant avec ses seins, je joignis mes lèvres aux siennes et tentai de passer ma langue. Elle ne comprit pas… ce serait pour une autre fois !!Nous nous sommes rhabillés mutuellement, agaçant encore nos corps d’attouchements. La religieuse prenait un plaisir quasi enfantin à décalotter le gland de ma queue. Cela me faisait bander, évidemment.Soudain, avant de passer mon short, je vis Soeur MARTHE se pencher et venir donner un baiser rapide sur le bout de ma verge. C’était délicieux.Lorsqu’elle se releva, je lui dis ” merci ” et tentai encore un baiser profond sur sa bouche. Cette fois je réussis à y faire pénétrer ma langue, mais la sienne resta inerte.Nous nous quittâmes, toujours en nous vouvoyant, sur des mercis réciproques. Les siens étaient pour me remercier de l’avoir rendue contente !!!A demain. La mère supérieure -5-Le lendemain matin, comme tous les autres jours, je travaillais déjà sur mon PC. Lorsque Sœur MARTHE arriva. Elle ne canlı bahis venait généralement pas avant 10.00, retenue par les offices religieux et les autres obligations de sa congrégation.Elle était habillée comme d’habitude, en jupe mi-longue bleue, veste de tailleur bleue d’un modèle assez ancien avec une croix d’or discrète à la boutonnière et d’un chemisier en lin. Ses cheveux étaient recouverts par un voile-foulard bleu aussi. Tout cela était très strict et ne laissait aucunement présumer des trésors du corps ainsi dissimulé ni des plaisirs inconnus de la chair qui taraudaient la religieuse. Seul moi je connaissais tous les secrets de son corps. Je les avais éveillés à une jouissance encore inconnue auparavant.Très vite Sœur MARTHE vint vers moi et, spontanément, mit ses lèvres sur les miennes, sans plus. Je m’amusais, à petits coups de langue, à lui faire ouvrir la bouche pour y pénétrer. J’y parvins facilement et, de ma langue, j’animais la sienne qui, prit bien vite le rythme de la mienne. Ce fut un véritable baiser.Pendant ce temps, ma main s’était égarée sous sa jupe et fourrageait entre ses jambes, pénétrant dans sa chatte maintenant libérée de son hymen, titillant son cul qui vibrait sous mon doigt. Son miel liquide coulait le long de mes doigts.Elle se pencha vers mon oreille et me dit ” N’essayez-vous pas de devenir mon petit-ami et de me faire faire des choses défendues ?? Ce ne serait pas bien, car je vous fais confiance. ” Je la détrompai et affirma que nous ce que nous faisions n’était que naturel, sans vice ni péché. Son corps devait être utilisé pour ce que la nature l’avait conçu et ce n’était pas mal faire que d’en profiter, surtout si cela lui était agréable.Il est évident que caresser ainsi une religieuse en habit et pleine de naïveté avait un effet immédiat sur ma verge et que celle-ci était perpétuellement dressée dès que Sœur MARTHE apparaissait. Quel agréable job de vacances et payé en plus !!.Fin de matinée, elle m’appela pour me montrer un livre de compte. J’étais debout à sa droite. Compte tenu de ma taille, mon bassin était à peu près à hauteur de son visage, ainsi évidemment que ma queue. Comme je bandais, mon pantalon était tendu et cela ne pouvait lui échapper.Elle regarda et dit : ” Tiens, mon garçon, cela semble gonflé ! ” Je lui demandai si elle voulait voir et sur sa réponse affirmative, je sortis mon sexe et mes testicules de mon caleçon. Mes attributs étaient ainsi quasi à hauteur de sa bouche. Comme elle en avait pris l’habitude, elle jouait avec mon gland, le décapuchonnant. C’était presque une masturbation inconsciente !. Comme la veille elle donna un petit bisou sur le bout de ma verge ! Je crus éjaculer dans sa figure !!!!Je lui dit : ” Sœur MARTHE, ne pourriez vous pas nettoyer complètement cet engin, comme je l’ai fait hier pour vous ? ” Elle ouvrit la bouche pour me répondre et j’en profitai pour lui enfourner ma verge dans la bouche. Elle suffoqua un instant mais ne repoussa pas mon introduction. Me voilà avec mon sexe enfoncé dans sa bouche. Cette religieuse, les cheveux recouverts de sa coiffe bleue, cachant ses cheveux, en train de me sucer, c’était puissamment érotique. Je bougeais mon bassin pour lui montrer ce que je souhaitais et compris qu’au plus profond d’elle-même elle avait retrouvé l’atavisme des grandes jouisseuses car, avec douceur, elle se mit à parcourir toute ma queue de sa langue devenue habile, la reprenant tout entière dans sa bouche, la sortant pour la lécher etc..A un certain moment, je n’y tint plus et je retirai vivement mon sexe de sa bouche et je jouis, à longs et abondants jets, dans sa figure, giclant sur sa coiffe et ses lunettes.Sans que je n’ai rien demandé, elle me nettoya avec sa langue, tournant bien autour du prépuce et n’oubliant pas mes testicules au passage.Elle me dit ” Je vois que vous avez été content. Je suis heureuse d’avoir pu vous contenter puisque vous faites de même avec moi. “Une telle innocence était bouleversante.Je me levai et pris Sœur MARTHE par la taille et l’assis sur son bureau, repoussant au passage les livres et oeuvres pieuses qui le recouvrait.Je relevai sa jupe. Elle comprit mes desseins et ouvrit bien ses cuisses. Une odeur de jouissance remontait jusqu’à moi. Pendant nos caresses, cette femme avait dû jouir plus d’une fois.Sans tergiverser, je lui écartai la culotte et poussait ma verge bien au fond d’elle ; Elle poussait des petits couinements de femme heureuse et ne cessait de proférer des ” Mon Dieu, Seigneur que c’est bon. Merci de me permettre cela. Je le fais pour Vous “.Qu’elle le fasse pour n’importe qui, cela je m’en moquais, c’était ma seule queue qui était en elle et qui nous procurait du plaisir. Cette fois, c’est au plus profond de sa chatte que je jouis. Je vis qu’elle se mordait les lèvres pour ne pas crier ? nous étions arrivés ensemble à la jouissance.Elle était ainsi couchée sur son bureau de Mère Supérieure, la jupe d’uniforme relevée sur ses cuisses, la chatte quasi au vent par l’échancrure de sa culotte, les jambes largement ouvertes, avec un gamin, moi en l’occurrence, en train de l’enfiler…Elle en redemandait et je ne demandais que cela !!!Après lui avoir fait prendre plusieurs fois son pied j’approchai, à nouveau, ma bouche de la sienne et, cette fois, ce fut un véritable baiser brûlant que nous avons échangé. Ce fut long et torride. J’en profitai pour caresser sa volumineuse poitrine. Elle avait mon sexe en main et ne le lâchait pas.Cette femme, après des années d’éteignoir, était devenue heureuse et, sans rien abandonner de sa foi ni de ses règles ecclésiastiques, elle bahis siteleri profitait pleinement de ce que son corps pouvait lui donner.Lorsque nous nous étions rhabillés et rendus plus correct, elle me dit : ” Vous savez, mon garçon, j’ai bien réfléchi à ce que nous faisons, et cela n’est pas bien ! ” Aïe, je me dis, on est mal parti !. En effet, continua-t-elle, c’est très égoïste que moi, la supérieure de ce couvent, soit la seule à ainsi profiter de choses que mes sœurs ignorent et dont elles devraient aussi profiter. Voilà, il faudrait partager !!!!Vous savez, me dit-elle, il n’y a ici encore que trois sœurs très valides qui, chaque jour prennent leur douches. Les autres sont trop vieilles et procèdent à leurs ablutions dans leur chambre.Comme elles prennent toutes leur douche à la même heure, je vous propose de nous y rejoindre. J’expliquerai le pourquoi à mes sœurs.Rendez-vous fut pris pour le même soir, vers 18.00, avant les offices auxquels les religieuses se rendaient.A ce soir donc..La mère supérieure -6-Le soir venu, je me suis rendu, comme convenu, à la salle de douche. Les trois sœurs y étaient déjà avec leur supérieure, Sœur MARTHE.Celle-ci était justement en train d’expliquer aux autres religieuses que leur ordre, dans sa grande sagesse, avait interdit aux religieuses de se livrer nues à des ablutions, cela dans le but de ne pas susciter des mauvaises pensées ou des actions impures. Soeur MARTHE leur dit que cette interdiction datait déjà de plus d’un siècle et qu’actuellement tout avait changé et que l’hygiène avait beaucoup évolué. Elle apprit à ses consœurs qu’elle-même venait d’apprendre que certaines parties du corps devaient faire l’objet d’un nettoyage très complet et que l’homme disposait d’un engin pour ce faire.Comme je venais d’entrer, elle me présenta et dit que c’était grâce à moi qu’elle avait fait cette découverte. Comme supérieure de la congrégation elle ne voulait pas être égoïste et désirait communiquer son information aux autres religieuses ! Ces dernières, attentives aux paroles de la Supérieure, me jetaient des regards furtifs ; Sœur MARTHE annonça que chacune allait se déshabiller complètement et rentrerait dans une cabine de douche où je les rejoindrais à tour de rôle.Une des sœurs demanda si ce n’était pas pêcher que de se dévêtir ainsi devant d’autres et surtout devant un jeune homme. Soeur MARTHE répondit par la négative, ajoutant que tout était fait dans un parfait souci d’hygiène et de contentement du corps.Les sœurs se mirent à se déshabiller, toutes ayant sous leur robe le même type de soutien gorge sans grande forme et de large culotte.Il y avait là Soeur GERTRUDE qui, nue avait conservé sa coiffe ! Elle devait avoir +- 60 ans et était bien en chair. Elle s’occupait d’ailleurs de la cuisine. Elle était assez petite mais avait de gros seins qui coulaient le long de sa poitrine, avec de gros bouts dirigés vers le bas. Sa toison n’était presque pas visible dans les replis de son ventre plein de bourrelets. Lorsqu’elle se retournait, elle montrait une belle paire de fesses, ma foi, encore assez dures. Elle ne montrait pas de gène, dévoilant son corps sans autre pudeur. C’était une bonne grosse qui, en plus, était très gentille et sans façon.Soeur ASTRID était le contraste. Elle était très grande et devait faire +- 40 ans. Elle avait enlevé sa coiffe et avait une chevelure courte et noire, très drue. Sa poitrine était minuscule, du genre oeufs sur le plat, mais avec de très larges aréoles brunes et des tétons foncés et déjà très durs. Sa toison était peu abondante et on y devinait à travers les lèvres de sa chatte et, pourquoi pas, un clitoris qui pointait dehors comme un petit sexe. Elle était bien faite, avec un bassin large, mais avait l’air revêche et, c’était visiblement à contrecœur qu’elle de dévêtait ainsi devant tout le monde.La dernière était Soeur THERESE, qui était Soeur prieure et bras droit de Soeur MARTHE. C’était une robuste fille de la campagne dans la cinquantaine. Elle était bâtie comme un solide bûcheron. Sa poitrine tenait la ligne malgré son âge et aurait fait envie à plus d’une minette. Elle était ample et avait deux boutons très largement dimensionnés, de la taille presque d’un bout de pouce. Son ventre était plat. Ses cheveux blonds, légèrement grisonnants, pendaient sur ses épaules. Quant à sa chatte, elle était somptueusement revêtue d’une toison blonde et soyeuse qui appelait les caresses. Les poils en étaient longs et pendaient entre ses jambes, ce qui donnait un spectacle du plus bel effet érotique. Lorsqu’elle se retourna, je vis entre ses fesses dures sortir la continuation de sa toison jusqu’au haut de sa raie fessière. Comme cela devait être bon à lécher !!! C’était vraiment la plus belle et la plus saine de tous, à part Soeur MARTHE qui avait de la classe en plus. Je m’étais mis nu et circulais entre ces quatre femelles nues dont les regards étaient abaissés, non pas par pudeur ou pour la prière, mais bien pour voir mon sexe. Celui-ci, sans contact mais sous les regards, se dressait comme un serpent et atteignit vite sa taille maximum.J’entendis des ” Oh et des ah. des : comme c’est gros.. C’est bizarre.. etc.Soeur MARTHE interrompit ce début de récréation et dit : ” Allons, mes sœurs, ce n’est pas l’heure de l’amusement.. Allez vite dans votre douche.. “Les trois religieuses dans leur cabine, Soeur MARTHE s’approcha de moi et, fière de sa nouvelle expérience, elle me fit un long baiser sur la bouche tout en faisant ballotter mon sexe sous ses doigts mutins ; Elle me dit : ” Merci déjà de ce que vous ferez pour mes sœurs ” !!Je bahis şirketleri rentrai dans la première cabine, celle de Soeur THERESE, elle était déjà enduite de savon et ne refusa pas mon aide lorsque je parcourus tout son corps. Sa chatte était vraiment voluptueuse à caresser et je ne me privais pas de jouer avec les longs poils, découvrant ses lèvres roses. J’y introduis deux doigts et pus y aller assez profondément sans rencontrer de résistance : Elle n’était plus vierge !!!! Voyant bien ce que je cherchais là ; elle me glissa à l’oreille : ” N’en dites rien à Soeur MARTHE, mais il y a cinq ans d’ici, je me suis laissée séduire par un jeune étudiant, qui comme vous était venu pour les vacances chez nous. Il était beau et j’ai cédé. Je m’en suis bien repentie depuis et l’Eglise m’a pardonné “. Au moins, celle là savait de quoi elle parlait et n’était pas une innocente comme Soeur MARTHE.J’en profitai pour bien la masturber puisque je ne devais pas faire semblant de la nettoyer !!! Elle jouit très vite dans mes doigts et me passa un patin qui témoignait qu’avec mon prédécesseur cela n’avait pas été une seule fois qu’elle avait fauté.Je passai vite dans la cabine suivante, celle où se trouvait Soeur GERTRUDE, toute boudinée dans ses graisses et bourrelets. Elle était pour moi la moins attirante sexuellement de toutes, mais j’entrepris cependant de laver son anus. Elle se trémoussait sous mes doigts comme si je la chatouillais. Cela lui plaisait. Je trouvai sa chatte dans les replis de son ventre et, y pénétrant, je fus vite arrêté. Avec ses 60 ans son hymen s’était durci et ne permettait pas le passage. Je lui conseillais de faire un bon shampoing de sa chatte et lui montrai comment bien nettoyer l’intérieur avec ses doigts.. J’espérais qu’elle jouirait comme cela toute seule.Restait Sœur ASTRID que je rejoignis. Bien que mince, c’était vraiment une belle femme et son absence de seins lui donnait un aspect androgyne assez bandant. Elle m’avait attendu pour se savonner et c’est tout son corps que je dus parcourir. Arrivé à ses fesses, à ma grande surprise, elle les écarta de ses deux mains pour bien m’ouvrir le passage. Je sentis son cul, tout palpitant, bien ouvert et attendant mon doigt. Elle me dit : ” Ne fais pas semblant de me nettoyer comme tu le dis à cette conne de mère supérieure : Encule-moi bien profond et inonde-moi. ” Je n’en revenais pas !! Aussitôt demandé, aussitôt fait, je lui enfouis mon sexe dur dans le cul. Elle savait y faire et elle ondulait du bassin comme une garce, tout en se caressant l’entre jambes. Comme elle me l’avait demandé, je lui lançai tout mon sperme dans les entrailles, en longs jets saccadés. Je crus qu’elle allait rugir de plaisir mais su se retenir. Elle me raconta qu’elle se masturbait tous les soirs et s’enfilait un gode dans l’anus. Elle savait qu’elle fautait mais s’en fichait complètement ayant choisi la vie monastique par simple paresse et facilité. De temps en temps, quand le jardinier venait avec son aide travailler au potager, elle appelait le petit dans la remise, retroussait sa robe et se faisait prendre en levrette, bien dans le cul. Le jeune jardinier adorait cela aussi.Drôle de vie monastique !!!Cela fait, les nonnes ressortirent de la douche et, toujours nues, se mirent à s’essuyer. Je vis Soeur MARTHE passer de l’une à l’autre, tâtant un cul par ici, une chatte par-là pour vérifier la propreté. La salope prenait certainement son pied à toucher ses sœursElle dit : ” Voilà, mes sœurs, vous avez vu comme tout cela est agréable. J’ai décidé que, dorénavant, nous prendrions notre douche toutes ensembles. Nous pourrons y réciter oraisons et vérifier notre propreté intime. Nous serons ainsi certainement la plus propre congrégation. Nous n’aurons pas toujours à notre disposition l’objet de notre étudiant. Nous devrons donc, nous même nous inspecter.”. Cela promettait comme bacchanale de Lesbos !!!! Ces nonnes savaient y faire lorsqu’on les avait éveillées…La mère Supérieure continua en disant : ” Nous devons cependant profiter encore de la gentillesse et de l’expérience de notre jeune étudiant. S’il veut bien, je vais lui demander de vérifier la propreté arrière de Soeur GERTRUDE et ma propre propreté avant. Vous verrez comment il fait et avec quelle douceur. “.Ces religieuses, encore nues, écoutaient respectueusement le message de leur supérieure.Sœur GERTRUDE s’approcha de moi et, se courbant, elle me montra un fessier gigantesque. Je lui ouvris les fesses. Je n’avais vraiment pas envie de m’y introduire. Cependant, je glissai un doigt dans ce fourreau qui me semblait bien large. Elle tressautait sous l’introduction de mon doigt et ses grosses mamelles gigotaient sous elle comme deux calebasses à moitié vides. Je ne m’y attardai pas. Je fis semblant de sentir mon doigt et déclarai péremptoirement que c’était propre.Sœur MARTHE s’était déjà allongée sur un banc et avait largement ouvert ses belles cuisses. Pour m’aider, elle s’aidait même de ses doigts pour ouvrir sa chatte bien béante. Je m’y engouffrai et menai un train d’enfer (c’est le cas de le dire !!!!) jusqu’à ce que je l’ai sentie jouir sous moi.Les autres religieuses regardaient et je vis bien des mains caresser furtivement qui un sein qui une chatte..Soeur MARTHE se redressa et enjoignit à Soeur GERTRUDE de me nettoyer le sexe. Elle ne se fit pas prier et utilisa sa langue avec habileté.Soeur MARTHE termina la séance en disant : ” Voilà mes sœurs, la douche est terminée. Rendez-vous dans 15 mn à la chapelle pour les prières vespérales “. Elle me retint près d’elle et, lorsque nous furent seuls, elle me fit un très long et doux baiser, mélangeant bien sa langue à la mienne. Je lui caressais l’entre cuisse et constatai, avec contentement, qu’elle avait, à nouveau, joui.Elle me dit merci au nom de la congrégation !!!!!!!!

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