Belles jambes, Belle soirée PART 1

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Belles jambes, Belle soirée PART 1On est dans le canapé en forme de L, on regarde la télé, programme sur les miss régionales…On sirote un digestif, la bouteille posée sur la table basse devant nous.Mon ami, son mari, est en week end avec les petites chez les oncles en bourgogne.J’étais passé le voir justement, je ne savais pas qu’il était parti.C’est elle qui m’avait ouvert la porte, avec le sourire, on était juste amis.Elle était contente d’être enfin seule, d’avoir du temps à elle.Elle m’avait proposé de boire une bière, elle n’avait rien de prévu ce soir.Vu l’heure plutôt tardive, elle insista pour que je reste manger un bout.C’était la première fois que je restais aussi longtemps seul avec elle.C’est une femme grande et mince de mon âge, les cheveux noirs, mi-longs.J’adore les filles plus grandes que moi.Juppe courte extensible et serrée noir avec des collants noirs,un maillot gris assez ample.Elle est en pantoufles roses, décontracte.Institutrice pour les petits, elle n’est pas du genre à porter des tenues très osées.Mais j’ai tout de suite remarqué ses collants qui mettent en valeur ses superbes longues jambes, son point fort.Avec son joli petit sourire qui embellit ses trait fins et fait plisser ses deux yeux ronds aux pupilles noires,elle me faisait passer un agréable moment que je n’avais pas envie d’interrompre.La conversation très amicale et détendue nous bahis firmaları fit continuer jusqu’au pousse café dans ce canapé.Moi en position assise très décontracté et elle, allongée avec une couverture sur les jambes,en gardant une distance assez longue entre nous pour se sentir à l’aise.Personnellement, je la croyais plus froide alors qu’en fait, à mon grand plaisir, ça se passait très bien.On avait parlé de tout et de rien et nous voilà devant la télé, en mode digestion,à regarder une émission qui ne fait pas mal à la tête.Les candidates défilaient et nous commentions leurs prestations.Le genre de programme que je ne zappe pas uniquement parce que les filles sont belles.Sûrement à cause d’un peu de jalousie ou de concurrence, elle était très critique envers les miss.Mais on rigolait entre deux commentaires, impatients de voir la suite.De voir toutes ces charmantes demoiselles et elle, allongée à coté de moi,je commençais un peu à monter en température.Je z’yeutais de plus en plus ses élégants petits pieds fins entourés du joli collant noir, sortants de la couverturedont les orteilles jouaient avec le bord des pantoufles qui s’étaient déchaussées à présent.Ils étaient plus près de moi que sa tête dans le sens où elle était allongée.Elle avait du discrètement voir que je les regardaient quand je tournais la tête pour lui parler,ils sortaient de plus en plus et bougeaient kaçak iddaa d’une façon très élégante.Je fis porter la conversation sur les jambes d’une concurrente d’une exclamation typiquement masculine, l’air de rien,faisant semblant d’être innocent, mais en lui faisant comprendre que j’appréciait beaucoup cette partie du corps féminin.Elle me proposa amicalement un autre verre.J’acceptai.Elle souleva la couverture, fit passer ses deux jambes collées l’une contre l’autre devant moi pour se lever et me servir.Elle en profita pour fermer le store du salon puis en discutant, posa les pantoufles restées coincées dans le divan ets’allongea dans la même position mais cette fois, sur et non sous, la couverture.Toute la longueur de ses jambes, le superbe collant noir à petits losanges qui n’est pas si fin tout compte fait.On devine néanmoins la couleur de la peau. Je peux goulûment apprécier la blancheur de sa plante des pieds qui contrasteavec le reste, seulement assombrit par le tissu à formes géométriques.Les courbes sont divines, les lignes s’élargissent progressivement et parfaitement jusqu’aux fesses, où je pense,qu’elle à volontairement relevé de peu le bas de sa juppe, simulant une légère négligence dû à la fatigue.Elle reste pieds tendus, elle crispe les orteilles en battant des jambes. Elle attire mon regard.Nous continuons à parler mais sa voix est plus douces, kaçak bahis plus câline.Elle voit bien ce que je contemple.Je ne me cache plus.Très gênantes en général, ce genre de situations est ce soir, naturelle et agréable. Nous sommes en phase.Je suis l’inverse de son mari. Lui est tiré à quatre épingle et ordonné. Moi je suis sauvage et imprévisible.Elle le sait et doit apprécier ce changement de rapport, sans doute.Mais rien n’a été dit et je ne sais ce qu’elle pense vraiment. Je ne veux pas faire d’erreurs.Et puis tant pis, je me lance dans une approche.Pendant que nous conversons doucement, je tends le bras juste au dessous d’un des pieds qui balancent.La cheville me tape élégamment la paume de la main.Elle ne s’oppose pas et continue son battement de jambes. La barrière du touché est passée.Elle détourne son regard jusqu’à l’écran et se tait.Je décale un peu ma main, c’est son pied que je sens frapper. Je referme les doigts, j’ai envie de jouer à présent.J’essaye d’att****r ses orteils. J’entends un léger rire aigu. Elle aime. On s’amuse.Elle est réceptive ce soir, à mon grand bonheur, je vais essayer de la caresser doucement pour qu’elle soit plus ouverte.Je saisis le bout de son pied et commence tendrement à le masser.Elle a stoppé ses mouvements et se laisse faire, je suis aux anges. C’est serieux maintenant, elle apprécie mes caresses.Je ne sais pas jusqu’où on va aller mais je suis détendus, elle me plait, je me sens bien ici, je veux prendre et lui faire prendreun maximum de plaisir et qui sait, si ça continu comme ça, peut être qu’elle voudra me faire éjaculer ce soir

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Bruno, Monique et moi (Episode 2)

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Bruno, Monique et moi (Episode 2)A.Deuxième jourAprès une douche et un dernier baiser avec Monique, je m’étends dans ce grand lit, ancienne chambre de Marie. Elle semble encore habitée, quelques photos, beaucoup de livres, sur un peu tous les sujets… Un poster au mur me rappelle mes tendres années, James Dean, La fureur de vivre, tout un programme…Le sommeil me ratt**** sans que je n’entende autre chose que le silence de la campagne…Le lit est neuf, un 160, je me suis étalée… Puis rideau…Mon rêve est érotique, James Dean appelle d’autres souvenirs, mes premiers émois dans les salles de cinéma le dimanche après-midi avec mes copains, mes premiers amants, puis tout se brouille…Je sens une chaleur contre moi, je me laisse caresser, ma vulve s’ouvre, un doigt tourne sur mes trésors, je m’abandonne, appelant d’autres caresses… Rêve érotique, après une nuit intense, de plaisirs, de sexe partagé, d’échanges avec Monique, puis avec Bruno et sa façon de me prendre, de me faire jouir, puis nos délires communs… Ils me regardent, me caressent de nouveau, embrassent mes seins… Je suis nue au milieu du lit, offerte… Ils sont partout, en moi, m’emportent, me font jouir encore, je gémis…Une bouche adorable se rive à la mienne, mes doigts croisent les siens, je m’étire… Le baiser est torride, mon corps réclame… Je le sens sur moi… J’écarte les cuisses…Un sexe me pénètre délicatement, me transporte, me possède lentement, comme j’aime, comme une vague, qui me fait tanguer, je suis sur le rivage, portée par l’océan, pour un coït final merveilleux, intense, un échange amoureux si puissant, que l’orgasme qu’il génère m’emporte, me fait pleurer, mon corps tremblant de plaisir…La nuit est calme, silencieuse… Un clocher tinte son heure… Neuf coups… Déjà !…L’odeur du café… Je m’étire de tout mon long, comme une chatte… Elle m’a déposé un peignoir… Je passe par la salle de bain, puis décente, je trouve Monique seule dans la cuisine…-Bonjour ! Bien dormi ?-Extra, le lit est exceptionnel… -Comme un bébé alors ?…-Presque, il y avait des rêves pour plus grands…-Ah ! Madame est perturbée par nos amours plurielles ?-Pas que, j’ai nettement ressenti un sexe, un membre bien rigide, long, me prendre, me donner un plaisir divin… Un rêve… Bruno est sorti ?-Oui, il est allé nous chercher du pain, on va déjeuner ici à midi, je n’ai pas de nouvelles des enfants…-Vous avez…-Non !… Il te l’a dit, il était crevé, je l’ai rarement vu comme ça… épuisé… On l’a eu… Je suis si heureuse de l’avoir partagé avec toi… Tu es si sensuelle, amorale aussi… Tu m’as emportée dans tes fantasmes… J’ai joui comme jamais… J’en ai encore les traces…-Oh, dans mes rêves aussi, vous étiez tous les deux comme hier…-Pas possible, je n’ai pas bougé… -Et bien le mien, il bougeait, je te l’assure…-Il a ronflé si fort cette nuit…-Bah !… Un rêve… Je suis perturbée par tout ça, mais j’ai aimé…-Tu es prête à recommencer alors, ce soir ?-Oui… Je l’avoue… J’irai payer ma chambre avant midi, et puis c’est dimanche, je vous offre le dessert… Tu peux prendre la salle de bains, j’ai fini… Oh, j’oubliais, ça ne vous dérange pas que je reste pour la nuit ?-Mais, non, je t’assure, tu as ta chambre, celle de Marie. Et Pierre ne reste jamais le week-end, il nous laisse tranquille, il fait sa vie, à 24 ans c’est normal…-Mais Marie revient, non ?-Elle a son appartement… Parfois je sais qu’elle le prête à Pierre…Je me réjouis, ils sont gentils, accueillants, tendres… Je prends une longue douche, puis me refais une beauté, tout à l’air à sa place et je n’ai pas de traces de cette nuit magique…J’entends du bruit, Bruno a dû rentrer… Je passe dans la chambre, m’habille, je me sens fraîche, il fait beau, je reste…-Bonjour Marie !-Bonjour Marika, tu as passé une bonne nuit ?-Oh, oui… Et toi ? Tu es sortie avec tes copains ?-Oui… Classique, on se réunit chez l’un ou l’autre, parfois on sort boire un verre, ou on va en boîte…-Rentrée tard ?-Non, 3 heures je crois…-C’est bien tu n’habites pas très loin…-C’est pratique. Pierre reste là tant qu’il n’est pas confirmé dans son job. Il vient chez moi, même que parfois, je le laisse seul avec sa copine et reviens dormir ici…Ses yeux sont directs, francs, elle débarrasse la table…-Marie, tu peux accompagner Marika, elle va payer sa chambre et aimerait nous acheter un dessert…-Volontiers… C’est où ?-A l’entrée du village, sur la route de Strasbourg…-Ah, oui chez David et sa tante… Tu n’en n’as pas profité de ta chambre, tu étais mieux ici, na !-Tu as raison… Je prends ma voiture, tu me piloteras ? Un baiser à Monique, heureuse de voir sa fille avec moi…Nous arrivons à l’hôtel, Marie retrouve son copain David qui me tend la clé, surpris de voir sa cliente avec elle… La tante est de sortie, sans doute à la messe ?…-Je vais me changer, tu m’attends Marie, puis je paierai mon dû…-D’accord…Je monte les escaliers, passe une robe plus légère, il fait chaud… Je garde une veste, puis fais ma valise…Je redescends, personne en bas… Je sors mettre mon bagage dans la voiture, puis reviens, entre dans la salle, curieuse de ne pas avoir profité de l’établissement…J’entends du bruit dans la cuisine, pousse un battant…Marie est appuyée contre une grande table en bois, le garçon caresse ses seins sous le tee-shirt, ils s’embrassent tendrement… Le spectacle est splendide, la jeune femme libère ses seins, tandis qu’une main glisse sous sa courte jupe, entre ses cuisses… Elle a du mal à les ouvrir, se relève…-J’ai envie de faire l’amour… Allons au bureau, ta tante revient quand ?-Elle est allée chez son amie depuis hier au soir et rentre en fin d’après-midi, je dois aller la chercher…-Alors on va sur le canapé du bureau, c’est mieux…-Et l’amie de tes parents ?-Elle se change… Et puis elle est en âge d’apprendre…Ils courent en riant vers l’accueil, entrent dans le bureau meublé d’un canapé que j’aperçois du couloir… Je me rapproche…Elle embrasse son ami à pleine bouche. Ils se sont déshabillés rapidement, le sexe du garçon pointe son désir… Elle s’allonge, et elle écarte les cuisses… Il la caresse quelques instants, elle s’est ouverte pour recevoir sa langue… Elle commence à râler, ses soupirs emplissant la pièce me parviennent étouffés…Puis il la prend lentement, elle râle, gémit… Il accélère…Je sens que ce spectacle m’émeut…-Oui… Doucement, attends un peu… Je veux te sentir…-Je peux jouir en toi ?-Oui je suis protégée… Viens en levrette…-Tu as fait l’amour depuis ?-Non, béta… Quand ?Elle se tourne s’appuie sur un accoudoir et monte son bassin, il s’enfonce lentement en elle, elle se laisse aller, s’ouvre en râlant et il la possède d’un coup sec !…-Oh !… Macho !… Doucement…-Faudrait savoir…-Allez viens ! Oui !… Comme ça… Encore !… Vas-y, prends-moi…Il prend une bonne cadence en la tenant par les hanches, Marie replie ses bras, baisse la tête, soumise, feulant son plaisir comme une chatte en chaleur…-Oui… Oh, oui !… Comme ça… Je sens que je vais jouir… Tu me remplis… Attends, assieds-toi, je veux m’empaler sur ta bite…Il la guide, elle se pénètre doucement, puis se déchaîne… Il enserre ses seins, les malaxe, elle s’envole, le vieux canapé grince, couine, gémit aussi…Elle est magnifique, belle amazone se portant au plaisir, criant ses extases, le sexe va et vient en elle…Je n’ai pas résisté et ma culotte est trempée, deux doigts coulissent profondément en moi…Elle est prise d’un orgasme soudain, jouit en râlant, il va au bout et explose en elle…-Oh, oui… Tu es bonne… J’adore te baiser… Suce-moi…-J’avais trop envie, je te dirai… Oh, elle est grosse encore…Elle obéit, prend le sexe dans sa bouche et avale goulûment les quelques gouttes, tandis que sa chatte libère le sperme sur le canapé… Ils s’embrassent tendrement, elle se rhabille, lui aussi, puis ressortent du bureau… Je suis dehors…-Ah, je vous cherchais…-Oh, on a rangé un peu pour le retour de la tante…-C’est bien de ranger et nettoyer, vous aidez votre tante ici ?-Oui, elle a pris la suite de son mari, mon oncle… Alors je viens l’aider la journée, parfois la nuit…-Hier soir tu étais là alors ?-Oui, j’étais coincé, je n’ai pas pu vous rejoindre, il y avait un client qui n’est pas venu… Tu t’es ennuyée ?-Un peu… Tu as vu… J’avais envie de…Elle allait dire une bêtise devant moi, se tait et je demande la note…Elle me pilote jusqu’à la boulangerie du village, où je trouve mon bonheur avec un magnifique gâteau aux fruits, des mirabelles que j’adore. Marie me conduit ensuite vers une épicerie générale, j’y trouve un bon champagne…-Tu ne connais pas les bords du Rhin…-Si, mais c’est la première fois que je reviens et ce village, je ne le connaissais pas……-Prends la route à droite, puis à gauche, ce n’est pas loin….Nous arrivons près du fleuve, il y a un charmant petit port, quelques barques, un sentier…-Viens on va faire quelques pas…Je la suis, c’est magnifique, et par ce temps… Nous avons une bonne heure devant nous, et donc, nous avançons. Un emplacement est aménagé pour le pique-nique, puis plus loin on entre dans une petite forêt. On aperçoit sur la rive allemande, un château, et pas mal de péniches et de bateaux de promenade.On s’assoit sur un banc face au château, niché dans un bosquet, nous sommes seules au monde…-Tu ne connaissais pas mon beau-père alors ?-Ah, non, Marie, jamais vu, je ne suis pas revenue ici depuis 40 ans au moins…-Et mon père, maman ne le connaissait par encore quand tu étais ici… -On ne se fréquentait pas, sauf à l’usine. On a dû faire deux ou trois sorties entre filles, mais je n’ai pas de souvenirs…-Tu es vraiment belle… Je les comprends…Ses yeux plongent dans les miens…-Tu n’es pas mal non plus… Tu es bronzée, à croquer…-Tu es venue pour ça non ?-Pour quoi ?-Ben… Pour baiser avec eux… Ils te mangeaient des yeux hier au soir… Pierre s’en est aperçu aussi… Et puis tu allumais grave…-Oh, non… J’étais contente de retrouver Monique… Nous avions, des points communs alors et on s’entendait bien, mais ce fut trop court pour forger une réelle amitié…-Ah…-Et toi tu es malheureuse avec Bruno ?-Non !…-Alors pourquoi tu l’allumes depuis quelques temps güvenilir canlı bahis siteleri ?-Comment tu le sais ?-Ta mère au téléphone…-J’aime les hommes et les femmes… J’aime le sexe depuis toujours…-J’ai vu !…-Comment ? A l’hôtel ? Oh… Pardon…-Ce n’est rien, le plaisir était pour moi…-On sort ensemble, mais pas régulièrement… Il est gentil mais il ne fait pas de sexe coquin… je veux dire il baise et c’est fini… Moi j’aime plus…-Et Bruno le fait mieux ?-Je n’ai rien fait… Juste entendu… Bon, j’ai regardé un peu, là… Un soir ils recevaient un autre couple, je les ai entendus quand je suis entrée… Je ne devais pas revenir, Pierre était chez moi… Leur chambre était ouverte, Bruno baisait une femme plus âgée, maman suçait un homme chauve, avec une queue géante… J’en rêve depuis…-Tu serais tentée par faire l’amour avec Bruno ?-Ben… Depuis que j’ai vu sa grosse bite… Et puis Pierre avec son amie, je les ai vus aussi, ils ne se cachent pas trop chez moi… Les parents étaient partis… Il a voulu que je caresse sa copine…-Tu l‘as fait ?-Oui… On a fait l’amour, Pierre regardait… J’ai joui devant lui, puis elle aussi, on se léchait la chatte… Alors il est venu la prendre, il était énorme, long, incroyable, je ne l’avais jamais vu comme ça… J’ai connu ensuite plusieurs femmes… Je suis tombée amoureuse d’une que j’ai présentée à maman…-C’est toi qui es venue dans ma chambre cette nuit et m’a caressée ?-Oui… Tu dormais bien, mais tu as apprécié… J’ai eu tellement envie que j’ai craqué avec David… J’avais trop envie d’un mec…-C’était bon, tu sais ?-Ah… J’aime caresser les femmes, les sentir s’abandonner, les entendre soupirer de plaisir… Et moi, jouir par leurs caresses, mais tu ne m’as rien fait… Tu dormais…-Tu veux ?-Oui… Comme tu le fais à maman…-Mais où ? Comment tu nous as vues aussi ?-J’étais cachée dehors… Je voulais savoir… J’ai tout vu… Tu comprends pourquoi j’étais tant excitée à l’hôtel… Cette nuit j’ai attendu que tout soit silencieux et je t’ai rejointe, j’étais trempée, j’avais arraché ma culotte à vous voir vous butiner la chatte… Et puis Bruno qui vous a enfilées avec sa grosse bite… Je vais craquer un jour et la sucer… Mais j’ai envie de toi aussi… Cette nuit je t’ai pourléchée, caressée, je me suis masturbée comme si c’était toi qui me le faisais… En rentrant, j’ai croisé Pierre qui venait chez moi, il était seul… Je lui ai tout dit, que tu étais là pour baiser avec les parents… Il resté un moment, je l’ai entendu sortir…-Il est entré aussi, c’est lui qui m’a fait l’amour après toi… Je n’ai donc pas rêvé !…-Non, je n’ai pas revu Pierre… Mais si tu veux on a le temps d’aller chez moi… Tu pourras lui demander…Sitôt dit, je fonce là où elle me guide…Il est surpris de me voir avec sa sœur…-Bonjour Marika…-Re-bonjour, non ?-Ah… Marie… Tu ne peux pas te taire !… Je sais ce qu’ils magouillent, les parties fines et tout et tout… Bruno est un baiseur né… Il saute sur tout ce qui bouge, maman tient à lui, il nous élevé… Elle est capable de tout pour le garder… Marie m’a raconté ce qu’elle a vu, j’avais raison… Mais j’avais craqué pour vous Marika… Alors je me suis glissé dans ma chambre, me suis allongé et quand je vous ai sentie si chaude, si ouverte après quelques caresses, je vous ai prise… Lentement, vous dormiez en jouissant, c’était magique…-Tu m’as prise jusqu’au bout ?-Oui, pas pu me retenir, c’était trop bon, vous êtes si belle, si parfaite… Et puis Marie venait de vous exciter aussi… J’ai failli vous réveiller pour continuer… Mais j’ai eu peur… En tous cas vous avez aimé…-J’aime l’amour, le sexe, la vie… On est venues pour ça… Prends-moi de nouveau, mais après Marie, elle veut apprendre de moi et pareil que pour toi, je ne lui ai rien fait cette nuit… Ça ne te fait rien de voir ta sœur ?-Non ; on a déjà baisouillé, elle a voulu que je la déflore…-Pas possible !…-Si, hein Marie ?-C’est vrai, 14 ans, amoureuse à en crever d’un homme plus âgé, je ne voulais pas qu’il sache… J’ai demandé à Pierre de venir dans mon lit, on le faisait souvent, il me racontait des histoires… Je l’ai vampé, il avait dix-huit ans… Je lui ai demandé de me caresser comme avec ses amies, il ne voulait pas… Alors je me suis mise toute nue, il me voyait souvent, mais pas comme ça et me suis caressée… J’étais trempée de désir… Je l’ai supplié de continuer, que j’avais envie de jouir comme une femme, une vraie… Alors Pierre a pris ma main, et a posé un jouet, un ancien de ma mère… J’ai guidé le gode en moi doucement, j’ai senti comme une piqûre, un peu de sang, je lui ai demandé de me prendre comme un amant, que j’étais folle et que je l’aimais… Il s’est approché, m’a serré dans ses bras et m’a dit que ce n’était pas à lui de me prendre pour la première fois, alors je me suis masturbée vraiment, en jouissant devant lui, écartelée, avec l’appareil qui vibrait, qui se tordait en moi… Il se masturbait en regardant mon plaisir… Quand je me suis calmée, j’ai pris son sexe je l’ai sucé… Il m’a appris les rudiments de la fellation, on parlait souvent de sexe ensemble… Maintenant je me défends…-Et tu l’as eu le mec ?-Oui, j’étais jeune femme… Et ça c’est bien passé la première fois… Je suis sortie avec lui deux mois… Jusqu’à l’été…Pierre est nu devant nous, Marie aussi, j’enlève ma robe, mon string, mon soutien-gorge… Je m’allonge sur le lit, écarte les cuisses, ils viennent me lécher les seins, la chatte, Pierre m’embrasse tendrement, Marie frotte son ventre contre le mien, c’est délicieux, je fonds de désir… Marie m’a écartelée, Pierre regarde sa sœur me faire l’amour, et puis je la renverse et lui fait un 69 de folie, la faisant crier de plaisir, par mes doigts qui plongent et replongent dans son tendre minou… Elle atteint vite des sommets, surtout que je titille son anus, jusqu’à enfiler une phalange… Elle pleure, crie, en redemande… Elle est folle et délire orgasme sur orgasme…Pierre n’en peut plus et vient me pénétrer… Plus rudement que cette nuit il me possède réellement, pleinement, il a un dard de macho, dur, long et il m’emporte de nouveau sur mon océan, mon rivage en me possédant tendrement, alors que Marie est contre moi, caresse mes seins et me donne de merveilleux baisers tendres et humides… Il se libère en moi, un acte profond et tendre, une douce chaleur envahit mon ventre.Je la pousse à un dernier orgasme, écartelée sur le lit, offerte… Je sens que Pierre se retient, seules les inhibitions morales mettent un frein au cerveau…Elle jouit sous mes caresses, impudique, échevelée, abandonnée… Elle a envie d’un homme, d’un sexe dur et puissant qui la prenne à fond et la fasse jouir… Elle le crie… Nous le crie… Me supplie… Je plonge ma main dans son vagin étroit, lentement je la pénètre, la possède, à son rythme… Elle feule, gémit, ferme les yeux, ondulant son bassin… Son ventre est secoué de spasmes, elle tient ma main, la pousse en elle, et jouit encore et encore…-Oh que c’est bon, oh, je suis déflorée, mieux qu’un gode XXL… Comme si j’avais accouché… Tu es géniale… Je t’adore Marika… Je me sens femme !…Pierre lui donne un baiser de frère, la prend contre lui, la berce… Je vois sa bite reprendre vigueur (La nature reprend ses droits…), Marie aussi, elle s’en saisit et le masturbe en m’embrassant… Quand il commence à se raidir, je la prends dans ma bouche ouverte et il éjacule à grands jets, tandis que Marie vient sucer ma chatte…Nous nous rhabillons, Marie est fraîche et gaie comme un pinson, Pierre me sourit sans cesse…-Pardon pour cette nuit…-De quoi ? J’ai fait un rêve un peu coquin, mais ce n’était personne…Le repas…Un repas de fête… Tout le monde est souriant, Bruno me regarde sans cesse, Pierre et Marie aident Monique à servir, nous bavardons de tout, de rien, et je me laisse bercer par les conversations, enivrée légèrement… Marie raconte ses déboires avec un de ses clients, Pierre se souvient d’un spectacle qu’il est allé voir à Strasbourg, les Enfoirés, c’était magique…Nous parlons jusqu’à cette fabuleuse tarte aux mirabelles, accompagnée d’un Crémant qui vient parfaire mon état second…-Si on allait aux jardins ? Marika tu aimes les jardins ? Celui-ci est ravissant…-J’adore la nature sous toutes ses formes…C’est décidé…-Je dois revenir vers 18H00, j’ai une amie que j’avais invitée…-Dis-lui de venir avec nous, on pourrait aller au restaurant ce soir tous ensembles. Monique, moi, Pierre, Marie et sa copine, Marika…-Heu… Moi aussi j’ai rencard…-Pas possible, elle te veut encore ?-Tu ne la connais pas… Et puis ce n’est pas pour ça, juste une copine pour le boulot, je dois lui passer des livres, il faut qu’elle choisisse dans ma chambre…-Tu le lui as dit, elle n’a pas eu peur ?-Ah ! Ah !-Bon, si Marika est d’accord… Qui prend sa voiture ?-Je peux prendre la mienne, Bruno… 5 places un peu étroit mais elle est confortable.-Moi je peux conduire celle de maman… La neuve…Allez, Bruno se décide pour laisser conduire son nouveau SUV 7 places par Marie… Aux anges…Monique monte devant, Bruno et Pierre avec moi… Le trajet est sympa le long du Rhin, il me semble que l’on se dirige vers le fameux château du matin, mais sur la rive droite… On a passé la frontière, le site est magnifique…Parfois, je sens je sens la cuisse de l’un ou de l’autre contre moi, Bruno est nerveux, on aime pas prêter ses jouets… Monique se tourne souvent vers moi, me sourit, l’air heureux…Moi, je repense à notre trio improvisé dans l’appartement de Marie, rapide, mais intense, que de passions dans ces jeunes gens… On croit les connaître…La visite est sympathique, les jardins sont merveilleux et nous restons longtemps à regarder ces fleurs, ces massifs, cette verdure.Je m’attarde sur des arbres majestueux, prisonnière de ce faisceau de branches, un vrai dédale…Bruno est contre moi, il m’embrasse, me serre fortement…-Je n’ai pas eu le temps de te remercier. Tu es magique avec nous, tu nous donnes de l’amour, de la joie… Je ne reconnais plus ni Marie, ni Pierre et Monique est amoureuse de toi, je le sens, ça se voit… je ne l’ai jamais vue comme cela si heureuse au milieu de ses enfants…-Merci… Tu es gentil… güvenilir illegal bahis siteleri J’ai aimé hier soir, partager, me donner à vous, à toi. Je suis bien et ne regrette pas mon voyage…-C’est parfait.-Tu sais que Marie t’adore…-Ah ? Non… Je…-Tu la regardes parfois, en train de bronzer dénudée…-Elle est belle c’est vrai, mais Monique te l’a dit, j’aime les femmes mûres, comme notre amie, toi… Mais toi, tu es la cerise… J’ai envie de toi tout le temps maintenant…-Elle aussi aimerait te connaître…-Marie ? Non ? Je suis pratiquement son père…-Si tu la regardes en douce, ce n’est pas pour lui réciter des histoires… Si tu en as l’occasion…-Je… Sans doute, mais…-Et tu savais que Pierre et elle étaient très proches et très libres ?-Libres comment ?-Elle a beaucoup appris sur le sexe grâce à vous, à Monique qui est infirmière, mais Pierre est jeune et fait référence pour elle, il la protège, elle a besoin de ce côté grand-frère… Avec lui, elle se sent libre et femme… Quand on est ado, il y a des périodes de doute, et on ne sait pas tout, on a peur de se trouver bête devant les garçons… Pierre l’a initié à quelques pratiques, tout en la respectant évidemment, j’ai trouvé ça très sain… Pour votre famille le sexe est très présent, alors ne soit pas choqué. Vos enfants, enfin ceux de ta femme, savent pour moi, ce que je suis venue faire. Ils connaissent vos soirées intimes où ils vous ont surpris, voire épiés… C’est normal, c’est la vie…-Oh, je ne me fais pas d’illusion, ils sont grands, intelligents, ouverts, leur mère les a bien élevés, et les a avertis très tôt des dangers du sexe, des hommes pour Marie, des fréquentations pour Pierre…. Ils sont ouverts, je sais… Je pense même que Pierre, à le voir te regarder… et puis Marie nous présenté des copines, je me doute qu’elle papillonne…-Tu as raison pour Pierre, on a fait l’amour ce matin…-Quoi ?-Il a craqué sur moi, je me suis laissée faire… C’est un homme… Gentil et affectueux, et à son âge, le sexe est très présent, ne l’oublie pas. Il ne faut pas les brimer… Marie aussi a besoin de libérer ses pulsions, elle était là… Il vaut mieux les guider que de les rejeter ou pire, fermer les yeux…-Tu as sans doute raison, tu as élevé une fille, tu aimes le sexe aussi, tu as fait ta vie, tes expériences…-Voilà, des expériences, ce que vous faites avec Monique, juste pour décupler votre désir l’un l’autre… J’ai senti combien elle t’aime, et toi tu vas chercher ailleurs pour partager ensemble des expériences et affirmer votre relation de couple et vos libidos. Elle, dans son métier est très stressée, le sexe la détend, et en ressentant ton désir, ton plaisir, avec une autre, te regarder jouir, elle se libère de ce stress et cela vous unit…Je le vois pensif, il digère ces quelques réflexions… Il cherche ma bouche, je sens une bosse contre mon ventre… Il ne ment pas…-Tu es une fée… Je t’adore… J’ai envie de toi maintenant…-Dommage que je parte tout à l’heure, j’aime conduire de nuit…-Non, ce n’est pas vrai ? Je…-Non, ce n’est pas vrai, moi aussi j’ai encore envie de toi, de vous… Tous…-Espèce de petite…Je m’échappe sans entendre la suite, riant aux larmes, ils sont extras, mes hôtes…Finalement, il y a beaucoup de restes, et personne n’a envie d’aller au restaurant. Si Marie invite son amie, Pierre, la sienne, nous serons 7…Nous prenons l’apéritif au jardin, car le soleil s’est mis de la partie en ce mois d’avril, cela nous fait du bien au moral, en plus du reste…-Et si je sortais le barbecue ? Qui aurait envie d’une cuisse de poulet et de canard ? Une côte de bœuf ? Des saucisses bien grillées ?-Personne ? Bon… On aura droit aux restes…-Je connais des restes qui font les beaux-jours de certains…-Marie… Tu ne vises personne d’ici j’espère ?-Non, maman, c’est une réflexion d’ordre général, une plaisanterie en fait…-Alors je comprends mieux, je sais que tu es perturbée, mais tu peux tout me dire, tu le sais depuis longtemps. Nous sommes une famille reconstituée, et à ce titre je tiens à ce que le ciment soit le même pour tous.-Bien dit Bruno !-Merci Pierre. Tout va bien pour toi ?-Parfait. Je me sens revivre lorsque vous invitez des personnes comme Marika, si ouverte et intelligente, à l’écoute de chacun ici, et dont le charme opère une résurrection chez chacun de nous…-C’est vrai, je suis d’accord avec toi Pierre, Marika nous apporte son charme, s’intéresse à notre famille et vient nous parler sans détour…-Je sais qu’elle est venue pour une autre raison, il est temps je crois d’être adulte et de nous traiter en tant que tels… Nous ne sommes pas aveugles. Même si cela ne nous regarde pas, que vous êtes adultes et que vous souhaitez vous ouvrir à des pratiques plurielles au sein de votre couple, nous pourrions dans un cadre familial, être informés, du moins prévenus afin de choisir. Soit rester en dehors et éviter de vous déranger ou de nous ouvrir aussi à ces jeux, la jeune génération recherchant ce genre de pratique qui devient monnaie courante, ceci pour vous informer… Qu’en pensez-vous ?Un grand silence remplit la pièce, Marie à la bouche ouverte, Monique regarde son fils, essayant de comprendre ce qu’il a voulu dire et si elle a bien compris le sens de ses paroles…C’est Bruno qui rompt le silence…-Il est vrai que nous sommes recomposés, mais il est aussi de fait que je ne suis pas votre père. Si nous entretenons des relations avec d’autres adultes pour distraction et goût, pour améliorer nos libidos cela n’entre en rien contre vous. Pierre tu as raison, nous avons agi dans votre dos, pensant vous protéger, et n’étant pas fiers de devoir nous cacher pour cela. Si vous nous demandez plus de transparence, pourquoi pas ? Vous êtes des adultes et seuls Marie et toi Pierre pourriez être mal à l’aise devant votre maman… Pour ma part, je ne désire qu’une relation étrangère, partagée avec Monique, dans le but de nous évader du quotidien et éviter de sombrer dans d’autres pratiques, ou travers que beaucoup de couples rencontrent en se cachant l’un de l’autre. Cela mène au divorce, à la séparation. Ici rien de tout cela, nous avons pris notre décision ensemble et après plusieurs essais, nous avons opté pour un trio, plus en rapport avec nos goûts, nos moyens, le but recherché.Maintenant, le hasard nous met devant un dilemme… Marika est belle et Pierre, tu n’y es pas resté insensible. Marie tu as eu quelques expériences bisexuelles, c’est de ton âge de goûter à tout, et Marika se révèle à ton goût. J’ajoute pour créer un tableau complet que toi, Marie tu t’es comportée parfois en femme devant moi. Tu aiguises tes griffes et je le comprends, mais je suis un homme et derrière le père remplaçant, il y a un amant passionné, aimant les femmes, même si mes goûts vont vers plus d’expérience je suis loin de rester insensible à tes charmes. Pour maman, elle aime toutes les situations, en tant qu’infirmière elle est parfois trop stressée pour se contrôler. Nous ne voulons pas de relations pouvant heurter la morale, et je suis clair, personne ici ne pensera à pratiquer des amours i****tueuses ou perverses, sales, dépravantes ou dégradantes. Votre période ado est terminée, on vous a parlé, on vous a mis en garde, maintenant on vous parle à cœur ouvert. Oui, on aime baiser, parfois avec d’autres gens, dans d’autres conditions, mais pas entre fils, fille. Ici, on a une exception puisque je ne suis pas parent de sang avec Marie. Si elle accepte ou crée une relation intime c’est entre deux adultes, mais validée par sa mère. Voilà ce que je voulais vous dire pour rester en accord avec mes convictions, mon éducation, mes pensées profondes et mon rôle dans cette famille. Vous les enfants, vous ne me devez rien. Vous m’avez accepté tel quel, vous m’avez obéi les rares fois où j’ai dû vous montrer le chemin. Je vous remercie pour ces années, maintenant nos relations évoluent les oisillons sortent du nid, au grand dam de la maman, mais c’est la vie…Pierre prend la parole et remercie son père pour cette franchise. Oui, ils savent avec sa sœur ce vous faisiez. Oui, ils vous ont surpris, regardés mais pas espionnés. Oui Marika est venue perturber tout ça, nos libidos, nos testostérones ont réagi… -Marie vous a observés, nous n’étions pas dupes. Merci pour ces mots, je t’aime et continue à t’appeler papa, même si je dis Bruno parfois. Maman est une femme adorable et surtout admirable qui se sacrifie pour toi, veux t’offrir plus, pour être une épouse moderne, accomplie, ouverte aux nouvelles pratiques. Comme elle a été une mère magnifique.-Oui, maman tu es adorable, plus que toute autre femme ou mère, tu sacrifies tout pour tes enfants et puis tu suis ton mari dans une voie qui ne t’était pas coutumière à mon sens… Oui, j’aspire à faire partie de ce clan, disons élargi, avec d’autres membres choisis, nous aussi avons besoin d’évasion mais aussi de sécurité dans nos rapports avec les autres et dans nos expérience sexuelles. Oui, nous faisons partie de cette génération que rien ne rebute, même franchir quelques barrières… Oui, Bruno j’ai pensé à toi au fond de mon lit, tu es l’amant père, l’amant Adam, on ne peut qu’être amoureuse ou du moins t’espérer. Je dois confesser, puisque nous sommes dans les secrets, oui, je suis bisexuelle et j’aime cela, oui j’ai eu des rapports mais pas trop intimes avec Pierre dans mon adolescence, il m’a initiée aux pratiques avec les hommes à ma demande… Il m’a respectée, je lui en ai voulu… Marika ? Oui, on a fait l’amour avec elle, avec mon frère, j’ai joui, j’ai apprécié, j’aimerais recommencer sans devoir le cacher, dans l’esprit que Bruno vient d’édicter…-Bien mes enfants, je suis heureuse de voir que tout le monde s’entend bien avec tout le monde ici. D’abord, oui, je me suis ouverte à des pratiques pour lesquelles je n’étais pas fondamentalement préparée, bien que j’aie connu des situations très proches, par jeu, par inconscience, ou par dépit. Bruno a remis tout ça en ordre et pour le remercier, nous avons décidé d’étendre nos pratiques, comme pas mal de couples modernes, à des jeux sexuels.Je remercie Bruno de me faire güvenilir bahis şirketleri confiance et pour son aide dans notre couple et à la maison, avec vous deux… Merci enfin de poser une base pour ces dérives. Pour nous ce fut petit à petit, mais c’est vrai que nous vous avons un peu caché nos desseins, par crainte de vous décevoir, et en voulant vous protéger, mais nous aussi… Voilà, oui j’ai rencontré Marika sur le web, dans un site de rencontres. Elle m’a plu, correspondait aux désirs de Bruno, j’ai osé et elle a accepté. Nous avons eu de la chance, son intelligence, sa compassion pour nous 4, cette joie qu’elle transmet et dotée d’une beauté à faire damner un saint, je suis tombée sous son charme, bien que nous avions interdit tout sentiment, Bruno ne l’ayant pas précisé, nos échanges restant purement sexuels…Donc si Marika est d’accord, je serais ravie de créer les bases d’un club, avec vous, mais comme l’a exprimé Bruno, en respect de la morale, avec mon accord pour Marie et Pierre, je suis la seule à être impactée d’un risque de dérapage… Donc Pierre et Marie vous êtes interdits de Monique, mais vous pouvez participer à nos ébats dans le cadre de nos jeux sexuels, et y adjoindre amies et copains, adultes et consentants… Le reste je vous l’accorde. Dès que nous aurons d’autres rendez-vous, nous le dirons et à vous de voir si vous voulez participer ou non à la soirée. Je dois vous dire que pour l’instant nous n’avons que peu de pratiquantes, Marika est la seconde…Juste un détail, nous pouvons prendre la liberté de vous interdire l’accès à nos jeux si nous sommes d’accord Bruno et moi, et en cas de raison exceptionnelle.Je remercie tout le monde d’avoir fait mes éloges que je ne mérite pas… -Je suis en effet une repentie du sexe ; Après une séparation, j’ai tenté de sauver la libido. Je suis tombée dans des travers inavouables, risqués, voire pire. Une femme m’a sortie de là. Elle m’a initiée et j’ai vécu plusieurs mois avec elle. Puis j’ai pratiqué un sexe lesbien avec des femmes de mon entourage, voisines, mariées en mal de sexe, etc… Sous le couvert de ventes privées, pour mes amies matures, j’ai formé un club ou les ventes passaient au second plan… Le sexe devint ma passion, j’organisais des ventes de jouets, puis des orgies… Récemment, mon ex, qui habitait un studio en bas de chez moi et croisait parfois mes conquêtes sans se douter de ma perversion, voulut prendre sa liberté totale et demanda un divorce légal… Je me sentis seule, abandonnée, car s’il était interdit de séjour dans mon salon, je le sentais proche, et parfois, je lui accordais une nuit après un dîner trop arrosé entre amis, il faut bien que libido se passe…En fin d’année, nous donnions un dernier repas avec un couple de ses amis. Lui ancien collègue, elle femme au foyer mais étrangère à mon club…Dérive, le mari m’a draguée, mon ex a dragué sa femme… Un échangisme de premier niveau, non programmé. Ils n’étaient pas au courant de nos accords, ni de notre divorce. Eux aussi étaient en train de se séparer… Je devins la maîtresse de Romain, elle devint celle de mon ex… Qui ne s’arrêta pas là d’ailleurs…Ce retour à la vie sage d’épouse, de copine, me satisfaisait. Mais je donnais un premier coup de canif, et compris que je n’étais pas encore à ranger dans la classe retraitée, à jeter.Nous sortîmes plusieurs fois tous les 4, en testant des établissements coquins, nous furent aussi pris en main par des coaches, afin que nos partenaires se libèrent de leurs principes. Ils y arrivèrent rapidement, miracle du sexe, et je repris lecture de mon profil et des messages. Je tombais sur vous, Monique et Bruno, et voilà, la vérité toute nue. Bruno sort une bouteille de Crémant que nous vidons d’un trait, et nous proposons de commencer notre soirée club…Les yeux brillants, après une collation rapide et d’autres bouteilles, je me lance dans le canapé…Cette séance m’a fait du bien. Je me sens comme nettoyée, lavée… La tête plus claire…Bruno vient s’asseoir à mon côté…-Je tiens à toi… Tu es parfaite et je t’assure, je n’ai jamais dit ça à une femme…-Monique ?-Oui, sans doute elle le mériterait…-Je vous aime tous les deux. Je t’avais mal jugé. Macho, égoïste, un brin étroit… Non, tu es un homme, un vrai, droit, sensé, sensible, tu aimes Monique, ses enfants, les gens, la vie… Je suis bien tombée pour ma première aventure…-Nous aussi, tu es un véritable révélateur et cette mise au point a éclairci pas mal de choses.On se regarde, sa main vient sur ma poitrine, je l’embrasse… Pleinement, un baiser de tendresse, d’amour presque… Marie nous regarde, Pierre me sourit. Monique va les embrasser tous les deux, puis revient contre moi…-Quelqu’un peut baisser les lumières ?-La porte d’entrée est fermée ?-Vas-y Marika, il a envie de toi, si tu veux être tranquille allez dans la chambre dans la chambre, je reste avec mes petits… Ils sont si adorables, j’ai apprécié leurs commentaires… Tu nous as révélés…-Je vais chercher ma copine Sue, je vais lui expliquer, on est proches et on a déjà flirté avec des garçons ensembles…-OK, vas-y chérie…-Marie, je ne peux pas inviter Danielle dans ces conditions… Et puis je ne la connais pas assez…-Attends, amène-là chez moi, on se fera un film…-On va dans ta chambre, rejoint-nous pendant qu’on est seuls tous les troisJe me lève, et je fais signe à Bruno. Je dis au-revoir à Pierre et Marie qui reviendront plus tard…Je me déshabille en le regardant, il s’approche et m’embrasse tendrement en me serrant dans ses bras, une chose a changé, il est plus tendre, plus câlin… Je défais sa ceinture, il fait le reste, ma robe s’envole, mon soutif, la culotte, je suis nue devant lui…-Viens…Je m’allonge, il caresse mes seins, longuement, puis ses lèvres viennent exciter mes tétons, lécher les aréoles, puis les malaxer, deux globes tendrement choyés entre ses larges mains d’homme… Sa verge est contre moi, je m’en saisis, la caresse, elle s’étend, en redemande… Je me plie vers elle, puis la minaude, la lèche, caresse les bourses, il soupire, je la prends en bouche et la berce, puis je la coulisse, décalottant le gland rouge de désir humectant toute cette hampe de chair, serre mes lèvres, elle devient énorme, il râle, me freine… -Viens !…Je m’écartèle, lui offre mon abricot, et il me rend ma caresse… je commence à jouir, il est délicat, attentif, m’attend, suce mes pétales ouvertes par le désir, délicates lèvres rougies, mon clitoris durci de bonheur, sa langue va et vient lentement, partout, au bord de mon puis d’amour…Je masse mes seins, prends sa tête entre mes mains, l’accompagne, puis ses doigts se joignent au repas… Je fonds de plaisir, je gémis doucement, m’ouvre encore, monte mon bassin vers lui, en cadence, suivant le rythme de ses doigts qui me possèdent, vont et viennent, me liquéfiant… Je remonte un peu, puis écarte mes cuisses, m’offrant à son plaisir…Il comprend et s’installe… Prêt à me pénétrer, à me posséder…Son pieu durci par le désir, cogne contre ma chatte, il glisse, trouve, s’enfonce…-Oh… Oui… Viens !….Je n’ai pu me retenir… J’ai donné un grand coup de reins vers lui… Il m’empale, réveillant mes chairs tendres, je suis trempée de plaisir…Il me possède en cadence, à fond, me prenant lentement, faisant monter mes délires, je me donne à lui…-Oui !… Prends-moi… Oui… Encore !… Fais-moi l’amour ! Je suis à toi, j’ai envie de toi…Il continue, je savoure sa puissance, je le ressens contre mon utérus…-Oui…. Oh !… Oui !… Heu !… Heu !… Heu…Il m’emporte encore plus loin, je bouge mon bassin, il accélère, je laisse monter l’orgasme qui m’enveloppe…Il m’attend, doux, caressant mes seins, tandis que je reviens sur terre, puis il glisse une main entre mes cuisses et caresse mon clitoris, et recommençant ses va et vient…J’explose de plaisir, je le veux, je l’aime…-Viens !… Oui !… Prends-moi… Oh !… Viens en moi…Je jouis de lui, tremblant de partout, les jambes en grand écart, offerte, il me prend et me reprend… Puis arrête… J’explose d’un orgasme si puissant que je me libère d’un jet de liquide, ce je ne l’avais plus fait depuis 30 ans, je croyais à un accident, mais non… Je deviens fontaine, tant c’était intense…Il me caresse, se colle à moi, m’embrasse, me prends dans ses bras, vient lécher mes sucs, il est toujours dur, droit, pointé en l’air… Mes vocalises sont parvenues à Monique qui pointe sa tête dans l’encadrement de la porte…-Viens ma belle, il est fin prêt pour toi, regarde…-Ça a été long…-Bruno m’a montré ses talents cachés, ceux qu’il te réserve…Elle est nue en quelques secondes et très excitée… J’ai juste le temps de tremper mes doigts… Elle s’empale sur le sexe de son mari, et part dans une cavalcade inouïe… Je pense qu’elle ne lisait pas le journal…Je monte à califourchon sur la tête de Bruno, face à Monique et je partage ainsi son plaisir, grâce à la langue qui s’active dans mon intimité, sa douceur me donne le vertige.Je me penche sur sa poitrine et elle partage son plaisir par de longs baisers, redoublant ses mouvements sur le pieu de son mari, offrant ses seins à mes lèvres, et mes mains…Sa main glisse sur mon intimité, qu’elle arrive à partager avec Bruno, mon clitoris devient la cible de cette intrusion, je pars en vocalises, ils vont me tuer…-Oh !… Ouiiiii !… Oh !… J’en peux plus !…Je jouis pleinement, au moment où elle est emportée aussi par nos caresses, ses tétons rougis, énormes, elle sent Bruno expulser sa semence, comme dans leurs plus intenses ébats, elle se retire et je peux minauder le sexe encore actif pendant quelques instants, me délectant de leurs sucs mêlés, rivière de plaisir… Ecartelée au milieu du lit, Bruno d’un côté, Monique de l’autre, nous soupirons en nous caressant. Caresses de tendresse, venant témoigner de cette intensité, de notre fusion maintenant que nous nous connaissons…Je pense à Michèle, leur ami qui vient les rejoindre, elle doit jouir autant que moi… Elle doit se démonter sur ce membre que je suis en train de bercer dans ma main, provisoirement épuisé… Mais… Ils sont adorables, Bruno est parfait et très généreux, je l’embrasse sous les yeux de Monique qui se colle contre nous, partageant étroitement ces instants…Après un break avec jus de fruits et whisky, nous bavardons étalés impudiquement dans ce grand lit, je vois une tête passer la porte…-Coucou, on peut venir ?-Avec plaisir Pierre…-Je vous présente une amie…

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Sexe dans un autocarDans un autocar un jour d’orageCet après-midi de juillet il fait beau mais l’atmosphère est lourde.Je m’habille, outre le string et le soutien-gorge avec des bonnets sans coque car j’aime bien que mes tétons ressortent, d’une jupe en tissu léger, d’un maillot moulant et de nu-pieds.Je me rends chez mon amie Martine en traversant une partie de la ville en bus, puis comme elle habite à l’extrémité de la ville je dois faire le reste du trajet à pieds.Pendant cette dernière partie du parcours un orage éclate et rapidement je suis trempée des pieds à la tête, mes vêtements collent à ma peau.Déjà que je ne suis pas rassurée par les éclairs et le grondement du tonnerre avec la pluie qui me cingle je frissonne, j’ai la chair de poule et les tétons de mes seins sont érigés et bien visibles à travers le maillot.Plus très loin de chez Martine je décide de continuer ma route, elle me prêtera bien quelques habits puisque nous avons sensiblement les même mensurations.Je passe le long de la zone industrielle, des autocars sont garés sur le parking d’une usine, ils amènent les ouvriers qui commencent à 13 heures 30 et attendent ceux qui débauchent à 17 heures.Souvent des conducteurs discutent en groupe et me draguent ou lancent des blagues quand je passe. Je souris mais continue mon chemin.La porte d’un car s’ouvre et une voix me hèle:<>.C’est Cédric un homme brun, grand, pas mal de sa personne.Désorientée par ce qui m’arrive je me dirige sans hésiter vers le véhicule et monte dedans.Cédric ferme la porte, met le chauffage en marche. Il retire un sac du porte bagages, en sort deux serviettes qu’il me tend.<>.Dans l’état ou je suis je ne réfléchis plus, arrivée à l’arrière du car sans hésiter je retire mon maillot et ma jupe puis je commence à m’essuyer.Je n’ai pas entendu Cédric s’approcher derrière moi, il prend mes vêtements et les dispose à côté d’une bouche de chauffage puis il commence à me frictionner à l’aide d’une serviette les épaules puis le dos.Je reste muette et le laisse faire. Conforté par mon attitude il s’attaque à d’autres parties de mon corps comme les fesses et le ventre.<>.Tout en disant cela il le dégrafe et l’enlève puis il me frictionne la poitrine. Je ne dis toujours rien mais des envies envahissent mon ventre.Je ne suis pas plus bahis firmaları bavarde quand sa serviette atteint de nouveau mes fesses et qu’il fait descendre mon string, je lève les jambes pour qu’il le retire.Après avoir posé mes sous-vêtements près d’une bouche de chauffage il essuie avec application mes fesses, mes cuisses et enfin mon sexe enhardi par le fait que je ne proteste toujours pas.Je ne suis plus en état de réfléchir car des envies de sexe ont pris le dessus.Il me couche sur le ventre sur la banquette et me frictionne longuement le corps et les fesses avec ses mains.Il me demande de me retourner, je m’allonge sur le dos sans discuter.Il frictionne puis caresse mes seins et agace les tétons qui sont toujours érigés, je frissonne.Une main caresse mon ventre puis descend sur mon sexe. Machinalement j’écarte les cuisses.<>.<>.<>.<>.Cédric déboutonne son pantalon, baisse le zip. Il retire le pantalon et son slip.Un beau pénis aux belles dimensions se dresse fièrement, je le prends dans une main et le caresse.Sa bouche est sur la mienne, nos langues se cherchent et se mêlent dans un long baiser.Une main caresse mes seins et torture les tétons et l’autre alternativement doigte ma chatte et mastube mon clitoris pendant que je lèche sa queue partout après avoir insisté sur le gland, j’embrasse ses testicules et les prends dans ma bouche comme-ci j’allais les avaler.J’engloutis sa verge jusqu’à ce que mes lèvres touchent son pubis tout en faisant bouger ma langue, ma bouche fait des aller-retour successivement lents puis rapides sur son membre. Il apprécie.<>.Enervé il accélère la masturbation de mon clitoris sans se préoccuper du plaisir qui monte rapidement en moi ni du fait que je mouille de plus en plus. Il insiste dans ses caresses, je n’en peux plus, mon corps se tend et prise de spasmes je jouis pendant que des jets de cyprine sortent par saccades de mon vagin. J’accélère la fellation, rapidement je sens sa queue augmenter de volume et tressauter dans ma bouche, ses ongles s’incrustent dans la peau de mes cuisses auxquelles ses doigts se sont cramponnées, des jets de sperme frappent contre kaçak iddaa le fond de ma gorge. J’avale sa semence et continue à sucer.Il se retire et vient s’allonger sur moi entre mes jambes. Son pénis cherche l’entrée de ma grotte gluante de mouillure et s’y enfonce sans peine venant buter au fond.Il me défonce à grands coups de reins pendant que j’accompagne ses mouvements. Il embrasse et lèche mes seins puis mordille les tétons avec ses dents.Le plaisir remonte vite dans mon ventre et j’essaye de le contrôler, peine perdue car j’ai un orgasme qui secoue mon corps bien avant qu’il n’éjacule dans mon intimité en râlant.Nous nous essuyons.L’orage ne s’arrête pas, d’un commun accord nous reprenons nos ébats.Je masturbe sa verge tout en caressant ses cuisses et ses testicules pendant qu’il martyrise mes tétons et masturbe mon clitoris.Son pénis reprend du volume, je lui fais une fellation vigoureuse avec des mouvements rapides.Quand il se sens assez excité, il me demande de me mettre à genoux sur la banquette et positionné debout derrière moi enfonce sa queue dans ma chatte et me prend en levrette à grands coups de reins. Je triture ses testicules pendant qu’il caresse mes seins et joue sans arrêter avec mon clitoris.Le plaisir est là et je mouille beaucoup, ses bourses tapent contre mes fesses.Notre accouplement dure un moment, il soutient mon corps quand je jouis et il se soulage dans mon ventre juste avant qu’un autre orgasme ne survienne.Il s’allonge sur la banquette. A genoux entre ses jambes sans me soucier de la mouillure et du sperme qui maculent sa queue je lui fais une longue fellation bien qu’il n’aie pas vraiment débandé.Je me positionne à genoux au dessus de lui, mes jambes de chaque côté de son corps et je m’empale sur sa verge.Je remue longtemps, il accompagne mes mouvements. Le plaisir que je ressens est toujours aussi intense et l’orgasme arrive avec ses spasmes et la cyprine qui coule de mon vagin, je m’écroule sur lui.Il change de position et je me retrouve sous lui.Il défonce ma chatte à grands coups de reins, je remue en même temps que lui. Je mouille beaucoup et les clapotis accompagnent nos mouvements, ses bourses tapent contre mes fesses.Il prend son temps et met longtemps avant d’éjaculer dans ma chatte et j’ai deux jouissances successives avant de sentir son sperme couler dans mon intimité.Nous nous essuyons.<>.Il pleut toujours, Cédric me dit:<kaçak bahis ne peux pas rentrer chez toi à pieds avec ce temps et tes habits ne sont pas secs>>.<>.<>.<>.<>.<>.<>.Il se rhabille et avant de sortir il demande à me revoir ce que j’accepte sans faire de manières.Je reste nue seule, assise sur la banquette arrière.La porte du car s’ouvre, un homme pas très grand et rondouillard entre et se dirige vers moi.Les yeux lui sortent de la tête quand il voit ma nudité et qu’il scrute mon corps.<>.<>.<>.<>.André s’approche de moi. Je dégrafe sa ceinture, je déboutonne son pantalon qui tombe à ses pieds suivi par son slip.Je caresse sa queue de taille moyenne puis je la lèche partout avant de l’engloutir et de lui faire une fellation avec des aller-retour rapides pendant qu’il caresse mes seins et torture les tétons à me les arracher.Rapidement il gémit fortement, son pénis gonfle dans ma bouche et tressaute en envoyant des jets de sperme au fond de ma gorge, j’avale puis je me couche sur le dos.Il se met entre mes jambes et s’allonge sur moi sa queue contre mon intimité.D’une poussée il fait coulisser son membre dans mon ventre.Nous remuons ensemble, je mouille mais n’éprouve pas de plaisir comme avec Cédric et je pense à autre chose pendant qu’il est en moi car je ne veux pas me laisser aller avec lui.Je suis contente quand son corps se raidit et qu’il éjacule dans ma chatte.Il se relève et nous nous essuyons.A ma grande satisfaction il me dit qu’il n’a plus beaucoup de temps et qu’il doit me ramener rapidement.Je rassemble mes vêtements toujours mouillés et me rhabille, mon corps frissonne à cause de l’humidité.Une voiture s’est arrêtée à côté de la porte du car, Cédric en descend et André prend sa place.Après avoir embrassé Cédric je me précipite à l’extérieur du car pour m’asseoir à l’avant côté droit de l’auto.Pendant le trajet André parle beaucoup.Il veut me revoir, je le laisse espérer sans prendre de rendez-vous car il ne m’intéresse pas.Arrivés devant chez moi je lui dis au revoir sans l’embrasser avant de sortir de l’auto.

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Histoire 1: le début

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Histoire 1: le débutDepuis des années, je rêve que mon mari, Michel ira plus loin que le rapport vanille.Ma sœur et son mari sont nettement plus audacieux, allant de l’exhib, à la partouze, à l’échange et aussi, plus dur, le SM hard.Un soir où mon mari était à Singapour, j’ai été manger chez ma sœur, son mari Pierre, et des amis à eux, Marc et Nicole, Mathieu.La soirée avance, l’alcool fait son effet. Mathieu qui est photographe, paraît-il, propose de faire un shooting sexy. Pascale et Nicole approuvent, je tente de biaiser. Nic me dit que je peux garder mon slip et que ce ne sera pas pire qu’à la plage. Si ! Je n’ai jamais été topless sur la plage ! Pascale approuve, la salope, pourtant elle connaît ma pudeur.Pascale est déjà nue et commence à poser. Nic nue vient près de moi, finalement en slip. Elle me prend par les épaules et Mathieu nous photographie, profil, seins en gros plan. Nic m’embrasse dans le cou, photo, de plus en plus près de mes lèvres. Je n’ai pas envie de passer pour une dinde ; je l’embrasse vraiment, nos langues se mélangent. Ma sœur est venue se coller derrière mon dos et me prend les seins. Nic descend et suce les tétons. Soudain, elle se laisse glisser, entraînant mon slip. Elle plonge sur ma fente et entreprend de me lécher. Pascale me tient fermement. Nic est efficace. Je suis trempée. Tout part en vrille. Mathieu me photographie sous illegal bahis toutes les faces, dans toutes les positions.Les deux partenaires me font jouir sous l’objectif, ouverte, exposée. Je lèche et caresse aussi. Les hommes restent sages. Mon passage à l’acte n’est pas pour ce soir.Pierre me crée un jour ou deux plus tard un groupe Yahoo avec mes photos exposées. Je suis atterrée. Chaque matin, je vais le voir, je vois le nombre de visiteurs, les commentaires d’inconnus, crus, obscènes.Pierre m’annonce qu’il va commencer à montrer à des gens qui me connaissent mais accepte de fermer le groupe. Je me doute bien qu’avec Marc il va bien choisir.Un samedi matin. Il fait un temps mitigé. Je devrais aller jouer au tennis mais j’ai envie d’annuler. Gisèle passe me prendre en voiture. J’ai fait un pari stupide. Pas moyen de me débiner. C’est le jour où je dois aller au bout des choses. Michel reste pour travailler dans le jardin.Robe de tennis, courte mais pas trop. Dessus style « Marcel ».On arrive au club. Au bar, Marc, Simon et Yves en embuscade. Comme je le craignais ils me montrent des photos imprimées pour dédicace. C’est idiot, je sais qu’ils les ont vues à l’écran, mais les regarder ensemble imprimées est très troublant.Gisèle et moi partons jouer. Terrain n°9, au fond. On est tranquille. Gisèle joue comme une déesse. Le break est rapide. Elle vient près illegal bahis siteleri de moi : « première partie du pari ». J’enlève discrètement mon soutif. « tu es très sexy » me dit-elle. Elle est tout près de moi. Avant que je puisse réagir, elle verse de l’eau de sa bouteille de Contrex sur ma gorge. L’eau coule dans le décolleté, froide, mouille les seins, fait dresser les tétons et me fait ressembler à miss Tshirt mouillé….Le match reprend, les trois apôtres sont venus s’asseoir et regarder. Je perds le premier set. Je vais m’asseoir sur le banc et tire TRES discrètement mon slip. Deuxième set. Après quelques échanges, ma partenaire me dit que l’on voit très bien ma touffe quand je joue… Trois spectateurs attentifs que je commence à aimer exciter. Je me bats comme un diable. Je gagne le second set et perds le troisième. Mes trois étalons me proposent de me ramener à la maison. Je me rends compte que je suis quasi prête pour la suite.En voiture, étonnamment, ils sont bien sages. Yves me demande pourquoi je suis seule. Je lui réponds que Mich fait le jardin. Marc rigole en disant qu’il s’occupe sûrement du jardinet de Nic. Je comprends la ruse : profiter de mon exhib au club pour envoyer Nic chez Mich.La voiture de Nicole est devant chez nous. Marc me dit que l’on va rentrer discrètement. Dans le living, à travers le voilage de la baie vitrée, canlı bahis siteleri je vois mon mari et Nic, nus, sur un divan de jardin. Elle est occupée à lui sucer les couilles. Ils viennent à mon avis de commencer.Marc se colle derrière moi et me caresse les fesses nues. Je décide : j’enlève ma robe et leur dis qu’on monte. Dans la chambre, par la fenêtre ouverte, on entend les deux partenaires s’exciter mutuellement en bas. Je plonge sur le lit, me mets contre l’oreiller, jambes pliées et écartées. Je ne veux pas de préliminaires : juste baiser. Nic encourage mon mari de manière obscène. Mes partenaires s’en donnent à cœur joie.Nous l’ignorons mais Mich et Nic, repus, sont rentrés. Ils ont donc vu ma robe au sol. Nic parvient à le convaincre de monter. Je suis à quatre pattes sur le lit, face à la porte, Yves en moi, en levrette, quand ils entrent. Nic est nue, Mich en slip. Il est interdit. Nic lui baisse son slip et lui prend la queue en main pour le faire durcir rapidement. Elle le tire en avant jusqu’à mes lèvres. Je le prends doucement en bouche, amoureusement. Sentir sa queue encore souillée de la mouille de Nic, sentant le sperme, est excitant.Nic se joint à nous sur le lit. Je me retrouve sur le dos, sa fente sur mon visage pendant que mon sexe est pénétré, je suis caressée par dix mains. J’explose.Tous, sauf Mich, quittent enfin la chambre. Je dois avoir des yeux de noyée. Mich vient près de moi, tout gêné. Il me demande si je lui en veux d’avoir profité de mon absence. Je le rassure. Il avoue avoir aimé me voir et me demande s’il pourra recommencer. Le passage est franchi…À bientôt…

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Le camperDernierement, je dois aller magasiner du linge pour un mariage d’une amie. Je me rends a la place Longueuil. J’arrive et comme a chaque fois que je vais quelque part , il me faut aller pisser. Je me rends aux toilettes me place devant l’urinoir et commence a me soulager. Un homme vient se placer a mes cotés, je n’y prete pas attention. Je sens une main me caresser les fesses, je le regarde et il me sourit, je rougis. Comme je porte toujours des pantalons de jogging, il glisse sa main en dessous et me pogne le cul, je me ferme les yeux.- tu en veux plus ?Signe de tete affirmatif,- suis-moiNous sortons du centre d’achats et nous nous dirigeons vers un camper. Il ouvre la porte de coté.- embarqueJ’obtempere, luxueux véhicule- a poilJe le regarde- aller, obéiOk, amusons-nous, allons voir jusqu’ou cela va m’amener. canlı bahis şirketleri Je me déshabille- couche-toi sur le dos, comme caJe me place comme demander. Il se fout a poil aussi, m’apparait une queue de belle dimension, un bon dix pouces et bien large. Il s’approche- ouvre la boucheIl prend un vaporisateur et m’en projette une petite quantité. Je sens une sensation de geler de la bouche. Il colle son gland a ma bouche et glisse doucement. Je sens sa tige me pénétrer au complet sans que j’aie le gout de vomir, belle sensation, il me baise la bouche, je bande. Cela dure quelques minutes.- a quatre pattesIl sort d’un tiroir un god comme le mien. il l’enduit de lubrifiant et commence a me baiser le cul, avec v******e. Il y va fort, je me sens malmené mais j’aime cela.- maintenant, tu seras prete a canlı kaçak iddaa prendre ma grosse queue- pas de souci, j’en ai eu des plus grosses, ce n’est pas la tienne qui me fait peurJe ne sais pas pourquoi, il n’a pas apprécié ma remarque, il me descend quelques claques sur fesses, ouille, le con.- petite pute, c’est que l’on va voirIl se met une capote et sans mettre du gel sur sa queue, il me prend par les hanches et d’un coup sec me transperce de sa bite, je ne bronche pas, pas un son, nouvelle série de claques, la vache, elles me font mal, je lui dis- mollo, les claquesEncore des claques s’abattent sur ma peau- une pute reste une pute, toi salope, ta gueuleJe suis en train de me dire que je vais lui arracher la tete et que je vais lui chier dans le corps, ce sale con. D’un autre coté, mon coté salope me canlı kaçak bahis dit qu’il ne m’avait pas forcé a le suivre, alors assume. Il se remet a m’enculer avec force, il me prend vraiment pour une truie de montagne et j’aime bien l’idée d’etre cela. Je sens sa bite gonflée, il va exploser, il se retire, salaud. il enleve la capote et viens coller son gland a ma figure et se masturbe. Une quantité vraiment imprésionnante déferle sur ma face- aller putain leche ta face de trainéeJ’essaie d’avaler le plus de sperme possible. Je me sers de mes doigts pour en récupérer le plus, que c’est bon- sur le dosune fois installer, il se met a me sucer, mais, de facon divine, sérieusement, tellement que cela ne prend pas de temps pour j’éjacule a mon tour. je pensais qu’il avalerait, mais non il colle sa bouche a la mienne et de ses doigts, me l’ouvre et il laisse tomber ma semence que j’avale aussi- bon, la pute est bien remplie, habille-toi et dégageJe me rhabille et sans qu’on se dise quoi que ce soit, je quitte. Ce fut une aventure breve et expéditive, mais combien bonne.

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Mon agent immobilierJe suis à mon agence immobilière, j’attends la personne qui doit me faire visiter une villa, avec piscine et un grand jardin. Enfin arrive une charmante jeune femme très belle, cheveux noirs, yeux ambres bronzée, une bouche gourmande, mince, moulée dans un tailleur beige la jupe courte et fendue, chemisier de soie noir, bas nylon noirs. – Bonjour je suis la personne que vous attendez, mais ma voiture est en panne, il faudra prendre la votre. (sa voix ressemble à celle du rossignol, une vraie musique. – Pas de problème, Mademoiselle, ma voiture est à votre disposition. J’ouvre la portière, je la regarde s’asseoir, sa jupe remonte le long de ses cuisses superbement galbées. Je m’installe au volant, et constate que la belle s’est arrangée pour que sa jupe laisse percevoir une petite culotte. – Vous êtes toujours comme cela avec vos clients. – Oui c’est mon métier des les aguicher, cela facilite la vente et quand je le sens avec les clientes aussi. Il faut imaginer le nombre de femmes qui se laisse séduire. – Vous concluez avec eux. – Ca m’arrive quelquefois et comme je suis bi, je suis ouverte à tout, homme femme couple. Je lui caresse la cuisse, elle ne se dérobe pas au contraire elle sourit très sensuellement. – Votre spécialité. – Villa, manoir, bref maison isolée. – Pas ça mademoiselle, celle pour assurer la vente. – Ah, d’accord petit curieux. Je suis experte en langue, illegal bahis je suis la meilleure suceuse et lécheuse de l’agence, les résultats parlent pour moi. – Caressez vous Mademoiselle, mais gardez votre petite culotte, c’est rare de rencontrer une jeune femme aussi jolie que vous et aussi salope. Elle sourit au compliment, écarte sa petite culotte et commence à titiller son bouton d’amour. La belle est offerte et prête à tout pour la vente. – Vous êtes vicieux et vous profitez de la situation. – C’est l’occasion qui fait le larron. Nous arrivons à la villa, à première vue elle est superbe spacieuse, un étage, un grand jardin, quelques arbres fruitiers, et une piscine.Nous descendons de la voiture, elle tire sur sa jupe, je la regarde un plaisir pour les yeux cette femme. – Visitons le jardin en premier. Je l’attire vers moi, elle se laisse faire, même quand je lui passe la main aux fesses, gardant son sérieux et me vantant les qualités de mon futur achat. J’avoue que je suis plus intéressé par son petit cul que par le reste. le tour du jardin fait, nous pénétrons dans la villa elle-même. – Une grande salle, salon et salle à manger, tout confort, vous pourrez y faire aussi la fête. – D’accord, vous serez mon invitée particulière, j’essaierai de vous trouvez des compagnes digne de vous, ça sera agréable d’être le coq de service. – Vous ne pensez qu’à ça.- C’est de votre faute, vous illegal bahis siteleri m’allumez, et maintenant vous me le reprochez. – Non rassurez-vous je tiens mes promesses, j’aime le sexe, comme j’aime mon métier, je suis une vraie salope, pas soumise juste offerte. – Tant mieux ma chérie, j’adore les femme comme vous, superbes, élégantes et perverses. Nous continuons par les chambres, elles sont confortables, je les imagine déjà meublées avec mon agent au milieu du lit en lingerie fine, lascive. Je l’entraîne au premier une pièce immense, entourée d’une terrasse avec une vue superbe, je l’imagine salle de jeux divers. Enfin la cuisine entièrement équipée, là je ne lui laisse pas le temps de me dire quelque chose, je la saisis par la taille, et l’assois sur la table de travail. La coquine relève sa jupe totalement. – Une superbe vue non, regardez ma toison, elle est fine et bien entretenue, elle manque une peu d’humidité. je lui retire sa petite culotte et la jette. – Vous n’en avez plus besoin maintenant, j’aime les femme sans culotte, toujours disposent pour un petit coup vite fait. Quoique avec vous je vais faire durer le plaisir. – Lèche-moi, tu m’excites depuis notre départ. Un petit coup de langue sur le clitoris, elle réagit, alors je commence la dégustation de celui-ci, il est sensible, un doigt dans sa fente à la recherche du point G, je veux la voir jouir, l’entendre canlı bahis siteleri crier son plaisir, et boire sa cyprine. Elle finit par repousser ma tête, ses yeux pétillent. – Maintenant à moi cher Monsieur. C’est l’escalier qu’elle choisit pour ses exploits sexuels. – Ici, nous seront bien allongez vous, vous allez passez un agréable moment. Elle ouvre la braguette, cherche le zizi, le caresse tendrement. Sa pipe est une merveille, elle n’avale pas le membre, mais fait papillonner sa langue autour du gland, elle est agile, elle descend le long de la colonne, elle avale mes boules l’une après l’autre. Quelle gourmande. J’écarte ses longs cheveux, pour mieux assister au spectacle offert. Aussi belle à regarder que la sensation offerte par le Demoiselle. Quel talent de suceuse. Je ne peux plus me retenir, je lâche la purée sur son visage, elle est tout sourire. – Maintenant à ma jolie chatte et à mon petit cul. Jupe troussée jusqu’à la taille, elle me donne ses trous. Sa chatte et douce et humide, sa croupe 2 magnifiques boules, difficile de résister à tant de charme. Pendant l’amour je la déshabille, ses vêtements volent. Sa petite poitrine gonfle sous mes caresses, elle râle,je joue avec ses trous jusqu’à ce que j’éjacule sur ses fesses.Nous repartons au bout d’un moment. – Mince j’ai oublié ma petite culotte. – Vous la reprendrez quand vous reviendrez. – Et cette vente, vous acceptez le contrat. – Bien sur je le savais depuis que j’ai vu la villa sur les photos. – Tout ça pour rien alors. – Non pour notre plaisir à tout les deux, et puis c’est vous qui m’avez proposé la botte. Comme adieu le premier baiser sur ses lèvres gourmandes

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Claude, Françoise, Jean, Félix et les autresCette semaine, j’ai eu de la chance. J’avais une très grosse envie de jouir comme une grosse salope. Comme à chaque fois dans ces cas là, et comme dans un cérémonial bien orchestré depuis des années, je me prépare comme une pute en me rasant bien les couilles. Je me lave bien à fond le cul en finissant par une noix de crème Nivéa dans l’anus pour bien pouvoir me doigter ou me faire doigter la rondelle. Je me mets aussi dans le cul un petit plug pour bien m’élargir la rondelle et m’exciter l’anus. J’enfile ensuite mon mini string de femme en soie, rouge, qui cache à peine mon sexe, me rentre bien entre les fesses et excite beaucoup mes partenaires de hasard. Je termine par un porte-jarretelles rouge aussi, avec des bas de soie. J’adore le contact de la soie sur mes jambes. Cela m’excite terriblement et me fait bander très fort.Je prépare aussi mon petit baise en ville avec quelques capotes, du lubrifiant et mes deux gods favoris ; le petit et long vibrant pour mon cul et le gros pour sucer. J’enfile aussi mon anneau sur ma bite pour augmenter la taille et la durée de mes érections.Tous ces préparatifs m’excitent au plus au point. J’aime le contraste de ma tenue de pute cachée sous mon costume… Qui pourrait imaginer ce que je cache !Après, je me rends à Saint-Denis dans les cabines pour bien m’exciter en regardant les films de cul bien hard. Je choisis toujours une cabine avec une vitre puis je me déshabille, ne gardant que mon string, mon porte-jarretelles et mes bas. Je sors ma queue qui est tout de suite très grosse, aidée par ma bague en caoutchouc. Je me pince bien les tétons d’une main et je remplace le plug dans mon anus par mon doigt. Je zappe toujours sur mes films favoris ; les travestis avec des seins superbes et des grosses bites bien raides, qui ne demandent qu’à enculer tous les trous qui se présentent ; les noirs avec des bites énormes, grosses comme des bras, qui fourrent des chattes de petites salopes blanches en chaleur. Celui qui est en ce moment à l’écran a vraiment un braquemart gigantesque. Il se fait sucer par la fille, petite et très mince, qui lui tient la queue à deux mains et a toutes les peines du monde à avaler son gland. Je rêve d’une bite comme celle là, qui viendrait se frotter entre mes fesses et qui me cracherait des flots de foutre dans la bouche et sur mes seins. Je suis obligé de me retenir car sinon je vais jouir tout de suite. Ce salaud de noir m’excite de façon incroyable ; je me mets à genoux devant l’écran, le cul tendu en arrière qui réclame une bite et ma bouche grande ouverte et baveuse devant son braquemart. Je marmonne doucement :” Vas-y gros salaud, remplis-moi la bouche avec ta queue, je vais te baver dessus et la faire cracher ; prend moi, je suis ta pute, vient dans mon cul ; je veux sentir tes grosses couilles s’écraser sur mes fesses. “Je me caresse en même temps, toujours avec un doigt dans le cul qui réclame encore plus.Je suis excité comme une salope en chaleur. Je sors mon gros god et le colle sur l’écran et je commence à le sucer, avec la queue du noir sous mes yeux. C’est très bon ; j’ai vraiment l’impression que c’est lui que je suce et qu’il bande pour moi. Je prends mon autre god, l’enduit de lubrifiant et me l’enfile dans l’anus. Je mets le vibreur en route et pousse le god à fond dans mon cul tendu au maximum. Je le coince avec mon string pour branler l’autre god toujours collé sur l’écran et je me fais les seins. Là, je suis vraiment près à tout pour jouir.Tout en bavant sur la bite en caoutchouc, je continue à regarder l’écran :” Ah ! Putain, quelle bite ! Je veux tout ton foutre de noir pour moi ! Vas-y, viens m’enculer, mon cul de salope est grand ouvert pour toi. “Comme j’avais entrouvert la vitre de ma cabine en entrant, j’entends frapper doucement au carreau. Mon voisin est collé à la vitre et me regarde, en tirant la langue comme pour me sucer. Il me fait signe d’ouvrir plus grand ma vitre. Je me lève et lui obéis. Il a la cinquantaine, du ventre et une petite bite, pointue, qui a l’air très raide et très dure. Il a des seins volumineux, comme des seins de femme, très fermes. Il me demande s’il peut venir dans ma cabine. Comme mon envie de jouir a décuplé depuis tout à l’heure, je n’hésite pas un seul instant. Je lui montre le god que j’ai dans le cul en lui faisant signe de venir. Aussitôt, il se rhabille et quelques secondes après, il est dans ma cabine. A la vue de ma queue qui n’a pas diminuée de taille depuis tout à l’heure, il est comme fou. Il se colle derrière moi et entreprend de me branler par en dessous, en me prenant bien les couilles d’une main et la bite de l’autre. Je tends mon cul en arrière et le frotte sur son ventre, en me faisant les seins. Je sens que je vais jouir trop vite. Je lui demande de se déshabiller car je veux sentir sa bite entre mes fesses. Dès qu’il est nu, il vient s’écraser derrière moi. Je retire mon god pour qu’il me doigte l’anus. Je sens sa bite bien raide qui pointe entre mes fesses. Il se branle dans mon string tout en continuant de me branler par en dessous. Je lui dis que je veux sa bite dans mon cul. Je veux qu’il me baise comme une pute en me faisant les seins. Comme il est d’accord, je me retourne pour lui mettre un préservatif, que j’enduis bien de gel lubrifiant. Mon cul est déjà ouvert et lubrifié par le plug puis mon god. illegal bahis Je lui demande s’il peut se retenir pour pouvoir me décharger son foutre sur le visage et les seins. Il me répond qu’il va d’abord me jouir dans le cul car il en a très envie mais qu’après il pourra m’en mettre une bonne dose sur la gueule car il peut jouir trois ou quatre fois de suite, sans débander ! Après, il veut que je l’encule pour jouir une dernière fois.Il se met derrière moi et commence à m’enculer doucement. Sa bite est très raide et je la sens très bien qui me lime. Il me maintient en érection en me caressant et en me faisant les seins. A l’écran, il zappe jusqu’à afficher un film ou un noir magnifique est entrain d’enculer un travesti brésilien. Celui-ci est très bien monté et il a une paire de seins superbes. Je suis excité comme un malade. Je lui dis :” Vas-y, prends-moi le cul, je suis ton travesti, ta pute. Viens, jouis-moi dans le cul, je vais te serrer la bite pour qu’elle crache tout. Caresse-moi les seins comme le salaud de noir à l’écran. Ah, c’est bon, ta bite dans mon cul me rend fou. “Je le sens qui s’enfonce en moi, ses couilles s’écrasent sur mes fesses. Comme je suis à quatre pattes, je reprends le gros god collé sur l’écran et entreprend de le sucer en disant :” Vas-y, encule-moi bien à fond. Je vais te sucer la pine comme le god et boire tout ton foutre. Je veux du sperme plein la bouche. Je veux qu’il coule à flot. “Il me pince les seins et me claque les fesses avec mes jarretelles en gueulant :” Ah, tu vas me faire jouir salope, je n’y tiens plus ! Tiens, prends çà dans ton cul, putain. Gardes ta queue bien raide et pleine, je la veux dans mes fesses aussi ! “Je sens soudain sa bite qui grossit et je sens les secousses de ses jets de foutre. J’ai le cul en feu et ma bite est prête à cracher aussi. Il se retire sans débander et retire sa capote qui déborde de foutre qu’il me verse entre les seins en disant :” tiens, salope, voilà un acompte en attendant ce que je vais t’envoyer quand tu m’auras bien ramoné le cul. “Je lui dis :” Suce-moi bien, je vais mettre une capote avant de te défoncer la rondelle. J’ai envie de prendre ton gros cul et de tes seins de salope. “Ma queue est gonflée au maximum. Je lubrifie bien la capote et je m’assois sur le siège, la bite bien dressée et raide. Il me tourne le dos et s’empale sur ma queue. Malgré le lubrifiant, j’ai du mal à entrer car il a le cul serré. Je pousse pendant qu’il écarte bien ses fesses au maximum. Tout d’un coup, je rentre à fond. Il gueule. Je lui prends ses gros seins et les pince très fort. Il gueule tout en continuant à s’empaler sur ma queue. Je sens sa rondelle qui me serre la queue mieux qu’une chatte de femme. A chacun de ses coups de cul, je sens mon sperme qui monte dans mes couilles, bientôt pleines à éclater.A l’écran, un deuxième travesti s’est mis en position derrière le noir et entreprend de l’enculer. C’est superbe. Le premier travesti se branle, enculé par le noir, lui-même enculé par l’autre travesti. Mon partenaire se branle aussi. Il a la queue toujours raide et les couilles pleines. Je sens que je vais bientôt jouir. A l’écran, le travesti s’est relevé et est venu devant le noir, la bite énorme et tendue à la main et il se branle. Il lui gicle tout son foutre sur la gueule. Le noir en a partout. Je ne résiste plus et je jouis à mon tour dans le cul de mon partenaire. Je me retire et récupère ma capote pleine de mon foutre. Je me le verse dans la bouche car j’adore boire mon sperme. C’est chaud et c’est bon. Mon partenaire s’est relevé et s’est mis debout devant moi. Il se branle et me crache cinq ou six longs jets de foutre bien chaud sur le visage et les seins. Je m’étale bien tout ce foutre chaud sur les seins et le ventre. Lui a toujours la queue raide. On dirait qu’il ne débande jamais! Comme il est déjà 23 heures, il me demande ce que je fais après.Comme ce salaud me parait aussi vicieux et jouisseur que moi, je lui propose d’aller boire une bière à côté pour discuter de ce qu’on pourrait faire ensuite. Il accepte. Avant de sortir de la cabine, il me lèche tout le corps pour récupérer le foutre qui coule encore puis il m’embrasse goulûment. Il a une bonne grosse langue chaude qui se mêle à la mienne. Sa bave mélangée au sperme m’excite à nouveau ; je veux encore du foutre. Je me précipite sur sa queue toujours raide et je lui fais une superbe pipe. En moins d’une minute, il me jouit à nouveau dans la bouche ! C’est fou la quantité de sperme qu’il peut cracher ! Je me dis qu’il faut absolument qu’il y ait une suite à cette soirée ! Après cette dernière pipe, nous sortons et allons au bar.Nous commandons deux pintes de blanche. En attendant, nous nous présentons l’un à l’autre. Il s’appelle Claude, 55 ans, marié. Il aime les hommes autant que les femmes, comme moi.Manifestement, nous découvrons que nous partageons les mêmes goûts, envies, fantasmes. Il aime les grosse queues, le sperme, la pisse, les animaux, le voyeurisme, l’exhibitionnisme. Il me propose après le bar, d’aller dans un sauna qu’il connaît, fréquenté par des couples entre cinquante et soixante ans. Très souvent, le mari impuissant accompagne sa femme encore bien conservée et avide de cul pour la voir baisée par un ou plusieurs partenaires. Je lui dis que cela me tente énormément et que je suis près à y aller avec lui après le bar. Comme le illegal bahis siteleri sauna ne ferme pas la nuit, je lui dis que j’aimerais bien qu’on se fasse un “jeu de pisse” en hors d’œuvre. Je sens à sa main qui me pelote la bite discrètement que cela l’excite. Comme le sauna est très proche, nous pourrons y aller à pied. Comme il aime la bière, nous en buvant finalement six demis chacun en une heure. Comme nous commençons à avoir envie de pisser, nous partons pour le sauna.Rapidement, nous nous retrouvons en string, une serviette autour de la taille dans le sauna. Claude qui connaît les lieux me fait faire le tour du propriétaire. Il y a plein de pièces sombres, avec des écrans diffusant des films de cul. Il y a plusieurs cabines de sauna, de deux à huit places. Il y a aussi une salle carrelée, avec une piscine au centre et des coussins en plastique tout autour. Bien qu’il soit passé minuit, il y a quatre couples dans la soixantaine et six hommes seuls, plus nous. Je repère tout de suite une femme, la soixantaine, très menue, avec des petits seins bien ferme et un cul bien rond. Surtout, elle a vraiment une bouche de suceuse de bite et un regard de salope à peine croyable ! Elle est vêtue d’un porte-jarretelles noir, de bas et de hauts talons. Ces jambes sont magnifiques. Apparemment, Claude la connaît car elle lui sourit dès qu’elle le voit. Claude me dit :” tu as de la chance ce soir ; c’est Françoise. Si elle est en forme, elle peut épuiser tous les mecs qui sont là ! Viens, je vais te présenter. “” Françoise, je te présente Yves. Je l’ai rencontré ce soir et on s’est fait un plan cul fantastique ! Il m’a fait jouir déjà trois fois ! “Françoise me sourit et m’embrasse goulûment en laissant glisser sa main sur mon sexe qui recommençait à bander doucement.” Bonsoir “, me dit-elle ; ” on dirait que tu es un peu tendu ; as-tu besoin d’un massage ? “Avant que je puisse répondre, Claude lui dit à l’oreille :” Françoise, on a bu un litre et demi de bière chacun ; on voudrait se faire un “jeu de pisse” avant ; est-ce que cela te tente ? “A ces mots, je vois son regard qui devient flou comme si elle avait un orgasme ; sa bouche se tord d’un rictus de plaisir vicieux. Sans répondre, elle nous entraîne vers son mari qui regarde un film en se caressant sans bander. Elle lui dit :” Jean, comme je sais que tu vas aller te faire enculer par une de tes petites tapettes habituelles, je veux que tu ais le cul propre. Claude et Yves vont te remplir le cul de pisse avant de me baiser. Viens avec nous dans la cabine. “C’est à quatre que nous nous retrouvons dans une cabine comprenant un lit carré dont les draps sont des toiles en plastique, un miroir au plafond et sur trois murs et un écran sur le quatrième. Le film montre trois mignonnes l****as paraissant quinze ans maximum, au milieu d’une dizaine d’hommes membrés comme des ânes. Il y a aussi un âne et sa femelle en chaleur. Comme il ne peut pas la monter, il bande comme un fou. Il est attaché dans une espèce de hamac qui lui empêche de toucher le sol, ce qui permet aux l****as de le branler sans risque. Les couilles de l’âne sont énormes et sa queue encore plus. Les trois salopes à tour de rôle se mettent sous l’âne pour le branler et le sucer. Chacune se prend une giclée de sperme d’un quart de litre ! Elles vont après le dégueuler sur les bites des hommes que le spectacle fait bander un maximum.Nous aussi, mais l’envie de pisser devient intenable. Françoise comprend l’urgence et fait mettre son mari en position, à quatre pattes et lui dis :” écarte bien ton cul, Claude va te le remplir de pisse. “Claude aussitôt positionne sa bite dans l’anus de Jean et commence à se soulager. Pendant ce temps, Françoise commence à me sucer la bite. Je lui dis que je ne vais pas pouvoir me retenir de pisser car c’est trop urgent. Elle fait mine de ne rien entendre et je vois à son regard qu’elle n’arrêtera pas. En plus, elle me doigte le cul et me caresse les couilles. Je ne peux plus tenir et je lâche ma pisse. Elle en boit une partie et laisse couler le reste de chaque côté de sa bouche et entre ses seins. Elle garde ma queue dans sa bouche en m’appuyant sur les fesses. Comme nous sommes juste au-dessus de la tête de Jean, la pisse lui coule dessus. Je pisse au moins un demi-litre ! Claude lui, a fini de remplir le cul de Jean qui commence à bander un peu. Jean se met sur le dos ; Françoise s’assoit sur son visage et se branle sur son nez. Claude et moi sommes debout et nous finissons de pisser sur la chatte de Françoise. En se branlant le bouton, elle dit à son mari :” vas-y, bois tout le jus qui coule. Si tu bois tout, tu pourras aller te faire enculer par ton giton favori. En échange, tu diras à Félix que je veux son gros dard de black pour accompagner Claude et Yves. Je suis en appétit ce soir et trois bites me suffiront à peine ! “Jean s’exécute, pressé d’aller prendre son pied. A peine parti, Félix, vient nous rejoindre. Il porte juste un string de femme qui laisse passer une énorme paire de couilles de chaque coté et une queue qui lui monte jusqu’au nombril. Son gros gland tout rouge darde fièrement ; quelques gouttes de liqueur n’attente qu’un con ou une bouche. Je bande au maximum tant sa queue m’excite !Françoise, la bouche tordue par le désir, dit :” je veux vos bites, gros salauds. Je n’ai pas eu ma dose de queue et de foutre depuis une canlı bahis siteleri semaine avec mon mari. Venez me remplir la chatte, le cul et la bouche. Je coule de partout tellement j’ai envie. Yves, allonge-toi par terre, je vais m’empaler sur ta queue. “Aussitôt dit, aussitôt fait, son con avale ma bite sans problème. Elle a une chatte bien serrée et brûlante. Elle me prend les seins, me griffe, me mord. Pendant ce temps, Claude s’est mis en position pour l’enculer. Je sens bien sa bite toujours aussi dure qui vient me branler à travers le cul et le con de Françoise. Félix, sans perdre une seconde, sort son énorme queue et la donne à sucer à Françoise. J’en profite pour lui sucer les couilles et lui doigter le cul. Il a des fesses magnifiques, très fermes. J’ai vraiment envie de son cul très musclé.A l’écran, les l****as sont entrain de se faire baiser et enculer par les superbes bites, énormes et gonflées de foutre. Françoise gueule :” Aaah, çà me rend folle du cul ! Je veux de la bite et du foutre ! Je veux un bain de foutre. Vas-y Claude, rempli moi le cul de foutre pour bien le graisser ! Je veux la grosse queue de Félix après dans mon cul ! “Claude ne tient plus :” tiens salope, prend ça, prend ce lavement de foutre! “Françoise jouit comme une folle en me serrant la bite avec son con. J’ai failli tout lâcher tellement c’est bon ! Elle gueule :” viens maintenant Félix, Claude m’a ouvert le cul ; il est près à recevoir ta monstrueuse queue qui me fait mourir à chaque fois ! Ahhh, viens me ramoner le cul et me faire jouir ! Je vais gueuler comme une folle avec ton gros dard ! Je vais me branler le bouton pour jouir encore plus fort. “Félix ne se fait pas prier une seconde et se met en position derrière Françoise qui doit s’écarter au maximum les fesses pour laisser le passage au sexe tendu qui tressaute, prêt à défoncer la rondelle qui se présente. Je sens vraiment bien la queue énorme de Félix qui me branle à travers le cul de Françoise. Claude s’est mis derrière Félix pour lui caresser les fesses et les couilles. Comme il a de nouveau envie de pisser, il se remet devant Françoise et lui pisse dans la bouche. Dès que c’est plein, Françoise se baisse et me crache tout sur la figure. Je prends un pied d’enfer. Je gueule :” Ah, je veux du foutre à la place de ta pisse ; va me chercher des grosses bites pleines, je veux les vider ! Je veux qu’elles me crachent tout sur la gueule ! Dépêche-toi, je vais tout cracher dans le con de Françoise ! “Françoise à son tour, avec un rictus de plus en plus salace sur le visage, dit :” Claude, j’en veux aussi, je veux ma part de foutre ! Ah, Félix, viens me jouir dans la gueule, je veux tout le jus de tes grosses couilles de noir dégueulasse ! Je sais que tu vas me remplir avec tout ce que tu as dans ta queue ! “Félix aussitôt se retire du cul de Françoise et vient se placer à hauteur de sa bouche. En même temps, Claude est revenu avec quatre hommes et le mari de Françoise. C’est son mari qui prend la queue de Félix et le branle en lui disant :” Vas-y, salaud, je sens que tu vas tout cracher ; tu vas la remplir la salope, tu vas la noyer de ton foutre, elle aime ça la pute ! “Félix ne résiste plus. Il se tend comme un arc et crache à n’en plus finir tout son jus dans la bouche extasiée de Françoise. Elle a un orgasme gigantesque qui me serre la bite très fort et me fait gicler à mon tour. Elle prend tout mon foutre dans sa chatte qui brûle. Le foutre de Félix lui coule des lèvres. Elle se penche sur moi et m’embrasse goulûment, me faisant passer tout le foutre de Félix dans la bouche. Je vois ses petits seins tout tendus et ses tétons qui bandent dans sa jouissance. Je les prends et les serres et les tord. Elle gueule prête à s’évanouir tellement elle jouit. C’est vraiment une folle du cul. Félix, qui bande toujours très dur, prend le mari de Françoise et l’encule à fond. L’autre gueule et se débat mais ne peut échapper aux bras musclés qui l’enserre. Il en prend vraiment plein le cul. Elle gueule et me crache à la gueule :” Ahh, salaud, tu me fais mal mais continue ; Ahh, je veux encore des queues et du foutre, vite ! “Les quatre autres hommes se branlent. Je suis toujours allongé par terre ; Françoise s’est redressée pour prendre les bites tendues qui se présentent. Elle me met sa chatte sur la bouche et m’éjecte tout le sperme que je viens d’y mettre sur la gueule. Claude me pisse sur la bite et me branle en me mettant deux doigts dans le cul. Je lèche bien la chatte gluante et chaude de Françoise qui suce deux bites à la fois. Les deux autres crachent en même temps. Je prends tout sur les seins. Françoise aussitôt me lèche pour récupérer le foutre et me le crache dans la bouche. Et puis c’est l’apothéose ! Les deux derniers hommes déchargent en gueulant dans la bouche de Françoise en même temps que Claude me fait cracher mes dernières gouttes de sperme en me mettant un troisième doigt dans le cul. Félix a fini aussi de complètement défoncer le cul du mari de Françoise qui sort avec l’anus grand ouvert, dégoulinant de sperme.Après un moment qui me parait une éternité, Claude qui connaît le cérémonial, fait sortir Félix et les quatre inconnus. En même temps, le mari de Françoise revient, habillé, un martinet à la main et entreprend de fesser Françoise qui semble n’attendre que ça. Claude me dit :” Aller, vient, laisse les amoureux s’expliquer. “Nous saluons Françoise qui semble ne pas nous voir et nous sortons prendre un bain bien mérité. Après un moment de récupération, je prends congé de Claude en nous promettant de nous revoir bientôt pour d’autres parties de trous du cul comme celle-là.

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Soirée entre amis – suiteJess se pencha vers Julie et moi et demanda ” Vous avez pas fait profiter les jumeaux de ce moment coquin dans la piscine j’espère, si?”Julie se retourna de façon instinctive vers Jess, puis eu un coup d’oeil aux garçons qui s’étaient lancé dans une partie endiablée de baby-foot, et lança d’un air qui se voulait surpris… “Quand même Jess, je sais que tu ne voulais pas, du coup on s’est amusé tous les 4 avec Julien, Clément…”Puis je renchéris ” Oui, par contre on a rigolé parce qu’on a bien vu que les jumeaux n’auraient pas dit non à venir, surtout Vincent, il était raide comme un piquet!”.Jess qui rigolait, semblait croire nos paroles. Je vis derrière elle les jumeaux accoudé à la margelle de la piscine en train d’essayer de suivre notre conversation, un sourire rassuré sur les lèvres.La soirée continua dans le même esprit quelle avait débutée. Tout le monde continua à boire, à rigoler et à se chahuter même s’il était devenu clairement évident que les mains baladeuses se faisait plus fréquentes, plus appuyées et surtout moins discrètes.Vers 1h30 les premiers signes de fatigue se firent sentir chez Jess et Julien qui profiterent de cette excuse pour partir, coller l’un à l’autre, se coucher ensemble. Bien entendu nous savions qu’ils n’étaient pas près de dormir, et que nous risquions de les entendre jouir encore un moment.A peine avaient ils disparus à l’intérieur de la maison qu’un large sourire s’était dessiner sur les visages des jumeaux.Nous étions encore tous nus, la température n’étant pas descendu en dessous de 24 degrés et l’alcool présent en quantité importante chez chacun de nous n’aidait pas à faire redescendre l’excitation qui émanait de chacun de nous. Les regards devenaient de plus en plus insistant sur les zones les plus intimes de nos anatomies.Vincent proposa que l’on continue un peu nos jeux avant d’aller dormir. Après avoir installer les transats en bord de piscine, Julie vint s’assoir à côté de moi, Clément lui restait seul alors que s’étaient affalés ensemble sur le même transat. Julie et Clara décidèrent que nous jouerions à action ou vérité.Au vue de ce qui c’était passer plus tôt dans la soirée les questions et les actions demandés furent rapidement ramenées au sexe.Clément fût le premier désigné et dû raconter sa première fois.Julie elle eu à exécuter une danse sexy devant chacun de nous Clara compris. Cette dernière qui ne s’était pas génée pour rire de l’action de Julie fût la suivante à être désignée. Elle nous expliqua ainsi en détails son envie de goûter à plusieurs verges à la fois comme Julie l’avait fait deux heures auparavant. Un court instant mon regard croisa celui de Clément, qui, le sourire aux lèvres me fit discrètement un clin d’oeil. Nous savions tous deux que cela avait de grande chance de se produire.Je fus le suivant à être désigné. Je répondis à une question portant sur les plaisirs homosexuels en précisant que oui j’avais déjà eu l’occasion de pratiquer à plusieurs reprises mais aussi que je n’y étais pas fermé à l’instant présent. Julie me regarda tout sourire, sachant que l’un ou l’autre des garçons risquait d’être tenté par cette idée.La partie continua ainsi quelques tours en se pimentant au fur et à mesure. Alors que se dessinait un un des derniers rounds, Clara due, pour notre plus grand plaisir, se caresser jambes écartées pendant deux minutes afin que tous puissent profiter du spectacle. Mon regard croisa celui de Julie qui souriait en voyant nos verges se dresser devant ce spectacle . Même Vincent était au garde à vous tandis que ses yeux balayaient alternativement la poitrine de Julie et l’action que réalisait Clara.Comme pour me faire comprendre que cela lui donner encore plus envie elle passa simplement sa langue sur ses lèvres avec un regard malicieux. Les jeux avaient déjà durer environ un heure, arrosé régulièrement de bière ou de Rosé. Pour le dernier round il fût décider au vue de l’excitation de tous, de monter encore le niveau du jeu. Clément eu la lourde tâche de tombé sur une action où il dû s’essayer aux plaisirs entre hommes. Il hésita un moment puis accepta de nous réaliser à chacun une fellation. Alors qu’il décidait de commencer par s’occuper de moi je vis Julie regarder attentivement Vincent. Ce dernier ayant une érection fulgurante à la vue de la scène, on comprit qu’il avait hâte que son tour arrive. Clément s’appliquait de son mieux dans son jeu de va et vient, sa langue passait et repassait sur mon gland pour kon plus grand plaisir. Il n’avait pas remarqué l’état de notre jeune ami et lorsqu’il se tourna vers Vincent sa seule réaction fût de lui dire “Oula ça te fait tant d’effet alors que je ne t’ai pas encore toucher? Oublie pas que t’a pas le droit de jouir hein…” Et il parti dans sa direction. Quelques minutes plus tard lorsqu’il se retira, Vincent, le visage internet casino crispé était en train de se contrôler pour ne pas jouir.A la vue de son état, Julie eu pitié de lui et proposa que nous allions nous coucher afin quelle puisse délivrer ce pauvre jeune garçon de son calvaire. A peine eu elle finit de parler que Clara fût la première à se lever. Un sourire général s’installa sur les visages car cela signifiait que le reste de la nuit allait être sympathique.Les jumeaux proposèrent que nous nous installions dans la véranda non loin de la piscine pour dormir. A l’intérieur se trouvait un grand canapé dépliable d’un côté et à l’autre bout de la pièce un petit clic-clac. Avec Julie une idée nous vint, espionner nos deux amis déserteurs. Ainsi pendant que les autres installer les couchages, nous sommes parti jouer les curieux à l’intérieur.A pas de loup nous sommes entrés dans la maison dont la baie vitrée était ouverte et nous sommes faufilé dans le couloir. Dès notre arrivée nos doutes étaient dissipés, Jess était en train de jouir! La lumière de la lune rentrée par la fenêtre entrebaillée dont les volets étaient encore grand ouvert. La porte n’était pas fermée, et à plusieurs reprises c’est dans la plus grande discrétion que nous avons regardait les silhouettes s’agitaient au rythme des gémissements. Jess était assise à califourchon sur Julien et donnait de grand coup de bassin qui semblaient lui procurer une grande jouissance.Julie me tira de mon poste d’observation de voyeur et m’emmèna vers la salle à manger. Elle se colla à moi en m’embrassant et tout en saisissant ma verge d’une main elle me glissa à l’oreille “Je sens qu’on va bien s’amuser avec les trois autres dehors… J’aimerais vous voir baiser Clara comme si vous me baisiez moi, bien fort et sans ménagement.”Je lui répondis qu’elle ne regretterait pas le spectacle.Notre escapade fût racontée aux trois autres. Ils nous écoutaient attentivement, très excités et très curieux du moindre détails.Julie se tourna vers Clara et avec un grand sourire lui dit ” Je présume que tu voudras dormir dans le grand lit ?”.Cette phrase a elle seule voulait dire beaucoup. Elle signifiait se retrouver avec deux personnes dans le même lit et n’avait que peu de choix. Elle rougit aussitôt et seul un petit “Oui” sorti de sa bouche.A peine sommes nous tous à proximité de nos lits que Julie, un sourire aux lèvres, posa une question à laquelle je m’attendais.”Est ce que ça dérange si on laisse la lumière du fond allumée ? Je pense que je ne suis pas la seule qui aimerait profiter du spectacle…”Et elle avait entièrement raison… Tout le monde voulait avoir le plaisir de contempler les autres jouer, même Clara qui était pourtant timide avoua vouloir voir Julie être prise fortement par son frère. Étant le plus près de l’interrupteur je ne laissais qu’une petite lampe tamisée pour seule source lumineuse. Les autres commençaient déjà à s’animer, les mains baladeuses se reveillaient, les bouches commençaient à se frôler. Je vins me glisser contre le dos de Clara, la verge déjà à moitié durcie. Tout en débutant de délicates caresses sur le corps de ma jeune amie je jetais un coup d’oeil du côté de Julie, qui, les jambes déjà écartées, laissée les doigts fébriles du jeune Vincent s’aventuraient entre ses jambes. Il descendait les doigts vers l’entrée de son vagin, les y engouffrait quelques secondes avant de remonter délicatement jusqu’à caresser son clitoris. Tournant son visage vers nous pour profiter du spectacle, Julie accompagna les caresses de Vincent par des mouvements de va et vient sur sa verge, déjà prête a exploser.Clara se releva et s’agenouilla en nous demandant de nous mettre sur le dos, elle avait décider de donner à nos deux verges un magnifique traitement. On sentait bien que cela l’amusait d’alterner nos verges lors de cette caresse buccale. Nous vîmes un grand sourire se dessiner sur ses lèvres lorsque Clément, prit l’initiative de saisir ma verge et de me masturber à la place de Clara.Le jeu s’inversa lorsqu’elle changea de sucette, comme si cela avait été une évidence ma main vint saisir la verge de Clément. Quand Clara décida de changer à nouveau je me levais en même temps et vint m’agenouiller à ses côtés. A deux nous donnerions plus de plaisir à Clément. Au vu de son excitation celui ci ne tint pas longtemps sous cette torture et après nous avoir prévenu, sa verge lâcha de longs jets dans la bouche de Clara. Elle partagea alors ce délice gustatif avec moi lors d’un baiser endiablé. Julie, de l’autre côté de la pièce, râla qu’on ne l’ai pas fait partager. Vincent lui, était allongé entre ses jambes occuper à s’exercer à l’art délicat du cunnilingus. Après lui avoir promis de partager au prochain round, Clara me fit m’allonger et vint s’assoir sur mon visage. Pendant un long moment je profitais de canlı poker oyna sa jeune fleur juste éclos et la conduisit jusqu’à un petit orgasme. Clara se retira et elle descendit s’assoir sur ma verge. Elle s’y appuyait juste dessus afin de la refaire durcir avec une série de caresse puis s’assit complètement dessus jusqu’à la sentir au fond. Elle resta d’abord sans bouger en regardant Julie qui, à quatres pattes, subissait les assauts que lui prodiguait son jeune partenaire.Clara se mit à bouger son bassin d’avant en arrière durant quelques minutes. Clément ayant retrouver de la vigueur en regardant cette scène eu envie de se joindre à la fête, d’autant que pour ma part j’étais au bord de l’explosion. Clara se retira et se recula à quatres pattes jusqu’au bord du lit, les fesses tendues contre la verge de Clément. Ses lèvres se posèrent sur ma verge et au bout de quelques descente en gorge profonde ma verge explosa à nouveau. Je profitais de ce temps de répis pour tourner mon regard vers Julie et Vincent. Ce dernier avait craquer lui aussi et avait éjaculer à l’intérieur de Julie. Ils étaient assis collés l’un à l’autre regardant Clara encaisser les va et vient de plus en plus fort de Clément jusqu’à la jouissance.S’en suivi un moment de repos Où la rigolade fût de mise. Julie complimenta Clara pour ses performances et lui lança un nouveau défi. Elle ne voulu pas nous le révéler et glissa simplement à l’oreille de Clara ses envies. Cette dernière, surprise, ne sut rien lui répondre d’autre que “Mais ça rentrera jamais!”Clara accepta ce nouveau défi mais pas sans en lancer un à Julie en retour. Tout en rigolant elles partirent se rafraîchir ensemble à la douche de la piscine.A leur retour je relancais le sujet des défis et au bout de quelques minutes Julie consenti à en révéler la teneur. Elles commenceraient par le défi de Julie, elle devait s’occuper de Clara avec un cunnilingus, jusqu’à ce quelle ait un orgasme. En revanche chacun des garçons pourrait profiter s’il le désire, pour prendre Julie un moment, mais avec interdiction formelle d’aller jusqu’à l’éjaculation.Julie comprit en voyant nos verges se dressées à nouveau qu’aucun de nous ne souhaitait s’abstenir de participer.Le défi que Julie avait lancé à Clara lui, était à la fois complètement différent et à la fois plus hot encore! Clara devrait essayer la double pénétration, une verge dans chacun des trous. Mais si elle ne supportait pas la sodomie, Julie l’autorisée à se ratt****r avec une double vaginale. Vincent lança alors à Clara “Je sens que tu vas te régaler chanceuse va!” Clara répondit en souriant “Tu sais si tu veux essayer la sodomie suffit de demander, je pense qu’ils baiseront ton petit cul avec plaisir!”. Un rire général retentit alors que Vincent rougissait autant qu’à sa soeur tout à l’heure.La température monta un peu plus quand Clara s’allongea et écarta les jambes. Julie, peu habituée aux plaisirs saphique s’allongea sur elle et débuta son traitement. L’effet sur Clara fût immédiat et un râle de plaisir l’envahit bientôt. Clément voulant prendre Julie en premier demanda si quelqu’un voulait s’occuper de lui. Vincent qui se mit à genou devant lui et après quelques allers-retours Clément avait retrouvé toute sa vigueur et il se dirigea vers Julie. Clément n’eut aucun mal à entrer tant Julie était inondée. Elle continua de se concentrer sur les plaisirs qu’elle offrait à sa partenaire afin d’oublier son propre plaisir. Après un moment de caresses mutuelles avec Vincent, ayant retrouvé toute ma vigueur, je pris la place de Clément. Julie toujours affairée ne réagit que peu au changement de partenaire. Vincent lui, regardait la scène en se masturbant. Sentant le plaisir monter je me retirais avant de jouir et Vincent prit immédiatement le relais. Clara gémissait à ne plus en pouvoir et dans un ultime mouvement de bassin elle se cambra et gémit pendant de longues secondes avant de retomber épuisée. Vincent se retira à contre coeur pour laisser Julie prendre un peu de repos. Après avoir reprit ses esprits, Clara vint se coller contre moi et me demanda si je pouvais veiller à ce que l’on soit doux lors de son défi. Je lui proposais, dans l’évantualité que cela la rassure, qu’avant d’essayer la sodomie elle regarde comment cela se passait pour les autres. Elle ne comprit pas immédiatement puis me voyant me lever et proposait à son frère de jouer un peu entre nous. Elle comprit que celui ci allait s’occuper de moi et peut être inversement. Je me mis à 4 pattes au bord du lit et invitais Vincent a venir. Sa verge traduisait l’excitation de son esprit, déjà raide, il eut simplement à pousser un peu et son gland entra facilement. Il resta comme ça quelques secondes avant de débuter une série de va et vient qui dura quelques minutes. Je lui proposais de changer de rôle, ce qu’il accepta volontier. poker oyna Sa soeur se leva d’un bon en criant “Ah ça je veux voir!”, ce qui déstabilisa d’autant plus Vincent. Après s’être mis dans la même position que moi et je le préparais lentement à mon passage. Une fois bien humide et lubrifié je commençais délicatement la pénétration sous les yeux enjoués de Clara. Le premier passage fût un peu délicat malgré la préparation et voyant qu’il avait du mal à se détendre je lui proposais de venir s’assoir lui même sur moi. Une fois que je fus allongé, il monta sur le lit et s’assit sur ma verge directement. Le passage du gland fût délicat mais une fois passer il resta assis sans bouger un petit moment. Clara l’encourageait à continuer et il commença une série de lents va et viens. Au bout de 2 minutes il semblait prendre plaisir et un sourire se dessinait vaguement . Clara regardait sa queue se balancer au rythme des va et vient et lorsqu’il cessa et se retira elle demanda si elle pouvait prendre le relais. Cette dernière prit la même position que son frère pour faciliter le passage. Après un temps d’arrêt, elle activa un peu son bassin et fît entrer plus profondément ma verge. Elle reprit son souffle et commença de lents mouvements de bassin d’avant en arrière. A la vue des rictus qui se dessinaient sur son visage, Vincent lui demanda si elle aimait, mais elle ne lui répondit pas. Puis au bout d’une ou deux minutes, elle se laissa glisser sur le côté pour rassembler ses esprits.Presque aussitôt elle nous proposa de passer aux choses sérieuses avec ce fameux trio endiablé qu’elle redoutait.Je m’allongeais doncen premier, Clara vint s’assoir sur moi en faisant directement entrer ma verge en elle. Elle me regardait fixement avec un léger sourire en attendant que Clément vienne se joindre à nous ce qui ne tarda pas. Une fois entré en elle, il entama de lents va et viens afin de bien lubrifier nos deux verges puis je me mis en action à mon tour. Le rythme et la synchronisation furent rapidement trouvé et Clara commença à jouir de plus en plus. Au bout de peu de temps Clément se retira car l’envie de jouir avait faillit le faire exploser. Il proposa d’essayer le second passage, Clara accepta immédiatement. Comme l’avait fait sa soeur plus tôt Vincent se leva et voulu assister à la scène de plus prêt. Il tournait autour de nous pour observer sous tous les angles pendant que Clément entrait petit à petit à l’intérieur de Clara. Clara ne savait plus que faire, elle était tiraillé entre une sensation étrange et un plaisir immense, tout deux nouveaux et très intense. Clément lui proposa de se retirer ce qu’elle refusa, elle en voulait plus. Vincent qui ne perdant pas une miette de la scène, il semblait extrêmement excité. Voyant passer sa verge tendue vers mon visage, je lui proposais de l’aider a le soulager. Je le senti monter sur le lit et avant de voir sa verge apparaître près de nos visages. Clara, les yeux fermés n’avait pas vu son frère arrivé et fût surprise lorsqu’elle entendit les premiers bruits de succion. Je commençais à lécher et sucer cette verge tendue qui m’était offerte. Tout en profitant du spectacle et de la fellation que je lui prodiguais, Vincent se pencha et je senti qu’il saisissait, sans l’avoir avertie, les fesses de sa soeur en les écartant afin de faciliter le passage pour Clément.Clara me regarda d’un air surprise alors que j’avais toujours la verge de Vincent en bouche. Puis tout sourire je la vis commencer à lécher et sucer la verge de ce dernier en même temps que moi. Vincent qui n’avait pas réalisé la situation (ou faisait semblant de ne pas la comprendre) continuait d’écarter les fesses de sa soeur. Julie étant pure spectatrice de cette scène hallucinait littéralement à la vue de ce qui se passait. Devant l’excitation générale Clément et moi avons senti soudainement Clara se raidir et l’avons entendu gémir fortement, parcourue par un violent orgasme. A l’étroit, l’excitation fût si intense que nous avons tout deux éjaculer presque simultanément là où nous étions. Vincent lui non plus ne pu se retenir plus longtemps. Il éjacula également là où il se trouvait, c’est a dire sur nos visages à Clara ainsi que sur ma bouche.Il se passa facilement cinq minutes avant que Julie et Vincent ne nous secoue. L’esprit encore ailleurs nous avions tous trois été terrassé par ce dernier orgasme. Clément se retira et Clara pu glisser sur le côté pour reprendre ses esprits alors que de ses orifices s’écoulait à présent nos semences qui se mélangeaient.Julie et moi l’avons donc soulever et porter jusqu’à la douche. Je me lavais avec elle afin de l’aider à se débarbouiller de tout le sperme qui maculait son corps et son visage. Puis dans un dernier effort nous nous sommes diriger vers le lit où Clément s’était endormi. Passant devant Julie celle-ci me sourit en me montrant que Vincent était également parti rejoindre morphée. Après avoir coucher Clara je reviens dire bonne nuit à Julie et alors que j’étais à côté d’elle je lui dis en souriant:”Je sens que demain certains vont pas se rappeler de tout…”

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Mon voisin, M. C*** (2)Après cette séance de pompage intensif, durant laquelle M. C*** s’était montré beaucoup plus à l’aise que je ne l’aurais pensé, mon voisin bailla à s’en décrocher la mâchoire. Les yeux rouges, il semblait maintenant sur le point de s’effondrer de sommeil et je lui proposais d’aller se coucher dans ma chambre. Après un court moment d’hésitation (« t’es sûr que ta mère va pas rentrer ? »), il accepta et s’étendit sur mon lit puis s’endormit rapidement. C’était l’été et il faisait chaud ; il s’était donc étendu sur mes draps, sans se couvrir. Il était maintenant complètement nu et je pouvais contempler son torse bien dessiné ainsi que le bout de ses tétons, qui continuaient à pointer. Ses bras puissants me faisaient littéralement craquer, tout comme son visage carré. Seul son ventre légèrement rebondi et les valises qu’il avait sous les yeux me gênaient un peu car je savais qu’ils étaient la conséquence de son alcoolisme.Après de longues minutes de contemplation, je décidais de retourner dans la salle de bain pour y mettre un peu d’ordre. Bien alcoolisé (et mal guidé par ma main !), M. C*** avait uriné à côté de la cuvette et ses vêtements, mouillés eux aussi, avaient besoin d’être lavés. Je décidai donc de faire une machine puis de passer le tout au sèche-linge pour que ses habits soient prêts à son réveil. Ces petites taches ménagères effectuées, je décidai de me coucher dans le canapé du salon pour me reposer. L’émotion était toutefois trop forte et je ne dormis que d’un œil, les ronflements de M. C*** n’aidant pas !Le lendemain matin, je me réveillai tôt. Après être passé aux toilettes et avoir pris une douche bien chaude, je décidai de préparer un bon petit déjeuner pour M. C***. Mes talents culinaires étant limités, je me contentais d’ouvrir un paquet de brioche, de faire du pain grillé, de préparer du café et d’ouvrir une bouteille de jus d’orange. A 9h, je me présentai avec un plateau plein de nourriture dans ma chambre, où une forte odeur de mâle alcoolisé régnait désormais. Anxieux, je déposai le plateau sur ma table de nuit et m’approchai doucement de M. C***. Puis, je lui passai délicatement la main sur le visage. Ce geste eut pour effet de faire sursauter mon voisin, qui sembla mettre une fraction de secondes à se rappeler où il était et à me reconnaître.- Bonjour !, dis-je, inquiet.- Bonjour, p’tit pédé, finit par me répondre M. C***, avec un regard lubrique.- J’espère que vous avez bien dormi… Est-ce que vous avez faim ?, m’enquis-je.- J’ai plutôt envie de pisser, dit-il en laissant apparaître une belle canlı bahis şirketleri demi-molle. Tu m’accompagnes ? demanda-t-il en se levant.Comme hypnotisé par la situation, je suivis M. C*** jusqu’à la salle de bain. Une fois devant la cuvette, il me demanda, non sans malice dans la voix :- Tu m’aides, p’tit pédé ?Mi amusé, mi gêné, je repris la bite de mon voisin en main et la dirigeai vers la cuvette, en faisant plus attention, cette fois, à bien viser ! Un puissant jet doré se mit alors à couler durant plusieurs minutes, signe que la soirée de la veille avait été particulièrement arrosée. Mais à mesure que le flot de pisse s’épuisait je sentais la queue que j’avais en main gonfler…Quand il eut terminé sa petite affaire, M. C*** m’attrapa par la gorge et m’embrassa goulûment. Incapable de réagir, je laissai mon voisin fouiller ma bouche de sa langue experte. Était-ce la pression qu’il exerçait sur mon cou ou le plaisir d’être dévoré par l’homme sur lequel je fantasmais depuis deux ans au moins ? Je ne saurais le dire, mais ce qui est certain c’est que j’étais comme enivré par la situation et que des frissons d’excitation parcouraient tout mon corps. Dans mon caleçon, je sentais mon chibre grossir et du liquide séminal perler de mon méat. Instinctivement, je commençai à caresser d’une main le torse poilu de M. C*** tandis que l’autre alla malaxer doucement ses couilles et sa verge. Après quelques minutes de ces douces caresses, mon voisin éloigna mon visage du sien et, les yeux pétillants, déclara :- Maintenant, je vais goûter à ta petite chatte de pédé ! Tu sens bon. J’espère que tu t’es bien nettoyé, ce matin ? – Oui, répondis-je avec d’autant plus d’appréhension que j’étais encore vierge et que le chibre de M. C*** me paraissait gigantesque, avec ses 20 cm de hauteur et ses 5 ou 6 cm d’épaisseur.Nous retournâmes donc dans ma chambre, où mon voisin m’intima l’ordre de me mettre à quatre pattes sur le lit, la tête posée contre un coussin. A genoux par terre, il me mit une bonne claque sur le derrière et me gratifia d’un « t’es une bonne pédale obéissante ! ». Puis, il passa sa main sur mon dos et embrassa la fesse qu’il n’avait pas frappée. Il enfonça ensuite son visage barbu entre mes deux collines imberbes tout en se branlant doucement. Sa langue commença alors à caresser mon petit trou, qui était complètement serré. Je la sentis s’activer tout autour de mon intimité, ce qui eut pour effet de me faire gémir. Le plaisir montant et le rythme de ma respiration s’intensifiant, j’eus la surprise de sentir mes sphincters canlı kaçak iddaa se détendre progressivement. Sentant cela, M. C*** commença à pénétrer mon petit trou avec sa langue. Ce faisant, ma respiration devint encore plus rapide, et ma bite, qui s’était ratatinée à cause de la peur de me faire transpercer par M. C***, se mit à gonfler peu à peu entre mes cuisses.Après quelques minutes, mon voisin cracha sur mon cul et s’humecta un doigt. Il le plaça alors à l’entrée de mon intimité, qu’il massa délicatement durant de longues secondes. Puis, il porta son doigt à ma bouche pour que je le suce à mon tour. Quand je me fus exécuté, il cracha à nouveau sur ma raie et pénétra d’un coup mon petit trou, ce qui me fit tressaillir. La sensation n’était pas du tout agréable et je débandais d’un coup, ce qui ne semblait pas du tout être le cas de M. C*** ! Peut-être conscient de l’effet qu’il me faisait, mon voisin me claqua à nouveau les fesses tout en faisant de petits mouvements à gauche et à droite pour ouvrir ma cavité. Puis, il se retira et se dirigea vers le plateau repas que j’avais préparé pour lui un peu auparavant. A ma grande surprise, il saisit la plaque de beurre que j’avais sortie, en coupa un morceau et revins se positionner derrière mon cul ! – Détends-toi, tu vas voir que tu vas aimer avoir ma bite dans ta petite chatte de pédé, me déclara-t-il.Il me badigeonna alors délicatement le trou avec le beurre et remit son doigt bien gras à l’intérieur. Sans être agréable, la sensation me parut moins douloureuse qu’au premier passage, car mon anus s’était un peu détendu. Mon voisin dut le remarquer puisqu’il décida bientôt de me mettre un deuxième doigt. Tandis que je grimaçais et suppliai M. C*** d’y aller doucement, celui-ci semblait prendre son pied à jouer avec mon intimité. Au bout d’un long moment, mon cul commença vraiment à se détendre et mon voisin reprit du beurre, pour graisser sa queue, cette fois.- On va passer aux choses sérieuses, maintenant ! me dit-il.- Allez-y doucement, demandais-je à nouveau, ce qui me valut une bifle à laquelle je ne m’attendais pas !- C’est moi qui donne les ordres, ici ! eus-je droit pour seule réponse.M. C*** décalotta ensuite son gland soyeux, le graissa et le présenta à l’entrée de mon cul, qu’il pénétra progressivement. A mesure que son pieu viril entrait en moi, une violente douleur se propageait dans mon bas-ventre et des larmes se mirent à couler sur mon visage. Pourtant, je n’avais aucune envie que mon voisin s’arrête et pas un moment je ne songeais à lui demander de se retirer de canlı kaçak bahis mes entrailles. Être possédé par lui m’avait mis dans un état second et, à ma grande surprise, mon cul sembla épouser progressivement ses dimensions. C’était heureux, d’ailleurs, car une fois M. C*** entré entièrement en moi, il m’empoigna les hanches et commença à me limer, d’abord lentement puis de plus en plus rapidement. Soumis à ce va-et-vient, je recommençai à gémir de plaisir et à bander.- Tu aimes, p’tit pédé ?, demanda mon voisin.- Ouiiiiiiiiiiiiiiii ! répondis-je, de manière un peu caricaturale mais non simulée.Satisfait de ma réponse, M. C*** me releva tout en continuant à me pilonner. Cette position était moins fatigante pour moi mais elle permit surtout à mon amant de me serrer à nouveau la gorge en passant un bras autour de mon cou et de me titiller les tétons. Les mains libres, je pus quant à moi m’astiquer le jonc, comme j’en mourrais d’envie depuis plusieurs minutes. Pendant qu’il me limait, je sentais les couilles de M. C*** taper contre les miennes et son torse dégoulinant de sueur se plaquer contre mon dos. De temps en temps, il me léchait l’oreille droite ou y glissait un juron (« putain, t’es une bonne petite chienne ! »), ce qui me faisait gémir encore plus bruyamment. A l’intérieur de moi, le plaisir était intense car le chibre de mon voisin tapait contre ma prostate, ce qui avait pour conséquence de me faire mouiller comme jamais je ne l’avais fait auparavant. Pour la première fois de ma vie, je n’étais plus moi-même, j’appartenais à un mâle. Mieux, je n’étais plus que le prolongement de ce mâle, une cavité chaude et étroite dont la seule vocation était de lui procurer du plaisir. Tout à coup, M. C*** m’empoigna les hanches et me souleva tout en se relevant. Réduit au rang de marionnette durant de longues minutes, il m’agita, moi et mon cul, sur son pieu avant de me reposer à quatre pattes sur le lit.Soumis à autant de stimulations, je sentis le plaisir monter rapidement et je finis par éjaculer abondamment sur mon matelas. Trois longs jets de sperme sortirent en effet de ma queue tandis qu’un râle de plaisir s’échappait de ma bouche.Excité par mon propre plaisir, M. C*** se retira rapidement de mon cul, monta sur le lit et m’obligea à prendre sa bite en bouche. La main droite accrochée à mes cheveux bouclés, il me baisa littéralement la gorge pendant plusieurs minutes avant de décharger à son tour sa crème épaisse. Surpris, j’avalai son cadeau avec délectation puis continuai à le pomper pour nettoyer la moindre goutte de sa semence.Ceci étant fait, nous nous écrasâmes de fatigue sur le lit. Après une bonne dizaine de minutes à nous reposer sans rien dire, M. C*** se tourna enfin vers moi et déclara :- Maintenant, j’ai la dalle ! Voyons voir ce que tu m’as préparé, p’tit pédé !

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Big Tits

Mon amour MarcoCoucou lecteurs lectrices!!!Voilà un petit bout de temps que je n’es pas raconté une partie de ma vie….C’est une rencontre,qui pour moi à une grande importance,parceque c est lui que j aime à la folie….Depuis Michel je mettais un peu calmée,je vivais des amourettes de mon âge sans trouvé vraiment un épanouissement personnelle dans ses relations.Je voulais faire comme tout le monde,avoir mon chez moi,mon copain etc.J’étais donc avec Martin,un garçon de mon âge assez mignon et gentil,vraiment une crème..Martin était un peu fleur bleu comme on dit,on fesait l’amour tendrement,il était doux,affectueux bref pas assez passionné et sauvage pour moi….Un soir Martin est sur un site d’annonce,la nouvelle lubie est d’acheter un scooter.Il trouve son bonheur et prend rdv pour le samedi matin.Nous nous rendons chez un dénommé Marc,il habite pas très loin de chez nous,dans une maison.Nous sonnons au portail et un homme grand et de bel carrure arrive le pas décontracté,en short et t-shirt…Il nous acccueil avec un grand sourire,il se présente et nous emmène dans son garage.Il explique à Martin les subtilités de la machine,je vois ces grande main qui s activent sur les poignées,bouton etc Il a charme ravageur,moi je le regarde faire son numéro de vendeur.Je me sent troublée par cet homme….Martin et lui font finalement affaire,il a l’air très content de son achat.Je dois juste repassser le mardi chercher quelques accessoires,je me suis pas fait prier quand Martin m’a demander d’y aller parceque lui bosse.Je me surprend à fantasmer a l’idée qu’il se passe quelques choses entre lui et moi.J’appelle le lundi soir Marco pour lui demander si c est toujours d’accord güvenilir bahis pour que je passe,il me répond que oui,de venir pour le café vers 13h..En raccrochant je me dit”même sa voix me fait mouiller”Le mardi matin je me surprend à essayer pleins de fringues,je pense”tu fais quoi la ma belle”J’opte pour mon bermuda blanc qui me fait un jolie cu et un débardeur noir qui en montre juste assez…Arrivée en bas de chez nous,je remonte directe pour enfilée un string dessous,la je me dit”toi tu joues avec le feu”Je me présente à son portail et une jolie petite blondinette viens m’ouvrir,elle s’appelle Sacha.Je fais le tour de la maison en la suivant et la il est la dans éternel short..Il me fait la bise et je vois son regard se perdre dans mon décolleter,il me propose de m’installer sur sa terrasse.On regarde sa fille joue dans le jardin en discutant,la sensation est bizarrre comme si on se connaissait depuis longtemps,on discute comme des vieux amis.Marc m’explique sa vie,qu’il est divorcé,que Sacha vit à Paris avec sa mère,son job,ses passions.Je repart de chez lui avec une envie encore plus folle de me retrouvée dans ses bras,d avoir ses main sur mon corps,je suis totalement sous son charme….Le soir je dit rien à Martin sur tout le temps que j’ai passé chez Marc,ont fais l’amour je pense à lui..La semaine se passe et pas de nouvelles de Marc,plusieurs fois je me suis retenue de lui envoyer un message…alors quand mon téléphone a sonné et que j’ai vu son nom s’afficher,j ai sauter sur le téléphone.Il fait beau,il me propose d’aller à la plage avec lui et sa fille,je répond directe oui On ce rejoint sur la plage,j’ai mit mon maillot noir qui me rentre un peu dans türkçe bahis les fesses et qui est sans bretelle sur le hautMarc porte un maillot,comme on dit moule bite,c est un maillot très moche je trouve mais dieu que cela lui va bien,le paquet à l’air bien remplie.Je vois bien que derrière ses lunettes de soleil il me regarde,cela m’excite beaucoup.Sacha veut att****r des crabes dans les rochers,on rigole et Marc me tient par la taille pour descendre,se contact de ses mains m’electrifie le corps.De retour sur les serviettes je lui demande avec un jolie sourire “tu veux pas me mettre de la crème?”,une demande bateau je sais mais elle fonctionne!!!Il me mets la crème délicatement sur le dos et j en frissonneIl me dit “j’adore ton corps”,je lui répond juste par un sourire “La prochaine fois tu mettras pas de haut,Sacha sera pas la”Je lui dit “la prochaine fois”Il me répond “bah oui”comme si cela était une évidence,que nous étions que au début de notre histoire.L après midi se passe,on fait une partie de volley dans l’eau,Sacha trouve en copine et nous oublie un peu.Marc se rapproche et passe derrière moi,il m’enlace et m’attire un peu plus dans l’eau,je le laisse faire et surveille SachaIl me serre contre lui et ose une main sur mon sein puis m embrasse dans le cou et me glisse à l’oreille “enfin un instant pour toi et moi”Il m embrasse et glisse ces mains partout sur moi,j ai le bas ventre en feu et lui aussi,je sent qu’il bande dur…Marc glisse sa main dans mon maillot et me caresse me doigte,je lui donne le change en le branlant.Sa tige est bien épaisse et longue,cela me rend encore plus folle de lui!!!!En revenant sur la plage on fait comme si de rien n’était mais güvenilir bahis siteleri j avoue que moi je suis un peu chamboulée et mon minou est en feu!!!Il me demande de venir chez lui mangé avec eux,j’appelle Martin et prétexte une resto et un cinéma avec une copine sur Nantes que sûrement je resterai dormir chez elle parceque j aime pas conduire la nuit(ce qui est vrai),il est okNous mangeons et il dit à Sacha qu’il est temps d’aller au lit et me glisse à moi”toi aussi tu vas dans ta chambre”Je monte dans sa chambre et l attend assise sur le bord du lit.Il entre et me sourit,sans un mots il retire son short et son t-shirt,même molle sa queue je le trouve grosse!Il s’approche de moi et se penche m’embrasser,il me tient la tête par l’arrière du coup,nos langues s’enlacent puis il se redresse et de son autre main me colle sa queue à ma bouche,je me mets à la pomper avec voracité,sa queue gonfle dans ma bouche et il lâche quelques râle de plaisir,ma chatte est trempée…..il me relève et m’enlève mon maillot,lèche mes seins et caresse mon corps.Il me fait mettre à quatre pattes sur le bord du lit “cambre ton cu ma chérie,je m’exécute et lui se mets à me lécher ma chatte et mon anus,il fourre sa langue partout,je gémit dans tout les sens tellement c’est bonIl me fait mettre sur le coter puis me glisse deux doigts dans mon petit trou pendant que je le suce…..Marco vient se mettre entre mes cuisses et me pénètre,j ai l’impression qu’il occupe toute ma chatte,je finis par jouire sous ses coups de butoirs!!!!Il me refait mettre en levrette puis colle sa bouche et des doigts à mon anusIl colle son gland contre et pousse puis entre et il commence à s’enfoncer de plus en plus…je mord les draps Marco va et vient doucement jusqu’à que je le sente se crisper et gémir,son jus coule dans mes fesses.Il se retire puis viens m’embrasser tendrement,on reste comme cela un bon moment,…Voilà la suite plus tard

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