Plaisirs virtuels sur internet…

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Babes

Plaisirs virtuels sur internet…Sur un site de rencontre, notre dial avait commencé simplement. Echange classique pour créer la magie d’un moment à deux. Puis nous en sommes très vite venu à imaginer des lieux insolites pour ensuite finir notre balade virtuelle dans un jardin public où nous nous serions arrêtés un instant…ToiJe viendrais m’asseoir à côté de toi, j’éviterai de croiser ton regard pour ne pas t’intimider….MoiJe me pousserai légèrement, comme pour te faire de la place… mais pas trop…ToiUn enfant lance sa balle par inadvertance vers nous. D’un geste commun, nous nous penchons pour att****r la balle qui roule sous notre banc…MoiC’est à ce moment que tu frôles ma main… j’aime ce toucher mais très vite, je retire ma main. Tu récupères la balle et la renvoie à son propriétaire. A cet instant, l’enfant ignore ce qu’il vient de déclencher entre nous…ToiMon coeur s’est mis à battre. J’hésite… oserai-je.MoiOse…ToiJe te regarde alors, te dévisage devrai-je dire… Tes cheveux noirs tirés en arrière laissent quelques mèches ondulées te retomber sur le front. J’adore ce petit côté sexy ; un brin d’élégance caché sous un semblant de négligence… Tu es jolie…MoiJe ne peux m’empêcher de rougir et de fuir ton regard… Mais peut-être devines-tu ce léger sourire qui t’invite à aller plus loin…ToiOui, je le devines et je m’enhardis à poursuivre mon exploration…Et je m’arrête un instant sur ce sourire… ces lèvres juste assez charnues pour donner envie de les embrasser, les mordiller, les entrouvrir… Non, pas tout de suite, pas maintenant… Je descends le long de ta gorge que je m’imagine couvrir de baiser et m’attarde sur ce petit chemisier suffisamment ouvert pour me laisser deviner tes seins, ronds, fermes, excitants…MoiJ’imagine le trajet de tes yeux… je sens ce regard posé sur moi comme une güvenilir bahis caresse… j’en frémis, j’imagine que ce sont tes mains… aventureuses, exploratrices… je ferme les yeux… je les sens à présent sur mon chemisier… sur mes seins… doucement, tel un effleurement…je sens le bout de mes seins qui se durcit… mon imagination fait le reste….ToiMe voici à la base de ta jupe… petite jupe étroite que la position assise rend tellement invitante…Mais je ne veux m’attarder sur cette partie obscure dont je devine les trésors cachés…. je poursuis mon exploration le long de tes cuisses… j’apprécie le joli grain de peau que tu as, la beauté de ton teint hâlée… jolie métisse envoûtante… oh plaisir des jeux de séduction… Mélissa, j’ai envie de toi…MoiMoi aussi… j’aimerai…Toioui… te toucher pour de vrai, te sentir frémir, sentir le désir qui monte en toi…MoiJe sens ce désir… une envie qui me prend juste là… dans le creux du ventre, comme une boule et qui se propage dans tout mon corps jusqu’à exploser entre mes cuisses… un impétueux besoin de te dire « viens… ». Tellement pressent que presque sans me rendre compte, je me suis rapprochée de toi, mon genou frôle le tien… tu m’électrise… la chaleur de ton envie brûle ma peau, se fond dans ma chair et rejoint ma propre chaleur, ma propre envie… là où je sens que mon désir s’est liquéfié, que mon antre est prêt à t’accueillir…ToiPas encore… pas tout de suite… je veux t’entendre me supplier… je veux sentir ton envie comme une torture… savoir que tu n’en peux plus de me vouloir et moi même pousser les limites de l’envie jusqu’à en avoir mal… mal de toi, mal de ta peau, ton odeur, ton sexe…Envie de te prendre là maintenant, faire fi de ses enfants qui jouent, ses gens qui passent.. devenir un instant invisible à leurs yeux… ou étaler avec insolence notre türkçe bahis jouissance comme une insulte aux bonnes moeurs, à leur morale, leur pudeur… dégrafer ce pantalon qui me sert… ôter cette jupe qui est un obstacle au plaisir que je veux que tu me donnes, là maintenant…MoiNous sommes les magiciens de nos envies, M., je te veux en moi, maintenant… laisse moi nous recouvrir d’un voile qui nous rendra invisible aux yeux des autres et viens satisfaire à mon envie qui ne peut plus attendre…ToiOui, Mélissa, oui, maintenant… ma bouche, entre douceur et v******e prend possession de la tienne, entrouvre ces lèvres tellement invitantes, à la recherche de ta langue… baisers fougueux à la mesure de l’envie qui nous submerge… mes mains se sont faites caresses ; elles parcourent le tracé que mes yeux s’étaient contentés de deviner… je te touche, te palpe, te modèle, te caresse, te pince…Ma bouche abandonne la tienne pour s’emplir de tes seins… s’emplir oh non ! je n’y arrive pas… je les malaxe d’une main tendis que ma langue frotte tes tétons déjà tellement durcis… les aspire, les lèche, les tire… et plus je m’applique à les solliciter, plus je les sens durcir…MoiJe me tords de plaisir sur ce banc… invisible aux yeux des autres, je me laisse aller. Ma main caresse la bosse proéminente de ton pantalon… j’entame un va-et-vient de ta ceinture jusque ton entrejambe… Mon autre main s’est glissée sous ma jupe… je déboutonne ton jean et descend la glissière pour laisser jaillir ton membre dur et dressé comme un pic… je te masturbe alors, de la base de ton sexe jusqu’au bord du gland, cette petite partie tellement sensible… j’accorde mes mouvements comme si toi et moi n’étions plus qu’un…ToiJ’adore sentir ta main experte… je sens le sang affluer dans mon sexe et quand tu t’attardes sur mes testicules güvenilir bahis siteleri c’est tout mon corps qui entre en émoi… J’abandonne alors tes seins et me redresse pour offrir à ta bouche l’objet de ta convoitise. MoiIl ne m’en fallait pas temps pour m’exécuter… je prends alors ton sexe et l’avale d’un coup jusqu’à la base… enserrant mes lèvres pour faire monter la pression, j’entame des va-et-viens lents puis plus rapides, entrecoupés de coups de langue sur le bout de ton gland… j’aime le sentir durcir dans ma bouche…ToiContinue ma belle, continue… j’aime ça…Oh oui, experte Melissa… tu sais jouer de ta langue… c’est tellement bon…Laisse moi également te caresser… laisse moi te montrer l’habilité de mes doigts… Tu es toute mouillée, ma Belle… je glisse, c’est un plaisir… sur la chair rasé de ta petite chatte de métisse lubrique… le long de tes fentes… j’explore ton antre… au bord… en quête d’un point convoité… Oooh Mélissa… je sens tes parois qui m’enserrent… je sens ton plaisir… encore plus loin, plus fort, trois doigts… tu en veux encore… tu aimes ?… moi aussi, ne t’arrêtes pas jolie métisse… prends moi dans ta bouche…MoiM., je n’en peux plus… j’ai besoin de sentir ton sexe prendre possession de mon corps… viens… ne me fais plus attendre… viens…ToiOui, je viens… j’écarte tes cuisses pour entrer d’un coup au plus profond de toi… Tu cris…MoiOuiiiii, ouiiiToiSens tu mon sexe en toi ? sens tu ces coups répétés ? j’aime aller loin, profond… je t’agrippe… tu te tiens à moi… me griffes…je cogne, je frappe… fort, lentement… parfois au bord… parfois le plus loin possible… je ne m’arrête pas… je vais jouir..MoiMoi aussi je n’en peux plus là… je crie, je te serre… les fesses élevées pour te laisser libre de tes mouvements… jouis avec moi… j’y suis là… je jouiiiis…ToiMoi aussiiiiii…Moi…Toi…Retomber dans la réalité après ce genre d’échange a toujours quelque chose de frustrant… l’envie de remettre ça, là maintenant… l’envie de se voir pour le vivre dans le réel…Lu sur le net –> http://journaldusexe.com/plaisirs-virtuels/

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Anne, mon adorable stagiaire…..

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Babes

Anne, mon adorable stagiaire…..Anne…J’ai eu la chance quelques fois au cours de ma vie de séduire ou d’être séduit (hmmm….) par des femmes beaucoup plus jeunes que moi. Il faudrait relire Freud pour comprendre ce qu’un homme mûr, grisonnant, vient alimenter comme fantasmes chez les femmes…. Mais ce n’est pas l’objet ici.Un jour, alors que je dirigeais une cellule commerciale dans une grosse agence de publicité à Bruxelles, j’accueille une jeune étudiante en Marketing-Pub qui vient faire un stage de 3 mois chez moi. Elle a 22 ans, et je pourrais être son père.Elle est très intelligente, très volontaire, mais aussi très séduisante: pas seulement par sa fraîcheur et sa beauté, mais aussi par son humour et sa joie de vivre.Nous passons beaucoup de temps ensemble, nous devenons gentiment complices, et je me rends rapidement compte que je ne lui suis pas indifférent, elle est très gentille avec moi, presque câline, comme un petit chat… Un jour, nous consultions un livre ensemble dans mon bureau, elle était debout à ma gauche, et chaque fois que je tournais une page, mon bras venait à effleurer sa poitrine. Au lieu de s’écarter un peu, elle se rapprocha encore de moi, faisant mine de se pencher sur le livre, son sein droit venant parfois s’appuyer sur mon avant-bras…. Hmmm…. je trouvais cette situation assez érotique ma foi…. et très agréable…J’en étais très flatté et honoré, mais je ne savais pas trop quoi faire avec cela: elle était si jeune, je me sentais un peu coupable, et notre relation en resta là.Jusqu’au jour où, après la fin de son stage, elle m’appelle et me demande si je suis d’accord de superviser son travail de fin d’étude, son mémoire.J’accepte avec joie, et nous fixons un rdv quelques semaines plus tard, dans son petit appartement près de l’Université de Louvain-la-Neuve, pour que je vienne travailler avec elle, et relire les premiers chapitres de son travail.Anne m’accueille: elle est comme toujours, enthousiaste, enjouée, délicieuse et charmante. Elle porte un joli petit pull noir, avec un décolleté en V devant et derrière, une minijupe plissée grise, des bas noirs sur des chaussures à talons aiguilles (elle était très petite, et compensait sa petite taille avec des hauts talons). On s’assied à table, elle m’offre une tasse de café, nous parlons de la vie comme de vieux copains, c’est très détendu.Nous nous mettons au travail, et elle vient se placer debout à ma gauche, alors que je reste assis pour relire son travail. Nous échangeons nos points de vue, je lui fais des remarques sur des éléments de son travail, elle se rapproche, vient se coller contre mon épaule, se penche en avant pour voir ce que je lui indique dans son texte… Je ne peux m’empêcher de regarder dans son décolleté ses très jolis petits seins très fermes, emprisonnés dans un très joli soutient gorge en dentelle noire, qui laisse entrevoir la couleur de sa peau et de ses tétons… Hmm…Elle a vu que je regardais ses seins, je rougis, elle le voit, me souris d’un air complice, place doucement sa main droite sur mon dos, remonte vers ma nuque et caresse doucement mes cheveux, et elle me dit doucement à l’oreille: “Tu es très beau, tu sais, Martin, et j’ai très envie de toi….”Je güvenilir canlı bahis siteleri n’en reviens pas, je la regarde tout perdu, elle me souri, pivote et viens s’asseoir sur mes genoux, en travers de mes cuisses. « Chhhhhut…. » dit-elle en plaçant un index volontaire sur mes lèvres, anticipant une protestation de ma part. Puis elle a déposé tout doucement sa bouche sur la mienne, délicate, d’abord des petits baisers furtifs, puis des petits coups de langue auxquels je répondais d’abord timidement, puis plus volontairement.Je découvre chez elle une immense sensualité, qui s’exprime par un mélange d’une infinie douceur, doublé d’une lenteur, d’une retenue dans les gestes et les mouvements, comme si elle voulait faire durer infiniment la volupté de l’instant.Nos bouches se cherchent, se trouvent, nos lèvres se découvrent, nos langues se caressent, la respiration d’Anne s’accélère, devient plus profonde, ses mains commencent à parcourir mon corps, mes cheveux, ma nuque, ma poitrine… Je glisse prudemment une main sous son pull, dans son dos, j’effleure sa peau et le petit duvet de poils qui recouvre ses reins. Elle se cambre en frissonnant et en poussant un petit gémissement de plaisir.Je la soulève en la prenant sous les aisselles (elle était toute menue), et je la place face à moi, à califourchon sur mes cuisses, et nous reprenons nos baisers passionnés, nos caresses deviennent plus entreprenantes.Elle déboutonne doucement ma chemise, lentement, prenant son temps, et à chaque nouveau bouton ouvert, elle dépose un baiser langoureux sur ma peau, puis elle déplace ses lèvres sur ma peau pour venir embrasser et sucer doucement un de mes tétons…. Hmmm…. J’adore cette sensation subtile… et très excitante.Pour tout dire, à ce moment-là, je suis comme sur un nuage, je plane, c’est très érotique et très, très bon.Je bande, mon sexe emprisonné dans mon boxer short forme une bosse dans mon pantalon. Anne l’a senti, et elle commence à faire des petits mouvements de bascule, d’avant en arrière avec son bassin, et elle vient délicatement frotter son sexe sur le mien.Mes mains parcourent son corps, sous son pull, sous sa jupe où je découvre avec surprise que ses bas noirs sont des « Dim Up », et que je peux caresser le haut de ses cuisses, ses hanches, ses fesses.Je remonte mes mains sous son pull, je dégrafe délicatement son soutien gorge, et je remonte mes mains avec infiniment de lenteur, de douceur sur sa peau pour venir les placer sur ses seins. Elle se cambre et gémi de plaisir… je remonte son pull, j’ai envie de voir ses petits seins tout durs, si fermes. Ils sont en forme de poire, avec de très grands mamelons tout roses, et de petits tétons tout durs. Je pose ma bouche sur l’un puis sur l’autre, je les embrasse doucement, puis je saisis un téton entre mes lèvres et je me mets à le sucer et à le lécher avec ma langue.Anne adore cela, elle tient ma tête avec ses deux mains, pressant ma bouche sur son sein… Elle gémi …. « Hmmmmm….. c’est booooonnnnn, continue, j’adore ça…. Hmmm » et les mouvements de son bassin sur mon sexe tendu se font plus précis, plus intenses, je sens qu’elle vient presser son sexe, son clitoris sur la bosse de ma bite, au travers güvenilir illegal bahis siteleri de mon pantalon.À nouveau, je la soulève par les aisselles et je la pose sur la table, devant moi, j’écarte les papiers et les bouquins pour lui faire de la place, je l’oblige à se coucher sur le dos, face à moi, cuisses écartées, sa minijupe relevée.Ma bouche glisse sur la peau du haut de ses cuisses, juste là où ses bas s’arrêtent, je remonte tout doucement en faisant glisser mes lèvres et ma langue sur sa peau, je plaque ma bouche dans le pli de l’aine que je lèche en pressant ma langue sur sa peau….Anne gémit, soupire, sa respiration est profonde, elle se cambre….Tout doucement, je dépose un baiser sur sa petite chatte, au travers du tissu de sa petite culotte. Anne pousse un petit cri de surprise et de contentement.Je glisse prudemment un doigt sous l’élastique de sa culotte tout en continuant à déposer des petits bisous sur son clitoris que je sens tout gonflé sous le tissu : elle est toute mouillée, sa petite chatte coule, coule…. Hmmmm… J’adore sentir cela, j’aime l’odeur sucrée-poivrée, le goût de la p’tite mouille des femmes, et la sienne particulièrement.Je glisse doucement mes mains sous ses fesses, je prends l’élastique de sa culotte et j’entreprends de la lui enlever, tous doucement, très lentement, en faisant glisser sensuellement le tissu sur sa peau.Elle soulève un peu ses fesses pour m’aider à l’enlever.Sa petite chatte coule tellement, elle est tellement excitée, qu’un long fil de sa mouille reste un peu collé au fond de sa petite culotte pendant que je la lui enlève. Je trouve cela très excitant. Et je n’en peux plus, je n’y tiens plus après tant de retenue.Je jette sa culotte par terre, je saisis ses jambes en dessous des genoux et je relève ses cuisses sur sa poitrine, la maintenant fermement pour qu’elle ne bouge plus et, avec ma langue, j’ai saisi le fil de mouille, puis je suis remonté tout doucement depuis l’entrée de son vagin d’où provenait ce délicieux nectar vers son clitoris.Anne s’est tendue, arquée, cambrée sur la table et elle a poussé un cri de plaisir.J’ai collé ma bouche sur sa chatte, sur ses longues lèvres charnues, sur son clitoris, j’alternais les bisous, les petites léchouilles sur ses lèvres, sur son clito, à l’entrée de son vagin, tout en caressant doucement ses deux mamelons. Anne gémissait profondément « hmmmm….Martiiiiin…. c’est booonnnn…..j’adore ce que tu me fais…..hmmm… »À nouveau elle pris ma tête entre ses mains, caressant mes cheveux, maintenant ma bouche collée à son sexe, pendant qu’elle reprenait ses mouvements de bascule avec son bassin, frottant sa chatte et son clitoris sur ma bouche et sur mon visage.Puis, j’ai senti sa main droite glisser sur son pubis, descendre sur sa chatte, ses doigts venant se mêler à mes lèvres et à ma langue sur son clitoris, sur les lèvres de sa chatte, entrant et sortant de ma bouche, puis elle a glissé un doigt dans l’ouverture de son vagin, m’indiquant ainsi ce dont elle avait envie.Tout en continuant à lécher et embrasser sa petite chatte, j’ai glissé un doigt, le majeur, dans l’entrée toute mouillée de son vagin. J’ai d’abord fait de petits mouvements d’allers-retours, güvenilir bahis şirketleri puis avec le bout de mon doigt légèrement replié à l’intérieur vers le haut, j’ai commencé à caresser la paroi de son vagin plus fermement, en exerçant une pression. Et là, un premier orgasme a submergé Anne, elle criait, la bouche grande ouverte, son visage empourpré. Cet orgasme a duré longtemps, son corps était secoué de contractions, de spasmes, les muscles de son vagin se serraient et se desserraient autour de mon doigt.Et elle tenait toujours ma tête à deux mains, pressée contre son pubis qu’elle faisait glisser de haut en bas sur mon visage.Cet orgasme n’était que le premier d’une série, comme je continuais à la caresser et à la lécher doucement. Anne avait atteint un plateau de jouissance où je la maintenais sans trop de difficulté, et elle faisait des orgasmes à répétition, qui parfois se suivaient très rapidement. Anne soupirait : « hmmmm…. Mais qu’est-ce que tu me fais là… .hmmmm »C’est alors que j’ai décidé de faire une petite variation, et je suis descendu avec ma langue sur son anus qui était tout trempé de la mouille qui coulait de son vagin et de ma salive, tout en continuant à caresser sa chatte et son clito avec une main.Je lui léchais son p’tit trou, entrant et sortant ma langue de son anus.Anne a poussé un cri de surprise et de plaisir : « mais ? mais qu’est-ce que tu fais ? on ne m’a jamais fait ça !…. Hmmmm…. C’est booooonnn ! »Je suis remonté avec ma bouche et ma langue sur l’entrée de son vagin, puis son clito, pendant qu’avec un doigt je caressais doucement, lentement, délicatement, son anus.À ma très grande surprise, j’ai senti la main d’Anne se glisser sous ses fesses, saisir la mienne par un doigt et elle s’est mis à tirer dessus fermement, pour obliger le doigt qui caressait son anus à rentrer dedans !! Je me suis alors mis à faire des petits mouvements tout doux dans son p’tit cul avec mon doigt pendant que je continuais à lui lécher le clitoris. J’ai glissé un autre doigt dans son vagin, et je pouvais les sentir bouger au travers des parois anales et vaginales.Cet alors qu’un orgasme fulgurant, violent, long a littéralement submergé Anne, toute cambrée, hurlante, sur la table, les muscles de son anus et de son vagin se contractant spasmodiquement autour de mes doigts.Je l’ai laissé « redescendre » tout doucement, j’ai retiré doucement mes doigts, ma tête posée sur la toison de son pubis. Puis elle a posé ses mains sur mon dos, m’a caressé doucement les cheveux, et elle m’a dit « hmmmm…. Martin, jamais quelqu’un ne m’a fait jouir comme ça, c’était fabuleux…. Hmmm…Merciiiii…. c’était si bon, si fort…. »J’ai adoré ce moment très érotique, parce qu’il y avait de l’abandon, de la tendresse, de la volupté, et que c’était si bon de lui montrer que moi aussi, j’avais envie d’elle, mais surtout que son plaisir était plus important que le mien.Il n’y a pas d’amour possible sans respect, sans partage, sans empathie.Bien sûr nous avons fait l’amour (elle faisait divinement bien l’amour…), nous sommes restés amants quelques années, ce ne fut que du bonheur, plein de complicité et de sensualité.Mais ça, c’est une autre histoire….Je pense qu’Anne avait besoin de retrouver de la confiance en elle dans les bras d’un homme doux, tendre et patient, attentif à elle, elle avait aussi besoin d’apprendre sur la vie et sur les relations humaines et notre différence d’âge (20 ans) est venu à un moment donné de sa vie comme combler un manque, réparer quelque chose…Martin.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

la halte routiere

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Asian

la halte routiereDernièrement, je décide de faire un tour de voiture. Direction Québec par la 20, il est tard, j’arrive a la premiere halte routiere. Je me stationne loin de la cabane, il fait noir, il fait chaud, je suis en short. Je l’enleve carrément, j’ai amené une serviette au cas. Je me caresse la queue d’une main qui leve doucement, l’autre va sous mon t-shirt pour aller me caresser les seins. J’incline mon siege, me ferment les yeux. Je suis bien, ca dure comme ca une bonne dizaine de minutes, me masturbe lentement. Toque, toque, je sursaute ouvrent les yeux- Besoin d’aide ?Un homme d’a peu pres mon age est la qui me regarde.- Je vous ai vu arrivé, et malgré la noirceur, je me suis rendu compte que vous vous étiez déshabillé, alors j’ai illegal bahis pris mon courage a deux mains et et décidé de venir voir, ca fait un bon cinq minutes que je vous regarde vous caresser, puis-je vous tenir compagnie ?je ne prends pas le temps de penser-ouiL’homme prends place a mes cotes et des qu’il s’assied me prends la queue. Il m’invite a baisser completement mon siege, ce que je fais. Sa main vient me fermer les yeux. Je sens sa bouche qui se colle a ma bite qui frémit de bonheur. Sa langue tourne autour du gland, ses levres gobent ma queue, je la sens rentrer entieremnt. Sa main masse mes couilles pleines. Ma main aimerait bien prendre la sienne, mais l’habitacle et sa position m’empeche, alors je lui caresse les cheveux illegal bahis siteleri et le dos. il prend deux minutes pour baisser son pantalon et se remet a me sucer. Moi ma main va sur ses fesses, sa main les écarte, je lui caresse la rondelle, je viens me mouiller un doigt pour lui mettre dans son trou, Je lui masse l’interieur, je le pousse jusqu’au fond, en glisse un deuxieme. Il me lache la queue, baisse a son tour son siege.- veux-tu me baiser le cul ?- je veux bien et ce sera la premiere foi- tu verras tu aimerasIl prend la serviette la colle aux vitres de cote, pas tres subtile, mais comme il n’y a pas grand monde- je vais me placer a quatre pattes sur le siege arriere, mets une capote et baise-moiIl se met aussi une capote. canlı bahis siteleri Je fais ce qu’il me dit, me protege, mets du lubrifiant sur ma queue et sa rondelle. Je me place derriere, colle mon gland sur son entree, mes mains sur ses hanches et pousse. Je fais de petits mouvements de va-et-vient. Je finis par tout rentrer et la je commence a baiser mon premier homme. Lui se masturbe, je me colle le ventre sur son dos pour lui prendre la bite pour le crosser. notre respiration s’accéllere a tous les deux. Je viens le premier suivi de peu par lui. Nous restons comme ca un petit moment. Je me retire et reprends place a mon siege, lui plie la serviette pour s’assoir dessus et sans m’avertir vient m’embrasser a pleine bouche, agréablement surpris je le laisse faire, nos langues font connaissance, on échange nos salives. On se sépare, se rhabille. Un dernier baiser, une caresse sur ma bite, il sort, retourne a sa voiture et disparait. Je vais y retourner pour qu’a son tour, il me baise

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

René [Partie 1]

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Asian

René [Partie 1]Ma mère et moi avons une relation fusionnelle probablement due au départ précipité de mon père lorsqu’il a appris que ma mère était enceinte de moi, cependant, il n’y a qu’une seule chose qu’elle ignore de moi : j’aime les hommes.On est le 20 juillet 2010, au 38eme anniversaire de ma mère.Les invités arrivent peu a peu à la maison, tandis que moi, en bon ado “rebel” je suis enfermé dans ma chambre, lumière éteinte, volets fermés, à tchatter sur Facebook.N’ayant aucune vie sexuelle depuis maintenant 16 longues années, il m’arrive souvent, comme ce soir, de dialoguer avec des hommes, de faire des plans cam ou même d’en appeler certains pour les entendre me dire toutes les cochonneries qu’ils aimeraient faire au petit métis assoiffé de sexe que je suis.-Gabriel! Descends dire bonjour!-Ouais.. J’arrive..Fais chier! Je n’ai absolument pas envie de prendre part a la fête mais je descends quand même, par respect, saluer les amis et collègues de ma mère.J’entends les habituels “oh t’as grandis toi!” ou bien “bah alors gaby, quand est ce que tu nous ramène une copine?”.Je me mords les lèvres pour ne pas être désagréable, esquisse un sourire hypocrite et m’apprête a remonter dans ma chambre quand la sonnette retentit à nouveau.-Gaby, va ouvrir s’il te plait.-Oui maman! Répondis-je a ma mère d’une voix faussement excité.En ouvrant la porte, je tombe sur René, le chef de service de ma mère.Lui, me connaît depuis tout petit et est sans doute l’homme le plus lourd du monde. René est un homme aisé mais au physique peu agréable : il est assez fort, très poilu, transpire beaucoup et a les dents aussi jaunes que les filtres des cigarettes canlı bahis qu’il fume. Je m’empresse de le saluer d’une bise et remonte dans ma chambre.La soirée bat son plein en bas tandis que moi, je suis toujours enfermé dans mon antre à me masturber en dialoguant avec un homme.A la fin de cette longue séance de masturbation, j’ai le bras droit engourdi et le sexe épuisé, je décide alors de descendre prendre quelques amuse-gueule pour reprendre des forces.L’ambiance est bonne, les gens discutent, rient aux éclats, boivent, certains dansent même. René s’écrit alors :-Ah bah le voilà lui! Viens prendre un verre avec nous, t’es un homme maintenant Gabriel!Je comprends au son de sa voix qu’il a déjà un coup dans le nez, mais m’exécute, amusé par la situation. René me sert un verre de Vodka, sous les yeux bienveillants de ma mère qui surveillent le dosage. Ce dernier fait mine d’att****r le jus d’orange pour rassurer ma mère puis le repose une fois qu’elle détourne le regard.-Les hommes boivent pur, Gaby. Amuse toi mon grand.. Me susurre-t-il a l’oreille.C’est bizarre, mais sentir son souffle chaud et alcoolisé dans mon coup me procure un léger frisson que je ne saurai expliquer. Je n’y porte pas plus d’attention et m’attaque a mon verre. Pressé de remonter vaquer a mes activités, j’avale la vodka en deux gorgées puis me lève discrètement afin de quitter la table sans attirer l’attention sur moi quand je sens la main de René agripper mon bras.-Déjà? Tu avais soif! Prends en un deuxième et ne dis rien a ta mère. Me chuchote-t-il a nouveau a l’oreille.Un second frisson parcours mon corps. Je le laisse me servir a nouveau, cette fois ci ma bahis siteleri mère est en pleine discussion et René rempli mon verre jusqu’en haut en me regardant tout sourire. Il me faudra vingt bonnes minutes pour arriver a bout de ce verre qui me brûle la trachée a chacun des gorgées avalées.A peine terminé qu’il m’en ressert un, je me sens comme prisonnier, étant trop timide pour refuser et ma mère étant trop occupée avec ses convives pour mettre un terme a tout cela. Au bout du 5eme verre, je suis complètement bourré : ma tête tourne et je commence à avoir très chaud. Voyant mon état, René se résigne a me faire boire.Je m’empresse de me lever pour tituber jusqu’aux escaliers ou celui ci me rejoint :-Je vais t’aider a monter, si ta mère te vois comme ça, elle me tuera!Ne répondant plus de rien, je le laisse faire. Il monte les quelques marches que j’avais difficilement monter et m’att**** par la taille.Un nouveau frisson me parcours mais cette fois, je décide de me laisser aller. Au fur et a mesure que nous montons, je sens la main de René descendre doucement mais sûrement jusqu’à la limite de mes fesses.Arrivés en haut, René ne retire pas sa main. Je suis tout émoustillé et commence donc à me cambrer quand il me dit doucement a l’oreille:-Tu es un beau garçon Gabriel..A peine le temps de tourner la tête pour le regarder que sa bouche rencontre la mienne.René m’avale littéralement la bouche, m’embrasse, me lèche les lèvres, nos langues se rencontrent, s’entremêlent pendant que ses grosses mains parcourent vigoureusement mon corps tout frêle comparé au sien.Un peu surpris, je m’abandonne carrément a cet homme mûr au physique ingrat bahis şirketleri qui semble, lui, savoir parfaitement ce qu’il fait.Ma bouche est désormais remplie de sa salive chaude et sucrée.J’ai des petits papillons dans le ventre et ses mains caressant mon torse et mes fesses décuplent mon plaisir.Son ardeur m’excitait et m’effrayait a la fois.Il me plaque alors violemment contre la porte de ma chambre et m’embrasse dans le cou en me bloquant les poignets au dessus de ma tête tandis que je pousse des petits gémissements de chienne en chaleur pour lui faire comprendre que je suis prêt a faire ce qu’il demandera..-Entre dans ta chambre, Gaby.Encore tout retourné par ce baiser fougueux, je ne réfléchis pas et entre dans ma chambre sans un mot.Il y fait déjà noir, des mouchoirs remplis de ma semence jonchent le sol et mon bureau.Il entre dans la pièce rapidement et referme la porte délicatement.-Déshabille toi mon chéri.Sans broncher, je retire mon t-shirt, mon jean slim et mon caleçon pour laisser sortir mon sexe déjà tout gonflé de plaisir et d’excitation sous le regard pervers de mon partenaire.René me regarde avec envie, comme s’il voulait me dévorer. Il se lèche les lèvres et s’approche doucement de moi en ne regardant que mon corps. Je frémis lors du contact de ses grosses mains sur ma peau nue ce qui semble l’exciter davantage, il se remet alors a m’embrasser fougueusement en me léchant quasiment toute la partie inférieure du visage tout en me faisant m’allonger sur le lit. Il att**** alors mon jean que j’ai vulgairement jeté par terre et m’attache les deux mains ensemble, à un des barreau de ma tête de lit.Voilà le tableau : Je suis tout nu, complètement ivre, allongé et attaché à mon lit pendant que ses doigts effleurent mon corps de long en large.Je suis à sa merci, ce qui ne fait qu’accentuer mon envie d’aller plus loin avec lui.A suivre ..

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

HISTOIRE DU NET :Comment je suis devenue une sodom

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Deepthroat

HISTOIRE DU NET :Comment je suis devenue une sodomJe m’appelle Anna-Belle, j’ai 27 ans. Je suis petite, à peine 1m50 pour 52 kg. Je garde la forme en m’entraînant au gym plusieurs fois semaines alors j’ai un corps bien ferme et musclé. Je suis une salope. Il y a 10 ans, je suis devenue une sodomite. Je vous raconte comment.J’avais 17 ans et ma sexualité se développait peu à peu. Il m’arrivait régulièrement de regarder des films x et mes connaissances sur la choses montaient en flèche tout comme ma curiosité d’aller toujours plus loin.Cet hiver là fut froid et maussade. Je me concentrais sur mes études et n’avais pas trop la tête à la fête. Je sortais peu, préférant rester seule à la maison et me masturber en silence. Mon imagination était débordante et je ne tardais pas à venir. Malgré tout ce que je pouvais imaginer, ce qui m’arriva me donna de quoi jouir encore et encore dans mes moments intimes…A la fin mars, je fis la connaissance de Carl. Il était policier nouvellement gradué. Il était grand et fort, avait les cheveux bruns et les yeux noisettes. Il avait un de ces regards qui vous font figer sur place. Il faut dire que j’étais une jeune femme renfermée sur elle-même et il en fallait peu pour m’intimider. Bref, je tombai rapidement sous son charme. Carl savait parler aux femmes. On disait de lui qu’il avait beaucoup d’expérience et que ses maîtresses étaient nombreuses.Carl fut patient avec moi et ne me brusqua illegal bahis pas. Il m’invita à faire plusieurs activités avec lui et ne m’invita chez lui que plusieurs semaines après notre rencontre. Je me sentais bien avec lui, en sécurité. J’avais confiance en lui…J’arrivai chez lui à 13:00 comme nous l’avions prévu la veille. J’étais vêtue d’un jean moulant qui dessinait la courbe parfaite de mes fesses et d’un débardeur blanc qui mettait mon buste déjà bien développé en valeur. J’avais pris soins d’appliquer une légère couche de maquillage sur ma peau pâle et je n’avais pas oublié la touche de parfum. Mes longs cheveux blonds ondulés me retombaient au milieu du dos. J’étais vraiment à mon top, je me sentais mieux que jamais.Carl m’amena vite à sa chambre. Il commença par m’embrasser longuement. Ses mains jouaient dans mes cheveux soyeux. De petits frissons naissaient sur mes bras qu’il caressait tendrement. Tout en poursuivant ses baisers, il fit passer mon chandail par-dessus la tête. Il caressait mon dos des épaules jusqu’à la taille puis remontait vers la nuque. Je frissonnais maintenant de tout mon corps. Ses caresses laissaient naître le désir qui faisait son œuvre; je mouillais. Il dégrafa mon soutien-gorge et s’occupa de mes seins. Il les pétrit, les massa, les embrassa, les suça… Il se débarrassa ensuite de mon jean et de ma culotte. Il inséra un doigt, puis deux dans mes chaires tendres et illegal bahis siteleri bien humides.- Que tu es chaude Anna-Belle. J’ai trop envie de toi. Tu veux bien que je te pénètre?- Oh ouiii, bien sûr, mets-moi la…. Mais fais attention je ne prends pas la pilule- Attends. J’ai une idée….. Laisse-toi faire je vais te faire jouir comme jamais…Il me prit par la taille et me coucha sur le lit à plat ventre. Il me chuchota à l’oreille:- Ferme les yeux et détends toi.Je fis ce qu’il dit. J’entendais un pot s’ouvrir. Sûrement une gelée lubrifiante. Un doigt se posa sur mon anus avec délicatesse. La gelée était froide et j’eus un petit frisson. Il entra par petits coups et força mon anneau qui cherchait à se resserrer autour du doigt. Des gros frissons parcouraient maintenant ma peau délicate.Carl joua longuement avec mon petit trou et décida d’y insérer deux doigts. Il me ramona bien le derrière de façon à faire de l’espace pour son membre. Je sentais monter une chaleur dans mon corps. C’était la première fois que j’avais ce genre de sensation avec un homme. J’en avais eu de similaires lorsque je me masturbais le soir, mais jamais aussi intense. L’orgasme arrivait à son point culminant lorsque Carl s’arrêta sec.- Pas maintenant ma belle. Prenons notre temps.Mon amant prit son membre dans ses mains et se plaça derrière moi. Il se débraguetta rapidement. Son sexe était dressé bien haut, de taille moyenne. canlı bahis siteleri Il s’allongea sur moi, prenant appuie sur ses coudes et entra lentement en moi. Je sentis mes parois se distendent à mesure que son sexe entrait en moi. Je n’avais pas mal. Il se mit à m’enculer doucement mais avec un rythme soutenu.- Tu aimes te faire enculer ma belle? dis-le moi-Ohhh ouiiiii j’aime me faire enculerSa respiration s’accéléra. Quant à moi, je ronronnais de plaisir. La même chaleur monta en moi. Je me sentais tout drôle, mais tellement bien. C’était la première fois que je me faisais enculer et j’allais jouir. Son pénis entrait et sortait de mes entrailles sans s’arrêter. Il me sodomisa dix bonnes minutes.Tout mon corps se raidit soudainement. Je jouis très fort en laissant échapper un cri aigu. J’étais maintenant secouée de spasmes. Au même moment, Carl se raidit à son tour. Je le sentis gicler en moi. Son sperme dans mon cul était chaud. Il laissa échapper un long râle de jouissance. Mon anus se contractait autour de son membre qui jutait sans retenu. Il s’effondra sur moi de tout son poids en respirant bruyamment. Nous restâmes dans cette position jusqu’à ce que son sexe ramolli dans mon derrière. Ayant repris son souffle, il se leva lentement.Nous prîmes ensuite une douche et il me ramena à la maison. Dans la voiture il me demanda:- Tu as eu mal?- Non pas du tout et j’ai beaucoup aimé- Tant mieux parce que ce n’est que le commencement. Je ferai une vraie sodomite de toi. Tu deviendras ma petite chienne. Je te montrerai tout. Tu veux bien?Je n’eus pas à répondre, il l’avait décidé. Je deviendrais sa chienne, sa sodomite. Je recommençais déjà à mouiller…

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Belle Yaëlle (1)

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

Belle Yaëlle (1)Belle YaëlleSoir 1 : RencontreIl est à présent 7h du matin, cette nuit encore je n’ai pu dormir… Sept jours, sept nuits, sept putains de nuits … je suis épuisé.J’ai tenté en vain de prendre des médocs pour m’assommer, de boire jusqu’au c***, rien n’y a fait.Tout cela à cause de cette nana, de cette chose qui me hante en permanence, ho, au début j’ai trouvé cela sympa… mais à présent je comprends que je n’aurais pas dû.Cela a commencé il y a tout juste une semaine, comme à mon habitude je recherchais des sensations fortes, du plaisir vite fait, une quelconque prostituée ou même une pauvre nana qui aurait abusé de cette boisson à succès qui désinhibe et augmente l’appétit sexuel. Je remerciais notre merveilleuse société d’avoir autorisé ce genre de produit car bénéfique au bien être mental des concitoyens… Vaste blague, mais bon, tout le monde y trouvait son compte, même ces pauvres tâches trop timides qui n’osaient aborder des femmes ou ces femmes complexées qui n’assumaient pas leurs corps…Bref, ce soir-là je ne sais pas pourquoi mais je n’avais pas trouvé de nana à mon goût, trouver une nana prête à s’envoyer en l’air n’était pas difficile en soi, mais trouver le genre de chienne que j’aimais baiser à même la rue dans la crasse de cette ville croupissante d’autosatisfaction c’est plus dur. Mon adrénaline à moi c’est le vice, c’est la dépravation, plus le sexe peut être bestial et dégradant, plus ça me plait, baiser comme une brute une femme shootée à ce « X-trm » devant ses copines ou son mari, lui-même en train de se faire pomper par n’importe quelle bouche, ou alors fouetter jusqu’au sang une jeune femme ne sachant plus si elle doit hurler au secours ou lâcher un rire hystérique tant cette drogue légale vous bousille tout sens des réalités, , c’est ce qui me fait bander dur, vraiment dur. Ce n’était pas l’acte que j’appréciais le plus, même si il faut l’avouer j’adore atteindre cette débauche de sexe ; mais plutôt la satisfaction que le lendemain, lorsque la drogue se sera entièrement dissipée, les esprits n’auront quant à eux rien oublié.Mais ce soir-là je craignais de devoir faire appel à une de ces bornes automatique qui vous masturbe et vous suce jusqu’à entière satisfaction. Mais elles sont illégales et véhiculent les MST vu que tout le monde vient avec son hygiène douteuse et que le système de désinfection automatique tombe régulièrement en panne entre deux clients.Je commençais à désespérer lorsque je l’ai vue, cette nana à faire bander un cadavre, de dos une de ces beauté, un châssis de rêve, de longs cheveux noirs, rasés en partie comme ces punkettes que l’on voit un peu partout dans les rues. Des mèches rouges entourées d’autres d’un mauve très sombre, un cou d’une finesse, de ceux que l’on pourrait briser d’une main, surligné à la perfection par un tatouage étrange, remontant finement le long des arrêtes arrières de sa nuque, comme des pointes remontant de ses épaules. Malheureusement en partie masqués par la masse de sa chevelure sombre.Une chute de rein parfaite, moulée dans un haut sombre présentant des ouvertures, comme des traces de griffes dévoilant quelques portions de peau, invitant aux désirs les plus primaux. Et ce cul, bordel ce cul, je pense ne jamais avoir vu pareille merveille d’aussi loin que ma mémoire puisse remonter, il faut dire que ce pantalon noir en cuir le mettait parfaitement en valeur. J’espérais instantanément être tombée sur une jeune femme prête à toutes les orgies, à m’en demander toujours plus jusqu’à risquer la mort pour jouir davantage.J’avançais lentement, la dévorant du regard, prenant un plaisir inqualifiable à m’imaginer les pires scènes de stupre.Arrivé enfin derrière elle, je réalisais l’objet de son attention, une femme à genoux dans la rue en train de pomper au bas mot une dizaine de lascars, en y regardant de plus près je constatais la taille des membres de ces gars, tous montés comme des minotaures. En train de fourrer au plus profond la gorge de cette salope qui semblait en redemander. Les insultes fusaient de partout, les crachats et les gifles. De multiples mains déchiraient les vêtements de la femme, attrapant au passage ses seins flasques et lourds. Elle, n’était pas à mon gout, pas vraiment moche, juste inexistante, le canlı bahis şirketaleri genre de nana que tu peux croiser mille fois dans la rue sans jamais la remarquer. Mais son comportement était tel qu’immédiatement mon sexe se mit à tressaillir, gonflant mon pantalon. Cette femme au milieu des lascars était visiblement incapable de supporter des sexes enfoncés aussi loin, pourtant ses mains se plaquaient sur les fesses du veinard comme pour l’attirer toujours plus loin, les mouvements de queue se faisaient dans un gargouillis permanent de bulles de salive, ressortant même par ses narines, c’est un bruit délicieux que beaucoup d’hommes rêvent d’entendre un jour et qu’ils leur arrive souvent d’imaginer dans leurs fantasmes les plus machistes.Cela ne semblait en tout cas pas déplaire aux gars devant moi, chacun à leur tour finissant par jouir dans la bouche de la pompe à bite à genoux devant eux, comme implorant le pardon divin. Le foutre se mélangeant à la salive, la lubrification devenait alors plus efficace encore, à tel point que l’un d’eux, ayant un sexe disproportionné mais impossible à bander dur réussit à enfoncer son sexe jusqu’aux testicules, déformant au passage la gorge de cette femme, son visage vira au pivoine, ses yeux crispés à l’extrême, ses mouvements de gorge impliquant forcément son envie de recracher, de régurgiter sexe, sperme et contenu de l’estomac, mais ses mains restaient immuablement sur les fesses du gars, l’attirant toujours aussi loin et violemment vers sa jouissance.Je me trouvais à ce moment derrière « elle » mais légèrement sur sa droite. Elle si parfaite, si digne devant cette scène d’orgie buccale. D’où je me trouvais je ne pouvais voir son visage mais juste discerner les traits de ses lèvres provocant immédiatement l’envie irrépressible de l’embrasser, d’y glisser langue doigt ou toute autre partie du corps. Des lèvres charnues, mais pas de celles que l’on trouve sur le marché du silicone ; non, des lèvres parfaites, rouges, timides, aux arrêtes franches et dessinées à la perfection. Plus je la regardais et plus mon cœur battait, battement repris en cœur par mon sexe.Soudain une main vint se poser sur la bosse de mon entre jambes, débutant immédiatement un massage des plus délicat, comme timide mais pourtant réel.Ce fut elle qui entama la conversation« Cette scène ne vous laisse pas non plus indifférent »Il est rare que je puisse être désarçonné mais je ne balbutiais alors qu’un malheureux« Je… oui… c’est très excitant »« Cela fait près d’un quart d’heure qu’elle subit ce traitement sans faillir, qu’est ce qui la pousse à faire cela vous croyez ? »Reprenant un semblant de contenance tandis que cette main délicate me massait à présent le sexe à pleine main à travers mon pantalon« X-trm sans aucun doute, c’est très à la mode en ce … »Elle venait de resserrer sa main sur mon sexe, ses ongles s’enfonçant malgré le pantalon dans mes burnes, provoquant un sursaut de crainte et une pointe de douleur. Relâchant un peu son étreinte elle reprit « Non, ce n’est pas ça, à votre avis pourquoi ? »« Je… parce qu’elle en avait envie »Erreur de ma part, sa main se resserrait une nouvelle fois mais davantage, provoquant une vive douleur et un réflexe de retrait pour ma part, soldé par un échec, je suis resté bloqué, comme coincé dans un putain d’étau.« tss tss, ce n’est pas ça non plus, laissez libre court à votre imagination, je suis sur qu’un pervers tel que vous peut y parvenir »Cette jeune femme était aussi flippante que bandante, je ne suis pas un gringalet, que du contraire, en général les mecs préfèrent éviter toute confrontation avec moi, j’ai une réputation de cogneur et de sociopathe, mais à l’instant, étrangement, je comprenais qu’il faudrait m’arracher les burnes si je voulais m’éloigner d’elle.« Regardez mieux la scène »J’obtempérais et regardais, les hommes ne la violentaient pas, pas de couteau sous la gorge, pas de mains la maintenant bloquée avec ces sexes enfoncés jusqu’à la garde, rien ne laissait constater un quelconque viol, mis à part le malin plaisir que ces gars semblaient à voir s’étouffer la femme tandis qu’ils se vidaient dans sa gorge en l’inondant des pires insultes. Elle continuait d’elle-même à les attirer et pourtant son visage déformé canlı kaçak iddaa par les grimaces les plus ridicules montrait à quel point elle souffrait de ces sexes énormes qu’elle engloutissait… Pendant ce temps la main de ma belle s’était remise à me procurer le plus délicieux des massages.« Elle semble le faire d’elle-même mais en même temps d’y être contrainte, comme… » je me disais que j’allais dire une connerie mais tant pis « … comme si elle était possédée »Regardant le visage de ma belle je constatais un sourire se dessiner sur son visage, un sourire empreint d’une certaine forme de satisfaction mêlée au sadisme froid des pires bourreaux. Sa main ne s’était d’ailleurs pas resserrée non plus sur mon entre jambes, j’étais dans le bon.« Tu t’approches, elle n’est pas possédée, elle est en effet sous l’emprise d’une force plus grande que sa volonté… à ton avis ? »Sa main venait de défaire les boutons de mon pantalon avec une telle dextérité et en l’espace de si peu de temps que je ne me rendis compte que c’était arrivé qu’une fois mon sexe palpitant bondissant hors du pantalon, sa main d’une douceur et d’une délicatesse incomparable reprenant aussitôt le massage, ses mains étaient également fraiches, rien de tel pour augmenter le plaisir d’un homme lorsque son sexe est brûlant de désir.« … Parce que tu le veux… »C’était à la fois une affirmation et une question, je n’étais pas sur mais c’était sorti tout seul, je n’avais pas réellement réfléchit, comme si d’instinct mon corps avait répondu« Biennnnn, ce n’est pas tout à fait cela mais tu es trop proche pour être punit » et reprenant aussitôt tandis que sa main me branlait à présent, imprimant un lent et implacable mouvement de bas en haut « elle le voulait, elle le fantasmait, ils le voulaient également, alors je leur ai demandé à tous de le faire et ils se sont exécutés »« je … je ne comprends pas »« Tu vas comprendre, as-tu envies que cette femme vienne te lécher les bourses tandis que je te masturbe, et lorsque tu seras sur le point de jouir, qu’elle te pompe de toute ses forces tout en régurgitant tout le sperme qu’elle a déjà avalé ? »Ce qu’elle venait de me demander me dégouta presque autant que cela augmenta mon plaisir, jamais je n’aurais envisagé de glisser mon sexe là où le sperme d’un autre venait d’être rependu, et pourtant en même temps mon excitation et mon envie étaient tels…Comme si elle avait lu dans mes pensées… « Et tu pourras voir enfin mon visage »Je n’hésitais plus une seule seconde« Oui ! »« Maman, as-tu envie de venir pomper Mr ? »Maman ??? Que venait-elle de dire ? Cette femme était donc sa mère ? Comment une femme aussi banale pouvait-elle avoir enfanté pareille créature de rêve ? Comment une fille et mère pouvaient avoir ce genre de relation ? Comm…Toutes ces questions en l’espace d’un instant, tandis que la mère regardait dans notre direction, fixait mon visage, puis mon sexe, puis sa fille et faisait part de son approbation en clignant des yeux.« Alors viens le faire mais masse lui d’abord les bourses avec ton visages et ta langue »Aussitôt la femme relâchait son étreinte sur les fesses du lascar et se mit à venir à quatre pattes vers nous, se rapprochant elle me permit de constater à quel point son visage était ravagé par ce qu’elle venait de faire, son visage était couvert de salive et de sperme, des vaisseaux sanguins avaient fini par exploser sous la pression lorsqu’elle se forçait à pomper les lascars… En parlant des lascars ; eux n’étaient pas du tout satisfaits de ce départ précipité et le faisaient savoir par un déluge d’insultes tout en remontant leurs pantalons. D’ailleurs certains avaient visiblement l’envie de punir celle qui venait de leur retirer leur jouet et se rapprochait, décidés, en insultant ma belle.Elle ne fit rien d’autre que de pointer du doigt le groupe de dix hommes, en désignant un en particulier qui s’effondra sur le sol l’instant suivant, nuque brisée nette.« Lorsque j’offre un cadeau on en profite, lorsque je le reprends on se tait » Sa voix venait d’être autoritaire, glaciale et brûlante à la fois, elle ne hurla pas, haussa a peine le ton mais je réalisais que si j’avais été celui à qui s’adressait la remarque, je serais parti sans demander mon reste, surtout après avoir vu canlı kaçak bahis ce que j’avais vu. Elle poursuivit« Une autre plainte à enregistrer ? »Le groupe se dispersa aussitôt dans l’obscurité, mon regard ne s’était posé que sur les lèvres de cette créature et sur le groupe d’hommes, je n’avais donc pas réalisé qu’entre-temps sa « mère » s’était rapprochée, le baiser glacial de son visage recouvert de sécrétions diverses se frottant sur mes burnes brulantes me fit baisser le regard vers elle . Non seulement son visage était ravagé mais ses yeux également, injectés de sang, les micro vaisseaux de ses yeux avaient certainement également éclatés sous l’effort, un peu comme les yeux de certains culturistes après un effort trop intense. Son regard était en plus celui d’une démente ; me fixant avec une telle intensité, aussi avide de luxure que de terreur, que je ne pourrai l’oublier de ma vie. Le premier de ces regards et pas le dernier…On aurait pu croire que sa vie dépendait du fait que son visage devait entièrement être balayé par mes couilles, se frottant comme une forcenée en tirant la langue, sa bouche émettant ce bruit caractéristique que fonts ces salopes lorsqu’elles joues aux chiennes et qu’elles vous bouffent les couilles.Des bruits de succion de salive et de sperme, elle utilisait mes couilles pour ramener les sécrétions à sa bouche avant de les aspirer bruyamment. Puis les recrachait de sorte à ce que mes couilles les étalent à nouveau sur son visage. Pendant ce temps la main parfaite de ma sublime créature continuait son mouvement de bas en haut sur mon sexe, le plaisir montait inexorablement. Je suis de ceux qui peuvent se retenir pas mal de temps avant d’éjaculer sur ou dans une femme, peu importe le trou, mais en ce moment il m’était dans l’impossibilité de me retenir ne fut ce qu’un peu, le plaisir montait davantage encore du fait que je ne maitrisais plus rien.J’arrivais alors à l’apogée de mon plaisir, mon sexe se gonflant encore davantage, le gland devenu maintenant violacé« Vas y maman c’est maintenant »Aussitôt que ces mots furent prononcés, la mère vint aussitôt « avaler » mon sexe, littéralement, sans aucune hésitation ni arrêt. C’est sûr que ma queue n’était pas aussi longue et énorme que celle des gars de tout à l’heure mais elle est tout de même bien épaisse et d’une raideur toute autre que les morceaux de viande mi pendants de tout à l’heure. Néanmoins elle l’avala d’un coup, la salive explosant sur mon bas ventre lorsqu’elle toussa et que sa gorge se mit à tenter de recracher ce sexe, me prodiguant à moi un massage indescriptible, ses mains se mirent sur mes fesses et imprimèrent le rythme, régulier et implacable, à chaque fois me faisant heurter son visage avec mon bas ventre et écrasant mes couilles sous son menton, le bruit des gargouillis de sa bouche autour de ma queue, le son qu’elle émettait en tentant de régurgiter mon sexe, ses yeux crispés à l’extrême tandis qu’elle luttait de toute ses forces pour ne pas vomir, tout cela conjugué me propulsa dans les méandres d’une jouissance d’une telle intensité que je ne remarquais pas la fille venir se placer face à moi et me regarder en souriant . Ou plutôt si je la remarquais mais dans ma fulgurante jouissance, mon cerveau ne réalisa pas tout de suite ce déplacement, ni le mouvement de ces lèvres semblant m’adresser un message, je jouissais tout mon saoul, gémissant, les dents crispées, le corps tendu au maximum tandis que je me vidais dans la gorge de cette femme.Ce n’est qu’une fois cet instant passé et que mes esprits revenaient lentement à moi ; la mère me suçant toujours le sexe ramollissant, plus lentement, comme pour le nettoyer et pleurant à chaudes larmes ; que je réalisais que la sublime créature n’était plus là… Je n’avais pas souvenir de son visage, enfin pas correctement, juste quelques traits me rappelant vaguement quelqu’un.Et ses lèvres, qu’avaient elles voulu dire ?Mon esprit était presque entièrement fonctionnel et je me dis à décrypter les quelques images qu’il me restait d’elle. Tandis que sa mère se levait en ayant pris soin de remonter mon pantalon et me le remettre, partant ensuite sans un mot, sanglotant.« Je … attendez… » balbutiais je Elle ne se retourna pas, tourna au coin d’une ruelle et je ne tentais même pas de la poursuivre pour avoir des informations ou des réponses. Je restais là comme un con Je la revoyais encore et encore, tout en marchant je réalisais peu à peu à qui son visage me faisait penser… Angèle…Ma fille…Fin du chapitre 1.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Education d’une épouse

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Anal

Education d’une épouseCe texte est une fiction.J’ai appris à connaître les relations de soumission et de domination avec mon mari. Ces relations ont pris part dans ma vie après quelques années de mariage assez routinières, malgré notre âge assez jeune (32 pour lui et 27 pour moi). Après de longues discussions entre lui et moi nous avons découvert que nous avions des envies communes, ou contraires, comme vous voudrez en ce qui concerne les rapports soumission/domination. Il s’est révélé très dominateur dans ses fantasmes et mois très soumise contrairement à ma vie active ou j’occupe un poste à responsabilité.Nous avons donc donné vie à nos envies, en commençant très doucement avec l’utilisation de gadgets, et tout autre objet pouvant parfaire ma nouvelle éducation de soumise. Je dois dire qu’il a pris son rôle de dominant très à cœur, à mon plus grand plaisir je dois l’avouer. Au fil du temps il a su m’imposer des contraintes, des postures, des ordres concernant ma vie au sein du foyer et à l’extérieur, dans nos rapports intimes… De femme mariée, je suis devenue son esclave, prête à tout pour combler ses moindres désirs. Mes tenues ont inévitablement changé, mais aussi mon comportement et mon regard sur la vie terne que je menais, au final. Lui totalement en accord avec son nouveau statut de maître, titre que je ne devais plus oublier, ne se gênait plus pour m’asservir, m’humilier. Je dois reconnaître que ces envies de domination étaient plutôt cérébrale. L’humiliation en était sa préférence, il aimait me voir dans cet état, à sa merci et dans le temps à celles des autres. Notre éducation nouvelle nous a fait évolué dans ces rapports de maître à esclave. L’avilissement que je subissais était le moteur de ses fantasmes, de ses envies encore plus poussées. Au fil du temps, j’ai appris à être docile, il jouait avec mon corps, mon esprit. Certains soir, la parole m’était coupée par un bâillon, d’autres soirs des menottes m’emprisonnais les poignets et les chevilles, un collier ornant mon coup et une laisse pendante sur mes reins. J’eus pour obligation d’être toujours parfaite en sa présence, tant dans mes tenues, mon épilation qui se devait d’être intégrale, mes postures.Mon éducation évoluant, ses désirs ont évolués bien sûr, toujours à la recherche de limites repoussées pour son plus grand plaisir. Je précise que cette soumission n’est pas constante dans ma vie, nous nous octroyons des moments, des périodes de quelques jours de notre vie ou nous nous laissons aller à ces pratiques. J’allie ma vie professionnelle, celle d’épouse et celle de soumise sans trop de contraintes, seuls des moments déterminés me coupent du monde que je côtoie tous les jours. Je savais que pendant ces temps libres, il se connectait sur internet afin de recueillir des témoignages d’autres dominants et par la même occasion ils échangeaient entre eux leurs expériences et envies réciproques. Son envie était claire et je l’avais compris depuis quelques semaines, il me préparait à être humilier devant des inconnus, peut être d’autres dominants, que savais-je de tout ça?Un soir, un homme frappa à la porte. Ce soir là, bien entendu j’avais pris mon apparence de soumise selon ses vœux quelques heures plus tôt. Un homme grand se présenta à la porte que lui ouvrit mon maître. Il était vêtu de noir, et semblait avenant à première vue. Je fus étonné que c’est homme que je connaissais pas, se présente à mon maître qui lui semblait de toute évidence le connaître. Il entra et sur l’offre de mon mari, s’assit sur le divan du salon. Je fus appelé après quelques minutes à venir servir l’apéritif. Cet homme pu me découvrir dans une tenue tout à fait appropriée à une soumise, en tout cas à celle qu’affectionnait mon maître. Très surprise de cette intrusion mais aussi très inquiète de la suite qu’elle aurait, je me suis présenté à cet homme en jupe et un haut de latex très courts, des bottes noires, et un collier de cuir noir, ou mon maître avait pris soin d’y faire porter mon nom. Sans dire mot, cet homme me regarda avec insistance comme pour s’assurer de ma position docile à l’égard de mon maître. Ce dernier après quelques minutes me demanda de me tourner. Je sentais les regards de ces hommes qui par leur expression m’avilissaient déjà. Je compris, par leur conversation, que mon maître avait donné à cet homme déjà quelques détails sur mon éducation, sur mon physique, et sur ma docilité grandissante.Puis l’homme en noir, me parla : « Tu aimes ta position de soumise ? »Je lui répondis : « oui je l’aime »« Y éprouves-tu du plaisir ? »A nouveau je répondis que ouiPuis ce fut tout, mon maître me renvoya dans la chambre sans d’autre mot. J’attendis presque une heure avant que cet homme mystérieux n’apparaisse à la porte de la chambre. Il me fis me lever et me dirigea à nouveau vers le salon ou mon maître toujours assis me regardait avec des yeux pétillants d’excitation. Puis mon maître me dit que mon éducation devait encore se parfaire pour que je devienne une véritable soumise et que ce soir, Arnaud que je devrais appeler Monsieur, se ferait un plaisir d’y apporter sa contribution. J’étais désormais à la merci de deux dominants, un que je connaissais tant dans ses envies que ses limites, un autre totalement inconnu à qui je ne devais opposer aucune résistance.Toujours debout, je du à nouveau me tourner. Des cliquetis se firent entendre. Des menottes, cela ne faisait aucun doute, vinrent se positionner autour de mes poignets puis se refermèrent. Monsieur était derrière moi, son souffle parcourait mon corps drapé de latex. Il me pencha en avant, pour me regarder à nouveau sous tous les angles. Il dit pour seul commentaire que j’étais tout à fait à son goût et qu’il ne manquerait illegal bahis pas de me le démontrer. Cette phrase me fit frissonner et il pu s’apercevoir de la crainte que je ressentais pour lui. Il me fit m’avancer vers la table, sur laquelle je du m’appuyer sur le ventre, il écarta mes jambes, ce qui aida à ce que ma jupe remonte un peu plus. Je sentis un objet parcourir mes jambes, de bas en haut, puis mon dos, et quand cet objet arriva au niveau de mon coup je pu voir qu’il s’agissait d’une cravache. Allais y avoir droit ? La crainte m’envahit encore un peu plus.Puis un bâillon se positionna sur ma bouche, qu’il serra avec attention sur ma nuque. J’étais désormais mains liées avec un bâillon qui amoindrissait encore un peu plus ma liberté de m’y opposer. Un sentiment d’humiliation m’envahit à ce moment là, offerte au yeux et au main de cet homme, qui ne se gênait plus pour parcourir mon corps avec ses doigts, s’arrêtant sur les zones les plus érogènes de mon enveloppe corporelle. Je sentais qui palpais mes seins, puis mes fesses, puis plus tard mon entre jambe. Je voyais les sourires approbateurs qui s’échangeaient entre les deux hommes. Puis, passant sous la jupe il découvrit que je n’avais pas de dessous et me félicita pour cette initiative. Ses doigts se faisaient plus pressants sur mon intimité, mon humidité ne se cachait plus, mon plaisir n’était que plus grand. Il força mon sexe de deux doigts que je sentis s’insinuer au plus profond de moi avant de les ressortir et de les replonger à nouveau. Un cri étouffé par le bâillon se fit entendre, et la cravache ne se fit quant à elle pas attendre sur mes fesses. Je n’avais pas le droit de gémir ni même de soupirer me dit-il. J’étais condamné à me concentrer sur le contrôle de mon plaisir. Puis il releva ma jupe d’un coup sec sur mes hanches. Toujours penché en avant, mes orifices étaient désormais à sa vue. De longues secondes s’écoulèrent avant que ses doigts ne reviennent à moi. Ses doigts mais pas seulement, un autre objet prenait par à cette séance, enduit visiblement de lubrifiant, cet objet se pointait à l’orée de mon œillet. Sans ménagement ce plug que je reconnu à sa forme glissa doucement mais sûrement en moi. Il y était calé, de taille honorable, au fond de mes entrailles, sans préparation préliminaire.Monsieur d’un ton très sec « Je désire que tu le garde un long moment en toi, que tu y prennes goût et que quand je l’enlèverai, tu me supplies de le laisser! » Je ne répondis pas et sans avertissement la cravache me frappa à nouveau. « Hoche la tête au moins, tu m’entends ? » Je hochas la tête entre douleur et plaisir.Il me releva, toujours prise par cet objet que j’avais du mal à accepter en moi. Il s’assit donc face à moi toujours debout. Il m’ordonna de m’agenouiller, tête baissée devant lui, puis ôta mon bâillon qu’il remplaça par un foulard de soie qu’il posa sur mes yeux. Prostrée devant lui, je du l’implorer comme je le faisais pour mon maître de me traiter en tant que soumise. Il ri tout à coup, sans savoir pourquoi il le faisait, j’entendis mon maître rire également. Se moquaient-ils tout deux de moi ? Je ne le saurai jamais… Il s’approcha de moi et m’effleura le visage avec son sexe, d’une peau douce mais encore molle, comme si je ne lui avais fais jusqu’à présent aucun effet. Il s’approcha encore plus près et le présenta à mes lèvres qu’il me fit ouvrir de ses doigts pour y insérer cette verge encore molle mais d’une taille assez impressionnante. Je pris donc ce sexe inconnu, que je n’avais pas vu dans ma bouche, il ne tarda pas à grossir et à combler cette bouche tant sollicitée par mon maître. De ses mains, il guidait les va et viens, tirait de plus en plus mes cheveux pour imprimer la cadence qu’il souhaitait. Les lèvres déformées de ce sexe, je continuais à l’aspirer du mieux possible, je sentais ses veines se gonfler sous ma langue.Puis il arrêta d’un coup sans plus d’égards, il m’ordonna de me positionner à quatre pattes sur le sol, souleva encore un plus ma jupe et déversa sa semence dans le creux de mes reins. Ce liquide chaud, que j’apprécie tant, me souillait désormais. J’ai du rester dans cette position jusqu’à ce qu’il se rhabille et nous quitte, en ayant pour ordre de mon maître de le remercier pour sa brève mais très ludique visite, ce que je fis d’une voix enrouée.Je découvrais au fil du temps et pendant nos apartés Domination/soumission, une vie tout à fait nouvelle, dans les contraintes qui m’étaient infligées, le plaisir que j’éprouvais. Depuis le jour où j’avais rencontré Monsieur ARNAUD, je n’avais plus subis d’exhibition auprès d’autres personnes, jusqu’au soir, ou mon maître me fit m’apprêter d’une tenue très lascive et charnelle. Il me fit porter des bottes à talons aiguilles très hauts une jupe très courte sous laquelle se trouvait des bas noirs, une guêpière noire et un haut très échancré et moulant. Bouclée à l’ordinaire, je du me lisser les cheveux. Il m’ordonna de mettre mon collier en cuir, une chaînette autour de mes hanches. Je me risqua de lui demander pourquoi cette tenue, il me répondit calmement que l’heure n’étaient plus aux questions et qu’en qualité de maître il n’avait pas à se justifier.Nous prîmes la voiture, et il me banda les yeux jusqu’au point de RDV. Nous voilà donc arrivés. Au son de sa voix, je compris que c’était une jeune femme qui nous accueillait. Mon bandeau sur les yeux nous entrâmes dans ce lieu ou des voix se mêlaient. J’étais surprise que mon maître me laisse les yeux bandés mais ne pouvait y opposer de résistance. Il me fit m’asseoir sur un tabouret et m’ouvrit la vue en enlevant le bandeau.Je découvris un lieu, gorgé d’érotisme, de sensualité et sûrement de plaisirs charnels. Les femmes y illegal bahis siteleri dansaient pour certaines, les hommes les regardaient, certains avec envie…On m’offrit un verre, une téquila, que je dégusta avec l’accord de mon époux. Puis après une bonne heure, il me prit par la main et m’emmena au fond de cette immense salle, vers un escalier exigu. Un homme se trouvait devant, et il fallu qu’il se présente pour qu’on puisse continuer notre chemin. Une salle au sous sol, laissa apparaître une lumière dans les tons rouges.Jamais de ma vie je n’avais vu un tel spectacle, nous étions dans l’antre de la domination et de la soumission. Les regards pleuvaient sur mon corps. On me dévisageait et l’angoisse s’emparait de mon être. Des femmes, jeunes pour la plupart à mon grand étonnement faisait acte de soumission aux hommes présents. Leurs attitudes, leur gestuelle, ne laissaient planer aucun doute, elles étaient toutes soumises et offertes à leur maître.Puis à ma plus grande incompréhension, les soumises présentes y compris moi durent défilés devant ces hommes. Chacune avions des tenues à la fois si différentes mais aussi si érotiques. Les visages fermés de ces hommes augmentaient mes angoisses. Qu’étais je venue faire ici ?Certains nous ont ordonné de repasser, d’autres nous obligeaient à nous retourner. Nous étions sur un marché ? Ils faisaient le leur.Puis toujours debout devant eux, nos maîtres, mes maîtres, nous avons été chacune notre tour bâillonnées, les yeux bandés. Attroupées nous ne savions plus qui nous épiait, qu’allait être notre sort. Pourtant à mon grand étonnement aucune de ces femmes ne s’opposait à ce traitement, étais je la seule novice ? Dans le doute je n’y opposa aucune résistance.Mon collier de cuir fut crocheté soudainement par une lanière, certainement une laisse qu’on tira pour me diriger vers une partie de la salle.Une mains, puis deux, se posèrent sur mon corps, je ne reconnaissais pas mon maître, mais qu’en savais-je, il ne me parlait pas. On m’allongea sur une table froide, m’attachant les poignets et les chevilles, celles-ci placées au préalable dans des étriers. J’étais la offerte à je ne sais qui, totalement prise par ces liens. Des lanières de cuir couraient sur mon corps, sur mes courbes, ma jupe se souleva et fut ôter en un simple geste au même titre que mon haut. J’étais en guêpière devant cet homme, ou plusieurs hommes pour le plaisir de mon maître. On me félicita de mes courbes que j’avais su mettre en valeur dans cet ensemble. Je ne pouvais répondre, le bâillon m’en empêchait. Le string fut ôté à son tour. Mon sexe que peu d’hommes n’avaient vu, apparaissait lisse, et soyeux comme aimait le voir mon maître.Je sentis une sensation de chaleur sur mon sexe, des doigts le parcouraient, des objets m’échauffaient mes lèvres, puis soudain je sentis un objet long me pénétrait, pas très large mais très long. Il coulissait lentement de plus en plus profondément en moi. Ma respiration s’accélérait à chaque mouvement de cet objet si doux. Puis on me l’enleva pour le remplacer par un objet plus rugueux et beaucoup plus large. Ma jouissance que j’essayais de réfréner ne se fit plus attendre. Mes jambes et l’ensemble de mon corps étaient sous l’influence de spasmes intenses. On me détacha, me déshabilla et on me positionna sur la même table à quatre pattes. Ça y est, j’étais totalement nue devant l’assemblée, pour seuls vêtements mes bottes et mes bas. Je fus rattaché, chevilles et poignets, cambrées de façon a être la plus offerte possible. Mes deux orifices furent sollicités à nouveau. On me lubrifia et je ressenti la même sensation qu’avec Monsieur ARNAUD, mais un plug encore plus gros pris place entre mes fesses. Il entra sans réelles difficultés, offrant la vue de cet orifice si étroit à ces hommes en pleine domination de leurs convives. J’ai senti que plusieurs hommes s’attroupaient autour de cette table de « torture ». J’étais à nouveau complètement exhibée, à la merci d’inconnus. Des commentaires prenaient part à la scène, du plus consenti, au plus humiliant en passant par les plus crus. Puis vinrent s’abattre sur mes fesses de lourdes fessées, comme pour me punir de l’image de plaisir que je renvoyais à ces mâles dominants qui ne le toléraient pas.Mon supplice continua, les coups étaient plus rapides, plus précis. Mes fesses s’échauffaient et devaient avoir pris une couleur rouge maintenant. Puis tout s’arrêta, me laissant dans cette position des plus humiliantes, pour moi qui n’était encore que novice dans ce monde. De longues minutes passèrent, ma croupe tendue vers ces mâles qui devaient s’en accommoder.Des cris lointains se faisaient entendre. De longs gémissements féminins combler ces lieux. Était ce de la torture, des cris de plaisir, je ne savais plus.Ses gémissements, que je discernais très bien désormais, se rapprochaient de moi, comme si la soumise prise à partie se rapprochait ou alors comme si le cortège des maîtres se déplaçait d’une soumise à une autre. Le pressentiment que mon tour allait arriver ma torturait l’esprit, qu’allaient ils me faire ? J’allais sans aucun doute être à nouveau humilier, traitée comme une moins que rien, un objet de tous les vices, sur lequel toutes les pratiques sont permises. J’avoue que malgré l’appréhension ressentie, mon plaisir augmentait proportionnellement. Des talons arrivaient à proximité de moi, de cette table qui m’avilissait. Un homme ôta mon bandeau et mon bâillon. Mes lèvres étaient libres, je pouvais à nouveau respirer normalement. Ils étaient masqués, d’autres cagoulés, ces hommes que je reconnu en tant que tels par leur carrure imposante. Je fus surprise de la cérémonie autour de moi. L’ensemble des soumises autour de moi étaient canlı bahis siteleri positionnées de la même façon, attachées à quatre pattes sur une table et les fesses bien hautes, offertes à tous les assauts.J’étais entourée. Je ne pouvais les compter, la lumière insuffisante, mes yeux qui sortaient de l’obscurité la plus totale, je ne discernais que quelques silhouettes masquées. D’autres semblaient être plus loin, en spectateurs.Une cravache glissa dans le sillon de mes fesses avant de ne s’abattre sur une d’entre elles. Un cri s’échappa de ma bouche et je reçu un deuxième coup pour me faire comprendre que je ne devais pas montrer mes émotions, notamment celles de la douleur. Une main m’empoigna mes cheveux et les tira violemment. Ma tête suivit ce mouvement, et une voix rauque me demanda d’un ton sûr d’elle, si j’aimais ce qui m’arrivait. Je répondis que j’aimais être soumise aux désirs des hommes. Il me demanda encore si cette situation m’excitait. Et avant que je ne réponde, une autre voix confirma que je ruisselais de plaisir. La soumission devenait une source intarissable de plaisir.Un dominant s’approcha de mon visage, en tenant son sexe bien en main et me caressa doucement sans précipitation. Il fît le contour de mon visage, puis de mes lèvres et força le passage pour s’insinuer dans ma bouche. A nouveau, un homme coulissait entre mes lèvres, acte que peu d’hommes avaient pu connaître. Ma langue constatait que ce sexe grossissait, mes lèvres se déformaient au fur et à mesure des va et vient. Plus il prenait du volume, plus il plaquait ma tête contre son pubis. Il était au fond de moi, dans ma gorge pour son plaisir. Ma respiration se faisait de plus en plus étouffée. Je suçais sous la contrainte de ses deux mains qui m’interdisaient toute délivrance pendant que d’autres commençaient à se loger derrière moi. On me touchait, me pelotait mes seins, mes fesses cambrées, des doigts couraient entre mes deux orifices, puis s’insinuaient entre mes petites lèvres rosées d’excitation. J’en sentis un, puis deux et trois, sans aucune difficulté. Mon plaisir augmentait, mes gémissements étouffés s’amplifiaient dans cette salle où se mêlaient souffrance et plaisir. Mon tour était bien arrivé. J’étais prise par deux de mes orifices les plus intimes, encore une fois à la merci de ses hommes que je connaissais pas, ou peut être que je connaissais, comment le savoir. D’autres mains écartaient désormais mes fesses, mes yeux se révulsaient sous le plaisir et la jouissance d’une telle exhibition. L’homme logé dans ma bouche se retira et des doigts le remplacèrent. Ces doigts portaient le goût mon plaisir, ils étaient emplis de ma liqueur. On me fit les lécher, les sucer encore et encore, pendant que d’autres enduits de gel s’occupaient de mon œillet. J’ai bien compris l’intention de cette pratique, qui inévitablement était la prémisse de la future pénétration anale que j’allais subir. Les doigts étaient insistants, ils s’écartaient et gagnaient de la place dans cette orifice si étroit qui n’avais jamais vraiment était utilisé par mes amants.Un sexe que je sentis d’un volume redoutable quand il se pointa devant cette porte, entra en moi par à coups. Les coups devenaient violents et s’était désormais moi qui criait et hurlait, de plaisir et de douleur. On me fit à nouveau taire en me distribuant deux gifles et en m’ordonnant de sucer un autre membre. Le maître qui me sodomisait me tenait par les cheveux ce qui augmentait la cambrure de mes reins. Impuissante de toute rébellion j’encaissais les assauts. Certaines mains aidaient à une pénétration plus profonde en écartant un peu plus mes fesses. J’imagine le spectacle que certains hommes devaient avoir. Est-ce que toutes les filles avaient été traitées de la sorte ? En tout cas on entendait plus que moi dans cette pièce si sombre, si austère.Les coups de butoir sur mes fesses continuaient de plus belle, ainsi que mes cris et la jouissance que j’en éprouvais maintenant. Cet homme faisait de moi sa chose et il m’offrait en spectacle à l’assemblée de plus en plus inquisitrice sur mes talents de femme soumise et d’objet sexuel. Mes cris emplissaient cette salle de tortures et de plaisirs mêlés.Puis d’un coup, mon maître du moment se retira, son sexe glissant vers la sortie de mon œillet. Cet orifice me semblait tout à coup béant, laissant sûrement une vue imprenable de mes entrailles les plus intimes. Un soulagement mais je dois le reconnaître une forte frustration me parcouru le corps à ce moment là. De longues secondes passèrent où j’étais dévisagée et reluquée sous toutes les coutures par ces hommes empreints de domination et au moment ou s’abattirent sur mes fesses une dizaine de coups de badine, je reçu, sur mon visage, la semence de mon inquisiteur. Il s’essuya soigneusement sur mes lèvres en m’ordonnant de le nettoyer de ma langue comme se devait de le faire une chienne de mon espèce.Je fus, après ces sévices et plaisirs, détachée et attachée par l’anneau de mon collier au crochet du mur qui se trouvait devant moi. Puis le bandeau me fut remis sur les yeux. Juste avant, j’ai cru reconnaître mon maître en bout de salle avec le sourire ironique et dominateur que je lui connaît tant. D’autres cris emplissaient la salle, plus forts que les miens peut être je ne savais plus. S’échangeaient-ils les soumises, quels sévices leur infligeaient-ils ? Enfin, je sentis que je n’étais pas tout à fait seule, des attouchements, des palpations se faisaient maintenant sentir sur mon corps tuméfié de coups de badine et de prises vigoureuses. Ses mains me fouillaient, tâtaient la marchandise, me caressaient les cheveux, je me serais cru sur un marché de bétail.Je sentais que la foule se dissipait désormais, les cris étaient moindres, les talons sur le sol s’atténuaient. Je fus détachée par mon maître qui me sortis de ce lieu à la fois si terrorisant et si attirant. Il me ramena chez nous et je tombas de sommeil, exténuée par une telle soirée.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ma tante adorée

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ass

Ma tante adoréeJe n’ai jamais raconté cette histoire à qui que ce soit, vous serez les premiers à la connaître.Cette histoire est arrivé l’année de mes 18 ans, pendant les vacances d’été. Mes parents venaientde partir en vacances, mais j’avais préféré rester à la maison, voulant en profiter pour passerdu temps avec mes potes. Mais mon père voyant ça d’un mauvais oeil ( il ne me faisait pas confiance,il avait surement peur que je fasse des soirées à la maison ou autres conneries), il avait demandéà ma tante (la femme de mon oncle) de venir passer les 2 semaines chez nous, sous prétexte de s’occuperde la maison ( plutôt pour me surveiller).A cette époque, je passais mes après-midi et mes soirées avec mes amis, je rentrai tard et ne voyaisma tante que le matin. J’adorais ma tante, parce qu’on s’entendait très bien, et elle était toujoursaux petits soins pour moi, et elle était toujours à l’écoute de mes soucis et me donnait toujoursde bons conseils. A ce moment là, ma tante avait 42 ans. 1m70, 50 kg, fine, très peu de poitrine et un tout petit culassez ferme, les cheveux noirs et courts ( coupés un peu à la garçonne) et les yeux marrons.Un matin, en sortant de la salle de bains, ma tante était en train de passer l’aspirateursur le palier, et la première chose que je vois, c’est son cul tendu vers moi, et vu qu’elle étaitjuste derrière la porte, je manquai de lui rentrer dedans:- Oula, attention tata, j’ai failli te rentrer dedans ! dis-je en rigolant.- oups, désolé, je t’ai pas entendu arriver.Elle portait une robe noire moulant et assez courte, avec des collants noirs ( elle s’habillait toujoursen noir, même l’été). Je me mis à avoir des pensées obscènes, mais je les refoulais rapidement.- Tata, je pars pour la journée, ne m’attends pas pour manger, on va se balader avec les potes et ma copine.- D’accord, mon chéri. Amuse toi bien, et à ce soir.- Je risque de rentrer tard, je pense que tu sera couchée.Un bisou sur la joue, et me voila parti rejoindre les copains. Mais toute la journée durant, le souvenirdu joli petit cul de ma tante tendu vers moi ne me quitte pas.La journée se déroule comme d’habitude, discussions, blagues au ras des paquerettes, etc…Mais dans la soirée, je me dispute avec ma petite amie, sur le fait qu’on ne fasse rien ensemble(sexuellement parlant, je veux dire), même pas de tripotage dans les règles de l’art.Etant puceau, et en couple depuis 2 mois, j’aurais bien voulu aller plus loin.Je rentrais alors à la maison, vers 23h, passablement énervé. La maison était plongée dans le noir,ma tante devait déjà dormir depuis longtemps. Je m’installais dans la cuisine pour boire un soda et fumer une cigarette, histoire de me calmer.5 minutes plus tard, j’entendis ma tante descendre les escaliers. Elle vint me rejoindre dans la cuisine. Elle portait une chemise de nuit güvenilir bahis assez longue (trop à mon goût).- T’es déjà rentré, mon chéri ?- Oui, tata, me suis pris la tête avec ma copine, j’ai préféré rentrer me calmer.Elle s’assit en face de moi:- Allez, raconte-moi ce qui s’est passé.Pendant un bon quart d’heure, je lui expliquai ce qu’il s’était passé, comment je m’étais pris la tête avecma petite amie.Une fois mon récit terminé, ma tante me regarda droit dans les yeux:- Après tout, si elle est un peu coincée, ce n’est pas ta faute. Et puis tu es jeune,c’est normal que tu ais des envies.- Oui, mais franchement ça me gonfle.Voyant mon état d’anxiété, ma tante me demanda:- Je peux faire quelque chose pour toi, mon lapin ?- Nan, c’est bon, tata, laisse. Je t’ai assez embêté comme ça pour ce soir. Je vais monter me coucher.Et là, elle se redressa, posa sa main sur mon entrejambe et me dit alors:- Tu veux pas que je te branle ? Ca te détendrait.Quoi ? Avais-je bien compris ? Ma tante me proposait de me branler, la comme ça, dans la cuisine ?- Euh, je sais pas, c’est pas bien… Tu es mariée, et j’ai ma copine…Mais ma bite qui commençait à durcir prétendait le contraire..- Ne t’en fais pas, ya rien de mal à se faire du bien. Au lieu que tu le fasse tout seuldans ton lit, je vais le faire pour toi. Après tout, tu mérites bien ça, après la soiréeque tu as eu !Elle abaissa la braguette de mon bermuda, puis se rendant compte que ça n’allait pas être pratiqueavec mon boxer:- Abaisse ton short et ton boxer, sinon tu vas avoir mal.Je m’éxecutais sans attendre, et je me retrouvai le short descendu jusqu’aux genoux,avec ma queue dressée comme un piquet. Avec sa main droite, elle se saisit de mon engin et commençaà faire des aller-retour, en alternant sa vitesse. Vu que je ne m’étais pas branlé depuis3 jours (un record pour moi, à l’époque), l’orgasme ne tarda pas à arriver:- Tata…Tata.. Je… Je vais jouir…Elle mit alors sa main gauche sur mes couilles et se mit à les caresser vigoureusement,tout en accélérant le mouvement de sa main droite sur ma queue gonflée à bloc.L’orgasme fut intense, et j’éjaculais si fort que le premier jet atterit sur mon polo, et le restese déversa allègrement sur la main de ma tata adorée, le tout accompagné d’un râle de jouissance.- Eh bien, mon chéri, on dirait que tu en avais besoin !Elle alla se laver les mains, m’embrassa sur la joue et me dit:- J’espère que ça t’a plu. Je remonte me coucher. Bonne nuit !Et elle me laissa là, la bite à l’air, incapable de dire ou penser quoi que ce soit.Je repris mes esprits, me rhabillai et montai aussitot dans ma chambre. Le lendemain matin, aprèsune nuit agitée rempli de rêves cochons avec ma tante, je pus constater qu’elle était parti fairedes courses. Après ma douche, je profitai de son absence pour mettre la türkçe bahis musiqueà fond de train dans ma chambre. Puis vers midi, je descendis et dit bonjour à ma tante:- Bonjour tata, ça va ? dis-je, avec une pointe de stress dans la voix.- Oui et toi mon chéri ?Par contre elle, c’était comme si il ne s’etait rien passé. J’en eu un pincement au coeur.Le temps était particulierement sombre, la météo ayant prévue des orages toute la journée.Pendant le repas, ma tante me demanda ce que j’avais prévu de faire:- Vu le temps, je crois que je vais rester à la maison regarder la téloche tout l’après-midi.- Tu ne vas pas voir ta copine ?- Nan, je préfère laisser passer une journée ou deux, le temps que la tension retombe.- D’accord. Ca te dérange pas si je reste avec toi ?- Pas de soucis !Nous nous sommes donc installé devant la télé, moi dans le fauteuil de mon père, et ma tantesur le canapé. Pendant que je regardai une série à la con, ma tante s’occupait les mains avec dela couture.Au bout d’un moment, ma tante me posa une question, sans lever les yeux de sa couture:- Dis moi, mon lapin, tu a déja couché avec une fille ?- Euh… non, pourquoi ?- Pas une seule fois ?- Non. Avec une fille, ça n’a jamais dépassé le stade du tripotage.- Et je suppose qu’hier soir, c’était la première fois qu’on te branlait ?- Jusqu’au bout, oui.J’étais à la fois un peu gêné et excité de reparler de ce qui s’était passé la veille.- Tu sais, si tu en as envie, je peux te dépuceler. Au moins, avec ta copine, tu seraspeut-être moins préssé.- Attends, quoi ? dis je le souffle court.- Bah oui, comme ça tu sauras ce que ça fait de baiser. Et puis on a rien à faireà part regarder la télé, autant s’amuser et profiter.- Oui, mais tonton …?- C’est pas la joie en ce moment avec lui. Et puis on s’en fout, il est à 120 km d’ici.Alors, ça te dit ?- Bah carrément, dis-je avec excitation.Ma bite était tellement raide que j’aurais pu casser des briques avec.- Déshabille toi, me dit-elle.Elle se leva, enleva sa petite robe moulante, laissant dévoiler une petite culotte noireet le soutien-gorge assorti, qu’elle enleva aussi, puis elle abaissa tout doucement sa culotte.Elle se mit à genoux devant moi, et commença à me sucer la bite tout doucement:- Dis donc, elle est très large ! Tu vas faire des heureuses plus tard !C’était ma première pipe, et j’en frissonnai de plaisir. Ayant peur d’envoyer la puréetrop vite, je me retirai de sa bouche, et je la fit assoir sur le canapé:- J’ai envie de te lécher, tata, mais j’ai seulement vu faire dans les films,alors dis-moi si je m’y prends bien.Elle écarte en grand les jambes, me donnant une vue imprenable sur sa chatte toute rose et luisante, sans un seul poil. Je m’agenouille, et comment à lècher son clito avec des petits coups de langue.- Mmmmh, ouuuiii, vas-y, tu t’y prends vraiment güvenilir bahis siteleri bien !!!Je descends ma langue au niveau de l’entrée de son petit minou, et elle a un réflexe de contractiondes jambes:- Tu n’aimes pas, tata ?- Si, c’est juste qu’on ne m’avait jamais léché là. Allez viens, prends moi.Je me redresse, me rapproche, toujours à genoux. Je prends ma bite à une main et approchemon gland de sa chatte.- Allez, vas-y, enfonce la !! et jusqu’au fond !La sensation était fantastique: c’était très chaud, humide et doux. Je n’y croyai toujours pas: je venais de me faire dépuceler, par ma propre tante ! Je me mis à faire des aller-retour, de plus en plusforts, arrachant des gémissements et des cris à ma tante adorée:- Oui ! Oui ! Oui, continue, plus fort !!Et à ce moment la, tata eut un orgasme:- Oh OUUUUUIIIIIII !!! cria-t-elle, le corps secoué de tremblements.- Tu as jouie, tata ?- Oui, mon chéri, ta queue est fantastique ! Prends moi en levrette.Je retirai, à contrecoeur, ma queue, elle était luisante de mouille. Ma tante se mit à 4 pattes:- Allez, viens, fais moi encore jouir !- Oui, tata, je vais essayer !Ma bite rentra encore plus facilement dans sa chatte, et la sensation etait encore meilleure,aussi du fait d’avoir le sentiment de la dominer. Mes coups de queue se faisaient de plus en plusviolent, mes couilles venaient littéralement claquer sur ses lèvres et son bouton d’amour.Elle ne mit pas longtemps à avoir un autre orgasme, plus violent que le premier. Elle hurla littéralement de plaisir:- OH PUTAAAIIIIINNNNN ENCOOOORE !!!!!! OUI OUI OUI ! JE JOUUUUIIIIIIS !!!!!!!- Moi aussi je vais jouir, tata ! parvins-je à articuler.- Vas-y mon chéri, jouis au fond de ma chatte, profites-en !!!!Ma bite se contracta, et j’envoyai 3 salves de sperme au fond de son vagin. La sensation était fantastique, rien à voir avec la branlette de la veille. J’émis un râle puissant, tellement mon orgasmeétait fort. C’était tellement violent que j’en avais mal aux couilles.Au bout d’un moment, je retirai ma bite, laissant couler un mélange de cyprine et de foutrede la chatte de ma tante, cette petite chatte qui m’avait dépuceler.- C’était génial, tata, dis-je tout éssouflé.- t es vraiment doué, mon lapin, c’est certain ! Ca faisait longtemps que je n’avais pas jouie comme ça !- On recommencera ? demandai-je, plein d’espoir.- Les vacances ne sont pas finies, on aura le temps de le refaire, dit-elle avec un clin d’oeil.Pendant les 10 jours qui suivirent, ma tante et moi avons baisé tous les jours, matin, midi, soir.Je prétextai aux copains d’être malade pour ne pas sortir.Ma tante me fit expérimenter pleins de positions, et d’autres pratiques, comme la sodomie, l’éjaculation faciale, et même l’éjaculation féminine (ça ne lui est arrivée qu’une seule fois,j’étais en train de la doigter et elle n’avait pas su se retenir.)Voila comment ma tante adorée a débutée mon éducation sexuelle.Malheureusement, peu de temps après, elle et mon oncle ont déménagé à l’étranger,et cela fait des années que je n’ai plus de nouvelles. Dommage…

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Domination d’une servante

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Group Sex

Domination d’une servanteJ’avais rejoint à Cherbourg comme il me l’avait demandé. Maître avait réussi à maîtriser son excitation toute la journée. D’une part il craignait d’être en retard à cause des gréves de ces fainéant de la SNCF. Il m’avertit qu’il rentrerait tard et comme il en était contrarié, il me punirait. Lorsqu’il arriva dans la chambre, je l’attendais soumise en position. Le maître paru satisfait du résultat. Il s’approcha de moi, me caressa le visage, mit un doigt dans ma bouche entrouverte, puis me gifla d’un coup sec. Je lui demandais la raison de la gifle.« A cause de toi salope, j’ai bandé pendant la conférence, ce qui a diminué mon attention professionnelle. »Il défit sa braguette, sortit son sexe et s’approcha de ma bouche que j’ouvris docile. Il me baisa la bouche et déchargeât son breuvage masculin. Lorsque la dernière goutte fut avalée, je lui nettoya le gland trop consciencieusement, à tel point que la verge se gonfla à nouveau. «  Redonnez moi à boire votre nectar, maître »Il fit semblant de ne pas avoir entendu et lui me fit signe d’aller sur le lit. Lorsque je fut agenouillée le cul bien positionné, j’ouvris mes fesses et sentit le gland du maître forcer l’entrée étroite. Je demandais à mon maître la permission de prendre une douche ; il refusa et me dit :« Tu va subir ta punition maintenant. Tu suceras les clients de l’hôtel qui en auront le désir. »Maître fit une petite pancarte sur laquelle il inscrivit : Je suis une salope qui adore sucer!-Il accrocha le tout à mon cou de soumise. Je sorti de la chambre, à quatre pattes, la pancarte autour du cou, et déambula à l’étage. J’étais horriblement gênée et avait peur mais mon maître surveillait, sur le pas de la porte. Un homme passa, lu, l’écriteau et se mit à rire. Un homme s’arrêta et réfléchit mais s’en alla. Un jeune couple sembla intéressé. L’homme s’approcha du maître et lui demanda :« c’est une plaisanterie ?Le maître lui répondit :« Ma chienne adore faire des pipes. Elle est à la disposition de tout le monde. »Il fit entrer le couple, ainsi que sa chienne dans la chambre.  « Pendant que ma chienne vous sucera, je baiserai votre salope. » dit le maître. « Avec grand plaisir mon cher. Elle est à votre disposition. »Je suçais avec tout mon art afin que mon maître fut fier de moi. Lui, encula si fort la femme qu’elle hurla de plaisir et de douleur. Lorsque le couple nous quitta, maître s’approcha de moi sa soumise et me caressa  tout en me félicitant. L’homme avait laissé une invitation. C’était un châtelain et il souhaitait notre présence lors de son retour au château. Mon maître et moi nous y rendâme. Il y avait effervescence au château. L’ambiance était très médiévale. Maryaline, la jeune soubrette, était en transe. Elle n’avait jamais vu le seigneur mais était amoureuse de lui après avoir entendu ses exploits sexuel. Il avait fière allure, avec un regard ténébreux. Mon Maître et moi admirions cette Maryaline. Elle était resplendissante du haut de ses 18 ans et mon Maître imaginait déjà tous ce qui pourrait lui faire subir avec moi. Célestin, le vieil intendant du château, vint la houspiller :« Petite cruche, la chambre de Monsieur et de nos hôtes ne sont pas prête et toi tu reste là à rêvasser ? Tu mérite une bonne punition. On verra çà tout à l’heure ! »Elle lui répondit :« Je ferais çà tantôt Monsieur. »Cette petite n’était pas très obéissante et mon Maître eu un sourire qui en disait long sur son envie de la corriger lui même. Célestin lui servait de parrain, mais elle le rendait fou par son insolence et son manque d’ardeur au labeur.Célestin lui cingla les fesse avec sa cravache en lui disant :« Tu prépare immédiatement les chambre et rempli la baignoire du maître afin qu’il puisse se détendre à son arrivée ! »Il fini sa phrase en lui cinglant le cul une deuxième foi faisant pleurer la pauvre enfant. Mon Maître ne put s’empêche d’applaudir devant ce superbe spectacle. Mais Maryaline, l’effrontée, lui tira la langue et s’enfuit dans la campagne. Décidément cette petite méritait une sévère correction. Célestin rattrapa La sauvageonne qui riait à gorges déployées. La rage submergea Célestin. Il lui souleva sa jupes et commença à la fesser. Les coups pleuvaient mais la diablesse ne demandait pas grâce et continuait à rire. Il augmenta la force de sa main et l’on pouvait voir les fesses roses de Manon virer au rouge écarlate. Célestin s’arrêta un moment essoufflé. Entendant le bruit de la voiture du seigneur approcher, elle se mit à crier :« Au secours. Arrêtez ! Je vous en supplie ! … Pitié ! … Je n’en peux plus !»La voiture stoppa à leurs hauteur :« Mais que se passe-t-il donc ici ? Pourquoi tel spectacle devant mes hôtes ?»  Aussitôt, Maryaline se cambra de façon à montrer davantage ses fesses. Célestin, aussi rouge que l’étaient les fesses de la demoiselle, s’expliqua.« Si tu n’es pas très obéissante, c’est que tu n’as pas été dressée correctement. Je veux que tu me donnes le bain dans une heure ! Tu m’expliquera ta désobéissance et mes amis déciderons de ton châtiment ! »A ce moment-là Maryaline, toujours les fesses à l’air eu un sourire se disant qu’elle avait gagné les grâces du seigneur. Mais elle ne pouvait s’attendre et imaginer ce qu’il l’attendait. Mon Maître était au ange. Ils allaient bien s’amuser avec cette soubrette et je savais que je ferais canlı bahis şirketaleri partie du jeux. De retour au château, Maryaline s’activa dans la chambre du maître puis l’attendit. Lorsqu’il entra dans la pièce accompagné de mon Maître et de moi même, Maryaline se sentait aussi petite qu’une souris. Le seigneur s’assit et demanda d’un ton ferme à Maryaline :« Otes mes botte et mes habits de voyage ! »Elle s’acquitta de sa tâche avec maladresse tant elle était troublée. Lorsqu’il fut nu, il lui dis :« Met toi nue que mes hôtes pisse te contempler à souhait ! »Elle devint rouge mais s’exécutât et nous dévoila ses charmes. Ses fesses étaient encore rouge de la cuisante fessée et mon Maître en sourit.Le seigneur grimpa dans la baignoire et demanda à la servante :« Lave-moi petite gourde ! Ensuite tu t’occupera de mes amis ! »Maryaline docile et fébrile, se mis à le laver. Elle avait déjà vu d’autres hommes nu mais le seigneur s’était différemment et en plus être nue et le faire devant ces inconnus la rendait très mal à l’aise. Son regard se posât sur le sexe du seigneur. Elle eût un petit mouvement de recule. Son sexe paraissait démesuré. « Tu n’en a jamais vu d’aussi grosses Maryaline ? Tu y goutera tout à l’heure ! Pour l’instant pendant que je me lave, montre nous ton cul rougi par la fessée de Célestin et cambre bien ton cul! »Allongé dans le bain, il se délectait du spectacle. « Mes amis, que dites vous de cette gourgandine ? »« Elle semble bien agréable mon cher ami et elle me donne l’envie de la sauter dans cette position. »« Maryaline ! As tu souvent été fessée et ce que ressens tu à ce moment-là. ? »« C’est la première fois que la chaleur provoquée par la fessée irradie tout son corps. »« On peut avoir beaucoup de plaisir à recevoir des punitions corporelles et mes amis et moi allons te faire découvrir des mondes inconnus. Met toi à plat ventre sur les genoux de mon hôte !»A sa demande elle vint près de lui et se mit dans la même position que tout à l’heure. Mon Maître passa délicatement une main sur les fesses qui avaient perdu un peu de couleur. Un doigt s’insinua délicatement entre les deux globes. Maryaline eut un mouvement de recul. Elle reçu une claque sur les fesses.« Connait tu le plaisir de la pénétration à cet endroit-là ? »« Non Monsieur. »Le seigneur, pendant que mon Maître s’occupait de Maryaline, me fît venir à lui. Il se mi à farfouiller et tripoter ma chatte sous ma robe me faisant émettre de petits gémissement de plaisir. Je sentais ma chatte couler sur sa main inquisitrice.Mon Maître, lui reprit son exploration tout en continuant à lui parler. Un doigt vint pénétrer le conduit étroit de Maryaline. « Sens-tu Maryaline mon doigt en toi ? Ferme les yeux et laisse-toi guider par le désir qui va poindre. Je t’ouvre, je rentre et sors. Je te prépare à la pénétration de ton seigneur. »Maryaline respirait fort et découvrait quelque chose d’inattendu. Mon Maître remarqua qu’elle mouillait déjà. Il trempa deux doigts dans la vulve de la servante, puis les enfonça fermement dans son anus.« Tu vois, petite oie blanche, maintenant deux doigts sont en toi qui écartent bien l’entrée, qui prennent possession de ton abri caché. Aimes-tu cela ? »« Oui, Monsieur, j’aime ! »En même temps, le seigneur s’occupait de mon trou du cul et y rentrant ses doigt sans douceur. Je grimaçais sous ces assauts mais docile le laissait faire pour le grand plaisir de mon Maître. J’étais là pour contenter le seigneur sans restriction et pour le plaisir de mon Maître. Maintenant trois doigts vinrent se glisser dans l’intimité de Maryaline qui haletait comme une chienne. « Veux-tu que j’arrête petite ? Dis cher amis Michèle vous convient-elle ? Son cul est il aussi accueillant que cette gourgandine ? »« Elle est parfaite cher amis. »« Alors,,,Tu répond petite garce ? »« Je vous en prie, continuez ! J’en veux davantage ! Je veux recevoir mon seigneur comme il se doit dans mes fesses ! »le seigneur alors de lui répondre, me mettant quatre doigts dans les fesses :« Non, ma jolie soubrette. Aujourd’hui tu as fais la connaissance de l’investigation de ton anus par les doigts de mon ami. C’est lui qui te fera jouir et t’enculera pour me faire le passage. Je te baiserais quand j’en aurais décidé et lorsque tu seras à moi cérébralement. » Mon maître reprit le jeu des va-et-vient avec ses trois doigts tout en lui massant le clitoris. Le plaisir fut si fort qu’elle en cria. Mon Maître retira ses doigts et les présenta à la bouche de la soubrette qui fit une moue dédaigneuse. Le seigneur lui dit : « Tu dois apprendre à accepter tout ce que je te demande si tu veux connaître des délices inimaginables. Alors suce les doigts de mon ami ! »Elle s’exécuta alors puis fit remarquer au seigneur qu’il n’avait pas joui et qu’elle en était triste.Le seigneur abandonna l’investigation de mon cul et se leva de la baignoire, le sexe dressé bandant comme un âne.« Crois-tu que mon ami se serait aussi bien occupé de toi si tes charmes n’avaient pas eu d’effet sur moi ? Regarde mon sexe ! Je vais te montrer à quel point tu as exacerbé mon désir et t’en remercier. » Sur ces paroles, il me saisit la tête et porta ma bouche à son énorme chibre que je me mis à sucer avec gourmandise. « Fait de même à mon hôte. Regarde comme lui aussi à besoin de tes lèvres pour soulager canlı kaçak iddaa sa raideur ! »Maryaline un peu dégouté se mis à sucer mon Maître. Puis, quand il sentit la jouissance prête à exploser :« Venez cher amis jouir avec moi sur cette petite salope ! »Le seigneur sortit de ma bouche, il s’approcha de Maryaline qui continuait à pomper mon Maître et de concert, le seigneur déversa sur son visage des jets tièdes et blanchâtre alors que mon Maître se lâchait au fond de la gorge de la soubrette qui ocquetait et déglutissait péniblement cette liqueur crémeuse.« Garde sur toi cette marque de mon affection jusqu’à demain. Je veux que tout le château sache que je t’ai béni de ma semence. Vas maintenant ! Je veux rester seul avec mes amis.  Nous continuerons ton éducation demain. Nous te ferons connaître le plaisir du fouet. Michèle ici présente en sera l’exemple avant ton tour. »Une foi Maryaline parti, Je due m’occuper des deux hommes et leur refaire prendre vigueur.Ils me prirent à tour de rôle tout en me faisant rougir les fesses et se vidèrent en moi. Maryaline, quant à elle, ne dormit guère cette nuit là. Elle n’avait jamais ressenti pareille chose et avait l’impression d’être devenue une femme.Toute la journée elle s’affaira dans le château mais ses pensées vagabondaient sur la promesse d’une nouvelle expérience. A l’heure dite elle fut dans la chambre. J’étais attachée nue en croix aux montants à baldaquin du lit. Mon Maître et le seigneur l’attendaient debout, un fouet à la main. Lorsqu’elle vit l’objet, elle eut un sursaut d’appréhension. Alors, d’une voix ferme, il lui expliqua :« La punition que tu va subir aprés la démonstration sur Michèle, n’en est pas vraiment une car tu va voir comme Michèle va jouir de la douleur que nous allons lui infliger. La douleur que tu ressentira se transformera en jouissance explosive. A genoux servante ! »Elle s’agenouilla, comme il le lui avait demandé, et baissa la tête. Le seigneur s’approcha, souleva sa jupe à l’aide du manche du fouet, puis il recula. « Regarde Michèle et apprend ! »Le fouet commença sa danse. Des petits coups secs rapprochés, un coup long espacé d’un autre. Une foi mon Maître, une foi le seigneur. Je criais de douleur à chaque coup et mon corps se tordait sous les cinglades. Confusément le plaisir prenait le dessus sur la douleur et je sentais la cyprine couler sur mes cuisses. Je finis par hurler non de douleur mais dans un orgasme violent.« Tu vois Maryaline comme Michèle a jouit ? A ton tour ! »Je fus détachée et allongée délicatement sur le lit mon corps zébré des trace du fouet. Ils attachée Maryaline comme je l’avais été. Ils la palpèrent. Maryaline gémissait légèrement sous ces caresses. Puis vint le temps de la punition. Les coups se mirent à pleuvoir. Maryaline se tortillait sous la douleur cuisante des lanière mais serrait les dents pour ne pas crier. Quelques larmes s’échappaient de ses yeux. La douleur était insupportable. Le fouet s’arrêta 2, 3 minutes et les deux hommes en profitérent pour apprécier les traces sur la peau de la soubrette sans qu’une parole ne vienne perturber ces instants magiques. Puis reprit de plus belle les coups reprirent n’épargnant aucune parcelle de son délicieu corps vierge. La douleur devint insupportable alors qu’une lanière frappait un téton de sa jolie poitrine. Maryaline hurlât qu’ils cessent. Le fouet s’arrêta à nouveau. A ce moment-là Maryaline sentit une chaleur venu de son intimité et remonter tout le long de son corps. Un plaisir inattendu s’éveillait en elle. Le seigneur plongea sa main dans la moiteur de Maryaline. Sa main maculée de mouille me fut présentée et je léchais la mouille de cette jeune suppliciée avec délectation. Il me mis alors sa main dans ma chatte trempée et la fit gouter à Maryaline qui a son tour la léchât.«  Veux-tu que j’arrête Maryaline ? » «  Non, mon seigneur ! Continuez à me punir ainsi ! »La pauvrette qui avait pris sur tout le devant du corps, allait subir la même chose mais côté pile. Mon Maître posa le fouet et prit un martinet. Les lanières caressèrent les fesses de la jeune servante qui haletait de plaisir et d’angoisse. Les lanières du martinet commencèrent à claquer sur le cul qui se trémoussait au rythme de la flagellation. Mon maître s’arrêta pour laisser la place au seigneur. Il sortit sa verge gonflée par le désir et se masturbait au dessus de moi alors que le seigneur fouettait Maryaline. Une jouissance commune les submergea tous deux. La semence jaillit sur le cul meurtri de Maryaline. Alors que mon Maître m’aspergeait le visage et les seins. Le seigneur détachât Maryaline et lui demanda :« Retourne toi et va vers le grand miroir pour contempler mon chef d’œuvre. N’est il pas magnifique ton cul et ton dos colorées et magnifiquement zébrées, dédicacées par l’artiste ? »« Seigneur, pourquoi ne me caressez vous pas ? »Lui baisant les lèvres :« Chaque coup de martinet ou de fouet sont la plus troublante des caresses et qu’elle ne devait jamais l’oublier. Demain je t’enverrai Celestin qui te donnera mes consignes. »A contre cœur, nous dûmes quitter notre hôte mais il nous jura de nous faire part de l’évolution de l’éducation de Maryaline. Le lendemain Maryaline était à la fois heureuse et triste. Heureuse d’avoir été choisie et éduquée par le seigneur, triste qu’il ne souhaite pas canlı kaçak bahis la voir aujourd’hui. Le soir elle attendit dans sa chambre que Célestin vienne lui donner les ordres du seigneur et Maître. Célestin était là. Il entra et lui dit :« J’agis au nom de notre seigneur. Il veux que tu t’éttende nue sur ton lit et que tu écarte tes cuisses pour que je puisse te pénétrer. »Elle refusa, car elle voulait être fidèle à son Maître. Celestin la rassura et lui expliqua :« Je dois dois te baiser par l’intermédiaire de notre Maître ! Se n’est pas vraiment moi mais lui qui te sautera par mon intermédiaire. Il n’y a pas d’infidélité puisque c’est notre seigneur qui le veut !  Tu dois accepter tous ce que le Maître souhaite. Être prise par un ou plusieurs hommes devant lui et même goûter aux sexes de femmes si tel est son désir. Dalleurs, le maître a dit que tu ne devais pas te refuser à ton amoureux Pierre. Le maître a toujours raison et il agit dans ton intérêt. Ce soir, ma queue va t’enfiler mais c’est celle du maître que tu sentiras en toi »«  Celle du maître ? Je ne l’ai jamais eu en moi ! »«  Et bien, ce soir, tu vas la connaître. »Et ce disant, il la chevaucha et la pénétra d’un simple coup de reins. Maryaline fut ébranlée. Ses yeux étaient fermés et elle voyait le visage du maître penché sur elle. Quel prodige ! Elle joui très vite et son cri fut rejoint par le grognement de Célestin qui se répandait en elle. Il se dégagea presque aussitôt pour prendre un objet ainsi que la corde qu’il avait déposée sur une chaise. Il s’approcha de Maryaline et commença à lui attacher les poignets aux barreaux du lit, ainsi que les chevilles aux colonnes de lit. Elle était anxieuse mais se laissait faire. Célestin lui montra l’objet. « Qu’est-ce que c’est ? On dirait une grosse verge ! » demanda-t-elle. «  On appelle ça un godemiché. C’est la reproduction exacte de la hampe de notre seigneur. Il va te donner beaucoup de plaisir. »Il s’assit à côté d’elle sur le lit et, sans précaution, commença à enfoncer l’engin dans sa chatte bien graissée. C’est très différent comme sensation que celle donnée par un sexe d’homme, pensa-t-elle. Par contre, l’excitation était aussi grande. Après avoir fait pénétrer le godemiché sur une bonne moitié, il commença à le faire aller et venir et elle commença à se tordre de plaisir. «  Je n’en peux plus, c’est si bon… !!! »Son corps tendu frémissait. Célestin retira l’engin brutalement. Manon le supplia de l’y remettre. Il s’exécuta en l’enfonçant à fond et se leva prestement :«  Voilà. Il va rester planté là toute la nuit et demain matin ma queue prendra sa place. Dors bien ma jolie salope ! »Maryaline dormit très mal. Attachée, elle ne pouvait pas bouger. Elle sentait l’objet la remplir entièrement sans pouvoir toutefois la satisfaire. Elle maudissait Célestin. Le jour arriva. Des servantes vinrent délivrer Maryaline et elle put se laver. Elle ne pensait plus à la promesse de Célestin. Le seigneur avait donné l’ordre de laisser Maryaline se reposer toute la journée. Comment pouvait-elle être fidèle à son maître en se faisant prendre par d’autres hommes ? Le soir arriva bien vite et Maryaline fut appelée et conduite dans la chambre du seigneur. Il n’était pas seul. Célestin était là. Le maître la remercia :« Tu es très docile Maryaline et je suis très satisfait de tes prestations. Il va être temps de gouter à ma queue chère demoiselle. »«  Serais je fouettée Seigneur ? » « C’est un peu tôt car tu es encore marquée par la dernière flagellation.Célestin déshabillez moi cette jouvencelle ! »Nue elle s’allongeât en travers du lit. Célestin introduisit son sexe et commença à se mouvoir en elle. Maryaline ouvrit la bouche et poussa un gémissement. Aussitôt le maître, d’un geste preste, y fourra son membre raide. «  Tu peux en prendre deux en même temps ma chienne ! Allez, suce Maryaline ! Goûte ton maître et régale-moi comme nous te régalons. » Le valet la pistonnait à présent sauvagement. Dans la tête de la jeune fille, les sensations se bousculaient. Le sexe du maître devenait de plus en plus gros et dur dans sa bouche. Maryaline avait l’impression d’étouffer. Les deux hommes déchargèrent en même temps, ce qui provoqua la jouissance de la soubrette. Célestin quitta la pièce. Le seigneur s’assit dans un fauteuil face à Maryaline.«  Nous avons à discuter ma chère. Tu as réussi les premières étapes de ton dressage. Veux-tu m’appartenir corps et âme ? »« Oui, mon seigneur et maître. Je le désire ardemment. »« La dernière étape est la plus difficile. Si tu m’obéis, je te ferai ma chienne de compagnie. Célestin t’en a parlé hier. Tu dois te donner à d’autres hommes selon mon désir ou mon accord. Es-tu d’accord ? »«  Oui maître. »« Dis-moi, Maryaline. Y a-t-il un homme ou une femme qui te fasse horreur ? »«  Oui, maître. Dans le village on l’appelle le monstre tellement il est laid et sale. Il travaille dans une ferme. Son occupation principale est de nettoyer les étables et la porcherie. On dit que la nuit, il enfile des truies car aucune femme ne veut de lui. »«  Et bien, Maryaline, si tu veux être ma chienne, demain après-midi tu vas aller chercher cet homme, l’amener au même endroit où je t’ai vue le cul nu, fessée par Célestin, et tu vas le sucer. S’il veut davantage, tu dois le laisser faire. J’assisterai caché à votre entrevue. »Maryaline, médusée, ne savait pas si c’était réel ou si elle rêvait. Il lui était impensable d’accéder au désir de son maître. Mais si elle refusait elle le perdrait. Une fellation pensa-t-elle, en fermant les yeux et le nez je dois pouvoir y arriver.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

retrouvaille avec ma mère

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Bdsm

retrouvaille avec ma mèreCela faisait presque 5 mois que je n’avait pas vu ma mère ,j’étais en stage a l’étranger ,nous nous parlions au téléphone et par internet , mais ce n’est pas pareil.Quand je descendais de l’avion et vis ma mère qui m’attendais ,elle était habillée de bas blanc d’une robe rouge qui lui arrivait au dessus des genoux et d’un chemisier blanc ou je pouvais distinguer ses formes et sa poitrine généreuse j’ai eu une réaction qui moi même ma surprise ,je me suis dis (wou qu’elle m’excite ma mère).Ont s’est sautes dans les bras l’un de l’autre ,j’ai pu sentir ça poitrine contre moi et son odeur je la serrais très fort contre moi en lui faisant des petits bisous dans le cou.Après c’est retrouvailles nous avons pris la voiture pour rentrés chez nous , elle faisait toujours la même chose que quand j’étais plus jeune ,elle changeait de chaussures quand elle conduisait pour ne pas abîmer ces chaussures de ville.J’ai toujours été attiré par ma mère sont corps bien sur mais surtout ces pieds et ces jambes que j’ai toujours trouvé magnifique , de la voire changer ces chaussures , j’ai senti un frisson en moi.Elle me donne ces chaussures dans les mains ,un plus grand frisson me parcouru, inconsciemment illegal bahis je me mis a sentir ces chaussures cela me rappelais quand jetait plus jeune et que je me masturbais dans les sous-vêtements de ma mère quand je me suis aperçu de ce que j’avais fais je vis ma mère qui me regardais du coin de l’œil avec un petit sourire.Ma mère me dis – ont rentres mon fils chérie j’ai faim et je suis fatiguée de ma semaine de travail-C’est vrai que depuis le divorce avec mon père elle c’est beaucoup consacrer a son job, je ne l’ai vu qu’une seule fois avec un autre homme et ça n’a pas durée longtemps.Quand nous sommes enfin arrivés ,je luis donnais ces chaussures de ville , pour qu’elle puisse ce changer ,en changent de chaussures ,elle me regarda en souriant et dis -j’ai mal au pieds j’ai beaucoup marcher cette semaine j’avais pleins de rendez-vous a l’extérieur ,je crois que j’ai besoin d’un bon massage- ,un grand frisson me parcouru le corps et une érection commença en m’imaginant masser les pieds les jambes et le corps de ma mère,Et je luis répondis -avec plaisir maman-avec un grand sourire.Quand nous sommes arrivés devant la porte je dis a ma mere -maman je vais te porter n’utilise plus tes pieds illegal bahis siteleri maintenant ils sont a moi-Puis je la portait jusqu’au canapé ou je l’allongea. Je lui servit un verre boire pour qu’elle se détende Elle retira ces chaussures et me dis en me montrant ces pieds -ça y ai je suis prête mon amour pour mon massage-Je m’approchait me mis a genoux devant elle et pris ces pieds dans mains et commença a les malaxer doucement elle me demanda – depuis quand mon chérie tu aimes les pieds des femmes–non maman pas les pieds des femmes juste tes pieds a toi depuis longtemps maman je me masturbais dans tes sous-vêtements quand j’etais plus jeune- Elle me regarda avec un grand sourire,me pris le visage avec ses mains et donna un gros baise sur la bouche et posa ces pieds sur mon sexe a travers mon jean.Elle se mis tout au fond du fauteuil et mis ces pieds sur mon visage elle commença elle aussi a ce caresser la poitrine en déboutonnant son chemisier.Je léchais ces pieds les embrassais ,je sortis mon sexe qui était bien dur pris ces pieds et commença a me masturber avec je lui demandais si elle aimait – oui mon chérie continue-Mes mains caressais ces cuisses, je pouvais voir sa culotte sous canlı bahis siteleri sa jupe,elle continuait a me branler avec ses jolie pieds toute seul ,je m’approchais de sa chatte elle sentait très bon ,elle écarta les cuisses et releva sa jupe j’embrassai sa chatte a travers sa culotte je sentait que ma mère qui commençait a se remuer sur la canapé,je lui caressais sa chatte et lui mis un doigt j’ai sentis ma mère se raidir , je retirais ma bouche qui était trempée de son jus de son entre jambes et l’embrassai a pleine bouche , j’approchai mon sexe de sa chatte pour la pénétrer au moment ou je la pénétré je lui dis -je t’aime maman je suis amoureux de toi – – moi aussi mon amour je t’aime- Je commençai a faire des vas et viens je sentais qu’elle était trempée , -tu aimes maman tu la sens biens tu vas jouir toi aussi – -j’ai joui quand tu m’a léché mon ange mais je sens que ça reviens continue- Quand elle joui je sentis de la mouille couler sur mon sexe je ne pouvais plus me retenir ,je sortis ma bite et éjacula un peu sur son ventre et surtout sur sa chatte , en éjaculant je l’embrassais a pleine bouche -tu as aimé maman c’était magnifique pour moi- -oui mon chérie je me sens bien maintenant que nous l’avons fais ensembles-Je redescendis jusqu’à sa chatte pour la lécher elle était pleine de sa mouille et de mon sperme je la léchais avec un immense plaisir.Nous nous sommes endormis tous les deux dans les bras l’un de l’autre sur le canapé.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

şişli escort Antalya escort beylikdüzü escort escort eryaman escort demetevler escort Hacklink mamasiki.com bucur.net hayvanca.net lazimlik.net cidden.net By Casino rus escort bahçelievler escort Escort bayan Escort bayan escort ankara sincan escort bursa escort bayan görükle escort bursa escort bursa merkez escort bayan Kartal escort Maltepe escort Pendik escort otele gelen escort anadoluyakasikadin.com kadikoykadin.com atasehirkadin.com umraniyekadin.com bostancikadin.com maltepekadin.com pendikkadin.com kurtkoykadin.com kartalkadin.com escortsme.com Hacklink Hacklink panel Hacklink bursa escort görükle escort bursa escort bursa escort bursa escort bursa escort Ankara escort bayan Ankara Escort Ankara Escort Rus Escort Eryaman Escort Etlik Escort Sincan Escort Çankaya Escort ankara escort bursa escort Escort hurilerim.com bursa escort bursa escort bursa escort bursa escort bursa sınırsız escort bursa escort bayan bursa escort görükle escort antalya escort istanbul travesti istanbul travesti istanbul travesti ankara travesti Moda Melanj türkçe altyazılı porno porno 64 japon porno burdur escort bursa escort çanakkale escort çankırı escort çorum escort denizli escort diyarbakır escort düzce escort edirne escort elazığ escort ankara travesti escort escort escort travestileri travestileri keçiören escort etlik escort çankaya escort