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Blonde

mauvaises intentions, (achats suite)pour aller à la pharmacie,il nous faut descendre toute la grande rue,et la robe de THérèse attire de nombreux regards de stupéfaction chez les femmes et de convoitise chez les hommes, quelques sifflets nous accompagnent!Marylène n’y fait pas attention et nous entrons dans la pharmacie,ben établissement, tout en baies vitrées,bien éclairé, malgrè le soleil extérieur,une femme vêtue d’une charmante blouse rose nous accueille!-Marylène, souriante ,prend un air un peu confus!-voilà, euh, en fait j’aimerais me renseigner sur les lavements!-la femme semble un peu intriguée!oui quel genre et pour quel usage, pour qui en fait?-et bien ce serait pour cette femme, ma soeur et son coc. euh je veux dire son mari!-vraiment, la femme semble de plus en plus intriguée, surtout en découvrant la tenue très courte de Thérèse, qui reste bras ballants à contempler le sol, comme à son habitude lorsqu’elle sent la honte l’envahir!-oui, euh, c ‘est dans un but thé****utique?difficultés pour aller à la selle par exemple?-oui c ‘est cela, voilà!-donc lavement anal?-pour elle je pense qu’un lavement vaginal serait aussi indispensable!pouvez vous me conseiller?-oui§ donc pour le lavement anal,il y a deux solutions,déjà la poire à lavement, qui pourrait servir aussi pour le lavement vaginal de madame!il suffit de changer la canule ,et d ‘en mettre une plus large!elle sourit en voyant l’air honteux de ma femme ,et sinon pour le lavement anal,il y a aussi le broc qui est muni d’un tuyau terminé par une canule et muni d’un petit robinet qu’il suffit d’ouvrir pou laisser couler le liquide!-quel volume me conseillez vous?-oh pour la femme ne dépassez pas 3 litres et le jeune homme pourrait absorber jusqu’à 5 litres je pense!voulez vous que je vous présente le matériel?-volontiers!dommage qu’on ne puisse pas faire un tout petit essai je ne sais pas trop comment m’y prendre!-je vois , c’est vous qui allez leur donner?-Marylène s’approche de la femme et lui murmure à l’oreille suffisamment fort pour que nous puissions entendre:il s’agit en fait de soumission!c’est un petit couple soumis où disons en phase de soumission!-la pharmacienne ouvre de grands yeux et murmure à son tour:-oui je me disais aussi!!! tout s’éclaire!!c’est assez amusant en fait, c’est la première fois que je suis confrontée à ce genre de situation!-j’espère que je ne vous choque pas?-pas du tout, je suis plutôt curieuse, dommage que mon mari ne soit pas là!!!mais je lui raconterai!!!et, euh!! en fait si vous voulez que je vous montre rapidement comment on pratique,euh!!! passez donc derrière, et elle nous fait passer dans l’arrière boutique où sont stockés les réserves !-vous êtes très aimable,voulez vous que Thérèse enlève sa petite robe?-et bien oui ainsi que sa culotte(elle n ‘a pas encore remarqué son absence)-elle ne porte rien sous sa robe ce sera encore plus rapide s’amuse Marylène!allez vite, à poils!-Thérèse obéit aussitôt et la voici nue !-il faudrait l’allonger sur cette table, que je vais débarrasser!une jeune vendeuse fait son entrée: -madame il me faudrait!!! (elle découvre la scène)oh mais que!!! elle est toute nue!!!rires!!!ce n’est rien, juste un essai de poire à lavement!!! canlı bahis şirketaleri ah euh bon!-prend ce qu’il te faut et si tu n’as plus personne à servir tu peux venir voir la démonstration ,ça pourra te servir!!!-oh oui je reviens!-allonge toi,Thérèse ordonne la femme sur le coté et ouvre les jambes, décontracte toi,elle remplie la poire directement au robinet!-je vais lui mettre une noix de vaseline!elle prend un petit tube et le presse sur son index,qu’elle pose délicatement sur la rondelle de ma femme!puis d’un mouvement tournant,elle enduit son anus de crème, et enfile son doigt en continuant le mouvement tournant!elle le ressort,le mire !-il y a des petites crottes en chocolat dedans ironise t elle!son doigt est légèrement maculé de merde!-faites vous lécher le doigt par son cocu,(cette fois ci elle n’hésite pas à employer ce terme)!un peu surprise , elle me tend son index que je m’empresse de sucer en effaçant les traces brunes de ma langue!-c ‘est bon cocu?tu aimes la merde de ta petite femme?-je rougis!euh!! je!! oui Marylène!!!la femme approche alors la canule du trou du cul de Thérèse et tout doucement lui enfile!-ça entre bien vous voyez, ensuite il suffit d’appuyer sur la poire pour injecter le liquide, ce qu’elle fait , et je vois mon épouse qui a un peu sursaut en sentant le liquide envahir son rectum!-voilà, elle vient d’en prendre environ 30 cl, évidemment avec cette poire vous devez vous en occuper vous même!tandis qu’avec le broc ,vous la branchez et vous pouvez vaquer à vos occupations, en la surveillant de temps en temps!!!rires!!!-combien de temps faut il laisser le liquide dans leur intestin?-oh, il faut que ça agisse, mais ne dépassez pas une heure, et de plus ça dépend de leur capacité à résister à l’envie de… de.. enfin vous m’avez comprise!!!riresje crois que nous allons prendre les deux versions!et pour le lavement vaginal?-et bien regardez je mets une canule plus large, et!cette fois ci il faut mieux que cette personne se mettre sur le dos cuisses écartées!-tu as compris Thérèse?-ma femme se retourne et se met sur le dos!-tiens Adeline puisque tu es là enfile donc la poire dans son sexe et montre nous comment il faut s’y prendre!-la jeune vendeuse qui était revenue , le visage presque aussi rouge que celui de ma femme, s’empare de la poire,après l’avoir de nouveau remplie, elle introduit le bout entre les lèvres sexuelles de Thérèse!-vas y enfile la bien au fond, ça ne craint rien du moment que tu y vas doucement!la fille s’exécute et voici mon épouse avec l’embout enfilé dans son conin, seule la poire dépasse!allez vas y presse lui ordonne la femme!j’imagine le liquide qui gicle au fond de son vagin!-les prostituées utilisent beaucoup cette technique entre leurs passes!votre soeur fait elle partie de cette euh catégorie professionnelle? -non! s’esclaffe Marylène, mais elle en prend quand même pas mal!!!rires!!!je vous fais grâce d’essayer sur le cocu, je le ferai moi même lance Marylène en me regardant, nous avons assez abusé de votre temps!eu fait j’y pense, pourriez vous aussi me vendre des couches culottes pour adulte?-pour eux?-oui, ça pourrait être amusant aussi de les faire faire dedans ,et j’imagine la canlı kaçak iddaa petite cérémonie à l’heure de l’apéritif avec nos amis,le changement de couches , ça ferait un intermède rigolo!-la femme est carrément hilare!-oh! vous avez des idées vraiment originales en matière(c’est le cas de le dire) de distraction!-Marylène sourit !oui je crois que je ne manque pas d’imagination!-je vous mets deux paquets de couches,je suppose que vous saurez leur mettre?hihi!-je vous remercie, cocu sort ta carte et règle la gentille dame!-à l’occasion dîtes moi comment se sont passés leurs premiers lavements, ça m’intéresse!-donnez moi votre mail et je vous enverrai des images!!!-oh merci beaucoup!je vous fait cadeau des paquets de couches!très sympa merci!nous nous reverrons, lance Marylène en lui faisant un clin d’oeil complice!nous quittons la pharmacie, Therèse a encore 30cl de liquide dans le rectum, je la vois qui grimace un peu!-tu te libéreras à la maison ma chère soeur, encore un peu de patience , il nous faut récupérer nos colliers!nous redescendons la grande rue ,toujours sous les yeux des badauds qui louchent sur la mouvement de la robe , et surtout sur les fragments de fesses qu’il peuvent apercevoir ,surtout qu’une légère brise s”est mise de la partie!Thérèse qui essayait de tenir l’ourlet de la robe se fait gifler par sa soeur!-laisse la remonter si elle remonte!Thérèse relâche l’ourlet qui se met à flotter gentiment, et se relève par instant, et là c’est tout le cul de ma femme qui est dévoilé!nous voici au magasin!-j’ai terminé lance la femme tenez voici vos jolis colliers gravés à vos noms!en relief et en noir sur le cuir ocre:Thérèse la salope!Bruno le cocu!-très joli la félicite Marylène!mais vous n’aviez pas vue Thérèse avec sa nouvelle robe!- en effet!oh jolie mais courte!!! surtout en ville, vous devez avoir du succès!-surtout elle, depuis que la brise s’est levée on voit la lune en plein jour!!!rires!!!-au fait vous avez dit tout à l’heure que ce serait humiliant d’être promené en laisse mais ils étaient habillés,quand je leur ferai leur promenade ce sera nus!-vrai?s’esclaffe la femme! tous nus, les deux? oh j’espère que je verrai cela-et bien, mettez leur donc leur colliers comme tout à l’heure et faites faire un tour de magasin à Thérèse, mais cette fois toute nue!allez toi vire ta robe!-ma femme se dénude encore une fois!-la femme dont le visage à rosit un peu s’empresse de fixer le collier au cou de ma femme, la laisse dessus, et la voici qui la traîne dans les allées, nue offerte aux regards!-je peux faire une petite photo ?-allez y tant que vous voulez!et n’hésitez pas à la diffuser si ça peut vous faire de la pub!!! rires!!!elle est déjà bien exposée sur le net alors une de plus ! et puis c’est original cette situation je trouve!!! -très!!! et c’est assez excitant aussi je dois l’avouer!-vous savez pour elle aussi en fait et même pour son cocu!je suis sûr qu’elle mouille abondamment là, vous pouvez même vérifier par vous même si vous voulez!-vraiment? je peux?-allez y ne vous gênez pas, elle a l’habitude!-alors la femme glisse sa main entre les cuisses de Thérèse et je vois son index qui s’introduit dans le sexe de mon épouse qui se laisse canlı kaçak bahis doigter sans broncher!-elle est trempée constate la femme en ressortant son doigt!-et son cocu c’est la même chose je suis sûre qu’il bande!-vous voulez voir?-euh! oui pourquoi pas!-allez déculotte toi cocu, baisse ton froc et ton slip et vite!-je n’ai même plus la volonté de protester, vaincu d’avance, d’une main tremblante, en espérant que personne n’entrera, je baisse mon pantalon, puis mon slip à mes pieds,découvrant ma zig à demi dressée!-eheh!comme c’est mignon, en effet il bande un peu moi mais on voit bien qu’il est excité le cochon!-ce n’est rien ,il faut le voir quand il assiste à la baise de sa femme!il adore ça la voir se faire mettre par d’autres, alors là sa petite bite de cocu est toute droite et bien dure!!! hihi rires!!-c’est vrai qu’il a une petite bite de cocu!-bien ils nous faut maintenant rentrer,nous nous reverrons sans doute!je vous donnerai de nos nouvelles comme convenu pour assister à leur défilé!!! rires!!!après un retour très chaud sous les regards des badauds, nous arrivons à la voiture!-prend le volant cocu, je monte à l’arrière avec ma soeur!je démarre en jetant un coup d’oeil dans le rétro, Marylène s’est lovée contre sa soeur, elle lui relève la robe et pose sa main très haut sur ses cuisses,puis prenant le menton de ma femme entre ses doigts,elle approche son visage du sien, en pose délicatement sa bouche sur la sienne!-là je me mets à bander vraiment!-écarte!lui intime Marylène, les cuisses s’ouvrent:-écarte encore, écarte bien à font, ouvre toi!je vois les cuisses de ma femme largement écartées ouvertes, son sexe bien visible, Marylène commence à lui caresser l’intérieur des cuisses en faisant aller sa main de haut en bas de droite à gauche puis sa main se pose sur son pubis encore glabre!vivement que tes petits poils repoussent ,je crois que je préfère ton minou poilu!!! elle glisse son index entre les lèvres de mon épouse qui a fermé ses beaux yeux bleus!puis Marylène sort un petit bout de langue rose et le passe délicatement sur les lèvres de ma femme qui entrouvre sa bouche!Marylène colle alors sa bouche à la sienne et je devine le combat de langues qui s’enroulent et se lèchent dans leurs bouches respectives!en même temps je vois qu’il y a maintenant trois doigts dans le con de ma femme , et le pouce qui caresse en même temps son bouton!ma femme commence à couiner en embrassant sa soeur, je vois son bassin qui ondule et ses hanches qui se balancent , elle se colle à sa soeur et pousse son ventre au devant de la main qui la branle!! -hummm ohh hummm ouiii ouiii ça vient , je viens ,c’est bon!!!Marylène je t’aime!!! -tu feras tout ce que je veux?-oui tout tout ce que tu veux!!!-tu m’obéiras?-oui tout ce que tu veux!! plus vite plus fort!!! ouii finit moi!!!je vois la main de Marylène qui accélère son branle, et ma femme bredouille houmm oui ça y est oui ça y est de plus en plus fort!! ça y est je jouis !!! hummm et elle se jette sur sa soeur en l’embrassant à pleine bouche!!!-bous sommes arrivés devant notre pavillon!ma femme respire fort!Marylène lui fait lécher ses doigts en lui souriant, puis après un dernier baiser furtif sur la bouche de sa soeur, elle nous quitte!-prend bien soin de nos emplettes!demain mercredi, le matin vous serez tranquilles, mais n’oubliez pas que l’après midi vous avez de la visite!!! hihi!!! trois petits coquins et leur maman!! je serai là aussi bien sûr! bonne nuit!

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Une préparation, des surprises

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Amateur

Une préparation, des surprisesElle est dans le train, sa journée se termine enfin, aussi étrange qu’elle ait pu être. Son esprit était ailleurs, elle pensait aux retrouvailles avec son homme. Ça fait plusieurs jours qu’elle se dit qu’elle a envie de faire quelque chose qui sorte de l’ordinaire, quelque chose qui le surprendrait lui qui a toujours un cran d’avance. Seulement aujourd’hui, malgré elle, toutes ses pensées envers son homme étaient érotiques. Rentrée chez elle, pour provoquer son inspiration, elle tape sur Google « surprendre son homme ». Elle clique sur un lien qui a l’air d’être un forum mais cela renvoie vers une histoire. Une histoire érotique. Quand elle s’en rend compte, elle est sur le point de fermer la page, elle ne pense pas que ce soit son genre, ce n’est pas ça qui l’excite se dit-elle. Pourtant elle ne clique pas sur la croix. Elle lit la première ligne qui lui semble sobre puis, la seconde, et avant qu’elle ne s’en rende compte, elle accroche au récit de cette femme qui lui semble si sensuelle, si entreprenante. Sa capacité à créer un contexte, à la fois romancé et excitant, la trouble. Elle se demande si elle en est capable, si son homme aimerait un tel traitement. Une part d’elle est excitée, une autre a peur de l’échec, du ridicule qui vient après avoir dévoilé une partie de son intimité sans atteindre le but recherché. Elle sait pourtant que son homme aimerait qu’elle soit plus entreprenante, elle sent qu’elle en a envie elle-même. Elle regarde l’heure, il doit arriver dans deux heures. C’est largement le temps de tout préparer. Elle va dans son armoire, regarde les tenues qu’elle a et qui pourrait être sexy. Elle voit les costumes coquins mais non ce soir ce n’est pas ce genre qu’elle veut, ce soir c’est le triomphe de la sensualité. Son regard s’arrête sur sa guêpière, voilà qui lui semble plus adapter. Elle la sort, récupère des bas pour les attacher à son porte jarretelle. Elle se déshabille, et en même temps, regarde son corps dans le miroir. Elle détaille tout et constate que son épilation pourrait être améliorée. Ce soir il ne doit y avoir aucune fausse note. Elle file se raser rapidement, prenant un soin particulier autour de son sexe. Elle le sent réagir illegal bahis à toute cette préparation. Une fois fini, elle récupère ses bas, sa guêpière et les enfile. Elle se regarde à nouveau dans le miroir. Une voix au fond d’elle se dit « quelle femme ! » Elle se surprend à se regarder, à apprécier l’image qu’elle renvoi d’elle. Ce n’est pourtant pas fini ! Les escarpins l’attendent, lui donnent de la hauteur, de la féminité. Elle se demande quel sous vêtement mettre… Les strings n’ont jamais été sa tasse de thé, ce serait bête de gâcher l’effet avec une culotte non adapté… A côté elle voit une jupe, très élégante très sensuelle, elle se demandait dans quelle occasion elle pourrait la mettre. Elle n’aurait jamais imaginé ce contexte mais elle avait envie de se sentir femme, ce soir plus que jamais. Elle enfile donc cette jupe pour l’essayer, se regarde à nouveau, elle est ravie de l’effet ! Tant pis pour la culotte, après tout la jupe est assez longue il n’y a aucune chance pour qu’on puisse voir quoi que ce soit. Son homme lui avait déjà parlé d’essayer de sortir sans culotte mais pour elle comme pour lui ça paraissait impensable d’essayer. Elle n’en revient pas elle-même du culot qu’elle a, mais ça lui provoque une certaine euphorie. Elle récupère un soutient gorge en dentelle ampliforme, un top qu’elle rentre dans sa jupe. Sa taille est marquée, sa poitrine est mise en valeur sans la montrer. Elle se regarde à nouveau et n’en revient pas. Il ne manque plus que le maquillage !Après quelques minutes elle regarde sa montre il lui reste du temps, elle avait déjà acheté une bouteille de champagne, elle se demande ce qu’elle va bien pouvoir faire… Qu’est ce qui pourrait encore plus exciter son homme… Ca y est ça lui vient… Elle récupère dans sa boite de sextoys son œuf vibrant télécommandé. Elle remonte sa jupe, allume l’œuf et l’insère. A ce moment elle croise son regard dans le miroir, une part de honte et d’excitation la prend. Elle prend la télécommande et active l’œuf pour vérifier que ça fonctionne. C’est le cas… mais que fait donc son homme ! Elle prend son portable, l’appel. Elle ne veut rien laisser paraitre. Ce doit être une surprise. « Où en es-tu ?-Je suis bientôt rentré illegal bahis siteleri mais vu qu’il fait bon, que ça fait longtemps, ça te dit pas de prendre un verre plutôt ? »Vraiment se dit-elle ? C’est ce soir qu’il me propose ça ?! Il insiste, elle ne voit pas comment refuser, il y est presque, elle doit partir maintenant pour l’y retrouver…Elle hésite à se changer mais elle se dit « Merde tu n’as pas fait tout ça pour rien ! De toute façon tu n’as pas le temps ! »Elle prend son sac à main et file en direction de leur bar. Elle descend les marches de l’escalier pour se retrouver dans la rue, elle sent l’œuf bouger en elle. Elle rougit. Elle pense que tout le monde la regarde, elle se rappelle alors qu’elle n’a même pas de culotte. La honte la submerge d’autant plus qu’elle sent, en son sexe, l’excitation se développer. Arrivée au bar sur une petite place elle y voit son homme. Elle voit dans son regard une interrogation ainsi qu’une admiration. Sur ce dernier point elle est ravie, l’effet est à la hauteur de ce qu’elle espérait. Elle se dit à elle-même « et encore tu n’as rien vu mon amour ! ». Ils s’embrassent, prennent une table. La question était prévisible, il lui demande :« Tu es magnifique dans cette tenue, on fête une occasion particulière ?-Non j’avais envie de te surprendre, de te montrer que je sais être une femme sexy en restant élégante ! Alors tu en penses quoi ?-J’en pense qu’on ne va pas rester prendre notre verre trop longtemps !-Non cette fois c’est différent ! Cette fois j’ai envie de profiter de prendre notre temps !-Tu rigoles ? Je suis sûr que même toi tu en meurs d’envie !-Ah ah oui mais justement, et tu verras si tu résistes tu auras de sacrées récompenses !-Ah plus que la belle vue que j’ai là ?-Oui et d’ailleurs en voilà une première…Elle fouille dans son sac et récupère la télécommande de l’œuf vibrant et lui dit : « Tu peux y aller il est allumé et prêt à me faire vibrer… »Il prend alors la télécommande et l’active à sa vitesse maximale, elle ne peut se retenir d’un petit bruit alors qu’un jeune couple s’asseyait à la table juste à côté. Il rigole, elle aussi, les deux se regardent avec une envie passionnelle. Il joue avec les variations alors que canlı bahis siteleri le serveur demande la commande. Il annonce son choix et la regarde dire le sien en modifiant les vibrations. Une fois le serveur parti il demande à sa femme ce qu’elle a prévu pour la suite. Elle laisse planer le mystère, lui demandant si déjà il n’en a pas eu assez… Elle regarde autour d’elle, la table est suffisamment cachée par celle des voisins, elle se met à lui faire du pied, montant régulièrement un peu plus haut. Après un énième regard elle s’ose à mettre son pieds jusqu’entre les jambes de son homme, elle veut vérifier son excitation. Force est de constater qu’il réagit à l’effet.Le verre fini ils appellent le serveur, lui ne peut pas aller payer comme ça, avec cette bosse qui lui déforme le pantalon. Le serveur fait la monnaie et les laisse. Le couple attend un moment, la femme se penche en avant, son homme l’imite se demandant ce qu’elle veut lui dire. Elle lui chuchote :« Tu veux savoir le pire dans tout ça ? Je n’ai pas de culotte… » A ces mots elle se mord les lèvres, le regarde et se lève. Son regard à lui est à la fois perplexe, sauvage, plein d’envies. Il se lève, prend sa veste sur l’avant-bras et le place devant lui cachant la bosse. Il la ratt****, et lui demande si elle est sérieuse, elle lui répond : « Tu pourras bientôt vérifier… peut être… » Ils arrivent dans leur immeuble, dans l’ascenseur il la plaque contre le mur sa main dans sa nuque, il l’embrasse avec passion. Son autre main parcours sa taille, descend vers ses fesses, il ne sent rien, il la dirige vers l’extérieur des cuisses, il sent la jarretelle. Il lui dit :« Ô toi, ce soir la nuit sera courte ! ».Elle le repousse alors que les portes s’ouvrent, et lui dit : « N’oublie pas, prends ton temps sinon pas d’autres surprises ! Et j’en ai un paquet d’autres ! -Ce n’est pas possible… -Tu veux prendre le risque… ? » Elle sort victorieuse de l’ascenseur, elle est fière d’elle, fière de réussir à surprendre à ce point son homme. Elle attend à côté de la porte que son homme ouvre, comme ils en ont l’habitude. Une fois la porte ouverte elle entre dans l’appartement et lui dit : « J’ai mis du champagne au frais, tu nous sers ? ».Il ne dit rien, son excitation est frustrée mais aussi renforcée. Il va chercher la bouteille dans le frigo, prend des verres et les amène sur la table du salon. Il sert les verres, elle en prend un et lui demande :« Alors comment trouves-tu ce début de soirée ?

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Bdsm

TénérifeJe m’appelle Sylvie et j’ai un copain. On est allés à Ténérife car il voulait du temps pour changer d’air. J’ai regardé sur le net, les voyages et ma sœur Valérie est venue avec un ami Lionel. Ce dernier, nous connait bien puisque nous sommes toutes deux hôtesses de l’air à Marignane. Il nous sert de chauffeur. Je pense aussi que ma sœur Val se tape Lionel parfois. Car à nos escales, elle aime parler de cul, de sexe et en connait trop pour ne pas dire qu’il y a anguille sous roche.Enfin le grand jour est arrivé, nous sommes allés prendre l’avion, Val, Lionel et moi nous avons discuté, tandis que mon mec ne cessait pas d’appeler et de recevoir des appels. Quand je lui demandais qui c’est, il me disait :’’ c’est Maman ou la famille’’ Bref un séjour pour se retrouver commence mal, dans l’avion, mon mec était insupportable. Arrivée à l’aéroport, il ne m’a pas adressé la parole (là tu réfléchis :’’merde qu’est-ce que j’ai fait de travers’’, enfin. Devant son comportement je suis allée m’asseoir avec ma sœur et Lionel. On était au fond du bus, Val a embrassé Lionel et a sorti sa queue pour le sucer. J’ai rougi mais j’ai quand même maté la grosse bite (un peu épaisse de mon homme) que ma sœur suçait tranquillement sans se faire repérer par le chauffeur. Pour la 1ère fois, depuis longtemps je mouillais comme une salope et je voulais moi aussi toucher ce gros dard. Lionel m’a regardé et je ne sais pas ce qu’il s’est passé, je l’ai embrassé (j’ai la tête sur les épaules mais là j’avais envie), ma sœur n’a pas eu le temps de finir, le chauffeur arrivait à notre hôtel. On a eu chacun sa chambre (nous au 202) et Lionel et Val ( au 501).On a pris du temps pour nous rafraichir et généralement quand j’arrive dans un nouvel endroit, j’ai envie de baiser. Je me fous à poil et hop on baise. Là, nue devant lui, il me dit j’ai mal à la tête et il va faire un tour. Je me retrouve comme une conne à poil. Je m’habille, je sors de la chambre et je décide d’aller voir ma sœur pour qu’on aille se promener. Je frappe sur la porte et Val vient m’ouvrir nue, Lionel est en short débardeur sur la terrasse qui donne sur la mer. Je lui dis que je repasserais, elle me dit :’’ non attends je suis fatiguée et tu peux aller avec Lionel pour quelques courses à Lidl qu’on a vu quand on est passé dedans’’, je lui ai répondu :’’d’accord’’Lionel et moi on est sortis de l’hôtel et ce dernier m’a dit :’’on va découvrir un peu l’endroit avant de faire les courses’’. Sur le chemin, je lui demandais de me pardonner pour le baiser, il m’a répondu :’’c’était güvenilir bahis délicieux et en plus tu es sexy’’. Encore une fois j’ai rougi. Après un petit moment, on est arrivé face à quelques rochers dans l’eau. L’eau était transparente. Il m’a dit : ‘on met les pieds dans l’eau’’, j’ai répondu :’’oui’’. Il y avait beaucoup de galets, et la petite crique passait juste sous le chemin volcanique. Nous avons enlevé nos chaussures, j’avais peur de me casser la figure, il m’a pris dans ses bras et m’a déposé sur un rocher et m’a aidé à descendre, l’eau était un peu froide mais ça fait plaisir de se mouiller les pieds. En sortant j’ai glissé et il m’a retenu par le bras, je suis tombée sur lui. Tout est allé vite. J’avalais ma salive, il m’a regardé et m’a embrassé. C’est devenu dingue, il a enlevé son tee shirt, j’ai caressais son torse, j’ai enlevé le mien, fait glisser mon soutien-gorge, j’ai soulevé ma jupe, il a mis un doigt à mon sexe, j’ai descendu le short et le caleçon vite, et j’ai sorti sa grosse bite (je l’ai bien senti en mains), et je l’ai dirigé vers ma chatte. On s’embrassait, seins contre sein et j’aimais ses coups de queue en moi (hummmmmmm), il a embrassé mes seins, mordillé les tétons (quelle sensation). On a ralenti le tempo pour mieux apprécier, je sentais ses mains sur mes fesses, sa bite grossissait encore plus en moi. Des va et vient de folie, il m’a mis la main devant la bouche car on entendait les badauds qui s’extasiaient sur le paysage alors qu’en dessous d’eux, c’était la débauche. Je voulais qu’il me défonce l’anus mais des voix venaient vers nous. On a rangé l’attirail et on s’est habillés à la vitesse de l’éclair. On est resté là à s’embrasser malgré que 3 femmes et 2 mecs allaient un peu plus loin. Je lui ai dit :’’j’ai trop envie de sentir ta bite en moi et dans mon cul, mes seins ont besoin, j’ai envie de faire milles choses avec toi’’, il m’a répondu ‘’moi aussi, j’ai très envie de toi’’. On est resté 15 mn l’un face à l’autre en s’embrassant et en nous caressant tendrement. Putain j’avais trop envie mais les autres personnes étaient trop près pour envisager une longue baise. J’ai quand même poussé mon string délicatement pour mettre sa bite en moi avec des petits mouvements de bassins pour ne pas se faire dépister par les autres cons. Les autres cons sont repassés, on a fait un grand sourire, sa bite en moi au chaud. Dès qu’ils sont partis, hop je me suis appuyée face à la falaise et il m’a pénétré par la rondelle (une pure merveille). J’avais un petit cul serré türkçe bahis et là il a été bien dilaté, il m’a caressé le corps, les fesses, écraser mes seins qui n’attendaient que ça, il s’est penché pour me donner sa langue (hummmmmmmmmmmmmmm), après quelques coups il a éjaculé dans mon fion. Quel plaisir pour moi. Il s’enlevé de moi , j’ai sucé le reste de sperme chaud et on s’est embrassés passionnément. On s’est habillés pour aller faire les courses, et il a pris un kleenex et m’a délicatement essuyé le trou et m’a remis mon string en place tout en passant la langue sur ce dernier. J’étais encore plus excitée mais il fallait faire avec. Nous sommes allés au supermarché tout en tenant par la main et quelques baisers ici et là. J’avais oublié la réalité.Au retour des courses, on est allés chez Val qui nous a dit d’un air moqueur :’’dis donc ça fait beaucoup de temps pour des courses’’, j’ai répondu :’’euh, beaucoup de monde’’, elle m’a répondu :’’ non petite pute, tu as baisé c’est ça la vérité’’. J’ai dit :’’tu déconnes’’, elle m’a coincé contre le mur, a glissé sa main sur ma jupe, l’a fait glisser et enlevé mon string. J’étais un peu mal à l’aise, en regardant mon string, elle m’a dit :’’ mouillée à mort la salope de sœur’’, j’ai repris le dessus et j’ai avoué :’’oui j’ai baisé et j’avais trop envie’’ et je lui ai rajouté :’’Toi la petite salope, un peu de respect envers ton ainée, et fout toi sur le lit et écarte bien ton minou, je vais t’en donner de moi et petite pute’’. Je suis mise à poil, j’ai vu Lionel, il m’a embrassé avec fougue, je suis venue vers Val et je me suis mise à lui lécher sa chatte, tandis que j’étais en levrette pour la suite. Lionel m’a tiré par les cheveux, quelques claques sur mon cul et moi je suçais la chatte de ma sœur tout en lui pinçant les seins avec mes ongles. Elle Me caressait le visage, je l’ai embrassé tout en enfonçant 2 doigts dans son minou pour aller plus loin et faire jouir la salope. Je sentais les coups de queue dans ma chatte et Lionel a craché dans mon anus et y a fourré un doigt (quel délice). Puis on s’est mis toutes les deux en 69, j’ai caressé ses jambes et son sexe et elle, elle léchait mon abricot ainsi que la bite de Lionel, ce dernier sortit sa bite de mon minou et l’entra dans la bouche de Val, qui parut s’étrangler avec l’énorme bite. Puis je décidai que la Salope devait avoir la bite dans sa grotte, j’ai fait signe à Lionel de la prendre en levrette tandis que je pressais mes seins debout face à Lionel. On s’embrassait tous les deux tandis que la salope güvenilir bahis siteleri en prenait son grade. Pendant qu’il m’embrassait, il me doigta et je lui donnais mes doigts à sucer en les trempant dans ma mouille. Je poussais mes cheveux blonds afin de caresser de ma langue son pénis et en léchant par-dessus le petit trou qui allait recevoir la dynamite. J’ai craché sur le fion de ma sœur, pour que le gros engin puisse bien entré. Il est entré dans délicatesse et je suis venue donner à ma sœur des friandises, mes seins durs. Je sentais sa douce langue et ses dents pincer mes tétons. Je l’ai un peu relevé pour que nous puissions nous embrasser et en lui chuchotant à l’oreille :’’ma petite salope de sœur chérie est une vraie pute maintenant’’. Puis à force de va et vient, Lionel a éjaculé dans le petit fion élargi. Val s’est retourné pour avaler le reste de sperme (tiens une geste coquin de famille). Lionel m’a dit : ‘’je veux te faire plaisir’’, il s’est mis sur le dos, je l’ai embrassé et j’ai mis mon sexe face à sa bouche et il m’a fait un cunni de fou, je mouillais toujours plus, et il avalait et me suçait, Val lui léchait la bite qui recommençait à grossir. Elle lui léchait les testicules, un à un et ainsi que le cul de Lionel. Moi j’étais aux anges, je sentais mon corps sursauté par des mini orgasmes et Lionel suçait, avalait ma mouille importante. Ses mains caressait et écrasait mes seins, il mit son pouce dans mon anus qui déclencha une réaction excessive d’excitation comme je n’avais jamais connue. Nos mains se touchèrent, s’enlacèrent, je caressais son visage. Je penchais mon corps en arrière pour qu’il puisse bien me lécher. Et je sentais monter petit à petit une jouissance hors norme. J’étais en chaleur, je transpirai bcp, mes seins durs comme la pierre et mon entre jambe en feu, je suçais ses doigts comme une cannibale, je voulais tout lui donner au-delà de la folie et enfin j’explosais avec des jets de mouilles incroyables sans un orgasme intense. J’ai essuyé ma mouille de son visage et nous nous sommes embrassés d’un long et intense baiser. Lionel a repris ses esprits et a recommencé le même schéma avec Val qui a explosé tout comme moi tandis qu’à mon tour j’ai chéri son membre puissant. Nous nous sommes allongés moi du côté gauche et Val du côté droit et on s’est longtemps caressés. Et enfin, le rêves de tous les mecs, se faire sucer la bite dans 2 meufs. Ça a été le meilleur dénouement. Enfin quand j’ai retrouvé mon grognon de mec, rien n’avait changé, lors du repas commun, Val et moi, nous faisions des trucs salaces avec la bouffe pour Lionel que mon homme n’a pas remarqué le pauvre con. Mon escapade sexuelle et torride qui s’est reproduit plusieurs fois pendant mon séjour dans divers lieux, la plage, une randonnée etc…

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Bonne partie de jambes en l’air pour me faireCoucou c’est votre grosse chienns, me revoilà pour vous raconter une autre de mes histoires coquines ! Et, après avoir maté ce joli couple, cachée derrière une fenêtre, il était temps que je vous raconte une aventure dont je suis l’héroïne principale ! Ca s’est passé y a pas si longtemps que cela. Je suis en couple avec Eric ; mon gentil chéri. Et même s’il m’arrive souvent de le tromper car j’aime bien pouvoir tester plusieurs queues, je reviens toujours à la sienne car il sait me faire grimper aux rideaux. Ce matin, j’avais été vilaine car j’étais allé voir mon pote de promo, un petit plan Q avec qui je m’amuse entre deux cours. Nous étions allés dans sa garçonnière et durant une heure, il m’avait bien limé la chatte, après que je l’ai sucé durant une vingtaine de minutes…j’aime tellement ça, sucer, que je pourrais le faire durant des heures entières, dommage que les gars aient du mal à se retenir de jouir lol ! Donc petite baise sympa avant de revenir bosser, il avait éjaculé dans mon minou et du coup je sentais son petit jus en moi qui coulait dans ma culotte alors que j’étais en train de suivre le cours, je le regardais en souriant, lui faisant signe que la prochaine fois, c’est sa queue qui coulerait dans son caleçon !Donc le soir, arrivée chez moi, je m’en voulais un peu en arrivant car je voyais qu’Eric m’avait préparé une jolie table romantique güvenilir canlı bahis siteleri ; alors que moi j’avais été bien salope avec lui. Comment faire ? Je décidais de me faire pardonner immédiatement. A peine entrée, je le faisais s’asseoir sur notre canapé et je lui retirais son pantalon, puis son boxer et je dévoilais son bel engin, son membre déjà un peu dur et gonflé. Il était ravi d’une telle attention, ne sachant pas que je faisais ça non seulement car j’aimais pomper, mais aussi pour m’excuser. Je faisais donc durer son plaisir en léchouillant son gland, du bout de ma langue, tout en le regardant en souriant. Puis je le gobais, plusieurs fois d’affilée, pour l’humidifier, tout en le branlant doucement. Puis, toujours en gardant le meilleur pour la fin, je fis glisser ma langue le long de sa hampe, plusieurs fois avant d’aller la nicher entre ses deux testicules ; puis je les léchais, lentement, donnant de grands coups de langue comme une chienne ; tout en lui branlant la queue lentement. Eric était aux anges ! Puis n’en pouvant plus de le voir se tortiller, je lui avalais la pine cette fois ci directement, le suçant le pompant et salivant sur son sexe comme la salope que je peux être ; il se mit à gémir de plus en plus fort, comme chaque fois, et c’est toujours le signe qu’il peut jouir à n’importe quel moment. Mais moi j’avais envie d’un peu de sexe avec güvenilir illegal bahis siteleri lui. Problème, impossible de le faire aller dans mon minou car j’avais encore des traces de sperme de ce matin, ça marquait mal…. Heureusement mon chéri sait que j’aime une chose plus que tout, c’est de me faire enculer, et ça arrive pas si souvent que ça. J’ai donc léché mes doigts et tout en le pompant, j’ai commencé à doigter mon petit cul, sous le regard intéressé de mon chéri qui savait où je voulais en venir, et qui sait aussi que l’étroitesse de mon anus est un véritable délice. Après quelques minutes d’introduction de deux doigts, il était prêt ! Je me suis donc retournée, après avoir lâché la queue bien raide de mon homme, et je me suis allongé tête vers le sol, cul bien dressé en l’air en le remuant lentement.« allez mon chéri viens te vider les couilles dans mon trou du cul »L’invitation était lancée. Eric ne s’est pas fait prier et il s’est redressé, mouillant un peu son gland avec de la salive. Puis il s’est placé au-dessus de moi, heureusement pour moi sans passer par la case chatte, il a présenté sa queue devant mon petit trou et tout naturellement il a inséré son gros gland, avalé tout doucement par mon anus dilaté. Il sait que dans ces moments-là, il entre lentement sa pine, histoire que le trou s’agrandisse doucement, avant de commencer les vas et vient, sinon güvenilir bahis şirketleri il me déchirerait. Il avança alors, centimètres par centimètres dans mon trou de balle, avant de taper ses couilles dans mes fesses, je poussai un cri de plaisir car il l’avait enfin mise entière. Puis il commença doucement à m’enculer, d’abord lentement, puis de plus en plus rapidement. Il était au-dessus de moi donc il avait toute l’amplitude nécessaire pour bien me sodomiser. Mon cul s’écartait et il alla de plus en plus rapidement, mon trou devenait béant et il la sortait presque en entier avant de la replonger dans mon trou, je criais de plus en plus et le plaisir anal est vraiment très différent, il mit alors ses deux mains sur mon cul, et m’encula avec force, s’appuyant vraiment contre moi pour m’enculer jusqu’à la garde ; je ne mis pas longtemps à jouir et je criais vraiment, sans pouvoir m’arrêter, tant l’orgasme fut long et profond, il ne semblait pas vouloir s’arrêter. Eric continuait à me ramoner le conduit et ne semblait pas vouloir juter, j’en prenais plein le cul et j’allais pas pouvoir m’asseoir de deux jours, je voyais le foutre de ce matin qui perlait de ma chatte, heureusement Eric ne voyait rien ! Il me baisa ainsi pendant de longues minutes puis il me dit qu’il allait juter dans mon cul et je lui dis deux trois paroles salasses pour le motiver ; il jouit alors dans mon cul er déversa son foutre sans ressortir, je sentis la giclée au fond de mon anus et je tombai sur le sol, raide défoncée. Je me relevais tout de même pour aller aux toilettes, me tenant la chatte et le cul car ça coulait des deux trous, j’avais été baisé comme une chienne deux fois, et je ne regrettais pas mon mode de vie !

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Käfigsex mal anders“Wünsch mir Glück”, sprach ich in den Telefonhörer.“Marie, mach dir nicht so viele Sorgen! Lass es doch einfach auf dich zukommen”, versuchte meine beste Freundin mich zu beruhigen.“Ach, Sara. Wenn ich nur so sorgenfrei wie du sein könnte. Weißt du noch, was ich dir über mein letztes Date erzählt habe? Der Typ hat den ganzen Abend nichts anderes getan, als mir auf die Brüste zu starren. Ich saß ihm beim Essen gegenüber und hab ihm ins Gesicht geschaut, während er mich angaffte. Es hat ihn kein bisschen gejuckt! Er hat ungeniert weiter geglotzt.”“Ich sage dir doch immer und immer wieder: Männer sind Tiere. Die können nichts dafür, sie sehen Titten und werden geil wie Böcke. So ist die Natur eben. Es ist wie ein Gesetz, das nicht gebrochen werden kann. Und – nur so nebenbei erwähnt – bei deiner Oberweite gibt es viel zu gucken, selbst ich kann ich manchmal kaum zusammenreißen.”“Außerdem hat dich sein Gegaffe auch nicht davon abgehalten, ihn mit nach Hause zu nehmen oder?”, neckte sie mich.“Ich werde ja wohl noch meine Bedürfnisse befriedigen dürfen!”, rief ich übertrieben pikiert.“Ja, da hast du natürlich recht”, lachte Sara.“Okay, Sara. Ich muss mich beeilen. Falls der Typ heute mal ein guter Fang ist, will ich ihn nicht allzu lange warten lassen”, beendete ich das Gespräch und legte auf.Ich verließ eilig meine Wohnung und stratzte zur Bahn. Unser Treffpunkt lag auf der anderen Seite der Stadt. Ich musste ein ganzes Stück fahren und vertrieb mir die Zeit, in dem ich aus dem Fenster schaute. Während die Wohnhäuser, Kioske und kleinen Lädchen an mir vorbei rauschten, dachte ich an mein bevorstehendes Date. Er war ein interessanter Typ. Gebildet, jung, gut aussehend und offensichtlich verdiente er auch nicht schlecht. Ich habe ihn auf einer Dating-Webseite kennen gelernt. Auf allen Fotos, die ich in seinem Online-Profil gesehen habe, trug er einen teuren Anzug. An seinem Handgelenk blitzte auf beinahe jedem Foto eine andere Armbanduhr. Gerade die immer wechselnde Armbanduhr war eine Sache, über die ich lange nachdachte und die kein gutes Licht auf ihn warf! Auf jedem Foto eine andere Uhr zu präsentieren fand ich total angeberisch. Jemand, der ganz offensichtlich darauf achtet, seinen verschwenderischen Reichtum nach außen hin zu projizieren, erzeugt einen abstoßenden Eindruck.Warum ich trotzdem zu ihm fahre? Kann ich leider auch nicht so genau sagen. Irgendwie hat er es geschafft, mich mit seiner Ausdrucksweise, seinen Ideen, Ansichten und Plänen zu beeindrucken. Sobald ich merke, dass ein Mann eine gewisse Schulbildung genossen hat, ihm die Gesprächsthemen nicht ausgehen und mich ab und zu zum Lachen bringen kann, werde ich schwach. Und mein Date ist einer von diesen Männern. Er ist selbstständiger Unternehmer und besitzt einen gut laufenden Online-Shop, auf dem er vor allem teuren Kaffee und Zubehör für die Kaffezubereitung verkauft. Ihr glaubt nicht, wie viele Kaffeesorten es gibt. Und jede Kaffeesorte scheint auch noch ihre ganz eigene Zubereitungsart mit ganz eigenen Zubereitungsutensilien zu benötigen. Dazu verkauft er noch allerlei Tees. Da er einige Mitarbeiter hat, die den Laden praktisch alleine schmeißen, bleibt ihm viel Zeit zu reisen: ein weiterer Pluspunkt für ihn.Die Durchsage sagte meine Haltestelle an. Ich stieg aus und stellte mich an der Warteschlange an, die sich nicht weit der Haltestelle befand. Quälend langsam rückte ich meinem Ziel, der Kasse, entgegen. Irgendwo hinter mir plärrte ein Baby, direkt vor mir stand ein etwa 8-Jähriger Junge, der am Rocksaum seiner Mutter zupfte und wissen wollte, wie lange es noch dauert und dass er mal müsse. Nervös schaute ich auf die Uhr. Ich hatte nicht mehr viel Zeit.Endlich war ich vorne angekommen. Ich zahlte mein Ticket und ging hinein. Ich fand mich in einem großen offenen Forum wieder. Das Forum hatte eine Runde Form von dem Wege in alle Richtungen abführten. Ich ging zu den kreisförmig angeordneten Bänken. Meinen Begleiter fand ich schnell; er war der Einzige Wartende in Anzug und Krawatte. Und er war der Einzige, der mit seinem Bluetooth-Headset mit jemandem zu telefonieren schien. Ich guckte mich nochmal um. Er stand mit dem Rücken zu mir, sodass ich sein Gesicht nicht sehen konnte. Einen fremden Typen beim Telefonieren zu stören und zu fragen, ob es sich um mein Date handelt, wäre mir peinlich gewesen. Aber ich fand niemanden, der in Frage käme. Dann erblickte ich eine seiner Armbanduhr an seinem Handgelenk.‘Das muss er sein!’, dachte ich.Wer nicht wagt, der nicht gewinnt. Ich stellte mich neben ihn. Er bemerkte mich, guckte an mir hoch und schien mich zu erkennen.“Philipp?”, sagte ich.“Warte mal kurz”, sprach Philipp in sein Headset.Dann wann wandte er sich an mich.“Marie! Schön, dass du da bist. Kannst du mich noch einen kurzen Augenblick entschuldigen? Ich muss das Telefonat noch kurz zu Ende bringen.”“Klar”, sagte ich freundlich und tat so, als ob mich das nicht stören würde.Philipp wandte sich wieder dem Telefongespräch zu.“Was soll das heißen ‘Lager leer’? Wir hatten schon vor Monaten bestellt und jetzt kommst du mit ‘Lager leer’? Das darf ja wohl nicht wahr sein! Du bekommst das in den Griff, ansonsten fliegst du raus, klar?”, sprach er energisch ins Telefon.Er blieb einen Moment still und hörte der Stimme in seinem Ohr zu. Ich konnte leises aufgeregtes Gebrabbel hören. Es war aber zu leise, um es zu verstehen.“Ach, hör doch auf”, setzte Philipp wieder an.“Die Leute fahren gerade auf diese Sorte total ab! Mir geht ein riesen Geschäft flöten, wenn du das nicht hinkriegst. Also streng dich an, ansonsten kannst du woanders dein Glück suchen. In meiner Firma dann jedenfalls nicht mehr.”Er drückte einen Knopf auf seinem Headset, ohne eine Antwort abzuwarten. Dann wandte er sich endlich mir zu. Endlich…“Tut mir Leid, Marie. Das war eine wichtige Sache. Eine besonders leicht bekömmliche Kaffebohnensorte aus Äthiopien ist im Moment nicht mehr lieferbar. Unwetter haben dort Verwüstungen in den Plantagen angerichtet und einen Großteil der Pflanzen zerstört.”“Oh, das tut mir Leid”, antwortete ich unbeholfen. Ich wusste nicht so recht, was ich sagen sollte, hatte aber das Bedürfnis irgendetwas Schlaues von mir zu geben.“Warum verkaufst du den Leuten nicht einen anderen magenfreundlichen Kaffee?”, fragte ich ihn.Philipp schaute mich an. Dann grinste er.“Wenn du dir einen Kamillentee kaufen willst, willst du sicherlich keinen Pfefferminztee vom Händler verkauft bekommen. Obwohl beide Tees magenfreundlich sind. Die Leute wollen genau DIESE Sorte, keine andere”, grinste er mich an.‘Toll gemacht, Marie’, dachte ich.‘Jetzt hält er dich für einen Dummkopf’.Wir gingen stumm ein paar Schritte.“Sag mal, wie bist du eigentlich auf die Idee gekommen, mich zum ersten Date in einen Zoo einzuladen?”“Ich fand, es ist mal was anderes als ins Kino oder in ein Restaurant zu gehen. Um Frauen zu beeindrucken braucht man Fantasie”, grinste er mich an.“Ah ja. Und hast du schon viele Frauen in den Zoo eingeladen?”“Du bist zumindest nicht die erste.”Er lächelte schmierig.“Stört dich das jetzt?”, fragte er mich.“Nein, überhaupt nicht.”Und dabei log ich nicht einmal.Mittlerweile hatten wir das Forum verlassen und befanden uns auf einem der abgehenden Wege. Hinter einer Wegbiegung befand sich die erste Attraktion: ein Streichelzoo. Kinder kuschelten dort mit kleinen Häschen und Meerschweinchen, fütterten sie mit Gras oder posierten mit den kleinen Tierchen im Arm für ein Familienfoto. Die etwas größeren, mutigeren Kinder trauten sich in das Gehege mit größeren Tieren. Vorsichtig wurde sich dort an die gehörnte Ziege herangeschlichen, um kurz die kräftigen Hörner berühren zu können oder dem Hängebauchschwein wurde eine Karotte hingehalten.Ich wäre gerne entspannter gelaufen und hätte das fröhliche Spielen güvenilir bahis und Lachen der Kinder um mich herum genossen. Philipp hatte offensichtlich kein Interesse daran. Schweigend und mit schnellem Schritt rannte er an den brüllenden Kindern vorbei. Philipp wollte offensichtlich schnell weg. Seine Stirn lag in Falten und er stierte nur geradeaus, überhaupt nicht darauf achtend, was links und rechts neben ihm geschah.Ich musste mich anstrengen, mit seinem Schritt mitzuhalten. Plötzlich landete ein Junge, höchstens 6 Jahre alt, vor seinen Füßen. Er wollte über den Weg rennen und war irgendwie über seine eigenen Füße gestolpert. Philipp blieb stehen und guckte den Jungen stirnrunzelnd an. Der Kleine fing an zu wimmern. Anstatt sich zu bücken und dem Kleinen aufzuhelfen verdrehte Philipp die Augen, gab einen genervten Laut von sich und ging um den Jungen herum weiter. Eine Moment war ich baff und stand schockiert da. Dann besann ich mich und wollte dem Jungen helfen, doch seine Eltern waren schon gekommen und kümmerten sich um ihn.“Philipp!”, sagte ich, als ich ihn eingeholt hatte.Er hatte gar nicht daran gedacht, auf mich zu warten.“Was war das denn eben? Hättest du dem Kleinen nicht helfen können?”“Nein”, war die patzige Antwort.“Ich hasse Kinder.”“Bitte?”, fragte ich fassungslos.“Sowas erzählst du in einem Zoo? Dir muss ja wohl klar gewesen sein, dass hier Kinder sind.”“Ja, normalerweise belästigen sie mich aber auch nicht. Ich weiß gar nicht, was du hast. Der Junge ist hingefallen, das war’s doch schon.”“Seine Hand hat geblutet!”“Sowas passiert halt mal. Mach da doch nicht so einen Film draus.”Daraufhin konnte ich nur schnaufen. Wie konnte er nur so kalt sein? Der arme Junge… Wir gingen weiter, an einigen Tiergehegen vorbei. Philipp und ich redeten kaum noch. Smalltalk auf der primitivsten Ebene. ‘Wie ist das Wetter? Ja, finde ich auch. Die Erdmännchen sind aber süß. Das Eis ist hier viel zu teuer. Blablabla.’ Ich wollte aber trotzdem nicht gehen. Keine Ahnung, wieso. Mir lag nichts an Philipp, ich brachte es aber trotzdem nicht über mich, einfach zu verschwinden. Ich bin ein sehr friedlebiger Mensch, meine Reizschwelle ist sehr hoch. Vielleicht hat Phillip ja auch nur einen schlechten Tag und ansonsten ist er ganz nett, dachte ich. Und was sollte ich die Sache mit dem Kind vorwerfen? Schließlich waren die Eltern des Jungen ja schnell bei ihm. Und ich selbst will in naher Zukunft keine Kinder haben. Es wird also sowieso nicht in Frage kommen, dass dieser Kerl meine Kinder erzieht.Wir schauten gerade den Schimpansen zu, wie sie sich träge und gelangweilt durch ihr kleines Gehege schleppten. Ich dachte über die Lebenssituation der Tiere nach.‘Wie viele von denen wohl hier geboren sind? Ob einer von den armen Tieren jemals die Freiheit gesehen hat?’“Lass uns was essen gehen”, riss mich Philipp jäh aus meinen Gedanken.“Die Affen sind doch sowieso relativ langweilig.”“Komm, ich lade dich zum Essen ein.”Ich war wie betäubt. Philipp war ständig nur am Motzen und ich wusste nicht, ob er einen schlechten Tag hatte oder ob ich daran schuld habe, dass er so schlecht drauf ist. Ich wollte gehen. ‘Wie komme ich jetzt aus dieser Sache raus? Soll ich weglaufen? Oder lieber klammheimlich verkrümeln?’Ich entscheid mich für letzteres. Im wollte auf den richtigen Moment warten, um abzuhauen. Ich Feigling.Wir gingen in das Zoorestaurant (Imbiss wäre ein besserer Ausdruck gewesen). Er bestellte sich eine Pizza und einen großen Becher Kaffee. Ich hatte eigentlich nicht sonderlich großen Appetit, wollte aber nicht seinen Unmut auf mich ziehen. Also ließ ich mir von ihm ein Sandwich mitbringen. Wir aßen schweigend.“Wieso bist du die ganze Zeit so still?”, fragte er schließlich.Ich schaute ihn an. Er erwiderte den Blick starrend und verurteilend.“Was denkst du wohl?”, fragte ich schnippisch.“Du willst mir jetzt hoffentlich nicht erzählen, dass du dich immer noch wegen des dummen Kindes aufregst..”“Nein, zumindest nicht nur deshalb. Dein Kommentar zu den Affen treibt mich auch auf die Palme. Du bist grob und hast offensichtlich nicht die Fähigkeit, Empathie zu empfinden oder zu äußern!”“Ach, ich wusste nicht, dass mein Date Psychologie studiert hat. Hättest du mich gewarnt, hätte wir uns bei dir auf der Couch treffen können und über meine fehlende Empathie reden können”, konterte Philipp sarkastisch.“Tut mir Leid, Philipp. Ich denke, aus uns beiden wird nichts. Mit Arschlöchern wie dir will ich nichts zu tun haben. Ich sollte besser gehen.”“Lass uns wenigstens noch aufessen. Du kannst mich doch jetzt nicht hier alleine sitzen lassen. Ich hab meine Pizza nicht einmal zur Hälfte gegessen.”“Das ist nicht mein Problem.”Ich stand auf und verließ wutentbrannt das Restaurant. Ich versuchte meine Aggression zu zügeln, was mir nur einigermaßen gut gelang. Fast joggend rannte ich vor dem Restaurant weg. Ich wollte möglichst schnell raus hier, bevor Philipp auf die Idee kommt, mir hinterher zu rennen und um eine zweite Chance zu beten.Hinter der ersten Wegbiegung verlangsamte ich meinen Schritt, um nicht weiter aufzufallen. Ich hatte das Gefühl, beobachtet zu werden. Außerdem musste ich ein bisschen verschnaufen — wenn ich schnaufend und schwitzend vor Anstrengung durch den Zoo gerannt wäre, hätten mich nur noch mehr Leute angestiert. Das war peinlich und ich wollte es vermeiden. Ich schlenderte etwas den Weg entlang und war schon beinahe wieder beim Streichelzoo, als mir ein erschreckter Schrei entglitt. Jemand hatte mir ein Bein gestellt, sodass ich bäuchlings auf die Straße fiel.“Ist Ihnen etwas passiert?”Ich reagierte zuerst nicht auf die Stimme, sondern drehte mich hektisch um. Schließlich wollte ich den Übeltäter erwischen, der es wagte, mir ein Bein zu stellen und mich so dermaßen zu blamieren. Doch ich sah niemanden, der in Frage kam. Stattdessen sah ich ein Spielzeugauto direkt neben meinen Füßen liegen. Ich habe es wohl übersehen und bin darüber gestolpert.“Nein, es ist alles okay”, erklärte ich dem Typen, der mir nun eine Hand reichte, um mir aufzuhelfen.“Ich bin nur über das Spielzeug hier gestolpert.”“Oh man, diese Kinder”, lachte der Mann auf.“Ich heiße übrigens Andreas.”Ich stellte mich vor und wir reichten uns die Hand. Andreas trug eine beigefarbene Arbeitshose und ein grünes Poloshirt mit dem Logo des Zoos auf der Brust.“Du bist hier als Tierpfleger angestellt?”, fragte ich ihn.“Ja, woran hast du das erkannt”, grinste er. “An der Arbeitsbekleidung und dem Logo oder an der Schubkarre, die ich mit mir rumschiebe?”“Die Schubkarre habe ich gar nicht bemerkt. Außerdem war es nur eine höfliche Frage, um ein Gespräch zu beginnen”, zwinkerte ich ihn an.Mir gefiel Andreas. Er scheint viel körperlich zu arbeiten, denn seine Arme zeugten von einiger Kraft und der durchtrainierte Oberkörper zeichnete sich unter seinem Polohemd ab.Plötzlich kam mir Philipp wieder in den Sinn.“Entschuldige bitte, ich muss jetzt los”, entschuldigte ich mich.“Oh. Das war aber ein kurzes Gespräch. Darf ich fragen wieso?”, erwiderte Andreas enttäuscht.“Ach, eigentlich nichts Schlimmes. Ein Blind Date ist schiefgelaufen und ich will weg von ihm.”“Äh, okay.”Andreas schaute alarmiert drein.“Soll ich die Polizei rufen?”, fragte er unsicher.Ich verneinte. “Philipp ist nicht gefährlich, zumindest schätze ich ihn nicht so ein. Nur sehr stolz und mein Abgang könnte sein Ego nicht vertragen haben. Ich befürchte, dass er mir nachkommt, um seinen Standpunkt noch einmal eindrücklich vorzubringen und mich vor allen Anwesenden bloßzustellen. Deshalb will ich hier möglichst schnell weg. Die Tiere muss ich mir wohl ein andermal ansehen.”Entschuldigend zuckte ich mit den Schultern und schaute betreten zu Boden. Ich hatte mich wirklich auf den Zoo gefreut. Mein letzter Besuch lag Jahre zurück. Eine Zeit türkçe bahis lang schaute Andreas mich an und schien über etwas nachzudenken. Dann packte er mich am Arm und zog mich in die entgegengesetzte Richtung, in die ich eigentlich wollte, um zum Ausgang zu kommen.“Was soll das? Wohin bringst du mich?”Ich war etwas erschrocken, aber irgendwie fühlte ich mich bei Andreas sicher vor Philipp. Mein Beschützer grummelte nur etwas von einer Überraschung und das ich schon sehen werde. Wir bogen in einen Weg ein, der entgegen des Restaurants verlief, in dem Philipp und ich gegessen hatten. Das Betreten-Verboten-Sc***d übersah Andreas geflissentlich. Ich besah mir die Umgebung etwas genauer. Der Weg war eine Allee, gesäumt mit Akazienbäumen, die den Weg beinahe komplett überwucherten und nur einen begrenzten Blick auf den darüberliegenden Himmel ließen. Ich merkte, dass es mittlerweile relativ dunkel geworden ist. Die ersten Sterne waren am wolkenlosen Himmel zu sehen. Der Zoo würde wahrscheinlich nicht mehr lange geöffnet haben. Ich wurde aus meinen Gedanken gerissen, als wir an eine Absperrung kamen.Andreas erklärte mir, dass dieser Bereich im Moment für Besucher gesperrt sei.“Irgendein Schädling hat die Akazien hier befallen. Deshalb gelten die Bäume als einsturzgefährdet und der Weg musste vor Besuchern abgesperrt werden. Wir können die Bäume natürlich nicht einfach absägen, um das Problem zu lösen. Es würde entweder Jahrzehnte dauern oder tausende von Euros kosten, damit wir hier wieder so eine schöne Alle haben. Wir überprüfen gerade, ob es eine andere Möglichkeit gibt, den Schädling zu vertreiben.”“Es wäre wirklich schade, wenn die ganzen Bäume hier weg müssten. Ich finde es hier wunderschön. So romantisch”, sagte ich träumerisch. “Was wollen wir hier eigentlich genau? Wir dürften hier gar nicht sein oder?”“Darüber brauchst du dir keine Sorgen machen”, erwiderte Andreas selbstsicher.“Niemand wird hier vorbeikommen. Der ganze Bereich gehört nur uns.”Er zwinkerte mir zu und winkelte seinen Arm an. Ich hakte mich bei ihm unter. Wir schlenderten wortlos ein paar Meter. Es war eine andere Stille, als die zwischen Philipp und mir. Diese hier war angenehm. Jeder von uns wusste, dass der andere seine Anwesenheit genoss.© Hanna SchützeIn einiger Entfernung hörte ich das Zwitschern exotischer Vögel. Dann kamen wir auch schon an den geräuschverursachenden Vögeln vorbei. In einem großen Käfig sangen verschiedene Vögel ihr Lied. Es wimmelte in dem Käfig in allen erdenklichen Farben. Grüne, rote, blaue und bunt gefiederte Farbkleckse flogen durch die Luft oder saßen auf einem Baum, die in dem Käfig wuchsen. Der süße Duft der im Käfig und rundherum angebauten blühenden Pflanzen umspielte meine Nase. Erstaunt und belustigt folgte ich dem bunten Treiben. Ich kam mir vor wie im Märchen.“Das hier ist mein Lieblingsort”, sagte Andreas leise. “Ich finde es beruhigend, den Vögeln zuzusehen.”Ich beobachtete die Vögel weiter bei ihrem Spiel. Meinen Kopf lehnte ich seitlich an die Brust von Andreas. Ich spürte, wie sein Brustkorb sich bei jedem Atemzug hob und senkte. Seine Hand lag auf meinem Oberarm. Ich spürte die Wärme, die sie ausstrahlte auf meiner Haut. Nach all den misslungenen Dates in der letzten Zeit, war dieser Moment wie Balsam für meine Seele.“Ob die Tiere den Blick auf uns Menschen wohl genauso interessant finden? Das wäre wohl das einzig Spannende, was sie aus ihrem Käfig heraus sehen können”, fragte ich mich laut. Ich hob meinen Kopf und guckte Andreas in seine blauen Augen. “Was denkst du?”“Ich denke, dass sie sich nicht so besonders für uns interessieren. Was soll an Menschen denn schon interessant sein? Eigentlich verschrecken wir die Tiere nur durch unsere Blitze vom Fotoapparat, durch laute Geräusche und was die Zoobesucher eben noch so veranstalten.” Nach einem Augenblick fuhr er fort. “Willst du wissen, wie sich die eingesperrten Tiere fühlen? Ich kann es dir zeigen.”Ich grinste. Was hatte er wohl vor?“Willst du mich einsperren oder was?”, fragte ich amüsiert.“Komm mit.” Er ging gar nicht weiter auf meine Frage ein. Arm in Arm gingen wir am Vogelkäfig vorbei. Wir gelangten an ein riesiges Gehege. Der Boden war fast ausschließlich von grünem saftigen Gras bedeckt. In unregelmäßigen Abständen befanden sich überall im Gehege große Felsen und trockene Bäume. Zum Schutz der Besucher lag das Gehege etwa 10 Meter tiefer, als der Fußweg. Die Wände des Geheges waren komplett betoniert. Damit auch unvorsichtige Menschen nicht in den Käfig fallen konnten, waren oben zusätzlich noch hohe Glasfronten befestigt.Niemand konnte in diesen Käfig hinein oder hinaus. Es sei denn, man hat einen Tierpfleger dabei. Wir gingen durch eine geschlossene Tür an der Seite des Geheges und gelangten zu einer Wendeltreppe, die uns in den unteren Bereich führte. Wir waren jetzt in etwa auf Höhe der Tiere, die im Gehege hausten. Nur die dicke Betonwand versperrte uns den Blick. Wir gingen einen betonierten Gehweg entlang, der an der Seite des Geheges entlangführte, bis wir auf eine große Sicherheitstür stießen. Andreas zog einen Schlüsselbund aus seiner Tasche und fing an, den richtigen Schlüssel zu suchen.“Was machst du da?”, fragte ich erschrocken. “Du willst da jetzt doch nicht reingehen!?”“Ehrlich gesagt, hatte ich das vor.” Er grinste mich an und beobachtete meine Reaktion genau.“Vergiss es! Ich gehe doch nicht in ein Gehege mit dir, in dem Tiere frei herumlaufen.”Ich wusste zwar nicht, was für Tiere es genau waren, die Sicherheitsvorkehrungen sprachen jedoch nicht dafür, dass es sich um eine ungefährliche Art handelte.“Was befindet sich überhaupt in dem Gehege?”“Normalerweise Gorillas. Das Gehege ist jedoch geräumt worden.”Andreas sah, dass ich immer noch nicht ganz beruhigt war.“Ich verspreche dir, dass wir keinem Gorilla begegnen werden!”, versuchte er mich zu überreden.“Alles klar!” Mich packte die Abenteuerlust ein bisschen. Nicht jeder kann von sich behaupten, in einem Gorillagehege gewesen zu sein.“Super.” Andreas hatte den richtigen Schlüssel gefunden und schloss die Tür auf. Um in das Gehege zu gelangen, musste er drei verschiedene Sicherheitsvorkehrungen ausschalten.“Die Affen haben wirklich keine Chance, hier rauszukommen”, staunte ich über die Sicherheit.Andreas lächelte nur. Innerhalb des Geheges angekommen schaute mir jeden Winkel genau an. Mir fielen Spieleinrichtungen auf, die an den Bäumen befestigt waren. Reifen zum Schaukeln und Seile zum Umherschwingen. Vor der Betonwand, die das Gehege begrenzte, war ein breiter Graben angelegt worden. Die Tiere konnten also nicht einmal versuchen, an der Wand hinaufzuklettern.In der Mitte des Geheges erhob sich ein kleiner grasgesäumter Hügel. Andreas legte sich auf diesen, guckte in den Himmel und beklagte sich ironisch: “Hätte ich gewusst, dass ich heute mit einer Dame den Sternenhimmel aus einem Gorillagehege aus betrachte, hätte ich Wein und Käse besorgt.”“Haha”, lachte ich. “Danke! Du hast mir meinen Tag gerettet. Auch ohne Wein und Käse.”Ich hatte das Gefühl, wieder ein Teenager, das nachts heimlich in ein Freibad einbrechen wollte, um dort heimlich mit einem Jungen rumzumachen. In mir wuchs der Wunsch, etwas Waghalsiges und Adrenalinausschüttendes tun zu müssen. Also legte ich mich kurzerhand auf ihn und gab ihm einen Kuss auf den Mund.“Wofür war der denn?”“Als Dankeschön für Bisheriges und als Vorgeschmack für Kommendes”, flüsterte ich mit sanfter Stimme. Dann küsste ich ihn weiter. Andreas war nicht lange überrumpelt von meinem plötzlichem Lustausbruch. Vorsichtig bis er mir in die Unterlippe. Seine Hände wanderten von meiner Hüfte hinab zum Hintern und kneten mir die Pobacken. In meinem Schritt spürte ich, wie die Beule in seiner Hose immer größer wurde. Langsam rutschte ich an ihm runter, küsste seinen Hals, güvenilir bahis siteleri dann seine Brust. Ich kniete zwischen seinen Beinen und fing an, den Eingriff seiner Hose zu öffnen. Als sein Penis befreit war und wie eine Fahnenstange aus der Hose herausstand, fing ich an, ihn meiner Zunge von unten bis oben abzulecken. Oben angekommen umspielte ich die Kuppe mit meiner Zungenspitze, ehe ich sie komplett in meinen Mund nahm und daran saugte. Während mein Mund mit seiner Eichel beschäftigt war, umfasste ich den Rest seines Glieds mit der Hand und wichste ihn. Andreas konnte sich ein Stöhnen nicht verkneifen. Ich schmeckte seinen Lusttropfen auf meiner Zunge.“Zieh deine Hose aus”, bat ich. Andreas gehorchte und lag nun mit nacktem Unterkörper vor mir. Ich fing an, seine rasierten Eier zu lecken. Genüsslich leckte ich an einem seiner Eier, saugte vorsichtig an seinem Hoden und wendete mich dann dem anderen Ei zu. Gleichzeitig wichste ich mit meiner Hand weiter seinen Penis. Mein Speichel und sein Lusttropfen fungierten zusammen als hervorragendes Gleitmittel. Meine Hand rutschte geschmeidig auf und ab, während er seinem Höhepunkt immer näher kam. Ich spürte an seinen immer schneller werdenden Atemzügen, dass er bald soweit war und verlangsamte die Geschwindigkeit, mit der ich sein Glied bearbeitete. Ich hatte nicht vor, unserem Liebesspiel ein zu schnelles Ende zu bereiten.Nun wollte ich an der Reihe sein. Ich stellte mich hin und zog mich langsam aus, während Andreas mich dabei beobachtete. Meine Klamotten warf ich achtlos auf den Boden. Splitternackt stand ich nun vor ihm. Andreas gefiel mein Anblick. Meine üppigen Brüste als Wichsvorlage anstarrend lag er auf dem Hügel und holte sich einen runter. Mir gefiel, dass mein Aussehen ihn so erregte. Mit erotisch schwingender Hüfte ging ich auf einen Stein zu, der sich unweit von mir befand und setzte mich breitbeinig auf ihn. Meine weit auseinanderstehenden Beine gewährten Andreas intime Einblicke auf meine Möse. Langsam fing ich an meine Brüste zu kneten. Mit Daumen und Zeigefinger rieb ich meine steif aufgerichteten Knospen. Mit der anderen Hand rieb ich meine Perle.“Gefällt dir das?”, fragte ich ihn mit sinnlicher Stimme. Die Antwort kannte ich selbstverständlich schon, sein Blick und die immer energischer werdenden Bewegungen seiner Hand an seinem Schwanz sprachen eine deutliche Sprache.“Ich habe noch nie etwas Schöneres gesehen”, antwortete er.Langsam ließ ich meine Finger in meine Möse gleiten und stellte mir vor, dass sie das riesige Glied von Andreas wären.’Ob sein Schwanz sich wohl noch besser anfühlt, als meine Finger?’“Komm zu mir rüber, wenn du mehr willst”, bat ich ihn in beinahe flehentlichem Ton. Ich wollte ihn mindestens genauso gerne, wie er mich. Mindestens.Andreas ließ sich nicht lange bitten. Immer noch wichsend kniete er sich vor mir nieder. Ich lehnte mich auf dem von der Sommerhitze immer noch heißen Stein zurück. Ich spürte die angenehme Wärme des Steins auf meinem Rücken. Andreas begann, meine Schamlippen zu lecken und an ihnen zu saugen. Ich genoss den Cunnilingus mit geschlossenen Augen. Mein leises Stöhnen gab ihm das Signal, dass er seine Sache gut machte. Dann leckte er meine stark durchblutete Klitoris. Bei jeder Aufwärtsbewegung seiner Zunge über meine Klitoris durchfuhr ein leichtes Zucken meine Beine.“Ohh ja”, stöhnte ich. “Du leckst so gut.”Ich spürte meinen Orgasmus anrollen, gleich war es soweit. Das Zittern meiner Beine wurde immer heftiger und unkontrollierter. Das war das Zeichen für Andreas, seine Technik zu ändern. Er wollte meinen Orgasmus herauszögern, um mir später einen besonders heftigen Höhepunkt zu bescheren. Mit den Fingern massierte er langsam meine Perle. Seine Zunge, die überraschend lang war, drang in meine feuchte Muschi ein und erkundete ihr Innenleben.‘Hoffentlich schmecke ich ihm’, dachte ich. Anscheinend war das der Fall, denn um mit seiner Zung tiefer in meine Möse eindringen zu können, zog er meine Schamlippen vorsichtig auseinander. Sein Mund bedeckte nun gänzlich meine feuchte Lustspalte. Ich genoss das Gefühl, seine Zunge tief in mir zu haben. Ich lag immer noch mit geschlossenen Augen auf dem Stein und öffnete sie auch nicht, als er aufhörte, mich mit seiner Zunge zu befriedigen. Dann spürte ich, wie er seinen Penis auf meiner Klitoris abklatschte.“Ah, geil”, stöhnte ich. Andreas stand zwischen meinen gespreizten Beinen. Der Stein, auf dem ich lag, hatte die perfekte Höhe. Meine Lustspalte war auf genau der richtigen Höhe für seinen Schwanz.Andreas drang mit seiner ganzen Länge in mich ein und fickte mich erst langsam, dann immer schneller werdend.Seufzend genoss ich den dicksten Pimmel, den ich in den letzten Monaten erleben durfte.“Du fickst so verdammt gut”, ächzte ich. Ich richtete mich auf. Der Anblick seiner Brustmuskeln ließ mich noch einmal geiler auf ihn werden. Ich saß nun vor ihm. Unaufhörlich preschte er mit seinem Penis in mich hinein. Er fasste mich am Hinterkopf und küsste mir auf den Mund, bis mir zärtlich auf die Lippe. Sein mittlerweile schweißnasser Körper verbreitete einen angenehm männlichen Geruch. Mein Mund öffnete sich leicht und gewährten Andreas Zunge Einlass. Seine Zunge, die ihr Geschick schon an anderer Stelle unter Beweis stellte, umspielte zärtlich meine Zunge. Seine Stöße wurden immer schneller. Hektischer umspielte seine Zunge meinen Mund, tiefer drang er in mich ein. Nun war es soweit, mein Höhepunkt konnte nicht mehr aufgehalten werden. Ich umschlang krampfhaft seine Hüfte mit meinen Beinen, um ihn noch tiefer in mich hineinzudrücken. Laut stöhnend, beinahe schreiend bekam ich einen Orgasmus, bei dem ich alle meine Muskeln heftig anspannte. Ich klammerte mich so fest an Andreas, als hätte ich Angst, er würde gleich von mir gerissen werden. Andreas Stöße verlangsamten sich, als ich meine Beine etwas entspannte und ihm nach meinem Orgasmus wieder ein bisschen Freiheit gewährte.“Ich will in deinem Mund abspritzen”, sagte er mit vor Geilheit geschwängerter Stimme.Wortlos kniete ich mich vor ihn und bearbeitete mit meiner Zunge seinen Schwanz. Wie bei unserem Vorspiel umspielte ich erst seine Eichel, bevor ich ihn ganz in den Mund nahm.“Jaa”, seufzte er , ”ganz genau so Marie. So ist es gut.” Es dauerte nicht lange, da umfasste er meinen Hinterkopf und fickte meinen Mund.“Gleich komme ich”, warnte er, damit ich mich auf das Schlucken vorbereitete. Zuckend spitzte sein Schwanz mir seinen Saft in die Kehle. Ich kam kaum mit dem Schlucken hinterher, so viel kam bei jeder zuckenden Bewegung seines Schwanzes in meinen Mund geflossen. Als ich den Schwall seines Lustsaftes bewältigt hatte, leckte ich ihm sein triefendes Rohr sauber. Schließlich sollte kein Tropfen seines Samens an seine Boxershort verschwendet werden.Zärtlich gab mir Andreas einen Klaps auf den Po. “Wir sollten hier langsam verschwinden.” Er zog sich bereits wieder an. “Könnte sein, dass meine Kollegen langsam nach mir suchen.” Ich zog mich zügig an. Nackt und frisch gebumst in einem Tiergehege gefunden zu werden war mir kein schöner Gedanke. Zumal es Andreas seinen Job kosten konnte, wenn jemand herausfand, was wir hier getrieben haben. Als ich angezogen war, gingen wir zur Käfigtür. Abermals musste Andreas den richtigen Schlüssel am Schlüsselbund finden. Nervös trat ich von einem auf das andere Bein. Ein unangenehmes Gefühl beschlich mich und ich wollte so schnell wie möglich wieder auf den Gehweg, wo niemand behaupten konnte, dass wir irgendetwas Unrechtes getan hätten. Ich fühlte mich, als ob ich von allen Seiten von unsichtbaren Beobachtern beobachtet werde. Endlich hatte Andreas den richtigen Schlüssel gefunden. Gerade wollte er diesen in das Schlüsselloch stecken, um uns endlich den Weg aus diesem Gehege zu ermöglichen, als ich es hinter mir knacken hörte. Andreas hielt inne und drehte sich um. Mein Herz fing an, wie wild zu rasen, als ich in sein schockiertes Gesicht sah. Ein tiefes Schnauben ganz nah hinter mir ließ mich mein kleines Sexabenteuer sofort bereuen.© Hanna Schütze

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My Wife’s a SlutFor those of you who have been following the antics of my wife Melinda, and in particular her gradual transformation over recent months from faithful wife to total slut, I am certain you’ll like this account of a recent event!You may recall that my best friend John has fucked my slut wife a few times and she’s always enjoyed taking his bigger cock! The last time he was around at ours home fucking my wife, she got talking about the size of his large cock and how she’d seemed to acquired a taste for larger cocks! Melinda then asked John and me if it was true that black guys had huge dicks! Guess you’ll have to find out?The next day John phoned me and said that he worked with a black guy and that he’d asked him Mel’s question! The guy simply said that if the “lady” wanted to know, he would prefer to show her himself! And to top it all, he apparently had a friend who could show her too!We didn’t tell Mel, but John invited them both to our home the next Tuesday, which was a night Mel often fucked John while I watched!The evening came and I told Mel to male a special effort for John to shave and dress like a real slut! She didn’t let me down! Her long, straight, red hair always made her look horny, but her very low, tit hugging top and short black illegal bahis leather skirt, certainly made her look cheap and slutty! And to think, she had no idea what we had planned for her! For this extra special occasion, I made sure that my digital camera was to hand, to record my slut wife’s first blacking!She’d drunk the best part of a bottle of red wine before the doorbell rang! And when it did ring, I made her answer it! Her face was an absolute picture! John was standing there, a big grin on his face, and behind him were two huge black guys! For the first time ever, my slut wife was speechless!I asked them all in and we went through to the lounge, where I got them all a drink I simply said “She’s all yours guys!”I sat down, switched on the camera, and watched John start to kiss her! The two blacks stripped, revealing their already erect large black cocks and yes, they were massive! And Mel’s only petite! The dirty little slut wasted no time at all, immediately taking a black cock in each of her hands and starting to jerk them as John slipped his hand down her bra-less top! I started taking photos like there was no tomorrow, aware that my own cock was rock hard just watching my slut wife getting to know her new friends!The two black guys started illegal bahis siteleri to strip my wife and virtually ripped off her slutty clothes, leaving my wife stark naked! John stripped too and even his big cock looked small next to the two huge black mambas! What a sight, my wife, naked, three huge cocks, all ready to use her! 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Je fantasme sur la Sublime Jade – 3 suite

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Je fantasme sur la Sublime Jade – 3 suite… « Maintenant, lèche bien ma queue pour la nettoyer et ensuite ranges la dans mon pantalon. » Jade s’exécute doucement, profitant pour embrasser et sucer encore un peu ma bite. Il ne lui faut pas longtemps pour finir sa tache et elle reprend sa position à genoux, la tête baissée. « Nico, tu peux rentrer voir ta salope de femme. »Il rentre et observe la scène, voyant la flaque entre Jade et moi. « Tu vois, elle a bavé de plaisir avec ma bite au fond de sa bouche, et je l’ai privé du gout de mon sperme…momentanément. En tout cas c’est vraiment une bonne pompeuse de bites, elle a dû en sucer beaucoup. » « Tu la verrais en club, c’est minimum 5 bites par soir qui coulent dans sa bouche, et ailleurs.» Je souris et ajoute « C’est une bonne petit pute, on va voir maintenant si c’est une bonne canlı bahis soubrette. »«Jade, nettoies le sol avec ta langue.» Pendant quelques secondes rien ne se passe. Puis Jade se met à genoux, et commence à lécher le sol comme une chienne lécherait sa gamelle d’eau. Nico n’en revient pas de l’obéissance de sa femme et il ne peut s’empêcher de se toucher la bite. « Ca t’excites de la voir soumise à ma volonté, de la voir se comporter comme un a****l ?» « Bien sur, elle est magnifique.» Le sol est bientôt propre et Jade relève la tête vers moi pour me montrer le mélange de foutre et de salive dans sa bouche. « C’est bien, petite salope, tu peux avaler.» Un sourire se dessine sur son visage et elle avale avec délectation.« Il est temps de passer à ta punition. Relèves toi et penches toi sur le canapé. » Jade se met en position bahis siteleri et se tourne pour nous regarder. De l’appréhension se lit dans son regard. « Tu as peur petite salope ? » « Non Maitre. » «Tu penses que je vais être gentil ? » « J’espère Maître. » «Nico tu sors, tu ne verras pas…mais tu entendras surement. » Nico sort avec un sentiment de frustration et d’excitation.« A nous 2 ma petite soumise. Ecartes un peu tes fesses que j’admire encore ton rosebud.» Les mains sur les fesses, Jade les écarte lentement et je me délecte de la vue de ce bijou sublimant la beauté de son cul. Je m’approche et je saisis le rosebud. Doucement je joue avec, tirant pour le faire ressortir et le lâchant au dernier moment pour le voir rentrer tout seul dans son cul. Jade aime ça, elle gémit doucement.Mais j’arrête assez vite, retirant bahis şirketleri d’un coup le rosebud. Jade gémit cette fois de douleur mais ne dit rien. Je dirige alors le rosebud vers sa bouche et lui demande de le lécher. Sans hésitation, elle sort sa langue et lèche le jouet comme si c’était une queue. Quelques instants après, je le pose sur le canapé et je me place pour lui donner sa fessée.Je ne peux m’empêcher de caresser ce cul si parfait, ce cul que j’ai vu et revu en photos. Photos qui m’ont fait jouir plus d’une fois, et quelquefois que j’ai couverte de sperme pour le plaisir de Jade tout en filmant et en l’insultant. Maintenant, j’ai vraiment ses fesses sous mes doigts, et je compte bien en profiter. Ma 1ere claque est douce, juste pour la prévenir que la punition commence. Jade sursaute surtout par surprise. « Je vais te donner 20 claques et tu vas les compter à haute voix. Si tu te trompes, ou que tu ne comptes pas assez vite, tu auras 2 claques de plus à chaque erreur. Tu as compris ma petite salope ? » « Oui Maître. »« Alors commençons… »

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Samia – 44 Julien est-il gay ?Il me pince une joue en disant :— Ouvre la bouche.Aïe?! J’obéis et un jet de pisse m’envahit la bouche, j’avale en faisant la grimace. Il s’assied sur les w.c. en disant? :— Regarde comme ça m’excite de te voir avaler ma pisse.Je baisse les yeux sur son sexe dressé, c’est vrai qu’il bande bien. Il ajoute :— Faut te faire un dessin??— Non, m’sieur.Je voudrais faire une petite parenthèse, je ne suis pas gay, je fais ça pour obéir à Samia. Les sexes des hommes m’intéressent parce que je les imagine fouiller le sexe de Samia, mon amour. Je les imagine dans des endroits inaccessibles pour ma langue. Quand j’ai la bite d’un homme en bouche, j’imagine que je suis devenue le sexe de Samia et…***— Mais qu’est-ce que c’est, ces conneries…— Je vais barrer tout ça, Samia?!Elle secoue la tête en levant les yeux au ciel, puis elle me demande :— Quand tu suces une bite, tu imagines que ta bouche est devenue ma vulve??— Oui, mais…— Et quand tu as la bite d’un mec qui vient de m’enculer dans la bouche, tu t’imagines être mon trou du cul??— Euh… oui Samia… Je vais supprimer ça et…— Non laisse, c’est marrant… Ça me plaît que tu t’identifies à mon trou du cul. Bon, continue?!***Je me mets à genoux et, comme les lèvres de la vulve de Samia, je frotte ma bouche sur le membre dur de cet homme. Puis, je fais entrer le gland dans ma bouche/vagin… Comme ma femme quand elle va et vient sur un sexe dressé, ma tête va et vient sur le sexe… J’ai envie qu’il jouisse et arrose ma luette/col de la matrice et qu’il me… qu’il m’engrosse.***— Pas mal, mon petit trou du cul, c’est complètement dingue mais assez poétique… lyrique, même. Maintenant, passe à des choses plus prosaïques. Par exemple, est-ce que son sperme est venu rejoindre sa pisse dans ton estomac??— Euh… non, il m’a dit : “Debout et encule-toi sur ma bite?!”Ouch?! Je vais la sentir passer, même si j’ai copieusement mouillé son sexe avec ma salive. Naïvement, je l’enfourche et pose délicatement son gland sur mon anus. Bien sûr, il me prend par les hanches et m’assied brutalement. Son membre me pénètre entièrement. Je me mords les lèvres pour ne pas crier… Ce type est vraiment costaud, il me fait aller et venir sur son sexe comme si j’étais une poupée Barbie. Je dois avouer que… ça me fait de l’effet, c’est… euh… mécanique. Il accélère le mouvement et jouit en moi. Je ne peux pas m’empêcher de jouir avec lui. Il me donne un claque sur les fesses en disant :— Allez, bouge ton cul.Je me relève avec précaution… une bahis firmaları partie de son sperme sort de mon anus et coule par terre, entre ses jambes. Il me dit :— Lèche?!Heureusement, le sol est propre. J’aspire le sperme, puis je me redresse. Il sort de la toilette et s’habille. Ensuite il ouvre la porte en disant :— Au suivant?!Quoi?? Oh non, il y a deux autres types qui attendent leur tour !***Samia est revenue lire, elle dit :— Normal, si tu es mon trou du cul, tu peux facilement te prendre trois bites. Allez, c’est pas mal. Tu as un bon point, tu pourras le sortir pour supprimer une punition. En attendant, viens me lécher…Elle s’assied dans un fauteuil, une jambe sur un des accoudoirs et je redeviens une langue qui appartient à sa Maîtresse.Fin du journal de Julien… pour le moment.SamiaCe matin, je suis dans le bureau de mon beau-père qui m’annonce :— Ton ami Max me fait chier.— Ce n’est pas du tout mon ami…”Monsieur”.— C’est vrai que tous ceux à qui tu suces la bite ne sont pas tes amis.— Absolument, à commencer par vous… et les clients que vous me faites rencontrer, Monsieur?!Gros soupir excédé… Il pianote sur son bureau, c’est énervant, puis il me dit :— Il veut une augmentation de 5 % pour tous les ouvriers et la création d’une crèche.Tout ça me paraît très légitime, mais pas à lui :— C’est complètement délirant. Pour une fois, ouvre la bouche non pas pour y mettre sa bite, mais pour lui dire que j’en ai discuté avec l’avocat de la fédération et s’il persiste à nous menacer de grève, ce qui est quasiment un chantage, on pourrait le poursuivre en justice?!Ça, ça m’étonnerait… Mon beau-père poursuit :— Sois ferme?! On dirait vraiment que tu as peur de ce type. On dirait que Julien a déteint sur toi… Tu as l’intention de te laisser faire?? Tu as l’intention de sucer tous les ouvriers de l’usine pour leurs anniversaires??Ah, merde, il sait ça ? Il a raison. Je suis folle de me laisser faire comme ça?! Je réponds :— Il se croit tout permis, c’est vrai, mais il se trompe. Je vais le lui dire.— C’est ce que j’attends de toi. On va boire à la nouvelle Samia.Il sort une bouteille de whisky, deux verres et nous sert. On fait “tchin” et on boit. Le whisky, ça pique la bouche, mais ça fait du bien. Il nous ressert?! Je lui dis :— Si vous avez envie de moi, pas besoin de me saouler, Monsieur.Il rit, c’est rare… Je bois ce deuxième verre. Je suis en mode guerrière, maintenant.Je vais dans l’atelier des femmes où Max passe son temps. Dès que je suis près de lui, je lui dis, en parlant kaçak iddaa un peu fort, c’est vrai :— Monsieur Max, cette fois-ci nous ne céderons pas à votre chantage?!— Très bien, vous voulez la grève, vous l’aurez. Je vais avertir les camarades?!— Et moi, je vais avertir l’avocat de la fédération. Vous vous croyez tout permis mais on va vous faire un procès qui vous coûtera la peau du cul.Je suis remontée… Au lieu de crier comme moi, il me sourit et me dit calmement :— Tu es une gamine insolente et tu sais ce qu’on leur fait aux gamines insolentes ?— Je… je vous préviens, si vous me touchez, je dépose plainte pour voies de fait.Les ouvrières se sont rapprochées et forment un cercle autour de nous. J’entends des filles dire «?les gamines insolentes, on leur donne une fessée?». Je redis :— Je vous préviens… je…Et là, il m’att**** par l’oreille en disant :— Tu la veux?? Tu vas l’avoir?!— NOOOOOOONNNNN, lâchez-moi vous me faites mal?!Il me fait basculer en travers d’une table, relève ma jupe et descend ma culotte jusqu’à la pliure de mes genoux. Je me débats, mais je sens des mains me prendre par les chevilles pour me maintenir fermement.Max pose sa large main sur mes fesses et les tapote en disant :— Pas de risque de manquer la cible.Trop drôle ! Tout le monde rit, sauf moi. Il me demande :— Prête Samia??Je ne réponds rien. Ça changerait quoi?? Sa paume quitte mes fesses et ça fait «?PAF?!?». Le bruit ressemble à celui d’un gros pétard qui explose. Tandis que je fais :— Aaaaïïeee?!Il frappe mes fesses à toute allure?!PAF?! PAF?! PAF?! PAF?! PAF?! PAF?! PAF?! PAF?! PAF?!Je n’arrête pas crier :— Aaaaaiiiiieeeeeeeeeeee?!!Tandis que je me tortille pour essayer d’échapper à cette volée de claques, une ouvrière lui dit :— Laisse-la un peu se reposer, Max, elle appréciera encore mieux les suivantes.Je sens que mes fesses continuent à monter et descendre comme sous les claques. Je reste quelques minutes à geindre sur ses genoux de Max, avant qu’il ne dise :— J’y vais. Faut pas qu’elle att**** froid.PAF?! PAF?! PAF?! PAF?! PAF?! PAF?! PAF?! PAF?! PAF?!— Aaaaaiiiiieeeeeeee….C’est vrai que j’apprécie encore mieux la douleur?! Mes fesses sont en enfer et mon visage est plein de larmes… Quand il arrête, plusieurs mains viennent me tâter les fesses.Chacune y va de son petit commentaire comique, genre :— On pourrait faire cuire un œuf sur son cul?!Quand elles ont presque toutes tâté mes fesses, d’une façon plus ou moins brutale, Max me demande :— Tu as quelque chose à me dire??— Pardon pour mon insolence, kaçak bahis mais c’est mon beau-père qui…— Pour toi, cette fessée était méritée??— Oui Monsieur Max.— Bien, laisse ta culotte à tes genoux et ta jupe relevée. Tu vas faire le tour de l’atelier pour montrer à toutes tes grosses fesses rouges.Il me remet sur mes pieds et je commence à faire ce honteux défilé en faisant bien la gueule, mais il ajoute :— Fais-nous un grand sourire, si tu ne veux pas une deuxième fessée.Je lui obéis du mieux que je peux. Pas facile quand on a les fesses brûlantes et douloureuses et qu’on a connu une des pires humiliations de sa vie. Je ne mettrai plus jamais un pied dans cet atelier?!***Je l’encaisse mal, cette fessée?! Pas tellement pour la douleur, car ça passe… mais parce que j’ai subi ça devant toutes les ouvrières.J’en ai vraiment marre de l’usine?! Ça fait un moment que j’envisage de partir avec Julien sous le bras. Après tout, je peux le prostituer dans n’importe quel pays. Mais je ne veux pas partir sans rien et j’ai un début de plan… J’ai surpris des bribes de conversation téléphonique, mon beau-père disait : «?Je réinvestirai la somme en…?» Mais là, il a crié :— Gisèle, fermez la porte de mon bureau?!J’ai l’impression qu’il blanchit de l’argent en Malaisie ou en Chine… Tous les sens en éveil, j’attends plus d’informations…Ce matin j’arrive au bureau, Gisèle me dit :— Il vous attend.— Tu sais pourquoi ?— Parler de gros clients…Ah ouais, encore?! Ça fera trois fois cette semaine?! Il me prend vraiment pour une pute?! La seule chose qui m’intéresse, c’est qu’il devrait avoir un contact avec les gens qui vont lui remettre une grosse somme… mais on va aussi régler le problème de Max.— Madame de Préville… Samia?!!— Oui??C’est Gisèle qui m’appelle, j’étais perdue dans mes pensées.— Vous pouvez y aller.J’entre en disant :— Bonjour Monsieur.— Bonjour Samia… tes fesses vont mieux??— Mes fesses oui, mais pas… ma fierté. Il y a même une ouvrière qui a fait des photos et…— Oui, je les ai vues. Tu as des fesses très photogéniques.— Amusant?!! Sauf que je ne mettrai plus un pied dans cet atelier.— Tout ça pour une malheureuse fessée… Bon, on en reparlera. J’ai besoin de vous deux ce soir.— Ça fera trois fois cette semaine. J’accepte à condition de ne plus être obligée d’aller dans cet atelier… à moins que Diesel ne m’accompagne.Oh?! Il n’aime pas du tout que je me rebiffe?! Mais je sais qu’il est accro aux soirées qui mettent les clients dans de si bonnes dispositions tout en lui permettant de réaliser des fantasmes… inavouables. Il pousse un soupir tellement gros que j’en suis toute décoiffée, avant de me répondre :— On en parle demain.A suivre.Si vous voulez me joindre, je suis ici : [email protected]

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CuckoldkonversationenTeil 1 – Das entscheidende GesprächEhefrau Juliana: Schatz, ich muss mit dir reden.Ehemann Marc: Was ist den los?Ehefrau Juliana: Ich weiß nicht so Recht wie ich es dir sagen soll.Ehemann Marc: Na komm schon, wie lange sind wir jetzt schon zusammen?!Ehefrau Juliana: Du hast mir doch mal gesagt, dass es dich erregt wenn mich fremde Männer anschauen bzw. das du gerne sehen möchtest wie ich mit anderen Männern schlafe.Ehemann Marc: Ja, und? Ich weiß ja das du es derzeit nicht machen möchtest und mir zuliebe brauchst du das auch nicht machen. Ich finde es ja schon toll das du für andere Männer Bilder machst oder wie mal mit anderen Männern skypen.Ehefrau Juliana: Mhhhh, ja…. Ich habe darüber nachgedacht und ich würde es gerne mal ausprobieren.Ehemann Marc: Hä? Was ausprobieren?Ehefrau Juliana: Naja, mit einem anderen Mann. Also nicht nur dir zuliebe, sondern weil ich mir in letzter zeit viele Gedanken darüber gemacht habe und ich merkte das es mich irgendwie auch reizen könnte.Ehemann Marc: Äh, ja. Ok, also gerne. Sorry das ich mich gerade nicht so freuen kann. Finde das jetzt schon geil, aber das kommt jetzt doch sehr überraschend.Ehefrau Juliana: Ich weiß, aber ich merke ja auch wie es dich beschäftigt. Jedes mal wenn du am PC sitzt und mit den anderen Männern schreibst, ihnen Bilder schickst oder wir zusammen camen. Mich hat das auch immer erregt wenn ich gesehen habe wie hart dein Schwanz wurde, wenn andere Männer auf mich gewichst haben.Ehemann Marc: Wie stellst du dir das jetzt vor? Hast du schon jemand? Ich hoffe doch nicht, sonst mache ich mir echt Gedanken.Ehefrau Juliana: Nein, nein. Wir suchen uns einfach einen Mann der uns sympathisch ist und dann mal schauen. Wir sind doch in ein paar Portalen angemeldet. Da können wir ja gleich mal schauen wenn du magst.Ehemann Marc: Klar, gerne. Hab jetzt schon wieder eine Latte in der Hose. Hätte mit allem gerechnet aber nicht mit dem jetzt.Ehefrau Juliana: Ich liebe dich Schatz und wenn es mir nicht zusagt dann sei nicht böse bitte.Ehemann Marc: Logisch, es bringt mir ja rein gar nichts wenn es dir nicht gefällt. Lass uns jetzt einfach mal suchen…Teil 2 – Der erste FremdsexEhefrau Juliana: Frank, ich bin bereit.Bull Frank: Wo, du bist eine superheisse Maus.Ehefrau Juliana: Vielen Dank, ich hoffe dir gefällt was du nun in Live siehst.Bull Frank: Du sahst schon auf den Bildern verdammt geil aus. In Natura bist du nochmal weitaus geiler. Ich liebe Frauen mit Kurven.Ehefrau Juliana: Marc, ist mit dir alles klar?Ehemann Marc: Ja, ich sitz hier einfach auf dem Stuhl und schaue zu. Ist bei dir alles in Ordnung?Ehefrau Juliana: Ja, bei mir ist alles ok. Ich bin nur nervös.Bull Frank: Juliana, du musst nicht nervös sein. Ich habe schon canlı bahis şirketleri Erfahrungen Paaren sammeln können, welche noch keine >Erfahrung im Cuckolding hatten. Ihr macht alles richtig. Lasst euch durch mich ein wenig führen.Ehefrau Juliana: Ok Frank. Tue es setzt. Dringe in mich ein.Bull Frank: Moment, ich rolle mir grade noch den Gummi über. Oha bist du feucht und eng.Ehefrau Juliana: Langsam Frank, dein Schwanz ist ein Stück größer als der von meinem Mann.Ehemann Marc: Kannst ruhig Wurmschwanz oder Kleinschwanz sagen Schatz. Machst du zuhause ja auch.Ehefrau Juliana: Sei ruhig Schatz. Schau einfach zu und wichse dabei.Bull Frank: Ja Cucky Marc sei ruhig und schaue zu wie ich deine Frau ficke. Langsam gleite ich aus ihrer Fotze rein und raus. Das geilt dich sicher jetzt total auf.Ehemann Marc: Ein megageiler Anblick ist das. Ich sage jetzt auch nichts mehr. Habt jetzt einfach euren Spaß.Bull Frank: Ist es so ok Juliana? Gefällt es dir?Ehefrau Juliana: Es ist noch ziemlich ungewohnt, aber es fühlt sich nicht schlecht an wie du mich stimulierst Frank. Ich weiß aber nicht ob ich beim ersten Fremdfick schon kommen kann. Besorge es heute bitte einfach nur dir und spritze ab.Bull Frank: Verstehe, kein Problem. Das mache ich liebend gerne. Aber spätestens beim nächsten Treffen kommst du auf deine Kosten und bekommst deinen ersten Orgasmus außerhalb der Ehe.Ehefrau Juliana: Komm fick jetzt schneller und härter.Bull Frank: Geil fühlst du dich scharf an. Ich komme gleich. Moment…. Ahhhhhhhhhh…. Ich bin gekommen.Ehefrau Juliana: Ich habe es gemerkt. Hat sich geil angefühlt. Marc kommst du auch gleich?Ehemann Marc: Ich hätte schon die ganze Zeit spritzen können. Darf ich den spritzen?Ehefrau Juliana: Ja, komm her und spritze mir alles auf meine Titten.Ehemann Marc: Gleich spritze ich Schatz. Drehe dich zu mir und drücke deine Titten bitte zusammen. Ich spritze jetzt… Oh Schatz war das geil. Ich liebe dich.Bull Frank: Das hast du gtu gemacht Marc. Juliana, wie war das erste mal?Ehefrau Juliana: Gar nicht so schlimm. Ich bin zwar nicht gekommen, aber ich denke das, wenn mein Schatz nichts dagegen hat, wir dss gerne wiederholen können irgendwann mal.Ehemann Marc: Ich habe gar nichts dagegen. Alles was du willst Schatz.Bull Frank. Das freut mich zu hören. Ich hoffe irgendwann ist nicht soweit weg. Ihr seid schon ein geiles Paar.Teil 3 – Die EntwicklungEhefrau Juliana: Cucky, machst du die Tür auf und schickst Frank gleich zu mir ins Schlafzimmer?Ehemann Marc: Ja Herrin, sehr gerne doch.Bull Frank: Hallo Cucky, schönst siehst du aus. Das Kleid, die Nylons und die Heels stehen dir. Zeig mir mal ob du auch schön deinen Peniskäfig tragen tust.Ehemann Marc: Hier Herr, schauen sie unter mein canlı kaçak iddaa Kleid.Bull Frank: Sehr schön. Wo ist den deine Ehehure?Ehemann Marc: Meine Herrin ist im Schlafzimmer und erwartet sie.Bull Frank: Na dann lassen wir die Dame des Hauses nicht warten. Du wartest vor der Tür des Schlafzimmers und darfst uns zuhören.Ehemann Marc: Wie sie wünschen Herr.Ehefrau Juliana: Hallo Frank, wo ist den unser Cucky?Bull Frank: Ich habe deinem Ehemann gesagt er darf heute nicht mit ins Schlafzimmer und zuschauen. Habe gesagt er soll vor der Türe warten. Er hört uns sicher gleich zu wie wir uns vergnügen.Ehefrau Juliana: Du bist aber gemein zu ihm. Was sagst du zu meinem Outfit?Bull Frank: Du siehst klasse aus. Die Strapse stehen dir ausgezeichnet.Ehefrau Juliana: Das freut mich. Die habe ich nur für dich gekauft. Ich sehe an deiner Hose auch schon das sie dir wohl mehr als nur gut an mir gefallen. Komm zieh dich aus und fick mich. Ich bin schon seit tagen schon total geil auf dich.Bull Frank: Na dann hättest du deinen Cucky solange dich lecken lassen sollen.Ehefrau Juliana: Schon, aber ich wollte das es ihn bis zum heutigen treffen auch so zerreißt wie mich. Wir sollten ihn vielleicht auch mal erlauben wieder zu wichsen. Wir halten ihn jetzt schon seit fast einem Monat keusch.Bull Frank: Wir schließen ihn nach unserem Fick später auf und geben ihm deine Strapse die du jetzt gerade trägst. Da wird er sicher schnell drauf abspritzen.Ehefrau Juliana: Eine gute Idee. So machen wir das. So und jetzt fick mich endlich und steck deinen geilen Schwanz in meine ausgehungerte Muschi.Bull Frank: Gefällt es dir wie ich dich gerade hämmere?Ehefrau Juliana: Ja, das ist soooo geil. Warte, nimm mich jetzt von hinten.Bull Frank: Geil, wie es klatscht. Ich liebe deinen geilen, prallen Arsch. Stöhne aber nicht so laut. Marc ist sicher schon richtig spitz vor lauter zuhören.Ehefrau Juliana: Mir egal, besorge es mir richtig Frank.Bull Frank: Kommst du auch gleich? Seitdem wir ohne Gummi ficken fällt es mir schwerer bei dir einzuhalten.Ehefrau Juliana: Ja, stoß mich noch kurz und ich explodiere. Ich komme Frank, ich komme. Jaaaaaaa…Bull Frank: Ich jetzt auch, Juliana, aaahhhh, Juliana, du geile Sau.Ehefrau Juliana: Du weißt echt wie man es einer Frau besorgt.Bull Frank: Und du melkst Schwänze mit deiner Muschi ja regelrecht ab. Du bist der absolute Hammer Juliana.Teil 4 – Die ultimative ErniedrigungBull Frank: Na Marc, wo ist die benutzbare Ehehure gerade?Ehemann Marc: Herr, die Ehehure kommt jeden Moment um mit ihnen wegzufahren.Bull Frank: Das ist gut. Während ich mit der Ehehure weg bin, möchte ich das du via Handy uns zuhörst. Ich will das du alles mitbekommst. Verstanden?Ehemann Marc: Ja Herr. Ich habe verstanden.Ehefrau canlı kaçak bahis Juliana: Herr, ich bin bereit. Wir können gehen.Bull Frank: Du geile Ehehure du. Hast dich ja mal wieder richtig geil angezogen. So gehört sich das.Bull Frank: Wir fahren jetzt zu mir, ich hoffe du hast dem Cucky nicht vorab erzählt was du tun solltest.Ehefrau Juliana: Nein Herr, ich habe ihm nicht erzählt das ich seit Wochen die Pille nicht mehr nehme.Bull Frank: Naja jetzt wo du es gesagt hast, weiß es der Cucky nun. Ich würde gerne mal wissen was jetzt in ihm vorgeht.Ehefrau Juliana: So wie ich den Cucky kenne wird es ihn sogar erregen. Ich bin aber bereit und wünsche es mir.Bull Frank: Hier Juliana, sprich ganz deutlich in das Handy. Sag was du dir wünschst.Ehefrau Juliana: Herr, ich wünsche mir die Fremdschwängerung. Wie sie wollten, setzte ich die Pille ab um ihren Wunsch der Schwängerung nachzukommen.Bull Frank: Ich freue mich schon wenn du dicker und dicker wirst und dein Bauch wächst. Der Cucky wird Tag für Tag sehen wie dein Bauch weiter wächst. Er wird immer vor Augen haben, das sich seine Ehehure mit dem Bull ultimativ verbunden hat. Mein Samen wird dich befruchten. Wir werden für immer eins sein. Ich werde dir näher sein als dein Ehemann es jemals dir war.Ehefrau Juliana: Herr, ich bin jetzt bereit für sie.Bull Frank: Ich ficke dich jetzt ohne Verhütung. Dein Ehemann der Cucky wird zeuge werden und am Handy hören, wie ich dir meinen Samen in deine ungeschützte Fotze spritze.Ehefrau Juliana: Es erregt mich gerade auch sie zu spüren und zu wissen das ihr Samen und meine Eizelle sich gleich verbinden werden.Bull Frank: Ja Juliana, du wirst gleich dick gemacht.Ehefrau Juliana: Ja Frank, entschuldige Herr. Spritz alles in mich rein. Schenke mir deinen Samen. Mach mich dick. Ich will es. Spritz, spritz.Bull Frank: Jaaaaaaaa, ich spritze in dir ab.Ehefrau Juliana: Wie geil, ich merke wie dein Sperma an meinen Muttermund geklatscht ist. Merkst du wie meine Fotze dabei kontrahiert hat? Ich hatte mit dir zusammen einen Orgasmus.Teil 5 – Das weitere CuckoldlebenBull Frank: Ich fahre mit Juliana gleich in die Disco. Du passt auf das Baby solange auf Marc.Ehemann Marc: Natürlich Frank. Viel Spaß euch beiden.Ehefrau Juliana: Marc, danke. Warte nicht auf uns. Es kann später werden.Ehemann Marc: Alles klar. Viel Spaß.Bull Frank: Den werde ich mit deiner Ehefrau bzw. meiner Freundin haben. Ich habe es zwar schonmal gesagt, aber ich finde es tol das wir nun so ein leben führen und vor allem jeder seine Rolle mag und liebt so wie sie ist.Ehefrau Juliana: Das stimmt. Ich hätte das im Nachhinein früher niemals für möglich gehalten.Ehemann Marc: Ich auch nicht, auch wenn ich es mir irgendwie schon immer so gewünscht habe.Bull Frank: Ist ja jetzt auch egal. Du fickst einfach jetzt Gummipuppen und bist froh. Ich deine Frau und bin froh und deine Frau ebenso.Ehefrau Juliana: Frank du Poet.Bull frank: Also wir gehen dann mal.Ehefrau Juliana: Bis dann Marc. Ich liebe dich….

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Die Badehose, 11. Teil

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Die Badehose, 11. TeilJonas und ich lagen nach der Aktion in der Umkleide und anschließend dem Treffen mit Phillip und Oleg unter der Dusche noch einige Zeit auf unserer Decke und genossen die Sonne. Ich konnte mich die ganze Zeit nicht an Jonas satt sehen, der mit meiner Badehose einen äußerst leckeren Anblick darbot. Ich konnte nicht anders und musste ihn die ganze Zeit auf seinen Hintern gucken wenn er auf dem Bauch lag. Der er fast die ganze Zeit eine Latte in der knappen Badehose hatte, lag er ohnehin fast nur auf dem Bauch. Doch auch wenn er sich umdrehte, wurde es nicht besser. Dann hatte ich freien Blick auf sein ganzes Paket, das er schamlos zur Schau stellte. Auch einige andere Besucher kamen nicht umhin, Jonas seinen Körper zu bestaunen. Ich konnte den ein oder anderen sehen, der es nicht schaffte an ihm vorbei zu sehen. Ich stellte mir vor, was die Leute wohl denken würden, als sie Jonas bestaunten. Meistens handelte es sich dabei um Jungs. Aber auch ein paar Männer schauten sich ein wenig länger nach Jonas um. Verdenken konnte ich es ihnen nicht, denn ich hatte mich selbst ziemlich in meinen besten Kumpel verguckt. Es war mittlerweile schon fast 16.00 Uhr, als Jonas und ich beschlossen dass es für heute reichen sollte. Also machten wir uns wieder auf den Weg zu den Umkleiden. Wir waren fast angekommen, als mein Herzschlag mal wieder kurz aussetzte. Vor den Umkleiden stand Christian mit dem jungen Bademeister, der heute Aufsicht hatte. Ich wurde sicherlich wieder rot, als wir uns ihnen näherten. Schon sah mich nun auch Christian und ich konnte ein Lächeln auf seinem Gesicht erkennen. Das beruhigte mich dann doch ein wenig, da ich nicht wusste, wie ich mich ihm gegenüber verhalten sollte.  „Hallo Lukas.”, sprach er mich gleich an. „Wie geht’s dir?” „Hi Christian. Alles bestens. Was machst du hier draußen. Gar nicht mehr am Trainieren?” „Ich habe für heute Schluss gemacht. Das ist übrigens mein Mannschaftskamerad Tobias. Wir Trainieren zusammen für das Turmspringen und machen ab und zu mal den Bademeister hier. Und wer trägt da deine Badehose? Die passt ihm aber auch wie angegossen.”  Mist. Ich wurde sicherlich wieder rot wie eine Tomate. Natürlich hatte sofort gesehen, dass Jonas die Badehose an hatte, die er mir gestern gegeben hatte. „Aber vorhin hast du doch die Badehose angehabt.”, entgegnete nun Tobias. „Hab euch nämlich die ganze Zeit beobachtet, als ihr im Schwimmbecken wart. Dachte schon, dass ich euch verwarnen muss, weil ihr auch die anderen Gäste belästigt habt. Aber dann seit ihr kurze Zeit später eh nach draußen gegangen. Zumindest dein Kumpel. Wie heißt du überhaupt?”, fragte er direkt an Jonas gerichtet. „Ich heiße Jonas und gehe mit Lukas in eine Klasse. Zusammen Fußball spielen wir auch.”. Dabei streckte er seine Hand aus, um sie Tobias zu reichen. Beide reichten sich ihre Hände und hielten sie ziemlich lange. Ich hatte den Eindruck, dass vor allem Tobias die Hand nicht von Jonas trennen konnte. Tobias war ungefähr so groß wie Christian und war auch ähnlich gebaut. Er hatte nur eine kurze weiße Short an, sonst nichts. Auch er hatte ordentlich Muskeln an seinem Körper. Genau wie Christian war er vollkommen unbehaart, sah man von seinen dunkelblonden Haaren auf dem Kopf ab. Ich fragte illegal bahis mich sofort, ob er etwa auch ein so großes Teil wie Christian hatte und starte ihm auf seine Beule in der Hose. Christian muss etwas bemerkt haben, denn als ich wieder zu ihm schaute, grinste er mich an und zwinkerte mir zu. Ich musste mal wieder trocken schlucken. Christian muss irgendetwas im Sc***de geführt haben. Er grinste bis über beide Backen und tuschelte mit Tobias etwas, der daraufhin auch breit grinste.  „Was macht ihr noch so? Ich habe für heute Schluss gemacht und Tobias macht jetzt auch Feierabend.” „Wir wollten nachher noch zu einem anderen Kumpel. Den seine Eltern sind nicht da, sondern auf Geschäftsreise.”, sagte ich zu den Beiden. „Heißt der Typ etwa Phillip?”, fragte uns Christian. „Ja. Aber woher weißt du das?”, fragte Jonas mit stockender Stimme.  „Weil seine Mutter meine Schwester ist.”, grinste uns Christian an. „Miene Eltern haben halt ziemlich früh angefangen. Und dann haben sie noch Mal nachgelegt nach 16 Jahren. Und meine Schwester war auch erst 18, als sie Phillip bekommen hat. Ist denn mein Neffe auch noch da? Den hab ich vorhin auch gesehen, als er Richtung Umkleide gegangen ist. Kurz nachdem ihr dahin verschwunden seit, wie mir Tobias berichtet hat.” „Der ist schon nach Hause gegangen.”, erklärte ich sofort. Ich wusste nicht, wo das ganze noch hinführen würde. Was führte Christian im Sc***de.  „Ich glaube, dass ich meinem Cousin nachher noch einen Besuch abstatten werde. Wie sieht es aus Tobi. Wollen wir noch auf den kleinen Bengel aufpassen?” Das dabei sein Paket leicht aufzuckte, konnte ich aus meiner Position genau beobachten. Auch bei seinem Kumpel Tobias schien es mir so, dass die enge weiße Short schon mehr ausgefüllt war als am Anfang unseres Gesprächs. „Ich bring dann auch ne Badehose für deinen Kumpel mit.”, grinste Christian uns beide an. Ich muss gestehen, dass mir die Sache erst ein bisschen unangenehm war. Doch je mehr ich mich mit dem Gedanken anfreundete, dass Christian mit seinem Kumpel vorbei kommen würde, ließ meinen Prügel ebenfalls wieder zucken. „Sagt aber Phillip nicht, dass ich noch vorbei komme. Tut einfach so, als wenn ihr von nichts wüsstet. Den Rest erledigen wir dann.” Nun war es wieder Jonas der mit großen Augen zu Christian guckte. Wussten die Beiden bescheid, dass wir es getrieben haben. Der letzte Funke Zweifel wurde beseitigt, als Tobias meinte: „Brauchst gar nicht so zu gucken. Das ihr es euch in der Kabine heftig besorgt habt, war fast bis auf den nächsten Gang zu hören. Ich musste mich echt beherrschen, nicht die Kabine zu stürmen. Und als ich dann auch noch die beiden Jungs gesehen habe, die in die Nachbarkabine verschwunden waren, hab ich Christian geholt. Eigentlich wollte ich euch beide überraschen, aber als Christian unter die Kabinenwand geschaut hatte, konnte er die Badehose sehen, die er deinem Kumpel gestern geschenkt hatte.” Jonas stand immer noch ein Fragezeichen im Gesicht. „Christian ist der Typ der mich vor dir schon mal aufgebockt hat.” Jonas ging ein Licht auf. Zwar schaute er immer noch, als wenn er gerade Probleme hatte, dass alles zu verarbeiten, doch langsam kam er dahinter. „Dein erstes Mal war gestern mit Christian?” „Ja. Er ist dir nur kurz zuvor illegal bahis siteleri gekommen.”  „Schade. Aber da hätte ich auch nicht widerstehen können.”, war alles was Jonas noch dazu sagte. Das brachte wieder ein breites Grinsen in die Gesichter der beiden 19jährigen Schwimmer. Zu allem Überfluss merkte ich, wie es sich in meiner Hose wieder regte. Ein kurzer Blick in die Runde und ich konnte erkennen, dass es den anderen auch nicht besser ging. Vor allem Jonas und Tobias boten einen verschärften Anblick. Da Jonas die enge Badehose anhatte, konnte er seinen mittlerweile wieder Steifen nicht verbergen. Die Spitze konnte gerade so vom Bund der Hose im Zaum gehalten werden. Der Prügel stakte ihm nach links in der Schenkelbeuge und zuckte dabei unentwegt. Auch bei Tobias konnte die enge weiße Short seinen Prachtriemen nicht verbergen. Sein Teil baute ein Zelt, das ebenfalls nicht von schlechten Eltern war. Als wenn er meine Gedanken lesen konnte, grinste er mich an und meinte nur: „Der ist zwar nicht beschnitten, aber dafür fast so groß wie Christians.” Ich musste trocken schlucken und wurde sicherlich mal wieder rot. Man war ich so einfach zu durchschauen? Ich konnte den ganzen Tag nur an Schwänze denken und nun stand ich im Freibad in den Umkleiden und unterhielt mich mit zwei jungen Männern und meinem besten Kumpel über steife Schwänze, als wenn es das natürlichste der Welt wäre. Gestern dachte ich noch nicht mal an andere Jungs und heute hatte sich das Blatt vollkommen gewendet.  „Also entweder gehen wir jetzt zu viert nach hinten in den Privatbereich, oder ich spritz mir gleich in die Hose. Wie wär`s. Habt ihr noch mal Bock vor heute Abend loszulegen? Ich hab den Schlüssel und wir sind ungestört.”  Dabei hielt Tobias den Schlüssel schon vor unsere Augen. Ich wusste zwar nicht was Jonas dachte, aber bei mir hatte es Tobias schon geschafft, als er die Bemerkung mit seiner Schwanzgröße raus gelassen hatte. Ein Blick zu Jonas reichte aber, um mir zu zeigen, dass er jetzt auch zu allem bereit war. Sein Blick war schon irgendwie glasig vor Geilheit und sein Schwanz zuckte immer noch in der engen Badehose.  „Ich hab ne Idee.”, meldete sich Christian wieder. „Drinnen ist Feierabend und ich hab vorhin noch die Sauna angemacht. Da können wir uns ungestört aufhalten, wenn ihr wollt.” Seine Stimme brach sich fast, als er uns den Vorschlag machte. Mir war eh alles egal, Hauptsache ich konnte den Druck auf meinem Schwanz loswerden. Ich stimmte zu und auch Jonas war einverstanden. Wir gingen gleich nach hinten durch die Umkleiden, wo Tobias eine Tür aufschloss. Sofort waren wir im Innenbereich der Halle. Tobias ging rasch voran und blickte sich einige Male über seine Schulter nach hinten. In der Mitte gingen Jonas und ich und Christian bildete das Schlusslicht. Wir gingen durch verschiedene Gänge, die mit jeder Menge Rohren versehen waren. Hier und dort zischte es ein wenig und schließlich kamen wir wieder an eine Tür. Schon waren wir im hinteren Bereich des Hallenbades. Noch mal durch einen dunklen Gang und schon waren wir im Saunabereich des Hallenbades. „Kommt hier denn keiner mehr hin?”, fragte Jonas. Anscheinend reichte es ihm aus, an einem Tag und bei einer Nummer mit einem Boy gleich von zwei Pärchen canlı bahis siteleri erwischt zu werden.  Christian und Tobias lachten beide. „Hier kann keiner mehr rein kommen. Ich habe die Türen verschlossen und habe den einzigen Generalschlüssel.”, lachte Tobias.  Wir standen im Umkleidebereich zu den Saunen. Tobias machte den Anfang und fing an, sich sein Muskelshirt über den Kopf zu ziehen. Wie ich vorher schon vermutet hatte, war sein ganzer Oberkörper mit fein definierten Muskeln übersäht. Genau wie Christian hatte er einen verschärften Waschbrettbauch und muskulöse Brüste. Nicht ein Härchen war auf seinem Oberkörper zu sehen.  „Na los. Die Sauna läuft schon.”, sagte er nur kurz und machte sich daran auch seine enge Short über die Hüften zu streifen. Darunter kam erst noch eine enge weiße Badehose zum Vorschein, die von seinem steifen Schwanz schon fast gesprengt wurde. Man der muss ja auch ziemlich geil sein, dachte ich mir. Aber ich hatte ja auch schon wieder ein Rohr. Also fing ich ebenfalls an, mir die Badeshort von Jonas über meine Hüften zu streifen. Ich war der erste der vollkommen nackt vor der Sauna stand. Doch nicht lange und schon folgten mir die anderen. Schließlich waren wir alle vollkommen nackt und jeder konnte einen steifen Prügel vorweisen, der vor Freude schon wieder zuckte.  „Wir brauchen noch Handtücher.”, meinte Christian und ging kurz um die Ecke. Schon kam er mit vier großen Handtüchern wieder. Jeder erhielt ein von ihm und schon ging es los. Natürlich mussten wir uns noch kurz abduschen. Das war für mich die Gelegenheit Tobias sein Teil noch mal genauer unter die Lupe zu nehmen. Wie er bereits versprochen hatte, konnte er auch mit einem netten Geschoss aufwarten. Zwar war es nicht ganz so lang wie das Teil von Christian mit 23 Zentimetern, aber konnte stolze 21 Zentimeter steifes Schwanzfleisch vorweisen. Vom Umfang her schienen sich die beiden Raketen der Schwimmer nichts zu nehmen. Auch Tobias hatte gestutztes Schamhaar.  „Schon mal in ner Sauna gewesen?”, fragte Christian. Ich schüttelte den Kopf, da ich nicht mehr klar denken und sprechen konnte. Ich war dabei es mit drei Typen in einer Sauna krachen zu lassen. Ich war echt nur noch auf Schwänze fixiert und auch mein Loch zuckte vor geiler Erwartung. Ich war mir nämlich sicher, dass ich noch in der Sauna wieder einen verbraten bekommen würde. Schlagartig wurde mir klar, dass auch Jonas womöglich sein erstes Mal vor sich hatte. Ich schaute mir Jonas noch mal an. Aber auch der schien wie auf einem anderen Planeten. Er blickte hektisch von einem Schwanz auf den anderen und auch immer wieder in die Gesichter von uns anderen Jungs. Dabei knetete er langsam seinen eigenen Schwanz, der inzwischen wieder vollsteif war.  „Nettes Teil.”, sagte Christian an Jonas gewand, „Aber was hältst du von dem hier?”. Dabei wedelte er mit seiner Latte vor Jonas Augen. Ich konnte erkennen, dass es Jonas nicht lassen konnte den Blick vom Monsterprügel zu nehmen.  „Der sieht voll Geil aus.”, brachte er nach einer ganzen Weile hervor.  „Na dann komm mal mit in die Sauna. Da zeig ich dir mal, was der so alles kann.” Damit war klar, dass sich Christian mit Jonas befassen würde. Ich war fast erleichtert. Denn ich wusste von gestern dass Christan zwar einen Mörderschwanz hatte, er aber damit nicht brutal umging. Sollte er versuchen Jonas zu ficken, war ich mir sicher dass er in guten Händen war. Auch Tobias und ich verständigten uns mit Blicken kurz, schon folgten wir den Beiden in die Sauna. ………….

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