Ay: Haziran 2021

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salope- A genoux chienne !Ce sont les premiers mots qu’il prononça, elle l’avait juste entendu entrer. Elle était prêtes depuis un moment déjà, exactement comme il lui avait demandé, des bas, un porte jarretelle, le string ouvert et le plug anal qu’il lui avait fait parvenir par la poste, elle ne devait porter rien d’autre. Elle suivi les instructions qu’il avait envoyé par sms en arrivant au pied de l’immeuble, laisser la porte entrebâiller et se mettre en face debout les yeux bandés et les main dans le dos…- A genoux chienne j’ai dit!La voix était toute proche, elle senti simultanément une main s’abattre sur ses fesses dans un retentissant claquement de chairs.Cette fois elle obéis à peine ses genoux touche le sol qu’elle sent sa queue contre ses lèvres.- je n’aime pas me répéter!! la prochaine fois je serais moins indulgent , suce moi! et applique toi!Elle ne savais plus quoi penser alors qu’instinctivement elle ouvrait la bouche en grand pour avaler la queue deja dur qui appuyer contre ses lèvres, güvenilir bahis son cœur tambourinais contre sa poitrine et elle sentais une chaleur l’envahir,elle appréhendait la suite des événement mais pourtant, la chaleur qui se propageait dans son bas ventre n’était pas une illusion.Elle savait pourtant a quoi s’en tenir ils avait énormément échangé au sujet de leurs envies et c’était bien ce qu’elle voulais mais le contraste entre l’homme charmant avec qui elle avait pris un verre et l’autorité de l’homme qui venait de lui ordonner de se mettre a genoux et de le sucer. Il la saisi par sa queue de cheval et sans lui prononcer le moindre mot commence a pénétrer sa bouche comme si c était une chatte. De temps à autre il s arrêtais et elle comprenais que c’était à son tour de faire le travail elle entendait encore sa voix résonner dans sa tête “la prochaine fois je serais moins indulgent , suce moi! et applique toi!” Et elle s appliquais elle avait toujours aimé sucer et d’après ses ex compagnon türkçe bahis elle était plutôt doué, elle y mettais tout son coeur remontant le long de cet épais morceau de chaire du bout de sa langue. Tournant autour du gland suçotant le gland lentement avant de prendre la queue en entier jusqu’au fond de sa gorge.Elle ne devais pas si mal se débrouiller car la bite ne cessait de gonfler entre ses lèvres elle sentait la queue palpiter au bout de sa langue. Elle accéléra encore lui prodiguant une gorge profonde comme rarement il en avait eu, elle ne pouvais voir le sourire pervers sur ses lèvres mais elle entendais son souffle s accélérer ses grognement il lui caressait les cheveux sans même appuyer sur ça tête, nul besoin elle se baisais la gorge seul elle senti la bite palpiter en dans sa bouche puis soudain sa bouche était rempli de foutre elle essaya de tout avaler mais ça la quantité était trop importante et un filet de sperme coulait à la commissure de ses lèvres. Il la regarda et la trouva belle güvenilir bahis siteleri ainsi elle était magnifique, bandante.-debout!Il la pris par la taille et la guida elle compris qu’elle était devant le lit lorsqu’elle heurta le bord du matelas. -met toi à quatre patte salope !Elle s exécuta immédiatement le doute qu’elle avait eu au début s le lait s être évanoui la privation du sens de la vie et cette bite qu elle avait dégorgé dans sa bouche semblais avoir levé les crainte.À peine en position elle senti la première claque sur son cul !-Salope, j ai même pas eu le temps de te baiser tu ma tellement sucer comme une pute je n ai pas pu me retenir !!Et il lui claqua l autre fesse puis il alternât une fesse après l autre de temps en temps il s attarder sur une fesse la caressant le embrassant ces moment apaiser le feu qui commencer à lui envahir son gros cul,mais ça ne durait pas et il lui claquait à nouveau son fessier.-salope ça t excite ? Regarde comment tu tortille ton cul de chienne et ta chatte est dégoulinante,il lui re-claquât le cul fort …Quand elle senti enfin la queue se frotter à sa chatte elle ne pu retenir un gémissement.- Espèce de petite vicieuse j vais te baiser comme tu mérite…comme une pute .A suivre…

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Ma belle soeurCette histoire dates d’il y a quelques temps déjà. Pour commencer il faut savoir que ma belle soeur est 6ans plus âgé que moi et est très sportive avec un corps, qu’on pourrait qualifier de presque parfait. Et quand on dit sportive c’est peut dire car assez peu féminine. Mais a cette période elle commençait a faire des effort en mettant des jupes et des chemisier.Un jour elle devait passer a la maison parce que sa voiture devait aller au garage, et vu que le garage est dans la rue, elle est venue manger a midi avec moi, qui était en congé.Et je ne sais pas pourquoi, mais ce jour là, elle avait décidé de mettre un nouveau jeans assez moulant qui laissait montrer un cul bien ferme et un chemisier un peu trop ajuster qui lui collait bien a son ventre plat, mais surtout qui serrait sa superbe poitrine de deux grossesses…Mais bon il n’y avait jamais vraiment eu d’ambiguïté, oui je la trouvais très jolie et c’est vrai que j’avais remarquer ses effort vestimentaire, mais bon c’était ma belle soeur et la question ne se posait pas vraiment. Sauf à se moment là où elle est rentré dans la maison parce que c’était vraiment une des premières fois où on allait être seul pendant plus de 3h, et oui c’est vrai que en la voyant marcher de dos, j’ai eu quelques envie qui me sont passer par la tête.On commence a discuter et préparer la table, on mange une tartine tout en parlant de tout de rien, du boulot, des enfants, … et de son mari. Et c’est là que sa tête a changer, parce qu’elle se confie que ça va pas trop entre eux pour le moment. En discutant elle me dit qu’elle fait des efforts, parce qu’il aimerait qu’elle soit plus féminine (ce qui se remarque), et plus caline…Et c’est là que peut-être le verre de vin qu’elle avait pris en mangant canlı bahis şirketleri a fait son effet, parce que elle parlait de caline au lit! On arrivait dans le vif du sujet, sujet que je n’aurais jamais pensé aborder avec elle. Je la savais très pudique, timide, voir réticente a se sujet. Et là dans un élan, elle me demande comment je la trouve…. je ne m’y attendais pas mais je lui dit la simple vérité, que je la trouve très belle avec un corps superbe (après deux grossesses).Mais là n’étais pas vraiment sa question, et en se re servant un verre de vin, elle me demanda si (dans l’absolu) j’aurais envie de coucher avec elle! Même si j’avais envie de lui dire que je voulais la prendre sur le tapis du salon, je lui répond plutôt par la rigolade, en disant que je ne l’ai jamais vue en sous vêtement. A se moment là elle me montra un sac a coté d’elle, avec lequel elle était venue et qui portait une marque de lingerie féminine. Et elle me demanda si elle pouvait l’enfiler pour me montrer et avoir mon avis.Après un moment d’hésitation et un peu fébrile je lui dit que oui et en la voyant partir dans une autre pièce avec le sourire, j’ai eu une idée, et lui dit d’aller dans la salle de bain où il y avait dans l’armoire de la crème épilatoire. En effet sa soeur m’avait déjà dit qu’elle était retissante a se raser le minou, simplement par timidité. Je lui dit avec un petit sourire, que si elle veut vraiment impressionner ça serait une excellente solution.Je la voit repartir ainsi hésitante, mais vu le temps qu’elle prenait pour revenir avec cette fameuse tenue, je comprend qu’elle m’avait écouter. Elle m’a appeler de la salle de bain en me demandant de monter a l’étage de peur qu’on l’aperçoive par la fenêtre du salon, alors je suis canlı kaçak iddaa monter dans ma chambre et j’ai tamiser un peu l’ambiance (tant qu’a faire^^) Et elle arriva casi tout de suite dans un ensemble string porte jarretelle soutien en dentelle noir absolument affolant, ce qui me mis la bosse au pantalon desuite.Après un moment de blanc où elle compris que j’étais sous le charme, elle avança en fermant la porte derrière elle et en me disant “de toute façon on a déjà dépasser les limites non?” et elle rajouta tout en s’avançant vers moi, “je veux faire des trucs que j’ai jamais fait, ici là maintenant!”. Pour moi c’était fini, je n’aurais pas su ne pas accepter ses avances.On s’embrassa très langoureusement et j’ai pu (enfin) poser mes mains sur se cul que je regardais depuis tant d’année. Je la colla contre moi pour qu’elle sente ma bosse, qu’elle commença a carresser pour ensuite se mettre a genoux et défaire mon pantalon. Et en sortant mon engin de mon caleçon, elle eu un petit moment de … disont fascination vu le sourir qu’ll y avait sur son visage. En effet elle n’avais jamais connu que celle de son mari, les conclusions on été assez vite fait quand elle commença a sucer avec envie. Et là je peux dire que son envie était vraiment parfaite!Après un bon moment de cette superbe féllation, il était temps pour elle de recevoir et donc je l’ai coucher sur le lit pour lui manger le minou qui était parfaitement lisse. Elle m’avoua que ça allait etre la première fois comme ça pour elle, et en tout cas elle a pas été déçue après les 3 orgasmes en 20 min de cuni. Elle aimait tellement et était dans tout ses états que je la mettais comme je voulais sur le lit coucher, a quatre patte, … et j’en porfitait pour disont préparer certaine canlı kaçak bahis chose… elle l’avait dit qu’elle voulait faire des choses jamais faite.Pendant que je la léchais, j’écartais ses jolie fesses jusqu’à y rentrer un doigts, il ne fallait pas plus, ça aurait pu la bloquer aussi. Mais après avoir réussi un doigts s’était bon et on pouvais passer a autre chose. Et c’est pourquoi je l’ai mise a 4 pattes sur le bord du lit pour la prendre en levrette, j’aurais jamais penser que je pourrais rentrer comme ça aussi facilement dans ma belle soeur. Après quelques bon aller retour elle commençait a crier, tandis que moi j’étais juste bien pas trop trop bon mais juste assez pour rester bien dure et bien m’amuser comme si sa chatte était faite pour ma bite, une sorte d’âme soeur du sex.Et donc je me suis dit pourquoi pas voir si c’est aussi bon avec son super cul. Et a la simple présentation du glan devant l’entrée elle m’a fait un regard qui disait ne me fait pas mal mais vasy en une seul fois pour pas que je dise non. Et ça a été un grand oui, après avoir forcé doucement elle se laissait bien aller et je suis rentrer tout au bout facilement, pour y rester un petit moment avant d’accélérer le mouvement pour en arriver a la faire bouger dans tout les sens jusqu’au moment de non retour où j’avais pu la prévenir et lui demander où elle voulait que je décharge tout.Elle a pu y réfléchir mais j’était assez excité et je lui ai pas donner le choix, si elle voulait une expérience unique et vraiment nouvelle, ça devait être dans sa bouche. Et là ça a complètement déborder, elle n’a pas su tout avaler, elle en a même eu dans les cheveux telement elle m’avait excité.Après ça on est rester coucher 5 min sans rien se dire, on est aller vite prendre une douche parce qu’il était presque l’heure pour elle de repartir. Et avant de s’en aller on s’est regarder dans les yeux et on s’est dit que ça ne serait pas possible de ne pas renouveler l’expérience. Depuis une fois par mois on se revoit pour ça.

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Le beau camion blancLe propos fut clair sur le tchat. Ce ne serait qu’une fois. Passefurtive. Ce serait prompt et définitif. J’avais envie de me faire sauterau sens vulgaire. Tant mon mari que mon amant ne pouvaient contenter cebesoin irrépressible d’abaissement et d’humiliation. Les sites libertinssont en cela une aubaine. Point besoin de se déplacer. Il suffit des’assurer au mieux qu’on n’a affaire à un assassin. Que le timbre devoix de l’interlocuteur au téléphone ne vous décourage. Que sa photo sielle n’est trafiquée vous agrée. Cet homme m’avait séduit son milieusocial inférieur. Avec un peu de dépit il m’avoua son métier :camionneur dans les banlieues alentour. Il sautait nombre de clientes.Il avait pris goût à la bourgeoise et femme mariée. Mon ouvriercependant n’était pas un sot.Qu’il eût dix ans de plus que moi me convenait. J’avais banni pourtoujours les minets narcissiques. Mon psy m’avait expliqué maprédilection pour les mâles mûrs qui pouvaient me soumettre en maître ousuccédané de père. Lorsque nos regards se croisèrent au fond du café, jene pus réprimer de sourire. Ce tyran avait l’air débonnaire d’un père defamille. J’eus du mal croire qu’il était le Don Juan de village qui setapait tant de femmes. Il avait la voix tendre et des façons degentleman. Je perçus qu’il était séducteur et n’avait besoin de forcer.J’affectais d’être déçue par cette trop grande aménité. Je l ’auraispréféré amant plus autoritaire, plus directif. Je doutais qu’il meprocura le frisson souhaité. Il sourit à mes propos ne s’endécontenançant point.Le temps pressait. Il m’invita à monter dans son grand camion blanc cequi avait été convenu. J’avais rêvé toujours de trôner dans ses hautescabines güvenilir canlı bahis siteleri surplombant la route et qui vous conférait un sentiment depuissance et de sécurité. Telle une petite fille je jouais avec lesboutons du tableau lui en demandant l’usage. Il ne se départait jamaisde sa gentillesse et d’un regard amusé. Il crut devoir caresser macuisse pour marquer qu’il était ce mâle amateur de chair fraîche et dejolies femmes. J’avais à cet égard mis la minijupe sous mon manteau decuir. Il rangea son grand camion aux abords de la route sous un hêtre.Là il fit sentir sa force. La nuque ployant sous sa poigne il m’attiravers lui, me prit la bouche, me força à mélanger sa langue avec la mienne.Il n’était pas prévu que je dus me résoudre à cela. Telles les putes jetrouvais obscène en effet d’embrasser. Il l’avait fait exprès. J’eus unregard furieux. Son sourire immuable signifiât son premier triomphe.Nous allâmes deux kilomètres plus loin dans un chemin sous les arbresnous dérobant à la route. Il convint que l’endroit lui était familier etque plus d’une garce en avait fait l’expérience. N’étais-je la énième desa longue liste ? D’un regard je compris qu’il requérait d’éprouver toutmon talent. Ma main après avoir caressé le haut du pantalon et d’enavoir suscité une bosse caractéristique, s’enquit doucement dedéboutonner la braguette, d’en extirper une queue grosse et tendue. Jele branlais le toisant avec toute l’insolence dont je me crus capable.Le sucer me prit un temps infini.Je câlinais ce membre qui devait dans un instant me laminer, me ravagerentre les cuisses. On eût dit que je forgeais l’épée dont je devais êtrepourfendue. Ses gros doigts mâles güvenilir illegal bahis siteleri et ouvriers pendant ce temps seperdaient en caresses dans ma chevelure blonde. La forêt autour de nousrespirait un silence empli des sons caractéristiques des lieux. L’airfrais se glissait sous ma jupe. C’était fort bienvenu. J’avais le feu aucul. J’avais besoin qu’on me prenne et éteigne l’incendie. Je le suçaisme gardant d’aller loin. Sa queue en fait était à point. Je me jetais enarrière le fixant comme pour savoir la suite. Il me demanda si jevoulais aller sous un arbre ou demeurer ici. Je trouvais amusant d’êtreprise sur un tapis de feuilles. J’y jetais bientôt mon manteau debourgeoise.Je savais notamment par mon mari émérite chasseur qu’il y a avait desfois dans ces contrées des battues et chasses à courre. On forçait legibier. Je rêvais de ces biches et mieux de ces cerfs alors jetés sousla dents des chiens. Ne pouvais-je être cette fois la biche offerte à laprédation d’un dard lourd et omniscient ? Spontanément je mepositionnais telle une chienne à quatre pattes croupe tendue. Mon amantinstaura à dessein le répit différant l’assaut inéluctable. Je percevaisson souffle. Je devinais qu’il branlait sa verge. Par un ondoiement deshanches je l’invitais d’abréger. Un pas lourd bientôt sur le feuillagemarqua le début de la curée. Ce furent d’abord ses mains puis la tête deson sexe qui vinrent forcer le seuil du sanctuaire.Il n’avait pas menti. L’homme maniait l’outil remarquablement. Son coupde rein alliait force et précision. J’étais pilonné avec méthode. J’enavais le souffle coupé. Je suffoquais, yeux exorbités. Je l’abjurais den’avoir cure de mes cris. Cette güvenilir bahis şirketleri fureur lui convenait. L’hallali sonnait.Je devais irrémédiablement succomber. Cet homme doux et avenant mesoufflait à l’oreille des grossièretés avec la pointe de sadisme dont jene l’eus cru capable. Cela dura un temps interminable. Il ne fatiguaitpas. Son sexe ne marquant nulle faiblesse. Enfin il s’arrêta. C’étaitétonnant que ce bolide lancé sans frein put s’arrêter soudain etdemeurer inerte. Quelque instant du moins. Il sourit me demandant s’iln’avait été trop brutal.Il comprit à mon sourire que j’étais exaucée. J’allumais une cigarette.Il me signifia qu’il ne fumait pas. Il ajouta riant qu’il n’avait tantde vice. Il passa sa main sur mon cul comme un sculpteur avisant lamatière qu’il travaillerait. Cela augurait que l’ouvrage n’était pasfini. Il gardait le meilleur pour la suite. En effet je me remis àquatre pattes. Il s’attaqua à la porte et à l’orifice inviolé des prudesfemmes. Depuis longtemps je n’avais été punie, souillée de la sorte. Cechemin constituait pour moi le signe de l’abjection. Égout etpourriture. L’homme qui m’enculait avait droit à me traiter de tous lesnoms. Il ne s’en priva pas. Allant doucement puis à fond il fit montred’autant de puissance que tout à l’heure.Il s’épancha enfin dans mon cul. L’heure tournait. On eût dit que cemâle sous contrôle avait décidé de la fin de la partie. Il essuya saverge pantelante sur chacune de mes fesses. Par coquetterie je tins à lesucer et à lui raffermir la bite. Il en résultat un sincère rire. Ainsimarquais-je ma reconnaissance et mon contentement. La feuille de routeavait été respectée. Il était confirmé que cet amant était un beauchampion. Que ses nombreuses femmes voulussent qu’il récidivât souvent.Je regrettais presque de n’avoir convenu qu’une fois mais je devais àpartir de ce jour et revenir à mon ancienne vie. Et ne me confiner qu’àun mari et un amant. Je vis son grand camion tourner au coin de rue avecune joie d’enfant.

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OphélieAprès ma rupture avec Ondine ( http://fr.xhamster.com/user/QuietDays/posts/537595.html) , j’ai longtemps cru que mes expériences sexuelles et lycéennes ne seraient plus qu’une longue traversée du désert. J’avais passé une bonne partie de l’année scolaire suivant notre aventure à tenter des manœuvres de séduction envers Rachel, une ravissante petite brunette qui avait cédé avec une facilité déconcertante aux avances d’un bellâtre au physique de professeur de tennis dont j’ai oublié le nom. Fort marri, j’en avais éprouvé une peine immense et un amour immodéré de ce truc con de l’époque appelé Jazz Rock, j’ai même encore quelques vieux disques de Joe Jackson dans un coin pour me rappeler ces heures sombres de ma jeunesse. J’avais décidé que, non, finalement, ces choses du cœur et du corps, pour moi c’était un peu fini et qu’on verrait ça plus tard, après le bac, à la fac, où l’indépendance rendrait tout tellement plus facile que, maintenant, chez les parents et dans un trou perdu campagnard loin du lycée où j’allais. Je l’avais même d’ailleurs confié à Ondine, qui demeurait une bonne amie, très chaste et studieuse, apparemment, elle-aussi. Elle me l’avait d’ailleurs avoué en retour lorsqu’il nous arrivait parfois de discuter.L’année du bac s’entamait donc sur de bonnes résolutions et des perspectives à base de mathématiques et de philosophie, accompagnées de masturbations sur les souvenirs fugaces d’une aventure charnelle de vacances avec une fille assez insignifiante qui ne mérite pas même un paragraphe et dont j’ai oublié jusqu’au nom. Evidemment, la rentrée allait bouleverser mes plans.En premier lieu, Ondine, dans une autre classe, ne pourrait plus me servir de confidente et échanger nos états d’âme ne serait plus possible que rarement.Et puis, il y avait Ophélie. Une visage que j’avais croisé de loin de multiples fois les années précédentes sans même la remarquer et à qui les vacances semblaient avoir fait un bien fou. La jeune fille un peu effacée, timide qu’elle avait été, semblait transfigurée, détendue, avec une aisance naturelle qui me désarçonnait et la rendait infiniment désirable. Elle avait troqué ses vêtements ternes pour des frusques plus amples, un style assez hippie. Elle avait détaché ses cheveux et paraissait avoir constamment le sourire au lèvres. Il y avait forcément de l’amour dans le nouveau regard que je portais canlı bahis şirketleri sur Ophélie. Soit celui-ci me frappait de plein fouet et me faisait enfin regarder avec attention celle qui me plaisait, soit elle était si amoureuse qu’elle irradiait un bonheur communicatif. Je décidais donc de commencer quelques investigations pour découvrir les raisons de ce qui me troublait tant.Durant des semaines, j’ai guetté pour voir si Ophélie embrassait avec fougue un bellâtre qui était professeur de tennis, d’aviron ou quelque chose du même acabit. Rien. Pas de type ombrageux à moto et perfecto qui l’attendait à la sortie du lycée. Non plus. Un mystère, elle ne semblait vraiment pas avoir de petit ami. Plus le temps passait, plus elle me semblait belle et plus je me demandais si ce changement ne venait pas d’une passion naissante qui grandissait en moi. C’était improbable mais ça me paraissait la seule explication logique. Cela me troublait au plus haut point et je commençais même à ne plus penser qu’à ça : comment une fille si belle pouvait paraître si seule ?Je me souviens très bien du moment où j’ai découvert le pot aux roses même si c’était il y a un peu plus de vingt ans. C’était un jeudi après-midi de printemps et à l’heure où tous les étudiants se précipitaient mollement pour aller en cours, moi c’était Spinoza revu par Antonio Negri, j’ai aperçu sa silhouette, de dos, en train d’embrasser à pleine bouche quelqu’un avant d’aller en cours. En général, ce n’était pas trop l’usage dans mon lycée, où on considérait qu’en terminale, le roulage de pelle passionné en public avait un côté saugrenu, presque enfantin. Plus personne ne jugeait bon d’exhiber ses amours pour gagner en popularité comme un collégien et on préférait les effusions discrètes. Mais, là, quand l’étreinte longue et passionnée s’est terminée, j’ai compris. Elle n’embrassait pas n’importe qui. Elle embrassait Ondine. Mon ex, donc. Et le côté démonstratif de l’effusion affichait à la face du monde leurs amours de filles. Et, crois moi, ce n’était pas une chose si commune il y a 20 ans dans un lycée à la fois fort bourgeois et de province.Le geste avait une certaine classe et pas mal de cran. Il faut l’avouer. Je confesse néanmoins qu’il m’a beaucoup troublé parce que la conversion saphique de mon premier amour me fit assez vite me poser des questions sur ma virilité. canlı kaçak iddaa J’ai du gamberger une bonne petite semaine avant qu’Ondine ne m’invite à prendre un pot au café et qu’on ait l’occasion d’en discuter.- Je suis vraiment désolée pour l’autre fois, j’aurais vraiment voulu t’en parler avant, que tu ne l’apprennes pas comme ça …- Je t’avoue que moi aussi.Ma réponse aussi sèche qu’elle était, se trouvait accompagnée d’un grand sourire. Je ne pouvais lui en vouloir et à la réflexion, j’avais accepté son homosexualité mais, bon, on ne se refait pas, quand on a le sens de l’humour noir, une telle réplique digne d’un film, il fallait la faire.- Mais Ophélie a vraiment insisté sur le moment et, puis bon, fallait que ça sorte.- Oui, j’ai vu. En tout cas, c’était courageux. C’est bien, ça a du décoincer quelques connards à l’esprit bien fermé.- Je suis contente que tu ne te fâches pas. Tu le prends bien, donc ?- Ben oui, je suis heureux pour toi. En même temps, je vais pas te mentir, ça me fait me poser plein de questions sur moi. Est-ce que c’est moi qui ai pas su faire ce qu’il fallait pour te rendre heureuse ou autre chose ? Ou est-ce que c’est toi qui a trouvé ta voie et que toute façon on ne serait allé nulle part ensemble.- Ah, tu sais, Henri, on ne choisit pas vraiment … J’aime les filles, je crois que c’est comme ça. Et puis surtout j’aime cette fille. Ophélie est vraiment super.- Ça fait longtemps que vous êtes ensemble ?- Presque six mois qu’on se cache au lycée. Elle en avait marre.- Tes parents, ils savent ?- Oui, à force de soirées de révisions – elle traça des guillemets en l’air avec un sourire entendu – qui s’éternisaient avec elle, ils ont compris. Ils l’ont bien pris … Je crois qu’au fond, ils se doutaient que j’aimais les filles, même peut être avant que je ne le sache.- Certains parents sont plus intelligents que des anciens petits amis. Et du côté des parents d’Ophélie ?- C’est plus compliqué. Elle ne leur en a pas encore vraiment parlé. Et puis, elle est un peu moins sure que moi …A ce point du récit, il faut quand même aussi décrire un peu comment la frèle adolescente Ondine avait évolué. Elle avait bien épaissi et définitivement adopté le jean baggy et l’ample chemise à carreau. Le total look Niravan qui avait un côté “camionneuse”, le même que celui que Balasko adoptera, plus tard, dans Gazon maudit. canlı kaçak bahis La mode de l’époque était sans doute différente mais bon, je me demande encore avec le recul comment j’ai pu être surpris le jour où j’ai compris qu’elle aimait les filles.La conversation continua ainsi un petit bout de temps. On a parlé de Gilles, le seul prof qui avait profité d’une rencontre avec elles pour les féliciter de leur coming out retentissant. Avec son look de branché des années 90 et son physique d’Appolon, Gilles faisait fantasmer toutes les filles de ma classe, ce qui me faisait doucement marrer vu que je disposais déjà, grâce à une intense connaissance de la filmographie d’Almodovar, d’un gaydar fort développé. On échangea rapidement quelques potins à son propos. On parla de l’avenir du couple d’Ondine aussi. On a causé de beaucoup de choses mais, toujours, elle ramenait la conversation aux doutes de son amie sur son homosexualité. A la fin, n’y tenant plus, elle lacha enfin la question qu’elle avait tenté d’amener dans la conversation auparavant.- Tu sais, Henri, si on cause de tout ça, c’est parce que j’ai un service à te demander.- Quoi donc ?Je souriais, je m’imaginais déjà jouer le rôle du faux petit ami d’Ophélie pour ses parents, une “couverture” destinée à donner le change.- Ophélie a jamais connu de garçon. Et ça la travaille. Beaucoup même. T’es un type bien, sympa, en qui j’ai toute confiance pour qu’elle puisse essayer. Elle appréhende un peu … Mais si tu veux, elle est d’accord.Elle a laché ça d’un bloc sans respirer et paraissait soulagée après avoir dit ça.- Attends, Ondine, tu me proposes de coucher avec ta copine, là ?Elle répondit, plus assurée, comme si le plus difficile avait été de demander :- Presque, disons que tu viens un jour chez moi. On est tous les trois et il se passe ce qui se passe. Enfin, idéalement. Mais il y a trois conditions.- Lesquelles ?- La première c’est que tu dois être d’accord.- Ecoute Ondine, sois sérieuse. Tu penses que beaucoup de mecs refuseraient de coucher avec deux filles en même temps ? Je sais que c’est bizarre vu qu’on a déjà, enfin … et que c’est la fille que t’aime mais bon.Evidemment, je taisais la montée de libido que j’avais subie à propos d’Ophélie.- La deuxième, c’est que tu dois être discret et qu’on ne sera que trois à le savoir.- C’est une évidence, Ondine.- La troisième, c’est que si ça ne se passe pas comme prévu, t’insistes pas. Tu nous laisses le contrôle, ok ?- Tu sais que c’est pas mon genre d’être lourdingue.Elle le savait bien.- Bon, Ok, Henri, on compte sur toi, samedi prochain, alors ?Evidemment, j’acceptai.

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Marion ; une veuve, une maman (7)Marion se réveilla, son fils blotti contre elle. Il dormait à poings fermés, pourtant il bandait ; elle sentait son érection contre sa cuisse.Elle frissonna au contact de la queue sur sa peau, effleura le gland du bout des doigts, puis sortit du lit pour aller prendre sa douche.Ils étaient allés trop loin pour qu’elle recule, mais elle ne voulait pas d’un premier rapport bâclé. Il était probablement puceau – certains signes ne trompent pas – mais elle refusait qu’il la baise à la va-vite, qu’il tire son coup dans l’urgence ; l’idée de lui servir de vide-couilles la répugnait.Elle ne voulait pas s’offrir à lui parce qu’il en mourrait d’envie, qu’il était impatient, incapable de se discipliner ; elle n’avait pas l’intention de lui céder aussi facilement.Mais elle était sa maman, la première femme de sa vie, celle avec laquelle il avait partagé ses premiers mots, ses premiers pas… alors pourquoi pas sa première fois ?Elle avait l’opportunité d’être partie prenante de ce moment décisif qui conditionne souvent la vie d’un homme…Quand elle sortit de la salle de bain, Mathieu, assis sur le lit, l’observa du coin de l’œil, sur ses gardes ; il ne savait pas comment il devait se comporter.- Va faire ta toilette, mon chéri… et dépêche-toi de t’habiller… Nous allons partir !Elle n’était ni fuyante ni sur les dents, elle était chaleureuse et souriante, et sa sérénité, sa gentillesse rendait l’atmosphère chargée de tension sexuelle.Elle ouvrit sa valise, choisit une tenue adéquate à une journée de conduite, la disposa sur le lit, et, alors qu’il ne s’y attendait pas, elle laissa glisser sa sortie de bain à ses pieds, avec un naturel qui le laissa sans voix ; il en eut le souffle coupé.Il avait déjà vu sa mère plus ou moins dénudée, mais c’était la première fois qu’elle se retrouvait volontairement toute nue devant lui. Elle enfila sa culotte, agrafa son soutien-gorge, avec les mêmes gestes qu’une strip-teaseuse qui s’effeuille, mais à l’envers. Alors qu’elle s’apprêtait à entrer dans son pantalon, Mathieu prit un ton suppliant.- Non Maman… met plutôt ta jolie jupe, l’implora-t-il.Elle ne comprit pas tout de suite où il voulait en venir, et elle s’empourpra violemment. La jupe en question était un cadeau que lui avait fait Michel, destinée à pimenter leurs ébats clandestins.En vinyle rouge, vraiment mini, agrémentée d’une fermeture éclair sur le devant, elle épousait sa croupe comme une seconde peau et lui faisait de longues jambes ; il s’agissait d’un accessoire sexuel plus que d’un vêtement.« T’as vraiment l’air d’une pute là-dedans… qu’est-ce que t’es bonne, putain ! », lui disait Michel avec admiration, quand elle paradait devant lui.Elle se souvenait de ses paroles crapuleuses, de l’excitation dans ses yeux, tout lui revenait à présent, mais comment son fils était-il au courant ?Elle l’avait jetée dans sa valise au dernier moment, cette jupe scandaleuse ; elle se doutait pourtant qu’elle n’aurait jamais l’occasion de s’exhiber avec en famille, pour Noël !Il faut croire qu’elle avait d’obscures raisons d’imaginer qu’elle aurait son rôle à jouer si le moment se présentait… et voilà qu’il se présentait justement !- Tu as fouillé dans ma valise hier soir, petit salaud ?- Mais non, maman ! Je cherchais quelque chose… et je suis tombé dessus par hasard, mentit effrontément illegal bahis Mathieu, devant l’air inquisiteur de sa mère. – C’est ça ! Prend-moi pour une idiote !Mais elle ne se déroba pas, changea de culotte en le toisant, opta pour un minuscule slip rouge à ceinture ficelle, assorti à la jupe qu’elle enfila.- Voilà ! C’est ça que tu voulais, petit vicieux ?Elle jouait le jeu, n’avait pas l’air de lui en vouloir, exhaussait ses caprices vestimentaires ; il se demandait s’il devait se pincer pour se réveiller. Sa mère était irrésistible. Avec sa jupe ras-le-bonbon, en soutien-gorge, elle avait tout d’une pin-up ; elle ressemblait à une de ces créatures de calendrier que les routiers accroche dans leur camion. Elle pivota sur ses talons pour lui montrer son cul sanglé, et s’assit sur le lit pour se chausser.Quand ils furent tous les deux habillés, Ils bouclèrent leurs valises et sortirent de la chambre.Ils s’arrêtèrent à la réception. Le vieil homme était fidèle au poste, et il se confondit en excuses.- Je suis désolé, Madame, pour tous ces désagréments… J’espère que vous avez quand même passé une bonne nuit…- Ne vous en faites pas, Monsieur… Nous avons bien dormi, merci, le rassura Marion. Mais Mathieu comprit le sous-entendu. Et il n’en avait pas fini avec lui.Pendait qu’elle réglait la note il décela, dans le regard du vieillard, une lueur de convoitise.- Vous aviez raison, Monsieur, vous savez… Tout s’est passé comme je voulais… Merci pour vos conseils…Ils se dirigèrent vers la sortie ; Mathieu attrapa sa mère par la taille, la serra d’un peu trop prés, et il se retourna pour faire au vieillard le même clin d’œil salasse que ce dernier lui avait adressé la veille.Il vit la souffrance que le pauvre homme éprouvait, et il en fut satisfait… – Il faut qu’on parle… tu ne crois pas ?Mathieu lui matait les cuisses depuis qu’ils étaient partis. La question détourna son attention.- Et de quoi veux-tu qu’on parle ?- Je suis ta mère, Mathieu… Ce qui s’est passé entre nous n’est pas normal… c’était déplacé ! – Ah bon ? J’ai adoré, moi… – Je ne plaisante pas, mon chéri, je suis sérieuse…- Mais moi aussi ! C’était génial hier soir, non… et ça t’a plu à toi aussi, pas vrai ?- Ce n’est pas la question… Il ne faudra plus le refaire… Tu imagines ce que les gens penseraient de moi s’ils l’apprenaient ?- Personne n’a besoin de le savoir… C’est entre toi et moi…Elle n’en revenait pas. Alors qu’il n’osait pas la regarder dans les yeux les jours précédents, il était sûr de lui, avait réponse à tout, lui parlait comme s’ils partageait le même secret, comme s’ils étaient de connivence.- Bon sang, Mathieu, tu ne devrais plus avoir ce genre de désir pour moi… tu es trop vieux pour ça…- Je ne suis pas le seul, tu sais, maman… Tous mes copains rêvent de te baiser !- Mais je ne suis pas leur mère voyons, c’est différent ! Je vois comment mes élèves me regardent… Je sais bien que les garçons de ton âge ne pensent qu’à ça… mais ce n’est pas une raison pour te croire tout permis avec moi !- Tu ne disais pas ça hier soir, maman… Arrête de me raconter des histoires !Il lui fit un baiser dans le cou, posa la main sur sa cuisse, tira sur le curseur de la fermeture éclair pour ouvrir la jupe de bas en haut.Il saisit la culotte par la petite attache en métal qui reliait l’empiècement, illegal bahis siteleri tira dessus jusqu’à ce que l’anneau cède, que la ficelle craque.Marion souleva le cul, gigota, afin qu’il la débarrasse du slip déchiré. Elle gémit, étouffa un soupir de volupté quand ses fesses nues entrèrent en contact avec le moelleux du siège en cuir.- Je suis en train de conduire, mon chéri, ce n’est pas prudent… Arrête… Arrête ça tout de suite !Mathieu glissa sa main entre les cuisses de sa mère, haut dans la fourche, la plaqua sur la chatte, poussa un doigt dans son vagin.- Oh, tu mouilles vraiment beaucoup, maman… tu es déjà toute trempée… Tu peux pas savoir comme ça me fait plaisir, lui murmura-t-il à l’oreille.Il se pencha, donna un coup de langue dans les poils mouillés.- Arrête-toi, je t’en supplie… Je ferais tout ce que tu veux plus tard, mais pas maintenant… C’est trop dangereux, je vais avoir avoir un accident !Elle était épouvantée. Elle sanglotait de terreur et de plaisir mélangés.Alarmé par sa réaction disproportionnée – il commençait à peine à la toucher – Mathieu s’arrêta, se redressa.- Je suis désolé… mais tu ne comprends pas… Je rêve de te faire ça depuis des années… Il l’aurait giflée qu’elle n’aurait pas paru plus choquée. Elle tourna la tête et le regarda, hébétée.- Et tu penses à moi de cette façon depuis quand, exactement ?- Si tu savais… tu n’imagines même pas… Je me branle en pensant à toi tout le temps… Il n’y a que toi qui m’excites…que toi, maman !- Oh Mon Dieu, je croyais que c’était récent… OH MON DIEU !- On pourrait faire une pause à la prochaine aire de repos… Tu veux bien, hein, maman ?Il lui demanda de ne pas s’arrêter au parking de la station-service, de chercher un endroit plus isolé.Elle trouva un autre parking à l’écart, déserté, se gara et coupa le contact.Il s’inclina tout de suite, lui ôta sa jupe, lui fourra son visage entre les cuisses.Elle pleurnicha, lui dit que c’était mal, qu’il ne fallait pas faire ça, pourtant elle poussa ses fesses vers l’avant, pour mieux s’ouvrir.Elle écarta les jambes du mieux qu’elle pouvait, un genou sur le levier de vitesse, l’autre sur l’accoudoir de la portière, et elle se soumit à la caresse perverse, s’abandonna à la bouche de son fils qui la fouillait, qui la dévorait voracement.L’orgasme la dévasta de la tête aux pieds, et Mathieu fut stupéfait par son intensité ; il ne s’imaginait pas qu’il était capable de la faire jouir autant.- Seigneur, Mathieu… Où as-tu appris à faire ça… Comment peux-tu être aussi vicieux, à ton âge ?Il se redressa en se léchant les lèvres, contempla sa mère qui, étourdie par le plaisir, gisait dans la même position, telle une grosse poupée désarticulée. – C’était pas difficile, maman, ta chatte a bon gout… elle est délicieuse ! Je me suis régalé… A ton tour, maintenant !Il se débraguetta, fit sortir son sexe du pantalon ; sa queue était encore plus grosse que Marion – qui l’avait pourtant masturbé la veille – l’imaginait.Son gland, rouge et turgescent, luisait à la lumière du jour ; il ressemblait à une énorme cerise bien mûre qui lui donna envie de croquer dedans.Elle ne pouvait pas y couper ; il ne lui demandait, finalement, rien d’autre qu’un échange de bons procédés.Elle se pencha sur lui, prit son pénis dans la main, lécha le frein avant de gober canlı bahis siteleri le gland, de faire tournoyer sa langue autour ; Mathieu eut l’impression d’être fendu en deux, tant les décharges nerveuses de plaisir étaient violentes.- Tu es sûr que personne ne peut nous voir, s’inquiéta-t-elle en levant les yeux vers lui.- Mais non maman, je surveille… Continue, surtout ne t’arrête pas…Elle alternait les savants petits coups de langue et les aspirations gloutonnes. Elle l’enfournait si loin dans sa gorge qu’il pouvait sentir les lèvres s’écraser sur ses poils pubiens. Il déchargea en lui appuyant sur la tête à deux mains, et il l’entendit déglutir les giclées qui jaillissaient. – Ça va trop loin, mon chéri… Nous allons beaucoup trop loin…Elle se redressa, s’essuya la bouche du revers de la main, remit sa jupe, mis de l’ordre dans ses cheveux face au rétroviseur, et ils reprirent la route.Assommé par le plaisir que lui avait donné sa mère, Mathieu somnola pendant qu’elle conduisait.Ils firent d’autres arrêts, pour mettre de l’essence, pour boire un café, et Mathieu insistait pour qu’elle ne mette pas son manteau, qu’elle l’accompagne à la boutique du relais en jupe. – Tu veux qu’on me prenne pour une pute ? Tu veux vraiment faire passer ta mère pour une pute ?Il faillit lui avouer qu’il ne voulait pas qu’on la prenne pour UNE pute, mais pour SA pute, il voulait que les hommes se demandent ce qu’une femme comme elle faisait avec un gamin comme lui.Il voulait voir la stupeur sur leur visage, découvrir leur incompréhension, leur désir d’être à sa place. Mais ce n’était qu’un doux rêve ; il savait qu’elle n’accepterait jamais de jouer à la femme-objet devant des spectateurs…Ils arrivèrent à destination à la tombée de la nuit.Les parents de Marion étaient propriétaires d’une maison de maitre, conforme à leur statut de notables.Ils adoraient leur fille unique, n’avaient été en conflit avec elle qu’une seule fois dans leur vie ; quand elle s’était mariée sur un coup de tête d’après eux.D’abord jeune fille modèle – bien qu’un peu trop dévergondée pour eux – elle avait acquis à leurs yeux un statut de martyre en devenant prématurément veuve.Ils ne manquaient jamais une occasion de louer son courage, son intégrité, sa dévotion envers ses enfants.Que penseraient-ils aujourd’hui, s’ils découvraient qu’elle s’affiche dans une tenue digne d’une putain du quartier rouge d’Amsterdam ?C’est la question que se posa Marion en sortant du véhicule, quand elle prit conscience de son accoutrement.Elle attrapa son manteau, l’enfila en catastrophe en voyant ses parents qui accouraient, tout sourire.Sa mère la prit dans ses bras pour l’embrasser. Son odeur, cette façon qu’elle avait de la serrer contre elle, comme quand elle était petite et qu’elle avait du chagrin ; ce fut trop pour Marion qui éclata en sanglots.- Qu’est-ce que tu as, ma chérie ? Vous vous êtes encore disputés ? Tu pourrais ménager ta mère, Mathieu, surtout maintenant que vous n’êtes que tous les deux !Ses grands-parents exaspéraient souvent Mathieu, particulièrement quand ils prenaient leurs grands airs de bourgeois offensés.- Mais non, mamy, pourquoi tu dis ça ? Je suis gentil avec ma mère ! Pas vrai, maman, que nous nous entendons très bien toi et moi ?Marion manqua de s’étouffer, rassura sa mère, fit les gros yeux à son fils.- Allez, venez, il fait un froid de canard… rentrons nous réchauffer, j’ai allumé un feu…Sa mère se trompait. Marion avait de nombreux reproches à l’adresse de son fils, mais il n’était pas méchant avec elle.Au contraire, il devenait beaucoup trop gentil…

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Une soirée de folie à 4Voici la suite de mes aventures avec Mélanie , jeune salope de 20 ans que j’ai rencontrée dans un bus début septembre . Après notre rencontre ahurissante dans le bus on avait baisé chez elle dans sa chambre , sa mère Manon était dans la cuisine . J’avoue que sa m’avait vraiment excité le fait qu’elle puisse nous entendre dans ébats amoureux . Manon c’est une très belle femme de 45 ans, grande , mince au cheveux blonds longs. Après être sorti de la douche je m’habille prêt à partir . Mélanie se change dans sa chambre , et Manon regarde la télé au salon . Je l’a rejoint pour lui dire au revoir.Elle me regarde arriver avec un grand sourir.- alors heureux? – heu … Ouiiii très heureux Le rouge m’était monté aux joues . – vu le boucan que vous avez fait , vous avez du bien vous amuser – ah… Désoler si on ta dérangée – pas du tout , au contraire .. Tu sais ma fille et moi n’avons aucun secret l’une pour l’autre et savoir qu’elle a pris son pied me rend très heureuse . Tu sais tu n’es pas le premier à la sauter en ma présence , mais je ne l’ai jamais entendu crier comme sa . Et j’avoue que sa m’a terriblement excitée . Mélanie nous rejoint au salon habillée d’un long t-shirt et d’un shorty.- maman sa te déranges si Micka passe le week end à la maison ?- ah non pas du tout ! Bien au contraire ! J’etait en train de lui dire que je ne t’avais jamais entendu prendre autant ton pied et que sa m’avait terriblement excitée .- ah sa oui j’ai pris cher , c’était génial . Alors la normalement j’aurai du etre gêner , le fait d’entendre une mère et sa fille avoir ce genre de conversation mais non , au contraire , j’etait très à l’aise . Je me sentait comme un poisson dans l’eau au milieu de ses deux belles femmes . Maleuresement je doit m’en aller mais je me langui déjà d’être à ce week end . Le week end arrive et je me prépare à rejoindre à ma petite chienne de Mélanie et sa superbe maman . J’avoue que je me suis branlé plusieurs le soir pendant la semaine en pensant à elles . Je fantasmai a l’idée de les baiser toute les deux en même temps . Et ben j’etait pas au bout de mes surprises.Je sonne au portail , gare ma voiture dans la cour et rejoint mel’ à la piscine comme convenue dans dernier texto. Elle était nue dans le transat en train de bronzer .- coucou ma belle sa va ?- oui mon chéri . Me dit elle en écartant largement les jambes. Je l’embrasse sur la bouche puis sur sa chatte déjà toute mouillée internet casino . Je vois un gros gode sur le transat . – ben dit ! Je vois que tu ne m’a pas attendue !- c’est Carmen qui me l’a offert et qui l’a testée sur moi . – Carmen??!!?!- ouii Carmen !! La meilleure amie de maman !A peine fini sa phrase je voit Manon arriver avec un plateau boisson et accompagnée d’une femme tout aussi jolie qu’elle ,plus petite, blonde aussi coupe au carré , un très beau visage , et une belle paire de sein compressée dans un maillot de bain deux pièces de couleur bleu . Manon pose son plateau sur la table et me fait une bise sur la joue . Elle était vêtue d’un paréo et avait attachée ses cheveux . -coucou Micka ! Tu vas bien ? Je te présente Carmen ma meilleur amie et accessoirement collègue de travail . Carmen me fait la bise . Elle sentait vraiment bon .- oui , sa va merci et toi ? je suis content de te revoir , tu est magnifique dans ton paréo !- quel paréo ? Elle avait fait glisser son vêtement et se retrouva nue devant moi. Je resta ébahi devant ce superbe corp , ses petits seins magnifiques et un petit ticket de métro au dessu de sa très excitente petite chatte . Je sentit ma queue se durcir . Les filles voyant ma tête éclatent de rire . On vois l’apéro alors l’apéro . Rosée pamplemousse pour elles et “don papa” pour moi. Je me sent super bien la avec ses trois belles femmes dont deux son deja poil. La discussion dévie rapidement sur le cul . Et le moins que l’on puisse dire c’est que la Carmen n’était pas très farouche ! Elle me regarde avec son regard coquin et me dit:- Mélanie m’a raconté votre rencontre . Tu n’as pas dû en voire beaucoup des salopes comme elle dans ta vie ?- heu.. Tu veux dire du genre qui me suce dans un bus sans connaître mon prénom et qui me suppliât de lui gicler dans la bouche alors qu’une voiture qui roulait à côté de nous n’en perdait pas une miette ? Non j’avoue sa ne m’était jamais arrivé On rie tous les 4 ensemble et Manon donne un coup de coude amical à sa fille . – t’es vraiment une salope toi . Dit elle en rigolant- et oui maman ! Les chiennes font pas des chattes !!C’est reparti pour un rire collectif . Carmen repos ses esprit et lance normalement à Mélanie :- suce le mel’ ! J’ai envie de voir comment tu te débrouilles ! Sans attendre à la réponse sa ma petite pute , je me lève de mon siège ( non sans mal , le “don papa” avait fait sont effet ) sort ma queue et l’enfourne canlı poker oyna dans sa bouche . Mel’ commence à me sucer en s’appliquant bien . Elle me lèche aussi les les couilles en branlant ma tige . Manon et Carmen admire le spectacle en se caressant mutuellement les cuisses et l’entre jambe. Mel’ me fait ensuite une gorge profonde tellement agréable que je sent que je vais pas tarder à jouir . Mel’ le sait alors elle continu encore puis sort ma note de sa bouche , la branle avec vigueur en direction de sa gueule grande ouverte et de sa langue tendue . Je gicle direct tellement c’est bon .je arrose la langue et le visage à coup coup de grandes giclées de sperme bien chaud . Mel’ avale mon sperme et récupére le reste en se léchant les doigts . – hummmmm. Vraiment trop bon ce sperme ! – tu fais goûter ? Dis sa mère Mel’ se lève et fait goûter ses doigts à Manon . – hummmmm c’est vrai qu’il est bon ce foutre !! Ni une ni deux Manon pris sa copine à pleine bouche et l’embrassant langouresement . J’etait au anges . Je me rassied et dégusta un autre verre en étant vidé et heureux . Mais Mélanie est vraiment excitée alors elle se lève , récupére le gode , le tend à Carmen : – vas-y encule moi ! Pendant que la queue de mon homme se remette de ses émotions ! – ah ouiiii ! Avec plaisir ! Allez donne moi ton cul petite nymphoman !! – ouiii je veux que tu me fasse comme tout à l’heure ! Fais moi crier comme une chienne ! – je vais te casser le cul salope !! Mélanie se met à 4 pattes sur le transat et Carmen après avoir sucer le gode pour l’humidifier l’enfonce dans le petit trou de ma belle . Elle fait de petits va et viens pas profond en lui claquant les fesses . Manon s’assoit à mes côté en posant sa tête sur mon épaule . Sa main caresse ma queue qui reprend peu à peu vigueur . – c’est vraiment une salope ma fille !- oh que oui! Et je t’en remercie de l’avoir élevée ainsi .- tu veux que je te suce un peu ?- oui s’il te plaît et après je te prend en levrette sur l’autre transat .Manon se penche , me suce tout doucement , me lèche le gland , le gobe, l’enfonce au fond de sa gorge et fair des lents vas et viens . Pendant ce temps ma petite putain de Mélanie enchaîne les orgasme sous les coup de gode de Carmen . Je bande à nouveau au maximum , invité ma belle mère à se place en levrette sur le deuxième transat et enfonce ma queue d’un coup au fond de sa chatte . Je la ramone violament en la tenant par poker oyna les hanches . Manon prend directement son pied et m’encourage à la besogner avec vigueur . – oh oui !! C’est bon !! Défonce moi mon salaud !! Donne moi tout !!- t’aime sa salope ? – ouiiii j’adore ! Continu !- t’es aussi chienne que ta fille toi !!- je suis pire !! Claques moi mon cul de pute !!- prend sa salope! Je continu à baiser Manon comme une bête . Ses cries se mêlent à ceux de sa fille toujours en train de se faire ramoner la rondelle par Carmen . Je continu encore un bon moment puis dans un râle violent de plaisir ejacule sur les fesses de ma belle mère . Mel’ qui avait vu la scène demande à Carmen d’arrêter son traitement et viens lécher mon sperme sur les fesses de sa mère . Elle se délecte de mon sperme et Carmen profite de voir une goute de foutre sortir de mon gland pour venir le laper . Hummmm c’était bon sa ! Je reprend mes esprits en piquant une tête dans la piscine . Je suis comblé . J’ai deja jouis deux fois et je sent ma queue endolorie .mel’ me propose ensuite d’aller faire une sieste dans la chambre . On se retrouve tous les deux blottis l’un contre l’autre sous sa couette . On s’endort paisiblement et à notre réveil mel’ me dit : – je t’aime mon amour . Et toi tu m’aimes? – on se connaît depuis une semaine à peine, et je tombe pas amoureux facilement mais la j’avoue que je ressent des sentiments très forts pour toi . Tu me donnes énormément de plaisir . C’est très agréable . Continuons comme sa on verra où sa nous mène . On refait l’amour rendrement , ensuite on prend une douche ensemble et la mel’ me fait une demande surprenante :- tu sais ce que j’aimerais ?- dis moi ? – j’ai envie que tu me fasse pipi sur les seins . J’espère que que sa ne te choque pas?- ah oui avec plaisir . Heu et puis je ne suis plus choqué avec toi , je m’attend à tout . Mel’ se mis genoux devant moi et je commence à lui uriner sur les seins . Elle apprécia beaucoup. – oh oui!! C’est bon sa !! J’adore continu de me salir ! J’adore !!- t’aime te faire souiller petite pute !- ouiiiiiii c’est trop bon !!! Pisse moi dans la bouche !!Je m’exécute et dirige le jet en direction sa langue tendu . C’est la première fois que je fais sa et j’avoue que se m’a plu. On reprend une douche et on descend dans le salon . Manon et Carmen faisait l’amour sur le canapé . Je n’avait pas envie de les déranger mais Manon nous avez vu et m’interpelle : – Micka ! Bien nous rejoindre s’il te plait . – ouiiii belle maman ! J’ai les couilles vide mais j’arrive Je m’apprête à rejoindre les deux quadragénaires mais je vous raconterai sa dans la prochaine partie qui s’appellera : découverte d’un club libertin .

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Laura et La DuchesseLaura et La duchessePréambule :Suite aux échanges réguliers avec ma Maîtresse, elle me dit il est temps pour toi Laura que tu te présentes devant une de mes amies « La duchesse » à qui tu vas obéir et satisfaire à toutes ses envies. C’est bon pour une salope comme toi d’être prêtée et de changer de mains pour parfaire ton éducation.Point à prendre en compte pour ton stage d’une journée, La duchesse est active et passive et adore le sperme. Je ne serais pas présente pour ce premier stage mais je veux un récit complet de cette rencontre. Bien sur je vérifierais tes dires avec mon amie La duchesse.La duchesse va te contacter.La duchesse :Laura, Maîtresse me te confie pour une journée de stage. Je viens mercredi 19 octobre vers 8 heures. Je te veux « look pute», tes couilles de salope bien remplit car comme elle t’a dit j’aime le sperme le mien comme le tien.Mercredi 7 heures :Conformément aux ordres de La duchesse je me prépare.Escarpin rouge, Bas latex, porte jarretelle noir, corset, gants vinyle, micro jupe noire mais sans string ni culotte, illegal bahis L a comtesse à bien insisté sur ce point.Je me maquille et met ma perruque courte blondeAh oui, mon collier de soumise aussi.Voilà je me trouve bien puteMercredi 8 heures :Je suis prête mais anxieuse. 8h15 la sonnette retentie, j’ouvre la porte à La duchesse-« Bonjours Laura ».Je salue respectueusement La duchesse, elle est toute de noir vêtue avec des talons hauts vertiginant. Elle est très belle.Maîtresse Marie- France me l’avait dit. Elle a raison tu es vraiment une pute. Je vais voir maintenant si tu es bien obéissante. Une soumise, une vraie et que tu vas me satisfaire également mais pas que moralement, tu vas être active aussi vis-à-vis de moi quand je le déciderais.Laura mets toi en position levrette sur ton canapé face à moi. Je m’exécute. La duchesse m’entrave les mains derrière le dos. Tu n’en as pas besoin, ta bouche est largement suffisante pour me satisfaire comme d’autres queues que tu auras dans le futur promises par ta Maîtresse.Bien voyons comment est ta croupe, illegal bahis siteleri ton deuxième ustensile. La duchesse relève ma jupe.Belle croupe de salope mais bien trop blanche à son goût.La duchesse se saisit d’une cravache fine m’inflige à chacune de mes fesses 30 coups. Voilà bien rose juste à point comme j’aime dit elle. Ça met ta croupe de salope en valeur et je n’aime pas enculer des culs blancs de salope comme tu es. De plus tu as gémit c’est que ça te plait sale pute. Je suis bien obligée de lui avouer que ouiBon, il est temps maintenant de m’occuper de ton trou anal je sens un lubrifiant froid appliqué entre ma raie et un doigtage que commence La duchesse. Evidemment, dans la position où je suis, je ne vois Rien. Je sens, un Plug me pénétrer. La duchesse me dilate. Mon plaisir monte. Je gémis, « Alors, salope, tu apprécies, j’espère ? Je lui réponds que oui, « vous savez travailler un cul Comtesse »Subitement plus rien, toujours entravée et sans vision. L’instant après, je sens les mains de La duchesse sur mes hanches et sa queue canlı bahis siteleri qui s’enfonce brutalement dans ma chate. elle me chevauche comme une chienne,. Je suis abusée et « aux anges ».Elle se retire, s’assoit sur le canapé, m’ordonne de me mettre à genoux.Je suis devant son sexe tendu. J’ai droit à une gorge profonde, je bave autant qu’elle ne me fait pas de cadeaux. Je l’avale jusqu’aux couilles. Elle prend ma tête à deux mains et m’encule à fond par là bouche.Je suis défigurée, plus de rouge à lèvres. Des larmes d’émotions et de plaisir coulent sur mes joues. Elle jouit dans ma bouche, j’ai son sperme en bouche et sur les lèvres. Bien tu n’avales pas me dit elle salope, elle se baisse vers moi, m’embrasse à pleine, nos langues se mélangent avalant toutes les deux son sperme. La duchesse est satisfaite, me félicite et me dit, je vais te faire jouir suivant le même rituel et tu verras que tu as encore beaucoup à apprendre ou que tu es aussi bonne mais j’en doute petite salope de Laura. Je dirais mon ressenti sur ta prestation à ta MaîtresseFinalité :Après l’inversion des rôles, que de plaisir et une jouissance que je n’ai jamais connu mais elle m’a dit je reviendrais pour un autre stage avec l’accord de ta Maîtresse pour que l’on se féconde analement, mutuellement si elle me le demande

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Une journée très chaude… Partie 4Sans que cela soit une surprise, Luce s’est décidée pour tenter l’expérience avec Chloé. Elle a avoué être très attirée mais trop intimidée pour le faire avec moi et je l’ai vite rassurée sur sa décision. Plus loin sur la plage, nous savons que les regards se portent souvent sur nous mais tant que les voyeurs restent assez éloignés cela convient à notre nouvelle copine. Chloé est allongée sur le dos entre Luce, allongée elle aussi et moi assise. Arnaud lui, est assis du côté de sa femme, juste sous les yeux de ma chérie, elle tournerait la tête qu’elle aurait son sexe sous les yeux et presque à portée de ses lèvres.Luce caresse les seins de Chloé, allant de l’un à l’autre et Il est manifeste qu’elle ne sait pas s’y prendre. Ses caresses sont agréables puisque Chloé soupire souvent mais trop timides et hésitantes.- Occupe-toi de ses pointes Luce… Pince-les doucement… Etire-les ! Chloé adore ça ! Tu peux même lui faire un peu mal, elle aime beaucoup.La jolie auvergnate s’empresse de suivre mes conseils et très vite les soupirs de ma chérie deviennent des gémissements. J’ai vite compris que Luce était aussi cérébrale que Chloé et moi et je vais en profiter. Parler, conseiller et détailler ce qui se passe nous excitera encore plus.- Parle-lui Luce… Tu peux tout lui demander, Chloé est très soumise et t’obéira. Et surtout… Dit-nous ce que tu ressens !Luce est un peu nerveuse et elle a la respiration un brin hachée mais elle est surtout très excitée. Et elle le dit. J’ordonne à Chloé d’écarter ses jambes et ajoute que nous voulons la voir mouiller et ma chérie s’exécute sans broncher. Il n’en faut pas plus pour que le sexe d’Arnaud commence à se redresser. Luce a un petit sourire timide quand je lui demande d’embrasser la poitrine offerte mais elle aussi obéit, sa bouche se posant sur le sein droit de ma compagne puis très vite, happant sa pointe tendue. Je me penche, englobe de la main l’autre sein de ma petite salope et ma bouche prend possession du téton gauche. Je demande à Luce de m’imiter et Chloé ondule en geignant sous nos lèvres qui la sucent où nos dents qui la mordillent. J’ai délaissé un instant le sein qui m’était dévolu pour aller m’occuper de l’autre et Luce a laissé ma langue toucher la sienne puis s’est laissé embrasser. Un rapide regard vers Arnaud m’a rassurée, il bande dur maintenant et m’a vu embrasser sa femme.- J’ai envie d’aller plus loin… Luce a dit cela en regardant son mari et il lui répond qu’elle peut faire ce qu’elle veut.La jeune femme a longtemps caressé le pubis et le pourtour du sexe de Chloé mais maintenant elle la doigte vraiment. J’en profite pour dire que j’aimerai lui rendre la pareille et Luce écarte ses jambes sans toutefois répondre. Elle est trempée et je la pénètre doucement de deux doigts. On entend distinctement les clapotis des doigts qui fouillent deux chattes trempées. Arnaud se caresse doucement sans nous quitter des yeux et quand je demande à Luce si elle aimerait lécher la chatte de Chloé, il accélère sa caresse. Luce lâche un rapide «  oui je veux la lécher » et très vite, sa bouche remplace ses doigts. Aussitôt Chloé se tord en gémissant et jouis sous la caresse buccale de la jeune femme. Je m’empresse de dire à Luce de continuer.- Je ne sais pas pour toi mais Chloé et moi pouvons jouir plusieurs fois de suite alors continue… Fais jouir cette petite salope autant que tu veux.- Moi aussi… J’ai envie de jouir aussi… Ça m’excite c’est… Je ne pensais pas… Sans demander je change de position et me positionne d’autorité au-dessus de Luce. – Tu n’es pas obligé de regarder hein… Si tu n’aimes canlı bahis şirketleri pas tu le dis et je m’en vais.C’est adressé à Arnaud avec un sourire. Il répond en souriant qu’il ne regardera pas et je me penche sur Luce, lui écarte plus encore les jambes et à quatre pattes, fesses levées et tendues vers le visage de son mari, je me baisse pour dévorer sa petite chatte mouillée. J’ai pris soin de rester jambes ouvertes et j’imagine Arnaud se repaissant du spectacle de mon sexe dégoulinant de mouille et de mon petit trou offert. Je ne suis pas réellement surprise quand, ma langue caressant le clitoris de Luce, je sens des doigts s’insinuer en moi. Arnaud n’a pas pu résister à ce que je lui offrais. Sa voix grave est voilée quand il dit à haute voix ce qu’il me fait et après avoir laissé passer un temps, certainement pour s’assurer que sa femme est d’accord, il demande à Luce de le sucer. C’est le moment que choisis Chloé pour jouir encore en criant doucement.Nous avons tous bougé et nous sommes maintenant en position du 69 Luce et moi. Ce n’est pas un véritable 69 puisque que Luce branle et suce son mari tandis que je la mange tout en lui doigtant le petit trou. Chloé elle, est assise et attend de me remplacer. Elle a très envie de dévorer Luce et ne s’est pas gênée pour le faire savoir. Arnaud demande à sa femme de le regarder me doigter le sexe et l’anus tout en le suçant et je prends soin de dire à Luce que le regarder faire risque de beaucoup l’exciter, ajoutant que si Arnaud lui faisait lécher ses doigts, elle pourrait même jouir. Et c’est ce qui arrive… Luce jouit avec la queue de son mari dans la bouche et ma langue dans sa chatte, après avoir sucé les doigts d’Arnaud qui m’avaient fouillée. Un orgasme provoqué autant par ma bouche que par ce qu’elle voyait et avait fait. Nouvelle demande d’Arnaud et Luce refuse timidement que Chloé la remplace et le suce. Je m’approche d’elle et l’embrasse.- La queue de ton mari nous excite mais c’est toi qui décide. Et si tu ne veux pas nous en faire profiter… On pourrait peut être juste le caresser ? Non ?Luce fait oui de la tête et je ne me fait pas prier pour prendre en main la hampe dure. – Je vais le caresser doucement… Juste un peu, pour qu’il ne jouisse pas… Et j’ai envie de ta bouche Luce… Viens ! Quand tu m’auras fait jouir… J’ai envie qu’il te prenne devant nous… Arnaud est agenouillé à côté de moi et je caresse doucement sa queue juste au-dessus de mon visage tandis que Luce me dévore la chatte avec un peu de brusquerie. Elle est certainement très excitée à l’idée de partager son mari mais je me trompe peut être. Chloé est à genoux derrière Luce et s’occupe certainement à des gâteries de la bouche et des doigts sur les orifices de notre nouvelle conquête.Une idée me vient et je demande à Luce de me regarder. La jeune femme relève la tête et j’approche la queue de son mari de mon visage. Il suffirait que je tire la langue et je la toucherai…- Doigte-moi et viens le sucer…Luce obéit, gémissant parfois et je pense à Chloé léchant sa chatte tout en lui doigtant l’anus. La jeune femme avale la queue d’Arnaud juste sous mes yeux et j’avance doucement le visage vers elle pour que ma bouche se colle à la commissure de ses lèvres. Je sens la hampe dure contre ma bouche quand Luce recule son visage pour sucer le gland gonflé. C’est Luce qui pèse de la main sur le sexe de son homme pour que je puisse le prendre en bouche. La jeune femme me regarde sucer son mari et ses doigts se mettent à accélérer leur cadence. Elle a fait ce que je lui demandais et me doigte avec le pouce sur mon clitoris ou dans canlı kaçak iddaa ma chatte et un doigt dans le cul. La voir me regarder m’excite presque autant que ses doigts et je jouis les yeux dans les siens. Luce a un petit sourire et me dit qu’il n’y a pas que Chloé qui soit « salope ». – Et deux doigts dans l’anus… Tu aimes ?Aussitôt je sens ses doigts reprendre possession de ma chatte et de mon petit trou. Luce me demande si je sens ses doigts me défoncer le cul et quand je lui réponds qu’elle va encore me faire jouir en parlant ainsi, elle m’encourage à me laisser aller encore. Puis Luce me fait sucer ses doigts en me traitant de cochonne et je jouis d’un coup. Un autre orgasme me bouscule quand je sens ses doigts s’enfoncer profondément dans mes orifices tandis qu’elle me demande si j’aimerai qu’Arnaud m’encule. Luce me doigte sans arrêts plus de douceur toutefois et me dit que me voir sucer son homme l’excite beaucoup. Luce sourit en me disant de jouir encore pendant qu’elle me regarde sucer et ses doigts s’enfoncent d’un coup. Je crie sous l’orgasme…Nous suçons à tour de rôle la queue d’Arnaud qui nous pelote les seins, tirant sur nos pointes sans s’occuper de nos légères plaintes. Il est vraiment très excité. Luce jouit subitement et poussant un râle rauque- Mais c’est qu’elle aime ça trois doigts dans le cul la petite cochonne !C’est Chloé qui vient se coller à moi et qui ne laisse pas à Luce le temps de respirer après son orgasme.- Et tu nous appelles « salopes » ? Avoue que tu aimes te faire enculer cochonne ! – Oui j’aime çà…- Et nous voir sucer ton homme Jul et moi ça t’excite ?Ma chérie n’a rien demandé et m’a enlevé le sexe d’Arnaud de la bouche. Elle le suce les yeux fixés sur une Luce devenue rouge pivoine.- Oui ça m’excite que vous le suciez…- Alors toutes les trois ensembles !J’ai lâché la phrase autant amusée qu’excitée et nous sommes trois à nous partager la queue d’Arnaud. Evidemment notre petit défi est très vite conclu et notre « victime » jouit rapidement en longs jets qui nous aspergent le visage à toutes les trois. Chloé qui l’avait entre les lèvres la dernière a un peu de sperme dans la bouche et avale avec un « miam » comique.Il nous faut un bon moment avant de nous rendre compte que quelques « baigneurs » se sont rapprochés assez pour ne rien perdre de nos ébats. Ils sont cependant restés à une distance respectable. Luce en est aussi ennuyée qu’excitée mais elle obéit aussi vite que Chloé quand je leur demande de m’imiter. Nous voici donc allongées sur le ventre, cuisses écartées et fesses et sexes offerts aux regards de ceux qui pourraient regarder. Et quelques-uns regardent nous dit Arnaud.Le couple s’est laissé aller avec une facilité qui m’étonne et ma question trouve vite une réponse. – On en parlait de temps en temps et même de plus en plus souvent depuis quelque temps mais il fallait une occasion. Et pendant que toi et Chloé vous exhibiez, j’ai vu que Luce serait partante pour tenter le coup. Et voilà…Luce est rouge cerise mais ajoute qu’elle en avait envie depuis longtemps. Que nous lui plaisions et surtout le courant était passé très vite et elle avait osé se lancer. – Et maintenant ? Parce que ce qui s’est passé entre nous était une chose mais de savoir que des gens nous ont vu ? Et qu’ils sont toujours en train de te regarder… Ça t’excite ?Luce a un petit rire timide en avouant qu’elle ne pensait pas être aussi excitée. Et ce depuis que nous sommes arrivées sur la plage.- Et c’est de plus en plus fort… J’ai trop envie de rester dans cet état mais aussi de vous exciter…- Et d’exciter ceux qui nous regardent là-bas canlı kaçak bahis non ?- Oui… Eux aussi…Chloé ne dit rien depuis un moment et je me demande si la coquine n’est pas partie pour une sieste. Luce s’écarte un peu plus pour me laisser lui caresser le sexe. Elle est toujours mouillée.Moi aussi je mouille mais nous avons le temps… – Une petite pause et nous pourrions recommencer non ?Arnaud est allongé aux cotés de Chloé et sa main va se coller entre les fesses de ma chérie.Vous n’êtes pas seules à mouiller en tous cas…Je n’avais pas fait attention mais il est à nouveau dur et quand il demande à Chloé de se mettre sur le dos, elle obtempère sans dire un mot.Luce et moi avons les yeux sur le pubis lisse de ma compagne et quand Arnaud demande à Luce si elle ne voit pas d’inconvénient à ce qu’il déguste le fruit juteux qu’il pénètre d’un doigt, la jeune femme accepte d’un « oui » qui démontre qu’elle en a autant envie que lui. Chloé gémit depuis un moment sous la bouche d’Arnaud et je ne peux m’empêcher de demander à Luce si elle n’a pas envie de se caresser en les regardant. Elle le fait sans me répondre et je l’imite, me pénétrant d’un coup de deux doigts. Je suis de nouveau trempée et après quelques allers retours dans ma chatte, je fais sucer mes doigts à Luce. Arnaud s’est déplacé et il est en 69, sa queue tendue au-dessus du visage de Chloé qui lèche ses testicules. Je suis surprise quand Luce me demande de sucer son mari mais je me déplace pour le faire. Il est dur et quand Chloé jouit, il se redresse pour mieux profiter de ma bouche. Luce se caresse et je me retire du sexe de son mari.- J’ai envie que tu prennes ta femme devant moi…Aussitôt dit, Arnaud bouge et bientôt, il est sur Luce. A mon tour je bouge et vais me placer au-dessus du visage de la jeune femme, lui collant ma chatte mouillée sur la bouche. Je me frotte sur ses lèvres tandis qu’elle gémit sous les assauts de son homme qui la baise assez fort pour que son corps en soit secoué. – Sodomise-la ! Ça m’exciterait !Luce refuse en laissant fuser un « non » tandis que son mari lui relève les jambes et se retire de son sexe. Mes doigts étire les petites pointes roses des seins de Luce et j’insiste pour qu’elle accepte ce que je veux, lui disant que la voir se faire sodomiser m’exciterait vraiment beaucoup.Chloé qui est agenouillée à nos côtés en rajoute en disant que si Luce refuse, c’est elle qu’Arnaud prendra de cette façon et elle ne plaisante qu’à moitié. – Va-y Arnaud ! Encule ta femme !En disant cela, Chloé a posé sa main sur le sexe de Luce et ses doigts la pénètrent. Puis Arnaud qui tient les chevilles de sa femme en l’air avnace son bassin….Luce lâche un cri étouffé par ma chatte sur sa bouche et très vite gémit quand Arnaud la sodomise, encouragée par Chloé qui la doigte, le pouce sur son clitoris. Nous jouissons presque en même temps, Luce juste avant moi et je reste sur elle, regardant Chloé branler Arnaud. Puis Chloé me demande de laisser ma place à l’homme pour que Luce puisse le sucer. La jeune femme ne dit rien, certainement honteuse de s’être fait sodomiser comme une salope devant nous. Et bien sûr je le lui dis, ajoutant que plus loin, d’autres ont du se régaler du spectacle. Quand je lui demande d’avouer qu’elle a adoré avoir honte, Luce le fait en rougissant de plus belle. Arnaud lui, s’enfonce doucement dans la bouche de sa femme, toujours doigtée par Chloé, jusqu’à ce qu’il finisse par s’abandonner dans sa bouche avec un râle de plaisir.Nous sommes tous les quatre en nage et un peu fatigués. Cette fois une vraie pause nous fera du bien…Je m’amuse à préciser aux autres que deux voyeurs se sont approchés. Deux jeunes sont allongés a une dizaine de mètres de nous et ne se gênent pas pour nous regarder.Je m’assois sans pouvoir m’empêcher d’écarter les jambes en le faisant.- Je vais me rafraichir… Qui m’accompagne à l’eau ?

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Dirty stories from the barDirty stories from the barThe Stowaway BarI own a small bar in an industrial area of a big city. During the workday I have a decent crowd for lunch and after work till about 6:00 pm. I have closer friends later and weekends, guys, girls and some couples, many come because it is out of site out of mind. We have a pretty wild time without any neighbors near by. I sell small amounts of cocaine to people I know well and trust.There is a guy Jim and his girlfriend Rose that I used to sell to that came in often. One day he went berserk over something stupid and caused a lot of trouble and damage to the bar. I told him to never come back he was barred. A couple of days went by and he called and pleaded to come back in or at least could he buy some shit from me, I said absolutely no!A few days later Rose walked in and asked for a beer and was surprised when I gave it to her. She wanted to talk to me, I said lets go to my office a small room off the bar. She is a sexy Latina the girl next-door type, that I get hard just looking at, dark hair to the shoulders, nice small ass looking perfect. Not real glamorous, but very sexy!She sat on the couch and I stood in front of the desk. She asked if she could buy some shit, and I could see she wanted it badly. I told her she could drink in here if she wanted but that was all. She pleaded with me she wanted a line so bad, and she wanted to know what she could do to convince me! I looked her straight in the eye and said I want you to suck me off and swallow my load. She said are you k**ding me, I have cash, I said you heard the terms. She said what about Jim I love him, i don’t even do that for him. I said that will not change and he does not have to know, you say you paid cash.I showed her what she wanted in my hand and she walked over knelt down and unzipped my fly. I was excited as I had looked at her with lust many times in the past, nice brown skin and perfect face. I stood so I could watch her in the mirror on the walls, from all sides sucking my fat uncut cock. She pulled it out of my fly and it was soft , she looked like she wanted to run out, she clearly didn’t want to do this. I could hear all the people in the bar on the other side of the door. She held it in her hand for a moment and put the whole tube in her mouth with disgust, I said make it hard, I want to blow my load down your throat as I watched her suck my cock I got hard quick I could feel her tongue slip in between my foreskin and my dickhead then she kissed my balls and she asked if I liked it, I said I always like it when look down at a pig sucking my cock. After a few minutes I said get ready cause you are going to get a mouth full of spunk I haven’t shot a load in a week let me know how it taste? Felt her tongue rubbing the head of my wet cock and then the first big gush and then four more and then three small ones. Looked at her take my cock out of her mouth knowing she did not want to swallow my sperm, but she did, and she cringed like she just swallowed the nastiest load of slime in her life I thought she might puke but she held it down.I helped her up off her knees and said thanks for the blowjob, she said anytime I said I like that reply. Told her that there is mouthwash in the desk to use it so her boyfriend wouldn’t know she had just sucked the scum out of me. And by the way she said it tasted repulsive! I laughed and said get used to it. I gave her a small bag of what she was there for and said no charge. She smiled and said see ya going to the club and left very happy.About a week went by and my brother and his two sons one 21 and the other 24 years old stopped at the bar to visit me. We had a couple of drinks and were playing darts having a good time. When Rose walked in and gave me a big hug and asked if she could talk to me. I turned to my brother and said give me few minutes ok. He gave me a smile like wow sure, I could see he liked what he saw. And I saw the boys looking at her ass with lust in there eyes can’t say I blame them and she is close to their age and what a nice ass she has.So we sat at the end of the bar and I said we both know what you are here for and I can help you but you need to help me for about forty-five minutes I have guests. She leaned to me and said don’t tell me I have to blow those guys? I said yes and swallow all, she immediately no way I am not blowing all your friends. She looked afraid that I asked her to do this and was shaking. I opened my hand and showed her what she wanted, I had a nice bag for her. I said your choice! I will go back and if you give me the nod we will go to the office and you can meet us there or you can ignore me and leave. I was about to get up and she grabbed my arm and said OK I will do it.I said great let’s go over there. I said to my brother I hope you and the boys are horny! He looked happily surprised but not sure what that konak escort meant. We went to my office and told my brother Bill and nephews to sit and that my friend Rose was going to blow all of us.They all looked shocked and couldn’t stop looking at her to see her reaction to what I just said. I took the seat cushion from my desk chair dropped it on the floor and said kneel down and open that trap of yours pig. They could not believe the way I spoke to her and that she kneeled down and said who’s first with that I said me. Thinking the show would clear their heads and get them ready.I said you are going to get a mouthful today I have a full tank. I slapped her face with my hard cock a few times and told her to lick my balls she made a good show sucking my cock long and slow so they could see it go in and out of her mouth. I see my nephews are very excited they are young and have never seen a sex show live. I lasted about ten minutes and grunted, Said to the boys I am filling her mouth right now with sperm. They looked at the expression on her face. I pulled my cock from her mouth and said let’s see what you got. When Rose opened her mouth we could all see it was filled with a disgusting yellow and clear, thick and thin slime she let us look at it for a moment and down it went. She gagged and her eyes were watering and she shook her head quickly from side to side. I laughed and said did it taste good and everyone laughed except her. I said it might have tasted bad but it felt good coming out!Rose regained her composure after a moment and said NEXT! My younger nephew was ready to explode from watching what just went on. He stood up and said, ME, pulled his pants to his knees and out popped a pretty big cock hard as a rock. As soon as Rose touched it he gasped he was very excited. When she licked the head and stroked it I knew is was not going to be long in her mouth before he shot his spunk. She kissed his long droopy nuts and under the head, when she sucked on it he lasted about two minutes and he moaned I am cumming, we saw a little cum drip down her chin. I said let’s see what you got this time? Rose tilted her head back and opened her mouth it was completely full of a white and clear sperm, I think we were all impressed with the amount and in a big gulp it was gone. She said that was fast and disgusting took a tissue from the desk and wiped her mouth like she had just eaten a nice meal.She said she wanted to sit on the chair and the last two could stand in front of her, her knees and her jaw were hurting her, I said ok. My brother wanted to go next he said he wanted to cum in the mouth of a twenty year old slut, I laughed and said be my guest make sure you give her a mouthful! He walked over to her at the chair and waited for her to unzip his fly his hard cock was ready when she undid his belt his fat uncut cock looked like a sausage and I could see she did not want to suck it at all, she held it and pulled the skin back to see the head long and narrow with a big piss slit. At least now it looked like a dick she said not an anteater, when she put it near her mouth she said it smells. I said suck that dick until it is drained you pig never mind what it smells like. She closed her eyes and put the full length in her mouth, no liking or kissing this one. I see she could not wait for him to finish, sucking fast and hard, quickly he was filling her mouth she pulled his scum covered dick out of her mouth and looked repulsed! I said let us all see what you sucked out of his dick, when she opened it looked like mine yellow and clear she almost puked holding in her mouth to show us, I thought she was going to cry as she swallowed it wow this was not going easy!Rose said she did not think she could do another blowjob so I said you are the only cocksucker in the room get on your knees and finish the job. My nephew needs to blow his load in your mouth so she got in position. He walked over pulled down his shorts and his long white dick was already rock hard he grabbed Rose by the side of her head put his boner down her throat and started to fuck her face she told him to go easy because she was choking he slowed down and jerked at the same time, his balls were banging her chin with each stroke. He said this feels great soon after, he said to her I want you to open your mouth so I can watch my cum shoot in it she tilted her head back opened wide and he shot eight strong blasts into her mouth some sprayed her teeth like a water jet it was very thick cotton like white sperm then wiped his cock off on her bottom lip. Her mouth was full to the point that she almost could’t swallow but she manage it any way. I could see she was ashamed of what she had done! Blowing a bunch strange of guys in the back of a bar and letting them dump their loads down throat was not something to be proud of.I helped her up and she went konak escort bayan straight for the mouthwash and the bathroom to brush her teeth. my brother said we had a great time thanks, and my nephews said they always enjoy coming to visit me but this was the best yet, that was hot watching her swallow those loads, and now we have something to talk about at the family reunions and we all laughed. They left and few minutes later Rose came out, she said why do you talk to me like I am a pig it is humiliating. I said it’s just guy talk. I gave her a bag and she said see ya heading to the club.One early evening on a Thursday I saw a couple the the ladies, from the sewing mill, down the street, that come in for lunch some time. I went over and said it is nice to see you ladies after work looking all sexy without your work clothes. Whenever I see women come in I do what I can to make them happy and welcome. Many women in the bar bring in many men, no women few men.I know these ladies by name as they come in for lunch often. They sat at a table and I was hoping they would hang out for the night. Nelly is a very petit little puerto rican blonde I know this because her tattoo say proud to be puerto rican with a perfect tiny little ass. Maria is average, in size black hair long, very nice body, latin as well, and Eva also latin, not a beautiful face but slutty sexy type, slim ass and big tits, you can’t help stare as she walks by.I told John my bartender/bouncer give me a pitcher of strong margaritas and brought them to the ladies I said that is on the house. Now these ladies are not young girls they are 32-38 all looking very sexy though, Would love to fuck all three as I am sure any man in the bar would. After a few hours and a couple of pitchers of margaritas these ladies were gettin pretty wild.They started dancing all sexy and of course the men took notice and cheered them on. I went over and was about to refill their pitcher of margaritas. Maria said to me no more they were pretty drunk and had work in the morning. She said to the others we better go after we finish our drinks, Eva agreed and Nelly protested lets stay for one more pitcher. I smiled at Nelly and said whatever you ladies want, Nelly smiled back and in a very flirty way said whatever I want huh! I got excited at the thought that I might get to fuck her perfect little ass.Soon her friends left, and she waved me over and said I had to dance with her, I thought I am getting some pussy tonight. After a few moments of sexy dancing she grabbed me and shoved her tongue down my throat and reached down the front of my pants and felt my cock and nuts, she said WOW! that is a nice manly dick. I looked at my bartender John and twisted my wrist in the air letting him know to lock the door. He went out the front door and rolled down the steel door and came in the back door.Quickly Nelly was the star of the show, as there was eleven men and me and John no other women. I picked her up and put her on the bar and she started to do a stripper act as she was cheered on by all. Sticking that ass in the air and shaking her tits with chants of let’s see your tits coming from all the men. Her top came off and everyone went nuts, what a great set of tits, a little bigger than a handful, nice and natural and her skin a beautiful bronze with large dark brown very soft nipples, soon after that her tight jeans that made her ass look so great came off too. I went to the back and set up a table for her to get naked on, that was lower and safer also we could see her better. I picked her up and carried her to table sat her down and she spread her legs wide with her light pink panties you could see a full patch of dark pussy hair underneath ,very hot! Someone had a small very bright LED flashlight and lit her pussy like daylight. the excitement was high and then she slowly pulled the panties to the side WOW! her pussy was very erotic looking with lips about one inch, little flaps of thin skin brown on the outside and pink on the inside, looked like pieces of roast beef, made me hard, so sexy.That was all I could stand I went up to the table and started to eat that beautiful pussy all the guys cheered, her cunt was dripping, she was so turned by all the attention. I dropped my pants and rubbed my raging cock up and down that soaking wet cunt for some lubrication and then shoved it right up her stinkhole and she said you are in the wrong hole, I fucked that ass a few minutes and soon the guys surrounded her with their cocks out. She laid back so her head was in position to suck cocks on both her right and left when she turned that way and with her Spanish accent that she announced! YOU GUYS CAN CUM IN MY MOUTH IF YOU WANT, BUT DON’T CUM IN MY PUSSY I DON’T EVEN KNOW ANY OF YOU GUYS. I thought she is a pig, that’s for sure!The lines formed quickly some behind me to escort konak fuck her and some on each side of her head for blowjobs. I pulled it out of her asshole and fucked that pussy I was so heated up from the whole scene I was ready to shoot a big thick load. Soon after putting it in that pussy, I said I am going cum and went to her head as fast as I could with my pants half down, the guy she was blowing quickly moved so I could shoot my spunk in her mouth, it landed on her front teeth and dripped into her mouth, she swallowed it and then sucked my dick clean then gave me a big smile, and someone was already fucking her.I got a beer and stood there watching the show thinking she doesn’t even know who is fucking her asshole or her cunt or who is cumming in her mouth, she has not looked at anyones face she just sticks their cocks in her mouth doesn’t care who they are maybe her boss, a neighbor, a coworker or even her brother or cousin, then again I have a dirty mind.Most guys were fucking her and then empty their scum into her mouth, when any one was about to shoot their load she would stop sucking who’s ever cock was in her mouth and open wide to except and swallow the next guy’s slimy load. Like an amusement park ride after an hour or so, I was back in line to fuck her again. When I got my turn I could see she was a scummy mess many of the guys shot their loads inside her but I was so horny I plunged in anyway. I thought wow this is disgusting, fucking this scummy pussy and I wasn’t getting much friction but she had a tight pussy and it did the job. I again ran to her face to blow my load in her mouth she turned away from the guy she was sucking off, and I let loose in her mouth for the second time, as I was, the guy on the other side that she had been sucking off shot his load too. It landed half on my cock and half on her tongue, he said I am sorry, I said she will clean our dicks for us, and we took turns shoving our scummy cocks in her mouth until they were clean!We were now getting in to two hours of constant non stop fucking this one women, and you could see she was pretty well worn out. I am pretty sure every guy took a second turn on her and now this guy with a very long dick steps up to the plate, he shoves his cock strait up her asshole and she squealed and said it to big up my ass! He kept fucking her asshole but he went at a slow pace and she just started whimpering, like a little puppy that was locked out in the cold. He fucked her as deep as he could, grabbing her hips and pushing his long cock as far as he could get it up her ass and she was making such an intense sound that you felt sorry for her. Once this guy got his dick in her ass she stopped sucking off the two guys by her head and she looked strait up with her face all twisted from the pain of that long cock probably so far in her ass that it touched her brain. This guy fucked the shit out of her for about ten full minutes she kept whimpering. He made grunting sound and pulled his dick out and shot a big creamy white load of cum all over her dark patch of pussy hair, it just dripped all down to her ass, he could barely walk away, it clearly took a lot out of him, she just collapsed, laid there looking up, the guy to the left still jerking his cock took her head and tilted it so his dickhead was at her mouth and shot a very long squirt of spunk right into her mouth and then three more. She did not respond at all and the cum mostly just drooled out of her mouth, then he wiped his dick on her forehead and said Thanks and walked away. The guy on the other side was jerking as fast as he could with his eyes closed then slowed down opened his eyes and splattered the side of her face and ear with his nasty looking load, after a moment he grabs some of her beautiful blonde hair and wipes all the sperm off his cock with it, then wipes his scummy hand on the top of her head, then turns and walked away without saying anything. No one was in line, all drained!I said I think the show is over, and you guys will have a great story to tell at work tomorrow. I then went to help her get cleaned up and dressed. She was a mess I took her hand and stood her up and the sperm just ran down her perfect little legs making cum stained footprints as she walked. When we got to my office I told her to stand in a bucket I had, so I could give her a sponge bath. She said she could barely walk that her ass hurt so much her pussy too but not as much. My mouth feels like a sewer she said, I said I am not surprised everyone shot a load in your mouth including me and John. I took a towel and wiped her entire head then turned it over and wiped her eyes around her nose and ears, then another one for her body. Once that was done I wet a towel and wiped her down completely. I gave her a tooth brush and the mouthwash and told her to rinse her hair in the sink and scrub her mouth out. I went out to the bar to find her cloths, I brought them back and watched this very sexy lady get dressed. She hugged me and said goodbye, that was a blast. I said I hope to see you soon, she smiled and said you will and walked out. That is one of the many stories from the bar!

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Bord de lac (suite1)Après cette expérience terriblement sexe même si frustrante car la queue, de mon master ne passait pas le dernier rempart de mon œillet, car trop grosse, je fis ce qu’il m’avait ordonné de faire pour qu’on se revoir! Je devais me dilater l’anus avec des godes, légumes et autres objet phallique du genre, en me photographiant et en lui faisant parvenir les images par mail.J’avais commencé le soir même de mon aventure, tellement excité que j’étais, même si mon cul me brûlait et mes boules et sexe était encore boursouflé des orties.Je passais tout les jours de la semaine à jouer ainsi, nu dans mon salon à quatre pattes, me ramonant devant la camera, à la cuisine aussi, dans ma salle de bain avec un gode ventouse de belle taille! Et lui m’envoyait un smiley comme accusé de réception. Je devenais accro à ce rituel, et raide le matin au réveil, je commençais anadolu yakası escort à le faire 2x par jour, me branlant comme un forcené ! Le 4eme jour, je me rendis dans un sexe shop pour mec, et choisi un gode et un plug gros comme mon poing! Avant de sortir j’entrai dans une cabine de video de baise, j’étais très allumé et baissais mon froc et mon slip pour me branler tellement je bandais. Il y avait un glory hole et je jetais un œil pour y voir un mec qui se branlait aussi! Il me remarqua et me fit signe de m’approcher plus du trou et soudain sa queue y passa et un peu surpris, je la pris dans ma main pour la caresser. Un peu novice, cela ne lui suffit pas et il me dit de le sucer. Et c’est ce je fit en m’agenouillant devant son bel engin tout turgescent, le pris sur mes lèvres et me mit à le lécher, puis il poussa d’un coup et il pénétra la bouche. anadolu yakası escort Je reculai un peu puis le suçai de plus en plus profond me touchant en même temps. C’était incroyablement sexe et j’aimais ça, m’appliquant pour le faire jouir. Mais soudain il enleva son pieu du glory , et me dit de mettre le mien. Il me colla le ventre contre la paroi, empoignant mes boules pour que je m’échappe pas. Ouah c’était bon et je sentis le plaisir monter, j’allais exploser quand il me lâcha et m’ordonna d’ouvrir ma porte de cabine. J’étais dans un tel état que j’ouvris immédiatement et il entra, son pic fière dans sa main. Suce le encore me dit il et je m’agenouillai pour m’exécuter. Je léchai sa longue hampe, prenais ses couilles grosses comme des pruneaux dans ma bouche! Terrifiant ce que je suçais longtemps et lui qui ne venais pas!!! Il remarqua mes anadolu yakası escort achats et me dit d’ouvrir la boite du gode, de le sucer et bien lubrifier pour le lui donner. J’avais la tête à l’envers et le lui donnais , me retournais pour lui présenter mon cul qu’il se fit un plaisir de forcer et de ramoner. Un massage de prostate qui m’envoyait des décharges dans tout le bas-ventre. Je lui dis que j’allais jouir, que je ne tenais plus. Il me dit de retenir sinon il allait appeler du monde! J’eu peur et serrai la base de ma queue. Il m’empoigna par les hanches et s’enfonça d’un coup dans mes entrailles. Il lima, lima sans s’arrêter pendant un temps interminable, ma rondelle commença à bruler puis je sentis son liquide chaud me remplir en spasmes sa bite bien calée au fond de moi! Puis il me retourna pour me faire lécher la dernière goutte. Me releva ensuite et saisissant mes boules les serra en me disant de me masturber. En quelques secondes je jouis ! Il sorti sans mot dire et je me retrouvais à couler de son sperme chaud entre mes cuisses! J’étais assommé et sorti de cet endroit comme un zombie, mes paquets à la main!Ouahou folie!

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