On se trompe lors de notre lune miel

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On se trompe lors de notre lune mielJ’étais l’homme le plus heureux au monde ! Je venais tout juste de me marier avec la seule femme que j’ai toujours aimé, mon amour de toujours, que j’ai rencontré au lycée et que je n’ai jamais quitté depuis. On avait tout deux 26 ans, elle s’appelle Anna, une très jolie brune de taille moyenne et très svelte grâce à sa passion pour les marathons. On venait donc de se marier et comme cadeau de mariage notre amie Samantha, bossant pour une agence de location, nous fit un prix plus qu’intéressant pour la location d’une sublime villa à la Réunion avec plage privé pour toute une semaine. Cette location nous promettait une lune de miel plus que sublime et intense. Après un long trajet en avion, on finit enfin par arriver devant cette villa. Une chose est sûr, Samantha ne nous avait pas mentit sur le cadre magnifique entourant cette villa. On posa nos valises dans le salon et tel des enfants, on se dirigea rapidement voir notre chambre. – On va passer une lune de miel sensationnelle, dis-je émerveillé à ma femme. – Et très coquine. Tout en me disant cela, elle avait commençait à retirer ma ceinture avant de baisser la fermeture de mon jeans pour libérer mon sexe. Une fois cela fait, elle s’attaqua à mon pénis, elle fit passer sa langue en spiral autour de mon gland tout en accélérant la cadence. Après plusieurs minutes de ce traitement divin, je sentais qu’elle avait envie que je m’occupe d’elle. Ainsi, je l’enlaçais afin de l’embrasser. On retira le reste de nos vêtements, j’embrassais ses seins avant de m’attarder un peu sur ses tétons qui se réveillaient. Elle passa ses mains dans mes cheveux alors que je descendais petit à petit vers son ventre, embrassant son nombril au passage. Je posais ensuite mes mains sur ses fesses, je la sentis immédiatement frémir. Je passais mes doigts entre ses lèvres, les caressaient, ce qui la fit elle gémir. J’approchais ma langue pour débuter un cunni, doucement, tendrement, j’aimais son goût. Il était plus que temps de passer à l’étape suivante, elle saisit mon pénis et le dirigea vers l’entrée de son vagin. Je donnais un coup de reins pour débuter la pénétration, elle se mordit les lèvres. Je me mis a aller et venir doucement mais profondément, avant d’accélérer mes mouvements. Je lui caressais dans le même temps son beau visage avant de plonger ma langue dans sa bouche. Au bout d’un moment, je sentais l’orgasme approcher, elle aussi, soudain nos corps s’immobilisèrent et je jouis en elle. – Notre lune de miel commence de la meilleure des façons !Après ces quelques mots de sa part, nous primes notre douche ensemble, je lui caressais le dos et les fesses. Soudain mon pénis se redressa, je la pris alors par les hanches, la courba et la pris par derrière. Ce moment était des plus agréable grâce au jet d’eau qui nous arrosait pendant l’acte. Je donnais de vrai coup de butoir, elle criait de plaisir comme jamais. Cette fois-ci, je me retirais d’elle à temps. Du coup, elle se retourna pour prendre mon sexe en bouche pour me finir. Une fois notre vraie douche prise, on alla se détendre au bord de la piscine lorsqu’on entendit du bruit venant de la porte d’entrée. On s’y rendit immédiatement et on eu la très désagréable surprise de tomber sur un couple. Ceux-ci affirmèrent avoir loué la villa pour le week-end. Devant l’incompréhension générale, j’appelais mon amie Samantha et lui expliqua la situation. – Je ne sais pas comment te l’annoncer… Mais… Mais il a raison. Pour une raison que j’ignore, on vous a loué cette villa à tous les quatre… – Mais il n’y a pas une autre villa de disponible ?- Non désolé mais je connais bien cette villa, elle est très grande, vous pouvez passer vos vacances sans même les croiser de toute une journée.Etant plus qu’en colère, je mis fin à cette conversation téléphone canlı bahis şirketleri et expliqua tout à ma femme et à ce couple. Après plusieurs minutes de discussion avec ce couple et à cause du fait qu’aucun de nous n’avait de plan B, on décida de se partager la maison et de prendre un apéro histoire de faire connaissance. Le point positif était que ce couple paressait très sympa. Ils étaient tous deux métisses et proche de la cinquantaine. Lui, était plutôt grand, les cheveux gris et un physique d’ancien sportif. Tandis que sa femme était de taille moyenne, les cheveux ondulés et brun. On passa la soirée entre couple en évoquant nos métiers et comment on c’était mis ensemble, ce qui nous permis de nous rendre compte que tous les quatre n’avions jamais fréquenté d’autres personnes que nos amours respectifs. Il devait être dans les une heure du matin lorsque l’autre couple décida d’aller se coucher, nous laissant seule au bord de la piscine. Une fois partie, ma femme me proposa de prendre un bain de minuit. On se précipita dans l’eau et très vite elle s’approcha de moi pour m’embrasser tout en me saisissant mon pénis pour me masturber sous l’eau. On finit par retourner dans notre chambre. Avant de nous coucher, on pris une douche. Toujours très excité par l’épisode de la piscine, je me posais mes mains sur sa poitrine afin de les caresser délicatement en faisant rouler ses tétons sous mes doigts avant de descendre l’une de mes mains jusqu’à son entre cuisse pour lui caresser les lèvres et y introduire un doigt. Elle commença à gémir et sa respiration s’accéléra. Elle me demanda de la prendre, je continuais de la masturber jusqu’à ce que je sente ses muscles se contracter lors d’un orgasme violent. Elle s’est alors retournée et guida mon pénis jusqu’à son sexe pour l’y faire pénétrer. Je lui relevais ses cuisses puis j’ai commencé les va-et-vient dans son vagin. Elle recommença à gémir et avança son bassin pour accentuer ma pénétration. J’ai alors augmenté la vitesse et la profondeur de mes gestes pendant de longue minute. A son second orgasme, j’éjaculais au fond de son corps. Elle m’embrassa avant de s’agenouiller afin de prendre ma bite pour la mettre délicatement dans sa bouche histoire de me nettoyer un peu.Le lendemain matin, on descendit ensemble au jardin pour prendre le petit déjeuné. L’autre homme était présent mais pas sa femme. Après avoir discuté de tout et de rien avec lui, on finit par le laisser seul, Anna décida d’aller bronzer un peu au bord de la piscine. N’ayant pas mon maillot sur moi, je remontais en direction de ma chambre pour le chercher. Mais en chemin, je passais devant leur chambre, la porte était entre-ouverte, je vis alors sa femme, avec une simple serviette l’entourant, regarder divers maillot de bain dans sa valise. Je fus alors pris d’une terrible érection, je commençais même à me masturber devant cette magnifique femme. Malheureusement pour moi, je fis un léger bruit et elle me vit. Elle ouvra la porte et me fit rentrer dans sa chambre. – Ca vous arrive souvent de jouer les voyeurs ? – Euh non… Je suis désolé.Elle vit la bosse sur mon short.- Eh bien, je ne pensais pas faire autant d’effet à un jeune homme à mon âge. – Je suis vraiment désolé mais si ça peut vous rassurer, je n’ai rien vu.- C’est vrai, vous n’avez rien vu pour l’instant. Tout en me disant cela, elle laissa tomber la serviette qui l’entourait. Je pus voir sa très belle poitrine, en tout cas, elle était bien plus grosse que celle de ma femme.- Maintenant vous m’avez vu nue. Je ne savais plus quoi lui répondre étant trop captivé par son corps. Devant mon inaction, elle mise sa main dans mon short pour y sortir mon pénis qui était sur le point d’exploser. – Non désolé, je ne peux pas tromper ma femme. Lui dis-je avant de partir très vite de la canlı kaçak iddaa pièce. Après m’être calmé, je me rendis au bord de la piscine. Je fus alors surpris de constater qu’Anna était en topless en compagnie de l’autre homme, elle qui était plutôt pudique d’habitude avec d’autre que moi. L’autre femme finit elle aussi par nous rejoindre, j’étais très gêné par sa présence, j’évitais de croiser son regard le plus possible avant qu’elle ne s’adresse directement à moi. – J’ai un service à vous demander, j’aimerai que vous m’aidiez à placer les valises en haut de notre armoire.- Je le ferais bien moi même mais mon dos me fait trop souffrir aujourd’hui, me dit son mari.- Il n’y a aucun problème il va vous aider, dit ma femme. Du coup, je ne pouvais trouver aucune excuse pour éviter de me retrouver seule avec elle. Une fois dans sa chambre, elle se rapprocha de moi pour m’embrasser.- On en a tous les deux envies, alors faisons le ! Me dit-elle. On continua de s’embrasser avant qu’elle ne s’éloigne vers son lit, tout en enlevant le bas de son maillot. Je montai sur le lit et me glissai au niveau de ses jambes afin de commencer un cunni. Ma langue fouillait son intimité, mon index lui titillait son clitoris qui commençait à se dresser. Je rentrais un doigt dans cette fente étroite pour débuter des va-et-vient lui arrachant des soupirs qui m’excitaient encore plus. Soudain je me redressais et sans même lui demander lui présentais mon gland à l’entrée de sa bouche.Sa langue était douce, elle passait sur mon gland, le long de ma verge, elle aspirait de manière saccadée mon sexe qui ne demandait que ça. Ses mains firent de lent va-et-vient sur ma verge qui était prête à exploser. Ses va-et-vient s’accélèrent, je n’allais pas pouvoir tenir longtemps. Elle aspira maintenant mon sexe au fond de sa gorge. Je n’en pouvais plus, du coup à ce moment là, je lui déversais ma semence au fond de sa gorge par deux grandes saccades. Les lèvres brillantes, elle se releva, partit dans sa salle de bain puis revint vers moi.- Bon, il va falloir qu’on redescende, sinon ils vont commencer à se poser des questions.Elle avait entièrement raison. Arrivé en bas, on eut la grande surprise de voir dans la cuisine, ma femme faire la vaisselle avec l’autre homme mais pendant qu’elle le faisait, lui était collé à elle entrain de la caresser un peu partout. On s’arrêta alors sans faire de bruit pour observer la suite. Le mari venait de commencer à caresser la poitrine de ma femme avant qu’elle ne se retourne pour l’embrasser. Puis elle s’est agenouillée devant lui pour lui baisser son short. Sans plus attendre, elle saisit son pénis et commença à lui faire une fellation.Après quelques minutes, elle se releva, je pensais qu’il avait joui dans sa bouche, mais non, il déplaça une chaise qui se trouvait près de la table, ma femme se coucha sur celle-ci avant d’ouvrir ses jambes. Il s’est approché d’elle et à commençait à la pénétrer. Elle a relevé ses jambes en les tenant de ses mains, il commença à pistonner ma femme sauvagement tout en lui caressant sa poitrine. Etrangement, j’étais de plus en plus excité par la situation, une nouvelle érection se dessiné sous mon short. Etant plus qu’excité, je pris la main de la femme pour l’emmener dans sa chambre. Je la jetais sur son lit avant de me placer au dessus d’elle. Je lui caressait sa belle poitrine, ses tétons ont vite durcis, les léchais, et les pinçais. Tout en continuant cela, je descendis une main vers le bas de son maillot qui était trempée, signe que comme pour moi, la vision de son mari se tapant ma femme l’avait excitée. Je lui enlevais de ce fait le bas de son maillot et lui caressais le minou en m’attardant sur son clitoris. Je glissais un doigt à l’intérieur qui entra sans problème, puis un deuxième et enfin un troisième. Je la doigtais canlı kaçak bahis donc avec trois doigts tout en lui léchant sa poitrine. J’entendis sa respiration accélérée. Du coup, j’arrêtais tout pour lui lécher son clito. Des gémissements se faisaient entendre, je rentrais et sortais ma langue de sa chatte qui dégoulinait de mouille. A l’aide de ses deux mains, elle appuya ma tête contre son minou. Puis, je remontais ma bouche pleine de mouille pour l’embrasser. Elle me poussa alors sur le coté, sur le dos, avant de me prendre en bouche ! Je prenais sa tête afin de l’appuyer sur mon sexe, elle semblait avoir un peu de mal mal à respirer, étouffée par mon pénis. Je la fis alors remonter vers moi. Sans perdre une seconde, elle sauta sur ma bite. Elle était donc sur moi entrain de se pénétrer elle même avec mon sexe pendant que moi, en dessous, je lui massais sa poitrine. Puis, je posais mes mains sur ses fesses pour accélérer les mouvements mais on fut obligé de tout arrêter car on entendit du bruit venant d’en bas. Je pris mes affaires et sortis rapidement de sa chambre. Une fois dans ma chambre, je vis ma femme sortir de la douche. – Alors, tu as aimé ce que tu as vu en bas ? – Vous saviez qu’on était là ? Lui demandais-je fort surpris.- Bien entendu, et on vous a ensuite entendu en haut, c’était bien ?- Vous avez terminé trop tôt, du coup, on a pas pu finir. – Mince, donc je suis la seule de nous deux à avoir pris mon pied jusqu’au bout ?- On dirait bien.- Il va donc falloir que tu me punisses pour cela !Etant excité par son petit jeu, je la fis se mettre sur le lit pour lui donner quelques fessés, à peine appuyées. – C’est tout ?! C’est pas ce que j’appelle une punition !Je commençais alors une longue série de fessé qui allait crescendo en puissance. Elle ne semblait pas vouloir que je stoppe mes fessés alors que son cul commençait à prendre des couleurs.- Mais tu sembles adorer ça en plus !Elle était effectivement dégoulinante de mouille. Du coup, je l’a fit se relever et se cambrer un maximum sur le lit. J’écartais ses fesses pour lécher sa raie ainsi que son petit trou. Je crachais dans son sillon avant de tenter d’introduire doucement un doigt. Son cul était bien étroit, bien serré, mais il s’ouvrait légèrement pour me laisser passer. – Attends, tu ne vas quand même pas me sodomiser ?!- C’est toi qui a demandé à être punie, alors assumes ta punition !Il faut dire que l’on avait jamais pratiqué la sodomie tous les deux malgré mon envie. Je continuais la préparation en faisant des va-et-vient, alternant entre mon doigt et ma langue, avant d’y introduire un second doigt. Elle poussa des petits cris de douleur, très vite remplacés par des gémissements de plaisir. Mais il était enfin temps de passer à l’étape suivante, doucement, je commençais à introduire mon pénis dans son petit trou. Je venais en elle, lentement mais sûrement. Elle semblait apprécier mes mouvements doux en elle, et en voulait plus. – Vas-y, défonces moi, punis la salope que je suis ! J’accélérais du coup mes mouvements, je la tenais bien serrée contre moi et la sodomisais maintenant sur toute la longueur, elle gémissait continuellement en donnant de grands coups de cul en arrière. Je tenais fermement son cul dans mes deux mains, la vue était magnifique et après l’avoir admirée un moment en lui caressant les hanches, j’y allais franchement de nouveau. Je la sodomisais comme ça un bon moment, n’en revenant pas de ma chance de prendre enfin ces fesses qui me faisait envie depuis toujours. Ses petits cris se transformèrent en gémissements, ses gémissements en râle de plaisir, et alors que je donnais un dernier coup de rein avant d’éjaculer en elle, elle jouit une nouvelle fois. Je n’en revenais pas, elle venait de jouir alors que je la sodomisais. D’ailleurs, je n’avais jamais éjaculé une telle quantité de sperme. On se releva pour s’embrasser intensément avant qu’on ne s’excuse tous les deux de s’être trompé mutuellement pendant notre lune de miel sachant bien qu’aucun de nous n’avez de regret sur le fait d’avoir trompé l’autre.

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Club Gomorrah. Part 7. Bitter Medicine. (Path B)

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Club Gomorrah. Part 7. Bitter Medicine. (Path B)*Everything here is fiction.*Title: Club Gomorrah.Chapter Six B: Bitter Medicine. (Refrain)I knew I was in trouble the second the whip fell from my fingers. Ona bolted across the room, yanking my head back by my hair and forced me to the ground. In total silence she dragged me beside Maria and began restraining me in the same way as her, my caged cock and plump ass exposed. “Looks like you need to be taught a lesson too Riley.” Her words were cold, but they had an anticipation in them too. Ona placed a mirror in front of us so she could watch the look on our faces as she began tormenting us with Shankebite.“Hmmm, now who gets the first lash?”Maria began fighting against her restraints, begging in vain through her gag. I had never been whipped before so I had no idea what to expect.“Maybe we should make a game out of this, oh I know!” She cheered, jumping on the spot. “As Maria can’t speak but you can you get to decide when I switch who I whip. I’ll start with you and when you cant take it anymore I’ll switch to Maria. You have to ask me to whip you though. If you don’t… I’ll keep going until I’m bored.”Maria simply shook her head, again silently pleading with me. I was no longer holding the whip, but I was still whipping.“Ok, san, ni, ichi… (Three two one)”“Wait, I.”Before I could finish my plea the pain shot through my ass, the appropriately named Snakebite had bit deep into my flesh. My scream echoed through the room as a moment later the second slash fell across my ass and then a third.“Please, oh god pleas stop.” I squealed as more attacks came, Ona cheering with each one. My begging continued as tears began to trickle down my face, on the eighth lashing I begged Ona to switch to Maria, calling her name again and again. Maria’s muffled screams grew quickly as I watched her, holding back my whimpers as my body shook with each crash of the leather on skin.“By the way Riley, when I switch… I make it hurt more.” Ona laughed as she continued to whip away at Maria. I processed the new rule with a horrifying revelation, to stop Maria’s pain I was asking for more but I was also giving more when I inevitably begged for Ona to switch. Maria was almost at her limit… and so the cycle continued.“Punish me, please punish me Ona!” I cried as Maria took her eleventh lashing. I felt the increase in pain immediately slash after slash fell quickly across my skin. But there was also a little pleasure there too, Ona had a way of teasing enjoyment out of a person when you would least expect to find any.“I think Maria wants more attention Riley, what do you think. Should I switch again?”“Mmm please.” I called.“Please what Riley?” Ona teased with an extra hard slash.“Please whip Maria!” I begged as my ass felt another harder slash. Ona was playing her own little game with me, making it clear that the only choice I had when she told me to hurt someone… was how much I got from it in the end.The whipping continued between the two of us, back and forth Snakebite went. Drawing blood and tears from us every time it bit. I was almost broken when again Maria began fighting her restraints, I knew I would not be able to hold on for much longer.“Please Ona.” I fought out through my sobs.Ona stopped for a moment, strutting over to me she whispered in my ear.“Do you like seeing people in pain Riley… or do you like the pain more?” She said seductively with a bite of my ear. My response was a squeal as I trembled, teetering close to orgasm. Held back by a single thread illegal bahis of the orgasm denial reprogramming. “Please I, I’m so close.”“Okay, I’ll let you cum. But… only if you ask me really nicely.”I jumped on the opportunity for release before she could speak, blinded by my lust, I wanted it so badly. “Please Ona, anything. I’ll do any.”“To whip Maria.” She cut in. “Ask me very nicely, beg me. To whip her until I get to the count of ten.”Maria could see it in my eyes… the hunger. I looked directly into her eyes as I started begging, begging like a slut for Ona to hurt Maria. Ona began counting from ten back down to one, each lash was harder than the last, bringing her arm fully back for maximum force. Maria was truly suffering as Ona reached five. My body was shaking, the chastity cage dripping precum steadily to the floor between my legs as I began crying for Ona to make it as painful as she could.“Whip her, whip the bitch. Yes make her hurt.”Finally. “One.” She cheered, the sound of the whip mingled with Maria’s final agonising and muffled screech. I waited expectantly for my orgasm but still it refused to come.“Unko… (Shit)” She chuckled, admiring the effects of her work, the pleasure from the brainwashing’s orgasm denial written clear on my face as she set me free. Ona dragged me behind Maria as I moaned incoherently.“See Riley, all you needed was a little encouragement and look at you. Look how well you did.” Ona lead my gaze to Maria, Snakebite was a nasty tool and it had cut her deeply it had left her ass in a mess of double slashes. The hate burning silently in Maria’s gaze as she stared back into the mirror, small trickles of blood streaked her legs. I knew she would never forgive me for it but as Ona praised me with a playful slap. Sliding her thumb inside my mouth I didn’t care about anything else. I wrapped my tongue around her soft little thumb and suckled it like a nipple. “You may…” Ona paused biting her lip as my lusting gaze met her eyes. “Cum.” She whispered.Oh and did I, moaning with my eyes rolled into the back of my head. It was amazing, a feeling like nothing I had ever felt before took hold of me. This was not a simple orgasm, I had orgasmed through my ass pussy and my sissy clit several times since El had brought me here, no this was a physical and mental eruption of pure pleasure, every part of me vibrated on the word as it escaped her lips. I buried my face into Ona’s crotch and fought out a weak and trembling. “Thank… you.” Before I collapsed onto the ground and my hands began exploring my feminine form I realised just how powerful Doctor Smith’s toys were. I looked over to Maria, and smiled.“Come here.” She called, wiggling her finger. “I need to get you cleaned up before you go see the master. Don’t want you all messy do we.” Ona nursed my wounds and applied a cream to my sore cheeks. “That should keep you going until tomorrow. Lie down.” She commanded, pointing to the floor as she made her way over to Maria.“I want more.““You’re lucky I even let you play. You need to get it through that Backa (Idiot) head slut.”There was a knock on the door and a black man with a scar across his cheek entered, his gaze fell to me as I played with myself on the floor.“Hey Jack.” Ona called as she toyed with Maria’s exposed hole using her Riley lubed thumb. “You find the little runaway whore yet?”“Uh… yea, Doc wants you to help get her prepared for her punishment.”“See something you like Jack!”His gaze pealed away to Ona and Maria. “Who she?”“I’m Riley.” I purred.Ona illegal bahis siteleri rammed her thumb into Maria as she dug her nails into her bloody ass cheek with her free hand, forcing a yelp from Maria. “Remember the last one you and El brought in.”Jack looked surprised, and a little exited. “That was quick.”“What was?”“You already…”“Cock hungry Riley… you’re already cock hungry.” Ona snapped, jealous at how I was staring at Jack’s bulge. I didn’t even notice where my gaze was until Jack started stroking himself through his pants.“We’re done here Riley, The Master wanted to see you remember.” Ona dragged me to the door by my hair, dumping me at Jack’s feet. “Here, you can take her to him since she likes you so much.” And with that she slapped my ass and stormed off down the hallway to the Remodelling room as I fell to the floor.Jack sighed. “Every fuckin time. You her new favourite too, thought you were El’s pet?”Without thinking I blurted out my response. “I don’t belong to either of them.”Jack laughed, as he started to lead me through the hall. “Hey, it don’t matter to me who you, sub to but remember new gurl… you gotta sub to one of em and the other’s gonna be real pissed when you do.”“What do you mean?”“Well, its like this, you either sub to one of the girls down here or you get passes around like a fleshlight, and that might sound good now, but once you settle in you need a dom. Not because its a rule, but because a fleshlight got no friends, just two holes.”“That does sound good.” I said as I rubbed my ass, it was beginning to sting more as we walked.“Humph, okay then, how about I put it like this. You sub to someone and Ona can’t touch you unless they say so… or you don’t sub, and she gets to rip that little throat open all day everyday.”“That still sounds good to me Master.”Jack began laughing again as we entered the upper floors, up here was the business side of the club, a whole mansion for partying and playing. The sun was streaming in through the window, it had been a while since I last saw or felt the sun.“I’m Just Jack slut, just Jack.”My mouth was still watering at the thought of his cock as we entered the garden area, my eyes fixed on his bulge.“Don’t worry new gurl, you’ll get to try this dick real soon.” Jack teased with another rub of his pants, his cock must have been seven or eight inches easy, maybe bigger.As we turned a corner I saw The Master sitting having breakfast ahead of us, he waved me over with a pleasant smile. As I began walking Jack slapped my bare ass hard, the sting brought me to my knees, reminding me of Maria, still gagged and bound far below in The Red Room. The Master seemed happy to see me, and I was happy to see him… for the first time perhaps.“Did you have fun with Maria and Ona Riley?”“Yes Master.”“I see you disobeyed Ona.”“Forgive me Master but…””You can call me Sir when we are alone like this Riley, I find it makes conversations more comfortable. Just remember that when you finish your induction period you are subject to the rules of the club like all the girls here. No exemptions are made for who’s pet you are.”“Yes Sir.” I nodded.“Did you have breakfast today.”“Yes Sir, Ona made it and Maria served it.”He smiled. “I mean Servant breakfast my dear. Not Sissy breakfast.”“I… I’m sorry sir I don’t understand.”“You don’t think the other girls maintain their bodies from only consuming cum do you Riley?”Blushing heavily I hung my head in embarrassment. “No sir.”“There there my dear, take a seat, don’t worry. Its a little tradition canlı bahis siteleri of the Underground, Keepers feed pets a cum breakfast as a way to start the day off properly, they girls all say the first cum of the day is always the sweetest.”“It was very sweet sir.”“Although I didn’t think Ona would…” He paused in though for a moment. “Hmm, seems you’re quite popular Riley.”“Because of Ona and El right Sir.”“Smart girl. Sophia.” The master called one of the maid servants to the table. She was a small brunette with curls, dressed in a black and white maid outfit, the only thing that denoted her place as a fellow Club Gomorrah Servant was that her outfit was missing a chest section, leaving her large breasts exposed for all to see.She curtseyed before us. “Oui (Yes) Master.” She was a quiet, soft spoken little thing with a french accent. The master proceeded to order a fluffy scrambled egg and toast with a cup of black coffee and glass of fresh orange juice for my breakfast. My favourite breakfast.“Oui, tout de suite Master. (Yes, right away.)” Sophia curtseyed again and disappeared into the mansion.“How did you know?” I asked confused.“We put all prospective girls through a period of surveillance Riley… where you go, what you do, what you like. We would have been shut down by the authorities by now if we were sloppy or careless wouldn’t we.”“It did feel strange you would choose me simply from my activity on the website now I think of it Sir.”“You were one of six possible choices for us Riley, we originally planned for you to simply be a small source of income, but in the end Elysium was quite taken with you. Malory, that is Mistress Smith… also wanted you as the next test subject. Like I said, you’re quite popular.” The Master began to inspect me visually, following the curves of my body from my neck all the way to my ankles. “Now I have time to properly look, I must applaud Malory’s hard work, you did turn out quite nicely.”Sophia returned with a tray of items. Setting it down on the table and laying out the items I saw the impressive weight she was carrying on her chest. My cage straining again between my legs.“Thank you.” I managed to force out.She smiled, peaking a glance at the cause of my frustration with a cheeky wink as she set down my plate, curtseyed and again disappeared.“Can I ask a question Sir?”“Please do, but eat as well.”“Are all the girls from different countries or, or do they just look and sound like they are.” I asked with a bit of toast.“Some, Ona is Japanese, but like most girls here she speaks mainly English. Her Japanese quotation of some words like, cute, yes and no. They are the result of Malory’s Reprogramming. Sophia is British, but with the same process we create the illusion of a french maid. You’ll understand better when you go through the next stage of Reprogramming.”“Next stage?”The master simply nodded.“I heard Ona recommended a block on your orgasm’s.” He said as he drank his own coffee.“I was… selfish.”“You seem to have blossomed into quite a beautiful little flower Riley. I am very happy to see that.” He said proudly. “You know, orgasm blockers are one of my favourite alterations that we can perform on our girls. See, all a person has to do is speak the phrase “You may cum.”My fingers dug into the table when The Master spoke the words, I exploded into an orgasmic bliss despite having no stimulation what so ever prior to the phrase. “See My dear, it can be both pleasure and pain when used in the right way, you best remember that when you’re dealing with the other girls and any clients you get familiar with.” He stood from the table and began making his way into the mansion. “When you finish your food come to the Remodelling room. I want you to see what happens when you make me unhappy.”

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Swapping Daughters, Pounding DaughtersEver had that nagging promise in the back of your mind you never kept. Well I had one. For years I had promised my daughter Sophie an outback camping trip. I mean I had looked back fondly to my own freedom days in my youth with my best mate Tom, our Harley’s, our sleeping bags under the stars and the great outback, all ours for adventures. Then there was everyday life: the corporate ladder, marriage, family and a stinging divorce a few years ago.Here now, however, was my gorgeous blonde Sophie at eighteen, having a gap year before going to Uni with her bestie Amelia, who just so happened to be Tom’s daughter. And so it was with Sophie and I; we hit that rare combination of both a father and a daughter having time to do what we should have done years ago. I was taking a break from freelance work which paid shitloads without any management accountability and Sophie was reconnecting with me, no longer a stranger adult in her life and finally old enough to understand what a cheating bitch my ex, her mum, really was.Tom, who was bundled out the door of his corporation, three months ago but with a decent redundancy and nothing else to do between jobs was looking for nostalgia too and it didn’t take much to get our girls off on the adventure of a lifetime in the great outdoors. My mate and I had eyed off a major walk in the Flinders Ranges, but never done it. However; we had our motivation now, our daughters. We both wanted to reconnect to the outback and we were both determined to share our love affair with our iconic landscape with the girls. A bonding trip needs a memorable location and we had it. The Wilpena Pound is a natural corralling amphitheatre of ranges over four hundred kilometres north of Adelaide. It appears as one encircling range but is actually two sets of ridges that meet, with a gorge and a gap at one end; otherwise there is only a high saddle with a walking or horse trail track. In the local indigenous dialect, The Pound means Place of the bent fingers and it does look like that in satellite images; the ridges actually resemble gently cupped hands. Okay so that’s the geographic description but if you picture nubile plump arse cheeks and a gape, you will get the idea too or if you are really smutty; it looks like a scrotum sack or an open vulva. Before it became a part of a National Park; it made an obvious location for an attempt at pastoral leases in the nineteenth and early twentieth century’s. Today; it’s a bush-walkers paradise with both short day and full on several days’ lengthy hikes.We hired a four wheel drive in Adelaide and headed north. The girls were good relaxed company. Nicely grown up and confident in themselves and really relaxed with their college exams over and a gap year to enjoy. We registered our walking schedule as required at the entry to the Flinders Ranges and set up our initial camp at the designated camping ground at the only access road leading into The Pound.The weather was hot and dry as we embarked on our first day of full hiking. We all had loaded backpacks and two person tents intending to do some of The Pounds main peaks, the waterfall and gorges. It was all mature, ‘grown up’ sharing of nature at its very best.I mean the girl’s arses looked shapely as we made our way up a trail to a ridge on day two. But only in a nice general guy looking at booty way, your daughter and her bestie included as purely feminine attraction but way off limits.Our first night of opening camping was organised with Tom and I logically sharing a tent and the girls the other. The girls both said they were a ‘bit buggered’ but had really enjoyed the day and wanted to get a full night’s sleep and off they went to their tent. Sophie turning to me with a really heartfelt “Thanks for the day, Dad.”Tom and I did a bit of star gazing but then realised we had one of the higher peaks to traverse tomorrow, so early to bed, early to rise, seemed like a good idea too.Geez, were we guys up early. Break of dawn stuff and the view of the rising sun over The Pound ridges was superb. Probably nothing would top it for the day. It was amazing. Shadows replaced by light. Stunning.Tom and I were both thinking the girls could have another hours sleep before we needed illegal bahis to get organised with breakfast, packing up and heading off. It was however, Tom who nudged me and said; “Luke, do you hear what I hear?”“Yeah Tom, I hear it alright but don’t believe it, but I know what we’re hearing.”Here were two mature men realising, their daughters were frickin bi-sexual tarts because the muffled exuberant sounds of sex were unmistakable, they always are. Whether seen or heard, or outside or inside, like a tent. The moans and groans of joyful sex stir our groins and our minds and our libido’s, we want in. Sex does that, it makes you want sex.I mean we only intended to listen outside their tent. I mean whatever they were doing to each other was private and they were our daughters. But curiosity. Oh curiosity. The noises were compelling us to sneak a peek. I was thinking it had to be a double muff diving sixty nine. Nothing could induce such soft muffled dual reverberations of delight. They had to be both fully aroused. I was trying to picture them naked. Of course I checked myself with Sophie’s body, hell it was my daughter, but I was picturing her tongue between Amelia’s sweet arse cheeks licking her shaved pink wet pussy lips. Then I realised my best mate was with me and it was his daughter I was visualising getting her clitty licked. Oh hell. Then what was my mate thinking of, his own daughter or my daughter getting her pussy and arse fondled. However, I thought of it, it wasn’t appropriate, but boy was it arousing. My cock straining in my pants.Tom was rubbing his crotch, the dirty bastard as the sounds became clearer. Well we were right at the tent flap now. Tom whispered to me; “You dirty sod Luke, I hope you’re not touching yourself thinking of my daughter in there.”All I could do was smile as we released our cocks together from our pants. Oh yeah we were being responsible here; of course we weren’t thinking of our own daughters, well not solely, we were picturing our daughters at it together. Both Tom and I trying to make sense of sexual noise but requiring more. Guys always require the visual in sex.Both Tom and I had it bad. We had to know. We had to see. We had to sin. I rationalised it perfectly; as I said to my mate; “We can look, but we will only look at each other’s daughter, not our own; promise; Deal?”“Deal” he said.But it was a promise we both knew we couldn’t keep. We were about to pry directly on naked tandem girly flesh, writhing together somehow in the confines of a tent. We were both going to see arse, tits or pussy, or all of the aforementioned, both our own daughters’ and our best mates daughter, as we peeked in the flap.Light was replaced by body shadows for a moment. Then there was the most stunning of sights. Flaps. Well yes, tent flaps slightly back. But nothing like my Sophie’s spread shaved pink flapettes under the lustful licking of Amelia’s tongue in the perfect fem-occupied side on sixty nine. Positioned for our male gaze like they were porn camera savvy bitches. Spread for male enjoyment. Almost simultaneously I took in my Sophie’s tongue flicking over Amelia’s generous sized hard clitty. Of course I saw my own daughter naked first, but then I was consumed in the sexual whole. Geez this was intense girl on girl action. They thought they were safely at it before we guys were up. How lucky had we got?The two eighteen year old girls were way too much into each other; you could see their expressive lust in action. Bodies bonded in flesh. Conjoined sexual appreciation. Mutual orgasms well under way. The visual magnitude was stunning; we are talking front row positions, to the normally off limits; up close and private, now the focused vista of two guys, well two dads in fact, making it way filthier and stiff cock stirring than a peek show.What happened had to happen I suppose. Two young naked women, two over aroused middle aged guys. We just gave each other the look. The nod. Our tops were off. Our jeans and underwear. We were going to try and join in and screw each other’s daughter.We knew where to get, behind each girl, crush them in, squeeze them between us, and nuzzle cock into their needy bodies. Just hope the girls went over the edge of taboo with us.Our daughters were illegal bahis siteleri true daughters of Eve, luxuriating in their naked appeal. They were tramps. If they liked each other’s body, well they thankfully liked cock even more. Yes, there were surprised yelps of; “Oh shit” followed by “Mmm that’s nice, don’t you dare stop” as my cock nuzzled around Amelia’s arsehole. And I didn’t want to know what that bugger Tom was doing to my daughter Sophie as she mouthed; “Orrgh yeah…keep doing do that you prick” The girls remained tangled to each other but equally entrapped by hard male demanding flesh. Skin snared to skin. Touch dominant. Touch escalating to its filthiest debauched limits. I had a finger in Amelia’s butt and two digits in her sopping already climaxed pussy. Oh she was more than ready for cock. Sophie had really primed her to her primordial fem-sex state. Three fingers of one hand in her excited coochie and two bent fingers deep in her arse. Place of the bent fingers, yeah The Pound, but Amelia’s arse and my crooked, hooked fingers were presently the more fixated image.I needed to dog the bitch. It had to be base, innate, primate thrusting sex. The tent was full of their heady musky dual girly sexy release. It was like I was inbred, how I grabbed her up, spread her legs and shoved my throbbing pecker in and out of her saturated enveloping pink wrapping slit. Awesome pussy. Divine fucking. Cock bliss. Appropriately her young body was pounded in The Pound.It was made all the more naturally unnatural by seeing my mate Tom, dogging my daughter right beside me. My cock was enjoying a stunning lubricated swathe of girly juices in the confined giving and taking fem-flesh tube that was Amelia’s happy stunning pussy. But there was my daughter, my sweet Sophie, being a whoring slut, right beside me, mouthing off repeated expletives as Tom pummelled and jagged into her; well, I have to say, gorgeously shaped pussy. I had the moment when I was proud to have contributed some DNA to the construction of something many a guy had obviously already enjoyed, many more would and my best friend was jagging into with gusto, right now.I realised as I gouged and scooped into Amelia’s girly slit I was actually enjoying watching my daughter get dogged too. And so was Tom, the bastard, he was sneaking peeks at me, rooting the life out of his own daughter.We were all there participating in each other’s sexual euphoria, the sheer raunchiness of uninhibited open sex. Then the girlfriends, our daughters, kissed each other, while both being shagged senseless; and their sloppy lush lust of meeting tongues drove us boys to mate like wild b**sts; we screwed the bejesus out of each other’s willing daughter as they kissed repeatedly. And that was the key, their compliant willingness; you just don’t know how smutty and lewd your own daughter is in sex. Oh; we might hear rumours. We might see a sexting. But to see your own daughter participate in sex. Ah but here was the release. This was sin without the confessional guilt, hell I wasn’t screwing my own minx, I had her sweet bestie, my mates daughter.Tom was enjoying my daughter, while no doubt like me, he was imagining the forbidden; he was screwing his own…in his mind.Still what were the barriers to taking our own daughters, right here and now, probably nothing to stop us guys swapping and enjoying the ultimate forbidden fruit, but there was temptation enough for both of us middle aged guys; each other’s daughter ready for the arse pounding of their life.Well hell the two little bi-bitches deserved it. Wanted it. Needed it. Just as much as Tom and I.Oh sweet heaven on earth, did Amelia have a tight arse. Her arse gave everything to my cock instantly. It’s why guys love arse. Arse wraps tight. Arse clings to cock. Cock has to force space and still arse grips, hugs and smothers dick in its flesh defining hold. In Amelia’s case; tighter than a choke hold by a wrestler. My knob was in love with her constricted squeeze.Yet, I had to look as Tom’s cock too literally choked into my Sophie’s seemingly tiny pink balloon knot. She yelped and went guttural as my mate set about giving her arse a deep exploration. God her rim looked amazing as my mate’s pecker plied canlı bahis siteleri in and out of her expanding, stretched; but limited crack.Two arses in tandem giving everything they could back to the cocks shaping their blissful satisfaction. Arse pounded like butt crack needs to be pounded“Orrgh, yes, yes” from the girls together.Then, they gave each other a Salome wink and before morals could intervene, my daughter was spread, gaped looking at me and Tom’s daughter was the same in front of him.We both went for their arse of course. But the girls were in charge here, we realised, not us; as they said together, like they had done group sex before; “you got to earn our arses boys, pound our pussies first”Well as experienced guys we knew the drill, we had the skill to pound pussy to a climax.Gosh, oh my, was my daughter’s pussy sweet. A lush, sodden, yet gripping fuck. Sopping, viscous, moist and clammy as her fem-juices were lubricating, lubricating, drenching my male hardness in our frictional manic joining.Geez Tom was grunting, groaning as he drilled his own daughter , her feet pointing up to the apex of the tent, her legs spread so wide, her body writhing in delight, her breathe panting, her voice guttural with mini trills of delight, as her both her insides and her brain were fucked out of her.Oh, my, oh my, both my Sophie and Tom’s Amelia, were masturbating their hard clits as we both fucked them in tandem. Visual and body delight beyond the pale.Suddenly at a Jezebel wink though, they were above us, friggin their gashes hard and fast with multiple inserted fingers together, real g-spot hunting I think, and as they both shrieked in sexual exuberant delight, two middle age guys were drenched in sprayed fluid , our daughters were ejaculating all over our frickin happy faces. We lapped at and at the same time were dazzled by the powerful, repeated squirts of warm body fluid cascading over our faces and down our chests. Splattering jets kept coming, oh the power of youth, then from both tarts, a powerful controlled direct flow across our faces, then pussy muscles willing then final warm, wild, wispy spurts of girly juices and the delightful memorable finale, the tinkle, sprinkle drizzly, droplets finish.Sophie and Amelia had given their all, they deserved their daddy’s all-in return.It was the no mercy rule applied. And yes, by god, the boys were in charge now. Tom and I reduced our stunning daughters to just arse demanding cock. I gouged my sweetie like I was digging a trench, hard and fast. I pulverised her back crack. I pounded the daylights out of her arse-hole. I stretched her pink starfish to the sky and back to the centre of the earth. I gaped her arsehole as wide as The Pound and delved my tongue into her, smearing spit everywhere as I caught my breathe to breach assault her arse in my grand finale. The bugger Tom copied me with his own daughter. Well it was a sensational idea. Licking your daughter’s crack, rimming and trilling, warbling your tongue inside her sacred private gash.They both begged and begged for cock in their arse. Pleaded. Implored us.“Please, please daddy, fuck my arse” from Amelia, to Tom.“ My arse, fuck my arse, oh please, Daddy, my arse, now” from my Sophie.So we jack-hammered our daughter’s arses with cramming jolts that had them potty mouthed and body putty to our fatherly smut buggerising delivery.I crowded my daughter’s arse with filthy deep jolts of my throbbing pecker. I pressed into her crack, rammed and squashed my dick in her butt-hole to her forbidden depths.I also lewdly enjoyed my mate wedging his fat cock into his own daughter’s tight buggery-hole.I knew now what Sodom was like in its Biblical days. Filthy delight. Manic insane pleasure. The taboo’s released. Oh the glorious, glorious sight and tight, tight sensational pleasure of the puckered, stretched arse skin encircling my cock, that was my own flesh and blood. Unimaginable anal delight all round. Generous sodomy. Two girls buggered good. Two daughters buggered to perfection. Just goddamn anal sex making everyone feel so good. Then the voluptuous arse paradise completed with an indulgent creamy male release; times two, both dad’s into their own daughter’s arse cavity.The bestie’s were true citizens of Gomorrah, our daughters; nothing taboo for them too, as they let a pair of stunned stupefied males watch as they licked, slurried, slurped and swallowed the jizz that was meandering in a seepy oozy fashion from both their raw gaped pounded arse-holes.

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Fernanda (Peituda Safada) hottest storiesFollowing are all real life encounters!You can also be part of it if you meet Fernanda (nickname Peituda Safada) in Brazil!Fernanda gangbangedThey were 15 guys, they leave me out in a Nightclub in São Paulo where I worked as dancer also. We go to a house of one from this guys, there we stayed in big room, in middle was a normal table, I had to go first on table with my short shirt on and dance for them, the guys were sitting around me and pulled out their cocks and wanked them by looking how I danced.I made my show which I always do while dancing, I show them my shaved pussy some times by open my legs and slit some fingers between, while I am looking to the guys and stick my fingers in my mouth and licking it same like a cock, after that I dance more and put out my shirt, I let them see how I play with my big boobs, I press them together and lick my hard Nipples.I see first guys which have a big hard cock, some of them comes closer and touch me.Then it goes quickly: I get fingers on pussy, tits, ass some are kissing me.They put me on the floor, I knee under them, I see a lot of cocks in front of me, first cocks are slapping my face, I put my tongue out to become some taste, then first cock go in my mouth , other guys licking on my nipples and touch my ass and pussy, I become wild, I suck on a lot of cocks, they change a lot, I get all type of cock, white, black, small, thick … I am loving it!Sometimes I must spit out some hairs, I don’t like this…After some time they put me in doggystyle position again on table, I feel again a lot of hands on my body and lot of cocks in front of me to receive head.I feel first cock now in my cunt, other hold my head and start to fuck my mouth same like a pussy, other guys change behind me, I feel that because some of them are bigger.While I am being fucked in pussy others play with my asshole, I feel how they put fingers inside..The guys are very nasty, they put some beer on my butt make me wet.First guy which fucked my cunt, changed now to go in my ass, it does a little pain,because my asshole was not so much widened yet. But I can not do anything: the guys in front forced their dick in my mouth and others illegal bahis hold my body so the guy can penetrate my ass.He keeps on fucking my ass while others are fingering my pussy. They changes positions an another guy fuck my ass.A bit later a guy stand over me fuck my ass so other guys can reach my cunt to fuck me in double, I loving it !! I become very hard orgasm, I don’t know how much guys now change to fuck my pussy, ass, mouth, it was fabulous!They changed after a while position I must lie on back on table, they fucks me again in all holes, double also, first guys now started to cum on me, some jerk it over my body, others on my holes while penetrated with 2 cocks , and of course a lot jerking on my face, others give me their loads in mouth..My face, butt, pusy was covered completly, so much cum I never had, at the end of the party they cleaned me with a lot of beer.This Gangbang session lasted about 2 hours!Serving a guy and a girl in a motelA hot encounter she had with a couple, aged about 30 in a motel room.It was the girl’s idea to have a session with partner and me. She always had a fantasy to play with other girl, I would be her first time!She was laying naked in the bed , I went on top, position 69.I started to open her legs and begin licking her cunt. Very slowly.She starts to growing, I put a finger in and continue licking her clit.Then she starts to lick me too. First very Slowly.Her Husband was sitting in front of me and looks what we are doing.The Girl now become more lust and licks me harder, I was feeling very good.The Guy now seen my face how I become first orgasm, and put his cock out directly in my mouthThe cock not was hard but in my mouth needs not long time to make him very big.Now i fucked his wife with 4 fingers and give him head.She was now very hot and liked my ass also. I feel how she put fingers in my ass by licking me.The guy saw this and lost all controll , he shot his cum in my mouth!I couldn’t swallow all so quickly , some cum dropped on pussy from girl.Guy now was out of me and ordered me to clean pussy, I did this of course.The Girl now wants be fucked also but she saw the husband was allready with cum on his cock!She was not was happy illegal bahis siteleri he used his cum allready on me!But after 10 minutes where we both worked on his cock he became hard again.So he fucked the girl while licking my pussy.This time he needed more time, she ride him hard and he comes in her pussy.I become this time several orgasm while he continued licking me!Fernanda abused in the SM-roomAlso couples uses her in the SM-room , so once what seems to be a horny hour turned bad:Initially it seemed a friendly couple, so they put her on the small table, with total restricted arms and legs, head hanging over.The guy went to her head side and inserted his dick in her mouth. And started deepthroating her…Fernanda liked this a lot!On the other side the women first gently opened her pusy lips, but then forcefully plugged her first inside without any preparation.Fernanda cried it out, but the bitch did not stop and fistfucked her continuously.It felt like all her pusy was getting distroyed…it was so painful..In mean time the guy pumped his dick until the balls in her throat.After 5 to 10 minutes never stopping fistfucking the pain was going away and she start to enjoy it even! Actually it felt so hot that she was getting verry wet and horny…She felt an orgasm was building up…and it was a real big one..The bitch kept on fisting her without mercy and then suddenly Fernanda started to squirt verry heavily, first time ever while getting fistfucked!Real lots of liquid was sprewed …even the boobs of the bitch got covered by her pusy juices…The guy was getting then also over the top and put a big load of cum in her throat…..so the bad experience turned in the end very satisfying!!!Her pusy felt soar for some days after being abused like this…Fernanda deepthroated.Lot of guys likes deepthroating. Last night I was talking about this with a lot of customers, so I became full of lust to do it again!So I did it with a hot guy: I go to the backend of the bed and let him put his cock over my face, I started to lick his balls and go slowly with my tongue more forward. At last he cannot resist anymore and take his cock between my lips. Slowly he put his cock deeper and canlı bahis siteleri deeper in my mouth. Until I was filled completely. He fucks me about 2 minutes in this position. I had to gag a few time. But he continued fucking me deep in the throat. But just before he was about to cum he took his dick out of my mouth and he put me on my knees next to the bed. 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They kept on fucking me some time in this position and after they put me on the table.They did not tie me on the table as I was willing to do all, one guy now goes under me I was riding him on table, the other guy then fucked my ass ! I was in 7th heaven, so great feeling !In this position both could not control any longer and they shoot their cum in both my holes.I feeling the creamy juice was running out me.They laughting because so much cum on table and I was dripping so much.I show them how much I like them and lick all the cum from table while looking to the guys.They had a very hot time and I am sure they want to come back to play with me again!

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Incestual Love TriangleThis happened when I was 15. I had a cute little step-cousin named Ronda. She was 13 at the beginning of this story but turned 14 before we went all the way. Ronda didn’t take my virginity as much as I gave it to her. She was always very sweet to me. And she had such a soft voice when she would say my name.I guess the starting point would be when her older brother showed me a hole in the wall in a utility room in their house. Just a peep hole with a bathroom on the other side of the wall. Ronda had decided to go take a bath in the middle of the day, somewhat unusual when we came over for a visit. I suspect she knew about the peep hole and probably that her brother used it to look at her himself (oh, i****tual love triangle!).So I didn’t hesitate to look through. I remember Ronda sitting in the tub, the top of which only came up about halfway up her abdomen, so there was a perfect, unobstructed view of her tits. Being the first pair I had ever seen live and in person, I had no real perspective. But my memory says they looked like C cups. She was sitting there slowly washing them with lather on her bare hands. I thought it looked more like she was sentually massaging them and the soap was incidental. But either way it was fucking erotic! She never looked at the peep hole, that I remember, but I’m convinced she was putting on a show just for me.Very soon after, the brother told me she liked me. Around that time there was a family gathering at my uncle’s (their stepdad’s) house. My aunt, his sister, was there and I overheard Ronda ask her if she could spend the night. This was a first. My aunt said it was ok if it was ok with her mom. I have been known to be slow to react, to hesitate and miss the bus. Not this time. As soon as I could talk to my aunt without my uncle and Ronda’s mom around, I asked if I could spend the night. I also got a yes. YES!I remember the three of us, me, Ronda and my aunt who was not too much older than me, sitting up til late watching Monty Python. Then my aunt got tired and brought the two of us blankets and pillows. My aunt’s k**s were little and already sleeping in the only other bedroom. She watched me and Ronda make ‘beds’ right next to each other, Ronda on the couch and me on the floor…right illegal bahis in front of the couch. The only things separating us was a little elevation and some clothing. I think my aunt secretly wanted me to get laid.So there we were, alone at last. I let her fall asleep, or at least let enough time pass so she could realistically pretend to be asleep. Then I started moving in. I laid my hand on the front edge of the couch cushion. Then I moved it a little higher. Then I slid it under her cover. Then I slithered it closer to her until I felt her arm. You all remember the first time you had a realistic chance to touch a girl’s, well, anything. My heart felt like it was going to come loose and shoot from my mouth. She was still asleep, or still pretending. I didn’t care which. I wasn’t getting slapped. I continued. My hand crossed from her arm and onto…something. “Shit, I’ll bet my aunt can hear my heart, let alone Ronda!” Where is my hand? Is it on her shoulder? Her stomach? I gently squeezed, repositioned and repeated until “could it be?” I stretched my fingers to take the largest grasp of this mystery body part, to feel as much of it as possible. “Oh my god! My hand is on a tit!”I was sure unconciousness was iminent. She didn’t move. But my hand was still not technically on first base. I was still at home plate because there was a top and a bra between my hand and this SOFT C cup. Yes I could feel the consistency of the fatty tissue and glands inside her breast. But I could be feeling that with my bare hand directly in contact with her skin, if I didn’t screw it up. I moved my hand down her top until I felt the bottom hem. Then I ever so slowly started working my way back up, UNDER the top. Soon I felt (gulp) the bra! I had felt them before. But never with tits in them. My hands trembled so violently I wondered how I was going to get them to my goal, holy land.I dug my trembling fingers, eventually, under the elastic band along the bottom of Ronda’s bra. The only sign of life her steady breathing. I was officially touching the bottom of a breast with my fingertips. But there was no going back now. It was handful or bust. I continued sliding my hand inside her bra until my fingers brushed something. I moved a little more. “Wait. illegal bahis siteleri What was that?” I moved back. “NIPPLE!” Maybe I’d linger a moment. Even Sir Edmund Hillary paused at the summit. I enjoyed the nipple more than I expected. But soon I continued to my original goal, the handful. I had always imagined having a girl’s bare breast in my bare hand and squeezing and kneading it. And so I did. My heartbeat slowed a bit. Getting slapped now wouldn’t deny me my victory.I had a lot of fun groping her right tit. But she was playing along. So why not? She was obviously awake now. I slid my hand out of her disheveled bra and back down her abdomen. I found her jeans, specifically her fly. “Hey, these pants were made wrong. The button is on the wrong side.” No matter. I plucked at it until it popped open. Then I found the zipper pull. Still afraid to wake her, I pulled down slowly, “click…click…click”. It took forever but the zipper eventually reached the bottom. My hand was trembling again. After all, if the breast was holy land the vagina was the garden of Eden. I rubbed her panties. She didn’t object. I came in for a second approach, placing my fingertips under the elastic band of her panties, a GIRL’S panties…with a girl in them! I remind you that this is a 13 year old girl. My fingers trembled so much I wasn’t sure what I was feeling. I knew I was going deeper inside the panties. But for all I knew I had passed my stop. I rested, awkwardly propped up on my left shoulder so I could reach her pubic area with my right hand without letting her see me…for some reason. When I stopped I felt something. On my fingertips I felt a little tickle. Like…hair. Hair? HAIR! PUSSY HAIR! I wiggled my fingers and felt her new pubes brushing my fingertips. I pushed in further. Ultimately there was a handful of that little bush. I played in it like a small c***d in a pile of raked leaves.After some good bush play I removed my hand. Time to go for broke. I grasped the waste band on the right side of her jeans. I pulled down. She raised her right hip. SHE RAISED HER RIGHT HIP! I reached over and grabbed the left side of her waste band. Before I even started pulling she raised her left hip. What a sport. Back and forth, right, left, right. canlı bahis siteleri Until her pants were around her ankles. Now it’s down to the panties. Once I get them down I’ll have a direct shot at that glorious, wet little hole of legend. It was going to happen! Nothing could prevent it. Better not hesitate though. She could change her mind if I take too long. If we had made a little noise my aunt could get up to check. I got on my knees and grabbed the panties with both hands and pulled them down, Ronda lifting her entire ass to ease removal.Pants and panties down around her ankles, I separated her knees and went in closer with my right hand. I felt her bush, this time between her legs. I felt wetness. I tried to maneuver from memory; memory of sex education class and a handful if porno mags I had managed to view thus far. I moved her little lips aside and felt the softest skin I had ever felt. Soft and warm. Warm my ass, it was hot! Soft, warm and wet. Sooo wet! 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trioCe texte est le récit d’une soirée que ma compagne et moi avons réellement vécue. Seuls les noms ont été changés, par souci de discrétion. Les commentaires sont les bienvenus.Ma compagne Chrystel et moi avons débuté dans le libertinage à la fin de l’été 2004, à l’aube de nos trente ans. Nous avions alors osé pousser la porte d’un club libertin non loin de chez nous pour observer. En fait d’observer, nous avons fait un trio avec un autre homme, pour notre plus grand bonheur. Par la suite, nous avons déposé une petite annonce en vue de faire des trios. Nous avons rencontré quelques charmants jeunes hommes par ce biais et concrétisé avec l’un d’entre eux, ce ne fut d’ailleurs pas la meilleure expérience libertine que nous ayions eue, loin s’en faut, le jeune homme en question s’étant senti très mal à l’aise lors du trio. Loin d’être découragé, nous avons répondu aux sollicitations d’Eric, un trentenaire bien sympathique qui avait répondu à notre annonce. Fin octobre, nous sommes allés au restaurant avec Eric pour faire sa connaissance, après avoir longtemps discuté avec lui par e-mail interposé. Il est d’un très bon milieu social et a de la conversation, c’est d’ailleurs peut-être pour cela que la soirée reste assez sérieuse. Il est plutôt mince, très sportif, pas très grand et habillé BCBG. Il n’est pas franchement le type d’hommes de Chrystel sur le plan physique, mais malgré cela et puisqu’il est très sympa, nous décidons de passer une soirée avec lui. Nous l’invitons chez nous le mercredi 10 novembre au soir, pour un petit dîner et « plus si affinités ». Chrystel s’habille très sexy : une robe noire très courte, des bas auto fixants dont on voit aisément la dentelle, des dessous coquins et chics et des chaussures à talons. Elle a longtemps hésité à s’habiller de la sorte, ayant peur que cela fasse trop « allumeuse ». Il est vrai que dans la vie, elle est vêtue plutôt BCBG et assez sagement. Elle a été convaincue quand je lui ai fait remarquer que c’était bien el but rechercher, que d’allumer notre invité!Eric arrive chez nous sur le coup de 21h, une bouteille de vin en cadeau. Nous prenons l’apéritif et discutons beaucoup de sujets très sérieux à table, jusqu’à ce que je propose de faire une pause dans le repas et de rejoindre les canapés du salon, pour des raisons de confort. Chrystel et moi nous asseyons l’un à côté de l’autre, Eric se place dans le canapé d’en face. A cette époque, il est convenu tacitement entre nous que c’est moi qui fait le premier pas dans nos soirées trio. Cette convention, abandonnée depuis, était destinée à ménager mon amour propre qui aurait pu souffrir de voir mon amour draguer un autre homme, elle facilitait également la tâche de Chrystel qui est d’un naturel plutôt réservé. Après 2 heures de discussions variées, je pense qu’il est temps de s’amuser un peu. Tandis que nous parlons, je pose ma main sur le genou de Chrystel, le caresse, et remonte doucement jusqu’en haut de ses bas. Eric repère notre manège et est, il faut bien le dire, assez troublé. Je remonte la robe de Chrystel, dévoilant ainsi entièrement ses jambes et laissant entrevoir son shorty de dentelles noires. Complimentant la belle d’une voie balbutiante, Eric ne tarde pas à venir s’asseoir à côté d’elle. Elle l’embrasse alors à pleine bouche, alors qu’il lui caresse l’autre jambe. Bien que donnant de prime abord l’impression d’être sûr de lui, Eric est assez intimidé par la situation. La suite montrera qu’il ne se laisse pas pour autant déborder par ses émotions… illegal bahis Nous caressons Lnotre Vénus, aux anges d’être le centre des attentions de deux hommes qui ont envie d’elle. Nos mains investissent son entrejambe et ses seins, les siennes découvrent à travers nos pantalons nos membres durcis. Faisant honneur à notre invité, elle déboutonne le jean d’Eric, découvrant un sexe déjà bien dressé, long et au gland assez gros, Chrystel ne tarde pas à le prendre en bouche, alors que je m’occupe de sa chatte avec délectation. Elle nous suce à tour de rôle tandis que nous la titillons avec nos doigts et nos langues. Eric s’avère assez entreprenant et guide Chrystel sur sa queue ou sur ses couilles, dont la petite taille contraste avec celle de son sexe. La belle se met en levrette, et à tour de rôle nous nous faisons pomper et nous lui bouffons littéralement le cul. Aux dires de tous ceux qui ont eu le plaisir de voir son cul et d’en profiter, Chrystel a une paire de fesses à faire bander un eunuque. Sa chatte et son anus lisses et soigneusement parfumés par ses soins sont un véritable délice pour les amateurs. La soirée part sur des chapeaux de roues… Je pénètre alors la miss en levrette alors qu’elle suce Eric, et me penche en avant pour embrasser Chrystel dans le cou tout en la guidant sur le sexe d’Eric. Elle le pompe goulûment, et je dois dire que le spectacle de cette grosse bite lui remplissant la bouche m’excite terriblement… Eric met alors un préservatif, prêt à prendre ma place. Il revient vers la bouche de Chrystel, pour qu’elle le fasse durcir, elle commence à le sucer, mais il empoigne sa queue d’une main, les cheveux de Chrystel de l’autre et lui plaque sa bouche contre ses couilles en la forçant à incliner sa tête de profil pour qu’elle puisse tout prendre en bouche. Elle les gobe avec délectation et moi, je me retrouve avec le gros gland d’Eric près de mon visage… Nous avions parlé de notre bi-curiosité ensemble, il n’a donc pas pris trop de risque quand il a dirigé sa queue vers ma bouche, en me mettant la main sur l’épaule et en me souriant. A la grande surprise de Chrystel, toutefois certainement pas aussi grande que la mienne, je l’ai sucé. Eric se faisait bouffer les couilles par une fille pendant que son mec le suçait, je crois que ça nous a tous bien plu. A deux doigts de lacher la sauce à cause du caractère excitant de la scène, je suggère à Eric de prendre le relai dans la chatte de la miss. L’intérêt d’un tel trio pour une fille, c’est bien sûr que les temps morts n’existent pas… Il la fait se lever et prendre appui contre un mur, les fesses cambrées, et la prend vigoureusement par derrière. Il la baise comme un fou pendant que je l’embrasse et lui caresse les seins. Tout le monde est au comble de l’excitation, et Eric se met à lui claquer le cul et à verbaliser son caractère dominateur, en osant « Ah t’aimes ça, hein! Salope! », ce à quoi elle acquiesce sans broncher, même si elle est assez surprise. Voir se type prendre ainsi le contrôle de ma copine, pour quelques instants, m’excite follement. Nous inversons les rôles et Chrystel se prend de nouveau quelques claques sur les fesses, distribuées cette fois en coeur par ses deux étalons. Notre invité comprend à cette occasion que ni elle ni moi n’avons d’objection à ce qu’il la domine et emploie un langage cru à son égard, même si elle ne raffole pas de cela en général.Nous faisons une pause pour boire un verre et décidons d’aller nous détendre dans la baignoire. L’interlude illegal bahis siteleri est détendant et, alors que je baise Chrytel debout contre le plan-vasque de la salle de bains, Eric s’agenouille pour goûter à ma bite sortie de sa chatte, curieux lui aussi de sentir l’effet d’un sexe masculin en bouche… La sensation n’est pas désagréable, mais tous les deux, nous préférons toutefois nous occuper d’une jolie fille. Nous rejoignons ensuite la chambre d’amis où nous discutons de choses et d’autres… il est tard et Eric signifie qu’il doit rentrer car sa copine, soit-disant au courant de son aventure de ce soir, doit être inquiète. Chrystel lui fait remarquer qu’il n’a pas joui et qu’il serait dommage de partir en si bonne voie. Plaçant la miss sur le flanc, en chien de fusil, je lui lèche la chatte et dis à Eric que nous n’avons pas encore été au bout des possibilités que le trio nous offre. Chrystel, qui suce déjà activement le membre mou d’Eric, ne prête pas attention à ma remarque mais le message est bien passé auprès de notre invité qui durcit et se fait à nouveau assez directif. Ayant une idée derrière la tête, je m’empare alors d’un tube de gel lubrifiant, en dépose une noisette sur mes doigt et l’applique sur le trou du cul bien lisse de mon amour. Tout en la doigtant dans la chatte, je lui masse l’anus pour le détendre puis lui introduis un doigt dedans. J’entreprends alors des vas et viens énergiques, l’index dans son cul, le majeur dans sa chatte… elle pousse des grognements étouffés par la présence de la bite d’ Eric dans sa bouche… Alors que je glisse aisément un deuxième doigt dans son cul et qu’elle pousse un soupir en conséquence, Eric comprend mon manège. Il se redresse et, tout en continuant à se faire sucer, il prend les fesses de Chrystel à pleines mains pour les écarter de manière à observer la scène. Interrompant sa fellation, Chrystel demande alors, faussement naïve : « Mais qu’est-ce que vous avez derrière la tête tous les deux? ». Je lui réponds qu’on aimerait bien profiter de son si beau cul et que ça serait dommage qu’on n’essaye pas de faire une double pénétration… Eric fait alors remarquer que la perspective est alléchante, alors qu’il reluque toujours le petit trou de Chrystel en cours de préparation…J’interromps un instant mon doigté pour rajouter et étaler une noisette de lubrifiant sur l’oeillet de ma chérie. Je fais ensuite signe à Eric, encore un peu hésitant car ne sachant pas si Chrystel est ouverte à la sodomie, qu’il peut continuer le travail, pour bien être compris, je lui prends le poignet et approche sa main de la cible. Il introduit alors directement deux doigts dans le cul de Chrystel, qui a repris sa pipe. Ils montrent alors tous les deux des signes d’excitation qui ne trompent pas : elle tortille son cul en gémissant, le tend à la rencontre des doigts d’Eric, celui-ci accélérant frébrilement ses va-et vient. Le tableau fait plaisir à voir! Je doigte Chrystel dans la chatte, qui se voit ainsi pénétrée de toutes parts pour son plus grand plaisir. Comme elle mouille abondamment, ma main investit sa chatte presqu’entièrement, ce qui lui procure des sensations très agréables. Je rejoins ensuite ce salop d’Eric qui lui défonce le cul avec ses doigts, lui arrachant des petits cris saccadés. Elle se retrouve avec 4 doigts dans le cul, qui la pilonnent sans ménagement. Nous jouons ainsi comme deux vieux complices avec sa rondelle afin de bien la dilater, tandis-qu’elle pousse des râles lorsque nous allons canlı bahis siteleri trop loin ou lorsque nous lui écartons son délicat petit trou pour observer ses entrailles avec un malin plaisir de potaches. Je suis terriblement excité par la situation et, n’y tenant plus, je chausse une capote et encule ma belle en levrette. Elle y prend tellement de plaisir que je ne peux retenir le mien que quelques minutes. Je m’assieds alors devant la miss, enlève ma capote et me fais sucer, alors que Eric, à genou derrière Chrystel, est en train de mettre un préservatif en regardant le cul dont il va bientôt profiter. Il la pénètre d’un coup, ce qui arrache un « han » à la miss compte tenu de la taille de son membre. Eric ne s’arrête pas et la sodomise comme un bourrin, en lui claquant les fesses sans ménagement. Alors qu’elle crie de plus en plus (et pas de douleur!), il lui dit avec un toupet qui tranche avec sa timidité du début de soirée : « Toi, tu aimes ça te faire baiser par le cul !». Ce faisant, il continue de plus belle, méthodiquement, avec une froideur ahurissante pour un type qui est en train d’enculer une femme sous les yeux de son mari. Elle lui répond « Oui, c’est bon » entre deux cris saccadés, halletante. Très sportif et très endurant, Eric accélère encore le rythme, encouragé par ce blanc seing. Il se dresse sur ses jambes, se positionnant ainsi au dessus d’elle, de manière à ce que son membre pénètre au plus profond du cul de Chrystel. A chaque va-et-vient ample et rapide, il enfonce sa bite jusqu’à la garde et ses couilles viennent taper la chatte de la belle qui pousse des petits cris en rythme. Je l’ai rarement vue dans un état pareil. Son visage est écarlate, ses yeux révulsés, ses paroles sont saccadées. Bien qu’elle ne l’ose se l’avouer lorsqu’elle a la tête froide, elle aime se faire dominer sexuellement et prend un grand plaisir à se faire baiser vigoureusement dans le cul. Elle n’est pas la seule à être excitée : la vision de ma copine en train de jouir alors qu’un mec lui défonce copieusement et très professionnellement le trou du cul, qu’il lui claque les fesses, la prend par les cheveux pour qu’elle se cambre encore davantage et la qualifie de « petite salope bonne à enculer » me rend fou. Je bande à nouveau comme un taureau dans la bouche de la miss. Elle plaque alors ses épaules contre le lit, le visage posé de côté, pour tendre encore un peu plus son cul vers le membre qui la rend ivre de plaisir. Je lui frotte les couilles sur son visage, en lui demandant de me lécher, elle tire sa langue mécaniquement et me lèche maladroitement les couilles et l’anus, trop occupée à son plaisir pour se concentrer sur le mien. Cette position me permet d’écarter son cul et d’observer la grosse bite d’Eric la besogner. Lui et moi échangeons des regards complices et assénons des claques sur la paire de fesses charnues qui est le centre de nos attentions. Chacun des coups de boutoir d’Eric dans le cul de Christel a pour effet d’enfouir un peu plus la tête de la belle entre mes couilles et le lit. Je la sens saliver sur mon entre-jambes et ses gémissements se font de plus en plus étouffés. Tous les trois sommes au comble de l’excitation.Je suggère alors que l’on fasse une double pénétration, pour terminer en beauté. Christel est éreintée, mais elle est curieuse de découvrir cette sensation qu’elle soupçonne divine. Elle se place sur Eric qui la baise dans la chatte, j’introduis aisément ma bite dans son cul rendu accueillant par le travail « en profondeur » d’Eric. Nous la baisons ensemble vigoureusement ce qui la transporte au septième ciel. Après nous avoir encouragé, elle nous supplie d’arrêter dans un fou rire nerveux, l’accumulation de sensation très fortes l’ayant réellement épuisée.

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Karima et sa sœur Noura

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Karima et sa sœur NouraKarima est entrée dans ma vie, il y a cinq ans, quand elle est devenue la femme de compagnie de maman. Ma mère, qui allait allègrement vers ses quatre-vingts ans était en effet trop vieille pour pouvoir continuer de vivre seule dans son appartement au centre d’Alger. Elle ne voulait pas quitter son logement pour aller vivre chez l’un de ses enfants. Elle tenait trop à rester autonome et à ne dépendre de personne. Après des mois de négociations, et quelques accidents qui auraient pu lui coûter la vie, elle avait fini par accepter la présence permanente d’une personne, payée pour lui tenir compagnie et veiller sur elle.Au début tout le monde craignait que la coexistence entre maman et sa dame de compagnie soit difficile et qu’à un moment ou un autre il faille se séparer de cette dernière. Mais il est très vite apparu que Karima était la personne idoine pour comprendre et accepter les quelques travers et manies de maman, et se faire aimer d’elle. Peut-être que son histoire personnelle, faite de misère dans son enfance et sa jeunesse, de souffrances dans sa vie de femme puisqu’elle avait perdu son mari après trois ans seulement de vie commune, l’obligation de travailler pour contribuer à faire vivre sa mère et se trois sœurs, avait joué un rôle important dans son adoption immédiate par sa nouvelle patronne.Il faut dire que malgré tout ce qu’elle a vécu et subi, Karima gardait un tempérament enjoué et un optimisme que jamais rien ne remettait en cause. Elle avait la quarantaine bien sonnée. Elle était grande et forte. Quel que soit le temps qu’il faisait, elle portait des robes d’intérieur larges, en coton, qui ne laissaient rien voir des rondeurs qu’elle pouvait avoir. Sauf que quand elle bougeait, et elle bougeait beaucoup, le tissu de ses robes se collait à son corps et laissait deviner des formes coquines : une forte poitrine encore ferme, qui semblait pousser vers l’avant et qu’instinctivement on avait envie de palper et de caresser ; de longues jambes bien dessinées avec des cuisses bien pleines ; des hanches larges et un fessier proéminent. A chaque fois que je la regardais bouger, je ressentais une forte émotion, qui se traduisait invariablement par une forte poussée de testostérone et un gonflement gênant au niveau de mon bas ventre. Elle avait un visage ingrat mais qui n’était nullement repoussant. Elle n’avait pas les traits fins et réguliers ; ses yeux étaient petits et ronds ; sa bouche grande, entourées de fines lèvres. Mais le tout était assez agréable à regarder ; surtout qu’elle avait des yeux rieurs qui semblaient toujours se moquer de celui ou celle qu’elle regardait et qui étaient aussi une invitation à imaginer mille choses plus coquines les unes que les autres. Quand elle me regardait en face, il me semblait toujours qu’elle m’envoyait une invitation silencieuse à jouer à des jeux interdits. Elle se rendait pertinemment compte de l’effet qu’elle me faisait et en avait joué longtemps, en faisant exprès de bouger et de se dandiner de manière à mettre le feu à mes sens. A quarante ans, Karima était veuve sans enfants. Elle avait perdu son mari à la suite d’un accident de travail sur le chantier dans lequel, il exerçait comme coffreur. Elle n’avait été mariée que pendant trois ans. Depuis une douzaine d’années elle vivait avec ses parents et ses trois sœurs. Elle n’avait pas cherché à se remarier (ou alors, personne n’était venu demander sa main) et travaillait, pour aider financièrement ses parents, comme femme de ménage dans une entreprise publique.Quand l’occasion s’était présentée de travailler comme femme de compagnie d’une vieille femme, en étant nourrie et logée, elle n’avait pas hésité un instant. Elle voulait quitter le foyer paternel dans lequel elle n’avait connu aucune joie. Elle semblait aimer la vie qu’elle menait avec maman : elle avait peu de travail et disposait de beaucoup de temps libre, qu’elle occupait à coudre, tricoter et regarder des séries romantiques à la télévision. Maman faisait tous les jours sa sieste après le repas de la mi-journée. Elle dormait environ deux heures et se réveillait reposée. Je lui rendais visite régulièrement ; au moins une fois par semaine. La plupart du temps en milieu de semaine, vers midi. Je mangeais avec elles et repartais au travail au moment où maman allait faire sa sieste.C’est au cours d’une de ces visites, après que ma mère eut quitté la cuisine pour aller dans sa chambre, qu’une envie soudaine et irrépressible m’avait pris d’enlacer Karima qui préparait le café et me tournait le dos. Je m’étais mis derrière elle et l’ai prise par la taille pour la coller contre moi. J’avais envie d’elle et était décidé de profiter de l’absence de maman pour lui faire l’amour. Je ne savais pas si elle allait se laisser faire, mais je m’en fichais éperdument. Je voulais la tirer et rien d’autre ne comptait. Elle aurait pu résister, dire non, faire du bruit pour réveiller maman. Rien de tout cela ; elle me laissa faire, tout en répétant tout bas de la laisser tranquille. Je pris cela pour une invitation à continuer de caresser sa volumineuse poitrine et de l’embrasser sur l’arrière de sa joue droite, la seule à laquelle j’avais accès. Comme je le supputais, ses seins étaient fermes et très excitables. Elle semblait aimer la manière dont je les dégageai de dessous son soutien gorge, les palpai et jouait avec ses tétons. Elle ne disait plus rien (même plus d’arrêter !) et m’invitait à continuer en bougeant ses hanches et en frottant ses fesses contre mon bas ventre. Je bandais comme un âne. D’une main je continuai à lui caresser les seins sous sa robe et à jouer avec ses tétons que j’enroulai entre trois doigts. Elle commençait à gémir tout doucement en tournant la tête à la recherche de mes lèvres. Elle voulait que je l’embrasse ; dans la position où nous nous trouvions, je n’avais pas accès à sa bouche ; je me contentais de l’embrasser sur la seule partie des ses lèvres qui était à portée des miennes. Ma deuxième main allait lui caresser le ventre et descendit rapidement au niveau de son pubis. Elle poussa ses fesses plus en arrière pour me permettre d’avoir un meilleur accès à son mont de vénus. Je me mis à la recherche de sa chatte que j’eus du mal à atteindre. N’y tenant plus, je la forçai à se retourner et à me faire face. Elle avait fermé les yeux, mais laissé sa grande bouche entrouverte, quémandant un baiser torride. Je l’embrassai avec fureur la forçant à ouvrir complètement les dents pour que ma langue entrât dans sa bouche et allât à la recherche de la sienne. Elle se laissa prendre au jeu de la guéguerre des langues qui avaient entamé un duel, se poursuivant l’une l’autre, tantôt dans une bouche, tantôt dans l’autre, ramassant au passage des litres de salive au goût sucré, qu’elle et moi buvions goulûment. Tout en poursuivant le baiser torride, je me mis à lui remonter le bas de sa robe de manière à dénuder ses fesses et à avoir accès à son jardin secret. Une fois le pan de sa robe totalement remonté au dessus de ses hanches, j’arrêtai le baiser et j’éloignai légèrement ma belle pour regarder ses jambes et ses cuisses dénudées. Quel spectacle ! Encore plus beau et plus bandant que ce que j’imaginais quand je la voyais bouger sous sa robe. De longues jambes d’un blanc brillant, avec des mollets longs et musclés, des genoux ronds surmontés de longues cuisses du même blanc brillant que les jambes et se terminant par l’entrecuisse protégée par une petite culotte de couleur noir. Pendant quelques secondes j’admirai le spectacle de cette entrecuisse qui faisait un joli bourrelet en son milieu, montrant le dessin de deux grandes lèvres longues et dodues.Je n’y tenais plus. Il fallait que j’aie immédiatement accès à cette chatte. J’arrachai brutalement la culotte en lui faisant pousser un petit cri de douleur, dont je ne tins aucun compte et me trouvai face à une image de paradis. Sa chatte était complètement épilée : aucune trace de poils ; comme si elle l’avait rasée le matin même, confirmant par là qu’elle s’était préparée pour ce qui était entrain de se passer. Les grandes lèvres, de couleur légèrement plus sombre que celle de ses cuisses, étaient effectivement longues et bombées. Je tendis la main pour y introduire un doigt et ouvrir les grandes lèvres pour aller à la découverte du reste de cette chatte qui commençait à luire de mouille, tant elle était excitée. Les petites lèvres cramoisies apparurent, brillante d’humidité, laissant entrevoir güvenilir canlı bahis siteleri un tunnel étroit de couleur plus sombre. Je fis jouer deux doigts entre les grandes lèvres, leur faisant faire un mouvement montant et descendant de manière à exciter encore plus ma belle. Elle serrait les dents pour ne pas gémir trop fort et réveiller maman ; elle avait le souffle saccadé et gardait encore les yeux fermés (peut-être par timidité, peut-être pour mieux rester dans sa jouissance). Elle écartait de plus en plus ses cuisses, de manière à permettre à mes deux doigts d’aller plus profond dans son sexe. Elle coulait littéralement et ma main se remplissait du liquide qu’elle déversait en quantité. De temps en temps je portai mes doigts à mon nez pour sentir l’odeur épicée de sa chatte et à ma bouche pour boire un peu de son liquide ; il avait un goût très agréable, légèrement acidulé. Elle était toujours debout, adossée contre la porte de l’immense réfrigérateur de la cuisine. Je sentais qu’elle commençait à fatiguer. Je sortis mes doigts de sa chatte, lui pris la main et la traînai vers la table de la cuisine qu’elle avait débarrassée quelque temps auparavant. Je lui demandai de poser ses fesses sur la table et de s’allonger de manière à me présenter sa chatte que j’avais de nouveau dénudée. Elle avait relevé le bas de sa robe qu’elle avait posé en boule sur son ventre, releva ses jambes qu’elle posa sur sa poitrine et resta ainsi, le con et cul nus. J’étais attiré par cette chatte comme par un aimant. Je me mis à genoux par terre de manière à avoir ma bouche au même niveau que ses grandes lèvres que je me mis à embrasser, sucer et téter, avalant par la même occasion tout le jus qui s’en dégageait. La belle aimait ce que je lui faisais. Elle se mit à chuchoter que c’était bon et que c’est la première fois qu’elle se faisait sucer la chatte.-Continue, n’arrête pas, je sens que je vais jouir ! C’est merveilleux ! Tu es merveilleux ! Si mon mari pouvait voir cela ! Il ne m’a jamais donné autant de plaisir ! C’est bon, bon, bon !Tout en chuchotant, elle me tenait la tête pour qu’elle ne quitte pas sa chatte, poussait ses hanches contre ma bouche pour que ma langue puisse la pénétrer le plus loin possible et se tortillait pour accroître le frottement de ma bouche contre ses grandes et petites lèvres. De temps en temps, j’attrapais son clitoris entre mes lèvres et le mordillais. Elle adorait cela et gémissait plus fort pour me le faire savoir. Et puis tout à coup, ses gémissements s’accélérèrent, montrant qu’elle était sur le point de jouir ; tout son corps se crispa et elle déchargea dans ma bouche en poussant un long râle de mourante qu’elle s’efforça d’atténuer pour ne pas réveiller maman. Puis elle se relâcha totalement, reposa ses jambes par terre et me força à venir l’embrasser sur la bouche. -Sort ton zob ! murmura-t-elle ; je veux le voir ! je suis sûre qu’il est immense ! Je veux que tu me baises comme une chienne; cela m’a tellement manqué ! j’ai besoin de sentir que je suis encore une femme !-Je veux d’abord que tu me suces ! Je veux te faire boire mon sperme ! Je suis sûr que tu aimeras, comme moi j’ai aimé ton jus !-Je n’ai jamais fait cela ; je ne saurai pas comment m’y prendre. J’ai peur que tu m’étouffe avec ton énorme gourdin.Tout en protestant qu’elle ne savait pas comment faire, elle se mit à genoux devant moi et entreprit de caresser mon pénis qu’elle avait sorti du pantalon. Elle entreprit de me masturber ; ce que je ne voulais pas et lui interdisais de faire.-Suce-moi, lui ordonnai-je ! Met le dans ta bouche !Elle s’exécuta en ouvrant sa bouche et en y faisant entrer précautionneusement le gland, puis une partie de la hampe. Je lui dis de faire attention à ne pas me mordre et lui pris la tête pour lui faire faire un mouvement de va-et-vient sur mon dard. Petit à petit elle s’habitua à la présence de mon zob dans sa bouche et commença à le faire pénétrer jusqu’au fond de sa gorge. Je lui demandai d’utiliser sa langue pour titiller le gland et me donner plus de plaisir. Elle s’y prit si bien qu’au bout de quelques minutes, je me mis à gémir de plaisir et à sentir monter la jouissance. Je me posai furtivement la question de jouir ou pas dans sa bouche, pensant que n’ayant encore jamais avalé de sperme, elle pouvait ne pas aimer. Puis je décidai de sortir mon sexe de sa bouche à l’ultime moment et de répandre mon sperme sur son visage et son cou. Elle se retrouva, avec un étonnement non feint, avec une tonne de sperme qui s’était répandu depuis ses cheveux jusqu’au haut de sa robe. En la voyant comme cela dégoulinante de foutre, je me remis à bander encore plus fort. Je lui pris la main, lui fis essuyer avec son visage et lui ordonnai de lécher le sperme qu’elle y avait ramassé. Elle hésita un peu puis sorti sa langue et se mit à lécher sa main. Je lui demandai de continuer jusqu’à nettoyer la totalité du foutre qu’elle avait reçu. Elle s’exécuta sans rechigner. Elle finit même par y prendre goût en me disant :-C’est comme du miel ! ton sperme est sucré ! j’adore ! La prochaine fois tu éjacule directement dans ma bouche ! Je boirai tout ! Et maintenant, baise-moi !Mon érection était encore très forte. Je relevai Karima, la retournai et la fit pencher sur la table de la cuisine. Dans cette position, elle me présentait ses superbes fesses avec vue sur sa chatte et sur son anus. Ce dernier me semblait très accueillant et surtout bien serré. J’eus immédiatement envie de l’enculer. Je me retins pourtant, me disant que pour aujourd’hui je lui avais fait faire beaucoup de choses qu’elle n’avait encore jamais faites et que dans son éducation traditionnelle, elle devait considérer comme anormale, sinon « h’ram » (pécher). Je lui écartai donc les grandes lèvres et plaçai le gland de mon sexe à l’entrée de son con qui dégoulinait de mouille, tant il était excité. D’un coup brusque je la pénétrai jusqu’au fond, tirant d’elle un cri de douleur, qu’elle s’efforça d’étouffer. Le vagin était très étroit : cela faisait des années qu’il n’avait pas servi et s’était donc refermé. Je lui avais fait très mal ; comme si je l’avais dépucelée. -Doucement, me dit-elle ! Je suis redevenue vierge. Cela fait plus de dix ans qu’aucun homme ne m’a pénétrée ! Vas-y mollo ! Comme cela ! Continue ! Vas-y jusqu’au fond ! Je le sens bien ! Plus vite ! Plus fort ! C’est bon ! C’est bon, bon, bon, bon ….. Je vais jouir ! J’ai envie de crier ! J’aime ton zob ! Je jouiiiiis !Elle poussa un long râle de plaisir et déchargea en secrétant une tonne de jus qui se mit à couler à l’extérieur du vagin, chassé par mon engin qui continuait à la défoncer avec force. Je sentais que moi-même je n’allais pas tarder à jouir ! J’accélérai le mouvement de va-et-vient dans le bruyant clapotis que faisait mon engin dans ce vagin inondé, et en ahanant comme un bucheron, je lâchai au fond de son vagin un premier, puis un deuxième et un troisième jet de sperme épais et brûlant. Elle était visiblement épuisée ; elle tourna la tête vers moi et me fit un petit sourire de femme rassasiée et heureuse.-Embrasse-moi, dit elle en se retournant. Puis se rappelant où nous étions, elle se leva précipitamment, rabaissa sa robe et jeta un coup d’œil inquiet vers la porte de la cuisine, craignant d’avoir réveillé maman.Rassurée, elle sortit de la cuisine et alla dans la salle de bain pour se nettoyer. Je la rejoignis pendant qu’elle prenait une douche rapide. C’était la première fois que je la voyais nue. Ce n’était pas une pin-up ; loin de là. Mais elle était vraiment désirable, malgré quelques bourrelets à la taille et un mignon petit ventre rond. J’avais envie de lui refaire l’amour et le lui dis. Elle refusa, disant que ma mère allait bientôt se réveiller et qu’il fallait que je parte immédiatement pour ne pas attirer ses soupçons. Je lui dis que je m’en irai juste après m’être lavé, mais qu’elle devait me promettre de me laisser l’enculer la prochaine fois qu’on se reverra.-Tu es fou ! répondit-elle. Je ne ferai jamais cela ; c’est « h’ram »-Tu as tout le temps pour y réfléchir, lui répondis-je. Je suis sûr que tu n’arrêteras pas d’y penser ! Tu vas même y rêver ! Tu n’arrêteras pas d’imaginer ce gros zob dans ton anus ! Et tu finiras par accepter l’idée ! Quand je reviendrai, tu seras prête à m’accueillir dans ton cul ! Et c’est toi qui en redemanderas par la suite !-Dégage, avant que ta mère ne se lève ! Jamais je ne te donnerai mon anus ! C’est trop sale !Et de güvenilir illegal bahis siteleri fait quand nous refîmes l’amour, elle accepta de me laisser l’enculer. Elle m’avoua qu’effectivement, elle avait passé la semaine à penser à cela et à s’imaginer l’effet que cela faisait de se faire prendre par l’anus. Elle finit même par beaucoup aimer la sodomisation et à l’exiger à chacune de nos rencontres. Il faut dire qu’elle avait un cul tellement accueillant ; tellement élastique ; fait sur mesure pour mon zob, qui adorait y faire son nid. Quelques temps plus tard, Karima m’apprit que maman était au courant de notre histoire et qu’elle ne trouvait aucun inconvénient à ce qu’elle continue. A condition toutefois qu’elle ne tombe pas enceinte. Karima ne courrait aucun risque de ce côté-là, puisqu’elle était stérile. Maman acceptait cette relation, parce que comme cela, elle pouvait me voir plus régulièrement, attiré que j’étais par les séances d’amour torride avec Karima. Nous nous voyions au moins une fois par semaine. Quand j’arrivais, maman, après avoir papoté avec moi un moment, se retirait, avec sur les lèvres un sourire entendu, pour faire sa sieste et Karima et moi allions dans sa chambre pour des moments de folie érotique. Notre histoire dura longtemps, même après qu’elle me mit entre les bras sa sœur Noura, une superbe plante d’une trentaine d’années, mariée à un chauffeur routier qui passait le plus clair de son temps sur les routes du sud, pour livrer de la marchandise aux contrées les plus éloignées du pays. Karima me parla de sa sœur longtemps avant de me la présenter. Elle me disait qu’elle avait épousé un homme dont elle était tombée amoureuse quelques années auparavant. Comme il s’absentait souvent et longtemps, ils ne vivaient ensemble que pendant les périodes où il n’effectuait pas de livraisons dans le grand sud. Ce qui voulait dire qu’ils étaient ensemble environ dix jours dans le mois. Le reste du temps, elle retournait vivre chez ses parents : son mari refusait de la laisser seule dans leur appartement. Pendant quelque temps, Noura se contenta de cette moitié de vie. C’était elle qui avait choisi, en toute connaissance de cause, son mari et son mode de vie particulier. Puis petit-à-petit, la mesquinerie de sa situation lui apparaissait et elle se rendait compte qu’elle n’avait rien gagné en se mariant : ni la belle vie, ni la liberté. Elle dépendait encore de ses parents pour vivre et le peu d’argent que lui laissait son mari pendant ses absences, elle le donnait à son père pour l’aider à nourrir la famille.Un jour Karima remit sur le tapis l’histoire de sa sœur et me demanda si je ne voulais pas faire sa connaissance. Elle me dit qu’elle lui avait beaucoup parlé de moi et elle pensait qu’elle était entrain de tomber amoureuse. J’étais estomaqué d’entendre cela : Karima me demandait rien de moins que de me mettre avec sa sœur. Car tomber amoureuse de moi ne signifiait rien d’autre que se donner à moi. Elle était mariée et ne pouvait espérer divorcer (une femme ne peut pas demander et obtenir le divorce selon la loi islamique) et encore moins se faire épouser par moi. Il ne restait donc que l’hypothèse de l’adultère.Je dis à Karima le fond de ma pensée et lui demandai de confirmer qu’il s’agissait bien pour elle de mettre sa jeune sœur dans mon lit. Elle confirma, tout en insistant qu’elle aussi avait besoin de moi et qu’il n’était pas question que je l’abandonne. Elle voulait juste me partager avec sa sœur qui, si elle continuait ainsi, allait rapidement devenir neurasthénique.Quelques jours plus tard, tôt le matin, Karima sonna à ma porte (j’habitais un appartement dans un quartier proche de celui où habitait ma mère). Elle était avec une jeune femme qui portait un foulard aux couleurs chatoyantes, qui mettait en évidence un très beau visage avec des yeux noirs immenses, légèrement maquillés, un petit nez droit et fin, une grande bouche sensuelle entourée par deux lèvres superbement dessinées, couleur cerise, s’ouvrant sur deux rangées régulières de petites quenottes pointues, brillantes comme de la neige. A la regarder, je me dis que cette femme devait aimer croquer la vie à belles dents. Je ne me trompais pas. Les présentations faites, après un baiser torride qu’elle me donna devant sa sœur pour bien planter le décor et montrer comment devait se passer les choses, Karima s’en alla, en disant qu’elle était pressée parce qu’elle avait promis à ma mère de rentrer très vite. Je restais seul en face de Noura, qui entre temps, était entrée dans le hall et attendait mon bon vouloir pour la suite des évènements. J’étais le plus gêné des deux. J’entrepris un début de discussion qui cessa très vite, tant elle ne semblait pas écouter ce que je disais; de toute évidence, elle attendait autre chose. Je tendis la main pour qu’elle la prenne, ce qu’elle fit sans hésitation, et la tirai doucement vers moi. Elle se laissa faire et se retrouva immédiatement entre mes bras. Presque automatiquement, sans même y réfléchir, je lui pris la tête entre mes mains et me mis à l’embrasser sur la bouche. D’abord un tout petit baiser du bout des lèvres, quelle ne me rendit pas mais qu’elle accepta sans rechigner, puis un baiser plus appuyé qu’elle me rendit en ouvrant les dents et en laissant pénétrer ma langue dans sa bouche.A partir de là tout alla très vite. Je lui demandai d’enlever son foulard pour que je voie sa chevelure. Ce qu’elle fit en un tour de main, laissant apparaître une belle chevelure d’un noir de jais qui tenait par je ne sais quel miracle sur le dessus de sa tête. Elle la libéra d’un élégant mouvement de ses deux mains. Elle se répandit telle une vague sur ses épaules et le haut de son dos, ajoutant un torrent de volupté à une sensualité torride qui déjà se dégageait d’elle. Je mis ma main dans cette chevelure de sauvageonne et y rencontrait une telle douceur qu’immédiatement je sentis une petite décharge électrique qui partit de dessous ma nuque pour se répandre le long de mon échine et aller se loger dans mon bas ventre.Mon sexe se mit immédiatement à grossir. L’érection devint si forte, qu’il me fit atrocement mal. J’avais envie de tirer cette femme ; ici et tout de suite. Cela ne pouvait pas attendre. Je m’entendis le lui dire. Et comme dans un rêve je l’entendis me répondre : « ici et tout de suite ». Nous étions toujours dans le hall d’entrée ; mais ni elle, ni moi n’y fîmes attention. Elle avança sa main vers mon pantalon de pyjama et caressa mon sexe qui faisait comme une tente tellement il était tendu. Elle semblait satisfaite de sa taille et me dit à l’oreille : « c’est juste la taille qu’il faut pour éclater ma petite chatte ». Elle le sortit pour mieux le contempler et se mit à le masturber consciencieusement. Je ne voulais pas qu’elle me masturbe. Je voulais qu’elle me suce. Je le voulais dans sa bouche qui ressemblait tellement à une chatte. Je le lui dis. Elle se mit immédiatement à genoux et commença à lécher le gland. Elle savait s’y prendre. Je voyais qu’elle avait l’habitude. Je le lui dis. – Oui j’ai souvent sucé mon mari. Il aime beaucoup cela. Et moi aussi. J’aime l’odeur du zob ; j’aime son goût ; j’aime quand le sperme coule sur moi. Je suis une vraie salope en amour. Avec mon mari, je fais semblant de ne pas aimer ; je fais comme si c’était à contre cœur que j’accepte cela ; rien que pour lui faire plaisir et le rendre heureux. Cela le rassure et il part travailler tranquille. Elle ouvrit très grand sa bouche et fit pénétrer tout mon manche. Il alla vers le fond de sa gorge. Elle le goba en entier sans sembler faire de grands efforts. Puis elle se mit à faire aller et venir sa tête, opérant à un va-et-vient torride de mon zob dans sa bouche. Elle s’aida de ses mains ; l’une caressant mes couilles, l’autre accompagnant ses lèvres dans le mouvement de va-et-vient ajoutant la masturbation à une fellation d’enfer. Je sentais qu’à ce rythme je n’allais pas tenir longtemps avant de jouir dans sa bouche. Tout en lui caressant les cheveux, je lui dis de ralentir si elle ne veut pas être tout de suite inondée de sperme. Au lieu de ralentir, elle accéléra l’allure, si bien qu’au bout de moins d’une minute je partis dans une jouissance explosive. En poussant un râle de plaisir que tout le monde, à des kilomètres alentour, avait dû entendre, je lâchais plusieurs giclées d’un sperme chaud et épais, que ma belle avala sans en perdre une seule goutte. J’étais vraiment étonné, et heureux, güvenilir bahis şirketleri de la capacité de Noura de faire jouir avec sa divine bouche. Je me promettais de lui rendre la pareille avec la mienne. Je relevais la belle de parterre et l’entraînait vers la chambre à coucher. -Viens mon ange, je vais m’occuper de toi, comme tu viens de le faire avec moi.-Oui montre moi que Karima ne m’a pas menti en m’affirmant que tu es capable de baiser pendant toute une journée sans t’arrêter. Je suis une nymphomane ; il me faut dix coups d’affilée pour être satisfaite. Tu vas me baiser dix fois de suite, n’est-ce pas ? -Bien sûr ! Je vais te remplir tous tes trous ! J’espère que tu aimes te faire enculer ! Parce que moi j’adore le cul des femmes ! Et le tien m’a l’air parfait. Tu t’es déjà faite enculée ?-Non ! Je n’ai pas voulu le faire avec mon mari ! Il a bien essayé de me faire comprendre qu’il aimerait bien que je le laisse faire ; mais j’ai toujours refusé de crainte qu’il ne me juge mal. Mais au fond de moi j’ai toujours rêvé d’un zob dans mon anus ! Ce jour est arrivé. Karima m’a dit que c’est délicieux ! Je veux que tu m’encules ! D’ailleurs je veux que tu commences par ça !Tout en parlant, Noura enlevait ses habits, en commençant par la large liquette blanche qu’elle portait par-dessus un tee-shirt, lui aussi blanc, qui mettait en évidence une poitrine juvénile, d’une blancheur de lait. Elle ne portait pas de soutien gorge. Elle n’en avait pas besoin : ses petits seins fermes et haut perchés, surmontés de deux tétons violacés, tenaient tout seuls. En les voyant, j’avais tendu la main pour les palper et jauger leur fermeté. Ils étaient doux et élastiques. Mes caresses la firent gémir de plaisir et se trémousser, montrant par là toute leur sensibilité. C’était l’une des zones les plus érogènes de ma belle, avec son clitoris et son anus. Elle enleva ensuite son jean, mettant à nue ses belles hanches étroites, son fessier bombé d’africaine et de longues jambes superbement galbées. Le corps de Noura ferait bander un mort, tant il suintait de sensualité. Et moi qui était vivant, je bandais encore plus ; je bandais tellement que j’avais mal au sexe. Il lui fallait pénétrer dans un des trous de ma belle. Je lui demandais d’enlever la petite culotte noire qui cachait encore son intimité et de se mettre en position pour que je l’encule.Elle se mit à quatre pattes, sans enlever sa culotte. Elle attendait que cela soit moi qui le fasse. Au lieu de la lui enlever complètement, je la lui descendis sur ses cuisses et restait un instant émerveillé par le spectacle de son anus palpitant. Il était de couleur légèrement brunâtre, tout rond et serré. J’y mis un doigt pour tester sa résistance. De fait, mon doigt pénétra difficilement, tant l’orifice était étroit. Ma belle était réellement vierge du cul ! J’en étais heureux, et tout émoustillé à l’idée que j’allais la dépuceler. Je plongeais le doigt dans sa chatte que je voyais dégouliner de mouille, tant elle était excitée. Une fois plein de mouille, j’introduisis le doigt dans son anus de manière à le lubrifier quelque peu. Je refis l’opération plusieurs fois, jusqu’à ce que son anus fût bien mouillé et me permette d’y introduire le gland de mon zob.J’effectuai une légère poussée pour faire pénétrer le gland. J’y réussis non sans mal. Une fois le gland bien en place à l’entrée de l’anus, je saisis les hanches de ma belle et d’une brusque poussée j’introduisis la totalité de l’engin. Elle poussa un long cri de douleur qui me fit arrêter le mouvement. Je restai au fond du boyau pendant un moment, pour permettre au cul de ma belle de s’habituer à la présence du monstre ; je n’eus pas à décider du moment où j’allai reprendre le mouvement de va-et-vient ; ce fut elle qui commença à bouger lentement ses hanches, me faisant comprendre que je devais reprendre l’opération. Un aller-retour lent, pour commencer ; puis des allers-retours de plus en plus rapides, au fur et à mesure que son boyau se lubrifiait, rendant la pénétration plus facile et moins douloureuse ; et enfin je me mis à la tirer sans ménagement, telle une bête et ahanant à chaque entrée et sortie. Au début, Noura semblait surtout avoir mal et ne prenait pas de plaisir. Puis petit à petit elle se mettait à pousser des petits gémissements de plaisir qui devenaient de plus en plus sonores.-Caresse-moi la chatte pendant que tu m’encules. Je veux sentir mes deux trous remplis. Fais rentrer deux doigts, je veux qu’ils rencontrent ton zob. C’est bon ! Continue ! Plus fort dans mon cul ! Défonce-moi ! Fais-moi mal ! J’aime ! J’aime ! C’est merveilleux ! C’est bon ! Je vais jouir ! Je jouiiiis !Et de fait, elle déchargea dans un immense râle de jouissance et remplit ma main de mouille. Moi je continuai de lui défoncer le fion sans ménagement, sentant arriver la jouissance qui explosa dans son cul en plusieurs giclées de spermes brûlant, me faisant pousser un long gémissement et qui me fit m’affaler de plaisir et de fatigue sur le dos de mon amante.-Tu es merveilleuse, lui dis-je. Je crois que tu as apprécié de te faire enculer. Tu as joui ; tu n’as pas fait semblant.-Oui j’ai vraiment joui. Au début, ton gros engin m’a fait terriblement mal. Mais après, une fois que la douleur était passée, c’est devenu extra. J’en redemande. On ne va pas s’arrêter là n’est-ce pas ? J’ai encore envie de baiser. Je pensais qu’elle est vraiment incroyable. Elle vient de jouir comme une folle et elle redemande encore ; et tout de suite. J’étais un peu mollasson après deux éjaculations rapprochées. Je me dis donc qu’il me fallait la faire jouir autrement. Avec la bouche, cette fois-ci, m’étant rendu compte que je n’avais pas encore réellement vu sa chatte. Je l’avais caressée, mais je ne l’avais pas encore approchée de près. Je lui demandai donc de rester allongée sur le dos et de lever ses jambes de manière à me permettre de lui sucer la chatte. Elle en fut ravie. Elle adorait se faire lécher et sucer la vulve. Son mari le lui faisait de temps en temps, mais il n’allait jamais jusqu’à la conclusion de l’opération ; c’est-à-dire la jouissance de sa femme.Moi je voulais la faire jouir avec la bouche. Je lui affirmais avec beaucoup d’aplomb et de forfanterie que j’étais le roi du cunnilingus et que ma bouche et ma langue pouvaient faire jouir n’importe quelle donzelle.-Fais-le au lieu, de te vanter ! me répondit-elle tout de go. Je plongeai donc ma tête entre les cuisses de mon amante, lui ouvris les grandes lèvres avec mes doigts et me mis à lécher les petites lèvres et à aller à la recherche du clitoris que je me mis à téter. Sitôt que j’eus touché à son clito, Noura se mit à gigoter et à gémir. Elle se mit aussi à accompagner mon cunnilingus par des phrases et des mots montrant son plaisir et son bonheur de se faire sucer.-C’est délicieux ! Continue ! Ne t’arrête pas ! Bouffe-moi ma chatte ! J’adore me faire bouffer la chatte ! C’est la plus belle chose du monde ! Bois mon jus ! Dis-moi qu’il est délicieux ! Comme ton foutre est délicieux ! Dis-moi que tu ne t’arrêteras jamais de me sucer ! Je sens que je vais jouir ! Je vais jouir dans ta bouche ! Tu vas boire tout mon jus ! Tu ne laisseras rien se perdre ! Je jouiiiis ! Elle eut une très forte jouissance, caractérisée par une grosse décharge de liquide directement dans ma bouche ; liquide que j’avalai goulûment sans rien laisser se perdre. Quand elle lâcha ma tête et que je pus m’allonger à côté d’elle pour la regarder, elle avait un sourire béat et semblait planer au dessus de nous. Quand elle revint à la réalité, elle m’adressa un grand sourire qui illumina toute la chambre et me dit merci.-Merci pourquoi ? lui dis-je.-Pour ces moments de bonheur que tu m’as donnés. C’est la première fois que j’ai pu vivre tous mes fantasmes sexuels, sans avoir à me soucier du jugement de mon partenaire. J’ai beaucoup aimé mon mari. Et je crois que je l’aime encore. Mais avec lui, je ne peux pas donner libre cours à toute ma sensualité. Avec toi c’est différent. Tu es libre et large d’esprit. Et puis tu es bien foutu et tu baises comme un Dieu. Jure-moi que cela ne s’arrêtera pas là.-Il n’y a aucune raison pour que cela s’arrête là. Si tu n’es pas trop jalouse de ta sœur qui elle aussi veut sa part de bonheur, on peut se revoir tous les jours si tu veux. Et c’est ainsi que ma liaison avec Karima et sa merveilleuse sœur dura plusieurs années. Jusqu’à ce que le mari de Noura fasse un grave accident de circulation et ne put plus assurer son dur métier de chauffeur grand routier. Il se contenta de conduire des véhicules légers et arrêta de s’absenter aussi longtemps, empêchant sa femme de me retrouver et de m’offrir son immense beauté et sa sensualité. Il me reste encore Karima pour assouvir mes désirs et me parler de sa sœur.

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Baya, trompe son mari pour la première foisBonjourJe m’appelle Baya. J’ai 41 ans, je vis au Tipaza. J’ai une position important dans une grosse compagnie ce qui fait que je voyage beaucoup. Je suis mariée et nous avons 2 enfants. Je mesure 1m69 et pèse 59kg. Je suis en bonne forme et j’ai ce qu’il faut pour attirer les hommes. Une poitrine naturellement ample (90C) et ferme, des fesses qui restent douces et fermes et des jambes longues. Je suis un peu allumeuse bien que je reste toujours habillée avec classe. Je porte souvent des talons hauts qui attirent l’attention des hommes. Mes ensembles de vêtements reçoivent toujours des commentaires positifs et des regards intéressés d’hommes. Tout ça sans m’habiller avec des minijupes (plus depuis quelques années) ou des décolletés ridicules. Bref j’aime être habillée avec classe et charme. Ce que beaucoup ignorent est que j’aime aussi porter de la lingerie sexy sous mes habits plus BCBG. Je ne porte que rarement des collants et plus souvent des bas par exemple.Ce que je vais raconter dans cette histoire s’est produit il y a quelques mois. J’aime que l’on admire ce que je porte et que cela excite mon amant.Jusqu’à ces événements je n’avais pas trompé mon mari. Il semble que quelque chose se soit ouvert en moi qui fais que ma sexualité ait changée.Voici les faits.J’allais à une conférence en tunisie pour ma compagnie. Cela se passait dans un grand hôtel dans le nord est pendant l’hiver. Lors du premier soir je rencontrai une ancienne connaissance, Nadir. Nadir et moi avions travaillé ensemble auparavant mais maintenant nous étions dans deux compagnies différentes. Nous avons parlé quelques temps pendant la réception. Il me raccompagna vers ma chambre en parlant. Je pense qu’il était intéresse et cela devint plus évident lorsque il fit un commentaire plaisant sur mes vêtements (cela me fait toujours plaisir) « Toujours la mieux habillée » me dit-il. Je dois dire que je le trouvais plutôt attirant. Grand, bien bâti, beaux cheveux, plutôt bel homme. Il me souhaita bonne nuit avec un grand sourire. Nos mains se touchèrent brièvement.Je n’ai pas revu Nadir pendant la journée pleine de diverses conférences mais le soir nous avions le choix d’activités. J’avais choisi d’aller à la discothèque comme d’autres de mes connaissances. Je fus heureuse de voir que Nadir serait là aussi. Comme il faisait froid dehors je m’étais habillée aussi sexy que je pouvais pour une conférence. Je voulais être sexy pour cet homme que je connaissais à peine. Je portais un ensemble de soutien gorge, slip brésilien et porte-jarretelles en dentelle noire avec des bas noirs. J’avais une jupe noire assez étroite qui s’arrêtait au dessus du genou et un pull rouge boutonne sur l’avant. Une veste en cuir noir cintrée allait avec mes bottes noires en cuir montant juste en dessous du genou avec des talons de 5cm. Nadir m’approcha tout illegal bahis de suite et fit des chauds compliments sur mon look. Nous arrivons ensemble à la discothèque et alors que nous attendions dehors il s’approcha tout contre moi en me regardant dans les yeux. “Il fait froid non?” Dit-il. Un frisson me parcouru la peau. Ce commentaire n’était pas innocent ou était-ce ma tête qui me jouait des tours. Dans le club les gens de la conférence se retrouvaient en petits groupes pour discuter et triquer. Nadir m’approcha plusieurs fois et nous avons discuté un peu mais nous ne pouvions pas parler en privé. Lorsque beaucoup de nos collègues furent partis il me rejoint et nous pouvions parler il me rejoint et nous pouvions parler en tète à tète. Il m’invita à danser ce que j’acceptais avec joie. Les deux premières chansons étaient pop mais la troisième était un slow. Il m’enlaça soudain et nous commençâmes à danser. Je regardais autour de moi pour voir s’il restait des gens de la conférence. Nos corps étaient vraiment serrés l’un contre l’autre. Après cette danse je me sentais toute… bizarre. Un sentiment que je n’avais pas eu depuis des années.Nous retournâmes à notre table dans un coin sombre de la discothèque. Nous nous regardâmes longuement dans les yeux sans rien dire. Sa main toucha ma cuisse. Comme je ne le repoussais pas, il devint plus audacieux et remonta lentement de mon genou vers ma cuisse. Il remontait ma jupe et sa main effleurait mon bas. Lorsqu’il arriva au haut de mon bas, le contact de ses doigts sur ma peau fut comme un signal électrique. Je remarquais un air de surprise sur son visage. Il n’avait pas l’habitude de rencontrer des femmes portant des dessous si sexy pour une conférence je suppose. Je lui souris en prenant un air un peu innocent. Comme une petite fille prise par surprise en train de faire une bêtise. Il se pencha vers mon oreille et me dit « J’ai voulu être avec toi depuis longtemps. Tu me rends fou. J’adore ta façon de t’habiller, de te tenir. Tu as tellement de classe mais tu es aussi si sexy”. Cela me fit fondre. Je n’avais pas entendu ces mots que j’aime tant depuis longtemps. Je le laissais explorer mes cuisses, il sentit mes jarretelles puis ma culotte. Je commençais à devenir mouillée. Je me moquais de qui pouvais nous voir à ce moment. Ma main se posa sur sa cuisse et alors qu’il massa lentement ma cuisse, j’en fis de même sur la sienne. Je voulais monter plus haut mais je fus capable de me retenir. « Retournons à l’hôtel » lui dis-je avec une voix hésitante. Nous sommes sortis de la boite l’un après l’autre pour ensuite monter dans un taxi.Pendant les 10 minutes passées dans le taxi nous nous sommes embrassés avec fougue. Ses mains fortes couvraient mon corps, mes cuisses, mes seins. Je le laissais me posséder et je voulais plus. Nous nous sommes séparés dans l’hôtel mais 5 minutes plus tard il illegal bahis siteleri frappait à ma porte. je savais que ce que je faisais était une bêtise mais je ne pouvais pas m’en empêcher. J’entrouvris la porte mais je lui demandai d’attendre. J’allais m’asseoir sur un fauteuil, les jambes croisées puis je lui dis « entre »Il entra et me vit assise sur le fauteuil avec mes longues jambes bottées un peu sur le coté, ma jupe un peu remontée pour révéler mes bas et mon pull entre ouvert pour montrer plus de décolleté. Je vis son regard changer et je décelais une envie sauvage. Il me lança un sourire « carnassier » lorsqu’il s’avança vers moi. Il se pencha et m’embrassa avec passion. Nous échangeâmes nos places et je pus m’asseoir sur ses genoux. Je gémis de plaisir lorsque ses mains se posèrent sur moi. Mon pull fut vite déboutonné et il massa furieusement mes seins au travers de mon soutien gorge. J’avançais ma poitrine pour lui offrir mes tétins. Il sorti mes seins de leur carcan et mordilla sauvagement mes tétins maintenant durs. J’étais tellement excitée qu’avec mes mains je poussais mes seins pour leur donner une apparence plus ronde. I utilisait sa bouche sur ma poitrine mais ses mains étaient libres pour le reste de mon corps. Il poussa ma jupe pour avoir accès à ce qu’il voulait. Très vite deux doigts exploraient ma chatte très humide. J’ôtais ma culotte sans défaire mes bas. Après quelques minutes de ce traitement je décidais de ralentir les choses. Je me suis levée puis j’ai enlevé mon pull, défait la fermeture de ma jupe pour la laisse tomber. Mon soutien gorge suivi. Je me tenais debout devant Nadir en porte jarretelles, bas et mes bottes. Je me sentais un peu vulnérable car il me regardait comme un a****l carnivore prêt à dévorer sa proie. Une grosse bosse apparaissait dans son pantalon. Je revins m’asseoir sur sa jambe pour qu’il continue à me rendre folle. Je ne pus m’empêcher de toucher cette bosse. J’ouvris lentement son pantalon puis y glissait ma main. Je touchais un membre presque entièrement dur, chaud et qui semblait plus gros que la moyenne. Je changeais de position en m’allongeant sur le fauteuil puis pris son sexe dans ma bouche. Il continuait de masser de façon experte mon clitoris. Il poussa l’arrière de ma tête pour que je prenne plus de sa bite dans ma bouche car je me concentrais sur le gland jusqu’à présent. Lorsque plus de 10 ou 12 cm furent poussés dans ma bouche cela me fit m’étouffer un peu alors il arrêta de pousser mais je gardais sa bite et la suçait furieusement. Jamais je n’avais sucé un homme aussi profondément. Je me sentais un peu salope mais je ne pouvais pas m’empêcher de le faire. Soudain il me souleva et me fit me tenir de bout. Il sortit un préservatif qu’il enfila rapidement. Son membre se tenait droit et semblait plutôt long et épais. J’étais debout devant lui hésitante. Il me canlı bahis siteleri tira par la main puis arrangea mes jambes de chaque coté des siennes pour que je puisse m’empaler sur son sexe. Je savais qu’un membre de cette taille allait faire un peu mal. Je suis plutôt étroite et sensible. Lentement je descendis sur sa bite. Elle écartait mon vagin et continuait de rentrer en moi. Même étant mouillée j’avais du mal à le prendre entièrement en moi. Il me tint par les hanches puis me tira vers le bas puis le haut. Je m’appuyais sur mes talons pour prendre un rythme et être plus stable. Je sais que je devais gémir plutôt fort, voire même crier alors que finalement j’arrivais au bout de son membre. Ses mains caressaient mes bas puis pinçaient mes tétons. Je montais et descendait plus vite maintenant m’étant habituée à la taille de sa queue. Je sentais mon vagin serrer sa bite alors que je montais et je me rendis compte qu’à chaque fois que je plongeais vers le bas je criais très fort. Surprise et laissant mon attitude plutôt timide reprendre le dessus je me levais soudain et mon vagin fit un bruit de bouchon de champagne lorsque sa bite en sortit. Surprit et un peu énervé que j’arrête soudain, il se leva et me poussa contre le bureau derrière moi. Il me souleva et m’assit sur le bureau. Il poussa mes épaules pour que je m’allonge. Il prit une jambe ou plutôt une botte sur chacune de ses épaules et me pénétra d’un coup. Sentir son membre s’enfoncer si vite me fit crier. Il se retira presque entièrement pour rentrer encore soudainement. Je mordais ma lèvre pour ne pas crier. Il commença à me défoncer furieusement tout en pinçant un téton d’une main et caressant une botte de l’autre. Je devenais folle allant du plaisir à la douleur alors qu’il déchirait violemment ma chatte. Lorsqu’il effleura mon clitoris cela m’envoya au paradis et j’eu un long orgasme. Lorsque je fus enfin calme je vis qu’il n’était plus en moi. Il me tint par les hanches et me retourna. Je me tenais sur mes talons qui poussaient mes fesses vers le haut. Mes jambes étaient faibles après cet orgasme. Il s’empara de mes fesses et poussa sa bite profondément en moi. Apres avoir jouit j’étais encore plus sensible. J’avais l’impression d’être déchirée par sa grosse bite. L’impression d’être possédée par un homme avec autant de passion me rendait humide à nouveau et il glissa en et hors de moi plus facilement. Il se tint à mon porte jarretelle comme on tient un cheval et me défonça de plus en plus vite. Je sentais sa bite frapper le fond de mon vagin. Il frotta mon anus et y introduisit un doigt. Cela poussa un nouvel orgasme à la surface. Soudain il poussa au plus profond et avec un grognement il jouit tout en poussant sa bite le plus possible. J’aurais aimé qu’il ne mette pas de capote pour sentir sa semence gicler en moi mais ses derniers coups de boutoir me firent jouir encore plus fort.Je me suis réveillée dans mon lit portant encore mes bas et mes bottes. Mes entrailles en feu après l’assaut sauvage que j’avais subi. Je me sentais encore plus satisfaite sachant que mes vêtements avaient poussé Nadir à me désirer.

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A votre service – Episode 2

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A votre service – Episode 2Ce qu’il faut savoir des épisodes précédents pour comprendre celui-là: Episode 2: L’erreur de Mlle ReignerRyan se réveilla tôt le lendemain de sa première journée de travail mouvementée et sa queue lui faisait mal tant elle était tendue. Le jeune homme remarqua alors quelque chose d’étrange. Son caleçon était baissé jusqu’à ses genoux et celui qu’il avait utilisé le jour précédent n’était pas rangé dans son bac à linge sale et trainait par terre. Il réfléchit. Il était pourtant sûr de l’avoir rangé et cela lui semblait un peu bizarre, surtout il n’avait pas le souvenir de s’être masturbé ou d’avoir descendu son caleçon actuel pendant la nuit. Il haussa les épaules, remonta son caleçon et se leva. Il sortit de sa chambre rapidement avec des habits propres dans les mains en direction de sa salle de bain qui était en face de sa chambre au fond du couloir.Il poussa rapidement la porte et entra dans la petite pièce à l’odeur parfumée de shampoing. Il s’arrêta net, le rideau de la baignoire était tiré et il reconnut les habits de sa mère sur l’étagère.- Ryan, c’est toi? Questionna celle-ci sous le filet d’eau en penchant sa tête derrière le rideau.- Oui, répondit le garçon en voyant le visage de sa mère dépasser du tissu imperméable, désolé je pensais que tu dormais encore.- C’est rien, c’est rien! Ryan fixa soudain son regard sur le string rose de sa mère et eu un violent flashback de la soirée précédente. Il se rappela à quel point la belle Jenna Bocquet était sexy et à quel point c’était bon de voir son cul rebondir sous ses accoups, et la salope de bonne masquée qui avalait les bites comme des hot-dogs. Lorsque la tête de sa mère disparut derrière le rideau à nouveau, dans une sorte d’hypnose, attiré par la couleur de ce sous-vêtement, Ryan glissa doucement ses doigts sur la surface lisse du string.- Tu as vu ta soeur ce matin? Interrompit sa mère, Elle a encore fait la fête trop tard hier soir, j’étais en colère.Les doigts du jeune homme glissaient sur l’endroit où se posait le sexe de sa mère, il revoyait Jenna souffler de plaisir, son anus détrempé…- Non, répondit Ryan d’une voix absente, je l’ai pas vue ce matin…Il attrapa le tissu et le monta doucement sous son nez. Ca sentait le propre, la lessive, mais il restait des odeurs corporelles très excitantes. Ryan sentit son attirail se durcir dans son caleçon et reposa rapidement le string à sa place en remarquant ce qu’il était entrain de faire.Il se retrouva 15 minutes plus tard dans la cuisine avec sa jeune soeur qui semblait terriblement de mauvaise humeur. Natacha, c’était son nom, avait 16 ans. Elle était très mignonne, avec de beaux cheveux bruns très lisses et qui lui arrivaient au milieu du dos et une belle paire de seins sur la poitrine. En voyant arriver son frère dans la pièce, elle lui tourna le dos et regarda par la fenêtre en l’ignorant. Ryan savait pourquoi elle réagissait comme ça, telle une gamine. Il lui rentra dedans dès la première phrase:- Ecoute je me fous que tu aies eu des problèmes avec le fils Bocquet, je vais pas leur refuser du travail parce que ma soeur ne sait pas choisir ses copains.Le résultat ne se fit pas attendre, la jeune femme se retourna et fixa ses yeux bruns au fond de ceux de son frère.- Ca n’a rien à voir bordel! Eclata-t-elle, Cette famille est dangereuse je te dis. Il y a quelque chose de louche à propos de leur finances et de leur lien avec ta société là, Clean je sais pas quoi.Ryan ricana en prenant le jus d’orange sur la table.- En attendant, répondit-il, même si c’est les plus gros mafieux de la planète, ils paient bien et ils demandent à ma société d’envoyer un employé ranger leur maison, donc je fais juste mon boulot, point.- Pas UN employé, ils ont demandé que ce soit TOI dès qu’ils ont su que tu t’étais fait engagé!- Et alors?- Eh ben, tu es mon frère et Steven leur fils me déteste, j’veux pas qu’ils te fassent du mal à cause de moi.Ryan éclata de rire.- Merci Nat, mais ne t’inquiètes pas, ils sont très gentils avec moi -il fit mime de réfléchir- peut-être même un peu trop, tu as raison ça pue le piège!Et il rit de plus belle. Natacha tremblait de rage.- Tu es une pourriture!Après ça ils ne se parlèrent plus. Leur mère qui arriva juste après les traita de gamins et ils partirent à l’école.Cette journée fut longue et bien chiante. John était absent sans raison particulière, comme souvent en fait. Le seul moment agréable de la journée fut la pause de midi que Ryan put partager en tête à tête avec Mélanie. Depuis qu’il l’avait rencontrée, Ryan était fou d’elle. Mélanie Trigerman était vraiment une belle jeune femme. Le genre de perle parfaite quasi-introuvable. Belle, blonde aux longs cheveux lisses, de magnifique yeux bleu-azur presque turquoise. Intelligente, cultivée… elle avait tout pour elle. Excepté le fait qu’elle savait pertinemment que Ryan avait un faible pour elle et qu’elle couchait avec son meilleur ami, évidemment. Oh, elle ne voulait pas faire de la peine au beau Ryan, mais John avait réussi à l’accrocher bien plus rapidement avec un argument auquel Mélanie semblait ne pas résister, le sexe. Et elle trouvait justement Ryan trop peu dégourdit sur le sujet…Vers 15h30, avant la fin des cours, Ryan dut sortir de son cours d’histoire pour aller chercher des livres à la bibliothèque. La bibliothèque de cette université était limite en ruine, toujours vide, mais pas inutile cependant. C’est en arrivant dans la grande pièce remplie de livres güvenilir bahis que Ryan allait faire une découverte très intéressante. La porte était mal fermée, son entrée se fit donc dans le plus grand des silence. Ne voyant personne à la petite réception, le jeune homme se dirigea à travers les rayons pour trouver ce dont il avait besoin pour ses cours. C’est en passant derrière l’avant dernier rayon que Ryan se figea. Au fond de la salle, derrière les piles de livres, une femme à lunettes à moitié tombées de son nez, chevelure brune dans tous les sens, avalait le sexe d’un jeune homme dont le visage était caché par une grande encyclopédie. Sa professeur de maths, Mll Reigner, doyenne des deuxième années! Ryan s’arrêta de respirer en découvrant la scène et fit un pas en arrière. Les seins de la jeune femme tombaient hors de son chemisier blanc ouvert et elle avalait la queue du garçon comme la plus salope des actrices porno. Ryan voulut reculer mais ce fut trop tard: entre deux léchouilles sur la verge qu’elle tenait en main, les yeux de Mlle Reigner tombèrent sur le garçon. Lorsqu’elle comprit la merde dans laquelle elle venait de se mettre, ses yeux semblèrent se figer et s’emplir de terreur. Ryan déglutit difficilement et recula doucement. Il fit volte-face et sortit de la bibliothèque le plus vite possible.John, que Ryan considérait comme son meilleur ami, était comme qui dirait “un chaud lapin”. Il n’avait eu que 2 copines “réelles”, pour le reste il savait user de son charme naturel et de sa réputation de bon coup auprès des femmes pour satisfaire ses besoins presque nymphomanes. Il entretenait une relation très ambiguë avec Mélanie Trigerman de sa classe mais aussi avec sa camarade Christina Scorento. Il avait baisé toutes les cochonnes, toutes les nymphos, toutes les femmes en manque de la ville. Il était difficile de ne pas évoquer son nom lorsqu’il fallait raconter qui était présent à chaque soirée étudiante ou autre beuverie possible. Lui, il s’en foutait pas mal à vrai dire. Ce qu’il attendait de la vie était simple: de la chatte, peu importe laquelle. Et il était loin de s’imaginer dans quelle galère ses envies allait le mener aujourd’hui.Ce jour-là, il avait mal évalué le danger. Il était 15 heures et le soleil prenait un teint jaune clair sur l’université Reigner. John s’était installé dans une petite salle de réunion du 3ème étage qui restait en permanence ouverte et que personne n’utilisait jamais en compagnie d’une jeune étudiante en droit très sexy dont les deux petites nattes blondes qui lui tombaient sur les épaules, le maquillage abondant et les vêtements courts laissaient très bien comprendre ses attentions sur le campus. La petite étudiante maitrisait parfaitement l’art de la fellation. Ses petites lèvres recouverte de rouge à lèvre éclatant brillaient et reflétaient la lumière du jour qui arrivait de l’extérieur tandis que la grosse verge de John s’y introduisait en glissant dessus, et la jeune femme accueillait le gland du jeune homme avec sa langue qui le léchait et l’aspirais. John attrapa les deux nattes de la blonde et utilisa tira la tête de la jeune femme sur sa queue comme s’il dressait une jument en lui criant:- Allez, suce-moi ça, petite cochonne!!Il ne tapait pas vraiment au fond de la gorge de la fille car celle-ci ouvrait grand son oesophage afin de permettre à la bite de John de s’introduire jusqu’au fond de son orifice dans un bruit profond de succion, son visage rougissant de ne plus pouvoir respirer. Mais alors que le plaisir commençait à monter, la porte s’ouvrit violemment et une grande silhouette de femme apparut de l’entrouverture de la porte. Les cheveux bouclés de Mlle Reigner, sa professeur de maths et sa doyenne, étaient décoiffés et son visage rouge de colère.- Mademoiselle Zacharia, commença la professeur de mathématique en soufflant, vous rentrez chez vous, si je revois vos fesses sur le campus aujourd’hui je vous fait virer. John Salamyan, quant à vous, dans mon bureau, immédiatement!- C’est inadmissible, M. Salamyan! Hurla Mlle Reigner. C’est la deuxième fois en un mois que nous vous prenons sur le fait entrain de… D’avoir des…- … de baiser, oui! Le coupa le garçon.La prof de math et doyenne devint rouge de rage. Le garçon la regardait avec un sourire en coin, le visage satisfait, assis sur la petite chaise en cuir du bureau de la jeune femme. La petite pièce ne contenait que quelques étagères remplies de livres et de classeurs et un petit bureau rempli de piles de papier. Mlle Reigner attrapa un dossier sur le milieu du bureau et le lança sur le garçon. John reçut le dossier contre son torse et dévisagea méchamment sa prof.- Ecoute-moi bien, petit con, dit la prof les dents serrées de rage et en laissant tomber toute forme de politesse, tu es encore dans mon cours et dans cette école uniquement parce que ton père m’a donné ordre de te garder et que je ne peux pas me permettre d’échouer à ma tâche. Mais crois moi, les photos que j’ai là-dedans pourraient arriver accidentellement chez toi et je pense que ton père changerait rapidement d’avis.John baissa enfin son regard sur le dossier et l’ouvrit. Il s’agissait de photo de ses ébats avec Mélanie Trigerman, Christina Scorento et les toutes récentes avec Lara Zacharia. John observa un moment les photos montrant des fellations et autres actes sexuels puis relança le dossier sur le bureau de Mlle Reigner.- Envoyez-les si vous avez les couilles de le faire, répondit calmement türkçe bahis le garçon, mais je pense que votre petite magouille pourrait très mal se terminer.La professeur haussa les sourcils et retint sa colère.- Après tout, c’est vous qui avez les originaux de ces photos, vous êtes donc en détention d’une preuve incroyable de votre voyeurisme et de votre laisser aller sans limite.- P…Pardon? Vous avez perdu la tête?John se leva subitement et fit quelques pas sur le côté du bureau qui le séparait de la jeune femme.- On ne retiendra de cette histoire qu’une chose: une jeune professeur de maths au top de sa carrière perd son travail pour avoir suivi et pris en photo un élève lors de ses rapports sexuels intimes avec des universitaires de son âge, en toute légalité. La doyenne a été jugée pour son voyeurisme et ses excès de colère récurrents. Il parlait avec une telle assurance que cela terrorisait la professeur, de plus il faisait lentement le tour du bureau et se rapprochait petit à petit de la jeune femme.- Et croyez-moi, Mlle Reigner, c’est ce qui arrivera. Car ma famille et moi nous y emploierons de toutes nos forces.Il était maintenant à quelque centimètres d’elle. Il posa son index sur la joue de sa prof paralysée de peur.- Si vous pensez pouvoir me battre, allez-y, lancez l’attaque. Sinon… je veux vous voir à genoux. Maintenant.Mlle Reigner le savait, elle n’aurait jamais dû s’attaquer à John Salamyan. Elle se sentait à présent si faible… Si soumise à la volonté de ce garçon… Elle se laissa tomber d’une traite sur les genoux. John afficha un sourire comblé.- Ici c’est trop simple… murmura-t-il. Suivez-moi.John l’amena dans la bibliothèque sans prononcer un mot. Il poussa la petite porte en bois et s’avança dans les étagères remplies de livres. Mlle Reigner le suivait, les yeux baissés, impuissante. John la menait en laisse comme une chienne. Le garçon se choisit un endroit un peu caché au fond de la bibliothèque, il y’avait une grande pile de livres et il attira la jeune professeur derrière celle-ci. La bibliothèque était vide. Lorsque Mlle Reigner arriva à la hauteur du jeune homme, celui-ci l’attrapa par la taille et la plaqua contre lui pour l’embrasser à pleine bouche. La professeur le laissait entièrement faire, elle avait trop peur de lui maintenant: l’intensité et la force avec laquelle il lui avait parlé plus tôt avait suffit à lui faire comprendre qu’il ne plaisantait pas. Leur langue se collèrent, se mélangèrent dans un bruit de respiration très excitant. Lorsque leurs lèvres se décollèrent et qu’il purent à nouveau respirer, John murmura à sa prof:- Vous savez pourquoi je vous ai amené ici?Reigner ne répondit que par un mouvement de tête négatif. John glissa sa main droite sur le corps de la jeune femme et lui empoigna vivement une fesse.- Parce que c’est ici même que je me suis dit que j’avais envie de vous pour la première fois…La prof rougit, le garçon déboutonna les boutons du haut du chemisier blanc de celle-ci et rapidement fit glisser le soutien-gorge de la femme vers le bas. Mlle Reigner sentit donc son sein droit s’éjecter du bonnet à l’air libre. John caressa le mamelon de celle-ci et le porta à sa bouche rapidement. Il lécha la chair douce et tendre puis jeta un regard à la pauvre femme tendue comme pas permis.- … vous cherchiez une encyclopédie au dernier rayon du haut… continua-t-il entre deux léchouilles, … et vous étiez montée sur cet escabeau… mmmh… je distinguais votre petit string blanc de loin… vous… si innocente…Il glissa sa main droite sous la jupe de la jeune prof et remonta son visage à la hauteur de sa nuque dans laquelle il déposa plusieurs baisers brûlants.- …ce jour-là j’ai décidé que je vous baiserais comme personne ne l’a jamais fait!Cette dernière phrase eut l’effet d’une bombe sur la jeune femme et elle embrassa John passionnément. Le jeune homme la désirait et elle ne pouvait pas dire qu’il était laid. Elle n’avait pas d’échappatoire, elle était sous son contrôle. Elle était l’objet de son désir, son esclave pour un moment intense. Elle n’avait pas le choix. Mlle Reigner tomba à genoux et déboutonna rapidement la braguette du jeune homme. John la regardait avec un petit sourire satisfait et une incroyable lueur de désir.- Vous avez cassé mon coup avec Lara, lança John, il est donc normal que vous répariez votre erreur. Donnez le meilleur de vous-même, Lara suce comme une pro.A nouveau, la jeune prof se sentit si soumise et si faible. Il fallait qu’elle vainque cette faiblesse! Elle attrapa le sexe de John et la sortit de son caleçon pour l’avaler d’une traite. Elle secoua sa tête et ouvrit sa gorge afin de laisser la verge descendre au fond de celle-ci. John ferma les yeux de plaisir et lâcha un râle de plaisir. Il laissa aller et venir son sexe dans la bouche de sa prof esclave. Reigner commençait à se prendre au jeu et à se déchainer comme une bête sauvage en lui rongeant la queue comme une affamée. Elle ressortit le sexe de John et le tint bien en main pour jouer avec sa langue tout autour. Soudain, une forme sombre apparut dans l’angle de l’oeil gauche de la jeune prof et elle détourna les yeux sur cette forme. Son corps se glaça en une demi-seconde. Ryan Summers de sa classe de mathématique se tenait là à la fixer sans dire un mot. Les quelques secondes où ses yeux entrèrent en contact avec ceux du garçon lui semblèrent être des heures. Tout s’écroulait autour d’elle: crédibilité, honneur, vie sociale, travail, amitié. güvenilir bahis siteleri Ce jeune garçon qu’elle considérait comme l’un de ses élèves les plus agréable et qu’elle portait haut dans son estime la voyait là, le sexe de son camarade dans la bouche, les seins à l’air libre, ses pulsions sexuelles à découvert. Ryan recula et s’en alla sans bruit. La scène n’avait duré que quelques infimes secondes en réalité, mais John comprit que sa prof avait vu quelque chose de déplaisant, il tourna la tête et vu que l’encyclopédie derrière lui lui avait caché le visage. Sauvé pour l’instant il souffla. Mlle Reigner se leva, choquée.- Qu’est-ce qu’il y a?! Murmura John.La jeune professeur ne savait pas quoi faire. Elle réfléchit longuement. Elle avait aussi compris que John s’en tirait bien grâce à l’épaisse encyclopédique derrière sa tête. Seule elle avait été vue donc elle n’avait pas à craindre que Ryan Summers l’accuse d’avoir une relation avec un élève. Et John ne savait pas ce qu’il s’était passé. Le problème à présent c’était donc Ryan Summers, il ne fallait pas qu’il parle. Elle tourna ses yeux apeurés sur John, elle était toujours sous sa dictature.- Rien, mentit-elle, j’ai soudain eu peur que quelqu’un entre…- Putain, mais on s’en fout! Explosa John.Il attrapa les hanches de la jeune prof et la retourna. Mlle Reigner, la tête encore embrumée par l’intervention de Ryan, se remit dans le bain doucement, il ne fallait pas que John comprenne ce qu’il venait de se passer et pour l’instant elle devait faire semblant de rien et continuer à jouer la salope pour lui. Elle posa son pied gauche sur le fameux escabeau et tira sa jupe brune vers le haut. Ses bas-résille s’arrêtaient juste à la limite de la jupe puis sa peau claire apparut et son superbe cul sortit du tissu, coupé d’un petit string blanc cachant ses parties intimes. John fulminait.- Donc c’est cette vue là que tu aimes de moi, Salamyan? Susurra Reigner d’une voix sensuelle.John lui envoya une énorme claque sur le cul et la professeur serra les dents en sifflant de plaisir. Mlle Reigner tira son string sur le côté et laissa apparaitre sa fente humide devant son élève. John se mit à genoux et bouffa littéralement son cul en y plaquant son visage tout entier. Sa langue parcouru rapidement la surface trempée du sexe de sa prof en respirant son odeur âcre et excitante de chaleur et de sueur. Il entra son index dans la fente rosée et Mlle Reigner se tordit de plaisir.- Mmmh… Je préfère dix fois cette vue-là… Dit John.- Arrête de jouer maintenant, mets-la moi je n’en peux plus!Comme électrocuté par cette dernière phrase et presque sous le choc du changement radical de comportement de sa prof, Jonh s’exécuta immédiatement. Il attrapa son sexe dur comme du fer et l’enfonça d’une traite dans la chatte de Mlle Reigner qui l’accueillit en gémissant de plaisir! John attrapa les hanches de la jeune femme et commença ses va-et-vient à pleine vitesse, fulminant, rageant contre cette pute qui avait voulu le traiter comme un gamin. Mlle Reigner se tenait aux étagères pleines de livre pour ne pas trébucher de son escabeau sous les violents mouvements du garçon.- Aaaah… Aaaah mon dieuuu…. gémissait-elle, c’est boooon….- Ce n’est pas vous qui aurait dû en profiter aujourd’hui!! Répondit John. Il tira les cheveux bouclés de la jeune femme en arrière et se mit à la pilonner en utilisant ses cheveux comme appui. John bouillonnait! Il plaqua la jeune prof contre les livres et lui siffla dans l’oreille.- Tu sais quoi sale pute? Je vais te péter ton cul de chienne!Mlle Reigner avait mal aux cheveux et son vagin était déjà irrité par la v******e du jeune homme, mais elle ne pouvait pas se permettre de laisser tomber maintenant.- Mon cul… soupira-t-elle, … est fait pour accueillir des bites!John éjecta sa queue de l’entre détrempée et remonta son gland sur le petit trou serré de sa prof. Reigner serra les dents tandis que le sexe de John entrait dans son cul doucement mais d’une traite jusqu’à ce que ses couilles touchent ses fesses. John mordit sa nuque tandis qu’il commençait à aller et venir dans son cul. La jeune femme laissa le plaisir anal prendre le dessus sur sa douleur et commença à souffler de plaisir et à gémir de plus belle.- Ooooh… Oooooh… Aaaaah…John n’en pouvait plus, elle l’excitait trop.- Putaaaaain! Hurla-t-il!Il fit tomber sa tête en arrière et laissa son sperme gicler dans le cul de sa prof. Un flot de semence chaude envahit l’entrejambe de Mlle Reigner et elle resserra son anus sur la verge de John pour lui procurer un orgasme encore plus puissant. Le garçon s’éjecta dans un dernier spasme de plaisir et rangea illico sa queue dans son pantalon. La jeune femme se laissa tomber à genoux contre l’étagère tant ses jambes la faisait souffrir. John rajusta son pantalon et sa veste en cuir puis lança:- C’était seulement un aperçu, Mlle Reigner. Ne vous avisez pas de recommencer à jouer à la conne avec moi.Puis il fit volte-face et s’en alla simplement, la laissant là à terre, souillée et humiliée.Ryan ne savait pas quoi penser de ce qu’il venait de voir. Il était assis dans un bus qui le ramenait chez lui et revoyait sa professeur de mathématique avec un sexe en bouche. Et ses deux beaux seins bien ronds hors de son chemisier. Il bandait comme un taureau seul sur son siège en fond de voiture lorsqu’il reçut un sms qui allait le sortir de sa rêverie.- CLEAN & CO. — Bonjour M. Summers, — la famille Jereman à besoin de vos service — ce soir à 18 heures — Rue de l’Armure 19 — Prenez-vous la demande? -Sans hésiter et pour se changer les idées, tout comme se faire de l’argent et il répondit positivement et sortit du bus l’arrêt suivant pour changer d’itinéraire.

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