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TROUVER SUR LE NET:La conciergeATTENTION:Dialogues très crusLa ConciergeC’était une loge de concierge traditionnelle du seizième arrondissement de Paris, sombre et exigu. Julien tapa trois fois à la vitre, avant qu’une grosse jeune femme, ne vienne encadrer sa mine agacée, dans le petit Juda incrusté dans le vitrage de la porte.- A c’est vous monsieur Julien !… Dite-elle en retrouvant son joli sourire. – Entrez vite !… J’ai votre colissimo.Julien se retrouva dans le petit vestibule face à cette opulente et désirable jeune femme seulement vêtue d’un peignoir étriqué qui ne pouvait à peine à contenir son opulente poitrine libre de tout soutien. – J’étais en train de faire du café en voulez-vous.Julien la fixa bien droit dans les yeux avec assurance et une pointe de désir que seules les femmes savent déceler.- Mais avec plaisir madame Magali !… J’ai tout mon temps je ne commence qu’a quatorze heures !… Me permettez-vous.Le garçon se débarrassa d’abord de son pardessus puis de sa veste pendant que Magali se dirigeai naturellement vers la porte et apposa la pancarte revient de suite avant de la verrouiller à double tours. Julien avait bien remarqué ses derniers temps le regard insistant et appuyé de sa gardienne mais son planning chargé ne lui avait guère laissé de loisir. Des pensées érotiques avait bien traversé son esprit mais il fallait un prétexte, une occasion. La femme lui fit face et avec un air faussement détaché et hautain déclara.- J’ai horreur que l’on me dérange pendant que je prends mon petit déjeuné !… Sauf par vous bien sur… Monsieur, Julien.Son peignoir c’était légèrement entrouvert sur la naissance d’un sein somptueux. Elle se pencha pour déposer délicatement devant Julien une tasse de café brûlant. Cette fois-i le garçon eu droit à une vue plongeante et en profondeur du décolleté de la jolie Magali. Julien se régalait car il adorait les jeux préliminaires de l’amour. La femelle tout excitée par l’émoi quelle avait causé chez le jeune garçon, prit tout naturellement place en face de lui avec un sourire provocateur sur ses lèvres. Julien enregistra le message et tout en buvant son café à petite gorgé, il réfléchissait à la meilleure stratégie pour l’attaquer, de toute manière elle n’attendait que cela. Julien, rien qu’a y penser, commençait à bander comme un âne en songeant à la paire de pastèques qu’elle cachait et comprimait sous son peignoir étriqué. Les mots sortirent presque naturellement de ma bouche légèrement empâtée par l’émotion.- Madame Magali, vous êtes magnifique, sensuelle. Je sais que je ne devrais pas vous dire cela, mais je ne puis plus cacher mes sentiments, j’ai envie de vous Magali chérie. Quand se pense à votre magnifique poitrine, je deviens fou je voudrais !… Je voudrais tellement mais tellement.- Mais enfin quoi !… Pour l’amour de dieu vous savez bien que je suis mariée.- Je ne le sais que trop bien.- Alors ?…- Alors Rien !… Ou plutôt si !… J’aimerais caresser vos jolis seins les embrasser.La femme leva des yeux amusés et pris un air moqueur et taquin et dit sur un ton interrogateur.- C’est vraiment tout ce que vous voulez Mon petit Julien.C’était la première fois qu’elle l’appelait ainsi par son prénom.- J’aimerais aussi caresser ta chatte, tes fesses, couvrir de baisers ton corps.Julien se leva en même temps que Magali, un instant ils se firent face, puis contre toute attente, elle lui administra une paire de gifles magistrale. Julien ne bougea pas d’un millimètre, se contentant tout simplement de la fixer droit dans les yeux, tandis qu’un sourire carnassier se dessinait sur ses lèvres. Mais sa main droite ouverte, partit aussitôt comme déclenchée par un puissant ressort, pour aller se plaquer instantanément sur le pubis proéminent de la femelle. Ses doigts aussitôt se refermèrent sur sa chattre qu’il se mit à pétrir à travers plusieurs couches de textile. Elle n’arrivait pas à y croire, quel culot ! Le garçon la caressait sauvagement aux travers ses vêtements, elle recula d’un pas et chercha instinctivement à se dégager. Mais prestement, le garçon la contourna et se plaqua, tout contre sa grosse paire de fesses joufflues. D’abord il commença à s’y frotter tout doucement, en y massant voluptueusement sa grosse queue gonflée, prête à décharger à la moindre sollicitation. Puis naturellement, illegal bahis avec tendresse et délicatesse, ses mains suivirent la courbe de ses hanches, en remontant pour venir comme un éclair. Saisir à pleine main, cette fabuleuse paire de nichons tant convoitée. Julien perdit toute notion de temps et de lieu, il n’y avait plus qu’une chose qui comptait pour lui, c’était son plaisir, son désir. C’étaient ses deux globes de chair, élastiques et fermes, souples et doux, tendres et brûlants à la fois, comme était son désir, pour cette sensuelle et appétissante femelle. Quelle sensation rare que ces premiers instants de découverte, les premières sensations ressenties, les premières vibrations éprouvées. Ce sentiment de libération et d’élévation, vers quelque chose d’essentiel et d’incontournable, pour laquelle l’homme parfois même sans vraiment le savoir, lutte et aspire, de toute ses forces La femme maintenant vaincue, se laissa faire. Julien laissa tomber son pantalon, puis se débarrassa de son slip. Sa grosse queue libérée, il la frotta à travers son peignoir, entre la raie de ses fesses qui formait une cuvette. Puis sans transition, il souleva la robe de chambre, puis la chemise de nuit, dénudant ce gros cul, qu’il empauma des deux mains et qu’il se mit à caresser, à triturer. Ecartant les deux globes charnus de ses fesses somptueuses, qui jusqu’à maintenant avaient dissimulé sa grosse pine. Elle apparut dans toute sa splendeur, avec des babines joufflues et roses, garnies de longs poils frisés tout autour, remontant presque jusqu’au nombril. Cette chaire intime et vibrante, attira la main du garçon comme un aimant. Il s’attarda longtemps à la caresser, à l’explorer, jusqu’à ce qu’elle devienne toute humide. Alors pour lui rendre hommage, il enfila sa bite entre ses cuisses épaisses, tout contre et dans le creux de ses babines ouvertes. La femme à ce contact intime, les resserra comme un étau, pour le retenir et le garder, pour elle et en elle. Julien passa ses mains sous la chemise de nuit et remonta jusqu’aux deux énormes globes de chaire nue, qu’il saisit et et malaxa bestialement, flattant, triturant et excitant, les pointes érigées de ses mamelons durcis. Il fit coulisser sa queue, entre les babines brûlantes de sa grosse pine, qui maintenant était abondamment lubrifiée, par le foutre qui s’en écoulait. Le garçon se mit à la limer, en frottant son gland tout contre sont clitoris. La femelle gémissait et se tortillait, tout en frottant son gros cul, contre les couilles gonflées du garçon. La grosse salope comprenait maintenant parfaitement la situation. Elle se pencha au-dessus de la table, en prenant appui des deux mains, écarta ses cuisse et cambra ses reins aux maximums. Julien s’approcha, caressa un instant ses fesses rebondies, et y administra deux fortes tapes, puis prit d’une soudaine frénésie, il lui administra une fessée magistrale, la grosse tortillait son cul rougi par les coups, en criant des insanités ordurières. L’agrippant fermement par les hanches Julien la pénétra, d’une seule poussée bestiale et violente, la pine éclatée et complètement dilatée, par l’énorme queue du garçon, la pouffiasse se remit à brailler des vulgarités.- Oui, éclate-moi la chatte avec ta grosse bitte… Défonce-moi bien le cul !… Pince mes gros tétons !… Tu sens dit ? comme ils sons dures !… Aller malaxe mes nichons plus forts. Oui, comme ça ! C’est mieux :… Va-y mon étalon d’amour !… Aime-moi.Julien en entendant ses paroles d’encouragement, se mit à la pilonner, jusqu’au plus profond de sont vagin. Puis pris, d’une soudaine et nouvelle inspiration, il se retira et vint s’asseoir, sur une des chaises, en tenant à pleine main, sa grosse bitte dégoulinante pointée vers le ciel, sous les yeux hallucinés de sa partenaire, qui en bavait d’excitation. – Viens ici ma petite chatte !… Assieds-toi sur mon pieu.La femelle ne se le fit pas dire deux fois et toutes en faisant face au garçon, elle prit ses nichons à pleine main et se caressa pour l’exciter encore d’avantage, puis s’empala littéralement. Julien était plongé au plus profond de sa cramouille, elle bougeait doucement avec un mouvement tournant, tenant toujours en main ses deux énormes globes de chaires, elle invita Julien à les honorer. Il les prit à pleines mains, pour y illegal bahis siteleri enfouir son visage. Il resta blottie entre ses téton un certain temps, puis manquant de souffle, il se mit à les déguster, à les sucer, les embrasser, les triturer. La fille très excitée, s’empala aux plus profond de sa chatte, Julien empoigna ses fesses à deux mains et les pétris.- Quelle grosse bite tu as !… Je te sens bien tout au fond de ma chatte !… Tu aime mes seins !… Dis, réponds-moi !… Tu sais, tu peux m’enculer si tu veux.Julien la fit lever, enleva son peignoir et fit glisser sa chemise de nuit sur le sol. Elle était là devant lui complètement nue. Sa chatte était énorme et poilue, julien passa délicatement ses doigts agiles, dans la prairie bouclée, qui couvrait une grande partie de son bas ventre. Il la caressa longuement et partout.- Tu veux vraiment que je te prenne par derrière ma colombe.- Oui je le veux, mon gros lapin, va-y défonce-moi le cul.- Mais je ne l’ai jamais fait et cela risque de te faire très mal.- Ne t’inquiète pas pour ça, on va mettre un peut de crème de vaseline et ça rentrera tout seul, J’aimerais tellement sentir ta grosse bite enfoncée dans mon cul.Tout en parlant doucement à son oreille, qu’elle mordillait, tandis que sa main palpait ses couilles. Elle pris dans le placard de la cuisine, un petit tube le dévissa et posa une noisette de crème, sur le gland du garçon.- Donne-moi ton doigt, tu vas me l’enfoncer dans le cul avec un peu de crème dessus.La femelle se mit en position, les cuisses largement écartées. Julien enfonça doucement son doigt, au centre de la couronne de chaire plissée, qui se dilata sous la poussée et céda le passage. Magali au comble de l’excitation, se touchait en branlant son clitoris.- Oui Julien va y… c’est bon !.. Enfonce bien ton doigt, branle-moi bien le cul… Oui… Plus fort, c’est bon continue, surtout ne t’arrête pas maintenant, allez défonce-moi bien. Dit-elle dans un feulement assourdi. Le garçon concentré, appuya son gland, tout contre la petite tache brune à la peau plissée et poussa prudemment, sa jolie femelle l’encouragea de la voie. – Pousse plus fort mon lapin!.. Enfonce-la à fond.- Mais elle ne rentrera jamais ?… C’est trop étroit. – Ne t’en fais pas, mon chérie !.. Ca va se dilater, crois moi.Julien persévéra, son gland lui faisait presque mal. Il agrippa fermement ses hanches, puis d’une dernière poussée ultime, il dilata le cul de la poufiasse, qui poussa un grognement étouffé. Le garçon envahi par de nouvelles sensations étrangères, la pilonna avec une brutalité bestiale, ce qui n’était pas pour déplaire à la grosse salope. Le plaisir monta, aux creux des reins du garçon, qui avait l’impression, d’être traversé par une décharge électrique haute tension. Rugissent de plaisir, il s’agrippa à ses seins et se mit à éjaculer, en long jets saccadés, dans le fondement de sa femelle.Dix minutes plus tard, ils étaient tous deux attablésis devant un bon chocolat brûlant.- Tu sais que je suis encore très excité lui confia Julien !…Quand soudain une voix féminine s’éleva de la pièce voisine.- Je peut venir !… Tu as fini tes cochonneries.- Tu es réveillé Maman ?… Mais bien-sur vient !… Je vais te présenter.La porte s’entrebâilla sur une femme âgée, mais encore bien conservée. – Il est beau, je te félicite, tu as bon goût. Julien étais en slip et maillot de corps, son sexe non apaisé, formait une bosse énorme. La vieille la remarqua de suite. – Je te présente Julien il habite l’immeuble. – Enchanté jeune homme. Mais couvrez-vous car vous allez prendre froid, (Magali dit-elle), en s’adressant à sa fille. Dépêche-toi, il faut monter le courrier. – T’inquiète pas je suis prête, je te confie Julien ne le taquine pas de trop. – La porte claqua sur cette dernière recommandation. Je vous aie entendu, jusque dans mon lit, quelle corrida. Julien la regarda, et se demanda où elle voulait en venir. Une tasse de café brûlant à la main, elle vint s’asseoir à coté du garçon. Tous deux se régalèrent d’un bon petit déjeuner. La vieille soudain lui jeta un regard en biais. – Mais tu bandes encore mon salaud !… Dit-elle en le tutoyant, Julien la regarda droit dans les yeux. Vous, j’en suis sur, vous devez être toute mouillée, cela à du vous émoustiller, pendant que j’enculais votre canlı bahis siteleri fille. Tout en parlant julien posa une de ses mains, sur la cuisse de la vieille femme. Elle devait avoir dans les soixante quinze ans, bien conservée, des traits délicats, de longs cheveux gris dénoués pour la nuit, et une grosse poitrine, que l’on devinait légèrement affaissée sous sa chemise de nuit. – Tu veux que je t’en fasse autant ?… Aimerais tu toucher ma grosse queue ?… Dis ?… Tu aimerais ?… Réponds-moi !… – Oui !… (Dit elle) dans un souffle. J’aimerai. – Alors ne te gène pas !… Tu n’oses pas, attends, je vais t’aider. Je suis sur que tu n’as même pas mis ta petite culotte, ni ton soutien gorge d’ailleurs. J’ai envie d’aller voire ça de plus prêt. Ecartes bien tes cuisses ma belle, je veux voir si tu mouilles encore. La vielle femme était cramoisie de honte. Julien porta une attaque inattendue, il glissa prestement sa main gauche, sous la chemise de nuit, de la vieille femme et se fraya un passage entre ses cuisses brûlantes. Puis de sa paume ouverte, il enveloppa son sexe dénudé.- A je savais bien que tu ne portais pas de culotte ma cochonne. La femme ferma les yeux et se mordis les lèvres.- Mais ma salope !… Tu as une pine énorme. Je vais te la remplir de mon foutre, à moins que tu ne préfères tout avaler. Julien se mis à palper et à tripoter, cette vieille pine humide. Cela le mit dans tous ses états. – Va-y !.. Prends la ma queue, maintenant que j’ai ma main entre tes cuisses. La vieille femme cramoisie osa enfin tendre le bras et posa timidement sa main ouverte sur la protubérance du slip. – Allez presse-la !… Dit le garçon, sous l’effet euphorisant de pouvoir violer l’intimité de cette vieille dame, qui ne demande que ça, et qui pourrait être sa grand-mère. Sa libido ne connaissant plus de limite. Prenant la main de la dame, il la glissa dans son slip. Au contact de sa virilité, sa petite main se referma immédiatement, autour du sexe du petit mâle. Julien avec douceur, et d’un doigté d’expert, écarta les grandes lèvres de sa chatte, et y enfonça délicatement un doigt, pour agacer gentiment son petit clitoris et la fouiller au plus profond de son fourreau brûlant. La vieille dame caressait sa queue avec application, puis empoignant de sa petite main experte ses testicules, elle se mit à les malaxer avec précaution. Julien s’enhardissant, remonta ses mains ouvertes, vers le haut de son buste et rencontra cette grosse masse de chaire palpitante, qu’il se mit à palper. Des grosses pastèques légèrement affaissées par les années, lourdes, à la chaire élastique, avec des pointes érigées et dures. – Tu va me sucer le gland !… Tu veux bien ma belle. (Disait-il, Pendant qu’il malaxa ses nibards). Et si tu me suces bien, tout à l’heure je te boufferai la chatte. Julien se leva, et fourra son dard dans la bouche de la grand-mère, qui le goba jusqu’à la glotte. Elle commença à le sucer, le pomper, pendant que Julien continuait à pétrir ses grosses mamelles à travers sa chemise de nuit. Se dégageant gentiment, il la souleva dans ses bras et la porta dans sa chambre pour la déposer tout doucement sur le grand lit défait. Julien la disposa sur le dos, écarta les deux pans de la robe de chambre, puis remontant sa chemise de nuit jusqu’au menton. Elle se retrouva le ventre à l’air, sa grosse pine ouverte, était comme un appel au viol. Le garçon plongea son visage, entre la fourche de ses cuisses. Sa langue pointue s’incrusta naturellement entre ses babines foutreuses, qu’il pénétra, pour mieux prendre entre ses lèvres, le clitoris de la vieille, qu’il se mit à sucer, téter et à masturber. Elle bandait la salope. Julien caressa son pubis velu, puis remonta la main pour saisir un sein au passage qu’il flatta. Puis passant ses mains sous ses fesses, la souleva pour mieux la brouter.- Quel cochon tu fais mon petit Julien !…Julien pour toute réponse se redressa, et d’une seule poussée virile, la pénétra et commença à la besogner puis à la défoncer littéralement. La vieille prononçait des mots incompréhensibles, en râlait faiblement. Julien vida ses bourses dans la grosse pine baveuse de la vielle dame distinguée. La bite toute dégoulinante, il se plaça à califourchon, au-dessus du beau visage de la dame. Resserra ses gros nichons, pour y glisser sa grosse queue gluante, qu’il y fit coulisser. La réaction ne se fit attendre, une dernière giclée de sperme éclaboussa les lèvres de la vieille dame ravie, elle attrapa la queue du garçon au passage et le bu jusqu’à la dernière goutte de son sperme.

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Lope Utilisée par 2 Mecs (1)[Utilisé par 2 Mecs (1)[/bJ’ai toujours aimé baiser avec des mecs.. mais ce que je préfère c’est pas juste la baise, c’est le faire avec des mecs qui aiment le hard.. des mecs qui aiment les choses étranges.. voir crades.. Je suis adepte du SM.. j’aime dominer et j’aime être soumis.. et j’aime les endroits étranges et les trucs improvisés. Parfois je suis tombé sur des mecs vraiment super.. Ça remonte à une époque ou j’ai eu une longue période sans femme, je me satisfaisais uniquement des mecs.. Non pas que je devenais gay mais sortant d’une histoire pas simple avec une nana.. j’étais dégoûte et je voulais m’éclater avec des garçons. En plus je voulais en quelque sorte.. expier ma précédente relation et je m’offrais comme soumis.. Cette fois j’avais trouvé deux types, pas un couple mais deux potes qui avait envie de s’amuser avec une salope qui serait obéissante et qui acceptait de tout faire et se laisser faire. Ce week end là je me rendais donc à ce rendez vous. Directement chez l’un de ces deux gars. Une grande maison à la périphérie de la ville. Grande maison avec des dépendances qui offraient quelques avantages. Les deux gars étaient là .. Didier était grand , 1m90 châtain clair, plutôt sec je verrais rapidement qu’il est doté d’une queue énorme et d’un sacré dose de perversité. Mo.. enfin Maurice est un black râblé, tout en muscle une bonne bouille rigolarde mais également un chaud .. un salaud comme je les aime.. qui prenait un plaisir évident à me faire gueuler. Mo avait un surnom que je pigerais un peu plus tard.. « fakir »Comme toujours dans les rencontres c’est le premier contact qui importe.. comme nous n’avions eu des contacts que par téléphone et malgré les explications sur notre physique on se découvrait. Pour moi ce n’est absolument pas important je me tape totalement du physique des gens si ils ont envie de prendre du plaisir c’est le principal. A priori mes deux nouveaux amis étaient dans le même état d’esprit.. Didier me dit même que pour lui une salope avec mon physique c’est à dire plutôt enveloppé et poilu.. Je m’attendais à ce qu’on passe un moment à bavarder mais Mo m’attrapa le bras tandis que Didier me choppais le paquet en serrant très fort.. – Viens là ma salope.. on va s’amuser.. tout de suite..dit DidierSurpris mais au fond agréablement je gouttais la prise que me faisais Didier et je lançais mon bas ventre en avant.- Ah putain.. mais tu est une sacré pute !! Regarde Did il aime çà rigola MoIls m’entraînèrent vers une dépendance de la maison une sorte d’atelier. Arrivés là les deux mecs commencèrent à me désaper. En un clin d’œil j’étais à poil.- Ah salaud !! tu aimes.. regarde çà il bande dit Mo en me canlı bahis şirketaleri chopant la queueEn effet je bandais comme un gamin !! Me sentir pris en main par ces deux mecs me faisait un effet incroyable.. A poil, je fut traîné vers le milieu de la pièce. Ils me lièrent les mains après une chaîne qui pendait du plafond. Mes pieds aussi furent attachés a une barre qui m’écartait les jambes. Ils se mirent a caresser mon corps, a me branler a tour de rôle.. Didier me pinçait le bout des seins.. je bandais de plus en plus . Mo m’avais attrapé les couilles et me les serrait de plus en plus fort. C’est une truc qui m’excite particulièrement. Sentir mes balloches pressées de plus en plus fort.. cette douleur qui irradie dans mon ventre, ma queue se dresse gonfle et se gorge de sang. Je gémis tout en me mettant a osciller du bassin en une sorte de coït virtuel. Attaché je suis offert à tout et cette idée me plaît, m’excite. Mo continue à m’écrabouilles les couilles.. maintenant il m’a pris le paquet à deux mains.. serrant et donnant des a coups. Je crie.. je hurle même.. par moment. Did me triture le bout des seins.. Les deux comparses bandent eux aussi.. je le vois sous leur jean. Mais je ne peux rien faire que subir. Maintenant Did me colle des claques sur le cul.. il est réjouis de mes réactions.. putain je suis comblé.. je vais en prendre plein la gueule et je ne suis plus qu’un jouet.- T’est une belle salope !! dit Didier. Approchant son visage de moi..- Oui continuez.. faites ce que vous voulez..- Tu va gueuler ma pute !! me dit DidSes lèvres sont prés des miennes, je m’avance et on se roule une pelle.. je m’abandonne totalement.. Mo me presse m’étire toujours les couilles. J’ai vraiment mal et la douleur est diffusée dans tout mon bas ventre.. mais j’en veux encore.. je suis comme çà parfois je serais à même de faire des folies.. A l’époque non.. mais depuis que j’ai des soucis sexuels.. je vous avoue que j’ai pensé à me faire castrer et émasculer. malgré les problèmes que ça implique.. Maintenant nous sommes entrés dans le vif de notre relation.. Did commence a se désaper Mo arrête de me détruire les couilles.. – Bordel.. Did regarde.. cette lope est géniale.. dit MoDisant cela il récupère une goutte épaisse qui coule de mon gland.. rien que cette entrée en matière me fait mouiller.. Il montre le fil qui pend de son doigt. Et pressant ma queue il fait encore remonter une grosse goutte.. – Ah oui .. quelle salope !! il aime çà… dis le que tu aime.. chienne.. fait Did en me filant une baffe- Oui.. j’aime çà.. je suis votre pute !! cogne moi encore.. dis je a Did- Putain !!! quelle lope !! regarde grosse pute tu me fais bander !! dit il en me canlı kaçak iddaa montrant sa queue énorme..Une énorme queue au moins 25 cm de long !! 27 en fait.. et super épaisse.. je n’ai jamais vu plus gros.. et je n’ai jamais pris plus gros sauf des godesIls me défirent les poignets, mais me laissaient les chevilles attachées. Did me mis a 4 pattes et approchant sa queue de ma bouche me la planta d’un coup.. Son gland comblait ma bouche . Je suçais la queue.. j’en avais mal aux commissures des lèvres tant elle était énorme. – Oui.. avale moi çà !! Putain suce moi ma truie !! étouffe toi ..Je n’étais plus qu’une pute a leur service.. ma queue gonflée.. tressautais.. mes couilles douloureuses encore remontaient petit a petit contre la base de ma tige. Je prenais la queue dans ma bouche de plus en plus loin. Je sentais le gland palpiter sur l’arrière de ma langue.. d’un accoup je prenais la queue au fond de ma gorge.. ma salive inondait ma bouche je salivais comme un malade. Did se retira d’un coup.. ma bave coula comme une rivière de longs fils accrochés à sa queue.. Et il replongea dans ma bouche.. plus loin.. un haut le cœur.. bordel je vais vomir !! Je m’accroche au fesse de Did le poussant plus loin dans ma bouche.- Oh non de dieu !! quelle pute ce mec dit Mo… ma salope.. tu va en prendre.. dit il crachant sur mon trou du cul..M’ayant humidifié il enfonça deux doigts dans mon anus.. Je me cambrais sans un mot.. je ne pouvais rien dire avec cette queue dans ma gueule..J’aurais exprimé l’envie que j’avais de me faire prendre.. tout de suite.. Mo me doigtait le cul en me tirant la queue en arrière.. il me la retournait totalement et me branlait sans douceur.. décalottant mon sexe.. Did retira sa queue de ma bouche.. me donna une gifle.. que je pris comme un cadeau. – Montre moi son cul… dit il a Mo- Viens voir il est tout souple.. regarde il prend bien mes doigts..Il me pistonnait le cul avec deux puis trois doigts. – Baisez moi.. les mecs.. enfilez moi putain !!- Mais il réclame dit Did.. Attend salope.. on va t’en mettre.. oh oui.. Mo viens te faire sucer il est douéMo vint se placer devant moi et me proposa son chibre.. il était moins long que celui de Did mais sont gland était plus épais encore. Le salaud comme moi était excité et mouillait du gland.. j’adorais le goût salé.. Il se mit a me baiser la bouche a grand coups de reins et il me choppa les tétines les pinçant a mort et les étirant.. Did avait dans les mains un gode constitué de plusieurs boules successives.. qui étaient de plus en plus grosses.. Il me le fourrait dans le cul.. Au début la première boule rentrait facilement .. mais plus il poussait plus j’avais du mal a prendre ce gode conique.. canlı kaçak bahis Je suis prêt a tout je suis maso mais je ne supporte pas la douleur au niveau de l’anus.. sans cela.. je me ferais fister et dilater a mort.. mais il faut longtemps pour arriver à ce résultat alors.. je dois être raisonnable.. j’avais d’ailleurs dit a mes deux tourmenteurs cette particularité. Et Did devait s’en souvenir car il y allait quand même lentement..Mais le plaisir est au rendez vous.. sous la pénétration ma queue se dresse et coule de plus belle.. Je suce la queue de Mo.. je me sens tellement salope.. tellement pute.. j’aimerais qu’ils soient des dizaines a me travailler me baiser.Did me baise le cul avec son gode.. maintenant il coulisse plus facilement.. mon anus est mouillé.. Le truc me masse la prostate a mort.. et Did l’incline bien ce qui me déclenche des frissons et me fait couler la queue comme jamais.. – Mo regarde !! Il en pisse de joie !!! Il mouille comme une bonne femelle !!- La vache oui !! il goutte par terre !!Le gode me remplis.. il l’enfonce totalement.. je suis parcouru de frisson je tremble même quand il ressort rapidement le gode.. je me cambre.. Quand il le replonge ma queue se tend et je sens le liquide qui montre dans ma tige.. je ne sais plus si je pisse ou si je mouille.. si le massage de prostate est si intense que je coule comme une salope. Nous sommes tous les trois super excités et je chope des queues je branle Did et suce Mo.. Je suce tellement bien Mo.. que soudain je sens qu’il se raidit.. sa queue gonfle dans ma bouche et d’un coup se met a gueuler.. – Purée !!! Vide moi !! oh je prend tout dans la gueule !!Son sperme gicle explose.. dans ma bouche.. épais.. brûlant.. et il n’arrête plus de gicler. j’en prend tellement que je m’étouffe, ça me repasse par le nez.. Je ne sais plus ou je suis. Le sperme coule sur mon menton.. poisse ma barbe.. Mo est déchaîne et me pistonne la bouche .. mes mains ont agrippé ses fesses musclées.. Did me défonce le cul de plus en plus fort.. je ne sens aucune douleur.. la plus grosse boule fait 4cm au moins et elle entre et sors de mon cul sans effort.. je suis ouvert.. dilaté.. Ma queue crachote.. de la mouille presque du sperme.. c’est laiteux.. Mo sors de ma bouche. Il essuie son gland en frottant ma bouche et mon front.. je suis plein de jus gras.. Did laisse le gond profondément enfoncé dans mon anus qui palpite.. et me tire vers lui . Toujours a quatre patte je prend sa queue dans ma bouche.. il me la plante au fond de la gorge.. et aussitôt il gicle.. je ne peux déglutir.. le foutre coule dans ma gorge.. je ne peux que l’avaler.. c’est dingue je suis dans un état d’excitation que j’ai rarement connu. Ma queue se colle a mon ventre.. je sens l’humidité de mon gland.. j’ai envie de jouir comme un fou mais je suis au bord je n’arrive pas à jouir. C’est une vraie torture.. Did et Mo le savent… et ils vont en profiter.. et faire durer… A suivre.

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HISTOIRE DU NET :Jooging (1)Je m’appelle Sonia, j’ai 26 ans, je suis une jeune femme libre, je travaille dans une grande entreprise de travaux public, je suis secrétaire et gagne bien ma vie, j’habite Paris et travaille en banlieue ouest, mon travail est assez stressant, mes collègues me trouvent belle et leurs regards sur mes fesses en disent long, mais je n’ai jamais mélangé ma vie professionnelle et ma vie personnelle, je commence assez tôt pour éviter le plus possible les encombrements, et fini un peu tard, je vis seule depuis 1 ans, mon copain m’a largué et je m’en porte pas plus mal, sauf de temps en temps un manque que je sais combler seule, en fait je me masturbe.Une fois par semaine, je vais courir pour me détendre dans un petit bois au sud de Paris, je croise souvent une femme d’environ le même âge que moi qui court aussi, mais quand j’arrive, elle s’en va, nous nous saluons en partons chacun de notre côté.Un soir, elle arrive en même temps que moi, elle me dit : « Je suis très en retard, j’ai été retenue par mon travail, cela ne vous dérange pas si nous courons ensemble. »J’accepte et mon partons courir toutes les deux, elle m’attend un peu, elle est plus entraînée que moi, nous parcourrons nos 4 kilomètres, avant de revenir sur le parking ou sont garée nos voitures.Nous nous quittons en nous saluant et elle me demande si la semaine prochaine nous pouvons courir ensemble, cela nous stimule un peu de ne pas être seule.Les semaines suivantes, nous courons ensemble, nous avons fait connaissance, elle s’appelle Sandra, à le même âge que moi, elle est marié, mais son mari n’est pas là souvent, en déplacement pour raison professionnelle, et quand elle est en manque, elle fait comme moi, l’automne arrive, il fait nuit de plus en plus tôt et je lui dis que je ne vais plus pouvoir venir, elle me propose de venir chez elle de suite après mon travail pour me changer, comme cela je gagnerais une petite heure.Cela me semble une bonne idée, donc le matin je pars travailler avec mon sac de sport que je laisse dans la voiture, je me changer chez Sandra, puis nous partons avec une seule voiture pour notre jogging hebdomadaire.D’hebdomadaire, notre jogging se transforme en bihebdomadaire et puis en quotidien, je passe me changer, nous courrons, puis je rentre chez moi après avoir récupéré ma voiture ou déposé Sandra chez elle.Un soir, arrivant chez elle, elle m’invite à prendre un verre, je refuse en disant que je sens un peu la sueur et j’ai envie güvenilir bahis de prendre une douche, Sandra me dit que je peux la prendre chez elle et que j’ai les vêtements pour me rhabiller, alors j’accepte, de toute façon je n’ai rien à faire.Elle me demande ce que je veux boire après ma douche, mon choix va vers un jus d’orange, puis elle m’indique la salle de bains et me donne une serviette en me disant, que je l’appelle s’il me manque quelque chose. Sandra prend une douche, qui est attenante à sa chambre, puis nous nous rejoignons dans le salon.Nous buvons nos verres en parlant d’une chose une autre, puis je prends congé une petite heure après, Sandra me raccompagne à ma voiture, nous nous embrassons, mais Sandra me fait une bise sur la bouche, je suis assez surprise, et je pars encore toute retournée de l’attitude de Sandra.Je passe une affreuse nuit en repensant à Sandra, j’ai un peu flirté avec mes copines au collègue, mais j’ai très vite passé aux garçons et même avoir été plus loin que le flirt.Sandra m’appelle au bureau, et s’excuse pour la bise, mais qu’elle en avait envie et que cela ne se reproduirait plus, mais qu’elle compte sur moi pour notre jogging.Souvent nous prenons un verre ensemble, mais nos bouches ne se retrouvent jamais, j’en avais pourtant envie, mais je n’osais pas.Le printemps est revenu, il y a presqu’un an que nous nous connaissons, j’avais de plus en plus envie de Sandra, au bureau, je ne regardais plus les hommes, mais les femmes, certaines me plaisais beaucoup, j’aurais aimé faire l’amour avec elles, j’étais attiré inconsciemment vers les femmes, ce baiser furtif a révélé en moi ce besoin de femme, qui enfoui depuis l’adolescence s’est réveillé.Un soir, Sandra et moi, nous buvions un verre, et n’y tenais plus, je l’embrasse sur la bouche, et à ma grande surprise, elle écarte les lèvres pour laisser passer ma langue, je cherche la sienne et nous flirtons comme deux gamines.Nos jeux deviennent de jour en jour plus osés, flirt, caresses, Sandra comme moi c’est la première fois avec une autre femme et nous ne savons pas comment faire, mais nos caresses solitaires nous aident bien, puisque nous savons ce que nous aimons.Mes mains caresses sa poitrine sur le dessus de son chemisier, comme l’aurait fait deux ados, alors que l’une et l’autre nous avons fait beaucoup plus mais avec des hommes. Je m’enhardie un peu et déboutonne quelques boutons de son chemisier pour sentir ses seins à travers son soutien-gorge, türkçe bahis puis passant ma main sous un bonnet, je saisis son tétons que je caresse et pince doucement, Sandra réagit de suite, ses seins deviennent très durs, je caresse doucement pour ne pas lui faire mal, je dégrafe son soutien-gorge et je suce son téton durci par mes caresses et Sandra me dit qu’elle aime cela et de continuer.Je retire son chemisier et le mien, nous sommes maintenant torse nu l’une contre l’autre, nous nous caressons et embrassons la poitrine, mon string est mouillé, et je suis sure que sa petite culotte aussi, mais nous ne continuons pas plus notre jeu et nous nous quittons en nous embrassant tendrement.Je rentre chez moi, en m’apercevant que j’ai oublié mes vêtements de sports, j’appelle Sandra de suite, qui me dit de ne pas m’inquiéter, que tout est dans la machine à laver, et qu’elle m’attend demain.Le lendemain, je partais au bureau, comme d’habitude, mais mes collègues s’aperçurent que je n’étais pas comme les jours précédents, surtout mes collègues féminines, je ne tenais pas en place et n’avais qu’un hâte de retrouver Sandra.En fin d’après-midi, je sonne chez Sandra, Dans la seconde qui suivit, elle ouvre la porte à croire qu’elle m’attendait derrière, à peine entrée, elle m’embrasse de toute ses forces et me dis qu’elle ne pouvait plus attendre, et m’entraîna dans la chambre.Je ne sais pas comment, mais nous nous sommes retrouvées nues allongées sur le lit et Sandra me dit que ce soir nous n’irons pas courir, mais nous allons faire l’amour.Nous embrassions nos corps sans vraiment se rendre compte, les seins, le sexe, puis ma langue trouva son petit bouton, c’est là que cela me fait beaucoup de bien dans mes caresses solitaires, je pense que pour elle c’est pareil.Ma langue embrasse son clitoris, je le mordille un peu avec douceur pour ne pas lui faire mal, car je sais que c’est sensible, puis ma langue entre dans sa fente, elle écarte les jambes pour me laisser de la place, et mes doigts vont vers ses fesses, elle me fait la même chose, je sens que je vais venir sur sa figure et la préviens de ma jouissance éminente, elle continue à me lécher en me disant qu’elle aussi elle va jouir, ses doigts dans mon cul me font du bien, et je sens bien que les miens lui donnent aussi du plaisir, nous avons ensemble notre 1er orgasme.Elle me demande de ne pas arrêter, et bientôt un deuxième arrive. Mes doigts entrent facilement dans son cul et elle me dit que son güvenilir bahis siteleri mari aime la prendre par derrière, et elle est habituée, je lui dis que moi aussi mon copain aimait cela et que je lui donnais souvent et sans problème, même que j’aimais cela.Nous avons continué à nous faire du bien une bonne partie de la nuit en oubliant de dîner, mais il fallait que je rentre chez moi, dormir un peu, prendre une bonne douche et aller au bureau comme si rien ne s’était passé.Les journées suivantes ce passèrent bien, avec une seule hâte de retrouver Sandra, mais j’ai prévu des vêtements de rechange pour passer la nuit avec elle et pouvoir aller au bureau directement.Un jour, je quittais le restaurant d’entreprise et avec des collègues masculins, avec qui je déjeunais souvent, nous nous dirigeons vers la machine à café, alors que nous attendions que la machine soit libre, une femme que je connaissais de vue, vient vers moi et me dit : « Tu es des nôtre maintenant, je t’appelle tout à l’heure. »A peine assise à mon bureau pour travailler l’après-midi, mon téléphone sonne, je regarde le nom, c’est cette femme que j’ai à peine vue, je décroche sans mettre l’ampli, et elle me dit qu’elle a vu sur mon visage que je préférais les femmes aux hommes et me donne rendez-vous chez elle le soir même. Je réponds d’accord, et m’empresse de téléphoner à Sandra de ne pas m’attendre car je quitterai très tard ce soir.Le soir même, j’avais ma 2ème relation avec une femme, et ma collègue me dit que ce week-end elle organise une petite soirée avec des amies et que je vienne avec la mienne.Je mets au courant Sandra pour notre invitation, cela tombe bien son mari ne compte pas rentrer ce week-end et elle me dit que c’est cela mon travail tard… Elle accepte de m’accompagner, donc le samedi soir, nous nous rendons à la soirée, ou surprise, nous ne sommes que des femmes, Sandra me dit que c’est une soirée « lesbiennes » mais que cela ne la dérange pas, bien au contraire. Nous buvons un peu et très vite, nous flirtons toutes entre nous, et quelques-unes sont déjà au lit, nous ne tardons pas à les rejoindre, ou nous faisons l’amour avec des partenaires multiples. Comme Sandra et moi n’avons pas beaucoup d’expérience, nous sommes prises en main et très vite, nous comprenons comment cela fonctionne.Nous rentrons chez Sandra, et je lui demande comment elle a trouvé la soirée, elle me dit qu’elle ne s’est jamais temps amusé et jouit, qu’elle est prête à recommencer.Ma collègue de travail, me présente des amies qui comme nous sont célibataires, ou vivent avec des femmes, des « lesbiennes », très vite nous sympathisons, et devenons rapidement pour la grande joie de Sandra et la mienne leurs maîtresses.

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Anne 1Paul imagine Anne depuis de longues semaines et voudrait bien la rencontrer mais il a peur… Peur de quoi s’intérroge-t-il? Il a la frousse de s’apercevoir qu,elle n’est pas aussi jolie que dans ses fantasmes les plus fous ou bien une peur panique de briser à tout jamais cette magie tissées aux fils des semaines. A bien y pensé il a peur de ses réactions… Saura-t-il tenir promesse à Nicky?Paul enfile un jeans et un polo tout en réfléchissant comment douce Anne réagira en le voyant ….. lui sautera-t-elle au cou, mieux encore elle trouvera un moyen bien à elle de le séduire à nouveau. Traversant l’appartement d’un pas décidé; il ferme la porte d’un grand cou sec sans même penser à la barrer. A grande enjambée il dévale l’escalier pour ensuite immédiatement s’accrocher les pieds dans la plate-bande de fleurs.Il saisit quelques lys pour l’offrir à Anne.Marchant d’un pas alerte il se dirige vers ce petit bistro où ils se sont donnés rendez-vous. A l’entrée de la porte une femme sort précipitement et fonce sur lui. Il la regarde et lui souri. Anne le regarde et lui rends la pareille. Dès canlı bahis şirketaleri que leurs yeux se rencontent ils savent tout les deux que cela n’est pas un hasard alors sans un mot il marchent enlacé l’un à l’autre jusqu’à l’appartement de Paul.Quelle ne fut pas sa surprise losque ses pieds touchèrent le seuil de sa porte. Assis au beau milieux du salon Nicky est là toute sanglotante parmi le désorde qui y règne. Paul se dis: “merde j’ai oublié de verrouiller la porte”. Anne s’avance doucement vers Nicky et la serre dans ses bras. Paul se place derrière Nicky et lui caresse les cheveux du bouts des doigts. Anne lève doucement la tête de Nicky et lui donne de doux baisers sur ses joues toutes rempli de larme. La jeune compagne de Paul souri à Anne et se retourne vers son compagnon et dit ” fais l’amour à Anne moi je ne veux que regarder”. Anne et Paul sursautent en l’entendant mais se regardent avec soulagement puisqu’ils ont une si grande soif l’un de l’autre.Anne tire Paul vers elle et se moule à lui avec une rage jusqu’alors insoupçonnée. Paul sent son souffle haletant sur canlı kaçak iddaa sa nuque. Il s’autorise à relever sa robe jusqu’a ses cuisses. Quelle jolies jambes! Paul masse les cuisses entre ses mains et les écartent avec une infinie douceur. Les lèvres sont aussi roses et tendres que son teint. Il se penche vers celles-ci et les embrassent sans se lasser tant elles sont douces. Lorsqu’il se releve il voit dans ses yeux tout la douceur sensuelle dont Anne est habitée. Ces yeux bleus aux paupières à demie closes le font fondre. Anne le déshabille lentement en embrassant chaque parcelle de peau puisqu,elle veut faire durer le plaisir. Le pénis de Paul se tends si fort dans son slip qu’elle le libére à l’aide de ses dents Elle masse ses fesses en même temps qu’elle happe son pénis à grands coups de langue. Il n’aurait suffit qu’un geste pour le faire jouir mais cet état d’excitation presque insupportable fait sourire Anne et elle se retire rapidement. Voyant Nicky se caressée elle l’invite à se joindre à eux.Elle se jete par-terre et rejoint Paul et Anne moitié rampant moitié à quatre canlı kaçak bahis pattes. De longues mèches de cheveux courent le long de ses seins comme des serpents. Anne commence à la caresser avec audace et curiosité. Sous l’effet des caresses Nicky cambre les reins et Anne glisse sa langue jusqu’à son pubis. Tantôt tout autour du clitoris, puis tout autour des lèvres et à l’entour de son sexe. Paul ébloui par ce spectacle enivrant glisse son membre dans le sexe d’Anne d’un seul coup de rein tout en lui pétrissant les seins. C’était un tel bonheur que les trois amants échapèrent de petits cris de plaisir. Il était aussi habile qu’Anne avait rêver. Anne sent son pénis dur la transpercer, il revient en sens inverse semant sur son passage un déferlement de plaisir magique. Anne sent Paul jouir dans son corps avec un plaisir rare. La chatte de Nicky a un goût de miel. Anne connaît l’une des plus délicieuse émotions de sa vie. La jolie Anne se retient pour de pas gémir de plaisir puisque Nicky jouis de sa langue. Maintenant Anne se met à gémir et à haleter. Les contractions de l’orgasme se propage de l’intérieur vers l’extérieur de son corps. Anne s’effondre sur le corps de la magnifique blonde tout en l’embrassant sur la bouche avec douceur. Paul se blottit contre elles et tout trois s’endorment rapidement à cause de la fureur sexuelle partagées.

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femme mûre arabe marocaine : khadija 41 ans,LU sur le net : Voici l’histoire de khadija N., 41 ans responsable des imports-exports dans une firme internationale du Maroc.”Je voyageai beaucoup depuis ma nomination au service des imports-exports de ma boîte. Ma famille en souffrait surtout mon mari qui ne me voyait que 4 mois sur 12, mais je n’avait pas le choix, étant payé grâce ment. A mon arrivée, je fus convoquée au bureau notre directrice générale (une suissesse de 56 ans). Je retrouvai Hamed dans le bureau. Hamed était un employé hors du commun. Il était d’une grande beauté et avait un franc succès auprès des femmes de la firme. Le bruit courait qu’il en avait sauté une bonne part. J’eus droit à ses avances mais lui interdis, à contre coeur, de ne plus m’importuner. Une amie et collègue de travail à qui je me suis confiée sur la question me traitèrent d’idiote n’arrivant pas à croire que j’ai décliqué les avances d’Hamed alors qu’elle brûlait d’envie de se faire sauter par lui. Je reconnais que j’éprouvais un profond désir pour ce coureur de jupon, mais je craignais de mettre la vie de mon couple en danger. Hamed était l’amant de mes fantasmes. Il m’arrivait, pendant que je faisais l’amour avec mon mari, de l’imaginer en moi. J’en jouissais comme une folle (et mon pauvre mari qui croyait être le meilleur des amants). Bref, je fus étonnée de le voir en pleine conversation avec madame Francine R. Il semblait avoir une complicité entre les deux. La directrice m’annonça que pour ma prochaine mission, je serai accompagnée d’Hamed. Je restai hébétée à la nouvelle. Ma réaction surprit madame Francine qui me demanda sans détour si je voyais un inconvénient à effectuer ce voyage avec mon collègue. Je balbutiai que tout était bien, qu’il n’y avait pas de problème. Mon coeur battait illegal bahis la chamade et j’eus du mal à me concentrer sur les instructions de ma supérieure. Le voyage était prévu pour le lendemain au matin. Hamed me regardait, un sourire ironique sur les lèvres. mon compte était bon. Nous sortions de chez la directrice et je me précipitai dans mon bureau, ignorant les appels d’Hamed.Ce fut l’heure de la descente. Un à un, tous les employés désertèrent l’immeuble. Je devrai rester pour préparer les dossiers du voyage. Après une heure de travail, je sortis dans le hall me dégourdir les jambes. Je marchai pieds nus sur l’épaisse moquette quand je vis Hamed rentrer dans le bureau de madame Francine. J’étais intriguée car je voyais mal ce qu’ils pouvaient faire en dehors des heures du travail. Je voulus en avoir le coeur et me dirigeai avec précaution vers le bureau managérial. J’entendis la directrice dans une étrange conversation avec Hamed. Elle lui disait qu’il lui manquait depuis la dernière fois. J’arrivai à temps pour les voir s’embrasser avec ardeur. Madame et le Hamed étaient donc amants ! Le jeune homme la couvrait de chauds baisers et la parcourait de caresses. La patronne semblait ravie et le suppliait de continuer. L’autre la déshabilla entièrement, malaxant ses fesses et les seins pendant qu’elle lui massait la bite en travers du pantalon. Madame fit surgir une énorme queue et la fourra dans la bouche après s’être agenouillée devant mon collègue. Hamed était monté comme un cheval! Il accompagnait les sucions de madame en lui maintenant la tête et s’agitait lentement dans la bouche. Je ne pouvais pas réaliser qu’il puisse éprouver pareil plaisir avec une dama qui pouvait être sa mère. Lui n’avait que 30 ans, et madame Francine 54. Il la releva et la fit illegal bahis siteleri assoire sur le bureau, écarta grand ses cuisses et plongea dans sa chatte d’un seul coup. Madame cria de plaisir. Les vas et viens commençaient, aussi puissants que réguliers. Je ressentais une douce chaleur dans le bas ventre. Cette scène m’excitait aussi. Je me mettrai bien à la place de ma patronne à recevoir la grosse queue d’Hamed. Hamed, je comprends pourquoi il avait tant de succès dans l’entreprise. La directrice râlait à chaque coup de boutoir porté dans son ventre. Elle était ravie, la tête reversée, les yeux révulsés. Je relevai ma jupe et commençai à me masser la chatte. Elle était dégoulinante de mouille. Je ne quittais pas le couple adultère des yeux. Mon plaisir montait aussi. J’astiquais à toute vitesse mon clitoris et jouis sur le coup. Je glissai sur la moquette terrassée de plaisir.Hamed se retira de la chatte de Francine et la place en levrette. Il s’enduit abondement la queue de salive et la plaça plus haut sur la raie des fesses. Il mit un certain temps à la pénétrer et je compris qu’il essayait de la sodomiser. La directrice était une véritable cochonne. La bite s’enfonça profondément en son anus. Il l’enculait bien et elle en pleurait de plaisir. C’était beau de voir Hamed s’agiter aisément dans le cul de ma patronne. Il la maintenait ferment. La sodomie dura près de 5 minutes et Hamed ne semblait plus se contenir. Il accéléra et dans un cri explosa dans les fesses de madame Francine. Elle s’écroula ivre de plaisir son bureau accompagnant Hamed dans sa chute. Le cinéma était fini. Je retournai donc pour me réfugier dans mon bureau quand je tombai nez à nez sur Nasir un jeune gardien de 25 ans. Il devrait se trouver là depuis un moment et absorbée par la canlı bahis siteleri scène insolite, je ne l’avais pas remarqué. Il me saisit comme une malpropre qu’on expédiait d’une salle pour m’emmener au fond du couloir. Je fuis tellement surprise par son attitude que je restai bouche cousue. arrivée dans le pénombre, le jeune m’expliqua qu’il m’avait surpris entrain d’épier la patronne et qu’il allait lui en parler. Je risquais vraiment mon emploi et le priai de ne rien dire car je savais que la directrice était sa marraine. Il me rassurait mais exigea de me sauter. Je faillis lui foutre une bonne baffe, mais me retins. Mon avenir dans l’entreprise se jouait. Sitôt, il me poussa dans une pièce encombrée de fournitures de bureau et me serra dans ses bras. Passé le dégoût (il avait l’âge de mon fils), je l’enlaçai à mon tour cherchant sa langue qui me fouillait la bouche. Il embrassait vraiment bien le jeune Nasir. Il me lécha dans le cou, ma malaxa les gros seins. Je baissai sa braguette pour en sortir sa queue qui formait une bosse impressionnante sous le tissu de son uniforme. Elle était grosse et longue, parsemée de veines. Je m’agenouillai devant lui pour prendre la bite dans ma bouche. Elle était bien grosse! Je suçai ce jeune employé comme une pute. Il me flattait de mots tendres et me tenait la tête d’une main ferme. Nasir me dit qu’il voulait me baiser. Je lui répondis moi aussi et me penchai les mains en appui contre le mur, lui offrant mes grosses fesses. Il les caressa un moment et sans m’y attendre m’enfuis d’un coup sa grosse queue dans le ventre. 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la voisine 2Notre petit manege a duré comme ca un bout de temps, comme ma mere travaillait de soir et mon pere n’était pas ce qu’on pourrait appeler un bon pere, tout le monde y trouvait son compte, moi le premier. un jour, l’amie demande a ma mere et a moi si je voulais aller passer la fin de semaine a leur chalet en Estrie. Je supplie ma mere qui accepte, je déborde de joie.Le vendredi soir,nous voila partis pour le chalet. En route nous faisons quelque commission. Nous arrivons a destination, wow c’est beau, vraiment. un chalet en plein milieu de nulle part, pas d’électricité, pas d’eau, rien. Un petit lac, personne d’autre. Nous rentrons les emplettes et elle m’amene faire un tour. Elle m’explique qu’il n’y a personne d’autres que nous pour la fin de semaine et que nous allons avoir du plaisir tous les deux. nous revenons au chalet et on se met a table, comme nous avons acheté des sandwichs le souper ne dure pas longtemps. Elle me dit que nous allons aller nous laver. « comment ? » que je demande.« dans le lac, voyons »elle me prend par la main, m’amene au bord de l’eau, me déshabille, se déshabille et on rentre dans l’eau jusqu’a mi-cuisses.« accroupie toi pour te mouiller »elle fait pareil.« je vais te laver et apres si tu veux tu me laveras aussi, tu veux ? »« oui j’aimerais »on se relevent, et d’un gant elle frotte le savon et commence a me laver par le visage, les épaules, le dos, le ventre, les jambes et remonte vers mes fesses pour terminer sur mon sexe. mais je constate qu’elle prend bien son temps avec ma queue. Elle la savonne, l’étire, masse les couilles, retourne le gant sur ma rondelle. güvenilir bahis Comme les autres fois, moi je sens ma queue qui leve. Et je la vois avoir un sourire se déssiner sur son visage , elle passe la langue sur ses levres.« maintenant, tu vas ma laver, ok ? »moi je me dis que je vais comme elle, en faisant les memes étapes en passant par les memes parties du corps. Mais quand j’arrive sur le devant avec ses superbes seins, je ne peux m’empecher de ralentir et les masser doucements.« mon petit cochon, tu les aimes, hein ? »« oui, ils sont tellement beaux, meme si j’en ai jamais vu d’autres, je les aime »« alors si tu veux , tu peux les embrasser, les lechers, les téter »je la regarde et elle fait signe que oui. Je regarde ces seins si beau, m’approche la bouche, l’ouvre et commence a les teter, belle sensation de douceur a ma langue. Elle me prend les mains et les dépose dessus. Moi je commence a les masser.« oui c’est ca, tu fais ca tres bien, oui tete bien maman. En fin de semaine, je vais t’apprendre plein de bonnes choses, je vais t’offrir ton cadeau de fete un peu a l’avance. Nous allons nous rincer et apres on va rentrer »Je suis vraiment curieux de savoir quel sera mon cadeau. On se ressuyent et on rentrent. Elle prépare un feu de foyer.« viens t’étendre sur la peau a coté de moi mon amour »Je me couche pres d’elle, j’adore la sensation du poil sur ma peau et la chaleur des flammes sur mon corps.« chéri, pour tes 15 ans, je vais t’apprendre a faire l’amour a une femme, tu veux ? »Moi je veux bien meme si je me demande s’il y autres choses a apprendre que ce qu’on a fait jusqu’a présent. türkçe bahis Elle me couche sur le dos et commence a me caresser, moi je m’apprete a la caresser aussi,« non chéri, tu te laisse faires je vais t’enseigner ce qu’il faut faire »Elle commence a me caresser, ses doigts se promenent sur mon corps qui se met a frissonner. Je me ferme les yeux pour mieux savourer ce moment d’extase. Je sens sa bouche venir déposer des bisous sur mon ventre, remonter lentement sur mes mamelons qui sont déja durs. Sa bouche poursuit sa route jusqu’a ma figure, elle colle ses levres sur les miennes, sa langue invite mes levres a s’écartillers pour pénétrer.J’adore ca, nos langues font connaissance, on s’échange nos salives. moi je garde toujours les yeux fermés. Tout en m’embrassant je sens sa main venir prendre ma queue déja bien bandée. Sa bouche quitte la mienne pour prendre ma bite qui ne demande pas mieux. Elle gobe en entier, jusqu’aux couilles, Wow quelle belle sensation. Elle me masturbe de la bouche. Quelques mouvements et je lui éjacule tout mon sperme qu’elle avale avec plaisir, d’apres les sons qu’elle me fait entendre. « et puis amour, a tu aimé ? »« oh oui »«maintenant, c’est toi qui vas me donner du plaisir »«oui, mais qu’est-ce que je peux faire de plus que ce qu’on a fait jusqu’a présent ? »elle me sourit et dit;« tu vas me jouir avec ta belle queue, tu vas me pénétrer, tu veux, oui? »« oui, comment je fais ? »« je t’aime mon petit ange »Moi toujours sur le dos, elle vient se placer en 69, et reprend ma queue en bouche et m’invite a lui bouffer la chatte, malgré mon inexpérience, je l’entends glousser güvenilir bahis siteleri de plaisir. moi ma queue redevient dure. 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Je me demande si je n’ai pas quelque chose de pas correcte.« excuse, si je t’ai fait mal »elle sourit;«non amour, tu m’as fait jouir »en disant ca, je sens un liquide coulé sur moi.« je vais recommencer pour que toi tu puisses jouir en moi »Et v’la qu’elle recommence ses mouvements en me disant plein de choses cochonnes. Moi j’écoute et hate de me sentir venir en elle. A un moment, je sens moi aussi ma seve qui veux couler.« je pense que je vais jouir aussi »« essaye de te retenir quelques coups, nous jouirons ensemble, pense a autres choses »Facile a dire, pas facile a faire. a un certai moment;« ouiiiiiiiiii, viens mon amour, coule en moi, moi qui n’attendais que ca, j’explose en elle, et elle encore une fois, pousse de longs gémissements. on est la, on ne bouge plus, a savourer cet instant si magique. Elle vient m’embrasser sur la bouche me disant, merci chéri.

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JE SUIS DEVENU LE SOUMIS DE MAITRESSE T Ch 8 FINAL-Bonjour salope, j’ai reçu ton rapport, Le dernier rapport quotidien de ton dressage, aujourd’hui tu fini tout ce que je t’ai demandé,Bien sûr ce soir tu te tiens tranquille avec ta femme, et demain matin tu ne te masturbe pas, tu ne te soulage pas et pas de porno, tu attends que l’on fasse le point sur ton dressage.Le jeudi matin, réveille 7h et non plus 5h30, et pas de punitions, pas de programme, pas de string, pas de bas, pas de plug dans les fesses, ma bite libre comme l’aire, je suis d’une humeur joyeuse, Je rédige mon rapport quotidien, ça fait bizarre d’envoyé les photos de ma bite sans cage à Maitresse,Je l’envoie comme d’hab avant 8h à Maitresse, ça va vite, y a pas grand-chose à dire dessus,Et je file au boulot.Je suis tellement excité, je cours partout, je suis tellement impatiens, tellement pressé, mais je dois impérativement attendre le point de Maitresse, avant de pouvoir faire quoi que ce soit Je me suis même surpris à mater le décolleté d’une collègue, mais ça je vais bien me gardé de le dire à Maitresse9h30, rien, 10h, rien, 10h30 toujours pas de mail ou de message de Maitresse, Alors je tente un : -Bonjour Maitresse, j’espère que vous allez bien, avez-vous reçu mon rapport ?-Je suis occupé, on voit ça plus tard.-Bien Maitresse, mais vous pensez aujourd’hui ?-J’AI DIT PLUS TARD !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!Je ne suis pas comme ma salope, qui passe sa vie, à ce foutre à poil dans les chiottes de son Travail pour taper sur ses couilles, j’ai du travail MOIALORS TU ATTENDSSon message m’avait vite remis à ma place, et peu à peu je perdais mon sourire, ma joie et ma bonne humeurCe n’est que vers 15h que je reçois un message me disant que le point de mon dressage était prêt sur mon mailJe vous laisse le découvrir ci-dessous :Bonjour salope,Je suis très fière de toi, tu viens de terminer ton premier dressage, et tu l’as fait jusqu’au bout !!!!!C’est bien, c’est très illegal bahis bien,Bien sûr y a encore beaucoup de travail, mais c’est un très bon débutJ’ai apprécié la ponctualité et la qualité de tes rapports, mais tu sembles encore trop hésitant dans l’exécution de certains exercices que je t’impose, pour d’autre tu pourrais faire bien mieux, tu ne te donne pas l’énergie et la volonté d’y parvenir,Ton prochain dressage aura lieu dans un mois et demie, tu m’enverras une proposition de date, tu prévoiras 10 jours, sans compté les week end, qui seront consacré au rattrapage des punitions et exercices qui n’aurons pu être fait la semaine.Les dressages te ferons progresser, te rendrons meilleurs soumise, et au cours de leurs réalisation j’ai bonne espoir, de te faire accepter de sucé ta première bite et te voire te faire enculé pour la première fois,Une soumise sans une bite dans la bouche ou sans une bite dans le cul, pour moi ce n’ai pas une vrais soumise, mais ne t’inquiète pas, je saurais te convaincre et dans moins d’un an, tu auras avalé tes premières giclé de sperme.J’imagine que tu dois être très impatient de te soulager, de bien vidé tes couilles, mais ne crois pas que c’est la fête, que je vais te laisser faire n’importe quoi, ton dressage t’as fait progresser, et tu ne vas pas tout gâcher sous prétexte qu’il est terminé.Je te rappelle le règlement ci-dessous, dressage ou non tu dois le respecter scrupuleusement : 1. Je sers, obéis, et satisfais ma Maîtresse 2. J’ai confiance en ma Maîtresse, son sens des responsabilités, ses talents, ses besoins, et son attention à ma sécurité et à mes émotions psychologiques, sociales, sexuelles, et à ma santé phy-sique. 3. Je ne suis rien de plus qu’un objet de valeur – un instrument que ma Maîtresse utilise selon son bon plaisir. 4. Je demande la permission à ma Maîtresse de satisfaire quelque besoin que ce soit avant d’agir5. Je dois toujours remercier Ma Maîtresse de ce qu’elle m’a donné. 6. illegal bahis siteleri Je dois être explicite et précis lorsque je parle. 7. Je ne dois pas hésiter à répondre à ma Maîtresse, mon attention est importante pour ma crois-sance. 8. Je remercie ma Maîtresse des punitions et de la discipline que je reçois.. 9. je rapporterai à ma Maîtresse mes progrès. 10. Je suis toujours soumis à ma Maîtresse qu’elle soit présente ou non, 11. Tous mes choix sont bases sur le plaisir qu’ils peuvent donner à ma Maîtresse 12. Hors de sa présence je m’appuie sur ses principes, et les limites qu’elle m’a autorisé. 13. Il n’y a pas de plus grande FAUTE que de désobéir ou de n’avoir pas pu plaire à ma Maîtresse 14. Je suis un trésor pour ma Maîtresse 15. Je n’éjacule jamais sans la permission explicite de ma Maîtresse 16. Le mot STOP peut être dit à tout moment. 17. Je dois confesser toutes mes pensées et mes fautes à ma Maîtresse, même lorsqu’elles peuvent entraîner des punitions. Les expressions de mes émotions et mes réponses physiques sont impor-tantes pour Elle. 18. Je réalise que ma Maîtresse peut être propriétaire de plus d’un esclave si elle souhaite qu’il en soit ainsi. 19. Discipline et punitions m’apprennent à bien me comporter. 20. Je ne toucherais aucun de mes organes sexuels, ou des jouets, de manière à me donner du plaisir sans autorisation de ma Maîtresse 21. Je peux suggérer des manières d’approfondir mon dressage, verbalement, ou dans le rapport. 22. Ne jamais oublier que je dois satisfaire ma Maîtresse. 23. Si Maîtresse le décide, j’entrerai ma bite dans la cage. 24. Je porterais des bas lorsque ma Maîtresse me l’ordonne. Donc déjà ce règlement, tu vas me l’apprendre par cœur, tu seras régulièrement interrogé.Tu devras être capable quand je te donne un numéro, de me récité la ligne associée.A partir de maintenant, voilà ce que j’attends de toi :-Tu ne seras autorisé à te masturbé qu’une fois par semaine,Tu devras m’en faire canlı bahis siteleri la demande sur ton rapport, me préciser la date, l’heure et l’endroit,Une fois mon accord EXPLICITE, tu seras autorisé à te branler, tu m’enverras les photos et vidéo-Pour les porno, 1H par semaine maximum, comme pour ta vidange,tu devras m’en faire la demande sur ton rapport, me préciser la date, l’heure et l’endroit,Quand tu auras fini, tu devras m’envoyer sur ton rapport, le temps passé et les liens des sites que tu as visités-Les mardis et jeudi seront consacré à l’abstinence, ces jours-là, pas de branlette, pas de porno, tu ne touches pas à ta femme, tu ne la regarde pas, bien sûr tu ne jouis pas tu simules,Et va de soi que tu ne regardes pas les filles non plus.La tenue de pute et le port de la cage sont obligatoires-Pour ce qui est de faire l’amour à ta femme, tu m’en feras chaque jour la demande sur ton rapport, Il te faudra de ma part une autorisation Pour la toucher ;La regarder ;Jouir en elle ;Je te préviens, il sera très rare d’avoir mon autorisation pour tous les point en même temps, et bien sûr toute demandes sont inutile les mardis et jeudi !!!!-Et pour finir j’attends de toi, que tu me reporte sur ton rapport toutes fautes ou écarts,mauvaise pensée ou désobéissances.Bon ça c’est fait, tu n’oublieras pas de reporter toutes ces règles sur ton rapport.Et revenons à ton dressage, Comme je suis contente de toi, je t’autorise à te masturber trois fois d’ici la fin de semaine, c’est-à-dire, une fois maintenant, et pour les deux fois restante, tu m’en feras la demande et attendra mon accord.Jusqu’à dimanche, tu peux faire l’amour à ta femme autant de fois que ça te chante, tu peux jouir, la toucher, la regardé, mais à partir de lundi, les consignes sont de rigueur.Et voilà comment je suis devenu une bonne soumise obéissante à sa maitresse, Les semaines suivantes, j’appliquais les nouvelles consignes, et maitresse était informée de tout à travers mon rapport, Maitresse contrôlait totalement ma vie sexuelle. Elle ma affaiblis moralement pour cassé toutes mes défense, afin de mieux imposé ses règles.Je profitais de l’instant présent, car la nouvelle séance de dressage arrivait à grand pas.

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Partouze, grosses bites et couilles pendantes

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Partouze, grosses bites et couilles pendantesOn finit de se doucher.On est 3 dans la douche.On s’essuie. Nicolas m’essuie le sexe.‘Tu devrais te raser les couilles et la bite, c’est mieux pour la fellation’ Me dit Philippe.‘Si tu veux on peut te raser’ Dit Nicolas.‘Ok vous avez ce qui faut ?’Philippe sort son rasoir.Nicolas me mouille les parties génitales, me les savonne et me branle la bite en même temps.Plus elle est grosse, plus c’est pratique pour raser.Je bande.Philippe commence par la bite, Nicolas prend son rasoir et me rase les couilles. Je lève une jambe pour bien dégager mes couilles pendantes.Puis Philippe prend son peigne et des ciseaux pour me faire une coupe des poils du pubis.Me voilà pour la première fois depuis la puberté avec des couilles et une bite lisse comme le sexe d’un bébé.Ils me rincent la verge et les bourses. La sensation est agréable.Je remets mon slip. Mon pénis reste gros excité de la nuit passée de sexe et de la séance de rasage.Le bonnet est trop petit. Il laisse apparaitre la base de mes couilles.Je retourne à ma tente.Sans rentrer dans la tente j’enlève mon slip et prends un tanga blanc qui a l’avantage d’offrir un véritable sac pour y mettre ses organes génitaux.J’introduis mes attributs dans la poche, remonte correctement le slip autour de ma taille.Mes testicules et mon pénis prennent place.La poche est remplie. On voit la forme de mes couilles et la forme de mon pénis. On distingue nettement la forme de mon gland et la collerette bien que celui-ci soit calotté. Le tissu en coton laisse percevoir une certaine transparence.Mes fesses sont moulées dans le slip très échancré qui laisse largement apparaitre le galbe et le creux de mes fesses par transparence.Le frottement du tissu sur la peau fraichement rasé de mes organes génitaux me procure une sensation agréable.Je fais quelques pas, mes testicules et ma bite balancent de droite à gauche, comme si je ne portais rien.De plus la sensation du tissu sur la peau augmente en bougeant, une sorte de caresse permanente sur les parties génitales. Trop cool.Nicolas et Philippe matent.‘Sexy le slip’ dit Philippe.‘Ouai, on voit bien la forme de tes couilles et de ta queue’ renchérit Nicolas, ‘Et en plus ça te fait un très beau petit cul‘.On part vers la plage naturiste.On marche dans le chemin de garrigue. Il fait très chaud, heureusement qu’il y a de l’ombre.On décide cependant de s’arrêter sur une plage pour piquer une tête pour se rafraichir.On ressort. Mon slip est complétement transparent. C’est comme si je n’avais rien.Les gens matent. On se marre.On reprend les serviettes. J’essuie ce que je peux.Revenu sur le chemin, j’enlève mon slip. Je marche nu, comme c’est agréable. Mon sexe et mes bourses pendantes balancent au rythme de la marche‘Alex remets ton slip’ me dit Philippe.‘Y a presque personne sur ce chemin’On croise un couple qui mate ma belle pièce d’artillerie en mouvement.Mon slip a presque séché, je suis prêt à le remettre, mais on voit cependant la plage naturiste.Nicolas et Philippe enlèvent à leur tour leur slip.Nous voilà tous les 3 marchants nus vers la plage.Nos couilles et nos queues balancent dans un mouvement droite-gauche.On croise une fille allongée nue sur la plage.Elle mate nos queues.‘C’est en libre-service tout ça ?’‘C’est quand tu veux, à consommer sans modération’ Je lui réponds. ‘Viens avec nous, on va dans un endroit plus cool retrouver des potes, à poil aussi !’‘’Hummm, intéressant’ Elle se lève et prend sa serviette.‘Je te préviens on baise tous ensemble, On est bi, enfin moi je le suis’ Lui dis-je.‘Ok pas de problème’‘C’est quoi ton prénom ?’‘Isabelle’‘Moi c’est Alex’Elle est plutôt mignonne, mesure dans les 1m70, galbée comme j’aime et avec une paire de sein bien dessinée en forme de poire… j’aime.Je sens mon sexe grossir…. Après tout je suis à la base hétéro et ça fait 3 semaines que je ne me suis pas fait une nana.On arrive enfin bahis firmaları à notre coin.On y retrouve Olivier en compagnie de Florien, son pote black dont il nous avait parlé.On fait les présentations.Florien est en effet beau gosse, belle gueule, les lèvres charnues, les traits du visage fin, un corps musclé taillé en V, une queue un peu plus longue que la mienne mais moins grosse, de belles grosses couilles pendantes. Le gland est décalotté. Il est aussi noir.Il a huilé son corps, sa bite, ses couilles… tout un programme !Isabelle vient vers moi. Elle me prend la bite dans sa main.‘J’ai envie que tu me fourres la chatte’ en me regardant droit dans les yeux.Elle se dirige vers Florien ‘Encules moi !’On se regarde Florien et moi.Isabelle se met en position en s’accrochant à une branche.On s’approche d’elle. Mon sexe est en érection, Florien aussi.On la pénètre, Je lui fourre sa chatte, Florien lui remplit l’anus de sa queue.Nos couilles se touchent dans le balancement de nos bassins.Philippe vient m’enculer tandis que Nicolas va enculer Florien. Je préfère en cet après-midi avoir la bite de Philippe, Nicolas m’ayant déjà fourré la nuit précédente… et je me souviens encore de la taille de sa queue !Olivier vient s’occuper des couilles de Nicolas et de Philippe en les léchant ou en les massant.Il admire en même temps le spectacle du balancement et de l’entrechoquement de mes couilles et celles de Florien à chaque coup de butoir que nous donnons dans Isabelle. Nicolas et Philippe finissent par éjaculer, puis vient le tour de Florien.Je sens le sperme de Philippe couler de mon anus le long de mes couilles.Isabelle a déjà jouit 3 fois.Le liquide vaginal coule le long de ma bite sur mes couilles.Moi je n’ai toujours pas jouit.Isabelle me fait signe d’arrêter. Je sors ma queue. Elle est énorme en érection, dressée dans un angle à 45°, décrivant une légère courbe. Le gland est turgescent.Les 4 mecs matent ma bite.Isabelle vient se mettre à 4 pattes sur les serviettes étalées.‘Alex, vient me prendre en levrette’.Je me présente derrière elle.Elle repose sa tête sur ses bras croisés m’offrant un peu plus ses fesses et sa chatte.Je la pénètre.Ma queue va et vient dans sa chatte.Elle ressert sa chatte sur mon sexe, je bande encore plus. Ma bite est très grosse.Mes couilles balancent d’avant en arrière, frappent la base de son ventre quand je donne de forts coups de butoir.Isabelle fusionne avec mon sexe. Elle devient le prolongement de mon phallus. Je ressens tout Isabelle dans mon sexe. Isabelle vibre sur mon membre.Nicolas, Philippe, Florien et Olivier nous matent en train de baiser.Cela dure plus de 40mn.Isabelle a jouit au moins 10 fois depuis que je la pénètre en levrette.‘Ejacule je t’en prie, j’ai la chatte en feu, j’en peux plus’Philippe s’approche.Il me masse la base du pénis entre l’anus et les couilles d’une main et me presse les couilles de l’autre pour me faire jouir Il. II sait que je réagis à ça.Je sens le plaisir monter.J’éjacule en plusieurs giclées en donnant des coups de butoir, au moins 5.Isabelle crie.‘Arrête, arrête je t’en prie’Je sors ma queue, le sperme continue de gicler.Philippe me branle pour me finir.Je m’allonge sur le dos, mon corps se cambre parcouru de soubresauts, Mes fesses se lèvent du sol. Philippe me masturbe jusqu’à la dernière goutte.J’halète, je suis en sueur, je tourne la tête, Isabelle est allongée, en sueur.‘Putain qu’est-ce que tu m’as mis, trop bon’Je la regarde, lui sourit.‘Et toi ta chatte, trop bonne, j’ai vachement aimé, c’était avec plaisir’ Je lui réponds.On s’assoit, on reprend nos esprits. Puis on se lève.J’ai l’impression d’avoir des couilles de taureau et une bite de cheval.Isabelle se lève, elle a un peu de mal à marcher au début.Je lui passe le bras autour de la taille, elle me sourit.Elle me regarde droit dans les yeux ‘Quand tu veux ?’‘Avec plaisir’ d’un regard lui disant ‘Au plus vite je kaçak iddaa n’attends que ça’.Je me rends compte à ce moment-là que je suis bi.Une queue dans une bonne chatte, c’est bon tout de même.J’aime le sexe avec les deux sexes.Les Romains et les Grecs avaient tout compris.On va se tous se baigner puis on se fait sécher au soleil. On est tous à poil.‘J’ai jamais vu un mec et une nana baiser comme ça’ dit Olivier ‘Pas moi en tous cas, j’ai jamais tenu aussi longtemps’‘Ah moi je ne sais pas’ dit Philippe ‘J’ai jamais baisé avec une nana’‘T’es puceau alors ?’ Lui dis-je.‘On peut dire ça.’‘Si tu veux je peux t’arranger ça’ dit Isabelle. Elle se retourne vers moi ‘en tous les cas t’as une sacrée bite Alex, et tu sais t’en servir’.‘Oui je confirme’ disent Philippe et Nicolas de concert.‘Faut dire que depuis 3 semaines je ne me fais que des culs de mec et je suce des bites et je me rends compte qu’une bonne chatte c’est vachement bon, et ta chatte elle est vachement bonne Isabelle, on s’y sent bien’.‘Merci Alex, quand tu veux. Florien, j’aimerai bien t’essayer aussi. T’as une grosse queue, un peu plus en forme d’obus qu’Alex. La bite d’Alex est grosse tout le long avec son gland plus large que le reste de sa queue. J’aimerai comparer.’‘Quand tu veux Isabelle. Je suis comme Alex, ça fait un moment que je n’ai pas tringlé une nana.’‘Bon on va à l’ombre’ ? dit Nicolas.On se dirige vers notre coin.‘Ça va Nicolas ?’ Lui dis-je‘Ben j’aimerai bien me la faire, je suis aussi en manque’‘Ben vas-y’ lui dis-je ‘elle te dira pas non’‘Tu crois ? Ok je vais lui demander’On s’allonge à l’ombre. Tout le monde se repose.Je m’assoupie, me repose de la nuit de sexe avec Nicolas et Philippe.Je dors.Je sens que l’on me touche le sexe.Olivier et Florien sont en train de mesurer ma queue.‘Mais vous faites quoi ?’ Je leur demande.‘On mesure ton sexe au repos’ me dis Olivier.‘Comme tu le sais Olivier est en fac de médecine et il a décidé de faire une étude’ Me réponds Florien.‘16 cm de long et 11 de circonférence pour Alex’ répond Olivier ‘Toi Florien tu es à 16.5 de long et 10 de circonférence. Deux belles bites, y a pas à dire. Voyons en érection.’Florien se met juste au-dessus de moi mais tête bêche. Je me retrouve avec ses testicules et sa bite à portée de bouche.Quel beau spectacle.Je saisie son sexe d’une main et lui suce les couilles de l’autre. Je ne m’étais jamais fait un black. Florien donne des petits coups de bassin pour m’enfoncer sa queue dans ma bouche. Il a une sacrée bite. Je comprends ce que peut ressentir l’autre avec ma queue. Florien sort sa queue de ma bouche et s’accroupit. Il me regarde droit dans les yeux : ‘j’ai toujours eu envie de me faire enculer par une grosse bite. Je l’ai enfin trouvé et en plus c’est un blanc, et c’est pas pour me déplaire.’Je lui souris : ‘Ok on y va’.Florien se met en levrette.J’ai devant moi un beau cul de mec avec une paire de testicules pendante à souhait.Une bite de circoncis hier, une bite et un cul de black aujourd’hui. Quel été !Je commence à lui lécher les couilles, les lui gobe, puis remonte vers la base de son pénis et lui lèche enfin l’anus. Son anus se dilate, ses fesses se relèvent écartant encore plus son anus.J’introduis ma langue dans son anus qui se dilate encore plus.Ma langue rentre pour moitié dans son anus. Il délecte. Je vais le défoncer.Je remonte ma langue le long de ses fesses.Je bande.Ma queue vient se frotter dans la raie de ses fesses.Je lui enfonce mon gland, le ressort et l’enfonce.Il cambre sa croupe ouvrant encore plus son anus.Je rentre ma verge dans son anus.Il halète.Je n’arrive pas à rentrer ma queue intégralement.Je lui fais signe de venir s’accrocher à l’arbre.Il s’accroche aux branches, je lui remonte la jambe droite pour qu’il prenne appuie avec son pied sur le tronc afin de lui écarter les fesses.Je m’approche par derrière. Je luis introduis ma queue en érection.Ma queue pénètre kaçak bahis intégralement dans son anus.‘Ah c’est bon putain ! Quelle bite tu as. Vas-y défonce moi, met la moi profonde’.J’augment la fréquence de mes coups de butoirs.Nos couilles balancent d’avant en arrière ensemble. Elles se cognent.Je lui masse la verge.Isabelle vient nous sucer et masser nos couilles. Une coupe 4 boules café chocolat. Elle branle et suce la queue de Florien.Olivier vient observer.Il mesure la queue de Florien. 22 cm de long et 14 de circonférence.‘Alex sort ta queue pour que je la mesure’Je sors mon membre de l’anus de Florien. ’21.5 de long et 15.5 de circonférence et effectivement Alex a une bite grosse d’un bout à l’autre avec un gland qui amène la circonférence à 16. Très grosse bite, y’a pas à dire.’Je réintroduis ma queue dans son anus.Isabelle continue de lécher et masser les couilles de Florien tout en le branlant.Je défonce le cul de Florien. Il bande un max.Philippe lui suce le dessus du gland, Nicolas le frein, Olivier le méat urinaire. Olivier attend l’éjaculation de Florien avec un gobelet pour collecter son sperme.Florien éjacule. Son sperme gicle en 6 jets dans le gobelet. Olivier collecte le sperme de Florien jusqu’à la dernière goutte en lui pressant sa queue. Olivier revient vers moi ‘sors ta bite je veux encore la mesurer ’22 de long et 16 de circonférence, 16.5 sur le gland. Alex j’en ai jamais vu une aussi grosse.’‘Je confirme je m’en suis jamais pris une comme ça’ dit Florien en sueur. ‘Quelle bite !’Olivier vient avec une bouteille d’eau, me nettoie la bite et commence à me sucer.Philippe et Florien viennent le rejoindre sur ma queue.Isabelle et Nicolas s’occupent de mes couilles.J’ai 3 mecs sur ma bite et une nana et un mec sur mes couilles.Quel pied !Florien vient se positionner au-dessous de mon corps.Il frotte son sexe et ses couilles toujours en érection sur ma poitrine, mon ventre, le nombril, m’offrant en même temps le spectacle de ses grosses couilles pendantes, de son anus et de son phallus.Je monte en extase, perd le contrôle de tous mes sens.Je m’abandonne à tout ce plaisir.Je me sens décoller du sol. Je sens le plaisir monter dans mes couilles. Il se diffuse dans mon pénis, remonte le long de la verge, se concentre sur mon gland.Je suis parcouru de soubresauts. Je pousse des ‘ah ah ah’ de plaisir.Mon sperme gicle. Mon corps se cambre à chaque giclée.J’éjacule sur tout le monde.Mon corps est toujours parcouru de soubresauts.Nicolas finit de me pomper la queue.Philippe me lèche les couilles.Florien et Isabelle me sucent les tétons, me lèche le cou, le visage et les lèvres.Olivier me caresse les cuisses, les jambes et les pieds.Je suis hors de mon corps, aucun repère d’où je suis, qui je suis.Je reprends mes esprits après avoir bien plané.Je les regarde tous ‘vous êtes des grands malades de me faire ça’‘Quand on tombe sur une bite pareille, on ne se prive pas !’ Réponds Olivier ‘T’as une bite exceptionnelle et des grosses couilles… On profite, on goûte… !’‘Bande de cinglés…. Je n’ai jamais pris un tel pied… C’était trop bon… je ne saurai vous décrire les sensations… Ouah, merci’On va tous se baigner puis on ressort se faire sécher au soleil.Ma queue reste grosse. Je ne bande plus mais elle reste longue et grosse.Elle tape à chaque pas sur mes cuisses telle un bâton de cloche.Olivier vient la mesurer ’19.5 de long et 15 de circonférence…. Incroyable’Olivier renchérit ‘Avec une bite pareil tu aurais du succès dans le camping où nous sommes, je peux te dire’‘Pourquoi vous êtes où ?’‘Dans un camping naturiste et libertin. Tu baises quand tu veux où tu veux avec qui tu veux. Des fois Florien et moi on baise tous les deux devant la tente. Les gens matent. Ils peuvent se joindre s’ils veulent. Venez ce sera sympa’.On se regarde Philippe, Nicolas et moi ‘Ouai pourquoi pas’ on répond.‘Et toi Isabelle tu te joins à nous’ ‘Avec plaisir, on change de camping demain ? Vivre à poil en permanence et baiser quand on veut, quel pied !’On déménagera tous ensemble le lendemain dans le camping naturiste libertin où bon nombre de parties de sexe nous attendront…

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LA PUTE DE TATAOUINE6je vous ****l que mon histoire est vrai ..apres avoir fait un tour dehors avec michel .nous rentrons chez moi .mon pere toujours assie sur le canaper et ma mere dans la cuisine .michel sassoie pres de mon pere pour discuter bien sur je traduit tout car mon pere ne parle pas beaucoup le francais mon pere me dit .. dit a michel que mon copain veut le voire chez lui avec toi je mempresse de traduir ..michel me repond on iras demain le voiremon pere me dit je compte sur michel car comme maintenant tu appartient a michel je ne veut pas avoir affaire avec toi quoid quil ce passe tu est a michel …je lui dit oui je suis a michel mon frere abdelmajid rentre avec 2 copains a lui se sont des voisins de la maison a coter il on 15 ans aussi ..mon frere presente michel a ses copains ..et leur dit que maintenant je suis a michel vue que mon pere a donner son accord ..a michel de mavoir comme sa femme ..ses 2 copains me mate il me sourit et je fait de meme..je les voie partir dans la chambre tous les 3 ..michel et moi continuons a parler avec mon pere de son copain mon pere insiste vraiment pour que lon aille voire son copain ..je lui dit a nouveau que demain promit michel et moi y allons le voire apres quelques minute je voie mon frere revenir dans le sallon et me faire signe ..tu viens dans la chambre je regarde michel et il me dit vas si ..donc jobeie je me leve et je regoins mon frere et ses 2 copains güvenilir canlı bahis siteleri dans notre chambre que nous partageons il sont assi tout les trois ils me sourit ..et mon frere me dit il veulent te voire toute nue ..la vache mon frere est en train de dire a tout ses copains que michel la autoriser a me faire voire nue a tout ses copains.. il ne perd pas de tempt ..japel michel car ses 2 copains sont des voisin de la maison da coter je conait bien les parents et leur soeur de 17 ans avec qui je parle beaucoup..michel arrive et je lui explique ce que mon frere veut et je lui dit ses sont des voisins da coter il 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michel ..michel me demande de me lever et de mettre mes haut talons se que je fait ..alors la. la vache je suis une vrai bombe .. je suis fine alors avec ma nuisettes il dit au 3 garcons de se lever je traduit toujours ..ils se leve tous .et la michel me dit denlever ma nuisette je que je fait je fixe les 3 garcons dans les yeux et apres quelque seconde ..je prend le bas de ma nuisette et je l enleve tout doucement je voie le regardsdes garcons il ne dise rien il mate c est tout et la je suis nue devant eux ..sur mes hauts talons dejat que je fait 1 m76 je vous dit pas la la belle fille que je suis michel me dit de me retourner je le fait michel de mit de maprocher deux je le fait il on a 30cm de moi je sent leurs soufle sur moi je peut vous dire quil respire fort et vite il son si ecxiter de me voire comme sa ..et pour finir michel me ditt de marcher dans la chambre comme sa ..nue et sur mes haut talons ..sa me fait droles detre nue maintenant devant les copains de mon frere ..mais je sait que sa plait a michel michel me dit remet ta nuisette et enleves tes talont haut jobeie ..apres un moment mon frere güvenilir bahis şirketleri dis a ses coapins aller on sort dehors il me mate encorre .. et sent vont ..moi je suis toujours dans la chambre avec michel ..je suis en nuisette transparente ..assise sur mon lit ..la porte de la chambre est ouverte mon pere passe devant ma chambre pour aller dans la sienne il jette un coud oeil en passant michel le voie et moi aussi ..il vas dans sa chambre et moi je met le drap sur mes cuisse pour quil ne voie pas ma chatte ni mon cul car la on voie tout quans je suis asise ..je dit a michel tu crois quil a vue ..michel me dit je ne ses pas ..michel me tire le drap et la je me retrouve la chatte a lair et mon cul aussi je dit tu est fou mon pere vas ressortir de sa chambre ..et il vas me voire entierement nue vue que ma nuisette est si transparente et courte …je regarde toujours michel il est debout en face de moi je sent mon coeur battre plus vite ..le mondre bruit qui viens de sa chambre me fait peur .si il sort la il me voie nue et il voie tout ..michel ne dis rien la vache jai peur ..je regarde toujours michel .et je lui dis stp cherie pas encorre donne moi du tempt ..je tes promit de tout te donner mais la ses mon pere michel me dit ok sa serat pour plus tard je lui sourit et je le remercie de tout je lui dit je te promet de le faire si sa te fait plaisir michel me remet le drap sur moi je suis contente ..2mn apres mon pere sort de sa chambre il passe devant ..il voie mes seins bien sur mais il les a dejat vue tout a l heure avec son copains il dit a michel viens parler avec moi dans le sallon il repart avec michel moi je me r habiile normalement et je regeoins michel et mon pere dans le sallon bientot la suite

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Une terrible aventureJe m’appelle Virginie, j’ai 31 ans, je suis mariée depuis 7 ans et je suis maman d’une petite fille de 4 ans. Je mesure 1m69, je suis brune aux cheveux courts au carré et sans fausse modestie, je suis assez jolie, si j’en juge par les regards insistants qui suivent mon passage quand je marche dans la rue. J’ai en outre fait une (courte.) carrière de mannequin. Nous habitons Paris, et je connais mon mari (qui a 34 ans) depuis 13 ans et nous nous aimons passionnément. C’est le premier homme que j’ai connu et ça a été le bon. Bref, nous sommes un jeune couple heureux et sans histoires.Mon mari est cadre dans un groupe international spécialisé dans la construction de sites industriels, il est promis à une carrière des plus brillantes. Il y a quelque temps, nous avons été invités à une soirée élégante par un de ses clients qui était sur le point de conclure un contrat de très grande ampleur avec mon mari. Si ce projet se réalisait, mon mari serait propulsé au conseil d’administration de l’entreprise… son désir le plus cher.Pour cette soirée et pour faire honneur à mon mari, je décidais de m’habiller très élégamment. J’avais opté pour une robe noire en satin très moulante, arrivant sous le genou et fendue jusqu’au milieu de la cuisse et avec un décolleté en V très profond dans le dos, le devant étant un ras du cou que j’ornais d’un rang de perles. C’est dans toute ma garde-robe, la seule tenue vraiment sexy, même si j’ai horreur de ce mot. Le regard que me lança mon mari quand il me vit sortir de la chambre ainsi vêtue était empreint de tendresse et de reconnaissance. Il appréciait, je crois, que j’ai compris sans qu’il m’en parle que mon élégance, ma beauté et ma distinction (ce sont ses mots.) le rendraient plus fort pour mener à bien sa négociation. Je lui souris, heureuse de contribuer, ainsi, modestement à son succès. Et, en effet, ma tenue plût visiblement beaucoup au client de mon mari qui n’hésita pas à me complimenter plusieurs fois au cours de la soirée mais surtout à me jeter des regards furtifs qui en disaient long sur l’attrait que j’exerçais sur lui. Il est vrai que cette robe mettait vraiment en valeur mon corps, ma poitrine aux volumes sensuels, ma taille extrêmement fine, mes reins cambrés, la courbe de mes hanches et mes fesses bien rondes. Le tissu élastique était si moulant qu’il ne permettait pas le moindre sous-vêtement. Etre nue sous mes vêtements est vraiment très inhabituel pour moi. Cette robe de prix m’avait contraint bien malgré moi à le faire, non sans ressentir à chaque fois beaucoup de gêne.Tout au long de la soirée, je fus l’objet de regards insistants des invités, certains n’hésitant pas à me frôler dans la cohue qui s’était formé près du buffet. Les femmes présentes étaient, elles, pour le moins distantes et leur regard dépourvu d’aménité à mon égard. Je commençais à regretter mon audace.Mon mari et son client se retirèrent dans un salon pour discuter de leur projet. En parfaite épouse, je restais près de mon mari tandis qu’ils se mirent à discuter du projet. Je les écoutais attentivement, sagement assise dans le canapé à côté de mon mari.Les regards que le client de mon mari jetait sur moi finirent par me mettre mal à l’aise. Le sentiment d’être déshabillée du regard conjugué au fait d’être nue sous ma robe accrut mon malaise, d’autant plus que la gêne eût sur moi un effet inattendu : Mes tétons se mirent à durcir et pointaient impudiquement sous le tissu tendu de ma robe. Ma honte fût à son comble quand cet homme par son regard insistant m’en fît prendre conscience. Ses yeux détaillaient mes seins moulés dans la robe, il pouvait les détailler pratiquement comme si j’avais été torse nu devant lui. Légèrement en poire et écartés sur les côtés, ils ne sont pas énormes, mais depuis ma grossesse, je porte des soutien-gorge 90 bonnet C. Le contour des aréoles, pas très larges était même perceptible. Je croisais mes bras devant ma poitrine, rouge de honte. Le client me regardait avec un étrange sourire aux lèvres. Nous le quittâmes peu après, pour mon plus grand soulagement. C’était la première fois que je sortais ainsi vêtue pour aider mon mari à conclure une affaire. Intérieurement, je lui en voulais un peu, tant la soirée avait été désagréable pour moi.Quelques jours après cette soirée, mon mari devint de plus en plus nerveux. Il ne comprenait pas pourquoi son client ne voulait plus signer dans l’immédiat. Il se posait beaucoup de questions et devenait invivable tant ce projet lui tenait à cœur. Le stress commençait à le ronger.2 semaines plus tard, le téléphone sonna en pleine journée. C’était le client de mon mari qui désirait me parler en privé et ce, à l’insu de mon mari. Il me donna rendez-vous dans un hôtel car il était de passage à paris. Il me dit que c’était très important et que cela concernait directement mon mari. J’hésitais longuement à y aller sans en parler à mon mari. Finalement, je me suis résignée et je me suis rendue à l’hôtel Bristol juste après avoir conduit ma fille à l’école. Je portais un pantalon de Jersey beige et un pull en mohair blanc avec des mocassins à talons plats.Il m’a accueillie dans le salon de sa suite et avisant ma tenue, il eût une petite moue peu engageante. Interloquée par cette mimique incroyable et si incorrecte, je le suivis néanmoins jusqu’au salon de la suite et là, avant même que je n’ai eu le temps de lui demander le pourquoi de ce rendez-vous, il m’a dit qu’il était prêt à signer le contrat mais uniquement si, en échange, j’acceptais de coucher avec lui. Offusquée, je l’ai giflé sans aucune retenue, et sans ajouter un mot, j’ai tourné les talons et je suis rentré chez moi. Le soir même, mon mari est rentré à la maison dans un état épouvantable en m’annonçant que le projet ne se réaliserait pas. C’est là que j’ai compris que le gars ne bluffait pas. Je me suis sentie responsable de cet échec et, inexplicablement, j’avais honte de mon comportement, honte d’avoir ruiné les projets de mon mari. Lui se sacrifiait souvent pour nous, et là, je refusais d’en faire de même. Toute la nuit, je retournais dans ma tête ce cruel dilemme : J’avais le pouvoir de sauver le projet de mon époux. Le lendemain, en prenant mon courage à deux mains, afin de sauver la situation de mon mari, j’ai décidé de contacter le client, la mort dans l’âme. Je lui ai demandé d’une voix blanche s’il pouvait revenir sur sa décision si j’acceptais sa proposition. J’entendis un bref rire, puis il me demanda de le rejoindre dans sa suite immédiatement. J’allais raccrocher quand il ajouta :- Tâchez d’être plus sexy qu’hier. Mettez une jupe et des bas. et mettez des escarpins à talons. j’aime les longues jambes et les jolies cambrures. Il raccrocha.En proie à des vertiges, je me rendis dans ma chambre telle une automate. Là je choisis un tailleur bleu foncé avec une jupe plissée au dessus du genou, un chemisier blanc en satin, je revêtais des bas fumés auto-fixants, les seuls que je possède, une culotte brésilienne, dont le reflet dans la glace me fît d’avance regretter d’offrir à cet individu le spectacle de mes rondeurs si complaisamment dévoilées et mises en valeur, un soutien-gorge à balconnets qui rehaussait mes seins (dont la tenue naturelle, malgré leur volume, n’avait nul besoin), le tout de couleur Parme. Je complétais ma tenue canlı bahis avec mes escarpins bleu foncé. Incapable de conduire, je pris un taxi pour me rendre jusqu’à l’hôtel. Je subissais le regard interrogatif et intéressé du chauffeur, certainement intrigué par cette jeune et jolie jeune femme mariée qui tremblait convulsivement et qui essuyait sans cesse ses jolis yeux qui s’emplissaient de larmes. Quand je le payais, arrivés devant le hall de l’hôtel, je vis son regard légèrement amusé aller de mon visage défait à ma main ornée d’une alliance. Submergée de honte par ce qu’il devait penser, je quittais précipitamment la voiture pour m’engouffrer dans le hall de l’hôtel. je croisais le regard de quelques passants, étonnés de voir une jolie jeune femme avec les jambes gainées de Nylon sombre en plein mois de Juin, alors que mon visage et mes bras resplendissaient du hâle de mes premiers bains de soleil printaniers Je connaissais le numéro de la suite et l’étage, aussi, m’épargnais-je l’humiliation d’un passage par le concierge de l’hôtel, et pris directement l’ascenseur. Arrivée devant la porte de sa chambre, les jambes flageolantes, je frappais d’une main mal assurée. Il m’ouvrit, après un long moment, comme pour me montrer que j’étais assujettie à son bon vouloir.Il me toisa un long moment dans l’encadrement de la porte, me détaillant des pieds à la tête, s’attardant sur le décolleté de ma veste, sur mes jambes gainées de Nylon sombre puis sur mes pieds cambrés par les escarpins à hauts talons. Il me fît signe d’entrer, s’effaça et me désigna le salon ou il m’avait accueillie la veille. Là, il s’est assis dans le fauteuil, me laissant debout devant lui, mes jambes tremblaient. Nous restâmes comme ça un long moment. Je restais immobile, subissant son regard évaluateur, le rouge au joues. Puis, après un moment qui me parût interminable, j’entendis pour la première fois sa voix, empreinte d’une extrême courtoisie :- Tournez-vous, je vous prie. que je voie votre dos.Lentement, tétanisée par l’étrangeté de la situation, je me tournais de façon à lui présenter le côté postérieur de mon anatomie. Il ajouta :- Otez votre veste. elle cache ce que je veux voir.Tremblant plus que jamais, j’ôtais ma veste et regardant autour de moi je cherchais ou la poser. Il devina ma préoccupation et dit tranquillement :- Posez la sur le tapis. à côté de vous. et remettez vous dos à moi. en vous tenant bien droite.Le silence qui suivit fût un interminable calvaire, je sentais son regard qui devait jauger ma chute de reins, la rondeur de mes fesses. J’avais l’impression de sentir physiquement son regard sur mon corps, comme s’il me touchait. Puis, sa voix retentit à nouveau :- La marque de votre culotte est parfaitement visible pour un œil exercé. jolie forme qui dévoile sans doute bien les fesses.. mais dont la marque sur la jupe est assez disgracieuse. Une prochaine fois. essayez de sortir nue sous votre jupe. vous en tirerez peut-être une agréable sensation. en tout cas. votre mari. ou celui qui sera avec vous, aimera sûrement.J’avais envie de lui hurler que seul mon mari avait le droit de me toucher, mais je n’eus pas le temps. D’une voix calme, il dit :- Otez votre chemisier, je vous prie.Toujours de dos par rapport à lui, je crus défaillir en entendant ces mots. Je restais tétanisée. Le silence avait envahit la pièce. Je poussais un profond soupir, et maladroitement je me mis à défaire les boutons des manches de mon chemisier, puis je dus m’y reprendre à plusieurs fois pour défaire le premier bouton tant mes mains tremblaient. Ma vue se brouillait, j’étais prise de vertige mais je défis enfin le dernier bouton. Je sursautais et je poussais un petit cri quand je sentis deux mains se poser sur le col de mon chemisier. Dans mon désarroi, je ne l’avais pas entendu se lever et se placer derrière moi.Il fît glisser le chemisier sur mes épaules et le fît glisser, le posant près de ma veste. Il caressa de la paume la rondeur de mes épaules avant d’effleurer mes omoplates. Son majeur se posa à la base de ma nuque, juste sous le carré de mes cheveux et descendit le long de ma colonne vertébrale, jusqu’à la ceinture de ma jupe. Je m’étais raidie sous le contact et je tremblais à présent comme une feuille. Sa voix brisa à nouveau le silence :- Tournez-vous, je vous prie.Toujours ce ton suave, cette courtoisie ferme. Je me tournais en fermant les yeux, prête à défaillir. Je sentis un de ses doigts se glisser entre la lisière du bonnet et la chair de mon sein gauche, tout près de mon bras qui restait ballant le long du corps.Le doigt progressa lentement vers le fond du bonnet puis progressa vers le centre de mon buste. Son geste eût pour effet de soulever mon sein et de le faire passer au dessus du balconnet, sur lequel il reposa. Il renouvela l’opération sur l’autre sein, d’un geste froid, un peu comme on dégage un escargot de sa coquille. sans la moindre sensualité.Mes seins reposaient sur les bonnets affaissés. rehaussés. offerts. Leur forme naturelle en poire était accentuée par cette exposition si peu naturelle. Il effleura du bout de son majeur mes tétons et s’amusa à suivre les contour des aréoles minces et roses. Comme l’autre soir, la panique et la honte firent darder mes tétons. Je perçus entre mes yeux mi-clos un sourire dédaigneux. Les larmes coulaient sur mes joues. Sans s’en préoccuper, il dit simplement :- Dégrafez votre soutien-gorge et posez le sur votre veste et votre chemisier. je veux voir la tenue naturelle de vos seins.Réprimant des hoquets de panique, je pliais mes bras dans mon dos pour défaire l’attache. Mes tremblements m’obligèrent à m’y reprendre à deux fois avant que le soutien-gorge ne glisse le long de mon corps. Je le lâchais, en poussant un soupir haletant qui fît doucement bouger mes seins désormais totalement libres.Il approcha alors sa main en coupelle sous mon sein droit, et le fît rebondir ainsi durant un moment qui me parût interminable, à un tel point que mon sein commença à être douloureux. Il dit alors :- C’est bien. les globes sont fermes mais souples. C’est bien. Ils s’échauffent rapidement quand vous êtes émue. comme l’autre soir. voyons leur élasticité. ajouta-t-il, parlant plus pour lui même qu’il ne s’adressait à moi.Mes tétons, effectivement, pointaient sur les aréoles elles aussi gonflées par la manipulation que je venais de subir. Il saisit délicatement un téton entre son pouce et son index et étira le globe vers le haut, me forçant à me dresser sur la pointe des pieds, en grimaçant. Alors, sans se départir de son sourire, il posa sa main sur mon épaule me forçant à reposer mes talons au sol. Mon sein fût alors distendu à l’extrême, irradiant mon buste de douleur. Il relâcha alors le téton brusquement et le sein reprît sa position naturelle en ballottant quelques instants. Je fondis alors en sanglots convulsifs, tant en raison de la douleur qu’à cause de l’humiliation que me causait cet homme qui jouait si froidement avec mon corps qu’il l’aurait fait d’un vulgaire porte-clés. Ignorant mes pleurs, il dit laconiquement :- C’est parfait, vos seins sont très élastiques. c’est important de savoir qu’on peut malmener les seins de la femme qu’on possède. cela fait partie du plaisir qu’on prend à utiliser son corps.. Approchez vous dit-il en attirant le fauteuil et s’asseyant au bord bahis siteleri de celui-ci.Je m’approchais d’un seul pas, sanglotant et reniflant convulsivement, agitée de hoquets qui faisaient bouger mes seins sur mon buste déjà recouvert d’une sueur d’angoisse.Il détaillait mon buste en silence, semblant apprécier ma respiration saccadée qui faisant bouger mes seins. Je bredouillais, complètement perdue :- Je vous en supplie. Laissez-moi. Laissez-moi partir. Je vous en prie.Exactement comme il l’aurait fait s’il ne m’avait pas entendu, il défit d’un geste précis le bouton de la ceinture de ma jupe qui tomba à mes pieds. Sans me laisser un instant de répit, il posa ses mains sur mes hanches et me fît pivoter dos à lui. Insensible à mes suppliques, il posa une main sur mon épaule et l’autre au creux de mes reins, me forçant ainsi à basculer mon bassin vers ‘avant dans une cambrure que je devinais impudique.Je sentais ses mains effleurer le côté externe de mes cuisses, puis suivre le contour de mon slip brésilien qui laissait à nu la moitié de mes fesses. Son doigt se glissa ensuite sous l’élastique du slip et il repoussa le satin jusqu’à l’entre-fesses et renouvela l’opération sur l’autre fesse de façon à dégager complètement les globes fessiers. Tandis que je continuais à le supplier de me laisser, je l’entendis murmurer :- Fesses splendides. globes harmonieux.. Ses doigts palpaient à présent mes globes fessiers comme s’il voulait y imprimer la marque de sa main.- Texture ferme. Vous avez un corps fait pour le plaisir des hommes. pas pour celui d’un seul homme…Ne pouvant supporter ces mots, je secouais la tête de droite à gauche et poussais une longue plainte de désespoir. Je n’eus pas le temps de réagir quand il empoigna l’élastique du slip placé haut de chaque côté de mes hanches. Il le baissa d’un geste jusqu’à mes chevilles. Et de son ton imperturbable, insensible à ma détresse, il ajouta :- Enjambez votre jupe et votre slip. il ne vous seront d’aucune utilité pendant un moment. Tapotant d’un revers de main négligeant, il me fît enjamber le tas informe que composait ma jupe et mon slip.J’étais là, nue, portant uniquement mes bas et mes escarpins. Je sanglotais plus que jamais, le suppliant d’arrêter, en proie au plus profond désespoir. Imperturbable, il s’est levé et a ouvert la fermeture de son pantalon, puis, il s’est approché de moi. Me fixant dans les yeux avec une telle fermeté, que je ne pus soutenir son regard, il me demanda de me mettre à genoux. Tétanisée, incapable du moindre geste, je sentis sa main se poser sur mon épaule, et sous la pression, je fléchis les jambes, pour tomber sur les genoux. Je me suis retrouvée le visage à quelques centimètres de sa ceinture. Là, il a ostensiblement sorti son sexe à demi rigide et le tenant entre son pouce et son index, il l’a décalotté et a commencé à le balader sur mes lèvres. Toujours agitée de sanglots, mes joues littéralement baignées de larmes, je serrais mes mâchoires avec l’énergie du désespoir et je fermais les yeux, mon dernier rempart contre cette odieuse réalité. Je gardais néanmoins dans mon esprit la vision de son membre. C’était la première fois que je voyais un autre sexe que celui de mon mari. Court mais très épais, il était surtout dotée d’un gland très volumineux, d’un rouge très foncé. Maintenant entre ses doigts ce gland contre mes lèvres, il posa sa main sur ma nuque, fermement. Je l’entendis murmurer :- Ouvrez la bouche, je vous prie. ne me rendez pas les choses plus difficiles.J’entrouvris les lèvres sous la pression conjuguée de son gland et de sa main sur ma nuque et son sexe s’insinua dans l’étroit passage. D’un coup de reins puissant il fit entrer sa verge le long de ma langue et bientôt, il envahit ma bouche. Sa queue est rapidement devenue très grosse, butant contre mon palais. Entamant alors un lent va et vient dans ma bouche, je fus contrainte de subir cette pénétration, les larmes coulant sur mes joues, je gémissais, je suffoquais sous l’assaut brutal. Ses mouvements dans ma bouche prenaient de l’ampleur, il se servait de ma bouche comme d’un sexe. Il allait presque à chaque fois buter au fond de ma gorge, m’arrachant des haut-le-cœur. Pour éviter de suffoquer, je fus obligée de poser mes mains contre son ventre pour limiter ses mouvements, et pour reprendre ma respiration, je modulais la pression de mes lèvres le long de sa verge. Tout à coup, il éjacula en me maintenant la tête contre son ventre, son gland au fond de ma gorge. J’ai senti un flot de sperme envahir mon palais et couler dans ma gorge. Une semence épaisse et salée, si différente du sperme de mon mari, le seul que j’ai goûté à ce jour. et encore, très rarement et accidentellement, tant je déteste ça. Là j’ai dû en avaler une bonne partie et il me demanda de continuer à le sucer pour la rendre rigide à nouveau. Comme un pantin désarticulé, je le laissais guider mon visage pour faire glisser sa queue toute molle remplie de sperme dans ma bouche inerte et entrouverte, il prenait plaisir à plaquer mon visage contre son bas-ventre pénétrant ma cavité buccale de toute l’ampleur de sa verge. Puis, il me repoussa légèrement, me maintenant néanmoins le visage près de son bas-ventre, et là, reprenant sa verge flasque entre deux doigts, il la promena contre mes lèvres, mes joues, mon menton et mon nez, les maculant sciemment d’un mélange de sperme et de salive.Les yeux fermés, je sanglotais toujours convulsivement, mes larmes entraînant dans leur flot les traces de sperme, laissant mon visage ravagé, mon Rimmel n’ayant pas résisté à mes pleurs.Visiblement, cette humiliation lui plaisait, sa verge reprenait rapidement vigueur.Dès qu’il eût une nouvelle érection, il se leva et me prenant aux épaules, me fît relever et me poussa pour me mettre à genoux sur le fauteuil et, appuyant fermement sa main en haut de mon dos pour me faire courber en avant, les seins écrasés sur le dossier. Il posa ses genoux entre mes jambes, me fît fermement écarter les genoux et je sentis son gland, toujours guidé par ses deux doigts, se frayer un chemin entre mes grandes lèvres closes. Il me pénétra violemment sans fioritures. Je poussais un véritable hurlement tant la brûlure que je ressentis était vive. Il était d’une vigueur exceptionnelle et je sentais son gland écarter les parois de mon vagin. Il me tenait aux hanches et m’assénait de grands et violents va-et-vient qui m’arrachaient à chaque fois un cri de douleur masqué par ses ahanements de bûcheron. Au bout de quelques minutes de ce traitement, la douleur s’estompa, et littéralement horrifiée, je me suis rendue compte que mon vagin s’était lubrifié, comme si mon corps acceptait ce que tout mon esprit refusait avec la dernière énergie. Abattue, je posais ma tête contre le dossier du fauteuil, entre mes bras. Tout en me baisant, il disait que je n’étais qu’une putain prête à faire n’importe quoi pour son mari. Il avait en partie raison. J’en pleurais de honte, subissant avec des tressaillements de tout mon corps les coups qu’il assénait à mes muqueuses vaginales, essayant de maintenir mon équilibre en m’agrippant au dossier du fauteuil. .Il malmena mon vagin pendant un interminable moment. Il me tenait par la taille. La finesse de celle-ci est telle que ses doigts en faisaient presque le tour. Parfois une main s’égarait le bahis şirketleri long de ma hanche, en soulignant la courbe, puis revenait sur le globe fessier qu’elle enveloppait, palpant la texture ferme de la chair avec brutalité. Ses doigts progressèrent soudain vers le centre de mes fesses, s’insinuant dans la raie serrée qui séparaient mes deux globes fessiers. Son majeur suivait le fond du sillon velouté. Je tressaillis quand je sentis le doigt toucher mon oeillet anal. Il appuya sur les contours de l’anus, comme pour en éprouver l’élasticité. Je tentais de me dégager, mais me plaquant d’une main contre le dossier du fauteuil, son sexe profondément fiché dans mon vagin, Il m’immobilisa. Il préleva un peu de cyprine à l’entrée de mon sexe et la déposa consciencieusement sur l’anneau serré. Je le suppliais en sanglotant. Ignorant ma détresse, il appuya l’extrémité de son index contre le muscle. Le fragile orifice céda, et je sentis la première puis la deuxième phalange investir mon intimité la plus secrète. Il bougeait son doigt dans mon anus en écartant le plus possible le sphincter pour l’assouplir. J’avais très mal, je gémissais, sanglotais, inerte. Il comprît alors que j’étais vierge de ce côté là et que je n’avais jamais pratiqué la sodomie avec mon mari. Son doigt palpait la paroi de ma gaine anale. Il murmura :- Je vais forcer vos reins. votre souffrance et l’offrande de votre virginité anale vont m’obliger à signer avec votre infortuné mari. Je lui dois bien cette compensation. Vous allez être délicieuse. J’en suis sûr.Ignorant mes sanglots de désespoir et mes dénégations véhémentes, secouant la tête en tous sens. mes cheveux collés par la sueur s’emmêlaient devant mes yeux, il caressait ma croupe d’une main enveloppante et évaluatrice. Il dégagea son sexe de mon vagin et j’ai senti le gland brûlant se glisser dans le sillon de mes fesses. Il posa le gland contre mon oeillet anal. Il le guidait d’une main et poussait inexorablement. Je sentis, horrifiée, le souffle coupé, le sphincter jouer et s’ouvrir pour laisser le gland écarter l’anneau pour entamer sa progression. Je sentais le gland progresser le long de l’œillet, millimètre par millimètre, forçant inexorablement mon anus. Je ne voulais pas, le suppliais d’arrêter, mais chaque mot prononcé faisait se contracter mon muscle anal autour du gland qui le distendait, faisant monter de mes entrailles une brûlure insoutenable. Mon souffle se bloquait dans ma gorge, j’étouffais. Mais rien ne l’arrêtait. Son gland avait franchi l’œillet et la douleur s’est faite moins vive. Je soufflais comme durant mon accouchement afin de détendre mes sphincters au maximum. Je sentais le pieu de chair repousser les parois de ma gaine anale, la distendant à l’extrême, jusqu’à ce que je sente son gland buter au fond de ma matrice, son ventre était plaqué contre mes fesses. Sans me laisser un instant de répit, il m’a sodomisé sans aucune douceur. La douleur était très vive, j’avais des nausées et avais envie de vomir. Il a longuement forcé mes reins en prenant bien soins de se retirer presque complètement avant de donner un nouveau coup de rein qui me déchirait. La v******e de ses coups de butoir était telle que j’étais à chaque fois projetée contre le dossier du fauteuil, mes seins ballottaient en tous sens. Chaque coup était rythmé du claquement que son bas-ventre produisait contre mes fesses qui tressautaient. Il prenait soin de faire ressortir son gland de l’anneau me laissant pantelante un instant avant de me labourer à nouveau les reins. Je sentais mes sphincters anéantis, mon anus restait béant sans se refermer même lorsqu’il le libérait complètement. La douleur m’irradiait, me laissant inerte.Lorsqu’il fût sur le point d’éjaculer, il se retira complètement, dans un bruit de succion obscène, il me retourna sur le dos comme une poupée de chiffon, l tête relevée par le bas du dossier. Il m’enjamba et s’assit littéralement sur mes seins et soutenant ma nuque de sa main, mît sa queue dans ma bouche, elle était congestionnée et maculée de tâches de sang provenant de la déchirure qu’il avait fait subir à mes reins. Il éjacula dans ma bouche. Pour la deuxième fois de la soirée, je reçus son sperme épais dans la gorge, mais cette fois, le premier jet passé, il se retira, tenant son sexe à la main. Il le dirigea vers mon visage et je reçus plusieurs jets abondants sur les joues et le menton. Sa jouissance fût interminable. Le sperme recouvrait mon visage, me brûlant les yeux. Il se releva et se rajusta. Il me regardait en souriant. Affalée sur le fauteuil, inerte, les jambes écartées, juste vêtue de mes bas et de mes escarpins, la vulve impudiquement exposée, mes grandes lèvres comme les petites étaient écarlates tant l’irritation avait abîmé la muqueuse. Je sanglotais, le visage maculé de sperme, mes yeux cachés sous mes cheveux en bataille collés sur mon front par la sueur. Il me tendit sa pochette qu’il venait de retirer de la poche de sa veste. Craintive, je n’osais pas prendre le morceau d’étoffe qu’il me tendait. Il dit :- Vous allez essuyer votre visage. Vous rhabiller et partir. J’en ai fini avec vous. Vous avez trois orifices délicieux. j’espère avoir à nouveau l’occasion de les utiliser. Peut-être à l’occasion de la signature d’un autre contrat. Je me levais péniblement, une terrible douleur montait de mes reins pantelants, je remis mon chemisier en reniflant, et j’allais remettre mon slip lorsqu’il me dit :- Laissez votre slip, le contrat que je vais signer permettra à votre mari de vous en payer d’autres. Sauf s’il comprend un jour qu’une femme telle que vous ne doit jamais porter de dessous. des reins comme les vôtres doivent rester constamment accessibles.Le feu aux joues, sanglotant nerveusement comme une gamine punie, je renfilais ma jupe sur mes fesses nues et pris ma veste en filant vers la porte sans un regard pour lui. Je sortis de l’hôtel comme une flèche, bousculant une vieille touriste américaine en sortant de l’ascenseur. Je marchais de longues minutes pour reprendre mon souffle et mes esprits. Chaque pas faisait monter de mes reins une douleur terrible, comme si le sexe de cet homme était toujours fiché au creux de mes reins et continuait à me déchirer. L’air qui s’insinuait sous ma jupe, entre mes fesses nues et le long de ma vulve encore entrouverte apaisait à peine ma douleur. Au bout d’un long moment, je me décidais à arrêter un taxi. Je m’engouffrais à l’arrière, pelotonnée le long de la portière, je donnais mon adresse au chauffeur d’une voix cassée et enrouée. Son sexe n’avait décidément rien épargné, ma gorge comme mes reins et mon sexe allait longtemps rappeler à ma mémoire les outrages que j’avais subi. Arrivée chez moi, je téléphonais à ma mère, lui demandant d’aller chercher ma fille à l’école et de la garder pour la nuit, prétextant une migraine terrible. Je laissais sur la table de la cuisine un mot à l’intention de mon mari m’excusant pour la même raison de ne pas l’attendre. je me dévêtais en hâte et courait dans la salle de bains. Je pris une longue douche pour me laver de tout ce que j’avais subi. Au souvenir de certains passages, je fus prise de nausées et j’eus juste le temps de courir aux toilettes pour vomir. J’enfilais un pyjama de coton et me glissais dans les draps. Je n’entendis même pas mon mari rentrer.Il a signé son contrat le surlendemain et n’a jamais su pourquoi son client était revenu sur sa décision… Mais mon esprit n’est plus jamais tranquille et cette aventure me hante toujours. Cela fait six mois. J’ai peur.

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