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Val offerte à un amiVal et moi décidons d’ inviter un couple d’amis, à l’improviste, à manger un soir chez nous. Ça fait un moment qu’on ne les a pas vu et on passe toujours des bons moments ensemble. Nath est crevée mais Olivier accepte de passer boire un verre sans elle. Arrivé à la maison je lui ouvre et on discute vite fait de nos journées. Rapidement il demande si Val est là. Elle lui répond que oui, d’une voix lointaine, elle est à l’étage. Puis lui demande de venir, elle a quelques choses pour lui. Étonné, voir suspicieux, il me regarde. D’un air toi aussi étonné je lui indique l’escalier. Il monte d’un pas hésitant, je le précède. Arrivés sur le palier, la porte de la chambre grande ouverte nous apercevons Val sur le lit en nuisette, bas et les mains attachées. Elle lui lance un bonjour gêné. Ses jambes se frottant l’une contre l’autre comme pour cacher son sexe épilé. Il lui répond en begaillant un bonsoir et la matte les yeux ébahis. Notre surprise à l’air de faire son effet. Elle le regarde et lance d’une voix douce “profites de moi, je ne peux rien faire”.Je lui mets une tape sur l’épaule qui le fait entrer dans la chambre. Il reprend ses esprits et s’installe au bout du lit, ses mains commencent directement sur le ventre de Val. Il remonte sa nuisette en dentelle transparente pour bien vers son entrejambe. Ses mains allant jusqu’à ses seins. Il les prend bien en main, vu ses gros seins il a de quoi faire. Les tétons de Val sont dressés à travers sa nuisette. Puis ses mains redescendent güvenilir bahis pour caresser ses jambes jusqu’à la limite de ses bas noirs. Elle réagit en écartant les cuisses, lui laissant voir ses lèvres, encore fermées. Je le regarde, debout, ma main dans le caleçon. Il continue les caresses plus haut, effleurant son sexe.. elle se tortille, ses poignets attachés en haut du lit, sa tête entre ses bras et ses cuisses grandes ouvertes. Elle le supplie de la doigter. Il s’exécute immédiatement en lui insérant son index. Il se prend au jeu et lui dis “je vais faire ce que je veux de toi..” Elle gémit un oui, avec son doigt en elle qui va et vient dans son vagin, pour ressortir bien humide et caresser son clito. Ses lèvres sont maintenant ouvertes, son clitoris gonflé est apparent, la mouille coule entre ses jambes, jusqu’à arriver sur son anus.. Il enlève brusquement son pantalon, tire sur son bassin pour la mettre bien au bord du lit. Ses bras liés sont tendus. Elle ne peut pas bouger. Il prend ses chevilles si douce avec les bas et les places sur ses épaules. Les jambes de Val sont collées au torse quasi imberbe d’Olivier.Il frotte son gland à l’entrée humide et chaude de sa vulve, le bassin de Val ondule. Puis d’un grand coup il la pénètres sans prévenir. Elle crie de plaisir, se tournant la tête dans ses bras attachés. Il entre en elle le plus profondément possible, en se cambrant pour lui mettre le maximum de sa queue bien dure et large en elle. Puis il commence des aller retour türkçe bahis lents mais bien appuyés. A chaque coup, il voit ses seins bouger. Ses mains sur les cuisses en nylon collées à lui, il accélère le rythme. Elle soupire des “oui, vas-y” à chaque fois.. J’ai maintenant sorti ma queue en érection et me branle en profitant du spectacle.Ses va et vient font le bruit de fessées tellement il y va fort, et il ne tarde pas à sentir son orgasme arrivé. Il ralentit de peur que ça n’arrive trop vite. Mais elle s’en rend compte et réclame qu’il jouisse. “Je veux ton sperme sur moi, sur tout son corps..” A ces mots, ses mouvements deviennent rapides, son gland s’en la chaleur et l’humidité de sa chatte glisser dessus.. Val encaisse et suit le rythme effréné. Quand vient son premier spasme il sort de son vagin pour éjaculer sur elle. Elle le regarde, la queue dans la main. Les giclées atterrissent sur son corps, son ventre, jusqu’à ses seins,m. Il aperçoit la langue de Val sorti, la bouche grande ouverte, tourner dans le vide et comprend qu’elle veut sa queue. Après plusieurs saccades de sperme. Il lui accorde de sucer son pénis encore jouissant. Il l’a chevauche, se penche vers son visage et présente sa queue à sa bouche, elle lèche les gouttes de sperme qu’il reste, avant de gober simplement le gland encore gonflé d’Olivier.Je ne peux m’empêcher de profiter de la chatte humide et encore ouverte de ma femme. Olivier est toujours à califourchon, une jambe de chaque côté d’elle au niveau de ses seins. Elle güvenilir bahis siteleri tient toujours son sexe dans sa bouche. Je prends la même position que lui avant, place ses jambes contre moi et glisse ma queue durcit par la scène précédente en elle, surprise elle recrache le sexe qu’elle avait et crie. Olivier se retourne et me voit commencer à la pénétrer. Il descend du lit, le pénis ramolit. Mes coups de bassins sont amortis sur les fesses bien rebondies de Val. Mes mains agrippées sur ses cuisses.. Je décide de la mettre en levrette, en la retournant par les hanches, son cul bien en arrière, bien cambré. J’aperçois toute la mouille qu’Olivier a fait couler, jusqu’à son anus. Je suis debout au bord du lit et je commence à glisser mon gland dans son petit cul. Elle me supplie d’y aller doucement. Je ne veux pas lui faire mal et lui accorde de la douceur. Mon gland entre facilement en elle, je l’entend gémir à chaque centimètre de ma queue en elle. Son cul est serré, mon pénis est comprimé, mon gland ressent tout ce qu’il y a en elle.. Et je sens que je ne vais pas tarder à jouir. Je ressors doucement, et commence des aller retours juste avec mon gland, je sens son anus s’ouvrir et se fermer dessus. Je la préviens que je vais la remplir de sperme elle soupire un oui. Ça y est, j’entre en elle plus profondément que les pénétrations précédentes et éjacule. Mon pénis se contracte à chaque giclée. Val les ressent et son bassin bouge au même rythme. Elle se met a bouger frénétiquement et jouit à son tour. Spasmes et cris sont impressionnants, Olivier qui nous regarde est subjugué. Mon gland est quasiment éjecter par les contractions de son anus qui recrache rapidement du sperme. Le tout dégouline sur sa chatte

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Ich, mein Mann und mein Jüngster 1

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Ich, mein Mann und mein Jüngster 1Ich, mein Mann und mein Jüngster (Roman in sechs Teilen)© [email protected] Teil 1Mein Sohn Jan, 18 Jahre alt, war in den letzten drei Jahren in einem Internat und nachdem er das Abitur bestanden hatte, zog er wieder bei uns ein, dies war vor 2 Monaten und so langsam gewöhnte er sich wieder an das Familienleben mit seinen Eltern, sein Vater Karl 41 Jahre alt und natürlich ich, seine Mutter Monika, die knapp zwei Jahre jünger war als sein Vater.Jan, unser Sohn, machte eine Ausbildung zum Koch, fand aber bis heute in der kurzen Zeit keinen so rechten Anschluss unter seinesgleichen und war deshalb sehr viel zu Hause.Mein Mann Karl arbeitete als Steward auf einem großen Kreuzfahrtschiff im Mittelmeer und betreute dort die Gäste, damit sie sich auf dem Schiff wohl fühlten.Durch seine Arbeitszeit war er immer 3 bis 4 Wochen am Stück auf See und danach für etwa zwei Wochen am Stück zu Hause, was bei uns in den jüngeren Jahren oft zu Problemen und Eifersuchterleyen führte, aber mit der Zeit rafften wir uns beide zusammen und vertrauten untereinander, deshalb lief unsere Ehe harmonisch, na ja die Durststrecke zwischen zwei Freigängen waren echt anstrengend und ich denke mal, da hatte jeder so seine Möglichkeit, dies zu entschärfen, jeder auf seine Art, aber am schönsten, waren immer die ersten Nächte, wo wir uns beiden im Bett ausgiebig beschäftigten und uns zärtlich und auch Hemmungslos meistens die ganze Nacht liebten, wenn wir wie zwei hungrige Tiere übereinander her fielen.Ich hoffte natürlich das mein Mann auf dem Schiff nicht bei dem allein reisenden weiblichen Passagieren schwach wurde, aber ich vertraute ihm und freute mich schon auf das nächste Wiedersehen in drei Tagen.Heute war wieder so ein schrecklich heißer Tag, der Thermometer stieg auf über 30 Grad und wir hatten hier eine sehr hohe Luftfeuchtigkeit und ich wusste, das heute Nacht bestimmt noch ein Gewitter mit dem erlösenden Regen über Stuttgart hinweg ziehen würde.„Hi Mama“, brachte mich mein Sohn wieder zurück in die Gegenwart, „ hast du nicht Lust mit mir zum Feuersee zu gehen und ein bisschen zu klönen“, fragte er mich und ich nickte begeistert, so kam ich mal wieder auf andere Gedanken und sagte zu ihm nur, „ gib mir zehn Minuten mein Schatz“ und lief aus dem Wohnzimmer hinaus zum Schlafzimmer um mich umzuziehen, denn so verpackt konnte ich schlecht raus gehen, da war jede Bewegung tödlich.Ich entschloss mich eine luftige spanische Bolerobluse anzuziehen, wurde aber unschlüssig, denn darunter konnte ich nicht einen BH anziehen um meine voluminösen Brüste zu verpacken, nach einigen Hin und Her, beschloss ich einfach eine Büstenhebe anzuziehen, die meinen Busen zu 2/3 frei ließen und nur meine Brüste anhob, dann zog ich meine Bolerobluse über und drehte mich im Spiegel, dann lief ich zu meinen Schuhschrank und holte mir ein paar passende High – Heels dazu und zog sie mir an.Dann lief ich wieder zurück zum Schminktisch und blickte in den Spiegel und erschrak….., so konnte ich auf keinen Fall meinen Sohn unter die Augen treten, denn ich bemerkte, das meine Brüste in der Büstenhebe beim Gehen, auf- und ab wippten, aber ich wurde neugierig und wollte bei den anderen Passanten meinen Marktwerk testen, ob die Herren noch auf mein Dekollete anspringen würden und gleichzeitig fand ich es zu übertrieben, meinen Sohn so unter die Augen zu treten, deshalb beschloss ich einen anderen BH anzuziehen, ich wollte gerade meine Bluse wieder über den Kopf ziehen, da meldete sich mein Sohn von der anderen Seite der Türe, „ Mensch Mama, bist du endlich fertig, wenn du weiter so trödelst, dann brauchen wir nicht zum Feuersee gehen, da ist heute Tanz…..,komm mach…“„Einen Moment mein Schatz, ich muss mir noch was anderes anziehen“, versuchte ich ihn zu bändigen und in diesem Moment ging die Türe auf und Jan spickte hinein, „ wieso Mama, du siehst doch fantastisch aus in diesem Outfit“, versuchte er mich zum aufbrechen zu bewegen.„Meinst du, das ich so unters Volk kann“, fragte ich ihn und als er nickte, gab ich mich nun endlich geschlagen und wir liefen los zur S-Bahn. „Wow Mama, so wie du aussiehst, brauchst du dringend einen Leibwächter“ und ich hakte mich lächelnd in seinen Arm ein und sagte nur „ du Schelm“ und kamen an der Station an.Während des zehn Minuten Fußmarsch bemerkte ich die Blicke meines Sohnes, wie er immer öfters auf meine wippenden Brüste starrte und schmunzelnd dachte ich, wenn Jan nicht mein Sohn wäre und ich vielleicht seine Freundin oder Geliebte, dann würde er bestimmt über mich herfallen…., oh Mann was für ein Gedanke, das kommt davon wenn man schon fast vier Wochen Liebesentzug hat, da musste man auf solche Gedanken kommen, aber der Trost war, das die entgegen kommenden männlichen Passanten mir auch auf meine Brüste starrten, als ich an ihnen mit meinen Sohn vorbei lief, oh Mann wieder dieser Gedanke….., jetzt wird es langsam Zeit, das mein Mann nach Hause kommt und meinen Liebesentzug stillt, dachte ich.Nach einer kurzen Fahrt mit der S-Bahn, erreichten wir den Feuersee im Herzen von Stuttgart und schlenderten in der lauen Sommernacht um den See.Ich bemerkte, wie mein Sohn mich von der Seite her anstarrte und sagte zu ihm, „ selbst schuld Sohnemann, du hast ja deine Mutter nicht die Chance gegeben, diese Situation zu entschärfen und zeigte auf meine im gehen wippenden Brüste.Jan wurde rot und flüsterte, „ Mensch Mama, du siehst in dem Outfit unheimlich Sexy aus“ und ich bedankte mich artig mit einem kleinen Kuss auf seine Wange für sein Kompliment, dabei blieb es auch nicht aus, das ich aus versehen mit meinen Busen seinen Oberkörper leicht touchierte, was bei ihm ein angenehmes Gefühl in seiner Leistengegend aus löste und er sich dabei auch gleichzeitig schämte, einen solchen schmutzigen Gedanken bei seiner Mutter überhaupt nur aufkommen zu lassen.Nun ja, ich sah in seinen Augen wirklich Sexy aus, das wusste ich auch von meinen Mann, denn dieses Outfit hatte ich auch schon vor ein paar Monaten an und es flog in der Nacht auch in die nächste Ecke, als ich mich beim Striptease vor ihm auszog und wir uns dann danach hemmungslos liebten, nun hatte ich es heute unbewusst für meinen Sohn angezogen.Jan und ich redeten über Gott und die Welt und ergötzten uns auf der Freiluftparty.„Der Moderator auf der Bühne sagte ins Mikrofon „ so liebe Besucher, nun ein sehr langsames Stück zum Tanzen, ich hab Sie hier, die ganz lange Version von Richard Sanderson mit Reality, die geht immerhin über 6 Minuten, es ist Schmusetime angesagt“ und er zeigte die Vinylplatte und legte Sie auf und schon trällerte er los, mein Lieblingssänger.Ein Mann in meinen Alter, den ich schon eine weile beobachtet hatte, kam her und forderte mich vor meinen Sohn zum Tanzen auf, aber mein Sohn mischte sich ein, „ sorry der Herr, aber mit meiner Freundin tanze ich jetzt selbst“ und der Typ starrte erst mich, dann meinen Sohn an, und er dachte sich bestimmt seinen Teil, „ komm Schatz ein bisschen Bewegung tut uns beiden Gut, muss ja nicht immer im Bett sein“, sagte mein Sohn, so das der Typ es hörte und er zog frustriert wieder ab.„Sag mal Sohnemann, geht’s noch, du kannst mich ja nicht als deine Freundin vorstellen und dann dem Typen noch unter die Nase binden das wir unsere Kalorien im Bett abnehmen, was soll den der Fremde von uns denken…..“, und ich lächelte Jan an, „ komm, wenn du mir schon einen Kerl ausspannst, dann musst du auch dein Versprechen halten und mit mir tanzen“, damit zog ich meinen Sohn hoch und wir liefen auf die Tanzfläche und ich schmiegte mich an meinen Sohn und wir tanzten zusammen mit dem Schmusesong.„Mama“, flüsterte er mir ins Ohr, „ wolltest du von dem Kerl vielleicht mehr, ich hab gedacht, wenn er mit dir tanzt, und dich fühlt, das er womöglich dich noch auf der Tanzfläche vernascht“ sagte Jan und ich drückte mich mit meinen Körper enger an ihn und er spürte beim tanzen zum ersten mal meine harten Nippel an seinen Oberkörper und bekam etwas sehr hartes in der Hose.Fast am Ende des Titels streichelte mir Jan mehrmals über meinen Rücken und fragte mich auf einmal, „ sag mal Mama, ist dein BH verrutscht, hinten spüre ich den Verschluss an der Rückseite und vorne deinen blanken Busen durch deine Bluse“ und er drückte sich an mich.„Ja Sohnemann, das ist eine Büstenhebe, die hebt nur am Rand meines Busens meine Brüste an und der Rest meines Busen liegt frei in dem Körbchen“, versuchte ich meinen Sohn die Situation zu erklären und wir tanzten den Titel zu ende.Der nächste Song war ein bisschen schneller und mein Sohn starrte mir unentwegt auf meine durch das tanzen auf und ab wippenden Busenfleisch und ich bemerkte, das ich sehr viele Neider unter den männlichen Gästen der Party hatte, einen Cent für den Gedanken der Gäste und ich würde reich von der Veranstaltung gehen.Wir liefen wieder zurück zum Tisch und Jan setzte sich mir gegenüber und wir klönten weiter über verschiedene Themen und das Wetter.„Du Jan, kannst du mir einen gefallen tun“, fragte ich meinen Sohn nach einer Weile.„Ja Mama, welchen“.„Am Samstag kommt Karl wieder zurück, könntest du von Samstagmittag bis Sonntagabend bei deinem Freund Peter übernachten“ und ich schaute meinen Sohn liebevoll an und drückte seine Hände, „ach so ich weiß, Papa kommt nach Hause und da möchtest du mit ihm die Nacht alleine sein….., kein Problem Mama, ich lass euch beide alleine, damit ihr euch austoben könnt“ sagte er und lächelte frech in sich hinein.„Danke mein Schatz, ich zeig mich mal auch wieder erkenntlich“, sagte ich zu ihm und zog seinen Kopf an seinen Kinn zu mir rüber und gab meinen Sohn einen Kuss auf den Mund und canlı bahis şirketleri beim beenden des Kusses, wie er in mein Dekollete starrte und ich flüsterte, „ tzzz, tzzz, Sohneman, für dich sind meine Augen hier oben und nicht hier unten“ und zeigte erst einmal nach oben und schüttelte meinen Kopf, als ich auf meine Brüste zeigte unter dem Tisch hatte mein Sohn mächtig mit seiner Beule zu kämpfen, er hatte sich schon öfters mich in einer verfänglichen Situation vorgestellt und von dem jetzigen Moment an, wuchs seine Gier auf mich und meinen Körper von Sekunde zu Sekunde.Auf einmal fing es an, erst ein paar Tropfen…., und ehe wir uns versahen, erwischte uns ein Platzregen und wir wurden von Kopf bis Fuß eingenässt.Schnell liefen wir wieder zurück nach Hause, denn die letzte S-Bahn war schon weg und dieser duftende Regen beschenkte uns irgendwelche Glückshormone, das wir spontan beschlossen zu Fuß nach Hause zu laufen und das Taxigeld zu sparen.Jan blieb es nicht verborgen, dass durch den Platzregen am See, meine Bolerobluse völlig durchnässt war und man die Konturen meiner weißen Büstenhebe sehen konnte, der meinen großen Busen in dem Bolerotop bändigte.Ich bemerkte Jans gierige Blicke auf meinen Körper und im Nachhinein, kam mir der Gedanke auf, das er, wo er neben mir her lief, dass er bestimmt mit einer mächtigen Beule in seiner Hose zu kämpfen hatte.Jan konnte sich nicht erinnern, dass er sich im bei sein von mir, sich jemals mit mir über Sex unterhalten hatte und doch war das genau das, wonach er sich seit Jahren schon so gesehnt hatte, ein bisschen ausbrechen aus dem Alltag, vielleicht ein Abenteuer erleben, dabei etwas Prickelndes erleben, auch wenn es zwischen Jan und mir nur harmloses Quatschen war, dies war der erotischste Augenblick seit langem, für ihn.Ich fragte Jan einfach mal frech heraus, „ sag mal Sohnemann, das hört sich alles so an, als hättest du noch nie….“ Und hakte mich in seinen Arm ein.Jan wurde unsicher und fragte zurück, „ was Mama, was hab ich noch nie?“, auch er konnte sich dumm stellen. “Na mit einem Mädchen in deinem Alter, oder einer Frau geschlafen“.Jan wurde unsicher und man merkte seine Schüchternheit an, „ nee Mama, das hab ich noch nicht erlebt.Mein Sohn war so süß, am liebsten hätte ich ihn geknuddelt, aber jetzt war ein sehr schlechter Zeitpunkt dafür, denn Jan konnte dies ja auch missverstehen, ich schaute ihn an und flüsterte ihm leise zu, „ aber du würdest gerne?“ und ich merkte auch gleichzeitig, das dies eine doofe Frage von mir war.Jan antwortete schüchtern, „ natürlich schon“, es wurde gefährlich und es machte dazu noch so viel Spaß.Jan wurde mutiger und fragte mich auf einmal, „ sag mal Mama, habt ihr denn guten Sex, du und Paps“ und versuchte mich nicht anzuschauen, denn diese Frage brennte ihm sehr auf seinem Fell und er wollte sie los werden, denn er war sehr neugierig auf meine Antwort.Wir liefen immer noch im strömenden Regen den Gehsteig entlang und die Personen die uns entgegen kamen, starrten mich eigenartig an, denn sie hatten ja einiges zu sehen, da der Regen verborgene Blicke freigab.Ich antwortete Jan, „ ja klar und das so oft wie möglich“, nach einiger Zeit.Jan liebte mittlerweile dieses intime Gespräch mit mir, es interessierte meinen Sohn natürlich immer schon, wie es im Bett anderer Leute, die er im Internetzeitalter kannte, zuging, wie oft sie Sex hätten, wie sie es sich besorgten, waren sie dabei laut?, worauf fuhren sie ab.Ich schaute meinen Sohn von der Seite her an, so kannte ich Jan gar nicht und setzte den Mut auf seinen Alkoholgenuss zu und wollte ihn frech jetzt testen und sagte zu ihm, „ wenn er da ist, jeden Tag, manchmal sogar mehrmals am Tag, wenn er frei hat und du nicht in der Wohnung bist“.Jan staunte und brachte nur ein „ Wow“ über seine Lippen, „ sag mal ist Papa gut im Bett“.Ich antwortete ihm wahrheitsgemäß, „ er ist klasse. Er kann mit seinem Schwanz gut umgehen, und das weiß er und dein Vater weiß, dass ich auf ihn geil bin, er muss nur seinen Schwanz aus der Hose holen und ich werde geil“.Jan spürte die Erregung in sich wachsen und er staunte, wie ich das Wort „Schwanz“ benutzte, für Jan war ich, als seine Mutter der absolute Wahnsinn.Mittlerweile liefen wir Händchenhalten, wie ein verliebtes Pärchen nebeneinander her und ich schaute gerade aus und sagte zu Jan, „ wenn er heimkommt, zum Beispiel, er kommt heim, schließt hinter sich die Tür und öffnet seine Hose, mich macht das unheimlich an, ich knie mich dann vor ihm hin und nehme ihn in den Mund“ und lief lächelnd neben meinen Sohn weiter.„Wow , was gleich im Flur“, fragte Jan erstaunt.„Ja. Ich finde es geil, wenn die anderen Mieter an unserer Eingangstüre vorbeigehen während ich ihm einen blase“, sagte ich frech zu ihm, „ dann am besten auf dem flauschigen Wohnzimmerboden in der 69er Stellung“.„Wow“, sagte Jan wieder, er war fassungslos, was hatte er mit dem Fragen und Antwortenspiel ausgelöst und er wunderte sich über mich, das ich ihm seine Fragen so ohne weiteres beantwortete.„Blässt du ihn bis zum Schluss“, fragte mich Jan auf einmal.Ich antwortete Jan mit einem einfachen „ ja“.[Was wurde das jetzt, eine Lehrstunde in Sachen Sex, von der eigenen Mutter…., hey, seine Mutter war 18 Jahre älter wie er, musste sich Jan von mir etwa sagen lassen, wie man Sex macht, er kam sich vor wie ein Teenager], dachte sich Jan, es war ein geiles Gefühl.„Sag mal Mama, magst du es, wenn Karl dich anspritzt“, setzte er sein Frage + Antwortspiel fort und ich schaute ihn an und sagte zu ihm, „ Ja…., ich mag es, wenn er mir auf meinen Bauch und oder meine Brüste spritzt“ und ich wunderte mich schon über mich selbst und riskierte einen frechen Blick auf seiner mächtigen Beule vorne in seiner Jeans, mir machte es langsam Spaß, festzustellen, wie weit ich Jan damit reizen konnte, ich wollte mal sehen, wie weit er ging.Betretene Stille, machte sich breit, er war schon sehr neugierig geworden, sollte er mich jetzt fragen, wollte er mich überhaupt fragen, vor allen wurde er jetzt neugierig und er stellte sich vor, würde seine Mutter so weit gehen, aber würde seine Mutter überhaupt Papa betrügen und das noch mit dem eigenen Sohn, ich war für Jan eine unglaublich erotische Frau, soviel war ebenfalls sicher, was wollte er denn eigentlich?Ich holte ihn aus seinen Gedanken zurück, als ich Jan fragte, „ woran denkst du?“ und ich schaute meinen Sohn an und lächelte.„Oh Mama, ich beneide Euch“, antwortete Jan“Weshalb?“, fragte ich neugierig zurück.Jan blieb stehen und sah mich an, „ weil ihr so frei seid, ihr tut, was ihr wollt. Ihr habt Sex, wann immer ihr wollt, und keiner macht dem Anderen Vorwürfe“.Jan begann zu schwitzen, wie sollte er diese Nacht überstehen, er war unendlich erregt, aber sich auf eine Affäre mit seiner Mutter einlassen…, würde sie das überhaupt wollen, sollte er mich fragen, er traute sich aber nicht.Jan fand es so geil, dass ich ihm von so intimen Dingen erzählte, noch nie hatte Jan ein so derart geiles Gespräch geführt, „ oh Mama, du bist verrückt“, sagte Jan mit einem leichten Kopfschütteln und ich schaute ihn verwundert an und fragte ihn, „ weshalb“.„Na, weil du dich mit deinem eigenen Sohn, der schon Jahrelang Wand an Wand neben dir lebt und alle vier Wochen euren hemmungslosen Sex untereinander anhören muss und du dich mit mir hier und jetzt über deine Sexpraktiken unterhältst….., Mama, so was tut man nicht“. Ich lächelte Jan an und fragte ihn genauso fech zurück, „ aber es macht dich geil, stimmt’s?““Mama, ja, es lässt mich nicht kalt“, gab Jan zu.Ich fragte Jan frei rau, „ bist du jetzt geil?“Jan wurde rot im Gesicht und gab ein kleines und kurzes „Ja“ von sich.Jetzt war es soweit, ich fragte frech, „ du würdest jetzt gerne ficken, stimmt’s…., notfalls jetzt sogar deine Mutter dazu missbrauchen“, fragte ich frech und wieder merkte ich, das ich die Frage eigentlich nicht meinen Sohn stellen sollte und dürfte.„Ich weiß es nicht. Ich darf nicht“, sagte er und schaute mich von der Seite her vorsichtig an und musterte mich gleichzeitig, den der Regen gab mittlerweile einiges von mir Preis.Würdest du es denn machen?“, fragte Jan mich auf einmal.Ich fragte zurück, „ was“.[Oh Mama, wieso fragst du mich immer Dinge, von denen du genau weißt, was ich meinte], dachte er sich, er schluckte kurz und sagte dann, was man nie zur eigenen Mutter sagen würde, „ sag mal Mama, hast du eigentlich noch nie davon geträumt…., also…, äh…, würdest du mit mir Sex machen wollen?“.Ich blieb stehen und schaute Jan an, „ sag mal Jan, geht’s noch, du kannst mir doch nicht diese Frage stellen, ich glaube wir sollten schleunigst dieses Thema hier wechseln, sonst muss ich mich noch im Schlafzimmer einsperren“ und wir liefen weiter.Wieder Stille, damit war diese Sache geklärt.Jan dachte sich, [was war geklärt…., nichts war geklärt…., jetzt wusste seine Mutter, dass er scharf auf mich war, aber war sie es denn auch auf mich, würde sie mit mir Sex haben wollen, er musste es wissen], eine blöde Situation, diese Frau machte ihn wahnsinnig, die letzten hundert Meter zu unserer Wohnung schwiegen wir.Wortlos sperrte ich die Haustüre auf und wir gingen in den dritten Stock in unsere Wohnung. Gleich würde sich herausstellen, wie der Abend weiter ging, würde Jan jetzt die Kontrolle verlieren und über mich herfallen, nun stand Jan genau im Flur an dieser Stelle, wo ich meinen Mann einen geblasen hatte, aber Jan traute sich nicht, den ersten Schritt zu machen, aber er stand da und wartete, dass ich jetzt etwas machte. Ich sah Jan frech an, grinste wieder gemein und fragte „Ist was?“.[oh scheiße, natürlich war was], dachte sich Jan, [ich sollte mich endlich canlı kaçak iddaa an ihn werfen, er sollte mich endlich stürmisch küssen dürfen], stattdessen sagte Jan zu mir, „ nein. Alles ok“. „Gut. Ich gehe dann mal ins Bad…., wo dein Zimmer ist, das weißt du Ja“, sagte ich und blickte ihn lasziv an.Im Bad hörte Jan, dass das Wasser angestellt wurde und ich die Duschkabine öffnete.Seine vollbusige Mutter war nun nackt, sein Puls beschleunigte sich, [die tollste Frau aus dem wilden Süden war nur zwei Meter Luftlinie entfernt nackt in der Dusche, hinter einer nicht verschlossenen Tür], dachte sich Jan und er berührte die Wand, es war nur ein Meter zwischen Jan und mir, er betrachtete die Türe und sah das Schlüsselloch, durch das man gucken konnte.Natürlich tut man so etwas nicht, so etwas ist ungezogen, unanständig, verboten, so etwas gehörte sich einfach nicht, darum schlich er sich an die Türe und berührte sie und ging in die Hocke und blickte vorsichtig hindurch.Jan erkannte die Duschkabine, wir hatten im Bad kein Milchglas, sondern durchsichtiges Glas.„Wow sieht das Geil aus“, flüsterte er leise, durch das beschlagene Glas hindurch konnte er meinen perfekt geformten nackten Frauenkörper erkennen, über meinen wunderbaren Body floss weißer Schaum, ich verteilte unter der Dusche Duschgel mit meinen Händen und er sah, wie ich mir mit dem Schaum über meine voluminösen Brüste strich, die ich in meinen zarten Händen gar nicht auf einmal halten konnte, mein Mann konnte es mit seinen Pranken fasst umfassen, so groß waren meine Brüste ( und sind sie noch heute…), er sah mich, seine Mutter auf einmal mit anderen Augen, zwischen meinen Beinen konnte er undeutlich Schamhaare erkennen, diese hatte ich mir extra heute Morgen mit dem Rasierer zu einem dünnen senkrechten Streifen rasiert.Jan begann zu schwitzen und fasste sich zwischen die Beine und massierte seinen Steifen durch die Jeans, dann stöhnte er erneut auf, als ich begann, meine Scham mit Shampoo einzuseifen, das war für Jan der erotischste Augenblick überhaupt, als meine Hand über meinen Venushügel rieb und er glaubte erkennen zu können, dass meine Finger meine Schamlippen teilten.„Oh mein Gott“, stöhnte Jan jetzt und steckte seine Hand in seine Hose, unter die Unterhose und berührte endlich seinen steifen, heißen Schwanz, er war so erregt, massierte sein hartes Glied.Dann richtete ich mich wieder auf und drehte das Wasser ab und im selben Moment öffnete ich die Duschkabine und Jan konnte für einen Sekundenbruchteil meinen nackten Körper sehen – ohne diese beschlagene Duschwand.Schnell richtete Jan sich auf und schlich in sein Zimmer, mit rasendem Herzen setzte er sich auf sein Bett und versuchte ruhig zu werden, es gelang ihm aber nicht , er zitterte vor Erregung und wurde blass.Dann öffnete ich die Badezimmertür und kam mit einem knappen Handtuch um meinen Körper gewickelt heraus, ich hatte meine Haare nun offen und sah in sein Zimmer und sagte zu meinen Sohn, „ jetzt bist Du dran“ und verschwand viel sagend im Schlafzimmer, das neben Jans Zimmer lag.Die Türe ließ Jan einen Spalt offen und machte die Türe hinter ihm zu, einen Schlüssel zum Absperren gab es ja nicht.Jan zog sich nackt aus und legte seine Klamotten auf das Waschbecken, sein Schwanz stand waagrecht von ihm ab, er sehnte sich nach Berührung und er betrat die Dusche und stellte das Wasser an, es war noch nass und feucht in der Dusche, es roch nach seiner Mutter, der heiße Wasserdampf tat gut, als Jan das Wasser aufdrehte, er stand immer noch mit dem Rücken zur Tür, zu der Türe, die nicht abgeschlossen ist, zu der Türe, die ein Schlüsselloch hatte,[was, wenn auch seine Mutter ihn wie er mich eben beobachtete…, tat sie das], dachte sich Jan und der Gedanke gefiel ihm, er benutze mein Duschgel, es roch nach Wildrosen, es roch nach seiner Mutter und er seifte sich ein, seine Haare, sein Gesicht, seine Achselhöhlen, seine Brust seinen Bauch und zu guter letzt seinen Schwanz und hoffte, das ich auch wie er eben am Schlüsselloch stand und durch blickte, er drehte dich etwas zur Seite, sein Schwanz stand immer noch von dem Gedanken.Mit der anderen Hand wichste er sich und seine Mutter sah ihm dabei zu, in seiner Phantasie, oder sogar in echt, es wäre für Jan leicht gefallen, jetzt zu kommen…, sollte er es machen? [Nur ein paar Sekunden noch und er würde in der Duschkabine kommen, diese Dusche hat bestimmt schon viel Sperma gesehen und mit diesem Duschkopf hat sich seine Mutter bestimmt schon oft ihre Scheide gewaschen], dachte er sich und nahm seinen Schwanz in die Hand und richtete den Strahl auf seine nass glänzende, harte Eichel.Dann schob er die Türe zur Seite und stieg aus der Dusche und dachte sich, wenn sie nun wirklich am Schlüsselloch hing, hatte nun sie einen ungehinderten Blick auf seine harte Erektion und er zog die Vorhaut noch einige male vor und zurück und stellte sich vor, dass ich vor der Türe knie und durchs Schlüsselloch ihn beobachten würde, dann trocknete sich Jan mit einem frischen Handtuch ab, gerne hätte er meines ihres benutzt.Jan war erregt wie lange nicht, er putzte sich die Zähne, band sich das Handtuch um die Hüfte und öffnete die Tür und erschrak, denn im Rahmen der Türe lehnte ich, mit einem bis zu den Oberschenkel reichenden Satinnachthemd bekleidet und ich lächelte ihn an und sagte frech zu ihm, „ jetzt sind wir wieder Quitt“.Jan fühlte sich irgendwie ertappt und fragte mich,„Wie meinst du das?“.„Na du alter Spanner“, sagte ich frech zu meinen Sohn und zeigte auf dem Boden, „ die Wasserlache vor dem Schlüsselloch ist nicht von mir“ und ich sah, wie er rot im Gesicht wurde, ich hatte ihn erwischt und er schämte sich.. „Ähm …“, mein Sohn wusste nicht, was er sagen sollte, denn seine Mutter wusste, dass er sie beobachtet hatte….und verdammt, woher wusste sie das…. und weshalb sind wir jetzt Quitt, hatte mich meine Mutter tatsächlich beobachtet?“Also Jan, wenn Du noch Durst hast, im Kühlschrank sind kalte Getränke. “, sagte ich zu ihm und schaute geheimnisvoll.[Danke für den Themenwechsel, ich war eben am Sterben], dachte sich Jan, sagte, alles klar“.„So ich geh jetzt ins Bett, gut Nacht und schlaf gut“, sagte ich zu Jan und ließ ihn mit seinem Problem alleine.Jan warf sich nackt aufs Bett und dachte sich, [Wahnsinn, war das ein Abend, diese erotischen Gespräche mit seiner Mutter, sie nackt unter der Dusche, hatte sie mich wirklich beobachtet? Geil, ob ich heute Nacht träumen würde…], aber ob ich auch schlafen könnte, war ungewiss und die Frage, ob ich ihn nun beobachtet hatte oder nicht, klärte sich nicht mehr.Mitten in der Nacht wurde Jan wach, denn vom Flur her fiel ein Lichtschein direkt auf sein Bett, ich war aufgestanden, da ich auf die Toilette musste.Schlagartig wurde Jan wach und bemerkte das der Lichtstrahl aus dem Flur fiel direkt auf sein Bett flog, er zog die Bettdecke weg, betrachtete seinen harten Schwanz im Licht und wichste ihn leicht, aus dem Badzimmer hörte Jan die Toilettenspülung und dachte sich, gleich würde ich an seinem Zimmer vorbeigehen, zurück in mein Schlafzimmer, da hatte Jan eine Idee.Er deckte sich ab, spreizte leicht seine Beine und drehte sich so, dass der Lichtstrahl auf seinen Steifen fiel, dann drehte Jan seinen Kopf so, dass er den Flur im Blickfeld hatte er schloss seine Augen, aber nicht ganz.Die Badezimmertüre öffnete sich leise, verschwommen durch die halb geöffneten Augenlider erkannte er mich, wie ich in den Flur trat, ich trug immer noch mein Seitennachthemd und bemerkte am vorbei gehen, dass die Tür zu seinem Zimmer einen Spalt weit offen stand und blieb stehen. „Ja!“, freute sich Jan und stellte sich weiter schlafend, sein Schwanz lag steif und heiß auf seinem Bauch, ich hatte seine Aufmerksamkeit erregt.Ich schlich leise zu seiner Türe und blickte vorsichtig herein, ich hatte einen ungehinderten Blick auf seine harte Latte, durch den Mondschein konnte er meine Konturen meiner vollen Brüste erkennen, war der Anblick geil.Ich starrte wie gebannt auf Jans Erektion, und er musste sich bemühen, nicht seine Muskeln anzuspannen, denn das Zucken seines Gliedes hätte verraten, dass Jan nicht schlafe.Ich schaute Jan an, starrte auf seinen Schwanz, eine unglaublich geile Situation für uns beide, dann fasste ich mich selbst an, meine Hände strichen über meinen Bauch, dann höher, ich umfasste meine Brüste, dabei rutschte das Nachthemd nach oben und Jan konnte schemenhaft erkennen, das ich tatsächlich kein Höschen trug.Inzwischen fasste ich mir zwischen meine Beine, sein Herz schlug wie wild, als er sah, wie ich mich zu streicheln begann und ihn ansah.Ich rieb meine Klitoris, während ich meinen Sohn anstarrte, je mehr ich ihn anstarrte, um so mehr schämte ich mich bei meinen verbotenen Gedanken, dann drehte ich mich wieder um und schloss leise seine Türe und legte mich in mein Bett und schlief kurze Zeit später ein.Am nächsten Morgen wurde ich geweckt, durch die Dusche von Jan und ich tapste ins Bad und putze mir die Zähne, dann kam Jan nackt aus der Dusche und ich nahm ein Handtuch und rubbelte Jan erst einmal trocken, so wie ich es bei ihm früher immer gemacht hatte.Jan genoss die Berührungen von mir, er versuchte sich aus Scham, denn er war inzwischen wieder nüchtern, ein wenig weg von mir zu drehen, damit ich nicht seinen inzwischen harten Schwanz bemerkte, doch zu spät, denn ich schaute unbewusst in den Spiegel, daran hatte Jan nicht gedacht, als er die falsche Richtung wählte und ich konnte sein Problem sehen und schmunzelte ein bisschen, als Jan meine Blicke im Spiegel bemerkte, sah er mich mit leicht gesenkten Blick, aber hochroten Kopf beschämt an.Nun stand Jan vor mir canlı kaçak bahis und er spürte beim Rubbeln meine große Oberweite, die durch meiner weißen Büstenhebe verpackt war, die ich unter meinen Nachthemd trug, an seinem Rücken, denn auch er blickte nun in den Spiegel und was er dort sah, ließ sein Schwanz deutlich anwachsen.„Äh Mama…., ist okay…, ich glaube das reicht“, versuchte sich Jan aus der Miesere zu befreien, die ihm eindeutig zu heiß wurde, denn er hatte noch einige Bedenken, das durchzustehen, denn das sah noch viel schärfer aus, als er jemals in den eindeutigen Filmchen gesehen hatte und wenn ich da weiter machen würde, dann wäre es bestimmt mit seiner Beherrschung vorbei, denn er war inzwischen so spitz, noch schlimmer als Nachbars Lumpi und er wollte nicht riskieren, über mich, seine eigene Mutter her zu fallen, ich als böse Mutter tat hier etwas sehr ungeheuerlich, denn keine Mutter sollte sich ihrem Sohn so nähern, wie jetzt und das noch mit einer durchsichtig und durchnässten Bolerotop und dieses Teil von BH, wo ich mich ihn präsentiere, so dürfte eine Mutter niemals ihren Sohn unter die Augen treten.„Oh ja klar Sohnemann…., mit 18 Jahren will man ja nicht mehr so von seiner Mutter gedrückt werden, damit muss ich mich als Mutter eben abfinden“, kam es schmunzelnd von mir und ich beendete die Rubbelei bei ihm.„Nein Mama…, aber es ist nicht so, wie du denkst, ich finde es auch schön, wenn wir uns so nahe sind…., aber….., aber“, kam es verlegen von meinem Sohn.„Aber Jan…, Sohnemann, das muss dir doch nicht peinlich sein, das ist doch ganz normal, wenn man bei Berührungen so sensibel reagiert, wie da“ und ich zeigte nach vorne auf seine Schamgegend, die immer noch sehr verhärtet war und blickte schelmisch zu ihm hoch in sein Gesicht, die die Farbe hatte, wo wirklich keine reife Tomate mithalten konnte.„Weißt du Jan, ich hab auch keine Probleme, mich vor dich hier auszuziehen, vor allen wenn wir total nass vom Regen sind“, flüsterte ich und langte nach unten und zog mir mein Bolerotop über den Kopf und stand fast oben ohne vor Jan, der sich inzwischen zu mir umgedreht hatte und mir abwechselnd ins Gesicht und auf meinen nackten Busen starrte.Jan schluckte mehrmals und konnte seine Augen nicht von meinen voluminösen Brüste nehmen, als ich mit dem Frottetuch über meinen Busen strich, die dabei auf und ab wippten, bis auch sie trocken waren.„Na Sohnemann, noch nie einen Busen gesehen“, fragte ich frech, als ich bemerkte, dass sein Blick länger an meinen schwingenden Brüsten hängen blieb.Jan schluckte merklich, „ nicht so intim Mama…, ich meine……, ähmmm…., ich meine nur so im Freibad oder in der Sauna“, versuchte er sich zu rechtfertigen.„Und können sich meine Lieblinge sehen lassen“, fragte ich meinen Sohn und drückte mein Kreuz frech durch, damit meine schon von natur aus gossen Brüste noch größer wirkten.Ich streichelte frech einmal mit einem leichten Grinsen im Gesicht mit beiden Händen über meinen Busen und schaute dabei meinen Sohn an.„Tja Sohnemann, wenn du nun eine Freundin hättest, dann dürftest du sicher auch mal bei Ihr fühlen, wie das ist, wenn man einen Busen streichelt“, sagte ich frech zu meinen Sohn und fand es gleichzeitig auch gemein, denn vor kurzen hatten wir das Gespräch über das Thema Freundin und ich wusste, das er keine feste Freundin mehr hatte und so wie ich meinen Sohn kannte, hatte er im Internat bestimmt auch keine und ich vermutete, dass er bestimmt noch unbefleckt war.„Siehst du im übrigen, so sieht eine Büstenhebe bei einer Frau aus“, und er starrte auf meinen nackten Busen, der in der Hebe steckte und meine Lustkugeln darin schön formte…“So genug gesehen Sohnemann“, sagte ich und mein Sohn verstand und verließ das Bad und ging in sein Zimmer.Ich zog mir meinen Slip aus und zog mir einen neuen Slip, den besagten BH behielt ich an und darüber zog ich ein langes seidiges eng anliegendes Nachthemd, darin konnte man meine wunderschönen großen Brüste deutlich erkennen und ging anschließend auch leise hinaus aus dem Bad und wollte gerade ins Schlafzimmer gehen, aber die Neugierde weckte mich, was würde Jan jetzt gerade machen und beschloss es heraus zu finden.Ich klopfte leise an die Türe und öffnete sie, ohne eine Antwort abzuwarten und da stand er vor seinem Bett, er hatte sich ein Handtuch um seine Hüften gebunden, ich konnte aber immer noch sehr deutlich seinen harten Schwanz unter seinem Handtuch erkennen.Ich setzte mich neben ihm auf die Bettkante und entschuldigte mich erst einmal für mein Benehmen, denn ich war doch wirklich zu ……, na ja, besser gesagt, so sollte sich eine Mutter eigentlich nie ihrem Sohn zeigen und ich schämte mich in Nachhinein ein bisschen für mein Benehmen, aber ich hatte schon sehr arg Entzug und Karl würde erst in drei Tagen wieder zu Besuch kommen.Wir redeten auch über das Thema Sex und die Liebe und ich bemerkte wie mein Sohn mich die ganze Zeit anstarrte, irgendwann beendete ich das Gespräch mit den Worten, „ wenn ich dir irgendwie helfen kann mein Sohn dann lass es mich wissen“ und wollte gerade aufstehen, als mein Sohn erwiderte, „ danke Mama, aber….“ Und er hielt resigniert inne.Ich ließ mich wieder zurück fallen und sah meinen Sohn von der Seite her an, „ was aber…, sag schon“, fragte ich ihn und lächelte ihn liebevoll an.„Na ja Mama, wie soll ich sagen, ich bräuchte wohl eine Lehrerin, die mir so was zeigt“.„Ja ein bisschen praktische Übung wäre nicht schlecht, aber ich kann als deine Mutter ja schlecht als deine Lehrerin fungieren, das muss dir wohl klar sein mein Sohn“, flüsterte ich.Ich wartete eine Minute und beschloss meinen Sohn zu helfen, natürlich im Theoretischen Teil, „ so Sohnemann, was möchtest du nun wissen, wie kann ich dir helfen“, fragte ich frei heraus und sah meinen Sohn an.Jan war durch meine direkte Art überrascht und wusste gar nichts was er fragen konnte.„Na Jan keine fragen“, hakte ich nach„Äh doch eine Menge Mama, aber die seiner Mutter zu fragen, das kostet bei mir eine große Überwindung“ und er fühlte sein Herz bis zum Hals schlagen und sein Schwanz unter seinem Badetuch fing auch wieder an zu wachsen.„Keine Angst Jan“, sagte ich und nahm seine Hände und legte sie auf meine Oberschenkel und hielt sie fest.„Mama, ist es nicht so, dass der erste Kuss entscheidet…., ich meine wenn man nicht gut ist beim ersten Kuss, dann hat man verloren…., ist das nicht so bei einem Mädchen“, fragte er mich.Ich schaute ihn lächelnd an und erwiderte seine frage, „ ja gut, wenn ein Kerl gut küssen kann, dann hat es schon vorteile, aber das ist nur am Anfang, denn wenn beide nicht zu einander passen, dann hilft auch nicht der beste Kuss den beiden“, sagte ich zu ihm.„Ich meine nur, wenn schon nach dem ersten Kuss wieder Schluss ist, bzw. gar nicht begonnen hat, so erging es mir einmal im Internat…., und dann hat man den Ruf weg“„Oh das hast du uns ja noch nicht erzählt, aber es stimmt vielleicht“, ich schaute nach unten und fasste den Entschluss, „Jan, wenn du willst, dann darfst du mich einmal so küssen, nicht wie ein Sohn seine Mutter küsst, oder ich dich, sondern wie du denkst, das es richtig ist, ein Mädchen zu küssen in das man verliebt ist, dann kann ich mir darüber ein Bild machen“.„Ehrlich Mama, darf ich dich wirklich mal so küssen“, fragte mich mein Sohn und strahlte mich an.„Natürlich, wenn du es willst, also zeig mir mal, wie du ein Mädchen küssen würdest“ und hob meinen Kopf in seine Richtung.Sein Gesicht kam näher an meines heran und er bewegte seinen Mund langsam zu meinen Mund und dann küssten wir uns, er war sehr stürmisch und versuchte seine Zunge in meinen Mund zu schieben und ich ließ ihn gewähren, denn ich wollte ja schließlich erfahren, wie sich mein Sohn dabei anstellen würde.Schließlich löste sich Jan von meinen Mund und schaute nach einem „ und“, schüchtern auf den Boden.Ich leckte mir meine Lippen ab, durch seinen intensiven Kuss, lief mir die Lust an meinen Schenkelinnenseiten herab.„Oh Sohnemann, das war etwas zu stürmisch“, erklärte ich ihm , als ich mich wieder etwas gefangen hatte, „ du musst langsamer und gefühlvoller deine Zunge benützen“, flüsterte ich und zog ihn mit den Worten, Komm her, ungefähr so“ zu mir heran.Ich nahm seinen Kopf in meine Hände und begann sanft und gefühlvoll mit seiner Zunge zu spielen, langsam hörte ich von ihm ein Stöhnen und ich war überrascht, wie schnell mein Sohn zu lernen begann.„Wow das war viel besser Mama“, flüsterte mein Sohn, als wir uns wieder trennten.„Sehr gut Sohnemann, du lernst ja schnell, das war wirklich Geil…., sorry entschuldige diesen Ausdruck“, sagte ich liebevoll zu ihm.„Du hast recht Mama, das war der Hammer“, sagte Jan zu mir.„Möchtest du noch einmal“, flüsterte ich und wir nahmen uns auf einmal in die Arme und er ließ sich rücklings aufs Bett gleiten und ich rutschte durch das Rückfallen aufs Bett von Jan über ihn und wieder küssten wir uns und wir umarmten uns immer fester und Jan konnte wunderbar meine voluminösen Brüste auf seinen Oberkörper spüren und natürlich spürte ich auch etwas gewaltiges auf meinen Becken, das was ich erst in etwa 70 Stunden von meinen eigenen Ehemann bekommen sollte.Ich spürte, das mein Sohn unter mir auf einmal zu zittern anfing, „Jan ist alles in Ordnung, du zitterst ja mein Schatz, ist dir etwa Kalt, soll ich dich vielleicht ein bisschen wärmen“ und ich presste wieder meine Lippen auf seine und meinen Oberkörper presste ich auf seinen Oberkörper, ich wusste ja woher das Zittern kam, meine Brüste, die auf seinen Oberkörper drückten, machte ihn dermaßen an, das er nicht vor Kälte, sondern vor lauter Lust unter mir zu zittern anfing.Unsere Lippen trennten sich und ich schaute meinen Sohn an und flüsterte, „ so das war schon sehr gut, was möchtest du denn noch wissen“, forderte ich ihn auf.Durch seine Geilheit konnte sich Jan nicht mehr zügeln und sagte direkt heraus, was er wissen wollte.Ende Teil 1

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Dépannage informatiqueVoilà qu’à mon retour de vacances, mon PC ratatouille. Je téléphone à un dépanneur et nous prenons rendez-vous pour le lendemain matin. Vers dix heures ,on sonne à ma porte. J’enfile rapidement un peignoir qui cache à peine ma nudité et ouvre précipitamment la porte. Qu’elle n’est pas ma surprise quand je vois un jeune beau posté devant moi. Lui aussi doit être surpris de voir une femme à demie nue lui ouvrir la porte car il rougi légèrement en disant :« Bonjour Madame, c’est bien vous qui avez demandé une réparation informatique ? »Je me met aussitôt en mode aguicheuse pour lui répondre :«  Oui c’est bien ici Monsieur. J’espère que vous allez pouvoir me dépanner et bien débloquer mes accès ! Si vous réparez aussi bien que vous êtes mignon, je suis certaine du résultat. Suivez-moi, je vous montre le corps du délit ! »Il rougit un peu plus et bégaye :«  Heu oui… Je vais voir ça ! »Arrivés dans le salon, je me penche sous le bureau pour lui désigner ma Tour. Mon peignoir s’ouvre offrant une vue imprenable sur mon corps nu. Je prend le temps de le refermer pour qu’il ne perde pas une miette du spectacle.Ses yeux écarquillés passent de mes seins à mon minou. Il se racle la gorge et d’un ton qui se veut professionnel il me rassure en lançant :« Je pense que c’est pas bien méchant. Je vais remettre tout en place rapidement. Il va tourner comme un avion. »Je remarque que mes charmes lui font illegal bahis de l’effet, alors qu’il s’affaire sur mon PC. Il tente de concentrer sur l’ordinateur et le fait démarrer. Là, la première images qui s’ouvre le fait sursauter. Il s’agit d’une photo où je suis livrée aux tourment de mes Maîtres. Entièrement nue et suspendue, Christian, David, Seb et Guillaume, flagellent mon corps à tour de rôle sous les yeux de Sofia qui est recluse dans une cage avec un double dong dans les fesses et la chatte.Restant un instant médusé devant cette image, le jeune bande de plus bel. Quand il se retourne rouge d’émotion, j’ai fait tomber le peignoir et il me découvre dans la tenue d’Eve. Sur un ton qui ne m’est pas habituel, je lui lance :« Baise moi ! »Il n’en croit pas ses yeux et ses oreilles et reste figé, n’osant bouger. Je prends l’initiative et le déshabille. Son sexe est raide comme la justice . Sans qu’il ai le temps de réagir, je me met à le sucer en lui pelotant les couilles. Il se laisse faire avec plaisir et gémit rapidement. Se dévergondant, ses mains s’aventurent sur mes seins.Je quitte sa queue et lui demande :« T’aimerais te branler entre mes seins ? »« Heu… Oui Madame ! »Ni une ni deux voilà que sa bite s’active entre mes globes. Il est si excité que deux temps, trois mouvement, ce branleur éjacule en m’aspergeant le visage.Frustrée et contrariée, je lui dis sèchement :«  Bon, ben je crois que ça illegal bahis siteleri c’est fait… ! »Mais dans son extase, il n’entend pas ma réflexion et continue de se masturber entre mes globes pour extraire les dernières gouttes de sa verge. Puis il s’amuse sans dire mot à étaler sa crème gluante sur ma poitrine. Un peu gêné de son éjaculation précoce, il me dit :« Désolé Madame mais vous l’avez cherché avec vos photos et vos provocations ! »Prenant un peu de sperme sur ses seins avec ses doigts, elle les porte à ma bouche avant que je ne réponde quoi que ce soit. Je suce ses doigts en lui disant :« Il a plutôt bon goût ton sperme… »Je caresse sa tige demie molle et décide de tenter de le faire rebander. Je reprends une savante fellation en lui pelotant les couilles et en stimulant son anus.L’effet est garanti car je sens sous mes lèvres que son engin reprend de la vigueur.Avec un regard de défis, je le fixe dans les yeux et une foi obtenu l’effet recherché, je lui souri en disant d’un air narquois :« Huuum tu bandes à nouveau comme un bel étalon ! »D’un ton plus affirmé il me répond :« Oui forcément avec une bouche experte comme la tienne ! Elle est prête à te faire grimper au rideaux ! »« Je n’attends que ça mon gars ! »Exhibant fièrement, son mât tendu aux Il me retourne comme une crêpe et en me prenant par les hanche, il me pourfend d’un coup de rein en enfonçant son pieux dans mon vagin jusqu’à canlı bahis siteleri la garde. Je pousse un cri de plaisir quand sa grosse verge rempli aussi brutalement mon vagin surchauffé.« ouiii ! Prends moi fort Fait moi jouir ! Prends moi comme une chienne ! »En commençant à me bourrer, il grogne :«  Oh la vache ! C’est dingue comme tu jute salope ! »Il empoigne mes seins durement et ses assauts se font d’une v******e peu commune comme s’il voulait me transpercer de sa queue comme on embroche une dinde. Secouée et défoncée, je réussi entre deux gémissements à lui dire :« Oui met la moi profond ! Elle est bonne ! Tu me fait jouir ! – Oh putain ! T’es énorme ! »Mon ventre est pris de spasmes et ‘un puissant orgasme me fait hurler.Alors que je suis en transe, le jeune informaticien sent qu’il est sur le point de jouir. Il se plaque bien au fond de mon vagin et me tirant vers lui par les seins au point que j’ai l’impression qu’il va me les arracher, son sexe palpitant expulse son sperme garnissant en saccade les parois de mon con. Il reste un instant calé au fond de ma grotte set reprenant son souffle, il me demande !« Alors salope ? Satisfaite du dépannage ? »Il ressort de ma chatte baveuse, laissant sur le carrelage une petite flaque de semence blanchâtre et restant à quatre pattes quelques secondes à reprendre mes esprits, je fais un signe de la tête, satisfaite et incapable de dire un mot. En admirant le résultat, il sourit et me dit en se rahabillant :« Fait moi signe quand tu veux. Mes service seront gratuit pour te satisfaire ! »Troublée par cette expérience détonnante, il repart en me laissant toute chose baignant dans son sperme.

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Mon mari veut que je sois une épouse salopeBonjour, je m’appelle Nadia, je suis une jeune femme mariée de 30 ans et depuis sept ans, ma vie de couple était sans histoires.Il y a un an un dimanche soir, mon mari Karim décida d’aller en boite dans un club select. Pour l’occasion, je me fis belle et sexy, avec une mini-jupe noire, des bas coutures et des talons aiguilles de 10cm. Mon mari adore me voir ainsi. Nous arrivâmes au club vers 11h30 et je m’aperçus qu’il y avait beaucoup d’hommes seuls. Après un verre tranquille, une série de slows commença. Mon mari n’avait pas envie de danser et je fus très rapidement invitée par un homme d’environ 55 ans. Il était très galant. Mais la fin du slow arriva et il me demanda de continuer la série. Je lui répondis oui. A ce moment, il commença à se rapprocher et je sentais sa virilité durcir, puis il glissa sa jambe entre les miennes. Je n’osai plus rien faire, il faisait sombre mais je devinais le regard de mon mari.- Vous venez souvent ici?? Dit-il- Je suis mariée, répondis-jeLe slow venait de finir et, sans un mot, je lâchais mon partenaire et allai rejoindre mon époux.-je suis tombée sur un dragueur qui se frottait entre mes jambes, dis-je à mon mari.-je sais, j’ai vu, répondit-il-et cela ne te gêne pas, il n’avait qu’une chose en tête, me sauter !-non au contraire, je suis excité, retourne danser avec lui, les slows ne sont pas finis-tu es fou, tu cherches quoi ?-drague-le, allume-le !Je n’avais jamais vu mon mari dans cet état, mais puisqu’il était d’accord, comme un défi, je me levai et allai inviter mon partenaire qui s’était assis.-excusez-moi pour tout à l’heure, vous canlı bahis şirketleri acceptez de continuer à danser?-oui avec plaisir.Nous repartîmes sur la piste de danse et tout de suite, il se plaqua contre moi.-c’est votre mari assis là-bas ? Dit-il-oui-que vous a-t-il dit, sans être indiscret ?-de me laissez draguer, dis-je.Je sentais son excitation revenir et il commença à se frotter sur mon entre-jambe et pour la première fois depuis mon mariage, je me surpris à être excitée avec un autre homme. Je mouillais et dévorais des yeux mon partenaire.-cela vous excite que je me frotte ?-oui-j’ai envie de vous-moi aussi, répondis-je sans me rendre compte de ce que je disais.-et votre mari ?-embrassez-moi !Et sans autres mots, il me roula une pelle divine et j’eus un orgasme, je n’en pouvais plus. Un homme m’embrassait devant mon mari et cela m’excitait ! Puis il glissa tout en dansant sa main devant lui et passa sous ma jupe et caressa ma culotte qui était trempée. Vu que je n’opposais aucune résistance, il passa un doigt dans ma fente trempée, un deuxième orgasme explosa sur son doigt.-tu mouilles salope !-oui-tu veux que je te baise?-où ? Répondis-je-viens aux toilettes !Il me prit par la main et nous partîmes aux toilettes des hommes, une dame pipi gardait le lieu. Sans dire un mot, il lui glissa un billet et elle nous ouvrit une pièce qui était une sorte de petite réserve, nous rentrâmes et l’homme dont je ne connaissait même pas le prénom, referma la porte.-viens, suce-moi !Il sortit son sexe, une queue énorme surtout très épaisse, elle était dure. Je pris ce zob énorme dans ma bouche et suçai cet canlı kaçak iddaa inconnu. Mais très rapidement, il me plaça le long du mur et derrière moi, il commença à relever ma jupe, écarta ma culotte et s’enfonça d’un seul coup en moi. Je sentis mon sexe se dilater violemment. Il faisait maintenant des vas et viens de plus en plus rapides, je mouillais de plus en plus.-tiens ma salope, prends ça, tu aimes les grosses bites ?-Oh oui !!!J’étais au bord de l’orgasme et ces mots crus auxquels je n’avais pas l’habitude me firent jouir d’une force telle que mon partenaire jouisse et m’envoya un océan de sperme au plus profond de mon intimité. Après plusieurs minutes, il se retira de moi et avec un baiser tendre sans un mot, il referma son pantalon, ouvrit la porte et me laissa toute seule remplie de sperme. Tout à coup, je repensai à mon mari et je me demandai ce qu’il allait dire. Je baissai ma jupe et sans me nettoyer, je repartis de cette pièce et après un rapide coup d’œil à madame pipi, je repartis dans la salle. Où était mon mari ? Je ne le voyais pas ! Je cherchai plus de dix minutes et tout à coup, il arriva derrière moi.-viens, on s’en va, dit-ilJe ne disais rien et le suivis, nous sortîmes sans un mot de la boite, nous allâmes à la voiture et toujours sans un mot, nous rentrâmes à la maison. Une fois arrivée, je sentis mon cœur battre très fort, j’avais peur. Dans le salon, je décidai de rompre ce silence insoutenable.-écoute, c’est toi qui as voulu que je drague ce mec, tu cherchais quoi en faisant ça ?Sans un mot, il s’approcha de moi et m’embrassa tendrement, se serra contre moi et je sentis qu’il canlı kaçak bahis bandait.-ça t’a excité de savoir qu’il me baisait ?-oui, répondit-il-tu n’es pas jaloux ?- je ne te l’ai jamais avoué mais j’ai toujours rêvé que tu me trompes.-cela te plait d’être cocu, de savoir que ta femme est une salope?-oui et désormais, je veux que tu aies des aventures avec d’autres hommes. Je veux que tu me trompes tous les jours, que tu sois toujours prête à t’offrir sans limites. Ma chérie, sois une vraie salope, une vraie garce !-tu me laisserais faire ce que je veux ?-oui et je serai ton mari soumis et docile.Sans me laisser le temps de répondre, il s’agenouilla, releva ma jupe et commença à me nettoyer ma chatte luisante de sperme, j’eus un orgasme et comme une vraie salope, je dis:-lèche-moi salaud ! Tu désires que je te domine et bien, tu ne vas pas être déçu. Oui mon chéri, je vais te tromper, je vais avoir des amants, ils me baiseront sans arrêts, devant toi et en ton absence. Je vais devenir un vrai garage à bites.Il me lécha au maximum et toujours agenouillé devant moi, je compris qu’il avait joui dans son slip. Lui qui en sept ans était un mari directif était devenu en une soirée une larve soumise à sa femme. Nous allâmes nous coucher et je ne dormis pas de la nuit. Des questions venaient sans cesses et au matin, je fus réveillée par mon mari qui m’apportait le petit déjeuner au lit.-bonjour chérie.-dis : bonjour Maîtresse, lui dis-je- excusez-moi, bonjour Maitresse, reprit-il.Et là, je compris que la soirée d’hier avait totalement changé ma vie.Voilà un an que cette soirée a eu lieu et depuis, je suis devenue une salope intégrale, j’ai un amant régulier, je ne travaille plus et je passe mes journées à me faire des hommes n’importe où !En un an, j’ai eu des centaines de bites. Mon mari est devenu mon esclave, il fait toutes les taches ménagères, je l’humilie sans arrêt.

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De grand-père à petite-fille

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De grand-père à petite-filleMon épouse avait été hospitalisée et j’étais seul. Mes enfants étaient en vacances et je n’avais jamais vraiment aimé faire la cuisine et je me gavais de plats surgelés. Cela faisait une semaine que ça durait quand ma petite fille Sophia m’a téléphoné. Elle s’était expatriée à Londres et je ne la voyais jamais. Elle m’a demandé de mes nouvelles. Visiblement, elle n’était pas au courant de ma situation et elle m’a proposé de venir me voir. Apparemment, ça ne la dérangeait pas. En plus, comme je ne conduisais plus, elle pourrait me servir de chauffeur pour aller voir sa grand-mère.Le lendemain soir, elle a débarqué à la maison et elle a commencé par faire le ménage puis elle m’a fait à dîner.Il faisait chaud en ce mois de juin et si j’osais le dire, elle était quasiment nue avec son top profondément décolleté qui découvrait son nombril et son ultra minijupe qui ne cachait rien de ses cuisses.Pendant qu’on dînait, je lui ai demandé si elle a un petit copain. Elle m’a répondu qu’elle a plein d’amis et qu’elle ne sait pas lequel choisir. Je lui ai dit que moi, je serais jaloux.- Jaloux de quoi, m’a-t-elle répliqué ?- Tu ne caches rien et tu montre tout, lui ai-je répondu !- A quoi ça servirait d’être jolie si c’est pour se cacher, m’a répondu Sophia ?J’ai ajouté qu’elle est encore plus jolie. J’étais gêné mais je lui ai demandé si elle a des tatouages.- J’en ai un tout petit, m’a répondu ma petite-fille.Je voyais bien qu’elle attendait que je lui demande de me le montrer. Je lui ai demandé. Elle m’a répondu qu’elle doit retirer son soutien-gorge puis elle m’a demandé si ça me gêne de voir ses nichons.Je n’aurais jamais osé parler comme ça à mes parents mais ça n’avait pas l’air de la gêner. Elle a retiré son top puis elle a retiré son soutien-gorge et j’ai vu la rose qu’elle s’était faite tatouer sur le côté du sein droit. Et ce n’était pas un petit tatouage comme elle me l’avait dit, mais il était aussi grand que sa main.- Tu mates mes seins, m’a fait ma petite-fille !Je les matais en effet. De jolis seins de jeune fille et très pointus avec des aréoles immenses. Je lui ai répondu qu’ils sont mignons et elle a pincé ses mamelons puis elle a tiré dessus. Je lui ai dit qu’elle va se faire mal mais elle m’a répondu que ce ne sont que des bouts de viande.- Ce n’est pas ta grand-mère qui aurait dit ça à ton âge, lui ai-je répondu ! Ils ont toujours été très sensibles !Sophia ne semblait pas pressée de remettre son soutien-gorge. Elle était là devant moi et elle semblait réfléchir.- Vous faites encore l’amour ?- Quoi ? Avec ta güvenilir bahis grand-mère ? L’envie lui en a passé, ai-je répondu à ma petite-fille !- Alors, tu as une copine, m’a demandé Sophia ?- Non !J’avais envie d’être sincère avec elle et je lui ai dit que quand l’envie me prenait, je me masturbais.Ma petite-fille m’a souri.- Et toi, est-ce que tu te masturbes, lui ai-je demandé ?Elle m’a répondu qu’il n’y a pas de mal à ça. Je lui ai demandé si elle le fait souvent.- Quand maman s’en apercevait, elle me foutait des gifles, m’a répondu ma petite-fille !Je voyais. C’est quand même la fille de ma fille aînée.- Mais tu le fais souvent, ai-je insisté ?- Ça dépend, a-t-elle commencé ! Parfois c’est tous les jours ! Parfois plus ! Ça m’aide à réfléchir, m’a-t-elle répondu !- Je comprends, ai-je ajouté ! Ça devient mécanique ! Quand je me branle…Je me suis arrêté pile parce que j’étais vraiment gêné d’utiliser ces mots-là.- Pourquoi tu t’arrêtes, m’a demandé Sophia ? C’est à cause des mots ? Faut bien les utiliser ! J’aime bien me tripoter la chatte et masturber mon clitoris, a-t-elle ajouté !Elle s’est mise à rire. Je lui ai demandé si c’est comme ça que parlent les jeunes de la chose et elle a ri encore plus en me disant que je suis hypocrite. – Tu aimes vraiment ça, ai-je insisté ?- Parfois, je me demande si je ne suis pas folle, a-t-elle ajouté ! Tu sais, maman le fait aussi mais elle a honte !Une fois la vaisselle fini, nous sommes allés dans le salon et elle s’est assise à côté de moi sur la banquette et j’ai allumé la télé mais au bout de cinq minutes, ma petite-fille a dit que c’est des conneries et elle a coupé le son.- Attends, a-t-elle ajouté ! C’est samedi ! Il n’y a pas du cul.Elle a zappé sur les chaînes mais elle n’a rien trouvé. Elle réfléchissait.- T’as le web, a-t-elle fini par me dire ! On va trouver quelque chose !Elle a trouvé un site de cul. Elle a commencé à lire un film puis elle a zappé sur un autre.- Qu’est-ce que tu aimes, Papy ? Les gros nichons ?Elle a trouvé une vidéo avec une femme qui les avaient sur le ventre et j’ai trouvé ça dégoûtant.- Non ? Alors, je sais ce qu’il te faut, m’a ensuite dit ma petite-fille !Elle a basculé sur une chaîne de live. J’étais déjà allé là-dessus avec mon ordinateur mais il fallait payer pour que les filles se déshabillent.- Attends, m’a dit ma petite-fille, je vais t’en trouver une qui va te plaire !Elle a fait plusieurs essais. Elle est tombée sur une fille de l’Est qui avait tout le bras tatoué et elle m’a dit qu’elle aimerait faire ça et elle a ajouté que ça coûte cher et elle türkçe bahis en a conclu qu’elle fera ça plus tard puis elle a trouvé une jolie brune qui se masturbait avec ses doigts et qui n’a pas tardé à se servir d’un godemiché et qui se le passait sur les seins et se l’enfonçait dans la chatte et aussi dans l’anus.- Elle est vraiment belle, m’a dit Sophia !- Tu pourrais faire ça ?- Bas, si j’ai vraiment besoin d’argent, m’a répondu ma petite-fille…- Et tu pourrais te prostituer ?- Ah, non, mais je te supplierai de me donner de l’argent ! Tu m’en donnerais si j’en avais vraiment besoin ?Je lui ai promis puis j’ai ajouté que je voudrais quelque chose en échange. Ma petite-fille m’a regardé.- Quelque chose comme quoi, m’a-t-elle alors demandé ? Tu veux que je te branle ou que je te fasse une pipe ?- Les deux !Elle s’est tournée vers moi.- Mon pauvre papy, tu dois t’ennuyer !Elle m’a ouvert la braguette et elle a sorti ma bite qu’elle a tout de suite branlée puis elle l’a sucée. Elle ne se contentait pas du gland et elle l’enfonçait jusqu’au fond de sa gorge. De temps en temps, elle s’arrêtait et elle me demandait si je suis content. Elle a fini par plonger sa main libre entre ses cuisses et elle s’est masturbée. J’ai gémi que je veux la baiser. Elle m’a répondu que je devrais avoir honte mais elle m’a enjambé puis elle a guidé ma bite dans son trou.- Ah, j’aime ça, a-t-elle gémi ensuite !- Baiser avec moi, lui ai-je demandé ?- Non, prendre une bite de cette façon, m’a répondu Sophia ! Elle se faisait sur ma bite mais elle y mettait tant d’ardeur qu’elle ma bite s’est échappée et quand elle l’a remis, elle s’est retrouvée entre les fesses de ma petite-fille. Je lui ai demandé ce qu’elle fait ? Elle m’a répondu qu’elle voudrait essayer et elle a guidé le gland dans son anus et elle a repris la saillie et je lui ai demandé si ça lui plaît. Elle m’a répondu que c’est pas pareil, mais que ça valait le coup d’essayer. J’ai fini par lui demander si elle risque quelque chose.- Tu veux dire si je peux être engrossé, m’a demandé Sophia ? Non, pas en ce moment !On a fini comme ça. J’ai joui dans son anus et elle s’est masturbée pour avoir un orgasme.Le lendemain, nous sommes allés voir sa grand-mère à l’hôpital. Dans la voiture, en revenant, ma petite-fille m’a demandé si on allait le refaire puis elle a ajouté qu’elle en a envie.- Il n’y a pas que moi, a-t-elle ajouté ! Je suis contente de te faire jouir !On a fait ça tous les jours, parfois le matin et parfois aussi le soir. C’était un plaisir partagé et ma petite-fille m’a dit un jour qu’elle aime güvenilir bahis siteleri le sexe. Quand il y a eu des risques, je me suis contenté de sa bouche et de son derrière.- Tu ne trouves que c’est de plus en plus facile, m’a demandé ma petite-fille la veille de son départ ? Mon trou du cul est plus souple !Le matin, au marché, nous avions acheté un concombre. On y avait rencontré des voisins et j’avais été bien content de leur présenter ma petite-fille. En rentrant, en rangeant nos achats, j’ai demandé à Sopha si elle a la même idée que moi ?- Le concombre, m’a-t-elle répondu ? Ah, oui, je voudrais bien essayer.Elle l’a essayé. Le concombre avait un côté plus petit et un bien plus gros et elle a essayé les deux bouts mais c’est en lui enfonçant dans l’anus que ça m’a le plus excité et en plus, le concombre s’est cassé et il a disparu dans l’anus et elle a eu du mal à l’expulser puis nous l’avons épluché et nous l’avons mangé en salade. Sur le quai de la gare, je lui ai dit qu’il y a une chose qu’on n’a pas fait. Elle s’est étonné. Je lui ai dit que je voudrais lui rouler une pelle. Elle m’a répondu qu’on ne dit plus ça. On s’est mis à l’écart et on s’est embrassés avec la langue. Elle est monté dans le Thalys et elle m’a dit qu’elle reviendra puis elle m’a fait le signe avec les doigts fermés et l’index, la bite dans le trou et le train s’est éloigné.Quand je suis rentré chez moi, je me suis branlé. Ce soir-là, ma petite-fille m’a téléphoné et elle m’a expliqué le fonctionnement de Skype et j’ai pu la regarder se faire baiser par ses amis anglais mais ma femme est rentrée de l’hôpital et ça s’est terminé.Quand elle est revenue nous voir, j’ai baisé Sophia dans l’appentis. J’ai trouvé que ses trous étaient bien larges mais ça a quand même marché. On s’y retrouvait le matin et l’après midi et parfois le soir. Comme elle avait ses règles, je l’ai enculée puis peu de temps avant son départ, on a failli se faire surprendre par sa grand-mère. On s’est quand même fait gauler.- Qu’est-ce que vous faites, nous a demandé sa grand-mère ?J’avais eu le temps de me rhabiller mais Sophia n’avait eu que le temps de remettre sa petite culotte.- Vous êtes dégoûtants ! Baiser sa petite-fille, nous a crié sa grand-mère !Sophia s’est sacrifiée en disant que c’est elle qui m’a forcée. Je me demande encore si mon épouse l’a cru. En tout cas, elle m’a fait la tête pendant un bon bout de temps puis elle a fini par me pardonner. La maison d’à côté a été venue et de nouveaux habitants sont venus. Ils avaient une fille et elle venait de fêter ses dix-huit ans. Ils nous invités à prendre un verre. Quand je me suis retrouvé seul avec leur fille, elle m’a dit qu’elle est encore vierge puis elle a ajouté qu’elle veut apprendre à faire l’amour avec quelqu’un d’expérimenté et du coup, j’ai continué avec elle.

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[VU SUR LE NET] Kary-21En octobre Madame m’avait demandé de prendre deux journées de congé supplémentaire associé à la fin de semaine, donc un jeudi et un vendredi. J’ai réussis à avoir ses congés parce que je peux souvent les inter-changer avec des compagnes de travail. Ce qui fait que je devais une fin de semaine à mon amie Ariane lorsqu’elle en aurait de besoin.Cette fin de semaine-là, Madame avait une réunion d’affaire à Paris le vendredi après-midi. Nous avons donc pris l’avion à Montréal le jeudi aux environs de 17h00 pour arriver à Charles de Gaule le lendemain très tôt. Le seul voyage que j’avais fait dans ma vie c’était une petite escapade de 7 jours à Cuba deux ans plus tôt avec une compagnie aérienne à rabais. Cela m’a fait tout drôle de voyagé sur air France en classe affaire. Il y avait de l’espace autour de nous avec un service digne d’une princesse. Pénélope à fait un somme pendant la traversée de l’atlantique, mais moi, j’étais tellement excité par ce voyage que je n’ai pu fermer l’œil de la nuit.À l’aéroport nous nous sommes engouffrées dans un taxi qui nous a conduits à un hôtel près du Louvre. Après avoir diné Madame m’a laissé seul à l’hôtel et elle est partie à son rendez-vous. J’ai erré un peu aux alentours pour retrouver ma bien aimée juste à temps pour le souper. Nous avons ensuite fait une balade à pied en amoureuse pour nous retrouver sous les draps bien chaud à l’hôtel.Le lendemain nous avons visité le Louvre, il était évident que pour Pénélope cela était du déjà vue. Mais moi, je me sentais comme une petite fille qui découvre Walt Disney pour la première fois. La journée du samedi s’est déroulée comme un conte de fées. Visite, diner, tendresse, caresses, soleil, j’étais sur mon petit nuage. Le dimanche matin la réalité m’a rattrapé. Nous avons fait les bagages et hop à l’aéroport pour le vol de retour. Nous avons pris un bon repas dans un restaurant à Montréal, puis Pénélope m’a déposé chez moi sur la rive sud. Et oui, je devais retourner au travail le lundi matin. Et je me souviens mon amusement lorsque mes compagnes de travail me demandaient ce que j’avais fait pendant ma fin de semaine…-Bof! Visite du Louvre et un souper en amoureuse à Paris samedi soir…Ce fut une petite escapade de rêve. Pénélope avait seulement amené Karine dans ce voyage. Tout avait été si idyllique que j’en avais oublié kary. Mais avant de repartir, Pénélope m’avait bien spécifié que la semaine qui suivait, elle la passerait avec kary. Alors après m’a première journée de travail, c’est kary qui a pris le chemin du domaine de Madame.Comme elle me l’avait demandé je suis passé me mettre nue au donjon, j’ai enfilé une cagoule et je me suis dirigé chez Madame. J’ai traversé l’allée nue comme un ver. Madame m’avait permis de faire le trajet debout. Je suis entrée par le garage pour me rendre directement à la cuisine ou Sylvie, la cuisinière, m’attendait. Je devais suivre ses instructions à la lettre.-Bonjour Madame Sylvie-Bon, tu ne dis plus un mot de la soirée. Même pas en compagnie de Madame, lorsque je te donne un plat tu vas faire le service. Madame vient d’arriver, elle s’attend à un service impeccable de ta part.Sylvie m’a fait signe de prendre le bol de soupe qu’elle venait de verser. Je l’ai pris et me suis rendu à la salle à manger. Madame était là, sérieuse faisant semblant de ne pas me voir, de ne pas me connaître. J’ai déposé le bol de soupe devant elle et elle m’a fait un signe de la main m’incitant à retourner à la cuisine.-Très bien kary, à chaque fois que tu reviens à la cuisine je veux que tu te places dos à ce petit mur et que tu attendes que je te fasse un signe pour exécuter le reste du service.Sylvie vérifiait toujours ou Madame en était rendue avec son repas pour pouvoir réagir immédiatement et enclencher la suite. Tout à coup, un signe de Sylvie et je suis allé chercher le bol de soupe vide de Madame, pour ensuite lui rapporter une salade verte. De retour à la cuisine je me suis de nouveau adossé au petit mur en attendant ma prochaine directive. J’ai fait cela durant tout le souper. Ensuite Sylvie m’a donné mon souper dans mes gamelles par terre.Un peu plus tard j’ai servi d’appui pied pour Madame pendant qu’elle regardait la télé ou qu’elle travaillait à son bureau. Finalement à 9h30 je suis retourné chez moi. J’ai fait ma toilette et écrit mon journal. Le lendemain matin je suis retourné au travail. Ce fut comme cela toute la semaine. Une sorte de d’entrainement pour faire le service. À chaque journée Sylvie corrigeait canlı bahis şirketleri certaine de mes erreurs, m’obligeait à me tenir très droite, à marcher avec élégance, à faire des mouvements fluides dans mon service etc…Le vendredi ce fut encore la même chose. Je suis arrivé à la cuisine et je me suis adossé au petit mur en attendant les ordres de Sylvie. Soudain Sylvie m’a demandé d’aller porter deux bols de soupes à la salle à manger. Deux bols… Madame avait-elle un invité? Tout à coup je me suis sentie très nerveuse. J’ai saisis les deux bols et je me suis dirigé vers la salle à manger. À la table il y avait Madame et une autre femme. Celle-ci devait avoir fin quarantaine ou début cinquantaine. Elle me regardait avec intérêt et un sourire malicieux.J’ai déposé un premier bol de soupe devant cette dame puis l’autre devant ma Maitresse. Madame m’a regardé avec un grand sourire. J’allais repartir pour la cuisine…-Est-ce que tu connais cette dame kary?J’ai fait un grand signe que non de la tête sans dire un seul mot car j’aurais eu droit à une punition.-Parfait… met toi à genoux ici, tête bien droite et mains dans le dos.Je me suis mise à genoux au côté de madame. De cet endroit je pouvais voir l’invité de Madame qui se trouvait à sa gauche. Elle me regardait de la tête aux genoux sans arrêt. Pour une femme de cet âge elle était très belle. Son habillement en disait long sur sa personne. Tallon aiguille, pantalon de cuir et chemisier blanc très classe. Son regard était vif et sévère.-Alors ma chère Amanda, comment trouvez-vous ma petite chienne?-Elle semble très bien et avoir bénéficié d’une bonne éducation.-Comme je vous ai dit déjà je suis quand même une novice dans le domaine, j’ai fait de mon mieux pour la mettre à ma main.-Ne soyez pas si modeste Pénélope, vous avez vraiment fait du bon travail à première vue.-Je commence juste à prendre mes marques en tant que Maitresse et je suis très heureuse que vous m’ayez offert de profiter de votre expérience pour continuer l’éducation de cette petite chienne.-Je vous en prie Pénélope, si on ne peut plus se donner de coup de mains entre Maitresse….Au fur et à mesure de leur conversation une zone d’ombre se dessinait dans mon cerveau. Qu’allait-il se passer durant cette soirée, qu’est-ce que cela impliquait pour moi. Je perdais doucement le contrôle de mon corps. Des tremblements se manifestaient au niveau de mes jambes. Il commençait à faire très chaud sous cette cagoule.-Vous voyez cher Pénélope j’ai 25 ans d’expérience avec des soumis et soumise et je ne cesse d’apprendre.-HA bon!-Et oui, La chose la plus importante que j’ai apprise c’est qu’il faut toujours y aller avec subtilité et progression pour en faire de bonne petite chose à notre service et complètement dévouées.-Je suis totalement d’accord avec cela… La progression.-Il faut au fil du temps apprendre à modifier l’esprit de ces petites choses pour qu’elle n’est qu’un seul but, nous servir. Il faut que cela soit leur plaisir.-Oui bien entendu-Il faut que votre soumise devienne vraiment une petite chienne. Fidèle à sa maîtresse sans conditions.-Mais cela passe par une bonne éducation-C’est là le but de tous les exercices que je vais vous enseigner en fonction de vos attentes envers votre soumise. C’est un long processus ou la discipline est très importante.-Je suis tellement heureuse de pouvoir profiter de vos conseilles…-Il n’y a pas de quoi cher Pénélope, entre Maîtresse nous pouvons nous aider.J’écoutais attentivement leur conversation. Cela me rassurait un peu, mais je ne comprenais pas exactement ce que Madame pouvait apprendre de plus de cette Maîtresse. J’étais déjà toute dévouée à Madame et j’étais bien à ses côtés et à lui obéir.-Pour le reste du service, tu le feras sans ta cagoule.J’ai fait un geste de la tête pour acquiescer. Puis un geste de Madame, et j’ai rapporté les bols de soupe à la cuisine. Pour la suite du repas Madame et la Maîtresse invitée arrêtaient de parler lorsque je venais les servir et je devais immédiatement retourner à la cuisine avec Sylvie. De cet endroit je ne pouvais pas suivre leur conversation. Elles ont discutées pendant tout le souper, je les ai entendu rire de bon cœur aussi, je crois bien que cela était à mes dépends bien entendu.Après le repas j’ai dû accompagner Madame et son invitée au salon. Madame et Maîtresse Amanda se sont assises sur la causeuse. Madame m’a faite mettre à genoux devant elles au milieu de la pièce, mains sur la tête et jambes écartées bien sûr. J’étais très canlı kaçak iddaa gêner, surtout parce que j’avais le visage découvert. C’était très intimidant de me retrouver devant cette femme sûrement quinquagénaire et qui m’était inconnu. Je sentais une tension monter en moi. Les deux femmes me regardaient sans dire un mot. Elles m’examinaient, j’avais l’impression que l’on me faisait passer un scanner.-Tu vois Pénélope ta soumise doit te faire confiance et t’obéir sans réfléchir. Dans n’importe qu’elle situation, elle devrait réaliser ton ordre sans hésiter.-Oui effectivement, mais cela n’est pas facile pour elle de faire abstraction du monde qui l’entoure et des différentes situations.-Bien entendu et c’est pour cela qu’elle doit être conditionné pour obéir sans penser.-Et comment réussit-on à faire ça?-Cela prend beaucoup de patience et de pratique ma chère.-J’imagine bien.-Comme une petite chienne tu dois la récompenser pour ses bonnes actions, mais aussi la punir pour sa désobéissance.-Oui, ça je le fait toujours.-Et très important, la progression dans son éducation et la répétition pour qu’elle assimile bien les ordres et qu’elle les exécute sans délais, comme si cela était une seconde nature pour elle, un réflexe en somme.-Je vois ou vous voulez en venir cher Amanda.-Vous me donnez le contrôle de votre petite protégé un instant cher Pénélope?-Euh!… Oui bien sûr…-Ne soyez pas crispée, je sais que c’est votre objet le plus précieux, alors je vais y faire très attention et je ne permettrai rien qui puisse vous choquer.-Allez-y, je vous la prête…… Alors demandez-lui de m’obéir, comme si c’était vous.-Kary à partir de maintenant tu dois obéir aussi à Maîtresse Amanda.Je me souviens encore de l’instant précis ou Madame a prononcé ces mots, même si cela fait déjà plus de 9 mois. Je me suis trouvé dans un tel inconfort. Mon corps est entré en mode panique. Je voulais appartenir à Madame, à Pénélope, juste à elle. Je ne savais pas ce qui m’attendait, mes jambes ont commencées à trembler. Puis j’ai aperçus les yeux de Maîtresse Amanda. Des yeux perçants, des yeux autoritaires, des yeux foudroyants. J’ai vu qu’elle commençait à éprouver du plaisir à prendre le contrôle de la petite chose qui se trouvait devant-elle, même si elle n’avait encore prononcé aucun mot, aucun ordre.-Masturbe toi petite salope.Ces paroles ont traversé mon esprit comme une bombe. Ma figure est devenue rouge tomate. Elle voulait que je me masturbe devant-elles. J’ai jeté un regard vers Madame. Son visage en disait long sur son mécontentement face à mon hésitation. J’ai alors immédiatement retiré mes mains de ma tête pour les diriger vers ma vulve, que j’ai commencé à masser doucement.-Garde ta main gauche sur ta tête.Cette fois j’ai obtempéré immédiatement. Maîtresse Amanda c’est levé et c’est approché de moi. J’ai eu droit à deux bonnes gifles au visage qui m’ont fait descendre la main gauche de ma tête. Elles n’étaient pas si intenses que cela, mais quand même bien senti. Et, hop une troisième gifle.-Replace ta main sur la tête, il n’y a personne qui t’a dit de l’enlever.J’ai obéit immédiatement tout en regardant Madame qui regardait la scène comme une élève bien sérieuse.-T’as eu tes deux premières gifles à cause que tu as hésité à obéir à mon ordre, tu comprends?J’ai fait un grand signe affirmatif de la tête.-À l’avenir tu me répondras, et tes réponses seront suivit d’un Maîtresse Amanda, t’as compris petite salope?-Oui Maîtresse Amanda… snifffff-Change de main et masturbe-toi avec plus de vigueur.-Oui Maîtresse Amanda.J’ai immédiatement placé ma main droite sur ma tête et j’ai commencé à me masturber de la main gauche en y mettant plus d’énergie. Maîtresse Amanda est retournée s’assoir auprès de Madame.-Vous voyez ma chère lorsqu’elle fait une faute aussi subtile qu’elle soit, elle doit être punie immédiatement pour qu’elle soit bien consciente de son erreur.-Je comprends.-Si ce sont de petites erreurs, alors de petites punitions, mais au contraire si votre petite salope n’arrive pas à se mettre quelque chose dans la tête, alors vous devez employer les grands moyen pour bien lui entrer dans le crâne son rôle à vos pieds.-D’accord.-La même chose, si elle réussit enfin à faire des choses selon votre volonté et que vous êtes fière d’elle, alors n’hésitez surtout pas à la récompenser.Ainsi Pendant qu’elles se faisaient la conversation, moi je me masturbais avec énergie au beau milieu du salon devant elles. Je commençais à m’habituer à la situation et je m’activais canlı kaçak bahis sans gêne, les observant et suivant leurs échanges verbaux. Soudain Sylvie est entrée dans le salon avec un plateau sur lequel il y avait des boissons. La gêne m’a sauté au visage et imperceptiblement j’ai ralenti la cadence masturbatoire. Ma situation était très inconfortable. Me voir ainsi observée par une des employées de Madame pendant que je faisais mon ballet génital devant les Maîtresse. Ouf! Quelle chaleur. Sylvie a déposé les boissons sur la table basse, puis elle a placé un bol d’eau au pied de la causeuse avant de repartir à la cuisine.-Sylvie, tu peux entrer chez toi je n’aurai plus besoin de tes services pour aujourd’hui.-Bien MadamePendant que Sylvie s’éloignait, Maîtresse Amanda c’est levé pour s’approcher de moi. Elle a saisi un de mes seins fermement entre son pouce et l’index, puis là tordu tout en le remontant vers elle.-Tu penses petite sotte que je n’ai pas remarqué que tu avais ralenti la cadence lorsque la domestique est entrée.Avec son autre main elle m’a relevé la tête et sans que je m’y attende elle m’a craché au visage. Je sentais sa bave couler sur mon nez et ma lèvre supérieur. C’était dégelasse. Cette femme dans la cinquantaine qui me crachait dessus, ouachhhh.-Ouvre ta gueule salope et ne laisse pas tomber une seule goutte de bave sur le plancher.-Ouiiiii, Maîtressssse Amandaaaa.-Arrête de te masturber et entre tes doigts dans ta bouche… Tu peux aussi laisser pendre ta main droite le long de ton corps.Maîtresse Amanda m’a à nouveau craché dessus, mais cette fois sa bave est entrée directement dans ma bouche avant que je n’y insère mes doigts. Re ouachhhh. J’en avais des hauts le cœur. J’ai fait pénétrer mes doigts tous gluants dans ma bouche. Ma cyprine s’est mélangée à la salive de cette femme impitoyable qui me dominait sous les yeux attentifs de Madame. Maîtresse Amanda a saisi mon autre sein avec sa deuxième main et m’a tiré les seins vers le haut très fort. J’en avais les larmes aux yeux.-Écoute moi bien petite pute désobéissante, tu gardes tes doigts dans la bouche sans bouger et surtout n’avale pas le contenu de ta bouche si on tu vas le regretter, c’est compris?-Hummm ouiiiiii Mmmmaaaîtttressssee Amandaaaaa.Elle a ensuite libéré l’emprise sur mes seins et est retourné s’assoir près de Madame. Elles ont continué leur conversation comme si je n’existais pas. Pendant ce temps je restais à genoux devant elle. Oui je me souviens très bien de la douleur que j’éprouvais au niveau des genoux sans conter mes seins qui étaient resté douloureux. C’était la première fois que quelqu’un me pinçait les seins avec tant de force. Alors, j’étais là, au milieu de la pièce avec ma douleur. Ma bouche se remplissait de liquide sans que je puisse avaler pendant qu’une larme coulait sur ma joue. Après un certain temps j’ai senti la bave couler sur mon menton pour retomber sur ma poitrine.Je me sentais sale et dégoutante. En même temps, à ma grande surprise j’éprouvais du plaisir à être dominé de la sorte. L’action dégoutante de me faire cracher au visage avait généré un état de plaisir en moi. Cette vieille Maîtresse qui me dégradait pour m’obliger à être qu’une chose que l’on utilise pour son plaisir. Elle m’obligeait à me dépasser, à surmonter mes dégouts, mes peurs. Cela faisait déjà deux fois que je recevais une punition pour avoir hésitée. Je me devais d’être meilleure, d’être dévouée pour que Madame soit fière de moi. J’essayais donc de ne plus penser à cette bave qui coulait sur moi et à me tenir bien droite devant elles. Après de longues minutes…-Tu peux enlever tes doigts de ta gueule, avale tout, je ne veux aucune gouttes sur le plancher ou sur ton corps s’est bien compris?-Oui Maîtresse Amanda.J’ai retiré ma main après l’avoir bien léché et avaler le contenu de ma bouche. J’ai raclé mon visage et mon corps pour récupérer tout le liquide visqueux qui s’y était déposé. Puis j’ai vu qu’il y avait une petite flaque par terre. Sans bien y pensé je me suis accroupie et je l’ai léché avec entrain pour la faire disparaitre en vitesse pour obtenir les bonnes grâces de Maîtresse et rendre fière Madame. Ensuite je me suis remise à genoux devant elles. Maîtresse Amanda s’est levé et s’est approché de moi. Qu’est-ce que j’avais fait de pas correct cette fois? Maîtresse m’a caressé la tête, elle s’est penchée et m’a embrassé le front.-Bonne petite salope, tu vois que tu peux obéir et être à la hauteur. Je suis fière de toi maintenant.-Merci Maîtresse Amanda.-Tu peux aller boire un peu d’eau pour ta récompense.-Merci Maîtresse Amanda.J’ai marché à quatre pattes jusqu’à mon bol d’eau près de la causeuse et j’ai épanché ma soif à la manière d’une petite chienne, en lapant et avec le cul bien exposé….

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Meine Geschichte vom Mann zum Sklaven 3Die ganze Nacht konnte ich nicht richtig schlafen. Ich hatte wirre Albträume, sah mich nackt durch die Innenstadt laufen. Die Menschen haben sich nach mir umgedreht und über mich gelacht. Und dann waren da die ganzen Männer, die Ihren Schwanz herausholten und ich musste jeden blasen. Ich musste dabei so viel Sperma schlucken dass ich mich übergeben musste, zumindest imTraum. Ich kotzte eine weiße Soße heraus, literweise. Jeder pumpte und pumpte immer weiter. Ich musste schlucken, jeder ein Wasserglas voll. Es schmeckte seltsam, ich konnte mir ja nicht vorstellen wie Sperma schmeckt, weil ich noch nie welches geschluckt hatte. Als ich dann zwischendurch wach wurde, hatte ich einen so steifen Schwanz dass es wehtat. Meine Frau neben mir merkte davon nichts. Und als ich dann weiterschlief, landete ich in einem Bordell für homosexuelle Männer. Angeschnallt auf einer Bahre, die Beine hoch, hinter meinen Kopf gebunden. Die Männer standen an, um mich anal zu nehmen. Mein Arsch war so rot, so gefühllos, dass es nicht zu beschreiben war. Ich hatte das Gefühl dass mein Bauch und mein Darm anschwollen von dem ganzen Sperma. Und zwischen den Männern, wenn der eine durch den nächsten abgelöst wurde, hatte ich das Gefühl ein Strom von weißer Brühe läuft ungebremst aus meiner Rosette heraus, die ich unfähig war zu schließen, geschweige denn zu kontrollieren. Als ich dann morgens aufstand war ich schweißgebadet. Mein Schwanz tat weh von dem Dauerständer und auch meine Rosette tat weh, ohne dassdies real passiert war. Ich verstand mich nicht mehr. Ich ging unter die Dusche und versuchte mich zu wichsen. Aber obwohl mein Schwanz so steif war, wie schon seit Jahren nicht mehr es klappte nicht. Denn kurz vor dem Kommen ging mir durch den Kopf dass dies wohl nicht von Rudolf genehmigt worden war. Und ich fühlte mich schon ein gutes Stück wie sein Sklave. Und da ich nicht abspritzen konnte wurde meine sowieso schon hohe Geilheit noch größer. Es war Samstag und ich musste nicht arbeiten. Meine Frau wollte mit den Kindern heute und Morgen zu Ihrer Mutter fahren. Ich sollte zwar ursprünglich auch mitkommen, habe aber dann eine Ausrede gefunden. Es war jetzt gerade 09:20 und meine Frau und die Kinder waren losgefahren. Jetzt hatte ich fast zwei Tage in Ruhe über alles nachzudenken, was gestern geschehen ist. Ich machte mir gerade einen Kaffee, als mein Handy klingelte. Die Nummer kannte ich nicht, trotzdem ging ich ran. “Hallo Junior, störe ich dich beim Frühstück?” Eindeutig war das die Stimme von Rudolf. Mein Mund wurde trocken und es fiel mir schwer zu antworten.  “Nein, Sie stören nicht, ich wollte mir nur gerade eine Tasse Kaffee machen.” “Hast du heute Zeit? Ich wollte dir noch einige Zimmer in dem Haus zeigen. Hast du Lust zu kommen, oder soll ich dich abholen kommen?” Ganz verdattert antwortete ich. “Ja, ich habe heute Zeit. Ich kann mit meinem Auto auch zu Ihnen kommen.” “Ach was, ich komme dich gleich abholen. Mache dich schon einmal fertig. Ich weiß ja wo du wohnst. Ich bin in ca. 10 Minuten bei dir.” 10 Minuten. Keine riesige Zeitspanne. Ich ging schnell ins Bad und wusch meinen Penis sauber. Ich dachte… falls Rudolf wieder damit rumspielen wollte. Ich sah dabei in den Spiegel, sah in das Gesicht eines älteren Mannes. mit Stirnglatze und grauem kurzen Bart. Wieso stand Rudolf so auf mich? War es ihm ernst oder war es nur ein Spiel? Verstehen sie Spaß für geile alte Böcke wie ich einer war?Ich ging vor das Haus, damit Rudolf nicht aussteigen musste. Sein weißer Porsche kam gerade um die Kurve. Ich öffnete die Tür und stieg ein. Ich war mir unsicher ob ich den Sicherheitsgurt selbst anlegen sollte oder ober es wieder tun wollte. Rudolf merkte dies und griff wieder über mich und schnallte mich an. Dann fuhr er los. Wir waren noch keine 100 Meter gefahren, schon war seine Hand auf meiner Hose und kurz danach auch schon in der Hose. Er spielte ohne ein Wort zu sagen kurz mit meinem Schwanz, machte mich geil um dann die Hand zurück zu ziehen. Er nahm dann meine linke Hand und führte sie auf seinen Hosenschlitz. Dann öffnete er seine Hose und nahm meine Hand und führte sie in die Hose. “Du willst doch bestimmt wissen ob ich auch so ein kleines Pimmelchen habe wie du, oder?” Er blickte kurz lachend in meine Richtung. “Na los, darin ist keine Schlange, spiel mit meinem Schwanz!” Es war etwas zwischen Befehl und Frage. Also glitt ich mit meiner Hand in den Schlitz seiner Unterhose. Vom Gefühl her war es wohl eher eine Bermuda-Short-Unterhose. Und als ich hinein griff fand ich etwas großes, etwas sehr großes. Ich schätzte dass er, ohne dass er erigiert war, mindestens 20 cmlang war. Ich hatte noch nie seit meiner Kindheit, wo ich mit anderen Jungs Doktor gespielt hatte, einen Schwanz von einem anderen Mann in der Hand. Die Haut fühlte sich weich und warm an. Und der Schwanz war, anders als bei mir,f est und weich zugleich. Ich begann nach oben zu wandern und bemerkte dabei, dass die Eichel frei lag. “Sind Sie beschnitten?” fragte ich ganz überrascht. “Ja, ich bin Jude und da wirst du schon als kleines Kind beschnitten. Macht dir das etwas aus?” “Nein, gar nicht. Ich weiß nur nicht wie ich Sie wichsen kann. Weil bei mir die Vorhaut vor und zurückgezogen wird. Ich will nichts falsch machen.” Rudolf lachte. “Mache wie du es für richtig hältst. Du kannst nichts falsch machen.” Ich begann die Eichelzart zu reiben und den Schwanz zu kneten. Sogleich spürte ich wie Blut in denSchwanz schoss und er steif wurde. “Das machst du sehr gut, für das erste Mal.” illegal bahis Wir waren schon außerhalb der Ortschaft und Rudolf fuhr rechts ran. “Willst du versuchen ihn zu blasen? Traust du dir das zu oder ekelst du dich davor?” Irgendwie hatte ich diese Frage erwartet. “Wie soll ich sagen. Ich konnte mir gestern Morgen nicht vorstellen den Schwanz eines anderen Mannes zu berühren, zu wichsen, geschweige denn zu blasen. Aber es ist ja IHR Schwanz, und das hat einiges geändert. Wenn sie wollen probiere ich es. Ich hoffe ich stelle mich nicht zu dumm an.” Rudolf lachte. “wichs ihn hier noch ein wenig weiter. ich mag das sehr. Aber blasen kannst du mich nachher, wenn wir im Haus sind.” Er blinkte und fuhr dann weiter. Vor dem Haus angekommen schloss er seine Hose und ich tat das gleiche. Dann öffnete er mir wieder die Autotür. Wie als ob dies ganz selbstverständlich war griff er mit seiner rechten Hand hinten in meine Hose und tätschelte meinen Hintern.So schob er mich dann auch Richtung Haustür. Wir gingen wieder zum Studio.  Ich ging sofort wieder in meine Ecke und zog mich direkt aus. Dann ging ich mit gesenktem Kopf zu meinem Herren und kniete mich vor ihn. Rudolf hatte sich zwischenzeitlich auf einen Stuhl gesetzt. Er beschäftigte sich mit einer Kamera, die vor ihm auf dem Tisch lag. Er sah mich an und lächelte. Dann spreizte er die Beine auseinander, und öffnete die Hose. Er sagte kein Wort. Ich wusste was ich zu tun hatte. Er zog seine Hose noch etwas runter und auch seine Unterhose. Was mir dann entgegen sprang war sehr, sehr groß. Im Auto hatte ich seinen Schwanz schon in der Hand. In Natura war es etwas ganz anderes. Das ein kleiner Mann so ein „Ding“ haben konnte, ich fasste es nicht. Die Eichel war sehr dunkel, das Fleisch des Schwanzes dagegen sehrhell. Ich beugte mich vor, stützte mich mit den Händen auf dem Boden ab und begann langsam den Schwanz zu küssen, zart, sanft. Ich zog den Geruch von Moschus, Urin und der Haut in mich auf. Es war ein seltsamer Geruch. Aber auch kein schlechter. Es war, als ob ich diesen Geruch schon seit Urzeiten in mir gespeichert hatte. Dann begann ich den Schwanz zu lecken. Meine Zunge glitt langsam von oben nach unten in Richtung Eichel. Ich spürte schon die erste Wirkung. Sein Penis begann härter zu werden. Und er richtete sich langsam auf. Nun nahm ich die Eichel in den Mund und leckte an der Spitze unter der Harnröhre. Ganz zart aber indem ich die Zunge hin und her bewegte. Rudolf schloss die Augen und der Schwanz wurde jetzt richtig steif. Ich ging mit dem Kopf kurz zurück um ihn zu begutachten. Er hatte mindestens 22 cm, eher länger. Und als ich wieder die Eichel in den Mund nahm spürte ich die Hände von Rudolf sich um meinen Kopf legen. Und dann drückte er so fest den Kopf in Richtung Scham und Schwanz, dass sein harter Schwanz mir hinten im Hals anschlug. Ich war so überrascht dass mir das Würgen erst später kam. Er fickte meinen Mund, indem er meinen Kopf vor und zurückzog. Die Zärtlichkeit, mit der ich begonnen hatte, hatte sich innerhalb einer Sekunde in einen harten deepthroat Blowjob verwandelt. Ich war kurz davor mich zu übergeben, und ich wollte mich schon aus seinen Händen winden, doch ein Teil von mir schaltete genau in diesem Moment ab. Was in mir, meinem Verstand, was davon noch übrig war, vorging, ich hätte es nie geglaubt. Ich war zu reinem Fleisch geworden. Es war sein Recht mich in den Mund zu ficken, wie und wann er es wollte. Ich war nicht mehr ich selbst. Wie lange er mich fickte weißich nicht mehr. Nach dem ersten Schrecken versuchte ich noch so gut es ging mit dem Saugen und blassen weiter zu machen. Doch er hatte die Initiative übernommen. Ich kniete vor ihm und spürte in meinem Hals, meinem Mund nur dieses harte, dicke und gewaltige Ding. Und dann wurde er kurz noch steifer. Und e rpumpte ab. Ich verschluckte mich, und wollte husten, aber es ging nicht, denn die Soße lief weiter. Nein, kein Wasserglas voll, aber dennoch mehr als ich jea bspritzen konnte. Dann war er fertig, ließ meinen Kopf frei und ich konnte endlich alles runterschlucken. Teile seines Spermas waren auf den Boden getropft.Ich sah es, entschuldigte mich dafür und leckte sie auf. Tränen standen mir in den Augen und ich musste heulen. Ich war nicht mehr der Mann der ich vorher war, ich war kein Mann mehr, ich war Fleisch, sein Fleisch.  Eine Hand griff unter mein Kinn und hob meinen Kopf hoch, den ich gesenkt hatte. Rudolf lächelte mich an. Dann knallte er mir eine Ohrfeige an die Wange. „Den Blowjob hast du gut gemacht. Die Ohrfeige ist dafür, dass du meinen Saft hast auf den Boden fallen lassen, und dass du geweint hast, ohne dass ich es dir erlaubt habe.“ „Mein Herr“ sagte ich wimmernd, „ich weine auch aus Freude“. Zack, schon hatte ich die nächste Ohrfeige.„Habe ich dir erlaubt zu reden? Ich glaube, wir müssen andere Saiten aufziehen.„ Mit diesen Worten zog er die Schublade auf, und holte einen Lederriemen heraus. Erst auf den zweiten Blick erkannte ich, dass es ein Hundehalsband mit Leine war. Er legte mir das Halsband um, befestigte die Leine daran, schloss die Hose und zog mich an dem Halsband nach oben. Ohne ein Wort zu sagen zog er mich an der Leine hinter sich her aus dem Studio heraus. Wir gingen im Flur zur Tür davor und betraten den Raum dahinter. Rudolf schaltete das Licht an. Der Raum war fast genau so groß wie der Raum vorher, hatte nur ganz andere Geräte. Es war ein richtiger BDSM Raum. In der Mitte war ein Andreas-Kreuz. Er zog mich zu dem Kreuz und ich stellte mich mit den Füßen in Aussparungen und hielt mich illegal bahis siteleri mit den Händen an Griffen fest. Dann ging Rudolf auf die Knie, und ich spürte wie er meine Fußgelenke, dann die Handgelenke, und zum Schluss über die Höhe meines Bauches einen Gurt festzog. Ich war fixiert, konnte mich nicht mehrbewegen. Er sagte keinen Ton, ging hinter mir in den Raum. Dann hörte ich ein Zischen in der Luft. Sodann trat er neben mich, und dann das nächste Zischen. Mit einem Rohrstock versohlte er meinen Arsch. Fünf Mal, zehn Mal schlug er zu. Ich versuchte nicht zu schreien, konnte aber am Ende nicht mehr und musste Stöhnen.„Was bildest du kleiner Sklave dir ein einfach die Herrschaft anzureden, ohne gefragt zu werden. Du bist ein Stück Dreck ohne mich. Und mit mir bist du Fleisch, mein Fleisch, sonst nichts. „ Dann trat er hinter mich und strich über die Wundgeschlagenen Arschbacken. „Aber du machst mich geil, mein kleiner Junior. Einfach geil. Ich mache dich jetzt los und dann drehst du dich um. Ich mache dich dann wieder fest, verstanden?“ Ich nickte nur mit dem Kopf, weil ich Angst hatte zu antworten. Zack hatte ich noch zwei Schläge mit dem Rohrstock auf meinem Arsch. „Das heißt ja mein Herr.“ Schnell sagte ich nun „Ja mein Herr“. Rudolf löste meine Fesseln, dann drehte ich mich um und erfesselte mich nun wieder so wie eben, nur war ich nun mit dem Rücken an dem Kreuz. Er nahm meinen Schwanz und wichste ihn. „Hat dich das eben geil gemacht, mein kleiner Junior?“ Ich wusste erst nicht was ich sagen sollte, sagte aber dann „Ja mein Herr“. „Soso, du wirst geil ohne dass ich es dir erlaubt habe.“ Er trat zurück, nahm den Rohrstock und hiebt mir über den Bauch. Schon zeichnete sich auch hier ein Streifen ab. Er nahm wieder meinen Schwanz, griff mir dann aber in die Hoden, die sich in den Körper zurückgezogen hatten. „Soso, und auch deine Eier verstecken sich vor mir.“ Er wollte wohl noch etwas sagen, da klingelte sein Handy. Er sah auf das Display und lachte. Dann schaute er zu mir. „Wir bekommen Besuch Junior.“ Ich hörte ein Summen und dann wie eine Tür weit weg geschlossen wurde. Rudolf rief „Wir sind im Spielzimmer, kommt herein.“ War ich eben nur kaputt von meiner Weinerei, von meinen Schmerzen, so war es nun, als ob icheinen Eimer eiskaltes Wasser ins Gesicht bekommen hätte. Besuch? Ich hierabsolut nackt und ausgeliefert am Andreaskreuz. Wehrlos, hilflos. Und Rudolf schien dies zu genießen. Die Tür ging auf und zwei Frauen traten ein. Die erste war sehr groß, ca. 185 cm groß. Sie trug einen Grauen Hosenanzug, Schwarze HighHeels mit schwarzen Nylons darunter und eine weiße Bluse. Sie hatte eine schwarze Damentasche in der Hand. Sie hatte blaue Augen, einen kurzen, fast männlichen Haarschnitt, der die Ohren freilegte, hohe Wagenknochen und ein spitzes Gesicht. Sie war perfekt, aber dezent geschminkt. Ihre roten Fuß- und Fingernägel machten sie zu einer perfekten Frau. Sie war einfach geil. Die andere Frau war viel kleiner, etwa 165 cm groß, mollig und trug einen braunen Rock bis kurz oberhalb der Knie. Sie hatte auch eine weiße Bluse, dunkle Nylons und trug schwarze Pumps. Auch sie war dezent und perfekt geschminkt. Aber bei ihr stimmte etwas nicht. Ich wusste nicht was. Beide Frauen waren etwas älter als 30. „Darf ich vorstellen, dass ist Junior. Junior, dass ist Frau von Waldstadt mit ihrer Zofe.“ Ich wusste nicht was ich sagen sollte. Aber dann rutschtemir ein „Guten Tag gnädige Frau“ heraus. „Guten Tag, welch nette Begrüßung. Nicht wahr liebe Klara? “Der Tonfall der großen Frau war sehr dunkel, fast männlich. „Ja meine Herrin. „sagte dann kleine. Und da fiel es mir wie Schuppen von den Augen. Es warenMänner, oder Transvestiten, oder Transsexuelle, jedenfalls irgend so etwas. Ich hatte noch nie so jemand kennengelernt. Und jetzt zwei Stück. Auch wenn es Männer waren, sie sahen absolut geil aus, sogar die kleine Mollige. Nicht wie sonst in den Vorurteilen, überzogen, zu viel Rouge oder zu dick aufgetragene Dinge. Sie waren perfekte, gestylte Frauen. Und ohne ihre Stimmen, hätte ich mir auf der Straße den Kopf nach ihnen verdreht. „Wenn du erlaubst, Rudolf, darf Klara ihn abmachen, damit er uns angemessen begrüßen kann?“ die Frau von Waldstadt sah Rudolf fragend an. Dieser nickte nur mit dem Kopf. Sofort begann die Zofe mich abzuschnallen. Als ich frei war, ging ich sofort auf die Knie und beugte mich vor, den Kopfgesenkt. „Küsse die Füße der Damen, so begrüßt ein Sklave dier ranghöheren Herrschaften.“ Ich kroch auf den Boden zu den Damen. Ich küsste zuerst derFrau von Waldstadt die Füße. Es machte mich absolut geil, diese Füße, die in Nylons und High Heels steckten zu Küssen. Ich küsste sie auf beide Füße, dann kroch ich zur Zofe, und auch ihr küsste ich beide Füße. „So, naturdevot hast du gesagt Rudolf. Ohne Diazepam oder ähnliches? Erstaunlich. Stehe auf Sklave.“Ich erhob mich, senkte den Kopf und verschrenkte die Händeauf dem Rücken. Die Frau ging langsam um mich herum und ihre Hand glitt dabei über meine Haut. Es war ein sehr erregendes Gefühl. Ich bekam zwar keinen steifen Schwanz, aber er wurde nass, richtig nass. „Und warum hat der die Striemen am Arsch?“ Die Frau sah Rudolf fragend an. „Nun, ich bin natürlich noch dabei ihn zu erziehen, und e rhat geredet ohne die Erlaubnis dazu zu haben. „„Rudolf“. Die Frau schüttelte den Kopf. „Wenn du mit deinen seltsamen Erziehungsmethoden anfängst, dann ist er nachher versaut. Du weißt doch dass wir auf Standards und Befehle großen Wert legen. Wie soll der Armen achher die von seinem Erzieher lernen, canlı bahis siteleri wenn er vorher schon von dir andere Befehle gelernt hat. Überlasse es uns. „ Rudolf zuckte nur mit den Schulter. „Wie Sie wünschen. Nehmen sie ihn gleich mit?“Hallo, was heißt das? Nehmen Sie ihn mit. Ich wollte etwas sagen, aber dann überdachte ich meine Situation. Ich war nackt, mit einem Halsband und einer Leine, und ich war Sklave, und nicht zuletzt, ich war geil, so geil wie noch nie in meinem Leben. Und nein, ich konnte nicht widersprechen. „Was meinst du Klara, sollen wir ihn mitnehmen? Glaubst du er ist es wert? „ Ohne ein Wort zu sagen nahm Klara aus ihrer Handtasche zweischwarze Latex Handschuhe und zog sie an. Dann nahm sie ein Döschen heraus. Vaseline. „Beuge dich über den Stuhl und die Beine auseinander.“ Ich tat wie sie befohlen hatte. Dann spürte ich, wie hinter mich trat und mir zwischen die Arschbacken griff. Sie zog sie auseinander und dann stach ein Finger in meinen Anus. Ohne Vorwarnung. Wegen der Vaseline war es aber zu ertragen. „Nun, er ist sehr eng, gnädige Frau. Für sein Alter wirklich sehr eng. Darf ich ihn einmal ausprobieren?“ Ich sah nicht was die Frau sagte, aber weil Klara begann den Rock auszuziehen, was ich in einem verstohlenen Blick nach hinten sehen konnte, war es wohl ein ja gewesen. Klara hatte einen Schwanz, einen normalen Schwanz, der etwas größer war als meiner. „Auf die Knie und blaß mich steif,“ befahl Klara. Ich ging auf die Knie und begann mit der Arbeit. Schnell hatte ich ihren Schwanz steif. Wieso eigentlich ihren, es war ein Mann, und dennoch war es im Moment eine Frau für mich. Sehr schnell schaffte ich es dass der Schwanz steif war. „Beuge dich wieder über den Stuhl und gehe etwas in die Knie, ja so ist es gut, Beine breit, ja, genau so. „ Ich stand da und dann spürte ich an meinem Arsch ihre Scham, und spürte den steifen Schwanz, der sich seinen Weg in meine Rosette bahnte. Er war nicht groß, aber ich hatte das Gefühl zu zerreißen. Dann begann sie rhythmisch mich zu ficken. Ich war Sklave, wurde von einem Mann im Arsch entjungfert, der in Frauenkleidern rumlief und affengeil aussah. „Also er ist wirklich schön eng und gut zu stoßen, wollenSie auch noch gnädige Frau?“ während Klara dies sagte stieß sie weiter zu. Ich spürte dass es ihr sehr gefiel. Sie hielt mich an den Hüften und dann, anscheinend war sie in mir gekommen, beugte sie sich über mich, küsste meinen Rücken und ihre Nägel kratzten in meinen Rücken. „Miau, das Kätzchen hat den Sklaven gefickt. Lecke mich sauber.„ Ich drehte mich sofort um und sah wie Klara ein Kondom abzog, den sie vorher wohl schnell angezogen hatte. Nun leckte ich ihren Schwanz sauber. Sie hatte einen rasierten Schambereich und als ich fertig war konnte ich es mir nicht verkneifen sie dort zu küssen. Das schien ihr zu gefallen. „Ich würde ihn für geeignet einstufen. „ sagte Klara. „Nun Rudolf, du kennst ja die Vereinbarung in der Firma. Wir nehmen ihn nun mit, er bleibt aber bis zur Versteigerung dein Eigentum, das heißt du musst für seine Ausbildung und die Kosten aufkommen, erst wenn er einen Interessenten gefunden hat bist du aus dem Spiel raus. OK?“„Na klar meine Liebe, ist doch nicht das erste Mal dass ich so einen besorgt habe. Ich bin der Meinung dass es viel mehr Leute gibt, die sich für so einen Typ interessieren. „ Was sollte das, ich war mir meiner Situation bewusst, ich war nackt, hatte ein Halsband und eine Leine um, aber sonst war ich doch ein freier Mann. Niemand hatte mich gefragt ob ich verkauft werden wollte. In dem Moment kam Rudolf auf mich zu und blieb vor mirstehen. Er zog am Halsband und ich senkte meinen Kopf. Er lächelte mich an und küsste mich auf meine beiden Wangen. „Mach es gut lieber Junior. „ Mit diesen Worten umarmte er mich. Dabei war mir nicht die kleine Spritze aufgefallen, die er in der rechten Hand hatte. Er streichelte über meinen geschundenen Hintern. Ich dachte er wollte mich nun streicheln, doch er nahm nur Maß für die Spritze, die er mir dann in meine linke Arschbacke jagte. Dann drückte er die ganze Ladung hinein. In der gleichen Sekunde wurde mir anders. Mein Blick wurde verschwommen, und es begann sich zu drehen. Ich spürte wie ich müde wurde, schläfrig und gleichzeitig war mir alles von Sekunde zu Sekunde alles vollkommen egal. Die Spritze hatte meinen Widerstand, falls er überhaupt noch existierte, komplett aufgelöst. Klara nahm mich an der Leine und ich folgte ihr vollkommenteilnahmslos. „Komm Dicker, wir gehen.“ Wir gingen über den Flur hinaus ins Freie. Es war gerade wohl Mittag und die Sonne schien vom Himmel. Es war warm und ich spürte die Strahlen auf meiner Haut. Und es machte mir überhaupt nichts aus nackt zu sein. Es war normal und richtig so zu sein. Die Anderen waren bekleidet. Das war auch normal. Aber ich war nackt. Warum nur war ich nackt und nicht bekleidet? Die Gedanken drehten in meinem Kopf. Da fiel es mir wieder ein. Klar, ich war ja Sklave. Klara führte mich zu einem dunklen Mercedes SUV. Mit einem Druck auf die Fernbedienung klappte die Hecktür auf. „So Dicker, leg dich darein.“ Ich tat es. Ich lag nun mitten im Kofferraum. „So, sei schön brav und halte mir nun deine Füße und dein Hände hin.“ Ich tat es und wurde mit Kabelbinder gefesselt. „Und jetzt schlafschön.“ Mit diesen Worten holte sie eine weitere Spritze heraus. „Naja, es muss auch etwas Spaß machen”, sagte sie zu sich selbst. Sie lächelte, nahm meinen immer noch nassen Schwanz, zog meine Vorhaut zurück und betrachtete dann meine kleine, glänzende Eichel. Dann drückte sie die Nadel der Spritze in meine Eichel und drückte ab. Sofort wurde es dunkel um mich. Ich bekam nicht mehr mit wie der Kofferraum geschlossen wurde. Auch nicht wie wir weg fuhren. Für heute ist es das Ende, aber für mich war es der Anfangmeines Sklavenweges.

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Die Bestrafung (4) Erziehung zweier weiterer SklavEine Fortsetzung der fiktiven Geschichte!Bestrafung (4) Erziehung zweier weiterer Sklavinnen!Ich nahm mir nun die Sklavinnen, eine nach der anderen vor. Die Schwarzhaarige bekam von mir die Nummer 2 und die andere die Nummer 3. Zu meiner Zofe meinte ich nur: „Hol die zwei Sklavinnen aus dem Van. Du wirst sie dort angekettet vorfinden. Sie tragen beide einen Sklavenring um den Hals. Da kannst du die Leine einhaken und aufs Grundstück führen. Am Freisitz kannst du sie dann anketten. Ich werde mir dann noch überlegen was ich mit ihnen anstellen werde. Sie werden drei Monate bei uns bleiben.“ Meine Zofe Gabi ging wortlos zum Van und holte die zwei Sklavinnen ab und kettete sie, wie befohlen, am Freisitz an. Im Pokerzimmer, wo ich sie gewonnen hatte, und sie mir erst für vier Wochen überlassen wurde, bekamen sie die Order, Titten, Fotze und Fickarsch immer frei zu präsentieren. Was die Sklavinnen noch nicht wissen konnten, sie werden drei Monate bei mir sein. Danach werden sie zu willenlosen Ficksklavinnen, Sklavenhuren und Pisssklavinnen erzogen sein. „Es ist spät, geht jetzt pissen, dort in die Schüssel. Ich will es plätschern hören. Danach geht ihr ins Spielzimmer. Dort ist ein Käfig und ein Bett mit Gitterrost. Du, Sklavin zwei, du gehst in den Käfig zum Schlafen und du, Sklavin drei, wirst Dich auf den Gitterrost legen. Dort werde ich Dich zum Schlafen fixieren. Leg Dich hin, strecke Deine Arme ans obere Ende des Rostes, damit ich Dich dort fixieren kann. Und die Füße gespreizt an das andere Ende des Rostes. So werdet Ihr schlafen. Morgen holt Euch dann jemand ab und wir beginnen mit der Erziehung zur willenlosen Sklavin.“ Mit diesen Worten verließ ich die Beiden. Gabi ging nach Hause und ich beriet mit meiner Frau wie wir sie willenlos machen werden. „Ich denke,“ begann meine devote Ehefrau und fuhr fort: „sie sind beide fickgeil. Das habe ich schon beim Pokerspiel bemerkt. Lass sie von Gabi geil machen. Das kann sie gut. Sie soll beide lecken. Wenn sie richtig geil sind, sollen sie die Schüssel mit ihrer Pisse austrinken. Sie sollen doch beide Gefallen an Pisse haben. Wenn sie die Pisse ausgetrunken haben, bekommen sie Sextoys zum gegenseitigen aufgeilen. Wenn sie richtig geil sind, werden sie beide im Garten auf dem Boden fixiert. Ich will sie als Pisstoilette benutzen.“ Da meinte ich nur: „Die Idee ist gut. Sie sollen dann einen Analplug und Thai-Balls bekommen. Und die sollen sie den ganzen Tag tragen. Ich werde dann den Trainer der Fußballmannschaft anrufen und die Zwei zum Ficken anbieten. So, wie wir es mit meiner Sklavin eins gemacht hatten. Das sind zwanzig Fußballer. Die werden ihre Freude haben. Da sind für jede Sklavin zehn Schwänze, die sie melken sollen. Und wenn einer der Fußballer pissen muss, wird eine Sklavin als Pisstoilette alles aufnehmen. Aber das kommt erst später. Erst muss ich sie gefügig machen. Aber dazu morgen, nach dem Frühstück.“ Mit diesen Worten schloss ich und wir gingen zu Bett.Am nächsten Morgen ließ ich die beiden Sklavinnen von meiner Zofe Gabi wecken. Sie löste die Fesseln der Sklavin drei, die auf dem Gitterbett geschlafen hatte, und öffnete den Käfig um Sklavin zwei um sie raus zu lassen. Nachdem sie nun Beide wach und nicht mehr fixiert waren, illegal bahis legte Gabi beiden Sklavinnen die Hände auf den Rücken und Handschellen an. Jetzt befestigte sie an den Sklavenringen, die Beide um den Hals trugen, jeweils eine Hundeleine, die als Kette gearbeitet war, und führte sie nackt in den Garten, um sie mir vorzuführen. Da kamen sie nun, die Sklavinnen mit auf dem Rücken gefesselten Händen, und Gabi gebot ihnen, sich vor mir hin zu knien, um mir ihre Demut zu zeigen. „Ihr Sklavinnen,“ begann ich, „Ihr werden gemeinsam in die Großraumdusche und werdet Euch gegenseitig abduschen. Und denkt blos nicht, ich bekomme nichts mit. Euer Duschen wird gefilmt werden.“ Mit diesen Worten entließ ich die beiden Sklavinnen in die Dusche. Gabi löste noch die Handschellen der Zwei und führte sie an den Hundeleinen in die Dusche. Dort kettete sie nun los und kettete sie mit den aus Ketten gefertigten Fußfesseln in der Dusche an. Ich konnte das alles mittels meiner Internetkamera gut beobachten. Sie duschten sich gegenseitig, seifen sich mit Duschgel ein und duschten sich dann wieder ab. Sklavin drei nahm nun den Duschkopf und hielt den Duschkopf mit hartem Strahl auf die Fickspalte von Sklavin zwei. Dabei zog die mit ihren Fingern die Schamlippen auseinander und duschte nun das Fickloch der Sklavin aus. Natürlich hielt sie den Duschkopf auch auf die Clit, sodass sie einen geilen Orgasmus hatte. Nun nahm Sklavin zwei den Duschkopf in die Hand und revangierte sich und tat es ihr gleich. Nur, dass sie noch die Brustwarzen er Sklavin drei mit ihren Zähnen reizte. Sie nahm die Brustwarzen, eine nach er Anderen, zwischen ihre Zähne und fing an zu zubeißen. Nach einer Stunde unter der Dusche gebot ich meiner Zofe sie heraus zu holen. Sie hatten sich gegenseitig richtig aufgegeilt. So ließ ich sie dann mir wieder vorführen. „Euer Master,“ begann ich, „hat ja Eure Zugehörigkeit auf Eure Arschbacken tätowieren lassen. Da weiß jeder, der sich an Euch vergeht, wem Ihr gehört. Nur muss ich noch Eure Ficklöcher piercen. Eure Brustwarzen sind ja schon gepierct. Aber das werden wir nach dem Frühstück machen. Gabi wird Euch jetzt zeigen wo die Küche ist. Dort werdet Ihr das Frühstück vorbereiten und hier im Garten servieren.“ Mit diesen Worten schloss ich. Gabi nahm die zwei Sklavinnen bei den Ketten und führte sie in die Küche. Nach einer halben Stunde erschienen die Zwei und brachten uns das Frühstück. Da holte ich mit den Worten: „Damit Ihr Euch an Bestrafungsschmerz gewöhnen könnt, bekommt Ihr jetzt die Klemmen von meinem Überbrückungskabel zum Frühstück angelegt. Frühstücken werdet Ihr zu unseren Füßen aus den beiden Näpfen, die Ihr mitgebracht habt. Anketten wird Euch jetzt meine Zofe an den beiden Bodenanker, die in der Wiese eingelassen sind.“ Mit diesen Worten endete ich und gab Gabi den Auftrag die Beiden mit dem Überbrückungskabel zu verbinden und mit den Ketten am Sklavenring, den sie um den Hals tragen, jeweils am Bodenanker fest zu ketten. Nach dem Frühstück, es dauerte in etwa ein Stunde, löste Gabi auf meine Anweisung hin die Klemmen vom Überbrückungskabel und gebot Sklavin eins sich auf den Tisch zu legen. Mittlerweile stellte meine Frau die Kamera auf um alles zu filmen. Ich holte mein Piercingbesteck mit den Creolen und illegal bahis siteleri fing an die Schamlippen zu desinfizieren. Danach fing ich an die Löcher zu stechen. Es werden insgesamt fünf Löcher in jede Schamlippe sein. So kann man dann nach Belieben das Fickloch mit den Creolen verschließen, da die Löcher parallel angeordnet sind. Sie wollte sich erst wehren, aber da sie auf dem Tisch fixiert ist, hat sie keine Chance. Sie muss es über sich ergehen lassen, was sie auch tat. Die andere Sklavin sah zu und konnte sich schon auf die Piercings einstellen. Nach einer weiteren Stunde waren beide Sklavinnen gepierct. Jede hatte zehn Piercings an den Schamlippen, und ich musste feststellen, beim Piercen wurden beide Sklavinnen immer geiler. Da kam ich auf die Idee, ich wolle sie ja zu Pisssklavinnen ausbilden, also bekamen sie beide eine Maulsperre verpasst und sie wurden auf den Rücken auf der Wiese fixiert. Rein zufällig musste meine Frau pissen, da bot es sich an, Sklavin zwei ins Fickmaul zu pissen. Ich sagte ihr noch: „Lass es geschehen und nimm die Pisse meiner Frau auf. Schlucke alles und du wirst keine Schmerzen haben.“ Und sie tat es, zwar mit Widerwillen, aber sie tat es. Meine Frau setzte sich auf ihr Fickmaul und pisste alles in ihr geiles Pissmaul. Und sie schluckte. Jetzt musste auch Gabi, meine Zofe pissen. Sie tat es meiner Frau gleich und pisste Sklavin drei, die ebenfalls auf dem Rücken im Gras liegt, in das Pissmaul der Sklavin drei. Ihr schien es besser zu gefallen. Nachdem meine Zofe ihr alles ins Pissmaul gepisst hatte meinte die Sklavin nur: „Herr, Master, das ist so geil. Ich will Deine Pisssklavin sein. Piss mir bitte auch du in meine geiles Pissmaul.“ „Das ist genau das, was ich hören wollte,“ meinte ich nur und fuhr fort: „Ihr beiden Sklavinnen, Euch bleibt Euer Fickloch bis auf Weiteres verschlossen. Ich will nicht, dass Ihr einen Orgasmus bekommt. Geil werden sollt Ihr. Und Sklavin zwei, Du hast noch Probleme als Pisssklavin zu dienen? Ihr habt Gestern Abend in eine Schüssel gepisst. Diese Schüssel wirst Du austrinken. Solltest Du nicht alles austrinken, wirst Du mit dem Rest Dein Gesicht waschen.“ Mit diesen Worten ließ ich die Sklavinnen unter der Obhut meiner Zofe. Meine Frau und meine Zofe tranken ziemlich viel und mussten dem zu Folge viel pissen. Sie benutzten nun die nichtsnutzige Sklavin als Pisssklavin. Sie pissten in ihr geiles Pissmaul, in ihr Gesicht und auf ihren Körper. Abwaschen durfte sie die Pisse nicht, sie sollte sich an den Geruch der Pisse auf ihrem Körper gewöhnen. Mit der Zeit gewöhnte sie sich an den Zustand der Pisssklavin und genoss es als Pisssklavin benutzt zu werden. „Wenn Ihr zwei Sklavinnen ficken wollt, bleibt Euch nur ein Arschfick und ein Fick in Euer Fickmaul. So werden wir es zwei Wochen halten. Morgen kommen ein paar Freunde vom Kegelclub, die werdet Ihr bedienen. Die werden Euch in Euren geilen Fickarsch und in Eure Fickmäuler ficken. Und wenn sie pissen wollen, werdet Ihr auch die Pisse der Jungs gerne aufnehmen. Nur Eure Mösen bleiben verschlossen. Das hat noch Zeit. Sollte eine von Euch Beiden aufmüpfig werden, kommt sie im „Spielzimmer“ an den Pranger oder auf die Streckbank. Überlegt es Euch! Hier auf dem Grundstück werdet Ihr weiter nackt herum canlı bahis siteleri laufen, egal wer an der Tür läutet, Ihr werdet die Tür öffnen. Egal, was von Euch verlangt wird, Ihr werdet es ausführen.“ Mit diesen Worten übergab ich die zwei Sklavinnen meiner Zofe. Es dauerte nicht lange, und meine Zofe kam zum mir mit den Worten: „Die Sklavin zwei ist aufmüpfig. Sie sollte gezeigt bekommen, wo Ihr Platz ist.“ Da meinte ich nur: „So, sie ist aufmüpfig. Bring Ketten, Seile und Karabinerhaken her. Und dann die Sklavin. Ich wird sie hier im Freisitz, ähnlich, wie am Pranger, fixieren. Sie wird einen Analplug bekommen, und mit gespreizten Armen und Beinen an den Balken vom Freisitz fixiert werden. Und jeder, der Besucher, der will, kann sich an ihr austoben.“ Es dauerte nicht lange, und meine Zofe brachte die aufmüpfige Sklavin zwei, an der Kette gezogen, zu mir in den Garten. Dort fixierten wir sie, wie besprochen, zwischen den Balken. Es dauerte nicht lange und dann kamen auch schon die Jungs vom Kegelclub. Slkavin drei öffnete das Tor und die Jungs kamen herein. Sie gingen gleich zur Sklavin zwei, die zur Strafe im Freisitz präsentiert wurde. Sie spielten an ihr rum, streichelten den Kitzler und spielten mit den Brustwarzen. Da meine ich nur: „Nehmt Euch die andere Sklavin vor. Ihr könnt sie überall rein ficken, nur in ihre Möse nicht. Die ist erst nächste Woche wieder frei. Ob die andere Sklavin bis dahin wieder ficken darf, weiß ich noch nicht. Die war aufmüpfig.“ Dann gingen die Jung auf Sklavin drei zu und leckten sie an den Brustwarzen und auch ihre Clit bekam die eine und auch andere Zunge ab. Nun fing de erste Besucher an, sie mit seiner Zunge in den Arsch zu ficken. Da wurde sie so richtig geil und es dauerte nicht lange, und er steckte seinen erigierten Schwanz in ihr geiles Arschloch. Ein anderer Kegler steckte nun seinen harten Schwanz in ihr geiles Fickmaul und fickte sie so lange in ihr Fickmaul bis er abspritzte und alles in ihrem Fickmund verschwand. Sie schluckte alles. Auch der Arschficker spritzte in das geile Arschloch ab. Und die anderen drei Ficker kamen auch noch an die Reihe. Auf einmal meint einer der Jungs: „Ich muss pissen.“ Da meine ich nur: „Warte noch einen Augenblick, ich löse die Fixierung der anderen Sklavin. Die könnt Ihr als Pisssklavin nehmen. Sie ist zwar etwas aufmüpfig, aber pisst sie voll. Sie braucht das.“ Und es dauerte nicht lange, und Sklavin zwei bekam die erste Ladung Pisse in ihr geiles Pissmaul. Und sie schluckte alles. Zwei andere Jungs taten es ihm gleich. Sie pissten nicht nur in ihr Pissmaul, nein, auch auf ihren Körper. Allmählich schien es ihr zu gefallen. Ich dachte mir, gut, nimm ihr auch den Analplug aus ihrem Fickarsch. Nun kam der erste Kegler wieder in Wallung und nahm sich Sklavin zwei vor. Erst lässt er sich einen blasen, dann fickte er in ihren geilen Fickarsch. Kurz vor dem Abspritzen zog er seinen Schwanz wieder raus und fickte sie noch mal bis zum Abspritzen in ihr geiles Fickmaul. Und sie schluckte wieder alles. Auf einmal musste er pissen, auch das nahm sie bereitwillig auf. Ich glaube, jetzt ist sie so weit. Jetzt ist sie willig, alles zu machen. So ging es noch eine Weile weiter und nach drei Stunden ficken gingen die Jungs wieder. Zu den Sklavinnen meinte ich nur: „Zieht Euch zeigegeil an. Ich will Euch in einem durchsichtigen Top und einem ultrakurzen Mini sehen, keinen Slip und den Leder-BH, der die Brüste frei zeigt. Wir gehen essen.“ Mit diesen Worten ließ ich die Zwei gehen.So hätte es geschehen können!

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Wilder Urlaub – Paket 2 (VI – X)Teil VI – Der Sturm© LuftikusMama schien gerade recht viel Vergnügen darin zu finden, meinen Schwanz von oben bis unten zu lutschen und abzulecken, als unsere Wochenmarktbesucher zurückkamen. Natürlich ließen alle von allen Vergnüglichkeiten ab. Dafür war später immer noch Zeit, nun aber gierten alle nach Neuigkeiten. Wer hatte was gekauft? Und hatten sie uns auch etwas mitgebracht?Marina, Angie, Maggo und Toby konnten es gar nicht erwarten, sich die staubigen und verschwitzten Kleider vom Leib zu reißen. Im Nu standen sie nackt neben uns. Marina begrüßte Pierre mit einem wenig schamhaften Kuss, wobei sie mit einer Hand leicht über seine Kronjuwelen streichelte. Pierre grinste und gab ihr einen Klaps auf die nackte Hinterbacke. Tobys Begrüßung bei Michelle fiel etwas züchtiger aus, sie kannten sich ja nur vom Lagerfeuer und hatten noch gar keine ‚nähere Bekanntschaft‘ geschlossen. Seinem Blick nach zu schließen, wollte er das am liebsten auf der Stelle ändern und beherrschte sich nur mühsam. Zumindest tat er so.Sandra war inzwischen auch nackt und hatte aus dem Wohnmobil ihre String-Winzlinge geholt. „Lollo, ich hab dir ja schon verraten, was ich gestern gekauft habe und jetzt verteilen möchte. Ziehst du dich bitte auch gleich aus? Lukas, Matthias, Wolfgang, Bernd! Was ist mit euch? Ein halber Tag unter den biederen Leuten und schon habt ihr wieder Hemmungen?“ Grummelnd gingen die Herren der Schöpfung und machten sich paradiesisch.„Also dann“, fuhr Sandra fort, „ich habe gestern am Strand diese Micro-Strings gesehen und, weil sie billig waren, eine Reihe davon gekauft. Wer sich traut, damit, und nur damit, an den Textilstrand zu gehen, der schenk ich ein solches Teil. Für Männer ist es leider nicht gemacht. Aber die können sich ja am Anblick erfreuen. Meiner ist grün!“ Damit hob sie ihren grünen String in die Höhe, stieg hinein und dreht sich mit ausgebreiteten Armen um die eigene Achse, dass ihre wundervollen Titten so richtig flogen.Alle klatschen Beifall und Angie rief: „Ich möchte auch so ein Teil! Sieht supergeil aus!“„Angie!“, rief Wolfgang rügend, aber niemand schenkte ihm Beachtung. Es war ja nur die Wahrheit.Angelika bekam einen in Gelb und Marina, die sich natürlich auch sofort gemeldet hatte, einen in Blau. Beide zogen sie sofort an. Angie hatte recht. Es sah wirklich supergeil aus. Manu, die ihr weißes Teil ja schon am Vortag bekommen hatte, verschwand kurz im Wohnmobil und kam ‚angezogen‘ wieder heraus. Wenn da nicht das winzige längliche Dreieck über ihrer Clit und die dünnen Bändchen gewesen wären, hätte man sie, ebenso wie Sandra, Angie und Marina, für völlig nackt gehalten. Wenn man genau schaute, – und wer würde da nicht genau schauen? – konnte man sehen, wie sich der kleine weiße Stofffleck wölbte, ebenso wie ihre Schamlippen, zwischen denen sich die untere Spitze des Dreiecks und das Bändchen verliefen. Sie war schon wieder geil, was zwar kein Wunder war, der Anblick ließ aber meinen Schwanz steif werden. Ein Blick in die Runde. Pierre, Toby, Maggo, Lukas, Matthias und sogar den beiden Vätern ging es kaum besser.„Gib mal her, ich habe versprochen, dass ich auch einen anprobiere!“, meldete sich Lollo zu Wort und übernahm von Sandra einen Micro-String in lila Farbe. Er stand ihr ausgezeichnet. „Was ist mit euch, Schwestern?“, wandte sie sich dann an Mama und Tante Astrid. „Wie ich sehe, habt ihr euch endlich auch rasiert. Das sieht wirklich besser aus!“Nun bemerkten auch Papa und Onkel Wolfgang mit „Aha“ und „Oho!“ diesen erfreulichen Umstand. Es wird ja viel darüber gewitzelt, dass Männer die neuen Frisuren ihrer Frauen nicht bemerken, aber dass es so schlimm sein kann, hätte ich nicht gedacht. Die beiden stellten sich hinter ihre Frauen und rieben ihre steifen Schwänze am Sitzfleisch. Sie dachten wohl, das würde keinem auffallen!„Lass mal fühlen!“, sagte Wolfgang und tastete mit einer Hand nach Astrids frisch geölter Pussy.Sie haute ihm spielerisch auf die Finger. „Nicht jetzt, du Lustmolch! Ich stimme zu, dass das superscharf aussieht, aber ich denke auch, dass dieses winzige Dingelchen an mir weniger sexy als lächerlich aussehen würde. Oder obszön, wenn man bedenkt, wie meine langen Schamlippen da rechts und links vorbei hängen würden. Dann schon lieber ganz nackt, oder?“„Ganz recht, liebe Astrid. Für mich gilt dasselbe“, schloss sich Mama an. „Und, wenn ich das auch noch sagen darf, mit den Dingern da“, sie deutete auf Sandra, Manu, Angie und Marina und warf Lollo einen strafenden Blick zu, „an den Textilstrand zu gehen, halte ich für eine gewagte Provokation. Aber ich werde euch nicht davon abhalten, nicht einmal Marina. Allerdings bringe ich euch kein Frühstück ins Gefängnis, wenn sie euch verhaften.“„Ach, Gottchen! Die Franzosen sind da tolerant. Du kannst ganz nackt am Textilstrand spazieren gehen. Möglicherweise macht dich jemand darauf aufmerksam, dass du dich wohl verlaufen hast, vielleicht auch nicht. Von Verhaften kann keine Rede sein.“ Lollo wusste offenbar Bescheid. „Aber ich habe mir so etwas schon gedacht und euch deswegen etwas mitgebracht, das auch ihr tragen könnt, wenn ihr euch traut.“ Sie nahm einen Beutel, den sie vorhin unauffällig auf dem Tisch deponiert hatte und zog zwei Tangas heraus, die nur unwesentlich mehr Stoff hatten, als Sandras Micro-Strings. Sie reichte einen goldfarbenen Tante Astrid und einen schwarzen mit silbernen Punkten meiner Mutter. „Gleich anprobieren!“, forderte Lollo und zappelte herum, wie ein Kind vor der Bescherung.Es kostete einige Mühe, den Stoff so zurecht zu zupfen, dass tatsächlich die längeren Schamlippen der Mütter verstaut waren. „Wow!“, entfuhr es mir. „Ihr seht so scharf aus, als wärt ihr dem Playboy entsprungen!“ Und das war die reine Wahrheit! Besonders Mama mit ihren etwas üppigeren Kurven stellte manches Pornomodel in den Schatten. Das fand auch Papa, denn er fasste sie am Arm und zog sie zum Wohnwagen. Bernd und Astrid folgten gleich darauf.„Für dich, lieber Neffe, habe ich auch etwas!“, verkündete Lollo. Ich sah mich kurz um. Marina, Toby und die anderen Youngsters grinsten erwartungsvoll. Was hatten sie wieder ausgekocht? Das Wortspiel fiel mir erst nach dem Gedanken auf. Langsam, wie ein Waisenkind, das den Hauptpreis in der Lotterie zieht, fuhr ihre Hand in die bewusste Tüte und zog etwas hervor, das wie eine missglückte Wurst aussah. „Damit du auch an den Textilstrand gehen kannst!“Erst bei näherer Betrachtung erkannte ich, dass es ein Penisfutteral war. Lollo erklärte grinsend: „Es sind Schaumgummiringe drin. Damit kann man einen längeren Schwanz vortäuschen, wenn man nur einen kleinen hat. Ist dann halt blöd, wenn man in eine Situation kommt, wo er zu wachsen anfängt. Du hast da ja Glück, weil deiner kaum an Länge zulegt, wenn er steif wird.“ Die hatte ja ganz genau beobachtet, meine geile Tante! Nur mich ranlassen, das wollte sie nicht!Ich nahm das Geschenk dankend an und räumte gleich einmal Schaumgummiringe aus. Das Teil war für Penisse bis zweiundzwanzig Zentimeter ausgelegt. So viel hatte ich nicht zu bieten. Ich konnte entweder drei Zentimeter Füllmaterial drin lassen und so tun, als hätte ich mehr als meine natürlichen neunzehn, oder ich konnte oben den Rand umschlagen und die Bänder an tiefer angebrachten Ösen festmachen, wie Tante Lollo erläuterte. Ich entschied mich für Ehrlichkeit, denn wenn man mit so einem Ding in die Öffentlichkeit geht, kommt irgendwann die Stunde der Wahrheit. Oder die Stunde kommt gar nicht, weil die Frauen und Mädchen von so einer Überlänge abgeschreckt werden. „Du kannst wählen“, sprach Lollo weiter. „Mit den kurzen Bändchen kannst du das Futteral am Hodensack festbinden, mit den längeren wie einen Stringtanga tragen. Letztere Möglichkeit erschien mir bequemer. Lollo half mir, die Bänder einzufädeln und so zu binden, dass guter Sitz gewährleiste war. Dabei kamen mir ihre Finger so nahe, dass mein Schwanz schon wieder gefechtsbereit stand.„Das muss ich mir im Spiegel anschauen!“, rief ich und drehte mich im Kreis, damit mich alle bewundern konnten.„Supergeil!“, rief Marina. Ich sah, dass der Wohnwagen hinter mir leicht schaukelte. Papa und Mama oder Onkel Wolfgang und Tante Astrid vögelten. Oder alle vier.Ich winkte Manu und polterte in den Wohnwagen. „Schaut mal, was mir Lollo mitgebracht hat!“, rief ich. In der Tat waren alle vier beim Vögeln. Es war das erste Mal, dass ich das sehen konnte. Astrid saß auf Onkel Wolfgangs Schwanz und ritt ihn, wobei sie sich weit zurücklehnte und sich auf seinen Fußknöcheln abstützte. Ich ging zu ihnen, während sich Manu meinen Eltern zuwendete.Wolfgang war erschrocken, aber Astrid grinste und ritt weiter. „Wenn ich mit Manu in der Stellung bumse, dann reib‘ ich immer ihren Kitzler. Da geht sie tierisch bei ab“, riskierte ich einen frechen Spruch und demonstrierte sogleich am lebenden Objekt, wie ich das meinte. „So schön glatt!“, lobte ich und zwirbelte Astrids Klitoris. Sie schnurrte, hechelte und kam. „So geht das!“ Astrid ritt weiter, nun aber langsamer. Sie musste erst wieder zu Atem kommen. Wolfgang befolgte meinen Rat. Für meine Neuerwerbung interessierte sich niemand. Ich drehte mich um.Mama lag mit weit gespreizten Beinen auf dem Bett und Papa war dabei gewesen, sie zu lecken, als Manu hinzukam und sich neben ihn kniete. Voller Hautkontakt, der Wohnwagen war ja nicht so geräumig. „Schön glatt und gut zu lecken, was?“, fragte sie und packte dabei wie unbeabsichtigt seinen Schwanz. Der war kaum länger als meiner, aber ein Stück dicker.„Schmeckt irgendwie anders!“, stöhnte Papa. „Merkwürdig.“„Ehrlich?“, fragte Manu scheinheilig. „Lass mal!“ Sie drängte Papa zur Seite und ließ ihre Zunge über Mamas Muschi gleiten. „Wird wohl der Rest von der Sonnencreme sein.“ Sie zog Mamas Schamlippen auseinander und senkte ihre Zunge ins rosa Fleisch. „Alles ganz normal!“, verkündete sie dann. „Willst du ihn ihr nicht endlich reinstecken?“, fragte sie dann, während sie den Schwanz meines Vaters wichste. Der war so geil, dass er das Absonderliche der Situation nicht richtig realisierte, sondern tat, was seine Nichte von ihm gefordert hatte.„Ich will oben liegen!“, keuchte Mama und wälzte ihn auf den Rücken.Langsam und mit wippendem Schwanz näherte ich mich ihnen. „Guckt mal, das hat mir Lollo mitgebracht!“„Was ist das denn für ein Unding?“ Mein Vater hatte keinen Sinn für so etwas.„Ein Penisfutteral. Ich find es zwar geil, aber irgendwie merkwürdig zu tragen.“„Dann zieh‘ es eben wieder aus!“, stöhnte Mama, die immer praktisch dachte.Da setzte ich gleich nach: „Mach du es mir auf. Lollo hat es irgendwie festgemacht und ich seh‘ nicht genau, wie und wo!“ Um dran zu kommen, musste sie sich nach vorne beugen und sich etwas zur Seite neigen, denn das Bett war gut kniehoch. Mein eingehüllter Schwanz ragte ziemlich in der Nähe von meines Vaters Gesicht über die Bettkante. Mama löste geschickt die Bänder und zog langsam die Hülle ab. Papa war sprachlos, vor allem, als sie ihre mütterlichen Lippen über meine Eichel schob – und schnurrte.Endlich fand er die Sprache wieder: „Bella, was tust du da?“Mama ließ meinen Prügel aus ihrem Mund. „Ach Bernd! Stell dich nicht so an! Du hast meine Mutter gefickt und hast auch deine Mutter gefickt. Und mit meinen Schwestern fickst du immer wieder. Sogar Arne hast du einen geblasen.“ Das war ja mal eine Neuigkeit! „Ich wette darauf, falls sie will, wirst du in diesem versauten Urlaub auch noch deine Tochter ficken und womöglich Angie entjungfern.“„Ähm!“, wandte ich ein. „Letzteres ist nicht mehr möglich. Das hat sie schon selber erledigt.“„Was?“„Tja, sie hat sich dazu meines Schwanzes bedient, aber sie hat gesagt, sie hätt’ es schon mit mehreren Jungs getan und, wie ich festgestellt habe, dass sie doch noch Jungfrau war, hat sie sich so auf meinen Schwanz fallen lassen, dass es passiert ist. Sie hat nicht viel geblutet und nach dem ersten Schmerz hat es ihr super gefallen.“Er überlegte längere Zeit, während Mama ihre Reitbewegungen wieder aufnahm und auch weiter an mir lutschte. Ich sah zu Manu und ihren Eltern hinüber. Sie streichelte die Muschi von Tante Astrid und beugte sich dann vor, um sie zu lecken. „Hast du Mama eigentlich schon geleckt? So schön glatt rasiert, ist das ein echtes Vergnügen.“ Wolfgang zögerte. „Hast du echt nicht?“, fragte Manu weiter. „Komm, probier’s mal!“ Mit diesen Worten schwang sie sich über sein Gesicht und präsentierte ihrem Vater die haarlose Spalte.„Aber, aber!“, stammelte Wolfgang und bekam von seiner Frau in etwa dieselbe Antwort, wie vorhin Papa von meiner Mutter: „Es kommt eben, wie es kommen musste! Du hast schon alle Fotzen in deiner Familie geleckt, also halt fast alle. Die deiner Mutter, meiner Mutter, deiner Tante, meiner Schwestern, jetzt brauchst du dich bei deiner Tochter auch nicht so anzustellen. Der Apfel und so weiter. Leck sie gut, du kannst es und sie will es. Wahrscheinlich kannst du sie auch ficken. Tu es, wenn ihr es beide wollt!“„Ja, ich will es!“, sagte Manu schlicht und presste ihre Pussy fest auf ihres Vaters Lippen. Ihrem Stöhnen und Schnurren nach zu urteilen, fing er gleich an, ihrem Wunsch zu entsprechen. Sie legte sich flach auf seinen Bauch und, weil sie zu klein war, um sie zu lecken, fingerte sie ihre Mutter. Die drei waren ganz in ihrem heißen Dreier verstrickt, was offenbar auch meinem Vater auffiel.„Na gut!“, meinte er, „dann soll es eben sein. Familientradition eben. Und wie feiern wir das Ereignis?“„Ich hätte da schon eine Idee. Wie wäre es, wenn ich Mama in den Arsch ficke? Ein Doppeldecker? Ich glaube, das hält sie aus. Und ich habe es ihr versprochen.“„Ihr habt schon? Heute?“„Ja, haben wir, und was da so seltsam geschmeckt hat, das war keine Sonnencreme, sondern sein Sperma“, bekannte Mama. „Heute ist eben ein besonderer Tag.“„Sodom und Gomorrha!“, rief er, lächelte aber dabei.„Was ist jetzt? Machen wir es?“, fragte ich Papa ungeduldig.„Ihr macht mich wahnsinnig! Ich komme!“, schrie er und hob Mama von seinem Schwanz, spritzte auf ihren Po und in die Kerbe. Genug Schmierstoff für mein Vorhaben.„Gut gemacht, Paps, steck ihn wieder rein, dann komm ich.“ Da sein Fickkolben weiter recht fest blieb, tat er es. Ich steckte Mama zwei Finger in den Arsch und schmierte kräftig. Es war wohl kaum ihr erstes Mal, denn sie weitete sich schnell. So konnte ich sofort ansetzen und ihr meine Eichel reinstecken. Es ging dann nicht ganz so schnell tiefer, weil der Schwanz meines Vaters viel Platz in Anspruch nahm. Ich konnte ihn deutlich spüren.„He! Das will ich auch einmal ausprobieren“, rief Manu von der anderen Seite her, ehe sie sich den Schwanz ihres Vaters in den Mund steckte.„Aber nicht mehr heute!“, wehrte ich ab und fickte heftig den Arsch meiner Mutter. Das war so ultrageil, dass es gar nicht sehr lange dauerte, bis wir beide abspritzten, erst mein Vater, dann ich. Auch Mama schrie, spritzte und versaute damit das Leintuch.Als sie aus ihrem finalen Orgasmus wieder auftauchte, bemerkte sie die Bescherung. „Ich brauche dringend eine Dusche. Kommt ihr mit?“ Wolfgang, Astrid und Manu waren inzwischen auch so weit und er schoss seinen Samen in seine Frau. Den Fick mit seiner Tochter hatte er wohl aufgeschoben, der Urlaub dauerte ja noch länger. „Ich gehe jetzt ans Meer schwimmen und dann schlafe ich wieder am Strand. Manu wohl auch“, erklärte ich. Diese nickte nur. Dafür schlossen sich Onkel und Tante meinen Eltern an. Wenn das nicht noch einen Quickie im Sanitärgebäude ergab. Also ich hätte nicht widerstehen können, wenn ich erst ein- oder zweimal gekommen wäre. Aber nach dem fünften Mal, verspürte ich keine Regung mehr. Doch ich sollte Glück haben.Wir hatten so lange im Wohnwagen gevögelt, dass inzwischen draußen einiges geschehen war. Kein Mensch weit und breit. Irgendjemand, vermutlich Lollo, hatte Würstchen gekocht, die im noch warmen Wasser schwammen. Senf, Ketchup und Brot lagen dabei. Da ich neulich den ganzen Vorrat zum Grillen entführt hatte, hatte wohl Lollo nachgekauft. Sie schmeckten grauenhaft! Deswegen waren wohl auch noch so viele davon da. Aber wenn der Teufel Hunger hat … Und Fliegen schmeckten wohl noch mehr scheiße! Also schlangen wir schnell ein Paar hinunter. Manu entdeckte einen Zettel, auf dem geschrieben stand: „Wir sind in den Dünen. Diesmal kommen wir mit!“ Unterschrieben war das Dokument mit „Angelique“. Klang auch gut, nur kam Manu hoffentlich nicht auf die Idee, sich künftig „Emmanuelle“ zu nennen. Es gab andere Methoden, ihrer frankophilen Neigung Ausdruck zu verleihen, die mir wesentlich besser gefielen.Während unsere Eltern was auch immer im Sanitärhaus trieben, packten wir unsere Schlafsäcke und ein paar Äpfel ein und strebten dem Strand zu. Es war mondhell, so kamen wir gut voran. „Das mit dem Doppeldecker, an wen hast du da eigentlich gedacht?“, fragte ich.„Mit dir natürlich und dann? Entweder Matthias oder Pierre? Eventuell musst du dann halt Revanche geben. Das macht dir doch nichts aus, oder?“„Mit Sandra oder Michelle? Natürlich nicht, da freu ich mich drauf. Sehr sogar.“„Hast du das eigentlich schon oft gemacht?“„Das eben war mein erstes Mal“, gestand ich ihr.„Wow! Und dann gleich mit Vater und Mutter!“„Tja, das Leben ist schon sonderbar. Pralinen und so“, spielte ich auf Forrest Gump an.Beim kleinen Lagerfeuer, das unruhig flackerte, angekommen, ließen wir nur das Gepäck etwas abseits in den Sand fallen und liefen hinunter zum Ufer. Michelle kam uns nachgerannt. „Heute wieder nix ficke!“, stieß sie atemlos hervor und folgte uns in das warme Wasser des Mittelmeeres. Auf meinen ratlosen Blick versuchte sie einen etwas komplizierten Sachverhalt zu erklären. Auf Deutsch, Französisch und sogar Englisch – da hatte Michelle in der Schule wohl ungefähr so gut aufgepasst, wie ich und Manu in Französisch – hatten wir einige Mühe, bis folgendes herauskam. Die kleine Marie war noch keine vierzehn, also ungefähr so alt wie Angie, und unschuldig wie ein Lamm. Ihr Vater war der Bürgermeister und Schwager von Jeans Vater. Der wieder betrieb im Ort eine Discothek, die einen eher zweifelhaften Ruf genoss. Das interessierte uns natürlich brennend. Es schien so, als fänden dort regelmäßig Show-Acts statt, die nicht jugendfrei waren, aber dort verkehrte hauptsächlich junges Publikum. Manche waren erst zwölf oder dreizehn, dabei war offiziell der Eintritt erst ab sechzehn gestattet. Bei dem, was aber dort an nackten Tatsachen geboten wurde, von Wet-T-Shirt-Wettbewerben bis zu Striptease, hätte die Grenze aber mindestens bei achtzehn liegen müssen. „Dann leer!“, kommentierte Michelle. Sie erzählte auch noch, dass sie selber, Pierre, Jean, Christine, Philippe und sogar Jeans Schwester Jeannette, die noch nicht ganz sechzehn war, dort arbeiteten. Die Mädchen meist oben ohne an der Bar, manchmal strippte Michelle auch. Das war natürlich alles nicht erlaubt, aber es gab gutes Geld dafür. Und, wie Michelle versicherte, es machte ihnen auch ordentlich viel Spaß. Der Bürgermeister wollte keine Details wissen, verriet aber immer, wann die Polizei Kontrollen durchführte. Dafür sollten sich Jean und Jeannette um seine jüngste Tochter kümmern und mit ihr etwas unternehmen. Leider nahm das in letzter Zeit etwas überhand. Dass einer der Hauptzwecke der Treffen in den Dünen in ausgiebigen Sexspielen lag, hatten sie ihm natürlich nicht auf die Nase gebunden. Marie war ein nettes und sehr hübsches Mädchen, da fiel es ihnen grundsätzlich nicht sehr schwer, sie manchmal in ihre harmloseren Aktivitäten einzubinden. Das Nacktbaden hatten sie ihr zumindest schon angewöhnt. Aber mit Orgien war eben nichts, wenn sie dabei war. Und heute war sie wieder dabei. Gott sei Lob und Dank!Es kam ein kühler Wind auf, darum verkrochen wir uns bald in die Schlafsäcke, doch auf einmal entstand rundherum Unruhe. Michelle informierte uns. „Schnelle! Ungewetter kommen! Blitz, Bumm, nass!“ Jean, Jeanette, Philippe und Christine waren mit Marie schon unterwegs, während Michelle fluchte: „Merde! Merde! Merde! Wir weit weg. Alle nass!“Ich sah mich um, auch unsere Leute waren schon geflüchtet. Das hatten wir nun davon, dass wir uns weiter weg hingelegt hatten. „Dann kommt mit zu uns, unter dem Vordach vom Wohnmobil bleibt ihr wenigstens trocken.“ Aber das war ein Angebot ohne Grundlage, denn als wir am Platz ankamen, hatte Lukas das Dach bereits eingerollt. Es war wohl nicht sturmfest. „Wo zwei Paare leicht Platz finden, können auch drei kuscheln, oder?“ Manu nickte nur, also stiegen wir ein. Sandra und Matthias waren noch wach.„Da seid ihr ja. Gerade noch rechtzeitig!“ Matthias hatte Recht. Schon prasselte der Regen an die Außenwand und auf das Dach. Ein Blitz erhellte die Nacht und ein gewaltiger Donnerschlag ließ das Auto beben. Schlagartig setzte auch ein Sturm ein, der an den Wänden rüttelte. Hoffentlich hatten die anderen Tische, Stühle, Luftmatratzen, Sonnenschirme, Liegestühle und so weiter in Sicherheit gebracht. Ich ging bei dem Wetter jedenfalls nicht mehr hinaus.„Könnt ihr noch ein wenig zusammenrücken?“, fragte Manu und Matthias rückte. Aber nicht näher an Sandra heran, sondern von ihr weg. Die Verwirrung war nur kurz. Michelle begriff und schubste Pierre in die Lücke. Grinsend schmiegte sie sich an seinen Rücken und ließ Matthias näherkommen. Manu war die nächste und mir blieb nur der äußerst rechte Rand. Ich sah noch eine Bewegung von Sandra. Offenbar hatte sie sich Pierres Glied zwischen die Oberschenkel geklemmt. Auch Michelle hob ihr Bein an und Matthias rückte noch näher. Dadurch blieb für Manu und mich erstaunlich viel Platz. Erschöpft fiel ich in Tiefschlaf und träumte von einem Doppeldecker mit Michelle.Ich erwachte wieder früh und musste dringend pissen. Draußen war es vollkommen ruhig, bis auf ein dumpfes, auf- und abschwellendes Grollen, das ich nach einigem Nachdenken als Wellenbrechen identifizierte. Super! Das gab einen Riesenspaß, unter der kippenden Welle durch zu tauchen. Aber zuerst mal pissen. Ich erinnerte mich an Lollo und rüttelte sie sanft. „Ich muss pissen. Kommst du wieder mit?“ Doch sie grunzte nur abweisend und wälzte sich auf die andere Seite. Alle anderen schlummerten noch tief. Noch einen Korb wollte ich nicht riskieren, also schlich ich mich allein hinaus in die Morgenfrische, trat am Waldrand auf einen sonnigen Fleck und richtete das Rohr auf einen Pinienzapfen. Gerade, als der erste Strahl den Zapfen traf, verspürte ich zwei zarte Hände an meinem Schwanz. Angie und Marina!„Das können wir auch!“, rief Marina und wirklich, die beiden standen mit gespreizten Beinen neben mir, rieben meinen Kolben und zielten damit weiter auf den Zapfen. Dabei ließen sie es laufen, pissten im Stehen. Na, warum sollte das auch nicht gehen? Da ich meine Hände jetzt frei hatte, legte ich sie auf die knackigen Po-Backen der beiden jungen Schlampen. Endlich versiegten die Strahlen, einer nach dem anderen und die zwei Mädchen schüttelten sich und meinen Schwanz.„Und jetzt würden wir gern ficken!“, verkündete Angie.„In der Hängematte! So, wie du es mit Manu machst!“, fügte Marina hinzu.Die Vorstellung, noch vor dem Frühstück mit meiner kleinen Schwester und ihrer noch jüngeren Cousine zu vögeln, begeisterte mich, aber: „Ihr wisst schon, dass ich nur einen Schwanz habe? Also kann ich nur eine von euch ficken.“„Keine Bange! Die andere kannst du ja lecken, bis sie auch kommt. Und dann wechseln wir.“ Meine Schwester war schon ganz schön abgebrüht, hatte aber nicht alles bedacht.„Das ist nicht so einfach! Manu liegt immer mit dem Rücken auf meiner Brust, weil die Hängematte sich ja krümmt. Da ist es für die Wirbelsäule angenehmer, wenn sie nicht nach hinten gebogen wird, wenn ihr versteht, wie ich das meine.“Angie überlegte. „Wir werden sehen. Fangt ihr mal an!“ Ich legte mich also in die Matte und dirigierte Marina in die bewährte Stellung. Mein Schwanz war allein bei der Vorstellung hart wie Buchenholz geworden.„Kannst du ihn ein wenig anfeuchten?“, fragte ich Angie, welch auch darüber nachdachte. „Iiiieeeeeh!“, sagte sie und grinste dazu. Dann kletterte sie auf uns, und zwar verkehrt herum, schob ihre Muschi Marina ins Gesicht und meinen Schwanz in ihren Mund.„Ich bin ziemlich gelenkig“, verkündete sie. „Das hier macht mir nichts aus, ich kann sogar noch mehr, aber das zeige ich euch später.“ Nach einem Weilchen steckte sie meinen Schwanz in Marinas Fötzchen und liebkoste deren Kitzler. Marina hingegen ließ ihre Zunge auf Angies Muschi tanzen. Wenn ich an Marinas Ohr vorbei schielte, konnte ich alles ganz genau sehen. Tierisch geil! Das war wohl die ‚Mutzenbacher-Schule‘!Ich tat mein Möglichstes, aber mit zwei Leibern auf meinem Bauch war es nicht ganz einfach. Marina war beweglich wie eine Schlange und rotierte mit ihrem Unterleib, einfach fantastisch! Beide Mädchen kamen mehrmals heftig, ehe sie wechseln wollten.Aber Angie hatte etwas anderes im Sinn. Anstatt sich mit dem Rücken zu mir auf mich zu legen, schwang sie ihre junge Muschi über mein Gesicht. „Marina kann wirklich geil lecken, aber jetzt zeig du mir, wie du es kannst!“, forderte sie. Sie roch so betörend, dass ich meine Zunge tief in ihr Fötzchen steckte und zu züngeln begann. Meine kleine geile Cousine jaulte auf. „Aaaaiiieeh!“ Besser als ihr „Iiiiieeeh“!„Und was mache ich inzwischen?“, fragte Marina und rieb sich die heiße Spalte.„Blas ihm einen, oder leck seinen Schwanz. Ich kann ja nur seine Spitze mit dem Mund erreichen, weil Andy so groß ist. Oder mach sonst was. Danach leck ich dich in den Wahnsinn, du kennst mich doch!“ „Für eine Gerade-nicht-mehr-Jungfrau bist du ganz schon versaut, kleine Angelique. Da wundert es mich fast, dass du so lange nicht gevögelt hast.“„Hehe, gefickt habe ich schon lange, aber entjungfern hab‘ ich mich nicht lassen, weil ich wollte, dass es mit dir passiert. An dem Tag, an dem Maggo das erste Mal mit Marina richtig gefickt hat, hab‘ ich ihn und Toby auch ihre Schwänze in mich stecken lassen, nur hab‘ ich die Hand so dazwischen gehalten, dass sie nicht bis zu meinem Hymen gekommen sind.“ Sie sagte wirklich Hymen! „Und reinspritzen hab‘ ich sie auch nicht lassen, klar, weil ich da ja die Pille noch nicht genommen hatte. Das Jungfernhäutchen ist ja kein Verhütungsmittel!“ Die war wirklich recht frühreif, meine Cousine! Ich muss da vielleicht erwähnen, dass die Familie Zinker, also die unserer Mütter ursprünglich aus einer Roma-Sippe stammte. Dort reifen Frauen und Männer offenbar schneller, als üblicherweise in Mitteleuropa. Dreizehnjährige Mütter sind da nicht so ungewöhnlich. Von da her hatten Astrid, Manu, Angie, Toby und Lollo wohl ihre pechschwarzen Haare. Der ‚Wikinger‘, der Mama gezeugt hatte, musste sehr dominante Gene besessen haben, denen wir unsere blonden Haare verdankten, wenn auch dunkelblond.Marina nahm Angies Anregung auf und leckte an meinem Schaft auf und nieder, massierte meine Eier und überließ ihrer Cousine die Eichel, die diese auch genussvoll lutschte. Hatte ich richtig gerechnet, besaß sie darin mindestens so viel Erfahrung wie Manuela. Unglaublich! Zwei gierige Paar Lippen an meinem Schwanz, noch dazu von meiner Schwester und meiner kleinen Cousine, das konnte nicht lange gut gehen. Ich spürte, wie mein Saft ins Rohr schoss, gab aber keine Warnung ab, weil meine Zunge noch immer in Angies Ritze steckte. Den ersten Schuss bekam die Kleine in den Mund, was sie überraschte. „Iiiiieeeh!“, rief sie erschrocken und ließ meine Eichel aus ihrem Mund. Mein Schwanz wippte sogleich nach oben und so bekam Marinas Gesicht den Rest ab. Es schien beiden nichts auszumachen, denn sie schlabberten sich gegenseitig und gemeinsam meinen Schwanz ab.„Er wird gar nicht schlaff!“, stellte Marina erfreut fest. „Du kannst gleich richtig mit ihm ficken!“ Angie wuselte auf mir herum, bis sie richtig lag. Marina schob ihr meinen glitschigen Schwanz in die heiß geleckte Muschi und beobachtete kurz, wie ich heftig zustieß. Dann kletterte sie geschickt in die Matte und krabbelte vorsichtig rückwärts, bis ihr Angies Zunge zeigte, dass sie angekommen war.Angie war wieder enorm eng, einerseits, weil sie eben noch so jung war und noch nicht so viel richtig gevögelt hatte – aber immerhin mit drei verschiedenen Jungs an einem Tag, die kleine Schlampe – andererseits aber, so schien es mir, weil mein Schwanz noch ein wenig anschwoll, wenn ich genau daran dachte.Wenn sie auch noch nicht so viel richtig gevögelt hatte, blasen und vor allem lecken konnte sie jedenfalls weltmeisterlich. Das bewies sie eben jetzt, als Marina schon wieder geil jubelte. Keuchend versuchte meine Schwester, sich zu revanchieren und biss zärtlich in Angies Lustknospe, ringelte sodann ihre Zunge darum und saugte abschließend das knallrote Zäpfchen, bis die Kleine zitternd ihren Orgasmus in die Muschi von Marina schrie. Lange hielt ich auch nicht mehr durch, noch ein paar feste Stöße, dann spritzte ich meinen Saft in das enge Fötzchen meiner zarten Cousine und meine Schwester bemühte sich, den ganzen Saft, der neben meinem Schwanz herausquoll, vollständig aufzulecken.„Zwei so geile Girls wie ihr beide sind ein Gottesgeschenk, aber jetzt bin ich echt geschafft!“, murmelte ich erschöpft. Die zwei kicherten, stiegen von mir herunter und sahen mir nach, als ich zum Frühstück wankte. Als ich mich umdrehte, lagen sie schon wieder übereinander in der Hängematte. Was für eine Familie!Das Frühstück, das Tante Astrid zubereitet hatte, verschlang ich im Schnellgang. Vier Eier mit Speck, Orangensaft und frisches Baguette. Wer hatte das wohl besorgt? „Manu war im Campingshop Brot kaufen. Ich glaube, sie hat dort einen Aufruhr verursacht.“ Sandra grinste mich an und ergänzte, da ich verständnislos guckte: „Sie hatte nur den Micro-String an und einen Fünfer unter das Dreieck gesteckt.“ Da blieb mir die Spucke weg. Das hätte ich gern gesehen, aber meine Morgenunterhaltung war auch ziemlich geil gewesen.„Wenn ich das gewusst hätte, wäre ich lieber selber gegangen“, murrte Astrid.„Ach, Mami!“, rief Manu, zog den Micro-String wieder aus und wedelte damit vor dem Gesicht ihrer Mutter herum. „Hättest du dich denn getraut?“ Das war natürlich eine völlige Umdrehung der Argumentation.„Nein!“, gab diese zu, „auch nicht mit dem neuen goldenen Tanga, nicht einmal überhaupt oben ohne, du schamloses kleines Geschöpf!“ Manu kicherte, warf sich ihrer Mutter in die Arme, hängte sich an ihren Hals und schlang die Beine um Astrid Hüften. Bei dem Anblick und wie sie sich küssten, schoss bereits wieder Blut in meinen Schwanz. Angie und Marina waren inzwischen auch gekommen – in jeder Beziehung – und als sie das sahen, veräppelten sie die beiden, indem sie es nachmachten. Angie warf sich Marina an den Hals und hing dort wie ein Äffchen. Dabei rieb sie aber ihre Muschi an der ihrer Cousine, indem sie auf und ab hopste. Lollo, Lukas, Sandra und Matthias schauten gebannt zu.Manu ließ sich wieder auf den Boden gleiten. „Sandra hat versprochen, dass sie morgen einkaufen geht. Will sie jemand begleiten?“ Dabei guckte sie ihre Mutter neckend an.„Lollo wird mich begleiten. Vielleicht ziehen wir uns die Micro-Strings an, vielleicht auch nicht. Lollo hat ja gesagt, dass die Franzosen das nicht so eng sehen“, provozierte Sandra. Lollo sah so aus, als wüsste sie nichts davon, dass sie mit ihrer jungen ‚Schwägerin‘ einen Nackteinkauf geplant hätte.„Geniale Idee, das sehe ich mir an! Was anderes! Heute gibt es sicher großartige Wellen! Ich geh ins Meer. Wer kommt mit?“, rief ich in die Runde, denn sonst hätte ich unbedingt jemand ficken müssen, aber es war gerade niemand da, der das zweifellos zugelassen hätte. Alle jungen, auch Lukas und Lollo, schlossen sich begeistert an. Dafür brauchten sie keine Bekleidung, also zogen alle wieder ihre neuen Strings aus und folgten mir.Es waren wirklich beeindruckende Wellen, die an den Strand donnerten. Sie brachen sich hauptsächlich an zwei Stellen: Kurz vor dem Ufer und etwa zwanzig Meter draußen, wo eine Art Sandbank verlief. Dort war das Wasser bei Ebbe nur etwa einen Meter tief. Mit lautem Geschrei stürzten wir uns ins Abenteuer, tauchten unter den überschlagenden Wassermassen durch, wurden von strudelndem Schaum mitgerissen und hatten einen riesigen Spaß. Toby und Marina versuchten eine Art Stunt. Er steckte ihr von hinten den Schwanz in die Muschi und so versuchten sie gemeinsam, unter den Wellen durchzutauchen, wurden aber regelmäßig auseinander gerissen. Da verloren sie offenbar den Spaß an der Sache und gingen ans Ufer, wahrscheinlich für eine schnelle Nummer in den Dünen.Lollo und Lukas hatten auch bald genug, Sandra und Matthias sah ich am Ufer entlang marschieren. Und Manu? Die konnte ich nirgends sehen, machte mir aber keine Sorgen. Sie konnte besser schwimmen als mancher Fisch, ich würde irgendwann erfahren, was sie gemacht hatte. Ich selber vergnügte mich mit den größten Wellen, ließ sie an mir zerschellen, tauchte drunter weg, ließ mich an den Strand spülen und stürmte wieder hinein. Langsam wurde ich müde, meine Muskeln erlahmten. Da riss mich ein Riesenbrecher von den Füßen und wirbelte mich weit zum Strand hin. Als ich mich aufrappelte, erwischte mich die nächste Welle. Ich schluckte Wasser und als ich wieder bei mir war, lag ich am Strand auf dem Rücken, im Moment unfähig, mich zu erheben. Ich schnappte nach Luft, spuckte etwas Wasser aus und beschloss, in dieser Stellung ein wenig zu verharren. Über mir kreischten Möwen und ich war froh, dass es keine Geier waren. Immer wieder rüttelten kleinere Wellen an meinen Beinen und ich wartete auf die nächste große, gespannt, ob sie mich zurück ins Wasser oder weiter auf den Strand hinauf schwemmen würde. Ein dumpfes Grollen kündigte sie an und mit einem Wasserschwall landete etwas Weiches auf mir.Teil VII – Die Welle© Luftikus„Scheiße, verdammt!“, sprach das ‚Weiche‘ und schaute mich aus blitzblauen Augen an. „Oh, pardon, sorry, Entschuldigung!“, fuhr ‚es‘ fort und hob den Kopf ein wenig. Es war ein junges, blondes Mädchen, die Haare jetzt nass und zerzaust, aber es war trotzdem deutlich zu erkennen, dass ich ein Lockenköpfchen vor mir hatte. Besser gesagt, auf mir, denn sie lag da mit ihrem Oberkörper auf meinem Bauch, mit der Hüfte auf meinem rechten Oberschenkel. Das ‚Weiche‘ kam hauptsächlich von ihren schon sehr gut entwickelten nackten Brüsten. Sie machte keine Anstalten, von mir runter zu gehen und ich bemerkte noch, dass sie das Oberteil ihres schwarzen Bikinis am knappen Höschen befestigt hatte.„Keine Ursache. Es ist mir sogar ein ganz besonderes Vergnügen.“„Ja, das spüre ich!“ Mit ihrer rechten Hand tastete sie nach meinem Schwanz umfasste ihn abwägend und wichste ihn langsam. Das gefiel ihm noch mehr. Glücklicherweise kam immer wieder ein Wasserschwall, der ihn zur Ruhe mahnte. „Warum bist du nackt?“, fragte das Mädchen lächelnd.„Warum bist du nicht nackt?“, gab ich geistreich zurück, weil mir nichts Schlagfertigeres einfiel.„Hm? Weil hier außer dir niemand ganz nackt ist?“, schlug sie vor und ich sah mich um. Tatsächlich! Ich war auf den Textilstrand abgetrieben worden! „Ich hab‘ mir das blöde Oberteil nur ausgezogen, weil es mir jede Welle raufgeschoben hat.“„Du gehst sonst auch viel oben ohne, man sieht ja keine weißen Dreiecke bei dir.“„Ah! Sieh da! Du bist ja ein guter Beobachter! Am liebsten bin ich nackt. Daheim geht das. Mit unserer Clique gehen wir fast nur zum FKK-Badesee. Aber hier bin ich mit meinen Eltern. Die halten das für unmoralisch. Wenn die sehen könnten, wie ich hier auf einem nackten Mann liege! Puuh!“„Und seinen Schwanz in der Hand hältst und wichst …!“Sie ließ erschrocken los, sah sich lauernd um und schwang dann ihren flachen Bauch so über mich, dass mein bestes Stück verdeckt war. „Jetzt sieht man nicht so deutlich, dass du nackt bist.“ Sie grinste schelmisch. „Das wäre wirklich eine Katastrophe, wenn sie mir zusehen könnten.“ Dabei bewegte sie ihren Bauch massierend hin und her.„Woher kommst du eigentlich?“, wollte sie dann wissen. Wir lagen immer noch übereinander am Strand, dort wo die Wellen ihren Müll abluden. Ich nackt, sie fast nackt. Rund um uns liefen und plantschten Frauen, Männer, Kinder …„Aus Berlin“, gab ich zur Antwort.„Das hört man! Ich meinte jetzt, hier, so nackt. Ich komme eigentlich aus der Schweiz, aber wir leben schon lange in Hamburg. Ich in übrigens die Ursula, aber sag Suli zu mir.“„Suli? Das ist richtig innovativ! Ich heiße Andy“, stellte ich mich vor. „Wir, das sind ein ziemlich bunter Haufen aus meiner Familie, vierzehn im Moment, sind da unten auf dem alten, großen Campingplatz. Dort beginnt auch ein Strandabschnitt, wo man nackt baden kann. Und dort sind eigentlich auch nur FKKler.“„Ein FKK-Campingplatz? Hier? Das wäre mir aber neu!“„Nicht der Campingplatz, der Strandabschnitt! Obwohl wir am Platz in einem schon so gut wie aufgelassenen Teil campieren, der so weit weg ist von allen anderen, dass wir dort die ganze Zeit nackt rumlaufen können.“„Tut ihr das? Alle?“„Ja, alle! Ich habe jetzt seit Tagen kein Stück Kleidung mehr angehabt. Das geht dort.“„Super! Kann ich euch dort mal besuchen kommen?“ Das waren aber gute Aussichten!„Klar! Am besten kommst du gleich mit. Ich muss ja sowieso dorthin zurück. Ewig kann ich hier kaum nackt rumliegen am Textilstrand. Hin und wieder guckt schon eine böse.“Suli lachte. „Und wie willst du dorthin kommen? Mit deinem Ständer?“ Richtig! Mit ihrer Bauchmassage hatte sie meinen kleinen Freund zu prachtvoller Stärke verholfen und nur, dass Suli drauf lag, verhinderte, dass er steil nach oben ragte. Sie war ziemlich groß, denn mit den Zehen stieß ich an ein Knie. „Wie alt ist du eigentlich? Ich werde im September achtzehn, da gibt es eine Fete. Kommst du?“Sie lachte wieder. „Lenk nicht ab! Ich bin schon neunzehn. Stört dich das?“„Nein, überhaupt nicht. Ich liebe alle Frauen zwischen zwölf und … Ich weiß nicht. Solange sie mich eben auch mögen.“„Und du glaubst, ich mag dich?“ Sie intensivierte ihre massierenden Bewegungen.„Mich mögen alle!“, behauptete ich frech. „Aber du – hast recht, mein Schwanz ist – jetzt – ein Problem. Da gibt es – drei Möglichkeiten.“ Die Situation war irreal, skurril und über alle Maßen geil. Ich lag nackt am Ufer im Bereich des Textilstrandes, auf mir eine barbusige Badenixe, die im Begriff war, mir mit dem Bauch einen abzurubbeln. Kein Wunder, dass ich nur noch stockend sprechen konnte und das mehr keuchend als verständlich.Suli blieb ungerührt. „Und welche Möglichkeiten wären das?“„Entweder muss ich zweimal abspritzen, oder …“„Warum zweimal?“, wunderte sie sich.„Weil der Ständer in so einer Situation nach dem ersten Mal nicht einfach weggeht.“Sie kicherte. „Oder?“Ich sparte mir zunächst die Antwort, weil es schon zu spät war. Ich spritzte in mehreren Schüben zwischen unsere Bäuche. Es schien sie weniger zu stören, als zu amüsieren. Genauer gesagt, schien es sie erst richtig geil zu machen. Ihre Brustwarzen, die ich schon länger unter meinem Rippenbogen gespürt hatte, bohrten sich jetzt beinhart in meine Haut.„Wollen wir bis zum nächsten Mal weitermachen, oder gehen wir ins Wasser und lassen die Wellen wirken. Das wäre nämlich die andere Möglichkeit gewesen.“„Und die dritte?“„Ähm – drauf scheißen und einfach losmarschieren.“„Nicht dein Ernst! Das hättest du dich nie getraut!“„Willst du drauf wetten? Dein Einsatz?“Wieder lachte sie. „Los, komm, ich will noch etwas Spaß in den Wellen.“ Welche Art Spaß ließ sie offen, stand auf und packte meine Fußknöchel. Ihr Bauch glänzte glibberig, aber, wenn man nichts ahnte, fiel es wohl keinem auf. Darauf schien sie auch zu bauen und machte gar keinen Versuch, sich mein Sperma abzuwischen oder –waschen. Dafür schleifte sie mich mit Hilfe der nächsten Welle ins tiefere Wasser. Wir wateten so weit hinaus, dass wir in einen Bereich kamen, in dem die Wellen nur auf und ab wogten, sich aber nicht brachen. Dort machten wir uns schnell sauber. Das meiste war ja eh schon weggespült.Suli schwamm von hinten auf mich zu, umklammerte mich und griff wieder nach meinem Schwanz, der jetzt allerdings züchtig zwischen den Beinen hing. „Ach, nee!“, seufzte sie enttäuscht. „Und ich dachte, ich sollte dir helfe, das zweite Mal zu spritzen.“„Nützen wir doch die Gelegenheit, uns zum FKK-Teil durchzuschlagen. Dort findet sich bestimmt die eine oder andere Gelegenheit für dich, mir dabei behilflich zu sein.“Sie stimmte zu und wir kämpften eine Weile gegen die Strömung, aber es war fast aussichtslos. Der Sog riss uns die Beine weg. Also mussten wir doch ans Ufer und dort der Öffentlichkeit trotzen. Ich konnte sie kaum zu unserer Wagenburg schicken und eine Badehose holen lassen. Meine Weiber wären knallhart über mich hergefallen und ich hätte Spott und Hohn tonnenweise ertragen müssen. Dann schon lieber so tun, als wäre alles ganz normal. Immerhin war Manu heute Morgen auch fast nackt einkaufen gegangen und wir waren hier ja auch am Strand. Da sah man das auch sicher lockerer.Draußen am Ufer, wo der Sand fest war, beschleunigte ich meine Schritte, aber Suli bremste mich. „Nicht so hastig. Du wirst doch nicht Schiss haben?“ Das war ausgeschlossen und auch wenn mein Herz bis zum Hals klopfte, schlenderte ich von da an sehr gemächlich dahin, aber das war Suli noch nicht genug. Immer wieder ging sie noch weiter hinauf an den Strand und bewunderte mal eine Strandburg, mal einen Bikini – „Sag mal, Andy, wie findest du den? Glaubst du, so einer würde mir auch stehen?“ Dabei grinste sie die Trägerin verschwörerisch an, während die eigentlich nur auf meinen Schwanz starrte – und dann wieder eine Bekannte. „Das ist Andy“, wobei sie aber nicht auf mich, sondern explizit auf meinen Schwanz deutete, „er ist von FKK-Strand abgetrieben worden. Jetzt gehen wir dorthin, da kann ich dann endlich auch das blöde Höschen ausziehen.“ Dabei zupfte sie daran herum, als wollte sie das an Ort und Stelle tun.„Ich komme mit!“, verkündete überraschend die zweite Bekanntschaft, eine gut gebaute und wohlgerundete Schwarzhaarige. Sie dachte kurz nach, zog den Bikini aus, legte ihn in eine Badetasche und diese auf einen roten Liegestuhl, schlang sich ein Badetuch locker um die Hüften und schloss sich uns an. „Ich bin Cora.“ Darauf bekam ich gleich einen feuchten Kuss auf den Mund und zwei pralle Ballons an die Brust gedrückt. Jetzt hing mein Schwanz nicht mehr brav, sondern wippte leicht nach oben. Wenn die Umarmung noch zehn Sekunden länger gedauert hätte, …!„Passt ihr mal auf meine Sachen auf? Falls ich nicht zurück bin, wenn ihr geht, nehmt das Zeug mit, okay?“, sagte sie lässig zu einer Gruppe junger Leute, die links und rechts von ihrem Liegestuhl in der Sonne brieten und glotzten. Eine Abi-Reise vielleicht? Ich fragte mich nur, wie Cora zurück ins Hotel kommen wollte, wenn sie außer ihren Badelatschen nur ein Badetuch mit dabei hatte.Suli und Cora nahmen mich in die Mitte und ich nutzte die Gelegenheit, mit beiden Händen vier tolle Hinterbacken zu streicheln. Langsam wurde die Szene lockerer. Die barbusigen Mädchen wurden häufiger, man merkte, dass wir uns dem FKK-Strand näherten. Aber noch trugen alle, von mir und Cora abgesehen, zumindest eine Badehose, wenn auch manchmal ziemlich knapp geschnitten. Und Cora hatte sich ja mit dem Tuch verhüllt.Plötzlich, der Nacktbadestrand war nicht mehr weit, bemerkte Suli grinsend: „Ich habe Durst. Gehen wir ein Bier trinken, okay?“ Und schon bog sie vom Wasser fort schräg landeinwärts ab, steuerte eine Strandbar an. Sie ließ nichts unversucht, mich in Verlegenheit zu bringen, aber ich versuchte, mir nichts anmerken zu lassen. Die Strandbar war unter einem runden Dach aufgebaut, das wie ein riesiger Sonnenschirm aussah. Dabei war eine Hälfte grün, die andere rot, denn genau mittendurch verlief die Grenze zwischen Nacktbereich und Textilstrand, worauf einige, der Grenze entlang aufgestellte Sc***der hinwiesen.Es war noch Vormittag und die Sonne kam von Osten. Daher war der meerwärts gelegene Teil der Bar in der prallen Sonne, der landeinwärts gelegene im Schatten. Rundherum waren fix montierte Barhocker aufgestellt. Die im Schatten waren vollständig belegt und zwar ausschließlich von Männern in bunten Bermudas und aussagekräftigen Sc***dkappen, auf denen hauptsächlich ihre bevorzugten Biermarken zu lesen waren. Dafür waren die Plätze in der Sonne alle frei. Diese steuerten wir an. Die Männer glotzten alle geil, was bei unserem Auftritt kein Wunder war.Cora betastete einen der mit Kunstleder bezogenen Barhocker. „Hab‘ ich es mir doch gedacht. Setz dich da drauf, Andy, und in fünf Minuten haben wir zwei knusprige Spiegeleier!“ Sie lachte gackernd, nahm einfach ihr Badetuch ab und drapierte es über zwei nebeneinanderstehende Sitzgelegenheiten. Für drei war es zu kurz. Die beiden lagen so, dass sie von der Schattenseite her nicht zu sehen waren. Sie setze sich auf einen, nahm dabei das zum anderen Hocker reichende Badetuch zwischen die gespreizten Schenkel und winkte mich auf den anderen. Ich wollte nicht unhöflich sein und bot den Hocker Suli an, aber die lehnte ab.„Ich setz mich dann auf dich, Andy!“, meinte sie. „So heiß wie der Hocker wirst du kaum sein.“ Das war wohl richtig so. Also setzte ich mich Cora gegenüber hin und ließ meinen Schwanz locker über den Hocker hängen. Ich durfte nur nicht zwischen Coras Beine gucken, wo sich ausgeprägte Schamlippen feucht glänzend leicht teilten. Es war aber verdammt schwierig, woandershin zu sehen. Cora hatte das Problem nicht, ihre Zeichen der Erregung waren nicht so deutlich zu bemerken, als wenn sich mein Leuchtturm aufgerichtet hätte.Wie angekündigt, setzte sich Suli auf meinen Schoß und drückte mir wieder ihre Nippel in die Brust. Sie näherte ihr Gesicht langsam dem meinen und küsste mich innig. Über ihre Schulter hinweg sah ich Cora, die lüstern grinste und sich die Perle polierte. Da war es aus mit meiner Selbstbeherrschung. Mein Schwanz blühte auf und klopfte von unten energisch an Sulis Schritt. Ihr nasses Höschen brachte ihn zweimal zum Zurückzucken, dann drückte er aber fest in ihre Po-Kerbe.„Ich kann ihn sehen!“, wisperte Cora. Offenbar war er zur vollen Länge ausgefahren und stand hinter Sulis Po ins Freie.„Aber nicht mehr lange!“, flüsterte Suli zurück, schob ihren Hintern weiter in Richtung meiner Knie und schob ihren Slip vorne zur Seite. Sie würde doch nicht? Doch, sie tat es, nachdem sie sich vergewissert hatte, dass niemand von den Männern etwas Genaues erblicken konnte. Mit einer Hand hielt sie ihn fest und nach unten gedrückt, dann rutschte sie Zentimeter für Zentimeter wieder vor. Meine glühende Eichel stieß an ihre feuchten Schamlippen, güvenilir canlı bahis siteleri teilte sie und dann war ‘er’ drin. Nicht weit, aber die Eichel war nicht mehr zu sehen. „Mmmmh!“, seufzte Suli und Cora wichste nun fast ungeniert, allerdings nur aus dem Handgelenk. Ihr Oberkörper blieb unauffällig, wenn das angesichts ihrer zauberhaften Brüste überhaupt denkbar war. Diese waren etwas größer und schwerer als jene von Suli, hingen aber nur ganz leicht durch und konnten sich sehr gut auch ohne Stütze sehen lassen.Die blonde Schweizerin schmuste hingebungsvoll mit mir und wippte dazu leicht mit dem Becken vor und zurück, so dass mein Schwanz immer drei bis fünf Zentimeter aus und ein rutschte. Auch, wenn es schwerfiel, bemühten auch wir uns, nach außen hin, uns ganz normal zu benehmen. Ich hielt die Männer auf der Schattenseite unter Beobachtung, denn einen oder mehrere Mitspieler konnten wir nicht gebrauchen, schon gar nicht einen in Bermuda-Shorts. Da fiel mir auf, dass es keine Bedienung in der Bar gab.„Wo steckt eigentlich Michelle?“, fragte im selben Moment Suli und erklärte mir: „Michelle bedient hier normalerweise die halbe Woche am Vormittag, ich habe mich ein wenig mit dem Girl angefreundet. Sie lässt sicher anschreiben, denn Geld habe ich natürlich keines mit und du wohl auch nicht. Sonst musst du es halt abarbeiten!“„Und wie? Soll ich sie gegen drei Bier dreimal küssen oder einmal ficken?“Suli kicherte belustigt. „Michelle würdest du mit Freude gratis ficken, da bin ich mir sicher. Wo steckt sie bloß?“ Ich überlegte, ob diese Michelle es mit meiner Michelle aus den Dünen aufnehmen konnte. Doch da kam sie schon. Es war meine Michelle aus den Dünen! Sie trug ein weißes T-Shirt und eine blaue Sporthose und war etwas verblüfft, als sie mich in Gesellschaft von Suli, noch dazu knutschend, an ihrer Bar sitzen sah. Da sie von schräg links kam, sah sie natürlich, dass ich und Cora nackt waren, Suli aber einen Tanga-Slip trug. Dass wir in aller Öffentlichkeit fickten, konnte sie aber nicht ahnen. Zuerst bedankte sich Michelle bei einem der Männer, vermutlich hatte er auf die Bar aufgepasst. Dann zog sie sich das T-Shirt über den Kopf und ließ die Sporthose fallen, legte alles fein säuberlich in ein Fach unter dem Tresen uns stand nun nackt vor uns. Das heißt, ganz nackt war sie nicht. Sie trug anscheinend einen von den Micro-Strings, die Astrid und meine Mutter nicht hatten anziehen wollen. Den silbernen! Er glitzerte auf ihrer braunen Haut. Ein wahnsinniger Anblick! Jetzt war mir klar, warum die Bar von Männern belagert wurde.Michelle kam zu uns. „Pardon, isch musste mal – wie sage ihr – für, für kleine …?“„Für kleine Schmusekatzen?“, schlug Cora vor, grinste und steckte sich gleichzeitig zwei lange Finger in die Muschi.„Ihr möschte trinke? Was?“, fragte Michelle und Suli bestellte drei Bier auf Französisch. „Darf ich dir Andy und Cora vorstellen?“, hängte sie an die Bestellung an. „Andy isch kenne.“ Sie grinste und leckte sich die Lippen. „Ficke gut! Allo, Cora!“ Die junge Französin sah so scharf aus in dem silberfarbenen Micro-String, dass ich unwillkürlich anfing, in Suli zu stoßen. Die wippte dagegen und auf einmal steckte ich bis auf eine knappe Handbreit in ihr. Sie stöhnte verhalten auf. Sehr leise, aber Michelle wurde aufmerksam und kam näher. Wie eine Turnerin stemmte sie sich am Tresen ab, brachte die Beine in perfekt gestreckter Haltung in die Schwebe und guckte so über den Rand auf meinen fast völlig versenkten Schwanz. Ihr strammer Po war der helle Wahnsinn. Auf der anderen Seite ging ein Raunen durch die Reihen. Michelle wirkte begeistert. „Mon dieu! Ihr tut wirklisch!“Dann sprang sie federnd zurück auf den Holzboden der Strandbar und holte die drei Bier für uns aus der Kühltruhe. Ich nahm einen großen Schluck aus der Flasche, Cora kühlte als Erstes ihre Muschi und die Brüste. Das gab wohl nur mehr lauwarme Cervisia! Und Suli? Suli trank auch aus der Flasche, aber so, dass ein wenig Bier über ihr Kinn rann und auf ihre Brüste tropfte. Publikum hin oder her, ich musste das einfach auflecken. Genau das war auch ihre Absicht gewesen. Sie stöhnte hemmungslos, als ich an ihren Nippeln sog. Allerdings musste ich, damit ich mich weit genug vorbeugen konnte, aus ihr raus. Mein Schwanz schnellte hart nach oben, aber bei jeder Bewegung strich meine Eichel über ihren Kitzler, was kaum zu ihrer Beruhigung beitrug.Ebenso wenig abkühlend wirkte Cora, die nun plötzlich näher heran kam, sich von hinten an Suli schmiegte, um deren Taille griff und sanft begann, meinen Schwanz zu wichsen und mit der anderen Hand meine Eier zu massieren. „Oh, Gott!“, stammelte ich. Wollt ihr mich hier und jetzt zum Abspritzen bringen?“„Reiß dich ein bisschen zusammen!“, flüsterte Cora in mein Ohr und knabberte geil am Läppchen. „Ich möchte später noch richtig mit dir bumsen, wenn es dir recht ist.“ Und ob mir das recht war! Am besten mit ihr und Suli zusammen! Die eine ficken und die andere konnte sich um die Freundin kümmern und deren Spalte lecken. Um meine Potenz machte ich mir keine Sorgen, schließlich hatte ich heute erst dreimal gespritzt und über den Tag verteilt, schaffte ich sechsmal immer, manchmal, wenn es besonders geil wurde, sogar noch mehr. Dass das nicht ewig so gehen würde, darüber machte ich mir keine Illusionen. Angeblich lässt die sexuelle Leistungsfähigkeit des Mannes schon ab siebzehn nach. Bisher merkte ich davon nichts, eher das Gegenteil war der Fall. Ich trainierte aber auch viel und regelmäßig!Im Moment sah ich keine Notwendigkeit, selbst tätig zu werden. Die beiden geilen Mädchen agierten nach eigenen Vorstellungen und wenn ich meinen Samen über die Theke gießen sollte, dann würde es eben so geschehen.Michelle, die sich zwischenzeitlich um ihre anderen Gäste gekümmert und mit den Männern schamlos geflirtet hatte, kam powackelnd wieder zu uns. „Isch hab Manns gesagt, sie dort bleiben, aber sie wissen, was ihr tun.“ Sie legte wieder ihre Turnernummer hin und mein Schwanz ragte ihr entgegen. Schnell lutschte sie wippend daran, hüpfte dann wieder auf den Boden. „Ihr ficke auf Bar, dann Manns zahle einetausend Euro nur für gucke.“Da blieb den Mädchen und mir der Mund offen stehen. „Nein!“, sagten wir im Chor. „Wir tun das nicht für Geld“, fügte ich hinzu. „Gehen wir lieber!“, forderte ich Suli und Cora auf.Die stimmten zu. Suli zog sich noch das Höschen aus, denn wir waren ja auf dem offiziellen Nacktabschnitt, und trug den Bikini nun in der Hand. Auch Cora verzichtete darauf, sich das Badetuch um die Hüften zu schlingen und legte es dafür mir um die Schultern. „Du bist noch nicht braun genug und von der Sonne schon etwas rot. Du musst aufpassen! Ein Sonnenbrand am Schwanz ist sicher sehr unangenehm.“ Dagegen half das Badetuch um die Schultern wohl kaum, aber im Grunde hatte sie recht.Die zwei waren wohl schon länger vor Ort und waren überwiegend so braun gebrannt, dass ihnen die Sonne nicht mehr so viel anhaben konnte. Da hatte Suli wohl manch eine Gelegenheit genutzt, zumindest das Oberteil abzunehmen, denn die ganze Bräune konnte sie kaum vom heimatlichen FKK-Teich haben. Ich war schon gespannt, wie braun wir alle am Ende des Urlaubs nach Berlin zurückkommen würden.Nun aber spazierten wir drei Nackedeis friedlich über den Sandstrand zurück zum Ufer. Die Wellen schienen kleiner geworden zu sein, sie rauschten angenehm um unsere Fußknöchel. „Warum hast du gesagt, die liebst Frauen ab zwölf“, wollte Suli plötzlich wissen. „Das sind doch keine Frauen, sondern Kinder.“ Das klang nicht empört, bloß neugierig.„Äh, also ich hatte noch keine Zwölfjährige, aber meine Cousine Angelika hat mich immer geil gemacht, wenn ich sie nur gesehen habe. Und das erste Mal, als das passiert ist, war im vorletzten Sommer. Da war sie noch nicht einmal zwölf. Ich hab‘ nichts gesagt, damals, aber ich gestehe, dass ich mir hin und wieder einen runter holen musste, nachdem sie im winzigsten Bikini, den sie in Berlin finden konnte, an mir vorbei gestelzt war. Jetzt hat sie auch so einen Micro-String wie Michelle, aber meistens läuft sie nackt durch die Gegend.“„Woher kennst du eigentlich Michelle?“„Vor ein paar Tagen waren wir in den Dünen und da haben wir sie und ihren Freund beim Vögeln beobachtet. Sie haben uns bemerkt und dann …“„Freund? Du meinst ihren Bruder, oder? Und ihr habt dann gemeinsam eine oder zwei Nummern geschoben?“„Ja, zwei.“„Du und …?“„… und Marina, meiner …“ Ich stockte kurz, aber dass Michelle mit ihrem Bruder Pierre bumste, hatte sie ja auch nicht aufgeregt, „… Schwester.“„So, so! Du fickst also mit deiner Schwester! Mit deiner geilen Cousine inzwischen auch. Die müsste ja jetzt vierzehn sein.“„Noch nicht ganz, und ja, seit neulich auch mit der. Aber, es ist ja unglaublich, aber wahr, sie hat sich schon mit zwölf oder noch jünger den Schwanz von ihrem Bruder und ihrem Cousin reinstecken lassen.“„Ganz schön frühreif, das Teufelchen! Ich könnte ja nie mit meinem Bruder ins Bett gehen. Weil ich keinen habe!“, trumpfte sie auf.„Geht mir ganz genau so“, meinte dazu Cora. “Aber ich habe es schon einmal mit meinem Onkel, ein paarmal mit meinem Cousin und ganz oft mit meiner Schwester getan.“„Schwestern zählen bei Mädels nicht. Das ist ja schon fast normal!“„Hm! Würdest du mit deinem Vater Sex haben wollen, Suli?“„Ich würde ihn ja lassen, ehrlich, aber der hat kein Interesse. Beziehungsweise, er traut sich nicht, es zu wollen. Macht nichts, ich komme so normalerweise auch nicht zu kurz, nur in letzter Zeit …“„Kein Wunder, bei den rabiaten Methoden, die du anwendest!“, warf ich in die Debatte. „Ich lag nackt am Strand, da hat sie sich einfach auf mich geworfen“, erklärte ich Cora. Suli dementierte wortreich und Cora grinste nur.„Kennt ihr euch eigentlich schon länger, oder habt ihr euch erst hier getroffen?“„Suli und ich kennen uns seit dem Kindergarten, aber sie hat schon letztes Jahr Abi gemacht und ich heuer. Ich bin mit dem Großteil meiner Klasse da. Alles Spießer! Hast du gesehen, wie die geschaut haben, als ich mitten unter ihnen am öffentlichen Stand meinen Bikini ausgezogen habe? Wow! Das war ein geiles Gefühl!“„Dann bist du also auch neunzehn, oder?“„Stimmt! Und du?“„Ich bin noch siebzehn, aber werde bald achtzehn. Ich habe Suli schon zu der Party eingeladen. Kommst du auch?“„He! Hab ich gesagt, dass ich komme? Du hältst dich ja wirklich für unwiderstehlich!“„Es wird natürlich eine Sexparty. Ich kann verstehen, wenn du das nicht möchtest und nicht kommst“, grinste ich.„Eine Sexparty? Warum sagst du das nicht gleich? Natürlich kommen wir, gell, Cora?“„Mal sehen! Wir können ja schon mal damit anfangen. Dann wissen wir, was uns erwartet.“„Wie? Womit anfangen?“ Meinten die jetzt eine Sexparty? Und wo? Hier am Strand, wo lauter fremde Leute herum wuselten? Oder vielleicht bei ihnen im Hotel? Da konnte ich nur hoffen, dass sie eine Ahnung hatten, wie man so eine Veranstaltung organisatorisch aufzog und …„Was wie?“, antwortete Suli. „Ein bisschen Sex natürlich! Da können wir gleich etwas überprüfen, ob du dich nämlich traust, hier am Strand mit einem Ständer rumzulaufen.“ Ach so, ein bisschen Sex, da hatte ich keine Probleme mit. Machte ich ja sonst auch oft, in den letzten Tagen sogar mehrmals täglich.„Und wie soll das gehen?“ Ich musste Bescheid wissen, schließlich war ich da mehr Opfer als Täter.„Eigentlich bräuchten wir nur ein bisschen versautes Zeug reden, dann steht er dir auch schon. Aber ich bin dafür, dass wir das auf gutbürgerliche Art machen. Wir blasen dir einfach einen!“ Wenn Blasen am öffentlichen Strand gutbürgerlich war, dann fragte ich mich, was sie dann eventuell unter provokant verstand. Da hatte ich mir ja zwei wilde Früchtchen geangelt! Ich freute mich schon darauf, mit ihnen zu poppen.„Da bin ich aber mal gespannt, ob ihr euch traut, hier am öffentlichen Strand meinen Schwanz in den Mund zu nehmen. Da könnten wir an Ort und Stelle auch gleich bumsen.“„Nur nicht gleich übertreiben!“, beruhigte Suli. „Glaubst du, dass du seinen dicken Schwanz schlucken kannst, Cora? Dann lutsch ich ihm nämlich die Eier.“ Während diesen Gesprächen waren wir ohne anzuhalten ganz langsam am Meer entlang geschlendert, Suli links von mir, direkt am Wasser, Cora, die etwas kleiner war, obwohl sie die größeren Titten hatte, lief ‚oben‘. Immer wieder wurden unsere Füße von Wellenausläufern umspielt.Cora schaute aufmerksam auf meinen Schwanz, der jetzt in Sulis flacher Hand lag. Mit dem Daumen wichste sie mich leicht. „Hm!“, antwortete Cora, wiegte ihr dunkles Köpfchen und streichelte meinen pochenden Fahnenmast mit zwei Fingern. „Ich glaube schon. Onkel Martin hat auch keinen kleineren und bei dem ging es ganz gut. Aber das ist jetzt alles irrelevant, denn der kleine Andy steht schon die ganze Zeit stramm. Wir müssen ihn nicht mehr blasen!“„Ooooch! So schade!“, feixte Suli. „Na, dann zeig mal, wie mutig du bist, Andy!“ Sie beugte sich aber runter und gab mir einen saftigen Schmatz auf die Eichel, obwohl gerade eine Gruppe Leute des Weges kam. Doch die lachten nur und riefen etwas von ‚amour fou‘ da wollte Cora auch nicht zurückstehen, kniete sich vor mir in den Sand und lutschte schnell die ganze Eichel in ihren Mund, ging tiefer, tiefer und dann hatte sie meinen ganzen Schwanz verschluckt! Allerdings waren gerade keine Leute da, die das gesehen hätten.„Na, was sag ich?“, triumphierte Cora, als sie wieder Atem geschöpft hatte. „Ich kann es und das werden wir noch vertiefen. Was ist mit dir, Suli? Du kannst es immer noch nicht?“„Nein, leider! Mir fehlt daheim die Gelegenheit zum Üben.“ Ich sah sie überrascht an. Suli war so perfekt, da mussten die Männer doch Schlange stehen. Und ihre Schwänze auch! „Weißt du, Cora, ich bin ja sehr umgänglich, aber mir scheint, die Typen haben Angst davor, mich anzusprechen. Ich habe jetzt schon fast ein halbes Jahr keinen Freund und bis auf den einen oder anderen One-Night-Stand keinen Sex mehr! Andy ist ein Geschenk Poseidons. Eine Welle hat mich ihm zugeworfen!“ Sie lachte hell. „Und er ist so herrlich unkompliziert und schamlos geil!“„Das ist wahr! Hoffentlich ist er auch so potent wie schamlos! Ich will seinen Schwanz in allen Löchern spüren!“„He!“, protestierte ich. „Ihr redet über mich wie über einen Zuchtstier. Natürlich habe ich nichts dagegen, mit euch beiden einen flotten Dreier zu machen und, bei aller Bescheidenheit, bis jetzt hat sich noch keine beschwert, danach unbefriedigt gewesen zu sein. Also kommt runter und lasst uns weitergehen, dann können wir leicht einen Sexparty-Probelauf abhalten.“Suli fasste an meine Eier und drückte sich enger an mich. Auch Cora kam näher, legte eine Hand auf meinen Arsch und die andere kurz auf meinen Schwanz. „Gib nichts auf das, was wir reden! Wir wollen dich nur geil halten, damit dein Ständer nicht vor Ablauf der Prüfung abschlafft!“ Sie fasste noch einmal zu, wichste auch das letzte bisschen Schwäche heraus und ließ ihn dann los. Er wippte stahlhart in der lauen Brise. „Bis jetzt schlägst du dich fabelhaft! Nicht die kleinste Schamhaftigkeit!“ Was sollte ich auch an Scham denken, wenn ich mit zwei nackten Göttinnen Arm in Arm dahinschwebte? Die Leute, die uns begegneten, erkannten zweifellos, dass ich auf dem Weg war, die beiden Traummädchen zu vernaschen und zwar wirklich alle zwei. Abgesehen von einigen Männern, die vor Neid vergingen und einigen vertrockneten Frauen, die moralinsauer den Kopf schüttelten, zeigten viele eine Art von Bewunderung oder deuteten mir, es gut zu machen. Ich sah immer wieder ‚V‘-Zeichen oder ‚Daumen hoch‘, bekam mehr ‚Likes‘ in diesen zwanzig Minuten als in meiner ganzen Facebook-Karriere zuvor.Zwanzig Minuten? War ich so weit abgetrieben worden? Keineswegs! Nur kosteten Suli und Cora die Situation voll aus, drehten immer wieder mit mir um und gingen ein paar Schritte zurück, wo eine interessante Muschel lag oder sonst etwas, das ihre Aufmerksamkeit erregte. Einmal zum Beispiel lagen da zwei Mädchen nebeneinander auf einem riesigen Badetuch. Beide trugen vollständige Bikinis. Cora und Suli fingen an, darüber zu lästern, dass die zwei so vollständig bekleidet am Nacktbadestrand lagen. Dann zogen sie mich auch noch in die Sache hinein. „Schau doch, Cora! Der Anblick der beiden macht ihn geiler, als wir es je könnten. Gleich wird er sie anspritzen, wenn wir nichts dagegen tun.“„Aber was?“ „Ich könnte mir ja den Bikini wieder anziehen, damit er mich anschaut und für mich geil wird, und du hast ja dein Handtüchlein, mit dem du dir wenigstens die Muschi verhängen könntest.“ Die zwei Mädchen, sicher nicht älter als sechzehn oder siebzehn, gafften verblüfft und wussten nicht, wie sie reagieren sollten. Wahrscheinlich waren sie hierher gekommen, damit sie einmal unauffällig Schwänze ansehen konnten. Bereit sein ist alles!„Oder die beiden Hübschen ziehen sich auch nackt aus, wie es hier der Brauch ist. Sie brauchen sich ja nun wirklich nicht zu verstecken. Bei den Topp-Figuren und den schönen Gesichtern!“„Recht hast du, Cora. Wisst ihr was, ihr zwei Strandschönheiten? Wir machen jetzt Strandgöttinnen aus euch. Andy, setzt dich mal zwischen die beiden. Wie heißt ihr denn?“„Gudrun.“„Camilla.“Während die ihre Namen ächzten, hatte ich mich hingesetzt. Sie waren tatsächlich nach links und rechts gerückt. Nun saß ich Haut an Haut mit Camilla und Gudrun und fragte mich, ab an diesem Strand ausschließlich deutsche Mädchen herumliefen. Suli und Cora setzen sich ebenfalls auf das riesige Badetuch, auf dem es nun etwas knapp wurde.Gleichzeitig fassten meine geilen Begleiterinnen je eine Hand von Camilla und Gudrun und legten sie an meinen Schwanz. „Haltet den mal fest, damit er nicht umfällt. Das darf nicht passieren. Wir helfen euch dafür beim Ausziehen.“ Hatte ich da etwas überhört? Soweit ich mich erinnerte hatten weder Gudrun, noch Camilla zu erkennen gegeben, dass sie sich ausziehen wollten, doch da saßen die beiden schon oben ohne da. Sie hatten bezaubernde Titten und wirklich, ihre Nippelchen standen steil nach vorne!Suli und Cora ließen die Oberteile unauffällig verschwinden, verhinderten mit schneller Hand, dass die beiden jungen Mädchen meinen Schwanz losließen und beschäftigten sie mit intensiven Küssen. Gudrun und Camilla waren so überrumpelt, dass sie voll mit Zunge dagegen küssten. Dabei bemerkten sie nicht, dass meine heißen Begleiterinnen gleichzeitig sachte an den Bändchen der Bikinihöschen zupften und die Schlaufen lösten. Ich blieb auch nicht untätig und streichelte die zarten flachen Bäuche der schon fast ganz entkleideten Mädchen, schob auch zwei, drei Finger unter den Höschenbund und hob den Stoff von den Schamhügeln. Siehe da, die beiden waren auch blitzeblank rasiert. Die eine trug über dem Kitzler ein Tattoo ‚Don’t stop!‘, die andere eines mit ‚Welcome home!‘. Jetzt war mir klar, warum sie sich ungern ganz nackt zeigten. Die Tattoos waren zwar nicht echt und nach einiger Zeit würde die Schrift verblassen, aber das waren wohl unbedachte ‚Investitionen‘ gewesen, eventuell aus der Laune des Augenblicks passiert, womöglich alkoholbedingt. Nun hatte sie wohl der Mut verlassen, ihre ‚coolen Ideen‘ der Öffentlichkeit zu zeigen. Ihre Eltern würden wahrscheinlich durchdrehen, wenn sie das zu sehen bekämen. Andererseits sprach das dafür, dass die zwei im Grunde alles eher als prüde waren.Cora kniete sich zwischen die Beine von Camilla, Suli desgleichen bei Gudrun. Fast unbemerkt verschwanden die kleinen Stoffdreiecke unter Coras Badetuch. Zum Denken kamen die zwei ‚Unschuldslämmer‘ nicht, denn, nach einem scharfen Rundblick, der zeigte, dass außer einem jungen Paar, das vor uns am Ufer stand, aber auf das Meer hinaus blickte, in der Nähe keine weiteren Leute waren, senkten sich zwei feuchte Zungen in ebenso feuchte Spalten. Gudrun und Camilla stöhnten im Chor auf. Suli und Cora leckten die beiden und ich zwirbelte ihre Kitzler. Durch das immer lautere Gestöhne wurde das junge Paar aufmerksam und drehte sich um. „Wahnsinn!“, sagte der junge Mann und seine Freundin bekam glänzende Augen. Sie griff nach seinem Schwanz und begann, ihn zu wichsen.Gudrun und Camilla hatten vor Aufregung schon längst meinen Mast aus den Händen gelassen, aber angesichts der geilen Situation bestand für seine Härte nur insofern Gefahr, als ich möglicherweise ganz ohne weiteres Zutun abspritzen hätte können.Der junge Mann hatte sich in den Sand gesetzt und sein Mädchen blies ihm ungeniert den Schwanz. Da sah ich eine Gruppe Leute aus der Richtung des Textilstrandes kommen. Sie waren zwar noch so weit entfernt, dass sie mit Sicherheit nicht genau sehen konnten, was wir hier trieben, aber das änderte sich ja mit jedem Meter, den sie näher kamen. „Achtung! Da kommen Leute!“, warnte ich. Das Mädchen ließ seufzend von ihrem Freund ab, sie erhoben sich und stiegen hinauf zu den Dünen, um sich dort ein Plätzchen zu suchen, an dem sie ihrer Lust frönen konnten. Suli und Cora stellten die Leckereien ein, küssten Gudrun und Camilla noch einmal auf den Mund, erhoben sich und gingen. Auch ich rappelte mich auf, hielt den zwei süßen Mädchen zum Abschied meinen Schwanz vor die Gesichter und zu meinem größten Erstaunen, nahmen ihn beide nach etwas Zögern kurz in den Mund. Sie grinsten frech.„Schmeckt gut“, sagte Camilla.„Good fuck!“, wünschte Gudrun. Ich hingegen hoffte, den beiden irgendwann noch einmal zu begegnen. Das könnte durchaus angenehm werden. Immerhin hatte ich ja Wohlschmeckendes zu bieten.Ich eilte Cora und Suli nach und führte sie dann hinauf zu dem Platz, an dem ich meine Geschwister, Cousins und Freunde vermutete. Dabei ging ich etwas schneller, um diese auf die Ankunft zweier Gäste aufmerksam zu machen, vorzuwarnen, wenn man so will. Meine neuen Bekanntschaften waren zwar mindestens so versaut, wie meine Familie, aber die konnten das ja – noch – nicht wissen. Und Stress wollte ich erst gar keinen aufkommen lassen. Meine Sorge schien unbegründet. Alle neune lagen friedlich und nackt nebeneinander und dösten. Auch Lollo, Lukas, Sandra und Matthias waren diesmal mit dabei.Auf meine Begrüßung schoss Angie in die Höhe. „Endlich bist du da! Andy, ich muss dir was zeigen!“Teil VIII – Artistik© LuftikusWie gesagt, eigentlich wollte ich nur ankündigen, dass wir Besuch kriegten, aber da alle in bürgerlicher Keuschheit in der Sonne lagen, glänzend vor Sonnenöl und Schweiß und niemand Aktivitäten zeigte, die man unter Umständen als unzüchtig hätte bezeichnen können, erübrigte sich das. Dazu brachte mich Angie mit ihrer Ankündigung aus dem Konzept. Was wollte sie mir bloß zeigen?Angie ließ nicht lange auf sich warten, stemmte sich, noch auf dem Rücken liegend, mit Armen und Beinen zu einer steilen Brücke hoch und wanderte wie ein Krebs herum, wobei sie den Rücken immer stärker krümmte, bis schon allein das Zusehen fast Schmerzen bereitete. Von unten her grinste sie mich an. „Hab’ doch gesagt, dass ich sehr gelenkig bin! Jetzt pass auf!“ Sie krabbelte auf Maggo zu, der seine Beine weit auseinander spreizte, und dann schnappte sie mit dem Mund nach seinem Schwanz, der aber noch etwas schlaff war. Ihre Haare lagen auf seinem Badetuch und ihre Lippen saugten seinen Pimmel immer tiefer in den Rachen. Ein richtiger Deepthroat war das zwar noch nicht, denn man sah deutlich, wie sich sein Schwänzchen in ihrer Mundhöhle krümmte, aber eindrucksvoll war das schon!Das fanden offenbar auch Suli und Cora, die in diesem erregenden Augenblick über die Düne kamen und spontan Beifall klatschten. „Ja, wer möchte denn da die Mia Malkova nachmachen?“, rief Suli erstaunt. Angie erstarrte, Maggos Schwanz immer noch im Mund. „Ist das dein kleines Schlampenschwesterchen, Andy? Eigentlich dürfte die solche Filmchen gar nicht sehen, oder?“„Nach der Vorlage müsste ihr jetzt nur noch eine die Muschi ausschlecken!“, spann Cora den Bogen weiter. Ich hatte keine Ahnung, von welchem Filmchen da die Rede war, aber es war ungeheuer geil, was Angie da vorführte. Die Idee schien Marina zu gefallen und sie kniete sich zwischen Angies Beine und zog ihre Zunge durch die nasse Spalte ihrer jungen Cousine. Maggos Schwanz wurde bei dem Anblick hart und Angie röchelte, spuckte den Pimmel aus und atmete heftig. Merkwürdigerweise sackte ihre Brücke nicht ein. Das hing wohl auch damit zusammen, dass Marina Angies Po mit ihren kräftigen Armen umschlungen hielt. Unentwegt, aber gemächlich leckte sie die blanke Muschel und knabberte hin und wieder am kleinen, vorwitzigen Kitzler. Die ganze Belegschaft und die beiden Neuankömmlinge schauten fasziniert zu.„Äh …!“, sagte ich, „das sind übrigens Suli und Cora. Ich habe sie am Strand getroffen. Wurde nämlich auf den Textilstrand …“Marina unterbrach mich. „Eigentlich könnte sie ja jemand ficken. Ist sicher wahnsinnig geil in der Stellung. Und ich möchte das mit der Brücke auch mal probieren! Wer macht noch mit?“Die Chance, meine dreizehnjährige, fast vierzehnjährige, Cousine in der Stellung zu vögeln, wollte ich mir nicht entgehen lassen. Auch Toby war schon auf dem Sprung, aber ich war schneller. Und auf jeden Fall einsatzbereit! Immerhin trug ich dank Suli, Cora, Gudrun und Camilla schon die längste Zeit einen Ständer mit mir herum. Den setzte ich jetzt an Angies saftiger Spalte an. „Bereit?“, fragte ich noch, und Angelika nickte, nahm dabei aber Maggos Schwanz nicht aus dem Mund, sondern lutschte eifrig weiter. Aber sie machte keinen Versuch mehr, ihn ganz rein zu stecken.Marina hatte inzwischen auch eine Brücke gebaut, die fast so elegant aus sah wie die von Angie und näherte sich Toby. Der war eh schon geil und sein Riemen ragte steil nach oben, so war es für Marina gar nicht so schwer, ihn in ihren Mund zu schieben. Inzwischen fing aber Angie nach einigen heftigen Stößen an, zu zucken und brach ein. Sie ließ Maggos Schwanz fahren und quiekte ekstatisch. Ich musste ihr Ärschlein gut festhalten, sonst wäre ich aus ihr rausgerutscht, aber ein bisschen Nachschlag mochte ich ihr schon gönnen. Sie lag jetzt auf ihren Schultern, aber ihr Becken ragte bis in meine Hüfthöhe, wobei ich mich aber auf die Knie hatte fallen lassen. Unbeirrt fickte ich die Kleine weiter, bis sie noch zweimal heftig gekommen war. Dann suchte ich mir ein neues ‚Opfer’. Mein Blick fiel auf meine zwei neuen Bekannten, Suli und Cora, die konsterniert auf halber Höhe der Düne stehen geblieben waren und fast fassungslos das hemmungslose Treiben beobachteten. Tatsächlich hatten die Mutzenbacherspiele die Kleinen offenbar völlig enthemmt. Lollo und Lukas aber waren eher unangenehm von dieser spontanen Orgie berührt, wussten aber anscheinend nicht, wie sie intelligent darauf reagieren sollten. Schließlich wusste außer mir ja niemand, dass die blonde Schweizerin und ihre schwarzhaarige Freundin nicht weniger versaut waren. Nur halt ein paar Jahre älter.Wie auch immer, Lukas zog Lollo hoch, die murmelte was davon, dass sie schwimmen gehen wollten, und dann waren die beiden dahin. Endlich kam bei einigen auch der Verstand wieder in die Gänge. Manu und Sandra starrten die Neuankömmlinge an. „Andy, wer sind die?“, fragte mich meine Cousine plötzlich.„Ich habe ja versucht, sie euch vorzustellen, aber vor lauter Geilheit hat wohl niemand zugehört. Maggo! Angie! Marina! Toby! Alles mal herhören!“ Langsam, aber sicher sickerte was in die heißen Köpfe. Alle guckten mich fragend an. „Ich habe am Strand zwei nette, geile Mädels getroffen. Die möchten sich uns eventuell anschließen. Die Blonde heißt Ursula, wird aber Suli gerufen und das ist ihre Freundin Cora.“ Die beiden wurden reihum mit Wangenküsschen begrüßt, Matthias, Toby und Maggo waren sichtlich interessiert, wagten aber vorerst keinen intensiveren Körperkontakt. Manu kannte da weniger Zurückhaltung und fasste beide an der Muschi an. „Geil ist gar kein Ausdruck!“, stellte sie fest, „die rinnen ja fast aus! Höchste Zeit, dass sich jemand ihrer annimmt und sie ordentlich durchbumst.“„Nichts anderes habe ich vor, teuerste Cousine!“ Ich wandte mich den beiden zu. „Ihr habt wohl nichts dagegen, oder? Schließlich waren wir ja schon fast so weit.“ Und da keine Gegenrede kam, fragte ich forsch: „Wer will zuerst?“ Beide zuckten nach vorne. Da kam mir eine Idee. „Seid ihr auch so gelenkig? Wollt ihr das auch mal probieren?“Suli tuschelte mit Cora, dann legte diese ihr Badetuch in den Sand und Suli schubste mich drauf. „Wir sind ziemlich gut in Gymnastik und werden das ausprobieren. Macht sicher Spaß!“ Beide knickten in den Knien ein, beugten sich zurück, stützten sich mit den Händen ab und schoben ihr Becken in die Höhe. Von beiden Seiten krebsten sie an mich heran und dann stülpte Cora ihren Mund über meinen Ständer, lutschte kräftig an der Eichel und überließ die daraufhin Suli, die sich auch nicht ungeschickt anstellte. Doch sie ließ sich ein wenig zu tief sinken. Meine Eichel berührte kurz ihre Mandel und schon würgte und röchelte sie, spuckte meinen Schwanz förmlich aus und sank keuchend auf ihren süßen Po. „Verflucht noch eins!“, schimpfte sie, „ich muss noch viel üben! Aber jetzt mach ich was, das ich wirklich sehr gut kann.“ Mit diesen Worten kniete sie sich zwischen Coras Schenkel, die, immer noch in Brückenstellung mit Kopf nach unten, sofort wieder meinen Schwanz geschluckt hatte und nun munter daran herumlutschte. Aus meiner Lage konnte ich unter dem gekrümmten Rücken von Cora durch von Suli nur den flachen Bauch und ihre herrlichen Titten sehen, die hin und her wippten, sowie ihr Kinn, das unablässig auf und ab fuhr. Die schmatzenden und schlürfenden Geräusche machten deutlich, dass sie Coras Lustspalte heftig bearbeitete. Bald konnte die meinen Schwanz nicht mehr im Mund behalten, weil sie lustvoll zu stöhnen und zu wimmern anfing. Gleich darauf musste ich sie abstützen, sonst wäre sie mir wohl auf den Bauch gekracht, weil Suli zum Endspurt angesetzt hatte, nicht nur mit ihrer Zunge Coras Feuchtgebiet umpflügte und mit den Lippen an ihrem Kitzler knabberte, sondern zusätzlich noch ihre Arschbacken fest gepackt hatte und knetete, dass es eine Freude war. Dabei, das sah ich erst, als ich mich unter ihr hervorgerappelt hatte, schob sie abwechselnd die Daumen durch Coras Schließmuskel. „Das ist aber geil!“, kommentierte ich das Geschehen. Mein Schwanz stand prall und im Moment beschäftigungslos.„Frau weiß eben, was Frau braucht“, erwiderte Suli trocken. Nach einem heftigen Orgasmus beruhigte sich Cora und ließ sich auf das schon etwas verwüstete Badetuch sinken. „ich bräuchte jetzt einen richtigen Schwanz in die Fotze!“, forderte Suli rüde. Damit konnte ich natürlich dienen und bugsierte sie so über ihre Freundin, dass sich die beiden bei Bedarf gegenseitig lecken konnten, also in die bekannte Position neunundsechzig. Sachte drückte ich ihr den Kopf nach unten und fast automatisch fing sie an, ihre Freundin auszuschlecken. Ihren Po zog ich ein wenig nach oben, setzte meine Eichel in die glitschige Kerbe und fuhr damit ein paar Mal hin und her, bis sie schrie: „Jetzt steck ihn mir endlich rein und fick mich! Biiiitte!“ Da wollte ich mal nicht so sein und rammte ihr meinen Kolben bis zum Anschlag rein, was sie mit einem zufriedenen Seufzen beantwortete.Ich verharrte erst einmal und ließ meinen Schwanz sich an die neue Muschi gewöhnen. Sehr fein, sehr eng und anscheinend auch schön tief. Suli war ja auch ein schönes großes Mädchen. Nichts gegen kleine, Manu, Angie oder – mit Abstrichen – Marina waren auf ihre Art einfach Spitzenklasse, aber so ein kräftiges Stück Fleisch in der Mache zu haben, hatte auch seinen Reiz. Ich fühlte mich sogar ein wenig an Mama erinnert, als ich Suli mit wuchtigen Stößen rammelte. Eigentlich konnte ich vermutlich auch bei unseren zarteren Mitspielerinnen einen härteren Gang gehen. Sie würden es wohl sagen, wenn es ihnen unangenehm war. Suli war es das jedenfalls in keinster Weise. Ganz im Gegenteil jubilierte sie so, dass sie darüber fast vergaß, ihrer Freundin Cora Wonnen zu bereiten. War aber nicht so schlimm, denn die wollte ich gleich im Anschluss ficken. Mit der Heftigkeit der Stöße kam ich aber auch etwas schneller zum Abschuss, als es sonst üblich war. „Ich komme gleich“, kündigte ich an. „Du nimmst wohl die Pille, oder? Was wäre denn dein Wunsch? Wohin soll ich spritzen?“„Ja, ja, ja! Ich nehm die Pille, aber noch nicht kommen, noch nicht kommen, ich bin noch niiicht so weit. Bald, bald, dann spritz mir alles rein! Nein, nein, noch niiiicht!“ Ganz kurz konnte ich es noch hinauszögern, aber dann pumpte ich ihr die ganze Ladung in die Muschi. „Scheiße! Ich bin noch nicht gekommen! – Oh, was ist das? Du fickst einfach weiter? Dabei war das ja jetzt schon dein zweites Mal?“„Für heute war es das vierte Mal, aber das am Strand ist schon wieder eine Weile her. Deswegen war das jetzt ein neuerliches erstes Mal und ich kann locker noch eine Runde bumsen. Das reicht dann sicher für dich und für Cora, weil es beim zweiten Mal immer etwas länger dauert.“„Oh, Gott!“, meldete sich Cora von unten, die sich gerade die ersten Spermatropfen von den Lippen leckte, die aus Sulis Muschi gesickert waren, die ich unbeirrt weiter kräftig fickte. „Wie oft kannst du denn?“„Sechsmal kann ich fast garantieren, siebenmal war schon öfter, aber ich denke, wenn ich es mir gut einteile und so geile Fickpartnerinnen habe, ich könnte es auch acht-, neunmal oder noch öfter schaffen. Mal sehen!“ Mir schwindelte fast, wenn ich daran dachte, jemand könnte mich auf diese großspurige Ansage festnageln.Cora schwieg – und schlürfte eifrig. Seinen eigenen Saft in einer geilen Muschi nach dem ersten Abspritzen mit dem immer noch steifen Schwanz durchzuquirlen ist schon eine tolle Sache. Wenn es der Saft von einem anderen ist, das ist auch nicht übel, aber das hier war eben extrageil. Ich war mir darüber klar, dass ich so etwas in späteren Jahren wohl nicht oder nicht mehr oft bringen würde. Darum musst ich die Gunst der Stunde und die Gnade der Jugend nützen, wann immer sich die Gelegenheit bot. Suli keuchte immer schneller, bockte dagegen und erreichte endlich einen gewaltigen Höhepunkt. Dabei quetschte sie meinen Schwanz geradezu, dass ich fast noch einmal in ihr abgespritzt hätte. Durch absolutes Stillhalten konnte ich das aber noch einmal verhindern und als sie endlich zur Ruhe gekommen war und schwer atmend wie ein toter Frosch auf Cora lag, zog ich vorsichtig meinen pulsierenden Pimmel aus ihr – und steckte ihn gleich Cora in den Rachen. Schließlich lag die ja genau richtig und staunte mit offenem Mund.Auch ohne Vorbereitung schluckte Cora brav meinen Schwanz bis zu den Eiern, nuckelte kurz daran und schob ihn dann wieder raus, ohne sich intensiver damit zu befassen. Sie ahnte wohl, wie kontraproduktiv dies hätte enden können. Um Suli wieder auf Touren zu kriegen, steckte ich ihr einen, dann zwei Finger in den Arsch und fickte sie ein wenig anal. Das schien sie tatsächlich zu beleben, denn sie schnurrte zufrieden. Da konnte ich wohl später auch noch meinen Lümmel spielen lassen. Auch ganz schön versaut, die blonde Schweizerin. Und Cora vermutlich auch. Auf deren Arsch freute ich mich auch schon. Aber zuerst musste sie mal unter Suli hervor. Meine Belebungskünste zeigten Wirkung. Mein blondes Lockenköpfchen, die Haare waren inzwischen schon trocken, aber doch noch etwas vom Salz verklebt, regte sich und krabbelte von Cora runter, ließ sich daneben in den Sand fallen.Die dunkelhaarige Cora zog mich schnell nach vorne, dass ich mich mit den Armen abstützen musste. Mein Kopf aber landete punktgenau zwischen ihren Schenkeln. Ich hatte nichts dagegen, Zunge und Nase in ihre Muschel zu versenken und schlabberte ein Weilchen zu ihrem größten Vergnügen, während sie geruhsam meinen Schwanz blies, aber dabei vorsichtshalber nicht viel mehr als die ersten fünf, sechs Zentimeter in den Mund nahm. Es war ausgesprochen gemütlich.Plötzlich hatte sie anscheinend genug. Sie zog sich meinen Schwanz noch einmal tief rein, dass ich schon glaubte, als nächstes würde sie auch noch meine Eier verschlucken. Sie massierte Schaft und Eichel mit ihren Schluckmuskeln und entließ meine neunzehn Zentimeter Millimeter um Millimeter, schmatzte vernehmlich und verkündete selbstbewusst: „Und jetzt will ich oben sitzen!“ Gekonnt wälzte sie mich zur Seite, wodurch ich im Sand zu liegen kam, drehte sich um und setzte sich über meinen Unterleib. Mein Schwanz pochte an ihren Po und wie sie so auf und nieder wetzte, stieß er einige Male an ihren Hintereingang.„Soll ich dich etwa in den Arsch ficken?“, fragte ich direkt und hoffnungsfroh.„Noch nicht“, antwortete sie munter und ließ sich auf meine Brust sinken. Wir schmusten ein Weilchen, während ich versuchte, meinen heißen Stab bei ihr einzufädeln. Sie ließ mich aber zappeln und entzog ihre Muschi immer wieder knapp meinem drängenden Schwanz.Kommt Zeit, kommt Fick! Küssen mit Cora war auch nicht schlecht und mit ihrem Hin- und Herwetzen ihrer Muschi hielt sie meinen Schwanz richtig geil bei Laune. Suli setzte sich neben uns auf das Badetuch und knetete versonnen meine Eier.Auf einmal hatte ich genug davon, nur so rumzufummeln und hielt meinen pochenden Knüppel ruhig. Er zielte genau auf Coras Fötzchen, nur wenige Zentimeter entfernt. „Steck ihn ihr rein!“, bat ich Suli, die dem mit großem Vergnügen nachkam, nicht, ohne vorher noch ein paar mal den Schaft auf- und abgeleckt und die pralle Eichel gelutscht zu haben. Spaßhalber wehrte sich Cora dagegen, aber ihre Freundin machte kurzen Prozess, hielt ihren Arsch fest und kletterte auf ihren Rücken. So konnte ich sie endlich aufspießen! Suli ließ sie nun los und kletterte so über mich, dass ihre schleimige Spalte direkt vor meinen Mund geriet. Der unmissverständlichen Aufforderung konnte ich mich nicht entziehen und leckte sie eifrig.Nun ist Sperma zwar nicht unbedingt meine Lieblingsleckerei, aber wenn man es schon gerne sieht, wenn Mädels sich in den Mund spritzen lassen, ist es nur gerecht, wenn wir Burschen da auch nicht kneifen, oder? Und total widerlich war es sowieso nicht. Immerhin war es ja mein eigenes Sperma.Suli ging jedenfalls voll ab und es dauerte nicht lange, da überschwemmte sie mein Gesicht mit ihrem reichlich fließenden Mösensaft. Cora genoss es sichtlich, das Tempo zu bestimmen und ritt versonnen vor sich hin. Ob sie dabei vom legendären Cowboy träumte, der in den Sonnenuntergang ritt?So fickten wir eine Weile in trauter Dreisamkeit. Ich schürfte in Sulis heißer Spalte, stieß dabei in Coras Muschi und genoss es in vollen Zügen, als plötzlich jemand neben uns auftauchte. Aus den Augenwinkeln erkannte ich Camilla und Gudrun, die hinter ihr stand. „Hallo!“, blubberte ich, „wollt ihr euch beteiligen? Vorstellen kann ich euch auch später.“„Wir wollten eigentlich nur unsere Bikinis zurück, die die uns geklaut hat!“ Ihr Finger deutete empört auf Cora, doch die grinste nur.„Komm her, Kleine, ich leck dir dafür einen ab!“, und sie streckte den Arm aus und zog die junge Camilla näher. „Mmmh! ‚Don’t Stopp!’, meinst du? Das hatte ich eigentlich nicht vor!“ Von Cora dirigiert, stellte sich die Kleine breitbeinig vor sie hin und schon steckte Coras Zunge in der nackten Spalte. Camilla stöhnte wollüstig. Gudrun stellte sich hinter sie, schmiegte sich an ihren Rücken und umfasste knetend die Brüste ihrer Freundin. Suli packte aber gleich ihre Hüften und leckte ihr das Arschloch aus.„Magst du das?“, fragte sie scheinheilig, denn Gudrun ächzte bereits lustvoll. „Du bist wohl sehr sensibel am Anus und solltest dich daher in den Arsch ficken lassen“, behauptete Suli mit Kennerstimme. „Hast du das schon mal gemacht?“Die rotblonde Gudrun drückte ihr knackiges Ärschlein fester in Sulis Gesicht. „Nein, noch nicht. Das wollte ich mir für nach meinem sechzehnten Geburtstag aufsparen.“ Aber hallo! Die Kleine war ja noch jünger, als ich sie eingeschätzt hatte. Aber schon eine richtige geile Schlampe.„Und wann ist der?“, bohrte Cora nach.„Bald!“, stöhnte die geile Fünfzehnjährige. „Im Herbst!“„Dann bist du ja ungefähr so alt wie ich!“, warf da plötzlich Marina ein, die mit Toby gemeinsam Schritt für Schritt herangekrabbelt war, wobei vermutlich mein Cousin nicht eine Sekunde seinen Schwanz aus ihrer geilen Möse gezogen hatte. Jetzt fickte er sie hart und schnell. Marina keuchte immer heftiger und zuckte dann mit dem ganzen heißen Leib in einem starken Orgasmus. Toby hörte nicht auf und rammelte weiter, weshalb es etwas länger dauerte, bis Marina wieder was Vernünftiges von sich geben konnte. „Ich will nämlich auch mal in den Arsch gefickt werden und damit nicht noch drei Monate warten, bis ich sechzehn bin. Warum willst du das? Und wie heißt du überhaupt?“Das fand ich nun wirklich sehr vernünftig. Obwohl ich in diesem Urlaub neben Manu auch schon Sandra, Tante Astrid und sogar Mama in ihren Hintereingängen beglückt hatte, freute ich mich schon auf diese neue Möglichkeit. Meine Schwester in den Arsch zu ficken war eine beglückende Aussicht und so schwoll mein Schwanz in Cora so sehr an, dass diese in Nullkommanichts einen Orgasmus kriegte. Aber ich spritzte nicht und blieb in ihr, wartete ab, ob sie bereit war, weiter zu machen. Immerhin hatte ich ihr und Suli auch noch anale Freuden in Aussicht gestellt.Inzwischen hatten sich Camilla und Gudrun mit ihren Namen vorgestellt, aber Marina blieb neugierig. „Was ist mit dir?“, fragte sie die honigblonde Camilla.„Was?“„Na, mit Arschfick natürlich!“„Einmal, ich bin aber auch schon sechzehn!“, grinste das geile Luder. „Und, ich sag es gleich, es war nicht so toll, denn der Typ hatte zwar einen kleinen Schwanz, aber dafür keine Geduld. Es war eher schmerzhaft, dabei hatte ich es mir so geil vorgestellt.“„Dann lass es dir mal von meinem Bruder hier machen. Der versteht seine Kunst. Ich habe zugeschaut, wie er es bei seiner Freundin macht und der gefällt das prima. Drum will ich das ja auch. Das und noch mehr!“„Noch mehr?“, fragte Suli. „Was denn mehr?“„Ich will einen Doppeldecker erleben, das habe ich im Film gesehen und es muss irre geil sein.“ Das war es in der Tat, wie ich erst gestern erlebt hatte. Mit Mama und Papa! Und mittendrin hatte mir Manu Ansprüche angemeldet, dass sie das auch wollte. Mit mir und Matthias oder Pierre! Warum eigentlich nicht mit Onkel Wolfgang? Der hatte ja merkwürdigerweise nicht gleich zugeschlagen, als ihm die Chance eröffnet wurde, mit seiner geilen Tochter eine Nummer zu schieben. Oder auch zwei. Aber das würde er sicher bald nachholen. Wäre doch obergeil, wenn ich dann gleich dazustoßen und meinen Schwanz in Manus Arsch stecken könnte!Mit Marina würde das wohl etwas komplizierter. Es war sicher sinnvoll, sie zuerst einmal an Analverkehr überhaupt zu gewöhnen. Bei Manuela hatte es ja auch einige Male gebraucht, bis sie richtig Spaß daran hatte. Aber dann ging die Post ab, bis sie spritzte. Darauf war ich wirklich gespannt! Würde auch Marina beim Arschficken abspritzen? Immerhin machte das ihre – meine – Mutter, unsere Tante und natürlich meine Lieblingsfickcousine Manu. Die Vorfreude beflügelte meinen Schwanz und Cora ächzte hektisch.Die üppige Cora mit ihren breiten, aber schön geschwungenen Hüften, der vergleichsweise schmalen Taille und den großen Brüsten, die im Takt ihres Reitens schwangen und immer wieder zusammenklatschten, als wollten sie dem Geschehen Beifall spenden, wirkte erstaunlich leicht. Mit ihren kräftigen Oberschenkeln federte sie ihre Bewegungen fein ab, die heftigen Rammstöße, die sie gelegentlich zu wollüstigem Stöhnen brachten, gingen von mir aus. Aber dann lag ich wieder ganz ruhig, ließ sie machen und nutzte die Zeit für einige Überlegungen. Wenn ich alles richtig einordnete, bestand mehr Bedarf an meinem Schwanz, als dieser auch bei größtem Optimismus zu leisten imstande war. Cora hatte ich ebenso wie Suli versprochen, sie zum Abschluss noch in den Arsch zu ficken, Camilla und Gudrun wollten das aber auch. Da war zwar noch nicht ganz raus, ob sie sich auf mich speziell versteiften, aber wer sonst sollte ihnen da helfen? Weder Toby noch Maggo hatten meines Wissens bisher Analverkehr probiert. Zwei Anfänger waren sicher nicht die ideale Kombination. Ich hatte das ja auch nicht mit Manu zusammen erprobt. Vor gut einem Jahr hatte ich an der Schule eine Sportstudentin, die bei unserem Sportlehrer ein Praktikum absolvierte, nach dem Schwimmtraining verführt – oder sie mich? Wenn ich mich daran erinnerte, stieg meine Geilheit jedes Mal ins Unermessliche und die Szenen liefen in meinem Kopf wie ein Film ab. Wir hatten in der Schwimmhalle, die zwischen acht und siebzehn Uhr jeden Montag und Mittwoch für unser Gymnasium exklusiv zur Verfügung stand, Sprünge vom Dreimeterbrett geübt und Anja, so hieß die blonde Studentin mit dem straffen Athletenkörper, hatte es uns vorgezeigt. Erst den einfachen Kopfsprung in gestreckter Haltung, sodass sich das Wasser fast ohne zu spritzen teilte, dann einen Salto, bei dem sie mit durchgestreckten Knien und Fußgelenken, sowie in gerader Linie nach oben gerichteten Armen im Wasser landete und zuletzt einen eineinhalbfachen Salto, also wieder mit Kopf-voraus-Eintauchen. Die meisten waren einfach zu blöd dazu. Besonders die Mädels stellten sich furchtbar an und hielten sich ständig die Nasen zu. Dadurch plumpsten sie auch wie tote Fische ins Wasser. Aber auch meine Kumpels glänzten nicht gerade. Die hielten sich zwar nicht die Nasen zu, platschten aber dennoch meist mit dem Bauch voran auf und kreischten dabei ärger als eine Kindergartengruppe.Als wir nach der Stunde endlich in die Umkleiden und danach nach Hause gehen wollten, hielt mich Anja zurück. Unserem Sportlehrer sagte sie, sie wollte mir noch etwas zeigen und würde dann mit mir das Bad verlassen. Es sei ja über Mittag sowieso niemand da. So hätten wir den Turm zwei Stunden für spezielle Übungen ganz für uns. Herr Schümmle fragte nicht, was das für spezielle Übungen sein würden, der wollte bloß heim zu seinem Schweinebraten.Anja sagte, als endlich die Türen zu den Umkleideräumen geschlossen waren: „Ich habe genau gesehen, dass du absichtlich gepatzt hast. Wolltest wohl nicht als Streber gelten, hm?“„Stimmt, aber verraten Sie mich nicht, okay?“„Keine Bange, aber ich möchte mal sehen, was du wirklich draufhast. Traust du dich das auch vom Turm?“ Die Halle hatte nämlich Absprungmöglichkeiten von fünf und sogar von sieben Metern. „Du kannst übrigens Anja zu mir sagen.“„Ja, ich habe letztes Jahr, da wohnten wir noch in Potsdam, beim Schwimmclub trainiert. Nur habe ich hier gemerkt, dass das alles halbe Nichtschwimmer sind. Und weil ich schon so fast überall besser bin, in so gut wie allen Sportarten, güvenilir illegal bahis siteleri wollte ich hier mal nicht anders sein. Ich kann einen dreieinhalbfachen Salto rückwärts vom Zehner zum Beispiel.“„Geil!“, entfuhr es ihr. „Das würde ich gern sehen!“„Hier haben wir aber keinen Zehner.“„Schon klar, aber wir könnten, nur zum Spaß, ein bisschen vom Fünfer springen und vergleichen, was wir hinkriegen.“Das reizte mich wirklich und so stimmte ich zu. Gleich beim ersten Sprung passierte ihr ein Missgeschick. Nach den Vorführungen hatte sie den nassen Badeanzug gegen einen trockenen Bikini getauscht, in dem sie superheiß aussah. Wahrscheinlich war sie exhibitionistisch veranlagt und machte sich einen Spaß daraus, die Jungs geil zu machen. Durch das kalte Wasser kam es zwar zu keinen skandalösen Beulen in den Badehosen, aber eine gewisse Unruhe war vielen deutlich anzumerken. Die einzige gröbere Erregung fand in Herrn Schümmles Sporthose statt, aber natürlich sagte niemand ein Wort, und Anja ignorierte ihn sowieso total. Ganz offensichtlich hatte sie es mehr mit uns jungen Kerlen. Jedenfalls sprang Anja mit Schraubendoppelsalto und verlor beim Eintauchen ihr Oberteil, das beim Rausklettern nur noch um ihren Hals hing.„Und jetzt du!“, forderte sie und versuchte ganz cool, ihr Oberteilchen wieder fest zu machen. Dabei drehte sie sich nicht etwa schamhaft von mir weg, sondern präsentiere ihre knackigen Äpfelchen ziemlich ungeniert. Die wiesen auch nicht die geringsten weißen Flecken auf. Offenbar sonnte sie sich häufig zumindest oben ohne, denn ihre Haut war schön gebräunt, für eine echte Blondine sogar ziemlich intensiv.„Okay!“, sagte ich. „Aber nur, wenn du gleich oben ohne bleibst. Das ist einfach ein zu schöner Anblick, um ihn nicht zu genießen. Ich habe sie ja schon gesehen und außer uns ist wohl niemand da.“ Sie zögerte nur kurz und warf dann das Teilchen in ihre Sporttasche. Ich gönnte mir noch einen ausgiebigen Blick auf ihre Möpse und kletterte dann auf den Turm. Mein erster Sprung war nicht so ausgefeilt, ich hatte ja im letzten Jahr kein richtiges Training mehr gehabt und klatschte daher ziemlich ‚laut’ ins Becken.„Andreas, so geht das nicht! Mit diesem Badehosenmonstrum kriegst du doch keinen ordentlichen Sprung hin. Zieh sie doch aus!“„Soll ich etwa nackt springen?“ Da war ich doch leicht geschockt, aber mein Schwanz zuckte bei der Vorstellung. Ich starrte sie herausfordern an und hielt dabei etwas verschämt mein Handtuch so, dass es meine freudige Erwartung, sprich das Zelt in meiner Badeshort, einigermaßen verdeckte.„Das würde mich eigentlich nicht stören, aber das wirst du dich nicht trauen, Andreas. Oder? Wie alt bist du eigentlich? Sicher schon sechzehn, oder?“„Sicher! Seit gut einem halben Jahr!“, erwiderte ich stolz und kam mir sehr erwachsen vor. Im Nachhinein betrachtet, wollte sie wohl gleich abklären, ob es ein unüberschaubares Risiko war, mit mir zu vögeln. Diese Absicht hatte sie wohl von Anfang an, aber das durchblickte ich damals nicht.„Das ist gut. Was ist nun? Traust du dich? Oder glaubst du, ich guck dir deinen Schniedelwutz weg?“„Äh … nein! Ja! Ich meine nein, das glaube ich nicht und ja, ich würde mich schon trauen, aber dann musst du dich auch nackig machen!“ Damit spielte ich ihr geradewegs ins Konzept, aber ich dachte, ich brächte sie damit in Zugzwang. Dabei schob ich fordernd die Daumen unter den Bund meiner Badehose und drückte ihn ein wenig nach unten.Anja lachte nur und schlüpfte ruckzuck aus ihrem winzigen Tanga. „Los jetzt! Runter mit dem Zelt!“ Ich ließ mich nicht lumpen und so standen wir uns gleich darauf pudelnackt gegenüber.„Und jetzt zeig mir deinen besten Sprung!“, forderte Anja und deutete auf den Sprungturm.Ich deutete auf den anderen Turm, den, der von mir steil nach oben abstand. „So kann ich nicht springen.“„Musst du halt abspritzen! Wichs dir einen!“ Das waren aber starke Worte von einer angehenden Lehrerin. Überhaupt war die Situation heißer, als sie mir damals vorkam. Anja war ein bildhübsches Mädel, das ganz locker drauf war. So sah ich das damals. Dass sie nach absolvierter Prüfung womöglich in unserer Klasse unterrichten könnte, war mir gar nicht bewusst. Außer Sport hatte sie noch Geschichte und Bio im Angebot. Und Schümmle ging am Jahresende in Rente.„Du solltest mir dabei helfen. Das macht mehr Spaß!“, erklärte ich forsch, und was dann abging, hätte ich mir nur in kühnen Träumen auszumalen erlaubt, aber nie und nimmer daran gedacht, dass das Wirklichkeit werden könnte. Allerdings ahnte ich damals auch noch nicht, was Anja für ein versautes Stück war. Wie sie mir später gestand, hatte sie sich schon mit zwölf Jahren von einem sechzehnjährigen Cousin entjungfern lassen. Der war offenbar nicht nur bestens bestückt gewesen, sondern auch von nimmermüder Potenz und hatte sie einmal an einem einzigen Nachmittag sechsmal beglückt. Nach zwei Jahren verlor er das Interesse an ihr – ich vermute eher, sie hatte ihn so ausgelaugt, dass er die Flucht ergriff. Seither suchte Anja ihr Glück bei jugendlichen Liebhabern, bevorzugte Sechzehnjährige und verachtete alle, die älter als achtzehn waren.Damals in der Schwimmhalle war ich ihr ideales Opfer, während ich im Überschwang glaubte, sie überreden zu können. Aber sie brauchte bloß einen Vorwand, keine Überredung. Darum meinte sie auch sofort: „Na, dann wollen wir mal sehen, was wir da tun können!“ Und schon ging sie vor mir mit gespreizten Schenkeln in die Hocke und – schwupps! – steckte meine Eichel in ihrem Lutschmund. Meistens übernachtete ich damals entweder bei Cousine Manu oder, wenn die Luft rein war, bei Meike, seit kurzem meine intime Freundin, die zwar im Haus ihrer Eltern, dort aber in einem abgeschiedenen Dachkämmerchen, hauste. Ihre Eltern schliefen im Erdgeschoss, im ersten Stock befanden sich die Räume der gemeinsamen Steuerberatungskanzlei, die aber ebenerdig zugänglich waren, weil das Haus in einen ziemlich steilen Hang gebaut war. Wenn ich später kam und ihre Alten schon pennten, konnten wir oben nach Herzenslust ficken und niemand hörte uns. Nur die Fenster mussten wir dabei geschlossen halten, was im Sommer zu oft heftigen Schweißausbrüchen führte. Aber was gibt es geileres, als zwei nackte junge Körper, die schweißnass ineinander glitschen?Oder eine, manchmal auch beide Mädels, übernachteten bei mir. Glücklicherweise waren weder Meike, noch Manu eifersüchtig und wussten, dass ich leicht imstande war, beide ausreichend zu befriedigen. Jedenfalls hatte ich meist schon vor dem Frühstück mindestens zweimal abgespritzt. Nur an diesem Tag nicht. Die Nacht war wieder lang gewesen. Manu und Meike hatten mich ziemlich fertig gemacht und daher verschliefen wir, rasten alle drei ohne Frühstück in die Schule, wo sich auch keine Gelegenheit für einen oder zwei Quickies ergab. So war ich dann in der Schwimmhalle derart mit Sperma aufgeladen, dass ich nur einen Blick auf Anjas geöffnete blanke Spalte zu werfen brauchte, um auch schon abzuschießen. Der Schwall traf sie einigermaßen unvorbereitet. Sie schaffte es nicht, so schnell auf Schlucken umzuschalten und so quoll die weiße Masse aus ihren Mundwinkeln und tropfte auf ihre spitzen Brüste. Aber sie ließ meinen Schwanz nicht eine Sekunde aus dem Mund und saugte weiter.Es war schon damals so, dass mein kleiner Freund nach dem ersten Schuss nicht schlapp machte, und das beeindruckte nun Anja tatsächlich. Eine Weile blies sie normal weiter, dann schluckte sie meinen Schwanz ganz. Das war das erste Mal, dass ich so etwas erlebte. Fast hätte ich noch einmal abgespritzt, aber Anja schob mein hartes Rohr aus ihrem Rachen und meinte: „Erstaunlich, wie lange du durchhältst! Jetzt will ich, wenn es schon länger dauert, auch was davon haben. Komm, und fick mich von hinten! Du hast hoffentlich schon mal gebumst, ja?“„Heute noch nicht“, gab ich zur Antwort und versuchte, sie in die richtige Position zu drehen, aber Anja zog mich zu der Nische, in der diverse Materialien wie Wasserbälle, Wasserballtore, Schwimmbretter und diese komischen zusammensteckbaren Plastikwürste aufbewahrt wurden. Sie stützte sich auf einen Stapel Schwimmbretter und wackelte aufreizend mit dem Arsch. Da ließ ich mich nicht lange bitten und rammte ihr meinen Fickprügel in die schon ganz glitschige Möse. Sie schrie wollüstig auf und dann vögelte ich sie auf Teufel komm raus. Ich war ganz gut in Form, das tägliche Training mit Meike und Manu machte sich bezahlt. Meike war zwar ein Jahr älter als Manu und somit auch älter als ich, aber sie hatte trotzdem weniger Erfahrung. Meine Cousine vögelte nämlich schon seit dem zarten Alter von vierzehn mehr oder weniger regelmäßig, während Meike dagegen ein Spätstarter war und ihr erstes Mal ‚erst’ mit knapp siebzehn erlebt hatte. Es war nicht gut gewesen, weshalb sie echt positiv überrascht war, als wir es das erste Mal zusammen machten. Sex konnte also doch was Schönes sein! War aber kein sonderliches Wunder, denn ich konnte damals auch schon auf gut zwei Jahre Fickerfahrung zurückgreifen. Ja. Man kann durchaus sagen, dass wir eine frühreife Familie sind.Irgendwann, eher früher als später, kippte der Schwimmbretterstapel unter meinen wuchtigen Stößen zusammen. Anja lag jetzt mit dem Bauch auf dem unordentlichen Haufen, was mich weiter nicht störte. Sie anscheinend auch nicht, denn sie winselte vor Geilheit und stammelte eine Menge Unsinn. In klaren Momenten feuerte sie mich aber an, ich sollte sie härter ficken, „Härter! Tiefer! Schneller!“ und „Oh, mein Gott!“ Also stieß ich sie so hart und tief und schnell, als ich nur konnte und dann spritzte ich ihr alles in die geile Fotze, was ihr noch einen Orgasmus bescherte. Danach vögelte ich ruhig und langsam weiter, wartete darauf, dass mein Schwanz schlapp machte. Tat er aber nicht!Tat er nicht! Er wurde nicht weicher und nicht kleiner. Das war mir noch nie passiert! Auch Anja registrierte das mit Verwunderung, ja fast mit Entsetzen. „Was ist das? Du kannst noch immer? Dein Schwanz wird nicht weich! Bist du der Teufel persönlich? Oder ein Roboter?“„Ich habe keine Ahnung! Das ist mir auch noch nie so passiert. Wer weiß, wie lange das vorhält.“ Ich war einigermaßen verwirrt, vögelte sie aber unverdrossen weiter. Da riss sie mich aus der Gemütlichkeit.„Fick mich jetzt in den Arsch! Nützen wir die Gunst der Manneskraft! Steck mir deinen Wunderbolzen in den Arsch!!“, rief sie mit heiserer Stimme. Ich war regelrecht schockiert.„Äh – das – das habe ich – äh – noch nie gemacht!“, stammelte ich. Wie peinlich war das denn! Kam mir jedenfalls so vor. Dabei kann man von einem Sechzehnjährigen nun wirklich nicht erwarten, dass er auf sexuellem Gebiet alles schon ausprobiert hat. Es soll ja sogar Sechzehnjährige geben, die überhaupt noch nie gefickt haben, nicht einmal normal rum! Kleiner Scherz!Anja sah das pragmatisch. Sie gab ganz ruhig Anleitungen. „Dann fick mich schön ruhig weiter in die Fotze und steck mir mal den Zeigefinger in den Arsch! – Ja, gut, ganz tief rein! – Raus, rein, raus, wieder rein! – Und jetzt einen zweiten Finger dazu! Gut! – Bisschen drehen! Rein, raus, rein, raus! – Und jetzt setz deinen Bolzen ans Loch! – Drücken! – Fester!“ Sie ruckte plötzlich nach hinten und drin war er! „Gut gemacht! Fick mich jetzt, zuerst mal schön langsam zum Eingewöhnen. Mann, das ist gut! Fester! – Tiefer! – Ganz tief! – Und jetzt schneller, fester, fester! – Jaaa!“ Es war so verdammt eng, so verdammt schön, so verdammt geil, dass ich in unglaublich kurzer Zeit noch einmal abspritzte. Die letzten Tropfen schoss ich ihr in den Darm, dann fiel die ganze Pracht in sich zusammen. Schwer atmend zog ich die schlaffe Wurst aus ihrem Arsch und sank auf ihren Rücken.Anja kam bald wieder ganz zu sich. „Nun ist er endlich klein!“ Sie drehte sich um und schaute genauer. „Klein ist vielleicht der falsche Ausdruck! Mann, das ist ja wirklich ein Prachtpimmel!“ In der Zeit seither war er sicher noch ein wenig gewachsen, aber für mein Alter damals war es schon wirklich ein enormes Stück Schwanz! „Zumindest steht er nicht mehr so störend ab. Jetzt kannst du ja springen! Los!“Ich bedachte sie mit einem leidenden Blick. Mir stand der Sinn immer noch weniger nach ‚springen’ als nach ‚bespringen’, auch wenn mein Schwanz im Moment eher nicht so mitspielte. Aber mit ein bisschen Hilfe … Ich hielt ihn ihr vors Gesicht. „Könntest du ihn nicht noch einmal ein bisschen …?“„Nee, du!“, sagte sie bestimmt und rappelte sich auf. „Nach all dem dauert das sicher lange, bis er wieder steht. Erst springen!“ Also kletterte ich schlurfend auf den Turm und sprang von Dreimeterbrett, platschte wie ein nasser Sack ins Becken. Anja schimpfte: „Das war ja wohl nichts! Was soll denn das? Nur, weil dein Schwänzchen schwächelt, braucht du nicht auch gleich schlapp zu machen!“ Hurtig sprang sie die Treppen hinauf und stand ganz oben unter der Decke in sieben Metern Höhe. Ein herrlicher Anblick, wie sie da nackt und schlank mit nach oben gestreckten Armen an der Kante stand. Göttlich! Ihre kleinen, festen Brüste ragten stramm nach vorne, der nicht weniger knackige Po nach hinten und ihre fein rasierte Scham glänzte verlockend.Sie nahm Anlauf, und mit einem Jubelschrei sprang sie weg, schraubte sich aus sieben Metern Höhe perfekt mit zweieinhalbfachem Salto und doppelter Schraube ins Becken. Erstklassiger Sprung. Das motivierte mich nun tatsächlich. Weil ich mit Sprüngen aus sieben Metern noch keine ausreichende Erfahrung hatte, zeigte ich einen Sprung aus dem Handstand von Dreimeterbrett und einen mit Anlauf aus fünf Metern Höhe. Anja war zufrieden. „Wir müssen sehen, dass wir wegkommen, die Mittagspause ist bald aus. Wer weiß, ob nicht jemand früher kommt!“. Ihr Argument war sicher vernünftig, ich aber nicht.„Du hast doch abgeschlossen, oder?“ Dass noch eine Menge anderer Leute einen Schlüssel haben konnten, unter anderem auch Herr Schümmle, fiel mir nicht ein. Das einzige, was mir auffiel, war, dass angesichts Anjas geilem Popo mein ‚Schwänzchen’ wieder aufrecht stand. Und als sie sich nach ihrer Tasche bückte, schob ich ihr meinen wiedererwachten Schwanz kurzerhand noch einmal in die Muschi. Sie quiekte richtiggehend, protestierte ein wenig, fügte sich aber rasch ins Unverhoffte und stöhnte ihre Lust heraus, dass es wohl auch jeder in der Umkleide hören musste, wenn da jemand gewesen wäre. Zum Abspritzen reichte es zwar nicht, aber immerhin hatte Anja noch zweimal einen Orgasmus, ehe sie sich energisch von mir löste. Es war höchste Zeit!Sie schlüpfte schnell in ihren zwischenzeitlich getrockneten Badeanzug, der im Vergleich zum Bikini geradezu spießbürgerlich seriös wirkte, in ein T-Shirt und eine rote Sporthose, und ich zog wieder die lange Badehose an. Durch den nassen Stoff verging jede Steifheit und so konnten wir gemeinsam mit unschuldiger Miene in den Umkleideraum für ‚Männer’ gehen, wo meine Sachen in einem Kästchen lagen. Da waren tatsächlich zwei frühe Jungs, etwa dreizehn oder vierzehn Jahre alt, die schockiert fortspringen wollten, weil sie nackt waren. Anja riskierte nur einen interessierten Blick, ging dann mit mir in einen anderen Gang. „Kleinschwänzchen!“, raunte sie mir zu. Während ich mich nackt auszog und abtrocknete, hielt sie mir einen kleinen Vortrag über Übungen, die ich zu Hause machen sollte, um meine Haltung beim Sprung zu verbessern, rügte meine Steifheit – „Du musst viel geschmeidiger werden, wenn du die Jury beeindrucken willst!“ – und packte dabei meinen Schwanz, der schon wieder alles eher, denn geschmeidig war.Auf einmal ging sie dorthin, wo die beiden Jungs gewesen waren. Ich hörte ihre strenge Stimme: „Seid ihr fertig angezogen? Dann komm ich jetzt!“ Offenbar kam sie. „Ich hoffe, ihr habt den ‚Hai’ regelgerecht erworben und nicht vom großen Bruder geerbt?“ Der ‚Hai’ ist das Deutsche Leistungsschwimmabzeichen in Bronze, das sich Jugendliche gern auf die Badekleidung nähen lassen. Offenbar nickten die zwei eifrig. „Dann dürft ihr in die Halle voraus gehen und reinspringen. Aber höchstens von Dreimeterbrett, solange ich nicht da bin. Ab mit euch! Und macht keinen Unsinn!“ Die zwei trampelten lautstark in die Halle, die Tür knallte zu. Ich blieb gleich nackt, irgendwas war noch im Busch. Da kam auch schon Anja wieder, grinste breit und leckte sich die Lippen, als sie sah, dass ich, wie sie wohl erwartet hatte, mit dem Anziehen zugewartet hatte. Sie lauschte atemlos, es war nichts zu hören, wie waren allein. Da ging sie wieder in die Hocke und obwohl sie nun keusch bekleidet war, sah ich vor meinem geistigen Auge ihre offene rosa Spalte mit den geschwollenen Schamlippen.Anja saugte meinen prallen Schwanz tief in ihre Kehle und machte da was mit ihrem Gaumen und der Zunge, dass mir Hören und Sehen verging. Dabei spielte sie mit einer Hand an meinen Eiern und knetete mit der anderen meine Arschbacken. Das ging so eine Weile und ich fühlte, wie mir schon wieder der Saft ins Rohr stieg. Sie merkte es wohl auch. Da bohrte sie mir auch noch einen Finger ins Arschloch und ich schoss ab. Ganz tief in ihren Rachen, sozusagen direkt in den Magen. Also zumindest in die Speiseröhre! Anja massierte meinen langsam erschlaffenden Schwanz mit den Schluckmuskeln, was diese Reaktion sicher verzögerte.„Du bist wirklich unglaublich!“, stieß sie dann hervor. „Das war jetzt das vierte Mal in knapp zwei Stunden. Ich glaube fast, du könntest Boris – das war der Entjungferungscousin – toppen!“ Da hatte sie Recht. Ein paar Wochen später passierte das auch. „Wenn du Lust hast, können wir das Sondertraining künftig regelmäßig machen.“ Sie zwinkerte lasziv. „da hätten wir jeden Montag zwei und jeden Mittwoch sogar drei Stunden.“ Sie schaute mich schelmisch an.„Tut mir echt leid! Montag ist okay, da freue ich mich drauf, aber am Mittwoch haben wir zwar von halb vier bis fünf Schwimmen, aber davor Unterricht.“„Dann werde ich fragen, ob wir zwischen fünf und acht, wenn es für die Saunagäste wieder geöffnet wird, trainieren können. Anschließend könnten wir sogar in die Sauna gehen. Tut uns sicher gut.“„Oh ja, super Idee, nur, es ist ja so, dass die Abendsauna erst ab achtzehn erlaubt ist.“„Ach, das lass nur meine Sorge sein. Wenn du schon mal drin bist im Bad, noch dazu nackt, fragt dich keiner mehr nach einem Ausweis.“Damit begann eine herrliche Zeit, die hoffentlich im nächsten Jahr eine Fortsetzung erfahren würde, auch wenn wir dann keine Schwimmstunden mehr haben würden. Montags vögelten wir uns über Mittag im Schwimmbad die Seele aus dem Leib und machten danach ein paar Alibisprünge, am Mittwoch trainierten wir mehr die Sprünge, weil da doch immer mal wieder wer ins Bad kam. Aber ein oder zwei Nummern gingen sich meistens doch aus. Danach wechselten wir in die Sauna. Oft waren wir allein, zumindest am Anfang und fickten ruhig im Dampfbad, wo es nicht ganz so heiß war, im sogenannten ‚Ruheraum’ oder im Whirlpool. Einmal wurden wir von einem jungen Pärchen erwischt, aber das ist eine andere Geschichte. Jedenfalls brachte mir Anja alles bei, was sie übers Vögeln, insbesondere übers Arschficken wusste. Manchmal wunderte ich mich, woher sie so viel darüber wusste, wenn sie eigentlich nur mit Jungs unter achtzehn bumste. Die hatten ihr das sicher nicht beigebracht! Darüber redete sie nie, aber es war mir letztlich egal.Auf jeden Fall konnte ich nun in Südfrankreich auf reichhaltige Erfahrungen zurückgreifen, relativ reichhaltige zumindest, und das kam mir nun zugute. Oder es war mein Fluch, denn langsam kam ich rein logistisch ins Schleudern. Heute musste ich noch mit Cora und Suli, Marina hatte Ansprüche geltend gemacht, Manu wollte mich beim Doppeldecker dabeihaben, Gudrun und Camilla wollten auch anal entjungfert oder zumindest beglückt werden. Tante Astrid und Mama rechneten wohl auch mit gelegentlichen Besuchen in ihren Hintereingängen. Es war abzusehen, wann auch noch Angie auf den Geschmack kam. Auch Sandra war kaum abgeneigt, nachdem sie bei der Herfahrt so gigantisch gekommen war, dass sie sogar abgespritzt hatte.Die Gedanken an Anja und ihren göttlichen Arsch hatten meinen Schwanz so anschwellen lassen, dass es fast unmöglich war, ihn in Coras Hintern zu stecken, also blieb ich für den Moment in ihrer saftenden Möse und sah mich um. Überall wurde heftig gefickt! Vor meinen Augen drückte Suli ihre Muschi an Coras Gesicht, die deswegen nur ganz sanft auf mir reiten konnte, was ich aber vorsichtig mit kleinen Stößen unterstützte. Sulis Po-Backen boten einen herrlichen Anblick, der mich weiter beflügelte. Gudrun und Camilla lagen neben uns auf Coras Badetuch und fingerten sich gegenseitig. Toby vögelte Marina immer noch von hinten, Manu ritt auf Matthias, und Angie ließ sich von ihm die Muschel ausschlecken. Lukas und Lollo waren auch zurück und hatten ihrer Geilheit Tribut gezollt. Lukas fickte seine Schwester Sandra, und Lollo? In Lollo hämmerte mein kleiner Bruder Maggo seinen stahlharten Pimmel wie ein Specht. Lollo stöhnte lauthals. So eine verdammte Frechheit! Lässt sich von meinem kleinen Bruder ficken, und was war mit mir? Ich schaute wieder durch die Finger!Teil IX – Anale Freuden© Luftikus, Februar 2015Der Ärger, der schnell in mir aufflammte, eine kleine Eifersucht auf meinen kleinen Bruder Markus, weil der es ganz spielerisch geschafft hatte, unsere scharfe Tante Lollo vor mir zu ficken, wo ich es mir doch schon ewig so sehr gewünscht hatte, verflog schnell. Immerhin hatte ich zwei wunderschöne und megageile Mädchen und zwei weitere in Aussicht. Mösen wie Sand am Meer und eine heißer als die nächste: Cora und Suli, Gudrun und Camilla, Marina und Manu, Angie und Sandra, Tante Astrid und Mama, Michelle und Jeanette, Christine und Marie, wobei die letzten drei bisher lediglich als Option zu bewerten waren. Allerdings war ich mir sicher, bei den beiden etwas älteren, also Jeanette und Christine, landen zu können, wenn ich das Verlangen danach hatte. Marie hingegen war ja noch Jungfrau, doch in diesem Urlaub hatte ich bereits Angie entjungfert. Und das war gar nicht mal meine Premiere auf diesem Gebiet gewesen …Cora unterbrach meine gedanklichen Abschweifungen durch heftiges Zucken und verkrampfte sich um meinen malträtierten Schwanz. Ihre Vaginalmuskeln pulsierten wie eine Saugglocke, und dabei keuchte und kreischte sie abwechselnd. Ganz offensichtlich hatte ich da einen Vulkan zum Ausbruch gevögelt. Bebend fiel sie zu Boden und bohrte ihre steinharten Nippel in den Sand. Mein Schwanz federte in die heiße Mittagsluft und gierig sah er sich nach einem neuen Opfer um. Suli bot sich nachgerade an, denn soeben rappelte sie sich auf und streckte mir ihren Arsch entgegen. Schnell zugepackt und angesetzt. Glitschig genug war er, Suli zwar etwas überrascht, aber schnell von Begriff. Sie entspannte ihr Arschloch gekonnt und schon war mein Bohrer auf dem Weg. Die Blonde jubelte stöhnend, wenn man das so beschreiben kann und hielt feste dagegen, während ihre Freundin noch versuchte, ihre Atmung wieder in moderates Tempo zu bekommen. Eigentlich war es ganz schön anstrengend, aber noch mehr geil und schön. Die Hitze machte mir etwas zu schaffen, aber wer würde schon auf eine Rastpause drängen, wenn er mit dem Schwanz bis zu den Eiern in so einer Wahnsinnsbraut steckt? Ich versuchte, Suli möglichst kräftesparend zu ficken, denn das hätte mir noch gefehlt, wenn ich in der Hitze schlapp gemacht hätte. Aber ich war ja jung, sportlich und daran gewöhnt, mich in der Sonne aufzuhalten. Vorsichthalber hatte ich mir wenigstens eine Sonnenbrille aufgesetzt, die ich erstaunlicherweise in dem Chaos aus Badetüchern, Taschen, Badelatschen, Comicheften, Sonnenölflaschen und was sonst noch so in unserem Dünenparadies verstreut herumlag, gefunden hatte. Es war eine Ray Ban und es war meine. Ich stellte mir gerade vor, wie das wohl aussah: Eine splitternackte, fast eins achtzig große, üppig ausgestattetet Blondine in der Blüte ihrer neunzehn Jahre mit wallendem – wenn auch arg verstrubbelten – Haar, die auf allen vieren im Sand kniete, die Schenkel weit gespreizt und mit rhythmisch schaukelnden Brüsten. Und ein dunkelblonder siebzehnjähriger Junge, der sie im Schweiße seines nackten Körpers mit einem unbeugsam steifen Schwanz in den Arsch fickte und dabei außer Schweißperlen nur eine Sonnenbrille mit blaugrün verspiegelten Gläsern trug. Cool! Einfach cool!Damit konnte ich auch ganz gelassen die Umgebung beobachten. Meine Anverwandten waren inzwischen nicht untätig geblieben. Maggo hatte bei Tante Lollo offenbar ganze Arbeit geleistet, denn sie lag heftig atmend auf dem Bauch und grinste glücklich. Es war ihr vergönnt! Von den Arschbacken bis zu den Schulterblättern glibberte Sperma. Mein kleiner Bruder aber hatte anscheinend auch die Gabe geerbt, nach dem Abspritzen den Schwanz steif halten zu können, denn er pimperte inzwischen schon eine andere: Sandra! Wie deutliche Spuren an ihrer Rosette zeigten, hatte Lukas vorhin in ihrem Darm abgespritzt, Markus aber fickte sie ganz konventionell. Wie ihr strahlendes Gesicht aussagte, gefiel ihr auch das ganz enorm.Lukas, der immerhin schon vierundzwanzig war und somit rein biologisch auf dem absteigenden Ast, hatte seine Erektion nicht halten können, saß breitbeinig auf seinem Tuch und wichste eifrig, um sich für Manu in Form zu bringen. Die unterstützte ihn und lag vor ihm auf dem Bauch, leckte und knetete seine Eier. Da er vorhin Sandra anal beglückt hatte, hielt Manu davon ab, ihm einen zu blasen und waschen konnte er seinen Schwanz hier in den Dünen nicht. Für einen Gang zurück auf den Platz oder hinunter zum Meer war er einfach zu geil. Da hätte ihm vermutlich jemand das Mädchen wegschnappen können! Gieriger Idiot! Immerhin warteten ja ganz offensichtlich auch noch Gudrun und Camilla darauf, gefickt zu werden. Zumindest deutete alles darauf hin, denn die beiden stießen sich immer noch und immer mehr Finger gegenseitig in die Fotzen und ächzten dazu einen ganzen Porno-Soundtrack. Dass Manu da mitmachte! Aber wahrscheinlich war sie wiederum geil auf einen Arschfick. Den hätte sie zwar auch von Matthias haben können, doch der war inzwischen zu Marina weitergezogen und ließ sich einen blasen. Ob Toby, der vorhin mit ihr gevögelt hatte, auch dazu gekommen war, abzuspritzen und dabei seine Erektion nicht eingebüßt hatte, oder ob er Marina nach einem schönen Orgasmus verlassen hatte, ohne selber zu kommen, war jetzt nicht festzustellen. Jedenfalls beglückte er nun mit Begeisterung seine kleine Schwester Angie, die bei der letzten Runde damit hatte vorliebnehmen müssen, von Matthias geleckt zu werden. Schon erstaunlich, mit welcher Selbstverständlichkeit die kleine Cousine bei unseren zwang- und schamlosen Orgien mitmachte. Aber Marina war ja auch nur knapp zwei Jahre älter und Maggo sogar nur drei Monate. Das Beispiel der Mutzenbacherin hatte einiges bewirkt. Herzlichen Dank, Josephine. Schau aus deinem Hurenhimmel gnädig auf uns herunter. Wir huldigen dir!Andererseits verfügte die kleine Angie verblüffenderweise schon über jahrelange Sexerfahrung. Als Marina mit dem geklauten Mutzenbacherbuch angekommen war, hatte Angie gerade erst ihren zehnten Geburtstag gefeiert. Im Grunde waren alle vier damals noch Kinder gewesen, fast so jung wie ‚Vorbild‘ Josephine Mutzenbacher bei ihren ersten Sexerlebnissen. Dass sie das Gelesenen ausprobieren wollten, in aller kindlichen ‚Unschuld‘, war da fast zwangsläufig erwachsen. Und geschadet hatte es, da völlig zwangfrei passiert und von keinerlei moralisierenden Vorhaltungen ‚gestört‘, ganz eindeutig auch keinem. An dieser Stelle muss ich unseren Eltern auch ein Kompliment machen, dass sie nicht den sinnlosen Versuch unternahmen, die Zeit zurückzudrehen, sondern einfach akzeptierten, dass wir nicht weniger frühreif und freizügig – oder gar amoralisch? – waren, wie sie selber. Ihre eigene inzestuöse Jugend erleichterte manches. Und wie man gerade unzweifelhaft sehen konnte, waren wir alle keineswegs darauf fixiert, ausschließlich unsere engsten Verwandten zu ficken, wie man es in mancherlei pornographischem Kitschroman lesen kann, wenn man will. Ich wollte jedenfalls davon nicht nur lesen, sondern lieber selber meinen Schwanz in jede Muschi stecken, deren Besitzerin daran Spaß hatte.Und Suli hatte Spaß, auch wenn ich gerade nicht ihre Muschi, sondern ihren Arsch stopfte. Alle anderen hatten auch Spaß und das nicht zu knapp. Den geilsten Anblick bot allerdings Tante Lollo. Die hatte eindeutig den ausgereiftesten und ausgewogensten Körper, den sie völlig gelassen und schamlos, sich frivol räkelnd präsentierte. Sie machte nicht einmal die geringsten Anstalten, sich das Sperma ihres jüngsten Neffen vom Rücken zu wischen, sondern beobachtete unser Treiben in aller Gemütsruhe von ihrem schmalen Handtuch aus. Die Situation erinnerte mich kurioserweise an Meike und ihr im Sommer meist überhitztes Dachkämmerchen. Trotz geöffneter Türe, die auf einen kleinen Balkon führte und sämtlicher Dachluken, hatte es dort am Nachmittag und Abend nicht selten über vierzig Grad. Da konnte man einfach keine Kleider tragen, was natürlich manches erleichterte. Gott sei Dank waren auch ihre Eltern und Großeltern nicht prüde und nickten nur verständnisvoll, wenn sie mal zu uns heraufkamen, beispielsweise, weil sie uns mit Kuchen, Keksen, belegten Broten oder kalter Limonade erfreuen wollten und die ganze Belegschaft nackt vorfanden. Die ganze Belegschaft waren manchmal rund ein halbes Dutzend Personen, denn zu Meike und mir gesellten sich oft auch Manu, Meikes Cousinen Svenja und Lena, sowie deren – häufig wechselnde – Freunde. Obwohl das Kämmerchen klein und die Sitz- beziehungsweise Liegegelegenheiten beschränkt waren, sodass wir häufig so eng aneinander klebten, dass es fast zwangsweise zu ‚unzüchtigen’ Berührungen kam, fanden nie auch nur annähernd Orgien statt. Dazu waren Meikes Cousinen viel zu eifersüchtig. Sie schienen zwar irgendwie gierig auf meinen Schwanz zu schielen und wenn ich mit ihnen allein gewesen wäre, hätte ich wohl einen sexuellen Überfall befürchten müssen, aber das kam eben nie vor. Andererseits waren die beiden zwar recht hübsch anzusehen, aber es fehlte ihnen eindeutig an Ausstrahlung. Man könnte es auch Geilheit nennen, denn ganz im Gegensatz zu Meike und Manu, reizten die beiden Cousinen weder mich noch meinen strammen Pimmel. Das war wohl auch der Grund, warum ihre Freunde nicht sehr lange ihre Freunde blieben. Nichtsdestotrotz sprach es sich herum, dass man ‚bei Meikes’ nackt war. Zwar stimmte das nur für die heiße Zeit des Jahres, denn im Winter gab es im Gegensatz dazu ein echtes Heizproblem, aber die Aussicht, in Gesellschaft von Svenja oder Lena deren Cousine zu besuchen, war ein klarer Anreiz für die eingeweihten Jungs.Ihr Ausstrahlungsproblem war sowohl Svenja, als auch Lena sehr wohl bewusst und daher achteten sie sehr darauf, dass es trotz aller Nacktheit nie zu einem sogenannten Rudelbums kam. Da hätten sie befürchten müssen, trotz eines nicht ungünstigen Zahlen-Verhältnisses – immerhin hatten sie ja beide einen männlichen Partner mitgebracht und meistens war ich ja auch noch da – leer auszugehen. Meike jedenfalls ermutigte sie zwar nicht, machte aber jederzeit den Eindruck, auch zwei oder gar drei Jungs ausreichend beschäftigen zu können.Warum die beiden trotzdem immer wieder ihre Freunde anschleppten und sich dem gnadenlosen Wettbewerb aussetzten, blieb mir im Grunde unverständlich. Sie glaubten doch nicht ernsthaft, dass ich Meike und Manu gegen die zwei Mauerblümchen austauschen würde!Wie auch immer, die permanente Nacktheit in der überhitzten Dachkammer gab uns jedenfalls die Möglichkeit, jederzeit ohne lange Vorbereitung übereinander herzufallen und einen Quickie oder auch eine längere Nummer zu schieben – und blitzschnell in den Modus ‚harmlos’ zu switchen, wenn sich erwachsener Besuch ankündigte. Glücklicherweise knarrte die Treppe, vor allem die dritte und die vierte Stufe von unten. Mit meinen langen Beinen konnte ich aber direkt von der zweiten auf die fünfte steigen und so ziemlich lautlos meine Besuche abstatten.Oft genug begleitete Meike – nackt, denn bis zum unteren Stockwerk, das zur Treppe hin mit einer Tür abgetrennt war, konnte sie ungesehen gehen und hinter der Tür war auch gleich der Ausgang – Cousinen und Freunde hinunter und wenn die Stufen knarrten, steckte mein Schwanz schon tief in Manu. Gleich darauf kam Meike ins Zimmer gestürzt, robbte unter Manu und leckte enthusiastisch meine Eier, meinen Schaft, Manus Schamlippen und ihre Perle, denn im Gegensatz zu ihren Cousinen war Meike überhaupt nicht eifersüchtig, sondern einfach geil, geil und geil.Wie schon einmal erwähnt, fanden wir es besonders erregend, wenn unsere Körper durch den Schweiß rundum glänzend und glitschig wurden. So konnten wir zu dritt ohne nennenswerte Reibung über die Leiber der anderen rutschen. Möglicherweise dabei bremsende Körperbehaarung hatten wir uns gegenseitig schon längst vollständig entfernt. Die regelmäßigen Rasiersessions feierten wir ebenso regelmäßig mit einem ausgedehnten Fick. Das lief ungefähr so ab: Meike ritt mich und Manu kniete über meinem Kopf, sodass ich sie lecken konnte. Nach ein oder zwei Orgasmen für jede, meinte ich: „Meine Zunge registriert einige Stoppelchen. Die sollten wir entfernen“, worauf Meike meinte: „Das ist mir vorhin beim Blasen an dir auch aufgefallen, Andy.“ Durch den Schweiß waren wir so nass, dass wir gar keinen Rasierschaum gebraucht hätten, aber das Eischäumen war ein besonderes Vergnügen. Also holte Meike die notwendigen Utensilien. Manu wurde mit dem Rasierpinsel bearbeitet, bekam allein davon schon wieder einen Orgasmus und danach schabte Manu alle vorwitzigen Stoppeln ab. Ab ging es unter die Dusche, um Haare und Schaumreste wegzuspülen. Klar, dass Meike und ich sie begleiteten und dann nicht nur unter dem Wasserstrahl standen. Nach so einem Duschvergnügen mussten wir unbedingt eine Runde ficken und gingen dazu oft auf den Balkon. Mann, war das geil, wenn die Mädels über der Brüstung hingen, vom Blumenschmuck nur notdürftig verdeckt und ich sie von hinten stieß. Meist meinte danach Manu, jetzt, wo sie so schön babyglatt sei, merke sie meine Stoppeln umso deutlicher. „Aber zuerst weitermachen! Nicht aufhören!“ Dem Wunsch kam ich in der Regel nach. Nach einer mündlichen Reinigung durch die zwei nymphomanischen Mädels, bekam ich das volle Programm mit Schaum und Rasiermesser. Und wieder Dusche und eine Runde ficken. Zuletzt kam Meike dran. Duschen. Ficken. Duschen. Und danach? Was wohl, vorausgesetzt, wir waren nicht schon zu müde. An das dachte ich, als ich Sulis schweißglitschigen Hüften fest packte und heftig in ihren Darm stieß. Lollo rappelte sich mühsam auf. „Ich geh mich mal frisch machen, es gibt wohl bald was zu essen“, nahm ihre Sachen, die hauptsächlich aus ihrer riesigen Sonnenbrille bestanden und schlurfte in Richtung Camp. Kaum war sie weg, hörte ich Sand rieseln. Jemand kam.„Macht mal Pause und kommt zum Essen. Wascht euch aber ordentlich! Und nicht nur die Hände! Hörst du, Angie?“„Ja, Mama!“„Und du, Andy? Hast du das auch gehört? Wer sind übrigens die beiden Hübschen da?“„Strandgut, Tante Astrid! Haben wir genug zu essen? Können wir sie dazu einladen? Nach der ganzen Fickerei sind sie sicher auch hungrig, was Suli?“ Aber die stöhnte nur und stieß kräftig ihren Arsch nach hinten.Dafür antwortete Cora: „Wir wollen keine Umstände machen, obwohl ich schon ein leichtes Magenknurren verspüre. Suli ist sowieso immer hungrig. Ach so, ich bin Cora und das ist meine geile Freundin Ursula, die alle Suli nennen.„Klar könnt ihr mitkommen! Wer sich so gut mit meinem großen Lieblingsneffen versteht ist herzlich willkommen.“„He! Und was ist mit mir?“, protestierte Maggo.Astrid war kurz irritiert, dann kam sie drauf. „Du bst natürlich mein kleiner Lieblingsneffe, was denn sonst!“Und wieder zu mir: „Deine Mama hat Spaghetti mit einem scharfen Gemüsesugo gekocht. Wie du sie kennst langt das wieder mal für eine ganze Kompanie samt Generalstab! Oh, da sind ja noch zwei Mädchen! Wo wollt ihr denn hin?“ Tatsächlich! Camilla und Gudrun hatten sich still und heimlich aufgemacht und standen schon auf der Düne.„Wir müssen zum Mittagessen heim. Vielleicht sehen wir uns morgen und kommen dann auch zum Zug!“, rief Gudrun.„Ganz sicher!“, behauptete ich. „Morgen bin ich dann ganz für euch da. Kommt einfach hierher, okay?“„Okay!“, stimmte Camilla zu. „Tschüss und Adieu!“ Und weg waren sie. Ganz automatisch hatte ich weiter Suli mit langsamen Stößen in den Darm gefickt, aber da hatte Tante Astrid was dagegen. Sie packte mich rigoros an den Eiern und zog mich aus der blonden Schweizerin heraus.„Genug jetzt! Du bist sowieso schon ganz rot am Rücken! Geht euch waschen, kommt zum Essen, danach kriegt ihre eine Ladung Sonnenschutz verabreicht und hinterher könnt ihr von mir aus weitervögeln, bis euch Flügel wachsen!“„Aber Tante Astrid!“Cora, die neben Suli gekniet hatte und mit der einen Hand die Brüste der Freundin, mit der anderen aber deren Muschi verwöhnt hatte, richtete sich auf. „Nun kommt schon! So nette Menschen soll man nicht vergrämen. Verdammt! Ich hab‘ ja nichts anzuziehen dabei! Was soll ich machen?“„Waschen und zum Essen kommen!“, antwortete ihr Astrid. „Nachdem sich die Kinder weigern, etwas anzuziehen, haben wir uns alle angewöhnt, auch zum Essen nackt zu bleiben. Das stört euch doch nicht, oder?“„Geil!“, kommentierten Suli und Cora unisono. Also rappelten wir uns auf und freuten uns auf Spaghetti alla gemusia, oder wie das auf Italienisch heißt. Toby, Marina, Maggo und Manu waren schon unterwegs, Angie wartete auf mich. Es schien, als wollte sie mich was fragen.„Verdammt!“, schrie nun Cora zum zweiten Mal. „Die kleinen Kröten haben mein Badetuch geklaut!“„Und meinen Bikini gleich mit!“, klagte Suli. Wie kommen wir jetzt zurück?“„Da wird uns schon was einfallen“, beruhigte ich die beiden. „Vielleicht bringen sie die Sachen auch wieder zurück, aber wahrscheinlich müsst ihr sie suchen und auslösen. Immerhin habt ihr ihnen ja die Bikinis gemopst.“Murrend aber hungrig folgten mir die zwei Freundinnen nackt zu unserem Lagerplatz. Angie hängte sich bei mir ein und wirklich, sie hatte etwas auf dem Herzen. „Du, Andy?“„Ja, mein Schatz! Was liegt an?“„Sag nicht ‚Schatz‘ zu mir. Auch wenn wir miteinander ficken, haben wir noch lange kein Verhältnis miteinander, großer Lieblingscousin!“ Trotzdem grinste sie fröhlich.„Schon gut! Also, was hast du auf dem Herzen?“Sie druckste ein wenig herum mit „ääh“ und „hm-hm“, dann rückte sie raus: „Du fickst alle in den Arsch, Manu, Cora, Suli, Mama und sogar deine Mutter, …“„Verflucht! Woher hast du das?“„Ich bin nicht blind, nicht taub und schon gar nicht blöd! Ich kapier‘ auch, wenn die Leute nur Andeutungen machen oder irgendwelche ‘Codewörter‘ verwenden. Also, es ist so und Marina möchte auch bald einen Arschfick haben. Ist es schlimm, wenn ich das nicht will? Hast du mich trotzdem gern?“„Natürlich, Kleines! Niemand muss etwas, was ihm unangenehm ist. Mir macht Ficken immer Spaß, ganz egal wohin, solange es zu einem netten Mädchen gehört. Und wenn du irgendwann deine Einstellung ändern solltest, dann sag es mir. Dann gehen wir das ganz ruhig und überlegt an, dass es nicht so weh tut und der Spaß überwiegt, okay?“„Okay, danke! Darf ich dich noch etwas fragen?“„Klar, nur zu!“„Wie bist du eigentlich zum Arschficken gekommen?“„Hm, das ist eine längere Geschichte, das erzähle ich dir, wenn du magst, gern nach dem Essen.“„Ja, das ist gut!“ Inzwischen waren wir beim Waschhaus angekommen und stellten uns unter die Duschen. Seife hatten wir in den vergangenen Tagen genug dort ‚vergessen‘, sodass wir alle bald wieder sauber waren und zum Essen gehen konnten. Besser gesagt, wir hätten können, aber irgendwie hatten sich die Mädels gegen mich verschworen, fielen über meinen Schwanz her und bliesen abwechseln, bis ich mit einer Mörderlatte zum Mittagstisch gehen musste. Meine Mutter begrüßte mich mit einem missbilligenden Kopfschütteln. Ich zuckte die Achseln. Ich war unschuldig wie ein Lamm!Durch die zwei zusätzlichen Gäste mussten wir die übliche Sitzordnung ändern. Mit einer Raffinesse, die ihnen niemand zugetraut hätte, organisierten es Papa und Onkel Wolfgang, dass Suli und Cora zwischen ihnen zu sitzen kamen. Außen dran saßen dann Mama und Tante Astrid, die das Essen verteilten. Auch Manu half dabei mit und wanderte mit einer kleinen Schüssel geriebenem Parmesankäse rundherum. Als sie mir ein paar Löffel auf den Teller tat, achtete sie mehr auf meinen Schwanz, der sich eben ein wenig zu beruhigen begann, als auf die Spaghetti. Mit frechem Grinsen griff sie nach dem Erschlaffenden und wichste ihn wieder hart. So ließ sie mich sitzen. Marina und Sandra, die links und rechts von mir saßen, griffen die Idee gleich auf und legten immer mal wieder Hand an. „Allzeit bereit, mein lieber Bruder!“, raunte meine geile Schwester und kratzte mit einem Fingernagel zart an meiner Eichel. Ich konnte nur hoffen, dass sie es nicht übertrieben. Mitten unter dem Essen abzuspritzen, womöglich so, dass mein Sperma über die Tischkante schoss und in meiner Pasta landete, das wäre sogar mir peinlich gewesen. Also dachte ich an alle möglichen abtörnenden Bilder, zum Beispiel auch an Meikes Cousinen Svenja und Lena. Doch in meiner aufgezwirbelten Phantasie war das nicht wirksam. Immerhin kannte ich die beiden eigentlich nur in splitternackten Zustand und rein optisch …Schließlich versuchte ich, mich auf das Essen zu konzentrieren und wickelte konzentriert die langen Nudeln mit der Gabel auf. Aus meiner Sitzposition konnte ich durch einen Spalt zwischen den großen Sonnenschirmen hindurch die Tür des Wohnmobils sehen. Und dort stand Manu und rüttelte an meiner Selbstbeherrschung, indem sie ein Bein schräg nach oben durch die Tür streckte, wahrscheinlich mit der Ferse auf der Sitzbank. Mit einer Hand hielt sie sich am Einstiegsgriff fest, mit der anderen masturbierte sie mithilfe einer Salatgurke. Dabei grinste sie mich direkt an. Es war offensichtlich! Die Weibsen hatten sich verschworen und wollten mich um jeden Preis in Verlegenheit bringen. Schon spürte ich auch wieder Sandras Hand an meinem Sack. Ich konzentrierte mich voll auf die Nudeln und schaffte es tatsächlich, eine Gabel voll unfallfrei in den Mund zu balancieren. Hoffentlich hielt sich wenigstens Marina zurück. Wo war sie überhaupt? Der Platz zu meiner Linken war auf einmal unbesetzt.Nur wenige Minuten konnte ich unbehelligt essen, obwohl Sandra ständig mit einer Hand an meinem Schwanz spielte. Bewundernswert, wie sie die Spaghetti ganz ohne Löffel mit nur einer Hand aufwickelte. Aus dem Augenwinkel erspähte ich eine Bewegung am Wohnmobil. Ganz automatisch sah ich hin. Das hätte ich lieber bleiben lassen, denn nun betrat meine unverfrorene Schwester Marina den Ort des Geschehens und zog – alleine für mich, denn außer mir konnte niemand durch den schmalen Spalt zwischen den Sonnenschirmen schauen – eine Show ab, die mich echt überforderte. Zuerst knutschte sie geil mit Manu, dann nahm sie ihr die Gurke ab, ging in die Hocke mit gespreizten Beinen und leckte die tropfnasse Muschi ihrer Cousine. Dabei hantierte sie mit der Gurke zwischen ihren Beinen! Das war zu viel für mich! Mein Schwanz schwoll so sehr an und versteifte sich derartig, dass ich außerstande war, ihn unter den Tisch zu biegen. Dummerweise hatte ich wegen der zusätzlichen Gäste auf dem alten Holzstuhl sitzen müssen, den irgendwer aus dem Campingplatzcafe hierher ins ‚Outback‘ verschleppt hatte. Der war etwas höher, was nicht nur unbequemer beim Essen war, sondern auch dazu führte, dass meine geschwollene Eichel über die Tischkante ragte und die ganze Gesellschaft frech anlächelte.Meine Mutter reagierte umgehend. „Andy! Das geht zu weit! Du weißt, dass ich nichts gegen Sex habe, ganz im Gegenteil. Aber wenigstens bei Tisch solltest du ausnahmsweise mal an was anderes denken! Schäme dich!“ Alle am Tisch kicherten oder lachten, nur mein Vater nickte zustimmend und brummte etwas Unverständliches.„Iiiieeeh! Was ist das denn? Kann ich es haben?“, provozierte Angie und langte über Toby und den freien Platz hinweg nach meinem Schwanz, aber Sandra bog ihn flugs in die andere Richtung. Damit nahm das ‚Unheil‘ seinen Lauf, denn ich war gerade im Begriff gewesen, eine neue Ladung Spaghettinudeln in Richtung meiner Futterklappe zu bugsieren, als meine Hand mit der Gabel angesichts der Show meiner verdorbenen Schwester in der Luft erstarrte. Und als jetzt Sandra meinen Schwanz zur Seite bog, folgte mein ganzer Körper dieser Bewegung – und die Nudeln rutschten samt Sugo von der Gabel und landeten auf meinem Schwanz. Heiß!!„Auaaah! Bist du verrückt geworden?“, schrie ich gequält und sprang auf. Mitleidlos lachten alle, sogar Mama und Tante Astrid. „So eine Sauerei! Schau, was du angerichtet hast!“, fuhr ich Sandra an, die immer heftiger gluckste und lachte, dass es sie richtig schüttelte. „Jetzt sieh zu, dass du das wegmachst!“ Sandra lachte und gackerte weiter, dann klaubte sie mit zwei Fingern eine Nudel von meiner Nudel und hob sie hoch in die Luft. Mit spitzen Lippen saugte sie sie ein und versenkte ganz langsam die lange Spaghetti in ihrem Mund. Alle sahen ihr sprachlos zu. Noch eine verspeiste sie auf dieselbe Weise, dann kam ihr Angie zur Hilfe. Aber die Kleine kümmerte sich weniger um die Teigwaren, sondern leckte mir das Sugo vom Bauch. Und aus dem Nabel. Und vom Schamhügel. Tante Astrid, ihre Mutter sah mit offenem Mund zu und setzte mehrfach an, etwas zu sagen, brachte aber keinen Ton heraus. Als meine junge Cousine schon ziemlich nahe mit ihrer Zunge an meinem Schwanz vorbei schlabberte, hörte sie plötzlich auf. „Den Rest überlasse ich einem berufeneren Mund“, verkündete sie und leckte sich die Lippen. Dann gab sie mir einen unkeuschen Kuss und hauchte mir ins Ohr. „Vergiss nicht, dass du mir noch erzählen musst, wie du zum Arschficken gekommen bist. Dann blas ich dir auch richtig einen!“Sandra hatte inzwischen alle Nudeln ‘aufgesaugt‘ und fühlte sich wohl als ‘berufenerer Mund‘ angesprochen, denn sie beugte sich über meinen Schwanz und schob ihn bis zur Wurzel – ihrer Stiefmutter Laura Dank und Anerkennung! – in ihren Rachen, klemmte ihn mit ihren Lippen ganz fest und entließ ihn wieder ganz, ganz langsam. Sauber glänzend kam er wieder zum Vorschein. Alle gafften gebannt. Jetzt war mein Schwanz zwar wieder sauber und gut eingeschleimt, aber immer noch hart und groß oder vielleicht sogar noch härter und größer. güvenilir bahis şirketleri Da fiel mir ein, dass eigentlich Manu und Marina die Auslöser der ganzen Misere gewesen waren. Die beiden standen harmlos kichernd beim Wohnmobil. Mit schnellen Schritten stand ich vor ihnen, packte sie und zerrte die zwei Übeltäterinnen hinter das Auto. Dort war eine kleine Ansammlung von niedrigen Pinien und üppigen Oleanderbüschen, sodass wir gegen den Rest des Campingplatzes sichtgeschützt waren.Dort drehte ich mir Manu zurecht, bohrte ihr einen Finger in den Arsch und da der problemlos hineinfand, schob ich gleich meine Brechstange hinterher. „Freche kleine Kröte!“, tat ich empört, das wirst du mir büßen. Ich reiß dir den Arsch auf!“ Und zu Marina: „Und du, verdorbene Schwester, lauf ja nicht weg, du kriegst auch noch dein Fett ab! Inzwischen kannst du Manu ja die Muschi lecken!“ Das tat sie anscheinend gern, denn sie hockte sich sogleich unter meine Cousine und schlabberte in den reichlich fließenden Säften. Dasselbe hatte sie vorhin ja auch schon getan. Nur steckte jetzt gleichzeitig auch noch mein Schwanz in Manus Arsch, und so beschränkte sich meine kleine geile Schwester nicht nur auf die Schamgegend ihrer Cousine, sondern leckte hin und wieder auch meine Eier. War das geil!Heute war ich etwas scharf geladen, denn die beiden hatten mich doch in Verlegenheit gebracht – man möchte es gar nicht glauben, oder? – und darum kannte ich keine Gnade, rammelte Manu kraftvoll in den Arsch, doch das mochte sie offenbar genau so: Meine Cousine stöhnte, ächzte und röchelte fast vor Lust und Geilheit und da passierte es auch schon. Sie spritzte voll ab und Marina bekam alles ins Gesicht.Da quiekte sie erschrocken auf und krabbelte unter Manu hervor. In dem Augenblick kam es mir auch und schnell drehte ich meine Schwester so um, dass ich ihr alles auf den Hintern, und da besonders direkt auf die Rosette spritzen konnte. Nun nutzte ich die Gunst der Stunde und ehe mein Schwanz etwa erschlaffen konnte, drückte ich die Eichel durch Marinas gut geschmierten Schließmuskel. „Das wolltest du doch, oder?“, zischte ich und hielt ihr den Mund zu, denn vor lauter Überraschung hätte sie sicher ziemlich laut geschrien. Eigentlich hatte ich vor, ihr meinen Dicken brutal reinzuschieben, als Strafe, aber dann bewog mich mein sanftmütiges Bruderherz, einzuhalten, bis sie sich daran gewöhnt hatte. Dann drückte ich fast zärtlich nach, aber da kam ich bei meiner Schwester falsch an.„Wenn du schon so weit bist, dann fick mein kleines Arschloch, großes Arschloch!“, schnauzte sie mich an, als ich die Hand von ihren Lippen nahm. Das konnte sie haben! Aber als ich ihr meinen Prügel ohne weitere Verzögerung bis zu den Eiern in den Darm rammte, stieß sie doch erschrocken die Luft aus, klagte aber nicht. Tapfere kleine Schwester! Ich merkte, dass es ihr weh tat und ging so einen Mittelweg zwischen sanft und hart. Nach ein paar Minuten schien der Schmerz nachzulassen, ihr Atem beruhigte sich und nun fing der Genuss an. Nun war es an Manu, sich von unten an ihren Kitzler heran zu arbeiten und daran zu knabbern und zu lecken. Ich war gespannt, ob auch sie einen Schwall Geilsaft abbekommen würde. Die Wahrscheinlichkeit war hoch, bisher hatte noch jedes Familienmitglied bei Analverkehr gespritzt. Obwohl Marina immer mehr Gefallen am Arschficken fand und auch zu zwei schönen Orgasmen kam – ob durch Manus Zunge oder meinen Schwanz bleibe dahingestellt – sie spritzte nicht. Vielleicht war sie dazu noch zu jung, noch nicht reif genug.„Ich will dich auch lecken!“, stöhnte sie auf einmal. „Aber wie?“„Gehen wir rüber ins Waschhaus, da können wir uns hinlegen“, schlug ich vor und beide stimmten zu. „Außerdem können wir uns dann auch gleich wieder sauber machen.“Langsam zog ich meinen unverändert langen Schwanz aus Marinas Darm. Sie drehte sich blitzschnell um, hüpfte mich grinsend an, schlang mir ihre Arme um den Nacken und die Beine um die Hüften, küsste mich und flüsterte: „Steck ihn mir wieder rein und trag mich hinüber!“Dem Angebot konnte ich natürlich nicht widerstehen, klemmte mir ihre Schenkel unter die Achseln, wodurch sich ihr knackiger Arsch in die richtige Position drehte und – Manu packte zu und schob meinen Schwanz wieder in Marinas Hintertürchen. Ein wohliges Stöhnen begleitete dies. Die Kleine war wirklich nicht klein zu kriegen! Auf und ab wippend trug ich sie gemessenen Schrittes die etwa sechzig Meter über freies Gelände zu ‘unseren‘ Sanitärgebäuden. Da hätte man uns sehen können, aber es war niemand zu entdecken. Manu lief so vor uns her, dass gegebenenfalls nur drei nackte Jugendliche zu bemerken gewesen wären, nicht aber, dass wir die Strecke fickend zurücklegten. Drinnen wählten wir die Herrendusche, weil dort der Fliesenboden schöner war.Zuerst setzte sich Manu breitbeinig an eine Wand, Marina legte sich davor auf den Bauch und reckte mir den Hintern entgegen, bei dem ich unverzüglich andockte. Während ich rhythmisch in sie stieß, pflügte sie furchtlos Manus heiße Spalte. Unglaublich, aber wahr, es schien, als wartete sie freudig auf einen erneuten Schwall ins Gesicht. Der kam aber nicht. Dafür drehte sich Manu um und robbte rücklings unter ihre Cousine, bis sie mit den Lippen an deren blanker Spalte angelangt war. Hingebungsvoll schleckten die beiden jungen Mädchen die pulsierenden Schamlippen der anderen, und ich vögelte meine Schwester in den Arsch, dass es eine Freude war.Doch dann geschah das Unerhörte! Mit leichter Panik spürte ich, wie ich an Härte einbüßte. Mit jedem Stoß wurde mein Schwanz weicher. So etwas war mir noch nie passiert! Eine Alterserscheinung vermutlich. Doch da fiel mir ein, dass ich den letzten sechs Stunden schon fünfmal abgespritzt hatte, zweimal mit Marina und Angie in der Hängematte, zweimal mit Suli, einmal am Strand und einmal auf der Düne und jetzt eben vorhin. Das beruhigte mich, denn der Tag war noch lange nicht aus und somit standen die Chancen gut, dass ich am Nachmittag wieder einsatzfähig war und auch Cora noch anal beglücken konnte. Genau genommen müssten drei bis vier volle Nummern noch drin sein, wenn ich bedachte, dass ich wohl erst nach Mitternacht ins Bett fallen würde.Ganz unspektakulär flutschte mein weicher Schlaffi aus Marinas Anus und ich setzte mich an die Wand. Die beiden Cousinen ließen nicht eine Sekunde voneinander ab und schlürften begeistert ihre Austern. „Ich schau mal, ob es Nachspeise gibt“, verkündete ich dann, rappelte mich auf und stolperte aus der Dusche. Manu und Marina ließen sich nicht stören.Tatsächlich gab es eine große Schüssel mit Yoghurt und Früchten, Bananen, Kiwis, Pfirsiche und Birnen, gesüßt mit Honig. Dazu einen Löffel Vanilleeis. Lecker. Die beiden geilen Cousinen, also jene zwei der drei geilen Cousinen, die ich im Waschhaus zurückgelassen hatte – je nach Betrachtung hätte man auch von drei geilen Töchtern, Nichten oder Schwestern sprechen können – kamen kurz, bevor die Schüssel leer war und holten sich den Rest. Angie und Sandra interessierten sich mehr für mein schlaffes Anhängsel und zupften zum Gaudium von Lollo daran herum, aber es tat sich nichts. „Sogar ich brauche manchmal eine Pause!“, knurrte ich.„Gute Gelegenheit, uns endlich deine Geschichte zu erzählen!“, erinnerte Angie.„Was für eine Geschichte?“, stellte ich mich dumm, aber es half natürlich nichts.„Die Geschichte wie du zum ‘Master of the Analverse‘ wurdest“, antwortete sie. „Komm, wir nehmen uns Decken und legen uns dort in den Schatten. Und nach der Geschichte haben wir auch verdaut und können wieder ins Wasser gehen.‘Master of the Analverse‘! Wo die solche Wörter herhatte!Teil X – Master of the Analverse© Luftikus, Februar 2015Rasch schnappte sich Angie eine Picknick-Decke und zog mich mit sich in den Schatten einer alten Piniengruppe. Wir mussten einige große Zapfen, etliche Äste und Steine aus dem Weg räumen, dann konnten wir uns gemütlich niederlassen. Kaum lagen wir nebeneinander, kamen nach und nach auch die anderen: Marina, Maggo, Manu, Toby, Sandra, Matthias, Cora und Suli. Ich will nicht sagen, dass es dadurch ungemütlich wurde, aber ziemlich eng, denn so groß die Decke auch war, für zehn Leute war sie nicht gedacht. Glücklicherweise kannte keiner der zehn Berührungsängste. Immerhin hatten wir vor gut einer Stunde noch alle zusammen eine spontane Orgie zelebriert. Auch jetzt kam keine Schamhaftigkeit auf, alle streichelten, was ihnen gerade unter die Finger kam, mit Vorliebe allerdings Geschlechtsorgane. Und da sollte ich erzählen?Seltsam, dass ich erst heute an Anja und ihre ‘Nachhilfestunden‘ im Schwimmbad gedacht hatte. Nun erzählte ich die ganze Geschichte und wurde nur selten unterbrochen, meist von Angie, die damit ihren Anspruch geltend machen wollte, dass sie diese ‘Erzählrunde‘ sozusagen organisiert hatte. Mittendrin spazierte Lollo vorbei. Ich fragte sie, ob sie sich zu uns setzen wolle und klopfte auf meine Oberschenkel, von denen es naturgemäß nicht weit zu meinem Schwanz gewesen wäre. Der rührte sich zwar im Moment kein bisschen, aber in Kontakt mit meiner verführerischen Tante …Lollo winkte lächelnd ab, wünschte uns eine nette ‘Märchenstunde‘ und entschwand in Richtung Strand. Lukas folgte ihr. Mama und Tante Astrid räumten den Essplatz auf und marschierten dann nackt mit Bottichen mit dem Geschirr und Gerätschaften in Richtung Waschhaus. Was für eine Wandlung! Noch am Samstag in der Früh hatte Mama ihre Schwester Lollo gerügt, weil die sich ‘nackt vor den Kindern‘ gezeigt hatte und was war in den dreieinhalb Tagen seither alles geschehen? Bis auf Lollo hatte ich mit allen anwesenden weiblichen Wesen schon gefickt, sogar mit Mama und Tante Astrid, mit meinen zwei Cousinen und mit meiner Schwester! Und fast allen hatte ich auch noch den Schwanz in den Arsch gesteckt. Abgesehen davon bewegten sich alle drei Schwestern völlig natürlich splitternackt in unserem ‘Outback‘, als wären sie im uneinsehbaren heimatlichen Garten. Ich fragte mich gerade, ob sie sich eventuell sogar getraut hatten, das notwendige Gemüse und Obst im Evaskostüm zu besorgen. Jeden Tag gegen elf erschien ein klappriger Lastwagen, von dem weg ein Bauer aus der Umgebung seine Produkte verkaufte. Er hielt zwar an einigen Stellen auf dem Platz, aber bis zu uns kam er sicher nicht. Mama, Astrid oder beide hätten schon ein paar Meter weiter als nur bis zum Waschhaus gehen müssen. Inzwischen traute ich ihnen fast alles zu, aber das wäre doch sehr, sehr gewagt gewesen, weil bei dem Obstlaster doch immer ein großer Andrang herrschte. Später stellte sich heraus, dass es den beiden gelungen war, für diese Beschaffungsmission ihre Ehemänner einzuspannen.Mir ging durch den Kopf, dass auch wir den Abwasch hätten machen können, immerhin hatten die Mütter schon die ganze Kocherei erledigt. Daher beschloss ich, die beiden zum Dank mal wieder richtig gut und ausgiebig zu ficken. Da hatte doch jeder was von, nicht?Es war etwas eng auf der Decke, aber wir kuschelten uns so zusammen, dass niemand auf den Wurzeln und Nadeln zu liegen kam, ich in der Mitte. Es bleib nicht aus, dass die Mädchen einige zarte Körperteile auf mir ablagerten. Den anderen Jungs ging es nicht anders. Wie üblich waren die Girls wieder mal obenauf! Die Geschichte, wie ich Anja kennen gelernt, und wie sie mir das erste Mal das Arschficken schmackhaft gemacht hatte, kam überraschend gut an. Die meiste Zeit schwiegen alle – außer mir natürlich – andächtig. Ständig spürte ich zwei sanfte Hände, die gedankenverloren mit meinen Eiern und mit meinem Schwanz spielten. Das war nicht erfolgsorientiert, sondern geschah so beiläufig, wie man ein Kätzchen krault. Ich meine jetzt ein richtiges Kätzchen, so ‘ne echte Muschi mit Haaren dran, ihr wisst, was ich meine? Eine vierbeinige Schmusekatze!„Was ist jetzt, Andy?“ Angie rüttelte mich. „Das ist doch noch lange nicht alles!“ Sie sah mich scharf an, ihr Kopf lag auf meiner Brust, und jetzt merkte ich auch, dass die kleine Hand an meinem Schwanz zu ihr gehörte. „Was war mit ‘Boris toppen‘ und wie das mit dem Pärchen, das euch erwischt hat?“„Ehrlich gesagt, war das Pärchen nicht das einzige, was uns erwischt hat, zuerst kam da die Sache in der Damendusche. Einmal, an einem Mittwoch …“Meine Gedanken schweiften zurück zu dieser hemmungslosen Zeit. Jeden Zweiten Mittwoch hatten wir zwischen fünf und acht am Abend das ganze Bad für uns. Die anderen Mittwoche war von dreiviertel sechs bis zehn vor sieben eine reine Mädchenklasse da, denen wir auswichen, weil man den übermütigen Gören laut Anja nicht über den Weg trauen konnte. Die hätten, so behauptete sie, gleich das Gras wachsen hören und aus Prinzip nicht geglaubt, dass wir nur des Trainings wegen dort waren. Und natürlich hätten wir sowieso dann auch nicht nackt trainieren können – mit allen Nebenerscheinungen, die wir so liebten. Daher zogen wir uns für diese Zeit in einen Nebenraum zurück, in dem diverse Trainingsgeräte wie Laufbänder, Ergo-Bikes, Hantelbänke und ähnliche Folterinstrumente standen. Anjas Schlüssel schloss dort auch. Vorsichtshalber ließ sie ihn immer innen stecken, damit niemand herein konnte. Denn das war der besondere Kick, dass wir in dem Trainingsraum vollkommen nackt blieben, während sich auf der anderen Seite der Tür in der Garderobe vierundzwanzig Mädchen und zwei Lehrerinnen in verschiedenen Stadien der Nacktheit aufhielten. In der Tür war ein Glasfenster und wir hatten genau ermittelt, was man von außen sehen konnte und wo die blinden Ecken lagen. So hätten wir uns vollkommen verbergen können, aber es gab uns noch mehr Kick, wenn wir uns genau im Grenzbereich aufhielten. Oft genug vögelten wir auf einer Bank in einer Weise, dass man von außen mit etwas Phantasie zwar sehen konnte, WAS da geschah, aber eben nicht, WER daran beteiligt war. Wir kamen immer erst raus, nachdem die Lehrerinnen auch die letzten neugierigen Mädchen hinaus gescheucht und abgeschlossen hatten.Das konnte nicht ewig gut gehen, aber zunächst freuten wir uns diebisch, dass wir die Mädchen bis zum Wahnsinn neugierig gemacht hatten, aber dennoch nicht enttarnt worden waren. Doch wo ein Wille ist, ist auch ein Weg. Das hätten wir bedenken sollen!Zunächst aber lief alles glatt. Wir hatten unseren Spaß, trainierten auch tatsächlich, meist die richtigen Wettkampfsprünge in unterschiedlichen Schwierigkeitsgraden, aber auch geile Spielereien. So gelang uns nach einiger Zeit auch ein ‘Fly together‘ vom Dreimeterbrett. Wir stellten uns ganz nach vorne, Anja stellte sich auf die Zehenspitzen und ich schob ihr meinen Schwanz in den Hintern, wo sie ihn festklemmte. Dann ließen wir uns nach vorne fallen, wobei ich ihre nach oben gestreckten Hände fasste. Im letzten Moment stieß ich mich leicht ab und so köpfelten wir als verbundenes Pärchen ins Wasser. Unser Ziel war aber dasselbe von weiter oben mit einem gestreckten Salto. Dazu kam es aber nie. Nach dem Training versteckten wir uns meistens in der Reservegarderobe, die nur geöffnet wurde, wenn ganz viel Andrang herrschte, was abends bei Saunabetrieb nie der Fall war. Dazu war auch die Sauna nicht groß genug. Und dann mischten wir uns einfach unter die Saunagäste. Da fielen wir als Nackte unter Nackten natürlich nicht auf. Die Saunagäste durften auch das Schwimmbad nackt benutzen. Manchmal waren so wenige da, dass wir das eine oder andere ruhige Plätzchen fanden, wo wir das eine oder andere Nümmerchen schieben konnten. Eines Mittwochs, einem jener, an denen keine Mädchen da waren, hatten wir sehr ernsthaft trainiert und Anja war viel weniger in Ficklaune als normal. Das Wasser hatte uns zum Frösteln gebracht und so liefen wir in die Dusche und wärmten uns unter dem heißen Wasser wieder auf. Nun kam Anja doch etwas in Stimmung, hockte sich vor mich und fing an, mir einen zu blasen. Noch etwas unterkühlt, dauerte es seine Zeit, bis sich meine dicken sechzehn Zentimeter – seither hatte ich doch noch etwas zugelegt – träge erhoben. Doch gute Arbeit tut seine Wirkung und als er endlich richtig fest stand, zog sich Anja an meinem Schwanz hoch, presste sich an mich und küsste mich.„Wollen wir gleich hier ficken oder gehen wir wieder ins Babybecken?“, fragte ich gerade, denn das Babybecken hatte immer schön warmes Wasser, herrlich, um sich darin zu wälzen.„Wer sind denn Sie? Und was machen sie hier in der Damendusche?“, herrschte mich plötzlich eine strenge Stimme an. Die gehörte zu einer älteren Frau mit einer durchaus sportlichen Figur. Dazu passend war sie mit einem blau schillernden, sehr eng geschnittenen Badeanzug bekleidet, der üppige, aber recht appetitliche Formen offenbarte. Ihr Gesichtsausdruck wirkte nicht so streng wie ihre Stimme, eher schien sie sich zu amüsieren.„Äh – ich bin Robert und das ist meine Schwester An… – Angelika! Sie hat das Haarshampoo und ich wollte es nur holen“, log ich.„Soso, und das ganz ohne Badehose?“„Äh – äh – die ist drüben in der Männerdusche. Wissen Sie, wir machen ja im Urlaub auch FKK und so … Wie gesagt, ich wollte nur das Duschgel holen.“„Soso, das Duschgel? Ich dachte das Haarshampoo!“„Äh, ja, also beides. Beides gemeinsam. ‘Hair and shoulder‘ heißt das, oder so ähnlich.“ Ich schaute sie treuherzig an und hielt meine Hände vor mein Gemächt. „Aaah, ja“, meinte sie gedehnt, „soso, deine Schwester Angelika also. Und warum lässt du dir von deiner Schwester einen blasen?“ Verdammt, sie hatte uns schon länger beobachtet. Ich kriegte einen roten Kopf und schwieg belämmert.„Junge, du kannst deine Hände da wegnehmen, ich habe deinen Penis schon gesehen. Hübsches Stück übrigens. Immerhin kann ich dann wohl meinen Badeanzug auch ausziehen. Oder hat jemand von euch was dagegen?“Ich schwieg weiter. Ich konnte gar nichts mehr sagen. Aber Anja konnte. „Nur zu, liebe Frau …?“„Antonia“, erwiderte diese und kam auch schon nackt zu uns. Das war sicher die älteste Frau, die ich je nackt gesehen hatte, jedenfalls aus dieser Nähe, aber sie sah durchaus sexy aus. Ihre Titten hingen zwar, aber nicht so viel, dass es unästhetisch gewirkt hätte und ihr Po war noch knackig und offenbar gymnastikgestählt. „Junge, du darfst meine Kehrseite mit deinem Duschgel alias Haarshampoo pfleglich behandeln:“ Sie drückte ihren Hintern so eng an mich, dass mein Steifer in ihre Poritze rutschte. Darüber verlor sie kein Wort, sie zuckte nicht einmal.Reden konnte ich, wie gesagt, in dem Moment nicht. Aber ihr den Rücken einseifen, das ging grad noch. Also seifte ich. Und seifte. Und seifte tiefer. Als ich an ihrem Po angelangt war, trat sie einen Schritt vor, blieb dort mit gespreizten Beinen stehen und streckte den Hintern raus. „Nur weiter so, das machst du gut, Junge!“, kommandierte sie. Schön langsam dämmerte mir, dass sie geil war. Das hörte anscheinend auch im hohen Alter nicht auf. Immerhin war sie mindestens schon vierzig oder gar noch älter. Diesen Umstand blendete ich einfach aus und rubbelte ihren gar nicht so sehr faltigen Po, die Ritze und griff ihr dann sogar etwas weiter nach vorn zwischen die Schenkel. Da spürte ich, dass sie gleich glatt rasiert war wie die meisten jungen Mädchen, Anja, Meike oder Manu zum Beispiel. Warum auch nicht? „Auch die Oberschenkel, bitte!“ Okay, okay! Was machte eigentlich Anja? Ich drehte den Kopf und sah sie grinsend ihre Haare einschäumen. „Genug jetzt!“, befahl die Alte. „Jetzt kann mir deine Schwester“ – sie betonte das ‚Schwester’ ein wenig eigenartig, vermutlich hatte sie ihre Zweifel, aber das war eigentlich gut, denn öffentlich des Inzests überführt? Musste ich nicht unbedingt haben, obwohl ich selber keine moralische Entrüstung aufkommen sah. Es war ja auch keiner und eigentlich hatte ich ja was anders im Sinn gehabt, als ich diese Ausrede erfand – … kann mir deine Schwester die Vorderseite machen, bitte!“ Sie drehte sich Anja zu und ich gab ich die Gelflasche. Doch kaum hatte die angefangen, die Brust der alten Dame einzureiben, riss ihr diese energische Antonia das Duschgel aus der Hand. „Das wird so nichts!“, nörgelte sie. „Sie sind viel zu zaghaft, Mädchen! Der Junge kann das viel besser!“ Und schon drehte sie sich mir zu, reichte mir die Flasche und reckte ihren Busen. Hm, der sah eigentlich richtig lecker aus. Genau genommen war die Frau ein Wahnsinn für ihr Alter. Also behandelte ich auch ihre Vorderseite mit viel Gefühl und sehr enthusiastisch. „Gut machst du das, nur zu! Keine falsche Scham. Deine Schwester passt schon auf, dass nichts passiert.“„Sehen Sie, so macht man eine Frau glücklich!“, wies Antonia dann Anja zurecht. „Wie war das? „Head and shoulders, also auch Haarshampoo?“, fragte sie nach.„Äh – hm – äh, ja“, stotterte ich.„Wärst du so lieb und shampoonierst mir die Haare?“, fragte sie fast zaghaft, ging aber noch vor meiner Antwort in die Knie. Ich rieb mir eine ordentliche Portion in die Hände und massierte es in ihre Kopfhaut ein. Plötzlich spürte ich es an meinem Schwanz! Antonia hatte ihre Lippen darum geschlossen und saugte schamlos. Und das vor ‚meiner Schwester’! Wuuuh! War das geil! Das war so geil, dass ich in nullkommanix abschoss. Antonia zuckte mit keiner Lippe und schluckte alles, saugte dann einfach weiter, denn, wie üblich, blieb mein treuer Schwanz steif. Währenddessen wusch ich weiter ihre Haare und spülte sauber nach.Nach ein paar Minuten hörte sie auf. „Wunderbar! Du stehst gut im Saft, Junge. Sicher hast du mit deiner ‚Schwester’ Angelika“ – schon wieder diese seltsame Betonung – „auch schon gefickt. Dann kannst du das bei mir auch machen. Keine Hemmungen, Junge, dafür ist es schon zu spät. Und ich bin zu alt dafür, Zeit zu verschwenden.“ Sie stellte sich breitbeinig vor Anja, streckte mir ihren Arsch prall entgegen und hielt sich an den Hüften meiner Lehrmeisterin fest. Jetzt war nicht die Zeit, lange zu überlegen. Ich packte meinen Schwanz, positionierte ihn an ihrer schleimigen Fotze und schon ihn in einem Ruck voll hinein. „Guuut!“, jubelte sie. Und dann ging die Post ab!Antonia war wirklich eine supergeile Mutti, eine Milf, wie man so sagt und sie ging richtig gut mit. Ich legte mich wirklich ins Zeug und bot alles auf, was mir Anja in den letzten paar Wochen so beigebracht hatte. Das tat ihr gut und sie bekam wirklich und wahrhaftig Orgasmen im Minutentakt. Zuletzt fickte ich sie auch noch anal, weil sie es ausdrücklich wünschte. Ich gab mein Letztes und zeigte schon fast Erschöpfungsanzeichen, als ich mich endlich in ihren Darm entlud. Dann kam der Hammer!Während ich noch heftig atmend an der Wand lehnte und mich vom warmen Wasser berieseln ließ, verkündete Antonia: „Das hast du wirklich gut gemacht, mein Junge. Ich denke, der ist richtig, Anja. Bring ihn doch Freitagabend zum Essen. Ich mach Rheinischen Sauerbraten und Klopse. So, ich muss jetzt! Tschüss!“ Und damit raffte sie Badeanzug und Handtuch zusammen und entschwand.„Ist gut! Mach ich! Vergiss nicht abzuschließen, Mama!“„Häääh? Waaas?“„Das war meine Mutter. Ich habe einen Nachschlüssel machen lassen, damit sie rein kann. Kann man immer mal brauchen, nich?“Ich war total von den Socken. „Deine Mutter? Ich habe gerade mit deiner Mutter gefickt? Du hast mich mit deiner Mutter verkuppelt???“„Ja. Na und? Hat es dir etwa nicht gefallen? Du konntest ja gar nicht aufhören, so gut hat es dir gefallen. Also schrei jetzt nicht rum, wasch dir den Schwanz und komm in die Halle. Wir haben noch geschraubte Saltos zu üben!“An dieser Stelle unterbrach mich ein mehrstimmiges „Wow!“, aber dann schwiegen die Zuhörerinnen wieder, denn sie erhofften weitere Sensationen. Die bekamen sie auch.An diesem Mittwoch brachte ich nichts mehr zustande, keine gescheiten Sprünge und auch der Fick mit Anja war nicht mein bester. Die Entspannung in der Sauna tat mir aber gut und die Nacht verbrachte ich bei Meike, die ich nicht merken ließ, dass ich an dem Tag schon fünfmal abgespritzt hatte. In der Früh weckte uns Meikes Mama Valeria, denn wir hatten verschlafen. Sie machte sich über unser Verhältnis keine Illusionen, aber sonst lagen wir immer zwar nackt, aber sauber im großen Bett. Sie riss die Balkontüre auf – draußen war es ziemlich frisch an diesem Aprilmorgen – zog uns die Decken weg, und hängte sie über das Geländer. Da sah sie es. An diesem Morgen trugen wir noch die Spuren von drei geilen Nummern auf unseren Körpern, denn nach der heißen Orgie zu zweit waren wir einfach weggekippt. Und ich prangte mit einer gewaltigen Morgenlatte. Val schüttelte den Kopf, rüttelte uns ganz wach und sagte nur: „Ab unter die Dusche mit euch zwei Dreckspatzen und dann marsch in die Schule! Es ist schon sieben fünfzehn!“ Und Abgang!Meike dachte gar nicht daran, etwas zu überstürzen, sondern schob sich die ‚Latte’ kurzerhand in die Muschi. „Ein Quickie muss drin sein!“, meinte sie und genoss es sehr. Aber ich musste dringend pinkeln und es war auch wirklich schon spät. Ich wollte verhindern, dass Val noch einmal kam, um uns zur Eile zu mahnen und mitten in die Nummer platzte, darum schubste ich Meike von mir runter und eilte in ihr winziges Bad. Schnell unter die Dusche. Da konnte ich wohl auch gleich pinkeln, oder? Merkte doch keiner!Falsch gedacht! Gerade strullerte ich los, da ging die Tür auf und Meike drängte sich zu mir herein. Mitten in den Strahl! Sie quiekte erschrocken, packte meinen Schwanz und bog ihn nach oben. Damit erreichte sie zwar, dass der Strahl am Ende mir selber über Bauch und Brust plätscherte, aber zuvor, und das hatte sie nicht bedacht, wanderte er über ihren Bauch und ihre Brust und ihren Hals und ihr Gesicht! Jetzt kreischte sie und machte ein so entsetztes Gesicht, dass ich hellauf lachen musste und zuerst gar nicht bemerkte, dass ich mich selber von oben bis unten anpisste.„Ferkel!“, schimpfte sie mich. „Dafür musst du mich jetzt lecken, bis es mir kommt!“Nichts lieber als das! Dachte ich. Aber kaum hatte meine Zunge ihre Spalte berührt, pisste sie los. Pfui! Zwar konnte ich meinen Kopf zur Seite drehen, aber mich nicht aufrichten, weil Meike schnell ein Bein über meine Schulter schwang und mich so unten hielt. Mein Gott! Wo speicherte eine so schlanke Person so eine Menge Flüssigkeit? Es hörte und hörte nicht auf. Und dazu stöhnte sie immer genussvoll „Aaah! Aaah! Aaah!“Endlich versiegte der Strahl und Meike stellte ihr Bein wieder auf den Boden. „Das war die Strafe für deine Sauerei!“, urteilte sie und wusch sich sorgfältig. Merkwürdigerweise hatte mich die vergangene Szene unheimlich geil gemacht. So konnte ich gar nicht anders, als sie schnell im Stehen zu ficken. Die Nummer entwickelte sich schnell zu einer heftigen Rammelei, dass die Duschkabine wackelte und polternde Geräusche entstanden. Die riefen natürlich wieder Valerie auf den Plan, aber Meike hatte vorsichtshalber die Badezimmertür abgeschlossen. „Ist alles in Ordnung?“, rief ihre Mutter von draußen. Es klang wie in einer der schlechten amerikanischen Fernsehserien, wo die zermatschte Leiche immer gefragt wird, ob alles in Ordnung sei. Wir gaben keine Antwort, nur die Duschkabine polterte und rumpelte weiter. „Hallo? Geht es euch gut? Was macht ihr bloß? Hallo? – Hallo?“„Was glaubst du denn, was wir machen, Mama? Wir ficken und uns geht’s super!“, rief Meike erzürnt zurück. „Und jetzt leg noch einen Zahn zu. Es ist wirklich schon spät!“ Mein Gott! War mir das peinlich und Meike im Nachhinein wohl auch, denn sie bekam einen roten Kopf. Oder war das durch den Orgasmus, der sie gerade überrollte?Wir zogen uns schnell etwas an, wobei Meike keine Unterwäsche fand und einfach so in ihre Jeans schlüpfte. Das brachte sie dann später noch in Schwierigkeiten, weil sie auch ihre Turnkleidung daheim vergaß. Als die Turnlehrerin dann meinte, sie könne ausnahmsweise auch mal in Unterwäsche mitturnen, musste sie kleinlaut zugeben, dass da leider nichts war mit Unterwäsche. Als sie mir das zerknirscht in der Mittagspause erzählte, konnte ich mich nicht mehr halten und lachte wie ein Wahnsinniger. Was für ein verrückter Tag. Erst verschlafen, dann von Meikes Mama total versaut im Bett überrascht, dann die Sache mit dem Anpinkeln, der Dialog zwischen Val und Meike durch die geschlossene Tür, tja, und dann noch das Ding in der Küche!Das war so: Wir rannten die Treppe runter und wollten schnell durch die Tür hinaus, aber da stand Val davor und schob uns in die Küche, wo sie uns Butterbrote geschmiert und zwei Tassen Kaffee hingestellt hatte. Ich kippte das Getränk schnell hinunter, verbrannte mir die Kehle, raffte das Butterbrot an mich und biss ab. Schnell weg und Valerie aus den Augen! Aber Meike ging gleich lieber zum Angriff über. Sie stand aufrecht da, nippte nur am Kaffee, schmatzte bedächtig ihr Brot und starrte ihre Mutter an, bis diese verzerrt zu grinsen anfing. Dann wandte sie sich mir zu.„Denk mal! Meine Mama fickt nämlich auch gern, und das nicht nur mit Papa, wie ich seit einiger Zeit weiß.“„Meike!“ Die Rüge verpuffte wirkungslos.„Wenn du, lieber Andy, dich bei ihr so richtig einschleimen willst, dann sag ihr, dass sie eine geile Figur hat und fick sie beizeiten. Vielleicht treiben wir es sogar einmal zu dritt! Oder, Mama?“ So aggressiv kannte ich Meike gar nicht.Die sagte mal nichts, grinste nur wie erstarrt weiter. „Und wenn du dir endlich mal die Muschi rasierst …“„Meike! Jetzt aber!“„… dann leckt er dich vielleicht auch. Andy ist ein sehr guter Lecker, wirklich! Machst du das, Andy?“„Äh – mal sehen“, wich ich aus. Valerie flüchtete in die Küche. „Wir müssen jetzt aber wirklich. Wir kommen eh schon zu spät!“ Erst Anjas Mutti und jetzt auch noch Meikes? Mann, Mann, Mann! Was kam denn noch? Allerdings gab sich Valerie nicht nur gern jugendlich – darum durfte ich sie auch Val nennen – sie war auch noch relativ jung, grad erst siebenunddreißig und dass sie eine geile Figur hatte, konnte ich ihr jederzeit sagen, ohne auch nur im Ansatz zu lügen. Aber wollte ich das auch? Jedenfalls zog ich es vor, ein paar Tage bei mir zu Hause zu schlafen, beziehungsweise bei Manu.Dann kam der Freitag.Ich traf mich mit Anja vor dem Hallenbad. Sie kam zu Fuß, denn sie wohnten nicht weit davon. In weniger als zehn Minuten waren wir da. Ich hatte überlegt, ob ich Blumen mitbringen sollte, entschied mich aber letztlich für Pralinen. Im Gegensatz zu Forrest Gump glaubte ich daran, dass man da genau wusste, was man bekam. War auch billiger als ein ordentlicher Blumenstrauß und aller Voraussicht nach, hatte ich da sogar selber was von. Das Bonbon danach – oder so ähnlich. Denn mir schwante schon, dass der Besuch etwas mit Sex zu tun haben würde. Sex mit Mutter oder Tochter oder gar mit beiden? Wie auch immer, ich war gerüstet, voll aufgeladen sozusagen. Seit mehr als zwölf Stunden hatte ich nicht mehr gefickt, nur der ‚Early morning fuck‘ mit Manu und Meike, die die letzte Nacht mein Bett geteilt hatten, besser gesagt, jenes von Manu. Bei uns war es nicht so einfach, denn da wuselten immer meine kleinen Geschwister herum, die damals vierzehn und zwölf gewesen waren. Die neugierigen Gespenster brauchte ich nicht als Lauscher an der Wand. Manu hatte zwar auch Geschwister, aber sie bewohnte allein ein winziges Apartment im Keller mit eigenem Ausgang zum Garten, während Tobias und Angie ihre Zimmer im zweiten Stock hatten. Und der Keller war ziemlich schalldicht.„Na, hör mal!“, protestierte an dieser Stelle Marina. „Wir hätten es dir schon gegönnt!“Ja, ich Trottel hatte nicht mitbekommen, dass die vier ‚Kleinen‘ damals schon rund ein Jahr lang kreuz und quer rumvögelten.Wie auch immer, ich überreichte artig meine Pralinen, bekam von Antonia einen sehr feuchten Kuss und wurde ins Wohnzimmer geführt. Dort saß am gedeckten Tisch eine jüngere Ausgabe von Anja.„Darf ich vorstellen? Das ist Belinda. Meine kleine Schwester. Wir haben auch noch zwei Brüder, aber die sind heute nicht da, übers Wochenende bei Papa, oben an der Küste.“ Belinda war wohl etwa in meinem Alter, vermutlich etwas jünger und recht zierlich gebaut. Die blonden Haare fielen wie ein goldener Wasserfall fast bis zur Taille, gebändigt von einem roten Haarband. Sie strahlte mich aus himmelblauen Augen an und lächelte. Süß! Einfach süß!„Und du musst der sagenhafte Andy sein!“, begrüßte mich die kleine Schwester und ließ ihre weißen Zähnchen blitzen. „Anja meint, du wärst etwas Besonderes und daher der Richtige für mich.“ Sie sah mich erwartungsvoll an. Antonia stand an der Tür, die Pralinen in der Hand und zögerte noch. Da war noch etwas im Busch. Ich roch es! Und tatsächlich …„Belinda ist ein gutes Mädchen. Kürzlich sind ihre Triebe voll erblüht und da dachte ich mir, es wäre an der Zeit, sie zur Frau zu machen. Mama und ich sind zur Überzeugung gekommen, dass du der beste Kandidat für ihr Erstes Mal bist. Na, was sagst du dazu?“Ja, äh, was sagt man dazu? Ich möchte ja nicht wissen, wie belämmert ich da dreinguckte. Jedenfalls war wohl mein Gesicht bei dieser Eröffnung das, was Antonie noch hatte sehen wollen. Gleich darauf verschwand sie in der Küche. Belinda war sehr, sehr hübsch. ‚Erblüht‘ waren offensichtlich nicht nur ihre ‚Triebe‘, sondern auch ihre Brüste. Unter der Bluse wölbten sich reizvolle Hügelchen. Und dazu war sie auch noch recht unterhaltsam. Man konnte mit ihr über ernste Themen reden, zum Beispiel über Politik oder sogar Fußball. Hier vertrat sie die Meinung, mit Hertha sei in den nächsten fünfzig Jahren nichts zu erreichen und auch sonst sei weit und breit in Berlin kein Verein in Sicht, der mit den Großen der Bundesliga wie den Bayern oder Dortmund mithalten könnte. Man müsse einen ganz neuen Verein gründen und mit dem durch alle Ligen marschieren. Mir war das egal, ich war, wohl auch, weil ich dort aufgewachsen war, ehe wir nach Berlin zogen, Fan von Turbine Potsdam. Ganz recht, vom 1. FFC Potsdam, dem Frauenfußballclub! Mehrfacher Deutscher Meister. Oder müsste man Meisterin sagen? Ich hielt das für einen aufrechten Frauenliebhaber nur für angemessen. Wieso sollte ich als Nichtschwuler für halbnackte Männer schwärmen? Mit dieser Meinung stand ich zwar einsam da, aber alle anderen hatten auch noch nicht gut ein halbes Dutzend Spielerinnen vernaschen können. In den drei Frauenmannschaften und den oberen Nachwuchsteams wimmelte es gerade von Sahneschnittchen, das einzige Problem war, diejenigen herauszufinden, die nicht von prüden Eltern oder zickigen Freundinnen ‚verdorben‘ waren. Sportlerinnen hatten den großen Vorteil, dass sie trainiert waren und einen ordentlichen Bums vertragen konnten. Aber ich schweife ab. Auch Belinda entpuppte sich als fanatische Fußballerin. Leider spielte sie nicht bei ‚meinem‘ Verein.Jetzt gab es aber zunächst einmal den versprochenen Sauerbraten. Wahrlich ein Gedicht! Ich haute rein, als hätte ich zu Hause seit Tagen nichts zu futtern bekommen. Antonia lobte mich. „Recht so, Junge! Ein Mann muss ordentlich essen, damit er auch seinen Mann stehen kann. Ein leerer Sack steht auch nicht!“ Bei mir stand allerdings schon was. Dafür verantwortlich war die neben mir sitzende Belinda, deren kurzer Rock so weit die Oberschenkel hinauf gerutscht war, dass ich vermeinte, ihren Slip sehen zu können. Und bei ihrer Bluse war ein strategisch wichtiger Knopf aufgegangen. Wenn sie sich bewegte, konnte ich durch den entstandenen Spalt ihre hübschen Brüstchen begutachten. Und ihre Nippel standen steif!Waaah! Es wurde eng in meiner Hose, daher konzentrierte ich mich ganz auf den leckeren Braten. Aber es war dann halt doch zu verlockend und ich riskierte einen schnellen Blick zur Seite. Puuh! Die Kleine war ganz schöb abgefuckt! Hatte sie doch noch einen Knopf geöffnet. Dass er rein zufällig aufgegangen war, glaubte ich nie im Leben. Ein geiler Einblick. Der machte mich fast noch mehr an, als wenn sie vollkommen nackt neben mir gesessen wäre. Dass es heute noch dazu kommen würde, daran zweifelte ich auch keine Sekunde. Aber ich wollte hier nicht den notgeilen Stecher markieren, obwohl ich sie am liebsten auf den Tisch geworfen und ihr die Bluse ausgezogen hätte. Und Rock und Slip auch.Anja grinste mich von gegenüber an und startete die nächste Attacke auf mich. Vorhin hatte sie sich, wie sie meinte, schnell ‚etwas Bequemeres‘ angezogen und Jeans und Pulli gegen eine Art Kimono getauscht, in dem sie sehr sexy aussah. Je länger das Essen dauerte, desto weiter klaffte er auseinander. Inzwischen konnte ich schon fast ihren Nabel sehen. Das verhinderte eigentlich nur noch die Tischkante. Unter dem Tisch spielten ihre nackten Füße mit meinen, rieben sich an meinen Knöcheln und Waden und nun arbeitete sie sich immer weiter nach oben. Auch die längsten Beine haben nicht die unendliche Reichweite, aber sie rutschte so weit auf ihrem Stuhl nach vorne, dass es ihr schließlich gelang, ihren nackten Fuß in meinen Schritt zu praktizieren. Da massierte sie meinen Schwanz, völlig ungeniert. Mir stockte der Atem, mein Schwanz schwoll und schwoll und Belinda beguckte sich das auch noch völlig ungeniert. Schließlich griff sie herüber, zog Anjas Fuß an der großen Zehe von mir weg, tippte an meine Beule und sagte: „Hm!“„Schmeckt es dir denn nicht?“, fragte Antonia bekümmert. Schnell schaufelte ich Braten, Soße und Knödel in mich hinein und murmelte mit vollem Mund, dass es köstlich sei. Normalerweise weiß ich schon, mich zu benehmen, aber allein mit drei geilen Weibern am Tisch …Endlich war das Essen vorbei und Antonia servierte Tiramisu als Nachspeise. „Das nehmen wir mit ins Zimmer!“, befand Anja, schnappte ihren und meinen Teller und ging nach nebenan. Belinda folgte mit ihrer Portion, schloss hinter sich die Tür. „Sperr lieber zu, Mama kann sonst ihre Neugier nicht bremsen.“Das tat Belinda auch folgsam, setzte sich auf ihr Bett und winkte mir, sich neben sie zu setzen. Anja fläzte sich in einen Hängesessel, der von der Zimmerdecke baumelte.„Ich sollte vielleicht erklären, worum es eigentlich geht“, begann Anja. „Belinda ist ja offensichtlich ein wunderschönes Mädchen, oder?“ Ich nickte begeistert. „Das kann ja sogar der sprichwörtliche Blinde mit dem Krückstock erkennen, umso mehr natürlich die Jungs in der Schule, im Sportverein und sogar die Pfadfinder, von den Kerlen in der Disco natürlich ganz zu schweigen. Die logische Folge davon ist, dass sie ununterbrochen angebaggert wird. Ich habe ihr aber abgeraten, da kurzentschlossen einen dieser Testosteronbomber an sich ranzulassen, weil das in der Regel nur zu Problemen führt. Entweder ist sie dann an denjenigen gebunden, der sie entjungfert oder gleich rundherum als Schlampe verschrien, wenn sie nach den ersten Versagern – und es sind fast immer Versager, weil ihnen sowohl Erfahrung als auch Gefühl fehlen – weitere Versuche unternimmt.Belinda hat tapfer alle Anmachen abblitzen lassen, aber immer schwereren Herzens. Kurz gesagt, sie wollte endlich auch Sex haben. Oder anders ausgedrückt: Sie war geil, wurde immer öfter geil und litt, weil sie damit nichts anstellen konnte. Mal von masturbieren abgesehen.“ Ich dachte mir zwar, dass sich die beiden Schwestern auch gegenseitig hätten helfen können, verbiss mir allerdings eine entsprechende Bemerkung. Ich wusste ja nicht, wie sie dazu moralisch standen.„Da hatten wir kein Problem mit!“, warf meine freche Schwester ein.„Ihr wart ja auch zu viert und hattet eine gute Lehrmeisterin“, entgegnete ich. Auf die irritierten Blicke hin, erklärte ich: „Na, die Josephine Mutzenbacher natürlich!“ Alle lachten zustimmend, nur Suli und Cora schauten verwirrt drein. Marina erklärte ihnen flüsternd, was es damit auf sich hatte, während ich die Vergangenheit gedanklich abrief, um gleich danach weiter zu erzählen.„Wir standen also vor dem Problem, Belindas sexuelle Triebe zu befriedigen und gleichzeitig ihr die Freiheit zu bewahren, mit allen Jungs zu flirten, ohne gleich mit ihnen zu bumsen, ohne Zwang oder Druck Kontakte zu pflegen und so weiter. So bin ich auf dich verfallen, denn du hast dich gut gemacht, ich hab‘ dir einiges beigebracht, glaube ich, obwohl du schon selber einige Erfahrungen gemacht und schon mehr Mädels flach gelegt hast als mancher Mann in seinem ganzen Leben. Wenn ich mir deine Beule in der Hose betrachte, scheinst du rein körperlich auf Belinda ziemlich abzufahren und aus ihrem Gesicht schließe ich, dass sie ebenfalls geil auf dich ist. Also! Keine falsche Scham! Küsst euch und alles ergibt sich.“Wir küssten uns und wollten gar nicht mehr damit aufhören. Anja machte sich währenddessen an meinem Gürtel zu schaffen und zog meine Jeans in die Kniekehlen. Auch die Schuhbänder löste sie mir und streifte mir meine Pumas und die Socken ab. Mit einer Hand streichelte ich Belindas Rücken, mit der anderen fädelte ich weitere Knöpfe aus den Löchern und arbeitete mich zu ihren herrlichen Möpschen vor. Anja zupfte auch an meinem Slip und so hob ich meinen Hintern, damit sie ihn abstreifen konnte. Die Hose ging da gleich mit und ehe ich es mir versah, war ich unten rum nackig.„Jetzt hört mal auf mit der Knutscherei!“, forderte Anja. Sie stand auf, öffnete den Gürtel an ihrem Kimono und ließ ihn über die Schultern gleiten. Darunter war sie nackt. Und frisch rasiert, wie mir schien. „Viele Männer lieben es, wenn die Frau zunächst mit ihrem Schwanz spielt, oder ihn in den Mund nimmt. Anfänger spritzen allerdings dabei oft gleich. Das ist aber keine Katastrophe, denn die Schnellspritzer sind meist auch ‚Stehaufmännchen‘. Andy ist über diese Phase schon lange hinaus, er kann auch beim ersten Mal recht lange durchhalten und – traraaa! – sein Schwanz wird wegen einmal abspritzen gar nicht erst weich! Nimm ihn einmal fest in die Hand, kleine Schwester!“Belinda guckte erst mal, dann legte sie ihre Bluse ab. „Soll ich mich gleich ganz ausziehen?“„Ganz, wie du willst. Ich persönlich finde Sex ganz nackt am besten. Kleidungsreste stören doch meist nur, Hängetitten haben wir nicht und wozu sollen Klamotten schweißig werden oder Spermaflecken abkriegen? Pudelnackt kann man am hemmungslosesten den Sex genießen. High Heels im Bett sehen zwar abartig geil aus, aber es ist nicht nur unpraktisch, sondern sogar gefährlich. Das ist nur was für Pornos. Die Pornoprofis wissen, was zu tun ist, die haben sich immer im Griff, auch wenn sie vorgeben, einen Orgasmus zu kriegen.“ Anja sprach offensichtlich aus Erfahrung, wobei ich nicht die Erfahrung einer Pornoschauspielerin meine.„Also runter mit den Klamotten!“, rief Belinda, zog den Reißverschluss an ihren Rock auf und ließ ihn fallen, streifte die Hausschuhe ab und zögerte nur kurz, ehe sie ihr schlichtes Baumwollhöschen auszog. Darunter kamen schmale Schamlippen zum Vorschein, die sauber ausrasiert waren, aber den Schamhügel bedeckte ein locker-blonder Flaum in Form eines kleinen Dreiecks. Mein Schwanz zuckte in freudiger Erwartung. Doch zuerst kam als Programmpunkt ‚Spielen und Blasen‘. Um nicht als einziger nur halbnackt zu sein, streifte ich rasch mein T-Shirt über den Kopf.Dann legte Anja los. Sie demonstrierte eine Menge Methoden, meinen Schwanz mit der Hand – oder mit beiden Händen! – oder auch nur mit den Handballen, Fingerspitzen oder Fingernägeln zu stimulieren. Auch meine Eier wurden nicht vernachlässigt. Belinda sollte alles gleich nachmachen, was sie mit wesentlich mehr Enthusiasmus als Erfahrung praktizierte. Wie ich später gelegentlich erfuhr, hatte sie vorher nur einmal bei einer Party in fortgeschrittenem Zustand der Beschwipsheit einem Jungen in die Unterhose gegriffen, aber der hatte so schwer geladen gehabt, dass er sich tags darauf an nichts mehr erinnern konnte. Gut so!Belinda wurde unter Anjas Anleitung immer lockerer und ich hatte ernsthafte Mühe, diesen ‚Lehrgang‘ zu überstehen. „Noch einmal:“, erklärte Anja, „es wird immer mal wieder vorkommen, dass der Junge schon nach ein paar Berührungen abspritzt und das furchtbar peinlich findet. Wenn du dann falsch reagierst, habt ihr beide nichts von der Sache. Lobe ihn vielleicht für die Menge, die er gespritzt hat: ‚Wow! Das ist ja enorm viel! Super, das zeugt von großer Potenz!‘, oder so was. Oder sag: ‚Gut so! dann kannst du das nächste Mal viel länger, wenn es dann richtig zur Sache geht. Da freu ich mich drauf!‘ Verstehst du?“ Belinda nickte. „Sperma finden viele eklig!“, fuhr die Lehrmeisterin fort. „Darum weigern sie sich oft, sich auf die Brüste, ins Gesicht oder in den Mund spritzen zu lassen. Ich selber finde es geil und mir schmeckt es auch. Ehrlich. Ob du das auch magst, musst du selbst herausfinden. Andy wird sicher bei der nächsten Übung abspritzen und es vorher sagen. Dann kannst du entscheiden, wohin du es kriegen willst.“Die nächsten zwanzig Minuten zeigte Anja ihrer Schwester, was man mit Zunge, Zungenspitze und Lippen alles an einem Schwanz anstellen kann. Und Belinda erwies sich neuerlich als begabte Schülerin. Die beiden leckten am Schaft, züngelten um den Eichelrand und an der Harnröhre, saugten an der Eichel und schoben sich meinen Kolben immer weiter in den Mund. Belinda machte alles mit, nur, als Anja die Kunst des Schwanzschluckens demonstrierte, musste die Kleine passen, würgte heftig und schaute unglücklich drein. „Das macht gar nichts!“, tröstete Anja. „Manche Frauen lernen das ihr ganzes Leben nicht, sogar viele Pornostars haben das nicht drauf. Man kann es auch nicht ‚einfach so‘ machen, sondern muss dazu viel üben. Vor allem aber muss man es überhaupt können wollen …“„Ich will!“, trotzte Belinda. Anja lachte stolz. Ihre Schwester war aus dem gleichen Holz geschnitzt.„Ich stehe gern als Übungspartner zur Verfügung.“ Die zwei nahmen das erfreut zur Kenntnis. Anja überließ Belinda jetzt das Feld zur Erprobung der erlernten Techniken und das machte die kleine Schwester so geschickt, dass ich nach wenigen Minuten warnen musste: „Achtung, ich komme!“ Mutig stürzte sich Belinda mit dem Mund auf meinen Schwanz und saugte ihn so tief ein, wie sie nur konnte, massierte mit der breiten Zunge und da sprudelte es auch schon aus ihr raus. Belinda war natürlich trotz allem überrascht und verabsäumte das Schlucken, sodass mein Saft aus ihren Mundwinkeln quoll. Sie grinste etwas gequält. „Sorry! Mit so viel hätte ich nicht gerechnet. Schmeckt aber gar nicht so schlimm. Da werde ich mich schon noch daran gewöhnen!“„Das will ich meinen!“, meldete sich mal wieder meine vorlaute Schwester Marina zu Wort, wozu sie Tobys Schwanz aus dem Mund nehmen musste.„Ich muss jetzt dringend pissen!“ Mühsam rappelte ich mich auf und wand mich aus dem Haufen nackter Leiber.„Ausgerechnet jetzt, wo es richtig geil und spannend wird“, nörgelte Angie.„Bin ja gleich wieder da! Versprochen!“„Wir kommen mit!“ Schon waren Marina und Angie an meiner Seite. Gemeinsam gingen wir ein Stück in den Pinienwald. Die zwei Gören demonstrierten neuerlich, dass auch sie im Stehen pissen konnten, hielten meinen Schwanz und zielten damit wieder auf einen Pinienzapfen, denn sie auf diese Weise ‚wegspritzten‘. Eine Idylle!**********************************Auch hier gilt: wer kommentiert, erhält eine Verständigung, wenn ein neues Kapitel erscheint.

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Park-Spaziergang in vollen Gummihosen

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Park-Spaziergang in vollen GummihosenIch bin heute sooo geil…Schon seit den frühen Vormittagsstunden surfe ich im Internet auf diversen Gummihosen/Adult Baby Seiten.Hier auf Xhamster hat ein Freund neue Gummihosenbilder die mit seinen Kaviar gefüllt sind eingestellt.Beim betrachten dieser Bilder bin ich plötzlich vor lauter Geilheit wie ferngesteuert und beginne wie von Sinnen zu wichsen.Ein unsagbares starkes Verlangen nach Gummihosen,Windeln und PVC-Klamotten erfüllt mich und schaltet mein Denken aus.Mechanisch,wie ein Zombie, mit vor lauter Geilheit zitternden Knien gehe ich hinab in den Keller wo sich meine geheime Fetisch-Kammer befindet. Ich kann den Schlüssel gar nicht schnell genug ins Schlüsselloch stecken,ein kurzer verstohlener Blick über der Schulter – kein Nachbar zu sehen,Dann öffne ich die Tür zu meinen Fetisch Paradies.Dort liegen sie ordentlich sortiert -das Ziel meiner geilen Gelüste, meine geliebten PVC Pants,PVC Anzüge, Plastik Hosen und Shirts,verschiedene Arten von Folienwindeln illegal bahis sowie ein paar Latexsachen. Mein blick streift eine gelbe Windel-Gummihose welche ich noch nicht nach meiner letzten Session gereinigt hatte.Um die Hinterpartie und im Schritt leuchtet es bräunlich durch da ich bei meiner letzten Scart-Session keine Windel darunter trug. (Ich liebe es das PVC pur auf meiner Haut zu spüren.) Vorsichtig und voller Vorfreude falte ich die Gummihose auseinander. Die braune Kaviarmasse ist dünn und gleichmäßig auf der feucht glänzenden Innenseite der PVC Hose verteilt und hat eine cremige Konsistenz.Ein starker Schauer von Geilheit durchflutet mich und lässt meinen Körper erzittern.Ich folge nur noch meinen perversen Trieben und schnüffel genüsslich an der cremigen Masse. Ein betörnender DuftDuft von Kaviar,Pisse und Wichse erfüllt meine Nase – mein Schwanz steht wie ein Stahlrohr und puckert verlangend.Mein Verstand setzt nun völlig aus,Testosteron steuert mich und ehe ich illegal bahis siteleri mich versehe stehe ich nackt da und steigein die saftige veredelte Gummihose. Genüsslich ziehe ich sie mir fest in den Schritt -HERRLICH- Meine sinne explodieren förmlich, ich bin in Ekstase. Das Gefühl des kühlen PVC`s auf der nackten Haut lässt wie automatisch meine Hand den cremigen Mix aus Kaviar, Natursekt und Wichssahne im Höschen verreiben.Welch unglaubliches geiles Gefühl den Mix auf Arsch, Arschfotze ,Schwanz und Eier einzumassieren. Das ist zuviel für mich und ich komme in vier kräftigen Schüben ,die Wichssahne sprudelt nur so aus mir heraus.Welch ein herrlicher Orgasmus-doch ich will mehr! Voller Geilheit ziehe ich noch eine lange rot/transparente PVC Hoseund ein PVC-Shirt -innen rotes PVC,außen schwarze Baumwolle über meine volle Gummihose und steige in meine knallenge ,kackbraune Schnürlederjeans- geil. Schnell noch eine schwarze Latex Regenjacke mit Kapuze – and ready to go…Ich canlı bahis siteleri bin so voller Geilheit in meiner glitschigen, schleimigen Gummihose das ich noch etwas Kaviar aus meinen Darm presse. Wie unter Hypnose knete ich meinen Arsch durch die Lederhose und verteile die geile braune Masse in meiner Gummihose. Tranceartig verlasse ich meinen Gummikeller und mache eine langen Spaziergang durch die Stadt Richtung Park.Das warme glitschige Gefühl der warmen Masse beschert mir eine Dauererektion. Erregt bleibe ich immer wieder stehen und drücke etwas Kaviar aus meinen Darm und schieße öfter einen kräftigen Schuss Natursekt in meine Gummihosen. Das ich hier im bevölkerten Park mit einer total mit Pisse, Wichse und Scheiße gefüllten Gummihose herumlaufe, dazu noch für die Passanten unsichtbar von Kopf bis Fuß in PVC gekleidet spazieren gehelässt meinen Schwanz hart puckern und ich spritze noch zwei mal ohne mein dazutun ins Gummihöschen ab.Nach einiger Zeit trete ich etwas erschöpft, aber glücklich und befriedigt den Heimweg an und geniesse die Arsch-massage welches mir meine mittlerweile prall gefülltes Gummihöschen beschert. Wenn euch mein Erlebnis angesprochen hat berichte ich euch gern von meinen weiterenSpielen in geilen Gummihosen…

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