Dévergondée

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Big Tits

DévergondéeMa femme est petite blonde, de bons seins et très coincé en ce qui concerne toutes les choses du sexe. Elle ne veut pas me sucer, bien sûr pas de sodomie, tous ça ne plaît pas du tout. Pourtant quand elle se lâche à me raconter ses fantasmes là, on est plus dans la réalité.Alors voilà comment j’ai réussi à dévergondé ma femme. J’ai eu recours à robert mon copain d’enfance, il est grand noir, est surtout il à une réputation de virilité. Ma femme ne connaît pas robert, ce qui est utile pour la réalisation de mon plan. J’ai demandé à robert de rendre visite à ma femme chez moi un matin vers 8 heures, en prétextant qu’il était là sur ma demande en tant que client pour une affaire importante. Comme je suis tête en l’air, c’est très plausible surtout que c’est déjà arriver une fois mais le soir. Le rendez-vous à 8 heures est très important car c’est l’heure où elle est encore au lit et toute nue. Bien entendu, elle est surprise, elle accueil robert en peignoir malgré les 28 °C de cette matinée, le fait entré et me téléphone aussitôt. Je m’excuse d’avoir oublier ce rendez-vous et lui explique qu’elle doit dire au monsieur de repasse demain, que tous les documents seront près. J’insiste sur le fait que l’affaire est très importante, qu’elle doit être courtoise, lui proposer un café et lui faire visiter la maison. Elle explique ça à robert qui profite de l’occasion pour se mettre en colère dire que ce n’est pas sérieux, etc… Ma femme dans ces petits souliers lui propose un café tout en se confondant de plates excuses. Robert l’accepte d’un signe de la tête sans dire un seul mot. Ma femme fonce à la cuisine suivie de robert, évidemment ma femme n’a pas invité robert à la suivre pour pouvoir se changer mais elle ne canlı bahis dit rien de peur de le vexer encore plus. Durant le temps que ma femme prépare le café ils n’échangent pas la moindre parole ce qui rend l’atmosphère encore plus lourde. Robert rompt le silence pour la remercier du bon café. Ma femme lui propose de visité la maison, lui explique que l’entrée est au premier étage : le hall d’entrée, deux chambres, une salle de bain et la cuisinette. Ils descendent au rez de jardin pour découvrir la vraie cuisine, le salon, une chambre et un jardin avec une petite piscine. Et robert qui s’exclame :- Vous avez une piscine, je comprends pourquoi vous avez ce peignoir, elle est magnifique, et en plus vous n’avez aucun vis-à-vis. M’accepter vous dans votre piscine ?Ma femme veut refuser mais ne le fait pas car la situation pourrait enfin devenir supportable. Robert fait un petit sourire de remerciement, ce déshabille complètement devant ma femme qui ouvre de grands yeux mais reste le plus discrète possible (elle m’avouera que robert a un sexe au repos presque comme le mien en pleine érection). Robert se dirige vers elle pour lui retirer son peignoir. Evidemment elle refuse :- Je ne vais pas me baigner ce matin.- Je vous le demande pour vous faire pardonner.- Bon, je reviens tout de suite, commencer à vous trempez.- Et où allez-vous ?- Je vais m’enfiler un maillot.- Il n’en est pas question, je suis bien nu, alors vous aussi, il faut être à égalité.Ma femme n’a jamais voulu sortir de sa chambre nue, c’est pas pour ce montrer à un inconnu et hors de la maison. Devant un refus robert lui dit que nous avons des drôles de manières faire venir des gens alors que rien n’est près pour leur arriver et de même pas faire honneur d’une bahis siteleri baignade. Bref, la pression est montée encore plus haut. Ma femme insiste pour passé un maillot, elle se dirige vers l’intérieur en vitesse. Elle revient une minute plus tard, mais avec le seul maillot que je lui est acheter et qu’elle n’est jamais mis sous prétexte qu’il est trop sexy. Il est composé d’une culotte échancrée sur le devant et derrière qui laisse apparaître une toison blonde peu fournie et la moitié de chaque fesse, ainsi que d’un haut trop petit malgré une sa bonne poitrine. Elle tien à la main un de mes maillots pour robert et lui dit de le mettre de façon à être à égalité. Robert s’exécute, le sexe volumineux pourtant complètement au repos ne tien que difficilement dans son logement. Robert plonge et incite ma femme à en faire autan. Elle se contente de sauter dans l’eau et là c’est un coup de chance, le haut du maillot ne résiste pas, il se retrouve autour du coup de élodie (ma femme). Contrainte de nager jusqu’à la zone ou on à pied pour le remettre en place, robert lui ne perd pas une goutte du spectacle et en profite pour ajouté :- Ne gardez pas ça, vous êtes plus jolie les seins libres.Ce faisant robert sort de l’eau, son sexe sort du maillot par la droite car une semi-érection l’empêche de tenir en place.- Vous voyez d’ailleurs vous me faite de l’effet, et puis il faudrait commencer à coopérer si non je ne signe aucun marché. Maintenant sort de là et a poil ! ! !En disant ça robert c’est mis en colère de telle sorte que ma femme est toute rouge. Elle sort, enlève sa culotte les yeux fixant le sexe de robert qui est maintenant en érection avec les couilles qui pendent. Il ordonne à ma femme de le sucer, comme elle bahis şirketleri se contente de petites caresses du bout des doigts robert l’att**** par les seins pour l’obligé à se baisser la bouche sur cette bite énorme. A contrecœur élodie essai de se mettre la bite dans la bouche, elle parvient à mettre le gland plus deux centimètres en écartant la bouche vraiment a fond. Ne pouvant pas faire le moindre mouvement elle lâche prise sur les ordres de robert.- Allonge-toi jambes écartées genoux relevés que je puisse te sauter, te faire sentir cette bite que tu quitte ne pas des yeux depuis tout à l’heure.Ma femme est paniquée, il s’agit d’un client très important, il à une grosse queue c’est sont fantasme favori mais c’est contre toute moralité, puis cette atmosphère de tentions l’empêche d’avoir une réflexion objective. Son manque de réaction énerve robert qui l’att**** par le bras la met au sol de force lui écarte les jambes et la pénètre de sa langue. Cette opération dure 5 minutes après quoi élodie est détendu, ce que sent bien robert. Il présente son mandrin à l’entrée du vagin de ma femme, le fait allé et venir puis pousse doucement. Elodie est naturellement très large ce qui permet à robert la pénétrer d’une bonne moitié facilement seulement voilà la deuxième moitié s’avère plus dure. D’abord la bite devient plus large vers la base mais surtout le vagin de ma femme n’a jamais reçu un si long mandrin. Elle hurle “doucement, j’ai mal mais c’est bon n’arrête pas. ” Petit à petit robert continue sa pénétration, pour finir de la pénétrer en totalité après 5 minutes. Elodie est en pleine extase sont fantasme se réalise enfin, elle est remplie comme jamais. De longs va et viens s’en suivent et ils ont fini par jouir tous les deux.Le soir quand ma femme m’a tout raconter j’étais aux anges, elle à même demander à ce que je jouisse dans sa bouche.Déjà une deuxième rencontre et prévu entre robert et élodie mais cette fois je serais présent.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Premenons nous dans les bois…

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

Premenons nous dans les bois…-c’est encore loin?.-Non. L’aire est juste à deux cent mètres. Après il y a un petit chemin forestier.La nuit est tombée depuis un moment. Il fait vraiment tout noir. Je suis la silhouette de Julien qui connait parfaitement le chemin. Après le parking nous suivons le sentier sur deux cent mètres quand sur la droite j’aperçois de la lumière à moitié recouverte du feuillage des arbustes. Nous nous frayons un passage entre les buissons hauts et épais lorsque nous rencontrons un groupe d’individus éclairés par une lampe-tempête. Tout de suite je reconnais la compacte silhouette d’une femme de petite taille mais de forte corpulence.Un type vient vers nous nous demandant qui l’on est. Julien énonce son prénom et le type nous laisse passer. Ainsi je vois cette terrible madame Lopes ou en tout cas je distingue ses traits grâce à la lampe posée au pied d’un grand arbre. Avec le gorille devant je compte en tout quatre hommes que j’imagine pour sa protection. -Alors petite salope. güvenilir canlı bahis siteleri Tu nous as rapporté de la chair fraiche à ce que je vois?!… Voyons à quoi il ressemble ton petit copain…Madame Lopes se saisit de la lampe pour me la brandir à la figure.-Oh…oh… quel âge tu as mon lapin ?.-Trente ans.-Oh là là!… je me rappelle de mes trente ans, j’étais déjà très salope à l’époque et depuis… ça n’a fait qu’empirer!.Les quatre hommes se mettent tous à éclater d’un rire gras.Madame Lopes possède effectivement un visage à la fois joli et vicieux. Courte chevelure sombre et des traits de visage lusitaniens. Ce soir elle est entièrement vétue de noir ;d’une jupe courte et d’un manteau de cuir pour l’instant fermé. Elle porte de lourdes chaussures de sécurité aux pieds. Ses larges cuisses appétissantes me font envie. Elle s’en aperçoit.-Qu’est ce que tu regarde petit vicieux? Je te fais bander c’est ça?…Prononçant ces mots elle caresse ses belles cuisses, son güvenilir illegal bahis siteleri entrejambe puis ouvre son manteau de cuir,juste assez pour révéler un malheureux soutien-gorge étouffé par une imposante et très lourde poitrine….tu aime, hein mon cochon?. Si tu fais tout ce qu’on te dit et que tu reste sage, tu y auras peut-être droit… peut-être…Je sens à peine Julien en train de me dégraffer le pantalon. L’un des quatre hommes tient la lampe, les autres se sont éloignés faisant le guet. Ils ont l’air d’avoir tous à peu près le même âge ,autour de cinquante ans. Certains sont barbus, d’autres bedonnants, pour ce que je peux en voir ils ont des bonnes têtes de dégueulasses.Mon acolyte me caresse la raie des fesses. J’adore. J’adore me retrouver dans ces bois en pleine nuit automnale à me faire sucer au milieu de tous ces gens que je ne connais pas. L’air est humide, frais, et il flotte comme une odeur de moisie. Julien commence à me sucer, c’est vraiment une güvenilir bahis şirketleri bonne suceuse, très excercée. Il a dû en connaitre du monde avant madame Lopes.-oui c’est ça suce le bien, ensuite tu lui lècheras les couilles.Ma suceuse s’attarde sur mes boules qu’elle appréçie visiblement beaucoup. C’est manifestement aussi un régal pour les yeux de nos spectateurs, ainsi madame Lopes ne peut s’empêcher de donner des directives.-Oui c’est bien. Toi, tu te tourne maintenant. Julien va te nettoyer le cul. Une concierge ça aime la propreté!.Les rires gras reprennent.Il me bouffe la porte de service tel un mort de faim. Il a vraiment de l’appétit pour ces choses. A un tel régime je ne suis pas loin de décharger.Ca suffit !… Toi. Tu vas prendre ma salope en levrette qui va nous lècher les pompes un par un. Allez ma serpillère, montre que tu sais être au service de ta concierge…Et l’un après l’autre il nettoie avec sa langue les chaussures pas toujours très propres en se tordant d’une douloureuse félicité à chacun de mes coups de rein. Il nous faut jouir deux fois chacun avant de satisfaire notre concierge tellement exigente.-Bien !.Vous êtes deux belles tafioles tout les deux. Maintenant vous allez ouvrir grands vos yeux et regardez !!. Regardez comment des mecs s’occupent d’une femme…

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Martha my dear

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

Martha my dearJe dois à mon neveu une fière chandelle. Durant un mois j’ai été hébergépar celui-ci. Je devais effectuer quelques examens dans un grand hôpitalparisien. Le résultat en fut fructueux. J’en sortis rasséréné. Lamaladie pouvait être gérée. Je n’étais pas à l’article de la mort. Lavie m’ouvrait les bras. J’en eu l’assurance durant ces jours. Le neveuen effet outre sa copine hébergeait une amie de celle-ci. Une brunebelle d’origine argentine, Elle s’appelait Martha et était musicienne.Elle jouait du violon. Elle attendait à la fois une inscription enconservatoire et qu’une bourse lui fut débloquée. Chaque matin nousparodions une sorte de prière pour qu’elle y parvint.Les deux mâles sous le toit étaient sous le charme de Martha. La copinede mon neveu avait du mal à réprimer son agacement voire sa jalousie.Elle en plaisantait ne parvenant à se guérir de ce tourment. On nedompte pas un cyclone. Martha se savait irrésistible. Nous lui savionsun amant et protecteur. Martha avait 23 ans. Lui plus du double. Il eûtpu être son père. Homme marié et bien en cours à l’ambassaded’Argentine, il l’avait fait venir ici tel sa maîtresse. Elle espéraitparvenir par cet étrange mentor. Elle n’en cachait rien. Tantd’innocence et d’effronterie pouvaient se pardonner. En ce deux piècesnous étions un peu les uns sur les autres.Cela requerrait que nous ménagions la pudeur des dames. Martha n’enavait cure qui des fois déboulait toute nue de la salle de bain. Ainsisavais-je le détail de sa croupe, de ses seins et de sa chute de reins.Le supposé mourant que j’étais n’en éprouvait pas moins à ce moment làun frémissement notable de la verge. Cette garce eût ressuscité Lazarelui-même. Je n’ai jamais eu la preuve que le neveu et elle couchaient.Il y eût du temps avant que l’apaisement survint après son départ. Cetremblement de terre avait tout bouleversé et fait perdre les points derepère. Mon neveu crut peu après offrir le gage d’un enfant à sa copine.C’était bahis firmaları le moins qu’il pouvait faire.Martha et moi n’en devinrent pas moins complices le premier jour. Eneffet au contraire des deux autres je goûtais la musique classique.Notamment j’avais à l’oreille la musique des grands chevaux de batailledu répertoire violoniste. Le Brahms était son préféré. Cependant elle neserait jamais une soliste virtuose. Être violon de second rang dans ungrand orchestre parisien lui convenait. Je l’assurais de son talent etqu’elle réussirait. Je devins ainsi son confident. Elle m’avoua quecertains jours les exigences de son mentor lui pesaient. Elle étaitrésolue au plus vite de sortir de l’engrenage. Elle me concéda qu’elleusait des hommes comme d’un moyen.Vous aurez compris que j’étais follement entiché de cette fille. J’enoubliais presque mes soucis de santé. Je tâchais de la rassurer sur cecompte lui en taisant la moitié. Nous dormions en vis-à-vis dans un coindu salon séparés d’un rideau de fortune. Mon matelas à même le solprocurait un bon sommeil. Je lui avais concédé le confort d’un largedivan où je la savais couchée dessus nue. En effet au matinmalicieusement j’écartais les pans du rideau pour m’en assurer. Onpercevait dans la pénombre sa crinière noire, son ronflement et son culqui ressortait au-dessus de ses jambes magnifiques. Je me branlaisdoucement à ce spectacle.Peu après j’allais rejoindre dans la cuisine le neveu pour un café. Jedevais écumer tôt la salle d’attente de l’hôpital. J’y traînais jusqu’àquinze heures. J’étais devenu familier de ce lieu. Je m’y fis toutessortes d’amis, spectres sortis des murs. Au début je n’en menais paslarge. Je m’attendais au pire résultant ds premières ponctions. Peu àpeu cependant on relativisa la gravité du mal. Je passais d’un absolu aurelatif. Du tragique à la plaisanterie. Je renaissais vous-dis-je. Unjour je dis à Martha qu’elle était mon ange et qu’elle me portaitchance. J’avais kaçak iddaa obtenu parfois que nous nous donnions rendez-vous placeSt Sulpice. Elle répétait peu loin avec ces amis.Je n’osais lui dire que je la matais nue dans son sommeil. De toutefaçon rien ne l’obligeait de ronfler ainsi en tenue d’Ève. Jesoupçonnais même qu’elle it exprès. Une garce est souventexhibitionniste tâchant à provoquer, à allumer. Elle eût bien pris queje lui révèle que je me branlais. Elle n’avait pas froid aux yeux. Elleavait le langage cru proféré en son charmant accent. Je crus devoir luiparler cul franchement. Je lui dis la fixant au fond des yeux que jetrompais depuis peu ma femme avec une jeune femme. Je n’avais putotalement renoncer aux performances sportives. Je trouvais dommage quema maladie signifiât un jour la fin de la partie.Elle prit comme de juste cela pour elle. Grossier appel du pied. Je ladraguais sans fard. Dans quinze jours, je m’en retournerais dans monpays. Je maudissais son vieux mentor de la sauter. Je me gardais ausside l’interroger quant au neveu. Cela m’eût chagriné de savoir. Ilm’importait qu’elle m’appartint aussi un court instant. Je devinais dansl’ombre une multitude de rivaux. J’éprouvais cette impressionfascinante. J’avais du mal à concevoir que cette charmante bouillecachât une autre garce. Cette monstruosité était constitutive de soncharme. Avec elle on savait passer après un autre. Elle semblait bienassumer son statut de courtisane.Je n’avais rien à lui offrir hormis une amitié et de la complicité entregredins. Nous convînmes bientôt que mon neveu et sa copine formait uncouple ridicule qui ne durerait guère. C’était j’en conviens peucharitable de se moquer. Ce cynisme nous rapprocha. Nous nous savionspromis à l’enfer plutôt qu’au paradis. Cela sentait le roussi pour moi.Un jour ou l’autre on me ferait payer mes mauvaises manières. Raison deplus de bien s’amuser. Paris en cette saison avec ses ors d’automnem’inspirait. Le romantisme kaçak bahis réclamait du sexe. J’en vins à songer àMartha pour cela.L’initiative vint d’elle cependant. Le prétexte fut d’aller récupérerune partition.Celle-ci était à récupérer en un studio d’ami. Elle en avait la clef. Lelocal était à la limite de la salubrité. Dans ma jeunesse bohème j’avaisété tout autant fâché avec l’hygiène. J’en fis l’observation à Marthamontrant un matelas dégueulasse. Elle rit. J’y crus deviner qu’elle yavait baisé des fois. Soutenant mon regard elle vit que j’en voulaisfaire l’essai. Elle ne protesta pas quand je lui enserrais la taille etl’embrassais. Au contact des lèvres j’eus telle une commotion. Soncontact réagissait au mien tel un arc électrique. Cette fille était unvolcan ce dont je n’avais jamais douté. Tel un serpent se coulant à mespieds elle fut à me sucer bientôt accroupie.Depuis peu j’étais assuré de m’être éloigné de la mort et de toute gravemaladie. Je me croyais conféré une autre et nouvelle vie. J’avais envieavec Martha de célébrer l’aubaine de ma résurrection. J’y mis toute monénergie et mon talent. Je pris pour compliment sincère qu’elle me louade mon bon coup de rein. Cette garce m’offrit sans vergogne son cul. Lasodomie était son truc. D’autres que moi avait du passer par l’autorouteet le tunnel. J’étais endurant. Je pris mon temps. jhe mis un pointd’honneur à expulser mon foutre au petit trou. Nous rîmes. elle selouait que je fus si cochon. Nous résolûmes de recommencer souvent. Elleme proclama : bon coup.Ainsi la fin du séjour fut comme merveilleux. Je le dois à Martha ladivine. Nous avions du mal à cacher aux deux autres notre trop profondeconnivence. Mon neveu notamment me faisait la gueule. Cet imbécilepeut-être se croyait avoir une exclusivité sur elle. Il lui avaitéchappé le caractère vicieux et libertin de celle-ci. Comme une cavalesauvage elle réprouvait tout joug et sentimentalisme à son égard. Ellene demandait aux hommes que d’être bons copains et amants. Un fondsimprescriptible d’angoisse requérait cette forme insouciante. Elle nerépondit bientôt plus à mes messages. Je n’eus plus son numéro puis laperdis de vue tout à fait.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Une soirée pas comme les autres

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

Une soirée pas comme les autresJe m’appelle Myriam, j’ai 19ans, je suis métisse, je mesure 1m71 et je suis plutôt fine 64kg, une poitrine agréable un petit 90b. J’étais en couple avec Tom, un homme de 28ans plutôt mignon mais très volage, il m’avait déjà trompé une fois dont je lui avais pardonné mais il a recommencé et ce coup-ci il avait décidé de me quitter pour elle. Il m’annonça sa décision un mercredi soir. Evidement j’étais dans un état moral désastreux, et je décidais alors de passer la soirée à picolé.Je connaissais un petit troquet dans un petit village hors de ma ville, il était 23h je ne savais pas s’il serait ouvert, je décidais donc d’aller voir. Arrivant dans le petit village je vis de la lumière dans le bar donc je me garer et alla dans le bar. Je rentrais dans le bar, peu de monde, le patron me semble-t-il qui se trouvait derrière le bar, deux homme a une table en train de jouer au carte et un autre au bar en train lui juste de boire. Je me dirigeai vers le bar, monta sur un tabouret et commanda une vodka, que je bu quasiment cul sec, en recommanda une seconde, le patron me servit mais avec un regard interrogateur, l’homme assis au bar lui bahis firmaları me dit « alors la p’tite dame a envie de picoler ce soir », je le regardais et lui dit que oui j’avais envie d’oublier, il s’approcha de moi et demanda au patron de m’en servir un autre et il m’invita à aller à une table dans le coin de la salle, on alla donc s’y assoir et on commença à discuter tout en continuant à nous saouler, il s’approcha un peu de moi et posa sa main sur ma cuisse, j’étais en jupe donc il avait la main directement sur ma peau, il me demanda si ça ne me dérangeai pas, vu dans l’état ou j’étais je m’en foutais totalement, je lui dis donc que non et plus nous picolions plus la main remonter sur ma cuisse et des baisers arrivaient sur mes joues et bouches, un moment donné il me pris par la main et m’emmena vers les toilettes, les deux autres hommes avaient quitté le bar il ne restait plus que nous.Arrivé dans les toilettes il me mit à genoux et sortis son sexe en m’ordonnant de le sucer, je n’avais plus aucune volonté je pris donc son sexe en bouche et commençais à le sucer tout en me faisant insulter de petite salope qui aime les bites, n’étant pas très active kaçak iddaa c’est lui qui avec ces mains guidé ma bouche sur sa queue avec brutalité, ce qui me donnait des haut de cœurs mais il s’en fichait, il était en train de baiser la bouche. D’un coup il me retourna pour me mettre à genoux sur le carrelage froid des toilettes qui n’étaient pas très propre, il releva ma jupe et baissa mon shorty, je n’avais pas envie qu’il me baise mais je n’avais pas assez de force pour lui dire il présenta donc son sexe sur mes lèvres et poussa assez sec pour me pénétrer, n’étant pas très humide je ressentais la pénétration avec douleur mais lui s’en foutais son sexe faisait des allers retours dans ma chatte, je commençais à y prendre plaisir et lui le sentais vu l’état de mon sexe, ce qui lui donnais encore plus de fougues je commençais à jouir mes gémissements était sans retenu, d’un coup la clenche des toilettes se baissa et le patron apparut, non sans être étonné de ce que lui faisait mais plutôt que je me sois laisser faire, sans mots il se mit devant moi à son tour sortis son sexe et me le colla dans la bouche, je me faisais baiser des deux côtés, mon amant de derrière kaçak bahis accéléré ses coups contre mes fesses, sortant son sexe temps en temps pour pousser sur mon anus, jusqu’à s’enfoncer en moi avec une forte douleur mais ayant le sexe en bouche je ne pouvais crier, il y allait avec force mes yeux s’humidifiaient sous mes larmes mais les deux hommes s’en fichaient, il échangèrent leurs places, l’un se remis dans ma bouche et l’autre dans ma chatte et les coups de butoir reprirent, je sentais bien se sexe glissé dans mon vagin, le bruit de succion que faisaient les pénétrations révélaient l’état de ma chatte toute mouillée malgré la douleur de la sodomie vécu juste avant, l’homme qui me pénétrait, éjacula en moi tout en m’insultant lui aussi de petite pute et se retira de moi avant de quitter la pièce, celui qui étant dans ma bouche revint dans ma chatte pour à son tour jouir en moi et de me laisser dans cet état sur le sol des chiottes. Le sperme coulait de ma chatte, bien que je n’aie pas désirée cette situation j’en étais quand même heureuse et j’en avais bien jouis. En sortant des toilettes, je vis que le patron avait fermé le bar et que plus personne n’était là sauf lui qui attendait de m’ouvrir pour que je sorte, je n’osais le regardé humilité par la situation, en sortant il me mit une claque sur les fesses en me disant revient quand tu veux petite salope.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Sexe gay au collège

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Asian

Sexe gay au collègeBonjour, je m’appelle Jean-Maria . Je suis un mec. L’histoire se passe en troisième. Je faisais 1,75m, et un pénis de 19cm. Dans mon collège ( de Montpellier), à la fin des deux heures de sport, dans les vestiaires, je remarquais que je n’avais plus ma montre. Je la cherche partout. Et un autre garçon de ma classe m’aide à la chercher. Il s’appelait Martin. Je le regardait depuis longtemps et je le trouvait pas mal. Celui-ci était petit, il faisait environ 1,50m. Il était très bête, il avait 4 de moyenne. C’est Étonnant qu’il n’aidait, vu que c’était quelque un que je ne parlais pas beaucoup. C’est peut-être parce que personne ne lui parlai dans la classe à part moi. 10 minutes après, je ne la trouvait pas. Le vestiaire était vide, il n’ y avait que mon camarade de classe et moi.Il me dit d’attendre et il sort de son sac ma montre. J’étais content de la retrouver, mais il me dit que pour la récupérer, je devais faire quelque chose. Je comprends pas jusqu’à ce qu’il regarda mes parties génitales : à ce moment là, je me mis a avoir une légère érection. Martin le remarqua et je lui ai dit qu’il pouvait me faire ce qu’il voulait faire de moi. Donc, il m’attache mes illegal bahis bras et mes jambes avec nos ceintures. Ensuite, il s’accrochait son écharpe autour de ma bouche pour ne pas faire de bruit. Il nous cacha et il met toutes nos affaires dans les douches et il ferma la lumière. Il se taisait et il attendait. Deux à trois minutes après, un prof de sport arriva regarda quelques secondes dans le vestiaire si il y avait encore quelqu’un et il ne nous voyait pas. Ainsi, il ferma la porte à clé où il la rouvrira 20 minutes après à la fin des vestiaires. Martin baissa mon jean et il se déshabilla. Je remarquais une grosse bosse à son caleçon, je choquait sur ça. Il s’allongea en caleçon sur moi. Je m’en rappellerai toute ma vie, il est constitué de carreaux bleus et oranges. Et il commença à me lécher le visage et le torse s’abaissant vers vers mon bassin. Il me détacha les mains et je lui détachait son caleçon. Je fut ébloui de la taille, elle faisait environ 26 cm, alors qu’il faisait 25 cm de taille en moins que moi. Il me retourna et m’enfonce son pénis dans mon cul. Je me mis à gémir de plus en plus fort jusque mon cul soit déchiré. Par la suite, il me suça et il fit un 69 un illegal bahis siteleri peu rate. Peu après, la cloche se mit a sonner et il rhabilla car j’étais à bout. Et nous sommes allés en math par la suite. Il prenant sur mon téléphone portable mon numéro de téléphone.Plus tard, comme il était en difficulté en cours, il me demanda des cours de soutien, j’accepte car j’espérais avoir une nouvelle expérience comme celle-ci. Il m’invita chez lui pendant une après midi. Durant ce jour, je pensais que ses parents allez être là, mais il m’annonça qu’ils n étaient pas la, qu’ils travaillaient toute l’après midi, le soir et la nuit. Je fut réjoui. Je lui fit 2 heures de cours. Après ceci, il me proposa de jouer a la console, on y joua 2h30. Par la suite, il me proposa de dormir chez lui. Je refusai car je lui disait que mes parents ne voulaient pas. Il se mit a prendre mon téléphone et a les appelés. Mes parents acceptèrent. Après je lui dit que je n’avais pas de vêtements. Il m’emmena dans son armoire de chambre et il me montra exactement les mêmes vêtements que lui à ma taille des chaussures au t-shirt. Je n’avais pas le choix de refuser. Environ vers 21h30, il me proposa canlı bahis siteleri de prendre une douche. Je lui dit que je n’avais pas de pyjama. Il me dit qu’il dormait toujours en caleçon. Il me passa un de ses caleçons qu’il a acheté a ma taille. A 22h, il partait se laver jusqu’à 22 h 30 où il proposa d ‘aller se coucher. Je lui demande où est le lit, il me pointa du doigt son lit : tu dormira là avec moi, ma mère ne veut pas que tu dormes sur le canapé ou dans son lit, m’annonça t il. J’accepte en jouissant. Sous mon oreiller, je remarquait des caleçons à sa taille sales et mouillés je lui demandait ce que c’était, il me répondi qu’il s’agissait de ses vieux caleçons. Il me les reprends et il me souhaita une bonne nuit. Par la suite, il me proposa de regarder un film de cul. J’acceptait avec joie. il abaissa son caleçon et il se masturbait son engin. Vers 1 heure du matin, je me réveillait en sursaut et je sentit quelque chose dans mon cul. Je regarda et il s’agissait du pénis de Martin. Je lui toucha le cul. Il me fit l’amour. Après je lui proposait de nous mettre cote à cote contre le mur. On s’était rhabillés avec ses vêtements à nos tailles et il nous prîmes en photo : habillé, en caleçon et nu. Il me dit de nous rendormir. Jusqu’à 7 heures, lorsque le réveil sonna, il me fit une pipe pour me réveiller, pour se laver. On prit notre douche ensemble et nous haillons avec les mêmes vêtements jusqu’au caleçon.FIN

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Le bistrot – Chapitre 1

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

Le bistrot – Chapitre 1En attendant que je puisse continuer à traduire la suite des récits postés ici, je vous propose une histoire tirée de mes archives dont l’ auteur est un certain (ou une certaine) Nadi69. Merci à cet auteur.Avertissement : Ce récit raconte la déchéance et la soumission sexuelle d’une jeune fille. Cette histoire peut choquer alors si vous n’aimez pas ce genre de récits, ne lisez pas.Hello, je m’appelle Nadine, j’ai 25 ans, petits seins, mince et mes fesses sont le fantasme de beaucoup d’hommes. En tous cas c’est ce que l’on me dit souvent. De nature soumise et obéissante, (l’un ne va pas sans l’autre) je corresponds, par Internet, avec Maîtresse Marie.Celle-ci me demande de faire des tas de choses sexuelles et d’en apporter les preuves en lui envoyant des photos. Ce n’est pas toujours évident de lui obéir, surtout pour les photos, mais je fais de mon mieux pour la satisfaire.Cette semaine elle m’a ordonnée de trouver un chantier et de me donner gratuitement aux ouvriers, de faire des photos et une description de ce qui se sera passé, puis, de lui envoyer, tout cela, via son e-mail.C’est la première fois qu’elle me demande un truc de ce genre et j’ai une trouille pas possible, me rendant compte des risques encourus et de mon avenir, en acceptant cela. Mais comment ne pas la décevoir si je ne m’exécute pas. Je me suis même demandé si ma Maîtresse n’était pas, en fait, un Maître car, ce genre de chose est un fantasme d’homme en général. Mais voilà, je suis une esclave obéissante et me voilà à la recherche d’un grand chantier.En sortant de chez moi et me dirigeant vers l’arrêt du bus, je dois passer devant plusieurs petits bistrots de quartier, surtout fréquentés par des ouvriers et autres alcooliques notoires. Un de ces bistrots est principalement fréquenté par des arabes et quelques noirs aussi. Comme quoi dans ce genre d’endroit, l’Islam n’a pas vraiment sa place.Il fait assez beau en ce début avril et je me suis habillée courte et légère, un petit sac à dos pour mes affaires personnelles. Au moment de passer devant ce bistrot et comme d’habitude, je me fais « vanner » et « charrier » :- Hé ! Ma jolie ! Vient donc gouter mon sucre d’orge- Ta jupe est trop longue ! On ne voit rien !- A ton âge on prend encore la sucette !Et d’autres « vannes » tout aussi débiles, que les hommes un peu ivres et en groupes lancent aux filles pour les faire fuir. Mais, je ralentis le pas et une idée me vient tout à coup. Et si… Et si, pour plaire à ma maîtresse, au lieu du chantier j’allais dans ce bistrot voir si leurs paroles valent leurs gestes.Une grosse boule me monte à la gorge, mon estomac se noue mais, je sens les muscles de mon vagin se contracter par à coup. Je m’arrête, les quolibets se raréfient et lorsque je me retourne toute tremblante d’angoisse, ils s’arrêtent.Je reviens sur mes pas et sans regarder personne, les yeux fixant le sol, je pénètre dans ce bistrot. Un silence total et impressionnant s’installe au fur et à mesure que j’avance à l’intérieur. Mon ventre n’est plus qu’un gros nœud, ma gorge est tellement sèche que j’ai l’impression de m’assécher complètement et pourtant mon entre-jambe me trahit.- Ma parole !… Mais, je mouille ! Pensais-jeMon angoisse diminue un peu et j’ose lever mon regard vers le bar. Derrière ce dernier se tient un homme assez fort d’une quarantaine d’années qui me regarde l’air méfiant et mauvais.Enfin, après avoir luttée pour, ne pas faire demi-tour et me sauver au plus vite et au plus loin, je parvins contre le bar, enlevai mon mini sac à dos et le déposai à mes pieds. Trois hommes y sont accoudés et me regarde comme une extra-terrestre.- Bon… Bonjour ! Fis-je avec une voix de petite fille- ….Le silence, le plus glaciale de mon existence, me répond. Dans le bistrot, je n’ose regarder personne et le silence est toujours aussi palpable.- Je… Je… Je voudrais…. Je voudrais un café crème, illegal bahis s’il vous plait. Demandais-je toujours avec une petite voix. – Avec beaucoup de crème s’il vous plait ! Continuais-je.J’ai l’impression que ma voix a explosé dans ce silence et pourtant la dernière phrase, je l’ai chuchotée.L’homme derrière le bar me regarde ou plutôt son regard à l’air de m’explorer. J’ai un petit rictus qui voudrait être un sourire qui se forme sur mes lèvres et mes yeux redescendent sur la poitrine de l’homme.Quelques instant encore de silence et d’observation et l’homme se retourne pour faire mon café. Une parole, puis deux, puis trois emplissent le silence derrière moi mais elles semblent être chuchotées.- Que vient faire une jolie fille comme toi dans ce bistrot ? Dit une voix à ma droite.- Surtout avec si peu de vêtement ! Dit une autre derrière moi.- Et avec des fesses pareilles ! Fis une voix très, très proche de moi sur la gauche.En attendant qu’on me serve, j’ai baissé les yeux vers le comptoir et senti que l’homme sur ma gauche s’est rapproché de moi. Je sursaute lorsqu’une main épaisse et forte se pose sur ma fesse gauche et presse celle-ci.Seul, la barrière de tissu de mon short très court et moulant sépare la paume de cette main à la peau de ma fesse. Mon ventre se noue encore et l’angoisse de ma gorge s’amplifie. Mais, je ne me dérobe pas de ce touché osé.- C’est un peu dangereux ici pour une petite salope dans ton genre. Me dit la voix de gauche presque sur mon oreille.- Voici votre café Mademoiselle ! Dit le patron.- Et avec beaucoup de crème. Continue-t-il avec une voix plus forte pour que tout le bistrot puisse entendre.- Mer… Merci beaucoup. Fis-je d’une voix angoissée.L’homme à ma gauche me malaxe la fesse sans plus aucune retenue et tous les clients du bistrot doivent jouir d’un spectacle gratuit. C’est aussi à ce moment qu’une autre main se pose sur ma fesse droite et le bout des doigts glissent entre mes jambes. Les deux hommes sur ma droite se sont rapprochés au point de se tenir contre et derrière moi.Je sens le souffle de l’homme derrière moi me chauffer la nuque et une main s’aventure sur mon sein droit, seulement protégé par un body moulant. Comme, je ne porte jamais de soutien-gorge, mon téton est accessible facilement et ne tarde pas à subir pincement et étirement.Levant mes yeux paniqué vers le patron du bar, je vois ce dernier faire signe aux hommes qui m’entourent et me tripotent d’aller vers les toilettes.Sans aucune v******e mais avec fermeté, je suis entrainée vers les toilettes du bistrot. En fait, c’est l’homme qui me maintient par la fesse gauche qui, uniquement en me tenant celle-ci, me tire vers les WC. Les deux autres hommes suivent. Le bourdonnement des conversations reprend avant que je ne franchisse la porte séparant le bistrot des toilettes.Mon sort ne semble plus intéresser que les trois hommes qui m’entraînent. Quelle erreur de jugement venais-je de faire ! Mais cela je ne le savais pas encore.Celui qui me tient la fesse tout en me poussant vers l’avant, dans le couloir menant aux toilettes, glisse sa main dans mon short et malaxe ma fesse à même la peau cette fois.Je suis poussée sur des casiers de bière qui encombrent ce couloir, un peu sombre et pas très propre. Mon body disparait en moins d’une seconde. Des mains et des langues se collent à mes seins et mes lèvres. Une langue grasse et très humide pénètre ma bouche, pendant que des dents mordillent mon téton.Mon short m’est enlevé aussi rapidement que mon body et c’est en string et baskets que les trois hommes continuent de me tripoter partout. Des doigts s’enfoncent dans mon anus et mon vagin et je me rends compte que mon angoisse se transforme en une jouissance énorme.- Assied-toi petite ! Je vais t’en donner de la crème. Fait un des hommes en me poussant, par les épaules, vers le bas.Les doigts et mains se retirent de mes orifices illegal bahis siteleri et je dois m’assoir sur les casiers de bière. Une bouteille mal rangée dans le casier vient se placer juste sur mon anus alors qu’un sexe se pose contre ma bouche.- Allez ! Suce petite ! Vient boire ton lait !- Ah ! Putain ! Quelle salope cette gamine ! S’écrie une voix.Deux mains ont empoigné ma tête et le sexe coulisse dans ma bouche au rythme que m’impose l’homme. En fait il me baise la bouche. Son sexe devient de plus en plus dur et une vingtaine de va-et-vient suffise avant que je sente son sexe avoir des soubresauts. L’homme place son sexe au bord de ma bouche afin que celle-ci se remplisse de sperme.Mon excitation s’accentue de cette situation.Un doigt vient de pénétrer l’entrée de mon vagin et caresse mon clitoris. La bouteille à l’entrée de mon anus semble vouloir s’enfoncer encore. Mes mains poussent sur, d’un côté une pile de casier de boisson et l’autre sur un mur ****tissant le couloir.- Hé les gars, elle s’est mise une bouteille dans le cul, la salope !- Enfonce-la à fond. Dit l’autre homme qui me tripote depuis le début.Les sons qui sortent de la bouche de l’homme qui se vide dans ma bouche sont entrecoupés d’ordre :- Haaaaaa ! B…Bois…Hoooooo ! Av…Avale ! Haaa aaa !Et à chaque fois un jet remplit ma bouche et j’avale aussitôt. Mon excitation atteint son comble lorsque je me sens soulevée et reposée vivement afin que la bouteille s’enfonçe vraiment dans mon derrière.- Quelle salope ! Elle prend toute la bouteille dans son cul.- Vite, je ne vais pas me retenir plus longtemps. Dit une voix en poussant celui qui finit de se vider dans ma bouche.Il se retire et je reçois un autre sexe bien odorant pour remplacer celui qui vient de me quitter. La situation, l’odeur, la bouteille, les caresses, le sperme qui descend dans mon ventre et ce nouveau sexe dans ma bouche ont raison de moi et c’est un formidable orgasme qui me secoue dans tous les sens.Pendant plusieurs secondes voire deux ou trois minutes, je ne suis qu’un robot qui accepte tout ce qui se présente. Lorsqu’à travers mes yeux embués et mon excitation permanente, je vois que plusieurs hommes ont rejoint les trois autres et qu’ils font la file pour se vider dans ma bouche, je peux enfin me rendre compte de la situation dans laquelle je viens de me mettre moi-même.Assise sur le bac de bière, une bouteille coincée à fond dans mon cul et les sexes défilant et se vidant dans ma bouche sont pour moi une réelle révélation de ma nature profonde. Je peux donc me comporter comme une vulgaire pute à bar, avec tous les risques et en tirer une fabuleuse jouissance.Maîtresse Marie aurait-elle découverte ma vraie nature rien qu’en discutant sur Internet avec moi ?Je me pose toutes ces questions alors que le dernier homme me laisse la bouche pleine de son sperme et que la bouteille de bière dans mon cul commence à se faire douloureuse.Je descends de la pile de bac et cherche mon body et mon short. Je trouve assez rapidement mon short et retire délicatement la bouteille de bière de mon derrière.C’est à ce moment, penchée vers l’avant, dans ma main droite la bouteille de bière que je viens juste de retirer de mon cul et dans la main gauche mon short, que deux mains se posent sur mes hanches, qu’un sexe se présente à l’entrée de mon anus complètement distendu et qu’il me pénètre d’un coup de rein assez brutal.Mon cri de surprise et de douleur est stoppé net par le spasme de ma respiration du à cette pénétration brutale.- Voilà un petit cul comme je les aime. Fait la voix du patron.Il commence à me ramoner les intestins, son sexe étant assez volumineux pour me faire mal; même si la bouteille de bière a élargi mon conduit anal. La sodomie que je subis, fait monter en moi un nouvel orgasme. Je lâche la bouteille, qui résonne sur le carrelage et pousse mon cul vers le sexe qui semble battre tous canlı bahis siteleri les records de vitesse pour me pénétrer.- C’est que t’aime vraiment cela ! Hein Salope ?- Ou… ou…oui,… mon…sieur. Balbutié-je à chaque choc de son pubis sur mes fesses.- T’en fait pas petite, tu vas en avoir pour ton argent ! Il raffermit ses mains sur ma taille et son sexe devint dur comme de l’acier et dans un dernier enfoncement, il me maintient contre lui et je peux sentir chacun de ses jets dans mon ventre. Je perds toute notion du temps et de l’espace pour sentir mon corps secouer par un orgasme sans précédent.Lorsque je reprends mes esprits, je suis allongé en chien de fusil sur le carrelage froid et sale du couloir. Mon entre-jambe est humide de ma jouissance et du sperme suinte de mon anus distendu.Je me relève péniblement et dans un brouillard de larme je cherche mes vêtements. Je trouve mon short à côté de moi et mon body dans le local des toilettes, pendu au bord d’un urinoir sale et malodorant. Avançant vers l’unique évier du local, je m’appuie dessus pour me tenir passablement droite et je me regarde dans un miroir presque sans tain et complètement griffé. L’image que me renvoie ce miroir me met très mal à l’aise car mon visage est ravagé de salive et probablement de sperme. La saleté de mon visage va de pair avec la saleté du local et j’ouvre le robinet pour me rincer la figure.Je remets mon short et mon body mais cette fois l’image que me renvoie le miroir est celui d’une vraie salope. Le pensée que j’ai à cet instant précis est d’espérer que Maîtresse Marie soit fier de moi. Je n’ais évidement aucune photo à lui envoyer.C’est le derrière meurtri et les mâchoires douloureuses que je reviens dans la salle du bistrot. Je n’ose regarder personne et me dirige vers la sortie.- Héla petite ! tu n’oublies rien ?- Je… Je… Dis-je en me retournant et regardant le patron du bar- Tu ne penses quand même pas que je vais t’offrir ton café ?- Heu… Je… balbutié-je en retournant vers le comptoir.Je fais les quelques pas jusqu’au bar sur lequel traîne mon mini sac à dos, dont le contenu est étalé sur le comptoir. Dans un brouillard de larmes et de honte, je cherche mon porte-monnaie que je trouve ouvert et vide.- Je… Je… j’ai plus d’argent, Hoqueté-je.- Ben… je ne vois pas beaucoup de solution pour payer. Fais le patron, parlant assez fort pour que tout le bistrot entende ses paroles.- Je… Je… Je vais chercher… de l’argent… et je viendrai… vous payer. Dis-je avec une petite voix de fille prise en faute.- Donne-moi ta carte d’identité, je la garde jusqu’au paiement. Dit le patron.Puis dans un geste sadique, il prend le bout de papier et lis à haute et forte voix mon nom et mon adresse. Je suis rouge de honte et furieuse en même temps.- Tu vois petite quand on veut jouer à la pute, il faut le faire totalement, sauf que toi, tu le feras gratuitement. A partir de maintenant… Dit-il en laissant en suspend sa phrase.- Mais… Mais…- A partir de maintenant tu viendras ici tous les soirs et tu soulageras ma clientèle. Il faut que le commerce marche. Tu pourras boire autant de café crème que tu veux. Termine-t-il en rigolant.Je sors du bistrot en étant obligée de remercier le patron, pour sa gentillesse de bien vouloir me laisser rentrer chez moi sans payer mon café.Je rentre chez moi et me met sous la douche toute habillée. Je laisse couler l’eau longtemps sur moi avant de me déshabiller et de me laver au savon.Je sors de ma douche et me prépare un repas léger, lorsque la sonnette de mon appartement retentit.Complètement hypnotisée par ce bruit de sonnette, je reste regarder la porte de mon appartement sans aucune réaction. C’est la deuxième sonnerie qui me fait sursauter et je me dirige vers la porte d’un pas hésitant. Je n’attends personne et je ne suis pas dans une tenue pour recevoir des amies ou amis.- C’est qui ? Demandé-je.- Ouvre salope ! Crie une voix.Je comprends que mon cauchemar n’est pas terminé. De peur qu’il n’ameute mes voisins, j’ouvre la porte et c’est deux noirs qui entrent en me poussant. L’un d’eux s’adosse à ma porte et l’autre fait rapidement le tour de mon appartement.A suivre ….

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Petite-fille et fille, perverses ou nymphos ?

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

Petite-fille et fille, perverses ou nymphos ?Chapitre 2 : Laurine à des besoins à assouvir.Le dîner se passe bien, avec néanmoins quelques petits sourire en coin quand l’un de nous se doute à quoi l’autre pense quand, tout d’un coup, on ne se dit plus rien. Puis de but en blanc, Laurine me pose une question.- Papy, tu as une petite amie en ce moment ?- Laurine ! Tu es bien curieuse…- Aller, papy, dis-moi. Tu as une femme pour faire l’amour, te donner du plaisir en te faisant une fellation, ou comme tout à l’heure pour se masturber devant toi ?Elle est bien curieuse pour une toute jeune fille. Je secoue la tête en faisant non.- C’est bien triste papy,dit-elle en se levant et en s’approchant de moi pour mettre sa main sur ma cuisse.- Pourtant tu es gentil, encore bel homme, et d’après ce que j’ai vu, tu as un beau sexe.Ses paroles un peu vicieuses dans sa bouche ont un effet immédiat et le tissu de mon short se déforme sous la poussée de mon sexe qui se redresse.Ma petite fille n’est pas si naïve que ça et semble beaucoup s’intéresser au sexe.Elle soulève sa main pour contempler mon évidente érection.- Tu sais, Papy, ont apprends beaucoup de chose au lycée. Surtout en internat et la nuit.- Vraiment, Laurine… Qu’as-tu appris d’intéressant…- Laurine regarde la porte-fenêtre ouverte derrière moi puis répond.- Pas mal de chose sur le sexe mais… c’était souvent théorique, entre filles, et avec peu d’expérimentation.Elle fait une pause et regardant la bosse dans mon short, elle ajoute en posant sa main sur ma bite.- Tu veux savoir ce que j’ai appris ?- Ça me ferait sûrement plaisir, ma puce. Je suis curieux de savoir comment les cours du soir ont évolués depuis ma jeunesse.- Laisse-moi te montrer, papy.Et elle tire mon short à mes pieds pour saisir ma bite toute raide.- Bon… j’ai appris à faire…ça.Elle bahis firmaları commence à caresser doucement ma bite, puis se penche pour donner un long coup de langue sur mon gland et autour.C’est le bonheur ! Je gémis sans retenu quand sa bouche chaude englobe de ses lèvres mon gland comme pour l’aspirer.Puis elle retire sa bouche et se lève.- Mais…Laurine…- Attends papy, je ferme la porte-fenêtre pour être plus tranquille. J’ai une réputation à protéger et ton voisin me semble un trop curieux. En tout cas il ne se gêne pas pour me mâter quand je bronze près de la piscine. Bon… j’en étais ou déjà…- Tu me faisais une démonstration de ton savoir acquit en cours du soir.Laurine s’agenouille devant moi et caresse ma queue en attente et plus que rigide. Elle l’embrasse partout, de bas en haut en la léchant de sa petite langue sans oublier un cm de peau. Puis elle remplace sa langue par sa deuxième main et branle ma queue en s’attardant particulièrement sur le bout.Après ce préliminaire, elle ouvre sa bouche pour avaler mon gland et le sucer comme une de ses friandises préférées tout en massant la base de ma bite. Je ne sais pas si je vais tenir longtemps car elle sait y faire ma petite-fille. Elle devait être très assidue à ce genre de cours.- OOoooh, Laurine…mon Dieu ! Tu es douée…Laurine branle plus vite ma bite et serre entre ses lèvres mon gland. Je sens mon orgasme qui bouillonne dans mes couilles et ma bite ne va tarder à entrer en éruption.- Laurine ! Je vais jouir ! Retire-toi !Mais ma petite fille ne m’entends pas ou ne m’écoute pas, car elle tient bien ma bite et continue de la sucer quand je crache mon sperme. Elle a un hoquet quand le premier jet frappe sa gorge et tente d’avaler mon foutre i****tueux. Elle a du mal à respirer et du sperme s’échappe dans le coin de sa petite kaçak iddaa bouche. Elle n’arrête pas pour autant de sucer ma queue qui finit de se vider dans sa bouche jusqu’à ce qu’elle se ramollisse et que je repousse sa tête.Elle me regarde les yeux brillant de perversité, lèche ses lèvres de sa langue avant de me dire-Papy…elle est bonne ta bite et plus grosse que celle de mes copains.Moi je suis sur le coup de ma jouissance et je ne peux répondre pour l’instant. Je regarde cette petite fille qui n’était qu’une adolescente il a peu et qui a gardé son visage enfantin, et devant tant de beauté, je me baisse pour l’embrasser et nos langues se sont mêlées pour que je goûte à mon propre sperme.Elle embrasse bien et du coup ma bite se redresse de nouveau.-Papy, t’es une bête de sexe…Plaisante-t-elle en me donnant une tape sur ma queue dressée et en rigolant.-Laurine, tu es incroyable ! Tu suces comme une reine. C’était fantastique.- Merci, papy. Mais c’était vachement bon pour moi aussi. J’adore sucer une bite, l’avoir dans ma bouche et à ma merci.-Tu es une sacrée coquine, Laurine. Je ne me serais jamais douté que tu aimes le sexe à ce point-là. Surtout à ton âge !- Alors…tu me donne quoi comme note pour ma prestation.- 18 sur 20 ma puce.- c’est tout !- Oui, car j’ai envie que tu te perfectionnes et que tu deviennes la meilleure.Elle rit et caresse ma bite songeuse.-J’ai encore besoin de me perfectionner sur quelques travaux physiques. Mais avant j’aimerais que tu me suce ma chatte.- A tes ordres ma puce ! Viens dans ma chambre.Elle n’y va pas, elle court ! Et quand j’arrive, elle est déjà à poil sur mon lit, les cuisses écartée. Une vraie salope ! Elle n’arrête pas de me surprendre.Que c’est beau une chatte de jeune fille, surtout celle de Laurine. Une fleur dont les pétales ne sont pas ouverts, kaçak bahis une rose qui ne demande qu’à être cueillie. Rien que pour moi, son gentil Papy, comme elle a l’habitude de dire.Je plonge entre ses cuisses et le lèche délicatement ses grandes lèvres en les écartant de mes doigts pour insérer ensuite le bout de ma langue et repousser doucement ses petites lèvres humides. Laurine caresse mes cheveux et soupire quand je frôle le capuchon de son clitoris. Avec des petits coups de langue je facilite l’éclosion de son bourgeon d’amour et je suis étonné de voir sa grosseur et surtout sa longueur inhabituelle chez une jeune fille.Quand je le prends entre mes lèvres, je l’entends gémir fortement et elle presse étroitement ma bouche contre sa chatte. Je manque un peu d’air mais sa chatte est si savoureuse que je la laisse faire et je lape maintenant le jus qui commence à couler sur le bas de sa fente de chatte.Je prends son cul à pleine mains et je la dévore comme un affamé, la faisant couiner de plaisir. Quand j’ai ma langue au plus profond de sa chatte, mon nez titille son clito extraordinairement dur et elle pousse carrément de petits cris.- Oui, oui, oui, AAaahhh, papy ! Continue !Je déploie toute mes compétences et je sens son corps trembler sous mes mains. Un vrai régal cette petite, elle a un goût sublime et je vais sans aucun doute devenir accro a sa petite chatte. La chatte de ma petite fille ! Inimaginable il y a 5 jours !Sa chatte se contracte sous mes doigts que je viens d’introduire délicatement, et elle jouit longuement, m’écrasant entre ses cuisses à tel point que je suis obligé de la pousser pour ne pas étouffer.Elle relève ma tête et me regarde amoureusement, la respiration lourde, mais infiniment belle après son orgasme.- Papy, je t’aime. Tu es merveilleux. Tu as toujours su m’écouter et me faire plaisir. Mais maintenant…baise-moi !- Mais…- Baise-moi, réplique-t-elle immédiatement, catégorique.Et je ne suis qu’un pauvre homme, un papy trop bon et trop faible. Alors j’obéis.Phantome

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Handicap2

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

Handicap2Stéphane a tout de même trouvé de quoi s’occuper puisqu’il s’intéresse à l’informatique. Il récupère de vieilles tours aux encombrants des environs, qu’il reconditionne ensuite. Son intérêt pour cette technologie ne date pas d’hier, sa mère aime raconter qu’il a apprit l’alphabet à 3 ans, grâce à un jeu d’éveil électronique. Le seul bémol c’est qu’une fois les 26 lettres citées dans l’ordre, il disait : « Bravo, maintenant tu connais l’alphabet ». Ça faisait rire ses proches, qui ne pouvaient cacher leur admiration, quand sa mère s’inquiétait secrètement. Ne fallait-il pas qu’il fusse stupide pour répéter bêtement et machinalement cette suite de lettre suivi de cette phrase ? A cet âge, les enfants ne font qu’imiter pour apprendre, alors répéter ce que dis un adulte, ou ce que dit une machine… . Stéphane n’est pas un geek, certes il se passionne pour l’outil, mais a le recul nécessaire pour donner davantage d’importance à l’humain. Il perfectionne ses compétences en informatique depuis la troisième ; si bien que ses amis et sa famille lui demande des conseils, voir des services ; à l’image de son oncle, qui souhaiterait voir les performances de son PC augmenter. Il a profité d’un voyage en croisière pour le lui confier, ce qui lui laisse un délai raisonnable pour le remettre sur les rails de la modernité.Il n’a rien d’impératif à faire en cette matinée de début Juillet, mais en traversant les rideaux de sa chambre, le soleil en a décidé autrement. Il est 7h du matin : impossible pour lui de se rendormir. Pas grave : il va en profiter pour arpenter le quartier chinois de la capitale, et dénicher les fournitures nécessaires qui permettront à son vacancier de tonton de ne pas reconnaître son ordinateur en rentrant. Il déjeune, prend sa douche, et loge une bouteille d’eau fraîche, ainsi que son portefeuille et un magazine d’informatique dans son sac à dos, avant de quitter la maison familiale. La chaleur torride interdit le port de tout vêtement long, c’est pourquoi les hommes sont en short t-shirt, et les femmes en mini-jupe/short et débardeur. Il aurait été dommage de rester enfermé : rien de tel que de laisser vagabonder son imagination pour se changer les idées pensait-il. La pensée : c’est ça le véritable paradis ! Personne pour les pénétrer ni les juger, et encore moins pour leur mettre des limites. Affalé sur sa banquette SNCF, il épluche son magazine et entoure les dernières innovations susceptibles de l’intéresser. Son train entre en gare du Nord pour être remplacé par un métro. Lorsqu’il sort de la station Daumesnil, la chaleur a déjà eu le temps d’enfermer suffisamment d’air entre son sac et son dos, pour tremper son t-shirt. Cherchant de l’air frais, il jette son dévolu sur la grande surface spécialisée en informatique, pas encore envahit par la foule. A peine a t-il franchit le seuil d’entrée, qu’un vigile le fouille déjà : plan vigipirate oblige. Dans ce bâtiment l’air est conditionné, tout comme les consommateurs. Des affiches publicitaires, de leur couleurs criardes, hurlent les mérites des tout derniers téléviseurs ; des écrans diffusent en boucle une publicité « vu à la télévision ». C’est dans cette ambiance auditivement polluée qu’il progresse. La première innovation qu’il a entouré est une carte son ; un pc d’expo en est équipé pour convaincre les clients de ses qualités exceptionnelles. Le voici devant : il enfile le casque l’isolant de ce brouhaha, pour finalement le reposer : perplexe. Certes, c’est une carte son de compétition, mais en a-t-il vraiment l’utilité ? Mieux vaut se concentrer sur le PC que lui a confié son oncle.Soudain ! Un claquement familier se fait entendre : est-ce le fauteuil de Mathilde ? Impossible, il le sait bien. Il irait bien là d’où venait le bruit, mais il a tellement peur de voir son souvenir ravivé, qu’il préférera tourner les talons vers le rayon de la mémoire pour y prendre un disque dur, et des barrettes de RAM, bref, de quoi remettre au goût du jour l’ordinateur du tonton. Après un temps de réflexion, il saisit son téléphone._Oui Papa ? T’es au taf ? Oui vite fait : je suis à paname pour l’ordi de tonton, t’as besoin de quelque chose ? Kit de cartouche ok. C’est tout ? Ok ça marche, à ce soir. Le rayon des cartouches d’encre est immense, et rien n’y est véritablement classé. Évidemment : aucun vendeur, et pour ne rien arrangé, l’allée est encombrée par des panières de clés usb en promotion. Concentré à déchiffrer les compatibilités inscrites sur les emballages : le claquement fit son retour._Ah mince…Il se retourne : c’est bien le bruit d’un fauteuil roulant électrique qu’il a reconnu, il est occupé par une femme._Je ne sais pas si je passe là.C’est en s’approchant, qu’il s’aperçut qu’elle ne possédait pas de bras, pas même un moignon. _Je peux vous les déplacer si vous voulez._Oui merci, je veux bien, au moins les deux premiers.Stéphane n’aurait pas pu voir aussi rapidement la nature de son handicap sans la salopette en jean qu’elle porte, puisqu’elle lui laisse « ses épaules » nues ; je les mets entre guillemets, car en en réalité elle n’en a pas : ses trapèzes débouchent sur ses flancs. Son fauteuil dépourvu de cales-pieds lui fait dire que la nature l’a également privé de jambes. Mais au moment où il claque à nouveau, il remarque un mouvement au bout du siège : un pied est posé sur le joystick. Elle possède effectivement des jambes, mais très courtes. Il ne se laisse pas distraire pour autant, même si les yeux bleus de la jeune femme et leurs regards pénétrants piégeraient ceux de beaucoup d’hommes. Il replonge rapidement dans les broches auxquelles sont pendues un tas de cartouches d’encre. _Excusez-moi, mais vous avez vu un vendeur ? _Non. _Et… vous arrivez à vous y retrouver là-dedans ? _Non, pas vraiment._Vous me rassurez, parce que moi non plus. En ce moment c’est la galère pour avoir une auxiliaire de vie, je me suis mis en tête de venir les chercher toute seule, et voilà que je tombe là-dedans._Qu’est-ce qu’il vous fallait comme cartouche ? Je les ai ptet déjà vu_Non, je ne crois pas, j’ai la poisse en ce moment rit-elle. Mais sait-on jamais : c’est pour une epson xp-235_Oui, effectivement vous avez la poisse rit-il, je ne les ai pas vu._Ah ah, et vous c’est pour quelle imprimante ? _Une canon pixma mg 3052_Alors si vous me poussez les deux autres panières, je pourrai continuer à chercher, et qui sait : tomber sur les vôtres. Durant la manœuvre, il prend le temps d’observer cette femme qui doit avoir une petite trentaine d’années. Son visage est jovial, et rien ne vient cacher son sourire, pas même ses cheveux mi-longs._Merci beaucoup lui sourit-elleElle se met à chercher l’une des deux références. Je vous laisse l’imaginer : en salopette, ses flancs dépourvu de bras, avançant son buste pour tenter de déchiffrer les petites inscriptions des emballages._Canon pixma mg 3052 vous dites ? _Oui_Et bien, vous, vous n’avez pas la poisse ; elles sont là. _Merci beaucoup j’arrive tout de suite, j’ai trouvé les epson… la série xp ok… c’est bon les vôtres doivent être… là ! Je vous les apporte. _Ça c’est du travail d’équipe ! Carole enchantée._Stéphane, de même._Oh, mettez les dans mon sac derrière le fauteuil. Vous avez terminé vos achats ? _Non pas complètement, pourquoi ? _Non, c’était juste pour savoir si ça vous dérangeait de passer en caisse avec moi, vu que mon auxiliaire de vie n’est pas là aujourd’hui…, mais prenez votre temps, ou sinon je demanderai à la caissière._Non, pas de soucis, j’ai juste un truc à voir, et j’ai terminé. Vous pouvez venir avec moi, je crois que c’est près de la sortie.Un disque dur externe viendra se rajouter au ticket de caisse de Stéphane, mais avant cela, ils doivent patienter dans la longue file d’attente qui s’est formée aux caisses. Une caissière interpelle Carole._Madame ! Par ici je vous prie ! _Ah, et bien c’est votre jour de chance, venez ! Je n’aime pas en profiter, mais là je ne refuse pas._Dans mon sac à main là, il y a un porte-monnaie, et des billets dedans. Attention, je sais exactement combien il y a dedans rit-elle.Stéphane tend donc un billet à la caissière, puis sa carte de crédit, pour finalement ranger les cartouches de la jeune femme dans son sac. Le vigile jette un regard médusé sur Carole avant de leur ouvrir la porte de sortie ; laissant s’engouffrer une vague de chaleur dans le magasin._Voilà l’inconvénient de la climatisation dit-il_C’est étouffant cette chaleur. En tout cas je me sens redevable Stéphane, vraiment, je ne sais comment vous remercier._Au vu des gouttes qui perlent à votre front, je dirai que si vous n’avez pas encore soif, ça ne saurait tarder, en tout cas, j’ai soif._Ok, très bonne idée, je connais un bar sympa tout près d’ici._Je vous suis. Durant ce court trajet, les passants dévisagent Carole comme si il s’agissait d’un extra-terrestre, sans qu’elle leur prête la moindre attention, mais Stéphane, lui qui parvient à faire abstraction de ses malformations, bout intérieurement en les voyant se dévisser la tête pour la suivre du regard. Lui, préfère s’attarder sur son visage qui est, il faut bien le reconnaître, plutôt jolie. Le bar visé est rapidement atteint, ils s’installent à une table en terrasse, mais impossible pour Carole d’y glisser son fauteuil ; elle se met donc sur le côté pour faire face à Stéphane qui fait de même. Ce sera un thé glacé pour Carole et un jus de pomme pour Stéphane.C’est Carole qui entame la conversation en attendant que le serveur revienne avec leur commande_Tu es en vacances, euh… on peut se tutoyer ? _Oui bien sûr, je suis en vacances pendant un an on va dire, mais c’est un peu compliqué et toi ? _Non, mais je ne travaille pas, enfin si, mais chez moi_Quel genre de travail ? _De la peinture. Pour contrer un éventuel regard béat, elle enchaîne Eh oui, je peins avec ma bouche.Le serveur pose la commande sur la table, Carole approche sa bouche de son verre jusqu’à pouvoir en saisir la paille. _Et toi ? Pourquoi c’est compliqué sans indiscrétion ? _Ben, je devais passer mon concours d’entrée en école d’ostéopathie, mais je n’ai pas pu m’y rendre car mon grand-père a eu la bonne idée de décéder ce jour-là. J’ai bien pensé à la fac, mais je préfère encore trouver un ptit job en attendant. _Ah… Désolé pour ton grand-père. Osthéo ? Et ça t’est venu comment ? _Par hasard ? _Tu y crois vraiment toi au hasard ? _Oui, je crois aux événements hasardeux, après tout dépend de ce qu’on en tire. On se souvient que des idées qu’on a eu et qui ont marchés, on se souvient de leur cheminement dans ce cas, mais c’est rare de se souvenir de toutes nos idées avortés. Donc le hasard y est pour rien, nos actions découlent souvent d’une décision que nous prenons suite à une répétition du hasard._Oui, c’est pas faux, moi j’y crois un peu au hasard quand même. _Ok, et ça t’es venu comment la peinture ? _Un peu par hasard si on va par là. J’ai été scolarisé dans un foyer spécialisé, et un jour on nous a convié à un atelier organisé par l’association des peintres de la bouche et du pied, et j’ai eu une révélation. Enfin un truc que je pouvais faire seule, sans aide, c’était tout nouveau pour moi._Peut-être que si ça avait été un atelier poker, tu serais millionnaire à l’heure qu’il est !_Avec ta théorie du hasard oui, peut-être rit-elle. Mais ça me fais du bien de croire que ce n’est pas le hasard qui m’a faite comme ça. Bref, tout ça ne me dit pas comment tu en es venu à l’ostéopathie !Stéphane commence son explication par sa rencontre avec Mathilde et la clôt à son premier massage. _Ok… Je comprend mieux certaines choses… Avec toi j’ai l’impression que tu fais disparaître le handicap, que tu ne le vois pas._Je le fais disparaître au moment où il peut l’être. En ce moment tu n’as pas besoin d’aide, donc on est deux personnes tout à fait ordinaire à la terrasse d’un café qui discutons. Mais si tu veux que je te parle comme à une demeurée, je peux aussi ah ah._Non, non justement ! Ne change rien c’est parfait comme ça ! Et cette femme tu as eu l’occasion de la manipuler d’autres fois ? Carole est très volubile, et s’exprime avec aisance. Certes, elle ne parle pas avec ses mains, pour mieux comprendre ses émotions et ses intentions il suffit de prendre en compte les mouvements de ses pieds et de ses orteils qui se plient et s’écartent les uns des autres. Ils sont aussi mobiles et agiles que des doigts, sinon plus. Ce détail ne lui a pas sauté aux yeux tout de suite, mais après plusieurs recomptages son pied droit ne comporte que quatre orteils. Idem pour le pied gauche, qui en plus a le majeur et l’annulaire collés entre eux, seul leur bout (au niveau des ongles) n’est pas solidaire. _Oui, à sa demande oui._Si tu ne veux pas en parler, tu n’es pas obligé, je suis parfois un peu curieuse._Non c’est moi qui suis ptet un peu timide sur ça… .Elle m’a demandé de venir chez elle un jour où son kiné était absent, et je l’ai massé, et … un peu plus._Ah d’accord… et tu continu de la voir ? Stéphane lui raconte donc la suite de l’histoire, la robe bleue, les photos, le concours et sa fin tragique._Je suis désolé, je ne voulais pas plomber l’ambiance._Ne t’en fais pas, c’est du passé. _On a tous à faire à elle à un moment donné. Moi, c’était il y a trois ans, ma mère est partie, juste après que je me sois installée dans mon apart’. J’ai longtemps culpabilisé, pour rien, je le sais bien, mais ça reste quand même._Tu avais un rapport fusionnelle avec ta mère ? _Oui plutôt, mon père a quitté ma mère, il n’a pas eu le courage d’affronter plus de choses que ma naissance. Du coup elle a reporté toute son affection sur moi. Mais en grandissant, ça devenait lourd, mais depuis qu’elle est partie, ça me manque terriblement ce côté mère poule chiante._Oui, une môman ça ne se remplace pas. _Surtout un numéro comme la mienne. Elle m’emmenait partout, on sortait beaucoup ! Petite c’était à la piscine, au cinéma, et puis en grandissant elle m’a emmené dans des karaokés, des bars, je l’ai même vu draguer devant moi ! _C’est bien comme ça, tu as appris à draguer en la regardant faire, et tu peux combler ce manque._Avec les mecs ? Ils partent tous en courant! Si, il y a bien des curieux, alors ils viennent, au début y a toujours une tierce avec moi, et quand je vois que ça se passe bien, je lui fais signe que c’est bon, mais le lendemain matin quand mon auxi arrive pour m’emmener aux toilettes, c’est tout de suite moins glam tu vois, donc il ne reste pas longtemps après le ptit déj’._Oui, mais les mecs n’ont pas besoins de ça pour se barrer. _Ah non, ça je sais, parce qu’en plus de la peinture, je suis aussi psy pour auxiliaire au cœur brisé. _Ah elles te racontent tout ? Ça me rappelle l’auxi de Mathilde._Oui tout ! Je n’ai pas besoin de regarder de séries genre les feux de l’amour. Une fois y a même une auxi qui venait de rompre, et pour lui remonter le moral je lui ai proposé d’aller boire un verre, bon, elle n’en a pas pris qu’un, et ben elle a même fini par me rouler une pelle ! _Ah ah, et elle embrassait bien ? _Oui, mais bon je me suis vite rendu compte que hormis les pelles, les femmes ne me faisaient pas plus d’effets que ça._Je n’ai rien d’aussi croustillant à te raconter, désolé._J’espère que je ne te choque pas, c’est l’habitude d’être entre fille ça. Je dois tenir ça de ma mère aussi, elle ne se confiait pas à moi bien sûr, mais je connaissais quand même une bonne partie de sa vie sentimentale en voyant ses amants défiler à la maison ; quand j’étais petite elle était discrète, mais dès que j’étais en âge de comprendre, elle s’est lâchée. _Ça devait être fun. Car chez moi… . _Ils sont vieux jeu ? _Je ne sais pas, c’est à dire que je serais incapable de te dire si ils s’aiment vraiment. _Ça ne veut rien dire, tu as des frères et sœurs ? _Oui, un petit frère._Et bien dis toi qu’ils ont au moins fais l’amour deux fois ah ah. Non, mais je pense que c’est normal moi je voyais les amants de ma mère, mais elle ne me disait rien, c’est normal qu’ils se cachent devant leurs enfants. Est-ce que tu veux un autre verre ? güvenilir bahis _Non merci ça va, et toi ? _Je crois qu’ils font des glaces, tu peux me montrer la carte s’il te plaît ? _Oui tiens. Et tu fais des expos alors ? _Oui avec l’asso souvent, mais cet été c’est calme, j’en ai une la semaine prochaine si tu veux venir. _Oui carrément, et tu peins quoi ? _De tout, j’aime bien peindre des personnages,_Je serais curieux de voir ça_Et bien, si tu veux manger avec moi ce midi, on peut se prendre un truc et aller chez moi, comme ça je te les montrerai. _Oui, avec plaisir_Cool, sinon j’aurai dû attendre ce soir pour manger. La glace c’était plus pour tenir la journée. Tu cherches du boulot c’est ça ? _Oui, pour la rentrée, là, je vais profiter de l’été._Oui, je comprends. En tout cas si ça t’intéresses, sache que je cherche des auxiliaires de vies_Je prend note, mais je ne sais pas si je saurai capable de faire ça._C’est comme tu veux, je ne force personne, mais ce n’est pas très difficile et je suis très pédagogue. En plus, on se rendrait service mutuellement, toi car ça t’occuperai et tu gagnerai un peu d’argent, et moi, car en ce moment c’est la galère, j’ai personne le midi souvent ; heureusement ils arrivent toujours à trouver quelqu’un pour le matin et le soir, mais un jour je vais dormir sur mon fauteuil. On y va quand tu veux, il y a un resto sympa tout près d’ici qui fait à emporter. Prend ma carte, je te l’offre, fais un sans contact.Stéphane règle la commande au comptoir, et les voilà parti pour le fast-food. C’est encore Carole qui paient, elle y tient ; le repas accroché à son fauteuil ils se dirigent maintenant vers son immeuble : un vieil homme en sort._Bonjour Carole comment vas-tu ? _Bien, et vous Mr Doumergue ? _On fait aller, par cette chaleur.Ils pénètrent dans le hall_C’est mon voisin, il est super gentil, il a perdu sa femme l’année dernière, depuis il vient souvent me voir, on papote, on mange ensemble parfois, et pour ne rien gâcher, il cuisine bien.Elle pianote sur son téléphone portable fixé à l’opposé de son joystick, et sa porte d’entrée s’ouvre dans un grognement mécanique. _Entre derrière moi, elle est censé se refermer toute seule, mais je préférerai que tu vérifies si elle est bien claqué. La domotique est fiable ce jour-là. Stéphane découvre cet appartement, qui il faut bien le dire est décoré avec goût : des tableaux signés C.L ornent les murs._Ils sont magnifiques ! La danseuse là, c’est… _Elle a été vendue trois fois, ce n’est pas l’original, je l’ai refaite. _Ça ne m’étonne pas. Je suis incapable de faire ça avec mes dix doigts moi. _Tu as d’autres dons. Tu ne vas quand même pas garder ton sac toute la journée ? _Non, mais il colle tellement, j’appréhende le moment où je vais le retirer tu vois._Oui on est trempé, tu peux retirer ton t-shirt si tu veux et te passer un coup de gant dans la salle de bain, c’est la première pièce à gauche dans le couloir. Et ramène m’en un aussi s’il te plaît, si tu peux m’en passer un coup, je t’en serai infiniment reconnaissante. Stéphane se débat avec son t-shirt, qui une fois retiré est étendue sur le rebord d’une fenêtre. Il se rince ensuite dans la salle de bain, d’où il ramène un gant pour le passer au visage de Carole, qui s’y frotte en bougeant sa tête pour se rafraîchir à sa convenance._Tu peux m’en passer partout ou tu peux, le cou les épaules, même les pieds hein, n’hésites pas.En passant à « ses épaules », il fit tomber la bretelle de la salopette, laissant la poche centrale tomber, et sa main descendre très bas. Lorsqu’il s’en aperçut, il remit immédiatement la bretelle en place._Je suis désolé._Ce n’est pas grave, je ne t’en veux pas, elle ne tient pas bien de toute manière.Il continue de mouiller la jeune femme, en passant sur ses flancs, là où devraient être le haut de ses bras. Une fois le gant passé des deux côtés, il le remouilla pour rafraîchir ses pieds en le passant entre les orteils du pied droit, puis lorsqu’il passa au gauche, il sentit les deux siamois au travers de son gant. Il suffirait certainement d’une petite intervention chirurgicale pour les libérer. Ses petits pieds ronds ne dépasse guère le 32 en pointure. Les jambières de sa salopette sont repliées sur elles-même, il se permet d’y glisser sa main gantée : en la remontant, à sa grande surprise il ne sent pas de genoux, mais un énorme bourrelet faisant tout le tour de sa jambe. _Merci ça m’a fait du bien, il fait décidément trop chaud, je crois que je vais me changer, je vais sortir de mon fauteuil, mais je n’ai pas besoin d’aide pour cela, je me débrouille seule ne t’en fais pas. Stéphane la regarde faire : elle descend son fauteuil au plus près du sol puis se hisse au bout de son assise dans un mouvement qui trahit une impossibilité pour elle de plier ses jambes. Elle est désormais assise par terre, traîne ses fesses pour faire demi-tour, et se lève en s’appuyant sur son fauteuil. _Est-ce que tu peux aller dans ma chambre ? C’est celle de droite, dans le placard porte de gauche il y a une nuisette noire, tu me la sors, et j’arrive, tu seras gentil.Un espèce de support avec des crochets encombre la pièce, il doit certainement permettre à Carole de peindre pensa Stéphane. Il en est à sortir la nuisette du placard quand Carole entre dans la pièce en se dandinant comme peuvent le faire les manchots sur la banquise. C’est la première fois qu’il la voit debout, et sa petite taille l’impressionne : elle ne mesure pas plus d’un mètre. L’amplitude de ses mouvements fut telle que ses bretelles ont toutes deux glisser ; il se précipita pour les lui remettre juste avant que la poche ne tombe et libère complètement ses seins. En attrapant la première bretelle de sa salopette, et puisque aucun bras ne pouvait le cacher : il put apercevoir le côté de son sein, qui lui sembla généreux, même s’il ne put en deviner la forme, car la poche le recouvrait encore. Interrompu par Carole, il ne put mener ce sauvetage de pudeur à terme._Non, c’est gentil, mais laisse, je vais la retirer de toute façon, reste dans le couloir, il m’arrive de tomber en retirant cette salopette rit-elleLe fameux support lui sert en réalité à s’habiller et se déshabiller. Il l’attend donc dans le couloir, mais elle n’aura pas besoin de son aide et ressortira vêtue d’une nuisette noire. N’y voyez là aucune provocation de sa part, bien au contraire. Quand elle est seule chez elle, Carole préfère rester dans son plus simple appareil, en effet elle s’y sent plus libre puisque aucun vêtement n’entrave ses mouvements. La nuisette lui offre cette sensation de liberté, sans pour autant mettre mal à l’aise son hôte. Mais Stéphane justement, n’est qu’un homme qui ne peut s’empêcher de percer du regard ce tissu transparent qui laisse deviner jusqu’à la forme de sa poitrine ; et d’après ce qu’il peut en voir, elle serait en poire. Ses tétons semblent être dirigés vers l’extérieur et ressortent très nettement si il les regarde de profil. Son ventre : sans être excessivement gras n’en est pas pour autant plat. Le vêtement s’arrête au dessus des chevilles, ce qui empêche Stéphane de deviner la forme de ses jambes._Stéphane, peux tu me mouiller entre les cuisses, je ne t’oblige pas à regarder. Promis ! Après, je ne te demande plus rien de bizarre ah ah_De toute façon si je travailles pour toi, je vais être amener à te faire la toilette j’imagine._Ce n’est pas faux lui sourit-elleElle n’a que deux pas à faire pour rejoindre sa salle de bain. Stéphane reprend un gant et lui mouille les pieds, remonte vers le haut de sa jambe, sent à nouveau ce fort décrochement formé par un bourrelet débouchant sur de larges cuisses ; comparé au bas de ses jambes en tout cas. Il continue son ascension et s’aperçoit que le haut de sa jambe est en contact avec l’autre, et ce, sur quelques centimètres (ce qui doit la gêner lorsqu’elle transpire). Il parvient ensuite à l’entre-jambe de Carole, qui a vraisemblablement réussi à retirer sa culotte. Toujours sous la nuisette, il passe son gant au niveau de ses fesses : généreuses elles aussi, bien que plates sur la partie en contacte avec son fauteuil, lorsqu’elle y est assise._Merci beaucoup, grâce à toi, je serai plus à l’aise. En sortant de la pièce, elle frôle Stéphane._Mais ton short est trempé ?! Tu ne peux pas rester comme ça, retire-le…_C’est que… pour tout te dire, il n’y a pas que le short qui est trempé._Je n’ai plus trop de serviette là, mais j’ai un espèce de tissu que tu peux mettre en pagne. Il doit être sur le tanker dans le salon. Stéphane retourne dans la salle d’eau pour se repasser un coup de gant et enfiler ce tissu. Pendant ce temps, Carole s’assied par terre, légèrement à droite de sa table basse en verre, le dos appuyé contre son canapé et les jambes légèrement écartés et tendues, forcément. Stéphane renvient : _Voilà, tu dois être mieux comme ça non ? Tu veux boire quelque chose avant de manger ? J’ai un tas de boissons dans le frigo, je prendrai la même chose que toi, les verres sont sous le plan de travail et les pailles dans le premier tiroir. Le jeune homme va en cuisine pour préparer les boissons avant de revenir les poser sur la table, sous le regard de Carole. Il est torse-nu et le tissu qu’il a autour de la taille est presque aussi transparent que celui qu’elle porte.De son côté, Stéphane a devant lui Carole : elle est assise dans une position qui laisse entrevoir son bourrelet aux cuisses ; cuisses, qui ne lui semblent pas appartenir au genre humain, mais cela ne l’empêche pas de leur trouver un charme irrésistible. _Bon, et bien à ton futur job !_Oui on peut trinquer à ça, merci._De rien, ça me fait plaisir que tu veuilles bien travailler avec moi, tu m’as l’air ouvert, et puis un homme ça me changera de toutes ses femmes.Elle s’avança, et se pencha légèrement sur sa gauche pour att****r la paille avec sa bouche. _Du coup tu aurais besoin de moi sur quelle tranche horaire? _C’est surtout les midis et les soirs que je vais avoir besoin de toi. Pas tous les jours évidemment, on ne passera pas par l’agence d’aide à domicile, sinon ils vont t’envoyer aussi ailleurs, et mon problème ne sera pas réglé, je te paierai en chèque emploi service. Après si tu n’as pas envie de rentrer à chaque fois, tu peux rester ici, tu amènes ton ordi, y a la télé, on peut même sortir au ciné, . j’ai un quota d’heure pour les accompagnement culturel ! Rit-elle. Durant les contractions de rire de Carole, l’une de ses bretelles tombe dans le vide, dévoilant le haut de son téton. S’en est-elle aperçue ? Stéphane n’ose rien dire : il se contente simplement de baisser les yeux vers son verre._Je n’ai rien contre, au contraire, ça peut-être une bonne façon de s’organiser. Lorsqu’elle se penche pour boire, son sein entre en contact avec la tranche du verre de la table basse : elle a forcément senti que sa nuisette ne le couvrait plus entièrement. Stéphane n’ose pas la remettre spontanément car il ne veut pas lui montrer que cela le perturbe, car cela le perturbe tout de même. De plus, il devine à son attitude que ça ne la dérange pas, et qu’elle en a peut-être l’habitude même, alors il se raisonne pour ne pas créer de malaise._Si tu veux j’ai même des surimis en guise d’apéritif, si tu aimes ça. _Oui pourquoi pas. Il retourne dans la cuisine et en revient avec une petite assiette garnit de ces petites friandises, et un pot de mayonnaise. Il pose le tout sur la table et s’assied face à elle ; une jambe tendu et l’autre repliée sur lui. Il trempe un bâtonnet dans la sauce pour le tendre à Carole, qui a du mal à l’att****r, ce qui les oblige à se rapprocher. En avançant son buste, elle laisse tout loisir à son invité d’observer le spectacle se déroulant sous sa nuisette qui ne cesse de descendre, mais Carole s’en fiche éperdument car il n’a pas l’air mal intentionné ; et puis sa présence la sort tellement de son quotidien. D’ailleurs, si ce sein légèrement découvert n’attirerait pas son attention, elle en serait certainement contrarié ; au point de lui demander de lui remettre sa bretelle. Mais elle préfère en jouer pour l’instant, surtout qu’entre deux bouchées elle aussi se laisse distraire. Stéphane, pour lui tendre son bras est obligé d’écarter sa jambe repliée ; son pagne trop court permet à Carole de profiter de cette levée de rideau sur son intimité pour y abandonner son regard curieux. Elle prend le temps d’observer ce bout de peau posé au sol. Depuis cette découverte, elle a bien du mal à canaliser sa curiosité, et se demande bien pourquoi cette excroissance typiquement masculine l’intrigue tant. Elle ne la trouve pas spécialement esthétique, elle en arrive à la conclusion suivante : c’est la différence qui attire. Si les hommes aiment généralement les poitrines féminines : c’est parce qu’ils n’en ont pas. De son côté Stéphane ne s’aperçoit de rien puisqu’il est davantage concentré sur l’aide qu’il apporte à Carole, plutôt que sur ce qu’il peut voir de son corps, ou elle du sien. A la becquée suivante, elle se redressa un peu vite ; laissant sa nuisette glisser sous son téton. Stéphane eut soudain un regain d’intérêt pour le voyeurisme, et y jeta un regard furtif, mais pas assez pour que Carole puisse l’ignorer ; peu importe elle s’en sentit flatté. Exhibitionniste elle non ! Elle ne peut la relever seule et n’a aucune envie de feindre un mouvement visant à le faire ; et puis ce n’est pas comme si il s’arrêtait uniquement sur sa poitrine, il la regardait dans les yeux lorsqu ils se parlaient. A ce moment là : lui demander de remettre sa bretelle, ou même mieux, si il en prenait l’initiative : ce serait comme gâcher cet instant. Cet instant où elle pouvait être regardée sans être jugée, (un peu comme si elle était nue face à une autres femme), bref se sentir femme ; cet instant où lui : pouvait admirer une femme à l’aise dans cette situation cocasse. Stéphane se sert à son tour, avant de lui tendre une nouvelle bouchée. Carole profita de ce mouvement pour replonger son regard sur le membre découvert un peu plus tôt, avant que le surimi badigeonné de mayonnaise ne pénètre dans sa bouche. La métaphore lui vint immédiatement à l’esprit. Est-ce par hasard si elle est presque nue auprès d’un jeune homme peu vêtu lui aussi, le tout sous une chaleur caniculaire, et en train de manger un aliment qui n’est pas sans rappeler le phallus que des mouvements hasardeux lui dévoile ? Elle ne le pense pas, mais se rappelle de ce que Stéphane lui a dit ; tout ça n’est peut-être dû qu’au hasard ; à elle de décider ce qu’elle pouvait en faire. Stéphane continuait de lui parler, mais le son de ses mots étaient moins clairs. Comment faire ? Quand ? Et si ça le dérangeait vraiment ? Entre deux bouchées, Carole se déhanche pour se rapprocher de Stéphane et lui épargner ces mouvements hasardeux qui mettent en évidence chez Carole, une certaine perversité ; du moins le pense t-elle. Sa bouche s’approche de ce cylindre à l’extrémité badigeonné de mayonnaise, un rictus naît au coin de ses lèvres et dans ce même mouvement : son pied se tend jusqu’à entrer en contact charnel avec celui de son auxiliaire du jour. Contact furtif puisque rompu lorsque Carole se redressa pour avaler son met. Est-ce ce même hasard qui a rendu cela possible ? Carole mesure toute l’ironie de la situation ; elle, qui a changé de position pour ne plus avoir à résister à la tentation, se rend coupable d’avoir toucher le fruit défendu. Elle a beau être ouverte d’esprit, elle ne voit pas d’un très bon œil cette attirance pour son futur employé. D’un autres côté, si il doit se passer quelque chose, elle trouvera plus facilement un ou une autre auxiliaire de vie, plutôt qu’un amant. Ne croyez pas que Stéphane n’ai rien senti de ce contact fugace avec ce pied froid et ses doigts collés entre eux. C’est juste qu’il n’a pas vu cela comme un appel du pied de la part de Carole. Il avale un surimi puis en prépare un autre pour lui porter à la bouche ; son rictus n’est pas revenu, contrairement à son pied qui eut cette fois-ci l’audace de déposer une caresse avant de repartir. N’étant toujours türkçe bahis pas certain de l’intention de Carole, il s’abstint de tout commentaire. Le petit bol de mayonnaise est bientôt vide. Stéphane lui tend à nouveau la main, et regarde discrètement son pied, qui se baisse jusqu’à toucher le sien : ses orteils se plient légèrement avant de glisser vers les siens et de repartir. Cette vision, couplée à la sensation que la caresse a laissé sur son pied, le troubla. Carole s’en aperçut, puisque ce membre qui attirait tant sa curiosité semblait vouloir s’approcher d’elle. Voulant masquer sa gêne, il se défila en se proposant de ranger les entrées et d’aller faire chauffer les burgers au four. Il prit les verres et se dirigea vers la cuisine; Carole eut un autres rictus trahissant sa satisfaction de pouvoir deviner son sexe qui tendait le tissu. Elle se demanda si cette dilatation pouvait être dû à une envie (partagée), où au seul contact peau contre peau mêlé à la chaleur. Dans la cuisine, Stéphane se concentre pour se calmer et faire cesser cette érection fulgurante dont-il ignore la véritable explication. Certes le fait d’être caressé par un pied est une chose dont il n’a pas l’habitude, et ce pied si peu ordinaire, mais attribuable à l’espèce humaine tout de même y est sans doute pour quelque chose. La vision de ce sein magnifique a elle aussi dû préparer le terrain. Il espère qu’elle n’a rien remarqué : sinon ce serait la honte ! Rappelons qu’il est censé travailler pour elle d’ici quelques jours. D’un autres côté, même si il a su rester discret, n’importe quelle femme aurait remonté sa bretelle. Certes, elle ne le peut pas, mais elle aurait pu le demander, et elle ne l’a pas fait, et puis c’est elle qui l’a caressé ; mais pourquoi ? Les burgers dans le four, il revient chercher le bol de mayonnaise et la petite assiette vide. Carole a toujours son sein dénudé, et les pieds écartés, comme si elle cherchait à être le plus stable possible. Ses tibias semblent avoir été collés par un chirurgien débutant, à des cuisses n’ayant pas du tout la même morphologie : en somme ses jambes semblent être l’œuvre du Dr Frankenstein. Le four sonne, de retour en cuisine il doit bien admettre que sa curiosité le pousserait bien à en savoir davantage sur elle, et ce, aussi bien sur le plan psychologique que physique. C’est avec les mains pleines qu’il revint au salon, pour poser le repas sur la table. C’est en se relevant que le tissu entourant sa taille tomba à ses pieds. Il tenta de cacher son sexe en s’asseyant immédiatement en tailleur, et reposa à la hâte le tissu sur son bas-ventre. _Merde ! _Ah ah ne t’en fais pas, regarde moi. Je ne vais pas me formaliser pour ça. Elle en a presque un fou rire. _Oui, mais je ne comptais pas me retrouver nue comme un vers devant ma future employeuse dit-il d’une voix pressé tout en s’assurant que son sexe soit bien caché.Carole, toujours sujet au fou rire, a « ses épaules » qui bougent de haut en bas, si bien que la seconde bretelle tombe à son tour, dévoilant son autre sein. Stéphane leva les yeux à ce moment-là, et le fou rire le prit aussi, sans parler de Carole, qui se laissa tomber à la renverse sur le côté. Ses petites jambes levés vers le ciel laissent s’envoler le dernier secret charnel encore tenu. Une fois en état de se lever, Stéphane remit son pagne autour de sa taille, et se mit au dessus de Carole pour l’aider à se relever, mais le four rire de la jeune femme reprit de plus belle._Mais qu’est-ce qu’il y a cette fois ? sourit Stéphane _Mais je vois tout là… t’es juste au dessus de moi rit-elle à nouveau._Merde, c’est vrai quel con…_Tu sais quoi, s’en est presque ridicule, tu nous voit avec nos deux morceaux de tissu qui ne cachent plus grand chose. Si on reste habillé, je ne vais pas arrêter de rire à chaque fois que ton machin dépassera.Stéphane la regarda avec un regard interrogatif_Je la vois depuis tout à l’heure ! En se moquant de lui_Désolé, je ne savais pas, il fallait me le dire._Ça ne me dérangeait pas ! Dit-elle en éclatant de rire. De toute façon ma nuisette ne tient pas, et elle me gêne au niveau des jambes, donc franchement ce serait plus simple de la retirer, et je suis sûr que nu, nous serions moins tenté de nous regarder au final.Cette franchise détend Stéphane qui acquiesce : dans une situation comme celle-ci, mieux vaut être nu que dans une tenue suggestive. Il détache son pagne, puis ôte la nuisette, qui est désormais tombée sur le bas ventre de Carole avant de l’aider à se relever. Debout, ils ne pourront tout de même pas s’empêcher de s’observer : Carole relookera ses jolies abdos, et Stéphane arrêtera son regard sur son ventre, et sur son sexe, mais sans parvenir à l’apercevoir tant il semble enfoncer entre ses larges cuisses. _Les burgers, je ne peux pas les manger toute seule, il va falloir que tu viennes à côté de moi. Cette mise à nu fait disparaître la distance physique que nous nous mettons tous les uns les autres. Ainsi, ils ont l’impression de se connaître depuis bien plus de trois heures et Stéphane n’hésite pas à coller ses cuisses aux siennes. Carole aspire deux salves de thé glacé, et demande à entamer son burger. Ils mangent ensemble, et comme elle pourrait le faire sur le velours de son canapé, elle laisse tout naturellement son pied aller et venir sur le genoux de Stéphane. Encore une fois, n’y voyez pas une provocation de sa part : ce geste ne cache aucun désir de lui procurer un quelconque plaisir, il s’agit plus d’un mouvement machinale, destiné à se rassurer. Même repus, elle laissa son pied sur la jambe de Stéphane qui a lui aussi terminé de manger. C’est à son tour de glisser sa main sur son pied droit pour y placer ses doigts entre les siens. Ce pied qu’il caresse désormais est si rond qu’il ne sent aucun os ; en revanche sa peau y est douce et froide. _Ça fait du bien, ta main est chaude, j’ai toujours les pieds froids moi.Il prit Carole par la taille pour la tourner vers lui et lui prendre les pieds pour les réchauffer. Ces derniers sont plats et n’ont pas grand chose à voir avec ceux de Madame tout le monde, ça ne l’empêche pas de les masser et de les trouver très souples. Carole, le flanc droit posé sur le bas de son canapé, ferment les yeux. C’est tout bête, mais la douceur du massage lui procure une sorte de chaleur relaxante, elle qui a bien besoin de se détendre… . De son côté, Stéphane ne se lasse pas d’explorer ces petits membres si étranges. _Ça me fait vraiment du bien, tu es très doué. Je ne me rendais pas compte, mais j’ai pleins de tensions même sous les pieds. Ça va ? Ils ne te dégoûte pas trop ? _Non, ça va, au contraire tu sais ce qu’on dit : tout ce qui est petit est mignon. _Oui, mais ils sont tout boudinés, et mes orteils collés, on dirait des pieds de monstres._Tu pourrais te les faire opérer._Oui, mais mes muscles sont collés aussi, donc je ne pourrais plus m’en servir comme je le fais aujourd’hui. Ah oui au dessus du pied là, ça fait du bien…_C’est le but, et moi j’aime ça faire du bien._Mmm… je serai allongé, ce serait parfait_Tu veux que je te mette sur ton canapé ? _Oh oui pourquoi pas, déplie-le, je vais me pousser tu as une manette là.Carole se releva, et s’éloigna pour permettre son ouverture. _Ok, alors là c’est le plus technique, pour me prendre, tu dois mettre un bras entre mes jambes désolé hein, et l’autre derrière mon dos. Voilà, le bras du dos en diagonale, la main le plus haut que tu puisses, et quand tu vas me soulever, ne rigole pas : il va y avoir un transfert de masse, j’ai tendance à partir vers l’arrière, donc prépare toi, parce que j’ai pas trop d’abdos. Et après tu me plaque contre toi, comme un bébé et là tu pourras marcher etc.La main placée entre ses jambes entra en contact avec une chair plutôt molle et chaude. Carole sur son canapé : son bienfaiteur peut reprendre ses soins. Tout en la massant, il vit ses jambes et leurs bourrelets, qui dans cette position ne cachaient plus son sexe. Il massa ensuite le bas de « ses mollets », bien qu’ils n’avaient pas beaucoup de points communs avec de « vrais mollets », puisqu’ils ne font qu’une petite dizaine de centimètres de long, et la peau y est posé sur de l’os. Il caresse ensuite le bourrelet de peau dans le but d’en connaître la texture quand Carole l’interrompt. _Si tu peux me passer du talc à cet endroit s’il te plaît, tu verras, il est dans la salle de bain. Il revient quelques instants plus tard, s’agenouille et soulève le pli pour y mettre le talc. Si vous vous retrouviez devant un plan focus de cette partie du corps de Carole, vous pourriez croire qu’il s’agit d’une cuisse de femme obèse. Sous le pli, la peau est effectivement rouge, le talc devrait prévenir une irritation. Il pétrit ensuite cette masse de peau, de laquelle sortent quelques poils éparses. Ce n’est pas très agréable à regarder, mais pas désagréable à manipuler, il souhaite bon courage à celui qui veut enlever toute tension musculaire à cet endroit, car le muscle est inaccessible, il semblerait que toute la graisse de Carole s’accumule ici. Au fur et à mesure qu’il remonte cette cuisse informe, la peau se raffermitCarole est bien installé, et profite de ce moment privilégié et rien que pour elle. Ses pensées angoissées laissent place à de plus légers songes. Vous savez ? Ce moment entre l’éveil et le sommeil, là où nos pensées deviennent moins rigoristes, sans pour autant perdre notre conscience. Elle sent son diaphragme redescendre, et sa respiration se faire de plus plus profonde. Mais un élément vient perturber ce petit moment de bonheur._Je suis désolé Stéphane, ça me fait vraiment du bien, ça me détend, ce n’est pas la question, mais ça me détend un peu trop._Ah, je vois, tu as envie de te soulager c’est ça ? _Oui… confirme t-elle gênée_Tu as un pistolet ? _Non, j’utilise un siège de toilette, tu as dû le voir dans la salle de bain tu connais le chemin maintenant._Oui.Il revient avec, et y transfert Carole, direction les toilettes. Pour que son intimité soit préservé, il la laisse seule. La cuvette se remplit dans un bruit ayant le don de faire rougir de honte Carole. Mais Stéphane s’en moque, et le silence revenu il la rejoint pour l’essuyer. Carole a le visage fermé, elle a certes l’habitude que quelqu’un le fasse, mais elle a peur que Stéphane change d’avis, et décide, comme les autres de partir. Il saisit le papier toilette._Non, pas tout de suite, le mieux c’est de me rallonger sur le canapé sous une serviette, et de m’essuyer allongé. Stéphane voit très bien que Carole a perdu son naturel joyeux. _Ok, on retourne sur le canapé, mais tu sais, il ne faut pas t’en faire, c’est normal de s’essuyer, moi aussi je le fais, et j’ai parfois honte moi-même de ce que je peux m’essuyer. Lui dit-il le regard frisant. En plus, là il n’y a rien de honteux à essuyer.C’est ce dont avait besoin d’entendre Carole : une parole rassurante qui ramène cet acte à ce qu’il a de plus banal même pour lui. Il la ramena sur le canapé, où elle reprit rapidement ses aises en s’y allongeant. Elle écarta petit à petit ses jambes pour lui faciliter la tâche ; son entre-jambe se découvre peu à peu, aucun clitoris digne de ce nom à l’horizon, seul un trou plus grand qu’un anus accepte de se montrer. Son sexe n’a rien à voir avec ceux qu’il a pu voir jusqu’ici. En lui passant le papier hygiénique, Stéphane constate que la peau y est souple et que cet orifice se dilate facilement. Une fois cet acte d’hygiène incontournable effectué, Stéphane reprend son massage ; les pieds de Carole sont encore tendus par la situation ; ses doigts glissant sur ses petits pieds torturés par le stress n’en sont que plus appréciés. Les yeux de Carole se referment, et son diaphragme redescend à nouveau vers son bas ventre ; Stéphane remonte progressivement vers le haut de ses jambes en effectuant des mouvements circulaires; il constate malgré tout, un relâchement des chairs au niveau des cuisses, avant de poser ses mains sur des hanches profondément enfouis sous leur graisse. Carole a la sensation de couler sur elle-même, son corps n’est plus qu’un vecteur de sensations délicieuses remontant à son cerveau. Stéphane, glisse ensuite timidement sa main entre ses jambes, là où leur peau se rejoignent pour cacher son sexe. Il y sent un liquide visqueux, Carole avait déjà un doute avant que Stéphane ne vienne y poser ses mains, cette certitude la crispe à nouveau, car elle ne veut ni passer pour une obsédée, encore moins pour une fille facile, car après tout, il ne lui fait qu’un massage relaxant, pas de quoi grimper aux rideaux. Pourtant, son corps s’embrase tandis que son esprit est simplement en apesanteur. A ce moment précis, il ne lui viendrait pas à l’idée que Stéphane puisse, lui aussi ressentir un quelconque désir. Elle peut comprendre que la vision de son sein à moitié découvert puisse titiller sa curiosité, et qu’un contact physique ait pu le troubler, mais il s’agissait plus d’érotisme et de suggestivité, que de sexe. Selon elle, aucun homme tel que lui, ne peut trouver ne serait-ce que l’inspiration d’un désir, en regardant son corps si difforme nu. Et vous ? A la place de Stéphane que ressentiriez-vous ? Compliqué, comme question ! Vous seriez peut-être tenter de me répondre qu’à sa place, et même si elle est peut-être fort sympathique, vous seriez bien incapable de dire à vos amis, à votre famille que vous avez (eu) des contacts charnels avec elle. Je ne suis pas là pour vous juger, tout comme vous n’êtes pas ici pour les juger, mais dans cet appartement aucune pression sociale ne viendrait valider un tel argument. Bref ! Carole mouille : c’est un fait parfaitement intégré dans l’esprit de nos protagonistes, mais elle est tiraillée entre la culpabilisation d’être excitée, et son excitation justement. Stéphane a bien comprit cela, étant curieux par nature, il envisage l’éventualité que la situation puisse leur échapper ; cela peut-être d’un point de vue personnel, comme professionnel, une expérience enrichissante ; sans parler du plaisir qu’ils peuvent en tirer. En somme l’excitation de Carole l’a contaminé, c’est ce phénomène bien connu de l’excitation de l’un, entraînant celle de l’autre, qui vous aurez interdit la censure de vos désirs pour elle.Carole tenta de calmer ses ardeurs en se focalisant uniquement sur les sensations que son corps lui renvoyait, quand elle senti quelque chose de chaud traînant sur son pied. Cette chose devenait de plus en plus imposante, ce qui la conforta quand à sa nature et son origine. Plus aucun débat entre sa bonne conscience et sa mauvaise, n’a lieu dans sa tête, laissant ses pensées coupables revenir en un éclair. Chaque caresse de Stéphane raisonne comme une provocation mouillant davantage le pourtour de son sexe, elle décide de lancer les hostilités en provoquant ce membre délicatement posé sur elle. Son pied parvient à le toucher. La situation est clair maintenant. Stéphane caresse son ventre, en remontant vers sa poitrine dont les tétons ont durcis. Carole tente de se relever, aider par Stéphane. Une fois assis l’un en face de l’autre, leur regards se croisent pour ne plus se quitter, et leur deux lèvres se rejoignent jusqu’à s’embrasser langoureusement. La langue de Carole est très mobile, et elle pénètre pleinement dans sa bouche quand la plupart des autres femmes sont bien trop timide pour cela. Le fait qu’au quotidien, Carole utilise beaucoup sa langue et sa bouche suffirait certainement à expliquer l’audace que nous pourrions y voir. Mais elle n’en est pas à son premier baiser, et ce n’est pas son genre de cacher sa timidité bien longtemps. De son côté, elle est frappée par la douceur de Stéphane, qui caresse ses pieds, et sent la pointe de ses seins contre son torse. Son sexe en érection est coincé contre le ventre de Carole, qui, entre deux baisers, pose son regard sur cette verge. Stéphane s’éloigne un peu, Carole en profite pour atteindre son sexe avec l’un de ses pieds. Ce n’est pas la première fois qu’elle touche une verge. Mais elle a constaté que chacune d’entre elles avait sa propre forme, güvenilir bahis siteleri sa propre texture, et même sa propre température, de ce fait à chaque fois qu’elle en découvre une nouvelle, c’est comme si c’était la première. Ses orteils s’écartent pour caresser cette verge, l’explorer, son pied gauche vient à la rescousse pour pouvoir mieux la tenir. Stéphane en est très excité, et caresse sa poitrine, il aime également venir caresser ses flancs à l’endroit où ses bras devraient se trouver, car sa peau y est parfaitement lisse. Il explore de ses mains tout le haut de ce petit corps, ainsi que son visage. _Tu me fais un bien fou, mais moi dans cette position, je ne peux pas faire grand chose…_Toi aussi tu sais._Dans mon lit, je te jure que ce serait cent fois mieux, je pourrai m’asseoir et tout. Stéphane prit Carole dans ses bras, pour la déposer sur son lit médicalisé. A sa demande, son dos est appuyé contre le mûr, et la tête de son lit à été relevé, pour qu’elle puisse se caler confortablement. Elle peut de nouveau se détendre sous les caresses de son invité du jour. Une fois son corps tapissé d’effleurements, elle écarta ses courtes jambes jusqu’à rendre son sexe visible, incitant les doigts de Stéphane à lui rendre une petite visite. Le sexe de Carole ne possède pratiquement pas de poils, ils sont dispersés sur le haut de ses cuisses, comme si la nature s’était trompé sur leur implantation. Carole remua son pied jusqu’à atteindre la verge de son partenaire, ne parvenant pas à bien la saisir, elle décida de venir exciter son périnée, pour lui faciliter les choses, Stéphane se releva légèrement. Leurs deux corps se laissent envahir par des sensations érotiques. Carole sent, au dessus de son pied un périnée gonflé à bloc, et sous ses yeux une verge gorgée de sang. Ils s’embrassent de temps en temps, puis s’observe tout en continuant à solliciter leurs zones érogènes respectives. Stéphane profite de ses bras pour pouvoir en manipuler deux : le sexe de Carole, et l’un de ses seins. Ses tétons sont plutôt imposants, et sont très sensibles à en croire les gémissements qu’elle poussent, à chacune de leur sollicitation. Il poussera même le vice à en mettre un en bouche, l’autre étant dans sa main. Carole n’a jamais été autant sollicité, tous les hommes qu’elle a rencontré jusqu’ici, voulaient seulement passer un moment exotique. Certains dominateurs ont même pu réaliser le fantasme de coucher avec une femme ne pouvant se « débattre ». Loin de là toute idée de viol, bien entendu, il s’agissait juste de l’idée, du fantasme. Stéphane explore son corps, tout comme Carole tente d’explorer le sien avec ses moyens. La main qui est dans son sexe accélère frénétiquement son mouvement, la respiration de Carole lui emboîte le pas, elle sent une force naître en elle, sa puissance croît de façon fulgurante, créant une sorte de douleur de plaisir, son corps ne va pas pouvoir la contenir plus longtemps, toute cette énergie s’échappera quelques seconde plus tard, comme l’eau après la rupture d’un barrage hydraulique,._Ahhhh… !Stéphane ralentit son mouvement, et Carole reprend son souffle, son ventre se gonfle et se dégonfle, y faisant apparaître puis disparaître un pli. _Met moi sur la tête du lit Stéphane s’exécute Merci, donne moi ton sexe ! Stéphane se redresse pour l’approcher de sa bouche. Elle commence à enrouler sa langue chaude autour de son gland, avec une douceur qui l’envoi sur un petit nuage duquel il ne redescendrait pour rien au monde. Pourtant elle retombe une fois, il la lui remet, mais elle retombe, c’est voulu par Carole, qui veut déguster son périnée. Une douce chaleur l’envahit, il ressent même une contraction, mais il se contrôle. Personne n’était encore venu déposer sa langue à cet endroit. Carole retrouve son rictus de satisfaction en observant chez lui tout ce qui peut témoigner de son excitation. Il gémit lui aussi, puis elle le reprend en bouche comme pour l’achever, il se contracte, va pour se retirer, mais est retenu par les dents de Carole, qui désir aller jusqu’au bout. Sa bouche se remplit du liquide séminal, elle continue encore, jusqu’à ce que Stéphane ne puisse plus supporter le moindre frottement sur son membre devenu hypersensible. Stéphane embrassa Carole comme pour la remercier, il posa sa tête sur son sein, et Carole le caressa avec son pied. _Merci ça m’a vraiment fais du bien_A moi aussi tu sais_Je voulais te dire, à moins que ça ai changé quelque chose pour toi, mais pour ce qu’on s’est dit, de mon côté ça ne change rien à ma décision_D’accord. _Il valait mieux que ça se passe maintenant qu’après, car ça aurait changé nos rapports. _Oui, je vois ce que tu veux dire…_Quand tu es au lit avec une fille, ça se passe toujours comme ça entre guillemet, ou c’est parce que je suis handicapé ? _C’est à dire ? _Ben tu cherches avant tout à faire plaisir à l’autre ? J’avais l’impression que tu refusais de recevoir du plaisir de ma part. _Je suis toujours comme ça, j’ai du mal à me laisser faire, mais je me suis quand même abandonné à toi. _Oui, ce n’est pas un reproche au contraire, mais tu l’as fait après que je sois venu. Je cherche juste à mieux te comprendre, je ne te juge pas. _D’accord, non non mais c’est toujours comme ça, j’ai peur de faire mal, ou d’aller trop vite. _Je comprends ne t’en fais pas. Mets ta tête entre mes pieds Stéphane se replace, et s’allonge de façon à poser sa tête pratiquement à ses pieds. Carole lui caresse le visage en douceur, lui, ne pouvant se laisser faire, lui caresse une cuisse. _Tu vois, tu ne peux pas t’empêcher hein ? Laisse moi te faire du bien, profites de ce moment rien qu’à toi, j’ai eu le mien ne t’en fais pas. Carole y tiens, on s’occupe toujours d’elle, certes pour des soins, mais aujourd’hui elle a eu le droit à de véritables câlins, et même plus, alors elle tient à prendre soin de lui. Ils se détendent pendant un moment. Une sonnerie de téléphone se fait entendre._C’est le miens, je sais pas trop quelle heure il est, tu peux aller me le chercher c’est peut-être important. Son téléphone sous les yeux, elle constate qu’il s’agissait de l’agence d’aide à domicile, elle les rappelle. _Comment ça personne pour ce soir ? Je fais comment moi, je n’ai eu personne à midi déjà ! Oui ben, je me doute que si vous m’appelez, c’est que vous n’avez pas le choix. Et bien je vais me débrouiller avec mon voisin  ! Oui c’est ça au revoir ! Elle redresse sa tête, laissant tomber le téléphone sur le matelas. J’en ai marre de cette agence là ! _Ne t’en fais pas pour ce soir, je peux rester. Il prend Carole dans ses bras pour éviter une montée de larme. _Merde, j’ai oublié de leur parler de toi ! Ça pourrait les arranger, je les rappelle.Stéphane n’a plus qu’à envoyer son CV à cette agence, et attendre un entretien. _On est tout collant maintenant, tu veux prendre une douche ? _Oui c’est une bonne idée:) _Les serviettes sur le tanker doivent être sèche maintenant, tu les mets sur la porte et on y va ? _Oui. Stéphane revient pour emmener Carole dans la salle d’eau. Une fois posée à l’entrée de la pièce, Carole se dandine jusqu’à la douche à l’italienne, suivi de Stéphane. Il ouvre le robinet, l’eau froide les crispe dans un premier temps, et une fois tiède, un râle de soulagement s’échappe de leur bouche, le sel recouvrant leur peau séché coule vers le siphon. Stéphane saisit un gel douche à la vanille, en verse une noisette dans sa main, puis masse les épaules de Carole, puis son dos ; il trouve cela très agréable car ses mains glissent sur une pellicule de savons tiède. Carole est aux anges, la température de l’eau est parfaite, et elle se fait masser, d’ordinaire sa douche est rapide avec ses auxiliaires qui doivent enchaîner plusieurs prestations à la suite. Afin de se faire laver le devant, elle se retourne et se retrouve nez à nez avec le sexe de Stéphane. Sa poitrine est délicatement nettoyé, ainsi que son ventre, il se baisse pour en faire de même à son sexe, et ses jambes, pour finir par ses pieds. Il se savonne à son tour, puis shampouine les cheveux de Carole, séchés par la chaleur. Elle en profite que l’eau ait cessé de couler, pour prendre son sexe en bouche, Stéphane en profite pour adoucir l’application du shampooing. Carole avance de façon à « le coince r » contre l’un des murs. Elle s’en donne à cœur joie, car en fonction du degrés de sensation qu’il ressent, il lui tire légèrement les cheveux, ce qui l’excite davantage. Stéphane n’attend pas de jouir pour se retirer. _Tu veux aller plus loin ? _Oui…Stéphane rince Carole en quatrième vitesse, ils se frottent dans une grande serviette, et filent dans la salon. Carole reprend là où elle en était pour faire remonter l’excitation. Stéphane finit par se lâcher et porte Carole sur le canapé dans un mouvement éclair, il saisit dans la foulée un préservatif qu’il a toujours dans son sac. Il lèche à son tour les pieds de Carole, qui les écarte au maximum. Elle ne se sent tellement pas en danger contrairement à ses précédents rendez-vous, ou une incertitude régnait toujours, qu’elle se lâche complètement et s’en remet à lui, elle ne se reconnaît pas, mais elle s’en fiche. Elle profite de ce moment. Stéphane est remonté jusqu’à son sexe, il est moins doux que toute à l’heure, mais Carole apprécie ce dynamisme. Il lui mange littéralement le clitoris, Carole ne peut s’empêcher se se tortiller, Stéphane se relève et l’embrasse tout en enfilant son préservatif. Carole ressent une douleur, puis une sensation de bien-être presque violente envahit son corps. Elle parvient à saisir l’oreille de Stéphane, et la mord légèrement, elle l’embrasse ensuite dans le cou, Stéphane en fait de même, c’est à celui qui parvient à embrasser le plus profondément. Stéphane saisit ses seins, les pétrit, une vague de léger picotement électrique court sur le haut du corps de Carole, en plus de ceux du bas-ventre. Elle ressert son vagin contre le sexe de son partenaire, son excitation monte encore d’un cran, l’orgasme n’est pas loin. Stéphane a descendu ses mains sur ses hanches qu’il pétrit aussi, ce qui excite Carole qui se cale sur le rythme de Stéphane pour contracter son sexe, elle cri, son orgasme est prêt à être libérer, Stéphane cherche à allonger ses allers-retour le plus possible, il sent son sexe se contracter, Carole cri de plus belle, et Stéphane se contracte contre elle, ils crient et jouissent en même temps, avant de se relâcher. Carole en est épuisé, et s’allonge sur son canapé. Cette fois Stéphane s’allonge à ses côtés, et lui caresse le visage ; ses mains glisseront délicatement sur tout son petit corps, sans qu’il n’ai besoin de bouger pour en explorer la totalité. Carole est comme sur un nuage, dans un sommeil très léger, des songes lui viennent sous formes d’images osées. Elle regarde beaucoup de photographies, ou de films érotiques ; elle se construit des fantasmes, et quand le sommeil peine à venir, elle s’imagine dans certains situation.. Stéphane se surprend aussi à laisser ses songes glisser vers l’érotisme. Carole refait surface peu à peu. _C’était bon, encore meilleur que toute à l’heure. _Oui_C’est un peu comme une drogue en fait, toute à l’heure, je cherchais ce qu’on pourrait faire d’autres, où ce que je voudrais faire._Oui, et le problème c’est que beaucoup de gens s’interdisent tout ça. _C’est idiot, si j’en ai l’occasion, je chercherai à réaliser certaine choses, essayer au moins._Et tu as imaginé quoi ? _Je te le dirais, mais pas tout de suite, il faut que je confirme mes envies. Et toi ? _Tu crois que je vais te le dire comme ça, non je vais faire comme toi.Ils resteront nues toute la journée, regarderont un film en attendant le dîner. Carole ne veut pas imposer à Stéphane un coucher tardif, elle le libérera vers 21h.Stéphane rentre chez lui par le train, des images pleins la tête. De retour chez lui, il annonce la bonne nouvelle à ses parents, et remonte le pc de son oncle. Morphée n’est pas pressé ce soir là, sa journée fut si riche et surprenante, qu’il se la repasse surprenant son sexe à se redresser l’obligeant à user de nombreuses manipulation pour le soulager.Le lendemain matin, il déjeune lorsque le téléphone sonne. Il s’agit de Carole, elle est sur son lit et vient d’apprendre que personne ne pourra le lui en faire descendre. Son père se propose de l’y emmener, en partant maintenant, il ne devrait pas arriver en retard à son bureau malgré le petit détour ; en revanche Stéphane devra rentrer seul. Une fois devant son immeuble, il l’appela sur son portable. Quelques secondes plus tard, et Mr Doumergue vient ouvrir la porte de son hall. Ils se saluèrent, et la porte de Carole s’ouvrit comme par magie, puisqu’elle peut l’actionner depuis sa chambre. Carole est heureuse, non pas parce qu’elle a envie de revivre la journée de la veille, mais parce qu’elle va enfin pouvoir aller aux toilettes. Cette journée, il ne se passera rien de spécial, Stéphane doit prendre ses marques. Il aidera donc Carole à sa toilette, et lui préparera le petit déjeuner. Le midi l’agence lui a trouvé quelqu’un. Ils passèrent donc l’été à se voir au gré des absences de ses auxiliaires, ils leur arrivait même d’aller au cinéma. Bien sûr ils continuaient à se faire l’amour quand ils le souhaitaient, et puis un jour où Carole était encore moins coincé que d’habitude :_Hier, j’ai vu un reportage sur les gens qui partent en vacance au cap d’Agde. J’ai trouvé ça vachement intéressant, ils vont dans des boites libertines ou dans des saunas et tout… Ça te tenterait toi ? _J’y ai déjà pensé, mais je n’ai jamais osé franchir le pas. Le sauna me tenterait bien oui_Ça te dirait d’y aller ? Je veux dire, tu serais d’accord pour m’y emmener ? _Oui, carrément, ça nous ferait une nouvelle expérience_Cool, après avec mon fauteuil je ne sais pas si c’est possible, au pire on prendra le manuel, et on le laissera dans les vestiaires. _Si tu veux, je peux me renseigner si il existe des saunas accessibles.Sa journée terminée, il contacta Alain, afin d’avoir plus d’informations sur le libertinage, et ses lieux. Le photographe lui conseilla un site internet, une sorte de réseau social pour libertin. Il s’y inscrit, et rédige l’annonce de son profil qu’il laissera sans photos  :Bonjour à tous, je suis un auxiliaire de vie, qui cherche à découvrir avec l’une de ses bénéficiaires, le libertinage. Mais avant cela, je voudrais savoir s’il existe des lieux accessibles aux personnes à mobilités réduites. Donc si vous êtes suffisamment ouvert(e) d’esprit, faites-moi signe. Il explore le site, visite quelques profils avant de se coucher. Le lendemain matin, il est réveillé par le bruit d’une pluie battante contre son vélux, et une alerte sur son téléphone le sort du lit. Il a reçu plusieurs messages concernant la demande qu’il a rempli hier. Le premier est un message contenant des insultes. Il fallait s’y attendre, mais un deuxième message l’interpelle. Bonjour, j’ai vu ton profil, et je trouve l’initiative forte intéressante. Quand on est débutant comme toi, ou vous, le mieux est d’être initié par quelqu’un ayant un peu d’expérience. Je suis moi aussi libertine, et très ouverte d’esprit, voilà pourquoi ton annonce m’a interpellé. Si tu es libre ce soir, je te propose de me rejoindre devant le Dyonisos, puisque j’ai prévu de m’y rendre, ainsi nous pourrions faire connaissance, et je te ferais visiter ce lieu afin, en éspérant que tu puisses y faire venir ta bénéficiaire par la suite. Si tu rentres avec moi, ça te coûtera deux fois moins cher que si tu rentrais seul, en plus il y a un buffet asiatiques offert puisqu’on est dimanche. J’y vais à l’ouverture, c’est à dire 17h, pour une découverte c’est un bon horaire. Si tu es dispo, donne moi ton numéro, ce sera plus facile.Stéphane visite le profil de son interlocutrice, c’est une très jolies jeunes femmes proche d’une taille mannequin : ventre plat, petite poitrine, et des courbes très féminines, sans parler de son visage aux traits fins. Il se trouve qu’elle est encore ligne.Bonjour Élodie, merci de m’avoir répondu si vite, et si chaleureusement. Oui, je suis libre ce soir, on peut se rejoindre devant le Dyonisos. Je ne sais pas si je peux me permettre de vous le dire, mais je trouve vos photos de profil magnifiques, et même de face lolAh oui et voici mon numéro 06 XX XX XX XX

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Le hazard fait bien les choses (partie 4)

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Big Tits

Le hazard fait bien les choses (partie 4)Début de semaine difficile, métro boulot dodo diront nous, me repassant mon dernier weekend en boucle, repensant à tous cela, je devait augmenter mes chances de réussites..Me voici plongées dans dans sombres pensée…Louchant sur une jolie paire d’escarpins, ma foie bien chaussée.Le soir je ne pu me retenir d’aller me frotter sur les jolies soles de ma maman endormie, profitant de la situation, imaginant Christiane à sa place, et là j’eus le déclic…Ne voulant pas faire trop crevard, j’attendis mercredi pour appeler Steve si je pouvait dormir chez lui…-Allo Steve ? -hey comment ça vas ?-Super, dit moi ça te dirai que je vienne dormir chez toi samedi ?-Heu moi sans problème, attend je vais demander à ma mère…J’entendit au loin sa voix, causant avec elle.il reprend le combiné..-Allo ?-Ouais elle a dit quoi ?-Elle est d’accord !-Haaaaaa yes! écoute je viens samedi dans l après midi ….On se donna rendez vous à la gare, après quelques âneries que se racontent des potes au téléphone.Les jours passèrent, chaque soir je rodait près des pieds de ma mère, les dévorant comme le plus délicieux des gâteaux, mais je garda la crème pour samedi au cas ou, après tout d’une manière ou d’une autre j’etait bien décider a me faire ses pieds et d’y balancer une méga ejac, gorgée de frustration passée de quelques jours voulant se déverser sur des pieds de mature…Samedi dans les 14h00 mon pote me retrouva à la gare, le scrutant arriver vers moi, il avait ce sourire que je connaissait bien, ce regard plein de malice…On se sera fort la main, plus que content de se retrouver, nous décidons de prendre un café dans le coin .Assis, veillant à ne pas être écouter, je prit la parole .-Alors comment c’est passé ta semaine ?-comment c’est passé ma semaine ….. c’était quand .. jeudi!Jeudi fin d’après midi je sent une forte odeur d’alcool je sais pas quoi, et je piste l’odeur en fait c’etait ma mère qui posait son vernis, je me suis dit cool on change de couleur why not !-HA oui ? super ça, c’était quelle couleur?-Atteeeeennnnd je te raconte et sur le coup la j’ai pas fait gaffe je t’avoue, je voulait avoir la surprise..-Intéressante ton histoire continu héhééh -Oui donc, je me pose matte la télé le temps passe tu vois,et là, comme çà, elle arrive, me pose un pied sur la cuisse et me fait voir son vernis rouge sur son pieds et me demande si ça fait jolis.moi je lui répond que ça les rend encore plus attirant de cette couleur, et limite je bandait déjà.-On verra si t’es sage qu’elle me dit en retournant dans sa chambre, et vas faire chauffer de l’eau pour les pâtes.-Ha tu vois quand tu veux hahahah dit en le taquinant-Ouais bref, c’est moi qui est fait la bouffe, mit la table, elle vien se mettre a table, et la cerise sur le gâteau, elle portait des collant couleurs chairs, j’avais une de ses envies….Bref après le diner elle se pose sur le canap, moi l’air de rien je viens la rejoindre, je lorgnait ses pieds en nylon, et j’vois qu’elle me grille, et là, de but en blanc, elle me demande si je veux jouer avec ses pieds .Tu pense bien que j’ai pas dit non, et du coup la voila qui tend ses jambes en ma direction, avec un “tien fait en ce que tu veux!”.-Putain mon copain, dommage que je soit pas là, on aurai prit les pieds de ta mère tous les deux en même temps, t’aurai du lui demander pour moi avant! dit je sur le ton de la plaisanterie.(mon pauvre si tu savais ce que je prépare pensait je) -Ce serai carrement génial, demander à ma mère de te donner ses pieds pour te vider les couilles….-Oui et offert en pâture a deux pervers, passionnés des pieds féminins, le must non ?-Ha putain si ca pouvait arriver …..,d’après toi si je lui en parle elle vas me jetée ?mon cœur, se mit à battre a toutes vitesses, voila une proposition de choix, qui me mit dans tous mes états, le fils qui demande à sa mère d’offrir ses pieds à son pote, quelle situation plus que motivante.Je fit mine de réfléchir, pensif ,comment lui dire que je baisait sa mère, que je l’incitait à offrir ses pieds à son fils, que je lui est même proposer de nous les offrir à tous les deux en même temps, mais il me manquait un paramètre: avait elle toujours le vernis rouge aux pieds habillé de nylon couleur chair ….-Au fait j’ai une question au sujet de ta maman…. aujourd’hui elle à quel vernis aux pieds ?-Je l’ai vue remettre une couche de rouge en fin de mâtiné, et avant de partir j’ai pu remarquer qu’elle portait des collants marron très clair, limite couleur peau, pourquoi cette question tu bave déjà ? hahahaha…..(Miam miam, me dit je, apparemment la belle c’est laisser convaincre de me faire plaisir, et a son fils aussi par la même occasion héhéhé)-n’empeche j’ai cru que tu allais me demander si tu pouvait tenter ta chance avec ma mere .-Tenter ma chance, tu veux dire lui demander de jouer avec ses pieds moi aussi ??-Non, repris steve, tenter ta chance pour sortir avec .-haaaaaaaa ca, et tien et si c’était le cas sa te dérangerai? simple question mon ami, vu qu’on est dans le secret et que le sujet est lancé.-Bon ok c’est ma mère, reprit-il après un instant de réflexion, mais la tu viens de me mettre un vice en tête, hihi, imagine que tu sorte avec et que je puisse profiter de la situation du fait que t’es mon ami, genre tu la baise ou autre et moi je me fait ses pieds en même temps par exemple, mais juste ses pieds, la baiser m’ intéresse pas tu comprend?-Encore mieux! lui répondit je tout sourire, après si tu y tien vraiment je peux tenter une approche poliment et si je le sent pas sa reste correct, qu’en dit tu ?-J’en dit que ce serait top de chez top, si on pouvait se faire ses pieds a deux et que tous les moyens sont bons hehehehe.-Vien on y vas, je vais faire un peu de gring à ta mère, par contre faut pas que tu reste avec moi tous le temp, que tu me laisse seul avec elle tu vois?sinon elle vas bloquer si t’es a coté et je pourrait jamais la draguée.-T’as peur de rien toi ,me dit il en riant.-Peur de quoi mon copain? au pire c’est un râteau, au mieux je la convertie, et a nous les pieds de maman, dit d’une voie perverse et complice, tien et si tu veux vraiment m’aider et toi aussi, parle lui en carrément que je kiffe ses pieds, et qu’en remerciement de mes actions passés tu voulait me faire une surprise, tu lui place ça tranquille, ou elle dit oui ou elle dit non, elle a pas l’air si sauvage que ça ta mère après tout!-Non c’est vrai, canlı bahis şirketleri je t’avoue que depuis qu’elle a découvert mon fétichiste je la sent plus zen depuis une semaine, elle comprendra surement dit il en riant … Nous voila donc en chemin, excités comme des fauves , moi encore plus a l’idée de ma proposition qui semble acceptée par Christiane.Arriver sur place je lui fait la bise, et regarde ses pieds, le vernis rouge et nylon chair était toujours là, elle me regarde sourire de satisfaction en coin, la voici la complice de ma débauche.Après quelques compliments, discutions banale, on vas dans la chambre de Steve, sa mère nous propose un chocolat chaud , je me propose de venir l’aider, clin d’œil a Steve ,je me faufile vers la cuisine, une fois avec Christiane , on regarde tous les deux ou est le copain, avant de s’embrasser…-T es toute belle dans cette robe ma chérie , lui dit je, et quelle jolie couleur de vernis tu as la et ces collants te vont a ravir ^^-Alors t’es content, j’ai fait ce que tu m’as demandé, maintenant a toi de te démerder a tout mettre en œuvre , j vais quand même pas vous dire, allez y baisez moi les pieds tous les deux, que penserai Steve, j’veux bien vous prêter mes pieds, le reste c’est ton domaine …-Ok laisse moi le temps d’échafauder tous ça, je te tien au courant, ca se trouve il vas carrément te demander que tu me prête ses pieds , comme pour me remercier d’avoir éviter qu’il se face casser la figure le premier jour de notre rencontre …- En voila un joli prétexte, je constate que tu te donne beaucoup de mal pour rendre la chose plus simple, Y a pas de soucis mon petit perver, je t’aiderai, tien les chocolats sont pret, a tout a l’heure.Je tend la tasse chaude a mon ami, d’un mouvement de tête sur le coté il s’assure que sa mère n’est pas proche, et me parle a voix basse…-Hey! comment t’as mater ses pieds quand on est arrivé elle t’a grillé et a souris, tu veux mon avis? tu lui plait!-Haaaa! et cette façon de me parlé comme un agent secret, veut dire que je peux y aller? promis tu pourra toujours ce faire ses pieds .-Vas y mon pote, si y a moyen je te soutien, dit il en ricanant doucement et nous nous tapâmes dans la main tel de vieux mafieux^^Fallait que j’aille pisser, il se fesait presque 18h00, Christiane s’affairait en cuisine, je lui propose de l’aide, mais elle me réclame Steve, se retournant, elle me fit qu’il avait peut être quelque chose a lui demandée.Je fonça chercher mon pote -heuuuu ya ta mère qui veut que tu vienne l’aider en cuisine, c’est peut être l’occasion de lui parler qu’en dit tu? on passerai une superbe soirée si ça se trouve non ?Il se figea, prit un bref temps de réflexion, se lève l’air fier et conquérant :-Vas y , jvais tenter ma chance, on verra bien.-oui mais tranquille, parle lui de moi, voir si elle m’aime bien et tout si tu la sent open dirige la conversation sur ses pieds, voir fait exprès de loucher dessus, truc comme ça, et , bonne chance ^^.-Ouais a toute ! le voici parti fièrement tenter d’écrire une page d’histoire d’un moment de sa vie ^^.Une heure et demi se passa, le repas était prêt, mon pote eu juste le temps de me faire un signe du pouce, ce qui a été dit je ne le su que bien plus tard, Christiane assise face a nous deux me lancait des regards complices, moi la bouffant des yeux sentant l’atmosphère changé :-C’était délicieux ce repas, tout comme celle qui l’as fait, dit je d’un air coquin.-Merci, sa fait plaisir a entendre, dit elle en se levant fesant le tour de la table, me laissant un bref instant matter ses jambes gainés de nylon, ses orteils vernis au moment ou elle me demande si je voulait autre chose…Relevant la tête je compris que sans le faire exprès j’ai envoyé comme un départ, elle me regarde hésitante, moi d’un signe de tête je l’incite a ce lancer.-bah alors? toi aussi tu trouves mes pieds jolis ? Steve et toi avez la même passion d’après ce que j’ai pu comprendre, comment les trouves tu ? -Tous simplement sublimes, on en mangerait!-ha oui ? vu que tu n’as pas prit de dessert on pourrai peut être arranger ça, hein Steve ? -Surtout qu’il y en a pour deux! reprit il .Elle nous regardes, on aurait dit deux hyènes qui attendent l’heure de la curée…..-Laissez moi finir de débarrasser la table, fit elle, après j’irai m’affaler sur le canapé, vous pourrez faire ce que vous voulez.Plongés dans la complicité, mon ami et moi, ne pouvons retenir un grand sourire de satisfaction, au son de cette phrase, nous y voila , notre rêve allait se réalisé, nous allâmes dans sa chambre discuté vite fait lui et moi ….-Whouaaaa, j’ai bien entendu, demandait je a Steve, ta mère viens de nous proposer ses pieds ?-Oui mon copain, tout a l’heure on a discuter, on en ai venu a toi, je lui est dit que si t’avait pas été la ce jour la je rentrai couvert de bleu et en slip, et que depuis plus personne ne m’emerde, et quand elle m’as demander si j’avais une idée de cadeau a t’offrir pour te remercier, d’instinct j’ai mater ses pieds….-Et elle t’as dit quoi ? -Ok je vois! m’as t’elle sortie, et sachant que tu te fait mes pieds tu volait que ton copain en profite, bon en toute franchise sa me dérange pas, il est plutôt mignon et ce serait pas ton copain j’en aurai bien croquer un morceau, il est poli, respectueux et a l’air discret, donc au vu du caractère peu comment de cette proposition…… si vous savez tenir votre langue, je peu faire en sorte que mes pieds soient accessibles, mais attention, tu me chie a la gueule sous prétexte de ça ou autre, je te défonce la tronche et adieu ton petit plaisir personnel compris ? -Okkkk, en gros faut pas perdre de vue que c’est ta mère, même si ses pieds nous excitent terriblement, reste courtois et un gentil garçon et tu auras droit d’assouvir tes envies, fait moi confiance, avec ma tante c’est la même, et je peu te dire qu’avec le temps c’est la grande éclate.-Oui tu as raison , elle veux nous faire plaisir avec ses pieds c’est pas une pute non plus, mais je suis trop content, enfin je vais la voir se faire prendre les pieds par un fétichiste expert! dit il en me désignant sur le ton de la plaisanterie…..-Héhéhéhé elle t’as avouer me trouver mignon et croquerai bien un morceau, tu connais les femmes quand elle veulent quelque chose…-Perso ça me dérange pas, comme je te l’ai dit moi y a que ses pieds qui m’interresse, le reste j’men fou, après si je peut mater, pourquoi pas ….-Hooooo canlı kaçak iddaa t’es un voyeur toi! hihihhi-Et quoi? , j’ai bien le droit d’avoir mes petits secrets moi aussi non ? -Tu as entièrement raison , et merci d’avoir lancer le sujet , sans toi je sais pas si on aurai droit a tous ça ce soir, mais au fait elle a du avoir fini de débarrasser….il vas voir discrètement ce qu’elle fait.-Elle est affalé sur le canapé, tu sait pas, vas y le premier voir sa réaction, je te rejoint plus tard….Me voila dans le salon, quelque peu intimidé par la situation, je viens m’assoir pas loin de Christiane, je n’ai de cesse a mater ses jambes gainées, qu’elle posa sur les miennes, comme un réflexe, je lui saisit les pieds et me mit a les caresser.-MMMMhh, un massage de pieds que c’est agréable! dit elle.je continua mes caresses quand elle leva une jambe, mettant un pied a hauteur de ma bouche….-J’adore qu’on me les bouffes aussi! me lança t’elle.Sans hésiter plus longtemps, je lui saisi le pieds gauche, ouvra grand la bouche, et déguste ce délicieux met pour fétichiste….-Mmmmoui comme ça ! bouffe moi le pieds c’est bonnnn…….Steve arriva quelques instant après, sur le coup il était comme stupéfait de voir sa mère ainsi, ses pieds offert a un fan de pieds féminins, et qui plus est, elle a l’air d’aimer ça.D’un geste court, je lui fit signe de venir, il saisissa l’autre cheville de la belle, ce mit a lui dévorer également, on avait chacun le sien, l’heure du repas avait sonné…..-Oui, allez y les mecs, bouffez moi les pieds en même temps, ils sont à vous, faites en ce que vous voulez! Pendant que la belle, prenait gout a être servie en pâture a ses deux pervers, je vit Steve lui saisir le dessous du nylon avec ses dents, il chercha a faire un trou dans le nylon, voyant qu’elle ne disait rien je le copia, ce qui me permis par la suite d’y glisser ma langue sous le tissu, je senti Christiane très excité par nos gestes et nos envies, elle était totalement a notre Mercie.Je tenait plus, je me tourna face à elle, sortie ma queue bien dure, et lui fit glisser dans le trou fait dans son collant, il était gorgée de salive, ce qui me permit d’enfoncer ma bite entiere sans mal, ajustant le nylon autour, mon dard complétement plaqué contre sa plante de pied, je commenca mes aller retour fesant frotter mon gland sur chaque plis qui se tenait en travers de sa route, un vrai délice.Steave fit de meme, sauf que lui, pivota legerement le pied de biais, comme pour mieux profiter du spectacle, et quel spectacle !Voir cette femme utilisé comme un jouet sexuel, on lui tenait une cheville chacun, lui limant le pieds au travers du nylon, ils étaient recouvert de bave, les soles mouillés par le precum, nous nous branlions avec ses pieds offert sans relâche…Sa mère, elle avait le regard d’une chienne, nos bites prisonnières du nylon, elle les fixait avec envie, effectuant des mouvement de chevilles, tendit un peu plus le tissu, appuyant sur la chair…..-Allez y les mecs, baisez moi les pieds comme il vous voulez, ils sont a vous ! nous dit elle.C’en était trop, j’avais les couilles plus que pleine, je me suis excité toute la semaine sur les pieds de la mienne sans jouir, tu vas payer, me suis je mit a penser.Je ne retira pas complétement ma queue de sa douce étreinte, mais je fit glisser mon gland, entre son gros et second orteil, tirant un peu sur le collant pour facilité le passage, une fois en place, mon travail repris, et vien le moment de lui balancer la sauce….Un gros paquet blanchâtre, se forma sous le nylon, ma bite compressé par le tissu, je la fesait bouger dans tous les sens pour bien étalé le tout ,le résultat n’en fut que plus marquant, tout le dessus de son pied nylonné était souillé de sperme, laissant une grosse trace humide et transparente…..Mon pote, n’ayant pas perdu une miette du spectacle, continuait de se branler avec l’autre pieds, lui aussi on pouvait voir sa bite legerement compressé dans sa prison de tissu, son membre gonfla, et fit jaillir sa purée visqueuse, il continua de lui assené de grand coup de bite, tous en ce vidant, il laissa Christiane le finir, chaque mouvement en fesait sortir jusqu’à la dernière goutte, il retira sa bite, et s’essuya sur le dessus de son pied…Steve et moi nous regardâmes ,fier et content du moment de bonheur que nous venions de vivre, observant dans les moindres détails chaque pieds de sa mère, le collant troué, les pieds plein de sperme, je bandait de nouveau, cela ne devait pas s’arrêter là….Elle sortie de sa torpeur, nous , nous la fixions comme deux hyènes attendant l’heure de la curée, on était chaud, on en voulait encore.Comprenant vite la situation , elle se proposa d’aller se changer et laver les pieds.-Non attend on en as pas fini avec toi! dit je d’une voix autoritaire.Steve et sa mère furent surpris mais je tenta le tout pour le tout:-J’aimerai que tu t’allonges sur le ventre, sa me ferai enfermement plaisir!-Mmm Ok! dit elle en se retournant, s’allongeant sur le sofa, ses pieds dépassant de celui ci, elle remua les jambes.-Comme ça ? reprit elle amusée; sous l’oeil dubitatif et lubrique de son fils.Sans dire un mot, je me lève et vien me placer debout et lui saisit le pieds que j’avait souiller, fourre ma grosse bite par le trou encore mouillé, et fait glisser ma matraque jusque son talon.Le nylon me compressait un peu le membre mais c’etait a la fois doux et délicieux:-Laaaaaa, comme ca c’est mieu, lui repondit je en forcant le nylon et lui fit aller d’avant en arrière pour qu’elle me branle avec son pied, l’effet obtenu fut au delà de mes esperences…Steve n’en croyait pas ses yeux, son rêve se relisait, il matait la scène en se masturbant, je prit le pied rester disponible et lui tend:-Tien mon copain, vien défoncer le bon pied de maman qui nous est offert!Il se leva et prit place a mes cotés, une fois son chibre en place, sa mère le branla avec son pied, egalement prisonnier de nylon, de sperme, et d’une bite qui lui ramone la plante a chaque balancement de jambes.Elle choppa vite le coup, alternant vitesse et mouvement, nous n’avions nul besoins de nos mains, le nylon était bien tendu, nos gland aprecians chaques plis de la voute plantaire a chaque passages….Steve se mit a se raidir, hatelant il se laissa aller a pousser un rale quand son sperme jaillissa au travers du talon pour atterir sur le mollet, sa mere fit expres de tirer un peu dessus en baissant canlı kaçak bahis le pieds et le frotta en meme temp, il jouissait encore, quelques flots blanchatres s’etallait un peu partout sur ses pieds.Moi je m’etait figer pour assister a tous ca, tenant ferment ma queue en appui sur sa plante, du pouce je me caressait la queue au travers du nylon.Quand Steave en eu fini pour de bon, il se retira, prenan soin de bien s’essuyer la queue sur le pied, a peine il le lacha que je le saisit pour le poser par dessus mon sexe.Christiane compris vite et me prodiga un footjob digne de ce nom.Le crissement du nylon, le bruit de chair humide, cette mature me branlant avec ses pieds, je nen pouvait plus…-Sont bon tes pieds Christiane! je vais leurs gicler dessus!-Vas y fait toi plaisir ils ont la pour ca! repondit elle, sous l’etonnement de son fils, qui me fit un signe de tete acquissant ce que je fesait.-Tien, du bon jus pour tes pieds de mature, ca t’apprendra a m’exciter!Je lui balanca un gros paquet de sperme epais qui resta prisonnier du nylon, retirant ma queue, un long filet blanc suivit mon gland, je m’essuya la queue sur ses mollets.Elle tourna la tete, regard complice et satisfaite, elle regarda ses pieds, les fits tournés de gaucha a droite, constatant a quel point elle nous a excitée.-C’est bien les mecs, je peux aller me changer maintenant? dit elle timidement.-Oui vas y! repondit-je, apres il faudra qu’on se parle tous les deux, si sa te derange pas ? me retournant vers steve.-heu non pas du tout ! dit il l’air etonné.Christiane quitta la piece, mon accolite et moi, la regardons s’eloignée, nos yeux rivés sur le bas de ses jambes portant de bonne trace de notre passage.Curieux il se tourna vers moi, me fit signe d’aller sur le balcon:-Putain quel soirée mon pote! j’en revien pas! s’exclaffa t’il.-Chuuuut moin fort, on vas le faire savoir au voisinage..-Desolé, reprit il plus calmement, c’est que c’est pas tous les jours qu’on vit un truc pareil, d’apres toi y a moyen de lui remettre une derniere serie?-Hey mais tes un vrai lapin toi hihihi! , je pense que oui, parti comme c’est parti, on vas pouvoir en profiter a fond.-Tu sais quand tu lui a dit de se retourné, j’ai cru que tu allait la prendre par derriere….-Me donne pas de sombres idées toi ^^-Perso, ca m’aurai pas deranger au contraire, la voir se faire sauté pendant que je m’occupe de ses pieds, mmmm miam miam, elle aurait rien pu faire ^^Et je l’ai trouvé super docile avec toi, suis sur qu’il y a moyen.-En gros tu me dit carrement de baiser ta mere, et de profiter par la meme occasion de ses petons hain mon cochon ?-Elle vien de se prendre une bite sur chaques pieds et deux fois en plus on est pas a ca pres non ? -Je vais etre franc, elle me plait beaucoup, et ton idée egalement, alors voila ce qu’on vas faire, quand elle reviendra on s’assiera chacun d’un coté, toi tu commecera a lui touché les genoux ou pieds bref lui faire vite comprendre que tu les veux encore, moi j vais faire mon don juan a ta mere, on vas voir si ca marche….-Genial comme plan, fais gaffe la voila, hoooo matte la tenueeeLa revoila, vetue d’un kimono en espece de soie rouge, lui tombant a mi-cuisse, on distingue parfaitement la lisiere de ses bas couleur gazelle quand elle prit place dans le sofa.Comme deux fauves, nous sortimmes du balcon, prirent places commes nous l’avions convenue, me voici poster a sa droite, mon ami a gauche, je me proposa de ramener quelque chose a boire, prit les commandes et fila en cuisine.je surveillait discretement mon pote qui passa a l’action, sa mere le regardait lui toucher le genoux, il descendit au mollet et lui pellota un pied, voyant qu’elle ne disait rien , il lui fit signe de poser ses deux jambes sur les siennes, elle bascula sur le coté, tendit ses jambes la voici à demi allongé quand je revint.-Je vois que mon ami a encore une petite faim ?!-Une grosse faim je dirai ! dit steve, tout en sortant sa queue gonlée de desir du calecon, il la saisit par la base et se frotta le gland sur ses soles.Je vois christiane plisser les yeux de bonheur, elle aime se faire frotter les pieds la garce, elle y a vraiment prit gout.Je lui tend son verre la fixant du regard, elle fit de meme, son regard de chienne en disait long, je pouvait lui demander ce que je voulait, elle tourna la tete vers son fils d’un air coquin, je lui fit signe qu’on devait s’en foutre, d’un coup j’appercoi sa joue deformée par sa langue, imitant une bite a l’interieur de sa bouche….J’alla poser les verres, fit un clin d’oeil a mon pote, et vint m’assoir a ma place, Christiane posant sa tete sur ma cuisse….Rapidement, ma queue gonfla de nouveau, elle fesait expres de remonter son visage sur ma bosse, je comptait sur ce foutu bouton de calecon qui tenait jamais et pour une fois il tomba a pic.Mon ami qui prenait malin plaisir a lui masser les soles avec son gland, l’enfonca entre ses pieds et continua son petit jeu pervers, ma queue devenaie dure et soudain, le bouton ne tena plus sous les mouvements discrets du visage de Christiane.Ma tige sortait du vetement, elle colla ses levres dessus, sa langue timide passa une fois; puis une autre , remontant la tete, voici sa bouche contre mon gland, sa langue se mit a tournoyer autour de mon gland et elle s’enfourna mon membre jusque dans le fond de sa gorge……D’une main elle m’extirpa les couilles, me les tenants ainsi, elle se mit a me sucer, delicate et douce au depart, elle ne pu s’empechecher de lacher des grognement de satisfactions, steve se redressa posant un pied a terre, reprit les soles de sa mere et les limas encoce plus fort, suivant la cadence, Christiane se baisait la bouche, elle etait sous notre emprise, ce fut notre femme jouet.Admiratif, mon copain ne tenant plus, il balanca ses derniere force sur les pieds de sa mere, celle ci voulu regarder, je l’en empecha, enfoncant mon gros tube dans sa bouche, elle garda la position, alernant sucions et mouvements de langue, je bandait si dur, je remua le bassin, lui baisant la bouche, tenue par les cheveux je lui plaquait le visage vers ma bite, elle bavait, halletait, sucait comme une bonne pute .Mon sperme jaillissa dans sa bouche, je la lachait pas pour autant, elle n’eu d’autre choix que d’avaler, on entendit clairement chaque gorgée descendre dans sa gorge, a croire qu’elle le fesait express, melangé a ses gemissement de satisfation, ce fut inoubliable.M’ayant plus que nettoyer la bite, elle me demande de lui servir a boire , ce que je fit, la fatigue ce fit sentir, elle nous souhaita une bonne nuit et alla se coucher.Une cigarette apres nous fimes de meme, il fallait ce reposer, il reste encore demain pour s’amuser ……..

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Géraldine tome 2-Chapitre 8

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

Géraldine tome 2-Chapitre 8Chapitre VIII – Un repas partagéMaîtresse Xaviera arriva au réfectoire, traînant une Géraldine de plus en plus pitoyable. C’était une grande pièce, avec au centre, un pilier fait de grosse poutres de métal permettant de suspendre plusieurs soumises  en même temps. Des tables étaient disposées de part et d’autre de la salle, permettant une vue imprenable sur quiconque pouvant être accrochés aux poutrelles.D’ailleurs, Hugo était en train de finir d’installer les deux combattantes punies. Il les avait placé en mode strappado, leurs bras étirés dans le dos, ce qui les forçait à se pencher le torse en avant. La corde passait dans une large poulie et était relié à un crochet anal. Tant et si bien que, quand elle baissait les bras, elles s’étiraient l’anus. Mais cela les stabilisaient dans une position des plus « agréables », à la vue de toutes les Sissies, surtout qu’un “ Punie pour s’être battue ” leur avait été marqué au marqueur noir, sur leur cul joliment arrondi par les hormones. Leurs visages se faisaient face et leurs lèvres étaient soudées l’une à l’autre sur un large gag-ball commun, les forçant à s’embrasser. Chacune portaient maintenant un anneau nasal, qui était relié à l’autre par un mousqueton double Elles étaient en équilibre sur la pointe des pieds, tandis que leurs jambes étaient maintenues écartées par des barres d’entraves fixées aux chevilles. Une poulie était fixée au centre de chacune des barres, et Hugo fixait à chacune d’elles des pinces japonaises aux tétons et à leurs couilles, les reliant en commun à une cordelette qu’il passa dans la poulie. Elle passait, dans une identique, fixée au plafond du réfectoire, pour finir accrochée à un panier de métal. Il déposa entre leurs jambes entravées une large gamelle de métal, où leurs baves commune commençaient à s’écouler. Maîtresse Xaviera s’approcha des deux soumises, en tirant Géraldine d’un coup sec. Elle remit la laisse entre les mains d’Hugo.“ – MMMMMMMPPHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”Couina la soumise Géraldine, sous la sèche tirade sur les pinces, surtout que l’excitation du cocktail, commençait à disparaître, ais cela ne l’empêchait pas d’avoir son clito dur et torturé, dans sa cage minuscule.“ – Suspendez la pour le repas, Hugo.Que les autres soumises puisse faire réellement sa connaissance ! ”Dit Maîtresse Xaviera tout en vérifiant, d’une main distraite, la bonne prise d’un crochet dans l’anus d’une des combattantes punies.“ – MMMMMMMPPHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”Gémit la soumise, se balançant dans son équilibre instable, sous la poussée de la main qui la fouillait, ce qui fit également se balancer le panier fixé au bout de la cordelette, étirant ainsi ses tétons et ses couilles enserrées dans les pinces.Hugo détacha les mains du dos de Géraldine et les menotta à nouveau devant, pour les fixer à un crochet. Il était fixé à un axe rotatif, qu’il hissa au plus haut. Géraldine se trouva sur la pointe des pieds.  Dans le dos de Géraldine, Maîtresse Xaviera prit une barre d’entrave en forme de “ T ”, inversé, dans les affaires de Hugo. Elle était muni d’un court mais très large gode, et la tandis à Hugo. Il l’installa entre les jambes de Géraldine, qui ne savait se qui se tramait derrière son dos, et n’osant regarder au risque de subir une punition de la Directrice.Géraldine sentit Hugo lui écarter les jambes pour y fixer la barre d’entrave, avant d’arracher son plug de son anus largement dilaté.“ – Je pense que cela te maintiendra stable pour le repas, petite Souillon ! …Enfoncez lui bien à fond Hugo ! ”Ordonna Maîtresse Xaviera, en faisant face à Géraldine, canlı bahis şirketleri tout lui lançant un regard glacial.“ – MMMMMMMPPHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”Geignit Géraldine, en sentant une forte et large poussée l’envahir,en se retrouvant encore plus en équilibre sur ses orteils.“ – Tu es une vraie petite salope excitée, à ce que je vois !Je vais donc commencer ton éducation devant tout le monde ! ”Dit Maîtresse Xaviera, en regardant le clito de la soumise souillée encore congestionné dans sa cage, la laisse pendante entre ses jambes. Maîtresse Xaviera la prit et en enserra sévèrement les couilles violacées et le petit clito en cage, prenant ensuite un long et copieux martinet de cuir dans le matériel de Hugo“ – MMMMMMMPPHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”Pleurnicha la Sissy à éduquer, en secouant négativement la tête, en comprenant que son éducation n’allait pas attendre le lendemain.  Les soumises en robes de Sissies avaient commencées à arriver dans le réfectoire et  s’asseyaient à une place, pour être aux premières loges. Des“ French Maids ” arrivèrent aussi pour se restaurer, une surveillante leurs retira leurs cagoule, découvrant des visages aux traits féminins, au maquillage permanent et au crane nu. Leurs lèvres entouraient un gag-ball muni d’un trou prévu pour boire la journée, qu’elles retirèrent elles-mêmes. Au total, il y avait un peu plus d’une trentaine de soumises, sans compter les surveillantes.“ – Comme vous pouvez le constater, Mesdemoiselles, c’est deux soumisessont là pour vous rappeler l’interdiction de vous battre. Je pense que vous apprécierezleur aide à la desserte des tables, en mettant  votre cuillère et votre ecuelledans les paniers qu’elles vous offrent si volontiers. Si le cœur vous en dit,vous pouvez participer à leur repas en mettant tous vos restes. J’ai bien dis TOUS ! ”Dit Maîtresse Xaviera sur un ton autoritaire et sans appel, en claquant les deux soumises entravées de son martinet de cuir.“ – MMMMMMMPPHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”Couinèrent les soumises tandis que des larmes coulaient le long de leurs joues ,et se mélangeaient à leurs baves, qui s’écoulaient inlassablement dans l’écuelle.“ – Je vois que vous avez déjà un bon début ! ”Dit Maîtresse Xaviera, en regardant ironiquement la gamelle, que déjà un copieux fond de bave remplissait. Elle appuya le manche du martinet sur un des tétons pincés de Géraldine.“ – MMMMMMMPPHHH !!!AAARRRGHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”Pleura la soumise, sous la vive douleur sur son mamelon hyper-sensible par le traitement du jour, tout se tortillant dans ses entraves.“ – Je vous présente Géraldine, votre nouvelle camarade de jeu.Mais certaines d’entre vous on déjà fait sa connaissance ! …Et comme vous pouvez le constatez, cette petite sissy a encore beaucoup de mal à se contenir ! ”Dit Maîtresse Xaviera, en tapotant la cage, où le petit clito coulant de Géraldine sous pression, que Maîtresse Xaviera avait maintenue constante depuis sa prise en main“ – MMMMMMMPPHHH !!! PI’IE, MAI’RESSE !!!MMMMPPHHH !!! ”Couina la soumise, tellement son clito en cage lui faisait mal, sous la pression maintenant accentué par la laisse qui serrait son petit matériel.“ – Dans cette école, tu vas apprendre à te tenir, petite Géraldine.Aucune leçon ne peut attendre, vu ton niveau de retenue ! ”Dit Maîtresse Xaviera, en cinglant les fesses de Géraldine d’une première salve assassine.“ – MMMMMMMPPHHH !!! AAARRRGHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”Gémit Géraldine, quand le martinet s’abattit sur elle, son cri étouffé par son bâillon gonflable.Maîtresse Xaviera ne se préoccupa nullement des gémissements de la souillon suspendue, frappant canlı kaçak iddaa méthodiquement chaque partie de son corps en tournant autour de Géraldine, mais en évitant les seins, qui devaient être opérés le lendemain.Tous les yeux des soumises étaient baissés vers leur écuelle, simplement remplient d’une tranche de jambon, d’une poignée de pâtes et d’un yaourt à boire. Mais Maîtresse Xaviera savait que toutes regardaient du coin de l’œil, cette punition qui pourrait être la leur. Elle jetait par instant des regards noirs, renforçant ainsi son emprise sur ses petites Sissies, prêtes à être éduquer pour devenir de bonnes et accueillantes soumises, tel que le désirait leur dominant.“ – MMMMMMMPPHHH !!! PI’IE, MAI’RESSE !!!AAARRRGHHH !!! MMMMMMMPPHHH !!! ”Supplia Géraldine, de grosse larmes perlant sur ses joues, se mélangeant à la bave de son bâillon. En réponse à la supplique de la Sissy, Maîtresse Xaviera lui cingla plusieurs son entrejambe, où ses petites couilles couleur prune étaient devenues toutes dures par leur extrême congestion par la laisse. Elle continua son cinglage méthodique sur Géraldine, dont le corps prenait une couleur rougeâtre sous le feu du martinet.“ – MMMMMMMPPHHH !!! AAARRRGHHH !!!MMMMMMMPPHHH ! !!”Pleura Géraldine, en laissant aller à ses larmes, tout en serrant les dents sur le bâillon gonflable, en comprenant qu’il ne fallait qu’attendre la bonne volonté de Maîtresse Xaviera pour la fin de sa punition. Son châtiment berça ainsi, tout le repas des soumises.“ – Vous accompagnerez les trois dernières notées et Alexandraà mon bureau, pour recevoir leur punition ! ”Dit Maîtresse Xaviera à une surveillante, en accrochant le martinet à la chaînette des pinces japonaises fixées aux malheureux mamelons de Géraldine.“ – Mmmpphh!Aaaahhhhh! Mmmpphh… ” Haleta la soumise de presque inaudibles pleurs et soupirs, tandis que son nez coulait autant que yeux, pleurant sur son corps meurtri par la multitude de coups de lanières reçus, et dont la peau lui semblait en feu, autant que quand elle avait été enduite de la crème chauffante lors de son baptême.“ – Bien, Madame la Directrice. ”Répondit la surveillante, en empoignant la Sissy Alexandra, au maquillage retouché par Maîtresse Xaviera. La Sissy déposa au passage sa vaisselle dans un des paniers en suspension, accroché aux soumises punies, déversant les quelques pâtes qui lui restait, ainsi que le fond de son yaourt, dans l’écuelle prévue.“ – MMMMMMMPPHHH !!! AAARRRGHHH !!!MMMMPPHHH !!! ”Gémit la soumise qui supporta la première charge de vaisselle, dont les pinces étirèrent ses tétons et ses couilles sous la traction. Mais elle fut rapidement de concert avec sa compagne de souffrance. La vaisselle s’accumulant rapidement dans les deux paniers, les faisant baver et couler de longues mucosités nasales à toutes les deux de plus en plus sous la douleur extrême du poids accumulé, faisant se remplir leur écuelle commune d’un aggloméra assez ragoûtant. Une fois toutes les soumises sorties, les deux punies furent enfin détachées. Maîtresse Xaviera leur accorda le droit de manger l’écuelle qu’elles devaient se partager à quatre pattes devant elle. Leurs visages furent rapidement souillés par le mélange nutritionel.Ensuite, une surveillante leur mit à chacune l’anse de leur panier entre les dents, et les entraîna à quatre pattes vers les cuisines pour faire la plonge, laissant Géraldine toujours suspendue, seule avec Maîtresse Xaviera et Hugo.“ – J’espère que tu as passé une bonne journée en ma compagnie, petite Géraldine ! ”Demanda Maîtresse Xaviera, en touchant le menton de la canlı kaçak bahis soumise, plein de bave, avec le bout de son martinet qu’elle venait de reprendre. “ – Mmmpphh…‘Ui , Mai’resse !S’i ou plai, Mai’resse ! Mmmpphh… ”  Geignit la soumise en acquiesçant d’un petit mouvement de tête, tout craignant un supplément de martinet.“ – Parfait, j’aime laisser un agréable souvenir de cette première journée ! ”Dit Maîtresse Xaviera, faisant signe à Hugo de la descendre, sachant ce que ses derniers mots signifiaient. Malgré sa barre d’écartement, Géraldine apprécia de pouvoir enfin poser de nouveau les pieds à plat. Hugo la lui retira rapidement, pour l’entraîner vers une des tables du réfectoire. Il la coucha dessus, sur le ventre, en lui écrasant les pinces qui lui meurtrissaient ses petits mamelons. Ses poignets furent attachés aux pieds de la table, ainsi que ses chevilles. Géraldine se retrouva de nouveau son anus offert, à qui pourrait la prendre. Hugo lui essuya son cul avec un chiffon. , tandis qu’elle entendait un bruit de latex dans son dos. Tout d’un coup, elle sentit un large sexe la pénétrer lentement, avec une extrême douceur qu’elle n’avait encore jamais connu. Hugo passa devant les yeux de Géraldine, qui comprit alors ce qui lui arrivait.“ – Je peux être la sévérité ou la douceur, petite Géraldine ! C’est à toi de décider cela ! ”Dit Maîtresse Xaviera, en claquant violemment une fesse, tout en poussant son sexe, au plus profond de la Sissy entravée.“ – MMMMMMMPPHHH !  IIIIIIHHHH ! ‘UI, MAI’RESSE !Mmmpphh… ”Haletait  la Sissy dans son bâillon, sous la poussée dans son anus, appréciant de plus en plus, d’être cette petite salope soumise qu’elle était devenue. Son clito encagé se mit à suinter de plus en plus.Maîtresse Xaviera se soulagea en elle, remplissant son anus d’une chaude chaleurSatisfaite, elle reboucha immédiatement le trou tout chaud et légèrement dégoulinant.avec le plug gonflable,“ – Tu garderas mon petit souvenir pour la nuit, petite salope incontinente.Tu ne seras nettoyer que demain. ”Dit Maîtresse Xaviera, en remettant la jupe de son tailleur de latex.Elle regardait la cage dégoulinante, s’écoulant sur le sol. Une surveillante vêtue différemment des autres arriva. Elle portait une robe très courte et extrêmement moulante de latex gris avec des liserets noirs, de beaux seins annelés pointaient dans les ouvertures prévues dans la robe. Sa tête était recouverte d’une cagoule de latex, assortie, où sortait une longue queue de cheval noir avec des mèches grises. Cela faisait ressortir le maquillage, de ses yeux et ses lèvres, très foncés.“ – Géraldine, je te présente Ambre, ta préceptrice.Elle me relatera tous tes faits et gestes, et ton évolution pendant ta convalescence.Elle a le pouvoir de te distraire pendant toute cette phase !Je doute que tu n’apprécies pas ces distractions. Mais ton petit clito risque de te picoter un peu au cœur d’une boule! ”Dit Maîtresse Xaviera, en riant, en claquant violemment de son martinet le petit matériel prune, toujours enlacer par sa laisse.“ – MMMMMMMPPHHH !!! AAARRRGHHH !!! NAAAANNN ,MAI’RESSE ! PI’IE !!MMMMPPHHH !!! ”Couina la pauvre Sissy, en se remémorant Mégane, la soumise tout juste opérée, dont le clito et les couilles étaient enfermées dans la minuscule boule a pointes.“ – Je crois que je t’avais prévenu au début de ta promenade, petite Sissy ! …Et ton attitude n’a fait que renforcer ma décision ! ”Dit Maîtresse Xaviera, administrant une grande claque sur le cul de la soumise encore entravée à la table.Elle alla s’entretenir avec la préceptrice, en lui donnant quelques directives. Elle lui demanda d’amener Géraldine à son bureau demain matin, toute “ fraîche et propre ”, avant l’opération. Maîtresse Xaviera prit congé de Ambre et d’Hugo, sans le moindre regard pour la soumise, qui l’avait accompagnée toute cette journée.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

şişli escort Antalya escort beylikdüzü escort escort eryaman escort demetevler escort Hacklink mamasiki.com bucur.net hayvanca.net lazimlik.net cidden.net By Casino rus escort bahçelievler escort Escort bayan Escort bayan escort ankara sincan escort bursa escort bayan görükle escort bursa escort bursa merkez escort bayan Kartal escort Maltepe escort Pendik escort otele gelen escort anadoluyakasikadin.com kadikoykadin.com atasehirkadin.com umraniyekadin.com bostancikadin.com maltepekadin.com pendikkadin.com kurtkoykadin.com kartalkadin.com escortsme.com Hacklink Hacklink panel Hacklink bursa escort görükle escort bursa escort bursa escort bursa escort bursa escort Ankara escort bayan Ankara Escort Ankara Escort Rus Escort Eryaman Escort Etlik Escort Sincan Escort Çankaya Escort ankara escort bursa escort Escort hurilerim.com bursa escort bursa escort bursa escort bursa escort bursa sınırsız escort bursa escort bayan bursa escort görükle escort antalya escort istanbul travesti istanbul travesti istanbul travesti ankara travesti Moda Melanj türkçe altyazılı porno porno 64 japon porno burdur escort bursa escort çanakkale escort çankırı escort çorum escort denizli escort diyarbakır escort düzce escort edirne escort elazığ escort ankara travesti escort escort escort travestileri travestileri keçiören escort etlik escort çankaya escort